POCKET SPACES : Épuisement des lieux 01 | PFE

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ERRANCE 1

POCKET SPACES ÉPUISEMENTS

17.03.21 — 30.04.21


Types de...

Pocket spaces

Chancre urbain

Dent creuse

Espace perdu

Avancée de façade

Renfoncement

Angle de rue

Retrait de façade

Faille

Carrefour

Porte-à-faux

Parking

Liste non-exhaustive 2


Errants urbains Sans domicile fixe Vagabonds Enfants des rues Mendiants Enfants Touristes Couples Etudiants Animaux Personnes âgées Délinquants Toxicomanes Drogués Alcooliques Dealers

Liste non-exhaustive 3


8,7 kilomètres 3 heures

Plan de localisation - Forest/Saint-Gilles 4


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La date : 23.04.21 L’heure : 14h12 Le lieu : Le temps : Ciel bleu et dégagé. Soleil. Légère Brise. Relevé rapide de quelques-uns des éléments strictement visibles : — Un homme, seul, s’est posé sur l’herbe au centre du giratoire et prend le soleil. — Quelques voitures passent : deux d’entre elles se garent en créneau sur les places de l’Avenue Neptune. — Un vieux monsieur promène son chien, l’animal fait ses besoins sur le trottoir en bas d’un immeuble, le monsieur ramasse les excréments dans un sac et le jette dans une poubelle. — Deux femmes, avec une poussette chacune, discutent sur le trottoir. — Des cyclistes passent s’en s’arrêter.

Trajectoires : Les bus 48 et 54 desservent l’arrêt Mystère Les bus 37 et 70 desservent l’arrêt Coghen Le tram 51 dessert l’arrêt Coghen

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La date : 23.04.21 L’heure : 14h29 Le lieu : Ancien parking de l’hôpital Molière-Longchamps Le temps : Ciel bleu et dégagé. Soleil. Légère Brise. Relevé rapide de quelques-uns des éléments strictement visibles : — Grillage anti-stationnement devant le parking et une partie désaffectée du bâtiment de l’hôpital : un vélo est accroché au grillage. — Situé en face du parc Marconi. — Présence d’affaires d’enfants (sacs, manteaux, etc.) sur un banc du parc : juste à côté, une bande d’enfants encadrés par deux animatrices (gilets jaunes) jouent à des jeux (éveil pour les petits). — Par terre, sur le trottoir, une petite voiture (jouet en plastique violet) est égarée. — Une maman et son bébé dans une poussette passent sans s’arrêter. — Un homme à vélo et une autre avec son sac cabas traversent le parc. — Deux petits garçons à vélo avec leur papa s’arrêtent sur une structure en bois présente dans le parc pour boire un jus de fruits et manger des biscuits. — Un sans abri fait une sieste sur les gabions à l’entrée du parc, au soleil. — Dans cet endroit de la ville, personne ne porte de masque, pourtant obligatoire en ce moment.

Trajectoires : Les bus 37, 48 et 70 desservent l’arrêt Timmermans

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La date : 23.04.21 L’heure : 14h42 Le lieu : Local électrique de l’hôpital Molière-Longchamp Le temps : Ciel bleu et dégagé. Soleil. Légère Brise. Relevé rapide de quelques-uns des éléments strictement visibles : — Des pots avec des plantes ont été installés devant les portes des locaux techniques pour embellir l’espace. — Une maman passe avec son enfant dans une poussette. — Une autre passe avec son fils en lui tenant la main. — Deux hommes passent, ils marchent à pas décidé. L’un a un sac à dos, sûrement un étudiant, l’autre une malette de travail. — Un autre homme les succède, il marche plus lentement (balade). — Une troisième maman passe avec une poussette, deux des enfants passent en courant, reviennent, repartent et s’amusent à jouer au chat et à la souris. — Une jeune fille passe à vélo avec un casque dans les oreilles, elle fredonne la mélodie de la chanson qu’elle écoute. — Aucun des individus ne s’est arrêté pour observer ou profiter du lieu. — Un horodateur est présent sur le trottoir. — Une dernière femme passe avec une tarte et un soda en main.

