infosantésuisse dossier Nr 1/2010_F

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infosantésuisse : Dossier SwissDRG


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Sommaire

1 Loi p1

11 Introduction du nouveau financement hospitalier (en allemand seulement)

12 Forum SwissDRG 2008

(certains documents sont en allemand)

206 Projet SwissDRG et soins infirmiers

(en allemand seulement)

339 Résumé du Projet SwissDRG et soins infirmiers 345 Plan d’action entre le canton de Zurich, la CSS, Helsana, Sanitas et Swica (en allemand seulement) 352 Communiqué de presse de l’OFS sur la durée d’hospitalisation 357 Etat de l’introduction des systèmes de DRG en Suisse : le point de vue des assureurs-maladie : une contribution de Stefan Kaufmann à un livre (en allemand seulement) 369 Attentes de santésuisse vis-à-vis des cantons, des hôpitaux en maitère de négociations tarifaires avec les DRG


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 1

Loi fédérale sur l’assurance-maladie (LAMal) (Financement hospitalier) Modification du 21 décembre 2007 L’Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu le message du Conseil fédéral du 15 septembre 20041, arrête: I La loi fédérale du 18 mars 1994 sur l’assurance-maladie2 est modifiée comme suit: Art. 21, al. 4 Dans le cadre de la surveillance de l’application de la présente loi, les assureurs doivent communiquer chaque année à l’office les données concernant la facturation des prestations et l’activité d’assurance.

4

Art. 21a, al. 2 Dans des cas particuliers, l’office peut, d’entente avec le canton, lui confier le soin de procéder auprès des assureurs aux examens prévus à l’art. 21, al. 3.

2

Art. 22a

Données des fournisseurs de prestations

Les fournisseurs de prestations doivent communiquer aux autorités fédérales compétentes les données qui sont nécessaires pour surveiller l’application des dispositions de la présente loi relatives au caractère économique et à la qualité des prestations. Les indications suivantes doivent notamment être communiquées:

1

1 2

a.

le genre d’activité, l’infrastructure et l’équipement, la forme juridique;

b.

l’effectif du personnel et le nombre de places de formation ainsi que leur structure;

c.

le nombre de patients et la structure de leur effectif, sous une forme anonyme;

d.

le genre, l’ampleur et les coûts des prestations fournies;

e.

les charges, les produits et le résultat d’exploitation;

f.

les indicateurs de qualité médicaux.

FF 2004 5207 RS 832.10

2004-1367

2049


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 2 Assurance-maladie (Financement hospitalier). LF

RO 2008

Les personnes physiques ou morales interrogées sont soumises à l’obligation de renseigner. Les données doivent être mises gratuitement à disposition.

2

Les données sont collectées par l’Office fédéral de la statistique. Celui-ci met à la disposition de l’Office fédéral de la santé publique, du Surveillant fédéral des prix, de l’Office fédéral de la justice, des cantons et des assureurs ainsi que des institutions figurant à l’art. 84a, les données par fournisseur de prestations énumérées à l’al. 1 aux fins de l’application de la présente loi. Ces données sont publiées.

3

Le Conseil fédéral édicte des dispositions détaillées sur la collecte, le traitement, la transmission et la publication des données, dans le respect du principe de la proportionnalité.

4

Art. 23

Statistiques

L’Office fédéral de la statistique établit les bases statistiques nécessaires à l’examen du fonctionnement et des effets de la présente loi. Il collecte auprès des assureurs, des fournisseurs de prestations et de la population les données nécessaires à cet effet.

1

Les personnes physiques ou morales interrogées sont soumises à l’obligation de renseigner. Les informations doivent être mises gratuitement à disposition.

2

Le traitement de données à des fins statistiques est régi par la loi du 9 octobre 1992 sur la statistique fédérale3.

3

Art. 25, al. 2, let. a, phrase introductive, e, f et fbis 2

Ces prestations comprennent: a.

les examens, traitements et soins dispensés sous forme ambulatoire, au domicile du patient, en milieu hospitalier ou dans un établissement médicosocial par:

e.

le séjour à l’hôpital correspondant au standard de la division commune;

f.

abrogée

fbis. le séjour en cas d’accouchement dans une maison de naissance (art. 29); Art. 29, al. 2, let. b 2

Ces prestations comprennent: b.

l’accouchement à domicile, dans un hôpital ou dans une maison de naissance ainsi que l’assistance d’un médecin ou d’une sage-femme;

Art. 35, al. 2, let. i 2

Ces fournisseurs de prestations sont: i.

3

les maisons de naissance; RS 431.01

2050


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Art. 38, première phrase Le Conseil fédéral règle l’admission des fournisseurs de prestations énumérés à l’art. 35, al. 2, let. c à g, i et m. … Art. 39, al. 2, 2bis, 2ter et 3 2

Les cantons coordonnent leurs planifications.

Dans le domaine de la médecine hautement spécialisée, les cantons sont tenus d’établir conjointement une planification pour l’ensemble de la Suisse. Si les cantons n’effectuent pas cette tâche à temps, le Conseil fédéral détermine quels hôpitaux figurent pour quelles prestations sur les listes cantonales. 2bis

Le Conseil fédéral édicte des critères de planification uniformes en prenant en considération la qualité et le caractère économique. Il consulte au préalable les cantons, les fournisseurs de prestations et les assureurs.

2ter

Les conditions fixées à l’al. 1 s’appliquent par analogie aux maisons de naissance, aux établissements, aux institutions et aux divisions d’établissements ou d’institutions qui prodiguent des soins, une assistance médicale et des mesures de réadaptation à des patients pour une longue durée (établissements médico-sociaux).

3

Art. 41, al. 1, 1bis, 1ter, 2, 3 et 3bis En cas de traitement ambulatoire, l’assuré a le libre choix entre les fournisseurs de prestations admis et aptes à traiter sa maladie. L’assureur prend en charge les coûts jusqu’à concurrence du tarif applicable au lieu de résidence ou de travail de l’assuré ou dans les environs.

1

1bis En cas de traitement hospitalier, l’assuré a le libre choix entre les hôpitaux aptes à traiter sa maladie et figurant sur la liste de son canton de résidence ou celle du canton où se situe l’hôpital (hôpital répertorié). En cas de traitement hospitalier dans un hôpital répertorié, l’assureur et le canton de résidence prennent en charge leur part respective de rémunération au sens de l’art. 49a jusqu’à concurrence du tarif applicable pour ce traitement dans un hôpital répertorié du canton de résidence. 1ter

L’al. 1bis s’applique par analogie aux maisons de naissance.

Si, pour des raisons médicales, l’assuré se soumet à un traitement ambulatoire administré par un autre fournisseur de prestations, l’assureur prend en charge les coûts correspondant au tarif applicable à cet autre fournisseur.

2

Si, pour des raisons médicales, l’assuré se soumet à un traitement hospitalier fourni par un hôpital non répertorié du canton de résidence, l’assureur et le canton de résidence prennent à leur charge leur part respective de rémunération au sens de l’art. 49a. A l’exception du cas d’urgence, une autorisation du canton de résidence est nécessaire.

3

3bis Sont réputés raisons médicales au sens des al. 2 et 3 le cas d’urgence et le cas où les prestations nécessaires ne peuvent pas être fournies:

a.

au lieu de résidence ou de travail de l’assuré ou dans les environs, s’il s’agit d’un traitement ambulatoire; 2051


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 4 Assurance-maladie (Financement hospitalier). LF

b.

RO 2008

dans un hôpital répertorié du canton de résidence de l’assuré, s’il s’agit d’un traitement hospitalier.

Art. 41a

Obligation d’admission

Dans les limites de leurs mandats de prestations et de leurs capacités, les hôpitaux répertoriés sont tenus de garantir la prise en charge de tous les assurés résidant dans le canton où se situe l’hôpital (obligation d’admission).

1

Pour les assurés résidant hors du canton où se situe l’hôpital répertorié, l’obligation d’admission ne s’applique que si elle est basée sur des mandats de prestations ainsi que dans les cas d’urgence.

2

3

Les cantons veillent au respect de l’obligation d’admission.

Art. 42, al. 2 et 3 Assureurs et fournisseurs de prestations peuvent convenir que l’assureur est le débiteur de la rémunération (système du tiers payant). En cas de traitement hospitalier, l’assureur, en dérogation à l’al. 1, est le débiteur de sa part de rémunération.

2

Le fournisseur de prestations doit remettre au débiteur de la rémunération une facture détaillée et compréhensible. Il doit aussi lui transmettre toutes les indications nécessaires lui permettant de vérifier le calcul de la rémunération et le caractère économique de la prestation. Dans le système du tiers payant, l’assuré reçoit une copie de la facture qui a été adressée à l’assureur. En cas de traitement hospitalier, l’hôpital atteste la part du canton et celle de l’assureur de manière séparée. Le Conseil fédéral règle les détails.

3

Art. 47, al. 2 S’il n’existe aucune convention tarifaire pour le traitement ambulatoire d’un assuré hors de son lieu de résidence, de son lieu de travail ou des environs ou encore pour le traitement hospitalier d’un assuré hors de son canton de résidence, le gouvernement du canton où le fournisseur de prestations est installé à titre permanent fixe le tarif. 2

Art. 49

Conventions tarifaires avec les hôpitaux

Pour rémunérer le traitement hospitalier, y compris le séjour à l’hôpital (art. 39, al. 1) ou dans une maison de naissance (art. 29), les parties à une convention conviennent de forfaits. En règle générale, il s’agit de forfaits par cas. Les forfaits sont liés aux prestations et se basent sur des structures uniformes pour l’ensemble de la Suisse. Les partenaires à une convention peuvent convenir que des prestations diagnostiques ou thérapeutiques spéciales ne sont pas comprises dans le forfait mais facturées séparément. Les tarifs hospitaliers sont déterminés en fonction de la rémunération des hôpitaux qui fournissent la prestation tarifée obligatoirement assurée, dans la qualité nécessaire, de manière efficiente et avantageuse.

1

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RO 2008

2 Les partenaires tarifaires instituent, conjointement avec les cantons, une organisation compétente pour l’élaboration, le développement, l’adaptation et la maintenance des structures. Pour financer ces activités, une contribution couvrant les coûts peut être prélevée par cas facturé. Les hôpitaux doivent à cet effet livrer à l’organisation les données nécessaires sur les coûts et les prestations. Si une telle organisation fait défaut, le Conseil fédéral l’institue de manière contraignante pour les partenaires tarifaires. Les structures élaborées par l’organisation et leurs adaptations sont soumises par les partenaires tarifaires au Conseil fédéral pour approbation. Si les partenaires ne peuvent s’entendre sur les structures, le Conseil fédéral les fixe.

Les rémunérations au sens de l’al. 1 ne comprennent pas les parts que représentent les coûts des prestations d’intérêt général. Ces prestations comprennent en particulier:

3

a.

le maintien des capacités hospitalières pour des raisons de politique régionale;

b.

la recherche et la formation universitaire.

En cas d’hospitalisation, la rémunération s’effectue conformément au tarif applicable à l’hôpital au sens de l’al. 1, tant que le patient a besoin, selon l’indication médicale, d’un traitement et de soins ou d’une réadaptation médicale en milieu hospitalier. Si cette condition n’est plus remplie, le tarif selon l’art. 50 est applicable.

4

Les rémunérations au sens des al. 1 et 4 épuisent toutes les prétentions de l’hôpital quant aux prestations prévues par la présente loi.

5

Les parties à une convention conviennent de la rémunération du traitement ambulatoire.

6

Les hôpitaux doivent disposer d’instruments de gestion adéquats; ils doivent en particulier, selon une méthode uniforme, tenir une comptabilité analytique ainsi qu’une statistique de leurs prestations pour calculer leurs coûts d’exploitation et d’investissement et classer leurs prestations. Ces instruments doivent comprendre toutes les données nécessaires pour juger du caractère économique, pour procéder à des comparaisons entre hôpitaux et pour établir la tarification ainsi que la planification hospitalière. Les gouvernements cantonaux et les partenaires tarifaires peuvent consulter les pièces.

7

En collaboration avec les cantons, le Conseil fédéral fait procéder à l’échelle nationale à des comparaisons entre hôpitaux – qu’il publie par la suite – en ce qui concerne notamment les coûts et la qualité des résultats médicaux. Les hôpitaux et les cantons doivent livrer les documents requis à cette fin.

8

Art. 49a

Rémunération des prestations hospitalières

Les rémunérations au sens de l’art. 49, al. 1, sont prises en charge par le canton et les assureurs, selon leur part respective.

1

Le canton fixe pour chaque année civile, au plus tard neuf mois avant le début de l’année civile, la part cantonale pour les habitants du canton. Celle-ci se monte à 55 % au moins.

2

2053


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Le canton de résidence verse sa part de la rémunération directement à l’hôpital. Les modalités sont convenues entre l’hôpital et le canton. L’assureur et le canton peuvent convenir que le canton paie sa part à l’assureur, et que ce dernier verse les deux parts à l’hôpital. La facturation entre l’hôpital et l’assureur est réglée à l’art. 42.

3

Les assureurs peuvent conclure avec les hôpitaux ou les maisons de naissance non répertoriés au sens de l’art. 39, mais qui remplissent les conditions fixées aux art. 38 et 39, al. 1, let. a à c, des conventions sur la rémunération des prestations fournies au titre de l’assurance obligatoire des soins. Cette rémunération ne peut être plus élevée que la part visée à l’al. 2.

4

Art. 50

Conventions tarifaires avec les établissements médico-sociaux

En cas de séjour dans un établissement médico-social (art. 39, al. 3), l’assureur prend en charge les mêmes prestations que pour un traitement ambulatoire ou les soins à domicile. Il peut toutefois convenir avec l’établissement médico-social d’un mode de rémunération forfaitaire. L’art. 49, al. 7 et 8, est applicable par analogie. Art. 51, al. 1 Le canton peut fixer, en tant qu’instrument de gestion des finances, un montant global pour le financement des hôpitaux ou des établissements médico-sociaux. La répartition des coûts selon l’art. 49a est réservée.

1

Art. 53

Recours au Tribunal administratif fédéral

Les décisions des gouvernements cantonaux visées aux art. 39, 45, 46, al. 4, 47, 48, al. 1 à 3, 51, 54, 55 et 55a peuvent faire l’objet d’un recours au Tribunal administratif fédéral. 1

La procédure de recours est régie par la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral4 et la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)5. Les exceptions suivantes sont réservées:

2

4 5

a.

les preuves et faits nouveaux ne peuvent être présentés que s’ils résultent de l’acte attaqué; toute conclusion nouvelle est irrecevable;

b.

les art. 22a et 53 PA ne sont pas applicables;

c.

le délai fixé par le Tribunal administratif fédéral pour le dépôt d’une réponse est de 30 jours au plus; il ne peut être prolongé;

d.

un échange ultérieur d’écritures au sens de l’art. 57, al. 2, PA n’a lieu qu’exceptionnellement;

e.

le grief de l’inopportunité ne peut être invoqué comme motif de recours contre les décisions au sens de l’art. 39.

RS 173.32 RS 172.021

2054


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Art. 79a

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Droit de recours du canton de résidence

Le droit de recours visé à l’art. 72 LPGA6 s’applique par analogie au canton de résidence pour les parts de rémunération que celui-ci a versées en vertu des art. 41 et 49a. Art. 84a, al. 1, phrase introductive et let. f Dans la mesure où aucun intérêt privé prépondérant ne s’y oppose, les organes chargés d’appliquer la présente loi ou d’en contrôler ou surveiller l’application peuvent communiquer des données, en dérogation à l’art. 33 LPGA7:

1

f.

aux autorités cantonales compétentes, s’agissant des données visées à l’art. 22a qui sont nécessaires à la planification des hôpitaux et des établissements médico-sociaux ainsi qu’à l’examen des tarifs;

Art. 90a, al. 2 Le Tribunal administratif fédéral connaît des recours contre les décisions des gouvernements cantonaux visées à l’art. 53.

2

Art. 104a, al. 2 Tant que les coûts des prestations des établissements médico-sociaux ne sont pas calculés selon une méthode uniforme (art. 49, al. 7, et 50), le département peut déterminer par voie d’ordonnance dans quelles proportions ces prestations doivent être prises en charge.

2

II Modification du droit en vigueur Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral8 est modifiée comme suit: Art. 34 Abrogé III Dispositions transitoires de la modification du 21 décembre 2007 (Financement hospitalier) L’introduction des forfaits liés aux prestations au sens de l’art. 49, al. 1, ainsi que l’application des règles de financement au sens de l’art. 49a, y compris l’inclusion des coûts d’investissement, doivent être terminées au plus tard le 31 décembre 2011.

1

6 7 8

RS 830.1 RS 830.1 RS 173.32

2055


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2

RO 2008

Le Conseil fédéral fixe: a.

les modalités d’introduction;

b.

la procédure selon laquelle les investissements effectués avant l’entrée en vigueur de la présente modification sont pris en compte dans le calcul du tarif.

Les planifications hospitalières cantonales doivent satisfaire aux exigences prévues à l’art. 39 dans un délai de trois ans à compter de la date d’introduction des forfaits visée à l’al. 1. L’appréciation de la qualité et du caractère économique se fonde sur des comparaisons entre hôpitaux.

3

Les cantons et les assureurs se partagent les coûts des traitements hospitaliers jusqu’à la date d’introduction des forfaits visée à l’al. 1, conformément aux règles de financement en vigueur avant la modification de la loi. Pendant le délai d’adaptation des listes hospitalières prévu à l’al. 3, les cantons prennent en charge leur participation aux coûts dans tous les hôpitaux figurant sur les listes en vigueur.

4

Les cantons fixent leur part de rémunération prévue à l’art. 49a, al. 2, avant le 1er janvier 2012. Les cantons dont la moyenne des primes pour adultes est inférieure à la moyenne suisse au moment de l’introduction des forfaits prévue à l’al. 1 peuvent fixer leur part de rémunération entre 45 % et 55 %. Cette part peut être modifiée chaque année de 2 points de pour-cent au plus, à partir du taux initial, jusqu’au 1er janvier 2017. 5

La réglementation prévue à l’art. 41, al. 1bis, est également mise en œuvre à la date d’introduction des forfaits prévue à l’al. 1.

6

IV 1

La présente loi est sujette au référendum.

Elle entre en vigueur, en l’absence de référendum, le 1er janvier 2009 ou le 1er janvier de l’année qui suit son acceptation par le peuple.

2

Conseil des Etats, 21 décembre 2007

Conseil national, 21 décembre 2007

Le président: Christoffel Brändli Le secrétaire: Christoph Lanz

Le président: André Bugnon Le secrétaire: Pierre-Hervé Freléchoz

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Expiration du délai référendaire et entrée en vigueur Le délai référendaire s’appliquant à la présente loi a expiré le 17 avril 2008 sans avoir été utilisé.9

1

Conformément à son ch. IV, al. 2, la présente loi entre en vigueur le 1er janvier 2009.

2

18 avril 2008

9

Chancellerie fédérale

FF 2008 9

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RO 2008


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Die Einführung der revidierten Spitalfinanzierung Übersicht Inkrafttreten der neuen Gesetztesbestimmungen

Übersicht Aufgaben und Meilensteine (X)

Einführungszeitpunkt

Daten Streichung Begriff "teilstationär Tiers payant bei stationärer Behandlung Geburtshäuser

01.01.2009 01.01.2009 01.01.2009 01.01.2009

Ende Übergangsphase

2008

Freie Spitalwahl Einbezug Investitionskosten Ausscheidung Forschung und univ. Lehre Kostenteiler 55:45 Anpassungshase Kostenteiler (max. 5 Jahre à 2%) Bereinigte Spitalliste, Koordination der Spitalplanung Erstmalige Festlegung des Kostenteilers durch Kantone Rehabilitation? Psychiatrie? Revidierter Risikoausgleich

X 1. Tarifgesuch

01.01.2012

2010

2011

Spitäler erfassen Daten nach SwissDRG auf sämtlichen stat. Fällen

Datenerhebung bei Spitälern und Tarifverhandlungen

2012

keine keine Anpassung Verträge keine keine Tarifierung der Geburtshäuser unter SwissDRG prüfen

Leistungsorientierte Fallpauschalen (SwissDRG) Richtet sich alles nach Einführung SwissDRG. Annahme: 1.1.2012

2009

X

Einführung

OKP-Verträge mit Vertragsspitälern

keine Vorgehen zum Einbezug der Investitionen in die Tarifberechnung, ggf. Anpassung STM Vorgehen zur Abgrenzung der universitären Lehre und Forschung, ggf. Anpassung STM

01.01.2017 01.01.2015 31.03.2011 keine

Gleichstellung der Privatspitäler X Freie Spitalwahl

01.01.2012

Verordnungen

Revidierter Risikoausgleich

Tarifverträge Kostenbasis für Tarifermittlung

Nach aktuell gültiger Finanzierungsregelung ("max. 50 % der anrechenbaren Betriebskosten")

Verhandlungen

Neue Regelung, inkl. Invest.

Heutiges Verfahren Doppeltes Verfahren: alt gem. 2010 und neu für SwissDRG ab 2012: Schattenrechnungsphase, Dauer noch unbestimmt, danach Benchmarking

SwissDRG Systementwicklung Entwicklung Tarifstruktur (SwissDRG AG) Anwendungsbestimmungen ("Fallpauschalenvereinbarung") Aufgaben gemäss KVV (bspw. Monitoring)

1. Tarifgesuch

2. Tarifgesuch

Umsetzung mit den Tarifpartnern Detailkonzept Letter of Intent Abrechnungsregeln Einführungsbestimmungen (Schattenrechnung) Schaffung von Kosten- und Leistungstransparenz Kosten(träger)rechnung Anlagebuchhaltung / Anlagenutzungskosten Leistungsausweis pro Spital ggf. Anpassung STM

KVG-Revision_Übersicht_Umsetzung_2008-09-02_BKN.xls

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BKN / 11.09.2008


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DevonsDevons-nous craindre l‘introduction de SwissDRG ? SwissDRG Forum 17 novembre 2008, Bâle Dr Pierre-François Cuénoud Membre du Comité central de la FMH Responsable du dicastère SwissDRG © FMH |SwissDRG Forum | P.-F. Cuénoud |Bâle 17.11.2008

Introduction de SwissDRG Craintes du corps médical 1. Le travail à l’hôpital se fait dans de mauvaises conditions, n’est pas motivant et produit de moins bons résultats. 2. Le système SwissDRG ne reflète pas les prestations. 3. La charge administrative générée par SwissDRG est trop importante et les procédures ne respectent pas la protection des données. 2

© FMH |SwissDRG Forum | P.-F. Cuénoud |Bâle 17.11.2008


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1. Le travail à l’hôpital se fait dans de mauvaises conditions, n’est pas motivant et produit de moins bons résultats.

• Baisse de la qualité • Perte de la liberté thérapeutique • Diminution de la disponibilité des soignants • Augmentation des risques à la sortie de l’hôpital • Transferts d’activité • Prééminence de la vision économique

3

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Baisse de la qualité Problème

Rentabilisation des hôpitaux

Solutions

• Filières de soins • Dotation en personnel • Contrôle de qualité

Vitesse d’exécution des ttt Risque d’erreur

exercices alibi (p. ex. certifications)

Approximation des gestes

Saisie de données sur la

Mauvais résultats à terme

durée, de manière transversale

4

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Perte de la liberté thérapeutique Problème Pression économique

Solutions • Médecins doivent garder leur indépendance de jugement • Respecter la séquence

Choix de méthodes rapides Limitation du matériel Imposition de matériel bon marché

5

« EAE » Efficacité prime Adéquation doit jouer Economicité

départager

la sélection précédente

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Diminution de la disponibilité des soignants Problème

Solutions

Hôpital devient usine, productivité

• Valorisation et saisie du travail relationnel

moins de soignants pour plus de patients temps relationnel Concentation sur activités techniques Frustration soignants Climat malsain 6

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• Respect mutuel des intervenants hospitaliers • Prise en charge ambulatoire d’une partie de l’information


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Augmentation des risques à la sortie de l’hôpital Solutions

Problème

• Respect de la sécurité

durée d’hospitalisation

• Contrôles de qualité à terme • Chaîne de soins solide infrastructures ?

« bloody exit »

Hôp – Réha – CMS – autonomie Hôp – Chron – EMS

Sortie du patient avant la fin du •

traitement Complications

possibilités de ttt ambulatoire (avant/après l’hôpital)

• Amélioration communication et interactivité des intervenants (HPC) 7

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Transferts d’activité Problème

Solutions

Hôp soins somatiques aigus concentrent leur activité

• Limites à mettre à l’économicité • Planification : Ø sauvage Etat

Transfert d’activité d’un hôpital

• Principe directeur : centres de

à l’autre pour certaines

compétence, masse critique

pathologies Modification paysage hospitalier

8

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(cf. étranger)


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Prééminence de la vision économique Problème

Solutions

« Economisation » à tout crin

• Sortir de la logique du « salaire au mérite » • Médecins ne doivent pas être rétributés pour le bénéfice

N’est effectué que ce qui

financier de leur service, mais

rapporte

pour la qualité qu’ils y

Comportement déviant des médecins décideurs

produisent • Eviter monisme des assureurs

Médecine à deux vitesses

9

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Conclusion 1 Effets (+ et -) de l’introduction généralisée des DRG doivent être mesurés

Recherche concomitante (globale) Etat des lieux avant et après Financement : suppléments forfaitaires par cas

10

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Introduction de SwissDRG Craintes du corps médical 1. Le travail à l’hôpital se fait dans de mauvaises conditions, n’est pas motivant et produit de moins bons résultats. 2. Le système SwissDRG ne reflète pas les prestations. 3. La charge administrative générée par SwissDRG est trop importante et les procédures ne respectent pas la protection des données. 11

© FMH |SwissDRG Forum | P.-F. Cuénoud |Bâle 17.11.2008

2. Le système SwissDRG ne reflète pas les prestations

• Documentation du travail réel difficile • Classifications suisses immatures • Surcodage • Couverture des coûts réels pas assurée • Participation des acteurs principaux contestée

12

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 18

Documentation du travail réel difficile Problème

Solutions

Activité réelle des médecins hospitaliers méconnue

• Standardiser les activités répétitives (visites) • Saisie détaillée des prestations

Informations recueillies par recoupement

(Tarmed, temps forfaitaire)

Incohérence des données

• Algorithmes pour groupes de

« Costweight » inexact

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spéciales, à haute valeur ajoutée

prestations fréquentes

© FMH |SwissDRG Forum | P.-F. Cuénoud |Bâle 17.11.2008

Classifications suisses immatures Problème ICD 10 + CHOP conçus pour une utilisation épidémiologique, mais pas financière

Impossibilité de saisir des prestations Surpondération de certaines pathologies Absence de différenciation de la charge de travail

14

© FMH |SwissDRG Forum | P.-F. Cuénoud |Bâle 17.11.2008

Solutions • Adoption de ICD 10 - GM • Adaptation de CHOP : ~ 4000 ~ 8000 positions • Manuel de codage • Processus d’helvétisation Réflexions avec Sociétés de discipline Propositions annuelles


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 19

Surcodage Solutions

Problème Plus il y a de n°de code, plus

• Qualité des dossiers

l’argent rentre

(lettres de sortie) • Règles de codage précises et exhaustives à l’échelon

Mention de pathologies non établies Aggravation des scores de comorbidité Exécution de gestes non

national • Professionnalisation du codage • Contrôles du codage par instance neutre • Intégrité des médecins

indiqués 15

© FMH |SwissDRG Forum | P.-F. Cuénoud |Bâle 17.11.2008

Couverture des coûts réels pas assurée Problème

Solutions

Cas complexes + innovations mal pondérés par DRG

• Homogénéité des groupes DRG la plus grande possible (médicale + économique)

Sélection des cas Abandon pathologies peu rentables Non introduction des innovations Centres de profit 16

© FMH |SwissDRG Forum | P.-F. Cuénoud |Bâle 17.11.2008

• Possibilité de financement particulier • Procédure spéciale pour les innovations


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 20

Participation des acteurs principaux contestée Solutions

Problème La FMH n’est pas partenaire tarifaire selon la loi

• Implication des Sociétés de discipline doit être reconnue • Application restrictive du

Manœuvres de contournement Limitation de la participation Groupes de travail en dehors de la S.A. Contestation des acquis

17

vocable « tarifaire » • Participation de la FMH à tous les groupes traitant d’un sujet qui concerne les médecins

© FMH |SwissDRG Forum | P.-F. Cuénoud |Bâle 17.11.2008

Conclusion 2

Lignes directrices

reflet des prestations

• Comptabilité analytique REKOLE • Rétributions complémentaires ciblées • Helvétisation intelligente

18

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 21

Introduction de SwissDRG Craintes du corps médical 1. Le travail à l’hôpital se fait dans de mauvaises conditions, n’est pas motivant et produit de moins bons résultats. 2. Le système SwissDRG ne reflète pas les prestations. 3. La charge administrative générée par SwissDRG est trop importante et les procédures ne respectent pas la protection des données. 19

© FMH |SwissDRG Forum | P.-F. Cuénoud |Bâle 17.11.2008

3. La charge administrative générée par SwissDRG est trop importante et les procédures ne respectent pas la protection des données

• Saisie des prestations chronophage • Protection aléatoire des données

20

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 22

Saisie des prestations chronophage Problème

Solutions

Les soignants passent plus de temps à saisir leurs actes qu’à

Développement de l’informatique

s’occuper des patients

Monde informatique à l’hôpital Gaspillage des compétences Démotivation Absurdité du système

21

Monde idéal ?

© FMH |SwissDRG Forum | P.-F. Cuénoud |Bâle 17.11.2008

Le monde informatique idéal pour les médecins hospitaliers - 1 • Gain de temps • Convivialité • Temps minimum pour entrer les données • Saisie unique des informations

information maximale

• Patient « transparent », mais seulement à l’intérieur de l’hôpital • Large disponibilité des images, dans le format adéquat • Interactivité (reconstructions 3D, chirurgie stéréotaxique) • Chirurgie par robots, chirurgie à distance (télémédecine) 22

© FMH |SwissDRG Forum | P.-F. Cuénoud |Bâle 17.11.2008


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 23

Le monde informatique idéal pour les médecins hospitaliers - 2 Exemple : opération Le chirurgien saisit les données à la fin de l’intervention • Annonce à l’administration • Statistique administrative • Statistique médicale • Titre des procédures (reprise protocole) • Eventuellement codification • Nomenclature TarMed facturation • Vue d’ensemble : déroulement du programme op. pour gestionnaire et opérateurs • Association avec d’autres systèmes (par ex. anesthésie) • Report et validation logbook formation postgraduée assistants et chefs de clinique • Annonce dans les registres de qualité (AQC, SwissNOSO, ASCLT, AO, SwissVASC) 23

© FMH |SwissDRG Forum | P.-F. Cuénoud |Bâle 17.11.2008

Protection aléatoire des données Problème Données au sujet des patients toutes informatisées

Solutions • Contrôles d’accès à l’informatique hospitalière • Discipline des intervenants • Sécurité des transmissions

Risque de fuite Transmission possible à des personnes non autorisées Demandes incessantes des assureurs (LS, minimal dataset) Transgression du secret médical 24

© FMH |SwissDRG Forum | P.-F. Cuénoud |Bâle 17.11.2008

• Restriction des destinataires de l’information • Refus d’une livraison systématique des données aux assureurs • Utilisation du canal des médecins conseils


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 24

Conclusion 3 Systèmes informatiques performants et interconnectés moyen terme raisonnable saisie détaillée

documentation nécessaire

Respect du secret médical Cave ! Exploitation (

explosion) du marché

(TI, séminaires, nouvelles professions à l’hôpital) 25

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CONCLUSION GENERALE Devons-nous craindre l’introduction de SwissDRG ? Connaître les effets délétères potentiels les prévenir Expériences de plusieurs cantons avec rétributions forfaitaires Ø désert sanitaire

Corps médical = partenaire 26

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 25

SwissDRG Forum 2008 vom 17. November 2008

Investitionen im DRG-System System - Innovationen und Investitionen - Kostentragung ohne Mitsprache - Übergangslösungen und Vorsorge im Hinblick auf 2012 Referat von Regierungsrat Dr. Thomas Heiniger, Gesundheitsdirektor des Kantons Zürich

© Gesundheitsdirektion


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 26

2012 – sind wir gewappnet? •

SwissDRG AG und Casemixoffice

Datenerhebung Netzwerkspitäler

Grundlagendokumente (Falldefinition, Kodierrevision etc.)

Tarifstruktur und Preisfindung

?

Rollenverteilung

?

Investitionen

?

Fokus auf die drei kritischen Themenbereiche

© Gesundheitsdirektion

Seite 2


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 27

(A) Tarifstruktur und Preisfindung •

Tarifstruktur national einheitlich mit SwissDRG

Preisfindung und Benchmarking

Verfahren noch ungeregelt

ZH: für national einheitliche Baserates auf Basis eines sportlichen Benchmarkings

keine Preiserhöhung

keine Erhaltung von ineffizienten Strukturen

keine spitalindividuellen Baserates

Diskussions- und Klärungsbedarf © Gesundheitsdirektion

Seite 3


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 28

(B) Rollenverteilung •

Trägerschaft SwissDRG AG

Spitäler und Geburtshäuser

Finanzierer

Wer aber bestimmt den Preis?

Kantone wünschen tripartite Verhandlungen

© Gesundheitsdirektion

Seite 4


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 29

(C) Investitionen – Übersicht A: leistungsbezogene Investitionsfinanzierung B: Tarifierung C: Übergang alt neu

D: Sicherstellung Innovation E: Entscheidprozess Für Gesamtbild müssen alle Puzzleteile geregelt sein! © Gesundheitsdirektion

Seite 5


infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 30

(D) Leistungsbezogene Investitionsfinanzierung Beitrag

Bisher Neubau

Erweiterung Renovation

Ab 2012

Š Gesundheitsdirektion

Seite 6

Zeit


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 31

Tarifierung Wie fliessen die Anlagekosten in die Berechnung der Kostengewichte ein? • Variante A: ausgewiesene Kosten aller Netzwerkspitäler • Variante B: Ermittlung %-Zuschlag Zuschlag bei Referenzspitälern Wie werden die Anlagekosten bei der Preisermittlung einbezogen? • Variante 1: ausgewiesene Kosten jedes Spitals • Variante 2: %-Zuschlag bei Referenzspitälern ermittelt

Normierter %-Zuschlag (Norminvestitionszuschlag) notwendig © Gesundheitsdirektion

Seite 7


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 32

Übergangsprobleme PROBLEM

LÖSUNGSANSÄTZE

(1) Inkongruenz: Eigentümer Kostenträger

1) Formale Bereinigung Eigentümer 2) Miete Kostenbeteiligung 3) Umwandlung in Darlehen

(2) Refinanzierung

1) Darlehen Bank 2) Eigenkapitalerhöhung 3) Darlehen öff. Hand

© Gesundheitsdirektion

Seite 8


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 33

Innovation und Investition Gefahren: – Betriebsdefizitdeckung mit Investitionseinnahmen – Kurzfristige Orientierung Zu geringe Investitionstätigkeit zu geringe Innovation Lösungsvarianten: – Verantwortlichkeit klar regeln – keine Regelung, aber Monitoring und Intervention falls nötig – bei Vergabe des Leistungsauftrags (Spitalliste) Berücksichtigung des Investitionsprogramms eines Spitals – Vorgabe, Investitionseinnahmen ausschliesslich für Investitionen zu verwenden. © Gesundheitsdirektion

Seite 9


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 34

Entscheidprozess WER ENTSCHEIDET ÜBER INVESTITION?

1. Eigentümer 2. Kapitalgeber 3. Politik? Soll, will und falls ja wie kann die Politik noch steuern?

Kanton = Eigentümer oder Kapitalgeber Problem gelöst

Kanton ≠ Eigentümer oder Kapitalgeber Regelung im Leistungsauftrag

© Gesundheitsdirektion

Seite 10


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 35

(D) Fazit Tarifstruktur und Preisfindung • Sportliches Benchmarking keine Nivellierung nach oben

National einheitliche Baserates

Rollenverteilung •

Teilnahme an Tarifverhandlungen

Investitionen

Tarifierung

Übergangsproblematik

Sicherstellung der Innovation

Entscheidkompetenz

weitere Klärung unerlässlich! © Gesundheitsdirektion

Seite 11


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 36

PD Dr. Simon Hölzer

Geschäftsführer

SwissDRG AG 17. November 2008

SwissDRG AG

Aufgaben der SwissDRG AG

Tarifstrukturaufbau und –pflege Mitentwicklung von Tarif-/ Abrechnungsregeln Betreuung und Validierung der Kosten- und Leistungsdatenbank der Referenzspitäler Berechnung der Kostengewichte Änderungen an Klassifikationen, Leistungskatalogen und Kodierrichtlinien Organisation und Moderation des Gesamtprozess “Stationäre Vergütung” seitens Gesundheitspartner

17. November 2008

2

Simon Hölzer


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 37

Mittelzuteilung - Finanzierung – Vergütung: von DRGs zu Fallpauschalen

DRGs = definierte Produkte (Leistungspakete mit Preisgerüst = Tarifstruktur)

Grundlage: funktionierende, akzeptierte Tarifstruktur (G-DRG > SwissDRG) Struktur + Regelwerk (Tarif) + Basispreis(e) = Fallpauschalen Helvetisierung ≠ Föderalisierung 17. November 2008

Simon Hölzer

Laufende Arbeiten der SwissDRG AG

Personalrekrutierung Antragsverfahren über Partner / Aktionäre SwissDRG Validierung des (Web)Groupers / Tarifstruktur SwissDRG Version 0.1 „Visualisierung“ des Fallpauschalenkatalog Kalkulation von Kostengewichten und Beurteilung der Homogenität Übersetzung der Kataloge (französisch)

17. November 2008

4

Simon Hölzer


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 38

Der Weg zum Schweizer Fallpauschalensystem Helvetisierung: technisch (Expertenwissen, datengetrieben, „lernendes System“) Tarif- / Abrechnungsregeln auf Rahmenbedingungen und Bedürfnisse der Tarifpartner abgestimmt Weiterentwicklung der Datenbasis (Fallkosten) 17. November 2008

5

Simon Hölzer

Helvetisierung: Die Schweizer Tarifstruktur Diagnosen

Prozeduren

Weitere

(ICD-10)

(CHOP)

Faktoren

Datensatz

Gruppierregeln

Grouper

Fallkosten (Netzwerkspitäler)

SwissDRG Tarifstruktur 17. November 2008

Simon Hölzer


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 39

Groupierregeln: Definitionshandbuch SwissDRG 0.1

Die Version 0.1 ist „ein erster Schritt zu einer robusten Tarifstruktur für akutstationäre Leistungen in der Schweiz“ - Verbesserte Abbildung von Schweizer Leistungen - Verbesserte Transparenz „Weitere Anpassungen werden zu einer ersten einsetzbaren Tarifversion 1.0, voraussichtlich für das Jahr 2011, führen“

17. November 2008

Simon Hölzer

Welche Version als Basis für SwissDRG ? Merkmale von G-DRG seit 2003 2008

+55

1‘137

1‘089

605

115

Quelle: www.fischer-zim.ch 17. November 2008

Simon Hölzer


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 40

Entwicklungsschritte zur Version SwissDRG 0.1 Anpassungen am Grouperalgorithmus Abbildung von Kombinationseingriffen Mappingergänzungen / Korrekturen Beidseitige Eingriffe Abbildung beatmeter Patienten Einbindung neuer Kodes: - CHOP 8 bis 11 - ICD-10-CH und ICD-10-GM 17. November 2008

Simon Hölzer

SwissDRG 0.1 – Grouperperformance Leere DRGs, weil

Anzahl der DRGs

Alle Fälle unplausibel (Plausibilisierung Ökonomie)

11

Aufgrund Mapping gelangen alle Fälle in ranghöhere DRG

17

Beatmungsbedingung derzeit noch nicht erfüllbar

27

DRG wird über 2006 nicht verwendete Kodes (neue Kodes) angesteuert

36

CHOP Kode fehlt

3

Fälle nur in Daten der Med. Statistik (nicht in Kalkulationsdaten)

5

Keine Fälle in den Daten

12

Keine Fälle in den Daten (mehrfache Strahlentherapie – Kodierrichtlinie)

10

Getroffene DRGs

833 / 954

17. November 2008

Simon Hölzer


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 41

Ökonomie

Medizin

Technische Helvetisierung Identifikation von CH relevanten Prozeduren und spezifischem Leistungsgeschehen: formales Antragsverfahren (nicht alle OPS Codes) Relevanz für DRG-System und Pauschalierung Signifikanz von Kostenunterschieden

17. November 2008

11

Simon Hölzer

SwissDRG - Datenplausibilisierung Ausschluss von Fällen: mit negativen Kostenwerten mit unplausiblen Gesamtkosten mit unplausiblen Personal- und Infrastrukturkosten mit unplausibler Kostenzuweisung in Beziehung zu kodierten Diagnosen / Prozeduren

17. November 2008

12

Simon Hölzer


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 42

Behandlungsprozess der Schweizer Daten Anzahl der Fälle

in % Bezeichnung

Von Spitäler erhaltene Daten - Medizinische Daten - Ökonomische Daten

7'232 100%

Korrektur der strukturellen Fehler

Plausibilisierung Stufe I : Prüfung des Inhalts jeder administrativen, medizinischen und ökonomischen Variablen

Plausibilisierung Stufe II : Kreuztests zwischen den Variablen

Rohdatenbank

32 45 123

Fälle im Doppel Primärschlüssel im Doppel Inkomplette Fälle

45 22 67 87 11 54 18

Gesamtkosten< 100 Franken Mindestens eine Komponente mit Negativkosten Hauptdiagnose fehlend oder falsch Aufenthaltsdauer negativ oder leer Aufnahmealter fehlend oder nicht konform Gewicht der Neugeborenen fehlend oder nicht konform Geschlecht fehlend oder nicht konform

76 87 54

Test 1-10 Test 11-20 Test 21-30

6'811 94.2% 1'034

Eingrenzen der Stichprobe

Hospitalisierung in der Abteilung privat oder halb-privat Fälle deren Aufnahme- und Austrittsdatum nicht zwischen dem 01.01.07 und 31.12.07 sind Geriatrie-, Psychiatrie und Rehabilitationsfälle Transfers

429 678 345

SwissDRG Datenbank

5'003 69.2%

17. November 2008

Simon Hölzer

SwissDRG 0.1 - Datengrundlage

Datenjahr 2004

Datenjahr 2005

Datenjahr 2006

Fallzahl total

1409752

1466467

1255344

Kalkulationsdaten

334752

398852

508796

Anzahl Spitäler

345 / 30

334 / 30

334 / 39

Plausibilisierte Kalkulationsdaten

281146

300979

298690

17. November 2008

Simon Hölzer


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 43

SwissDRG 0.1 – Berechnung der Relativgewichte

Berechnung der Grenzverweildauern, analog G-DRG untere Grenzverweildauer: mittl. Verweildauer/3, aber mindestens 2 Tage obere Grenzverweildauer: mittl. Verweildauer + 2 Standardabweichungen, aber max. 17 Tage über mittlerer Verweildauer Ermittlung der Inlier, Normierung anhand Gesamtjahresdaten (= Bezugsgrösse) Berechnung des Kostenmittelwertes der Inlier pro DRG

17. November 2008

15

Simon Hölzer

Der Weg zum Schweizer Fallpauschalensystem

Helvetisierung: technisch (Expertenwissen, datengetrieben, „lernendes System“) Tarif- / Abrechnungsregeln auf Rahmenbedingungen und Bedürfnisse der Tarifpartner abgestimmt Weiterentwicklung der Datenbasis (Fallkosten) 17. November 2008

16

Simon Hölzer


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 44

Meilensteine / MASTERPLAN Antrag zur Genehmigung an Bundesrat am 30. Juni 2009 Verabschiedung der Grundlagenpapiere, insbesondere Abrechnungsregeln im April 2009 Standardisierung der Berechnungsgrundlagen bzgl. Investitionen und Anlagenutzungskosten Tarifstruktur 0.2 im Juni 2009

17. November 2008

17

Informationsveranstaltungen: 24. März 2009 in Bern 03 avril 2009 à Genève

Simon Hölzer

SwissDRG AG Haslerstrasse 21 CH-3008 Bern Schweiz +41 (0)31 3100550 Fax: 031 3100557 e-mail: info@swissdrg.org

17. November 2008

Simon Hölzer


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 45

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

SwissDRG Forum 2008 Die KVG-Revision im Bereich der Spitalfinanzierung 17. November 2008 Congress Center Basel Dr. med. Peter Indra MPH Vizedirektor BAG Leiter Direktionsbereich Kranken- und Unfallversicherung Peter Indra, Vizedirektor BAG


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 46

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Inhalt

Anpassungen von Gesetz und Verordnungen, Zeitplan und Erwartungen des Bundes Die Rahmenbedingungen, die es zu beachten gilt Mögliche Auswirkungen von SwissDRG auf das Umfeld Worauf wird der Bund bei der Tarifgenehmigung von SwissDRG im Besonderen achten? Was bedeuten die neuen Verordnungen für Kantone und Spitäler?

Peter Indra, Vizedirektor BAG

2


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 47

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Peter Indra, Vizedirektor BAG

3


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 48

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Anpassung KVG und der Verordnungen

Peter Indra, Vizedirektor BAG

4


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 49

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Spitalfinanzierung - Anpassung KVV Daten der Versicherer • Detailierung • Aufbewahrung • Veröffentlichung

Planungskriterien Geburtshäuser als Leistungserbringer Regelungen zur leistungsorientierten Finanzierung

Peter Indra, Vizedirektor BAG

5


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 50

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Spitalfinanzierung - Anpassung VKL Anpassungen und Regelungen für Geburtshäuser Regelung Investitionskosten Wegfall der « teilstationären » Behandlung Forschung und universitäre Lehre

Peter Indra, Vizedirektor BAG

6


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 51

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Rahmenbedingungen

G R D

Peter Indra, Vizedirektor BAG

7


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 52

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Rahmenbedingungen zu den SwissDRGs Einsetzen einer Organisation (Art. 49 Abs. 2 KVG)

Peter Indra, Vizedirektor BAG

8


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 53

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Rahmenbedingungen zu den SwissDRGs Kostenermittlung und Leistungserfassung (KVG Art. 49 Abs. 7) - Betriebskosten - Investitionskosten (Anlagebuchhaltung bei Übergang)

Peter Indra, Vizedirektor BAG

9


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 54

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Rahmenbedingungen zu den SwissDRGs Bestimmungen zur Einführung von leistungsbezogenen Pauschalen u.a.: – Qualität (Art. 59d KVV) – Begleitmassnahmen (Schlussbestimmungen KVV)

Peter Indra, Vizedirektor BAG

10


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 55

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

KVV Art. 59d

Peter Indra, Vizedirektor BAG

11


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 56

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

KVV Art. 59d

Peter Indra, Vizedirektor BAG

12


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 57

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

KVV Schlussbestimmungen

Peter Indra, Vizedirektor BAG

13


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 58

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Termine und Fristen

Peter Indra, Vizedirektor BAG

14


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 59

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

31.1.2009 30.6.2009

2009

31.12.2011

2010

2011

2012

31.1.2009:

Organisation nach Art. 49 Abs. 2 KVG muss Betrieb aufnehmen. Tarifpartner kommunizieren dem BR 30.6.2009 erstes Gesuch um Genehmigung des Tarifvertrages nach Art. 59d KVG muss dem BR unterbreitet werden 31.12.2011 Einführung der leistungsbezogenen Pauschalen inkl. Investitionskosten

Peter Indra, Vizedirektor BAG

15


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 60

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Eine zeitgerechte Umsetzung ist wichtig: Umsetzung der leistungsorientierten Spitalfinanzierung und der Einführung der DRGs Einführung der leistungsorientierten Finanzierung auch für die Rehabilitation, die Psychiatrie und die Geburtshäuser Peter Indra, Vizedirektor BAG

16


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 61

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Rollen

Peter Indra, Vizedirektor BAG

17


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 62

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Rolle der einzelnen Akteure

Peter Indra, Vizedirektor BAG

18


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 63

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Versicherer und Leistungserbringer Verhandlungen: Nationaler Tarifvertrag inkl. Tarifstruktur und Anwendungsmodalitäten Begleitmassnahmen zu den DRGs Preis / Tarif (Baserate) Tarif zu 100% (also inkl. Versicherer- und Kantonsanteil) Einreichen zur Genehmigung Peter Indra, Vizedirektor BAG

19


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 64

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Kantone Tarifgenehmigungen Spitalplanung Festsetzung der kantonalen Beiträge an die Finanzierung (mind. 55%) Kantone sind keine Tarifpartner

Peter Indra, Vizedirektor BAG

20


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 65

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Bund Bundesrat genehmigt nationale Tarifverträge Preisüberwacher gibt Empfehlungen ab BAG prüft Tarifeingaben und unterbreitet sie dem Bundesrat BAG will die Einführung der DRGs und deren Pflege eng begleiten Peter Indra, Vizedirektor BAG

21


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 66

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Weitere Schritte

Peter Indra, Vizedirektor BAG

22


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 67

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Tarifgenehmigung durch den Bund Schweizweit einheitliche Anwendung von DRGs – Tarifstruktur – Rahmenbedingungen (Spielregeln) – Kalkulationsgrundlagen – Qualitätskontrolle – Monitoring und Korrekturmassnahmen – Kodierungshandbuch und Konzept zur Kodierrevision Termin: 30.6.2009 Peter Indra, Vizedirektor BAG

23


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 68

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Peter Indra, Vizedirektor BAG

24


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 69

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Band 80 der SGGP-Schriftenreihe

Die Einführung der SwissDRGs in Schweizer Spitälern und ihre Auswirkungen auf das schweizerische Gesundheitswesen Autor: Peter Indra

Peter Indra, Vizedirektor BAG

25


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 70

Eidgenössisches Departement des Innern EDI Bundesamt für Gesundheit BAG

Danke für Ihre Aufmerksamkeit !

Peter Indra, Vizedirektor BAG

26


infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 71

G-DRG - ein etabliertes System Auswirkungen der G-DRG-Finanzierung auf die Versorgungsstruktur in Deutschland

SwissDRG Forum 2008 Basel 17.11.2008

WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

Dr. Wulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband


infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 72

Konzentrationsprozess durch Fusionen Anzahl Anzahl 2000

Anzahl der Krankenkassen im Zeitablauf 1.815 1.815 1.815

1800

1.319

1.319 1.319

1600

1.147 1.147 1.147

1400

1200 1000 800

420 420 420

600

215 218 218

400 200 0

1970

WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

1980

1990

2000

10/2008

Jahr

2


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 73

"Verbändelandschaft" 2007

2. Hj. 08

GKVGKV-Spitzenverband und alte Verbände ohne gesetzliche Aufgaben

WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

3


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 74

Der GKV-Spitzenverband … … hat zum 1. Juli 2008 die gesetzlichen Aufgaben der bisherigen sieben Spitzenverbände der Krankenkassen übernommen, … ist der Verband aller gesetzlichen Krankenkassen, kein Verband der Verbände, … schließt Kollektivverträge und trifft seine sonstigen Entscheidungen verbindlich für alle Mitgliedskassen, ihre Landesverbände und die Versicherten, … unterstützt die Krankenkassen und ihre Landesverbände bei der Erfüllung ihrer Aufgaben und bei der Vertretung ihrer Interessen. … hat laut Gesetz166 Aufgaben. ….hat zur Zeit ca. 110 Mitarbeiter in Berlin. WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

4


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 75

Gang der Handlung 1 DRG-Nachbarschaftskontakte 2 G-DRG-Entwicklung 2003 - 2009 3 Das stationäre Vergütungssystem 4 Qualitätssicherung 5 Ordnungspolitische Diskussionen

WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

5


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 76

10 Jahre G-DRG-Einführung 1999

Parlamentsbeschluss

2000

Entscheidung für australische DRGs

2003

Erste DRG-Echtabrechnung (Option)

2004

Verpflichtende DRG-Abrechnung (budgetneutral)

2005

Konvergenz der Basisfallwerte (erste ökonomische Wirkung)

2009

Ende der DRG-Einführung (Gleicher Preis für gleiche Leistung auf Landesebene)

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infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 77

FĂźnf Jahre Konvergenz 125,00

Prozent Abweichung von LBFW

115,00

Krankenhaus 120

105,00

Krankenhaus 115 Krankenhaus 110 95,00

Krankenhaus 105 Krankenhaus 100 Krankenhaus 95

85,00

Krankenhaus 90 Krankenhaus 85 75,00

Krankenhaus 80 2004

2005

2006

2007

2008

2009

Jahre

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 78

Einige Folien aus 1999 Konvergenzmodell der SpiK Übergang zu landesweiten Punktwerten

2003 KH-spez. Punktwert (budgetneutral)

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2005 landesweiter Punktwert (+ Struktur-”Aufschlag”)

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 79

DRG-Familie Gruppen HCFA-DRGs

für Medicare

493

AP-DRGs

All-Patient

641

APR-DRGs

All-Patient-Refined

1530

AP-International-DRGs

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1042

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infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 80

Deutsche Gewichte ?

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 81

Schweizer Gewichte (europäisch!)

www.hospvd.ch/public/ise/apdrg

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 82

Schweizer Übernahme der G-DRGs SwissDRG Version 0.0 als Ausgangspunkt Auf Basis der Version G-DRG 2006 (954 DRGs) Mapping CHOP - OPS und ICD-CH - ICD-GM

Ohne wesentliche Logikanpassungen Nur minimale Helvetisierungen

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 83

Weiterentwicklung SwissDRG Die Version 0.1 ist „ein erster Schritt zu einer robusten Tarifstruktur für akutstationäre Leistungen in der Schweiz Verbesserte Abbildung von Schweizer Leistungen

Getrennte oder verbundene Weiterentwicklung von G-DRG und SwissDRG ?

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 84

Gang der Handlung 1 DRG-Nachbarschaftskontakte 2 G-DRG-Entwicklung 2003 - 2009 3 Das stationäre Vergütungssystem 4 Qualitätssicherung 5 Ordnungspolitische Diskussionen

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infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 85

Schweregradsplits 2003 bis 2009 (Anzahl der DRGs)

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infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 86

55 Fallpauschalen mehr

Quelle: Heimig 22.08.08

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 87

Entwicklung des DRG-Systems 2003 - 2006 DRGVersion

Veränderung

2003

-australische Klassifikation mit deutschen OPS, ICD und Bewertungsrelationen

2004

-erste deutsche Klassifikation -Fusion zahlreicher Gruppen -CC-Matrix nach australischem Muster -26 Zusatzentgelte

2005

-Schaffung zahlreicher ungesplitteter DRGs -Transplantationen -Intensivmedizin/Beatmung differenziert -Onkologie (zusätzliche Splits + ZE) -Pädiatrie (neue Splits + Alterssplits) -Geriatrie/Frührehabilitation -Zusatzentgelte für Medikamente

2006

-Änderung der Sortierreihenfolge -Entkondensation zahlreicher DRGs -erste teilstationäre DRGs -neu kalkulierte Lang-, Kurz- und Verlegungsabschläge -Intensivmedizin (SAPS- und TISS-Scores) -Pädiatrie (neue Alterssplits) -Unfallchirurgie (Mehrfacheingriffe)

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 88

Entwicklung des DRG-Systems 2007 - 2009 DRGVersion

Veränderung

2007

CC-Matrix erstmals überarbeitet -bessere Abbildung hochteurer Fälle -Sepsis/multiresistente Erreger -Pädiatrie (260 DRGs mit Alterssplits) -HIV-Erkrankungen (neue DRGs) -multiresistente Erreger (neue DRGs) -Schlaganfallbehandlung (neue DRGs)

2008

-verbesserte Kalkulationsdaten -umfangreichste Überarbeitung der CC-Matrix -Weiterbearbeitung bisheriger Schwerpunkte (Extremkostenpatienten, Sepsis,…) -Etablierung neuer Alterssplits -Ausweitung der Anwendung des TISS-/SAPS-Scores

2009

-„Abbildung aufwendiger Konstellationen“ (statt Prozeduren) -neue DRGs für Querschnittslähmung -Rheuma-DRG bewertet -beschichtete Stents als ZE bewertet

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 89

Verweildaueranalyse Verweildauer in Tagen 16 14 12 10 8 6 4 2 2007

2006

2005

2004

2003

2002

2001

2000

1999

1998

1997

1996

1995

1994

1993

1992

1991

1990

0

VWD weiter rückläufig auf jetzt 7,42 Tage um 2,3 % im Therapiejahr 2007 (HA) Verweildauerrückgang trotz weiterer Fallverlagerung in den ambulanten Sektor Quelle: Statistisches Bundesamt, Präsentation F. Heimig 08/2008 WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 90

Plastische und Knochenchirurgie/ Rheumatologie Muskel- und Sehnenerkrankungen nach Pflegeaufwand durch Begleiterkrankungen dekomprimiert Neue rheumatologische Komplexbehandlung als DRG-FP - greift erst ab 14 d, auffällig niedriges RG - Vermeidung Fehlanreiz? Besonderes Kalkulationsverfahren? (2008 in Anlage 3a KH-spezifisch) Hüftgelenkschirurgie dekomprimiert und gleichzeitig aufgewertet

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infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 91

Zusatzentgelte 2009

Medikamente und Blutprodukte 48 + 4 Apparaturen und Verfahren 17 + 4

Diag. 1+0

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Unbewertete Zusatzentgelte 53 + 2

Blutwäschen 9+2

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 92

Koronarstents – 2009 neues ZE ZE101

Medikamente-freisetzende ZE101.01 8-837.m0 Koronarstents

ZE101.02 8-837.m1

8-837.m2

Perkutan-transluminale Gefäßintervention an Herz und Koronargefäßen: Einlegen eines medikamentefreisetzenden Stents: Ein Stent in eine Koronararterie Perkutan-transluminale Gefäßintervention an Herz und Koronargefäßen: Einlegen eines medikamentefreisetzenden Stents: 2 Stents in eine Koronararterie Perkutan-transluminale Gefäßintervention an Herz und Koronargefäßen: Einlegen eines medikamentefreisetzenden Stents: 2 Stents in mehrere Koronararterien

693,11 €

1.386,22 €

Indikationen mit maximaler Vorteilserwartung durch DES – langstreckige, schmalkalibrige Stenosen, Diabetiker, In-stent-Restenosen

Auswirkungen – Preise bei 600 - 1200 Euro/Stück, Preisunterschiede durch Längen und Durchmesser, bisherige Herstellerfestlegung unterlaufen – Anreiz Kostenreduktion bei Leistungserbringer – Anreiz für Hersteller i.S. unterjähriger Preissenkung – Aufwandsreduktion Leistungserbringer/KK bei Kodierung/Kodierprüfung und Vorbereitung der Budgetverhandlungen – ein höheres Maß an therapeutischer Freiheit für Behandler – bei weiterem Preisverfall 2jährige Systemlücke der Kalkulation WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 93

Solide DRG-Entwicklung durch das InEK (DRG-Insitut) – Akzeptanz als „lernendes System“ Das G-DRG-System wird professionell weiterentwickelt. Stark verbesserte Kalkulation nach anfänglicher Kompression der Relativgewichte. Das DRG-System stabilisiert sich, auch wenn die DRG-Zahl noch immer steigt. Die DRG-Abbildung teilstationärer Leistungen funktioniert nicht. Überraschung: Niemand fordert eine Verlängerung der Konvergenzphase, nicht mal die Universitäten!

