Guide Roland Gestion de la Couleur by RolandDgFrance

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GUIDE ROLAND impression & découpe Technologie de construction, applications et marchés des périphériques d’impression et découpe Roland. Un guide complet pour comprendre, approfondir et proposer les meilleures solutions de communication visuelle.

Guide Roland impression & découpe

Introduction à la technologie impression & découpe Roland Roland a produit le premier plotter d’impression & découpe en 1995. C’était un plotter à transfert thermique, avec une unité de découpe incorporée et il transférait la couleur de la quadrichromie en la fondant sur le vinyle. La possibilité de faire une pièce unique en adhésif et de la détourer dans la forme désirée fut une révolution. Depuis lors, cette technologie a toujours été perfectionnée jusqu’à aboutir aux actuels systèmes d’impression & découpe avec des encres métalliques qui avertissent même l’opérateur de leur état ou des périphériques impression & découpe avec des encres UV pouvant imprimer même des vernis transparents pour avoir les mêmes effets que la sérigraphie. Bref, un long parcours, fait d’échanges de technologies et de mises à jour, mais aussi riche d’expériences et de charme, sillonné de milliers d’utilisateurs, de centaines de rencontres, de nombreuses expositions, d’échanges d’expériences de travail, de problèmes et de solutions, de techniciens japonais qui nous ont toujours suivis dans cette aventure enthousiasmante et qui ont contribué à l’évolution des périphériques. A l’âge d’Internet, l’information est facile à repérer, mais elle est souvent fragmentée et parfois elle manque d’une réponse influente que seule l’expérience de celui qui travaille avec ces périphériques et de celui qui les a créés peut garantir. C’est pourquoi nous avons pensé recueillir dans ce guide toutes les informations qui sont généralement utiles pour celui qui commence à travailler avec un périphérique impression & découpe, mais très utiles aussi pour le vétéran qui désire peut-être transmettre sa connaissance à de nouveaux collaborateurs de son entreprise, qu’il s’agisse de ses enfants, ses petits-enfants ou de nouveaux employés, ou tout simplement rafraîchir ses compétences. Le guide prévoit un cursus complet : en partant de la production du fichier, il illustre les procédures et les applications réalisables avec un périphérique impression & découpe Roland. Mais il y a plus. Nous avons inséré aussi des approfondissements sur les parties accessoires mais fondamentales d’un processus d’impression, comme la finition du graphisme. On y trouvera en outre des explications sur les technologies employées dans le processus de production. L’utilisation d’un périphérique impression & découpe présente différents atouts : économie de temps et de coûts, rapidité de travail, extrême personnalisation du graphisme. Connaître cela et les différentes ficelles du métier sans perdre la tête pour chercher les informations nécessaires, voilà un élément fondamental pour pouvoir profiter au maximum d’un périphérique de ce genre. Bonne lecture ! Vittorio Neri et Daniele Cogo

Guide préliminaire

TABLE DES MATIERES Impression & découpe Avantages et applications

Les encres 7

La solution qu’il faut Comment fait-on ? Ce qu’on peut faire avec un périphérique impression & découpe

Les parties d’un plotter Roland

Les nouveautés technologiques qu’il faut connaître

Les matériaux et le laminage 15

RIPC - Roland Intelligent Pass Control Roland OnSupport Encre métallique

Créer le fichier pour l’impression et la découp

Tecniques et applications 22

Roland VersaWorks: ses principaux atouts en quelques lignes Que se passe-t-il à l’intérieur du RIP Roland VersaWorks Qualité d’impression et paramétrages de la couleur

La Roland Color System Library

Vinyles adhésifs calandrés Vinyles cast Matériaux thermo-transférables PVC rétroéclairé Banner Papier Blueback Mesh One way Canvas ou toile de peinture

Comment utiliser les revêtements transparents liquides Comment utiliser les films laminés Impression, laminage et découpe avec Roland Quadralign

Créer un échantillon CutContour avec CorelDRAW® Créer un échantillon CutContour avec Illustrator® Travailler avec un fichier Photoshop®

Qu’est-ce que le RIP Roland VersaWorks

Comment choisir les supports d’impression 42

Revêtements et films laminés

Les programmes à utiliser Graphisme bitmap / Graphisme vectoriel

Réaliser le parcours de découpe

Roland DG Care Roland DG Academy

L’histoire de Roland dans les périphériques impression & découpe

Un aperçu des encres ECO-SOL MAX La durée de l’encre Rendement Adaptabilité

On imprime ! On découpe ! Le logiciel RIP Roland VersaWorks

Les services fournis avec un plotter Roland

Base solvant: éco-solvant et solvant pur Base eau: dye et à pigments Encres UV Encres à sublimation Encres métalliques

Partons du fichier L’électronique à bord L’avance du support

Au travail

Les types d’encre

Graphismes vitrines Vêtements personnalisés Graphismes au sol Personnalisation de véhicules

55 61 65 69

Impression & DĂŠcoupe

Guide préliminaire

Avantages et applications

Ce chapitre s’ouvre par une introduction dédiée aux aspects fondamentaux des applications d’impression & découpe, essentiellement réalisées sur support vinyle adhésif. On découvrira, pas à pas, les procédures les plus communes pour réaliser des travaux d’impression & découpe et on apprendra comment créer un fichier numérique, tout en acquérant les connaissances indispensables sur les supports d’impression, les protections à appliquer, les encres employées dans l’impression & découpe à jet d’encre et les différents types d’applications possibles.

La solution qu’il faut Rien n’est aussi difficile que cela peut paraître au premier abord. Quand on ne connaît pas un sujet, il peut en effet paraître difficile mais, au fur et à mesure que l’on avance dans la connaissance des différents éléments, on comprend mieux les potentiels du périphérique Roland d’impression & découpe. Donc, nous vous invitons vivement à ne pas vous arrêter aux premières difficultés qu’une nouvelle expérience apporte inévitablement avec elle. Nous pouvons vous garantir que la solution d’un processus qui peut paraître difficile et dispendieux en terme de temps, peut en réalité se révéler plus simple qu’on ne l’imaginait. L’intégration de la procédure d’impression sur vinyle et l’opération de découpe qui suit confère un avantage significatif dans les opérations de production graphique pour différentes raisons. Avant tout parce que la phase de recharge d’un périphérique d’impression à un périphérique de découpe est éliminée. Tout est géré par un seul logiciel et le réglage entre la phase d’impression et la phase suivante de découpe a lieu automatiquement. Le logiciel RIP Roland VersaWorks, fourni avec le périphérique d’impression & découpe, gère de manière automatique l’envoi du fichier d’impression et la découpe successive. La précision du périphérique garantira le résultat final. Le caractère ergonomique du système augmente la productivité totale et simplifie aussi bien les opérations d’apprentissage que celles de travail. Un seul périphérique représente ensuite un gain concret d’espace utile qui, on le sait bien, peut représenter un problème là où les laboratoires ont des contraintes d’espace. En exécutant tout le processus de travail avec un seul périphérique on réduit considérablement les erreurs de mise au point, de chargement du support, d’envoi de fichiers et la présence constante de l’opérateur n’est plus nécessaire pendant toute la phase de ces opérations. Pas mal, n’est-ce pas ?

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Comment fait-on ? La question qu’on se pose souvent devant une application particulièrement attrayante est bien : “Mais comment fait-on ?” C’est une question que se posent aussi les professionnels du graphisme et elle représente le point de départ pour stimuler notre imagination et notre créativité. Par le passé, la réponse devait être cherchée dans des processus de travail longs et élaborés : peinture à la main, aérographie, application de couches de vinyle, masquage et finition avec le risque cependant de ne pas réussir à arriver au résultat souhaité. Aujourd’hui, la technologie d’impression numérique de grand format et surtout celle d’impression & découpe a changé complètement la façon de produire un graphisme. Nuances, chromie, passages de tons, profils particuliers et à vif, graphisme en une seule pièce : tout cela peut être réellement créé en un seul passage avec des temps rapides et de façon certainement plus facile. En outre, le graphisme créé peut être imprimé sur un vaste éventail de matériaux, élargissant les possibilités de réalisation et permettant d’aller explorer de nouveaux marchés par rapports aux marchés standard.

Ce qu’on peut faire avec un périphérique impression & découpe L’adhésif imprimé et découpé peut être en effet appliqué sur des supports d’impression, adhésifs ou non adhésifs, les plus disparates et dans différents contextes : des vitrines aux intérieurs, de la signalisation de tout type jusqu’aux véhicules, ou bien thermo-transféré sur des vêtements de travail, des t-shirts et des casquettes. Il peut être dômé (doming) et appliqué sur des porte-clés, des gadgets, ou encore des réservoirs de moto, des casques et des objets similaires. Il peut être assorti à des strass, pour des applications vraiment uniques. Il peut être imprimé et appliqué au sol pour réaliser ce qu’on appelle communément des floor-graphics. On peut l’utiliser pour personnaliser un point de vente. On peut l’utiliser pour réaliser des prototypes de packaging ou mock-up. La technologie print&cut Roland permet d’imprimer même sur des PVC semi-rigides sans adhésif pour réaliser des objets qui se montent quand ils sont détachés de leur support (grâce à l’outil de découpe) ou des cartes de visite ou des étiquettes rigides. En revenant sur l’adaptabilité d’un périphérique impression et découpe, elle réalise aussi ce qu’une normale imprimante de grand format produit normalement : posters, panneaux, étendards, fine art. Un périphérique print&cut est aussi un plotter de découpe et donc en travaillant avec un vinyle coloré on peut couper des lettrages, des enseignes, des logos et des masques pour sérigraphie et gravure au jet de sable. A l’intérieur du guide, nous allons voir comment imprimer et découper un fichier graphique. Les atouts d’un périphérique print&cut Roland sont : adaptabilité sans égal, investissement immédiatement amortissable, possibilité de le piloter à l’aide d’un seul logiciel, compacité et faible consommation énergétique, qualité de réalisation élevée et plus productive, si on le compare aux solutions combinées.

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Les parties d’un plotter Roland Partons du fichier Pour nous rendre compte de la technologie qui est en jeu pendant l’élaboration et l’impression d’un fichier graphique, suivons le parcours qu’il suit une fois qu’il « quitte » l’application avec laquelle il a été réalisé pour arriver à l’impression. De l’application graphique (CorelDRAW™, Adobe Illustrator™ ou autre) le fichier passe au RIP d’impression, le logiciel de gestion du périphérique qui, dans notre cas, est Roland VersaWorks. Dans cette phase, l’image est traitée aussi bien au niveau du paramétrage (position, nombre de pièces à imprimer, etc.) qu’au niveau du profil couleur. A partir du RIP nous choisirons en effet le profil adapté au matériel utilisé de façon à ce que les courbes de couleur et la quantité d’encre soient correctes. Le RIP nous permet en outre de contrôler différents paramètres de travail : la température du plan de travail, les passes d’impression, la résolution, les queues d’impression (quand on travaille avec des matériels ou des périphériques différents) et, surtout, les paramètres de découpe. Le RIP, une fois qu’il a reçu le fichier et les paramètres avec lesquels travailler, élaborera un fichier bitmap qui représente l’image à imprimer et un fichier vectoriel qui définit le vecteur de découpe. VersaWorks est un logiciel très complet pour la gestion des impressions. Une caractéristique extrêmement utile est la possibilité d’imprimer des échantillons de couleurs sur les différents types de support utilisé: notre client pourra choisir la couleur souhaitée et être sûr que la même tonalité identique sera reproduite sur son impression finale. Un progrès dans un monde où souvent le rendement de la couleur est laissé à la situation contingente!

