Les ailes de cristal

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JEUDI 26 NOVEMBRE SOIRÉE DE GALA ATELIERS ET RENCONTRES EXPERTS de 14 h à 18 h salle de l’Orangerie

ARSENAL METZ

Les ailes de cristal

LES

TROPHÉES DES ENTREPRISES LORRAINES

& ATELIERS RENCONTRES EXPERTS

P a r te na i re o ffi c i el

RDI

Lorraine

Réseau de Développement et d’Innovation en Lorraine

MEDEF Lorraine

CHAÎNE LORRAINE D’APPUI À LA CRÉATION D’ENTREPRISES

CGPME

LORRAINE

Chambre de Métiers et de l’Artisanat Région Lorraine


ÉDITO

Les ailes de cristal

LES AILES DE CRISTAL : L'ENVOL ET L'ÉCLAT DES ENTREPRISES LORRAINES Les Ailes de Cristal s’installent en Lorraine à l’occasion de la grande soirée prestige du 26 novembre à l’Arsenal à Metz. Les ailes symbolisant la mobilité, l’envol, l’essor. Le cristal incarnant la transparence, la solidité, l’éclat. Une alliance de la nature et de la matière qui résume parfaitement la philosophie de cet évènement. En créant ce nouveau rendez-vous, nous n’avons, en aucun cas, voulu surajouter, dans la galerie des Trophées, un nouvel oscar à la liste déjà longue des reconnaissances industrielles, commerciales et économiques. Il s’agit pour les trois quotidiens de Lorraine d’associer leur image à un panel d’entreprises ayant fait rayonner, durant l’année 2015, le prestige de notre région au-delà des frontières nationales ou internationales. Raison pour laquelle nous avons confié aux trois rédactions de l’Est Républicain, du Républicain Lorrain et de Vosges Matin la responsabilité de sélectionner les sociétés qui correspondent aux critères recherchés, en l’occurrence la force de communication et la volonté de médiatisation des actions de leurs entités. Cette soirée du 26 novembre, qui fait suite à la semaine de la création d’entreprise, sera l’occasion de mieux apprécier le savoir-faire de nos entrepreneurs et artisans et par là même de découvrir le remarquable

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potentiel de notre tissu industriel et artisanal. Le palmarès recèle donc des pépites de haute technologie tout en confirmant l’exceptionnelle force de frappe de belles entreprises implantées dans notre région depuis des décennies. Cette première édition n’aurait pu voir le jour sans la participation effective de partenaires lorrains qui associent leur dynamique à cette mise en valeur des richesses économiques de notre région. Acoris Mutuelles, la Chambre Régionale de Commerce, d’Industrie et de Services de Lorraine, le cabinet Yzico, la Chaîne d’Appui Lorraine, Centre De Ressources Régional, le Crédit Mutuel et Marcotullio Traiteur constituent les maillons forts des Ailes de Cristal 2015, accompagnés dans leur implication par l’Université de Lorraine, avec le PEEL, la Chambre Régionale des Métiers et de l’Artisanat, le MEDEF Lorraine et la CGPME Lorraine. Une union sacrée, née de cette volonté et de cette fierté de promouvoir et de construire l’avenir de la Lorraine dans le cadre de la future grande région. Christophe Mahieu, Directeur Général L’Est Républicain, Le Républicain Lorrain et Vosges Matin.


METTRE EN LUMIÈRE QUELQUES PÉPITES LORRAINES, C’EST TOUT L’ESPRIT DES AILES DE CRISTAL.

LE JURY

Les ailes de cristal

UN JURY COMPOSÉ DE JOURNALISTES HUIT TROPHÉES POUR DES CRITÈRES TRÈS OUVERTS

D’ordinaire, les journalistes relayent l’information. Cette fois-ci, ils étaient source de décision puisque ce sont eux qui ont désigné les huit lauréats Ailes de cristal 2015. Les trois rédactions des quotidiens lorrains, Républicain-Lorrain, Est-Républicain et VosgesMatin, avaient croisé leurs informations pour nominer soixante-quinze entreprises du territoire. Critères : des sociétés qui font parler d’elles, version économie positive, il s’entend ; qui diffusent le savoir-faire lorrain à travers l’Hexagone et l’étranger. Une volonté de mettre en lumière quelques pépites lorraines. Quelques… car ils ne sont que huit lauréats. Les soixante-quinze nominés auraient mérité le podium. D’ailleurs, au-delà du fameux trophée remis, la soirée Ailes de cristal à l’Arsenal de Metz leur est dédiée. Malgré la difficulté du choix, le jury, présidé par Jean-Marc Lauer, rédacteur en chef des trois quotidiens lorrains, composé des journalistes Alain Dusart , Sébastien Georges, Philippe Marque, Alain Morvan, Philippe Rivet et Laurence Schmitt a su trancher. Ce qui a fait la différence ?

Le jury s’est penché sur les entreprises qui diffusent le savoir-faire lorrain à travers l’Hexagone et l’étranger, comme Mephisto ou Essilor. Des entreprises de type familial ; des savoirfaire dans des domaines variés, pour ne pas dire, opposés ; des sociétés de taille intermédiaire et d’autres, plus petites au marché si prometteur. Pour ne pas tomber dans l’arbitraire, le jury s’était entouré des conseils de ses partenaires : Acoris, Chambre régionale

de commerce et d’industrie de Lorraine, le cabinet Yzico, Centre de ressources régional, Peel, la Chambre de métiers et de l’artisanat de Lorraine. Les entreprises lauréates s’y croisent, mais d’autres aussi. Signe que les Ailes de cristal auraient pu se déployer à l’infini. Que l’événement n’en restera pas à cette seule soirée du 26 novembre. Les éditions suivantes se préparent déjà !

LES PARTENAIRES AYANT VOTÉ : CCI Lorraine

(Chambre de Commerce et d’Industrie)

Medef Lorraine

(organisation patronale)

CGPME Lorraine CMA Lorraine

(Confédération générale du patronat des petites et moyennes entreprises)

(Chambre de Métiers et de l’Artisanat)

Cabinet Yzico (expertise comptable) Acoris Mutuelles

(organisme mutualiste)

PeeL, Université de Lorraine CDRR

(Pôle entrepreneuriat étudiant de Lorraine)

(Centre de ressources régional)

RDI Lorraine

(Réseau de développement et d’innovation en Lorraine)

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LES ENTREPRISES NOMINÉES MEURTHE-ET-MOSELLE

la production d’ici à 2017, avec une part de 60 % à l’export, contre 25 % actuellement.

BACCARAT PRÉCISION (Baccarat) spécialiste des pièces aéronautiques complexes qui fournira Safran en Meuse.

EVOBUS (Ligny-en-Barrois) filiale de Daimler-Mercedes, fabrique des bus urbains et notamment ceux de la RATP.

HANDISCO (Nancy) développe la canne blanche 2.0 pour les non voyants.

FROMAGERIE DONGE (Triconville) est le producteur du meilleur brie de Meaux en France, méthode artisanale et vient d’investir plusieurs millions d’euros pour moderniser son outil de travail et ses caves d’affinage.

