Mémoire vive 2024
VERS UNE ARCHITECTURE CREATRICE DE LIEN
Ilunga Rei-Daniel
Rétrospective 2021-2023
1
2
Sommaire
Partie 1 Répertoire de travaux
3
- Bhujodi Road Markets
Inde
6
- Sunhide
Inde
10
- En Place
Ile Maurice
16
- Sonitus
Ile Maurice
22
- Atelier Poteau
Ile Maurice
26
- Collection de travaux
28
- La Photograhie
32
Partie 2 Relecture transversale
34
VERS UNE ARCHITECTURE CREATRICE DE LIEN - Un retour aux racines africaines
34
- Où sont nos arbres à palabres
36
- Une architecture créatrice de lien
38
- Habiter l’extérieur
40
- Retrouver une culture de partage
42
Bibliographie
46
3
4
PARTIE 1 Répertoire de travaux 5
BHUJODI ROAD MARKETS Projet urbain Localisation : Inde, Bhujodi Année : 2023, S4 Travail individuel
6
Ombres créées par bâtis
7
LA RUE COMME ESPACE DE PARTAGE Situés dans l’état de Gujarat, le projet constitue en un nombre de maisons pour communauté d’artisans et deux marchés au service de toute la population. L’idée conductrice du projet est d’utiliser les bâtiments pour procurer les ombres et avoir un arrangement pemettant de créer des places communes ombrées et des minni-marchés profitant aux ilôts Concept
Vue de l’arrière des bâtis
8
Volumétrie du projet
0
2
6
10
Plan urbain
0 1
3
5
9
SUNHIDE Maison familiale d’artisan Localisation : Inde, Bhujodi Année : 2023, S4 Travail individuel
10
Balcons de maison
11
LE SOLEIL ET L’OMBRE COMME CONCEPT Situé en Inde dans la région désertique de Bhujodi, Sunhide est un projet de maison pour 7. La région étant très aride, le concept pour moi tournait autour des ombres et permettre que le maximum d’éléments de constructions (murs, balcons, toiture) servent aussi à procurer des ombres pour les espaces extérieurs. Les formes oondulées sont là pour protéger les fenêtres et donner de l’ombre au rez-de chaussée. Les formes des balcons sont données par l’étude des zones ombrées par la toiture.
Ombres pour les espaces communs
Système de rafraichissement par évacuation de l’air chaud
Ombres pour les fenêtres
0
1
5m
Plan de toiture
12
0. Marché 1. Atelier 2. Stockage 3. Séjour 4. Sanitaires 5. Salle d’eau 6. Chambre 7. Séjour
Plan rez-de-chaussée
0
1
5m
Vue des façades Ouest et Sud
13
1. Salle de bain 2. Chambre 1 3. Chambre 2 4. Chambre 3 5. Balcons
6. Terrasse 7. Chambre 4 8. Chambre 5 9. Salle de bain 2 10. Balcons 2
Plan premier étage
Elevation Est
0
1
5m
0
1
5m
14
Vue façade Est
Coupe BB’
0
1
5m
15
EN PLACE Place publique et rue piétonne Localisation : Vacoas, Ile Maurice Année : 2023-24, S5 Travail en groupe et individuel Avec : Rambinison Tommy, Hoareau Chelsea
16
Ombrières et place publique
17
UNE RESPIRATION DANS VACOAS
Le projet met en valeur la rue John Kennedy, une rue animée en privilégiant le piéton et en créant des espaces publics multi-usages permettant de minimiser la cassure créée par le métro. Elle se fait en 2 grandes interventions : 1. Une traversée piétonne de la rue John Kennedy au marché de Vacoas. : elle consiste à paver une portion de la rue et créer un passage piéton vers le marché. 2. L’aménagement d’une place sur le terrain vague. Il consiste en 4 éléments majeurs : des ombrières, une installation urbaine avec arbre central, une zone végétale et une reconversion de boutique en terrasse/café.
Fréquentation humaine du centre
0
Etat éxistant.