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L’électronique à bord Quand on enverra le fichier du RIP à l’impression, la machine élaborera d’abord la partie bitmap. Il est important que le type d’interface adopté et la carte de gestion des données puissent gérer des fichiers de grandes dimensions, pour éviter des embouteillages ou des pertes de données. C’est pourquoi Roland a doté ses périphériques d’interfaces Ethernet fiables et de cartes de gestion du flux des données améliorées. La mainboard (carte mère) gèrera donc les paramètres d’impression en envoyant les signaux opportuns aux moteurs, au système d’avance du support et à la tête d’impression, pour la gestion du point de trame imprimé et des passes d’impression.

L’avance du support En phase d’impression il est fondamental que le support avance de façon homogène et fluide, prévenant les secousses ou la mauvaise tension du support. Un bon périphérique impression & découpe doit donc prévoir un système fonctionnel de chargement du rouleau et un système barres/plateaux porte rouleau pouvant faciliter le déroulement du support. Le matériau sera tenu par des roulettes de pression, qu’on appelle dans le jargon “pinch roller”. Généralement les pinch roller extérieurs ont une forme conique pour tendre la feuille, alors que les pinch roller intérieurs ont une forme circulaire pour assurer une pression homogène sur le matériau. Contrairement aux périphériques d’impression seule, dans l’impression & découpe on utilise des pinch roller en caoutchouc séparés, à cause de la pression élevée nécessaire pour maintenir stable le matériau en phase de découpe. Un autre aspect important est le rouleau crénelé sur lequel le support, pressé par les rouleaux, défile. Le diamètre de ce rouleau doit être parfait, pour ne pas introduire de variations d’avance qui compromettraient la précision de la découpe (un rouleau non parfaitement circulaire mais légèrement ovale causerait une erreur de glissement à cause d’un pas non homogène). Les moteurs aussi sont généralement « servo » contrôlés par un circuit de feedback pour assurer toujours un entraînement parfait. Courroies en kevlar, paliers linéaires de haute précision et câblerie hautement résistante complètent les parties du système d’entraînement d’un plotter Roland.

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Au travail On imprime ! La phase d’impression commence d’abord par la chauffe du support, de façon à ce que les pores soient prêts à recevoir l’encre. L’impression véritable a lieu sous le chariot d’impression. D’habitude un chariot d’impression est composé de deux, quatre ou six têtes, chacune avec sa couleur et sa rangée de buses qui “éjectent” les gouttes d’encre sur le support. Roland utilise pour ses têtes la technologie piézoélectrique, qui assure une excellente précision de la goutte, sans satellites et parfaitement dimensionnée. Roland a récemment adopté la technologie Roland Intelligent Pass Control sur toute la gamme de ses imprimantes. Comme l’indique son nom, cette fonction agit sur la passe d’impression afin d’harmoniser les tailles de point de la passe même comme celle qui a été imprimée successivement. Le contrôle de la passe d’impression nous permet d’augmenter la qualité d’impression et la productivité, car on peut même se hasarder à utiliser des vitesses plus élevées sans risque de détérioration du graphisme. L’impression étant effectuée, le matériel passe sur un sécheur, généralement intégré dans la machine, qui sèche rapidement l’encre et élimine les éventuels résidus volatiles. Les températures de chauffe et des sécheurs peuvent être gérées par l’opérateur selon le type de support qu’on désire imprimer. On peut gérer un temps de séchage avant de passer automatiquement à la phase de découpe.

L’entretien du périphérique Un autre facteur important est le nettoyage des têtes qui, en phase d’impression, peuvent recueillir de la poussière et des résidus pouvant compromettre la qualité de l’impression. Roland a prévu des cycles de nettoyage automatiques et manuels. Des bâtonnets de nettoyage spécifiques sont en effet fournis et les logements de la tête et de la station de capping sont rapidement accessibles par l’utilisateur.

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On découpe ! La découpe du graphisme a lieu en rembobinant le support imprimé et en élaborant le fichier vectoriel qui décrit le profil du graphisme. Le plotter coupera les contours des graphismes en optimisant le parcours de découpe de façon à suivre l’opération de détourage le plus rapidement possible. Après l’impression, le graphisme peut être laminé et ensuite rechargé sur le plotter. C’est le cas, par exemple, des graphismes à appliquer sur les véhicules : étant soumis à de considérables agressions extérieurs (solvants, brosses, hydrojets) ils ont besoin d’une protection appropriée. Le plotter imprime des points de repère (Roland Quadralign) et, quand la feuille est chargée après la lamination, les repères sont lues par un capteur spécial. Le système Roland Quadralign adapte le fichier de découpe en corrigeant même les éventuelles erreurs de dimensions introduites par la lamination, pour obtenir le résultat optimal.

Comment le plotter Roland découpe-t-il ? La découpe du vinyle a lieu au moyen d’une lame pivotante logée à l’intérieur d’un porte-outil qui gère même sa sortie, selon l’épaisseur du matériau utilisé. Les porte-outils sont composés de paliers de haute précision de façon à ce que la lame pivote parfaitement en suivant le fichier de découpe. Les lames peuvent avoir des formes différentes selon le matériau pour lesquelles elles sont utilisées. Roland en met à disposition toute une série dans son catalogue pour la coupe des matériaux les plus disparates, toutes en carbure cémenté avec des offset (distance entre le centre de la lame et la pointe du tranchant) différents. Le porte-outil est installé sur un chariot de découpe, qui avec le chariot des têtes représente la partie en mouvement horizontal. Le chariot de découpe est formé d’un solénoïde et d’une partie mécanique de glissement où le mouvement Up/Down du porte-lame est géré de façon à ce que le point d’attaque (la découpe et le détachement du matériau) soit toujours fluide et homogène. On observera que, si on imprime sur rouleau, on peut même programmer la découpe du support à la fin des opérations, de façon à ce que l’impression soit prête pour être immédiatement utilisée. Les plotters Roland, en effet, sont tous équipés d’un massicot de fin de feuille.

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Le logiciel RIP Roland VersaWorks Comme nous l’avons déjà vu, le logiciel RIP est un des composants principaux pour le bon fonctionnement du plotter impression & découpe. Avec VersaWorks, Roland a atteint une adaptabilité et une facilité d’utilisation vraiment élevées. Ceci, grâce au fait que Roland développe lui-même le RIP, qui peut donc exploiter au maximum le potentiel de la machine et être constamment mis à jour grâce au feedback rapide des utilisateurs. VersaWorks a un nouveau CMS interne et un moteur graphique Adobe de la dernière génération, pour des passages de tons surprenants et des nuances sans décalages. La fonction serveur permet de gérer plusieurs périphériques Roland, y compris les plotters de découpe. En outre, la gestion des données variables, offre la possibilité d’imprimer des adhésifs personnalisés uns à la fois sur le même tracé graphique, en gérant tout simplement une base de données avec des textes et des images. VersaWorks est en français, il se met à jour automatiquement via internet et il est doté d’une puissante bibliothèque de profils ICC, régulièrement mis à jour et enrichis par Roland sur son site.

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Les services fournis avec un plotter Roland Roland DG Care Les caractéristiques et les performances sont importantes. Mais il est tout aussi important qu’on puisse compter à tout moment sur une entreprise toujours présente et puis, pourquoi pas, pouvoir partager son expérience quotidienne avec la communauté Roland partout en France. Pour ce faire, Roland offre, avec ses produits, un système d’entretien exclusif effectué par des techniciens agréés qui prend le nom de Roland DG Care.

Roland DG Academy et Revendeurs Roland Chaque machine impression & découpe Roland est accompagnée d’un cours technique à la Roland DG Academy. Le cours permet à l’opérateur de mieux connaître le périphérique Roland et aussi de découvrir avec les enseignants les astuces, les raccourcis, des ressources et avoir une vision complète sur l’impression numérique. Une valeur ajoutée unique que seul Roland offre. A ne pas oublier non plus le réseau de revendeurs Roland, chacun d’entre eux est spécialisé aussi bien en technique qu’en exploitation, en offrant des conseils sur les matériels et les types d’accessoires, ainsi qu’au niveau financier, en suggérant des solutions de location et de vente faites sur mesure pour répondre aux exigences de l’acheteur.

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L’histoire de Roland dans les périphériques impression & découpe Roland a une histoire dans la production de périphériques de découpe et d’impression qui dure depuis désormais 15 ans avec plus de 70000 périphériques de ce type installés dans le monde. A ce propos, il y a deux moments importants qui valent la peine d’être soulignés. Le premier en 1995. Roland présente le ColorCamm PNC-5000, le premier périphérique d’impression & découpe sur le marché à technologie thermique (la tête fond le pigment sur le vinyle). Le second en 1997, avec l’arrivée du CammJet CJ-70, le premier plotter avec impression & découpe intégrées à jet d’encre. Il s’agit de deux révolutions dans l’impression numérique car tout le monde a ainsi la possibilité de faire de la communication visuelle d’une nouvelle manière, avec une technologie intégrée simple et à portée de main, unique et particulièrement innovante.

1988

Le premier plotter de découpe PNC-1000

1995

Le 1er plotter d’mpression avec découpe intégrée au monde PNC-5000

1996

Le 1er plotter d’mpression jet d’encre avec découpe intégrée au monde CJ-70

1999

Le premier plotter jet d’encre du monde à six couleurs avec impression et découpe intégrées CJ-500

2001

Le premier plotter jet d’encre à solvant avec impression et découpe intégrées SC-500

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Par la suite, l’impression numérique a subi une évolution : le choix des RIP, les profils, la correspondance du Pantone, la confrontation entre la technologie piézo (adoptée par Roland) et la technologie thermique (représentée à l’époque par HP et Canon), les résolutions d’impression, la dimension de la goutte, la qualité des pigments. Ce sont tous des aspects que Roland a vécu, étudié et a appliqué. En effet, tout nouveau produit a apporté une nouveauté technologique, une amélioration, une nouvelle caractéristique et de nouvelles possibilités d’application. La création des périphériques impression & découpe Roland s’est ainsi réalisée en innovant et en écoutant. En écoutant et en innovant. Aujourd’hui, l’arrivée de marques avec des types de périphériques semblables, ne peut que stimuler à faire plus. C’est pourquoi Roland a introduit dernièrement différentes nouveautés. La série VersaUV, le premier périphérique du monde qui imprime et découpe avec des encres UV a déjà été couronnée de trois prix en tant que meilleur périphérique innovant. Ensuite, les encres métalliques, pour réaliser des effets à haute valeur ajoutée sur les graphismes. Ensuite, Roland OnSupport, le système qui communique avec l’utilisateur final via e-mail directement sur son téléphone portable. Quand on parle d’histoire, de cœur et de passion technologique derrière chaque produit Roland, c’est bien cela qu’on veut dire : pas seulement un bien pour l’entreprise qui le produit, mais surtout pour celui qui travaille tous les jours avec ce bien.

2003

Le premier plotter ink jet du monde de 70cm avec impression et découpe intégrées SP-300

2005

encre ECO-SOL MAX

2006

Le premier plotter à encres de sublimation FP-740

2008

Le premier plotter UV du monde de avec impression et découpe intégrées LEC-300

2009

Le premier plotter Impression et découpe avec couleurs métalliques XC-540 MT

2010

Le premier plotter Impression et découpe qui informe l’opérateur VS-640

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Les nouveautés technologiques qu’il faut connaître RIPC - Roland Intelligent Pass Control La passe d’impression, ou bande imprimante, est la “bande” d’encre que la tête dépose sur le matériel à chaque mouvement horizontal. C’est un des points critiques pour une imprimante parce que l’éventuelle interruption entre une passe et l’autre dégrade inévitablement la qualité de l’impression. C’est pourquoi le Roland Intelligent Pass Control (contrôle intelligent de la passe) est une des caractéristiques les plus importantes du périphérique élaboré par les laboratoires de recherche et développement Roland. Le fonctionnement est le suivant : les gouttes qui composent la passe sont harmonisées avec la passe successive grâce à la micro-pulvérisation de la goutte et à la répartition effectuée selon un schéma bien précis. Ce nuage de points se recoupe avec la passe suivante, sur laquelle est ensuite appliquée la même méthode de gestion des gouttes d’encre. De cette manière, le détachement typique des couches d’impression se réduit considérablement, surtout aux vitesses élevées et le passage des tons reste souple et harmonieux. L’avantage pour l’opérateur est de pouvoir imprimer aussi bien des photos que des couleurs spot toujours avec une qualité optimale, selon les modes d’impression choisis. Avec cette technologie, le fastidieux effet de Bleeding, c’est-à-dire l’encre qui s’amasse sur les bords des passes, est pratiquement éliminé. L’adoption de la technologie Roland Intelligent Pass Control permet ensuite d’élargir la gamme des matériaux imprimables qui, sans cette fonction, présentent plus de problèmes pour accepter l’encre à des vitesses de production plus élevées.