GE POWER CONVERSION (Nancy) réalise les moteurs des parcs éoliens marins. GLAGLA (Nancy) a mis au point la première semelle chauffante pilotable par smartphone et interactive. LE BRAS FRÉRE (Jarny) a restauré le dôme du Panthéon. MIROITERIE RIGHETTI (Fléville) qui collabore avec Escaliers Somme pour la conception du premier escalier en verre connecté. PLAN ADVANCED TECHNOLOGIES (Vandœuvre-lès-Nancy) est spécialisée dans la production de principes actifs naturels récupérés sur les racines de plantes cultivées hors sol. ACCCRELAB (Villers-lès-Nancy) c’est le labo des labos. ADISTA (Maxéville) est propriétaire de cinq Datacenters répartis entre Nancy, Saint-Etienne et Angoulême, Adista projette deux nouvelles constructions à Saint-Etienne et à Bourget-du-Lac (Savoie) l’an prochain. Fleuron régional du numérique avec près de 300 salariés pour 54 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2014. CINI (Tomblaine) développe des matériaux composites innovants pour les secteurs automobile, aéronautique et médical, comme par exemple des prothèses de main. DELIPAPIER (Frouard) est la première usine de production de papier toilette en France (Sopalin, le Trèfle….). 500 salariés. ENVIE LORRAINE (Toul) recycle tous les matelas du Grand Est de la France. GRIS DECOUPAGE (Pont-à-Mousson) A 38 ans, Céline Gris a repris la direction de l’entreprise Gris découpage créée en 1984 par son père, Francis. D’emblée la jeune femme a imposé sa marque à la tête de la société leader européen de la rondelle découpée qui emploie 160 personnes sur trois sites dont deux en Lorraine. LE BRAS FRÉRE (Jarny) présent dans la Meuse et à Jarny avec 150 salariés. L’entreprise est spécialisée dans la couverture et les charpentes industrielles. Ces rois des échafaudages extrêmes ont obtenu le chantier phare de la colonne Vendôme (160 tonnes et 46 mètres de hauteur). NOREMAT (Ludres) et son véhicule polyvalent (déneigeuse, débroussailleuse…) Avec ce véhicule, la société a obtenu le prix de l’entrepreneur 2012. PERTUY CONSTRUCTION (Nancy) et son immeuble Quai Ouest à Nancy signé par Anne Demians. PHARMAGEST (Villers-lès-Nancy) accompagne historiquement les pharmaciens dans leur exercice et leurs nouvelles missions. SAINT-HUBERT (Ludres) après les pépites de chocolat dans la margarine, elle lance une gamme de desserts au soja. Elle est présente à Ludres depuis 40 ans et compte 115 salariés. Elle a investi plus de 10 M€ depuis 2010. TRACIP (Messein) est le laboratoire n°1 en France en investigation numérique pour les grands groupes et la justice. L’entreprise Tracip (Messein, Meurthe-et-Moselle) planche sur les affaires judiciaires les plus marquantes depuis plus de dix ans. VENATECH (Vandœuvre-lès-Nancy) est une entreprise à très forte croissance récompensée par la BPI, spécialisé dans les éoliennes. Elle a développé un produit qui permet d’optimiser leurs rendements.

MEUSE PIERRE ET HABITAT (Lavallée) travaille la pierre et restaure les monuments historiques. Elle a recréé le tympan d’une église à Metz et travaille sur les maisons du quartier Renaissance de Bar-le-Duc. BERNI (Verdun) un des leaders français de la fabrication de chorizo et charcuteries prétranchées. BOUCHERIE POLMARD (Saint-Mihiel) vendeur de viandes de bœuf pour les grandes tables étoilées et aux particuliers. CLAIR DE LORRAINE (Void-Vacon) conçoit et vend des produits lorrains. Elle a investi dans la modernisation de son outil de production pour produire du Perlé Mirabelle, framboise, cerise, groseille… et créé un bar dégustation, présent en Lorraine et Alsace. CMI (Commercy) a installé à Commercy un centre de formation après avoir remporté un marché de fourniture de tourelles de chars. EMC2 (Verdun) est une importante coopérative agricole. ESSILOR (Ligny-en-Barrois) produit en Meuse des verres très élaborés pour grands malvoyants. L’objectif est de doubler

LE BRAS FRÉRES (Verdun) installation de la nouvelle couverture du Panthéon, couvreur et charpentier, spécialiste de la restauration des monuments historiques. REALMECA (Clermont-en-Argonne) fabrique des pièces de haute technologie pour l’aéronautique et la défense.Il fabrique et assemble pour le compte de Thales, une dizaine d’éléments majeurs du Rafale dont le radar et produit aussi les têtes chercheuses de missiles.

PROCONSULTANT (Jouy-aux-Arches) Hervé Obed a créé ProConsultant, à la fin des années quatre-vingt-dix, sur le Technopôle de Metz. Il s’est spécialisé dans les solutions informatiques pour la gestion de chaînes de télévision. RENZ (Woustviller) s’est spécialisée dans les boîtes aux lettres intelligentes. L’entreprise compte 100 salarié pour un CA de 16 millions d’euros. SLY TAB’S (Faulquemont) Stéphane Bou veut créer le premier smartphone produit à Faulquemont, en Moselle Est. SMART (Hambach) La petite citadine produite en Moselle Est est vendue dans le monde entier et prend part de fait au rayonnement la région. VIESSMANN (Faulquemont) Il est le deuxième site du groupe allemand. En quarante ans, l’usine a su suivre l’évolution des technologies de chauffage. Après la maison mère située en Allemagne, l’usine mosellane est la plus importante.

SAFRAN (Commercy) fabrique des aubes et des carters des réacteurs de nouvelle génération pour Boeing Airbus et Comac.

ZOO (Amnéville) est le site lorrain le plus visité. Le zoo entièrement privé est aussi une belle entreprise, inventive et en mouvement.

SIÈGES COLLINET (Baudignecourt) fabrique des chaises de luxe pour les hôtels 4 et 5 *, une des dernières fabriques de meubles de la Meuse.

VOSGES

MOSELLE CLAAS (Woippy) Claas est n° 1 mondial dans le domaine des moissonneuses-batteuses et des ensileuses, tout comme celui des presses (20 % de parts de marché). Il est n° 2 pour le traitement du fourrage, n° 3 pour les tracteurs. MY MUSIC TEACHER (Sarrebourg) Franck Houbre n’a que 23 ans et espère révolutionner l’apprentissage de la guitare via Internet. My Music Teacher utilise les codes des jeux en ligne ou jeux de rôle et apporte du ludique aux traditionnels cours de musique. CIMULEC (Ennery) est le leader français des circuits imprimés dans le secteur de l’aérospatiale civil et militaire. L’entreprise a racheté l’été dernier Systronic en région parisienne et vise un gros développement à l’export. CRÉA-DIFFUSION (Solgne) Vingt-six ans de corian, cette matière créée par DuPont de Neumours dans les années 60 (70 % pierre, 30 % résine acrylique) devenue synonyme de luxe. Depuis Solgne. DODO (Saint-Avold) 20 000 couettes/ 25 000 oreillers par jour ; 600 salariés dont 350 à Saint-Avold. L’activité a été relocalisée de Slovaquie. E-FLUID (Metz) La filiale e-fluid du groupe UEM ne cesse de croître. Née en janvier 2013, de la conception d’un logiciel de gestion de clients par un petit groupe d’une dizaine d’employés de l’entreprise messine d’énergie. Depuis, le produit séduit le marché de français et la filiale ne cesse d’embaucher. Elle compte 120 salariés et en espère 250 à l’horizon 2023. ESCALIER SOMME (Dieuze) Leurs escaliers sur mesure ont une notoriété nationale. Société « créative et inventive » qui produit 450 escaliers par an pour un chiffre d’affaires de 2,8 millions d’euros. FM LOGISTIC (Phalsbourg) est une entreprise familiale de logistique qui compte 18 700 salariés sur 3 continents et un chiffre d’affaires d’un milliard d’euros. GAÏATREND (Rohrbach-lès-Bitche) Didier Martzel est devenu le numéro 1 français des liquides pour cigarettes électroniques. Sa société de150 salariés surfe sur un marché de 400 millions d’euros qui progresse de 8% par an. KUTHE (Woippy) Refroidir, climatiser, filtrer, ventiler ce sont les métiers de Kuthe installée à Woippy. Le tout pour l’industrie, l’armée, le nucléaire, la sidérurgie, la chimie. Cette PME de 53 salariés est l’exemple même de l’entreprise familiale, née en 1963, qui a su évoluer avec le marché. Elle exporte vers la Chine, le Qatar, la Russie… LABORATOIRES LEHNING (Sainte-Barbe) 80 ans d’existence pour ce grand nom de l’homéopathie et de la phytothérapie. Elle compte plus de 300 salariés. 35 tonnes de plantes sont réceptionnées chaque année, dont beaucoup viennent des Vosges, du Jura. Présence des produits Lehning dans 40 pays différents. 40 M€ de CA dont 39 % à l’export. MEPHISTO (Sarrebourg) 20 000 paires de chaussures soit 20 % de la production totale sortent de l’usine sarrebourgeoise. Elle compte 18 000 points de vente dans 86 pays et 600 salariés. MY APP (Metz et Luxembourg) Communiquer via son smartphone ou sa tablette avec un chirurgien en pleine intervention, où qu’il soit sur la planète ? C’est possible !