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 94

Gang der Handlung 1 DRG-Nachbarschaftskontakte 2 G-DRG-Entwicklung 2003 - 2009 3 Das stationäre Vergütungssystem 4 Qualitätssicherung 5 Ordnungspolitische Diskussionen

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infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 95

Weitere Bestandteile des VergĂźtungssystems 1. Deutsche Kodierrichtlinien 2. Abrechnungsregeln 2009 3. Besondere Einrichtungen

4. Neue Untersuchungs- und Behandlungsmethoden

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 96

Deutsche Kodierrichtlinien KDR 1525h Primä ärer und sekundä ärer Kaiserschnitt Ein primärer Kaiserschnitt ist definiert als ein Kaiserschnitt, der als geplante Prozedur vor oder nach dem Einsetzen der Wehen durchgeführt wird; die Entscheidung zur Sectio wird dabei vor Einsetzen der Wehen getroffen. Ein sekundärer Kaiserschnitt (inkl. Notfallkaiserschnitt) wird definiert als ein Kaiserschnitt, der aufgrund einer Notfallsituation oder des Geburtsverlaufs aus mütterlicher oder kindlicher Indikation (z.B. HELLP-Syndrom, Geburtsstillstand, fetaler Distress) erforderlich war, auch wenn dieser primär geplant war. Zur Kodierung ist der passende Kode aus Sectio caesarea und Entwicklung des Kindes 5-74 auszuwählen. WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 97

§ 2 FPV 2008 Wiederaufnahmen in dasselbe Krankenhaus seit 2004 Fallzusammenführung Garantieregelung keine Diagnosenlistung, sondern Bezug – Partition – Frist – Ausnahmen von der Komplikationsregel

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infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 98

2 FPV 2008 Wiederaufnahmen in dasselbe Krankenhaus 1.Aufenthalt Gleiche BasisBasis-DRG

2.Aufenthalt Gleiche BasisBasis-DRG

Einige G-DRGs sind ausgenommen!

Zusammenlegung nach 2 Abs.1 FPV 2008 Falldaten beider Aufenthalte neu gruppieren

1.Aufenthalt Gleiche MDC andere/medizin. Partition

2.Aufenthalt Gleiche MDC, operative Partition

Zusammenlegung nach 2 Abs.2 FPV 2008 Falldaten beider Aufenthalte neu gruppieren

1.Aufenthalt

2.Aufenthalt Komplikation

WA innerhalb oGVD des 1. Aufenthalts

Frist:

Frist:

WA innerhalb 30 Tage vom Aufnahmedatum des 1. Aufenthalts

Einige G-DRGs sind ausgenommen!

Frist:

WA innerhalb oGVD des 1. Aufenthalts

Zusammenlegung nach 2 Abs.3 FPV 2008 Falldaten beider Aufenthalte neu gruppieren WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 99

§ 2 FPV 2008 Wiederaufnahmen in dasselbe Krankenhaus Ausnahmen Fallzusammenführung (Beispiele) Spalte 13 HA/15 Beleg Solide und „flüssige“ Tm: Chemotherapie und/oder Strahlentherapie Transplantationen; Evaluation vor Transplantation; Stammzellapherese

Langzeitbeatmung, intensivmedzinische Komplexbehandlung multimodale Schmerztherapie HIV (gesamte MDC 18A) Niereninsuffizienz mit Dialyse Endokrinopathien (vor allem bei Kindern) Geburtshilfe (gesamte MDC 14)/Neugeborene (gesamte MDC 15) Fehler-DRGs WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 100

Abrechnungsprüfung Kodierung und Abrechnung sind ressourcenaufwändige Konflikte zwischen Kassen und Krankenhäusern. Einige Tausend Kassenmitarbeiter und der medizinische Dienst der Krankenkassen (MDK) kontrollieren Rechnungen. Es fehlt noch eine friedensstiftende Idee.

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 101

Besondere Einrichtungen Bestimmte Krankenhäuser oder selbständige Abteilungen können vom DRG-System ausgenommen werden. Beispiele: MS-Kranken, Palliativstationen, Frührehabilitation, zunächst auch Kinderkrankenhäuser Jährliche Vereinbarung der Grundprinzipien auf Bundesebene Entscheidung vor Ort Rückläufige Bedeutung durch Weiterentwicklung des DRGSystems WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 102

Neue Untersuchungs- und Behandlungsformen (NUB) Innovationsregelung: Neue Untersuchungs- und Behandlungsformen, die noch nicht im DRG-System abgebildet werden, können gesondert vergütet werden. Jährlich tausende von Anfragen – mit steigender Tendenz. (starke Aktivitäten der Industrie) Untersuchung durch das DRG-Institut Ggf. Vereinbarung vor Ort

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 103

Gang der Handlung 1 DRG-Nachbarschaftskontakte 2 G-DRG-Entwicklung 2003 - 2009 3 Das stationäre Vergütungssystem 4 Qualitätssicherung 5 Ordnungspolitische Diskussionen

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 104

DRGs schaffen Transparenz Bis 2003 dunkler Urzustand: krankenhausbezogene Daten galten als gesetzlich geschützte Sozialdaten. Veröffentlichung ohne explizite Zustimmung war strafbar. 2005 erster Qualitätsbericht über Datenjahr 2004. Die Selbstverwaltung einigt sich auf einen reinen Mengenreport. Erste Krankenhausnavigatoren entstehen im Internet. 2007: Erstmals werden BQS-Indikatoren veröffentlicht – seltsamerweise ohne publizistische Resonanz.

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 105

Externe QS durch BQS-Verfahren keine Routinedaten, gesonderte Dokumentation: – 31 Auswertungen in 20 Leistungsbereichen – 169 Qualitätsindikatoren – 2.225 Datenfelder – Ca. 2,5 Mio Erfassungsbögen Bis auf ambulant erworbene Pneumonien ausschließlich operative Indikationen

Erhebung von – Qualität der Indikationsstellung – Prozessqualität – Ergebnisqualität. Teilweise eingeschränkte Aussagekraft durch begrenztes stationäres Zeitfenster – Risikoadjustierung WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 106

Öffentliche Qualitätsindikatoren

Karotis-Rekonstruktion: 3 Pneumonie: 4 Mammachirurgie: 3 Herzschrittmacher: 3 Kardiologie: 3 Herzchirurgie: 2

Cholezystektomie: 3 Gynäkologie: Geburtshilfe: Hüft-TEP: Pflege:

Knie-TEP: WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

2 3 (4) 3 (1)

2

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infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 107

www.aok-klinik-konsil.de

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 108

Schwächen der BQS-Verfahren Unglaublicher Erfassungsaufwand, der nur zum Teil durch KHinterne Software vermindert werden kann. Erfassungsbias Begrenzte Aussagekraft wegen des enger werdenden Zeitfensters (kürzere Verweildauer)

Dominanz chirurgischer QS-Indikatoren Kaum Nutzen für die Patienten

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 109

Qualitätssicherung mit Routinedaten (QSR) Verfahren zur Qualitätsmessung mit administrativen Routinedaten wurde entwickelt (Projektpartner: AOKAOKBundesverband, HELIOS Kliniken, Universität Magdeburg (FEISA), WIdO) aufwandsarme, an Ergebnis-qualität orientierte Qualitäts-sicherung möglich

erstmals Qualitätssicherung über Entlassungstermin hinaus valide Indikatoren der Ergebnisqualität

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 110

QSR-Tracer Herzinsuffizienz Herzinfarkt Hirninfarkt oder intrazerebrale Blutung Kolon-/Rektum-Operation bei kolorektalem Karzinom offene oder n.n. bez./laparoskopische Appendektomie Hüftgelenks-Totalendoprothese bei Coxarthrose (elektive Hüft-TEP)/ Hüftgelenks-Endoprothese bei Hüftfraktur Kniegelenk-Totalendoprothese

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 111

Notwendigkeit von Follow ups zur Qualitätsmessung

.4 .2 0

90-Tage-Sterblichkeit

.6

Zusammenhang zwischen 90-Tage- und KH-Sterblichkeit bei Herzinsuffizienz, AOK Fälle, 2003, n > 5, 1.393 Kliniken

0

.1

.2

.3

.4

.5

(mean) tod

Krankenhaussterblichkeit WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 112

Gang der Handlung 1 DRG-Nachbarschaftskontakte 2 G-DRG-Entwicklung 2003 - 2009 3 Das stationäre Vergütungssystem 4 Qualitätssicherung 5 Ordnungspolitische Diskussionen

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 113

Drei große Entwicklungslinien Auf dem Weg in die Monistik

Die Länder ziehen sich unaufhaltsam aus der Krankenhausfinanzierung zurück. Ambulante Krankenhausleistungen

Ambulante Klinikleistungen nehmen zu und es entsteht ein eigener Regelungsbereich neben der rein stationären Versorgung. Wettbewerbliche Neuordnung

Das Verhandlungsprinzip „gemeinsam und einheitlich“ ist nicht kompatibel mit der wettbewerblichen Neuordnung des Gesundheitswesens. WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 114

Erosion der dualen Finanzierung

Geplantes Finanzierungsverhältnis zwischen Ländern und Krankenkassen bei Einführung der dualen Finanzierung 1972: 1 : 3! Zwischenzeitlich ist der Anteil der Länderfinanzierung im Verhältnis zu den Gesamtausgaben der GKV und PKV von über 20 % auf eine Restgröße von unter 5 % geschrumpft. Auch bezogen auf das Bruttoinlandsprodukt hat sich der Anteil der Krankenhausinvestitionen von 1991 bis 1995 um 50 % von 0,24 % auf 0,12 % verringert.

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 115

Erosion der Länderinvestitionen 1991 – 2006 10% 9% 8%

Verhältnis der Länderinvestitionen zu Gesamtkosten der KH lt. Destatis zzgl. Investitionskosten nach Art. 14 GG

7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% 0%

2021

2020

2019

2018

2017

2016

2015

2014

2013

2012

2011

2010

2009

2008

2007

2006

2005

2004

2003

2002

2001

2000

1999

1998

1997

1996

1995

1994

1993

1992

1991

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 116

Kassenwettbewerb stärken Bislang dominiert die gemeinsame und einheitliche Budgetverhandlung – Wettbewerb zwischen Krankenkassen bleibt Schmuckwerk. Die Krankenkassen brauchen aus diesem Grund endlich die Möglichkeit, krankenkassenspezifische Einzelverträge mit Krankenhäusern zu schließen.

Alle Kassen sprechen sich für mehr selektive Verträge aus. Effizienzreserven würden so gehoben, der Abschluss dieser Verträge wäre freiwillig.

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 117

Forderung: Ausschreibung von Elektivleistungen Die Krankenkassen schreiben regional den Versorgungsbedarf ihrer Versicherten für definierte Elektivleistungen aus. Je nach Ergebnis des Bieterverfahrens erhalten alle oder ein Teil der Krankenhäuser den Zuschlag. Die Leistungen werden gemäß DRG-Systematik vergütet. Der Landesbasisfallwert hat als Höchstpreis Bestand.

Es werden in der Regel kassenspezifische Rabatte verhandelt. Qualitätsstandards sind Teil der Ausschreibung.

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infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 118

Region um Heide in Holstein

50 km

Quelle: Leber, Malzahn, Wolff: Elektiv wird selektiv WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 119

Region um Essen

50 km

Quelle: Leber, Malzahn, Wolff: Elektiv wird selektiv WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 120

Katalog elektiver Krankenhausleistungen Erarbeitung in Expertengruppe beim BMG Orientierung am DRG-Katalog Veränderungen im DRG-System sind notwendig, z.B. Aufteilung in Hüft-TEPs bei Schenkelhalsfraktur und bei Coxarthrose

größenordnungsmäßig ein Fünftel der Krankenhausleistungen Geburten elektiv, aber politisch ein Notfall WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 121

Kernpunkte der derzeitigen Reform (Krankenhausfinanzierungsreformgesetz – KHRG) Keine Reform Hauptanliegen: Verbesserte Finanzausstattung der Krankenhäuser mit beitragssatzsteigernder Wirkung. Unverbindlichkeiten zur Investitionsfinanzierung Fehlanzeige in puncto wettbewerblicher Erneuerung

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 122

Ausgabenentwicklung Krankenhäuser Die GKV-Ausgaben für Krankenhausleistungen entwickelten sich – trotz „Budgetierung“– in der Vergangenheit dynamischer als die Grundlohnsumme.

1,3 I nde xi e r te Kr anke nhausausgabe n de r GKV

1,25

Allg. Beitragssatz: 1995: 13,5 % 2007: 14,8 % (inkl. 0,9 %)

1,2

1,15 I nde xi e r te be i tr agspfl i chti ge Ei nnahme n

1,1

1,05

2007

2006

2005

2004

2003

2002

2001

2000

1999

1998

1997

1996

1995

1

Quelle Destatis, Fachserie 12.3, Bereinigte Kosten insgesamt, KJ1 - eigene Darstellung WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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KHRG: Psychiatrie und Psychosomatik Es soll bis 2013 ein tagespauschalierendes System für die Psychiatrie und die Psychosomatik eingeführt werden. Die Selbstverwaltungsparteien werden verpflichtet, das InEK zu beauftragen. Der GKV-Spitzenverband begrüßt die geplante Einführung eines tagespauschalierenden Systems für die Psychiatrie und die Psychosomatik. Die geplanten diskretionären Regelungen im Bereich der Psychiatriepersonalverordnung und die Vermischung der empirischen Ermittlung des tagespauschalierenden Systems mit den Vorgaben der Psychiatriepersonalverordnung sind jedoch abzulehnen.

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 124

KHRG: Einheitlicher Basisfallwertkorridor Es ist beabsichtigt, im Hinblick auf die Schaffung eines Bundesbasisfallwertes innerhalb von 5 Jahren ab 2010 einen Konvergenzkorridor von + 2,5 % bis – 1,5 % festzuschreiben. Ziel: Heranführen von „Ausreißern“ bis an die Korridorgrenze. Vereinbarung durch DKG und GKV-Spitzenverband

Bewertung: Die Korridorlösung garantiert keinen ausgabenneutralen Übergang.

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Bundesbasisfallwert und Konvergenzkorridor (2005 - 2008) (LBFW ohne Kappung und ohne Ausgleiche) CasemixCasemixvolumen: Anteil der Bundesländer entspricht den Kreisflächen (BBFW = 1)

LBFW ohne Kappung und ohne Ausgleiche

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 126

KHRG-RefE: Konvergenzplan BBFW 2010 bis 2014 Anpassung in Prozent des Delta 2009

Jeweils 20 % gegenüber 2009 bzw. gegenüber dem Vorjahr:

Delta zwischen BFW und oberem Grenzwert

20 25 33 50

Korridor Delta zwischen unterem Grenzwert und BFW

2010

2011

2012

2013

% % % %

2010 2011 2012 2013

2014

Jahre

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 127

Fazit Die DRG-Einführung in Deutschland ist eine Erfolgsgeschichte. Viele verlangen Änderungen, aber keiner will zum alten System zurück. Das G-DRG-System ist ein lernendes System mit jährlicher Weiterentwicklung. Die Akzeptanz der DRG-Klassifikation ist Ergebnis der professionellen Weiterentwicklung durch das DRGInstitut (InEK). Für Länder, die ein hochentwickeltes Gesundheitswesen haben, ist die Übernahme der G-DRGs kein Fehler. Die eigentliche Herausforderung ist nicht die Weiterentwicklung der DRG-Klassifikation, sondern die Gestaltung des Ordnungsrahmens für Krankenhausleistungen. Viel Glück! WulfWulf-Dietrich Leber GKV-Spitzenverband

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 128

Vielen Dank für Ihre Aufmerksamkeit!

www.GKVwww.GKV-Spitzenverband.de

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 129

Direction générale

Swiss DRG Forum 2008 Introduction des APDRG - De quelle infrastructure IT les hôpitaux doivent-ils disposer ?

10.11.2008

SwissDRG Forum 2008

Contexte • Les hôpitaux publics et subventionnés du canton de Neuchâtel ont introduit la facturation par APDRG en 2006 pour l’assurance maladie (mi-2005 pour la LAA, LAI et LAM) • Les APDRG concernaient l’Hôpital de La Chaux-deFonds, l’Hôpital Pourtalès, l’Hôpital de La Providence et l’Hôpital de Couvet • Le projet a été mené par le Centre d’information, de gestion et d’économie de santé (CIGES) S.A. SwissDRG forum 2008_08-11-17

10.11.2008

2


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 130

SwissDRG Forum 2008

Situation antérieure • Facturation selon un système de « cas-service » pour l’AOS et à la journée pour la LAA, LAI, LAM • Un codage médical sous la responsabilité des médecins • Un respect très partiel de la définitition de l’OCP, en particulier s’agissant de l’hospitalisation d’un jour

SwissDRG forum 2008_08-11-17

10.11.2008

3

SwissDRG Forum 2008

Prérequis à l’introduction des APDRG • Codage médical de qualité • Règles du jeu définie avec les partenaires tarifaires (Etat et assureurs) • Mise en place d’un système d’information performant

SwissDRG forum 2008_08-11-17

10.11.2008

4


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 131

SwissDRG Forum 2008

Codage médical de qualité Le codage médical effectué par les médecins (notamment par les médecins assistants) ne garantit pas une qualité irréprochable, notamment par le fait que les médecins ne sont pas formés aux règles de codage. Mise en place d’un centre de codage professionnel pour l’ensemble des hôpitaux assurant une uniformité dans le codage de l’ensemble des hôpitaux (dès 2005)

SwissDRG forum 2008_08-11-17

10.11.2008

5

SwissDRG Forum 2008

Règles du jeu avec les partenaires tarifaires • Pour la SCTM, mise en œuvre sans « garde fou » à la mi-2005 (augmentation du coût pour l’AI; diminution pour la LAA) • Pour l’AOS, mise en place d’un concept de neutralité des coûts par rapport au système de facturation précédent (mise en place d’une « Schattenrechnung ») • Pour l’Etat, la garantie que l’introduction des APDRG et notamment le respect des définitions de l’OCP ne pénalise pas les hôpitaux SwissDRG forum 2008_08-11-17

10.11.2008

6


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 132

SwissDRG Forum 2008

Mise en place d’un système d’information performant 1 • Séparation de fait de l’information médicale de l’information administrative • Adéquation de l’information médicale et de l’information administrative, notamment : dossier mère-enfant; hospitalisation de très courte durée; transferts • Mise en place de la Schattenrechnung

SwissDRG forum 2008_08-11-17

10.11.2008

7

SwissDRG Forum 2008

Mise en place d’un système d’information performant 2 Logiciel administratif + facturation Cas hosp + APDRG Groupeur

Logiciel intermédiaire

Dossier médical Codes validés

Codes + APDRG

Lettres de sortie Protocoles opérat. Codes ICD + CHOP

Centre de codage Med plaus SwissDRG forum 2008_08-11-17

OFS 10.11.2008

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 133

SwissDRG Forum 2008

Problèmes liés à la mise en place des APDRG • Système d’information complexe, pour répondre aux craintes des médecins et de la direction des hôpitaux • Prouver que le centre de codage est une plus-value pour les médecins • Calcul de la Schattenrechnung finalement manuel

SwissDRG forum 2008_08-11-17

10.11.2008

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SwissDRG Forum 2008

Risques liés à l’introduction des APDRG, expérience NE • Impact du délai de rédaction des lettres de sortie sur la facturation et facturation à la sortie du patient • Mise en évidence du coût élevé des hôpitaux neuchâtelois, par un système de facturation permettant de comparer • Difficulté de calculer la Schattenrechnung

SwissDRG forum 2008_08-11-17

10.11.2008

10


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 134

SwissDRG Forum 2008

Contrôle des factures par les assureurs • Audit du codage (méthode uniforme VD-VS-NE-GE-JU-(BE)) • Transmission des données médicales aux assureurs (convention; audits particuliers; transmission au coup par coup)

SwissDRG forum 2008_08-11-17

10.11.2008

11


infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 135

SwissDRG Forum 2008 17. November 2008, Basel

Verhandlungen und Verträge zwischen den Tarifpartnern: Was gilt es zu regeln? Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung Helsana-Gruppe , 18.11.2008


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 136

1. Umsetzung neue Spitalfinanzierung 2. Rolle von Kantonen, Versicherern und Spitälern 3. Benchmarking im DRG-Umfeld

4. Fazit Helsana zum Abschluss …

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

2


infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 137

1.

Umsetzung neue Spitalfinanzierung

, 18.11.2008


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 138

Spitalfinanzierung CH ab 1.1.2009

IST Tagespauschalen, Abteilungspauschalen

NEU Fallpauschalen SwissDRG-System

Defizit-Kostendeckung für Allgemeinpatienten

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

Leistungsfinanzierung über Pauschal-Preise

4


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 139

Spitalfinanzierung CH ab 1.1.2012 Kosten

Finanzierung

Gemeinwirtschaftliche Leistungen

Durch Standortkanton / Trägerschaft finanziert

Gemeinwirtschaftliche Leistungen

Lehre und Forschung

Durch Bund / Trägerschaft finanziert

Lehre und Forschung

Betriebs- und Investitionskosten

Durch Kanton / Krankenversicherer finanziert

KVG

Wohnsitzkanton

Obligatorische Krankenpflegeversicherung (OKP)

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

5


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 140

Spitalfinanzierung CH ab 1.1.2009 Übergangsfristen … Inkrafttreten

leistungsbezogene Finanzierung (SwissDRG) Finanzierungsschlüssel mind. 55% bzw. mind. 45%* Freie Spitalwahl Spitalplanung/ Hochspezialisierte Medizin

Risikoausgleich 2009

2010

2011

2012

2013

2014

2015

2016

2017

* 1. Kantone mit unterdurchschnittlichen Prämien können einen tieferen Anteil festlegen, mind. 2.

aber 45%. Sie sollen 2017 mind. einen 55%-Anteil erreichen. Der Finanzierungsanteil gilt ab 2012 für alle Spitäler auf der aktuellen Spitalliste

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

6


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 141

DRG's sind das Eine, es braucht aber auch entsprechende Rahmenbedingungen.

Die sind auch relevant für die Spitäler und die Kantone!

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

7


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 142

Rahmenbedingungen für DRG's …

1/2

Leistungsbezogene Finanzierung der Spitäler

"Gelistete" private und öffentliche Spitäler sind von den Kantonen gleichermassen mitzufinanzieren

Klare Rollentrennung

?

Kantone: Versicherer: Spitäler:

Zulassung Spitäler zulasten OKP Preisverhandlungen und Benchmarking autonome Entscheide (Investitionen,Angebote,usw.)

Kantone greifen nur ein, wenn Versorgung gefährdet ist, sie definieren die "Eingreifschwellen" (Warteschlangen, Kapazitäten usw.)

?

Optimierung Risikoausgleich

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

8


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 143

Rahmenbedingungen für DRG's …

2/2

Sachgerechte Verordnungen zur Umsetzung von EDI / BAG

?

Professionelle "Organisation" für die Einführung und Umsetzung des DRG-Systems

?

Funktionierendes System für die Qualitätssicherung, Qualitätsrankings

?

Innovationsmanagement Leistungen OKP

?

Keine Einheitspreise für die ganze Schweiz

?

Daten für die Rechnungskontrolle

?

Begleitforschung über die Wirkungen von DRG's

?

Neues Vergütungsmodell für Rehabilitation und Psychiatrie

?

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 144

Einen besonderen Stellenwert in einem Fallpreispauschalen-System hat die Qualitätssicherung … Nach den Gesetzen der Ökonomie wird bei vorgegebenem Preis einer Leistung der Aufwand für die Erstellung minimiert Qualität verursacht Aufwand Leistungsfähiges Qualitätssicherungsinstrument muss dafür sorgen, dass wirtschaftliche Optimierungen die Behandlungsqualität möglichst wenig beeinträchtigen

Qualitätssicherung ist unabhängig vom DRG-System ein Muss, und zwar seit 1996 Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 145

DRG-System setzt keinen Einheitspreis voraus … Gleicher Preis für gleiche Leistung ist realitätsfremd Einheitspreis wäre kontraproduktiv für den Wettbewerb Ein schweizweiter Richtwert ist denkbar Wettbewerb soll über Benchmarking geschehen Wettbewerb soll über die Qualität der Leistungen stattfinden Verträge zwischen Spital und Krankenversicherer regeln Preis und Qualität

Preise werden auch in Zukunft unterschiedlich sein Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

11


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 146

Unerwünschte Nebenwirkungen von DRGs ? "Blutige Entlassungen" ? Starker Anstieg der Fallzahlen ? Anstieg der Gesamtkosten ? Verschiebung von Leistungen in vor- oder nachgelagerte Bereiche ?

Unbeherrschbarer administrativer Aufwand (Kodierung, Abrechnung und Rechnungsprüfung)? Kreatives Codieren (Upcoding) ? Risikoselektion (Skimming) ? Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

12


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 147

Notwendige Begleitmassnahmen zur Vermeidung unerwünschter Nebenwirkungen … Übermässige Reduktion der Aufenthaltsdauer

Definition des Zeitintervalls bei Wiedereinweisung

Qualitätsminderung

Veröffentlichung von Qualitätsindikatoren

Risikoselektion

Geeignete Falldefinition (evtl. Richtlinien) bei Verlegung

Auslagerung von Leistungen

Berücksichtigung der Entwicklung von vor-/nachgelagerten Behandlungen

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

13


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 148

DRG-System verlangt ein Innovationsmanagement OKP … 1/3 Nicht alles, was neu ist, ist besser Aber was neu und wirklich besser ist, sollte Versicherten auch so schnell wie möglich zugute kommen Innovative Methoden oder Therapien gelangen meist über die Spitäler und zwar ohne Evaluation und ohne dass der "Pflichtleistungs-Charakter" und der Nutzen geprüft wird, in die OKP

Im DRG-System werden nun neue Verfahren und Leistungen datengestützt geprüft (Kostendaten und valide Studien zum Nutzen) Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

14


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 149

DRG-System verlangt ein Innovationsmanagement OKP … 2/3 Pharma- und Hilfsmittelindustrie haben kein Antragsrecht zur Weiterentwicklung von SwissDRG Kostendaten der Netzwerkspitäler werden für die Kalkulation der Kostengewichte herangezogen Haben die Netzwerkspitäler Innovationen eingeführt, so finden sich diese in den Kostendaten wieder Innovationen der Industrie werden so berücksichtigt Vergütung über Zusatzentgelte wird die Ausnahme sein Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

15


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 150

DRG-System verlangt ein Innovationsmanagement OKP … 3/3 Versicherer fordern seit langem eine bessere Datenqualität und mehr Netzwerkspitäler. So werden Innovationen der Industrie am besten berücksichtigt

Es braucht ein Innovationsmanagement OKP …

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

16


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 151

Kontrolle der Spitalrechnungen … Wenn sich der Gesetzgeber für Fallpreispauschalen als Abgeltungsmodell für stationäre Leistungen - die durch Diagnosen, Prozeduren und Schweregrade bestimmt werden – entscheidet, dann müssen die Finanzierer die Möglichkeit haben, Diagnosen, Prozeduren und Schweregrad zu überprüfen Finanzierer müssen diese Angaben mit der Rechnung bekommen

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

17


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 152

2.

Rolle von Kantonen, Versicherern und Spitälern

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

18


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 153

Rollen im Wandel … Elemente Spitalfinanzierung

1 Patientenklassifikationssystem (Fallgruppierung, DRGs)

2 Vergütungsformen (Fallbezogene Vergütung)

3 Finanzierungssysteme (Kostenträger) Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

Partner Tarifstrukturpartner

Versicherer und Spitäler und Kantone / und FMH

Tarifpartner

Versicherer und Spitäler

Finanzierungs- Versicherer und partner Kantone 19


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 154

1

Tarifstrukturen für stationäre Leistungen

Tarifpartner setzen gemeinsam mit den Kantonen eine Organisation ein, die für die Erarbeitung und Weiterentwicklung sowie Anpassung und Pflege der Strukturen zuständig ist (Art. 49, Abs. 2 KVG)

Tarifpartner Versicherer und Spitäler + Kantone

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

20


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 155

Organisation für Tarifstrukturen für stationäre Leistungen SwissDRG AG hat den Auftrag, die Einführung und Weiterentwicklung der künftig schweizweit einheitlichen Tarifstruktur sicherzustellen und hat dafür ein Kompetenzzentrum, das Case-Mix-Office (CMO) eingesetzt SwissDRG AG hat eine triparitätische Trägerschaft bestehend aus den Kantonen (Gesundheitsdirektorenkonferenz GDK), den Krankenversicherern (santésuisse) und den Leistungserbringern (H+ und FMH)

Auch der Verwaltungsrat ist triparitätisch (aus Vertretern der GDK, santésuisse und den Leistungserbringern H+ und FMH) zusammengesetzt Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

21


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 156

SwissDRG AG: Aufgaben des CMO Berechnung der Kostengewichte Tarifstrukturpflege Betreuung und Validierung der Kosten- und Leistungsdatenbank der Referenzspitäler Änderungsvorschläge für Kodierrichtlinien

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

22


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 157

SwissDRG AG: Keine Aufgaben des CMO Preisfestsetzung Definition von flankierenden Massnahmen bei der Einführung (Konvergenzphase) Differenzierung der Baserate nach Spitalkategorie (Uni-, Zentrums- oder Regionalspital)

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

23


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 158

2 Tarifverträge

1/2

Tarife und Preise werden in Verträgen zwischen Versicherern und Leistungserbringern vereinbart (Art. 43, Abs. 4 KVG) Parteien eines Tarifvertrages sind einzelne oder mehrere Leistungserbringer oder deren Verbände einerseits sowie einzelne oder mehrere Versicherer oder deren Verbände andererseits (Art. 46, Abs. 1 KVG)

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

24


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 159

2 Tarifverträge

2/2

Für die Vergütung der stationären Behandlung einschliesslich Aufenthalt in einem Spital oder einem Geburtshaus vereinbaren die Vertragsparteien Pauschalen In der Regel sind Fallpauschalen festzulegen Die Pauschalen sind leistungsbezogen und beruhen auf gesamtschweizerisch einheitlichen Strukturen (Art. 49 KVG)

Tarifpartner: Versicherer und Spitäler Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

25


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 160

Leistungsbezogene Pauschalen für stationäre Leistungen

1/2

Tarifpartner müssen dem Bundesrat den Tarifvertrag zur Genehmigung unterbreiten Tarifvertrag muss die einheitliche Tarifstruktur und die Anwendungsmodalitäten des Tarifs beinhalten Mit dem Genehmigungsgesuch müssen die Berechnungsgrundlagen und Berechnungsmethode, die Instrumente und Mechanismen zur Gewährleistung der Qualität der Leistungen im Rahmen der Tarifanwendung und die Schätzungen über die Auswirkungen der Anwendung des Tarifs auf das Leistungsvolumen und auf die Kosten, einschliesslich der vor- und nachgelagerten Bereiche, eingereicht werden Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

26


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 161

Leistungsbezogene Pauschalen für stationäre Leistungen

2/2

Zudem muss der Tarifvertrag das Kodierungshandbuch sowie ein Konzept zur Kodierungsrevision enthalten (Art. 59d KVV)

Tarifpartner: Versicherer und Spitäler

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

27


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 162

3

Finanzierung

Abgeltung der stationären Leistungen werden vom Kanton und den Versicherern anteilsmässig übernommen (Art. 49a, Abs. 1 KVG) Wohnkanton entrichtet seinen Anteil direkt dem Spital. Versicherer und Kanton können vereinbaren, dass der Kanton seinen Anteil dem Versicherer leistet und dieser dem Spital beide Anteile überweist (Art. 49.a, Abs. 3 KVG)

Finanzierer: Krankenversicherer und Kanton Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

28


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 163

Rechnungsstellung

1/2

Ab 1.1.2009 sind alle Leistungserbringer verpflichtet, für KVG- und VVG-Leistungen zwei getrennte Rechnungen zu erstellen Spitäler müssen eine Rechnung an den Versicherer und eine Rechnung an den Kanton stellen

Kantone brauchen zur Kontrolle und Abwicklung der Rechnungen eine Organisation wie ein Versicherer (inkl. Datenschutz)

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

29


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 164

Rechnungsstellung

2/2

Abläufe werde so für alle Beteiligten komplexer Gesetzliche Vorgaben erzeugen erheblichen Mehraufwand

Eine einzige Rechnung an den Versicherer wäre die beste Lösung, alles andere ist Ressourcenverschwendung

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

30


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 165

Rechnungsübermittlung Fallpauschalsysteme wie SwissDRG können von Spitälern und Versicherern nur elektronisch effizient gehandhabt werden Standardisierte Tarifstruktur TARMED hat dazu geführt, dass mittlerweile fast alle ambulanten Spitalrechnungen elektronisch an die Versicherer geliefert werden Grundlagen für eine elektronische Rechnungsstellung sind damit auch im stationären Bereich gelegt Übermittlungsstandard selbst ist aber noch unzureichend, rasche Weiterentwicklung ist notwendig Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

31


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 166

Rechnungsinhalte

1/2

Rechnungen haben jene Informationen zu enthalten, welche der Versicherer benötigt, um den gesetzlichen Auftrag der Rechnungskontrolle durchführen zu können Je stärker medizinische Details die Höhe der Rechnung beeinflussen, desto wichtiger ist es, die Details auf der Rechnung bekannt zu geben Versicherer brauchen daher medizinische Daten wie Diagnosen und Prozeduren, um ihre Rechnungsberge effizient triagieren zu können. Nur so kann der Aufwand für Spitäler und Versicherer auf die auffälligen Fälle beschränkt werden Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 167

Rechnungsinhalte

2/2

Sogar der Bundesrat hat dies im Kommentar zur "neuen KVV" festgehalten - "Die Einführung von leistungsbezogenen Pauschalen in der Form diagnosebezogener Fallpauschalen macht Datenlieferungen vom Leistungserbringer an den Versicherer erforderlich." - "Die Datenweitergabe an die Versicherer ist unabdingbar, weil diese zur Rechnungskontrolle personenbezogene Daten benötigen." Weiterhin Blockade von H+ oder Umsetzung des Letter of intent… ? Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

33


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 168

Rollenkonflikte der Kantone bleiben weiterhin bestehen … Kanton als Finanzierer: Kantone haben weiterhin einen Anteil an den stationären Leistungen der OKP zu übernehmen Kanton als Spitaleigentümer: Öffentliche Spitäler vereinbaren mit Versicherern die Tarife. Privatspitäler sind Konkurrenten Kanton als Tarifgenehmiger / -entscheider: Einigen sich Spitäler und Versicherer auf einen Tarifvertrag, hat der Kanton ihn auf seine KVG-Konformität zu prüfen. Einigen sie sich nicht, setzt der Kanton den Tarif fest Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

34


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 169

Kantone als Planer … Kantone haben wie heute die Spitallandschaft zu planen Kantone erhalten neue Planungsvorgaben und -kriterien, haben sich interkantonal zu koordinieren Kantone erstellen Spitallisten. Wer nicht auf der Liste ist, erhält auch weiterhin keinen Kantonsanteil, kann aber einen OKP-Vertrag erhalten

Spitallisten haben daher nicht mehr die Funktion eines (eh nicht funktionierenden) Zulassungsfilters für die OKP, sondern werden zu einem objektorientierten Verteilmechanismus der kantonalen Finanzierungsanteile Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

35


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 170

Konsequenzen für die Kantone Rollenkonflikt der Kantone bleibt bestehen, aber das Verhältnis zu den Krankenversicherern dürfte sich ändern Obwohl Kantone keine Tarifpartner sind, haben sie einen höheren Anteil vom Basispreis zu finanzieren als die Versicherer Kantone werden bestrebt sein, auf die Höhe des Basispreises Einfluss zu nehmen. Das birgt die Gefahr von Willkür Finanzierungsregeln führen nun tendenziell dazu, dass die Eigentümerrolle der Kantone an Bedeutung verliert. Weitere Spitäler werden "verselbstständigt" Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

36


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 171

Fazit: Helsana Abstimmungsbedarf zwischen Kantonen und Versicherern ist erheblich Ineffiziente Doppelspurigkeiten müssen vermieden werden Wenn sich die Kantone immer mehr als "Kostenträger" begreifen, nimmt ihre Interessenübereinstimmung mit den Versicherern zwangsläufig zu

Kooperationsvereinbarungen zwischen Kantonen und Versicherern sind nötig um unnötige Konflikte zu vermeiden Gegensätze sind weiterhin vorhanden, da die Mehrfachrolle der Kantone bestehen bleibt Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

37


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 172

Rolle anderer Gesundheitsplayer

1/2

Einbindung weiterer Akteure als Aktionäre in die SwissDRG AG ist unnötig Kreis der Antragsberechtigten für die Weiterentwicklung des DRG-Systems wäre dann nicht mehr abgrenzbar, weil im Prinzip jeder alles beantragen könnte So würde einer individuellen Interessenwahrnehmung Vorschub geleistet

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

38


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 173

Rolle anderer Gesundheitsplayer

2/2

Allein die Existenz neuer Technologien kann kein Grund für eine Aufnahme in das DRG-System sein Stände im Widerspruch zu einer an medizinischen und vergütungsrelevanten Kriterien orientierten Weiterentwicklung des DRG-Systems

Daher haben andere als die Aktionäre der SwissDRG AG kein Antragsrecht bei der Systementwicklung Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

39


infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 174

3.

Benchmarking im DRG-Umfeld

, 18.11.2008


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 175

Benchmarking Tarife / Preise Spitaltarife orientieren sich an der Entschädigung jener Spitäler, welche die tarifierte obligatorisch versicherte Leistung in der notwendigen Qualität effizient und günstig erbringen (Art. 49, Abs. 1 KVG)

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

41


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 176

Benchmarking durch wen … ? Preisbildung hat Spitalvergleiche zu berücksichtigen Spitäler und Kantone haben die dafür notwendigen Unterlagen (KVG-CMI, Anzahl Outlier etc.) zu liefern Spitäler haben Ergebnisqualitätsdaten zur Verfügung zu stellen

Benchmarking erfolgt durch Versicherer

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

42


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 177

Benchmarking Kosten / Ergebnisqualität In Zusammenarbeit mit den Kantonen ordnet der Bundesrat schweizweit Betriebsvergleiche zwischen Spitälern an, insbesondere zu Kosten und medizinischer Qualität Spitäler und Kantone müssen dafür die nötigen Unterlagen liefern

Bundesrat veröffentlicht die Betriebsvergleiche (Art. 49, Abs. 8 KVG)

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

43


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 178

Benchmarking und Ergebnisqualität Gesamtschweizerische Tarifstruktur erfordert eine gesamtschweizerisch einheitliche Messung der Ergebnisqualität Schweiz steckt hier noch in den Kinderschuhen

Ansätze wie die Arbeiten des Interkantonalen Vereins für Qualitätssicherung und -förderung in den Spitälern (IVQ) sind daher zu fördern Bund sollte bei Thema Qualität nicht die Führungsrolle übernehmen Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 179

4.

Fazit Helsana zum Abschluss …

, 18.11.2008


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 180

Fazit Helsana

1/2

Auch die "neue Spitalfinanzierung" wird über Verträge zwischen Spitälern und Versicherern gestaltet. Umsetzung ist aber massgeblich abhängig von der Kooperationsbereitschaft der Kantone und der Versicherer Unterschiedliche Ausgangslagen in den Kantonen werden zwar zu einer kantonal unterschiedlichen Umsetzung führen. Einheitliche Tarifstruktur wird aber Konvergenz in der Umsetzung bewirken

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 181

Fazit Helsana

2/2

Mit der "neuen KVV" werden die Spitäler nicht umhinkommen, den Versicherern die notwendigen Daten für die Rechnungstriage zu liefern Spitäler werden sich noch wundern, wieviel Aufwand die Unterscheidung zwischen KVG- und VVG-Leistungen auf zwei Rechnungen verursacht

Allein schon die Vergleichbarkeit der Spitalleistungen unter DRGs wird den Spitalmarkt in Bewegung bringen

Titel: Swiss DRG Forum 2008 – 17.11.2008.ppt Referent: Manfred Manser, Vorsitzender der Konzernleitung

47


infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 182

Vielen Dank! , 18.11.2008


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 183

Eidgenössisches Volkswirtschaftsdepartement EVD Preisüberwachung PUE

Spitaltarife auf dem Prüfstand des Preisüberwachers Stefan Meierhans Preisüberwacher

SwissDRG Forum 2008 Congress Center Basel, 17. November 2008

DRG …. • DRG = ? • DRG records – independent record label? • Dicziunari Rumantsch Grischun? • Deutsche Röntgen-Gesellschaft? • Deutsche Raketen-Gesellschaft?

SwissDRG Forum 2008 | Basel, Congress Center, 17. Nov. 2008 Stefan Meierhans, Preisüberwacher

2


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 184

Rolle Preisüberwachung • Wettbewerbspolitische Ausrichtung • Empfehlungsrecht bei behördlichen Tarifen • Gesundheitstarife

SwissDRG Forum 2008 | Basel, Congress Center, 17. Nov. 2008 Stefan Meierhans, Preisüberwacher

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Fokus der Preisüberwachung bei stationären Spitaltarifen • • • •

Prüfmethodik AP-DRG-Pauschalen SwissDRG-Pauschalen Neue Spitalfinanzierung

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 185

Zweistufige Prüfmethodik 1. Kostenmethode 2. Wirtschaftlichkeitsprüfung

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Erste Erfahrungen bei der Prüfung von AP-DRG-Pauschalen

+ • Prüfung von AP-DRG Baserates • Zweistufige Prüfung • Erleichterung von Spitalvergleichen

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 186

Erste Erfahrungen bei der Prüfung von AP-DRG-Pauschalen

+/• Problematik AP-DRG Baserates • Trotzdem: Erster Praxistest bestanden

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SwissDRG Fallpauschalen Erwartungen der Preisüberwachung A: Vor dem Start • Bau neue Tarifstruktur • Einrechnung Implantats- und Medikamentenkosten • Zusatzentgelte • Behandlungsqualität

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SwissDRG Fallpauschalen Erwartungen der Preisüberwachung B: Nach dem Start • Monitoring Kodierqualität • Keine Mehrkosten infolge Systemwechsels • Spitalindividuelle BaserateBerechnung

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Neue Spitalfinanzierung: Augenmerk Nr. 1: Kostenkontrolle Spitalindividuelle KostenÜberprüfung: • Forschung und universitäre Lehre • Regionalpolitische Überkapazitäten • Anlagenutzung SwissDRG Forum 2008 | Basel, Congress Center, 17. Nov. 2008 Stefan Meierhans, Preisüberwacher

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Neue Spitalfinanzierung: Augenmerk Nr. 2: Behandlungsqualität • Neue Bundesrichtlinien • Spitalindividueller Qualitätsausweis • Qualitäts-Malus

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Neue Spitalfinanzierung: Augenmerk Nr. 3: Benchmarking • Vergleiche von SwissDRGBaserates • Vergleiche öffentliche & private Spitäler • Korrektur zu hoher Baserates

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Neue Spitalfinanzierung Unser Versprechen • Überprüfung der neuen gesamtschweiz. Tarifstruktur • Aktive Wahrnehmung des Empfehlungsrechts • Kritische Begleitung im Dienste der Patientinnen und Patienten

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Danke!

Vielen Dank für die Zusammenarbeit Stefan Meierhans

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 190

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? SwissDRG Forum 2008 17. November 2008 Rita Ziegler, lic. oec. HSG Vorsitzende der Spitaldirektion Vizepräsidentin H+ 1


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 191

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? Übersicht

Was wir erreichen wollen …zum Thema Effizienz und Qualität Wovon hängen Effizienz und Qualität ab? …zum Thema Effizienz und Qualität: Was und wie beurteilen wir? Qualität und Effizienz unter DRG‘s

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 192

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? Was wir erreichen wollen?

Optimale Patientenversorgung unter medizinischen und ökonomischen Gesichtspunkten (Qualität und Effizienz)

Leistungsgerechte Entschädigung

Preis- und Qualitätswettbewerb

D

DRG ist nicht schlecht oder gut. Entscheidend ist, was wir aus DRG machen.

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 193

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? …zum Thema Effizienz und Qualität Ressourcen sind immer knapp! D (wäre dem nicht so, gäbe es keinen Wettbewerb und keine Innovation) Mögliche Strategien zur Bewältigung von Knappheit: Produktivität und / oder Qualität verändern Schwerpunkte bilden (make or buy im Kontext von Allianzen und Netzwerken) mehr Ressourcen etc.

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 194

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? …zum Thema Effizienz mit denselben Mitteln mehr produzieren in gleicher Qualität mit weniger Mittel gleich viel produzieren in gleicher Qualität mit denselben Mitteln gleich viel produzieren mit höherer Qualität

D

mit denselben Mitteln mehr produzieren und mit höherer Qualität?

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 195

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? Wovon hängen Effizienz und Qualität ab? Aspekt 1

Leistungserbringung

Aspekt 2

Gestaltung des Versorgungssystems

Aspekt 3

Gestaltung des Instrumentariums

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 196

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? Aspekt 1

Input

1 Aufnahme & Basisdiagnostik

Strukturqualität Personal Infrastruktur Material Patient (Alter, Disposition, Vorerkrankungen, kultureller Hintergrund)

Leistungserbringung 2 Spezialdiagnostik

3 Prozedur (Operation/ Intervention)

4 Stationäre Behandlung

5 Entlassung

Prozessqualität Faktorkombinationen Standards

Output

Ergebnisqualität (Zustandsveränderung)

Bei Austritt kurzfristig langfristig

D Qualität und Effizienz sind abhängig von der Optimierung der Behandlungspfade.

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 197

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? Aspekt 1

Leistungserbringung Ausweis der Qualität in den Spitälern: ¾ ¾ ¾ ¾

Vergleich: www.spitalinformation.ch Transparenz pro Spital: Spital-Qualitätsberichte Transparenz über alle: H+-Branchenbericht Qualität Label als Standard: H+ qualité

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 198

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? Aspekt 2

Gestaltung des Versorgungssystems Zugang zum System (Erreichbarkeit, Wartefrist) Voraussetzungen für adäquate Behandlung in der Versorgungskette Erfahrung in der Behandlung (Aus-, Weiter- und Fortbildungssystem) Compliance (Wissenstand der Bevölkerung) Forschung als Treiber für Innovation und Fortschritt

D Qualität und Effizienz sind abhängig von der Bereitstellung der Kapazitäten und deren Finanzierung. 9


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 199

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? Aspekt 3

Gestaltung des Instrumentariums Was wir wissen: Flächendeckende Einführung von DRG‘s auf 1. Januar 2012 geplant Gilt vorläufig nur für Akutsomatik für Erwachsene Reduktion der Verweildauer Leistungsverlagerung in den ambulanten Sektor Wirtschaftliche Gewinner und Verlierer Erhöhung der Transparenz in Bezug auf Leistungen und Kosten sowie Qualität Diffuse Ängste über Qualitätsabbau 10


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 200

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? Aspekt 3

Gestaltung des Instrumentariums Was wir (noch) nicht wissen: 1. Base rate ¾ Höhe, Gültigkeitsbereich (national, kantonal, spitalspezifisch)?

2. Spread ¾ Einfluss von Komplikationen und Komorbiditäten?

3. Splitting-Regeln ¾ Vor- und Nachversorger; Überweisungsmechanismen?

4. Systemergänzungen ¾ Zuschläge für teure Einzelleistungen, Medikamente und Materialien, Kompensation für Kurz- und Langlieger?

5. Weiterbildungskosten ¾ Wie wird die Weiterbildung finanziert?

6. Innovation ¾ Wie werden die Innovationen finanziert?

7. Umgang mit seltenen Erkrankungen ¾ Vergleichbarkeit?

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 201

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? Aspekt 3

Gestaltung des Instrumentariums Rahmenbedingungen konsistente technische Gestaltung des Systems administrative / bürokratische Vorgaben Preiswettbewerb vs. Kostenwettbewerb Spitalplanung / Leistungsaufträge Vermeidung von Preisverzerrungen

D Qualität und Effizienz sind abhängig von der konsistenten Gestaltung des Instrumentariums und der damit gesetzten Anreizmechanismen. 12


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 202

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? zum Thema Effizienz und Qualität

Was und wie beurteilen wir?

D Gleiches mit Gleichem vergleichen

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 203

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? Basis des Vergleiches Prinzipdarstellung Kostenblöcke „Universitäre Medizin“

Vorhalte- und gemeinwirtsch. Leistungen

Direkte L&F-Kosten

Indirekte L&F-Kosten (Umlagen)

Kosten L&F werden bei der Universität anfallen

Dienstleistung

Ärztl. Weiter- und Fortbildung Aus-, Weiter- und Fortbildung der Gesundheitsberufe

Lehre und Forschung

Kosten, welche beim Dienstleister anfallen Îca. 45% KK Îca. 55% Kantone

Dienstleistungskosten im engsten Sinne (mit einem DRG'sSystem in Zukunft nachvollziehbar) (inkl. Investitionen)

© RZ

Grauzone-Kosten der universitätsassoziierten klinischmedizinischen Dienstleistung KUKMED

Nur für die stationäre obligatorische Grundversicherung

(Aufteilung zwischen L&F und Dienstleistung vorläufig nicht bezifferbar)

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 204

Qualitätsgewinn und Erhöhung der Effizienz – ein unvereinbarer Gegensatz? Qualität und Effizienz unter DRG‘s sind abhängig von der interdependenten Gestaltung aller drei Aspekte werden nicht allein in den Spitälern erbracht

D Die Chancen stehen gut, dass beides erreicht werden kann. DVersorgungssystem DDRG-Instrumentarium

f Begleitforschung f Evaluation und permanente

DLeistungserbringung

Entwicklung f Auswahl wichtiger / entscheidender Qualitätsindikatoren

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 205

Danke für Ihre Aufmerksamkeit!

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 206

Projekt SwissDRG und Pflege Teilaufgabe 1 Quantitative Analyse Pflegeaufwand

Baumberger Dieter, MNSc, Studienleiter Teilaufgabe 1, Mandat SVPL und SBK Bosshard Walter, Dr. phil., Projektleiter SwissDRG und Pflege, TeamFocus AG Luzern Portenier Lucien, BNSc, Leiter der Abteilung Pflege, SBK/ASI Bern Wittwer Markus, MAS, Direktor HRM & Pflege, Kantonsspital Winterthur B¨urgin Reto, Dipl. Ing. FH, Institut f¨ur Datenanalyse und Prozessdesign, ZHAW M¨uller Marianne, Prof. Dr., Institut f¨ur Datenanalyse und Prozessdesign, ZHAW Mit freundlicher, ideeller Unterst¨utzung der SwissDRG AG: H¨olzer Simon, PD Dr. med. Vuilleumier Mathieu, MSc STAT

14. Oktober 2009


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 207

Executive Summary

Um die Eignung der SwissDRG Version 0.1 in Bezug auf Homogenit¨at von Pflegekosten und Pflegeaufwand zu untersuchen, wurden die Daten 2006 von 39 Netzwerkspit¨alern analysiert, davon 10 Spit¨aler mit zus¨atzlich gelieferten Pflegeleistungsdaten. Der urspr¨ ungliche Datensatz enthielt 480’197 F¨alle, resp. 841 SwissDRGs 0.1. In Absprache mit dem Casemixoffice (CMO) der SwissDRG AG wurden Ausschlusskriterien festgelegt, die zu einem reduzierten Datensatz mit 263’247 F¨allen, resp. 401 SwissDRGs 0.1 f¨ uhrten. F¨ ur die Analyse der Pflegeleistungsdaten standen 73’930 F¨alle, resp. 213 DRGs zur Verf¨ ugung. Zur Sch¨atzung von Mittelwerten und Streuungen wurden robuste statistische Verfahren eingesetzt, weil diese f¨ ur die vorliegenden Daten realistischere Werte sch¨atzen. Zun¨achst ist festzustellen, dass die Qualit¨at der erfassten Pflegekosten kritisch zu hinterfragen ist. Anhand grafischer Darstellungen l¨asst sich relativ einfach illustrieren, dass einige Spit¨aler die Pflegeleistungen in den Pflegekosten nur teilweise leistungs- und fallbezogen oder nicht nachvollziehbar ber¨ ucksichtigen. Die Pflegekosten scheinen stark von der Kostenrechnung des jeweiligen Spitals abh¨angig zu sein. Sie d¨ urfen in der Folge nicht u ¨berinterpretiert werden. Mit einem Anteil von 28.5% an den Gesamtkosten sind die Pflegekosten das gr¨osste Kostenmodul. Der Anteil der Pflegekosten an den Gesamtkosten in den untersuchten DRGs liegt zwischen 8% und 56%. Dabei zeigt sich wie erwartet, dass DRGs mit hohen Anteilen an Pflegekosten oft eine medizinische Partition (M) aufweisen.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 208

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Bei den Pflegekosten konnten drei von insgesamt 401 SwissDRGs mit “sehr unbefriedigender” Homogenit¨at festgestellt werden (Variationskoeffizient > 1). Zugleich weisen sie sehr niedrige mittlere Pflegekosten auf. “Unbefriedigende” Homogenit¨at weisen 258 von 401 DRGs (64%) auf (Variationskoeffizient > 0.5). Darunter befinden sich auch die drei DRGs welche eine “sehr unbefriedigende” Homogenit¨at aufweisen. Grunds¨atzlich empfiehlt es sich, diese SwissDRGs genauer zu untersuchen. Der Vergleich zwischen den Netzwerkspit¨alern zeigt, dass die Unterschiede der mittleren Pflegekosten pro SwissDRG zwischen den Spit¨alern teilweise sehr gross sind. Etwas u ¨berraschend ist, dass selbst bei den homogensten SwissDRGs teilweise grosse Unterschiede zwischen den Spit¨alern auftreten k¨onnen. Bei den unterschiedlichen Krankenhaustypologien tendieren Universit¨atsspit¨aler zu h¨oheren mittleren Pflegekosten als Netzwerkspit¨aler der anderen Typologien. Der Vergleich zwischen den Hauptdiagnosegruppen (MDCs) zeigt betreffend Homogenit¨at der Pflegekosten sichtbare Unterschiede. Zum Beispiel ist die MDC “Krankheiten und St¨orungen der m¨annlichen Geschlechtsorgane” im Vergleich homogen, die MDC “Verletzungen, Vergiftungen und toxische Wirkungen von Drogen und Medikamenten” inhomogen. Mit der Gruppierung der F¨alle nach SwissDRGs kann nur ein kleiner Teil der Variabilit¨at der Pflegekosten erkl¨art werden (R2 = 0.13; nur Inliers: R2 = 0.36). Die Ber¨ ucksichtigung der Netzwerkspit¨aler bringt eine Verbesserung, insbesondere bei den Inliers (R2 = 0.21; nur Inliers: R2 = 0.49). Pflegekosten

Auch f¨ ur den Pflegeleistungsaufwand, gemessen in LEP Minuten, k¨onnen deutliche Unterschiede bez¨ uglich der Homogenit¨at festgestellt werden. Es gibt hier keine SwissDRG mit “sehr unbefriedigender” Homogenit¨at. Jedoch weisen 123 von 213 SwissDRGs (58%) eine “unbefriedigende” Homogenit¨at auf. Grunds¨atzlich empfiehlt es sich auch hier, diese DRGs genauer zu untersuchen. Wie bereits bei den Pflegekosten zeigt es sich, dass die Unterschiede der mittleren LEP Minuten pro SwissDRG zwischen den Spit¨alern teilweise sehr gross sind, selbst bei den homogensten SwissDRGs. Als wichtige Einflussfaktoren zeigen sich die unterschiedlichen Aufenthaltsdauern und Pflegeintensit¨aten in Minuten pro Aufenthaltstag zwischen den Spit¨alern. Die unterschiedlichen Krankenhaustypologien scheinen bei diesem Vergleich keine wesentliche Rolle zu spielen. Beeinflusst werden die Ergebnisse auch davon, dass nicht alle der zehn Spit¨aler die Aufwanddaten fl¨achendeckend, z. B. auch auf Notfallstationen usw. erfassen. Der Vergleich zwischen den Hauptdiagnosegruppen (MDCs) zeigt ebenfalls deutliche Unterschiede betreffend Homogenit¨at des Leistungsaufwandes. Zum Beispiel ist die MDC “Krankheiten und St¨orungen der weiblichen Geschlechtsorgane” im Vergleich homogen, die MDC “Krankheiten und St¨orungen des Nervensystems” inhomogen. Mit der Gruppierung der F¨alle nach SwissDRGs kann nur ein kleiner Teil der VaLeistungsaufwand


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 209

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riabilit¨at des Leistungsaufwandes der Pflege erkl¨art werden (R2 = 0.16; nur Inliers: R2 = 0.38). Die Ber¨ ucksichtigung der Netzwerkspit¨aler ergibt eine Verbesserung, besonders bei den Inliers (R2 = 0.22; nur Inliers: R2 = 0.46). F¨ ur den Leistungsaufwand wurden Kategorien gebildet, so dass man zuk¨ unftige F¨alle nach Aufwand einordnen kann. Die resultierenden Kategorien k¨onnen jedoch nicht klinisch begr¨ undet werden, sondern sind rein rechnerisch festgelegt. Kategorien f¨ ur Pflegeaufwand

Die Ausreisseranteile betreffend Gesamtkosten, Pflegekosten, Leistungsaufwand und Aufenthaltstagen wurden aufgrund vordefinierter Grenzwerte f¨ ur die Aufenthaltsdauer bestimmt. Insgesamt liegen 5.6% (14’628 von 263’247) aller untersuchten F¨alle ausserhalb dieser Grenzen. Auffallende DRGs haben dabei Ausreisseranteile von rund 30%.