Roland OnSupport Le Roland OnSupport est le nouveau système de support pour l’utilisateur qui permet de connaître l’état du périphérique à distance, par un e-mail envoyé sur l’ordinateur ou le téléphone. Il est actif sur les périphériques d’impression & découpe de la dernière génération Roland. Pour comprendre son utilité, pensons par exemple au moment où l’encre est en train de s’épuiser ou quand l’impression est achevée : Roland OnSupport avertit immédiatement l’opérateur. Il pourra ainsi suivre les travaux sans être physiquement présent devant la machine.

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Encre métallique Certains périphériques de la série impression & découpe Roland peuvent imprimer avec de l’encre métallique. Cette caractéristique déplace le discours du “prix au mètre carré” à des réalisations à haute valeur ajoutée, impossibles à obtenir avec d’autres périphériques, sauf dans la sérigraphie, où il faut cependant considérer les coûts d’installation et les tirages élevés. Avec les périphériques Roland prédisposés on peut imprimer en blanc et en métallique, en plus de la quadrichromie, à l’unité ou en pièces multiples. Cela permet de vendre le graphisme imprimé en considérant des services qui vont au-delà du coût du support et de l’encre. L’utilisation de l’encre métallique permet à l’opérateur de proposer un graphisme très personnalisé, dans les quantités, la réalisation et les couleurs. La valeur ajoutée de ces productions vraiment exclusives, permet de réaliser des bénéfices plus élevés en phase de vente. On peut proposer à la clientèle une série de travaux, parmi lesquels : • Décoration pour l’habillement; • Adhésifs et étiquettes; • PLV; • Effets spéciaux pour la communication visuelle dans le PLV et dans la personnalisation des vitrines; • Fine Art; • Prototypage de packaging. Les effets les plus attrayants s’obtiennent dans l’impression de formes géométriques, de textes, de surface et de formes et de profils graphiques. Outre la réalisation de petits lots, on peut réaliser des prototypes de projets graphiques grâce aussi à la possibilité d’imprimer le blanc sur ou sous d’autres couleurs pour des effets particuliers.

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Créer le fichier pour l’impression et la découpe Les meilleurs fichiers d’impression & découpe se créent toujours dès début, qu’il s’agisse d’un simple logo ou d’une combinaison plus complexe de photographies, de textes et de couleurs non quadri. C’est pourquoi il convient de penser en commençant par la fin, c’est-à-dire à l’utilisation finale et à la meilleure façon dont on pourrait la réaliser en fonction des caractéristiques du périphérique que nous avons à disposition. Pour réaliser le graphisme, nous tracerons un parcours de découpe avec une couleur non quadri. Dans la pratique le tracé pour effectuer le détourage de la forme que nous avons choisie sera bien une ligne colorée. Elle indiquera au logiciel d’impression Roland VersaWorks le tracé à suivre pour la découpe.

Les programmes à utiliser La plupart des professionnels qui travaillent avec les périphériques d’impression & découpe Roland recommandent l’utilisation de programmes de graphisme vectoriel, par exemple Adobe Illustrator™ et CorelDRAW™ et par conséquent de fichiers vectoriels. L’avantage principal des graphismes vectoriels, par rapport aux graphismes bitmap ou raster, est représenté par leur indépendance par rapport à la résolution. Pratiquement, on peut redimensionner le graphisme vectoriel, dans n’importe quelle dimension sans que la qualité ne se détériore. Par exemple un logo vectoriel utilisé pour la réalisation d’un T-shirt, pourrait être utilisé plus tard sur la face d’un fourgon. Il suffira simplement de redimensionner le graphisme pour obtenir le résultat souhaité à la résolution maximale.

Graphisme bitmap Dans le graphisme on entend souvent parler de fichiers bitmap et de fichiers vectoriels. Dans les fichiers bitmap, le graphisme est constitué par une multitude de petits carreaux appelés pixels. Chacun d’entre eux a une position, une couleur et une luminosité spécifique. Une multitude de points mis ensemble forment une image dite bitmap. En regardant de près un graphisme bitmap on s’apercevra des points qui le composent. En l’agrandissant il se “dégradera” parce que les dimensions de chaque pixel augmenteront, ce qui entraîne une dégradation de la qualité. Voilà pourquoi on parle de résolution dans les fichiers bitmap. Une photo parfaite dans sa dimension 10x15cm sera irregardable en la transformant en 70x100cm. Le tableau ci-dessous indique, pour chaque type de matériel, et selon la distance de visualisation, la résolution en PPI conseillée.

Exemple d’un graphisme bitmap

Distance de visualisation MESH BLUEBACK BANNER ONE WAY PVC Adhésif

>50 m

20-50 m

5-20 m

1-5 m

<1 m

100

120

150

200 Valeurs en PPI (Pixels par Pouce)

Graphisme vectoriel Un graphisme vectoriel décrit mathématiquement l’objet de l’image. Si un rectangle dans un graphisme bitmap est un ensemble de points, dans un graphisme vectoriel il sera défini par ses coordonnées. De cette manière on pourra élargir l’image à volonté sans la déformer ou dégrader sa qualité. On peut utiliser le graphisme vectoriel pour des logos, des symboles et des illustrations alors qu’une photo est nécessairement composée de graphisme bitmap.

Exemple de graphisme vectoriel

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Réaliser un graphisme et un parcours de découpe Pas à pas, voyons la procédure pour réaliser notre fichier.

Créer le graphisme

Avant tout il faut réaliser le graphisme lui-même. On peut créer une image totalement vectorielle ou une image formée de composantes bitmap et vectorielles ensemble. Si à l’intérieur du fichier sont présentes des images bitmap, il faut s’assurer de créer un fichier dont les dimensions et la résolution soient adaptées au résultat final souhaité.

Définir le parcours final de découpe

Une fois que le graphisme souhaité a été réalisé, il faut créer un parcours qui définisse les points exacts où l’on désire effectuer la découpe.

Appliquer la couleur “CutContour” au parcours de découpe

Il s’agit de l’opération la plus importante. Pour que le logiciel Roland VersaWorks puisse identifier le parcours de découpe sans le confondre avec une image à imprimer, il faut créer un échantillon de couleur Spot (dite aussi ton direct couleur non quadri) appelé “CutContour” et l’appliquer au parcours de découpe. Après avoir appliqué la couleur spot “CutContour” au tracé, l’écran affichera la ligne du parcours de découpe sous forme d’une ligne colorée. Après avoir envoyé le fichier au plotter, Roland VersaWorks remplacera la couleur par le vecteur de découpe et rien n’apparaîtra sur l’impression.

Fonds perdus.

Afin d’éviter de fines lignes blanches entre la découpe de l’image il est conseillé d’ajouter un fond perdu sur le bord extérieur du graphisme (bord perdus). Une ligne de 1-3 pts. est l’idéal.

Sauvegarder le graphisme

Une fois ces opérations terminées, on peut sauvegarder l’image dans un des formats fichier supportés comme EPS ou PDF et importer le fichier pour l’impression dans Roland VersaWorks. Comme alternative, on peut envoyer et donc imprimer directement du programme de graphisme sur le plotter impression & découpe.

Ligne de découpe “CutContour” Fond perdu

Créer un échantillon CutContour avec CorelDRAW® 1. En premier, il faut cliquer sur Fenêtre > Fenêtres mobiles > Navigateur Palette couleur. 2. Sous la rubrique Palettes cocher la rubrique Couleurs non quadri personnalisées. La palette des couleurs personnalisées s’ouvrira et on pourra la déplacer comme on le voudra (figure 1). 3. Cliquer à présent sur la flèche noire en haut à gauche sur la Palette et choisir Modifier > Editeur de palette (figure 2). 4. Eliminer les éventuelles couleurs non utilisées et cliquer sur Ajouter couleur. 5. Sélectionner ensuite la fenêtre Palette et cliquer sur l’icône Ouvrir (figure 3). 6. Il faut à présent sélectionner le fichier “userinks.cpl” présent dans C:\Programme\Roland VersaWorks\Swatch\CorelDraw 7. Sélectionner le premier échantillon (CutContour) et cliquer sur Ajouter à la palette. Ensuite cliquer sur Fermer (figure 4). Si on désire ajouter toutes les couleurs de la Roland Color System Library, sélectionner tous les échantillons avant de cliquer sur Ajouter à la palette. 8. Confirmer l’opération en cliquant de nouveau sur OK. La couleur CutContour à assigner au parcours de découpe est à présent disponible dans la palette couleur.

Figure 1

Figure 2

Figure 3

Figure 4

A partir de la version CorelDRAW Graphic Suite X5 les Palettes couleur Roland sont intégrées directement dans le programme.

Guide Roland impression & découpe

Créer un Echantillon CutContour avec Illustrator® 1. Cliquer sur Fenêtre, ensuite sélectionner Nuancier. Cliquer sur la flèche noire en haut à dr oite sur le panneau et sélectionner Nouvelle nuance. 2. Renommer la nuance en “CutContour” . 3. Paramétrer la rubrique “Type de couleur” sur Couleur non quadri. 4. Les valeurs CMYK sont sélectionnables.

Travailler avec un fichier Photoshop Quand on reçoit le logo d’un client sous forme de fichier TIF ou JPG il faut créer le parcours de découpe pour que le plotter impression & découpe puisse détourer l’étiquette. Quoiqu’on puisse ouvrir le fichier d’un programme vectoriel et créer le parcours manuellement, on pourrait aussi opter pour un choix plus rapide en utilisant Photoshop. Ci-après, nous pouvons voir la procédure pour obtenir un tracé parfait de découpe autour d’une image en quelques simples passages: 1. Ouvrir le fichier dans Photoshop (figure 1). 2. Utiliser l’outil Baguette magique pour sélectionner tout l’espace négatif autour du logo. 3. A partir du menu Sélection choisir Intervertir pour faire correspondre la sélection au périmètre de l’image (figure 2). 4. On peut améliorer le parcours en utilisant les fonctions de modification de la sélection Etendre et Lisser. On peut accéder à ces fonctions à partir du menu Sélection > Modifier On obtiendra ainsi une sélection extérieure plus souple et adaptée à la découpe (figure 3). 5. A partir du panneau Tracés cliquer sur la flèche noire en haut à droite et choisir Créer tracé de travail pour créer un parcours qui suive les contours de l’image. Comme valeur de Tolérance programmer 2,0 (figure 4). 6. Il faut alors aller dans le menu Fichier > Exporter > Tracés pour Illustrator et sauvegarder le tracer. 7. Ouvrir à présent le fichier vectoriel qu’on vient de sauvegarder dans Illustrator et lui appliquer la couleur spot “CutContour” qui définit le parcours de découpe (figure 5). 8. Importer enfin dans Illustrator l’image à détourer et la positionner sous le parcours de découpe créé. Nous sommes prêts pour envoyer le fichier au plotter impression & découpe Roland (figure 6).