BLEU FORÊT (Vagney) est le roi de la chaussette estampillée bleu-blanc-rouge. 230 salariés. 5,5 millions de chaussettes et collants dont 30 % à l’export : la chaussette est devenue un accessoire de mode. DE BUYER (Le Val d’Ajol) produit des ustensiles de cuisine haut de gamme. 26 millions de CA, 1 million investi par an. 50 % de la production part à l’export. FROMAGERIE L’ERMITAGE (Bulgnéville) présente dans les Vosges, en Meuse et en Franche-Comté. GARNIER THIEBAUT (Gérardmer) produit du linge de maison. GLACES THIRIET (Eloyes) propose des surgelés, glaces, desserts…. HENRYOT ET CIE (Liffol-le-Grand) fabrique de meubles depuis 1867 (chaises, fauteuils, bergères, canapés, banquettes-lits, mobilier). IN BO (Les Voivres) Production très remarquée de lunettes et de vélos en bois. Un produit de luxe, très tendance qui fait fureur. LABELLEMONTAGNE (La Bresse) Le groupe Rémy est propriétaire de stations de ski, La Bresse dans les Vosges, et dans les Alpes. LAVAL (Liffol-le-Grand) fabrique des meubles. LE NAPPAGE MODERNE (Grange-sur-Vologne) propose des serviettes, nappes en papier. MERCIER-DAVID (Saint-Dié) est un fabricant dynamique de fenêtres et portes. MOUSTACHE BIKES (Golbey) réalise des vélos à assistance électrique. PAPETERIE CLAIREFONTAINE (Étival) est le leader français des cahiers d’école. RENÉ LACROIX (Sans Vallois) est spécialisé dans l’emballage, le carton et l’ imprimerie (3 sites dans les Vosges). SALVECO (Saint-Dié) est spécialisé dans la chimie du végétal. Ce laboratoire industriel conçoit, produit et conditionne des produits d’application d’hygiène, de nettoyage et de désinfection, tout en se dirigeant « vers la cosmétique. Salveco tisse de plus en plus de partenariats avec de grands groupes industriels, brevets à l’appui bien sûr. La Russie devient ainsi le cadre d’affaires, comme le Golfe arabique où la PME vosgienne vient de signer des contrats avec deux gros opérateurs : un gros distributeur de produits chimiques et une flotte aérienne privée. SEBELIER (Bleurville) fabrique des meules en grès. VENTRON CONFECTION (Ventron) créée par Bernard Charbonnier, ingénieur textile en 1979, la société est spécialisée dans la production à façon de linge de lit, de table ou d’ameublement. Elle produit 60 000 pièces par jour, destinées principalement à l’hôtellerie-restauration et aux collectivités. Elle emploie 140 salariés et réalise un chiffre d’affaires de l’ordre de 10 millions d’euros, dont 19 % à l’exportation. VOLETS THIEBAUT (Dommartin-sur-Vraine) propose une gamme complète de volets roulants avec 145 salariés et ce, dans un tout petit village. WM88 (Châtenois) réalise des cuisines et salles de bains, dressings. XILOPIX (Épinal) Installée à Épinal depuis 2011, le société compte 45 salariés. Elle développe un moteur de recherche basé sur le langage de l’image pour le e-commerce. Eric Mathieu, son fondateur, est l’un des chefs de file de l’économie numérique en Lorraine.


LE TROPHÉE ACORIS MUTUELLES

POUR NOUS, POUR ACORIS MUTUELLES, FIABILITÉ, SPÉCIALISATION, RECONNAISSANCE PROFESSIONNELLE, ACCOMPAGNEMENT ET CONSEIL, SONT LES CRITÈRES ESSENTIELS AUXQUELS UNE BONNE MUTUELLE SANTÉ SE DOIT DE RÉPONDRE. ET NOUS Y EMPLOYONS AVEC CONSTANCE DEPUIS PLUS DE 90 ANS. Ces qualités, acquises au fil du temps, nous ont permis de tisser des liens forts et un dialogue efficace et quotidien avec nos adhérents, qu’ils soient particuliers, travailleurs non salariés, ou entreprises. Avec un réseau de plus de vingt agences en Lorraine et Franche-Comté, Acoris Mutuelles est une mutuelle résolument régionale qui, depuis toujours, fait le choix de la proximité pour offrir à ses adhérents un service de qualité encore plus performant. Avec sa nouvelle gamme produits, individuelle ou collective, ses compétences en matière de prévoyance, d’épargne ou de retraite, ses trois établissements d’accueil sanitaire ou d’accompagnement, Acoris Mutuelles apporte son savoir-faire et toute son expertise dans chacun de ses métiers.

Gestionnaire du régime de Sécurité Sociale des travailleurs indépendants (RSI) avec sa partenaire Agir-Mutuelles, Acoris Mutuelles accompagne et conseille le professionnels en matière de protection santé, notamment dans la mise en place et la bonne conformité de la complémentaire santé obligatoire pour tous les salariés (Dispositif ANI). Le partenariat avisé, établi avec AG2R La Mondiale, renforce aussi la diversité de ses prestations. Il fortifie et mutualise harmonieusement les activités réciproques. Fidèle à ses engagements de solidarité, Acoris Mutuelles soutient depuis plusieurs années, « Le Rire Médecin », association qui intervient auprès des enfants malades dans les services pédiatriques.