5
10m
18
Intention pour le centre
0
Implantation
5
10m
19
Coupe urbaine de la place 0
2
4
6
8
10m
L’entièreté du projet comme une seule place
20
Lien entre existant et ombrières 0
1
2
3m
Légèreté des ombrières et dispositifs d’étals. 21
SONITUS Logements communs et espace public Localisation : Ile Maurice, Coromandel Année : 2022, S3 Avec : Raboude Hans, Callychurn Navya
22
Vue d’ensemble
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UN BRUIT PLAISANT
Sonitus est un projet de logements collectifs à Coromandel en île Maurice. Etant frappés par le bruit rencontré près du site d’intervention; nous avons voulu en faire notre concept et trouver un moyen non seulement de combattre ce bruit auditif mais de faire aussi un bruit visuel qui serait lui agréables à voir.
Concept anti-bruit
Programme
B
A’ A
B’ 0
1
5m
Plan rez-de chaussée
Elevation Sud
24
Mur
Barre en métal
Fixation à la dalle
Cloison
Liaison plancher et façade
Hans Raboude_ Coupe détaillé_Fixation du skin_ Échelle 1/20
Cour intérieure
0
1
5m
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ATELIER POTEAU Maison d’artisans Localisation : Ile Maurice, Tamarin Année : 2022, S2 Travail individuel Projet de logement à Tamarin, l’atelier poteau est une maison pour artistes et étudiants en arts plastiques. Le principe était de se baser sur la colonnade non seulement pour ses bienfaits structurels mais aussi pour offrir de l’ombre à l’atelier qui est ouvert et commun.
Evolution de volumes et structure
Evolution de volumes et structure
Maquette d’ensemble
Elevation de la structure
Utilisation de 9/10 de la parcelle
Evolution de volumes et structure
Elevation de la structure
Utilisation de 9/10 de la parcelle
Elevation de la structure
Utilisation de 9/10 de la parcelle
«L’atelier poteau» est une maison atelier ou plutot un atelier maison. Inspirée de diverses oeuvres telle que Le Musée de la littérature moderne ou les appartement ateliers de Le Corbusier; Cette maison est destinée à un couple d’artistes quinquagénaires et deux étudiants en art. Elevation de poteaux secondaires pour ombre
Déclinaison de parcelle pour la rampe
Concept
Située à Tamarin, un village chaud de l’ile Maurice, l’atelier de peinture est la pièce la plus importante de la maison et est semi close, protégée par des poteaux.
Déclinaison de parcelle pour la rampe
Elevation de poteaux secondaires pour ombre
de Ces derniers font office de protection contre le regard extérieur mais aussi le soleil étant donné la zone chaude de Tamarin. Les autres poteaux jouent un role plus structurel mais aussi esthétique et permettent de rythmer les murs pleins, semi-pleins et les vides (fenetres). Ajout des volumes et toiture
Elevation des volumes des espaces privés Déclinaison de parcelle pour la rampe
Elevation de poteaux secondaires pour ombre Ilunga Rei-Daniel, 10, S2 Ensa Nantes Mauritius
Ajout des volumes et toiture
Elevation des volumes des espaces privés Ilunga Rei-Daniel, 10, S2 Ensa Nantes Mauritius
Façade Est
Page 6
Ajout des volumes et toiture
Elevation des volumes des espaces privés Ilunga Rei-Daniel, 10, S2 Ensa Nantes Mauritius
Page 6
Page 6
0
1
5m
26
L’atelier poteau
Housing & Multitude
AA
BB
CC
0
Plan rez-de-chaussée
1
5m
L'objet du projet Housing&Multitude est de réinterroger les problématiques travaillées dans les séquences 1 et 2 (situations spatiales singulières, mesure et relation du corps à l'espace, intimité, lumière, vues..) dans un projet de logement situé.La capacité du projet de Plan rdc logement à travailler les espaces partagés, les seuils publics / communs / privés seront particulièrement abordés.
Plan rdc + 1
Ilunga Rei-Daniel,10, S2 ENSA Nantes Mauritius.