Figure 1

Figure 2

Figure 3

Figure 4

Figure 5

Figure 6

CE QU’IL FAUT SAVOIR

Guide Roland impression&découpe

Qu’est ce que le RIP Roland VersaWorks Toutes les machines d’impression Roland sont équipées du logiciel RIP Roland VersaWorks, pour un contrôle complet de l’impression et de la découpe. L’interface graphique de VersaWorks est très intuitive et les menus principaux sont tous facilement accessibles. VersaWorks est développé directement par Roland. De cette manière toutes les caractéristiques du périphérique sont exploitées et exaltées au maximum. Le cœur de VersaWorks est le moteur Postcript Adobe CPSI 3019. Il se traduit par une vitesse d’élaboration et de dégradés de couleurs parfaites, ainsi que par une stabilité du système de RIP. Grâce à l’élaboration à 16 bits la qualité des dégradés est excellente. VersaWorks gère la donnée variable permettant de créer une série de graphismes, chacun personnalisé avec, par exemple, une photo ou un texte différent, qu’on prélève directement d’une base de données. VersaWorks inclut aussi la Roland Color System Library, la bibliothèque de couleurs Roland reproductibles avec les périphériques d’impression et découpe. Il suffit d’imprimer un échantillon sur le matériel choisi et le client pourra rapidement choisir la couleur la plus adaptée et la voir reproduite parfaitement. VersaWorks gère aussi une librairie complète pour les combinaisons avec encre métallique, jusqu’à 512 possibilités différentes. VersaWorks permet en outre de calculer la consommation d’encre pour chaque fichier imprimé pour qu’on puisse déterminer les coûts effectifs d’impression. VersaWorks calcule en avance le temps d’impression de chaque fichier de façon à pouvoir gérer la queue des travaux. VersaWorks peut gérer simultanément, à partir du même ordinateur, jusqu’à quatre périphériques Roland: impression, impression & découpe, découpe. Enfin, VersaWorks permet à l’opérateur d’exploiter tout l’espace disponible sur le matériel pour éviter des gaspillages, en positionnant les étiquettes de manière rapprochée et en permettant directement l’impression et la découpe.

Guide préliminaire

Roland VersaWorks : ses principaux atouts en quelques lignes Il est en français

Contrairement aux RIP utilisés sur les périphériques d’autres marques, Roland VersaWorks est complètement en français, dans ses menus et dans les fichiers d’aide.

Il est réalisé par Roland

Roland a réalisé VersaWorks à travers ses spécialistes et il le met à jour en temps réel. Contrairement aux autres RIP, qui s’adaptent au périphérique qu’on est en train d’utiliser, VersaWorks exploite toutes les caractéristiques des périphériques d’impression parce que Roland est aussi bien le fabricant du RIP que de la machine.

Il se met à jour tout seul, gratuitement

Aucun frais additionnel, pas besoin de CD Rom ou d’autres procédures compliquées. VersaWorks contrôle automatiquement si une mise à jour est disponible et il l’installe, après avoir obtenu l’autorisation de l’utilisateur. Complètement gratuit.

Il dispose déjà des profils couleur ICC

VersaWorks est déjà complet de dizaines et de dizaines de profils couleur pour les matériaux d’impression les plus communs sur le marché. En outre, Roland crée et met à disposition gratuitement des profils mis à jour sur son site pouvant être installés dans le RIP de façon complètement gratuite et sans coûts supplémentaires.

Il a une bibliothèque de couleurs

VersaWorks a déjà une bibliothèque complète et imprimable pour avoir toujours la couleur que le client demande sans besoin de mise au point de profils compliqués. On imprime la bibliothèque sur le matériau choisi (banner, PVC, etc.) et on le compare avec la couleur demandée par le client. La couleur choisie sera reproduite fidèlement et sans inconvénients.

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Que se passe-t-il à l’intérieur du RIP Roland VersaWorks

Après avoir créé un graphisme d’Impression & découpe, le logiciel RIP Roland VersaWorks met à disposition toute une série d’options pour travailler avec ce graphisme. En particulier le RIP identifiera la couleur spot “CutContour” et convertira en un parcours de découpe tout ce qui a été tracé avec cette couleur. VersaWorks peut être utilisé ensuite pour redimensionner, dupliquer ou positionner, ainsi qu’imprimer et découper un nombre quelconque de copies du graphisme. Si on imprime plusieurs travaux, grâce aux commandes d’Auto-Nesting (à la lettre emboîtement, c’est-à-dire positionnement optimal du graphisme dans l’espace du support d’impression utilisé) ou Manual PrintLayout (gestion manuelle du positionnement du graphisme), chaque copie se positionnera à la position requise et sur toutes les copies seront effectuées les opérations requises comme par exemple le parcours de découpe. VersaWorks peut être également utilisé pour définir la résolution et la qualité de l’impression finale. A l’intérieur du RIP est présent un set complet de profils couleur ICC prédéfinis, créés pour garantir des résultats optimaux à travers la gestion des paramètres d’impression selon le type de support et de résolution employés.

Le profil ICC Le sigle ICC signifie “International Color Consortium”. Cet organisme a créé des règles pour la gestion des couleurs. En connaissant les spécifications de chaque périphérique que nous utilisons (plotter ou écran en particulier) on peut préserver les couleurs du moment de leur choix jusqu’à la phase d’impression. Dans notre cas spécifique, le profil ICC de chaque matériau prend en compte les caractéristiques de notre imprimante Roland lui indiquant comment gérer les combinaisons de couleur et selon quelle quantité, de façon à exploiter au maximum les caractéristiques de l’imprimante sur ce matériau. Des matériaux différents auront donc des profils différents. En effet, c’est une chose que d’imprimer sur papier, qui absorbe plus d’encre, s’en est une autre que d’imprimer sur un PVC adhésif et encore une autre sur une superficie plus difficile, comme un film, qui tend à repousser l’encre. Dans ce cas, le juste réglage de la quantité d’encre évitera à l’encre même de “flotter” à la surface.

Guide préliminaire

Qualité d’impression et paramétrages couleur

Roland VersaWorks est doté de nombreuses fonctions permettant d’optimiser l’impression et d’obtenir des résultats excellents. En particulier dans la fenêtre Qualité on peut choisir le profil couleur le plus approprié au type de support utilisé et la quantité d’impression. Le logiciel nous fournira automatiquement une estimation des temps d’impression de façon à sélectionner le mode le plus approprié au type de travail. Nous avons aussi la possibilité de régler les paramétrages de découpe comme la vitesse de la lame et son impact sur le matériau. Enfin, Roland VersaWorks met à disposition des fonctions spécifiques de pannelisation permettant de diviser un travail particulièrement grand en différents panneaux séparés, à imprimer et à gérer facilement avant l’installation.

Le gamut de l’imprimante Le gamut d’une imprimante est l’ensemble des couleurs qu’elle peut imprimer sur un support donné. Le rendement chromatique de la gravure sera d’autant plus élevé que l’espace est élevé.

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La Roland Color System Library

La Roland Color System Library naît dans l’intention d’avoir un repère précis sur toutes les couleurs qu’une imprimante peut reproduire. Grâce à ce système on peut imprimer la même couleur d’une impression ou d’un produit existant, comme les couleurs d’un logo ou d’une référence Pantone. Comment y parvenir de façon précise et facilement? Roland a créé un système codifié de couleurs, une série d’échantillons à imprimer et à comparer avec l’échantillon existant afin d’identifier la correcte référence. Une fois qu’on a trouvé le code relatif à la couleur qu’on désire obtenir il suffit de choisir la teinte correspondante à partir d’une bibliothèque d’échantillons dans le programme de graphisme (CorelDRAW®, Illustrator® ou InDesign®) pour obtenir en impression la couleur souhaitée. Pour imprimer la Roland Color System Library à partir de VersaWorks, il faut avant tout choisir le profil optimal pour le matériau utilisé dans les configurations suivantes : Modifier > Configurations queue A > Qualité. Il faut ensuite aller dans le menu Supports et sélectionner une des cartes à disposition:

Carte couleurs Type -1

Carte couleurs Type-2

Les couleurs sont divisées en catégories sur la base de la saturation et disposées de façon à varier en tonalité en horizontal, et en luminosité en vertical.

Les couleurs de la bibliothèque sont partagées en catégories sur la base du ton de la couleur et pour chaque ton la roue des couleurs est imprimée.

Sélecteur couleurs

Color Chips

Imprime le tableau des combinaisons des encres à découper et à relier pour créer un catalogue d’échantillons couleurs qu’on peut utiliser pour comparer les couleurs.

Imprime 12 échantillons chromatiques pour chaque couleur, pour 5 couleurs en format A4. Les couleurs sont disposées sur la base du ton couleur.

Guide préliminaire

Choix de l’échantillon couleur Après avoir imprimé la Roland Color System Library il faut déterminer l’échantillon qu’il vous faut en le comparant avec la couleur que vous devez reproduire. Pour repérer le code il suffit de contrôler la catégorie de l’échantillon et les sigles indiqués dans la ligne et dans la colonne:

RVW-PR08J

Configurer l’échantillon de la couleur choisie dans le programme de graphisme Il faut à présent configurer l’échantillon choisi dans le programme de graphisme. La bibliothèque couleurs de la Roland Color System Library se trouve dans C:\Programmes\Roland VersaWorks\Swatch. Adobe InDesign® Pour charger une couleur de la Roland Color System Library dans InDesign il faut ouvrir le panneau Nuancier, cliquer sur la flèche en haut à droite et sélectionner Nouvelle nuance. Cliquer sur Modalité couleur, il faut d’abord sélectionner Autre bibliothèque et ensuite sélectionner le fichier de la Roland Color System Library. Adobe Illustrator® A partir de l’écran Nuancier cliquer sur la flèche en haut à droite et sélectionner Ouvrir bibliothèque de nuance > Autre bibliothèque. Enfin sélectionner le fichier de la Roland Color System Library. CorelDRAW® Pour ouvrir une palette dans CorelDRAW il faut suivre la procédure illustrée à la page 23 de ce guide. A partir de la version CorelDraw X5 les palettes Roland sont déjà présentes dans le programme.

Imprimer le fichier en configurant la Conversion des couleurs spot A ce point on peut envoyer le fichier pour l’impression en se rappelant dans VersaWorks d’aller sur Configurations Travail > Format fichier et sélectionner l’option Convertir couleur Spot. De cette manière les échantillons que nous avons configurés dans le fichier seront imprimés exactement comme ceux qui sont sortis sur la Roland Color System Library et avec le maximum de brillance possible sur le support utilisé. Les autres éléments vectoriels seront imprimés en utilisant la gestion de la couleur paramétrée dans la fenêtre Paramétrage gestion couleur de VersaWorks.

LES ENCRES

CE QU’IL FAUT SAVOIR

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Les types d’encre Base solvant : éco-solvant et solvant pur Il existe deux types d’encres à base de solvant : éco-solvant et solvant standard. Roland utilise des encres Eco, appelées ECO-SOL MAX, dans tous ses périphériques d’impression & découpe. Elles prennent l’appellation éco parce qu’elles ont une composition en solvants très réduite et peu de composants organiques volatiles « VOC » par rapport aux solvants traditionnels. L’odeur aussi est pratiquement absente, si on la compare avec les solvants purs, qui en effet exigent l’utilisation de hottes d’aspirations ou de filtres au carbone. Dans le véhicule liquide de solvant sont mélangés des pigments qui contribuent à la qualité de l’encre. Grâce à la qualité du pigment utilisé par Roland dans ses ECO-SOL MAX, on obtient un excellent gamut de couleurs et la possibilité d’imprimer sur des supports avec ou sans revêtement. En outre la stabilité de la teinte du pigment est toujours garantie en phase de production, avec des contrôles continus sur le produit. Cela signifie qu’en achetant une cartouche aujourd’hui ou dans un an, la couleur reproduite dans des conditions similaires, sera toujours la même. Les encres à base de solvant pur impriment très bien sur des supports non couchés, puisque la plus grande quantité de solvant “mange” le vinyle facilitant la prise. Cependant, les machines à solvant pur exigent des dispositifs de ventilation et de manipulation spécifiques, à inclure dans le devis, ainsi que des procédures continuelles de nettoyage car le solvant bouche les têtes d’impression si on le laisse sécher. ECO-SOL MAX contient au contraire le juste mélange de solvant pour la prise de l’encre sur le support et est accompagnée d’une riche série de profils ICC pour une quantité de types de supports. Les profils ICC peuvent être visualisés à l’intérieur de Roland VersaWorks. L’entretien des périphériques avec ECO-SOL MAX, grâce à sa composition, est extrêmement facile et a lieu soit de façon automatique soit par procédure manuelle.

