B O O K R a p h a ĂŤ l Br o o k e s Urbaniste GĂŠographe
m o y e n d’expression Romans-sur-Isère
Valence
La carte Le plan
N
La carte est un outil indissociable du géographe. Elle a une place très importante dans la constitution du Pré Diagnostic du SCoT Rovaltain Drôme Ardèche. Elle est ici présentée sous sa forme la plus «rigide».
6,8 6 4,5 3,1 1,2
-
12,7 6,8 6 4,5 3,1
0
7,5
15 km
Part des logements vacants par commune sur le territoire du SCoT en 2007 (en %)
1
2010-2011
A
B La carte permet aussi de véhiculer des informations rapidement. Ici la représentation du territoire est ciblée pour accentuer le message. Cette carte établit, pour le Pôle d’Activité d’Aixen-Provence (en noir), les zones de non-concurrence envers les centres-villes (A : Aix-en-Provence, B : Vitrolles, C : Marseille) et de complémentarité du panel commercial alentour (1 : La Pioline, 2 : Zone d’activité de Vitrolles, 3 : Plan-deCampagne). 2011-2012
2
3
C
N
La carte Le plan Le plan guide constitue la troisième étape de travail et de réflexion de l’atelier. Il est l’expression de notre parti pris d’aménagement, décliné en trois orientations stratégiques. Ce parti pris s’appuie sur les éléments forts du diagnostic orienté. Le plan guide précise et spatialise les grandes orientations du projet. Il est ainsi le préliminaire indispensable à l’élaboration de tout projet de détail.
Luynes
Les Milles-Village
Pôle d’échange de plan d’Aillane ZAC de l’Enfant
2011-2012 La Duranne
La dernière étape du projet consiste en la réalisation d’un plan détail qui traduit spatialement les principes posés dans le plan guide. Ce plan de détail est un travail à l’échelle fine, qui permet de vérifier la validité des principes du plan-guide dans leur application concrète. Le plan de détail traité ici porte, entre autres, une attention très spécifique au traitement des espaces publics, au fonctionnement circulatoire pour tous les modes, à la composition urbaine et à l’accroche du projet au contexte existant. 2011-2012
0
100
200
400
600m
N
Le schéma Le schéma est la déclinaison de la carte. La spatialisation est imagée, et surtout conceptualisée. La clarté et la simplification du message sont essentielles.
Intercommunalité èch
Ard
Ci-dessous,la conceptualisation est ici usitée pour expliquer les principes d’aménagement qui se conjuguent afin d’établir une forme urbaine finale. 2011-2012
Communes non fédérées Pont Limite départementale
Ci-dessus, la complexité de la hiérarchisation des niveaux administratifs au sein du SCoT Rovaltain Drôme Ardèche. 2010-2011
erte eV
VALDAC
Le schéma La schématisation n’est pas uniquement pratiquée dans le cadre d’une spatialisation de données. Elle convient aussi pour exprimer ses idées et sa compréhension d’une situation. Ci-dessus, la matrice et le système du jeu d’acteurs sur une mission en stage. 2010-2011 Ci-dessous, la comparaison des fonctions du Pôle d’Activité d’Aix-en-Provence à l’heure actuelle et celle projetée par notre équipe d’atelier dans 30 ans. 2011-2012
Le schéma
Ci-dessus, exercice de réflexion personnelle et de mise en relief du contexte, des acteurs… sur les politiques foncières territoriales en Région Rhône-Alpes. 2010-2011 Ci-dessous, les aléas et les difficultès éprouvées lors de la réalisation d’un projet en stage. 2010-2011
Le croquis Le croquis est un autre langage pour transmettre et constituer sa pensée. Il est un véritable outil dans le projet car il invite nécessairement notre représentation à émerger. Ci-dessus, croquis de la densité végétale sur une opération en périphérie d’Aixen-Provence 2011-2012 Au centre, défi-croquis entre urbanistes. Ici une représentation de l’Institut d’Urbanisme et d’Aménagement Régional d’Aix-en-Provence dessiné en 5 minutes. 2011-2012 Ci-dessous, croquis d’ambiance d’un cœur de place et d’un mail végétal dans notre projet d’atelier. 2011-2012
La maquette La maquette dans notre projet d’atelier vient faciliter la lecture de nos aménagements dans le contexte proche. Elle souligne l’effort de densification, la constitution d’un boulevard commercial et d’une frise végétale. Elle est un outil efficace pour mettre en lumière les volumes et les creux, en somme, le rythme du lieu. 2011-2012
La photo
La photographie permet de reconstruire l’Histoire d’un lieu, de mémoriser et de transmettre des pratiques, de documenter sur la transformation d’une ville - de capitaliser l’éphemère... En haut à gauche : Quartermile (Norman Foster), Edimbourg, 2010. En haut à droite : parvis de l’Institut du Monde Arabe accueillant le pavillon Mobile Art de Zaha Hadid, Paris, 2011. En bas à gauche : Rue de Mons, Avignon, 2012. En bas à droite : Vue vers Manhattan depuis la station de métro Forest Av., New York, 2007.
La mise en page La mise en page est un exercice important dans l’effort de communication. Elle participe à la richesse de l’étude en la rendant intelligible et en donnant une identité au projet/ sujet. Son style doit s’accorder avec le sujet du document et avec le lecteur futur. Ci-dessus, début de partie d’un document sur des références urbaines, ici les quais de Lyon. 2011-2012 Au centre, double page de mon rapport de stage (Foncéo). Mise en évidence de l’insertion d’ajouts au texte principal. 2010-2011 Ci-dessous, double page du rapport final de l’atelier de Design Urbain. L’accent est sur la dialectique des paysages. 2011-2012