Page 11
Façades Est et Sud
27 Ilunga Rei-Daniel, 10, S2 ENSA Nantes Mauritius.
Page 1
COLLECTION DE TRAVAUX Dessins, maquettes et autres Années : 2021-2023 Main et digital
Maquette sensible inpirée des caractéristiques de la margose S1
Section schématique
Maquette “collocation S1 Nazir, Payet, Némorin, Jagai, Ilunga
Tjibaou center
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Détail de façade anéchoique S3
Structure métallique (Ghp) S4
Définition ghp de façade anéchoique S3
Elevation, Tamarin S1
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TRAVAUX MANUELS Travaux manuels Année : 2023
“LABA”, Construction maison en terre
Bambulenat, Stage B2 “les métiers de l’architecture”
S4 2023
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DIVERSES REALISATIONS 2021-2023
“La danse”, représentation du dynamisme de la ville
“Le public à Vacoas”, collage d’intention
Relevé de l’état existant
“La danse”
Centre Georges Pompidou 31
LA PHOTOGRAPHIE
Dar-Es-Salaam, 2022
Port Louis, 2023
Lubumbashi, 2024
Nairobi, 2024
32
Port Louis, 2023
Port Louis, 2023
Kasokota, 2023 33
34
PARTIE 2 Vers une architecture créatrice de lien 35
UN RETOUR AUX RACINES AFRICAINES L’ARBRE A PALABRE, SYMBOLE DU VILLAGE
Né et grandi en R.D. Congo, la modèle Africain du vivreensemble a toujours eu influence sur moi. Il contient très souvent un élément qui rassemble la communauté, un symbole que l’on retrouve que très peu dans nos villes africaines : L’arbre à palabres. Il est une institution précoloniale africaine et un lieu de rassemblement à l’ombre où l’on vient discuter de la vie en société, des problèmes du village, etc. Dans le contexte du village, il représente un symbole. Les enfants y viennent écouter les contes des vieillards. Il est un lieu de transmission de connaissances. “Un vieillard qui meurt et une bibliothèque qui brûle.” Le vieillard étant la bibliothèque, c’est à se rendre compte de l’importance de la transmission et de la place de l’arbre qui rend celà possible. L’arbre à palabre est généralement situé au milieu du village, lieu donc de rencontre pour tous. Il est attrayant par son emplacement mais aussi par ses qualités d’ombrage qu’il procure. Nos villages africains étant particulièrement chauds, il offre un endroit à l’ombre et un tronc sur lequel on peut poser notre dos. Présentant ces qualités, les adultes y passent généralement la majorité du temps, tandisque les cases sont utilisées pour les fonctions primitives d’abri comme dormir, se protéger des intempéries, etc. Même la cuisine se fait en extérieur. Les villages étant désertés aujourd’hui, qu’en est-il de la place de cet arbre aujourd’hui ?
36
Arbre à palabres, Tchad 1950. Photo de Michel UET/GAMMA-RAPHO
Village de Kasokota, Décembre 2023 I.R-D. 37
OU SONT NOS ARBRES A PALABRES ? DES VILLES SANS VIE COMMUNAUTAIRE
Avec l’exode rural, nous rencontrons aujourd’hui des mégapoles qui ne suivent que très peu le modèle du village. Des clotûres séparent les maisons, la vie de communauté affectée, et qu’est notre arbre à palabre aujourd’hui ? Quel est l’endroit où l’on vient se poser et discuter en communauté tout simplement ? Je me pose la question mais peu de réponses se présentent. Nous passons le temps dans nos maisons sur nos téléphones et réseaux sociaux. Je ne viens pas jeter tout cette vie en communauté mais plutôt pointer le fait qu’on perd notre culture au détriment d’une vie occidentale qui ne convient pas à notre contexte. J’ai moi même grandi dans ce contexte là de ville où chaque maisons sont séparées de clotûres en béton avec des fils barbelés par-dessus. Celà a engendré un renfermement et n’a pas permis que je crée des liens avec les voisins. Les conséquences aujourd’hui sont regrettables : un manque de connaissance de ma propre culture, des lacunes dans mes langues traditionnelle car elles se parlent dans la rue tandisque j’ai été élevé avec le français et étudié dans cette langue. Il y’a certes certains endroits qui favorisent le regroupement et rappellent le village, mais ils ne se présentent que par fragments. De mon expérience personnelle; les plages, les rues, les instituts culturels, les écoles; sont les lieux où j’ai le plus ressenti un esprit de communauté, de vivre ensemble. Les points communs de ces lieux étaient la présence de grands espaces ouverts, l’utilisation réduite de nos portables et un retour à une vie simple. Mon intention est donc de créer, mettre en avant ces espaces qui pourront favoriser des connexions, de revenir en arrière et de récupérer un modèle d’architecture et urbanisme qui nous permet de créer des liens et préserver notre culture. Dans certains cas, ces lieux existent mais on ne sait plus les voir. On a perdu la vision.