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Base eau : dye et à pigments Les encres à base d’eau comprennent les encres dye ou à pigment. Les encres dye offrent un excellent gamut de couleurs mais, en général, elles ont une durée très réduite, surtout à l’extérieur. La couleur est en effet conférée par un colorant et non par un pigment. Les encres à pigments offrent au contraire un gamut de couleurs et de densité satisfaisants alliés à une excellente durée à l’intérieur comme à l’extérieur. Les temps de durée sont jusqu’à 130 ans à l’intérieur et 1 an à l’extérieur (avec laminage). Elles sont dites à base d’eau parce que le véhicule où sont présentes les composantes de l’encre et les pigments (ou les colorants en cas d’encres dye) est l’eau. Généralement, ce qui limite l’utilisation d’encres à base d’eau c’est le besoin d’imprimer sur des supports enduits.

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Encres UV L’encre UV est un autre type d’encre qui complète la gamme des encres à solvant et à base d’eau. Celle qu’on adopte sur les machines d’impression VersaUV peut imprimer sur une très vaste gamme de supports, surtout les plus flexibles, grâce à la spéciale conformation de l’encre. Elle se fixe sur le support par séchage assuré par deux lampes UV. En effet, grâce au rayonnement UV émis par la lampe, l’encre passe d’un état liquide à un état solide, adhérant à la surface du support d’impression. La polymérisation de l’encre est très rapide et aucun temps de séchage n’est nécessaire. Le rendement des couleurs est parfait et d’une brillance unique. La saturation des couleurs est optimale et le gamut reproductible est extrêmement vaste. L’incroyable couverture de l’encre blanche permet une impression sans problème sur des supports transparents.

Encres à sublimation Il y a ensuite des encres à sublimation, une catégorie spéciale d’encre à base d’eau. La sublimation est un processus utilisé dans l’impression qui permet de transférer, par une presse à chaud, l’encre contenue dans le papier transfert directement sur le tissu. Pendant le réchauffement, à des températures supérieures à 140°, l’encre passe directement de l’état solide à l’état gazeux de manière instantanée. La sublimation est possible sur des supports synthétiques, des tissus et autres, qui à 140 °C relâchent leur structure moléculaire et permettent au pigment, qui se transforme en colorant, de se combiner avec le matériel en permanence. Le résultat final permet d’obtenir une superficie ou un tissu sans aucun relief ou épaisseur, lavable et ayant maintenu toute la souplesse typique du support. Pour la réalisation du processus de sublimation l’imprimante doit être dotée d’encres à sublimation de qualité et d’une presse pour le transfert à chaud. La sublimation permet de personnaliser des tissus, des étendards, des banderoles, des drapeaux pour la personnalisation d’événements, points de vente, musées ou milieux didactiques. On peut réaliser des échantillons de vêtements ou de tissus, ainsi que des aménagements, des décors et des toiles de fond. Grâce aux nombreuses possibilités offertes par la sublimation, on peut personnaliser les objets les plus disparates comme planche de surf, snowboard, divans, nappes et gadgets.

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Encres métalliques L’encre ECO-SOL MAX métallique, présente sur certains modèles de plotters Roland, permet de conférer à l’impression des caractéristiques uniques et d’offrir à la clientèle des personnalisations très poussées. La qualité du détail qu’on peut obtenir permet de reproduire des logos ou des clipart ainsi que des images photographiques. L’encre métallique peut être utilisée sur les supports d’impression pour la communication visuelle, les arts graphiques, les étiquettes et le packaging. Les effets les plus attrayants s’obtiennent dans l’impression de formes géométriques, de textes, de surface et de formes et de profils graphiques. Outre la réalisation de petits lots, on peut réaliser des prototypes de projets graphiques grâce aussi à la possibilité d’imprimer le blanc sur ou sous d’autres couleurs pour des effets particuliers.

Bibliothèque couleurs métalliques L’utilisation des encres métalliques permet à l’opérateur de disposer de centaines de couleurs métalliques disponibles dans les combinaisons CMYK+MT dans VersaWorks. L’utilisateur peut en outre créer ses propres couleurs et les sauvegarder dans VersaWorks. La bibliothèques couleurs, tout comme les profils ICC pour les différents matériels, sont déjà disponibles à l’intérieur du RIP. Les palettes couleurs peuvent être facilement ajoutées dans Adobe Illustrator® et CorelDRAW®.

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Un aperçu sur les encres ECO-SOL MAX Le rendement final d’une impression dépend de la qualité de l’image. Mais il y a d’autres facteurs qui doivent être pris en compte, spécifiques à l’encre. Il s’agit de la vivacité de la couleur, l’uniformité du rendement, la stabilité. En outre, l’imprimeur doit tenir compte de la durée requise ; celle-ci est due essentiellement à la qualité du pigment utilisé, de la façon dont il a été généré et ensuite combiné avec la solution qui le transporte directement sur le support d’impression. Quand on parle d’utilisation d’encre originale ECO-SOL MAX et d’encre compatible, la différence réside essentiellement là. Et une bonne impression, avec un bon rendement et une durée conforme aux attentes, est notre meilleure carte de visite.

La durée de l’encre Résistance à l’éraflure

ECO-SOL MAX est conçue pour offrir une excellente résistance aux éraflures, un facteur indispensable pour produire des affiches extérieures et d’autres réalisations graphiques exigeant des techniques de finition complexes, comme coutures ou mise en place d’œillets. Pour l’opérateur l’avantage concret est donc de préserver une qualité d’impression élevée et une maniabilité totale du support imprimé.

Densité élevée de l’encre

ECO-SOL MAX permet d’obtenir des couleurs vives et uniformes. Les graphismes générés ont une résistance à l’extérieur testée dans les laboratoires Roland DG Corporation jusqu’à trois ans même.

Entretien quotidien de l’imprimante absent

ECO-SOL MAX n’a pratiquement pas besoin d’entretien manuel journalier, comme c’est le cas au contraire pour les encres normales à base de solvant. Cela se traduit concrètement par une économie de temps dans la journée et une économie d’encre qui, dans les plotters à solvant standard, est utilisée pour le nettoyage et donc rejetée directement dans la bouteille de récupération. Même après de longues périodes d’inactivité, le redémarrage de l’imprimante Roland est pratiquement immédiat.

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Rendement Temps de séchage réduit

Le séchage représente toujours un embouteillage dans la productivité quotidienne. Avec l’ECO-SOL MAX, Roland a réduit au minimum le temps nécessaire pour le séchage de l’encre. Un autre grand avantage de l’ECO-SOL MAX est sa capacité de s’accrocher au matériel de façon stable et sans l’éventualité que la gravure ne s’abîme en phase de montage. En cas de productions nocturnes on peut utiliser un ré-enrouleur pour optimiser les temps. En effet, la supervision directe de l’opérateur n’est pas nécessaire.

Une gamme complète de supports

L’ECO-SOL MAX, grâce à son exceptionnelle capacité d’accrochage au support, permet d’élargir la gamme de matériaux utilisables. Nous avons donc la possibilité d’imprimer sur des supports économiques (économie sur le coût d’impression) ainsi que sur des supports de qualité (pour des gravures à valeur ajoutée), avec ou sans pellicule. En outre, Roland met à disposition à l’intérieur du RIP Roland VersaWorks les profils ICC pour les supports les plus communs en vente ainsi que la possibilité de les télécharger gratuitement de son site.

Adaptabilité Absence d’odeurs

Il est d’importance vitale que la qualité de l’air et l’éco-compatibilité des matériels utilisés soient préservées en milieu du travail. Sous ce point de vue, ECO-SOL MAX a une odeur résiduelle pratiquement nulle, idéale donc même dans des bureaux et des ateliers graphiques. Elle ne contient pas de VOC (Composants Organiques Volatiles) dangereux et n’exige aucune ventilation spéciale, ni filtres ou hottes nécessaires au contraire pour les encres normales à base de solvants. Cela se traduit par une économie même pour l’utilisateur et aucun coût caché dans l’achat du périphérique Roland. Chaque couleur a son document spécifique de sécurité téléchargeable à partir du site de Roland.

Gamut de couleurs plus vaste.

ECO-SOL MAX compte entre ses points de force la densité de la couleur et un gamut plus étendu de couleurs reproductibles. Un gamut étendu correspond à un plus grand impact visuel du graphisme et des couleurs plus riches, ceci grâce à la qualité du pigment utilisé. Un autre avantage est représenté par une image plus détaillée, sans que les couleurs ne bavent ni s’empâtent, un détail important aussi bien pour les gravures qui doivent être vues de loin que pour celles qui sont exposées près de l’observateur. Le gamut étendu confère aux couleurs violet, vert et bleu une brillance et une couleur très vive.

Les matĂŠriaux et la lamination

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Comment choisir les supports d’impression Dans ce bref aperçu, nous allons présenter de façon plus ciblée les supports d’impression ayant une valeur ajoutée spécifique dans les opérations d’impression & découpe.

Vinyle adhésifs calandrés Les vinyles calandrés sont indiqués pour les inscriptions et les panneaux, surtout sur des surfaces plates ou avec des courbes simples. En général ils sont plus économiques que les vinyles coulés, mais ils durent moins, ils sont plus instables du point de vue des dimensions et moins faciles à utiliser. Les vinyles adhésifs sont généralement transparents ou blancs. Ces derniers, à leur tour, peuvent se différencier par la couleur de la colle, généralement grise, blanche ou noire. On trouve deux types de films calandrés en vente : les films polymères et les films monomères.

Vinyles calandrés monomères Les films adhésifs monomères calandrés sont les vinyles les moins coûteux dans le commerce. Il sont conseillés pour des applications de brève durée à l’extérieur ou à l’intérieur et pas particulièrement compliquées.Contrairement aux films polymères et au vinyle coulé, ils tendent à se rétrécir avec le temps, à se racornir et à s’émietter, avec un effet décidément désagréable.

Vinyles calandrés polymères Les films calandrés polymères ont dans leur composition des éléments appelés polymères, pour éviter les variations des dimensions et les rétrécissements après l’impression. Ils sont conseillés plus que les monomères pour les applications à l’extérieur sur des surfaces simples. A éviter au contraire sur les surfaces non homogènes présentant des saillies ou des extrusions.

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Vinyles coulés Les vinyles type coulés sont des films de haute qualité, fins et souples ayant une longue durée à l’extérieur (généralement 5-7 ans). Ils sont produits sous forme liquide et étalés ensuite sur le liner pour obtenir une très fine épaisseur. C’est pourquoi ce sont des matériaux très faciles à découper, à écheniller et à appliquer. Ils sont très stables du point de vue des dimensions parce qu’ils n’ont pas une mémoire de forme (mémoire plastique) et leur rétrécissement dans le temps est négligeable. En général, ils sont plus opaques que les vinyles calandrés, mais plus coûteux. Les vinyles de type coulés sont faciles à utiliser, résistants aux déchirures et idéaux pour un large éventail de graphismes de longue durée, surtout sur des surfaces irrégulières ou déformées, présentant des rivets, des saillies et des reliefs. Grâce au système adhésif plus sophistiqué, ils sont le premier choix pour les solutions graphiques sur des véhicules ou pour des applications particulièrement complexes. Compte tenu de leur qualité, ils peuvent être utilisés aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. La lamination est toujours recommandée sur les graphismes de véhicules.