Ausreisseranteile

Aus den vorliegenden Ergebnissen wurden anhand der Resultate zur Homogenit¨at der Pflegekosten und der Pflegeleistungen, den Unterschieden zwischen Netzwerkspit¨alern und den Ausreisseranteilen 24 SwissDRGs 0.1 identifiziert, die sich f¨ ur weitere Untersuchungen besonders eignen.

DRGs f¨ ur weitere Untersuchungen

F¨ ur die Verbesserung von SwissDRGs mit unbefriedigender Homogenit¨at betreffend Pflegekosten und –leistungen sollten f¨ ur die “Modellentwicklung Pflege und DRG” Pflegeindikatoren erfasst werden. Grunds¨atzlich wird eine Stichprobengr¨osse von rund 25 SwissDRGs empfohlen, um die Modellentwicklung in einem eingrenzbaren Rahmen durchf¨ uhren, resp. Indikatoren testen zu k¨onnen.

Empfehlungen f¨ ur die Modellentwicklung Pflege und DRG (Projektphase 2)

Empfehlung 1 Datenqualit¨at • Der Einfluss der unterschiedlichen Kalkulationsmethoden der Pflegekosten respektive Kostentr¨agerrechnungen ist zu u ¨berpr¨ ufen • Der Einfluss unterschiedlicher Lohn- und Pflegestrukturen (z.B. Auslagerung der Hotellerie) sowie der Produktivit¨at (fallunabh¨angige Kosten/“CWert”) auf die Pflegekosten ist zu u ¨berpr¨ ufen • Die Qualit¨at der Pflegleistungsdaten (LEP) und der grouperrelevanten Daten (ICD, CHOP) ist zu u ¨berpr¨ ufen Empfehlung 2 Auswahl der SwissDRGs f¨ ur die Modellentwicklung: • In Kapitel 9.2. wird eine Systematik zur Identifikation wichtiger DRGs vorgeschlagen. ¨ • Klinische Expertenmeinungen (Pflege, Arzte) und Experten SwissDRGSystem sollten einbezogen werden. (Arbeitsfrage: Warum liegt in dieser


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 210

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DRG eine unbefriedigende Homogenit¨at vor respektive l¨asst sich diese voraussichtlich mit Pflegeindikatoren verbessern?) • Wird die Stichprobengr¨osse aufgrund der Expertenmeinungen zu klein, kann mit SwissDRGs gem¨ass Systematisierung (Abbildung 9.2.1) erweitert werden. • Die SwissDRGs 0.1, die in 0.2 nicht mehr unver¨andert vorliegen, sollten in Nachfolgeuntersuchungen in ihren adaptierten Formen u ¨berpr¨ uft werden und die Ergebnisse ggf. in die Modellentwicklung mit aufgenommen werden. Empfehlung 3 Statistische Kennzahlen und Methoden: • F¨ ur weitere Untersuchungen sind alternative Kennzahlen f¨ ur die Homogenit¨at zu pr¨ ufen. • Regressionsanalyse: um die Unterschiede zwischen den DRGs mit den Unterschieden zwischen den Spit¨alern vergleichen zu k¨onnen, sind weitere erkl¨arende Variablen zu ber¨ ucksichtigen, z.B. nebst Pflegeindikatoren der Aufenthaltsort vor dem Eintritt. • Anwendung von alternativen Regeln, jedoch zus¨atzlich und immer in Absprache mit CMO SwissDRG AG; z.B. f¨ ur F¨alle mit nicht nachvollziehbaren Pflegekosten (“0 bis 1 Franken”). Empfehlung 4 Operationalisierung des Leistungsaufwandes: • Der Nutzen einer Differenzierung der Pflegeleistungseinheiten (PRN, LEP oder andere) in eigenverantwortliche und mitverantwortliche (“verordnete”) Leistungen sowie in direkt und nicht direkt dem Patienten zuordenbare Leistungen ist zu u ¨berpr¨ ufen. • Der Einbezug, resp. die Abgrenzung der Intensivpflegef¨alle f¨ ur die Modellentwicklung ist festzulegen. • Eine fl¨achendeckende Erfassung der Leistungsdaten muss gesichert sein. • Die Option, den Pflegeaufwand nebst Normzeiten (PRN, LEP) direkt in der Praxis zu messen (“Echt”-Zeiten, “Real”-Zeitwerte) ist mit allen damit verbundenen Vor- und Nachteilen zu u ¨berpr¨ ufen. Empfehlung 5 Integration in SwissDRG System: • Die verschiedenen M¨oglichkeiten, Pflegeindikatoren in den Gruppierungsalgorithmus einzubauen, sind vor der Modellentwicklung in Absprache mit dem CMO SwissDRG AG zu definieren.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 211

Inhaltsverzeichnis

1 Einleitung 12 1.1 Ziel des Projekts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 1.2 Fragestellungen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 1.3 Aufbau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 2 Datenplausibilisierung 2.1 DRG-Datens¨atze . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 LEP-Datens¨atze . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3 Filter . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.1 Filtervariablen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.2 Filter nach Anzahl der F¨alle in DRGs und Netzwerkspit¨alern 2.4 Total wegfallende F¨alle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.5 Datensatz f¨ ur Analyse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.6 Daten f¨ ur die ausschliessliche Analyse der LEP-Minuten . . . . . . .

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15 15 16 16 16 18 18 18 19

3 Statistische Kennzahlen und Methoden 21 3.1 Abk¨ urzungen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 3.2 Sch¨atzmethoden . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 4 Allgemeine Beschreibung der Stichprobe 24 4.1 H¨aufigste DRGs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24 4.2 Gesamtkosten . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 5 Analyse der Pflegekosten 5.1 Datenqualit¨at . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.2 Mittelwerte der Pflegekosten . . . . . . . . . . 5.3 Homogenit¨at der Pflegekosten . . . . . . . . . 5.4 Homogenit¨at der Pflegekosten nach MDC . . 5.5 Unterschiede zwischen den Netzwerkspit¨alern 5.6 Erkl¨arung der Pflegekosten durch DRGs . . . 5.7 Anteil der Pflegekosten an den Gesamtkosten

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28 28 31 33 37 43 56 57

6 Analyse des Pflegeaufwandes 60 6.1 Datenqualit¨at . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 6.2 Mittelwerte des Pflegeaufwandes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62

6


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 212

Inhaltsverzeichnis 6.3 6.4 6.5 6.6 6.7

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Mittelwerte des Pflegeaufwandes pro Aufenthaltstag Homogenit¨at des Pflegeaufwandes . . . . . . . . . . . Homogenit¨at der LEP-Minuten nach MDC . . . . . Unterschiede zwischen den Netzwerkspit¨alern . . . . Erkl¨arung des Pflegeaufwandes mit DRGs . . . . . .

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7 Pflegeaufwand-Kategorien f¨ ur DRGs

63 65 70 74 83 85

8 Ausreisseranteile 87 8.1 Kurz- und Langliegeranteile der DRGs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87 8.2 Pflegekostenanteil der Langlieger . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89 8.3 Leistungsaufwandanteil der Langlieger . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89 9 Diskussion und weiteres Vorgehen 9.1 Empfehlungen . . . . . . . . . . . . 9.2 DRGs f¨ ur weitere Untersuchungen 9.2.1 Vorgehen . . . . . . . . . . 9.2.2 Resultierende DRGs . . . .

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91 93 94 94 96

A Anhang A.1 Beispiel der Berechnung eines Homogenit¨atskoeffizienten A.2 Erg¨anzungen zu Analyse der Pflegekosten . . . . . . . . A.3 Erg¨anzungen zu Analyse der LEP-Minuten . . . . . . . A.4 Erg¨anzungen zu LEP-Minuten-Kategorien f¨ ur DRGs . . A.5 Synopsen von DRG V.01 zu V.02 . . . . . . . . . . . . .

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102 102 102 111 116 122

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 213

Abbildungsverzeichnis 3.2.1 Vergleich des Huber-Sch¨atzers mit dem klassischen Mittelwertsch¨atzer . . 22 3.2.2 Umrechnung vom H auf den CV . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 4.1.1 Histogramm der Anzahl F¨alle pro DRG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24 4.2.1 Histogramm der mittleren Gesamtkosten . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 5.1.1 Histogramm Pflegekosten der 5 H¨aufigsten DRGs . . . . . . . . . . . . . . 5.1.2 Scatterplot der Pflegekosten und LEP-Minuten der DRG X62Z nach Spital 5.2.1 Histogramm der mittleren Pflegekosten . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.3.1 Histogramm der Pflegekosten-Homogenit¨atskoeffizienten . . . . . . . . . . 5.3.2 Gegen¨ uberstellung von Homogenit¨atskoeffizient und mittleren Pflegekosten. 5.4.1 Vergleich der Hpk nach MDC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.7.1 Histogramm der mittleren Pflegekosten/Gesamtkosten-Anteile der DRGs . pk 5.7.2 Vergleich der gk -Anteile nach Partition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

28 30 31 33 34 42 57 59

6.2.1 Histogramm der mittleren LEP-Minuten der DRGs . . . . . . . . . . 6.3.1 Histogramm der mittleren LEP-Minuten pro Aufenthaltstag . . . . . 6.4.1 Histogramm der LEP-Minuten-Homogenit¨atskoeffizienten . . . . . . 6.4.2 Gegen¨ uberstellung von Hlm und lm. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.5.1 Vergleich der Hlm nach MDC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.6.1 Darstellung mittlere Aufenthaltstage gegen mittleren Pflegeaufwand 6.6.2 Darstellung Aufenthaltstage gegen Pflegeaufwand, DRG O60D . . . 6.6.3 Unterschiede der Spit¨aler nach DRG . . . . . . . . . . . . . . . . . .

62 63 65 66 70 79 82 83

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9.2.1 Vorgehen zur Eingrenzung von DRGs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 214

Tabellenverzeichnis 2.1.1 Roh Datens¨atze . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 2.2.2 LEP-Datens¨atze . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 2.3.3 Wegfallende Hauptkostenstellen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 4.1.1 DRGs mit den meisten F¨allen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 4.2.2 mittlere Gesamtkosten . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 5.2.1 5.3.2 5.3.3 5.3.3 5.3.4 5.4.5 5.4.5 5.4.5 5.4.6 5.4.6 5.4.6 5.5.7 5.5.8 5.5.9 5.5.10 5.5.11 5.5.12 5.5.13 5.5.14 5.5.15 5.5.16 5.5.17 5.5.18 5.7.19

DRGs mit den h¨ochsten und niedrigsten mittleren Pflegekosten Pflegekosten: Unterschreitungsanteile der Hpk s . . . . . . . . . Inhomogenste und Homogenste DRGs bez¨ uglich Pflegekosten . Inhomogenste und Homogenste DRGs bez¨ uglich Pflegekosten . Grenzen f¨ ur den Homogenit¨atskoeffizienten . . . . . . . . . . . Inhomogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegekosten . . Inhomogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegekosten . . Inhomogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegekosten . . Homogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegekosten . . . Homogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegekosten . . . Homogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegekosten . . . ¨ Ubersicht u ¨ber Tabellen zu Spitalvergleich . . . . . . . . . . . . Farbzuordnung der Krankenhaustypologien . . . . . . . . . . . Pflegekostenvergleich zwischen Spit¨alern 1, 1-5 . . . . . . . . . Pflegekostenvergleich zwischen Spit¨alern 1, 6-10 . . . . . . . . . Pflegekostenvergleich zwischen Spit¨alern 2, 1-5 . . . . . . . . . Pflegekostenvergleich zwischen Spit¨alern 2, 5-10 . . . . . . . . . Pflegekostenvergleich zwischen Spit¨alern 3, 1-5 . . . . . . . . . Pflegekostenvergleich zwischen Spit¨alern 3, 6-10 . . . . . . . . . Pflegekostenvergleich zwischen Spit¨alern 4, 1-5 . . . . . . . . . Pflegekostenvergleich zwischen Spit¨alern 4, 6-10 . . . . . . . . . Pflegekostenvergleich zwischen Spit¨alern, 1-5 . . . . . . . . . . . Pflegekostenvergleich zwischen Spit¨alern, 6-10 . . . . . . . . . . Vergleich Anteile Pflegekosten an Gesamtkosten . . . . . . . . .

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31 33 34 35 36 37 38 39 39 40 41 44 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 57

6.1.1 Angaben zur LEP-Erfassung der Spit¨aler . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61 6.2.2 DRGs mit h¨ochsten und niedrigsten mittleren LEP-Minuten . . . . . . . 62 6.2.2 DRGs mit h¨ochsten und niedrigsten mittleren LEP-Minuten . . . . . . . 63

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 215

Tabellenverzeichnis

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6.3.3 DRGs mit h¨ochsten und niedrigsten mittleren LEP-Minuten pro enthaltstag . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.3.3 DRGs mit h¨ochsten und niedrigsten mittleren LEP-Minuten pro enthaltstag . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ¨ 6.4.4 Pflegeleistungen: Uberschreitunsanteile der Hlm s . . . . . . . . . 6.4.5 Inhomogenste und homogenste DRGs bez¨ uglich LEP-Minuten . . 6.4.5 Inhomogenste und homogenste DRGs bez¨ uglich LEP-Minuten . . 6.5.6 Inhomogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegeleistungen . 6.5.6 Inhomogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegeleistungen . 6.5.6 Inhomogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegeleistungen . 6.5.7 Homogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegeaufwand . . . 6.5.7 Homogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegeaufwand . . . 6.5.7 Homogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegeaufwand . . . 6.6.8 Pflegeaufwandvergleich zwischen Spit¨alern 1, 1-5 . . . . . . . . . 6.6.9 Pflegeaufwandvergleich zwischen Spit¨alern, 6-10 . . . . . . . . . . 6.6.10 Pflegeaufwandvergleich zwischen Spit¨alern 2, 1-5 . . . . . . . . . 6.6.11 Pflegeaufwandvergleich zwischen Spit¨alern 2, 6-10 . . . . . . . . . 6.6.12 Pflegeaufwandvergleich zwischen Spit¨alern 3, 1-5 . . . . . . . . . 6.6.13 Pflegeaufwandvergleich zwischen Spit¨alern 3, 6-10 . . . . . . . . .

Auf. . . Auf. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. 64 . . . . . . . . . . . . . . . .

65 66 67 68 70 71 72 72 73 74 75 76 77 78 80 81

7.0.1 Pflegeaufwand-Kategorien anhand der LEP-Minuten . . . . . . . . . . . 85 7.0.2 Vorschau f¨ ur die Grenzen der LEP-Kategorien . . . . . . . . . . . . . . . 85 7.0.2 Vorschau f¨ ur die Grenzen der LEP-Kategorien . . . . . . . . . . . . . . . 86 8.1.1 8.1.1 8.1.2 8.2.3 8.3.4

Kurzlieger . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Kurzlieger . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Langlieger . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 DRGs mit gr¨ossten Pflegekostenanteile der Langlieger . . . . 10 DRGs mit gr¨ossten Leistungsaufwandanteilen der Langlieger

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87 88 88 89 90

9.2.1 DRGs f¨ ur weitere Untersuchungen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96 9.2.1 DRGs f¨ ur weitere Untersuchungen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97 9.2.1 DRGs f¨ ur weitere Untersuchungen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98 A.2.1 A.2.1 A.2.1 A.2.1 A.2.1 A.2.1 A.2.1 A.2.1 A.2.1 A.3.2 A.3.2

Erg¨anzungen Erg¨anzungen Erg¨anzungen Erg¨anzungen Erg¨anzungen Erg¨anzungen Erg¨anzungen Erg¨anzungen Erg¨anzungen Erg¨anzungen Erg¨anzungen

f¨ ur f¨ ur f¨ ur f¨ ur f¨ ur f¨ ur f¨ ur f¨ ur f¨ ur f¨ ur f¨ ur

Pflegekosten . Pflegekosten . Pflegekosten . Pflegekosten . Pflegekosten . Pflegekosten . Pflegekosten . Pflegekosten . Pflegekosten . LEP-Minuten LEP-Minuten

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103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 216

Tabellenverzeichnis A.3.2 A.3.2 A.3.2 A.4.3 A.4.3 A.4.3 A.4.3 A.4.3 A.4.3 A.5.4 A.5.4 A.5.4 A.5.4 A.5.4 A.5.4 A.5.4 A.5.4 A.5.4 A.5.4 A.5.4 A.5.4

Erg¨anzungen f¨ ur LEP-Minuten Erg¨anzungen f¨ ur LEP-Minuten Erg¨anzungen f¨ ur LEP-Minuten LEP-Kategorien, alle DRGs . . LEP-Kategorien, alle DRGs . . LEP-Kategorien, alle DRGs . . LEP-Kategorien, alle DRGs . . LEP-Kategorien, alle DRGs . . LEP-Kategorien, alle DRGs . . Synopse V.01-V.02 . . . . . . . Synopse V.01-V.02 . . . . . . . Synopse V.01-V.02 . . . . . . . Synopse V.01-V.02 . . . . . . . Synopse V.01-V.02 . . . . . . . Synopse V.01-V.02 . . . . . . . Synopse V.01-V.02 . . . . . . . Synopse V.01-V.02 . . . . . . . Synopse V.01-V.02 . . . . . . . Synopse V.01-V.02 . . . . . . . Synopse V.01-V.02 . . . . . . . Synopse V.01-V.02 . . . . . . .

11 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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114 115 116 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 217

1 Einleitung Die Pflege wird in DRG-Systemen nur unzureichend abgebildet (Fischer; 2002; Thompson and Diers; 1991; Smits et al.; 1984). Ein Mangel von zur Verf¨ ugung stehenden DRGSystemen ist gem¨ass H+/GDK (2002), dass der Einbezug der Pflegeleistungen noch fehlend beziehungsweise unzureichend ist und u ¨ber ICD-Diagnosecodes nur teilweise abgebildet werden kann. Studien zeigen denn auch, dass die Homogenit¨at der Pflegekosten und der Pflegeleistungen in verschiedenen DRGs unbefriedigend ist (Ballard et al.; 1993; Gerhard; 2003; McKibbin et al.; 1985; Mølgaard; 2000; Sovie et al.; 1985). Andere Studien weisen darauf hin, dass mit zus¨atzlichen Pflegeindikatoren die Homogenit¨at einzelner DRGs verbessert werden konnte (Baumberger; 2001; Fischer; 2002; Halloran; 1985; O’Brien-Pallas et al.; 1997; Schmid; 2007; Welton and Halloran; 2005). Im Projekt SwissDRG hat der Steuerungsausschuss f¨ ur die Berechnung der Relativgewichte betreffend der Kosten f¨ ur die Pflegeleistungen folgendes Vorgehen beschlossen SwissDRG (2007, S. 4 und Anhang S. 22-23): 1. Die Pflegeleistungen werden leistungs- und fallbezogen erfasst. Sie berechnen sich auf Grund einer fallbezogenen Pflegeleistungserfassung mittels LEP, PRN oder eines Systems, das mindestens deren Standards entspricht. 2. Eine angemessene Homogenit¨at der Pflegekosten in der gleichen SwissDRG-Fallgruppe wird auf der Ebene der Gruppierung gel¨ost. 3. Bei Vorliegen von leistungsbezogenen Pflegedaten und einem Set von Pflegeindikatoren wird vom Casemix-B¨ uro (CMO) gepr¨ uft, ob und in welcher Weise pflegebezogene Elemente in einen Gruppierungsalgorithmus eingebaut werden k¨onnen. Da die Pflegekosten mit 20-40% Anteil in der Regel das gr¨osste Kostenmodul in einem DRG System sind (SwissDRG; 2006, 2008b, vgl. Kostenstruktur der Netzwerkspit¨aler), ist ihre korrekte Abbildung f¨ ur das Spital und f¨ ur die G¨ ute des gesamten SwissDRG Systems von Nutzen. Auf diesem Hintergrund haben die Schweizerische Vereinigung der Pflegedienstleiterinnen und Pflegedienstleiter (SVPL) und der Schweizer Berufsverband der Pflegefachfrauen und Pflegefachm¨anner (SBK) beschlossen, ein Projekt zu lancieren, das die Grundlagen f¨ ur eine angemessene Abbildung der Pflege im k¨ unftigen SwissDRG-System liefern soll.

1.1 Ziel des Projekts Die bisherigen Aktivit¨aten und Dokumente seitens SVPL und SBK sind: Mitarbeit SBK im Projekt SwissDRG 2004 - 2007

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 218

Einleitung

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• Positionspapier SBK zu SwissDRG SBK (2004) • Abbildung der Pflege im SwissDRG System (siehe SwissDRG; 2007, speziell S. 4 (Kosten Pflegeleistungen) und S. 22/23 (Vorschlag Entwicklung Pflegeindikator)) Arbeitsgruppe SVPL/SBK “DRG und Pflege” August 2006 - Februar 2007 • Arbeitspapier mit Vorschl¨agen f¨ ur Forschungsplan SVPL/SBK (2007) Vorprojekt SVPL/SBK “Pflege und DRG” April - Juni 2008 • Erstellung Projektauftrag mit u.a. Zielsetzung, Schwerpunkten, Ressourcenplan SVPL/SBK (2008) Der verabschiedete Projektauftrag ist in eine Phase 2008 “Quantitative Analyse Pflegeaufwand und Vorbereitungen f¨ ur Phase 2009” und eine Phase 2009: “Modellentwicklung Pflege und DRG” unterteilt. Die Umsetzung der Phase 2008 verz¨ogerte sich zeitlich, da f¨ ur die Teilaufgabe 1, die Durchf¨ uhrung der quantitativen Analyse des Pflegeaufwandes, die ben¨otigten Daten erst ab Mai 2009 vollst¨andig vorlagen. Die Daten wurden vom Institut f¨ ur Datenanalyse und Prozessdesign der Z¨ urcher Hochschule f¨ ur Angewandte Wissenschaften zusammen mit dem Studienleiter Teilaufgabe 1 ausgewertet und in den vorliegenden Bericht eingearbeitet. Die Hauptzielsetzung von Teilaufgabe 1 ist, die Homogenit¨at der Pflegekosten und der Pflegeleistungen sowie Unterschiede zwischen den Spit¨alern pro SwissDRG zu u ¨berpr¨ ufen. Die Ergebnisse sollen Grundlagen und erste Ansatzpunkte f¨ ur die nachfolgende Projektphase “Modellentwicklung Pflege und DRG” liefern.

1.2 Fragestellungen 1. Welche SwissDRG-Fallgruppen weisen in Bezug auf die Pflegekosten eine unbefriedigende Homogenit¨at auf? a) Gibt es Unterschiede zwischen den Netzwerkspit¨alern? 2. Welche SwissDRG-Fallgruppen weisen in Bezug auf die Pflegeleistungen eine unbefriedigende Homogenit¨at aus? a) Gibt es Unterschiede zwischen den Netzwerkspit¨alern? 3. Lassen sich Kategorien betreffend Pflegeleistungen in SwissDRG-Fallgruppen bilden? 4. Welche Ausreisseranteile bestehen betreffend Pflegekosten/Pflegeleistungen in SwissDRG-Fallgruppen?


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 219

Einleitung

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1.3 Aufbau Im vorliegenden Analysebericht werden die Ergebnisse von Teilaufgabe 1 vorgestellt. Kapitel 2 beschreibt die Datenplausibilisierung, um die Transparenz nach aussen und Dritten gegen¨ uber zu gew¨ahrleisten. In den n¨achsten zwei Kapiteln werden die gew¨ahlten statistischen Methoden und die Stichprobe kurz beschrieben. Kapitel 5 zeigt die Ergebnisse betreffend Pflegekosten, anschliessend Kapitel 6 die Ergebnisse betreffend Leistungsaufwand. In Kapitel 7 wird speziell der Kategorisierung der Leistungsdaten nachgegangen, in Kapitel 8 den Ausreisseranteilen. Die Diskussion und Empfehlungen in Kapitel 9 schliessen den Bericht ab. Im Anhang finden sich ausf¨ uhrliche und differenzierte Listen zu den behandelten Fragestellungen. Weitere Ergebnisse wurden auf einer CD zusammengefasst, um den Umfang des Berichts in einem vern¨ unftigen Rahmen zu halten. Im Executive Summary sind die wichtigsten Ergebnisse zusammengefasst und Empfehlungen f¨ ur die n¨achste Projektphase festgehalten. Hinweis: F¨ ur die Bezeichnungen der einzelnen DRGs, falls im Bericht nicht anders verwiesen, gilt das Definitionshandbuch (SwissDRG; 2008a, S.20-37, Tabelle 1.1)


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 220

2 Datenplausibilisierung Die zu analysierenden Daten wurden in Form von mehreren einzelnen Textfiles bereitgestellt. In diesem Kapitel wird beschrieben, wie diese Files zusammengef¨ ugt wurden und wie F¨alle nach bestimmten Kriterien systematisch aus dem Datensatz entfernt wurden.

2.1 DRG-Datens¨ atze Der Kern des Datensatzes bilden die DRG Textfiles, welche in Tabelle 2.1.1 aufgelistet sind. Tabelle 2.1.1: Beschreibung der Roh-DRG-Datens¨atze Filename

Name

Beschreib

¨ Anderungen, gen

SwissDRG07-

dat.spt

Datensatz mit den DRG Daten von Spit¨alern, welche die LEP Minuten erfassen Datensatz mit den DRG Daten von den anderen Spit¨alern

177’827 F¨alle aus 12 Spit¨alern, nur F¨alle in 2006: 175’477 F¨alle aus 12 Spit¨alern Variable X0 0 V11a wird zu X0 0 V11 unbenannt, 310’033 F¨alle aus 27 Spit¨alern 310’033 F¨alle

LEP v02.txt

SwisDRG08-

dat.and

LEP andere spit¨ aler v02.txt Spit¨ aler andere

dat.and.korr

korrection.txt

Auswahl Spital.txt dat.auswahl

In diesem File sind die Korrekturen f¨ ur den Datensatz “andere Spit¨aler” der Variablen: 0 0 V05, 0 0 V09, 0 0 V 10 enthalten. In diesem File sind die Patientennummern f¨ ur dat.and enthalten, die innerhalb des Jahres 2006 behandelt wurden.

Bemerkun-

304’720 F¨alle, keine Spitalangaben! Nur Fallnummern

Ziel ist es zun¨achst, diese Textfiles zu einem Datensatz zusammenzusetzen. Dabei wird wie folgt vorgegangen: dat.spt, dat.and und dat.and.korr werden eingelesen. Darauf wird dat.and durch dat.and.korr und dat.auswahl korrigiert. dat.and beinhaltet

15


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 221

Datenplausibilisierung

16

nach diesem Vorgang 304’720 F¨alle. Die beiden Datens¨atze dat.spt und dat.and werden dann zusammengef¨ ugt und dat.allg genannt. Dieser neue Datensatz enth¨alt 480’197 F¨alle aus 841 DRGs (von nach Katalog 952 m¨oglichen DRGs) und 39 Spit¨alern.

2.2 LEP-Datens¨ atze Zus¨atzlich stehen f¨ ur einige F¨alle die Angabe LEP-Minuten, einem Mass f¨ ur den Pflegeaufwand, zur Verf¨ ugung. Diese Files werden mit dem Datensatz dat.allg zusammengef¨ uhrt. Als Identifikation werden die beiden Variablen Bur Nummer und Fallnummer eingesetzt. Durch das Zusammenf¨ ugen fallen einige F¨alle weg. Es gibt F¨alle, welche nur ¨ in den LEP Daten, andere, welche nur in den DRG Daten vorhanden sind. Eine Ubersicht dazu finden Sie Tabelle 2.2.2 Tabelle 2.2.2: Beschreibung der Roh-LEP-Datens¨atze Name Total dat.150 dat.151 dat.152 dat.153 dat.154 dat.155 dat.157 dat.159 dat.160 dat.161

Gemeinsame F¨alle

DRG F¨alle

LEP F¨alle

146’081 5’470 6’782 9’464 18’105 29’491 26’442 9’046 10’147 23’544 7’590

154’258 5’614 6’799 9’479 20’949 30’124 26’849 9’966 10’147 23’608 10’723

169’164 5’706 7’003 9’607 24’020 35’118 33’213 9’979 10’247 26’458 7’813

Der resultierende Datensatz wird dat.big benannt.

2.3 Filter Aus dem Datensatz dat.big werden F¨alle nach vorgegebenen Kriterien gefiltert, also vom Datensatz entfernt. Die angewandten Filter werden im folgendem Abschnitt erl¨autert.

2.3.1 Filtervariablen Eintrittsdatum 1 2 V01 und Austrittsdatum 1 5 V01 Es werden nur F¨alle ber¨ ucksichtigt, deren Ein- und Austrittsdatum im Jahr 2006 liegen. Dieser Filter wird unmittelbar nach dem Einlesen der Daten angewandt. Total fallen dadurch 7166 F¨alle weg.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 222

Datenplausibilisierung

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Versicherungsart 1 3 V02 In der Analyse werden nur Allgemeinversicherte ber¨ ucksichtigt (Kategorie 1). Diesen Filter betreffen total 80’626 F¨alle. Behandlungsart 1 3 V01 Es werden nur F¨alle mit station¨arer (Kategorie 3) Behandlungsart ber¨ ucksichtigt. Diesen Filter betreffen total 36’342 F¨alle. Hauptkostenstelle 1 4 V01 satz entfernt:

Die folgenden Hauptkostenstellen werden aus dem Daten-

Tabelle 2.3.3: Wegfallende Hauptkostenstellen Kategorie

Beschreibung

Anz. wegfallende F¨alle

M500 M900 M950 Total

Psychiatrie und Psychotherapie Geriatrie Physikalische Medizin und Rehabilitation

2673 1227 2120 6020

Ausgew¨ ahlte DRG Gruppen F¨ ur die Analyse werden die folgenden 9 Fehler- /sonstigen DRGs 901A, 901B, 901C, 901D, 902Z, 960Z, 961Z, 962Z, 963Z weggelassen. Davon betroffen sind 28’615 F¨alle, wobei davon 23’392 von der DRG 961Z (unzul¨assige Hauptdiagnose) stammen. F¨ alle ohne UGV oder OGV F¨ ur einige DRG Gruppen sind im Datensatz keine OGVs (obere Verweildauer) und UGVs (untere Verweildauer) angegeben. Diese Gruppen werden (sp¨ater) bei der Mittelwertberechnung etc. insofern speziell behandelt, als dass F¨alle die ausserhalb dieser Grenzen liegen nicht getrimmt werden (k¨onnen). Betroffen sind die folgenden 70 DRGs: 960Z, B76A, G51Z, K63A, P60C, U60Z, I96Z,

961Z, D20B, G73A, K63B, P67C, V64A, L61Z,

A16B, D23Z, G73B, L70Z, R61F, V64B, U40Z,

A60C, E64D, H16Z, L71A, R61G, W60Z, W05Z

A61Z, E69A, I40Z, L71B, R62C, Y01Z,

B13Z, E76A, I66C, L90B, R63G, Y63Z,

B43Z, E76B, I68C, M10Z, R65Z, Z02Z,

B60B, E76C, I68D, O64A, S60Z, Z43Z,

B61Z, F49C, J68Z, O64B, T60F, B46Z,

B70G, F49E, K04Z, P01Z, U01Z, D01A,

B70H, G29B, K15Z, P60A, U41Z, E64B,

F¨ alle mit Verlegungen 1 2 V02, 1 5 V03, 2 2 V07 und 2 3 V08 F¨alle, bei denen es eine Verlegung in ein anderes Spital gegeben hat, werden in der Analyse weggelassen. Dies betrifft 47’398 F¨alle. F¨ alle ohne Hauptdiagnose 1 6 V01 F¨alle ohne Angabe der Hauptdiagnose werden weggelassen. Diesen Filter betreffen keine F¨alle.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 223

Datenplausibilisierung

18

2.3.2 Filter nach Anzahl der F¨ alle in DRGs und Netzwerkspit¨ alern F¨ ur einige DRGs gibt es nur sehr wenige F¨alle. Da f¨ ur diese DRGs statistische Gr¨ossen nur ungenau gesch¨atzt werden k¨onnen, werden diese DRGs weggelassen. Die Filter werden in der Reihenfolge der folgenden Auflistung sukzessive durchgef¨ uhrt, nachdem die in Abschnitt 2.3.1 beschriebenen Filter bereits auf die Daten angewandt worden sind. Die Filter wurden entsprechend den Angaben der Projektleitung wie folgt festgelegt. Betrachtetes Netzwerkspital hat maximal 50% der F¨ alle innerhalb der DRG Falls in einer DRG mehr als 50% der F¨alle von einem Spital stammen, wird die DRG aus dem Datensatz entfernt. Durch diesen Filter fallen 1721 F¨alle respektive 64 DRGs weg. Netzwerkspital mit mindestens 10 F¨ alle in der DRG Bei diesem Filter wird f¨ ur jedes Spital die Anzahl F¨alle pro DRG betrachtet. Ist diese Anzahl kleiner als 10, f¨allt die entsprechende DRG f¨ ur dieses Spital weg. Durch diesen Filter fallen total 36’126 weitere F¨alle weg. F¨ alle aus mindestens 4 Netzwerkspit¨ alern der DRG Weiter wird verlangt, dass von einer zu analysierenden DRG mindestens 4 Spit¨aler F¨alle haben. Durch diesen Filter fallen 171 DRGs respektive 5045 F¨alle weg. Anzahl F¨ alle in DRG Alle DRGs, von welchen weniger als 50 F¨alle vorhanden sind, werden entfernt. Dabei fallen 3 DRGs respektive 140 F¨alle weg. Diese Anzahl ist so klein, weil vorherige Filter den Grossteil kleiner DRGs entfernt haben.

2.4 Total wegfallende F¨ alle Durch alle angewandten Filter fallen 216’950 F¨alle respektive 440 DRGs weg.

2.5 Datensatz f¨ ur Analyse Der Datensatz, mit dem die Analyse durchgef¨ uhrt wird, enth¨alt 263’247 F¨alle respektive die folgenden 401 DRGs: A13E, B18Z, B70C, B76E, C08Z, D03Z, D30B, D67Z, E65A, E71B, F21Z, F40Z,

A17B, B20Z, B70E, B77Z, C10B, D06B, D36Z, E02B, E65B, E74Z, F23Z, F43A,

A60B, B61Z, B70H, B78Z, C17Z, D12B, D37Z, E05A, E66Z, E75C, F24B, F43B,

B02D, B63Z, B71C, B79Z, C19Z, D13Z, D38Z, E05B, E67B, E77B, F26Z, F46Z,

B02E, B64B, B71D, B80Z, C20B, D22B, D40Z, E06Z, E68Z, E77C, F31Z, F49C,

B04D, B66B, B72B, B81Z, C60Z, D24B, D61A, E40B, E69A, F04Z, F32Z, F49F,

B05Z, B67B, B73Z, C01Z, C61Z, D25B, D61B, E60Z, E69B, F07Z, F33Z, F50Z,

B09Z, B67C, B75Z, C04B, C62Z, D28Z, D62Z, E61Z, E69C, F12Z, F35A, F52A,

B14Z, B68B, B76C, C06Z, C63Z, D29Z, D63Z, E63Z, E70Z, F19A, F39A, F52B,

B17Z, B69E, B76D, C07Z, C64Z, D30A, D66Z, E64A, E71A, F19B, F39B, F54Z,


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 224

Datenplausibilisierung

F56Z, F66A, F73Z, G12B, G23B, G60B, G72Z, H60A, I08B, I20A, I28B, I54Z, I71Z, I78Z, J21Z, J65B, K60A, L06B, L60C, M01B, N05A, N25Z, O60B, P65B, Q60B, T01A, T64Z, X06B, Z65Z

F58Z, F66B, F74Z, G12C, G24Z, G64C, G73A, H60B, I08C, I20B, I29Z, I57C, I72B, J03B, J22B, J66Z, K60B, L08Z, L60D, M02Z, N05B, N61Z, O60C, P66B, Q61B, T01B, U60Z, X06C,

F60A, F67B, F75A, G16Z, G25Z, G65Z, H07B, H61A, I09A, I20C, I30Z, I62Z, I73Z, J07Z, J23Z, J67A, K60C, L09A, L62Z, M03Z, N06Z, N62B, O60D, P66C, Q61D, T01C, U63Z, X60Z,

F60B, F67C, F75C, G17Z, G26Z, G66A, H08B, H61B, I09B, I21Z, I31Z, I65B, I74A, J08B, J25Z, J67B, K60D, L09B, L63A, M04B, N07Z, O01C, O61Z, P66D, R12C, T60C, U64Z, X62Z,

19

F62A, F69A, F95Z, G18Z, G46B, G66B, H09A, H62A, I09C, I23B, I32Z, I66B, I74B, J09Z, J60Z, J68Z, K60E, L13B, L63B, M05Z, N08Z, O01D, O62Z, P67A, R16Z, T60E, U66Z, X63Z,

F62B, F70B, G02Z, G19A, G46C, G67A, H12A, H63C, I12C, I24Z, I43Z, I68A, I75A, J10A, J61B, K03Z, K62Z, L17Z, L63C, M06Z, N09Z, O01E, O63Z, P67B, R61E, T60F, V60B, X64Z,

F62C, F71A, G04Z, G19B, G47Z, G67B, H12B, H64Z, I13A, I25Z, I44B, I68B, I75B, J10B, J62B, K04Z, K64D, L18Z, L64A, M09B, N10Z, O02B, O64A, P67C, R61G, T61B, V60C, Y03Z,

F63A, F71B, G07Z, G21Z, G48Z, G67C, H41A, I03Z, I13B, I27B, I47Z, I68C, I76A, J11A, J64A, K10Z, L03Z, L20Z, L64B, M62Z, N13A, O03Z, O64B, P67D, R62C, T62A, V62B, Z01Z,

F63B, F71C, G08B, G22B, G50Z, G70B, H41B, I05Z, I16Z, I27C, I50A, I68D, I76B, J13Z, J64B, K11Z, L04A, L40Z, L66Z, N03B, N14Z, O04Z, O65B, Q02C, R65Z, T62B, X04Z, Z03Z,

F65B, F72C, G09Z, G23A, G60A, G71Z, H41C, I08A, I19Z, I28A, I53Z, I69Z, I77Z, J15Z, J65A K12Z, L04B, L43Z, L68Z, N04Z, N21Z, O40Z, O65C, Q60A, S63B, T63C, X06A, Z64Z,

Die F¨alle verteilen sich ausserdem auf die folgenden 39 anonymisierten Netzwerkspit¨aler: 100, 116, 140, 159,

101, 118, 142, 160,

103, 106, 107, 108, 110, 111, 112, 113, 114, 115, 119, 120, 122, 123, 124, 125, 127, 128, 135, 139, 144, 150, 151, 152, 153, 154, 155, 156, 157, 158, 161

2.6 Daten f¨ ur die ausschliessliche Analyse der LEP-Minuten In Kapitel 6 werden die LEP-Minuten behandelt. Dazu werden diejenigen F¨alle der LEPSpit¨aler analysiert, die in den DRG Textfiles vorkommen und zudem den Pflegeaufwand in LEP-Minuten angegeben haben. Der entsprechende Datensatz heisst dat.big.lep. Analog zu den in Abschnitt 2.3.2 vorgestellten Kriterien werden nun die F¨alle des Datensatzes dat.big.lep gefiltert. Folgende Kriterien m¨ ussen gelten. • mindestens 50 F¨alle in der DRG • F¨alle aus mindestens 4 Spit¨alern in der DRG • betrachtetes Spital hat mindestens 10 F¨alle in der DRG


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 225

Datenplausibilisierung

20

• betrachtetes Spital hat maximal 50% der F¨alle innerhalb der DRG Nach dem Anwenden dieser Filtern stehen zur Analyse 73’930 Eintr¨age zur Verf¨ ugung. Diese F¨alle stammen von den folgenden 213 DRGs: B17Z, B76E, D61A, E63Z, E75C, F60A, F73Z, G19B, G48Z, H41C, I12C, I32Z, I68D, J07Z, J65A, L43Z, M02Z, N10Z, O60B, Q60A, U64Z, Z01Z,

B61Z, B77Z, D61B, E65A, E77B, F60B, F74Z, G21Z, G50Z, H60A, I13A, I43Z, I69Z, J09Z, J65B, L60D, M04B, N14Z, O60C, Q61B, U66Z, Z64Z,

B63Z, B78Z, D62Z, E65B, E77C, F62B, F75A, G22B, G60B, H60B, I13B, I47Z, I71Z, J10B, K12Z, L62Z, M09B, N21Z, O60D, Q61D, V60C, Z65Z

B66B, B79Z, D63Z, E66Z, F12Z, F62C, F75C, G23B, G65Z, H61B, I20A, I50A, I72B, J11A, K60E, L63A, M62Z, N25Z, O61Z, T01C, V62B,

B67B, B80Z, D66Z, E67B, F19B, F65B, G02Z, G24Z, G66A, H62A, I20C, I53Z, I73Z, J13Z, K62Z, L63C, N03B, O01C, O64A, T60C, X06B,

B69E, B81Z, D67Z, E68Z, F24B, F66B, G08B, G25Z, G66B, H64Z, I21Z, I62Z, I74B, J15Z, K64D, L64A, N04Z, O01D, O65C, T60E, X06C,

B70E, D30B, E02B, E69A, F33Z, F67C, G09Z, G26Z, G67B, I05Z, I27C, I65B, I75B, J22B, L04B, L64B, N05B, O01E, P66D, T61B, X60Z,

B71C, D36Z, E05A, E69C, F39A, F71B, G12B, G46B, G67C, I08B, I28A, I68A, I77Z, J23Z, L17Z, L66Z, N06Z, O02B, P67B, T63C, X62Z,

B71D, D37Z, E05B, E71A, F39B, F71C, G17Z, G46C, G71Z, I08C, I29Z, I68B, I78Z, J60Z, L18Z, L68Z, N07Z, O03Z, P67C, T64Z, X63Z,

B76D, D38Z, E61Z, E71B, F49C, F72C, G18Z, G47Z, H08B, I09C, I30Z, I68C, J03B, J64B, L20Z, M01B, N09Z O40Z, P67D, U60Z, X64Z,

Die F¨alle verteilen sich ausserdem auf die folgenden 10 anonymisierten Netzwerkspit¨aler: 150, 151, 152, 153, 154, 155, 157, 159, 160, 161


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 226

3 Statistische Kennzahlen und Methoden Die statistische Datenanalyse in den folgenden Kapiteln st¨ utzt sich auf verschiedene statistische Kennzahlen ab. Diese Kennzahlen werden in diesem Kapitel definiert und methodisch beschrieben.

3.1 Abk¨ urzungen n Anzahl F¨alle x ¯ Mittelwert (f¨ ur Pflegekosten pk, f¨ ur Pflegeleistungen resp. LEP-Minuten lm etc.) sx Standardabweichung (f¨ ur Pflegekosten spk , f¨ ur LEP-Minuten slm etc.) H Homogenit¨atskoeffizient (f¨ ur Pflegekosten Hpk , f¨ ur Pflegeleistungen Hlm etc.)

3.2 Sch¨ atzmethoden Mittelwert x ¯ und Standardabweichung sx Mittelwert und Standardabweichung werden nicht mit der klassischen, sondern mit dem in Huber (1981) und Venables and Ripley (2002) vorgeschlagenen Huber M-estimator gesch¨atzt. Dieser Sch¨atzer reagiert unempfindlicher auf Ausreisser, ohne dass man (willk¨ urlich) Daten trimmen muss. Dabei werden Mittelwert und Standardabweichung gleichzeitig in einem iterativen Verfahren gesch¨atzt. Der Huber-Sch¨atzer ist in der Statistiksoftware R (siehe R Development Core Team; 2009) implementiert. Die Verwendung dieser alternativen Methode hat den Nachteil, dass die Ergebnisse nicht mehr direkt mit den Ergebnissen vorhergehender Studien vergleichbar sind. Da aber die Vorteile (systematische Gewichtung der Daten und damit viel realistischere Mittelwertsch¨atzungen) insgesamt u ¨berwiegen, lohnt es sich, diese Unzul¨anglichkeit einzugehen. Dass der eingesetzte Huber-Sch¨atzer f¨ ur die vorliegenden Daten tats¨achlich realistischere Mittelwerte sch¨atzt, wird in Abbildung 3.2.1 ersichtlich. Der Huber-Sch¨atzer befindet sich bei der ausgew¨ahlten DRG viel n¨aher beim (gesch¨atzten) Dichte-Maximum. Ein ¨ahnliches Bild zeigt sich auch bei den andern DRGs. Der Huber-Sch¨atzer liefert offensichtlich bessere Sch¨atzungen. Homogenit¨ atskoeffizient Die Homogenit¨at ist ein Mass daf¨ ur, wie gross die Streuung innerhalb einer Gruppe ist und l¨asst sich aus dem Mittelwert und der Standardabwei-

21


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 227

22

3.0

Statistische Kennzahlen und Methoden

0.0

1.0

Dichte 2.0

Mittelwert Huber

500

1000

2000 5000 Pflegekosten

10000

Abbildung 3.2.1: Gesch¨atzte Dichtefunktion der DRG C01Z. Die eingetragenen Linien sind der klassische Mittwertsch¨atzer (gr¨ un) und der Huber Proposal 2 Robust Estimator of Location (rot). Die x-Achse ist logarithmisch skaliert. chung berechnen. Die Berechnung von H ist wie folgt: H hxi =

sx x ¯

1 , +1

wobei x ¯ und sx mit dem Huber M-estimator gesch¨atzt werden. Der Homogenit¨atskoeffizient H liegt zwischen 0 und 1. Je kleiner H, desto inhomogener ist die Verteilung. Ein Beispiel f¨ ur die Berechnung eines Homogenit¨atskoeffizienten befindet sich im Anhang A.1. Zusammenhang des Homogenit¨ atskoeffizientes mit dem Variationskoeffizienten Der Zusammenhang zwischen dem Homogenit¨ats- und dem Variationskoeffizienten CV = sx¯x wird in der folgenden Gleichung beschrieben H=

1 1−H → CV = CV + 1 H

und in der Abbildung 3.2.2 illustriert, vgl. Fischer (2007). Der Unterschied zwischen den Gr¨ossen ist prim¨ar dass sie umgekehrt proportional sind (je gr¨osser der Homogenit¨atskoeffizient, desto kleiner der Variationskoeffizient) und dass der Homogenit¨atskoeffizient zwischen 0 und 1, der Variationskoeffizient zwischen 0 und ∞ skaliert ist. Trimmkriterium Falls bei einem Sch¨atzer der Vermerk nur Inliers oder inl angegeben wird, wurden die Daten vor der Sch¨atzung getrimmt. Bei der Trimmung werden F¨alle


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 228

Statistische Kennzahlen und Methoden H CV

0 ∞

0.25 0.34 3 2

23

0.5 1

0.67 0.75 0.5 0.34

1 0

Abbildung 3.2.2: Zahlenstrahl f¨ ur die Umrechnung von Homogenit¨ats- auf den Variationskoeffiizienten. entfernt, deren Aufenthaltsdauer ausserhalb vorgegebener Grenzen liegen (Verweildauer < UGV oder Verweildauer > OGV), die sich f¨ ur die DRG i wie folgt berechnen:

UGVi = round max 2,

AMAi 3

OGVi = round [min (AMAi + 2 · SDAi , AMAi + 17)] Wobei AMAi der Mittelwert und SDAi die Standardabweichung f¨ ur die Aufenthaltsdauer in DRG i sind. Insgesamt liegen 5.6% (14’626 von 263’247) der F¨alle ausserhalb dieser Grenzen. F¨ ur diese getrimmten Daten werden statistische Kennzahlen nicht robust, sondern mit dem klassischen Mittelwert und Standardabweichung gesch¨atzt. Standardabweichung des Homogenit¨ atskoeffizienten Um schliessende Aussagen u ¨ber den Homogenit¨atskoeffizienten zu machen, bedarf es nicht nur eines Sch¨atzwerts f¨ ur H, sondern auch dessen Standardfehler se hHi. Da die Verteilungen von Pflegekosten und LEP-Minuten stark von einer Normalverteilung abweichen, wird se hHi mittels der Bootstrap-Methode gesch¨atzt (siehe Stahel (2006) oder Venables and Ripley (2002)).


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 229

4 Allgemeine Beschreibung der Stichprobe Bevor den projektrelevanten Fragestellungen nachgegangen wird, wird der Datensatz nach zwei Merkmalen deskriptiv untersucht. Diese Einsichten sollen eine Hilfe sein, sich ¨ eine Ubersicht u ¨ber die Daten zu verschaffen.

0

50

Anzahl DRGs 100 150 200

250

4.1 H¨ aufigste DRGs

0

5000

10000 Anzahl Fälle

15000

Abbildung 4.1.1: Histogramm der Anzahl F¨alle pro DRG Von den meisten DRGs gibt es weniger als 1000 F¨alle, wobei das 75% Quantil bei 714 F¨allen liegt. Abbildung 4.1.1 zeigt die Verteilung der Fallzahlen pro DRG. Diejenigen 10 DRGs mit den h¨aufigsten Anzahl F¨allen, die also im Histogramm ganz rechts liegen, sind in Tabelle 4.1.1 aufgelistet.

24


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 230

Allgemeine Beschreibung der Stichprobe

25

Tabelle 4.1.1: DRGs mit den meisten F¨ allen DRG

n

1

P67D

16’299

2 3

O60D O01E

14’469 4’613

4 5

B80Z G67C

4’170 4’073

6

I13B

3’943

7 8

I30Z I47Z

3’692 3’392

9

E77C

3’161

10

G24Z

3’105

Beschreibung

Part.

Neugeborenes, Aufnahmegewicht > 2499 g ohne signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, ohne anderes Problem oder ohne schweres Problem, ein Belegungstag Vaginale Entbindung ohne komplizierende Diagnose Sectio caesarea ohne komplizierende Diagnose, Schwangerschaftsdauer mehr als 33 vollendete Wochen Andere Kopfverletzungen ¨ Osophagitis, Gastroenteritis und verschiedene Erkrankungen der Verdauungsorgane ohne komplexe oder komplizierende Diagnose, ohne Dialyse, Alter > 0 Jahre Komplexe Eingriffe an Humerus, Tibia, Fibula und Sprunggelenk, ohne Mehrfacheingriff, ohne komplexe Prozedur, ohne komplexe Diagnose Komplexe Eingriffe am Kniegelenk Revision oder Ersatz des H¨ uftgelenkes ohne komplizierende Diagnose, ohne Arthrodese, mit komplexem Eingriff, ohne a ¨usserst schwere CC Andere Infektionen und Entz¨ undungen der Atmungsorgane ausser bei Zustand nach Organtransplantation, ohne komplexe Diagnose, ohne a ¨usserst schwere CC Eingriffe bei Bauchwandhernien, Nabelhernien und anderen Hernien, Alter > 0 Jahre oder beidseitige Eingriffe bei Leisten- und Schenkelhernien, Alter > 0 Jahre und < 56 Jahre oder Eingriffe bei Leisten- und Schenkelhernien, Alter > 55 Jahre

M

M O M M

O

O O

M

O

4.2 Gesamtkosten

Anzahl DRGs 0 20 60 100

Eine weitere interessierende Gr¨osse sind die Gesamtkosten. In Abbildung 4.2.1 ist die Verteilung der mittleren Gesamtkosten der 401 DRGs aufgezeichnet.

0

10000 30000 50000 mittlere Gesamtkosten

Abbildung 4.2.1: Histogramm der mittleren Gesamtkosten


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 231

Allgemeine Beschreibung der Stichprobe

26

Dabei fallen die in Tabelle 4.2.2 aufgelisteten DRGs durch sehr hohe, respektive sehr niedrige mittlere Gesamtkosten auf. Tabelle 4.2.2: DRGs mit den h¨ ochsten und niedrigsten Gesamtkosten. gk ist der Mittelwert mit allen F¨ allen bei dem robust gesch¨ atzt wurde, gkinl ist der Mittelwert bei welchem nur die Inliers ber¨ ucksichtigt wurden und nicht robust, sondern der normale Mittelwert berechnet wurde. n ist die Anzahl F¨ alle einer DRG (alle, d.h. mit Outliers).

DRG

gk

gkinl

n

1

A13E

50’105

50’361

89

2

A17B

49’303

48’134

182

3

F23Z

47’733

45’790

111

4

F07Z

46’674

45’289

103

5

F04Z

46’178

45’501

632

6

B02D

45’850

43’863

114

7

B02E

39’422

33’450

54

8

F32Z

35’249

35’053

356

9

P65B

34’711

33’822

73

10

T01A

32’765

33’510

73

... 392

... L64B

... 2407

... 2442

... 1154

393 394

O62Z C64Z

2402 2369

2403 2435

134 192

Beschreibung

Part.

Beatmung > 95 und < 250 Stunden ohne komple- O xe OR-Prozedur, ohne bestimmte OR-Prozedur, ohne komplizierende Prozeduren, Alter > 15 Jahre Nierentransplantation ohne postoperatives Versa- O gen des Nierentransplantates Koronare Bypass-Operation mit invasiver kardio- O logischer Diagnostik, ohne komplizierende Prozeduren, ohne Karotiseingriff, ohne Reoperation, ohne Infarkt Andere Eingriffe mit Herz-Lungen-Maschine, Al- O ter < 1 Jahr oder mit komplizierenden Prozeduren oder komplexer Operation Herzklappeneingriff mit Herz-Lungen-Maschine, O Dreifacheingriff oder Alter < 1 Jahr oder Eingriff in tiefer Hypothermie Komplexe Kraniotomie oder Wirbels¨ aulen- O Operation oder andere aufw¨ andige Operation am Nervensystem mit Beatmung > 95 Stunden, ohne Strahlentherapie, Alter > 17 Jahre, mit grossem intrakraniellen Eingriff Komplexe Kraniotomie oder Wirbels¨ aulen- O Operation oder andere aufw¨ andige Operation am Nervensystem mit Beatmung > 95 Stunden, ohne Strahlentherapie, Alter > 17 Jahre, ohne grossen intrakraniellen Eingriff Koronare Bypass-Operation ohne invasive kardio- O logische Diagnostik, ohne komplizierende Prozeduren, ohne Karotiseingriff Neugeborenes, Aufnahmegewicht 1500 - 1999 g M ohne signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, mit schwerem Problem OR-Prozedur bei infekti¨ osen und parasit¨ aren O Krankheiten mit komplexer OR-Prozedur oder bei Zustand nach Organtransplantation ... ... Harnsteine und Harnwegsobstruktion, Alter ¡ 76 M Jahre und ohne a ¨usserst schwere oder schwere CC Drohender Abort M Glaukom, Katarakt und Erkrankungen des Au- M genlides Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 232

Allgemeine Beschreibung der Stichprobe

27

Tabelle 4.2.2: (Fortsetzung) DRG

gk

gkinl

n

395

J65B

2276

2391

1391

396 397

J68Z P67D

2103 1991

2256 2061

59 16’299

398

I68D

1850

1938

570

399 400 401

B80Z U60Z O64B

1763 1642 1446

1961 1821 1540

4170 841 154

Beschreibung

Part.

Verletzung der Haut, Unterhaut und Mamma, Alter < 71 Jahre, ohne schwere CC Erkrankungen der Haut, ein Belegungstag Neugeborenes, Aufnahmegewicht > 2499 g ohne signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, ohne anderes Problem oder ohne schweres Problem, ein Belegungstag Nicht operativ behandelte Erkrankungen und Verletzungen im Wirbels¨ aulenbereich, ein Belegungstag Andere Kopfverletzungen Psychiatrische Behandlung, ein Belegungstag Frustrane Wehen, ein Belegungstag

M M M

M

M M M


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 233

5 Analyse der Pflegekosten In diesem Kapitel wird auf die Fragestellungen 1. und 1.a) eingegangen (siehe Seite 13). In Abschnitt 5.1 wird die Datenqualit¨at der Pflegekosten beurteilt. Darauf folgt die Untersuchung der mittleren Pflegekosten und der Homogenit¨at der DRGs. (Abschnitte 5.2 und 5.3). In Abschnitt 5.5 k¨onnen Spit¨aler anhand verschiedener Kennzahlen verglichen und beurteilt werden. An einigen Textstellen werden die Pflegekosten mit pk abgek¨ urzt.

5.1 Datenqualit¨ at Bei der Analyse der Pflegekosten haben sich einige Schwierigkeiten herausgestellt. Diese sollen in diesem Abschnitt aufgezeigt werden. Verteilung der Pflegekosten Die angesprochenen Schwierigkeiten lassen sich erahnen, wenn man sich die Pflegekostenverteilung der DRGs anschaut. In Abbildung 5.1.1 sind die Kosten der 5 h¨aufigsten DRGs in Form von Histogrammen dargestellt.

0

B80Z

1

100 10000

G67C

80

prozentualer Anteil

60 40 20 0

P67D

80

O60D

O01E

60 40 20 0 0

1

100 10000

0

1

100 10000

Pflegekosten [SFr.]

Abbildung 5.1.1: Histogramme auf logarithmischer Skala der 5 h¨aufigsten DRGs.