Trajectoires : Les bus 37, 48 et 70 desservent l’arrêt Molière-Longchamp

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La date : 18.03.21 L’heure : 17h09 Le lieu : Carrefour rues Rodenbach/Vanden Corput/Berkendael Le temps : Ciel gris et nuageux. Pluies éparses. Vent désagréable et froid. Relevé rapide de quelques-uns des éléments strictement visibles : — Présence de bancs à tous les angles du carrefour sauf sur celui où un sans abris discute avec deux policiers à scooter : ils promettent au SDF de ne pas venir le déranger où il aura installé ses affaires à cause de la situation actuelle qui rend sa vie dans la rue de plus en plus compliquée. — Une femme au téléphone fait des allers et venues devant l’épicerie fine à l’angle de la rue Rodenbach : elle discute avec son interlocuteur à propos de son loyer impayé, puis elle raccroche et rentre dans l’épicerie. Une dame sort de l’épicerie au même moment et s’en va. — Assis à la fenêtre, deux hommes discutent en fumant une cigarette et en buvant un soda. — Un couple passe main dans la main, ils rient ensemble mais, ils sont interrompus par une jeune femme qui les interpellent. Ils semblent se connaître puisque la passante dit au couple de passer à la banque pour une transaction. — Plusieurs vélos sont attachés à des bornes et un scooter est posé contre un panneau sens interdit. — D’un coup, cinq véhicules passent et une des voitures se gare. — Deux hommes au téléphone passent et récupèrent leurs vélos dans la cyclobox. — Un petit garçon et sa maman passent. Le petit explique à sa maman qu’il a appris qu’il fallait qu’il demande la permission de toucher quelque chose avant de le faire, ce qu’elle lui confirme. Il poursuit sa route tout content, en sautillant et en tenant la main de sa maman. — Une jeune fille au téléphone passe. Elle parle sûrement avec sa maman puisqu’elle dit à son interlocuteur : « c’est drôle maman hein, d’éléver son enfant toute seule ». Sur le trottoir d’en face, elle rejoint une amie et raccroche pour poursuivre sa route en discutant avec elle. — Une femme d’un certain âge traverse le carrefour en diagonal. — Une voiture passe, à pleine vitesse, son pare-choc racle le goudron d’un dos d’âne et craque. — Un papa et son fils passent, ils poussent la porte d’un immeuble et rentrent chez eux. — Une dame passe près d’un des bancs, l’essuie et s’assoie dessus quelques minutes parce qu’elle dit avoir mal aux jambes puis elle reprend sa marche. — Les deux hommes à la fenêtre partent. — Deux portugaises passent et discutent au sujet d’une vieille dame qu’elles viennent de croiser au supermarché et qui avait une tête toute mignonne. — Un papa et son fils jouent au policier et au voleur, le sans abris leur demande de l’argent tandis que les deux policiers ont poursuivi leur chemin : le papa lui donne un euro. — Deux hommes, qui s’étaient posés sur deux des bancs pour boire, se lèvent et rentrent chez eux. Trajectoires : Les trams 3, 4 et 51 desservent l’arrêt Berkendael

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La date : 17.04.21 L’heure : 11h23 Le lieu : Avenue Albert Le temps : Ensoleillé. Chaleur. Pas de vent. Ombrage par la canopée des arbres. Relevé rapide de quelques-uns des éléments strictement visibles : — Un banc. — Une poubelle. — Deux horodateurs. — Deux cyclobox. — Des outils pour la peinture et un pot de sous-couche vide. — Petit parvis séparant une route et permettant aux trams de passer en souterrain. — Plusieurs vélos sont attachés à des bornes, trois scooters sont garés près des vélos et toutes les places de parking sont prises par des voitures. — Une des voitures quitte son stationnement, une autre prend sa place. La personne qui en sort ne paye pas son ticket de stationnement et poursuit sa route à pied. — Sur un panneau dédié aux affiches, une feuille de papier glaçé indique la réouverture d’une exposition « L’Amérique Latine éraflée ». — Un homme dans sa camionnette est arrêté au feu rouge, il est au téléphone avec le son du bluetooth à fond ce qui permet à tout le monde d’entendre ce que son interlocuteur lui dit. — À la fenêtre d’une habitation, une banderole est suspendue : « Justice pour Adil ». — Personne ne passe par le séparateur de route pour séjourner dessus. — Plusieurs bruits de klaxon résonnent sur la route, une voiture met trop de temps à démarrer, les autres utilisateurs s’impatientent. — Les voies se dégagent et plusieurs minibus avec des enfants dedans, sûrement en sortie scolaire, passent devant le parvis. Des bus de la ville les succèdent. — Une autre voiture quitte son stationnement, quelques secondes plus tard, une autre prend sa place. Un homme sort du véhicule, on voit un string dépasse de son jean qui tombe. Il se dirige vers l’horodateur, paye son ticket, le dépose sur le tableau de bord de sa voiture et s’éloigne, sans remonter son pantalon. Puis il revient, pour vérifier qu’il a bien fermé les portes de la voiture. Il repart et après quelques secondes, il revient pour revérifier. Il renouvelle l’opération deux ou trois fois et s’éloigne définitivement (TOC ?). — Deux hommes transportant un canapé démonté traversent le parvis en diagonal et déposent le meuble dans le coffre de leur camionnette garée un peu plus loin. — D’un coup, un tremblement parcourt le sol. Un tram sort du souterrain pour rejoindre la surface. Trajectoires : Les trams 3, 4 et 51 desservent l’arrêt Albert Les bus 37, 48, 54 et 70 desservent l’arrêt Albert