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Gujarat, Avril 2023
Lubumbashi, Décembre 2023
39
L’ARCHITECTURE CREATRICE DE LIEN SYMBOLIQUES D’ARBRE A PALABRE DANS LE MONDE
La Moriyama house est une maison construite à Tokyo au Japon en 2005. Elle se distingue par son minimalisme et son approche d’harmonie avec l’environnnement. Elle se compose d’une série de volumes indépendants les un des autres et chacun ayant une fonction spécifique (salle de bain, chambre, salon,...). Ces volumes sont reliés par des passerelles, jardins, et obligent à passer par l’extérieur pour rejoindre un autre. Design au départ pour Mr. Moriyama, elle est louée aujourd’hui par 3 différentes familles qui cohabitent entre ces volumes et redéfinit ce qui était une maison et devient 3 maisons. Cette cohabitation sans réelles limitations exxtérieures vient susciter un intérêt, un questionnemnt sur comment cohabiter et les liens que développent l’architecture. La question du vivre ensemble a souvent été traitée et le cas de la Moriyama House vient illustrer cela à travers les interractions des habitants. Ce concept diffère selon les cultures ou la nature des personnes, mais il est forcé de constater qu’elle crée des rencontres, des partages, des liens dont on a besoin dans la communauté. Que les espaces partagés soient extérieurs ou intérieurs, ils constituent toujours un aspect majeur de la société. La symbolique de l’arbre à palabres peut-être créée de façon multiples et la place du théâtre à Anvers en est un autre exemple. Il s’agit d’une simple structure de 15 mètres de haut venant relier le théatre et un jardin existant. Elle vient protéger de la pluie et laisser la lumière passer à travers. La place sert d’abris pour les évènements, marchés, concert, théâtres, etc. On peut imaginer le nombre d’interractions qui s’y produisent et ce que ça engendre ! De loin elle n’a rien à voir avec la Moriyama mais ces deux projets très différents sont des projets créateurs de liens, d’une vie sociale et de rencontres. Cette idée de création des liens m’a inspiré et continue de le faire durant mon parcours.
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MORIYAMA HOUSE
Tokyo, Japon Ryue Nishizawa & Kazuyo Sejima (SANAA Architects) 2005
THEATERPLEIN
Anvers, Belgique Studio Associato Bernardo Secchi Paola Viganò 2009
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HABITER L’EXTERIEUR MARCHE EXTERIEUR DU BHUJODI ROAD MARKETS
Au cours de mes 3 années en architecture et urbanisme, chacun des projets sur lesquels j’ai travaillé a toujours eu une attention particulière au confort extérieur. Il a parfois même été privilégié au confort intérieur. Même sans se rendre compte, je suis toujours à la recherche du symbole de l’arbre à palabres, de l’élément ou du concept qui saura rassembler la communauté et créer des liens. Dans le projet urbain “Bhujodi Road Markets”, il s’agissait de donner à une communauté d’artisans en Inde des logements avec espaces de travail et des lieux de marché qui pourront acceuillir des touristes durant la saison. Sachant qu’on se situe dans la ville de Bhujodi, désertique où les températures peuevnt aller jusqu’a 45°C, il était important de de donner des espaces d’ombres et ne pas inciter à rester à l’intérieur des logements. Pour celà, le concept était de mettre les logements (R+1) face à face, à proximité afin qu’ils puissent faire de l’ombre sur la rue les séparant. De ce fait, cet espace ombré fera office de marché avec des étals temporaires, et en jour de non marché il pourra servir de cour commune aux familles. La création de ces marché sur la rue, viennent créer des espaces ombrés cette fois à l’arrière des logements. Malgré qu’ils ne soient pas l’intention première, on peut assez facilement imaginer qu’ils seront grandement utilisés et amèneà réfléchir encore plus sur l’utilisation de ce que nous concevons. Ce qui fait le succès d’un projet c’est aussi de voir comment se l’approprie ses usagers. Par rapport à ça, il ne faudrait pas fixer et limiter les fonctions de chaque espace, les besoins d’un jour ne sont pas ceux du lendemain, il est important de rester souples, flexibles et laisser aux usagers la liberté de choisir ce qu’ils veulent faire de l’espace existant.