28


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 234

Analyse der Pflegekosten

29

Seltsamerweise gibt es einzelne Betr¨age (in den Abbildungen ganz links bei Pflegekosten von 0 SFr.), welche zwischen 0 und 1 Franken liegen. Man k¨onnte vermuten, dass diese Betr¨age etwas wie den Mindestbetrag darstellen, wenn keine Pflegeleistungen erbracht werden m¨ ussen. Dies soll nun mithilfe des Pflegeaufwands (LEP-Minuten) genauer untersucht werden. Um den Zusammenhang zwischen Kosten und Aufwand zu studieren, werden die Pflegekosten den LEP-Minuten gegen¨ uberstellt. Die DRG X62Z (Vergiftungen/Toxische Wirkungen von Drogen, Medikamenten und anderen Substanzen) beinhaltet mit 27 (von 2161) die meisten F¨alle (nur LEP-Netzwerkspit¨aler) mit Pflegekosten zwischen 1 Rappen und 1 Franken. Da wir besonders an F¨allen mit solchen Betr¨agen interessiert sind, ist diese DRG zur Darstellung1 besonders geeignet. Falls ein Spital bei der Berechnung der Pflegekosten den Pflegeaufwand (in Form von LEP-Minuten) tats¨achlich ber¨ ucksichtigt, sollte es zwischen den beiden in Abbildung 5.1.2 dargestellten Gr¨ossen einen deutlichen Zusammenhang geben. Die sich in der Abbildung tats¨achlich ergebenden Zusammenh¨ange lassen sich in drei verschiedene Muster unterteilen: 1. Bei den Spit¨alern 154, 155 und 161 h¨angen die Pflegekosten sehr deutlich mit den erfassten LEP Minuten zusammen. 2. Bei den Spit¨alern 150, 151, 153, 157 und 159 ist der Zusammenhang zwischen Pfegekosten und LEP-Minuten teils deutlich, doch gibt es viele F¨alle, bei denen selbst hohe LEP-Zeiten zu keinen oder sehr kleinen Pflegekosten gef¨ uhrt hat. 3. Bei den Spit¨alern 152 und 160 ist der Zusammenhang zwischen Pflegekosten und LEP-Minuten ansatzweise erkennbar, doch lassen die teilweise waagrecht angeordneten Pflegekosten vermuten, dass die Pflegekosten pauschal abgerechnet wurden. Diese Grafik kann man sich f¨ ur jede der 401 DRG Gruppen aufzeichnen. Es stellt sich heraus, dass das Muster 2 nicht bei jeder, aber mindestens bei den folgenden weiteren 67 DRGs beobachtbar ist: B14Z, E61Z, F72C, H64Z, L43Z, P67C, Z65Z,

B20Z, E65A, F73Z, I13B, L63B, Q60A,

B70H, E65B, F74Z. I21Z, L63C, T63C,

B75Z, E69A, F75C, I68C, L64B, U60Z,

B76E, E69B, G12C, I68D, L66Z, U64Z,

B78Z, E69C, G22B, I69Z, N06Z, V60C,

B80Z, E77C, G23B, I71Z, M21Z, V62B,

D30B, F60B, G66B, I74B, N25Z, X06C,

D63B, F62B. G67B, I75B, O03Z, X60Z,

D67Z, F66B, G67C, J65B, 060D, X63Z,

E05B, F71C, G71Z, K62Z, O65C, Z64Z,

Auff¨allig oft ist Muster 2 bei Spital 157 zu beobachten. Das Muster 1 ist hingegen bei allen DRGs f¨ ur die genannten Spit¨aler g¨ ultig. Muster 3 kommt selten vor.

1

die Grafik gibt es f¨ ur alle 401 DRGs, siehe File pk-gk-all.pdf


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 235

30

1000

100

160

● ●

161

● ●● ●●● ● ● ●● ● ● ●●●● ● ● ● ●● ●●●● ●●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●●●● ● ●● ● ●●● ● ● ●● ● ●● ● ●●●

● ● ●●● ● ● ●●● ● ● ●●●● ●●● ●●

●●●● ●● ● ● ● ● ● ●●● ● ● ●●● ●●●● ● ●

154

155 ● ● ●●

● ●● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ●● ●● ●● ●● ● ● ● ●● ●

● ● ●●

● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ●

157 ● ● ● ● ●●●●● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ●●● ● ●

● ●●●

●●

150

● ● ●● ● ● ●●● ●● ● ●● ●●

151

●● ● ● ● ●● ●●

● ●●● ●● ●

●●●●●● ●● ●

152

10000 1000 100 10 1 0

153

● ● ● ●

● ●

● ●● ●

● ● ● ●

●●

● ● ●● ● ● ●● ●● ● ● ● ●● ● ●● ● ● ●● ● ● ● ● ●● ●● ●

●● ●

● ● ● ●●

● ● ● ●● ● ●● ● ● ●● ●● ● ●● ● ●● ●

● ●●

● ●

● ● ●●● ● ●● ● ●● ● ● ● ● ● ● ●● ● ●● ● ● ● ●● ●

100

●● ●● ●●●● ●● ● ●

10000

1000

●● ●● ● ● ●●

100

10000 1000 100 10 1 0

159 ●

10000

Pflegekosten [SFr.]

1000

10000 1000 100 10 1 0

10000

Analyse der Pflegekosten

LEP Minuten Total [min]

Abbildung 5.1.2: Darstellung f¨ ur die DRG X62Z, bei der spitalweise die Pflegekosten den LEP-Minuten auf logarithmischer Skala gegen¨ ubergestellt werden.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 236

Analyse der Pflegekosten

31

Folgerung Es kommt oft vor, dass die Pflegekosten eines Falles trotz relativ grossem LEP-Aufwand gleich Null Franken sind. Geht man davon aus, dass die LEP-Minuten korrekt erfasst sind, so kann daraus geschlossen werden, dass bei diesen F¨allen der Pflegeaufwand in den Pflegekosten offensichtlich nicht gen¨ ugend, ja gar nicht ber¨ ucksichtigt wurde. Inwiefern die Analyse der Pflegekosten u ¨berhaupt sinnvoll ist, ist fraglich. F¨ ur diejenigen Spit¨aler, welche keine LEP-Minuten geliefert haben, kann ja f¨ ur die vorliegenden ¨ Daten keine solche Uberpr¨ ufung durchgef¨ uhrt werden. Im folgenden werden die Pflegekosten trotzdem analysiert. Es ist aber wichtig, sich der eingeschr¨ankten Datenqualit¨at bewusst zu sein.

0

Anzahl DRGs 20 60

5.2 Mittelwerte der Pflegekosten

0

2000

6000 10000 mittlere Pflegekosten

Abbildung 5.2.1: Histogramm der mittleren Pflegekosten Die mittleren Pflegekosten der zu untersuchenden 401 DRGs liegen zwischen 158 und 12’755 Franken. Die Verteilung der mittleren Pflegekosten ist in Abbildung 5.2.1 dargestellt. In Tabelle 5.2.1 sind die DRGs mit den zehn h¨ochsten (1 bis 10) und den zehn niedrigsten (392 bis 401) mittleren Pflegekosten aufgelistet. Tabelle 5.2.1: DRGs mit h¨ ochsten und niedrigsten mittleren Pflegekosten in SFr. pk ist der Mittelwert mit allen F¨ allen, pkinl ist der Mittelwert, bei welchem nur die Inliers ber¨ ucksichtigt werden. Hpk ist der zur DRG geh¨ orige Homogenit¨ atskoeffizient (siehe Abschnitt 5.3).

1

DRG

pk

pkinl

Hpk

n

B02E

12’755

10’390

0.55

54

Beschreibung

Part.

Komplexe Kraniotomie oder Wirbels¨ aulen- O Operation oder andere aufw¨ andige Operation am Nervensystem mit Beatmung > 95 Stunden, ohne Strahlentherapie, Alter > 17 Jahre, ohne grossen intrakraniellen Eingriff Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 237

Analyse der Pflegekosten

32

Tabelle 5.2.1: Fortsetzung DRG

pk

pkinl

Hpk

n

2

F07Z

12’323

12’285

0.61

103

3

B02D

10’735

11’042

0.55

114

4

R16Z

10’405

10’737

0.55

95

5

A17B

10’291

10’452

0.64

182

6

T01A

8’879

8’912

0.52

73

7 8

G16Z P65B

8’461 8’316

7’925 9’828

0.61 0.49

94 73

9

H09A

7’982

8’571

0.61

72

10

F21Z

7’739

8’452

0.54

63

... 392

... L64B

... 565

... 586

... 0.68

... 1154

393

V60C

558

562

0.47

944

394

F70B

540

834

0.42

72

395

X62Z

515

664

0.44

2161

396 397 398 399

B80Z J68Z O64B I68D

481 429 405 400

505 499 470 445

0.6 0.49 0.56 0.54

4170 59 154 570

400 401

B70H U60Z

320 158

432 306

0.46 0.41

151 841

Beschreibung

Part.

Andere Eingriffe mit Herz-Lungen-Maschine, Alter < 1 Jahr oder mit komplizierenden Prozeduren oder komplexer Operation Komplexe Kraniotomie oder Wirbels¨ aulenOperation oder andere aufw¨ andige Operation am Nervensystem mit Beatmung > 95 Stunden, ohne Strahlentherapie, Alter > 17 Jahre, mit grossem intrakraniellen Eingriff Hochkomplexe Chemotherapie mit operativem Eingriff bei h¨ amatologischen und soliden Neubildungen Nierentransplantation ohne postoperatives Versagen des Nierentransplantates OR-Prozedur bei infekti¨ osen und parasit¨ aren Krankheiten mit komplexer OR-Prozedur oder bei Zustand nach Organtransplantation Komplexe Rektumresektion Neugeborenes, Aufnahmegewicht 1500 - 1999 g ohne signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, mit schwerem Problem Eingriffe an Pankreas und Leber und portosystemische Shunt-Operationen, ohne grossen Eingriff, ohne Strahlentherapie, mit a ¨usserst schweren CC Andere OR-Prozeduren bei Kreislauferkrankungen ... Harnsteine und Harnwegsobstruktion, Alter < 76 Jahre und ohne a ¨usserst schwere oder schwere CC Alkoholintoxikation und entzug ohne psychotisches Syndrom, ohne Qualifizierten Entzug, ohne Entzugssyndrom Schwere Arrhythmie und Herzstillstand ohne a ¨usserst schwere CC Vergiftungen / Toxische Wirkungen von Drogen, Medikamenten und anderen Substanzen Andere Kopfverletzungen Erkrankungen der Haut, ein Belegungstag Frustrane Wehen, ein Belegungstag Nicht operativ behandelte Erkrankungen und Verletzungen im Wirbels¨ aulenbereich, ein Belegungstag Apoplexie, ein Belegungstag Psychiatrische Behandlung, ein Belegungstag

O

O

O

O O

O M

O

O ... M

M

M M M M M M

M M


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 238

Analyse der Pflegekosten

33

5.3 Homogenit¨ at der Pflegekosten

0

Anzahl DRGs 40 80 120

Verteilung der Homogenit¨ atskoeffizienten Die Homogenit¨at der Pflegekosten einer DRG wird anhand des Homogenit¨atskoeffizienten Hpk beurteilt. Je n¨aher Hpk bei 0 liegt, desto inhomogener sind die Pflegekosten der DRG.

0.0

0.2 0.4 0.6 0.8 Homogenitätskoeffizient

1.0

Abbildung 5.3.1: Histogramm der Pflegekosten-Homogenit¨atskoeffizienten Abbildung 5.3.1 zeigt die Verteilung der gesch¨atzten Homogenit¨atskoeffizienten, welche zwischen 0.41 und 0.81 streuen. Die als kritisch definierte Grenze 0.5 wird insgesamt von 3.2% (13 von 401) der DRGs unterschritten (siehe Tabelle 5.3.2). Tabelle 5.3.2: Unterschreitungsanteile der Homogenit¨atskoeffizienten Hpk Hpk Hpk Hpk Hpk

CVpk < 0.5 < 0.6 < 0.67 < 0.7

CVpk CVpk CVpk CVpk

Unterschreitungen >1 > 0.67 > 0.5 > 0.42

3.2% 49.6% 84.0% 94.5%

(13 (199 (337 (379

von von von von

401) 401) 401) 401)

Ad¨ aquatheit des Homogenit¨ atskoeffizienten Der Homogenit¨atskoeffizient ist oft ein besseres Mass f¨ ur den Vergleich der Streuung mehrerer Gruppen als die Standardabweichung, weil mit zunehmendem Mittelwert die Standardabweichung h¨aufig ebenfalls w¨achst. Bei der Berechnung des Variationskoeffizienten wird die Standardabweichung relativ zum Mittelwert betrachtet. Damit werden Gruppen auf unterschiedlichem mittleren Niveau besser vergleichbar. Es ist nun interessant zu sehen, ob zwischen Homogenit¨atskoeffizient und Mittelwert kein Zusammenhang mehr besteht. Abbildung 5.3.2 zeigt H in Abh¨angigkeit der mittleren Pflegekosten pro DRG. Tats¨achlich scheint es zwischen dem Homogenit¨atskoeffizienten Hpk und mittleren Pflegekosten pk keinen starken Zusammenhang zu geben. Auff¨allig sind jedoch einige


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 239

34

0.8

Analyse der Pflegekosten

● L13B ● Z03Z ● M01B ●● ● ● ●● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ●●● ● ● ● ●● ●●● ●●● ●● ● ●● ● ● ● ●●● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ●● ●● ● ● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ●● ●●●● ●● ● ● ●● ● ● ● ● ●● ●● ● ● ●● ● ●● ● ● ●●● ● ●● ●● ● ● ● ●●● ● ●● ● ●●●● ● ●● ●● ●● ● ● ● ●● ● ●●●● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●●● ● ●●● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ●● ●●● ● ●● ● ● ●● ●● ● ● ● ● ● ●● ●● ●● ● ●●● ● ● ● ● ●●●●●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ● ●● ● ●● ● ●● ● ● ●●●● ● ●● ● ● ●● ● ●●●● ● ● ● ● ● ●● ● ●● ● ●●● ●●● ● ● ●● ● ●● ● ● ●● ● ● ●●● ● ●●● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● F43B ● X62Z ●●F70B T60F

0.4

0.5

H 0.6

0.7

U60Z

200

● M02Z C10B ● ●

500 1000 2000 5000 10000 mittlere Pflegekosten [SFr.]

Abbildung 5.3.2: Gegen¨ uberstellung von Homogenit¨atskoeffizient und mittleren Pflegekosten. sehr inhomogene DRGs (U60Z, X62Z etc.), welche sehr kleine Mittelwerte haben. Das ist m¨oglicherweise dadurch zu erkl¨aren, dass die Berechnung von H bei kleinem Mittelwert x ¯ ungenau wird. Inhomogenste und homogenste DRGs In Tabelle 5.3.3 sind die zehn inhomogensten (1 bis 10) und die zehn homogensten DRGs (382 bis 401) aufgelistet. Tabelle 5.3.3: DRGs mit gr¨ ossten und kleinsten Homogenit¨ atskoeffizienten Hpk . Hpk,inl sind Homogenit¨ atskoeffizienten welche nur mit Inliers und nicht robust gesch¨ atzt wurden. DRG

Hpk

Hpk,inl

n

1 2 3

T60F U60Z F70B

0.41 0.41 0.42

0.36 0.34 0.38

114 841 72

4

X62Z

0.44

0.35

2161

5

F43B

0.45

0.51

54

6 7

B70H V60C

0.46 0.47

0.41 0.46

151 944

8

P65B

0.49

0.45

73

9

X64Z

0.49

0.33

232

Beschreibung

Partition

Sepsis, verstorben < 8 Tage nach Aufnahme Psychiatrische Behandlung, ein Belegungstag Schwere Arrhythmie und Herzstillstand ohne a ¨usserst schwere CC Vergiftungen / Toxische Wirkungen von Drogen, Medikamenten und anderen Substanzen Beatmung > 24 Stunden bei Krankheiten und St¨ orungen des Kreislaufsystems ohne a ¨usserst schwere CC Apoplexie, ein Belegungstag Alkoholintoxikation und -entzug ohne psychotisches Syndrom, ohne Qualifizierten Entzug, ohne Entzugssyndrom Neugeborenes, Aufnahmegewicht 1500 - 1999 g ohne signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, mit schwerem Problem Andere Krankheit verursacht durch Verletzung, Vergiftung oder toxische Wirkung Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt

M M M M A

M M

M

M


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 240

Analyse der Pflegekosten

35

Tabelle 5.3.3: DRGs mit gr¨ ossten und kleinsten Homogenit¨ atskoeffizienten Hpk . Hpk,inl sind Homogenit¨ atskoeffizienten welche nur mit Inliers und nicht robust gesch¨ atzt wurden. DRG

Hpk

Hpk,inl

n

10

F35A

0.49

0.51

94

... 392

... O01E

... 0.73

... 0.69

... 4613

393

M06Z

0.73

0.69

150

394 395

L08Z N14Z

0.74 0.74

0.75 0.71

59 207

396

C17Z

0.75

0.77

232

397

M01B

0.75

0.76

491

398

C10B

0.76

0.76

148

399 400 401

M02Z Z03Z L13B

0.76 0.78 0.81

0.71 0.77 0.77

1445 106 59

Beschreibung

Partition

Andere kardiothorakale Eingriffe ohne HerzLungen-Maschine, ohne komplizierende Prozeduren, Alter > 2 Jahre und < 10 Jahre oder a ¨usserst schwere CC ... Sectio caesarea ohne komplizierende Diagnose, Schwangerschaftsdauer mehr als 33 vollendete Wochen Andere OR-Prozeduren an den m¨ annlichen Geschlechtsorganen Komplexe Eingriffe an der Urethra Hysterektomie mit Beckenbodenplastik ausser bei b¨ osartiger Neubildung oder Brachytherapie bei Krankheiten und St¨ orungen der weiblichen Geschlechtsorgane, mehr als ein Belegungstag, mit a ¨usserst schweren CC Eingriffe an der Retina mit Pars-planaVitrektomie und andere komplexe Prozeduren ohne extrakapsul¨ are Extraktion der Linse (ECCE) Grosse Eingriffe an den Beckenorganen beim Mann ohne a ¨usserst schwere CC Eingriffe an den Augenmuskeln ohne erh¨ ohten Aufwand Transurethrale Prostataresektion Nierenspende (Lebendspende) Nieren-, Ureter- und grosse Harnblaseneingriffe bei Neubildung, ohne CC

O

... O

O O O

O

O O O O O

F¨ unf der zehn inhomogensten DRGs, n¨amlich U60Z, F70B, X62Z, B70H und V60C, befinden sich zugleich unter den zehn DRGs mit den niedrigsten Pflegekosten (siehe Tabelle 5.2.1). DRGs mit unbefriedigender Homogenit¨ at F¨ ur die Analyse werden nun zwei festgelegte Grenzen hinzugezogen (Fischer, 2002, S. 161; Palmer und Read, 2001, S. 74; Expertenanfrage W. Fischer 23.06.2009), um dar¨ uber zu entscheiden, ob die Homogenit¨at der Pflegekosten einer DRG befriedigend sind oder nicht. Diese Grenzen sind in Tabelle 5.3.4 aufgelistet. Um nun schliessend zu beantworten, welche der 401 DRGs eine (sehr) unbefriedigende Homogenit¨at aufweisen werden die Homogenit¨atskoeffizienten statistisch getestet. Nullhypothese H0 : Hpk > g, wobei g = 0.5, resp. 0.67 Alternativhypothese HA : Hpk ≤ g


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 241

Analyse der Pflegekosten

36

Tabelle 5.3.4: Grenzen f¨ ur den Homogenit¨atskoeffizienten Hpk

CVpk

Beurteilung

Hpk < 0.5 Hpk < 0.67

CVpk > 1 CVpk > 0.5

sehr unbefriedigende Homogenit¨at unbefriedigende Homogenit¨at

Der f¨ ur den Test ben¨otigte Standardfehler f¨ ur Hpk wird mittels Bootstrapping gesch¨atzt. Das Signifikanzniveau des Tests wird vorg¨angig auf 5% festgelegt. Die Nullhypothese wird verworfen, wenn *

Φ

Hpk − g sHpk

+

0.05 401

gilt. Dabei ist der Nenner von 401 auf der rechten Seite die sogenannte Bonferroni Korrektur, die gemacht wird, um das Problem des multiplen Testens (in diesem Fall werden ja 401 Tests gemacht) zu beheben. Ohne diese Korrektur w¨are die Wahrscheinlichkeit, f¨alschlicherweise signifikante Ergebnisse zu erhalten, markant gr¨osser als 5%. Φ hi ist die Verteilungsfunktion der Normalverteilung. Die Tests f¨ ur H0 : Hpk = 0.5 ergeben f¨ ur die folgenden 3 (von 401) DRGs signifikante Ergebnisse: T60F V60C X62Z

Die DRGs T60F, V60C und X62Z (siehe Tabelle 5.3.3) weisen also eine auf dem 5%Niveau signifikant sehr unbefriedigende Homogenit¨at auf. Das gleiche Testverfahren wird nun auch f¨ ur H0 : Hpk = 0.67 durchgef¨ uhrt. Dabei ergeben sich f¨ ur die folgenden 258 von 401 (64%) DRGs signifikante Ergebnisse (Bem.: darunter befinden sich auch die drei DRGs welche eine sehr unbefriedigende Homogenit¨at aufweisen): A13E, B67C, B76C, D36Z, E40B, E69A, F12Z, F49C, F62C, F72C, G17Z, G60A, G71Z, H63C, I20B, I54Z, I72B,

B02D, B69E, B76D, D38Z, E60Z, E69C, F19A, F49F, F63A, F73Z, G18Z, G60B, G72Z, H64Z, I20C, I62Z, I73Z,

B02E, B70C, B76E, D61A, E61Z, E70Z, F21Z, F52A, F65B, F74Z, G19B, G64C, H12B, I05Z, I21Z, I65B, I74B,

B14Z, B70E, B77Z, D61B, E63Z, E71A, F24B, F52B, F66A, F75A, G21Z, G65Z, H41A, I08B, I25Z, I66B, I75A,

B17Z, B70H, B78Z, D62Z, E64A, E71B, F31Z, F54Z, F66B, F75C, G22B, G66A, H41C, I08C, I27B, I68A, I75B,

B61Z, B71C, B80Z, D63Z, E65A, E74Z, F33Z, F56Z, F67C, G02Z, G46B, G66B, H60A, I09C, I27C, I68B, I76A,

B63Z, B71D, B81Z, D66Z, E65B, E75C, F35A, F60A, F70B, G04Z, G46C, G67A, H60B, I13A, I28B, I68C, I76B,

B64B, B72B, C06Z, D67Z, E66Z, E77B, F40Z, F60B, F71A, G07Z, G47Z, G67B, H61A, I13B, I30Z, I68D, I77Z,

B66B, B73Z, C08Z, E02B, E67B, E77C, F43A, F62A, F71B, G12B, G48Z, G67C, H61B, I19Z, I32Z, I69Z, I78Z,

B67B B75Z D24B E05B E68Z F07Z F43B F62B F71C G12C G50Z G70B H62A I20A I50A I71Z J03B


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 242

Analyse der Pflegekosten

J08B, J65B, L09A, N06Z, O64B, P67D, T01C, U63Z, X60Z,

J10B, J66Z, L09B, N07Z, O65B, Q60A, T60C, U64Z, X62Z,

J11A, J67A, L60C, N25Z, O65C, Q61B, T60E, U66Z, X63Z,

J21Z, J67B, L60D, N62B, P65B, Q61D, T60F, V60B, X64Z,

J22B, J68Z, L62Z, O03Z, P66B, R16Z, T61B, V60C, Y03Z,

37

J25Z, K60B, L63C, O60B, P66C, R61E, T62A, V62B, Z01Z,

J60Z, K60E, L66Z, O60C, P66D, R62C, T62B, X04Z, Z64Z,

J62B, K62Z, L68Z, O62Z, P67A, S63B, T63C, X06A, Z65Z

J64B, K64D, N03B, O63Z, P67B, T01A, T64Z, X06B,

J65A L04B N05B O64A P67C T01B U60Z X06C

Diese 258 DRGs beinhalten 67% (176’529 von 263’247) aller F¨alle. Insgesamt weist also ein sehr grosser Anteil an DRGs eine unbefriedigende Homogenit¨at auf. Es gibt jedoch kaum DRGs, die extrem inhomogen sind. Grunds¨atzlich w¨ urde sich empfehlen, alle signifikanten DRGs anzuschauen.

5.4 Homogenit¨ at der Pflegekosten nach MDC Eine MDC fasst eine Gruppe von DRGs nach bestimmten Diagnosen zusammen. In diesem Abschnitt werden Unterschiede zwischen den MDCs diskutiert und DRGs aufgezeigt, welche innerhalb einer MDC die gr¨osste Inhomogenit¨at respektive Homogenit¨at aufweisen. Unterschiede zwischen den MDCs Der Vergleich zeigt, dass es zwischen den MDCs grosse Unterschiede gibt. F¨ ur den Vergleich wurden in Abbildung 5.4.1 die Homogenit¨atskoeffizienten nach MDCs geordnet aufgezeichnet. Darin wird ersichtlich, dass die DRGs der MDC M (siehe Tabelle 5.4.5) im Vergleich sehr homogen, diejenigen der MDCs P, U, V und X sehr inhomogen sind. Diese 4 MDCs beinhalten jedoch im Vergleich nur wenige DRGs (zwischen 3 und 8), im Vergleich dazu gibt es MDCs mit bis zu 54 DRGs (MDC I). Inhomogenste und homogenste DRG je MDC In Tabelle 5.4.5 sind die inhomogensten, in Tabelle 5.4.6 die homogensten DRGs je MDC aufgelistet. Tabelle 5.4.5: Inhomogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegekosten MDC

MDC Beschreibung

DRG

Hpk

DRG Beschreibung

Part.

M O

A

Pr¨ a-MDC

Pr¨ a-MDC

A13E

0.56

B

MDC 01

B70H

0.46

C

MDC 02

Krankheiten und St¨ orungen des Nervensystems Krankheiten und St¨ orungen des Auges

Beatmung > 95 und < 250 Stunden ohne komplexe OR-Prozedur, ohne bestimmte OR-Prozedur, ohne komplizierende Prozeduren, Alter > 15 Jahre Apoplexie, ein Belegungstag

C06Z

0.58

Komplexe Eingriffe bei Glaukom

Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 243

Analyse der Pflegekosten

38

Tabelle 5.4.5: Inhomogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegekosten MDC

MDC Beschreibung

DRG

Hpk

DRG Beschreibung

Part.

Krankheiten und St¨ orungen des Ohres, der Nase, des Mundes und des Halses Krankheiten und St¨ orungen der Atmungsorgane

D67Z

0.56

M

E40B

0.53

Krankheiten und St¨ orungen des Kreislaufsystems Krankheiten und St¨ orungen der Verdauungsorgane Krankheiten und St¨ orungen an hepatobili¨ arem System und Pankreas Krankheiten und St¨ orungen an Muskel-Skelett-System und Bindegewebe Krankheiten und St¨ orungen an Haut, Unterhaut und Mamma Endokrine, Ern¨ ahrungs- und Stoffwechselkrankheiten

F70B

0.42

G72Z

0.53

H41A

0.56

Erkrankungen von Z¨ ahnen und Mundh¨ ohle ohne Zahnextraktion und -wiederherstellung Krankheiten und St¨ orungen der Atmungsorgane mit Beatmung > 24 Stunden, mit a ¨usserst schweren CC oder ARDS, Alter > 17 Jahre Schwere Arrhythmie und Herzstillstand ohne a ¨usserst schwere CC Andere leichte bis moderate Erkrankungen der Verdauungsorgane Komplexe therapeutische ERCP mit a ¨usserst schweren CC

I78Z

0.52

M

J68Z

0.49

Leichte bis moderate Verletzungen von Schulter, Arm, Ellenbogen, Knie, Bein und Sprunggelenk Erkrankungen der Haut, ein Belegungstag

K64D

0.54

M

Krankheiten und St¨ orungen der Harnorgane Krankheiten und St¨ orungen der m¨ annlichen Geschlechtsorgane Krankheiten und St¨ orungen der weiblichen Geschlechtsorgane

L62Z

0.55

Endokrinopathien, ohne komplexe Diagnose, ohne a ¨usserst schwere CC Neubildungen der Harnorgane

M62Z

0.64

N62B

0.57

Schwangerschaft, und Wochenbett Neugeborene

O64A

0.55

P65B

0.49

D

MDC 03

E

MDC 04

F

MDC 05

G

MDC 06

H

MDC 07

I

MDC 08

J

MDC 09

K

MDC 10

L

MDC 11

M

MDC 12

N

MDC 13

O

MDC 14

P

MDC 15

Q

MDC 16

Krankheiten des Blutes, der blutbildenden Organe und des Immunsystems

Q60A

0.58

R

MDC 17

H¨ amatologische und solide Neubildungen

R62C

0.53

Geburt

Tabelle

Infektion / Entz¨ undung der m¨ annlichen Geschlechtsorgane

A

M M A

M

M M

Menstruationsst¨ orungen und ande- M re Erkrankungen der weiblichen Geschlechtsorgane ohne komplexe Diagnose Frustrane Wehen, mehr als ein Be- M legungstag Neugeborenes, Aufnahmegewicht M 1500 - 1999 g ohne signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, mit schwerem Problem Erkrankungen des retikuloendothe- M lialen Systems, des Immunsystems und Gerinnungsst¨ orungen mit komplexer Diagnose oder CC Andere h¨ amatologische und solide M Neubildungen ohne komplizierende Prozeduren, ohne Dialyse, ohne Portimplantation, ohne Osteolysen, ohne ¨ ausserst schwere CC wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 244

Analyse der Pflegekosten

39

Tabelle 5.4.5: Inhomogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegekosten MDC

MDC Beschreibung

DRG

Hpk

DRG Beschreibung

Part.

Infektion bei HIV-Krankheit ohne komplexe Diagnose oder ohne a ¨usserst schwere CC Sepsis, verstorben ¡ 8 Tage nach Aufnahme Psychiatrische Behandlung, ein Belegungstag Alkoholintoxikation und -entzug ohne psychotisches Syndrom, ohne Qualifizierten Entzug, ohne Entzugssyndrom (keine F¨ alle) Vergiftungen / Toxische Wirkungen von Drogen, Medikamenten und anderen Substanzen Andere Verbrennungen mit anderen Eingriffen Andere Faktoren, die den Gesundheitszustand beeinflussen und Nachbehandlung nach abgeschlossener Behandlung

M

S

MDC 18A

HIV

S63B

0.59

T

MDC 18B

T60F

0.41

U

MDC 19

U60Z

0.41

V

MDC 20

V60C

0.47

W X

MDC 21A MDC 21B

X62Z

0.44

Y

MDC 22

Infekti¨ ose und parasit¨ are Krankheiten Psychische Krankheiten und St¨ orungen Alkohol- und Drogengebrauch und alkohol- und drogeninduzierte psychische St¨ orungen Polytrauma Verletzungen, Vergiftungen und toxische Wirkungen von Drogen und Medikamenten Verbrennungen

Y03Z

0.54

Z

MDC23

Z64Z

0.51

Faktoren, die den Gesundheitszustand beeinflussen, und andere Inanspruchnahme des Gesundheitswesens

M M M

M

O M

Tabelle 5.4.6: Homogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegekosten MDC

MDC Beschreibung

DRG

Hpk

DRG Beschreibung

Part.

Nierentransplantation ohne postoperatives Versagen des Nierentransplantates Dekompression bei Karpaltunnelsyndrom Eingriffe an den Augenmuskeln ohne erh¨ ohten Aufwand Kleine Eingriffe an Nase und Ohr

O

A

Pr¨ a-MDC

Pr¨ a-MDC

A17B

0.64

B

MDC 01

B05Z

0.7

C

MDC 02

C10B

0.76

D

MDC 03

D13Z

0.72

E

MDC 04

E05A

0.68

F

MDC 05

Krankheiten und St¨ orungen des Nervensystems Krankheiten und St¨ orungen des Auges Krankheiten und St¨ orungen des Ohres, der Nase, des Mundes und des Halses Krankheiten und St¨ orungen der Atmungsorgane Krankheiten und St¨ orungen des Kreislaufsystems

G

MDC 06

Krankheiten und St¨ orungen der Verdauungsorgane

O O O

Andere grosse Eingriffe am Thorax O bei b¨ osartiger Neubildung F39B 0.72 Unterbindung und Stripping von O Venen ohne beidseitigen Eingriff, ohne Ulzeration, ohne a ¨usserst schwere oder schwere CC G25Z 0.7 Eingriffe bei Leisten- und Schenkel- O hernien, Alter > 0 Jahre oder Eingriffe bei Hernien, Alter < 1 Jahr Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 245

Analyse der Pflegekosten

40

Tabelle 5.4.6: Homogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegekosten MDC

MDC Beschreibung

DRG

Hpk

DRG Beschreibung

Part.

Krankheiten und St¨ orungen an hepatobili¨ arem System und Pankreas Krankheiten und St¨ orungen an Muskel-Skelett-System und Bindegewebe Krankheiten und St¨ orungen an Haut, Unterhaut und Mamma Endokrine, Ern¨ ahrungs- und Stoffwechselkrankheiten

H08B

0.68

Laparoskopische Cholezystektomie ohne sehr komplexe Diagnose

O

I43Z

0.71

O

J61B

0.69

K03Z

0.72

Prothesenwechsel oder Implantation einer Scharnierprothese oder Sonderprothese am Kniegelenk Schwere Erkrankungen der Haut, mehr als ein Belegungstag, Alter > 17 Jahre, ohne a ¨usserst schwere CC Eingriffe an der Nebenniere bei b¨ osartiger Neubildung oder Eingriffe an der Hypophyse Nieren-, Ureter- und grosse Harnblaseneingriffe bei Neubildung, ohne CC Transurethrale Prostataresektion

H

MDC 07

I

MDC 08

J

MDC 09

K

MDC 10

L

MDC 11

Krankheiten und St¨ orungen der Harnorgane

L13B

0.81

M

MDC 12

M02Z

0.76

N

MDC 13

Krankheiten und St¨ orungen der m¨ annlichen Geschlechtsorgane Krankheiten und St¨ orungen der weiblichen Geschlechtsorgane

N14Z

0.74

O

MDC 14

Schwangerschaft, und Wochenbett

O01E

0.73

P

MDC 15

Neugeborene

P67D

0.59

Q

MDC 16

Krankheiten des Blutes, der blutbildenden Organe und des Immunsystems

Q60B

0.64

R

MDC 17

H¨ amatologische und solide Neubildungen

R12C

0.64

S

MDC 18A

HIV

S63B

0.59

Geburt

Tabelle

M

O

O

O

Hysterektomie mit Beckenbo- O denplastik ausser bei b¨ osartiger Neubildung oder Brachytherapie bei Krankheiten und St¨ orungen der weiblichen Geschlechtsorgane, mehr als ein Belegungstag, mit a ¨usserst schweren CC Sectio caesarea ohne komplizieren- O de Diagnose, Schwangerschaftsdauer mehr als 33 vollendete Wochen Neugeborenes, Aufnahmegewicht M > 2499g ohne signifikante ORProzedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, ohne anderes Problem oder ohne schweres Problem, ein Belegungstag Erkrankungen des retikuloendo- M thelialen Systems, des Immunsystems und Gerinnungsst¨ orungen ohne komplexe Diagnose und ohne CC Andere h¨ amatologische und soli- O de Neubildungen mit grossen ORProzeduren ohne a ¨usserst schwere CC, ohne komplexe OR-Prozedur Infektion bei HIV-Krankheit ohne M komplexe Diagnose oder ohne a ¨usserst schwere CC wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 246

Analyse der Pflegekosten

41

Tabelle 5.4.6: Homogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegekosten MDC

MDC Beschreibung

DRG

Hpk

DRG Beschreibung

Part.

Sepsis ohne komplizierende Prozeduren, ausser bei Zustand nach Organtransplantation, ohne a ¨usserst schwere CC, Alter > 5 Jahre Angstst¨ orungen oder andere affektive und somatoforme St¨ orungen St¨ orungen durch Alkoholmissbrauch und Alkoholabh¨ angigkeit ohne Qualifizierten Entzug

M

T

MDC 18B

Infekti¨ ose und Krankheiten

parasit¨ are

T60E

0.61

U

MDC 19

U64Z

0.56

V

MDC 20

V62B

0.58

W X

MDC 21A MDC 21B

X06C

0.58

Y

MDC 22

Psychische Krankheiten und St¨ orungen Alkohol- und Drogengebrauch und alkohol- und drogeninduzierte psychische St¨ orungen Polytrauma Verletzungen, Vergiftungen und toxische Wirkungen von Drogen und Medikamenten Verbrennungen

Y03Z

0.54

Z

MDC23

Z03Z

0.78

Faktoren, die den Gesundheitszustand beeinflussen, und andere Inanspruchnahme des Gesundheitswesens

(keine F¨ alle) Andere Eingriffe bei anderen Verletzungen ohne a ¨usserst schwere oder schwere CC, Alter < 66 Jahre Andere Verbrennungen mit anderen Eingriffen Nierenspende (Lebendspende)

M M

O

O O


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 247

Analyse der Pflegekosten

42

Homogenitätskoeffizient

0.8

● ● ●

0.7

0.6

0.5

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ●

● ●

● ● ● ● ● ● ●

● ●

● ●

0.4

A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V X Y Z

MDC

Abbildung 5.4.1: Vergleich der Homogenit¨atskoeffizienten nach MDC Gruppen (inhaltliche Beschreibung in Tabelle 5.4.5). Die Punkte geben Homogenit¨atskoeffizienten einzelner DRGs, die Linie die mittlere Homogenit¨aten der DRGs an.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 248

Analyse der Pflegekosten

43

5.5 Unterschiede zwischen den Netzwerkspit¨ alern Um die Frage: “Gibt es Unterschiede zwischen den Netzwerkspit¨alern?” ansatzweise zu beantworten, werden diejenigen DRGs gesucht, bei denen sich die Netzwerkspit¨aler am st¨arksten unterscheiden. Beschreibung der Tabelle 5.5.9 Methodisch werden diese Gruppen gesucht, in dem man die Homogenit¨atskoeffizienten Hspit f¨ ur die Spitalmittelwerte berechnet und von diesen diejenigen DRGs mit den kleinsten Hspit ausw¨ahlt. In Tabelle 5.5.9 sind nun in der obersten Zeile diejenigen DRG-Gruppen aufgelistet, bei welchen die Mittelwerte der Spit¨aler am inhomogensten sind. Da der Vergleich von Netzwerkspit¨alern bekanntlich schwierig ist, beinhaltet die Tabelle viele andere Informationen, welche es erlauben, die DRGs und Netzwerkspit¨aler genauer unter die Lupe zu nehmen In den ersten 4 Zeilen werden DRG, Homogenit¨atskoeffizient, Anzahl F¨alle und Mittelwert angegeben. In den unteren Zeilen, ist ein Ranking aufgef¨ uhrt, mit welchem nun die Spit¨aler verglichen werden k¨onnen. Dasjenige Spital, welches die h¨ochsten durchschnittlichen Pflegekosten der DRG hat, ist zuoberst. In den Klammern sind die mittleren Pflegekosten, mittlere Gesamtkosten, Anzahl F¨alle und falls Vorhanden die mittleren Kosten pro LEPMinute angegeben. Diese letzte Kennzahl k¨onnte den folgenden Hinweis geben: Falls ein spezifisches Spital meist komplizierte F¨alle hat, welche einen grossen Pflegeaufwand erfordern und damit gr¨ossere Pflegekosten verursachen, kann durch die Division von Pflegekosten und LEP-Minuten dieser “Effekt der komplizierten F¨alle” aufgehoben werden. Es ist aber zu beachten, dass mit der LEP Minute der Aufwand f¨ ur die dem Fall direkt zuordenbaren Pflegeleistungen wie beispielsweise K¨orperpflege, Patientenedukation und Blutdruck gemessen wird. Die H¨ohe der mittleren Kosten pro LEP-Minute wird jedoch zus¨atzlich vom Aufwand f¨ ur die dem Fall nicht direkt zuordenbaren Leistungen wie Lehre und Forschung, Pr¨asenzdienst und Stationsorganisation massgeblich beeinflusst (Morris et al. (2007)). Weitere Einflussfaktoren sind u.a. die Overheadkosten und lokalen Lohnunterschiede. Tabellen¨ ubersicht Zus¨atzlich zur Tabelle, bei welcher die DRGs aufgrund ihrer Inhomogenit¨at zwischen den Spit¨aler ausgew¨ahlt wurden, werden weitere Tabellen gleicher Art erzeugt, wobei in diesen die DRGs nach anderen Kriterien ausgew¨ahlt wurden. Eine ¨ Ubersicht dazu liefert Tabelle 5.5.7. Die Tabellen sind nach Typologie des Spitals eingef¨arbt. Die Farben k¨onnen wie folgt zugeordnet werden: Die Beschreibungen der in den Tabellen vorkommenden DRGs sind in SwissDRG (2008a) dokumentiert.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 249

Analyse der Pflegekosten

44

¨ Tabelle 5.5.7: Ubersicht u ¨ber Tabellen zu Spitalvergleich Tabelle(n)

DRG-Kriterium

Tabelle Tabelle Tabelle Tabelle Tabelle

gr¨osste Unterschiede zwischen Spit¨aler kleinste Unterschiede zwischen Spit¨aler inhomogenste DRG (siehe auch Tabelle 5.3.3) homogenste DRG Tabelle 5.3.3) gr¨osste DRG Gruppen (siehe auch Tabelle 4.1.1)

5.5.9 und 5.5.10 5.5.11 und 5.5.12 5.5.13 und 5.5.14 5.5.15 und 5.5.16 5.5.17 und 5.5.18

Tabelle 5.5.8: Farbzuordnung der Krankenhaustypologien Typologie

Beschreibung

Farbe

K111

Allg. Krankenh¨auser/ Zentrumsversorgung/ Versorgungsniveau 1 Allg. Krankenh¨auser/ Zentrumsversorgung/ Versorgungsniveau 2 Allg. Krankenh¨auser /˙ Grundversorgung/ Versorgungsniveau 3-5 Spezialkliniken/ Chirurgie Spezialkliniken/ P¨adiatrie Spezialkliniken/ diverse Spezialkliniken

blau

K112 K121, K122, K123 K231 K233 K235

hellgr¨ un rot orange violett gelb


1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28

DRG Hpk n pk

U60Z 0.41 841 158 Spitalbezeichung (mittl. 103 (1’994/3’673/19/NA) 116 (1’755/3’313/15/NA) 122 (1’619/3’184/13/NA) 135 (1’309/3’905/10/NA) 144 (598/4’076/15/NA) 156 (524/1’442/23/NA) 154 (264/1’517/22/1.98) 142 (243/1’589/17/NA) 118 (219/1’725/110/NA) 161 (218/1’280/31/3.1) 114 (214/1’181/13/NA) 100 (205/1’496/16/NA) 152 (200/1’179/23/1.42) 125 (195/1’786/10/NA) 160 (186/2’488/62/0.92) 151 (180/1’168/14/0.81) 120 (180/1’326/19/NA) 150 (170/2’118/15/0.95) 158 (166/1’814/17/NA) 157 (136/1’288/39/0.45) 108 (121/810/22/NA) 128 (69/1’527/180/NA) 153 (57/1’238/14/NA) 110 (55/1’124/35/NA) 107 (50/1’424/28/NA) 119 (43/2’240/14/NA) 127 (37/856/28/NA) 101 (29/2’249/17/NA)

1

3

4

5

U66Z O64B B70H E63Z 0.52 0.56 0.46 0.54 576 154 151 262 3729 405 320 855 Pflegekosten/mittl. Gesamtkosten/Anz. F¨ alle im Spital/mittl. Kosten pro LEP Minute) 115 (17’319/34’156/18/NA) 103 (1’568/3’351/10/NA) 155 (1168/3825/16/1.88) 110 (3’705/12’915/14/NA) 110 (10’918/23’707/77/NA) 154 (591/1’219/10/1.54) 103 (846/5’634/10/NA) 115 (2’178/5’303/18/NA) 118 (10’574/16’162/53/NA) 118 (591/1’620/15/NA) 160 (555/3’327/14/0.91) 155 (2’031/6’486/11/1.99) 119 (9761/22’400/24/NA) 110 (565/1’367/42/NA) 154 (463/2’448/21/2.02) 135 (1’419/4’982/20/NA) 151 (4’218/9’147/18/1.53) 161 (387/1’424/23/2.85) 128 (232/1’932/11/NA) 160 (1057/4’041/10/1.24) 153 (3’880/14’327/29/1.1) 128 (160/1’575/26/NA) 127 (135/3’195/22/NA) 128 (916/3’746/29/NA) 135 (3’561/10’579/82/NA) 153 (131/765/15/1.2) 118 (131/2’930/23/NA) 154 (705/1’321/68/2.93) 142 (3’438/11’114/51/NA) 159 (58/1’607/13/0.33) 110 (96/2’605/23/NA) 151 (326/1’311/14/1.58) 124 (2’386/15’619/17/NA) 153 (84/2’462/11/0.55) 139 (315/2’840/25/NA) 103 (2’372/7’743/20/NA) 100 (254/1’284/12/NA) 114 (2’265/8’095/49/NA) 153 (213/1’569/41/1.22) 120 (2252/6’374/29/NA) 152 (2063/4’917/11/1.75) 159 (1’768/4’882/11/1.49) 108 (1’575/3’294/13/NA) 160 (1’032/3’669/28/1.26) 128 (879/3’488/46/NA)

2

Tabelle 5.5.9: 10 DRGs mit den gr¨ ossten Pflegekosten-Inhomogenit¨aten zwischen den Spit¨alern. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 250


1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25

DRG Hpk n pk

I12C 0.6 130 1128 Spitalbezeichung (mittl. 158 (4336/13060/11/NA) 154 (1603/3935/19/2.02) 153 (1219/5395/18/1.14) 155 (1146/3356/14/1.42) 159 (818/3620/24/1.09) 122 (740/3685/16/NA) 128 (702/4282/28/NA)

6

8

9

M03Z K60A F43B 0.65 0.6 0.45 210 76 54 2142 4304 1254 Pflegekosten/mittl. Gesamtkosten/Anz. F¨ alle im Spital/mittl. Kosten pro 118 (9065/20171/13/NA) 118 (14449/18488/12/NA) 155 (3269/10383/15/1.91) 110 (3748/10726/34/NA) 115 (6388/11755/11/NA) 118 (2240/12453/12/NA) 142 (3007/10421/15/NA) 135 (4383/12669/16/NA) 154 (649/3278/12/1.75) 115 (2549/11309/38/NA) 142 (3262/10882/18/NA) 103 (531/2153/15/NA) 154 (2436/5708/13/2.43) 114 (2160/5991/19/NA) 135 (1865/6313/34/NA) 153 (1792/6343/10/1.22) 114 (1507/6578/22/NA) 116 (1499/6643/15/NA) 155 (1207/3813/16/2.09)

7

Z64Z 0.51 2834 904

10

LEP Minute) 116 (3571/6198/40/NA) 103 (2629/6776/28/NA) 122 (2273/4244/14/NA) 156 (2206/7118/16/NA) 124 (2143/4518/12/NA) 115 (1675/4768/69/NA) 135 (1421/5134/260/NA) 118 (1389/5224/311/NA) 160 (1226/3839/29/1.19) 151 (999/3786/17/1.54) 154 (876/2352/92/2.47) 161 (839/2975/26/2.75) 155 (818/3384/63/1.82) 110 (722/2994/1270/NA) 159 (563/2107/41/1.51) 114 (539/2651/35/NA) 157 (538/4044/11/1.07) 128 (520/3122/133/NA) 142 (504/2478/242/NA) 100 (394/1899/19/NA) 112 (394/2120/11/NA) 139 (381/4016/54/NA) 153 (330/1282/10/1.22) 127 (310/1643/15/NA) 107 (288/1616/16/NA)

ossten Pflegekosten-Inhomogenit¨aten zwischen den Spit¨alern. Die Tabelle ist farbig. Tabelle 5.5.10: 10 DRGs mit den gr¨

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 251


1 2 3 4 5 6

DRG Hpk n pk

2

3

4

5

L13B I03Z M06Z J61B J08B 0.81 0.65 0.73 0.69 0.55 59 73 150 106 137 4025 5368 1909 5445 7554 Spitalbezeichung (mittl. Pflegekosten/mittl. Gesamtkosten/Anz. F¨ alle im Spital/mittl. Kosten pro LEP Minute) 135 (4’464/21’631/18/NA) 157 (6138/28’114/12/1.62) 154 (2077/5072/86/2.26) 118 (6’266/11’710/16/NA) 154 (8’951/21’973/18/2.11) 155 (4’052/14’808/11/1.93) 111 (5’596/20’900/22/NA) 135 (1’799/8’175/40/NA) 155 (6’072/9’695/34/1.91) 110 (8’325/23’717/20/NA) 110 (3’853/17’224/18/NA) 112 (5’259/23’158/19/NA) 118 (1’725/5’225/12/NA) 110 (5’558/14’194/12/NA) 118 (8’323/19’389/34/NA) 116 (3’821/15’275/12/NA) 135 (4’971/21’849/20/NA) 159 (1’677/5’692/12/1.5) 135 (5’116/14’889/24/NA) 135 (8’176/25’388/23/NA) 116 (4741/10’595/20/NA) 155 (6’618/14’601/32/1.85) 128 (6’493/16’779/10/NA)

1

Tabelle 5.5.11: 10 DRGs mit den gr¨ ossten Pflegekosten-Homogenit¨aten zwischen den Spit¨alern. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 252


1 2 3 4 5 6

DRG Hpk n pk

7

N62B M05Z 0.57 0.72 107 115 753 753 Spitalbezeichung (mittl. Pflegekosten/mittl. 103 (918/3504/14/NA) 128 (950/3490/17/NA) 122 (850/3578/11/NA) 110 (879/4576/22/NA) 110 (774/3014/32/NA) 124 (777/2905/21/NA) 155 (768/1913/18/2) 122 (732/2621/16/NA) 118 (679/2143/19/NA) 116 (685/2864/17/NA) 128 (638/2330/13/NA) 107 (677/2531/22/NA)

6

9

10

G60A C61Z Z03Z 0.55 0.67 0.78 51 117 106 5124 1913 3427 Gesamtkosten/Anz. F¨ alle im Spital/mittl. Kosten pro LEP Minute) 153 (6159/13158/13/1.22) 118 (2362/7651/22/NA) 110 (4194/17580/11/NA) 158 (5365/15239/12/NA) 135 (1969/8682/32/NA) 154 (3905/11551/30/2.26) 108 (4959/9568/12/NA) 154 (1959/4742/30/3.29) 135 (3134/18172/10/NA) 119 (4338/10188/14/NA) 110 (1771/9588/19/NA) 155 (3081/16837/43/2.1) 155 (1552/3404/14/2.36) 118 (2896/12912/12/NA)

8

Tabelle 5.5.12: 10 DRGs mit den gr¨ ossten Pflegekosten-Homogenit¨aten zwischen den Spit¨alern. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 253


1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33

DRG Hpk n pk

T60F 0.41 114 592 Spitalbezeichung (mittl. 119 (1’335/7’033/11/NA) 160 (1’140/6’643/15/0.8) 154 (1’023/5’532/13/1.62) 118 (500/4’902/25/NA) 110 (317/4’890/34/NA) 128 (314/3’664/16/NA)

1

3

4

5

U60Z F70B X62Z F43B 0.41 0.42 0.44 0.45 841 72 2161 54 158 540 515 1254 Pflegekosten/mittl. Gesamtkosten/Anz. F¨ alle im Spital/mittl. Kosten pro LEP Minute) 103 (1’994/3’673/19/NA) 155 (1’978/4’213/10/1.71) 135 (2’404/11’480/34/NA) 155 (3’269/10’383/15/1.91) 116 (1’755/3’313/15/NA) 161 (921/2’962/11/NA) 144 (1’735/7’041/16/NA) 118 (2’240/12’453/12/NA) 122 (1’619/3’184/13/NA) 127 (646/2’787/10/NA) 110 (1’728/8’125/121/NA) 154 (649/3’278/12/1.75) 135 (1’309/3’905/10/NA) 110 (601/5’866/15/NA) 115 (1’531/3’602/30/NA) 103 (531/2’153/15/NA) 144 (598/4’076/15/NA) 118 (239/616/26/NA) 155 (1’268/3’257/46/1.7) 156 (524/1’442/23/NA) 103 (929/3’853/67/NA) 154 (264/1’517/22/1.98) 157 (925/2’414/124/1.75) 142 (243/1’589/17/NA) 120 (829/3’455/15/NA) 118 (219/1’725/110/NA) 122 (818/3’519/33/NA) 161 (218/1’280/31/3.1) 150 (810/3’544/18/0.58) 114 (214/1’181/13/NA) 124 (804/3’930/43/NA) 100 (205/1’496/16/NA) 154 (724/2’339/44/2.01) 152 (200/1’179/23/1.42) 116 (708/4’207/54/NA) 125 (195/1’786/10/NA) 118 (704/3379/283/NA) 160 (186/2’488/62/0.92) 114 (640/2’396/24/NA) 151 (180/1’168/14/0.81) 151 (520/3’446/35/0.51) 120 (180/1’326/19/NA) 106 (507/3’010/26/NA) 150 (170/2’118/15/0.95) 108 (496/3’365/59/NA) 158 (166/1’814/17/NA) 161 (477/2’250/121/2.46) 157 (136/1’288/39/0.45) 156 (475/1’905/72/NA) 108 (121/810/22/NA) 127 (473/2’787/30/NA) 128 (69/1’527/180/NA) 160 (440/3’449/114/0.57) 153 (57/1’238/14/NA) 119 (419/3’398/63/NA) 110 (55/1’124/35/NA) 152 (397/3’174/45/0.65) 107 (50/1’424/28/NA) 142 (348/1’881/48/NA) 119 (43/2’240/14/NA) 125 (323/2’563/49/NA) 127 (37/856/28/NA) 100 (287/2’907/54/NA) 101 (29/2’249/17/NA) 158 (278/4’758/62/NA) 128 (253/3’251/217/NA) 159 (231/3’404/35/0.74) 101 (195/3’977/32/NA) 153 (122/1’994/98/0.45) 107 (117/3’245/49/NA)

2

Tabelle 5.5.13: 10 inhomgenste DRGs bez¨ uglich Pflegekosten. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 254


1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 26 27

DRG Hpk n pk

B70H 0.46 151 320 Spitalbezeichung (mittl. 155 (1168/3825/16/1.88) 103 (846/5634/10/NA) 160 (555/3327/14/0.91) 154 (463/2448/21/2.02) 128 (232/1932/11/NA) 127 (135/3195/22/NA) 118 (131/2930/23/NA) 110 (96/2605/23/NA) 153 (84/2462/11/0.55)

6

8

V60C P65B 0.47 0.49 944 73 558 8316 Pflegekosten/mittl. Gesamtkosten/Anz. F¨ alle im 158 (1661/6052/25/NA) 135 (13381/31022/16/NA) 103 (1350/3622/58/NA) 118 (11980/72490/15/NA) 144 (1292/6534/11/NA) 155 (10373/14663/15/1.57) 115 (1172/2650/18/NA) 110 (2778/37704/27/NA) 122 (1165/3428/25/NA) 116 (976/3309/24/NA) 108 (972/2690/24/NA) 160 (956/4083/60/0.97) 156 (922/2045/16/NA) 124 (902/3547/11/NA) 119 (779/3929/15/NA) 161 (579/1981/84/2.5) 152 (509/2904/24/1) 127 (506/2615/13/NA) 157 (424/2000/48/1.03) 106 (412/1951/11/NA) 100 (389/2307/24/NA) 154 (315/1417/18/2.02) 153 (315/1543/21/1.11) 128 (314/2290/129/NA) 150 (314/2610/19/1.11) 159 (311/2688/54/0.66) 110 (305/3565/40/NA) 120 (294/2015/10/NA) 118 (280/2747/121/NA) 125 (219/1921/14/NA) 142 (216/1689/15/NA) 101 (129/2434/12/NA)

7

9

10

X64Z F35A 0.49 0.49 232 94 709 2820 Spital/mittl. Kosten pro LEP Minute) 115 (1858/5202/11/NA) 160 (4625/26680/11/0.68) 154 (1824/5079/10/2.04) 154 (4149/19384/12/1.84) 103 (1241/5837/14/NA) 115 (3200/16675/16/NA) 122 (1118/3445/14/NA) 110 (3115/21264/17/NA) 110 (1117/7357/28/NA) 155 (2926/13640/20/1.91) 160 (864/3624/12/0.87) 119 (2006/16004/18/NA) 155 (853/3293/12/1.98) 161 (716/1975/13/2.58) 128 (583/3356/26/NA) 142 (566/2822/18/NA) 118 (439/6500/17/NA) 159 (361/1875/21/1.01) 153 (337/2524/23/1.04) 114 (196/1252/13/NA)

Tabelle 5.5.14: 10 inhomgenste DRGs bez¨ uglich Pflegekosten. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 255