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La date : 23.04.21 L’heure : 15h34 Le lieu : Angle de la maison communale Le temps : Ciel bleu et dégagé. Soleil. Légère Brise. Relevé rapide de quelques-uns des éléments strictement visibles : — Un parc à chiens. — Un parc à plantation avec trois petits arbres plantés. La commune met ce bout de parcelle à la disposition d’associations de protection de la flore en ville pour sensibiliser les enfants qui sont invités à participer à la plantation d’arbres dans ces espaces réservés. — Un homme promène son chien qui passe devant le parc à chiens (propre), ne s’y arrètent pas et défèque sur le trottoir. Son propriétaire ramasse l’excrément dans un sac plastique. — Un homme est assis sur le rebord du parc à chiens et regarde les passants marcher. — Face à lui, une station de réparation de vélos a été installée pour aider les cyclistes qui déraillent. — Un radar 30 a été installé pour inciter les gens à rouler plus doucement. Il flashe un véhicule lancé à pleine vitesse. — Plusieurs personnes passent en marchant, toutes au téléphone, personne ne s’arrête. — Une voiture passe, la musique à fond. — Un sans abri a posé ses affaires près du parc à plantation et dort au soleil. — Un homme sur son vélo passe en fredonnant la mélodie d’une chanson. — Une maman et sa petite fille passent. — Deux jeunes hommes passent en discutant, soda en main : « Mon ex, elle disait la même chose ». — Un vendeur de boissons à vélo passe en criant son slogan. — « B I S O U S » inscrit sur des feuilles A4 collées à une fenêtre au troisième étage d’un immeuble. Au balcon, un homme fume assis sur une chaise. — Une maman et son fils jouent en passant. — Plusieurs vélos sont accrochés à des bornes. — Un autre sans abri fait des allers et venues en divagant sur le trottoir, une bière à la main.

Trajectoires : Les trams 81 et 97 desservent l’arrêt Lombardie Les trams 3, 4 et 51 desservent l’arrêt Horta Le bus 54 dessert l’arrêt Prison

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La date : 29.03.21 L’heure : 21h30 Le lieu : Dessus de garage rue du Mont-Blanc Le temps : Nuit noire et froide. Pas de vent ou d’intempérie. Relevé rapide de quelques-uns des éléments strictement visibles : — Un horodateur. — Derrière les garages, dans les jardins, une échelle est dans un arbre pour l’élagage. — Un jeune taggeur se fait surprendre alors qu’il est en train de peindre à la bombe le mur de brique des garages privés. Une dame, qui rentre chez elle, sort de son véhicule pour l’interrompre et le menace d’appeler la police. — Un autre jeune s’enfuit en courant, il était sûrement en train de s’amuser à vandaliser le mur avec son ami. — Les voisins, intrigués par les bruits et les cris, sortent un à un de chez eux pour comprendre la situation. Le jeune taggeur part à son tour en laissant les bombes couler sur le sol. — Après leur départ, la dame ramasse les bombes et tente de nettoyer le mur en vain. Elle finit par contacter la police. — Quelques jours plus tard, les tags sont toujours là.