Matériaux thermo-transférables Les matériaux thermo-transférables peuvent être imprimés avec ECO-SOL MAX, détourés dans la forme désirée et ensuite transférés thermiquement à l’aide d’une presse sur le tissu. Généralement, l’opération est effectuée sur des vêtements en coton, coton mixte, polyester ou lycra. Normalement le transfert est effectué en posant le graphisme sur le vêtement à personnaliser et en mettant la presse sous pression à une température de 150-160 °C environ, selon le type de matériel, pendant 10-15 secondes. Normalement, ces matériaux sont ensuite lavables à la machine à des températures différentes, à la main ou à l’envers. Il existe ensuite différents types de matériaux thermoadhésifs : veloutés, élastiques, couvrants, pour vêtements sportifs et de travail, réfractaires, métalliques, transparents, pailletés et fluorescents.

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PVC rétroéclairé Le PVC rétroéclairé est un matériau très semblable au vinyle adhésif classique. Sa particularité consiste à faire ressortir la brillance des couleurs imprimées sur ce support quand il est retroéclairé. D’habitude, le PVC adhésif est associé au plexiglas transparent pour réaliser des enseignes, des totems lumineux et des caissons lumineux. Le résultat est une solution de communication de fort impact visuel qui peut difficilement passer inaperçue. Ce type de communication prévoit que le fichier est imprimé dans une excellente résolution et avec une richesse de couleurs et de détails, vu la proximité de l’observateur.

Bâche La bâche est le matériau qu’on utilise pour les banderoles classiques. Il s’agit d’une toile en PVC enduit, non adhésif, dont le poids varie normalement entre 300 et 700 gr/m2. C’est un support d’impression caoutchouté pouvant être utilisé aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. La bâche est utilisée non seulement pour réaliser des banderoles mais aussi pour personnaliser des structures tendues ou des reproductions grand format. Il existe aussi des bâches appelées black-out, ayant une couche interne foncée et ne permettant pas le passage de la lumière. Après l’impression, les bâches doivent être encore terminées en fonction de leur usage final. Les réalisations les plus communes sont : • Thermosoudure des côtés du pourtour pour augmenter la résistance à la tension; • Pose d’œillets pour insérer d’éventuels éléments de soutien; • Pose d’œillets en acier pour l’ancrage de la bâche par des élastiques ou cordes de tension; • Application de boutons à pression pour l’ancrage du support sur différentes structures.

Papier Blueback Le papier blueback est un support très économique et de qualité relativement basse. Il est généralement utilisé pour l’impression des affiches qu’on voit le long des routes ou de grands posters 4x3. La face arrière couleur bleue permet, en phase d’affichage, de cacher le poster précédent sur lequel le nouveau a été appliqué. Le papier blueback est un support plutôt difficile à imprimer car, si on n’utilise pas les profils corrects, il n’absorbe pas l’encre et cause donc des problèmes d’encrage excessif. Le résultat chromatique sur un papier blueback est de basse qualité mais son prix très économique le rend un support utile pour les affichages qui ne doivent pas durer dans le temps.

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Mesh Le mesh est une toile en plastique dont la surface est entièrement microperforée. On l’utilise surtout pour réaliser des impressions de très grand format qui doivent par exemple recouvrir la façade des monuments ou des édifices en restauration. Les trous de la superficie garantissent une moindre résistance aux rafales de vent qui, sur une surface pleine, causeraient le classique effet “grand-voile” et mettraient la tenue d’une structure tendue en danger, n’étant pas ancrée à la paroi. L’effet semi transparent créé par ce matériel, le rend approprié même comme toile de séparation d’espaces d’exposition. Comme la bâche, le mesh aussi est un matériau pouvant être achevé après l’impression.

One way Le one way est un PVC adhésif microperforé avec la face arrière noire qu’on positionne sur des surfaces transparentes, généralement des vitres de voiture ou des vitrines de magasin. Sa particularité permet de montrer une face noire qui disparaît dans l’autre face, celle de l’impression. Dans le cas d’une vitrine de magasin, le graphisme sera visible dans la rue et ceux qui la voient ne pourront pas voir au contraire à l’intérieur du magasin. Tandis qu’à l’intérieur, on pourra tranquillement voir la rue et les clients intéressés !

Toile de peinture ou canvas L’impression sur toile de peinture ou, en anglais, “canvas” est une technique particulière d’impression permettant d’obtenir l’effet d’un tableau par la reproduction d’une image photographique. Avec ce support on peut réaliser des reproductions artistiques de grand impact. L’encre, en effet, se déposera sur la trame du matériau en réalisant un effet visuel et tactile extrêmement réaliste. Après avoir réalisé l’impression sur la toile de peinture, elle pourra être enrichie encore avec l’ajout de couleur ou de techniques artistiques exécutées à la main.

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Revêtements et films laminés

Quand un graphisme est beau et qu’il est imprimé dans les règles de l’art celui qui l’observe pourra l’apprécier aussi bien en le regardant qu’en le touchant. Dans ce cas la résistance devient fondamentale. Des applications particulières exigent des laminations, c’est-à-dire des protections supplémentaires pour éviter toute éraflure, abrasion, rayure, usure. Généralement, la lamination est effectuée dans deux cas : les graphismes adhésifs et les graphismes de véhicules. Dans ces deux cas les approches peuvent être différentes et on utilise des laminations en films ou liquides. Quand les graphismes sont exposés à des conditions climatiques extérieures (rayons UV, contact avec des agents chimiques et atmosphériques) et qu’ils doivent durer dans le temps, la lamination est conseillée. La lamination étend la tenue du graphisme de 20% à 70% selon le produit utilisé et il permet le nettoyage du graphisme. La lamination conseillée même pour des applications de courte/moyenne durée à l’extérieur, dans des lieux exposés à la lumière directe ou dans des endroits sujets à frottements et au contact d’agents chimiques. La lamination peut être utile aussi pour exalter la brillance des couleurs (lamination brillante lucide) ou diminuer les reflets (lamination opaque). Il existe trois types de lamination : • A CHAUD, pour des supports non munis de liner (le film siliconé placé sous l’adhésif). Il est appliqué par pression au moyen des rouleaux d’une calandre. On ne l’utilise pas généralement sur le vinyle même si les machines de lamination à chaud peuvent être utilisées même pour la lamination à froid. • A FROID, idéal pour les vinyles adhésifs munis de liner. • LIQUIDE, à appliquer manuellement à l’aide d’un pinceau, d’un rouleau ou par un système à jet. Il a des coûts moins élevés et il est indiqué surtout pour les supports plus flexibles comme les bâches et les tissus ou quand le graphisme doit être appliqué sur des superficies irrégulières (par exemple des véhicules).

Le temps de séchage et le temps de dessiccation Quand on parle d’impression et de lamination successive, il convient d’introduire deux concepts relatifs à l’application de l’encre sur le vinyle: le temps de séchage et le temps de dessiccation. Le premier indique le temps employé par l’encre pour sécher au toucher. Pour la plupart des supports, s’ils sont convenablement profilés, il ne dure que quelques minutes, grâce aussi au sécheur qui est normalement installé en ligne sur les périphériques Roland. Au contraire, le temps de dessiccation est le temps employé par l’encre pour se dégraisser et il ne dépend pas du support utilisé et des conditions environnementales, mais c’est un processus spécifique de l’encre. Généralement, l’utilisation d’un sécheur accélère les temps de cette opération.

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Comment utiliser les revêtements transparents liquides Le revêtement transparent liquide doit être appliqué dès que les graphismes ont séché et avant de procéder à l’installation du graphisme même. Après avoir configuré le graphisme et le parcours de découpe nous envoyons le fichier à l’impression sur notre plotter d’impression & découpe. Nous enlevons le produit imprimé du plotter et nous appliquons le revêtement transparent en spray. Il est conseillé d’appliquer deux couches fines plutôt qu’une seule couche plus épaisse. Cela permet d’éviter des coulées de liquide et des grumeaux d’adhésif. Echenillons ensuite le graphisme du vinyle en excès quand il est encore humide : si le spray a été appliqué en excès, les bords qui ont été coupés pourraient se joindre en phase de séchage. Quand le graphisme est sec, au moyen de l’application d’un Tape, on procède au positionnement sur l’outil. Pour les encres ECO-SOL MAX il faut s’assurer de choisir une lamination liquide à base de solvant expressément conçue pour les impressions à jet d’encre ; différentes marques sont disponibles. Les bouteilles en spray sont adaptées pour des graphismes de petites dimensions. Celles de 1 litre permettent d’appliquer le produit sur des graphismes plus grands en utilisant un pistolet. L’utilisation de laminations liquides présente des aspects positifs et des revers négatifs : il est bon de s’assurer de la qualité et de la compatibilité du liquide. Les avantages consistent à pouvoir travailler sur des supports flexibles et de disposer de liquides de lamination aussi bien opaques que brillantes. On peut trouver dans le commerce un liquide de lamination mono-composant, ayant une durée jusqu’à deux ans, et bi-composant, d’une durée jusqu’à cinq ans. Les deux préservent la flexibilité du matériel.

Application Tape L’application tape est un adhésif spécial semi transparent qui permet de positionner le graphisme au point souhaité. Il est en effet doté d’un adhésif peu puissant qui a la seule fonction de permettre à l’opérateur de positionner le graphisme et de le coller, et ensuite de l’enlever. Certains supports Tape peuvent être utilisés même plusieurs fois.

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Comment utiliser les films laminés En cas de réalisations pour lesquelles est prévue une exposition prolongée à l’extérieur et donc une longue durée, on utilise des films pour la lamination se fixant à l’impression au moyen d’une calandre. La lamination a lieu généralement après le processus d’impression, donc après avoir imprimé le graphisme il faudra extraire la feuille et la mettre dans la calandre pour la lamination. Ensuite, après la lamination, la feuille laminée est rechargée sur le plotter pour la découpe du graphisme. Dans ce cas, l’utilisation d’un seul périphérique permettra d’avoir un réglage et un détourage des lignes de découpe plus faciles et plus précis. Sur le périphérique Roland, on utilisera en effet le système breveté Quadralign. Remerciements à Tosingraf

Impression, lamination et découpe avec le système Roland Quadralign™ Le système Roland Quadralign™ permet à l’opérateur, grâce à l’impression de quatre petits points de lecture spécifiques sur le graphisme à détourer, de retirer la feuille imprimée pour la laminer, et, après la lamination, de la recharger. C’est une option parfaite par exemple quand on réalise différentes copies d’adhésifs pour une utilisation à l’intérieur et à l’extérieur ou des adhésifs pour véhicules. Après avoir rechargé la feuille laminée, le périphérique Roland lit automatiquement les quatre points de repère imprimés par le plotter. Ensuite, le logiciel RIP envoie le fichier pour la découpe et le plotter effectue le détourage de l’image laminée. Voilà la procédure illustrée pas à pas 1. Paramétrer les données d’impression et les parcours de découpe pour l’image, sans oublier de nommer “CutContour” la couleur non quadri associée au parcours de découpe. 2. Envoyer l’image au plotter pour l’IMPRESSION SEULE, ajoutant dans le RIP l’option d’impression avec des points de réglage optique Quadralign (figures 1 et 2). 3. Après l’impression, retirer le graphisme du plotter et réaliser la lamination requise (Figure 3). 4. Replacer ensuite l’impression laminée dans le plotter. 5. Envoyer à présent les informations de DECOUPE SEULE pour détourer le graphisme. Le système de réglage à lecture optique aligne automatiquement les parcours de découpe au graphisme imprimé et compense les éventuelles déviations ou distorsions introduites dans le support par les opérations de lamination (figures 4 et 5). 6. Eliminer le vinyle en excès du graphisme et appliquer la réalisation où on le désire (Figure 6).