1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28

DRG Hpk n pk

2

3

4

5

L13B Z03Z M02Z C10B M01B 0.81 0.78 0.76 0.76 0.75 59 106 1445 148 491 4025 3427 1704 1020 3620 Spitalbezeichung (mittl. Pflegekosten/mittl. Gesamtkosten/Anz. F¨ alle im Spital/mittl. Kosten pro LEP Minute) 154 (3’224/7’638/15/2.26) 154 (1’513/5’548/14/3.8) 118 (4’875/17’045/70/NA) 135 (4’464/21’631/18/NA) 110 (4’194/17’580/11/NA) 155 (4’052/14’808/11/1.93) 154 (3’905/11’551/30/2.26) 155 (2’278/5’670/26/2.03) 155 (1’265/3’296/45/5.14) 128 (4’254/20’099/52/NA) 110 (3’853/17’224/18/NA) 135 (3’134/18’172/10/NA) 108 (2’261/5’593/27/NA) 123 (841/2’712/27/NA) 154 (4’141/16’349/31/2.26) 116 (3’821/15’275/12/NA) 155 (3’081/16’837/43/2.1) 127 (2’259/8’569/36/NA) 115 (820/4’039/36/NA) 135 (3’726/18’429/28/NA) 118 (2’896/12’912/12/NA) 118 (2’179/6’685/77/NA) 110 (793/6’942/26/NA) 155 (3’542/15’097/44/1.93) 160 (2’073/8’126/87/1.36) 152 (3’472/13’569/11/1.29) 100 (2’029/5’461/19/NA) 100 (3’396/18’950/15/NA) 128 (1’932/6’777/159/NA) 110 (3’357/16’653/70/NA) 110 (1’931/7’731/127/NA) 160 (3’307/15’849/24/1.26) 161 (1’838/6’780/32/1.88) 150 (3’189/15’470/14/1.55) 135 (1’806/8’036/33/NA) 116 (3’093/15’140/15/NA) 103 (1’754/7’832/10/NA) 153 (2’997/13’852/17/1.23) 156 (1’720/4’679/21/NA) 107 (2’996/17’335/26/NA) 106 (1’701/5’285/11/NA) 157 (2’784/16’258/38/1.61) 116 (1’684/7’214/37/NA) 127 (2’695/25’624/22/NA) 107 (1’648/4’843/56/NA) 125 (2’683/11’157/14/NA) 152 (1’609/5’157/79/1.61) 158 (1’594/5’802/29/NA) 124 (1’568/6’549/52/NA) 151 (1’564/5’358/19/1.44) 150 (1’505/6’570/38/1.55) 159 (1’473/4’808/100/1.51) 153 (1’440/6’017/102/1.23) 119 (1’386/5’991/67/NA) 157 (1’326/6’031/91/2.21) 125 (1’313/3’624/47/NA) 122 (1’251/5’996/21/NA) 139 (860/7’391/27/NA)

1

Tabelle 5.5.15: 10 homogenste DRGs bez¨ uglich Pflegekosten. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 256


1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29

DRG Hpk n pk

7

8

C17Z N14Z L08Z 0.75 0.74 0.74 32 207 59 1650 2293 1990 Spitalbezeichung (mittl. Pflegekosten/mittl. Gesamtkosten/Anz. F¨ alle im 154 (2957/6696/10/3.69) 154 (3619/10749/19/2.41) 154 (2550/7566/10/2.26) 135 (1986/6461/116/NA) 158 (3146/10029/26/NA) 110 (2059/9804/21/NA) 123 (1454/4022/18/NA) 118 (2697/9298/13/NA) 135 (1903/7156/13/NA) 155 (1191/5821/88/3.06) 106 (2518/7640/13/NA) 155 (1711/6140/15/2.04) 160 (2338/12541/18/1.71) 153 (2250/9217/24/1.39) 156 (2216/7645/21/NA) 127 (2121/10436/17/NA) 116 (1882/10520/11/NA) 128 (1736/8871/17/NA) 100 (1646/8860/15/NA) 161 (929/5894/13/1.94)

6

9

10

M06Z O01E 0.73 0.73 150 4613 1909 2367 Spital/mittl. Kosten pro LEP Minute) 154 (2077/5072/86/2.26) 154 (3924/7773/203/2.29) 135 (1799/8175/40/NA) 106 (3283/8209/215/NA) 118 (1725/5225/12/NA) 135 (3018/12166/176/NA) 159 (1677/5692/12/1.5) 110 (3010/5172/484/NA) 116 (2874/9094/77/NA) 158 (2780/8278/157/NA) 152 (2736/5690/120/1.51) 107 (2596/9469/89/NA) 153 (2596/6166/254/1.21) 118 (2589/7597/326/NA) 124 (2522/8831/34/NA) 140 (2474/8038/49/NA) 127 (2388/11090/91/NA) 160 (2266/9742/185/1.24) 155 (2261/5104/344/2.09) 122 (2205/10103/46/NA) 151 (2159/7352/76/1.37) 119 (2131/6953/204/NA) 150 (2119/7445/69/1.41) 125 (1960/9345/140/NA) 120 (1925/7128/33/NA) 103 (1921/9363/84/NA) 156 (1917/5300/336/NA) 159 (1876/8323/107/1.15) 100 (1873/7714/135/NA) 157 (1702/7464/113/1.31) 161 (1357/6291/189/2.05) 144 (823/4465/60/NA) 128 (704/7366/217/NA)

Tabelle 5.5.16: 10 homogenste DRGs bez¨ uglich Pflegekosten. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 257


1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35

DRG Hpk n pk

2

3

4

5

P67D O60D O01E B80Z G67C 0.59 0.7 0.73 0.6 0.57 16’299 14’469 4613 4170 4073 961 1459 2367 481 916 Spitalbezeichung (mittl. Pflegekosten/mittl. Gesamtkosten/Anz. F¨ alle im Spital/mittl. Kosten pro LEP Minute) 115 (2’039/3’578/58/NA) 154 (2’863/5’330/836/2.27) 154 (3’924/7’773/203/2.29) 144 (1’229/6’890/58/NA) 115 (1’918/4’484/108/NA) 154 (1’752/2’205/1’325/2.35) 110 (2’075/3’789/1’652/NA) 106 (3’283/8’209/215/NA) 156 (1’056/1’915/41/NA) 156 (1’664/2’841/53/NA) 118 (1’594/3’332/1’670/NA) 106 (1’775/4’248/403/NA) 135 (3’018/12’166/176/NA) 135 (972/12’725/34/NA) 107 (1’431/3’809/67/NA) 122 (1’460/2’565/245/NA) 158 (1’743/6’287/666/NA) 110 (3’010/5’172/484/NA) 108 (876/2’380/78/NA) 124 (1’403/4’030/54/NA) 110 (1’415/2’250/935/NA) 116 (1’730/4’885/273/NA) 116 (2’874/9’094/77/NA) 124 (820/2’831/51/NA) 103 (1’300/4’111/123/NA) 155 (1’348/2’517/66/1.92) 152 (1’652/3’374/525/1.17) 158 (2’780/8’278/157/NA) 161 (738/2’019/125/2.53) 110 (1’293/5’472/201/NA) 101 (1’325/2’435/204/NA) 124 (1’564/5’029/149/NA) 152 (2’736/5’690/120/1.51) 122 (703/2’105/130/NA) 161 (1’242/3’446/142/2.58) 124 (1’324/2’186/304/NA) 118 (1’547/4’243/1’025/NA) 107 (2’596/9’469/89/NA) 155 (702/1’574/227/1.65) 119 (1’224/4’041/86/NA) 150 (1’289/2’236/278/1.61) 107 (1’506/4’410/364/NA) 153 (2’596/6’166/254/1.21) 116 (687/2’809/67/NA) 118 (1’219/3’749/219/NA) 140 (1’282/1’898/230/NA) 153 (1’476/3’338/798/1.22) 118 (2’589/7’597/326/NA) 106 (656/2’324/38/NA) 135 (1’199/6’326/124/NA) 156 (1’269/1’707/696/NA) 127 (1’433/5’712/261/NA) 124 (2’522/8’831/34/NA) 115 (647/1’842/233/NA) 155 (1’162/2’967/61/1.64) 127 (1’191/1’625/416/NA) 156 (1’406/4’544/745/NA) 140 (2’474/8’038/49/NA) 103 (646/2’772/67/NA) 116 (1’126/3’903/78/NA) 160 (1’124/2’004/778/1.36) 157 (1’404/5’338/511/1.31) 127 (2’388/11’090/91/NA) 160 (638/2’885/122/0.7) 144 (1’125/5’078/34/NA) 135 (1’069/4’122/770/NA) 140 (1’382/5’282/148/NA) 160 (2’266/9’742/185/1.24) 119 (637/2’307/144/NA) 122 (1’122/3’156/90/NA) 157 (1’059/2’838/688/0) 101 (1’377/6’638/162/NA) 155 (2’261/5’104/344/2.09) 118 (625/1’752/81/NA) 158 (1’107/3’718/124/NA) 161 (985/2’570/727/3.34) 122 (1’347/5’409/156/NA) 122 (2’205/10’103/46/NA) 158 (595/3’305/138/NA) 152 (1’094/2’882/82/1.65) 103 (931/1’936/491/NA) 135 (1’322/5’314/441/NA) 151 (2’159/7’352/76/1.37) 100 (553/1’826/78/NA) 106 (1’081/3’442/73/NA) 158 (921/1’399/25/NA) 151 (1’309/3’128/203/1.07) 119 (2’131/6’953/204/NA) 151 (550/1’674/88/1.26) 108 (1’052/2’763/113/NA) 120 (838/919/276/NA) 150 (1’283/5’621/197/1.11) 150 (2’119/7’445/69/1.41) 125 (529/1’483/144/NA) 160 (1’012/3’366/249/1.2) 114 (819/2’071/23/NA) 155 (1’259/3’016/836/2.08) 125 (1’960/9’345/140/NA) 120 (525/1’440/24/NA) 100 (986/3’427/55/NA) 152 (815/935/648/1.16) 160 (1’221/5’596/594/0.91) 120 (1’925/7’128/33/NA) 140 (524/1’333/54/NA) 127 (963/3’118/111/NA) 159 (782/1’832/475/1.46) 125 (1’217/4’806/335/NA) 103 (1’921/9’363/84/NA) 128 (502/2’198/129/NA) 154 (872/2’062/112/2.09) 151 (763/1’738/293/1.57) 103 (1’186/4’994/249/NA) 156 (1’917/5’300/336/NA) 152 (485/1’854/59/1.31) 128 (753/2’872/219/NA) 107 (644/918/71/NA) 100 (1’118/4’801/377/NA) 159 (1’876/8’323/107/1.15) 107 (476/1’443/100/NA) 101 (732/3’381/40/NA) 125 (639/672/221/NA) 119 (1’112/4’350/793/NA) 100 (1’873/7’714/135/NA) 110 (459/2’148/95/NA) 125 (714/1’971/89/NA) 119 (632/743/668/NA) 120 (1’105/4’851/173/NA) 157 (1’702/7’464/113/1.31) 101 (453/1’955/52/NA) 142 (679/2’459/171/NA) 116 (509/1’090/413/NA) 159 (984/5’247/255/1.01) 161 (1’357/6’291/189/2.05) 142 (360/1’177/433/NA) 151 (630/2’004/82/1.3) 142 (449/3’117/60/NA) 161 (975/3’975/444/2.56) 144 (823/4’465/60/NA) 127 (358/2’250/131/NA) 159 (600/2’109/285/1.24) 128 (280/1’663/1’288/NA) 144 (770/4’833/144/NA) 128 (704/7’366/217/NA) 150 (352/1’275/91/1.39) 153 (597/2’372/323/1.17) 106 (31/378/784/NA) 128 (519/4’589/754/NA) 159 (351/1’251/280/1.09) 114 (594/2’008/180/NA) 153 (7/934/1’173/1.24) 154 (344/1’496/86/2.02) 139 (562/4’837/54/NA) 157 (274/2’224/36/0.47) 157 (541/3’405/105/0.83) 114 (263/917/206/NA) 140 (516/1’781/28/NA) 153 (173/1’421/450/1.1) 150 (507/2’209/112/1.47) 120 (459/1’473/26/NA)

1

Tabelle 5.5.17: 10 DRGs mit den meisten F¨allen. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 258


1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37

DRG Hpk n pk

7

8

9

10

I13B I30Z I47Z E77C G24Z 0.59 0.63 0.7 0.61 0.68 3943 3692 3392 3161 3105 2024 981 3757 2187 1004 alle im Spital/mittl. Kosten pro LEP Minute) Spitalbezeichung (mittl. Pflegekosten/mittl. Gesamtkosten/Anz. F¨ 108 (4636/12437/84/NA) 115 (3558/9560/10/NA) 118 (8231/22324/21/NA) 115 (4028/7122/78/NA) 135 (1374/7698/49/NA) 118 (3989/12058/115/NA) 113 (1958/6154/125/NA) 119 (5753/19264/95/NA) 154 (3263/6678/123/2.15) 154 (1335/4918/88/1.96) 154 (3651/9234/132/1.93) 154 (1737/5370/72/2.6) 110 (5712/17461/163/NA) 127 (3027/7000/59/NA) 110 (1331/6833/318/NA) 110 (3610/12866/266/NA) 161 (1730/7974/112/2.07) 151 (5117/15937/60/1.6) 125 (2774/4966/57/NA) 156 (1306/4451/103/NA) 155 (3373/9363/87/1.48) 118 (1590/7499/14/NA) 108 (5021/14176/40/NA) 158 (2770/7855/78/NA) 108 (1287/5042/128/NA) 106 (3047/9379/46/NA) 155 (1456/4942/66/1.52) 113 (4781/15797/195/NA) 118 (2734/6306/160/NA) 161 (1220/5277/150/2.44) 158 (2845/10391/138/NA) 142 (1443/8815/42/NA) 154 (4761/13155/60/1.99) 160 (2715/7323/187/1.26) 127 (1171/6110/46/NA) 113 (2711/8036/25/NA) 127 (1437/8013/73/NA) 140 (4671/16712/79/NA) 110 (2713/9513/227/NA) 151 (1110/5410/67/1.5) 160 (2595/9685/163/1.27) 156 (1339/5584/41/NA) 160 (4455/15599/212/1.42) 103 (2558/7148/154/NA) 158 (1102/5609/109/NA) 119 (2586/11120/145/NA) 110 (1312/7769/171/NA) 135 (4412/19445/80/NA) 124 (2539/6632/67/NA) 118 (1097/6244/130/NA) 151 (2352/7862/71/1.49) 135 (1312/5482/148/NA) 158 (4410/18563/206/NA) 100 (2519/6309/50/NA) 155 (1097/5028/94/1.81) 150 (2228/8326/62/1.53) 140 (1285/5688/129/NA) 125 (4338/14691/59/NA) 152 (2491/5367/46/1.54) 100 (1079/4716/91/NA) 125 (2210/6499/117/NA) 101 (1208/7760/17/NA) 111 (4002/16730/279/NA) 122 (2325/6162/109/NA) 157 (1032/5435/76/1.95) 135 (2183/8671/126/NA) 158 (1196/7002/95/NA) 150 (3865/17105/71/1.53) 151 (2316/4526/34/1.46) 160 (996/6130/241/1.5) 157 (2139/8920/79/1.55) 108 (1105/3459/92/NA) 106 (3784/13814/44/NA) 156 (2262/3815/98/NA) 103 (980/6473/43/NA) 152 (2080/7172/89/1.56) 111 (1096/5472/136/NA) 127 (3765/14489/124/NA) 116 (2210/6650/75/NA) 159 (936/3964/74/1.19) 156 (2048/6081/61/NA) 128 (1068/6061/76/NA) 161 (3764/15836/186/2.13) 120 (2189/4915/21/NA) 119 (936/5668/118/NA) 161 (2044/7799/99/2.16) 159 (1025/4460/177/1.28) 156 (3718/11943/71/NA) 135 (2110/7820/157/NA) 128 (913/4878/137/NA) 124 (2031/8944/60/NA) 100 (1024/4326/29/NA) 101 (3514/15279/58/NA) 108 (2076/4474/76/NA) 152 (891/4211/112/1.6) 103 (1907/10834/77/NA) 112 (980/6672/142/NA) 107 (3423/10514/77/NA) 106 (2054/5082/34/NA) 124 (871/5029/41/NA) 116 (1792/8254/69/NA) 125 (904/3462/50/NA) 152 (3297/12590/58/1.55) 155 (1978/4339/28/1.6) 116 (816/5263/65/NA) 127 (1765/7901/205/NA) 106 (864/4323/59/NA) 100 (3049/13194/93/NA) 101 (1951/5754/32/NA) 101 (799/5180/41/NA) 100 (1741/6942/85/NA) 160 (863/5002/317/1.44) 128 (3033/14915/82/NA) 107 (1926/4673/48/NA) 107 (799/4189/89/NA) 128 (1706/6708/145/NA) 152 (841/4234/187/1.5) 124 (2958/14200/39/NA) 119 (1791/5016/85/NA) 140 (773/3652/20/NA) 101 (1677/7916/58/NA) 144 (821/4872/51/NA) 157 (2954/15065/136/1.64) 157 (1755/6546/94/1.15) 125 (772/3995/107/NA) 122 (1667/7461/109/NA) 157 (816/5351/64/1.6) 159 (2942/13560/158/1.35) 161 (1737/5073/169/2.36) 122 (743/3970/56/NA) 111 (1619/6794/32/NA) 151 (715/3775/121/1.46) 103 (2936/16402/39/NA) 159 (1737/4124/136/1.46) 106 (732/4352/63/NA) 107 (1614/5978/93/NA) 103 (696/5620/44/NA) 153 (2872/15334/196/1.2) 153 (1712/4602/213/1.18) 120 (729/4204/41/NA) 153 (1527/7690/186/1.1) 107 (690/4108/107/NA) 116 (2863/14370/36/NA) 150 (1644/5352/36/1.5) 153 (706/5043/190/1.26) 115 (1507/6040/78/NA) 124 (670/3517/94/NA) 120 (2852/9609/53/NA) 128 (1594/4647/195/NA) 139 (640/6270/134/NA) 120 (1451/5568/56/NA) 119 (658/4329/179/NA) 122 (2432/12947/51/NA) 142 (1524/4765/117/NA) 144 (614/3855/25/NA) 140 (1272/5536/160/NA) 116 (637/3595/24/NA) 112 (1883/13761/207/NA) 139 (1290/9107/25/NA) 150 (572/4748/59/1.53) 159 (1065/5157/353/1.14) 122 (618/3602/155/NA) 139 (1280/15807/28/NA) 114 (1151/3258/80/NA) 139 (1064/10224/15/NA) 150 (577/3806/142/1.54) 144 (674/4621/36/NA) 144 (1008/5436/13/NA) 112 (926/5871/76/NA) 120 (548/2736/122/NA) 144 (833/5074/57/NA) 153 (530/3421/122/1.15) 142 (786/5496/71/NA) 139 (492/4432/87/NA) 114 (511/3397/53/NA)

6

Tabelle 5.5.18: 10 DRGs mit den meisten F¨allen. Die Tabelle ist farbig. infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 259


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 260

Analyse der Pflegekosten

55

Die Tabellen stellen einen deskriptiven Datenvergleich dar und k¨onnen nicht zweifelsfrei erkl¨art werden. Die Unterschiede zwischen den Spit¨alern d¨ urfen nicht u ¨berinterpretiert, sondern sollten immer unter Einbezug der Folgerungen aus Kapitel 5.1 (Datenqualit¨at) diskutiert werden. Exemplarisch werden an dieser Stelle ein paar Hinweise angef¨ ugt. Betrachten wir in Tabelle 5.5.13 DRG X62Z (Vergiftungen/Toxische Wirkungen von Drogen, Medikamenten und anderen Substanzen). Spital 155 hat mit 1268 Franken die f¨ unfth¨ochsten mittleren Pflegekosten, Spital 159 hingegen nur 231 Franken mittlere Pflegekosten. Arbeitet das Spital 159 also viel g¨ unstiger? Wenn man die Spit¨aler in Abbildung 5.1.2 vergleicht, sieht man, dass Spital 159 bei etlichen F¨allen trotz durchschnittlich hohen LEP-Minuten keine Pflegekosten verrechnet hat. W¨ urden diese F¨alle in der Berechnung weggelassen, w¨are der Unterschied zwischen den beiden Spit¨alern kaum mehr so gross. (Bemerkung: da hier so viele F¨alle unrealistische Pflegekosten haben, greift nicht mal mehr der robuste Sch¨atzer). Auch ein Blick auf die Gesamtkosten zeigt, dass Spital 159 keineswegs g¨ unstiger ist, im Gegenteil, die mittleren Gesamtkosten von Spital 159 liegen mit 3404 Franken sogar leicht u ¨ber denjenigen von Spital 155 mit 3257 Franken. Auffallend sind auch die grossen Unterschiede zwischen Spit¨alern bei den sehr homogenen DRGs (Tabelle 5.5.15). Beispielsweise variieren die mittleren Spital-Pflegekosten der DRG M02Z (Transurethrale Prostataresektion) zwischen 860 (Spital 139) und 3224 Franken (Spital 154). Betrachten wir jedoch wieder die mittleren Gesamtkosten, unterscheiden sich Spital 139 mit 7’391 Franken und Spital 154 mit 7’638 Franken nur leicht. Betreffend den mittleren Gesamtkosten unterscheiden sich Spital 125 (3’624 Franken) und Spital 127 (8’569 Franken) am st¨arksten. Noch extremer sind die Unterschiede zwischen Spit¨alern bei den h¨aufigsten DRGs (Tabellen 5.5.17 und 5.5.18). Die mittleren Pflegekosten von DRG I47Z (Revision oder Ersatz des H¨ uftgelenkes ohne komplizierende Diagnose, ohne Arthrodese, mit komplexem Eingriff, ohne ¨ausserst schwere CC) unterscheiden sich beim Vergleich um u ¨ber das 10Fache (Spital 118: 8’231 Franken, Spital 144: 674 Franken). Hier ist auch der Unterschied betreffend den mittleren Gesamtkosten gross (Spital 118 mit 22’324 Franken; Spital 144 mit 4’621 Franken). Die DRGs U60Z (Psychiatrische Behandlung, ein Belegungstag) und B70H (Apoplexie, ein Belegungstag) fallen bez¨ uglich den Pflegekosten unter drei verschiedenen Aspekten auf: Sie haben sehr niedrige Mittelwerte, sind inhomogen verteilt und es gibt grosse Unterschiede zwischen den Spit¨alern. In den Tabellen tendieren Netzwerkspit¨aler vom Typ K111 (“Universit¨atsspit¨aler”) zu h¨oheren mittleren Pflegekosten als Netzwerkspit¨aler anderer Typologien. Einige der in den Tabellen aufgef¨ uhrten DRGs werden nur von Netzwerkspit¨alern vom Typ K111 behandelt werden, zum Beispiel Z03Z, Nierenspende (Lebendspende).


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 261

Analyse der Pflegekosten

56

5.6 Erkl¨ arung der Pflegekosten durch DRGs In diesem Abschnitt wird die Variabilit¨at in den Pflegekosten, die durch die Faktoren DRG und Spital erkl¨art wird, analysiert. Der jeweilige Anteil erkl¨arter Variabilit¨at wird durch R2 angegeben. Erkl¨ arte Variabilit¨ at durch die DRGs Pflegekosten pk

Ausgehend vom statistischen Modell f¨ ur die

pkik = (DRG)i + εk bei welchem lediglich nach DRG gruppiert wird, ergibt sich f¨ ur das R2 : Pn

i=1 ni

pk i − pk

R2 = P P ni n i=1

k=1

2

pkik − pk

2 = 0.13 (nur Inliers: 0.36)

pkik Pflegekosten von Fall k in DRG i pk (robust gerechnete) mittlere Pflegekosten aller untersuchten F¨alle pk i (robust gerechnete) mittlere Pflegekosten von DRG i ni Anzahl F¨alle von DRG i n Anzahl DRGs Die DRGs erkl¨aren also 13 % der Variabilit¨at in den Pflegekosten. Erkl¨ arte Variabilit¨ at durch die Spit¨ aler und DRGs Jetzt werden beide Faktoren DRG und Spital ber¨ ucksichtigt. Dazu m¨ ussen die Mittelwerte der DRGs pro Spital berechnet werden. Das zugrunde liegende Modell lautet: pkjk = (DRG:Spital)j + εk F¨ ur das interessierende R2 ergibt sich: Pn

R2 = P n

j=1 nj pk j − pk

j=1

Pnj k=1

2

pkjk − pk

2 = 0.21 (nur Inliers: 0.49)

pkjk Pflegekosten von Fall k in DRG-Spitalkombination j pk j (robust gerechnete) mittlere Pflegekosten von der Spital-DRG Kombination j (z.B. “Spital 160, DRG B61Z”) nj Anzahl F¨alle der Kombination j n Anzahl DRG-Spitalkombinationen Die Faktoren DRG und Spital erkl¨aren zusammen 21% der Variabilit¨at in den Pflegekosten.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 262

Analyse der Pflegekosten

57

Folgerungen • Nur nach DRG gruppiert kann nur ein sehr kleiner Teil der Variabilit¨at der Pflegekosten erkl¨art werden. • Die Ber¨ ucksichtigung der Spit¨alern ergibt eine Verbesserung. • Durch das Entfernen der Ausreisser vergr¨ossert sich das R-Quadrat markant (jeweils um mehr als Faktor 2).

5.7 Anteil der Pflegekosten an den Gesamtkosten

0

Anzahl 20 40

60

Eine weitere interessierende Gr¨osse f¨ ur die Untersuchung der Pflegekosten ist der Anteil der Pflegekosten an den Gesamtkosten, zumal dieser ingesamt 28.5% betr¨agt.

0 10 20 30 40 50 60 Anteil der Pflegekosten an den Gesamtkosten [%]

Abbildung 5.7.1: Histogramm der mittleren Pflegekosten/Gesamtkosten-Anteile der DRGs Diese mittleren Anteile der DRGs streuen, wie in Abbildung 5.7.1 ersichtlich wird, zwischen 8% und 56%. In der Tabelle 5.7.19 sind nun diejenigen DRGs aufgelistet, bei welchen der Anteil an Pflegekosten gegen¨ uber den Gesamtkosten besonders hoch resp. besonders tief ist. Tabelle 5.7.19: DRGs mit den h¨ ochsten und niedrigsten mittleren Pflegekosten/Gesamtkosten-Anteilen in %. pkall ist der Mittelwert f¨ ur alle Untersuchungseinheiten, pkinl ist der Mittelwert, bei welchem nur die Inliers (keine Kurz- oder Langlieger) ber¨ ucksichtigt werden. DRG

¯ pk all

¯ pk inl

H

n

1 2

C60Z O61Z

56% 52%

56% 52%

0.63 0.65

93 299

3

J60Z

50%

51%

0.59

147

Beschreibung

Part.

Akute und schwere Augeninfektionen M Station¨ are Aufnahme nach Entbindung oder M Abort ohne OR-Prozedur Hautulkus M Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 263

Analyse der Pflegekosten

58

Tabelle 5.7.19: Fortsetzung DRG

¯ pk all

¯ pk inl

H

n

4

P67C

49%

49%

0.58

1551

5

P67D

49%

48%

0.59

16299

6

J61B

48%

49%

0.69

106

7 8

E70Z O65B

47% 47%

47% 45%

0.59 0.58

854 91

9

P67B

47%

46%

0.55

979

10

P66D

47%

46%

0.58

380

... 392

... F43A

... 13%

... 16%

... 0.5

... 91

393 394 395

B70H T60F F52B

13% 12% 12%

14% 14% 13%

0.46 0.41 0.6

151 114 359

396 397

F58Z F52A

12% 12%

12% 13%

0.69 0.57

1618 92

398 399

U60Z F24B

10% 10%

13% 10%

0.41 0.59

841 538

400

A13E

8%

9%

0.56

89

401

F56Z

8%

8%

0.53

827

Beschreibung

Part.

Neugeborenes, Aufnahmegewicht > 2499 g ohne signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, mit anderem Problem, mehr als ein Belegungstag Neugeborenes, Aufnahmegewicht > 2499 g ohne signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, ohne anderes Problem oder ohne schweres Problem, ein Belegungstag Schwere Erkrankungen der Haut, mehr als ein Belegungstag, Alter > 17 Jahre, ohne a ¨ußerst schwere CC Keuchhusten und akute Bronchiolitis Andere vorgeburtliche station¨ are Aufnahme ohne intrauterine Therapie des Feten, mit a ¨ußerst schweren oder schweren CC Neugeborenes, Aufnahmegewicht > 2499 g ohne signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, mit schwerem Problem Neugeborenes, Aufnahmegewicht 2000 - 2499 g ohne signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, ohne Problem ... Beatmung > 24 Stunden bei Krankheiten und St¨ orungen des Kreislaufsystems mit a ¨ußerst schweren CC Apoplexie, ein Belegungstag Sepsis, verstorben < 8 Tage nach Aufnahme Perkutane Koronarangioplastie mit komplexer Diagnose, ohne a ¨ußerst schwere CC oder mit intrakoronarer Brachytherapie Andere perkutane Koronarangioplastie Perkutane Koronarangioplastie mit komplexer Diagnose, mit a ¨ußerst schweren CC Psychiatrische Behandlung, ein Belegungstag Implantation eines Herzschrittmachers, ZweiKammersystem oder perkutane Koronarangioplastie mit komplexer Diagnose und hochkomplexer Intervention oder mit perkutaner Angioplastie, ohne a ¨ußerst schwere CC Beatmung > 95 und < 250 Stunden ohne komplexe OR-Prozedur, ohne bestimmte ORProzedur, ohne komplizierende Prozeduren, Alter > 15 Jahre Perkutane Koronarangioplastie mit hochkomplexer Intervention

M

M

M

M M

M

M

... O

M M O

O O M O

O

O

Dabei f¨allt auf, dass DRGs mit hohen Anteilen besonders oft Partition M (medizinische) haben, diejenigen mit tiefen Anteilen Partition O (operative).


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 264

59 Pflegekosten/Gesamtkosten [%]

Analyse der Pflegekosten

● ● ● ●

50%

● ● ●

40% 30% 20%

● ● ● ●

10% A

M

● ●

O

Abbildung 5.7.2: Boxplots f¨ ur den Vergleich von Pflegekosten/Gesamtkosten Anteile f¨ ur verschiedene Parititionen. Wie in Abbildung 5.7.2, in der die Anteile in Form von Boxplots2 gegen die Partitionen aufgezeichnet sind, zu sehen ist, sind die Anteile der Partition M im Schnitt tats¨achlich gr¨osser als diejenigen der Partition O. Partition A (andere) ist nur schwach vertreten (21 DRGs von 401).

2

Ein Boxplot ist eine grafische Darstellung, welche die Quantile zur Darstelllung der Lage und der Streuung verwendet, siehe Stahel (2006, Stichwort Kisten-Diagramm)


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 265

6 Analyse des Pflegeaufwandes In diesem Kapitel wird den Fragestellungen 2. und 2.a) nachgegangen (siehe Seite 13). Daf¨ ur werden die LEP-Minuten als Mass f¨ ur den Pflegeaufwand untersucht. Das methodische Vorgehen ist analog dem des letzten Kapitels. Untersucht werden lediglich die totalen LEP-Minuten eines Falles. In einigen Textstellen werden die LEPMinuten mit lm abgek¨ urzt. Zur Analyse wird der in Abschnitt 2.6 beschriebene Datensatz dat.big.lep hinzugezogen, bei welchem 79’930 F¨alle aus 213 DRG respektive 10 Spit¨alern stammen.

6.1 Datenqualit¨ at Mittels eines Fragebogens wurden die zehn SwissDRG Netzwerkspit¨aler, welche zus¨atzlich LEP Falldaten lieferten, zu ihren Pflegeaufwanddaten 2006 befragt. Alle Fragebogen wurden vollst¨andig ausgef¨ ullt. Die Antworten geben Hinweise zur Qualit¨at und Vergleichbarkeit der Pflegeaufwanddaten. Allf¨allige Abweichungen der Pflegeaufwanddaten (siehe Tabellen 6.6.8 bis 6.6.13) k¨onnen auf diesem Hintergrund interpretiert werden. Drei der 10 Netzwerkspit¨aler (151, 152, 160) erfassen ihre Aufwanddaten der akut somatisch station¨aren F¨alle fl¨achendeckend. Meist wird im Aufwachsaal (7 Spit¨aler) und auf der Notfallstation (5 Spit¨aler) nicht erfasst. Hier sind pro Einzelfall Abweichungen von bis zu 2 LEP Stunden m¨oglich. Spital 161 erfasste 2006 auf 2 medizinischen Stationen keine LEP Daten, diese F¨alle wurden u ¨ber die Plausibilisierung entfernt (vgl. Tabelle 2.1.1). Ebenso fehlen f¨ ur Spital 161 die F¨alle mit IPS Aufenthalt. Die Fallzeiten liegen damit tendenziell tiefer als in den u ¨brigen neun Spit¨alern. Controlling und Datenplausibilisierung wird in jedem Spital durchgef¨ uhrt, neben internen werden auch externe Datenvergleiche und Audits durchgef¨ uhrt. Die Datenqualit¨at ist gem¨ass den Antworten der Spit¨aler gesamthaft betrachtet ¨ gut. Einzelne Problembereiche sind definiert. Bei Spital 160 k¨onnen Uberoder Untererfassungen erwartet werden. Spital 157 hatte im Jahre 2006 mit der systematischen Datenerfassung begonnen, es wurden jedoch keine speziellen Probleme gemeldet. Zwischen den untersuchten Netzwerkspit¨alern gibt es Unterschiede zwischen der Handhabung der LEP-Erfassung. In Tabelle 6.1.1 sind die Antworten aus der Befragung aufgelistet.

60


Aufwachsaal Notfallstation

Aufwachsaal Notfallstation Geb¨ arsaal

Aufwachsaal

Aufwachsaal

154

155

157

159

2.1

2.1.1

161

2.1.1

2.1

2.1.1

160

Intensivstation Aufwachsaal Notfallstation 2 medizinische Stationen

2.0

Aufwachsaal Notfallstation Geb¨ arsaal

153

2.1.1

2.1.1

152

2.1.1

2.1.1

Aufwachsaal Notfallstation

150

Vers. LEP

151

keine LEP Erfassung

Spital

2

1

2

1

2

2

1

2

2

2

Anz. F¨ alle Mutter/ Kind

¨ JA, intern. Zeitnahe Uberpr¨ ufungen der erfassten LEPDaten. LEP Beauftragte unterst¨ utzt die einzelnen Mitarbeiter bei der Erfassung. Regelm¨ assiger Austausch mit den Stations- und Pflegedienstleitungen u ¨ber die Erfassungsqualit¨ at. Die erfassten Daten wurden mit den Eintragungen im Kardex vergleichen und entsprechend korrigiert. Regelm¨ assige Schulungen. ¨ JA. Intern. Monatliche Uberpr¨ ufung der Datenqualit¨ at durch LEP Beauftragte. Analyse und Gegen¨ uberstellung der LEP Daten mit den Beauftragten.

JA, intern. Programmierte Datenscans mit Plausibilisierungsroutinen. Stichproben mit Datenvergleich Pflegedokumentation - LEP Daten. Monatliche Verlaufskontrolle JA. Audits, Zeitmessungen, Zuverl¨ assigkeit/Interrater. ¨ Benchmark intern und extern. Uberpr¨ ufung Erfassungsqualit¨ at, Datenvergleich Pflegedokumentation - LEP Daten. JA, externes Audit. Intern: LEP Beauftragte u ¨berpr¨ ufen Erfassung regelm¨ assig auf allen Stationen. Systematisches und strenges Controlling durch die Leiterin der jeweiligen Station. JA, externes Audit Juli 2006. Interne Audits.

JA. Externe Datenvergleiche, monatliche Stellungsnahmen der Stationen, Kontrolle der Stationsleitungen vor dem Export. JA, 2x j¨ ahrlich kantonaler Datenvergleich (Auswertung a2.2.). 1x j¨ ahrlich betriebsinternes Audit (bei 2 Pati¨ ¨ enten/pro Abteilung Uberpr¨ ufung der Ubereinstimmung von dokumentierten und erfassten Leistungen). Monat¨ liche Uberpr¨ ufung Plausibilit¨ at der Daten durch LEP ¨ Delegierte. Bei Bedarf auch abteilungsspezifische Uberpr¨ ufung oder Einzelschulungen. JA, intern. Audits auf allen Stationen.

JA. Durch Leiter F&C und LEP Beauftragte. Benchmark mit anderen Spit¨ alern

¨ Uberpr. Plaus. LEP

Tabelle 6.1.1: Angaben zur LEP-Erfassung der Spit¨aler

Gesamthaft betrachtet sehr gut. Unbefriedigend: 1 Station (Wochenbett/Gyn¨ akologie).

Externer Auditreport: Erfassungsqualit¨ at auf akut somatischen Stationen gut. ¨ Auf allen Stationen Uber-/und Untererfassungen bekannt

2006 Beginn mit systematischer LEP Erfassung; Externer Auditreport.

Gut.

Gut. 1 medizinische Station mit Unterer¨ fassung, 1 W¨ ochnerinnenstation mit Ubererfassung. Gut. 2 Stationen mit leichten Abweichungen aufgrund Personalfluktuation.

Gut. 1 Station (Wochenbett) mit leichter ¨ Ubererfassung; Bereich Dokumentation im kantonalen Vergleich eher hoch.

Befriedigend → zunehmende Verbesserung. Nicht vollst¨ andig bzw. unbefriedigend: 1 Station (Wochenbett) und Geb¨ arsaal. Gut. Keine Problembereiche.

Erfassungs-/ Datenqualit¨ at

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 266


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 267

Analyse des Pflegeaufwandes

62

6.2 Mittelwerte des Pflegeaufwandes

0

Anzahl DRGs 10 30

Die gesch¨atzten Mittelwerte der 213 zu untersuchenden DRGs liegen zwischen 228 Minuten (resp. 3.8 Std.) und 6485 Minuten (resp. 108.1 Std.). Die Verteilung dieser Mittelwerte ist in Abbildung 6.2.1 dargestellt.

0

1000

3000 5000 mittlere LEP−Minuten

Abbildung 6.2.1: Histogramm der mittleren LEP-Minuten der DRGs In Tabelle 6.2.2 sind die DRGs mit den h¨ochsten respektive niedrigsten LEP-Minuten aufgelistet. Tabelle 6.2.2: DRGs mit h¨ ochsten (1-10) und niedrigsten (205-213) mittleren LEP-Minuten Rang

DRG

lm

lminl

n

1

G02Z

6486

6010

107

2

T60C

4259

4468

124

3

E05A

4143

4083

171

4

F33Z

3874

3992

233

5

E05B

3380

3428

98

6

F60A

3315

3801

62

7

I05Z

3308

3271

291

8

J03B

3083

2940

64

Beschreibung

Part.

Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm mit komplexem Eingriff oder komplizierender Diagnose Sepsis ohne komplizierende Prozeduren, ausser bei Zustand nach Organtransplantation mit a ¨usserst schweren CC, Alter > 15 Jahre oder mit komplizierenden Prozeduren oder bei Zustand nach Organtransplantation, ohne a ¨usserst schwere CC, Alter > 15 Jahre Andere grosse Eingriffe am Thorax bei b¨ osartiger Neubildung Grosse rekonstruktive Gef¨ asseingriffe ohne Herz-LungenMaschine, mit Mehretagen- oder Aorteneingriff oder Reoperation Andere grosse Eingriffe am Thorax ausser bei b¨ osartiger Neubildung Akuter Myokardinfarkt ohne invasive kardiologische Diagnostik mit a ¨usserst schweren CC Anderer grosser Gelenkersatz oder Revision oder Ersatz des H¨ uftgelenkes ohne komplizierende Diagnose, ohne Arthrodese, ohne komplexen Eingriff, mit a ¨usserst schweren CC Eingriffe an der Haut der unteren Extremit¨ at bei Ulkus oder Infektion / Entz¨ undung ohne a ¨usserst schwere CC Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt

O M

O O

O M O

O


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 268

Analyse des Pflegeaufwandes

63

Tabelle 6.2.2: DRGs mit h¨ ochsten (1-10) und niedrigsten (205-213) mittleren LEP-Minuten Rang

DRG

lm

lminl

n

9

F62B

2931

3091

339

10 ... 204

G18Z ... N10Z

2872 ... 431

2918 ... 439

633 ... 64

205

G66B

406

427

531

206

L64B

394

405

479

207

N09Z

393

393

362

208

J65B

388

400

486

209 210

B80Z O40Z

354 340

317 363

1349 957

211 212

E63Z I68D

284 243

466 249

139 188

213

U60Z

228

257

168

Beschreibung

Part.

Herzinsuffizienz und Schock mit a ¨usserst schweren CC, ohne Dialyse, ohne Reanimation, ohne komplexe Diagnose Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm ... Diagnostische K¨ urettage, Hysteroskopie, Sterilisation, Pertubation Abdominalschmerz oder mesenteriale Lymphadenitis, Alter < 56 Jahre oder ohne CC Harnsteine und Harnwegsobstruktion, Alter < 76 Jahre und ohne a ¨usserst schwere oder schwere CC Andere Eingriffe an Vagina, Zervix und Vulva oder Brachytherapie bei Krankheiten und St¨ orungen der weiblichen Geschlechtsorgane ohne a ¨usserst schwere CC Verletzung der Haut, Unterhaut und Mamma, Alter < 71 Jahre, ohne schwere CC Andere Kopfverletzungen Abort mit Dilatation und K¨ urettage, Aspirationsk¨ urettage oder Hysterotomie Schlafapnoesyndrom Nicht operativ behandelte Erkrankungen und Verletzungen im Wirbels¨ aulenbereich, ein Belegungstag Psychiatrische Behandlung, ein Belegungstag

M

O O M M O

M M A M M M

0

Anzahl DRGs 20 40 60 80

6.3 Mittelwerte des Pflegeaufwandes pro Aufenthaltstag

0 100 200 300 400 500 mittlere LEP−Minuten pro Aufenthaltstag

Abbildung 6.3.1: Histogramm der mittleren LEP-Minuten pro Aufenthaltstag Der mittlere Pflegeaufwand der untersuchten 213 DRGs pro Tag liegt zwischen 129 Minuten (resp. 2.2 Std.) und 402 Minuten (resp. 6.7 Std.) LEP-Aufwand pro Tag. In


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 269

Analyse des Pflegeaufwandes

64

Tabelle 6.3.3 sind diejenigen DRGs aufgelistet, welche den gr¨ossten, resp. den kleinsten mittleren Pflegeaufwand pro Tag aufweisen. Tabelle 6.3.3: DRGs mit h¨ ochsten (1-10) und niedrigsten (204-213) mittleren LEP-Minuten pro Aufenthaltstag Rang

DRG

lm/d

lm/dinl

n

1

F60A

402

386

62

2

X62Z

354

389

520

3

G02Z

352

359

107

4

T60C

337

348

124

5

E05A

329

342

171

6

F12Z

328

357

149

7 8

B79Z F33Z

316 315

339 328

100 233

9

O40Z

305

312

957

10 ... 204

B80Z ... D61A

303 ... 184

315 ... 194

1349 ... 142

205

U64Z

181

187

180

206

L43Z

181

184

267

207

P67C

179

188

379

208

V62B

176

199

156

209

B71D

175

179

220

210

I68B

167

169

480

Beschreibung

Part.

Akuter Myokardinfarkt ohne invasive kardiologi- M sche Diagnostik mit a ¨ußerst schweren CC Vergiftungen / Toxische Wirkungen von Drogen, M Medikamenten und anderen Substanzen Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm mit komplexem O Eingriff oder komplizierender Diagnose Sepsis ohne komplizierende Prozeduren, außer bei M Zustand nach Organtransplantation mit a ¨ußerst schweren CC, Alter > 15 Jahre oder mit komplizierenden Prozeduren oder bei Zustand nach Organtransplantation, ohne a ¨ußerst schwere CC, Alter > 15 Jahre Andere große Eingriffe am Thorax bei b¨ osartiger O Neubildung Implantation eines Herzschrittmachers, Ein- O Kammersystem Sch¨ adelfrakturen M Große rekonstruktive Gef¨ aßeingriffe ohne Herz- O Lungen-Maschine, mit Mehretagen- oder Aorteneingriff oder Reoperation Abort mit Dilatation und K¨ urettage, Aspirati- A onsk¨ urettage oder Hysterotomie Andere Kopfverletzungen M ... ... Gleichgewichtsst¨ orungen (Schwindel) mit H¨ orver- M lust oder Tinnitus Angstst¨ orungen oder andere affektive und soma- M toforme St¨ orungen Extrakorporale Stoßwellenlithotripsie (ESWL) A bei Harnsteinen ohne auxili¨ are Maßnahmen Neugeborenes, Aufnahmegewicht ¿ 2499 g ohne M signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung ¿ 95 Stunden, mit anderem Problem, mehr als ein Belegungstag St¨ orungen durch Alkoholmissbrauch und Alko- M holabh¨ angigkeit ohne Qualifizierten Entzug Erkrankungen an Hirnnerven und peripheren Ner- M ven ohne komplexe Diagnose, ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC, außer bei Para- / Tetraplegie Nicht operativ behandelte Erkrankungen und Ver- M letzungen im Wirbels¨ aulenbereich, mehr als ein Belegungstag, Alter ¿ 55 Jahre oder mit a ¨ußerst schweren oder schweren CC, ohne komplexe Diagnose Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 270

Analyse des Pflegeaufwandes

65

Tabelle 6.3.3: DRGs mit h¨ ochsten (1-10) und niedrigsten (204-213) mittleren LEP-Minuten pro Aufenthaltstag Rang

DRG

lm/d

lm/dinl

n

211

I68C

160

166

595

212

P67D

160

165

3934

213

E63Z

130

149

139

Beschreibung

Part.

Nicht operativ behandelte Erkrankungen und Verletzungen im Wirbels¨ aulenbereich, mehr als ein Belegungstag, Alter ¡ 56 Jahre, ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC Neugeborenes, Aufnahmegewicht ¿ 2499 g ohne signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung ¿ 95 Stunden, ohne anderes Problem oder ohne schweres Problem, ein Belegungstag Schlafapnoesyndrom

M

M

M

6.4 Homogenit¨ at des Pflegeaufwandes

0

20

Anzahl 40 60

Verteilung der Homogenit¨ atskoeffizienten Die Homogenit¨at der Pflegeleistungen einer DRG wird anhand des Homogenit¨atskoeffizienten H beurteilt.

0.0

0.2 0.4 0.6 0.8 Homogenitätskoeffizient

1.0

Abbildung 6.4.1: Histogramm der LEP-Minuten-Homogenit¨atskoeffizienten In Abbildung 6.4.1 ist die Verteilung der Homogenit¨atskoeffizienten der 213 DRGs dargestellt. Die gesch¨atzten Homogenit¨aten liegen zwischen 0.51 und 0.81 und es damit keine DRGs gibt, deren Homogenit¨atskoeffizienten unter der kritischen Grenze von 0.5 liegt (siehe dazu Tabelle 6.4.4). Ad¨ aquatheit des Homogenit¨ atskoeffizienten Wie in einem fr¨ uheren Abschnitt erkl¨art, ist der Homogenit¨atskoeffizient genau dann ein zweckm¨assiges Mass f¨ ur den Vergleich der DRGs, wenn dieser keinen Zusammenhang mit dem Mittelwert hat. ¨ Die Uberpr¨ ufung dieser Voraussetzung f¨allt jedoch negativ aus. Wie Abbildung 6.4.2 zeigt, gibt es f¨ ur die DRGs einen negativen Zusammenhang zwischen Mittelwert und Homogenit¨atskoeffizient, d. h. mit zunehmenden LEP-Minuten sinkt H. Man muss sich


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 271

Analyse des Pflegeaufwandes

66

¨ Tabelle 6.4.4: Uberschreitunsanteile der Homogenit¨atskoeffizienten f¨ ur die LEPslm Minuten. CVlm ist der Variationskoeffizient CVlm = lm . H < 0.5 < 0.6 < 0.67 < 0.7

0.60

● ●

0.50

CVlm CVlm CVlm CVlm

>1 > 0.67 > 0.5 > 0.42

N10Z

● O40Z ● N09Z

H

0.70

0.80

Hlm Hlm Hlm Hlm

¨ Uberschreitungen

CV

0.0% 44.6% 76.1% 88.7%

(0 (95 (162 (189

von von von von

213) 213) 213) 213)

N14Z ●

M01B

● ●● ● ● ●● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ●● ● ● ● ● ● ● ● ●● ●● ● ● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ●●● ● ● ●●● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ●● ● ●● ● ●●● ● ●●●●● ● ● ● ●●●●●● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ●●● ● ● ●●● ●● ●● ● ● ●● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ● ●●● ●● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ●● ●●●● ●● ●● ● ● B61Z ● ● ● ● J03B ● E75C ● L62Z

500 1000 2000 mittlere LEP−Minuten [min]

G02Z

5000

Abbildung 6.4.2: Gegen¨ uberstellung der Homogenit¨atskoeffizienten und der mittleren LEP-Minuten.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 272

Analyse des Pflegeaufwandes

67

darum die berechtigte Frage stellen, ob der Homogenit¨atskoeffizient als Mass f¨ ur die Homogenit¨at der LEP-Minuten geeignet ist. Inhomogenste und homogenste DRGs In Tabelle 6.4.5 sind die 10 inhomogensten (1 bis 10) und die 10 homogensten (204 bis 213) DRGs aufgelistet. Tabelle 6.4.5: Inhomogenste und homogenste DRGs bez¨ uglich LEP-Minuten DRG

Hlm

Hlm,inl

n

1 2

L62Z E75C

0.51 0.51

0.48 0.48

54 161

3

J03B

0.52

0.59

64

4

B61Z

0.52

0.41

93

5

G60B

0.53

0.5

109

6

I73Z

0.53

0.52

84

7

K64D

0.53

0.53

63

8

F12Z

0.54

0.51

149

9

I08B

0.54

0.52

505

10

U66Z

0.54

0.60

97

... 204 205

... M02Z L43Z

... 0.73 0.74

... 0.69 0.72

... 589 267

206

J07Z

0.74

0.72

106

207

I43Z

0.74

0.71

832

208

G25Z

0.75

0.73

762

209

M01B

0.77

0.76

179

210

N14Z

0.77

0.74

73

Beschreibung

Part.

Neubildungen der Harnorgane Andere Krankheiten der Atmungsorgane ohne a ¨usserst schwere CC Eingriffe an der Haut der unteren Extremit¨ at bei Ulkus oder Infektion / Entz¨ undung ohne a ¨usserst schwere CC Akute Erkrankungen und Verletzungen des R¨ uckenmarks B¨ osartige Neubildung der Verdauungsorgane, ein Belegungstag oder ohne a ¨usserst schwere CC Nachbehandlung bei Erkrankungen des Bindegewebes Endokrinopathien, ohne komplexe Diagnose, ohne a ¨usserst schwere CC Implantation eines Herzschrittmachers, EinKammersystem Andere Eingriffe an H¨ uftgelenk und Femur mit Mehrfacheingriff, mit komplexer Prozedur oder Diagnose oder mit a ¨usserst schweren CC Ess-, Zwangs- und Pers¨ onlichkeitsst¨ orungen und akute psychische Reaktionen oder psychische St¨ orungen in der Kindheit ... Transurethrale Prostataresektion Extrakorporale Stosswellenlithotripsie (ESWL) bei Harnsteinen ohne auxili¨ are Massnahmen Kleine Eingriffe an der Mamma mit axill¨ arer Lymphknotenexzision oder a ¨usserst schweren oder schweren CC bei b¨ osartiger Neubildung Prothesenwechsel oder Implantation einer Scharnierprothese oder Sonderprothese am Kniegelenk Eingriffe bei Leisten und Schenkelhernien, Alter > 0 Jahre oder Eingriffe bei Hernien, Alter < 1 Jahr Grosse Eingriffe an den Beckenorganen beim Mann ohne ¨ ausserst schwere CC Hysterektomie mit Beckenbodenplastik ausser bei b¨ osartiger Neubildung oder Brachytherapie bei Krankheiten und St¨ orungen der weiblichen Geschlechtsorgane, mehr als ein Belegungstag, mit a ¨usserst schweren CC Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt

M M O

M M M M O O

M

O A O

O O O O


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 273

Analyse des Pflegeaufwandes

68

Tabelle 6.4.5: Inhomogenste und homogenste DRGs bez¨ uglich LEP-Minuten DRG

Hlm

Hlm,inl

n

211

N09Z

0.78

0.75

362

212

O40Z

0.79

0.69

957

213

N10Z

0.81

0.78

64

Beschreibung

Part.

Andere Eingriffe an Vagina, Zervix und Vulva oder Brachytherapie bei Krankheiten und St¨ orungen der weiblichen Geschlechtsorgane ohne a ¨usserst schwere CC Abort mit Dilatation und K¨ urettage, Aspirationsk¨ urettage oder Hysterotomie Diagnostische K¨ urettage, Hysteroskopie, Sterilisation, Pertubation

O

A O

Bei den homogensten DRGs f¨allt auf, dass unter den ersten f¨ unf (209 bis 213) drei DRGs von der MDC 13 (N01A-N62B) stammen. Die DRGs N10Z, O40Z und N09Z geh¨oren sowohl zu den homogensten als auch zu den DRGs mit dem niedrigsten mittleren Pflegeaufwand. DRGs mit unbefriedigender Homogenit¨ at F¨ ur die Analyse der LEP-Minuten werden die bereits bekannten Grenzen g = 0.5 und g = 0.67 (Beschreibung siehe Seite 35) betrachtet. DRGs mit Homogenit¨atskoeffizienten kleiner als 0.67 sind unbefriedigend homogen, diejenigen, mit H kleiner als 0.5 sehr unbefriedigend homogen. Die Nullhypothesen lauten also: Nullhypothese H0 : Hlm > g Alternativhypothese HA : Hlm ≤ g Der f¨ ur den Test ben¨otigte Standardfehler sHlm wird mittels Bootstrapping gesch¨atzt. Das Signifikanzniveau des Tests wird vorgehend auf 5% festgelegt. Die Nullhypothese wird dann verworfen, wenn *

Φ

H −g sHlm

+

0.05 213

gilt. Φ hi ist die Verteilungsfunktion der Normalverteilung. Der Nenner von 213 auf der rechten Seite ist n¨otig f¨ ur die Bonferroni Korrektur. Da keiner der Sch¨atzwerte f¨ ur H kleiner als g = 0.5 ist, er¨ ubrigt sich der Test auf g = 0.5. Allerdings gibt es eine ganze Anzahl von DRGs, welche die Grenze G2 = 0.67 signifikant unterschreiten: B61Z, B77Z, E63Z, E77B,

B63Z, B78Z, E65A, E77C,

B66B, B79Z, E65B, F12Z,

B67B, B81Z, E66Z, F24B,

B69E, D61B, E67B, F33Z,

B70E, D63Z, E69A, F62B,

B71C, D67Z, E69C, F62C,

B71D, E02B, E71A, F65B,

B76D, E05B, E71B, F66B,

B76E, E61Z, E75C, F67C,


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 274

Analyse des Pflegeaufwandes

F71B, G21Z, G67C, I08C, I68C, J11A, M62Z, T61B, X63Z,

F71C, G46B, G71Z, I13A, I69Z, J64B, N03B, T63C, Z64Z,

F73Z, G47Z, H41C, I13B, I71Z, J65A, N06Z, T64Z, Z65Z

F74Z, G48Z, H60A, I20A, I72B, K62Z, O02B, U60Z,

F75A, G50Z, H60B, I21Z, I73Z, K64D, O64A, U66Z,

69

F75C, G60B, H61B, I29Z, I74B, L62Z, O65C, V60C,

G02Z, G65Z, H62A, I62Z, I75B, L63A, Q60A, X06B,

G17Z, G66A, H64Z, I65B, I77Z, L63C, T01C, X06C,

G18Z, G66B, I05Z, I68A, I78Z, L66Z, T60C, X60Z,

G19B, G67B, I08B, I68B, J03B, L68Z, T60E, X62Z,

Ingesamt sind 123 (von 213), d.h. 58% der DRGs signifikant. Diese 123 DRGs beinhalten 46% (33’670 von 73’930) aller untersuchten F¨alle mit Angabe der LEP-Minuten.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 275

Analyse des Pflegeaufwandes

70

6.5 Homogenit¨ at der LEP-Minuten nach MDC Auch bez¨ uglich den LEP-Minuten gibt es sichtbare Unterschiede zwischen den MDCs. Wie in Abbildung 6.5.1 ersichtlich sind B, H, T und U im Schnitt die inhomogensten, M und N die homogensten MDCs.

● ● ●

Homogenitätskoeffizient

0.80

0.75 ●

● ●

0.70 ●

0.65 0.60 0.55

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ●

● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ●

● ● ●

● ● ● ● ● ● ●● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ●

● ● ● ● ● ●

● ●

● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ●

I

● ● ●

0.50 B D E F G H

●● ● ● ● ●

● ●

● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ●● ●

● ● ● ●

● ●

● ●

● ●

● ● ● ● ● ● ●

● ●●

● ● ●

● ●

● ●

J K L M N O P Q T U V X Z

MDC

Abbildung 6.5.1: Homogenit¨atskoeffizienten, geordnet nach MDC. Die blaue Linie verbindet die mittleren Homogenit¨atskoeffizienten je MDC.

Inhomogenste und homogenste DRG je MDC In Tabelle 6.5.6 sind die inhomogensten, in Tabelle 6.5.7 die homogensten DRGs je MDC aufgelistet. Diese entsprechen immer gerade dem obersten respektive untersten Punkt einer MDC in Abbildung 6.5.1. Tabelle 6.5.6: Inhomogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegeleistungen MDC B

MDC 01

D

MDC 03

MDC Beschreibung

DRG

Hlm

DRG Beschreibung

Part.

Krankheiten und St¨ orungen des Nervensystems Krankheiten und St¨ orungen des Ohres, der Nase, des Mundes und des Halses

B61Z

0.52

Akute Erkrankungen und Verletzungen des R¨ uckenmarks

M

D61B

0.58

Gleichgewichtsst¨ orungen (Schwindel) ohne H¨ orverlust oder Tinnitus

M

Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 276

Analyse des Pflegeaufwandes

71

Tabelle 6.5.6: Inhomogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegeleistungen MDC

MDC Beschreibung

DRG

Hlm

DRG Beschreibung

Part.