VOUS L’AVEZ LU DANS LE RÉPUBLICAIN LORRAIN

REVUE DE PRESSE

PARMI LES NOMINÉS EN MOSELLE

Articles parus dans les colonnes de

À SOLGNE, CRÉA DIFFUSION INDUSTRIALISE LE CORIAN Chez Créa Diffusion à Solgne, les frères Delles manient le corian comme personne et mènent au bout les projets les plus fous. Nouveau défi : industrialiser son procédé et s’attaquer au marché des salles-de-bains d’hôtels. Vingt-six ans de corian, cette matière créée par DuPont de Neumours dans les années 60 (70 % pierre, 30 % résine acrylique) devenue synonyme de luxe. Depuis Solgne, Thierry et Laurent Delles font preuve d’un savoir-faire qui force le respect des plus grands designers et même de DuPont de Neumours, le concepteur du produit. Mais depuis trois ans, Créa Diffusion change de stratégie en industrialisant son procédé de fabrication. Le but ? Inscrire l’entreprise dans le long terme, anticiper sur la démocratisation et la copie du produit. « On passe de phases conceptuelles avec des designers qui trouvaient chez nous une capacité à innover, à la mise en place d’un procédé industriel », explique le dirigeant Thierry Delles. « Une nouvelle vision qui nous permet de démocratiser le corian et d’attaquer un marché très ciblé. » En l’occurrence celui des salles de bains d’hôtels 3 et 4*. Le sur-mesure, les réalisations exceptionnelles, le design à la carte pour les architectes fous et les stars… tout ce qui a fait la réputation et la force de Créa Diffusion depuis des dizaines d’années, les frères ne l’abandonnent pas. « Les onze salles du château de Versailles, la boutique Isseye Miyake à Paris, les tables Hermes pour Taiwan, l’hôtel Ivoire à Abidjan et ses 10 000 m² de corian, la Caviar house à la Madeleine, les escaliers, balustrades, murs, plafonds, salles de bains, cuisines… Tout ça, nous en sommes fiers, exprime Laurent Delles. Ça fait partie de notre histoire et c’est grâce aux designers qui nous ont soumis des projets improbables que nous avons réussi à développer notre savoir-faire». Le développement de leurs propres machines fait partie de leur politique. Comme la presse sous vide pour thermoformer le corian. La matière, une fois chauffée à 180°, devient aussi souple que de la guimauve. « Il n’y a que nous qui savons travailler le corian de cette façon». Le passé de menuisier des frères trouve tout son sens dans cette incroyable histoire, puisque les moules qui permettent de faire à peu près tout et n’importe quoi sont en bois. Une autre machine a nécessité dix ans de développement pour la fabrication de paillasses

pour hôpitaux. Créa a réalisé tous les plans de travail de Mercy et Robert-Schuman à Metz. Ce qui a fait de 2012 une année exceptionnelle en termes de chiffre d’affaires. 2013 et 2014 ont été plus difficiles, même si trois personnes ont été embauchées l’an dernier. Cette année devrait marquer la reprise. Deux fois moins de main d’œuvre : « Pour les hôpitaux, c’est le matériau idéal, décrit Thierry, non poreux, il permet une décontamination facile sans jaunissement… » Idéal pour la salle de bains, aussi. Ce qui n’a pas échappé au Bordelais Frédéric Guedon, un ingénieur « puissant, avec une vision de l’hôtel du futur », s’extasie Thierry. Pourtant, à trois reprises, les frères ont décliné ses propositions : un système de salle de bains haut de gamme tout en un pour hôtels 3* et 4* non normés. À l’arrière des panneaux de corian, la plomberie et l’électricité sont intégrés. Système Plug & Play comme l’appellent ses concepteurs. Ce qui permet de modifier de fond en comble une salle de bains sans multiplier les corps de métier : quatre fois moins de temps et deux fois moins de personnes ! « Des travaux secs, sans bruit, un temps d’arrêt pour l’hôtelier le plus court possible », décrit l’ingénieur. L’autre avantage, c’est la capacité de s’adapter à toutes les contraintes de la salle de bains. « Nous sommes partis du marché et de ses besoins, poursuit avec passion Frédéric Guedon. De quoi a besoin l’hôtelier ? D’un produit simple, écologique, rapide, durable. Que recherche le client ? Hygiène , simplicité et lumière ». Et une touche design, peutêtre. Les frères ont tout fait pour répondre à ce nouveau défi. « Notre produit colle à la demande avec un prix supportable. Pour Créa, c’est un vrai changement stratégique. » Quid de son image luxe ? « Elle demeure, mais le corian est beaucoup copié. La base a toujours rattrapé le haut. Nous, on conserve la qualité, propose un sur-mesure industrialisé et un savoir-faire inégalé ». Formule qui semble gagnante : 2 900 salles de bains installées en France et Europe et de plus en plus d’hôteliers demandeurs. Laurence SCHMITT.

UN BALLON THERMODYNAMIQUE POUR UNE EAU CHAUDE DIFFÉRENTE L’usine Viessmann de Faulquemont vient de se doter d’une nouvelle chaîne de production de ballons thermodynamiques. Un procédé écologique, économique et surtout inoffensif pour la santé.

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L’usine Viessmann de Faulquemont, qui emploie 520 personnes, vient de créer une nouvelle chaîne de production de ballons thermodynamiques. En clair, un ballon d’eau chaude sur lequel a été installée une petite pompe à chaleur. Si le concept existe déjà sur le marché, Viessmann a surtout voulu l’optimiser afin que celui-ci réponde aux dernières normes environnementales. Comme l’explique Pierre Dargacz, responsable fabrication et industrialisation du site : « On ne commercialise pas un produit, on conçoit des solutions ». Des solutions tout d’abord pour garantir une hygiène de l’eau. Les métaux lourds jadis utilisés dans la fabrication du système, aluminium ou nickel, ont été définitivement bannis du cahier des charges. Un protocole sanitaire respecté, avec également un souci permanent de préserver l’environnement. Car ces ballons thermodynamiques disposent de systèmes les rendant à la fois simples d’utilisation, mais aussi économiques. À la différence d’autres produits, conçus pour résister à une pression de six bars, ceux de Viessmann en supportent dix, voire plus. Des essais ont démontré qu’avec 25 bars, la coque thermoformée résistait encore

à la pression. « Avec un ballon ordinaire, entre 5 et 8 % de votre consommation d’eau part directement à l’égout. En fait, tout le surplus, au-delà des 6 bars, est évacué à l’aide d’une soupape. Cela représente environ 7 m³ par an. Nous nous sommes alignés sur les normes d’outre-Rhin et avons obtenu la certification du ministère de l’Ecologie allemand. » Pour un tel dispositif, il faut compter entre 3 500 et 5 000 €, avec, dans la foulée, une diminution de la consommation d’énergie, précise Marc Vigneron, président de Viessmann Faulquemont. Opérationnelle depuis août dernier, cette nouvelle chaîne de production a impliqué un coût de 600 000 € et a généré la création de quelques emplois. Selon Marc Vigneron : « La France ne représente pas grand chose sur nos ventes globales, environ 10 %. Nos produits sont distribués dans 74 pays avec de gros clients comme l’Allemagne ou l’Italie. L’usine de Faulquemont produit environ 200 000 ballons par an, et 8 000 thermodynamiques ».

Romuald PONZONI.


LE TROPHÉE CCI LORRAINE

CCI LORRAINE MOBILISÉE POUR FAIRE AVANCER TOUTES VOS ENVIES D’ENTREPRENDRE Regroupant les compétences des quatre CCI territoriales pour les mettre au service des 69 000 entreprises du commerce, de l’industrie et des services de la région, la CCI de Lorraine se veut le moteur d’une dynamique économique régionale gagnante. Elle se mobilise pour créer l’environnement favorable à la croissance des entreprises : Sa proximité : 10 antennes en Lorraine, 430 collaborateurs Sa présente à chaque étape : Création, transmission/reprise, développement, financement, stratégie, RH…

Une offre globale de 150 prestations et services Sa formation : une offre complète 1er Centre de Formation du Grand Est avec CCI Formation, plus de 10 000 personnes accompagnées. Ses Infrastructures : Comme l’atout des Ports de la Moselle canalisée Développement de la multimodalité et création d’un service de conteneurisation en lien avec les ports du nord et du sud de l’Europe.