Ligne de découpe “CutContour”

Figure 1. Configurations VersaWorks pour impression de graphisme et points

Figure 2. Phase d’impression

Figure 3. Lamination

Figure 4. Configurations VersaWorks pour lecture points et découpe

Figure 5. Relecture automatique des points Quadralign

Figure 6. Elimination du vinyle en excès des étiquettes

Techniques et applications

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Graphisme vitrines

La vitrine est la carte de visite de toute entreprise, magasin, centre commercial, banque ou concessionnaire. C’est un espace sur lequel communiquer et où l’on peut immédiatement mettre en évidence, dans la forme souhaitée, tous les concepts qui différencient une activité commerciale donnée. Bref, la vitrine est un véritable outil de marketing et permet de sortir immédiatement de l’anonymat de la ville ! Quand on propose un graphisme de vitrine à un client, il faut aussi souligner qu’une vitrine avec un graphisme harmonieux transmet à la clientèle un message de propreté et de sérieux, ainsi que de sérénité et de joie. En outre, la vitrine décorée se marie bien avec d’autres applications qu’on peut ensuite proposer à l’intérieur de l’activité, de façon à transmettre un seul message harmonieux.

Matériaux La décoration d’une vitrine est faite généralement en vinyle, qui peut être imprimé et découpé dans la forme désirée. Bien sûr, des vitrines colorées et capables de captiver l’attention peuvent être réalisées même avec uniquement du vinyle de découpe. L’important est de préserver les symboles du magasin ou de l’activité : logos, slogans et autres symboles graphiques doivent être parfaitement intégrés dans le projet. Grâce à ses caractéristiques de brillance, le vinyle fait bien ressortir le graphisme. Le vinyle utilisé pour la décoration des vitrines est généralement celui d’une durée supérieure. Les raisons sont évidentes : soleil, froid, pluie, mains, sueur, éraflures et autre stress typiques d’un graphisme pour extérieur.En outre, il ne doit pas se retirer, se casser, changer d’état, sous peine de recommencer le travail depuis le début.

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Installation Dans la création du graphisme, il est conseillé de miser sur des couleurs claires, plus visibles que les couleurs foncées. Ces dernières peuvent être au contraire détourée en blanc dans le cas d’un graphisme qui prévoit son emploi. La couleur foncée tend à absorber plus de lumière, soumettant la vitre à un stress intense. En outre, les défauts sont plus visibles sur le foncé. Pour les graphismes de vitrine, il est conseillé de les appliquer dehors et pas à l’intérieur, parce que les reflets sont plus vifs et attrayants et l’impact est sans aucun doute différent. A l’extérieur les graphismes sont plus rapides à installer par rapport au temps nécessaire à l’intérieur d’une vitrine.

Films microperforés pour fenêtres Outre les vinyles normaux il existe aussi des matériaux appelés One way qui sont en train de s’imposer dans la décoration des vitrines (et pas seulement, même sur les autobus, les voitures et les édifices). Ce type de matériau est une surface microperforée permettant à celui qui est dehors de voir uniquement le graphisme mais pas à l’intérieur, alors que celui qui se trouve à l’intérieur peut observer ce qui se passe à l’extérieur sans problèmes. Ce type de matériaux permet d’obtenir un excellent résultat qualitatif même si les détails plus petits sont moins visibles à cause de la microperforation.

Autres effets La décoration des vitrines peut être effectuée même en utilisant des vinyles de découpe particuliers, comme les satinés simulant l’effet du verre sablé. Pour obtenir des effets de fort impact on peut même imprimer en utilisant les nouvelles encres métallisées Roland. Dans ce cas, la lamination est toujours recommandée.

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Comment l’appliquer L’application doit toujours être exécutée sur une vitre propre nettoyée à l’aide de détergents ne laissant pas de résidus, sous peine de détérioration du pouvoir adhésif du vinyle. Pour un nettoyage parfait, utiliser d’abord un détergent spécifique et de l’eau chaude. Quand elle est sèche, on nettoiera avec de l’eau et de l’alcool isopropylique à l’aide de papier ou d’un chiffon sans laisser de résidus ni de traces. Les techniques de fixation sont deux : à sec ou sur une surface mouillée. La technique d’application sur une surface mouillée est utilisée quand on n’a pas de vinyle repositionnable et donc la probabilité d’avoir des bulles sous le vinyle est élevée, surtout quand il présente un pouvoir adhésif très fort, ou quand l’application est faite dans des journées de chaleur. Dans ce cas, l’eau refroidit la température de la vitre. Le liquide est ensuite éliminé à l’aide d’une spatule. Dans les deux techniques, les bulles éventuelles disparaissent généralement après une semaine, tout comme d’autres petits défauts de montage. Il vaut mieux éviter de faire éclater les bulles à l’aide d’une épingle parce que la lumière ensuite filtrerait à travers et on la verrait à l’intérieur du magasin. Il faut toujours avoir des matériels de pose de bonne qualité. On peut ensuite suivre des techniques d’application pour obtenir toujours un bon résultat. Par exemple s’assurer que la spatule a une superficie régulière et qu’elle ne crée pas de coupures en phase d’application. Il faut mettre toujours uniformément l’application tape sur le graphisme à transférer. Une bonne application de celui-ci évite la formation de bulles en phase d’application. Enfin, nous devons toujours maintenir une pression constante pendant l’application à l’aide de la spatule et éliminer l’application tape en le tenant à 90° degrés par rapport au vinyle appliqué.

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Vitrophanie à l’intérieur de la vitrine Au besoin, ou pour éviter l’exposition d’une décalcomanie aux agents atmosphériques qui agissent contre la vitrine, on peut positionner un graphisme à l’intérieur de la vitrine même. Comment est-il possible qu’une vitrophanie, appliquée à l’intérieur d’une vitrine, puisse ressortir à l’extérieur ? Cela est possible par le procédé de l’impression à l’envers sur vinyle transparent et l’application au dos d’une feuille de vinyle avec de la colle blanche. On imprime donc le graphisme en miroir sur un vinyle transparent, on lamine avec une feuille de vinyle blanc et on découpe en utilisant les points de repère imprimés auparavant. Cela crée un décalcomanie imprimé en miroir contraire à coller sur la vitre à l’intérieur et grâce à la feuille en vinyle blanc, elle apparaît avec des couleurs vives et brillantes. Par cette astuce, l’aspect des décalcomanies vus de l’extérieur est vraiment une autre chose par rapport à une simple impression sur un vinyle transparent. Voilà ce qu’il faut faire : 1. Imprimer seulement en mirroir (image spéculaire) sur vinyle transparent en ajoutant les points de réglage Quadralign (figures 1 et 2). S’assurer de désactiver la fonction de découpe, pour effectuer uniquement l’impression. 2. Après l’impression, retirer le graphisme du plotter (Figure 3). 3. Couper une feuille blanche de vinyle (avec colle blanche) à laminer au-dessus du film transparent. Découper pour faire en sorte que les dimensions de la feuille, pendant la lamination de l’impression transparente, couvrent entièrement le graphisme, sans couvrir cependant les points de repère optiques imprimés sur le vinyle transparent (Figure 4). 4. Laminer la feuille blanche sur l’impression sur adhésif transparent. 5. Recharger le graphisme laminé dans le plotter. 6. Envoyer les informations de découpe seule pour détourer le décalcomanie à travers le vinyle blanc et le vinyle transparent (Figure 5). 7. Automatiquement, le système Quadralign lira les points et réglera la découpe (Figure 6). 8. Enlever la pellicule du graphisme fini (Figure 7). 9. Appliquer le graphisme fini sur le côté intérieur de la vitre.

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VINYLE BLANC

VINYLE TRANSPARENT IMPRIME

Figure 1. Paramétrages VersaWorks pour impression de graphique et points de repère

VITRINE

Figure 2. Paramétrage de l’impression spéculaire

Figure 3. Impression du travail

Figure 4. Positionnement du vinyle blanc pour couvrir le graphisme

Figure 5. Paramétrages VersaWorks pour lecture points de repère et découpe

Figure 6. Lecture des points de repère au moyen du système Quadralign

Figure 7. Le travail est terminé

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Vêtements personnalisés

Si on utilise déjà un plotter Roland avec la technologie impression & découpe, il est facile de faire ses premiers pas dans le marché des vêtements personnalisés. Un des principaux points de force est la possibilité de pouvoir compter sur la gamme entière de couleurs disponibles grâce aux combinaisons de la quadrichromie. Avec l’impression numérique, on n’est pas limité aux seules couleurs spot, mais on est libre d’insérer tous les détails qu’on désire. On peut utiliser les mêmes fichiers image créés pour d’autres projets d’impression numérique sans besoin de les convertir pour la sérigraphie. Comme il n’y a pas de coûts d’installation et d’exécution, le prix devient compétitif même pour des quantités réduites et des impressions en couleurs. En outre, la qualité qu’on obtient est pratiquement photo-réaliste ! Tout ce dont on a besoin pour faire ses premiers pas est un plotter impression & découpe et un type de support particulier appelé matériel thermo-transférable. Ce matériel est expressément conçu pour des transferts à jet d’encre sur des vêtements en coton, ou coton mixte, ce qui le rend idéal pour des t-shirts, sweats, sacs, casquettes et autres articles en tissu. Le thermo-transférable est un support d’impression opaque qui peut être utilisé sur des habits clairs et foncés. Il s’imprime et se découpe aisément et il offre une saturation chromatique excellente. Il est important d’avoir à disposition un catalogue qui peut aider le client à faire son choix. Pour ce type de réalisation il est nécessaire d’acheter une presse à chaud.

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Produire des décorations pour des vêtements personnalisés Pour créer des vêtements personnalisés avec un plotter impression & découpe Roland et le matériel thermotransférable, il faut suivre les instructions ci-dessous : 1. Créer le graphisme à appliquer sur le t-shirt et le parcours de découpe correspondant en utilisant le programme de graphisme souhaité. Pour faire coïncider la couleur du bord de l’impression et celle du t-shirt il est essentiel d’utiliser la Roland Color System Library (figures 1 et 2). 2. Envoyer l’image au dispositif d’impression & découpe pour imprimer et découper sur le matériel thermo transférable. 3. L’impression étant terminée, écheniller le vinyle en excès du graphisme (figure 3). 4. Nettoyer le vêtement à l’aide d’une brosse. Cela permet d’enlever les résidus de matériel ou de fibres pouvant tacher ou décolorer l’image quand le vêtement est pressé à chaud. 5. Préchauffer la presse à chaud jusqu’à atteindre la température conseillée, généralement 150-160°C environ. Disposer de façon uniforme le vêtement et presser la zone où l’on désire appliquer le graphisme afin d’éliminer les plis éventuels. 6. Etaler uniformément sur le graphisme un support Tape adapté aux températures élevées (figure 4). 7. Positionner sur le vêtement l’image qu’on vient d’imprimer s’assurant d’avoir enlevé le liner en dessous. Sur le graphisme, positionner une feuille détachable en papier antiadhésif en silicone (Figure 5). 8. Presser l’image et le vêtement selon les paramètres de temps et de température conseillés (généralement 150-160°C pendant environ 10-15 secondes). Le temps et la température sont des facteurs fondamentaux pour une bonne réussite du transfert thermique (Figure 6). 9. Enlever attentivement l’application tape pour admirer un produit fini qui durera longtemps (figures 7 et 8). C’est fait ! Rien que quelques secondes pour produire des vêtements personnalisés fantastiques en couleurs !