E75C

0.51

Andere Krankheiten der Atmungsorgane ohne a ¨ußerst schwere CC

M

F12Z

0.54

Implantation eines Herzschrittmachers, Ein-Kammersystem

O

G60B

0.53

M

H60A

0.56

B¨ osartige Neubildung der Verdauungsorgane, ein Belegungstag oder ohne a ¨ußerst schwere CC Leberzirrhose und bestimmte nichtinfekti¨ ose Hepatitiden mit a ¨ußerst schweren CC

I73Z

0.53

Nachbehandlung bei Erkrankungen des Bindegewebes

M

J03B

0.52

Eingriffe an der Haut der unteren Extremit¨ at bei Ulkus oder Infektion / Entz¨ undung ohne a ¨ußerst schwere CC

O

K64D

0.53

M

L62Z

0.51

Endokrinopathien, Alter < 6 Jahre mit komplexer Diagnose oder a ¨ußerst schweren CC Neubildungen der Harnorgane

M62Z

0.59

N03B

0.56

O64A

0.58

E

MDC 04

F

MDC 05

G

MDC 06

H

MDC 07

I

MDC 08

J

MDC 09

K

MDC 10

L

MDC 11

M

MDC 12

N

MDC 13

O

MDC 14

Krankheiten und St¨ orungen der Atmungsorgane Krankheiten und St¨ orungen des Kreislaufsystems Krankheiten und St¨ orungen der Verdauungsorgane Krankheiten und St¨ orungen an hepatobili¨ orem System und Pankreas Krankheiten und St¨ orungen an MuskelSkelett-System und Bindegewebe Krankheiten und St¨ orungen an HautKrankheiten und St¨ orungen an Haut , Unterhaut und Mamma Endokrine, Ern¨ ahrungsund Stoffwechselkrankheiten Krankheiten und St¨ orungen der Harnorgane Krankheiten und St¨ orungen der m¨ annlichen Geschlechtsorgane Krankheiten und St¨ orungen der weiblichen Geschlechtsorgane Schwangerschaft

P

MDC 15

Neugeborene

P66D

0.62

Q

MDC 16

Krankheiten des Blutes

Q60A

0.57

T

MDC 18B

Infekti¨ ose und parasit¨ are Krankheiten

T64Z

0.55

Tabelle

Infektion / Entz¨ undung der m¨ annlichen Geschlechtsorgane

M

M

M

Eingriffe an Uterus und Adnexen O bei b¨ osartiger Neubildung anderer Organe, ohne a ¨ußerst schwere CC Frustrane Wehen, mehr als ein Be- M legungstag Neugeborenes, Aufnahmegewicht M 2000 - 2499 g ohne signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, ohne Problem Erkrankungen des retikuloendothe- M lialen Systems, des Immunsystems und Gerinnungsst¨ orungen mit komplexer Diagnose oder CC Andere infekti¨ ose und parasit¨ are M Krankheiten wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 277

Analyse des Pflegeaufwandes

72

Tabelle 6.5.6: Inhomogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegeleistungen MDC

MDC Beschreibung

DRG

Hlm

DRG Beschreibung

Part.

Ess-, Zwangs- und Pers¨ onlichkeitsst¨ orungen und akute psychische Reaktionen oder psychische St¨ orungen in der Kindheit Alkoholintoxikation und -entzug ohne psychotisches Syndrom, ohne Qualifizierten Entzug, ohne Entzugssyndrom Andere Eingriffe bei anderen Verletzungen ohne a ¨ußerst schwere CC, Alter > 65 Jahre oder mit schweren CC Beschwerden, Symptome, andere Anomalien und Nachbehandlung

M

U

MDC 19

Psychische Krankheiten und St¨ orungen

U66Z

0.54

V

MDC 20

V60C

0.58

X

MDC 21B

X06B

0.55

Z

MDC23

Alkohol- und Drogengebrauch und alkohol- und drogeninduzierte psychische St¨ orungen Verletzungen, Vergiftungen und toxische Wirkungen von Drogen und Medikamenten Faktoren, die den Gesundheitszustand beeinflussen, und andere Inanspruchnahme des Gesundheitswesens

Z65Z

0.55

M

O

M

Tabelle 6.5.7: Homogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegeaufwand MDC B

MDC 01

D

MDC 03

E

MDC 04

F

MDC 05

G

MDC 06

H

MDC 07

MDC Beschreibung

DRG

Hpk

DRG Beschreibung

Part.

Krankheiten und St¨ orungen des Nervensystems Krankheiten und St¨ orungen des Ohres, der Nase, des Mundes und des Halses

B80Z

0.69

Andere Kopfverletzungen

M

D30B

0.72

O

Krankheiten und St¨ orungen der Atmungsorgane Krankheiten und St¨ orungen des Kreislaufsystems

E05A

0.68

Tonsillektomie außer bei b¨ osartiger Neubildung oder verschiedene Eingriffe an Ohr, Nase, Mund und Hals ohne a ¨ußerst schwere CC, ohne aufw¨ andigen Eingriff Andere große Eingriffe am Thorax bei b¨ osartiger Neubildung

F39A

0.73

O

Krankheiten und St¨ orungen der Verdauungsorgane Krankheiten und St¨ orungen an hepatobili¨ orem System und Pankreas

G25Z

0.75

H08B

0.67

Unterbindung und Stripping von Venen mit beidseitigem Eingriff oder Ulzeration oder a ¨ußerst schweren oder schweren CC Eingriffe bei Leisten- und Schenkelhernien, Alter > 0 Jahre oder Eingriffe bei Hernien, Alter < 1 Jahr Laparoskopische Cholezystektomie ohne sehr komplexe Diagnose

O

O

O

Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 278

Analyse des Pflegeaufwandes

73

Tabelle 6.5.7: Homogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegeaufwand MDC I

MDC 08

J

MDC 09

K

MDC 10

L

MDC 11

M

MDC 12

N

MDC 13

O

MDC Beschreibung

DRG

Hpk

DRG Beschreibung

Part.

Krankheiten und St¨ orungen an MuskelSkelett-System und Bindegewebe Krankheiten und St¨ orungen an HautKrankheiten und St¨ orungen an Haut, Unterhaut und Mamma Endokrine, Ern¨ ahrungsund Stoffwechselkrankheiten

I43Z

0.74

Prothesenwechsel oder Implantation einer Scharnierprothese oder Sonderprothese am Kniegelenk

O

J07Z

0.74

Kleine Eingriffe an der Mamma mit axill¨ arer Lymphknotenexzision oder a ¨ußerst schweren oder schweren CC bei b¨ osartiger Neubildung

O

K12Z

0.72

O

L43Z

0.74

M01B

0.77

Eingriffe an Schilddr¨ use, Nebenschilddr¨ use und Ductus thyreoglossus, außer bei b¨ osartiger Neubildung, ohne zus¨ atzliche Parathyreoidektomie, a ¨ußerst schwere oder schwere CC Extrakorporale Stoßwellenlithotripsie (ESWL) bei Harnsteinen ohne auxili¨ are Maßnahmen Große Eingriffe an den Beckenorganen beim Mann ohne a ¨ußerst schwere CC Diagnostische K¨ urettage, Hysteroskopie, Sterilisation, Pertubation Abort mit Dilatation und K¨ urettage, Aspirationsk¨ urettage oder Hysterotomie Neugeborenes, Aufnahmegewicht > 2499 g ohne signifikante ORProzedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, ohne anderes Problem oder ohne schweres Problem, ein Belegungstag Erkrankungen der Erythrozyten ohne komplexe Diagnose, ohne aplastische An¨ amie, ohne ¨ außerst schwere CC Andere virale Erkrankungen

A

N10Z

0.81

MDC 14

Krankheiten und St¨ orungen der Harnorgane Krankheiten und St¨ orungen der m¨ annlichen Geschlechtsorgane Krankheiten und St¨ orungen der weiblichen Geschlechtsorgane Schwangerschaft

O40Z

0.79

P

MDC 15

Neugeborene

P67D

0.71

Q

MDC 16

Krankheiten des Blutes

Q61D

0.63

T

MDC 18B

T63C

0.61

U

MDC 19

U64Z

0.65

V

MDC 20

V62B

0.63

X

MDC 21B

Infekti¨ ose und parasit¨ are Krankheiten Psychische Krankheiten und St¨ orungen Alkohol- und Drogengebrauch und alkohol- und drogeninduzierte psychische St¨ orungen Verletzungen, Vergiftungen und toxische Wirkungen von Drogen und Medikamenten

X64Z

0.63

A

O

O

M

M

M

Angstst¨ orungen oder andere affektive und somatoforme St¨ orungen St¨ orungen durch Alkoholmissbrauch und Alkoholabh¨ angigkeit ohne Qualifizierten Entzug

M

Folgen einer medizinischen Behandlung

M

M

Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 279

Analyse des Pflegeaufwandes

74

Tabelle 6.5.7: Homogenste DRG je MDC Gruppe bez¨ uglich Pflegeaufwand MDC Z

MDC23

MDC Beschreibung

DRG

Hpk

DRG Beschreibung

Part.

Faktoren, die den Gesundheitszustand beeinflussen, und andere Inanspruchnahme des Gesundheitswesens

Z01Z

0.64

OR-Prozeduren bei anderen Zust¨ anden, die zur Inanspruchnahme des Gesundheitswesens f¨ uhren

O

6.6 Unterschiede zwischen den Netzwerkspit¨ alern In diesem Abschnitt werden die Spit¨aler verglichen. Dabei werden die DRGs aus Tabelle 6.4.5 (die homogensten und inhomogensten DRGs bez¨ uglich LEP-Minuten) und die DRGs mit der gr¨ossten Anzahl LEP-F¨allen genauer untersucht. In diesen Tabellen sind f¨ ur die Spit¨aler zum Vergleich die mittlere Anzahl LEP-Minuten, die Anzahl F¨alle, die mittlere Anzahl Aufenthaltstage und die mittlere Anzahl LEP-Minuten pro Tag angegeben. Die Beschreibungen der in den Tabellen vorkommenden DRGs sind in SwissDRG (2008a) dokumentiert. Die Farben k¨onnen anhand Tabelle 5.5.8 zugeordnet werden. Unterschiede der Netzwerkspit¨ aler bei den inhomogensten DRGs Der Vergleich der bez¨ uglich Pflegeleistungen inhomogensten DRGs kann anhand der Tabellen 6.6.8 und 6.6.9 vorgenommen werden. Interessant ist beispielsweise die DRG E75C. Die mittlere Anzahl LEP-Minuten bei Spital 160 ist mehr als 7 mal gr¨osser (1923 LEP-Minuten) als die von Spital 153 (266 LEP-Minuten). Andererseits sollte man solche Aufwandsunterschiede keineswegs u ¨berinterpretieren. Denn zum einen haben wir in dieser Darstellung keine Informationen u ¨ber die einzelnen F¨alle (erkl¨arende Variablen) und zudem wissen wir aus Tabelle 6.1.1, dass sich die Handhabung des LEP-Systems der Spit¨aler unterscheidet. Auff¨allig in dieser Tabelle ist Spital 160, das bei 6 von 10 DRGs die gr¨osste Anzahl mittlerer LEP-Minuten aufweist. M¨oglicherweise wird dies durch die l¨ uckenlose Erfas¨ sung und/oder einer Ubererfassung beeinflusst (vgl. 6.1.1; 61). Unterschiede zwischen den Krankenhaustypologien gibt es keine offensichtlichen. Unterschiede der Netzwerkspit¨ aler bei den homogensten DRGs In den Tabellen 6.6.10 und 6.6.11 k¨onnen die bez¨ uglich der LEP-Minuten homogensten DRGs verglichen werden. Es ist erstaunlich, dass auch hier relativ grosse Unterschiede zwischen den Spit¨alern bestehen. So hat Spital 151 bei der DRG I43Z einen mehr zweimal gr¨osseren totalen Pflegeaufwand (3405 LEP-Minuten) als Spital 161 (1667 LEP-Minuten).


2

DRG L62Z E75C Hlm 0.51 0.51 n 54 161 lm 1322 778 Spitalbezeichung (mittl. LEP Minuten/Anz. F¨ alle 1 160 (2618/10/7/401) 160 (1923/25/6/306) 2 153 (2117/14/7.3/295) 155 (975/29/4/273) 3 155 (851/17/4/229) 152 (872/11/4.2/233) 4 154 (495/13/2.8/184) 151 (867/13/4.7/242) 5 154 (708/12/3.3/239) 6 159 (657/16/3.3/240) 7 153 (266/55/2.5/123)

1

4

5

J03B B61Z G60B 0.52 0.52 0.53 64 93 109 3083 2392 1284 im Spital/mittl. Anz. Aufenthaltstage/mittl. LEP Minuten pro Tag) 160 (4313/14/15.7/306) 153 (3964/21/14.1/269) 160 (2002/38/6.6/332) 155 (3068/17/12.8/279) 155 (2960/20/12.3/255) 151 (1962/10/8.2/254) 154 (2925/20/16.9/210) 160 (2668/14/8.5/304) 159 (1147/10/5.6/220) 153 (2306/13/12/215) 154 (1655/20/4.5/305) 153 (1057/14/5.1/219) 159 (1111/18/6.6/232) 161 (1030/11/4.1/293) 154 (768/10/2.8/307) 155 (655/16/2.5/279)

3

Tabelle 6.6.8: 10 DRGs mit den gr¨ossten Pflegeaufwand-Inhomogenit¨aten. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 280

Analyse des Pflegeaufwandes 75


7

DRG I73Z K64D Hlm 0.53 0.53 n 84 63 lm 1365 866 Spitalbezeichung (mittl. LEP Minuten/Anz. F¨ alle 1 152 (3061/11/10/293) 160 (1283/21/5.5/254) 2 153 (1729/25/9.5/197) 159 (1158/10/5.7/271) 3 160 (1585/23/5.9/336) 154 (536/12/2.8/235) 4 154 (1501/10/5.6/249) 153 (367/20/4.1/184) 5 161 (304/15/1.7/198) 6 7 8 9

6

9

10

F12Z I08B U66Z 0.54 0.54 0.54 149 505 97 1355 2227 1614 im Spital/mittl. Anz. Aufenthaltstage/mittl. LEP Minuten pro Tag) 150 (1855/11/6.2/370) 160 (3877/73/10.4/357) 153 (3754/29/24.2/159) 153 (1775/38/7.3/267) 151 (3268/24/10/297) 151 (2715/18/18.8/156) 160 (1588/59/4.6/325) 152 (3138/46/8.3/363) 152 (1286/11/5.7/235) 157 (996/12/2.5/491) 155 (2393/59/9/252) 159 (1201/11/9.5/145) 154 (627/29/2.6/357) 157 (2368/31/7.4/307) 160 (814/28/3.6/247) 153 (2231/82/7.5/306) 161 (1978/30/6.8/281) 154 (1552/114/7/226) 159 (1240/46/3.4/379)

8

Tabelle 6.6.9: 10 DRGs mit den gr¨ossten Pflegeaufwand-Inhomogenit¨aten. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 281

Analyse des Pflegeaufwandes 76


2

DRG N10Z O40Z Hlm 0.81 0.79 n 64 957 lm 431 340 alle Spitalbezeichung (mittl. LEP Minuten/Anz. F¨ 1 159 (470/11/1.1/409) 161 (452/24/1.5/293) 2 153 (447/25/2/225) 159 (446/16/1.2/366) 3 160 (432/14/1.5/306) 154 (408/89/1.4/327) 4 155 (374/14/1.7/245) 157 (398/17/1.2/339) 5 152 (397/24/1.3/317) 6 160 (386/97/1.2/342) 7 151 (360/19/1.1/344) 8 153 (343/167/1.2/303) 9 155 (320/439/1.2/300) 10 150 (310/65/1.3/261)

1 N09Z 0.78 362 393 im Spital/mittl. Anz. 152 (452/29/1.7/272) 154 (418/56/1.8/260) 150 (416/18/2.1/212) 153 (403/64/1.7/258) 160 (381/41/1.6/298) 155 (379/140/1.9/222) 151 (328/14/1.4/263)

3

5

N14Z M01B 0.77 0.77 73 179 1387 2052 Aufenthaltstage/mittl. LEP Minuten pro Tag) 153 (1617/24/8.1/199) 152 (2685/11/8.4/311) 154 (1457/19/6.5/235) 160 (2598/24/9.1/283) 160 (1356/18/6.5/215) 153 (2529/17/10/253) 161 (572/12/3.1/188) 150 (2097/14/8.5/247) 154 (1905/31/9.3/212) 155 (1800/44/6.5/281) 157 (1778/38/7.2/247)

4

Tabelle 6.6.10: 10 DRGs mit den gr¨ossten Pflegeaufwand-Homogenit¨aten. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 282

Analyse des Pflegeaufwandes 77


7

8

9

10

DRG G25Z I43Z J07Z L43Z M02Z Hlm 0.75 0.74 0.74 0.74 0.73 n 762 832 106 267 589 lm 460 2275 964 491 1050 alle im Spital/mittl. Anz. Aufenthaltstage/mittl. LEP Minuten pro Tag) Spitalbezeichung (mittl. LEP Minuten/Anz. F¨ 1 159 (624/64/2/319) 151 (3405/45/13.5/251) 160 (1484/13/6/230) 153 (610/43/3.6/177) 160 (1553/87/6/260) 2 151 (558/42/2.5/224) 160 (2727/172/10.6/255) 155 (1181/16/6.1/199) 155 (553/133/3.1/191) 154 (1316/15/7.2/195) 3 160 (480/158/2/275) 150 (2615/40/11.2/235) 151 (943/14/5.2/182) 154 (366/65/2.1/174) 153 (1172/102/5.9/199) 4 152 (470/96/2.4/211) 159 (2530/97/10.9/231) 153 (934/24/4.8/199) 160 (322/26/2.5/151) 155 (1129/26/4.8/220) 5 161 (458/81/1.6/306) 154 (2507/24/11/227) 154 (908/16/4.6/212) 151 (1081/19/4.9/266) 6 155 (440/71/2.1/227) 152 (2356/54/9.5/252) 150 (789/12/4/199) 152 (1018/79/4.8/210) 7 154 (428/50/2.3/197) 153 (2321/131/10.9/213) 157 (638/11/4.1/186) 150 (987/38/4.3/233) 8 157 (427/50/1.8/256) 157 (1720/117/8.5/202) 159 (974/100/3.8/262) 9 153 (371/120/1.7/229) 161 (1667/152/7.6/217) 161 (932/32/3.8/250) 10 150 (331/30/1.4/245) 157 (617/91/2.9/238)

6

Tabelle 6.6.11: 10 DRGs mit den gr¨ossten Pflegeaufwand-Homogenit¨aten. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 283

Analyse des Pflegeaufwandes 78


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 284

Analyse des Pflegeaufwandes

79

Unterschiede der Netzwerkspit¨ aler bei den h¨ aufigsten DRGs In den Tabellen 6.6.12 und 6.6.13 k¨onnen die Spit¨aler bez¨ uglich der h¨aufigsten DRGs miteinander verglichen werden. Dieser Vergleich ist besonders deshalb interessant, weil bei diesen DRGs fast alle 10 LEP-Netzwerkspit¨aler F¨alle haben. Dabei f¨allt wiederum Spital 160 auf, welches bei 7 von 10 DRGs unter den 3 Netzwerkspit¨alern mit dem gr¨ossten Pflegeaufwand liegt. Wiederum kann festgestellt werden, dass es teilweise sehr grosse Unterschiede zwischen den Spit¨alern gibt. Zusammenhang zwischen der mittleren Anzahl Aufenthaltstage und dem Pflegeaufwand Es ist zu erwarten, dass je l¨anger sich ein Patient im Spital aufh¨alt, desto gr¨osser der totale Pflegeaufwand f¨ ur diese Person ist.

1 2

160 5000

mittlere Anzahl LEP−Minuten

1000

5 10

161

●● ● ● ● ● ●●● ● ● ●● ● ● ● ● ●●● ● ● ● ●● ● ● ● ●●● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ●● ● ●●● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●●● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ● ●●● ●●● ● ● ● ● ●● ● ● ●● ●●● ●● ● ● ● ●● ● ●

●● ● ●● ● ● ●● ● ●● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ●●● ● ●● ●● ● ● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ●● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ●● ●● ● ● ●● ● ●● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ●●● ●

200

154

155

157

159

● ● ● ● ●● ● ●●● ●● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●●● ● ●● ● ● ● ●●● ● ●● ●●● ● ● ● ● ● ● ●●● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●●●● ●● ●●●● ● ●● ●● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ●●● ●● ● ● ● ● ●●● ●●●● ●● ●

150

200

● ●

151

●● ● ● ●● ●● ● ● ●● ●●● ● ●● ● ● ● ●●● ● ●

152

● ● ● ●● ● ● ●●● ● ● ● ● ● ● ●●● ●●● ● ●● ●●● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ●● ●● ● ●● ● ●

●● ● ● ● ● ●●● ● ●●● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●●● ●● ● ● ● ●● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ●● ● ●● ● ● ●●● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ●● ● ●● ● ● ●

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1 2

5 10

1 2

5000

● ● ●● ●●● ●●● ● ● ●● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ●● ●● ●● ● ● ● ● ● ● ●● ●●● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ●● ●● ●●●● ● ●● ●● ● ● ●●● ● ● ● ● ●●●● ● ● ● ● ●●● ● ● ●● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ●●● ● ● ●● ● ●●● ●● ● ●● ●● ●

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1000 200

153 ●

5000 1000

●● ● ●● ● ●● ● ●●●●● ● ● ● ● ●● ●●● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ●●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ●●● ● ●

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5 10

mittlere Anzahl Aufenthaltstage

Abbildung 6.6.1: Mittlere Anzahl LEP-Minuten in Abh¨angigkeit der mittleren Anzahl Aufenthaltstage pro DRG, geordnet nach Spital In Abbildung 6.6.1 zeigt sich der entsprechende positive Zusammenhang f¨ ur die Mit-


2

3

4

5

DRG O60D P67D O01E G67C I30Z Hlm 0.7 0.71 0.71 0.61 0.67 n 5081 3934 1636 1445 1376 lm 1091 698 1525 578 609 alle im Spital/mittl. Anz. Aufenthaltstage/mittl. LEP Minuten pro Tag) Spitalbezeichung (mittl. LEP Minuten/Anz. F¨ 1 152 (1425/525/4.5/322) 160 (810/778/4.2/201) 153 (2142/254/6.5/338) 160 (803/249/3.2/295) 155 (970/66/4.3/235) 2 160 (1363/594/4.2/333) 150 (796/278/4.9/165) 152 (1866/120/6.9/271) 155 (718/61/3/251) 161 (840/110/3.2/267) 3 154 (1260/835/4.6/286) 155 (730/66/4.6/164) 160 (1866/185/6/314) 153 (701/244/2.9/262) 159 (774/177/2.3/416) 4 151 (1237/203/4.1/307) 154 (730/1324/4.7/161) 154 (1698/202/6.8/252) 152 (659/82/3/234) 154 (728/72/3.6/241) 5 153 (1222/782/4.4/293) 152 (699/648/4.6/156) 159 (1633/107/6.2/270) 157 (598/103/2.4/268) 160 (582/316/2.4/252) 6 150 (1189/196/4.9/245) 159 (540/475/4.5/122) 151 (1605/76/6.4/250) 161 (530/118/3.1/201) 152 (554/187/2.1/315) 7 157 (1080/492/4.4/251) 151 (472/293/4.3/113) 150 (1502/69/6.1/243) 151 (476/82/2.1/242) 157 (533/64/2.3/262) 8 159 (1011/255/4.3/241) 153 (385/72/3.8/143) 157 (1291/110/6.3/210) 159 (474/285/2.1/246) 151 (491/121/1.9/278) 9 155 (613/826/4/154) 155 (1090/343/6/184) 154 (388/109/2.3/195) 153 (462/122/1.8/306) 10 161 (487/373/3.9/128) 161 (773/170/5.7/138) 150 (351/112/1.8/193) 150 (384/141/1.8/260)

1

Tabelle 6.6.12: 10 DRGs mit den meisten F¨allen. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 285

Analyse des Pflegeaufwandes 80


7

8

9

10

DRG B80Z I13B G24Z I47Z I21Z Hlm 0.69 0.61 0.7 0.73 0.62 n 1349 1311 1148 1135 1070 lm 354 1358 599 2339 740 alle im Spital/mittl. Anz. Aufenthaltstage/mittl. LEP Minuten pro Tag) Spitalbezeichung (mittl. LEP Minuten/Anz. F¨ 1 160 (775/122/2.3/429) 155 (2257/87/9.3/252) 159 (754/74/2.9/279) 151 (3214/60/13/241) 160 (1254/133/4.6/301) 2 151 (442/88/1.6/322) 160 (2001/163/7.3/284) 151 (732/67/3.7/202) 160 (3146/212/11.4/276) 155 (1232/101/5.6/228) 3 155 (429/226/1.6/346) 154 (1876/132/8.6/219) 154 (685/88/4/172) 154 (2541/60/9.6/263) 154 (1066/102/5.4/204) 4 152 (389/59/1.4/357) 151 (1535/71/6.4/255) 160 (640/241/2.7/275) 150 (2526/71/11.8/214) 152 (734/114/3.2/260) 5 157 (347/36/1.2/304) 150 (1483/62/6.9/222) 155 (592/94/3/224) 153 (2413/196/10.9/220) 151 (700/70/2.6/292) 6 159 (331/280/1.1/317) 157 (1443/78/5.4/276) 153 (562/190/3.2/193) 159 (2201/158/9.8/222) 157 (696/44/2.2/329) 7 161 (329/119/1.5/241) 153 (1407/182/6.2/245) 152 (560/112/2.7/217) 152 (2129/58/8.7/240) 159 (624/237/1.4/501) 8 153 (291/246/1.1/274) 152 (1338/89/6.1/226) 161 (539/147/2.1/276) 157 (1805/135/8.7/208) 153 (503/193/2.4/206) 9 150 (262/91/1.1/251) 161 (942/94/4.7/216) 157 (536/76/2.4/232) 161 (1782/185/8/224) 150 (485/37/2/271) 10 154 (175/82/1.2/159) 159 (893/353/3/324) 150 (385/59/1.7/245) 161 (367/39/1.7/252)

6

Tabelle 6.6.13: 10 DRGs mit den meisten F¨allen. Die Tabelle ist farbig.

infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 286

Analyse des Pflegeaufwandes 81


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 287

Analyse des Pflegeaufwandes

82

telwerte der DRGs. Der Zusammenhang zwischen Pflegeaufwand und Aufenthaltstagen sollte aber nicht nur f¨ ur die Mittelwerte, sondern auch f¨ ur die einzelnen F¨alle zu beobachten sein. In Abbildung 6.6.2 werden f¨ ur die DRG O60D LEP-Minuten und Aufenthaltsdauer pro Spital verglichen. Der Zusammenhang gilt auch noch auf der Ebene der einzelnen F¨alle, wenn auch f¨ ur diese DRG beim Spital 161 die Korrelation eher klein ist.

1 2

160

5 10

161 ●

1000 100

● ● ● ● ●

● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ●● ●●● ●● ● ●● ●● ● ●● ● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ●● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

10

154 LEP−Minuten

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● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

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● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

155

●●● ● ●● ●● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ●● ● ●● ● ● ● ●● ●● ● ● ● ● ●● ●● ●● ●● ● ● ●● ● ● ● ● ●● ●● ● ● ●● ● ● ●

157

159

● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

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● ●●● ●●● ● ●●●● ● ● ● ● ●● ●● ●● ● ●● ● ● ●●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ●● ● ●● ●

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●●● ● ●● ● ●● ●● ● ● ●● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ●● ●● ● ● ●● ● ●● ● ● ● ● ● ●

1000 100

● ●

10

150 1000

● ● ●

● ●● ● ●● ● ●● ●● ●● ●● ●● ● ● ●● ● ● ●● ●●● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ●

151 ●

152 ●

● ● ● ●

● ● ● ● ● ●

● ● ●● ● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ● ●● ●● ● ● ● ● ●● ● ● ●● ● ● ●● ● ●

● ● ● ● ● ● ●

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100

153 ● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ●

● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ●

●●● ● ●●● ● ● ●● ●● ● ●● ●● ● ●● ● ● ●● ● ● ●● ●● ● ● ● ● ● ● ● ●● ● ● ● ● ●● ●● ● ● ● ● ● ●

10 1 2

5 10

1 2

5 10

Aufenthaltstage

Abbildung 6.6.2: Darstellung der Anzahl LEP-Minuten gegen¨ uber der Anzahl Aufenthaltstage der DRG O60D, geordnet nach Spital

Unterschiede zwischen den Spit¨ alern pro DRG Die Pflegeart der Spit¨aler unterscheidet sich relativ deutlich je nach DRG. Dies zeigt Abbildung 6.6.3, in der f¨ ur die zehn DRGs mit den meisten F¨allen die mittleren LEP Minuten pro Aufenthaltstag den mittleren Anzahl Aufenthaltstage gegen¨ ubergestellt werden.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 288

Analyse des Pflegeaufwandes

83

2 4 6 8 1012

O60D

P67D

mittlere Anzahl LEP−Minuten pro Aufenthaltstag

500

150 151 152 153 154

400 300 ●

200

155 157 159 160 161

● ●

100

I21Z

I30Z

I47Z

O01E 500 400

● ●

300

● ● ●

200 ●

B80Z

G24Z

G67C

I13B

100

500 400 300 ●●

200

● ● ●●

100 2 4 6 8 1012

2 4 6 8 1012

mittlere Anzahl Aufenthaltstage

Abbildung 6.6.3: Darstellung der mittleren LEP-Minuten pro Aufenthaltstag gegen¨ uber den mittleren Anzahl Aufenthaltstage der 10 LEP-Spit¨aler, geordnet nach (den 10 gr¨ossten) DRG. Jeder Punkt pro Panel steht f¨ ur den Wert eines Spitals. F¨ ur DRGs wie B80Z, O01E und O60D ist die Intensit¨at der Pflege verschieden: Zwar ist die mittlere Anzahl Aufenthaltstage f¨ ur diese DRGs sehr ¨ahnlich, doch unterscheiden sich die Spit¨aler durch die Pflege-Intensit¨at. F¨ ur andere DRGs wie I47Z oder I13B sieht es gerade umgekehrt aus: Zwar ist die Pflegeintensit¨at (LEP-Minuten pro Aufenthaltstag) in etwa gleich, doch unterscheiden sich die Spit¨aler dadurch, wieviele Tage sie die Patienten im Spital behalten. Diese Unterschiede k¨onnen auch auf der Ebene der einzelnen F¨alle beobachtet werden.

6.7 Erkl¨ arung des Pflegeaufwandes mit DRGs In diesem Abschnitt wird die durch die Faktoren DRG und Spital erkl¨arte Variabilit¨at der LEP-Minuten berechnet.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 289

Analyse des Pflegeaufwandes

84

Erkl¨ arte Variabilit¨ at durch die DRGs LEP-Minuten lm

Ausgehend vom statistischen Modell f¨ ur die

lmik = (DRG)i + εk bei welchem lediglich nach DRG gruppiert wird, ergibt sich f¨ ur das R2 : Pn

i=1 ni

2

lmi − lm

R2 = P P ni n i=1

k=1

2 = 0.161 (nur Inliers: 0.379)

lmik − lm

lmik LEP-Minuten von Fall k in DRG i lm (robust gerechnete) mittlere LEP-Minuten aller untersuchten F¨alle lmi (robust gerechnete) mittlere LEP-Minuten von DRG i ni Anzahl F¨alle von DRG i n Anzahl DRGs Erkl¨ arte Variabilit¨ at durch die Spit¨ aler und DRGs Wenn beide Faktoren, DRG und Spital, ber¨ ucksichtigt werden sollen, m¨ ussen f¨ ur jedes Spital die Mittelwerte der DRGs berechnet werden. Das zugrunde liegende Modell lautet: lmjk = (DRG:Spital)j + εk F¨ ur das interessierende R2 ergibt sich: Pn

R2 = P n

j=1 nj

j=1

Pn

k=1

2

lmj − lm

2 = 0.222 (nur Inliers: 0.46)

lmjk − lm

lmjk LEP-Minuten von Fall k in DRG-Spitalkombination j lmj (robust gerechnete) mittlere LEP-Minuten der DRG-Spitalkombination j (z.B. “Spital 160, DRG B61Z”) nj Anzahl F¨alle der Kombination j n Anzahl DRG-Spitalkombinationen Folgerungen • Nur nach DRG gruppiert kann nur ein sehr kleiner Teil (16.1%) der Variabilit¨at der Pflegekosten erkl¨art werden. • Die Ber¨ ucksichtigung der Spit¨alern ergibt eine Verbesserung (22.2%). • Falls nur Inliers ber¨ ucksichtigt werden, vergr¨ossert sich das R2 in beiden F¨allen markant.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 290

7 Pflegeaufwand-Kategorien f¨ ur DRGs F¨ ur die Bildung von Kategorien wurden die Quantile der beobachteten LEP-Minuten zu Hilfe gezogen. Das 20%-Quantil (q20% beispielsweise ist so definiert, dass 20% aller F¨alle h¨ochstens soviele LEP-Minuten aufweisen und 80% aller F¨alle einen gr¨osseren Aufwand ben¨otigten. Die Kategorie unter dem 20%-Quantil w¨are dann die Kategorie mit wenig Aufwand, alle F¨alle mit LEP-Minuten gr¨osser als q20% bilden die Kategorie der aufw¨andigeren F¨alle. Die resultierenden Kategorien k¨onnen bei dieser Vorgehensweise nicht interpretiert werden. Das heisst man kann nur sagen, dass eine Person in die entsprechende Kategorie f¨allt, nicht warum. F¨ ur eine Kategorisierung von Pflegeleistungen w¨aren neben den DRGs zus¨atzliche patientenbezogene erkl¨arende Variablen n¨otig, welche aber f¨ ur diese Analyse nicht vorlagen. Als Grenzen der Kategorien wurden die 5%, 25%, 75%, und 95% Quantile ausgew¨ahlt. Damit werden drei Mittel- (90% der F¨alle) und zwei Grenzkategorien (10% der F¨alle), also insgesamt f¨ unf Kategorien gebildet. Diese Aufteilung ist in Tabelle 7.0.1 dokumentiert. Tabelle 7.0.1: Pflegeaufwand-Kategorien anhand der LEP-Minuten Kategorie sehr tief eher tief durchschnittlich eher hoch sehr hoch

Grenzen [0, q5% ) [q5% , q25% ) [q25% , q75% ) [q75% , q95% ) ≥ q95%

In Tabelle 7.0.2 k¨onnen die resultierenden Grenzen der alphabetisch ersten 10 DRGs herausgelesen werden. Aus Platzgr¨ unden sind die Grenzen aller 401 DRGs nicht hier, sondern im Anhang A.4, Tabelle A.4.3 aufgelistet. Tabelle 7.0.2: Quantile der LEP-Minuten zur Kategorisierung der alphabetisch ersten zehn DRGs DRG

sehr tief

B17Z B61Z B63Z B66B B67B

[0,4.6) [0,3.1) [0,4.7) [0,4.1) [0,8.8)

eher tief

durchschnittlich

eher hoch

sehr hoch

[4.6,7.2) [7.2,16.2) [16.2,53.2) >53.2 [3.1,12.2) [12.2,63.6) [63.6,166.1) >166.1 [4.7,15) [15,47.5) [47.5,119.3) >119.3 [4.1,8.8) [8.8,34.2) [34.2,111.2) >111.2 [8.8,21.1) [21.1,56.1) [56.1,109.8) >109.8 Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt

85


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 291

Pflegeaufwand-Kategorien f¨ ur DRGs

86

Tabelle 7.0.2: Quantile der LEP-Minuten zur Kategorisierung der alphabetisch ersten zehn DRGs DRG

sehr tief

eher tief

durchschnittlich

eher hoch

sehr hoch

B69E B70E B71C B71D B76D

[0,2.6) [0,8.8) [0,9.3) [0,3.5) [0,5.6)

[2.6,6.9) [8.8,18.4) [9.3,19.5) [3.5,8.8) [5.6,12)

[6.9,18.6) [18.4,56.7) [19.5,60.5) [8.8,26) [12,36.7)

[18.6,41.3) [56.7,129.8) [60.5,117.7) [26,48.2) [36.7,67.3)

>41.3 >129.8 >117.7 >48.2 >67.3

Beispiel: Patienten der DRG B69E mit einem Pflegeaufwand zwischen 2.6 und 6.9h werden als Patienten mit einem “eher tiefen” Aufwand kategorisiert.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 292

8 Ausreisseranteile In diesem Kapitel soll Fragestellung 4 bearbeitet werden. Prinzipiell kann man nur dann von einem Ausreisser sprechen, wenn dieser u ¨ber einer festgelegten Grenze liegt. F¨ ur die Pflegekosten und die Pflegeleistungen (LEP-Minuten) selbst gibt es keine solchen Grenzen. Allerdings gibt es f¨ ur die Aufenthaltsdauer solche Grenzen, n¨amlich die UGVs (Grenzen f¨ ur untere Verweildauer respektive Aufenthaltstage) und OGVs (Grenze f¨ ur obere Verweildauer) (siehe auch Kapitel 3). Als Ausreisser werden also diejenigen F¨alle angesehen, deren Verweildauer ausserhalb der vorgegebenen UGV, respektive OGV liegt. ¨ Uber den gesamten Datensatz betrachtet sind 5.6% aller F¨alle (14’626 von 263’247 F¨allen) Ausreisser, welche sich nach: 1.1% Kurzlieger 4.5% Langlieger

(2’889 von 263’247 F¨allen) und (11’737 von 263’247 F¨allen)

aufteilen lassen. Die Ausreisser machen insgesamt 18% der Aufenthaltsdauer 14.8% der Gesamtkosten 18.6% der Pflegekosten 18.4% des Pflegeaufwands aus.

(259’576 von 1’439’174 Tagen), (299 von 2’010 Mio. SFr.), (106 von 569 Mio. SFr.), (366’394 von 1’984’660 LEP-Stunden)

8.1 Kurz- und Langliegeranteile der DRGs In den Tabellen 8.1.1 und 8.1.2 sind nun diejenigen DRGs aufgef¨ uhrt, welche die gr¨ossten Anteile an Kurzlieger (Verweildauer < UGV) respektive Langlieger (Verweildauer > OGV) beinhalten. Tabelle 8.1.1: DRGs mit dem gr¨ ossten Anteil Kurzlieger DRG

nKL n

n

1

F43B

72.2%

54

2

J62B

30.2%

63

3

F35A

25.5%

94

Beschreibung

nKL n

Part.

Beatmung > 24 Stunden bei Krankheiten und St¨ orungen des A Kreislaufsystems ohne a ¨usserst schwere CC B¨ osartige Neubildungen der Mamma, ein Belegungstag oder oh- M ne a ¨usserst schwere CC Andere kardiothorakale Eingriffe ohne Herz-Lungen-Maschine, O ohne komplizierende Prozeduren, Alter > 2 Jahre und < 10 Jahre oder a ¨usserst schwere CC Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt

87


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 293

Ausreisseranteile

88

Tabelle 8.1.1: DRGs mit dem gr¨ ossten Anteil Kurzlieger DRG

nKL n

n

4

J03B

25%

140

5

I54Z

24.2%

66

6

E02B

24.2%

454

7 8 9

Y03Z F21Z U66Z

21.7% 20.6% 19.4%

115 63 576

10

F43A

18.7%

91

nKL n

Beschreibung

Part.

Eingriffe an der Haut der unteren Extremit¨ at bei Ulkus oder Infektion / Entz¨ undung ohne a ¨usserst schwere CC Strahlentherapie bei Krankheiten und St¨ orungen an MuskelSkelett-System und Bindegewebe, weniger als 9 Bestrahlungen Andere OR-Prozeduren an den Atmungsorganen ohne aufw¨ andigen Eingriff Andere Verbrennungen mit anderen Eingriffen Andere OR-Prozeduren bei Kreislauferkrankungen Ess-, Zwangs- und Pers¨ onlichkeitsst¨ orungen und akute psychische Reaktionen oder psychische St¨ orungen in der Kindheit Beatmung > 24 Stunden bei Krankheiten und St¨ orungen des Kreislaufsystems mit a ¨usserst schweren CC

O O O O O M A

Wie in Tabelle 8.1.1 ersichtlich gibt es DRGs mit relativ hohen Anteilen an Kurzliegern. Tabelle 8.1.2: DRGs mit dem gr¨ ossten Anteil Langlieger DRG

nLL n

n

1

B02E

22.2%

54

2 3

G16Z J08B

17% 16.8%

94 137

4

B02D

16.7%

114

5

U66Z

16.1%

576

6

L09A

16.1%

112

7

G02Z

15.5%

381

8

T01A

15.1%

73

9 10

F21Z G60A

14.3% 13.7%

63 51

nLL n

Beschreibung

Part.

Komplexe Kraniotomie oder Wirbels¨ aulen-Operation oder andere aufw¨ andige Operation am Nervensystem mit Beatmung > 95 Stunden, ohne Strahlentherapie, Alter > 17 Jahre, ohne grossen intrakraniellen Eingriff Komplexe Rektumresektion Andere Hauttransplantation oder Debridement mit komplexer Diagnose, mit zus¨ atzlichem Eingriff an Kopf und Hals oder ¨ ausserst schweren CC, ohne komplexe Prozedur Komplexe Kraniotomie oder Wirbels¨ aulen-Operation oder andere aufw¨ andige Operation am Nervensystem mit Beatmung > 95 Stunden, ohne Strahlentherapie, Alter > 17 Jahre, mit grossem intrakraniellen Eingriff Ess-, Zwangs- und Pers¨ onlichkeitsst¨ orungen und akute psychische Reaktionen oder psychische St¨ orungen in der Kindheit Andere Eingriffe bei Erkrankungen der Harnorgane, Alter < 2 Jahre oder mit a ¨usserst schweren CC Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm mit komplexem Eingriff oder komplizierender Diagnose OR-Prozedur bei infekti¨ osen und parasit¨ aren Krankheiten mit komplexer OR-Prozedur oder bei Zustand nach Organtransplantation Andere OR-Prozeduren bei Kreislauferkrankungen B¨ osartige Neubildung der Verdauungsorgane, mehr als ein Belegungstag, mit a ¨usserst schweren CC

O

O O

O

M O O O

O M


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 294

Ausreisseranteile

89

8.2 Pflegekostenanteil der Langlieger Es interessiert nun, in welchen DRGs die Langlieger besonders teuer kommen. Daf¨ ur werden die Pflegekostenanteile der Langlieger berechnet, welche sich aus der Division der aufsummierten Kosten aller Langlieger durch die Summe aller Pflegekosten einer DRG ergeben. Die 10 DRGs mit den gr¨ossten Anteilen sind in Tabelle 8.2.3 aufgelistet. Tabelle 8.2.3: 10 DRGs mit gr¨ ossten Pflegekostenanteile der Langlieger Rang

DRG

P Ppkll

n

nLL n

1

U66Z

60.4%

576

16.1%

2

T01A

57%

73

15.1%

3

B02E

54.3%

54

22.2%

4

P67A

49.5%

148

11.5%

5

L09A

48.2%

112

16.1%

6

J03B

45.2%

140

12.9%

7

G02Z

45.1%

381

15.5%

8 9

U63Z J08B

44.6% 44.2%

192 137

10.4% 16.8%

10

S63B

44%

128

10.2%

pk

Beschreibung

Part.

Ess-, Zwangs- und Pers¨ onlichkeitsst¨ orungen und akute psychische Reaktionen oder psychische St¨ orungen in der Kindheit OR-Prozedur bei infekti¨ osen und parasit¨ aren Krankheiten mit komplexer OR-Prozedur oder bei Zustand nach Organtransplantation Komplexe Kraniotomie oder Wirbels¨ aulenOperation oder andere aufw¨ andige Operation am Nervensystem mit Beatmung > 95 Stunden, ohne Strahlentherapie, Alter > 17 Jahre, ohne großen intrakraniellen Eingriff Neugeborenes, Aufnahmegewicht > 2499 g ohne signifikante OR-Prozedur, ohne Beatmung > 95 Stunden, mit mehreren schweren Problemen Andere Eingriffe bei Erkrankungen der Harnorgane, Alter < 2 Jahre oder mit a ¨ußerst schweren CC Eingriffe an der Haut der unteren Extremit¨ at bei Ulkus oder Infektion / Entz¨ undung ohne a ¨ußerst schwere CC Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm mit komplexem Eingriff oder komplizierender Diagnose Schwere affektive St¨ orungen Andere Hauttransplantation oder Debridement mit komplexer Diagnose, mit zus¨ atzlichem Eingriff an Kopf und Hals oder ¨ außerst schweren CC, ohne komplexe Prozedur Infektion bei HIV-Krankheit ohne komplexe Diagnose oder ohne a ¨ußerst schwere CC

M

O

O

M

O

O

O M O

M

Insgesamt machen die Langlieger 18.2% der Pflegekosten aus.

8.3 Leistungsaufwandanteil der Langlieger In Tabelle 8.3.4 sind diejenigen DRGs aufgelistet, bei denen der Leistungsaufwandsanteil f¨ ur die Langlieger in Relation zum gesamten Leistungsaufwand f¨ ur die DRG am gr¨ossten


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 295

Ausreisseranteile

90

ist. Tabelle 8.3.4: 10 DRGs mit gr¨ ossten Leistungsaufwandanteilen der Langlieger Rang

DRG

P Plmll

1

T01A

70.2%

73

15.1%

2

B02E

60.6%

54

22.2%

3

U66Z

57.9%

576

16.1%

4

I76B

55.5%

144

6.2%

5

G60A

53.7%

51

13.7

6

K64D

51.9%

147

7.5%

7

J03B

51.4%

140

12.9%

8 9

B09Z L09A

50.8% 50.8%

119 112

9.2% 16.1%

10

I73Z

47.3%

276

6.9%

lm

n

nLL n

Beschreibung

Part.

OR-Prozedur bei infekti¨ osen und parasit¨ aren Krankheiten mit komplexer OR-Prozedur oder bei Zustand nach Organtransplantation Komplexe Kraniotomie oder Wirbels¨ aulenOperation oder andere aufw¨ andige Operation am Nervensystem mit Beatmung ¿ 95 Stunden, ohne Strahlentherapie, Alter ¿ 17 Jahre, ohne großen intrakraniellen Eingriff Ess-, Zwangs- und Pers¨ onlichkeitsst¨ orungen und akute psychische Reaktionen oder psychische St¨ orungen in der Kindheit Andere Erkrankungen des Bindegewebes ohne komplexe Diagnose, ohne a ¨ußerst schwere CC oder septische Arthritis B¨ osartige Neubildung der Verdauungsorgane, mehr als ein Belegungstag, mit a ¨ußerst schweren CC Endokrinopathien, ohne komplexe Diagnose, ohne a ¨ußerst schwere CC Eingriffe an der Haut der unteren Extremit¨ at bei Ulkus oder Infektion / Entz¨ undung ohne ¨ außerst schwere CC Andere Eingriffe am Sch¨ adel Andere Eingriffe bei Erkrankungen der Harnorgane, Alter ¡ 2 Jahre oder mit ¨ außerst schweren CC Nachbehandlung bei Erkrankungen des Bindegewebes

O

O

M

M

M

M O

O O M

Insgesamt machen die Langlieger 18% der Pflegeleistungen aus. Beim Vergleich der Tabellen 8.2.3 und 8.3.4 f¨allt auf, dass die 5 DRGs U66Z, T01A, B02E, L09A und J03B in beiden Tabellen vertreten sind.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 296

9 Diskussion und weiteres Vorgehen DRGs erheben den Anspruch, aus klinischer und ¨okonomischer Sicht homogen zu sein Fischer (2002). In dieser Analyse wurde dieser Anspruch aus pflegerischer Sicht f¨ ur SwissDRG Version 0.1 deskriptiv analysiert, wobei der Schwerpunkt auf die ¨okonomische Homogenit¨at, die Pflegekosten und –leistungen, gelegt wurde. Im untersuchten Datensatz sind die Pflegekosten mit einem Anteil von 28.5% an den Gesamtkosten das gr¨osste Kostenmodul. Eine angemessene Abbildung der leistungs- und fallbezogenene Kosten der Pflege sind deshalb f¨ ur die Qualit¨at des DRG-Systems wichtig. Die Analyse zeigt, dass die Homogenit¨at der 401 untersuchten SwissDRGs 0.1 betreffend Pflegekosten und Pflegeaufwand oft signifikant “unbefriedigend” ist (Variationskoeffizient CV > 0.5), was aufgrund bisheriger Studienergebnisse (siehe Einleitung), und weil es sich zudem um Version 0.1 handelt, nicht u ¨berrascht. Diese als “unbefriedigend homogen” eingestuften DRGs betreffen bei den Pflegekosten 258 von 401 untersuchten DRGs (64%; inklusive die drei DRGs mit “sehr unbefriedigender” Homogenit¨at) respektive beim Pflegeaufwand 123 von 213 SwissDRGs (58%). Mit den DRGs allein kann nur ein kleiner Teil der Variabilit¨at der Pflegekosten und des Pflegeaufwandes erkl¨art werden. F¨ ur den Pflegeaufwand stellte Fischer (2002, S.172ff) im Universit¨atsspital Z¨ urich mit APDRG 43% und 36% Varianzreduktion bei Inliern fest (Chirurgie, resp. Medizin). In dieser Analyse sind es 38% (nur Inliers). Stichprobe und statistische Methoden unterscheiden sich allerdings, was den Vergleich einschr¨ankt. Dass es zwischen den Netzwerkspit¨alern teilweise markante Unterschiede gibt, wird in der deskriptiven Analyse gut sichtbar. Teilweise sind die Unterschiede kaum nachvollziehbar. Hier k¨onnen die direkt betroffenen Netzwerkspit¨aler sicher einen wesentlichen Erkenntniszuwachs beisteuern und es sind interessante Diskussionen zu erwarten. Bemerkenswert ist beispielsweise, dass zwischen den Spit¨alern nicht einzig die Aufenthaltsdauer als solches, sondern auch die mittlere Intensit¨at des Pflegeaufwandes pro Tag in gleichen DRGs unterschiedlich ist. Man sollte die Kosten– und Aufwandunterschiede jedoch nicht u ¨berinterpretieren, sondern beginnen, erkl¨arende Variablen in die Erhebung und Analyse einzubeziehen. Zieht man f¨ ur die Erkl¨arung der Variabilit¨at des Pflegeaufwandes nebst den DRGs noch die Spit¨aler hinzu, verbessert sich die Varianzreduktion markant auf 46% (Inliers). Bei den Pflegekosten betr¨agt sie 49%. Mit Quantilen f¨ ur die LEP Minuten wurden f¨ unf Pflegeaufwandkategorien pro DRG gebildet. F¨ ur die Vorgehensweise fehlt jedoch eine klinische Begr¨ undung. In den einzelnen SwissDRGs zeigen sich in den Kategorien oft sehr grosse Spannweiten. F¨ ur eine Kategorisierung sind neben den DRGs zus¨atzliche erkl¨arende Variablen klinischer Art n¨otig (z.B. Pflegeindikatoren). Es k¨onnten auch Aufwandkategorien pro Tag gebildet werden. Der mittlere Leistungsaufwand der untersuchten 213 DRGs pro Tag liegt zwischen rund

91


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 297

Diskussion und weiteres Vorgehen

92

2.2 und 6.7 Stunden. Der Ausreisseranteil (Kurz- und Langlieger) betr¨agt 5.6%. Fischer (2002, S.189, 6.2% der F¨alle) stellt mit rund 21.2% der Pflegetage und 22.5% der LEP Stunden einen leicht h¨oheren Anteil gegen¨ uber den 18% Aufenthaltstagen und 18.4% LEP-Stunden in dieser Analyse fest. Auf den ersten Blick zeigen sich keine Gemeinsamkeiten zwischen den 10 DRGs mit den gr¨ossten Pflegekostenanteilen der Langlieger, resp. zwischen den 10 DRGs mit den gr¨ossten Pflegeaufwandanteilen der Langlieger. Diese DRGs w¨aren interessant, um Effekte von zus¨atzlichen erkl¨arenden Variablen (z.B. Pflegeindikatoren) zu untersuchen. Grenzen Eine ernsthafte Kritik an der Analyse ist in der Datenqualit¨at der Pflegekosten zu orten. Anhand grafischer Darstellungen l¨asst sich relativ einfach illustrieren, dass 2006 einige Netzwerkspit¨aler die Pflegekosten nicht immer nachvollziehbar oder leistungs- und fallbezogen berechnen. Es gibt z.B. DRGs, bei welchen Pflegeaufwand und Pflegekosten sehr gut korrelieren, gegen¨ uber diesen stehen aber DRGs, wo zwar LEP Minuten erfasst wurden, sich die entsprechenden Pflegekosten aber lediglich zwischen 0 und 1 Franken bewegen. Eine weitere Kritik ist, dass sich die Unterschiede der Erfassung der LEP Daten zwischen den Spit¨alern nur teilweise kontrollieren lassen. Letztlich muss kritisiert werden, dass auch zur Datenqualit¨at der grouperrelevanten ICD und CHOP Codes keine Daten vorliegen. Auch aus statistischer Sicht gibt es einige Vorschl¨age f¨ ur weitere Verbesserungen: Alternative Kennzahlen f¨ ur die Homogenit¨ at Der Homogenit¨atskoeffizient hat sich nicht unbedingt bew¨ahrt. Beispielsweise konnten auch innerhalb sehr homogener DRGs relativ grosse Unterschiede zwischen den Spit¨aler festgestellt werden. Etwas geeigneter k¨onnten die folgenden beiden Kennzahlen sein: s1 =

q3 − q1 q3 + q1

oder s 2 = q3 − x ¯. Dabei bezeichnen q1 und q3 das 1. und 3. Quartil. s1 ist der Quartilsvariationskoeffizient. Eine weitere alternative M¨oglichkeit ist die Beurteilung der Homogenit¨at anhand der Lorenzkurve (Stichw¨orter: Gini-Koeffizient oder Entropie). Regressionsmodell Um die Unterschiede zwischen den DRG mit den Unterschieden zwischen den Spit¨alern vergleichen zu k¨onnen, w¨ urde sich die Sch¨atzung eines Regressionsmodells anbieten. Der Vorteil dabei w¨are die M¨oglichkeit, weitere erkl¨arenden Variablen zu ber¨ ucksichtigen. Solche weiteren erkl¨arenden Variablen w¨aren zum Beispiel Pflegeindikatoren, Eintrittsart etc.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 298

Diskussion und weiteres Vorgehen

93

Bezogen auf die Fragestellungen der quantitativen Analyse des Pflegeaufwandes kann zusammengefasst werden, dass diejenigen SwissDRGs 0.1 definiert sind, die betreffend Pflegekosten und –leistungen eine sehr unbefriedigende und eine unbefriedigende Homogenit¨at aufweisen. Die Analyse macht sichtbar, dass es zwischen den Netzwerkspit¨alern teilweise grosse Unterschiede gibt. Allerdings k¨onnen diese Unterschiede im Rahmen einer deskriptiven Analyse nicht schl¨ ussig interpretiert werden. Aufwandkategorien, die u ¨berzeugen, konnten in dieser Analyse nicht gebildet werden. Die Ausreisseranteile betreffend Pflegekosten und Pflegeleistungen sind aufgezeigt. Die Ergebnisse liefern eine weitreichende Grundlage f¨ ur die nachfolgende Projektphase “Modellentwicklung Pflege und DRG” mit dem Ziel einer angemessenen Abbildung der Pflege in einem voraussichtlich ab 2012 “scharf gestellten” SwissDRG-System.

9.1 Empfehlungen F¨ ur die Verbesserung von SwissDRGs mit unbefriedigender Homogenit¨at betreffend Pflegekosten und –leistungen sollten f¨ ur die “Modellentwicklung Pflege und DRG” Pflegeindikatoren einbezogen werden. Gest¨ utzt auf Literatur kann angenommen werden, dass solche Instrumente vorhanden sind (vgl. DPR, Deutscher Pflegerat; 2008, insbesondere S. Literaturanalyse). Die Beurteilung dieser Instrumente bez¨ uglich ihrer Eignung, Pflege angemessen im DRG-System abbilden zu k¨onnen, kann nur anhand von Tests durchgef¨ uhrt werden. Kriterien sind beispielsweise Verbesserung der Homogenit¨at, Varianzreduktion und Kostenrelevanz. Grunds¨atzlich wird eine Stichprobengr¨osse von rund n = 25 SwissDRGs mit allen Partitionen (M, O, A) empfohlen, um die Modellentwicklung in einem eingrenzbaren Rahmen durchf¨ uhren, resp. Indikatoren testen zu k¨onnen. Empfehlung 1 Datenqualit¨at • Der Einfluss der unterschiedlichen Kalkulationsmethoden der Pflegekosten respektive Kostentr¨agerrechnungen ist zu u ¨berpr¨ ufen • Der Einfluss unterschiedlicher Lohn- und Pflegestrukturen (z.B. Auslagerung der Hotellerie) sowie der Produktivit¨at (fallunabh¨angige Kosten/“C-Wert”) auf die Pflegekosten ist zu u ¨berpr¨ ufen • Die Qualit¨at der Pflegleistungsdaten (LEP) und der grouperrelevanten Daten (ICD, CHOP) ist zu u ¨berpr¨ ufen Empfehlung 2 Auswahl der SwissDRGs f¨ ur die Modellentwicklung: • Aus den in dieser Arbeit identifizierten 24 SwissDRGs 0.1 (siehe 9.2) ¨ • Mit Einbezug klinischer Expertenmeinungen (Pflege, Arzte) und Experten SwissDRG-System. (Arbeitsfrage: Warum liegt in dieser DRG eine unbefriedigende Homogenit¨at vor respektive l¨asst sich diese voraussichtlich mit Pflegeindikatoren verbessern?) • Wird die Stichprobengr¨osse aufgrund der Expertenmeinungen zu klein, Erweiterung der zur Auswahl stehenden SwissDRGs gem¨ass Systematisierung 9.2.1


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 299

Diskussion und weiteres Vorgehen

94

• Die SwissDRGs 0.1, die in 0.2 nicht mehr unver¨andert vorliegen, sollten in Nachfolgeuntersuchungen in ihren adaptierten Formen u ¨berpr¨ uft werden und die Ergebnisse ggf. in die Modellentwicklung mit aufgenommen werden. Empfehlung 3 Statistische Kennzahlen und Methoden: • F¨ ur weitere Untersuchungen sind alternative Kennzahlen f¨ ur die Homogenit¨at zu pr¨ ufen. • Regressionsanalyse: um die Unterschiede zwischen den DRGs mit den Unterschieden zwischen den Spit¨alern vergleichen zu k¨onnen, sind weitere erkl¨arende Variablen zu ber¨ ucksichtigen, z.B. nebst Pflegeindikatoren der Aufenthaltsort vor dem Eintritt. • Anwendung von alternativen Regeln, jedoch zus¨atzlich und immer in Absprache mit CMO SwissDRG AG; z.B. f¨ ur F¨alle mit nicht nachvollziehbaren Pflegekosten (“0 bis 1 Franken”). Empfehlung 4 Operationalisierung des Leistungsaufwandes: • Der Nutzen einer Differenzierung der Pflegeleistungseinheiten (PRN, LEP oder andere) in eigenverantwortliche und mitverantwortliche (“verordnete”) Leistungen sowie in direkt und nicht direkt dem Patienten zuordenbare Leistungen ist zu u ¨berpr¨ ufen. • Der Einbezug, resp. die Abgrenzung der Intensivpflegef¨alle f¨ ur die Modellentwicklung ist festzulegen. • Eine fl¨achendeckende Erfassung der Leistungsdaten muss gesichert sein. Die Option, den Pflegeaufwand nebst Normzeiten (PRN, LEP) direkt in der Praxis zu messen (“Echt”-Zeiten; “Real”-Zeitwerte) ist mit allen damit verbundenen Vor- und Nachteilen zu u ¨berpr¨ ufen. Empfehlung 5 Integration ins SwissDRG System: • Die verschiedenen M¨oglichkeiten, Pflegeindikatoren in den Gruppierungsalgorithmus einzubauen, sind vor der Modellentwicklung in Absprache mit dem CMO SwissDRG AG zu definieren.