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Batiments qui ombrent la rue, concept
Arrière des bâtis ombrés
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RETROUVER NOTRE CULTURE DU PARTAGE PROSPECTIVES FUTURES
Ce thème a été le fil conducteur pour chacun de mes projets et il est intérssant de voir quel impact l’ architecture a sur la vie sociale et vice-versa. Le vivre ensemble éveille une interpellation sur quelle est la limite de l’intimité d’un individu ? Le vivre-ensemble est un thème arboré partout de différentes manières. J’ai donc voulu voir et pousser pour que mes projets soient créateurs de liens. D’une manière pratique, cette intention s’est traduite généralement par un positionnement de bâtis qui créent une cour extérieure et facilitent les interractions. Dans les projets Sonitus, Bhujodi Road Markets et Sunhide, la proximité des bâtis créent des espaces ombrés qui ne demandent qu’à être utilisés. Dans l’Atelier Poteau, les colonnes n’ont pas qu’un rôle structurel, elle servent aussi de brises-soleil pour l’atelier de peinture commun. Ces différentes démarches viennent montrer qu’en passant par des éléments de construction ou par les constructions ellesmême, il existe plusieurs façon de créer des lieux de partages sans avoir à ajouter d’autres éléments; il suffit de trouver une double, triple, quadruple fonction à celles essentielless. Maintenant, pour moi, il est question que les projets soient des projets apportant de l’émotion, que les rues soient des lieux de partages, que mon Afrique puisse retourner à sa culture. J’aspire à être quelqu’un qui sera toujours au service de la communauté et fera toujours en sorte qu’elles s’épanouissent dans les bonnes conditions de vie. Au final, l’architecture ne serait-elle pas un moyen de donner du confort extérieur et par ce biais de créer des liens ? Dans ce cas est-ce qu’on habiterait pas autant voire plus l’extérieur que l’intérieur ? Jusqu’où on habite ?
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Métro express, Ile Maurice, Octobre 2023
45 Montagne blanche, Ile Maurice, Avril 2023
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BIBLIOGRAPHIE
- L’arbre à palabres: une institution traditionnelle communale africaine au service des travailleurs sociaux, Mamadou M. Seck - https://www.challenges.fr/politique/vertus-du-palabre-en-politique_739300 - https://aifris.eu/03upload/uplolo/cv4702_2320.pdf - https://post.moma.org/the-life-in-between-ryue-nishizawas-moriyama-house-tokyo-2002-2005/ - https://entrevoirart.blogspot.com/2017/04/place-du-theatre-danvers. html
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Durant mes 3 années au sein de l’ENSA Nantes Mauritius, j’ai exploré différentes thématiques dans le cadre de différents projets mais celle qui revenait était toujours la création des liens. En tant qu’enfant d’Afrique la place de la famille, la communauté a toujours eu un rôle essentiel dans ma vision des choses. Dans mon rapport d’études je développe ce thème de la la création des liens et comment elle a influencé ma vision des choses et la manière de concevoir. En passant des projets exisants à ma vision des futurs projets il est le fil conducteur de ma pensée architecturale. La limite est fine entre l’architecture et le social. En Afrique, en Asie, en Europe, j’en pu en faire le constat et donner ma vision.
ILUNGA REI-DANIEL
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