Trajectoires : Les trams 81, 92, 97 desservent l’arrêt Janson

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La date : 23.04.21 L’heure : 16h06 Le lieu : Balcon du Parc Pierre Paulus et de la maison Pelgrims, rue de Parme Le temps : Ciel bleu et dégagé. Soleil. Légère Brise. Relevé rapide de quelques-uns des éléments strictement visibles : — Surplombant le parc en contrebas, un arbre est érigé dans un parterre. — Endroit quasi désert avec un jeune posé sur la murette qui roule un joint, l’allume et le fume. Puis il part en allumant son enceinte qui joue un morceau de rap. — Un sac de couchage se trouve au pied de l’arbre accompagné des affaires et de la nourriture d’un sans abri, sûrement parti faire un tour ou assis dans le parc. — Depuis le parvis, on observe des enfants dans le parc, installés en ronde pour une sortie scolaire. — Quelques familles sont installées dans le parc en train de prendre le goûter et de jouer à des jeux avec les enfants. — Devant le parvis, dans la rue, un homme charge le toit de sa voiture (sofa démonté). — Juste à côté, une nacelle déménage un appartement en faisant descendre des meubles les uns après les autres. Une table, puis un buffet et un lit sont descendus par la machine. — Sur le garde corps du balcon, une chaîne de vélo est attachée, sans vélo. — Un papa crie dans le parc : « Malik ! Ça suffit ! » Il ressort du parc avec l’enfant sur les épaules. — Autour du balcon, il y a de la vie alors que sur le parvis de ce balcon, tout est mort. C’est une sorte de debarras de la ville avec un point de vue sur le parc. — En souterrain, plusieurs lignes de tram circulent pour desservir le quartier alentour : Saint-Gilles.

Trajectoires : Les trams 3, 4, 51 desservent l’arrêt Parvis de Saint-Gilles Le bus 48 dessert l’arrêt Parvis de Saint-Gilles Les bus 123, 136, 365a et W desservent l’arrêt Rue Hôtel des Monnaies

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La date : 23.04.21 L’heure : 16h26 Le lieu : Square Julien Dillens Le temps : Ciel bleu et dégagé. Soleil. Légère Brise. Relevé rapide de quelques-uns des éléments strictement visibles : — Trafic intense dans la rue. — Un couple mange des biscuits en discutant assis sur les installations autour des arbres. — Les bancs devant le basic fit sont tous sales, remplis de déchets (barquettes de fruits, mégôts de cigarettes, traces de sauce) et dégageant une forte odeur d’urine. Sur l’un d’eux, un sans abri est assis et observe les passants. D’un coup, il se met à crier sous les effets de l’alcool, semble-t-il (autour de lui, de nombreuses canettes de bières sont écrasées au sol). — Devant la laverie automatique, Primus Wash, plusieurs sans abris font la queue avec des sacs pour nettoyer leurs affaires. L’un d’eux en sort et se dirige vers la rue de la Source dans laquelle des affaires sont restées devant le porche d’entrée de la résidence d’aparthotel La Source. — À côté du Primus Wash, un échafaudage est en place pour la rénovation d’un immeuble de rapport quatre unités. — Juste après ce bâtiment en travaux, une école internationale de théâtre est fermée pour cause de covid. — De l’autre côté du square, Ginkgo, patisserie, et le Dillens, traiteur local, accueillent plusieurs clients. Le restaurant Chez Adrien, quant à lui, est fermé, à cause du covid aussi. — Le Night Shop, Lycamobile, est ouvert. Deux policiers entrent et ressortent quelques minutes plus tard avec des boissons. Entre temps, d’autres personnes entrent et sortent avec des petits achats. — Sur la place, un monument en pierre bleue (matériau typique en Belgique) est érigé à la mémoire de David Susskind (1925-2011), homme de paix et fondateur du centre communautaire laïc juif (CCLJ). — Juste derrière le monument, des hommes partagent une boisson tout en rigolant aux éclats. Ils ont l’air sales sur eux, difficile de dire si ce sont des sans abris ou des personnes errantes (ivrognes). — Un autre, tout près d’eux, mange dans son duvet avec tous ses sacs autour de lui. — En face de cet homme, une jeune femme s’arrête pour s’asseoir sur les installations en bois autour de l’arbre, près du monument en pierre. Elle pose ses sacs de courses, allume une cigarette, la fume et après quelques minutes, elle poursuit son chemin avec ses courses en main. Trajectoires : Les métros 2 et 6 desservent l’arrêt Hôtel des Monnaies Les bus 123, 136, 365a et W desservent l’arrêt Rue Hôtel des Monnaies

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La date : 23.04.21 L’heure : 16h40 Le lieu : Placette rue de l’Église Le temps : Ciel bleu et dégagé. Soleil. Légère Brise. Relevé rapide de quelques-uns des éléments strictement visibles : — Cinq bancs individuels en béton sont installés sur le petit parvis, deux sans abris d’un certain âge sont assis et discutent, boisson en main. Une dame assise un peu plus loin lit un livre. — Une poubelle remplie de déchets. — Une cyclobox est installée tout près des barrières de chantier encerclant des outils de travaux publics sur ce qui semble être un parking. — Sept arbres ont été plantés et donnent de l’ombre sur les pavés. — Plusieurs personnes passent, un homme marche près de moi et m’interpelle pour savoir ce que j’écris sur mon carnet de notes. Je lui explique, il poursuit son chemin. — Deux voitures passent, le bus 48 passe et s’arrête au niveau de l’église pour faire descendre des passagers et en faire monter d’autres.