9.2 DRGs f¨ ur weitere Untersuchungen Aus der vorliegenden Studie sollen DRGs empfohlen werden, welche sich in einer weiteren Untersuchung zur genaueren Betrachtung eignen. In diesem Abschnitt werden solche DRGs datengest¨ utzt ermittelt.

9.2.1 Vorgehen DRGs werden nach dem in Diagramm 9.2.1 demonstrierten Vorgehen eingegrenzt.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 300

Diskussion und weiteres Vorgehen

95

401 DRGs

DRG in Version 2?

nein

75 DRGs

ja 326 DRGs

sign.

sign.

nein

Hlm ≤ 0.67 und Hpk ≤ 0.67

235 DRGs

ja 91 DRGs

Case-Load > median(Case-Loads)

nein

46 DRGs

ja 45 DRGs

DRG geh¨ort unter den verbleibenden DRGs zu den 10 DRGs mit • gr¨osster Inhomogenit¨at bei den Pflegekosten oder • gr¨osster Inhomogenit¨at zwischen Spit¨alern bez. Pflegekosten oder

nein

21 DRGs

• gr¨osster Inhomogenit¨at bei den LEP-Minuten oder • gr¨osster Inhomogenit¨at zwischen Spit¨alern bez. LEP-Minuten ja 24 DRGs Abbildung 9.2.1: Vorgehen zur Eingrenzung von DRGs. Case-Load ist die Multiplikation der Anzahl F¨alle mit den mittleren Pflegekosten einer DRG.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 301

Diskussion und weiteres Vorgehen

96

9.2.2 Resultierende DRGs Aus dem demonstrierten Vorgehen resultieren 24 DRGs, welche f¨ ur eine genauere Untersuchung empfohlen werden. Diese DRGs sind in Tabelle 9.2.1 beschrieben. Tabelle 9.2.1: DRGs, welche aufgrund der vorliegenden Daten f¨ ur weitere Untersuchungen vorgeschlagen werden. DRG

DRG Beschreibung

Partition

MDC

MDC Beschreibung

B76E

Anf¨ alle, ein Belegungstag oder ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC Andere OR-Prozeduren an den Atmungsorganen ohne aufw¨ andigen Eingriff Andere große Eingriffe am Thorax außer bei b¨ osartiger Neubildung Bronchitis und Asthma bronchiale, Alter > 0 Jahre und ein Belegungstag und Alter > 1 Jahr und Alter < 56 Jahre und ohne ¨ außerst schwere oder schwere CC Neubildungen der Atmungsorgane, mehr als ein Belegungstag, mit a ¨ußerst schweren CC oder starrer Bronchoskopie Neubildungen der Atmungsorgane, ein Belegungstag oder ohne a ¨ußerst schwere CC und ohne starre Bronchoskopie Andere Infektionen und Entz¨ undungen der Atmungsorgane außer bei Zustand nach Organtransplantation, mit komplexer Diagnose oder a ¨ußerst schweren CC Synkope und Kollaps

M

MDC 01

O

MDC 04

Krankheiten und St¨ orungen des Nervensystems Krankheiten und St¨ orungen der Atmungsorgane

O

MDC 04

M

MDC 04

M

MDC 04

Krankheiten und St¨ orungen der Atmungsorgane

M

MDC 04

Krankheiten und St¨ orungen der Atmungsorgane

M

MDC 04

Krankheiten und St¨ orungen der Atmungsorgane

M

MDC 05

O

MDC 06

G17Z

Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm mit komplexem Eingriff oder komplizierender Diagnose Andere Rektumresektion

Krankheiten und St¨ orungen des Kreislaufsystems Krankheiten und St¨ orungen der Verdauungsorgane

O

MDC 06

G65Z

Obstruktion des Verdauungstraktes

M

MDC 06

I05Z

Anderer großer Gelenkersatz oder Revision oder Ersatz des H¨ uftgelenkes ohne komplizierende Diagnose, ohne Arthrodese, ohne komplexen Eingriff, mit a ¨ußerst schweren CC

O

MDC 08

E02B

E05B E69C

E71A

E71B

E77B

F73Z G02Z

Krankheiten und St¨ orungen der Atmungsorgane Krankheiten und St¨ orungen der Atmungsorgane

Krankheiten und St¨ orungen der Verdauungsorgane Krankheiten und St¨ orungen der Verdauungsorgane Krankheiten und St¨ orungen an Muskel-Skelett-System und Bindegewebe

Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 302

Diskussion und weiteres Vorgehen

97

Tabelle 9.2.1: DRGs, welche aufgrund der vorliegenden Daten f¨ ur weitere Untersuchungen vorgeschlagen werden. DRG

DRG Beschreibung

Partition

MDC

MDC Beschreibung

I08B

Andere Eingriffe an H¨ uftgelenk und Femur mit Mehrfacheingriff, mit komplexer Prozedur oder Diagnose oder mit a ¨ußerst schweren CC Komplexe Eingriffe an Humerus, Tibia, Fibula und Sprunggelenk mit Mehrfacheingriff oder komplexer Prozedur oder komplexer Diagnose Komplexe Eingriffe an Humerus, Tibia, Fibula und Sprunggelenk, ohne Mehrfacheingriff, ohne komplexe Prozedur, ohne komplexe Diagnose Lokale Exzision und Entfernung von Osteosynthesematerial an H¨ uftgelenk und Femur oder komplexe Eingriffe an Ellenbogengelenk und Unterarm Nicht operativ behandelte Erkrankungen und Verletzungen im Wirbels¨ aulenbereich, mehr als ein Belegungstag, Alter < 56 Jahre, ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC Verletzung der Haut, Unterhaut und Mamma, Alter > 70 Jahre oder schwere CC Erkrankungen des retikuloendothelialen Systems, des Immunsystems und Gerinnungsst¨ orungen mit komplexer Diagnose oder CC OR-Prozedur bei infekti¨ osen und parasit¨ aren Krankheiten ohne komplexe OR-Prozedur, außer bei Zustand nach Organtransplantation, außer bei Sepsis Sepsis ohne komplizierende Prozeduren, außer bei Zustand nach Organtransplantation mit a ¨ußerst schweren CC, Alter > 15 Jahre oder mit komplizierenden Prozeduren oder bei Zustand nach Organtransplantation, ohne a ¨ußerst schwere CC, Alter > 15 Jahre Ess-, Zwangs- und Pers¨ onlichkeitsst¨ orungen und akute psychische Reaktionen oder psychische St¨ orungen in der Kindheit

O

MDC 08

Krankheiten und St¨ orungen an Muskel-Skelett-System und Bindegewebe

O

MDC 08

Krankheiten und St¨ orungen an Muskel-Skelett-System und Bindegewebe

O

MDC 08

Krankheiten und St¨ orungen an Muskel-Skelett-System und Bindegewebe

O

MDC 08

Krankheiten und St¨ orungen an Muskel-Skelett-System und Bindegewebe

M

MDC 08

Krankheiten und St¨ orungen an Muskel-Skelett-System und Bindegewebe

M

MDC 09

M

MDC 16

Krankheiten und St¨ orungen an Haut, Unterhaut und Mamma Krankheiten des Blutes, der blutbildenden Organe und des Immunsystems

O

MDC 18B

Infekti¨ ose und Krankheiten

parasit¨ are

M

MDC18B

Infekti¨ ose und Krankheiten

parasit¨ are

M

MDC 19

Psychische Krankheiten und St¨ orungen

I13A

I13B

I21Z

I68C

J65A

Q60A

T01C

T60C

U66Z

Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 303

Diskussion und weiteres Vorgehen

98

Tabelle 9.2.1: DRGs, welche aufgrund der vorliegenden Daten f¨ ur weitere Untersuchungen vorgeschlagen werden. DRG

DRG Beschreibung

Partition

MDC

MDC Beschreibung

X60Z

Verletzungen und allergische Reaktionen

M

MDC 21B

Z65Z

Beschwerden, Symptome, andere Anomalien und Nachbehandlung

M

MDC23

Verletzungen, Vergiftungen und toxische Wirkungen von Drogen und Medikamenten Faktoren, die den Gesundheitszustand beeinflussen, und andere Inanspruchnahme des Gesundheitswesens


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 304

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 305

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 306

Literaturverzeichnis

101

Thompson, J. and Diers, D. (1991). Nursing Resources, in B. Fetter, D. Brand and D. Gamache (eds), DRGs. Their Design and Development, Ann Arbor: Health Administration Press, pp. 121–183. Venables, W. N. and Ripley, B. D. (2002). Modern Applied Statistics with S, fourth edn, Springer, New York. http://www.stats.ox.ac.uk/pub/MASS4. Welton, J. and Halloran, E. (2005). Nursing diagnoses, diagnosis-related groups, and hospital outcomes, Nurs Adm (35): 541–549.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 307

A Anhang A.1 Beispiel der Berechnung eines Homogenit¨ atskoeffizienten Der Homogenit¨atskoeffizient berechnet sich aus: H hxi =

sx x ¯

1 +1

Konkretes Beispiel: Eine bestimmte DRG hat F¨alle mit den folgenden Pflegekosten in Schweizerfranken: 1647.6 SFr., 1311.1 SFr., 1594.5 SFr., 1619.6 SFr., 1269.6 SFr., 636.3 SFr., 974.0 SFr., 412.2 SFr., 858.3 SFr., 3365.9 SFr. daraus ergibt sich einen Mittelwert von 10 1 1X xi = (1647.6 + 1311.1 + ... + 858.3 + 3365.9) = 1368.91 n i=1 10

x ¯=

und eine Standardabweichung von

sx

v u u = t

10 1 X (xi − x ¯)2 10 − 1 i=1

r

1 ((1647.6 − 1368.91)2 + ... + (3365.9 − 1368.91)2 ) 9 = 820.6546

=

und damit ein Homogenit¨atskoeffizient von H=

sx x ¯

1 = +1

1 820.6546 1368.91

+1

= 0.6251974

A.2 Erg¨ anzungen zu Analyse der Pflegekosten pk all Mittelwert der Pflegekosten in SFr., alle F¨alle pk inl Mittelwert der Pflegekosten in SFr., nur Inliers q5% 5%-Quantil der Pflegekosten in SFr., alle F¨alle

102


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 308

Anhang

103

q95% 95%-Quantil der Pflegekosten in SFr., alle F¨alle Hpk Homogenit¨atskoeffizient der Pflegekosten, alle F¨alle Hpk ± 1.96 · se hHpk i 95% Konfidenzintervall f¨ ur den Homogenit¨atskoeffizienten Hpk,inl Homogenit¨atskoeffizient, nur Inliers pk gk

Mittlerer Anteil der Pflegekosten an den Gesamtkosten in Prozent.

Tabelle A.2.1: Tabelle mit diversen statistischen Kenngr¨ ossen bez¨ uglich den Pflegekosten f¨ ur 401 DRGs. DRG

MDC

Part.

A13E A17B A60B B02D B02E B04D B05Z B09Z B14Z B17Z B18Z B20Z B61Z B63Z B64B B66B B67B B67C B68B B69E B70C B70E B70H B71C B71D B72B B73Z B75Z B76C B76D B76E B77Z B78Z B79Z B80Z

A A A B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B

O O A M M M O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O

n

pk

pkinl

89 182 106 114 54 225 184 119 390 428 66 587 350 506 137 408 222 178 243 789 155 1927 151 186 496 120 118 351 59 215 1570 615 1051 282 4170

3879 10291 2777 10735 12755 2412 609 1922 4326 1250 3396 4927 3483 3096 1760 2107 3788 2485 1671 1309 4845 3649 320 3231 1683 3414 1631 890 3958 2654 889 944 924 1276 481

4375 10452 2937 11042 10390 2392 736 1877 4413 1287 3476 5177 4878 3670 1869 2235 4288 2517 1717 1371 5043 3918 432 3309 1958 3210 1685 955 3788 2710 1039 943 1074 1421 505

q5%

q95%

1854 12637 6366 26595 1506 10530 4956 44003 4459 51327 1430 8075 433 2001 1373 8680 2660 12268 720 4447 1845 7517 3125 12626 1423 15224 1399 10338 206 6239 703 10416 1827 13858 1292 7352 907 4088 743 4092 2473 17615 2003 12410 0 1729 1601 10215 819 4747 1539 11571 745 4543 442 2455 1513 13739 1178 9659 302 4468 385 3171 389 4171 744 3929 287 1506 Tabelle wird

Hpk

Hpk ± 1.96 · se hHpk i

Hpk,inl

0.56 [0.52,0.6] 0.64 [0.62,0.67] 0.62 [0.59,0.66] 0.55 [0.52,0.58] 0.55 [0.5,0.59] 0.64 [0.62,0.67] 0.70 [0.65,0.74] 0.65 [0.62,0.69] 0.63 [0.61,0.65] 0.62 [0.6,0.64] 0.65 [0.61,0.68] 0.64 [0.62,0.66] 0.55 [0.53,0.57] 0.58 [0.56,0.59] 0.51 [0.48,0.54] 0.53 [0.51,0.54] 0.58 [0.55,0.6] 0.59 [0.56,0.62] 0.64 [0.62,0.66] 0.60 [0.58,0.61] 0.58 [0.55,0.61] 0.60 [0.59,0.61] 0.46 [0.43,0.49] 0.58 [0.56,0.61] 0.60 [0.58,0.61] 0.59 [0.56,0.62] 0.58 [0.55,0.61] 0.59 [0.57,0.6] 0.53 [0.48,0.57] 0.57 [0.55,0.6] 0.53 [0.52,0.54] 0.56 [0.55,0.57] 0.54 [0.53,0.55] 0.62 [0.59,0.65] 0.60 [0.59,0.61] auf der n¨ achsten Seite

pk gk

0.56 8% 0.61 23% 0.53 32% 0.52 25% 0.56 35% 0.62 18% 0.54 23% 0.63 22% 0.60 27% 0.57 21% 0.63 24% 0.61 20% 0.39 28% 0.59 41% 0.48 27% 0.47 31% 0.53 38% 0.58 30% 0.62 30% 0.57 26% 0.52 34% 0.57 37% 0.41 13% 0.56 35% 0.56 29% 0.59 36% 0.56 30% 0.56 37% 0.51 29% 0.49 33% 0.43 24% 0.55 25% 0.46 28% 0.49 32% 0.51 29% fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 309

Anhang

104

Tabelle A.2.1: Tabelle mit diversen statistischen Kenngr¨ ossen bez¨ uglich den Pflegekosten f¨ ur 401 DRGs. DRG

MDC

Part.

B81Z C01Z C04B C06Z C07Z C08Z C10B C17Z C19Z C20B C60Z C61Z C62Z C63Z C64Z D03Z D06B D12B D13Z D22B D24B D25B D28Z D29Z D30A D30B D36Z D37Z D38Z D40Z D61A D61B D62Z D63Z D66Z D67Z E02B E05A E05B E06Z E40B E60Z E61Z E63Z E64A E65A E65B

B C C C C C C C C C C C C C C D D D D D D D D D D D D D D D D D D D D D E E E E E E E E E E E

O O O O O O O O O O O O O O O A A M M M M M O O A A M M O O O O O O O O O O O O O O O O O O O

n

pk

pkinl

584 63 79 387 1376 1460 148 232 113 330 93 117 114 85 192 111 568 469 390 178 231 66 234 78 332 2833 494 319 896 70 217 631 206 1767 284 534 454 325 240 217 162 149 929 262 147 681 1090

1858 2286 1649 1272 1532 893 1020 1650 1447 1121 2849 1913 1026 1798 999 3003 1505 1438 881 1639 3319 1548 1783 1832 1134 1054 1206 1545 1019 1273 1269 978 1241 1095 1184 918 3282 6298 4746 4306 6684 4329 2142 855 6395 3486 2208

1976 2413 1587 1323 1581 975 1030 1604 1522 1200 2786 1901 1266 1903 1049 3134 1517 1487 876 1680 3229 1694 1771 1737 1128 1114 1261 1578 1088 1440 1279 1010 1332 1171 1188 1035 4156 6255 4873 4443 6673 5696 2366 1065 6495 3708 2338

q5%

q95%

726 7539 1712 7419 992 2778 591 4835 871 3686 557 2106 834 1628 1190 2865 1120 2773 838 3670 1460 9165 1278 4109 554 4620 1048 6724 736 2357 2004 6756 1056 3309 881 5626 638 1519 1127 3794 1556 12959 1005 4311 1121 4350 1140 4996 715 2355 698 2381 714 2841 933 3525 624 2519 748 3013 593 2909 473 3329 662 3828 600 3535 610 3431 425 4228 1352 16065 4751 14839 2650 12754 2357 11623 2290 25003 2133 15620 1201 6863 329 4468 2736 21994 2010 10762 1342 5231 Tabelle wird

Hpk

Hpk ± 1.96 · se hHpk i

Hpk,inl

0.55 [0.54,0.56] 0.66 [0.59,0.73] 0.69 [0.65,0.73] 0.58 [0.57,0.59] 0.66 [0.65,0.67] 0.61 [0.59,0.63] 0.76 [0.74,0.78] 0.75 [0.73,0.77] 0.71 [0.68,0.75] 0.64 [0.61,0.67] 0.63 [0.59,0.67] 0.67 [0.62,0.72] 0.60 [0.56,0.64] 0.65 [0.58,0.71] 0.64 [0.6,0.69] 0.66 [0.63,0.69] 0.69 [0.67,0.7] 0.64 [0.62,0.66] 0.72 [0.7,0.73] 0.68 [0.66,0.7] 0.59 [0.56,0.61] 0.66 [0.61,0.72] 0.67 [0.65,0.69] 0.65 [0.61,0.69] 0.66 [0.64,0.68] 0.68 [0.67,0.68] 0.64 [0.63,0.65] 0.64 [0.62,0.66] 0.64 [0.63,0.65] 0.64 [0.6,0.69] 0.58 [0.55,0.6] 0.57 [0.56,0.59] 0.57 [0.55,0.59] 0.60 [0.59,0.61] 0.61 [0.59,0.63] 0.56 [0.54,0.57] 0.55 [0.53,0.57] 0.68 [0.66,0.7] 0.61 [0.58,0.63] 0.64 [0.62,0.66] 0.53 [0.5,0.55] 0.60 [0.57,0.63] 0.61 [0.59,0.62] 0.54 [0.52,0.56] 0.58 [0.55,0.6] 0.61 [0.59,0.62] 0.63 [0.62,0.65] auf der n¨ achsten Seite

pk gk

0.50 30% 0.55 34% 0.72 22% 0.53 25% 0.63 26% 0.56 20% 0.76 28% 0.77 27% 0.65 34% 0.57 30% 0.61 56% 0.63 31% 0.45 43% 0.57 34% 0.61 44% 0.64 25% 0.67 24% 0.60 25% 0.72 24% 0.66 28% 0.56 20% 0.60 20% 0.66 19% 0.64 25% 0.67 21% 0.64 25% 0.62 19% 0.64 24% 0.59 19% 0.56 35% 0.59 36% 0.55 27% 0.53 33% 0.53 34% 0.58 33% 0.46 24% 0.51 27% 0.65 27% 0.58 27% 0.62 27% 0.52 20% 0.52 36% 0.55 31% 0.45 31% 0.60 36% 0.60 38% 0.63 35% fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 310

Anhang

105

Tabelle A.2.1: Tabelle mit diversen statistischen Kenngr¨ ossen bez¨ uglich den Pflegekosten f¨ ur 401 DRGs. DRG

MDC

Part.

E66Z E67B E68Z E69A E69B E69C E70Z E71A E71B E74Z E75C E77B E77C F04Z F07Z F12Z F19A F19B F21Z F23Z F24B F26Z F31Z F32Z F33Z F35A F39A F39B F40Z F43A F43B F46Z F49C F49F F50Z F52A F52B F54Z F56Z F58Z F60A F60B F62A F62B F62C F63A F63B

E E E E E E E E E E E E E F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F

O O O A A A A M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M

n

pk

pkinl

171 452 351 645 317 1446 854 382 573 97 364 1295 3161 632 103 384 482 1132 63 111 538 289 239 356 777 94 484 1304 81 91 54 119 378 2728 367 92 359 198 827 1618 189 499 180 1217 1554 107 81

1766 1114 1415 2223 1545 1219 2274 3878 2202 2749 1493 4016 2187 6745 12323 1935 2138 1154 7739 7226 1457 1331 5721 5251 5549 2820 900 775 4268 4448 1254 3366 1610 657 1257 2910 1844 3526 828 1132 3546 1784 4194 3825 2477 2971 1418

1925 1168 1469 2593 1669 1305 2410 4150 2694 3115 1473 4345 2257 7111 12285 1993 2209 1232 8452 7094 1494 1315 6060 5321 5685 3642 923 810 4503 5457 6346 3445 1856 685 1251 3111 1894 3694 861 1186 4210 1827 5379 4148 2717 3087 1473

q5%

q95%

737 6452 356 4516 857 5097 1175 6685 1184 4385 739 3231 1285 7544 2087 14039 983 8800 1189 9389 470 4636 2299 12692 1195 6401 5354 19713 6351 27450 784 8439 1088 10778 780 4747 3044 30986 5661 21302 784 4794 896 3479 2641 22372 4182 9966 2968 20146 638 11766 656 2671 560 1557 1519 13873 536 14264 0 8886 1877 10748 736 4910 523 1524 867 3155 1909 10012 1031 4918 1566 14031 0 2825 816 3572 1878 10667 970 5904 2158 15115 2166 11162 1444 7379 1320 9869 782 3990 Tabelle wird

Hpk

Hpk ± 1.96 · se hHpk i

Hpk,inl

0.56 [0.54,0.59] 0.53 [0.51,0.54] 0.62 [0.59,0.64] 0.60 [0.59,0.61] 0.67 [0.64,0.69] 0.63 [0.61,0.64] 0.59 [0.58,0.61] 0.60 [0.58,0.63] 0.57 [0.56,0.59] 0.57 [0.53,0.61] 0.53 [0.51,0.55] 0.60 [0.59,0.61] 0.61 [0.6,0.61] 0.69 [0.67,0.71] 0.61 [0.58,0.64] 0.54 [0.53,0.56] 0.57 [0.55,0.6] 0.65 [0.63,0.66] 0.54 [0.5,0.58] 0.67 [0.63,0.71] 0.59 [0.57,0.6] 0.68 [0.65,0.7] 0.58 [0.56,0.6] 0.72 [0.7,0.74] 0.60 [0.59,0.61] 0.49 [0.46,0.53] 0.70 [0.68,0.72] 0.72 [0.71,0.73] 0.54 [0.51,0.57] 0.50 [0.47,0.54] 0.45 [0.41,0.49] 0.61 [0.58,0.65] 0.60 [0.58,0.62] 0.59 [0.58,0.6] 0.67 [0.65,0.69] 0.57 [0.53,0.61] 0.60 [0.57,0.62] 0.56 [0.54,0.59] 0.53 [0.52,0.55] 0.69 [0.68,0.7] 0.58 [0.55,0.6] 0.57 [0.56,0.59] 0.55 [0.53,0.58] 0.60 [0.59,0.61] 0.61 [0.6,0.62] 0.55 [0.51,0.58] 0.60 [0.56,0.64] auf der n¨ achsten Seite

pk gk

0.52 32% 0.49 28% 0.57 32% 0.49 38% 0.57 45% 0.56 41% 0.54 47% 0.54 37% 0.55 32% 0.58 30% 0.52 31% 0.59 41% 0.56 38% 0.58 16% 0.63 28% 0.50 13% 0.52 23% 0.56 17% 0.59 36% 0.65 17% 0.56 10% 0.64 13% 0.57 19% 0.69 16% 0.59 21% 0.51 17% 0.65 16% 0.66 16% 0.55 14% 0.54 13% 0.51 20% 0.58 30% 0.52 20% 0.60 16% 0.64 14% 0.55 12% 0.58 12% 0.55 23% 0.51 8% 0.60 12% 0.59 33% 0.55 25% 0.52 35% 0.58 39% 0.59 36% 0.56 38% 0.59 30% fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 311

Anhang

106

Tabelle A.2.1: Tabelle mit diversen statistischen Kenngr¨ ossen bez¨ uglich den Pflegekosten f¨ ur 401 DRGs. DRG

MDC

Part.

F65B F66A F66B F67B F67C F69A F70B F71A F71B F71C F72C F73Z F74Z F75A F75C F95Z G02Z G04Z G07Z G08B G09Z G12B G12C G16Z G17Z G18Z G19A G19B G21Z G22B G23A G23B G24Z G25Z G26Z G46B G46C G47Z G48Z G50Z G60A G60B G64C G65Z G66A G66B G67A

F F F F F F F F F F F F F F F F G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G

M M M M M M O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O M M M M M M O O O O O O O O O O O O O O O

n

pk

pkinl

612 76 496 73 474 60 72 192 396 939 233 1993 1330 218 455 270 381 164 144 462 272 188 1111 94 497 2176 72 330 326 998 133 2284 3105 1997 1825 467 425 323 692 376 51 317 118 1138 155 1537 279

2140 3373 1143 1501 1107 3887 540 2900 1541 822 731 1137 568 4039 1542 1591 7226 5579 3378 2077 1095 2267 1203 8461 4115 3977 5613 3051 1871 1691 1212 952 1004 791 793 3449 2339 1332 2552 2246 5124 1776 1493 1305 1182 701 2058

2108 3660 1174 1470 1116 4012 834 2984 1649 836 796 1199 600 4334 1625 1774 6695 5771 3562 2183 1125 2501 1282 7925 4368 4039 6193 3404 2084 1788 1232 1007 1040 826 833 3676 2463 1308 2778 2526 4742 1912 1416 1354 1355 756 2351

q5%

q95%

803 8075 1643 9931 596 4056 891 4408 536 2915 2144 11555 0 4234 1479 7744 719 5830 300 2608 284 2948 450 4215 266 2032 1586 14225 720 6009 976 7577 3572 34079 2511 17926 1862 9430 1232 5440 757 2796 895 10758 497 5688 4917 35622 1781 15113 2211 14555 3279 12985 1617 16291 969 6650 1019 4868 806 2136 632 2158 672 2903 545 1645 516 2504 1745 13258 1298 7333 574 4745 1177 10117 1072 8387 1957 16378 680 6893 773 3926 539 5323 386 3870 326 2269 1053 9638 Tabelle wird

Hpk

Hpk ± 1.96 · se hHpk i

Hpk,inl

0.56 [0.54,0.57] 0.57 [0.53,0.6] 0.58 [0.57,0.6] 0.64 [0.6,0.69] 0.60 [0.58,0.62] 0.59 [0.54,0.63] 0.42 [0.36,0.49] 0.57 [0.55,0.6] 0.56 [0.55,0.58] 0.54 [0.53,0.55] 0.53 [0.51,0.55] 0.55 [0.54,0.56] 0.56 [0.55,0.57] 0.54 [0.52,0.56] 0.56 [0.54,0.57] 0.66 [0.64,0.69] 0.57 [0.56,0.59] 0.58 [0.55,0.61] 0.60 [0.57,0.63] 0.65 [0.63,0.66] 0.69 [0.67,0.71] 0.54 [0.52,0.57] 0.55 [0.54,0.56] 0.61 [0.57,0.64] 0.57 [0.56,0.59] 0.61 [0.6,0.62] 0.63 [0.58,0.67] 0.59 [0.57,0.62] 0.59 [0.57,0.61] 0.64 [0.63,0.65] 0.69 [0.67,0.71] 0.67 [0.67,0.68] 0.68 [0.67,0.68] 0.70 [0.69,0.7] 0.66 [0.65,0.67] 0.59 [0.58,0.61] 0.62 [0.6,0.64] 0.56 [0.54,0.58] 0.57 [0.56,0.59] 0.58 [0.56,0.6] 0.55 [0.5,0.59] 0.54 [0.52,0.55] 0.60 [0.56,0.63] 0.55 [0.54,0.56] 0.53 [0.51,0.56] 0.57 [0.56,0.58] 0.60 [0.58,0.62] auf der n¨ achsten Seite

pk gk

0.52 33% 0.61 34% 0.52 26% 0.63 30% 0.59 27% 0.59 29% 0.38 14% 0.58 31% 0.51 27% 0.52 21% 0.46 20% 0.51 27% 0.51 20% 0.55 37% 0.49 24% 0.51 13% 0.58 25% 0.58 28% 0.59 30% 0.57 23% 0.66 17% 0.53 23% 0.49 29% 0.59 27% 0.54 22% 0.58 24% 0.64 24% 0.52 25% 0.53 22% 0.59 23% 0.69 24% 0.62 18% 0.62 20% 0.65 19% 0.58 23% 0.55 32% 0.56 31% 0.55 24% 0.54 31% 0.55 31% 0.56 43% 0.51 32% 0.61 29% 0.51 33% 0.44 26% 0.51 26% 0.50 42% fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 312

Anhang

107

Tabelle A.2.1: Tabelle mit diversen statistischen Kenngr¨ ossen bez¨ uglich den Pflegekosten f¨ ur 401 DRGs. DRG

MDC

Part.

G67B G67C G70B G71Z G72Z G73A H07B H08B H09A H12A H12B H41A H41B H41C H60A H60B H61A H61B H62A H63C H64Z I03Z I05Z I08A I08B I08C I09A I09B I09C I12C I13A I13B I16Z I19Z I20A I20B I20C I21Z I23B I24Z I25Z I27B I27C I28A I28B I29Z I30Z

G G G G G G H H H H H H H H H H H H H H H I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I

O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O A M M M M M M M M M M A M O O O O O O O O O O

n

pk

pkinl

2727 4073 65 842 108 87 126 2860 72 162 441 92 114 435 214 138 89 395 535 99 640 73 933 71 1655 1678 72 142 1060 130 659 3943 116 181 241 379 1606 2816 64 109 113 146 1461 739 413 1366 3692

1474 916 1988 1195 799 1925 2970 1207 7982 3330 1747 5205 2940 1906 3409 2571 4182 2303 2266 1278 1648 5368 4514 6409 3359 3426 7425 4864 3007 1128 3149 2024 1140 4776 2390 1437 1356 1152 1394 799 1644 2068 1154 1380 2090 1259 981

1549 977 1940 1235 868 2465 2928 1229 8571 3668 1800 5489 2971 1945 4126 3062 4444 2676 2367 1372 1766 5155 4436 6380 3615 3544 7790 5233 3147 1245 3225 2104 1203 4840 2698 1508 1378 1209 1281 830 1787 2087 1203 1381 2211 1307 1021

q5%

q95%

866 4649 444 3336 988 7198 568 4757 352 4474 971 7493 1812 11007 801 3579 4544 20263 1782 12825 885 5754 2398 14679 1605 12166 940 7119 1840 13166 1503 7425 2011 15070 1001 7997 1295 6885 653 3801 818 5873 3538 15379 2539 13353 4327 16988 1336 12425 1801 9607 4457 26815 2902 11660 1774 7154 641 7538 1727 9159 1034 6832 682 2624 2216 11660 1347 6905 771 4536 844 4470 627 4133 746 4732 426 4749 770 7104 913 6691 634 3612 852 2993 896 9240 861 3057 545 2491 Tabelle wird

Hpk

Hpk ± 1.96 · se hHpk i

Hpk,inl

0.62 [0.61,0.62] 0.57 [0.57,0.58] 0.56 [0.51,0.61] 0.57 [0.56,0.58] 0.53 [0.5,0.57] 0.62 [0.57,0.66] 0.64 [0.61,0.68] 0.68 [0.67,0.69] 0.61 [0.57,0.65] 0.61 [0.58,0.64] 0.59 [0.58,0.61] 0.56 [0.53,0.59] 0.62 [0.57,0.66] 0.59 [0.57,0.61] 0.59 [0.56,0.61] 0.61 [0.58,0.64] 0.57 [0.54,0.61] 0.58 [0.57,0.6] 0.61 [0.59,0.62] 0.58 [0.55,0.62] 0.59 [0.57,0.6] 0.65 [0.61,0.69] 0.62 [0.61,0.63] 0.67 [0.61,0.72] 0.56 [0.55,0.57] 0.60 [0.59,0.61] 0.61 [0.55,0.66] 0.63 [0.6,0.66] 0.64 [0.63,0.65] 0.60 [0.56,0.64] 0.61 [0.6,0.62] 0.59 [0.59,0.6] 0.66 [0.63,0.69] 0.60 [0.58,0.63] 0.59 [0.57,0.62] 0.61 [0.59,0.63] 0.65 [0.64,0.66] 0.61 [0.6,0.61] 0.64 [0.61,0.68] 0.61 [0.57,0.66] 0.55 [0.52,0.59] 0.55 [0.53,0.58] 0.61 [0.6,0.62] 0.67 [0.66,0.68] 0.57 [0.55,0.59] 0.66 [0.65,0.67] 0.63 [0.62,0.63] auf der n¨ achsten Seite

pk gk

0.56 35% 0.52 30% 0.55 31% 0.52 27% 0.36 23% 0.49 31% 0.62 25% 0.64 18% 0.66 26% 0.55 30% 0.56 26% 0.57 31% 0.60 29% 0.55 25% 0.52 31% 0.53 30% 0.56 34% 0.57 33% 0.59 32% 0.54 23% 0.48 32% 0.66 23% 0.62 26% 0.60 27% 0.55 27% 0.61 29% 0.57 26% 0.64 24% 0.60 20% 0.52 26% 0.60 26% 0.56 25% 0.64 21% 0.59 18% 0.58 27% 0.58 25% 0.61 25% 0.56 20% 0.64 26% 0.57 18% 0.50 23% 0.54 23% 0.54 22% 0.67 18% 0.50 25% 0.62 18% 0.61 19% fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 313

Anhang

108

Tabelle A.2.1: Tabelle mit diversen statistischen Kenngr¨ ossen bez¨ uglich den Pflegekosten f¨ ur 401 DRGs. DRG

MDC

Part.

I31Z I32Z I43Z I44B I47Z I50A I53Z I54Z I57C I62Z I65B I66B I68A I68B I68C I68D I69Z I71Z I72B I73Z I74A I74B I75A I75B I76A I76B I77Z I78Z J03B J07Z J08B J09Z J10A J10B J11A J13Z J15Z J21Z J22B J23Z J25Z J60Z J61B J62B J64A J64B J65A

I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I J J J J J J J J J J J J J J J J J J J

O A A A A M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M O A O O O O O O O

n

pk

pkinl

82 1621 2132 65 3392 198 2034 66 56 463 167 251 247 1408 1574 570 1265 605 176 276 200 630 92 266 108 144 655 271 140 352 137 782 89 936 380 442 626 203 483 768 174 147 106 63 69 1826 961

1701 835 4024 3924 3757 2700 2067 4308 1082 2850 2741 2928 2727 2523 1622 400 2729 1501 1297 1528 2365 698 3047 933 2233 2097 1353 793 4238 2010 7554 761 1930 1339 2013 1020 1699 2665 1281 2753 1688 5807 5445 1768 4729 1473 1684

1737 909 4003 3822 3810 2756 2131 5304 1212 3125 2858 2963 2737 2771 1838 445 3167 1556 1156 1524 2523 753 3293 1050 2643 2224 1395 872 4724 2046 7017 826 1822 1378 1914 1068 1761 2580 1294 2802 1783 5575 5606 2788 4934 1506 1738

q5%

q95%

831 4598 485 3028 2847 7625 2428 6609 2659 7826 1456 8195 1491 5165 1625 14269 611 3819 1239 8966 1165 10300 1763 10089 1191 9126 1352 8257 926 4573 188 1332 1279 9513 559 5251 551 4479 616 6367 1418 6211 329 2612 1376 7540 409 4107 809 7737 724 8887 535 5424 298 3139 1421 19613 1358 4546 2669 25714 493 2153 911 5757 633 5598 639 10779 651 2531 1082 4799 1125 9819 568 4470 1677 6803 933 4090 2899 20291 4086 11081 750 7561 2544 13529 750 4996 744 6133 Tabelle wird

Hpk

Hpk ± 1.96 · se hHpk i

Hpk,inl

0.58 [0.54,0.63] 0.63 [0.62,0.64] 0.71 [0.7,0.72] 0.68 [0.64,0.72] 0.70 [0.7,0.71] 0.60 [0.58,0.62] 0.70 [0.69,0.71] 0.54 [0.49,0.58] 0.63 [0.57,0.69] 0.56 [0.55,0.58] 0.56 [0.54,0.59] 0.61 [0.59,0.64] 0.57 [0.55,0.59] 0.61 [0.6,0.62] 0.62 [0.61,0.63] 0.54 [0.52,0.56] 0.57 [0.56,0.58] 0.55 [0.54,0.56] 0.56 [0.53,0.58] 0.55 [0.53,0.57] 0.62 [0.58,0.65] 0.55 [0.54,0.57] 0.57 [0.54,0.6] 0.56 [0.53,0.58] 0.55 [0.52,0.58] 0.52 [0.49,0.55] 0.55 [0.54,0.56] 0.52 [0.5,0.54] 0.52 [0.5,0.55] 0.68 [0.67,0.7] 0.55 [0.52,0.57] 0.65 [0.64,0.67] 0.62 [0.59,0.65] 0.58 [0.57,0.59] 0.52 [0.51,0.54] 0.67 [0.65,0.68] 0.64 [0.63,0.66] 0.57 [0.54,0.59] 0.55 [0.54,0.57] 0.65 [0.64,0.66] 0.62 [0.6,0.64] 0.59 [0.56,0.61] 0.69 [0.66,0.73] 0.57 [0.52,0.61] 0.59 [0.54,0.64] 0.59 [0.58,0.6] 0.56 [0.55,0.57] auf der n¨ achsten Seite

pk gk

0.58 20% 0.55 18% 0.71 23% 0.70 23% 0.69 25% 0.60 24% 0.65 25% 0.58 35% 0.56 19% 0.56 44% 0.58 34% 0.56 34% 0.55 41% 0.58 36% 0.54 31% 0.53 23% 0.58 37% 0.52 30% 0.58 31% 0.53 31% 0.58 38% 0.50 25% 0.59 43% 0.47 29% 0.50 31% 0.49 31% 0.53 32% 0.49 25% 0.60 38% 0.67 21% 0.60 38% 0.54 23% 0.62 34% 0.54 26% 0.48 30% 0.62 24% 0.60 20% 0.57 31% 0.54 27% 0.62 25% 0.60 21% 0.57 50% 0.65 48% 0.48 35% 0.60 43% 0.56 36% 0.53 37% fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 314

Anhang

109

Tabelle A.2.1: Tabelle mit diversen statistischen Kenngr¨ ossen bez¨ uglich den Pflegekosten f¨ ur 401 DRGs. DRG

MDC

Part.

J65B J66Z J67A J67B J68Z K03Z K04Z K10Z K11Z K12Z K60A K60B K60C K60D K60E K62Z K64D L03Z L04A L04B L06B L08Z L09A L09B L13B L17Z L18Z L20Z L40Z L43Z L60C L60D L62Z L63A L63B L63C L64A L64B L66Z L68Z M01B M02Z M03Z M04B M05Z M06Z M09B

J J J J J K K K K K K K K K K K K L L L L L L L L L L L L L L L L L L L L L L L M M M M M M M

O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O A A

n

pk

pkinl

1391 538 102 126 59 117 381 131 109 492 76 125 90 108 387 1326 147 111 65 339 228 59 112 391 59 206 1630 745 90 714 162 331 112 481 451 1791 140 1154 1015 394 491 1445 210 1175 115 150 270

633 3651 3079 2176 429 4087 2769 1520 1624 1307 4304 3710 3103 2602 2139 2264 1526 7092 4453 3323 1498 1990 4386 1603 4025 1328 1563 1112 1116 927 4550 2740 2577 2881 1534 1470 1006 565 1051 1275 3620 1704 2142 978 753 1909 1846

634 3666 3019 2210 499 4070 2879 1687 1693 1370 5829 4485 3116 3187 2292 2309 1552 7601 4872 3633 1476 1970 3780 1588 3996 1394 1618 1176 1175 928 5330 3004 2628 3137 1652 1514 1065 586 1080 1354 3613 1757 2168 1009 769 1998 1845

q5%

q95%

350 1637 2120 11145 1443 11311 1005 6432 0 1514 2900 10696 1745 5413 795 5960 964 4881 804 3033 2335 19236 1745 11706 2293 6893 1777 6795 1086 5802 1071 7223 576 6522 3631 25522 2674 12715 1923 9894 969 4812 1460 3536 1672 22510 734 6077 3515 6154 877 2812 1090 4852 742 3258 772 2793 582 1660 2530 14715 1531 8565 882 9284 1865 10284 978 5225 773 5054 633 3206 383 1376 633 3794 767 5288 2814 5941 1343 3524 1401 8382 690 2349 599 1527 1484 3855 1335 3997 Tabelle wird

Hpk

Hpk ± 1.96 · se hHpk i

Hpk,inl

0.61 [0.6,0.62] 0.61 [0.59,0.62] 0.58 [0.54,0.61] 0.59 [0.57,0.62] 0.49 [0.45,0.54] 0.72 [0.69,0.76] 0.68 [0.66,0.69] 0.62 [0.59,0.65] 0.64 [0.6,0.69] 0.67 [0.66,0.68] 0.60 [0.55,0.65] 0.58 [0.55,0.61] 0.66 [0.61,0.7] 0.62 [0.58,0.67] 0.59 [0.57,0.61] 0.57 [0.56,0.58] 0.54 [0.51,0.57] 0.60 [0.57,0.64] 0.67 [0.63,0.72] 0.62 [0.6,0.63] 0.66 [0.64,0.68] 0.74 [0.71,0.77] 0.58 [0.54,0.61] 0.58 [0.56,0.6] 0.81 [0.76,0.86] 0.69 [0.68,0.71] 0.69 [0.68,0.7] 0.68 [0.67,0.69] 0.69 [0.64,0.73] 0.70 [0.68,0.71] 0.61 [0.58,0.63] 0.61 [0.59,0.63] 0.55 [0.52,0.58] 0.64 [0.62,0.65] 0.65 [0.63,0.68] 0.59 [0.59,0.6] 0.64 [0.61,0.67] 0.68 [0.67,0.7] 0.63 [0.61,0.64] 0.61 [0.59,0.63] 0.75 [0.74,0.77] 0.76 [0.75,0.77] 0.65 [0.62,0.69] 0.70 [0.69,0.71] 0.72 [0.68,0.76] 0.73 [0.7,0.77] 0.71 [0.69,0.73] auf der n¨ achsten Seite

pk gk

0.60 29% 0.58 44% 0.56 37% 0.47 40% 0.48 20% 0.69 25% 0.66 16% 0.55 17% 0.61 16% 0.63 17% 0.52 42% 0.44 34% 0.67 32% 0.52 34% 0.51 36% 0.55 38% 0.51 28% 0.57 30% 0.60 33% 0.56 28% 0.64 29% 0.75 26% 0.59 33% 0.57 31% 0.77 23% 0.61 29% 0.63 27% 0.61 22% 0.65 28% 0.70 25% 0.55 35% 0.54 36% 0.51 37% 0.50 37% 0.57 37% 0.55 33% 0.58 25% 0.63 24% 0.58 28% 0.55 31% 0.76 22% 0.71 28% 0.60 28% 0.66 23% 0.69 25% 0.69 34% 0.70 26% fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 315

Anhang

110

Tabelle A.2.1: Tabelle mit diversen statistischen Kenngr¨ ossen bez¨ uglich den Pflegekosten f¨ ur 401 DRGs. DRG

MDC

Part.

M62Z N03B N04Z N05A N05B N06Z N07Z N08Z N09Z N10Z N13A N14Z N21Z N25Z N61Z N62B O01C O01D O01E O02B O03Z O04Z O40Z O60B O60C O60D O61Z O62Z O63Z O64A O64B O65B O65C P65B P66B P66C P66D P67A P67B P67C P67D Q02C Q60A Q60B Q61B Q61D R12C

M N N N N N N N N N N N N N N N O O O O O O O O O O O O O O O O O P P P P P P P P Q Q Q Q Q R

A A A A A A A A A A A A O O O O O O O O O O M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M

n

pk

pkinl

216 150 326 92 815 793 233 88 732 211 185 207 1614 2283 156 107 827 1721 4613 853 414 58 1897 538 2711 14469 299 134 74 641 154 91 1793 73 102 155 380 148 979 1551 16299 132 909 68 161 411 125

1191 3642 2982 2998 1658 1742 1767 1101 864 1042 2779 2293 2141 1122 1565 753 3692 2672 2367 1865 1223 1598 775 2369 1772 1459 1462 945 1290 1766 405 1934 1064 8316 4802 3770 1667 5977 2005 1454 961 2291 2581 1525 3098 1719 2736

1252 3723 2969 3187 1690 1777 1939 1109 856 1068 2918 2379 2247 1230 1553 830 3612 2673 2395 1913 1274 1556 796 2395 1816 1503 1522 958 1296 2640 470 1830 1081 9828 4723 4100 1737 5570 2460 1773 990 2265 2602 1558 3416 1787 2768

q5%

q95%

838 3807 1794 11942 2044 5920 1474 12245 990 3875 970 4564 995 5715 702 3285 578 1795 626 1918 1922 7018 1810 4271 1443 4666 677 3534 963 3767 354 2152 2499 11280 1962 5764 1776 4200 1294 4181 700 2945 959 5179 499 1582 1444 5990 1201 3826 1070 2928 953 3691 497 3146 564 3334 790 9098 171 1570 839 7908 466 4576 0 25739 116 19939 1552 14604 730 6559 1257 32963 871 10277 713 4792 490 2265 1252 8390 1267 9666 873 2797 1529 9837 954 5133 1649 7704 Tabelle wird

Hpk

Hpk ± 1.96 · se hHpk i

Hpk,inl

0.64 [0.6,0.68] 0.60 [0.58,0.63] 0.69 [0.67,0.71] 0.61 [0.58,0.64] 0.64 [0.63,0.65] 0.63 [0.62,0.64] 0.63 [0.61,0.65] 0.65 [0.61,0.69] 0.69 [0.68,0.7] 0.64 [0.62,0.66] 0.69 [0.66,0.72] 0.74 [0.72,0.77] 0.68 [0.68,0.69] 0.64 [0.63,0.64] 0.64 [0.62,0.67] 0.57 [0.54,0.61] 0.67 [0.65,0.69] 0.70 [0.69,0.71] 0.73 [0.72,0.73] 0.69 [0.68,0.71] 0.63 [0.61,0.64] 0.62 [0.56,0.67] 0.66 [0.66,0.67] 0.63 [0.61,0.64] 0.65 [0.64,0.66] 0.70 [0.7,0.7] 0.65 [0.63,0.67] 0.60 [0.57,0.63] 0.56 [0.52,0.59] 0.55 [0.54,0.57] 0.56 [0.53,0.58] 0.58 [0.55,0.62] 0.57 [0.56,0.58] 0.49 [0.45,0.54] 0.49 [0.46,0.53] 0.54 [0.51,0.57] 0.58 [0.56,0.59] 0.49 [0.47,0.52] 0.55 [0.53,0.56] 0.58 [0.57,0.59] 0.59 [0.58,0.59] 0.61 [0.57,0.65] 0.58 [0.56,0.59] 0.64 [0.61,0.68] 0.58 [0.56,0.61] 0.61 [0.59,0.63] 0.64 [0.61,0.67] auf der n¨ achsten Seite

pk gk

0.58 29% 0.57 26% 0.69 26% 0.56 24% 0.62 20% 0.61 25% 0.57 21% 0.64 21% 0.69 25% 0.63 26% 0.62 27% 0.71 25% 0.64 24% 0.57 22% 0.64 44% 0.51 28% 0.66 41% 0.69 36% 0.69 34% 0.65 35% 0.61 20% 0.61 32% 0.64 24% 0.62 40% 0.64 35% 0.67 34% 0.62 52% 0.58 40% 0.56 33% 0.39 39% 0.52 28% 0.60 47% 0.54 36% 0.45 32% 0.48 37% 0.51 47% 0.54 47% 0.49 38% 0.48 47% 0.47 49% 0.58 49% 0.59 28% 0.54 35% 0.62 30% 0.47 35% 0.57 30% 0.63 22% fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 316

Anhang

111

Tabelle A.2.1: Tabelle mit diversen statistischen Kenngr¨ ossen bez¨ uglich den Pflegekosten f¨ ur 401 DRGs. DRG

MDC

Part.

R16Z R61E R61G R62C R65Z S63B T01A T01B T01C T60C T60E T60F T61B T62A T62B T63C T64Z U60Z U63Z U64Z U66Z V60B V60C V62B X04Z X06A X06B X06C X60Z X62Z X63Z X64Z Y03Z Z01Z Z03Z Z64Z Z65Z

R R R R R S T T T T T T T T T T T U U U U V V V X X X X X X X X Y Z Z Z Z

M M M M M M M O O A O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O

n

pk

pkinl

q5%

q95%

Hpk

Hpk ± 1.96 · se hHpk i

Hpk,inl

pk gk

95 67 58 81 91 128 73 62 722 390 320 114 622 91 277 696 382 841 192 775 576 53 944 335 136 148 300 889 1633 2161 927 232 115 1070 106 2834 1571

10405 3986 2273 2298 785 4580 8879 7019 3245 5255 3005 592 1986 2334 1500 1307 2308 158 1827 1941 3729 1794 558 1565 3255 7095 2775 1419 822 515 1463 709 5112 1688 3427 904 1490

10737 3772 2990 2593 889 4299 8912 6627 3774 5515 3089 911 2036 2466 1613 1389 2316 306 1808 1920 4051 2186 562 1519 3358 6980 3121 1463 869 664 1486 908 7018 1747 3462 991 1593

4680 1518 1083 769 434 2231 2615 3025 1339 2835 1729 0 967 1247 838 618 888 0 822 849 1306 942 0 802 1063 2862 1265 693 312 0 611 143 1950 893 2768 294 615

37337 10533 8221 7198 2302 18024 32541 26358 14041 17333 10791 4248 6145 5553 5160 4458 8660 1620 8767 8112 25791 6976 2253 5476 14962 25514 12936 4684 3877 4046 6014 3670 21702 5927 6002 4222 5795

0.55 0.54 0.58 0.53 0.62 0.59 0.52 0.54 0.56 0.59 0.61 0.41 0.59 0.58 0.58 0.58 0.55 0.41 0.56 0.56 0.52 0.55 0.47 0.58 0.52 0.56 0.56 0.58 0.53 0.44 0.55 0.49 0.54 0.60 0.78 0.51 0.55

[0.52,0.58] [0.51,0.58] [0.52,0.64] [0.5,0.56] [0.57,0.66] [0.56,0.62] [0.48,0.55] [0.51,0.58] [0.54,0.57] [0.57,0.61] [0.59,0.63] [0.39,0.44] [0.58,0.61] [0.55,0.62] [0.56,0.61] [0.57,0.59] [0.54,0.57] [0.36,0.47] [0.53,0.59] [0.55,0.58] [0.5,0.53] [0.5,0.61] [0.46,0.48] [0.56,0.6] [0.5,0.55] [0.53,0.58] [0.55,0.58] [0.56,0.59] [0.52,0.54] [0.44,0.45] [0.54,0.56] [0.47,0.51] [0.51,0.58] [0.59,0.61] [0.75,0.82] [0.51,0.52] [0.54,0.55]

0.57 0.56 0.45 0.51 0.55 0.62 0.56 0.58 0.55 0.58 0.59 0.36 0.56 0.60 0.54 0.54 0.53 0.34 0.47 0.48 0.47 0.57 0.46 0.57 0.50 0.58 0.48 0.54 0.47 0.35 0.52 0.33 0.48 0.57 0.77 0.44 0.49

33% 36% 33% 31% 20% 34% 27% 33% 35% 37% 34% 12% 39% 31% 34% 35% 34% 10% 32% 33% 36% 30% 19% 37% 26% 31% 30% 23% 27% 16% 33% 23% 43% 25% 24% 24% 31%

A.3 Erg¨ anzungen zu Analyse der LEP-Minuten lmall Mittlere Anzahl LEP-Minuten in Minuten, alle F¨alle. lminl Mittlere Anzahl LEP-Minuten in Minuten, nur Inliers. lm/dall Mittlere Anzahl LEP-Minuten pro Aufenthaltstag in [min/d], alle F¨alle.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 317

Anhang

112

lm/dinl Mittlere Anzahl LEP-Minuten pro Aufenthaltstag in [min/d], nur Inliers. Hall Homogenit¨atskoeffizient der LEP-Minuten, alle F¨alle Hall ± 1.96 · se hHall i 95% Konfidenzintervall f¨ ur Hall Hinl Homogenit¨atskoeffizient der LEP-Minuten, nur Inliers Tabelle A.3.2: Erg¨ anzende statistische Kennzahlen der LEP-Minuten f¨ ur 261 DRGs. DRG

MDC

Part.

B17Z B61Z B63Z B66B B67B B69E B70E B71C B71D B76D B76E B77Z B78Z B79Z B80Z B81Z D30B D36Z D37Z D38Z D61A D61B D62Z D63Z D66Z D67Z E02B E05A E05B E61Z E63Z E65A E65B E66Z E67B E68Z E69A E69C E71A

B B B B B B B B B B B B B B B B D D D D D D D D D D E E E E E E E E E E E E E

O O A M M M O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O

n

lmall

162 93 175 156 85 267 636 61 220 52 357 180 266 100 1349 188 1014 239 159 363 142 220 111 507 98 116 160 171 98 348 139 264 337 81 100 126 222 271 127

706 2392 1903 1362 2336 786 2271 2334 1108 1483 525 558 839 998 354 1079 604 580 663 573 826 703 763 641 648 546 2382 4143 3380 1436 284 2568 1441 1313 521 1107 1385 642 2743

lminl

lm/dall

lm/dinl

714 257 263 3168 268 306 2450 265 258 1362 263 301 2820 281 291 830 202 213 2512 247 260 2052 204 208 1205 175 179 1338 253 281 564 245 268 509 196 208 858 300 328 1058 316 339 371 303 315 1170 209 225 622 242 250 609 239 254 671 222 231 585 251 265 828 184 194 707 206 220 800 249 260 643 242 248 666 244 258 598 272 279 3128 285 313 4083 329 342 3428 302 324 1603 212 222 466 130 149 2738 253 266 1637 214 227 1443 249 251 585 223 236 1067 254 265 1728 237 250 658 272 281 2779 258 271 Tabelle wird auf der

Hlm

Hlm ± 1.96 · se hHlm i

Hinl

0.64 [0.6,0.68] 0.59 0.52 [0.5,0.55] 0.41 0.57 [0.55,0.59] 0.56 0.56 [0.53,0.59] 0.52 0.60 [0.56,0.63] 0.52 0.61 [0.59,0.63] 0.58 0.59 [0.58,0.6] 0.56 0.59 [0.55,0.63] 0.60 0.59 [0.57,0.61] 0.61 0.59 [0.54,0.63] 0.61 0.58 [0.56,0.59] 0.52 0.56 [0.54,0.59] 0.58 0.54 [0.52,0.56] 0.53 0.57 [0.54,0.59] 0.45 0.69 [0.68,0.7] 0.62 0.56 [0.53,0.59] 0.44 0.72 [0.71,0.73] 0.70 0.69 [0.67,0.71] 0.66 0.69 [0.67,0.71] 0.68 0.72 [0.7,0.73] 0.71 0.64 [0.61,0.66] 0.65 0.58 [0.56,0.6] 0.57 0.62 [0.59,0.66] 0.60 0.64 [0.62,0.65] 0.63 0.63 [0.6,0.66] 0.59 0.61 [0.57,0.64] 0.55 0.54 [0.52,0.57] 0.47 0.68 [0.65,0.71] 0.68 0.59 [0.56,0.62] 0.56 0.61 [0.6,0.63] 0.56 0.57 [0.52,0.62] 0.39 0.60 [0.58,0.62] 0.60 0.60 [0.58,0.62] 0.57 0.56 [0.53,0.6] 0.50 0.55 [0.52,0.58] 0.49 0.62 [0.59,0.65] 0.62 0.62 [0.59,0.65] 0.50 0.60 [0.59,0.62] 0.58 0.58 [0.55,0.62] 0.60 n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 318

Anhang

113

Tabelle A.3.2: Erg¨ anzende statistische Kennzahlen der LEP-Minuten f¨ ur 261 DRGs. DRG

MDC

Part.