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Figure 1. La Roland Color System Library pour le choix des couleurs

Figure 2. La préparation du fichier dans Adobe Illustrator

Figure 3. Imprimer le graphisme sur le matériel thermo-transférable

Figure 4. Appliquer l’application tape et enlever le liner sous l’impression

Figure 5. Positionner sur le graphisme une feuille en papier antiadhésif

Figure 6. Presser aux températures et selon les temps conseillés

Figure 7. Retirer soigneusement l’application tape

Figure 8. Admirer le produit fini

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Graphismes au sol

Quand on marche à l’intérieur d’un magasin ou d’un centre commercial, on est forcément attiré par les graphismes positionnés au sol. Chaque graphisme, de façon plus ou moins marquée, véhicule un message qui est immédiatement assimilé. Le graphisme au sol, que l’on appelle aussi floor graphic, est un des composants essentiels de la communication visuelle à l’intérieur d’un magasin, d’un shopping center, d’une quelconque activité ouverte au public, comme milieux industriels, de fabrication et entrepôts. Dans la communication visuelle, si elle est bien gérée, ce graphisme arrive à faire ressortir convenablement les particularités d’un produit ou d’un événement, qui autrement se perdrait à l’intérieur de la vaste offre qui est présente aujourd’hui dans n’importe quel magasin. Quoiqu’il soit rarement considéré comme un outil de communication efficace, le floor graphic est une des applications de l’impression numérique qui connaît un essor extraordinaire.

Son fonctionnement Généralement, tout part de ce qu’on veut communiquer et de son contexte. Dans un magasin, on peut décider de promouvoir un produit ou dans un musée on peut vouloir mettre en évidence une aire. Dans un centre commercial les activités de restauration ou les offres spéciales peuvent être exaltées par un graphisme à effet, en exploitant l’attitude naturelle des personnes de focaliser leur regard vers le bas, observant où elles marchent quand elles poussent le chariot. Le regard tombe très facilement sur le sol et ce dernier peut donc être exploité de façon efficace parce que la réponse à ce type de message est toujours très positive. Le fait de faire coïncider cette action de communication avec d’autres graphismes plus traditionnels, permet de renforcer la perception du message.

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Les endroits où utiliser le floor graphic Musées, centres commerciaux, boîtes de nuit, aéroports, halls : ce sont tous des lieux où l’on peut utiliser le floor graphic. Non seulement comme communication publicitaire, mais aussi pour signaler des avertissements ou des dangers possibles, et donc les messages de protection peuvent toucher une dimension intéressante. Quand on prépare une offre forfait de graphisme pour une activité, commerciale ou une société, on peut conseiller d’inclure aussi le graphisme au sol dans cette offre, graphiquement harmonisé avec la proposition d’ensemble.

Conseils pour le graphisme Au sol, le message doit être direct et avoir un fort impact. Couleurs vives, polices de caractères colorées et un grand corps. A éviter les couleurs claires parce que le piétinement et la saleté sont immédiatement visibles. Les polices de caractères doivent immédiatement attirer l’attention et on doit pouvoir les lire tout de suite. Le message doit être simple et direct. Le détourage a son rôle à jouer, donc l’utilisation de la fonction impression & découpe est hautement recommandée. Quand cela est possible, il vaut mieux utiliser des formes originales.

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Les matériaux Les entreprises qui produisent du vinyle ont généralement dans leur catalogue une gamme de supports pour les graphismes au sol. Ensuite sur ces matériaux sont appliqués des laminations de protection et antidérapants. Le pouvoir adhésif doit assurer qu’ils ne se détachent pas pour la durée prévue. Il faudra contrôler, au contraire, la sensibilité aux variations de température et à l’humidité, surtout dans les centres commerciaux, les expositions ou les usines, qui pourraient nuire à la stabilité de l’adhésif. Pour ces matériaux, il est conseillé de les faire s’acclimater pendant une journée au moins hors de leur emballage avant de procéder à l’impression et d’attendre ensuite la stabilisation définitive du graphisme imprimé (séchage encres, évaporation humidité, etc.) avant de le laminer. Plus l’humidité est élevée, plus le temps d’attente de la lamination sera élevé.

La lamination Les graphismes posés au sol sont soumis à une pression constante et à une usure élevée. Piétinement, saleté, graisse, matériels de nettoyage, machines pour le cirage, aspirateurs, etc. La lamination à utiliser doit donc être dédiée à la finalité. Il convient de s’informer auprès du fabricant.

Où l’appliquer Un graphisme effectué au sol peut être appliqué dans chaque espace où il y a un revêtement lisse et non poreux. Sont indiqués les sols avec des surfaces en plastique ou en céramique et les planchers. Le sol doit être intact et ne pas présenter de déformations, sous peine que la pellicule ne se détache. Nettoyer ensuite avec des substances dégraissantes spécifiques avant l’application ou bien avec des produits à base d’alcool pour les taches les plus résistantes à enlever à l’aide d’un chiffon sec avant le séchage complet du liquide. Eviter les endroits où transitent les véhicules, les entrées ou en tout cas les lieux qui se mouillent souvent parce qu’il peut y avoir des risques de glissement. Les bords doivent être complètement secs et scellés avec de la cire, pour éviter les infiltrations d’humidité.

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Adhésifs pour véhicules

Nombreux sont les véhicules qui, avec quelques impressions numériques pourraient prendre des formes différentes et amplifier le message promotionnel de l’entreprise qu’ils représentent. Il existe aujourd’hui différents matériaux spécifiques pour la personnalisation des véhicules, à couverture partielle ou totale. Ces types de vinyles facilitent la pose même sur des surfaces avec des rivets, des extrusions ou des parties irrégulières. Toutes les plus grandes marques ont à disposition dans leur catalogue des matériaux spécifiques et repositionnables. En outre, la technologie de fabrication des nouveaux adhésifs vinyliques coulés, prévoit des micro canaux qui aident l’air, resté sous le vinyle après l’application, à s’échapper facilement évitant la formation de bulles et de plis. Ces tunnels sont facilement visibles en enlevant le liner de l’adhésif ; les canaux de sortie de l’air diminuent la superficie de prise de l’adhésif permettant ainsi le repositionnement. Vu qu’ils sont repositionnables, en cas d’erreur ce type d’adhésif peut être enlevé et positionné de nouveau, sans compromettre l’impression faite. Le coût plus élevé de ces adhésifs est compensé par la possibilité de réduire les erreurs et le temps nécessaire pour un éventuel nouveau graphisme. La facilité de positionnement réduit aussi le temps d’arrêt du véhicule, ce qui réjouit le propriétaire. Ces typologies d’adhésifs, de par leurs caractéristiques, ne servent pas seulement pour des applications sur véhicule mais pour toutes les applications sur des surfaces irrégulières.

Comment s’en servir Le matériel utilisé pour le graphisme sur les véhicules est le coulé, appelé aussi PVC coulé. Ce produit, grâce à la qualité du PVC et au système de production par enduisage, ne se retire pas dans le temps, même lorsqu’il est conformé et appliqué en “bonbon” sur la surface. L’application de ce matériau est effectuée par le biais de techniques particulières. Au moyen d’un pistolet thermique il faut chauffer le matériel jusqu’à 50°C pendant son application. Enfin, après avoir terminé la décoration, il faut le fixer à 90°C pour éliminer la mémoire du matériel. Pour protéger les impressions appliquées sur les véhicules la plastification est toujours recommandée.

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LIENS UTILES

Roland Toolbar

Grâce à la barre d’outils Roland, mise à disposition par Firefox et Internet Explorer, on peut accéder rapidement aux contenus et aux profils présentés dans le guide. Elle est en outre très utile car constamment mise à jour pour le monde des Artisans Technologiques de Roland. Téléchargeable dans rolanddmefrance.ourtoolbar.com/.

Roland Forum

Partager pour se développer. Créé pour donner vie à un dialogue réciproque : le forum Roland. Une création exclusive de la maison Roland. Un espace virtuel où utilisateurs, sociétés, partenaires et fournisseurs partagent leurs expériences et s’échangent des conseils. Un lieu où les problématiques professionnelles de chacun trouveront le soutien de tous. Pour entrer en contact avec la famille Roland, une adresse unique. Libre, gratuit et immédiat : rolandforum.fr.

Roland Blog

Le carnet de bord en ligne de Roland. Pour partager des expériences, des réflexions, des évènements, des moments et des applications dans le monde. Rapprocher des opinions différentes, pour grandir ensemble. www.rolandblog.fr

Roland DG Academy

Si tu écoutes tu oublies, si tu regardes tu te souviens, mais si tu fais tu apprends. Satisfaire de la meilleure façon possible les demandes du marché. C’est pourquoi, au sein de Roland DG Mid Europe, un espace d’excellence est réservé à la formation de haut niveau professionnel : Roland DG Academy. Cours interactifs et démonstrations pratiques pour apprendre à l’utilisateur comment exploiter au maximum le potentiel des machines Roland DG. Compétences informatiques et créativité manuelle pour dessiner le profil du nouvel “Artisan en Technologie”. www.rolanddg.fr/training.html

Roland DG Creative Center

Un espace pour la créativité. Le cœur de Roland DG Mid Europe est le Roland Creative Center : le showroom fruit de la passion de toute la Communauté. Pour toucher du doigt les machines, ainsi que les surprenantes applications. Source d’inspiration pour de nouvelles opportunités de business, le Creative Center est toujours ouvert et à disposition de ceux qui veulent trouver de nouvelles suggestions et des solutions et augmenter leur propre activité. Découvrez le Roland DG Creative Center sur www.rolanddg.fr/virtual_tour.html.

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Facebook

Tout partager et avec Tous. La Page Facebook de Roland est empreinte de cette philosophie. Un espace où vous trouverez des photos d’événements, toutes sortes de contenus intéressants et innovants, où vous pourrez communiquer avec Roland et laisser vos propres commentaires sur la page : www.facebook.com/pages/Roland-DG-Mid-Europe-France.

YouTube

Vous trouverez ici un grand nombre de vidéos qui illustrent les applications extraordinaires que vous pouvez réaliser avec les machines Roland. www.youtube.com/user/RolandDGFrance.

Issuu

Un espace On-line dédié aux publications et procédures techniques, approfondies et détaillées. L’occasion rêvée pour perfectionner son travail. issuu.com/rolanddgfrance

Les marques citées et les images appartiennent à leurs propriétaires respectifs. ECO-SOL MAX, VersaWorks, VersaCAMM sont des marques enregistrées Roland. Utilisation accordée sur autorisation préalable.

Impression et découpe compact avec encre métallique BN-20

Hammer

Depuis 1995 Roland conçoit et fabrique des périphériques pour l’impression grand format qui intègrent la fonction de découpe du vinyle. Imprimer et découper le contour sur supports adhésifs dans la forme souhaitée en utilisant un seul périphérique d’impression et découpe. Beaucoup d’applications réalisables avec une facilité unique dans son genre. Plus d’informations sur les produits Roland pour l’impression et la découpe sur www.rolanddg.fr

Impression & découpe SP-300i et SP-540i

Le guide Roland impression & découpe a été réalisé par : Vittorio Neri et Daniele Cogo Roland DG Mid Europe www.rolanddg.it Impression & découpe avec encre métallique série VS

A collaboré à l’amélioration de ce guide : Davide Boggian HV ArtiGrafiche www.hvartigrafiche.it

Impression & découpe avec encre métallique XC-540 MT

Impression & découpe XC-540

Roland DG Mid Europe S.R.L. 4 rue Paul-Henry Spaak 77400 St. Thibault des Vignes - FRANCE Tél (+33) 01.60.07.90.49 - Fax (+33) 01.60.07.90.53 dgsales@rolanddme.com Showroom Lyon Bâtiment Les Érables - 36 avenue Général de Gaulle 69110 Sainte Foy lès Lyon - FRANCE www.rolanddg.fr

Regardez Roland sur votre portable

DME_122011

Impression & découpe avec encres UV série LEC