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UNE SEMELLE CHAUFFANTE ET CONNECTÉE, CONÇUE À NANCY Karim Oumnia, créateur nancéien de Glagla, la chaussure ventilée la plus légère au monde,prend le contre-pied de son innovation en inventant la première semelle chauffante et connectée, pilotée par un smartphone. Bluffante ! Il a inventé la « Glagla », chaussure ventilée la plus légère au monde, vendue à plus de 200 000 paires chaque année dans 42 pays. Le Nancéien Karim Oumnia innove encore et continue à prendre son pied avec « Digitsole ». Une marque autant qu’un produit, qui pour l’heure n’est autre que la première semelle connectée et interactive au monde, pilotable sans fil en Bluetooth depuis un smartphone et issue de deux ans de recherches. « Il y a bien quelques rumeurs de projets ici et là. Mais rien de visible. La Digitsole conçue à Nancy, place Stanislas, en collaboration avec des électroniciens et informaticiens français, est bien une première mondiale », explique Karim Oumnia, qui rentre du Salon de l’outdoor à Salt Lake City, la Mecque mondiale des loisirs actifs, où tous les équipementiers du sport, de la rando et du trek se rassemblent. « Caterpillar est intéressé par notre projet, d’autres grandes marques de chaussures et vêtements également. La semelle, amovible et adaptable à plusieurs chaussures, est protégée par des brevets. Je voudrais en faire une licence comme Goretex ou Vibram », confirme l’ingénieur, qui depuis son iphone pilote la semelle de démonstration. Télécommandée Froid au pied ? En glissant un pouce sur l’écran, Karim

Oumnia fait passer la température de 0 à 25 °C. Pas assez chaud ? La semelle irradie en quelques secondes à 40 °C, d’une seule impulsion. Bluffant ! De quoi faire fondre la neige autour de ses bottes en peau de phoque, dans le Grand Nord canadien. Apple, le géant de Cupertino, l’armée américaine, sont également intéressés par le produit, qui est abouti et sorti de sa phase de développement : « La semelle se pilote pour la température, mais renseigne aussi sur l’altitude, le nombre de pas effectués en mètres, les calories consommées, les distances parcourues ». Un thermostat à l’intérieur du système miniaturisé bloque la résistance quand la température choisie est atteinte, histoire de maintenir l’autonomie. Le tout pour 120 g, moins lourd qu’une semelle amortie traditionnelle, qui peut monter à 180 g… Avec son intercalaire en Poron amortisseur de chocs, un insert en Neotec qui diffuse les vibrations, la « Digitsole » n’est pas née du jour au lendemain, de l’illumination d’un ingénieur geek. Il y a plus d’une dizaine d’années, Karim Oumnia a conçu une chaussure chauffante en collaboration avec Verney Caron, l’armurier et équipementier des chasseurs. Un produit piloté par un bouton sur la chaussure, qui est toujours en vente. « Nous avons une expertise en

chaussure qui a servi la conception de la semelle. Les grands fabricants ne veulent ni ne peuvent se lancer dans la microélectronique. Or le marché de la semelle connectée et interactive ne fait que démarrer et il faut être les premiers », précise Karim Oumnia. Dans cinq à dix ans, 10 % des chaussures seront connectées, sur 23 milliards de chaussures vendues dans le monde chaque année. Un marché exponentiel qui nécessite de très gros moyens, que la PME de 12 salariés, installée dans l’étage d’un immeuble de la place Stanislas, n’a pas forcément. L’innovation nancéienne, accompagnée d’une vidéo, a alors été lancée sur le plus gros site de financement participatif mondial. Avec Kickstarter, Karim Oumnia espère lever plusieurs millions d’euros. Le ticket d’entrée démarre à 1 €. Les plus généreux reçoivent une, deux voire ou trois paires de semelles interactives pour Noël 2014. Lancement industriel en 2015, avec le concours des labos du Commissariat à l’énergie atomique. Le très sérieux CEA a passé en effet un accord de partenariat avec Karim Oumnia. De quoi assurer un avenir supersonique à la « Digitsole ». Pascal SALCIARINI.

UNE STARTUP DANS LA COUR DES GRANDS Partenariat renforcé entre le leader mondial de la chimie et PAT, les « plantes à traire » de Laronxe

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Dans le langage courant, la société PAT (Plant Advanced Technologies) est devenue les « plantes à traire », une technologie inventée par quatre biologistes de l’ENSAIA travaillant à l’université de Lorraine et à l’INRA avant de fonder cette startup en 2005. Basée à Vandœuvre, elle s’est depuis développée jusqu’à employer une quarantaine de personnes aujourd’hui, son site de recherche et de production s’enracinant à Laronxe, dans les serres d’anciens terrains maraîchers, où elle dispose de 6 ha. Elle en occupe actuellement 2,5. Marchés pharmaceutiques et cosmétiques En 2010, PAT devenait le fer de lance de BioProlor qui, sous les auspices de la Région, a fédéré treize entreprises et laboratoires lorrains travaillant dans le domaine des biomolécules, l’objectif étant d’apporter des débouchés industriels à ces fameuses plantes à traire. Le but a été atteint avec l’ouverture de marchés pharmaceutiques (anticancer, anti-inflammatoire, anti-Alzheimer) et cosmétiques à travers l’utilisation et la mise en production de 200 espèces végétales sur le territoire lorrain. La convention signée hier après-midi ouvre de nouvelles perspectives à PAT, dont le partenariat avec le groupe BASF, sur les rails depuis 2014, a été officiellement acté. La protection des végétaux Un bond en avant pour la startup meurthe-et-mosellanne qui, après avoir travaillé pour la division cosmétique du leader mondial de la chimie (il possède une unité dédiée, BASF Beauty CareSolutions, employant 120 salariés, à Pulnoy), va investir le domaine de la protection des végétaux pour créer des produits destinés

à devenir les pesticides du futur. Des pesticides naturels issus de ces plantes à traire, l’enjeu étant pour BASF qu’ils atteignent les mêmes performances que les produits phytosanitaires conventionnels afin de pouvoir les proposer aux agriculteurs. Le leader mondial de la chimie, dont la maison mère se situe à Ludwigshafen, en Allemagne, à seulement 200 km de Nancy, engage donc deux autres de ses entités, BASF France et BASF Agricultural Products Europe, dans ce partenariat avec la startup lorraine. Cela au sein du consortium BioProLor, qui a été soutenu par la Région Lorraine à hauteur de 3,2 millions d’euros, et aujourd’hui conforté par le Pacte Lorraine. Né il y a 150 ans, le groupe BASF, lourd de ses 74 milliards d’euros de chiffre d’affaires et de ses 113 000 employés, fait aujourd’hui confiance à une pépite lorraine tout juste âgée de 10 ans, qui attend un chiffre d’affaires de 1,8 million d’euros. Catherine AMBROSI.