Trajectoires : Le bus 48 dessert l’arrêt Parvis de Saint-Gilles Les trams 3, 4 et 51 desservent l’arrêt Parvis de Saint-Gilles

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La date : 23.04.21 L’heure : 16h48 Le lieu : Placette rue de l’Église Le temps : Ciel bleu et dégagé. Soleil. Légère Brise. Relevé rapide de quelques-uns des éléments strictement visibles : — Cinq bancs individuels en béton sont installés sur le petit parvis. Des personnes se sont appropriés les assises en mettant des morceaux de cartons pour les rendre plus confortables et moins froides. — Après le départ des gens qui s’étaient installés sur les bancs, des déchets marquant leur présence quelques minutes plus tôt sont restés. — Plusieurs vélos traversent la placette sans s’arrêter. — Un groupe de jeunes passent. — Un groupe de sans abris remontent la rue en direction du Parvis de Saint-Gilles pour aller à l’Ilôt. Cette association s’occupe d’accompagner les personnes dans le besoin à sortir du sans abrisme. Ceci peut expliquer la grande quantité de sans abris près du Parvis et de l’église.

Trajectoires : Le bus 48 dessert l’arrêt Parvis de Saint-Gilles Les trams 3, 4 et 51 desservent l’arrêt Parvis de Saint-Gilles

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La date : 23.04.21 L’heure : 17h03 Le lieu : Angle de rue devant l’hôtel NH Stéphanie (rues Jourdan/Bosquet) Le temps : Ciel bleu et dégagé. Soleil. Légère Brise. Relevé rapide de quelques-uns des éléments strictement visibles : — Six bacs avec des plantes de différentes sortes (Courgette, Jonc, Bambou, Rose) sont installés devant le dépose personne de l’hôtel NH Stéphanie. — Une voiture est garée sous le porche d’entrée, personne n’est dans l’habitacle. — Un sans abri dort entre les deux cendriers en béton, entouré par les bancs de plantes. — Un skateur passe dans la rue, il tente une figure dans la descente de la rue et tombe ce qui réveille le sans abri qui se met à lui crier dessus et à lui courir après. Le jeune s’enfuit en roulant. — En face de l’hôtel, une toilette mobile de chantier est posée sur un emplacement de parking alors qu’il n’y a de travaux nulle part. — Le sans abri revient et ramasse ses affaires puis il part avec ses sacs sur le dos. — Deux jeunes femmes promènent un chien en rigolant. — Trois personnes sortent de l’hôtel pour rejoindre la voiture et s’en vont.

Trajectoires : Les métros 2 et 6 desservent l’arrêt Hotel des Monnaies Les trams 8, 92, 93 et 97 desservent l’arrêt Louise Le bus 33 dessert l’arrêt Louise

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La date : 23.04.21 L’heure : 17h11 Le lieu : Parvis de l’église Sint Bernardus Le temps : Ciel bleu et dégagé. Soleil. Légère Brise. Relevé rapide de quelques-uns des éléments strictement visibles : — Quelques jours auparavant, deux sans abris se sont arrêtés devant le parvis, étonnés de ne pas retrouver leur tente et leurs affaires à cause des travaux qui venaient de s’engager sur l’église. — L’église est toujours en travaux et les grilles sont fermées pour bloquer l’accès aux visiteurs. — À côté de l’église, Hubbie, un organisme de soutien et de services aux personnes en situation de handicap est ouvert. Deux jeunes en sortent et discutent avec l’aide soignante en néerlandais et partent. Deux autres entrent et parlent avec la dame à moitié français et néerlandais, elle leur expliquent les procédures à suivre à l’intérieur du bâtiment, calmement pour qu’ils comprennent bien. Ils entrent en remettant leurs masques correctement en place. — Un vélo est attaché au lampadaire, sans sa roue avant et sa selle. — Des poubelles sont entreposées autour de la poubelle de déchets publics pour le ramassage. — Un couple passe main dans la main. — Une ambulance passe sirène allumée. — Le silence s’installe et plus aucun bruit ne se fait entendre.

Trajectoires : Les trams 92 et 97 desservent l’arrêt Faider

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