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LE TROPHÉE YZICO

QUE FAIRE ? COMMENT FAIRE ? AU-DELÀ DU CONSEIL… UNE DÉMARCHE TOURNÉE VERS L’OPÉRATIONNEL ! S’imposant comme un facilitateur d’affaires au sein de la nouvelle Grande Région ALCA, YZICO va bien au-delà de l’approche traditionnelle des métiers de l’expertise comptable, de l’audit, la paye, la fiscalité ou le droit des sociétés. YZICO réinvente l’approche du conseil pour mieux accompagner ses clients, entreprises et associations, sur la voie du succès. gie, ressources humaines, gestion de patrimoine…

Une large gamme de prestations : création, reprise/transmission, innovation, financement, stratégie, ressources humaines, gestion de patrimoine… Un acteur de proximité : présent dans le Grand Est et à Paris, 18 cabinets en France. Une logistique de performance : 300 collaborateurs experts dans leur domaine, un acteur majeur au cœur d’un réseau de 7 000 entreprises.


LE PROGRAMME COMPLET DE LA JOURNÉE

Les ailes de cristal

Les ailes de cristal

Jeudi 26 novembre 2015 | Arsenal Metz | 14h-18h entrée libre Jeudi 26 novembre l’Arsenal de Metz vivra au rythme de l’évènement économique lorrain de l’année. Un rendez-vous incontournable qui réunira le monde de l’entreprise pour l’attribution des Ailes de Cristal. Une distinction qui récompensera neuf acteurs économiques de notre région qui se sont distingués par la médiatisation nationale ou internationale de leur image. Un jury composé de journalistes de l’Est Républicain, du Républicain Lorrain, de Vosges Matin et de partenaires, après avoir sélectionné 75 entreprises nominées, a donc désigné les neuf lauréats de cette première édition.

ARSENAL METZ

Trois temps forts ponctueront cette journée exceptionnelle.

Jeudi 26 novembre 2015

Dès 14h, des Ateliers Experts seront organisés afin d’échanger avec les conseillers de la CCI Lorraine, de la chaîne d’appui et du RDI Lorraine, d’Acoris Mutuelles pour appréhender les effets de la généralisation de la complémentaire santé dans les entreprises au 1er janvier 2016, les experts-comptables du cabinet YZICO, les conseillers financiers du Crédit Mutuel, le Peel de l’Université de Lorraine avec ses étudiants entrepreneurs et beaucoup d’autres spécialistes de la gestion des sociétés.

LES ATELIERS-RENCONTRES EXPERTS ACORIS MUTUELLES

Des conférences seront programmées au fil de l’après-midi, avec le PeeL et son Grand Oral, Acoris Mutuelles sur la protection santé, RDI Lorraine sur le financement de l’innovation et le cabinet YZICO sur la Déclaration Sociale Nominative ou « La complexité de la simplification », toujours avec le souci d’accompagner les dirigeants d’entreprise face aux grandes réformes 2016.

AGIR MUTUELLES

Les conférences

CCI MAP CCI INTERNATIONAL LORRAINE

14h-15h : « Le Grand Oral du PeeL » animée par Christian MOREL et Christophe SCHMITT du PeeL, un tremplin à 10 étudiants porteurs d’un projet en émergence. La formule se veut originale : se confronter à un public large et qualifié pour faire progresser leur projet et emporter l’adhésion de celui-ci afin d’être élu meilleur projet de l’année. Le PeeL, Université de Lorraine est devenue en 2014-2015, l’Université la plus entreprenante de France.

CCI, ESPACE NUMERIQUE CCI FORMATION SYNERGIE LORRAINE INPI LORRAINE

15h10-16h15 : « La généralisation de la complémentaire santé pour tous les salariés en vigueur au 1er janvier 2016 » animée par Nicolas BASTUCK – rédacteur en chef adjoint de L’Est Républicain avec Gilles STRADELLA, Alain REMOND d’Acoris Mutuelles et Audrey LAMI du cabinet YZICO.

PLASTINNOV AGEME ISEETECH

16h30-17h30 : « Entreprises, quelles aides pour innover ? » animée par Christian MOREL – directeur de la communication du Républicain Lorrain avec Stéphane DRAPIER-BECHE, BPI Lorraine – Jean-François DORIAT, Conseil Régional de Lorraine – Guillaume SCHOUG, LNG Consulting et Thierry SIDOT, RDI Lorraine.

ÉCOLE NATIONALE D’INGENIEURS DE METZ RÉSEAU DE DÉVELOPPEMENT ET D’INNOVATION CHAINE LORRAINE D’APPUI A LA CRÉATION D’ENTREPRISES

17h40-18h40 : « La Déclaration Sociale Nominative : La complexité de la simplification » animée par Nicolas BASTUCK – rédacteur en chef adjoint de L’Est Républicain avec Jacques-Philippe CHEVALIER et Audrey LAMI du cabinet YZICO.

PEEL, UNIVERSITÉ DE LORRAINE CHAMBRE DE METIERS ET DE L’ARTISANAT RÉGION LORRAINE YZICO, CONSEIL & EXPERTISE

Enfin à partir de 19h, Les Trophées des entreprises lorraines « Les ailes de cristal » seront remis par les partenaires de cette soirée aux lauréats 2015.

CRÉDIT MUTUEL

RDI

Lorraine

Réseau de Développement et d’Innovation en Lorraine

CHAÎNE LORRAINE D’APPUI À LA CRÉATION D’ENTREPRISES

Par tenaire officiel

MEDEF Lorraine

CGPME

LORRAINE

Chambre de Métiers et de l’Artisanat Région Lorraine


LE TROPHÉE DES RÉSEAUX DE L'INNOVATION N ET DE LA CRÉATION D'ENTREPR PRISES SES

CRÉATION D’ENTREPRISE OU DÉVELOPPEMENT DE L’INNOVATION, UN DISPOSITIF POUR CHAQUE ÉTAPE

VOUS AVEZ UN PROJET DE CRÉATION/REPRISE LA CHAÎNE D’APPUI À LA CRÉATION D’ENTREPRISES À VOTRE SERVICE

Afin de stimuler l’économie régionale, la Région Lorraine, les Chambres de Commerce et d’Industrie et les Chambres de Métiers et de l’Artisanat de Lorraine ont créé deux dispositifs dédiés chacun à une étape clé de la vie de l’entreprise : la création et le développement par l’innovation.

- Un réseau de 14 partenaires qui accompagnent les porteurs de projets. - Une porte d’entrée unique par le biais des CCI et CMA - L’analyse de vos besoins par un diagnostic initial - L’accès à un éventail d’expertises - Un référent unique pour un suivi permanent avant, pendant et après la création

RDI

Lorraine

Réseau de Développement et d’Innovation en Lorraine

CHAÎNE LORRAINE D’APPUI À LA CRÉATION D’ENTREPRISES


REVUE DE PRESSE

VOUS L’AVEZ LU DANS L’EST RÉPUBLICAIN

PARMI LES NOMINÉS EN MEUSE

Articles parus dans les colonnes de

CLAIR DE LORRAINE AIME LA CERISE L’entreprise de Vincent Ferry décline sa boisson pétillante en perlé cerise griotte À la tête de Clair de Lorraine depuis plus de 20 ans, Vincent Ferry multiplie les initiatives pour valoriser et développer son entreprise et promouvoir à travers la France le terroir lorrain. Pour cela, il offre, grâce à des producteurs artisanaux lorrains, de multiples références, entre autres autour de la mirabelle. Son entreprise produit aussi ellemême une boisson spécifique : obtenu selon la méthode champenoise, le perlé existe depuis vingt-cinq ans et se décline à la mirabelle, groseille, framboise et au miel. Quelques mois après avoir repris les Madeleines de Liverdun, le PDG de Clair de Lorraine innove à nouveau. Cette fois dans son outil de production pour développer un nouveau perlé à la cerise griotte. « Nous avons 700 références que l’on vend dans nos boutiques et dans des espaces dédiés à l’intérieur des grandes surfaces jusqu’à Paris. Il y a deux ans avec le soutien du GIP Meuse et de la Région, nous avons investi dans un nouveau bâtiment, quatre cuves inox et une chaîne d’embouteillage moderne pour développer la fabrication de nos Perlés et en améliorer la qualité. Cela fonctionne très bien et nous produisons aujourd’hui 200 000 bouteilles par an. J’ai acquis deux nouvelles cuves et nous avons travaillé sur un nouveau perlé à la cerise griotte avec l’équipe de production et l’aide d’un œnologue. C’est un événement pour Clair de Lorraine. C’est la première fois que l’on sort un nouveau produit depuis plus de vingt ans »,

se réjouit Vincent Ferry. Le chef d’entreprise s’est appuyé sur son réseau de collaboration habituelle pour lancer cette nouveauté. Il travaille notamment avec VégaFruits qui a, entre autres, dans son catalogue de la cerise griotte lorraine qu’il est en mesure de fournir en quantité à Clair de Lorraine. Nous avons multiplié les essais pour parvenir à un produit équilibré. Il est réalisé avec 100 % de cerises et produit en quatre mois avec une fermentation alcoolique naturelle de trois semaines. Il se boit en apéritif ou au dessert comme les autres perlés », décrit Vincent Ferry. Ses deux collaborateurs Olivier Fassinot et Guillaume Thirion ont effectué la mise en bouteille de la première cuvée la semaine dernière. « Nous avons l’ambition de nous développer à l’international et au-delà du grand est de la France et de Paris où nous sommes présents. Ce produit complète notre gamme et est un argument pour nous adapter aux goûts des consommateurs. Nous avons présenté nos produits à Vinexpo à Bordeaux qui est le rendez-vous mondial de la boisson et du vin. Cela illustre notre ambition de jouer dans la cour des grands. Avec la crise, il n’y a pas de fatalité. C’est pourquoi, nous avons vraiment travaillé sur la qualité du produit avec une boisson pas trop sucrée et un parfum léger de cerise griotte », indique Vincent Ferry en goûtant sa nouveauté, signe que l’aventure Clair de Lorraine est plus que jamais dynamique. Sébastien GEORGES.

ANNÉE RECORD POUR EVOBUS ! Les élus de la communauté d’agglomération Meuse Grand Sud ont, hier, visité le site EvoBus de Ligny et constaté, par là même, sa florissante santé.

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Il a été rappelé l’année 2009, et son chiffre record de 971 unités produites sur les site Daimler Buses EvoBus France de Ligny-en-Barrois ; puis l’année 2010 où, sur le carnet de commandes, n’avaient été inscrites que 550 commandes, causant à certains employés une période de chômage partiel. Quatre ans plus tard, et malgré la grisâtre et générale morosité économique toujours d’actualité, l’usine d’assemblage EvoBus est apparue, hier, comme un arc-en-ciel annonciateur des beaux jours. Julien Calloud, directeur commercial d’EvoBus, dos à la flotte multicolore que constituent les 5 MercedesBenz Citaro qui viennent de renforcer le réseau TUB et face aux élus venus les inaugurer, et d’une pierre deux coups, visiter le site d’assemblage linéen, a dans un sourire éclatant, revendiqué le chiffre de 1 033 unités produites par le site cette année. Une prospérité qu’a applaudie des deux mains Bertrand Pancher avant de rappeler « la fierté de la communauté d’agglomération Meuse Grand Sud de compter parmi les clients fidèles de la société EvoBus depuis de nombreuses années » ; le parc autobus de la collectivité possédant, à ce jour, 26 véhicules « 100 % EvoBus ». Le président Pancher qui, à l’instar de ses collaborateurs, a visité le site d’assemblage linéen. Une visite conduite par Jacques Finot, exresponsable du service « Méthodes », désormais en retraite, et dont la pédagogie n’a eu d’égal que l’alacrité avec laquelle il s’est fait le chantre du savoir-faire linéen. L’homme, symbole de

la forte culture d’entreprise qui règne dans les locaux du chemin du Stade, a rappelé le nombre d’heures de travail nécessaires à la fabrication d’un « véhicule standard » : 360 ! Mais aussi, les progrès technologiques qui permettent « de ne recenser que 3,5 kilomètres de fils pour un bus en 2014, contre 6,5 km en 1980 ». Autant d’anecdotes qui ont balisé cette visite tout au long de la ligne de montage linéenne, « d’où sortent de très bons produits, résultats d’un bassin de compétences énorme », dixit Julien Calloud ; lequel a ajouté, sous le regard bienveillant de Jörg Wolf, directeur du site depuis seulement cinq mois, « qu’une réflexion est en cours pour optimiser le potentiel du site de Ligny qui pourrait voir augmenter sa capacité de production, dont actuellement 90 % sont destinés au marché français », et de conclure : « Ce succès, est dû aux produits, certes mais avant tout à ceux qui les fabriquent ». Mathieu BONIS.


LE TROPHÉE CRÉDIT MUTUEL

LE CRÉDIT MUTUEL LES SOLUTIONS PRO Banque mutualiste et coopérative, le CRÉDIT MUTUEL place l’humain au cœur de tous ses projets. Dans cette optique, la banque « qui appartient à ses clients » a une vocation naturelle à être le partenaire des entreprises (PME/PMI). Quel que soit leur secteur d’activité (commerce, industrie, profession libérale), elle accompagne les porteurs de projets sur la voie du succès. Acteur majeur auprès des PME, le CRÉDIT MUTUEL se distingue par une approche différente et la mise à disposition d’outils spécifiques pour les professionnels.

La culture de la proximité : Un réseau de 2 000 agences, plus de 120 caisses de CRÉDIT MUTUEL en Lorraine Un accompagnement personnalisé : création, reprise, transmission… Les solutions PRO : des outils gain de temps - Suivi de compte simplifié - Gestion de trésorerie - Financement de projets - Assurances : activité, équipement, protection des collaborateurs. Partenaire de l’Agence pour la création d’entreprises et de BPI France


REVUE DE PRESSE

PARMI LES NOMINÉS VOUS L’AVEZ LU DANS VOSGES MATIN

DANS LES VOSGES

Articles parus dans les colonnes de

IN’BÔ TOUCHE DU BOIS Quatre anciens étudiants de l’ENSTIB et un de génie thermique du bâtiment ont associé leur savoir pour fabriquer des lunettes, des skates et des vélos en bois. En patois vosgien, In’Bô veut dire le bois. Une appellation que les créateurs de l’entreprise n’ont évidemment pas choisie par hasard. Pourtant, ni les uns ni les autres ne sont Vosgiens d’origine. Les cinq jeunes chefs d’entreprise viennent de Normandie, de Picardie, de PoitouCharentes (2) et de Haute-Savoie. Néanmoins, ils tenaient à cette identité vosgienne. D’autant qu’en bouclant leurs études d’ingénieur à l’ENSTIB (école nationale supérieure des techniques et industries du bois) et d’une école de génie thermique du bâtiment, ils ont bénéficié d’aides qu’ils n’auraient pas rencontrées ailleurs. Par le biais de la couveuse d’entreprises, Pierre Thomas Leclaire, Quentin Le Jannon, Antoine Cochennec, Robin Feron et Aurèle Charlet n’auraient certainement pas posé leurs valises et leur savoir -faire aux Voivres. « Ce soutien financier et logistique nous a permis de nous focaliser sur notre travail et nos produits. On doit être l’entreprise française la mieux accompagnée », précisait le dernier nommé. qui ne cache pas non plus que depuis que la société In’Bô fonctionne (2013), ses associés ne perçoivent pas le moindre salaire. Heureusement, une opération de financement participatif sur Internet a apporté une belle bouffée d’oxygène. Pour autant, les cinq potes ne désarment pas. A l’inverse, ils avancent, sans se retourner, parce qu’ils croient dur comme fer à la viabilité de leur affaire. Il faut dire aussi qu’ils mettent tous les ingrédients dans la « marmite » pour arriver à leurs fins. Et ainsi retirer quelques subsides de leur

travail. Mais, une chose est sûre, l’argent n’est pas leur moteur principal. Ils veulent juste que leur production d’objets en bois et en bambou (skate, vélos et lunettes) trouve sur le marché la place qu’elle mérite. L’ouverture d’un site de ventes en ligne en juillet dernier va dans le sens espéré. Une cinquantaine de boutiques commercialise désormais In’Bô, et ce n’est qu’un début. D’autant que de nouveaux modèles de lunettes et de skates viennent de sortir de l’atelier des Voivres. Où le coup de main des différents intervenants fait le plus souvent la différence, même si les machines tiennent une bonne place. Il reste que pour « usiner » un cadre de vélo en bambou, l’intervention manuelle est la seule garante d’un résultat positif. C’est bien pourquoi il faut entre deux et trois semaines pour mettre la bicyclette, d’un esthétisme incroyable et d’une réactivité garantie, sur ses deux roues. Même constat pour les lunettes (800 paires vendues l’an passé) et les planches à roulettes. In’Bô et ses jeunes dirigeants touchent du bois, mais leur persévérance et leurs qualités les conduiront au succès. Ils le méritent. Claude GIRARDET

BLEUFORÊT, LE MADE IN VOSGES Spécialisée dans la chaussette et le collant, l’entreprise installée à Vagney défend la fabrication française haut de gamme.

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BleuForêt, la marque déposée de Tricotage des Vosges à Vagney maintient le cap. Sans dévier de sa trajectoire qui s’articule autour d’une fabrication 100 % française. En fondant la société en 1995, Jacques Marie en a décidé ainsi. Vingt ans plus tard, rien n’a changé. Parce que BleuForêt tient à défendre le « made in France » et surtout le « made in Vosges ». Bien sûr, tout cela a un coût. D’autres n’ont pas ce genre de scrupules et sacrifient trop souvent la qualité. Chez BleuForêt, on met tout en oeuvre pour ne pas quitter le pays. Mieux, après avoir racheté Olympia il y a quelques années, la société voinraude a déjà rapatrié un segment de la même entité Olympia qui se trouvait à l’étranger. D’ailleurs, la centaine de machines en service dans les ateliers de Vagney « roule » aussi bien pour Bleuforêt que pour Olympia. « On ne fait pas de différence », concède André Leidelinger, le directeur de production qui a commencé comme régleur avant de prendre diverses responsabilités au fil des ans. Quand il aborde le chapitre chaussette ou collant, André Leidelinger sait de quoi il parle. Il s’appuie évidemment sur une parfaite connaissance de la matière première, de la fabrication et du produit fini. Dirigé par VincentMarie le fils de Jacques, BleuForêt s’appuie certes sur des produits haut de gamme, mais aussi sur

la qualité de son personnel. Régleurs et bonnetiers constituent les forces vives de Tricotage des Vosges. Et ce, depuis le début. Une constante que l’on retrouve dans bon nombre d’entreprises du département. Autant d’atouts complétés par une excellente maîtrise de l’outil informatique. « L’informatique globalise nos besoins », précise André Leidelinger. En amont, en aval, comme dans la production, l’ordinateur est au cœur du quotidien de l’entreprise. Rien de surprenant, bien sûr. Il reste que par ce biais, BleuForêt gère de façon rationnelle et « au plus juste » sa matière première et ses ventes. Et, comme tout est fabriqué sur place, l’entreprise vosgienne n’est jamais prise au dépourvu. « On adapte notre production à la demande sans le moindre souci et en étant toujours très réactif », confirme André Leidelinger. Lequel insiste également sur le soin tout particulier apporté aux conditions dans lesquelles travaille le personnel. Dont la technicité est évidemment connue et reconnue. La force vive de BleuForêt qui souhaite développer son activité à l’export. Claude GIRARDET.


LE TROPHÉE MARCOTULLIO RÉCEPTIONS NSS

MARCOTULLIO, L’ÉMOTION DU GOÛT Artisan du goût, Marcotullio Traiteur de France déploie son art pour faire de votre évènement une symphonie de goûts qui étonnent et séduisent.

Une large gamme de prestations • Marcotullio Réceptions : de l’intimiste au sur-mesure • Marcotullio Luxembourg : la nouvelle entité by M • Le Casier aux Saveurs : Les réceptions à domicile

L’esprit « Haute goûture » Au-delà d’un service, le sur-mesure by Marcotullio traduit la philosophie qui imprègne leurs prestations. Générosité et écoute du client sont au cœur d’une partition où les saveurs sont autant de notes à faire chanter… traditionnelles, avant-gardistes, parfois tout en malice mais toujours authentiques !

• Marcoburo : Service de livraison de plateaux-repas, box déjeuner et coffrets cocktail • Le Château d’Art-sur-Meurthe : un lieu d’exception du 18ème siècle Créative par nature, Marcotullio est aussi une entreprise engagée dans une démarche citoyenne. Signataire du pacte contre le gaspillage alimentaire. L’objectif 2016 est la norme ISO 20121


LE TROPHÉE LE RÉPUBLICAIN LORRAIN L'EST RÉPUBLICAIN VOSGES MATIN

L’EST REPUBLICAIN, LE REPUBLICAIN LORRAIN, VOSGES MATIN PLUS DE 1,1 MILLION DE LECTEURS CHAQUE JOUR... L’audience réunie des trois quotidiens lorrains constitue,

outil de communication unique, mixant la couverture

en cumul, le support médiatique le plus important de

locale au rayonnement régional. Chaque matin, les

Lorraine. L’Est Républicain (Lorraine, Franche-Comté)

informations rédigées par près de 400 journalistes

545000 lecteurs par jour, Le Républicain Lorrain

balaient les différents niveaux de territorialité, des

483000 lecteurs et Vosges Matin 133000 lecteurs,

informations internationales et nationales au maillage

tel est l’impact des journaux de notre région (étude

de la micro locale, la presse quotidienne régionale

One audipresse 2014). Une pénétration (nombre de

reste incontournable sur le plan de l’actualité politique,

lecteurs en rapport avec le nombre d’habitants) parmi

économique, culturelle et sportive. Support tout aussi

les plus prégnantes

de France avec les journaux

performant pour la publicité et la communication mis à

alsaciens et bretons. La dynamique générée par ces

la disposition du monde du commerce, de l’entreprise,

supports de presse écrite renforce la puissance d’un

de l’industrie et des collectivités territoriales.


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