E71B E75C E77B E77C F12Z F19B F24B F33Z F39A F39B F49C F60A F60B F62B F62C F65B F66B F67C F71B F71C F72C F73Z F74Z F75A F75C G02Z G08B G09Z G12B G17Z G18Z G19B G21Z G22B G23B G24Z G25Z G26Z G46B G46C G47Z G48Z G50Z G60B G65Z G66A G66B G67B

E E E E F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F F G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G G

O O O O O O O O O O O A A M M M M M O O A A M M O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O A A

n

lmall

236 161 505 1004 149 548 176 233 153 547 134 62 188 339 520 225 179 172 158 339 65 613 445 80 139 107 156 60 71 235 633 105 102 361 732 1148 762 623 169 177 113 253 142 109 367 54 531 786

1460 778 2761 1474 1355 502 1074 3874 690 522 1316 3315 1679 2931 1759 1165 1040 894 1328 762 744 824 564 2649 1158 6486 1174 520 1256 2805 2872 2130 1124 974 601 599 460 486 2353 1421 958 1854 1596 1284 840 834 406 938

lminl

lm/dall

lm/dinl

1804 269 255 830 218 225 2924 291 294 1455 254 266 1372 328 357 550 280 289 1066 288 309 3992 315 328 676 246 259 530 260 270 1437 212 216 3801 402 386 1667 235 282 3091 265 265 1883 226 234 1230 251 286 973 253 276 885 228 242 1322 235 252 761 258 276 678 266 285 858 238 251 552 267 290 2796 254 268 1135 276 309 6010 352 359 1205 228 237 550 215 225 1549 265 257 2829 265 265 2918 256 267 2154 270 289 1265 228 237 1018 242 247 623 237 246 627 235 243 472 251 259 504 273 282 2596 275 275 1506 240 248 982 251 260 2020 259 259 1761 240 240 1407 284 300 846 242 252 797 220 243 427 214 226 956 229 236 Tabelle wird auf der

Hlm

Hlm ± 1.96 · se hHlm i

Hinl

0.55 [0.53,0.56] 0.57 0.51 [0.49,0.54] 0.48 0.60 [0.59,0.62] 0.60 0.59 [0.58,0.6] 0.59 0.54 [0.51,0.57] 0.51 0.70 [0.68,0.73] 0.60 0.61 [0.59,0.64] 0.60 0.58 [0.56,0.6] 0.58 0.73 [0.7,0.76] 0.73 0.72 [0.71,0.74] 0.73 0.65 [0.63,0.68] 0.62 0.61 [0.56,0.65] 0.66 0.62 [0.59,0.64] 0.60 0.60 [0.58,0.61] 0.59 0.60 [0.59,0.62] 0.59 0.55 [0.53,0.57] 0.51 0.57 [0.55,0.59] 0.57 0.60 [0.58,0.62] 0.60 0.61 [0.58,0.64] 0.58 0.60 [0.58,0.62] 0.59 0.60 [0.56,0.64] 0.60 0.58 [0.56,0.59] 0.54 0.61 [0.59,0.62] 0.61 0.58 [0.54,0.62] 0.58 0.57 [0.53,0.61] 0.56 0.55 [0.52,0.58] 0.58 0.68 [0.65,0.71] 0.64 0.68 [0.62,0.74] 0.62 0.59 [0.54,0.64] 0.47 0.58 [0.55,0.6] 0.58 0.59 [0.58,0.6] 0.55 0.57 [0.52,0.63] 0.55 0.58 [0.55,0.61] 0.52 0.65 [0.63,0.67] 0.61 0.71 [0.7,0.72] 0.68 0.70 [0.68,0.71] 0.63 0.75 [0.73,0.76] 0.73 0.69 [0.68,0.71] 0.62 0.60 [0.58,0.62] 0.53 0.63 [0.61,0.66] 0.62 0.60 [0.56,0.63] 0.56 0.58 [0.56,0.6] 0.53 0.57 [0.54,0.6] 0.55 0.53 [0.5,0.55] 0.50 0.56 [0.54,0.58] 0.53 0.57 [0.52,0.62] 0.59 0.61 [0.6,0.63] 0.58 0.63 [0.62,0.65] 0.61 n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 319

Anhang

114

Tabelle A.3.2: Erg¨ anzende statistische Kennzahlen der LEP-Minuten f¨ ur 261 DRGs. DRG

MDC

Part.

G67C G71Z H08B H41C H60A H60B H61B H62A H64Z I05Z I08B I08C I09C I12C I13A I13B I20A I20C I21Z I27C I28A I29Z I30Z I32Z I43Z I47Z I50A I53Z I62Z I65B I68A I68B I68C I68D I69Z I71Z I72B I73Z I74B I75B I77Z I78Z J03B J07Z J09Z J10B J11A J13Z

G G H H H H H H H I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I J J J J J J

A A M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M M

n

lmall

1445 279 946 151 61 50 140 158 187 291 505 515 223 75 204 1311 70 499 1070 503 123 527 1376 587 832 1135 84 457 187 66 119 480 595 188 413 203 67 84 191 91 251 124 64 106 291 340 131 225

578 701 759 1182 2251 1931 1372 1615 937 3308 2227 2549 1758 739 2059 1358 2009 820 740 689 863 723 609 515 2275 2339 1557 1670 1890 2283 1786 1642 1224 243 1790 774 930 1365 512 669 788 569 3083 964 462 593 1650 538

lminl

lm/dall

lm/dinl

618 246 255 680 248 258 779 226 232 1183 237 244 2795 267 281 2118 221 218 1659 258 252 1686 223 230 1020 229 235 3271 302 307 2427 295 296 2551 298 301 1716 202 205 783 259 281 2029 234 237 1381 264 279 1996 225 228 824 235 245 763 294 312 709 256 271 873 247 257 732 251 259 623 282 297 528 279 293 2327 228 232 2413 232 242 1547 233 235 1566 200 205 2114 280 280 2175 237 241 1808 234 243 1765 167 169 1323 160 166 249 243 249 2151 200 196 820 228 245 803 193 205 1222 249 255 546 265 270 684 243 255 861 232 240 638 290 295 2940 248 252 948 201 205 475 261 269 619 245 259 1537 248 258 528 232 240 Tabelle wird auf der

Hlm

Hlm ± 1.96 · se hHlm i

Hinl

0.61 [0.6,0.62] 0.56 0.58 [0.56,0.6] 0.58 0.67 [0.66,0.69] 0.63 0.60 [0.57,0.63] 0.58 0.56 [0.51,0.6] 0.52 0.58 [0.53,0.63] 0.63 0.57 [0.55,0.6] 0.58 0.60 [0.57,0.63] 0.59 0.58 [0.55,0.6] 0.50 0.62 [0.6,0.64] 0.62 0.54 [0.53,0.55] 0.52 0.61 [0.6,0.63] 0.63 0.67 [0.65,0.69] 0.67 0.68 [0.62,0.75] 0.63 0.60 [0.57,0.62] 0.61 0.61 [0.6,0.62] 0.59 0.59 [0.56,0.63] 0.62 0.70 [0.68,0.71] 0.69 0.62 [0.61,0.64] 0.58 0.68 [0.66,0.69] 0.64 0.70 [0.67,0.73] 0.70 0.64 [0.62,0.65] 0.64 0.67 [0.66,0.68] 0.66 0.66 [0.65,0.68] 0.63 0.74 [0.73,0.75] 0.71 0.73 [0.72,0.74] 0.69 0.62 [0.56,0.68] 0.61 0.68 [0.66,0.7] 0.69 0.58 [0.56,0.6] 0.58 0.55 [0.51,0.58] 0.58 0.56 [0.53,0.59] 0.55 0.61 [0.6,0.62] 0.59 0.61 [0.6,0.62] 0.59 0.70 [0.67,0.73] 0.69 0.57 [0.56,0.59] 0.57 0.59 [0.57,0.61] 0.55 0.58 [0.54,0.61] 0.61 0.53 [0.5,0.56] 0.52 0.57 [0.55,0.6] 0.51 0.55 [0.52,0.59] 0.52 0.57 [0.55,0.59] 0.52 0.58 [0.54,0.62] 0.51 0.52 [0.48,0.55] 0.59 0.74 [0.71,0.77] 0.72 0.70 [0.68,0.72] 0.68 0.63 [0.6,0.66] 0.58 0.54 [0.51,0.57] 0.51 0.71 [0.69,0.73] 0.72 n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 320

Anhang

115

Tabelle A.3.2: Erg¨ anzende statistische Kennzahlen der LEP-Minuten f¨ ur 261 DRGs. DRG

MDC

Part.

J15Z J22B J23Z J60Z J64B J65A J65B K12Z K60E K62Z K64D L04B L17Z L18Z L20Z L43Z L60D L62Z L63A L63C L64A L64B L66Z L68Z M01B M02Z M04B M09B M62Z N03B N04Z N05B N06Z N07Z N09Z N10Z N14Z N21Z N25Z O01C O01D O01E O02B O03Z O40Z O60B O60C O60D

J J J J J J J K K K K L L L L L L L L L L L L L M M M M M N N N N N N N N N N O O O O O O O O O

O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O M M M M M M O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O O

n

lmall

226 163 330 62 683 422 486 158 97 362 63 98 78 514 238 267 82 54 99 585 53 479 324 84 179 589 381 104 62 53 108 313 227 80 362 64 73 611 1044 337 635 1636 281 171 957 183 771 5081

681 639 1404 2823 853 1186 388 782 1212 1340 866 1626 816 974 664 491 1539 1322 1902 954 635 394 678 731 2052 1050 636 1132 915 1682 1562 799 844 849 393 431 1387 1123 498 2324 1736 1525 1182 686 340 1514 1266 1091

lminl

lm/dall

lm/dinl

677 227 232 652 244 255 1388 206 207 2727 251 251 875 238 248 1231 274 282 400 274 281 776 212 227 1234 210 242 1443 253 263 814 230 237 1710 243 254 840 226 234 997 233 240 686 259 266 499 181 184 1695 250 262 1459 257 282 1976 238 242 992 230 238 694 259 283 405 240 250 676 251 258 831 242 257 2075 259 263 1080 232 238 639 235 248 1125 249 257 908 210 221 1539 255 254 1555 228 232 810 226 231 815 225 234 866 234 235 393 249 255 439 277 287 1362 210 212 1139 206 208 540 247 257 2128 236 247 1688 245 252 1541 246 252 1198 250 264 689 277 289 363 305 312 1471 248 259 1275 261 275 1097 259 265 Tabelle wird auf der

Hlm

Hlm ± 1.96 · se hHlm i

Hinl

0.65 [0.63,0.67] 0.65 0.63 [0.6,0.65] 0.61 0.67 [0.65,0.69] 0.68 0.62 [0.57,0.66] 0.65 0.60 [0.59,0.62] 0.57 0.57 [0.55,0.58] 0.55 0.67 [0.65,0.68] 0.64 0.72 [0.69,0.75] 0.72 0.63 [0.6,0.66] 0.63 0.57 [0.56,0.59] 0.55 0.53 [0.49,0.57] 0.53 0.61 [0.58,0.65] 0.61 0.71 [0.67,0.76] 0.64 0.69 [0.67,0.71] 0.64 0.68 [0.66,0.7] 0.66 0.74 [0.71,0.76] 0.72 0.63 [0.59,0.67] 0.59 0.51 [0.48,0.54] 0.48 0.60 [0.57,0.63] 0.61 0.59 [0.57,0.6] 0.55 0.64 [0.6,0.69] 0.61 0.69 [0.67,0.7] 0.67 0.60 [0.58,0.62] 0.59 0.57 [0.52,0.62] 0.51 0.77 [0.74,0.79] 0.76 0.73 [0.71,0.76] 0.69 0.69 [0.68,0.71] 0.68 0.66 [0.63,0.7] 0.65 0.59 [0.55,0.63] 0.58 0.56 [0.52,0.6] 0.58 0.71 [0.67,0.74] 0.70 0.66 [0.64,0.68] 0.62 0.63 [0.61,0.65] 0.64 0.65 [0.59,0.71] 0.63 0.78 [0.76,0.8] 0.75 0.81 [0.78,0.85] 0.78 0.77 [0.7,0.84] 0.74 0.72 [0.7,0.73] 0.71 0.69 [0.68,0.71] 0.63 0.65 [0.63,0.68] 0.67 0.70 [0.68,0.71] 0.70 0.71 [0.7,0.72] 0.70 0.63 [0.62,0.65] 0.63 0.67 [0.64,0.7] 0.67 0.79 [0.78,0.8] 0.69 0.65 [0.63,0.68] 0.67 0.67 [0.66,0.68] 0.67 0.70 [0.69,0.7] 0.70 n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 321

Anhang

116

Tabelle A.3.2: Erg¨ anzende statistische Kennzahlen der LEP-Minuten f¨ ur 261 DRGs. DRG

MDC

Part.

O61Z O64A O65C P66D P67B P67C P67D Q60A Q61B Q61D T01C T60C T60E T61B T63C T64Z U60Z U64Z U66Z V60C V62B X06B X06C X60Z X62Z X63Z X64Z Z01Z Z64Z Z65Z

O O O P P P P Q Q Q T T T T T T U U U V V X X X X X X Z Z Z

O O O O O O O O O O O O O O O O O A M M M M M M M M M M A M

n

lmall

lminl

lm/dall

lm/dinl

Hlm

Hlm ± 1.96 · se hHlm i

Hinl

165 202 688 67 195 379 3934 192 62 102 230 124 133 247 161 119 168 180 97 244 156 125 285 543 520 384 63 236 270 404

786 1358 720 1752 1096 883 698 1348 1940 1080 1863 4259 2073 1143 673 1565 228 833 1614 550 1127 1772 809 522 663 841 437 777 467 1064

823 1578 667 1516 1326 1011 695 1280 1786 1146 2163 4468 2139 1174 658 1539 257 872 1617 558 1141 1791 812 575 720 845 530 840 540 1155

234 201 203 255 231 179 160 260 260 242 240 337 233 225 218 238 228 181 186 276 176 270 271 280 354 239 289 264 263 248

245 211 226 246 234 188 165 279 263 258 236 348 242 236 224 251 257 187 198 307 199 261 289 302 389 246 314 274 296 265

0.66 0.58 0.59 0.62 0.62 0.64 0.71 0.57 0.61 0.63 0.56 0.61 0.58 0.58 0.61 0.55 0.55 0.65 0.54 0.58 0.63 0.55 0.60 0.60 0.57 0.58 0.63 0.64 0.61 0.55

[0.63,0.69] [0.56,0.6] [0.57,0.6] [0.56,0.67] [0.58,0.66] [0.62,0.66] [0.7,0.71] [0.54,0.6] [0.57,0.66] [0.6,0.66] [0.54,0.58] [0.57,0.64] [0.55,0.62] [0.55,0.6] [0.58,0.64] [0.52,0.57] [0.53,0.57] [0.63,0.68] [0.49,0.59] [0.56,0.6] [0.6,0.65] [0.52,0.57] [0.57,0.62] [0.58,0.62] [0.56,0.59] [0.56,0.59] [0.57,0.69] [0.61,0.67] [0.59,0.63] [0.53,0.57]

0.61 0.52 0.59 0.65 0.56 0.53 0.70 0.53 0.63 0.59 0.55 0.57 0.56 0.55 0.60 0.53 0.52 0.64 0.60 0.55 0.57 0.57 0.57 0.51 0.50 0.54 0.50 0.57 0.44 0.49

A.4 Erg¨ anzungen zu LEP-Minuten-Kategorien f¨ ur DRGs Die in Kapitel 7 abgehandelte Bildung von Kategorien wird mit Tabelle A.4.3 vervollst¨andig. Darin sind die Grenzen der Kategorien angegeben. Beispiel: In die Kategorie “sehr tief” der DRG B81Z fallen F¨alle mit LEP-Aufwand zwischen 0 und 3.0 Stunden. Tabelle A.4.3: LEP-Kategorien f¨ ur alle DRGs.. Die Angaben sind in Stunden. DRG

sehr tief

eher tief

durchschnittlich

eher hoch

sehr hoch

B17Z B61Z

[0,4.6) [0,3.1)

[4.6,7.2) [7.2,16.2) [16.2,53.2) >53.2 [3.1,12.2) [12.2,63.6) [63.6,166.1) >166.1 Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 322

Anhang

117

Tabelle A.4.3: LEP-Kategorien f¨ ur alle DRGs.. Die Angaben sind in Stunden. DRG

sehr tief

eher tief

B63Z B66B B67B B69E B70E B71C B71D B76D B76E B77Z B78Z B79Z B80Z B81Z D30B D36Z D37Z D38Z D61A D61B D62Z D63Z D66Z D67Z E02B E05A E05B E61Z E63Z E65A E65B E66Z E67B E68Z E69A E69C E71A E71B E75C E77B E77C F12Z F19B F24B F33Z F39A F39B F49C F60A

[0,4.7) [0,4.1) [0,8.8) [0,2.6) [0,8.8) [0,9.3) [0,3.5) [0,5.6) [0,1.7) [0,1.8) [0,2.8) [0,3.6) [0,2.4) [0,3.3) [0,4.7) [0,4.7) [0,5.6) [0,5) [0,3) [0,2.8) [0,2.5) [0,3) [0,3.4) [0,1.5) [0,7.3) [0,26.4) [0,17.3) [0,6.3) [0,1) [0,7.7) [0,4.5) [0,3.2) [0,1.5) [0,6.3) [0,6.9) [0,2.7) [0,10.1) [0,4.6) [0,1.1) [0,9.9) [0,5.6) [0,5.6) [0,4.3) [0,5.4) [0,11.9) [0,5.8) [0,4) [0,8.7) [0,12.6)

[4.7,15) [4.1,8.8) [8.8,21.1) [2.6,6.9) [8.8,18.4) [9.3,19.5) [3.5,8.8) [5.6,12) [1.7,4) [1.8,4.1) [2.8,5.3) [3.6,7.5) [2.4,4.2) [3.3,7.3) [4.7,7.3) [4.7,6.5) [5.6,7.1) [5,6.7) [3,7.6) [2.8,5.5) [2.5,8) [3,6.5) [3.4,6) [1.5,5.2) [7.3,13.8) [26.4,49.1) [17.3,27.3) [6.3,12.7) [1,2.2) [7.7,24.4) [4.5,12.4) [3.2,9.5) [1.5,3.4) [6.3,10.5) [6.9,12.9) [2.7,5.6) [10.1,23.1) [4.6,9.4) [1.1,3.8) [9.9,24) [5.6,12.6) [5.6,8.4) [4.3,6.1) [5.4,9) [11.9,30.4) [5.8,8.5) [4,6.5) [8.7,13.5) [12.6,29.9) Tabelle

durchschnittlich

eher hoch

sehr hoch

[15,47.5) [47.5,119.3) >119.3 [8.8,34.2) [34.2,111.2) >111.2 [21.1,56.1) [56.1,109.8) >109.8 [6.9,18.6) [18.6,41.3) >41.3 [18.4,56.7) [56.7,129.8) >129.8 [19.5,60.5) [60.5,117.7) >117.7 [8.8,26) [26,48.2) >48.2 [12,36.7) [36.7,67.3) >67.3 [4,13.4) [13.4,34.7) >34.7 [4.1,13.9) [13.9,33.3) >33.3 [5.3,23.5) [23.5,50.2) >50.2 [7.5,25.9) [25.9,52.8) >52.8 [4.2,7.4) [7.4,23.4) >23.4 [7.3,26.6) [26.6,76) >76 [7.3,12.3) [12.3,18.7) >18.7 [6.5,12.6) [12.6,23.3) >23.3 [7.1,14.7) [14.7,23) >23 [6.7,11.9) [11.9,17.8) >17.8 [7.6,19.2) [19.2,28.4) >28.4 [5.5,18.3) [18.3,37.4) >37.4 [8,17.8) [17.8,31.5) >31.5 [6.5,14.8) [14.8,29.2) >29.2 [6,15.7) [15.7,30.1) >30.1 [5.2,13.6) [13.6,35.3) >35.3 [13.8,64.8) [64.8,151.9) >151.9 [49.1,91.3) [91.3,153.1) >153.1 [27.3,87.7) [87.7,165.9) >165.9 [12.7,33.3) [33.3,75.1) >75.1 [2.2,6.5) [6.5,45.6) >45.6 [24.4,61.4) [61.4,127.2) >127.2 [12.4,33.3) [33.3,66.1) >66.1 [9.5,34) [34,85.2) >85.2 [3.4,14.3) [14.3,44.8) >44.8 [10.5,26.9) [26.9,56.1) >56.1 [12.9,32.5) [32.5,79.8) >79.8 [5.6,15.4) [15.4,26.6) >26.6 [23.1,62.2) [62.2,125.5) >125.5 [9.4,38.5) [38.5,102.4) >102.4 [3.8,20.7) [20.7,60.7) >60.7 [24,68.6) [68.6,136.7) >136.7 [12.6,36.1) [36.1,75.4) >75.4 [8.4,39.1) [39.1,97.4) >97.4 [6.1,10.7) [10.7,37.6) >37.6 [9,25.2) [25.2,52.2) >52.2 [30.4,96.9) [96.9,195.7) >195.7 [8.5,14.2) [14.2,35.5) >35.5 [6.5,10.9) [10.9,14.8) >14.8 [13.5,29.2) [29.2,54.4) >54.4 [29.9,73.1) [73.1,127.5) >127.5 wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 323

Anhang

118

Tabelle A.4.3: LEP-Kategorien f¨ ur alle DRGs.. Die Angaben sind in Stunden. DRG

sehr tief

eher tief

F60B F62B F62C F65B F66B F67C F71B F71C F72C F73Z F74Z F75A F75C G02Z G08B G09Z G12B G17Z G18Z G19B G21Z G22B G23B G24Z G25Z G26Z G46B G46C G47Z G48Z G50Z G60B G65Z G66A G66B G67B G67C G71Z H08B H41C H60A H60B H61B H62A H64Z I05Z I08B I08C I09C

[0,6.6) [0,10.3) [0,6.3) [0,4) [0,3.4) [0,3.6) [0,4.4) [0,1.9) [0,3.1) [0,2.5) [0,2.1) [0,8.7) [0,4) [0,18.7) [0,6.9) [0,4.4) [0,7.4) [0,9.8) [0,13) [0,10.4) [0,5) [0,5.5) [0,4.6) [0,4.5) [0,4) [0,3.5) [0,10.1) [0,7) [0,3.7) [0,6.8) [0,5.5) [0,3.8) [0,3.1) [0,3.1) [0,1.9) [0,4.5) [0,2.7) [0,3.1) [0,5.7) [0,4.9) [0,6.2) [0,6.6) [0,4.3) [0,7.3) [0,3.5) [0,15.7) [0,7.2) [0,8.7) [0,10)

[6.6,16.8) [10.3,25.3) [6.3,15.6) [4,6.8) [3.4,7.4) [3.6,7) [4.4,11.7) [1.9,6.6) [3.1,6.5) [2.5,6.1) [2.1,5.2) [8.7,23.2) [4,8.8) [18.7,43) [6.9,13.6) [4.4,6.2) [7.4,9.7) [9.8,21) [13,23) [10.4,16.5) [5,8.3) [5.5,9.7) [4.6,7.2) [4.5,6.9) [4,5.9) [3.5,5.6) [10.1,19.5) [7,13.8) [3.7,7.8) [6.8,14.2) [5.5,12.2) [3.8,6.8) [3.1,5.6) [3.1,6.4) [1.9,3.8) [4.5,9.3) [2.7,5.3) [3.1,5.7) [5.7,8.4) [4.9,9.8) [6.2,18.4) [6.6,17.7) [4.3,9.2) [7.3,14.1) [3.5,6.8) [15.7,30.5) [7.2,12.8) [8.7,22.9) [10,19.2) Tabelle

durchschnittlich

eher hoch

sehr hoch

[16.8,37.6) [37.6,79.2) >79.2 [25.3,72.6) [72.6,133.7) >133.7 [15.6,41.6) [41.6,84.8) >84.8 [6.8,30.9) [30.9,72.1) >72.1 [7.4,27.5) [27.5,59.2) >59.2 [7,22.2) [22.2,36.8) >36.8 [11.7,32.1) [32.1,67.8) >67.8 [6.6,18.4) [18.4,34.8) >34.8 [6.5,16.7) [16.7,41) >41 [6.1,20.3) [20.3,46.1) >46.1 [5.2,13.2) [13.2,26.3) >26.3 [23.2,61.7) [61.7,117) >117 [8.8,26.8) [26.8,60.9) >60.9 [43,172.9) [172.9,499.8) >499.8 [13.6,25.1) [25.1,49.5) >49.5 [6.2,11.1) [11.1,23.8) >23.8 [9.7,31.9) [31.9,122.9) >122.9 [21,66.1) [66.1,168.9) >168.9 [23,70.2) [70.2,168.8) >168.8 [16.5,53.8) [53.8,163.4) >163.4 [8.3,27.9) [27.9,64.5) >64.5 [9.7,21.6) [21.6,44) >44 [7.2,12.6) [12.6,22.6) >22.6 [6.9,12.8) [12.8,28.2) >28.2 [5.9,9.5) [9.5,13.8) >13.8 [5.6,10.4) [10.4,27.7) >27.7 [19.5,58.8) [58.8,115.2) >115.2 [13.8,32.9) [32.9,80.5) >80.5 [7.8,22) [22,54.7) >54.7 [14.2,44.2) [44.2,140.1) >140.1 [12.2,36.8) [36.8,102.2) >102.2 [6.8,33.7) [33.7,76.1) >76.1 [5.6,21.9) [21.9,55.4) >55.4 [6.4,19) [19,36) >36 [3.8,9.8) [9.8,21.1) >21.1 [9.3,22.1) [22.1,48.4) >48.4 [5.3,13.5) [13.5,31.1) >31.1 [5.7,17.7) [17.7,50) >50 [8.4,16.6) [16.6,36.2) >36.2 [9.8,28.4) [28.4,71.3) >71.3 [18.4,55.4) [55.4,125.1) >125.1 [17.7,45.7) [45.7,75.5) >75.5 [9.2,35.1) [35.1,85.7) >85.7 [14.1,40.6) [40.6,85.1) >85.1 [6.8,24.3) [24.3,63.2) >63.2 [30.5,79) [79,174.8) >174.8 [12.8,60.4) [60.4,148.6) >148.6 [22.9,59.6) [59.6,101.7) >101.7 [19.2,37.4) [37.4,66.5) >66.5 wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 324

Anhang

119

Tabelle A.4.3: LEP-Kategorien f¨ ur alle DRGs.. Die Angaben sind in Stunden. DRG

sehr tief

eher tief

I12C I13A I13B I20A I20C I21Z I27C I28A I29Z I30Z I32Z I43Z I47Z I50A I53Z I62Z I65B I68A I68B I68C I68D I69Z I71Z I72B I73Z I74B I75B I77Z I78Z J03B J07Z J09Z J10B J11A J13Z J15Z J22B J23Z J60Z J64B J65A J65B K12Z K60E K62Z K64D L04B L17Z L18Z

[0,5.8) [0,8) [0,6.3) [0,8.5) [0,5) [0,3) [0,4.7) [0,6.5) [0,4) [0,4.2) [0,3.8) [0,21.3) [0,21.6) [0,10.5) [0,12.5) [0,4.8) [0,5.1) [0,5.9) [0,8.1) [0,5.7) [0,1.5) [0,4.5) [0,3.4) [0,3.6) [0,2.3) [0,1.6) [0,2) [0,2.8) [0,2.2) [0,4.4) [0,7.8) [0,3.5) [0,3.6) [0,4.1) [0,4.1) [0,4.5) [0,3.4) [0,9) [0,13.8) [0,3.6) [0,3.5) [0,2.6) [0,6.2) [0,6) [0,3.9) [0,2) [0,6.5) [0,6.6) [0,6.6)

[5.8,9) [8,17.2) [6.3,12.5) [8.5,15.9) [5,9.7) [3,7.4) [4.7,7.6) [6.5,9.8) [4,6.6) [4.2,6.7) [3.8,5.4) [21.3,29) [21.6,28.8) [10.5,15.9) [12.5,18.3) [4.8,14.2) [5.1,13.1) [5.9,11.5) [8.1,13.9) [5.7,10.1) [1.5,2.9) [4.5,13.3) [3.4,6.5) [3.6,6.7) [2.3,7.5) [1.6,4.1) [2,4.2) [2.8,5.8) [2.2,4.7) [4.4,14.5) [7.8,12.3) [3.5,5.2) [3.6,6) [4.1,10.2) [4.1,6.2) [4.5,6.8) [3.4,6) [9,15.6) [13.8,26.5) [3.6,7.2) [3.5,8.3) [2.6,4.2) [6.2,9.7) [6,11.1) [3.9,10.5) [2,3.8) [6.5,15.1) [6.6,9.4) [6.6,11.6) Tabelle

durchschnittlich

eher hoch

sehr hoch

[9,15.2) [15.2,55.7) >55.7 [17.2,48.5) [48.5,103.6) >103.6 [12.5,33.1) [33.1,71.1) >71.1 [15.9,48.8) [48.8,91.2) >91.2 [9.7,17.3) [17.3,33.5) >33.5 [7.4,16.7) [16.7,48.6) >48.6 [7.6,15.2) [15.2,29.7) >29.7 [9.8,17.8) [17.8,27.3) >27.3 [6.6,17.2) [17.2,26.1) >26.1 [6.7,13.7) [13.7,23.8) >23.8 [5.4,11.5) [11.5,30.4) >30.4 [29,46.2) [46.2,72.2) >72.2 [28.8,48.1) [48.1,84.2) >84.2 [15.9,38.1) [38.1,70.5) >70.5 [18.3,36.4) [36.4,66.7) >66.7 [14.2,47) [47,100.4) >100.4 [13.1,62.1) [62.1,122.3) >122.3 [11.5,46) [46,88.4) >88.4 [13.9,40.2) [40.2,81.3) >81.3 [10.1,29.8) [29.8,52.2) >52.2 [2.9,5.1) [5.1,7.2) >7.2 [13.3,45.4) [45.4,93.9) >93.9 [6.5,18.5) [18.5,41) >41 [6.7,23.7) [23.7,52.2) >52.2 [7.5,38) [38,133.6) >133.6 [4.1,13.3) [13.3,42.9) >42.9 [4.2,16.9) [16.9,50.4) >50.4 [5.8,19.5) [19.5,55.8) >55.8 [4.7,13.7) [13.7,40.3) >40.3 [14.5,84.6) [84.6,183.2) >183.2 [12.3,19.5) [19.5,32) >32 [5.2,9.8) [9.8,15) >15 [6,13.6) [13.6,39.5) >39.5 [10.2,45.6) [45.6,140.1) >140.1 [6.2,11.6) [11.6,16.8) >16.8 [6.8,15.8) [15.8,30.8) >30.8 [6,15) [15,32.6) >32.6 [15.6,30.8) [30.8,53.3) >53.3 [26.5,67.2) [67.2,118.3) >118.3 [7.2,20.7) [20.7,50) >50 [8.3,29.8) [29.8,66.9) >66.9 [4.2,8.5) [8.5,17.1) >17.1 [9.7,16.6) [16.6,26.4) >26.4 [11.1,29.3) [29.3,40.9) >40.9 [10.5,32.8) [32.8,71) >71 [3.8,23) [23,67.1) >67.1 [15.1,37.6) [37.6,75.6) >75.6 [9.4,16.8) [16.8,34.6) >34.6 [11.6,20.2) [20.2,45.9) >45.9 wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 325

Anhang

120

Tabelle A.4.3: LEP-Kategorien f¨ ur alle DRGs.. Die Angaben sind in Stunden. DRG

sehr tief

eher tief

L20Z L43Z L60D L62Z L63A L63C L64A L64B L66Z L68Z M01B M02Z M04B M09B M62Z N03B N04Z N05B N06Z N07Z N09Z N10Z N14Z N21Z N25Z O01C O01D O01E O02B O03Z O40Z O60B O60C O60D O61Z O64A O65C P66D P67B P67C P67D Q60A Q61B Q61D T01C T60C T60E T61B T63C

[0,4.5) [0,4.6) [0,8.6) [0,3.5) [0,6.6) [0,3.5) [0,4.1) [0,2.9) [0,2.6) [0,3.6) [0,20.6) [0,7.3) [0,4.5) [0,7.1) [0,3.5) [0,5) [0,9.8) [0,4.7) [0,4.4) [0,6.7) [0,3.9) [0,4.8) [0,8.9) [0,8.5) [0,4.1) [0,14.6) [0,12.7) [0,11) [0,5.4) [0,3.1) [0,3.5) [0,7.2) [0,6.6) [0,6.2) [0,3.8) [0,5.4) [0,2.6) [0,8.5) [0,5.2) [0,4.1) [0,4.7) [0,4.2) [0,11.8) [0,5.6) [0,6.2) [0,21) [0,7.3) [0,4.3) [0,3.7)

[4.5,7.4) [4.6,6.1) [8.6,14.4) [3.5,5.8) [6.6,15.2) [3.5,8) [4.1,6.3) [2.9,4.5) [2.6,6.1) [3.6,6) [20.6,26.8) [7.3,13.8) [4.5,7.3) [7.1,12.6) [3.5,7.6) [5,12.4) [9.8,19.5) [4.7,8.5) [4.4,8.3) [6.7,9.1) [3.9,5.3) [4.8,6.2) [8.9,19.4) [8.5,13.6) [4.1,5.7) [14.6,25) [12.7,20.2) [11,18.1) [5.4,11.3) [3.1,7.9) [3.5,4.7) [7.2,16.4) [6.6,13.7) [6.2,12.8) [3.8,8.2) [5.4,10.6) [2.6,6) [8.5,18.3) [5.2,10.7) [4.1,9.1) [4.7,8.4) [4.2,9.6) [11.8,16.2) [5.6,10.2) [6.2,12.4) [21,39) [7.3,17) [4.3,8.6) [3.7,5.9) Tabelle

durchschnittlich

eher hoch

sehr hoch

[7.4,14.9) [14.9,22.8) >22.8 [6.1,9.9) [9.9,17.3) >17.3 [14.4,33.4) [33.4,72) >72 [5.8,36.2) [36.2,86.9) >86.9 [15.2,44.1) [44.1,81.7) >81.7 [8,22.9) [22.9,61.9) >61.9 [6.3,14.2) [14.2,28.6) >28.6 [4.5,8.7) [8.7,14.3) >14.3 [6.1,16.3) [16.3,36.8) >36.8 [6,18) [18,57.8) >57.8 [26.8,41) [41,66.2) >66.2 [13.8,20.9) [20.9,41.8) >41.8 [7.3,13.7) [13.7,23.4) >23.4 [12.6,24.5) [24.5,50.2) >50.2 [7.6,21.4) [21.4,54) >54 [12.4,42.9) [42.9,96) >96 [19.5,32.6) [32.6,58.7) >58.7 [8.5,17.6) [17.6,36.4) >36.4 [8.3,19.5) [19.5,33.7) >33.7 [9.1,19.4) [19.4,40.4) >40.4 [5.3,7.6) [7.6,16.6) >16.6 [6.2,8.2) [8.2,11.2) >11.2 [19.4,26.9) [26.9,36.1) >36.1 [13.6,23.5) [23.5,34.6) >34.6 [5.7,10.5) [10.5,24.8) >24.8 [25,52.4) [52.4,135.5) >135.5 [20.2,37.1) [37.1,58.5) >58.5 [18.1,32.3) [32.3,47.8) >47.8 [11.3,27.5) [27.5,47) >47 [7.9,15) [15,24.1) >24.1 [4.7,6.6) [6.6,12.2) >12.2 [16.4,32.7) [32.7,62.1) >62.1 [13.7,27.7) [27.7,42.4) >42.4 [12.8,23.4) [23.4,33.1) >33.1 [8.2,17.6) [17.6,30) >30 [10.6,33.6) [33.6,72.2) >72.2 [6,17.9) [17.9,46.1) >46.1 [18.3,39.9) [39.9,96.8) >96.8 [10.7,23.5) [23.5,68.4) >68.4 [9.1,19.9) [19.9,40) >40 [8.4,14.8) [14.8,22.3) >22.3 [9.6,32.7) [32.7,82.9) >82.9 [16.2,46.2) [46.2,109.4) >109.4 [10.2,24.8) [24.8,52.7) >52.7 [12.4,50.1) [50.1,150.3) >150.3 [39,97.8) [97.8,204.7) >204.7 [17,49.7) [49.7,122.6) >122.6 [8.6,27.5) [27.5,58.5) >58.5 [5.9,16.2) [16.2,37.6) >37.6 wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 326

Anhang

121

Tabelle A.4.3: LEP-Kategorien f¨ ur alle DRGs.. Die Angaben sind in Stunden. DRG

sehr tief

eher tief

durchschnittlich

eher hoch

sehr hoch

T64Z U60Z U64Z U66Z V60C V62B X06B X06C X60Z X62Z X63Z X64Z Z01Z Z64Z Z65Z

[0,2.5) [0,0.4) [0,5.5) [0,6.3) [0,2.3) [0,6.3) [0,5.3) [0,3.4) [0,2.2) [0,1.9) [0,3.1) [0,1.8) [0,5.1) [0,2.2) [0,3.1)

[2.5,9.2) [0.4,1.4) [5.5,8.6) [6.3,11.3) [2.3,4.6) [6.3,11) [5.3,10.7) [3.4,7) [2.2,4.8) [1.9,5) [3.1,6.7) [1.8,4.6) [5.1,7.4) [2.2,4.1) [3.1,7.1)

[9.2,39.8) [1.4,5.9) [8.6,18.2) [11.3,39) [4.6,13.5) [11,27.4) [10.7,50.9) [7,19.1) [4.8,11.9) [5,16.9) [6.7,21.4) [4.6,9.7) [7.4,17.1) [4.1,10.9) [7.1,27.1)

[39.8,98.9) [5.9,12) [18.2,31) [39,153.2) [13.5,30.5) [27.4,76.3) [50.9,148.3) [19.1,45.7) [11.9,35.3) [16.9,53.1) [21.4,63.8) [9.7,45.8) [17.1,51.5) [10.9,34.4) [27.1,80.2)

>98.9 >12 >31 >153.2 >30.5 >76.3 >148.3 >45.7 >35.3 >53.1 >63.8 >45.8 >51.5 >34.4 >80.2


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 327

Anhang

122

A.5 Synopsen von DRG V.01 zu V.02 Die Untersuchungen wurden mit DRGs der Version 01 durchgef¨ uhrt. Inzwischen gibt es die neuere Version 02. Die Unterschiede, welche die untersuchten DRGs betreffen, k¨onnen in Tabelle A.5.4 nachgeschaut werden. ¨ ¨ Tabelle A.5.4: Ubersichtstabelle f¨ ur Anderungen von DRG Version 01 zu Version 02 Version 0.1 B02E

B09Z

B17Z

Komplexe Kraniotomie oder Wirbels¨ aulen-Operation oder andere aufw¨ andige Operation am Nervensystem mit Beatmung > 95 Stunden, ohne Strahlentherapie, Alter > 17 Jahre, ohne großen intrakraniellen Eingriff Andere Eingriffe am Sch¨ adel

Eingriffe an peripheren Nerven, Hirnnerven und anderen Teilen des Nervensystems ohne a ¨ußerst schwere CC oder Eingriffe bei zerebraler L¨ ahmung, Muskeldystrophie oder Neuropathie ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC, Alter > 18 Jahre

Version 0.2

Bemerkung aufgehoben

B09A

Andere Eingriffe am Sch¨ adel DRG-Split mit a ¨ußerst schweren CC B09B Andere Eingriffe am Sch¨ adel DRG-Split ohn a ¨ußerst schweren CC B17A Eingriffe an peripheren Ner- DRG-Split ven, Hirnnerven und anderen Teilen des Nervensyst. ohne a ¨ußerst schw. CC, ohne kompliz. Diag. oder Eingr. bei zerebr. L¨ ahmung, Muskeldystrophie od. Neuropathie ohne a ¨ußerst schw. od. schw. CC, Alter > 18 J., mit komplexer Diag. B17B Eingriffe an periph. Nerven, DRG-Split Hirnnerven und anderen Teilen des Nervensyst. ohne a ¨ußerst schw. CC, ohne kompliz. Diag. oder Eingr. bei zerebr. L¨ ahmung, Muskeldystrophie oder Neuropathie ohne a ¨ußerst schw. oder schw. CC, Alter > 18 J., mit komplexem Eingr. B17C Eingriffe an periph. Nerven, DRG-Split Hirnnerven und anderen Teilen des Nervensyst. ohne a ¨ußerst schw. CC, ohne kompliz. Diag. oder Eingr. bei zerebr. L¨ ahmung, Muskeldystrophie oder Neuropathie ohne a ¨ußerst schw. oder schw. CC, Alter > 18 J., ohne komplexen Eingr. Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 328

Anhang

123

¨ ¨ Tabelle A.5.4: Ubersichtstabelle f¨ ur Anderungen von DRG Version 01 zu Version 02 Version 0.1

Version 0.2

Bemerkung

B20Z

B20A

DRG-Split

Kraniotomie oder große Wirbels¨ aulen-Operation

B20B

B20C

B20D

B20E

B20F

B61Z

B70H

Akute Erkrankungen und Verletzungen des R¨ uckenmarks Demenz und andere chronische St¨ orungen der Hirnfunktion Delirium ohne a ¨ußerst schwere CC Degenerative Krankheiten des Nervensystems außer Morbus Parkinson, ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC Apoplexie, ein Belegungstag

B75Z

Fieberkr¨ ampfe

B78Z

Intrakranielle Verletzung

B63Z B64B B67C

Kraniotomie oder große Wirbels¨ aulen-Operation mit komplexer Prozedur, Alter < 16 Jahre oder mit intraoperativem neurophysiologischen Monitoring Kraniotomie oder große Wirbels¨ aulen-Operation mit komplexer Prozedur, Alter > 15 Jahre, ohne intraoperatives neurophysiologisches Monitoring, mit komplexer Diagnose Kraniotomie oder große Wirbels¨ aulen-Operation ohne komplexe Prozedur, Alter < 3 Jahre Kraniotomie oder große Wirbels¨ aulen-Operation mit komplexer Prozedur, Alter > 15 Jahre, ohne intraoperatives neurophysiologisches Monitoring, ohne komplexe Diagnose Kraniotomie oder große Wirbels¨ aulen-Operation ohne komplexe Prozedur, Alter > 2 Jahre, mit komplexer Diagnose Kraniotomie oder große Wirbels¨ aulen-Operation ohne komplexe Prozedur, Alter > 2 Jahre, ohne komplexe Diagnose

DRG-Split

DRG-Split

DRG-Split

DRG-Split

DRG-Split

aufgehoben aufgehoben B64Z

B70H

Delirium ohne ¨ außerst schwere CC

Nur neue Nummer aufgehoben

Apoplexie ohne neurologische Neuer Inhalt Komplexbehandlung des akuten Schlaganfalls, verstorben < 4 Tage nach Aufnahme B75A Fieberkr¨ ampfe, Alter < 1 Jar DRG-Split B75B Fieberkr¨ ampfe, Alter > 0 Jahre DRG-Split B78A Intrakranielle Verletzung, Alter DRG-Split < 1 Jahr Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 329

Anhang

124

¨ ¨ Tabelle A.5.4: Ubersichtstabelle f¨ ur Anderungen von DRG Version 01 zu Version 02 Version 0.1

Version 0.2

Bemerkung

B78B

DRG-Split

B78C

B81Z

Andere Erkrankungen des Nervensystems

B81A

B81B

C08Z

Extrakapsul¨ are Extraktion der Linse (ECCE)

C08A C08B

D36Z

Sehr komplexe Eingriffe an den Nasennebenh¨ ohlen

D36A D36B

E06Z

Andere Lungenresektionen, Biopsie an Thoraxorganen und Eingriffe an der Thoraxwand

E06A

E06B

E60Z

Zystische Fibrose (Mukoviszidose)

E60A E60B

E61Z E67B

E68Z E70Z

F21Z

Lungenembolie Beschwerden und Symptome der Atmung ohne komplexe Diagnose Pneumothorax Keuchhusten und akute Bronchiolitis

Andere OR-Prozeduren Kreislauferkrankungen

bei

Intrakranielle Verletzung, Alter > 0 Jahre, mit komplexer Diagnose Intrakranielle Verletzung, Alter > 0 Jahre, ohne komplexe Diagnose Andere Erkrankungen des Nervensystems mit komplexer Diagnose Andere Erkrankungen des Nervensystems ohne komplexer Diagnose Beidseitige extrakapsul¨ are Extraktion der Linse (ECCE) Extrakapsul¨ are Extraktion der Linse (ECCE) Sehr komplexe Eingriffe an der Nase, Alter < 16 Jahre Sehr komplexe Eingriffe an den Nasennebenh¨ ohlen Andere Lungenresektionen, Biopsie an Thoraxorganen und Eingriffe an der Thoraxwand mit a ¨ußerst schweren CC Andere Lungenresektionen, Biopsie an Thoraxorganen und Eingriffe an der Thoraxwand ohne ¨ außerst schweren CC Zystische Fibrose (Mukoviszidose), Alter < 16 Jahre Zystische Fibrose (Mukoviszidose), Alter > 15 Jahre

DRG-Split

DRG-Split

DRG-Split

DRG-Split DRG-Split DRG-Split DRG-Split DRG-Split

DRG-Split

DRG-Split DRG-Split aufgehoben aufgehoben

aufgehoben Keuchhusten und akute Bron- DRG-Split chiolitis, Alter < 3 Jahre E70B Keuchhusten und akute Bron- DRG-Split chiolitis, Alter > 2 Jahre F21A Andere OR-Prozeduren bei DRG-Split Kreislauferkrankungen mit komplexem Eingriff F21B Andere OR-Prozeduren bei DRG-Split Kreislauferkrankungen ohne komplexen Eingriff Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt E70A


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 330

Anhang

125

¨ ¨ Tabelle A.5.4: Ubersichtstabelle f¨ ur Anderungen von DRG Version 01 zu Version 02 Version 0.1

Version 0.2

F33Z

Große rekonstruktive Gef¨ aßeingriffe ohne Herz-LungenMaschine, mit Mehretagenoder Aorteneingriff oder Reoperation

F46Z

Invasive kardiologische Diagnostik außer bei akutem Myokardinfarkt, mehr als 2 Belegungstage, mit komplexer Diagnose

F50Z

Ablative Maßnahmen bei Tachyarrhythmie mit komplexem Mappingverfahren

F56Z

Perkutane Koronarangioplastie mit hochkomplexer Intervention

F58Z

Andere perkutane Koronarangioplastie

Große rekonstruktive Gef¨ aßein- DRG-Split griffe ohne Herz-LungenMaschine, mit Mehretagenoder Aorteneingriff oder Reoperation mit a ¨ußerst schweren CC F33B Große rekonstruktive Gef¨ aßein- DRG-Split griffe ohne Herz-LungenMaschine, mit Mehretagenoder Aorteneingriff oder Reoperation ohne a ¨ußerst schwere CC F46A Invasive kardiologische Diagno- DRG-Split stik außer bei akutem Myokardinfarkt, mehr als 2 Belegungstage, mit komplexer Diagnose, Alter < 14 Jahre F46B Invasive kardiologische Diagno- DRG-Split stik außer bei akutem Myokardinfarkt, mehr als 2 Belegungstage, mit komplexer Diagnose, Alter > 13 Jahre F50A Ablative Maßnahmen bei Ta- DRG-Split chyarrhythmie mit komplexer Ablation F50B Ablative Maßnahmen bei Ta- DRG-Split chyarrhythmie ohne komplexe Ablation, mit komplizierendem Eingriff, mit ¨ außerst schweren CC F50C Ablative Maßnahmen bei Ta- DRG-Split chyarrhythmie ohne komplexe Ablation, mit komplizierendem Eingriff, ohne a ¨ußerst schwere CC F50D Ablative Maßnahmen bei Ta- DRG-Split chyarrhythmie ohne komplexe Ablation, ohne komplizierenden Eingriff F56A Perkutane Koronarangioplastie DRG-Split mit hochkomplexer Intervention, mit a ¨ußerst schweren CC F56B Perkutane Koronarangioplastie DRG-Split mit hochkomplexer Intervention, ohne a ¨ußerst schwere CC F58A Andere perkutane Koronaran- DRG-Split gioplastie mit a ¨ußerst schweren CC Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt F33A

Bemerkung


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 331

Anhang

126

¨ ¨ Tabelle A.5.4: Ubersichtstabelle f¨ ur Anderungen von DRG Version 01 zu Version 02 Version 0.1

F65B

F66A F66B F69A

F71C

F72C

F95Z

Periphere Gef¨ aßkrankheiten ohne komplexe Diagnose oder ohne a ¨ußerst schwere CC Koronararteriosklerose mit a ¨ußerst schweren CC Koronararteriosklerose ohne a ¨ußerst schwere C Herzklappenerkrankungen mit a ¨ußerst schweren oder schweren CC Nicht schwere kardiale Arrhythmie und Erregungsleitungsst¨ orungen ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC Instabile Angina pectoris ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC Interventioneller Verschluss eines Atrium- oder Septumdefekts

G04Z

Adh¨ asiolyse am Peritoneum, Alter < 4 Jahre oder mit a ¨ußerst schweren oder schweren CC oder kleine Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm mit a ¨ußerst schweren CC

G07Z

Appendektomie bei Peritonitis mit a ¨ußerst schweren oder schweren CC oder kleine Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm ohne ¨ außerst schwere CC

Version 0.2

Bemerkung

F58B

DRG-Split

F65Z

F66Z F66Z F69Z

Andere perkutane Koronarangioplastie ohne a ¨ußerst schwere CC Periphere Gef¨ aßkrankheiten mit komplexer Diagnose und a ¨ußerst schweren Koronararteriosklerose ohne a ¨ußerst schwere CC Koronararteriosklerose ohne a ¨ußerst schwere CC Herzklappenerkrankungen mit a ¨ußerst schweren oder schweren CC

F65A/B aufgehoben F66A aufgehoben F66B aufgehoben F69A/B aufgehoben aufgehoben

aufgehoben

F95A

Interventioneller Verschluss ei- DRG-Split nes Atrium- oder Ventrikelseptumdefekts, Alter < 19 Jahre F95B Interventioneller Verschluss ei- DRG-Split nes Atrium- oder Ventrikelseptumdefekts, Alter > 18 Jahre G04A Adh¨ asiolyse am Peritoneum, DRG-Split Alter < 4 Jahre oder mit a ¨ußerst schweren oder schweren CC oder kleine Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm mit a ¨ußerst schweren CC, Alter < 6 Jahre G04B Adh¨ asiolyse am Peritoneum, DRG-Split Alter < 4 Jahre oder mit a ¨ußerst schweren oder schweren CC oder kleine Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm mit a ¨ußerst schweren CC, Alter > 5 Jahre G07A Appendektomie bei Peritoni- DRG-Split tis mit a ¨ußerst schweren oder schweren CC oder kleine Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm ohne a ¨ußerst schwere CC, Alter < 3 Jahre Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 332

Anhang

127

¨ ¨ Tabelle A.5.4: Ubersichtstabelle f¨ ur Anderungen von DRG Version 01 zu Version 02 Version 0.1

Version 0.2

Appendektomie bei Peritoni- DRG-Split tis mit a ¨ußerst schweren oder schweren CC oder kleine Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm ohne a ¨ußerst schwere CC, Alter > 2 Jahre und Alter < 10 Jahre G07C Appendektomie bei Peritoni- DRG-Split tis mit a ¨ußerst schweren oder schweren CC oder kleine Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm ohne a ¨ußerst schwere CC, Alter > 9 Jahre G16A Komplexe Rektumresektion mit DRG-Split Lebermetastasenchirurgie oder komplizierenden Prozeduren G16B Komplexe Rektumresektion mit DRG-Split Lebermetastasenchirurgie, ohne komplizierende Prozeduren G18A Eingriffe an D¨ unn- u. Dickdarm DRG-Split oder andere Eingriffe an Ma¨ gen, Osophagus u. Duodenum ohne kompliz. Proz., außer bei b¨ osart. Neubildung, Alter < 3 J., ohne Eingr. bei angeborener Fehlbildung od. Alter > 1 J., mit Lebermetastasenchirurgie od. kompl. Diagn. G18B Eingriffe an D¨ unn- u. Dickdarm DRG-Split oder andere Eingr. an Magen, ¨ Osophagus u. Duodenum ohne kompliz. Proz., außer bei b¨ osart. Neubildung, Alter < 3 J., ohne Eingr. bei angeborener Fehlbildung od. Alter > 1 J., ohne Lebermetastasenchirurgie, ohne kompl. Diagn. G21A Adh¨ asiolyse am Peritoneum, DRG-Split Alter > 3 Jahre und ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC oder andere Eingriffe an Darm oder Enterostoma ohne a ¨ußerst schwere CC, Alter < 16 Jahre Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt G07B

G16Z

Komplexe Rektumresektion

G18Z

Eingriffe an D¨ unn- und Dickdarm

G21Z

Adh¨ asiolyse am Peritoneum, Alter > 3 Jahre und ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC oder andere Eingriffe an Darm oder Enterostoma ohne a ¨ußerst schwere CC

Bemerkung


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 333

Anhang

128

¨ ¨ Tabelle A.5.4: Ubersichtstabelle f¨ ur Anderungen von DRG Version 01 zu Version 02 Version 0.1

Version 0.2

Adh¨ asiolyse am Peritoneum, DRG-Split Alter > 3 Jahre und ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC oder andere Eingriffe an Darm oder Enterostoma ohne a ¨ußerst schwere CC, Alter > 15 Jahre G47A Andere Gastroskopie bei DRG-Split schweren Krankheiten der Verdauungsorgane, ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC oder Gastroskopie ohne wenig komplexe Gastroskopie, Alter < 15 Jahre, mit b¨ osartiger Neubildung oder chronisch entz¨ undlicher Darmerkrankung G47B Andere Gastroskopie ohne we- DRG-Split nig komplexe Gastroskopie bei schweren Krankh. d. Verdauungsorgane, ohne a ¨ußerst schw. od. schw. CC oder Gastroskopie ohne wenig kompl. Gastrosk., Alter < 15 J., ohne b¨ osartige Neubildung, ohne chron. entz¨ undl. Darmerkrankung G48A Koloskopie mit a ¨ußerst schwe- DRG-Split ren oder schweren CC, komplizierendem Eingriff oder Alter < 15 Jahre, mit schwerer Darminfektion, komplizierenden Prozeduren oder bei Zustand nach Organtransplantation G48B Koloskopie mit a ¨ußerst schwe- DRG-Split ren oder schweren CC, komplizierendem Eingriff oder Alter < 15 Jahre, mit komplizierender Diagnose, ohne schwere Darminfektion, ohne komplizierende Prozeduren, außer bei Zustand nach Organtransplantation G48C Koloskopie ohne wenig kom- DRG-Split plexe Koloskopie mit ¨ außerst schweren oder schw. CC, komplizierendem Eingriff oder Alter < 15 Jahre, ohne komplizierende Diagnose, ohne schwere Darminfektion, ohne komplizierende Prozeduren, außer bei Z.n. Organtransplantation Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt G21B

G47Z

Andere Gastroskopie bei schweren Krankheiten der Verdauungsorgane, ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC

G48Z

Koloskopie mit ¨ außerst schweren oder schweren CC oder komplizierendem Eingriff

Bemerkung


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 334

Anhang

129

¨ ¨ Tabelle A.5.4: Ubersichtstabelle f¨ ur Anderungen von DRG Version 01 zu Version 02 Version 0.1

Version 0.2

Bemerkung

G66A

G66Z

G66A aufgehoben

G66B

G72Z

Abdominalschmerz oder mesenteriale Lymphadenitis, Alter > 55 Jahre und mit CC Abdominalschmerz oder mesenteriale Lymphadenitis, Alter < 56 Jahre oder ohne CC Andere leichte bis moderate Erkrankungen der Verdauungsorgane

G66Z

G72A

G72B

G73A

H60A

H60B

I03Z

Gastrointestinale Blutung und Ulkuserkrankung, mehr als ein Belegungstag, mit komplexer Diagnose oder a ¨ußerst schweren CC Leberzirrhose und bestimmte nichtinfekti¨ ose Hepatitiden mit a ¨ußerst schweren CC Leberzirrhose und bestimmte nichtinfekti¨ ose Hepatitiden ohne a ¨ußerst schwere CC Revision oder Ersatz des H¨ uftgelenkes mit komplizierender Diagnose oder Arthrodese oder beidseitige Eingriffe oder mehrere große Eingriffe an Gelenken der unteren Extremit¨ at mit komplexem Eingriff

G73Z

H60Z

Abdominalschmerz oder mesenteriale Lymphadenitis, Alter > 55 Jahre und Abdominalschmerz oder mesenteriale Lymphadenitis, Alter > 55 Jahre und Andere leichte bis moderate Erkrankungen der Verdauungsorgane oder Abdominalschmerz oder mesenteriale Lymphadenitis, Alter < 56 Jahre oder ohne CC, Alter < 3 Jahre Andere leichte bis moderate Erkrankungen der Verdauungsorgane oder Abdominalschmerz oder mesenteriale Lymphadenitis, Alter < 56 Jahre oder ohne CC, Alter > 2 Jahre Gastrointestinale Blutung oder Ulkuserkrankung mit a ¨ußerst schweren CC, mehr als ein Belegungstag

G66B aufgehoben DRG-Split

DRG-Split

G73A/B/C aufgehoben

Leberzirrhose und bestimmte H60A aufgenichtinfekti¨ ose Hepatitiden mit hoben a ¨ußerst schweren CC H60Z Leberzirrhose und bestimmte H60B aufgenichtinfekti¨ ose Hepatitiden mit hoben a ¨ußerst schweren CC I03A Revision oder Ersatz des H¨ uft- DRG-Split gelenkes mit komplizierender Diagnose oder Arthrodese oder Alter < 16 Jahre oder beidseitige Eingriffe oder mehrere große Eingriffe an Gelenken der unteren Extremit¨ at mit komplexem Eingriff, mit ¨ außerst schweren CC I03B Revision oder Ersatz des H¨ uft- DRG-Split gelenkes mit komplizierender Diagnose oder Arthrodese oder Alter < 16 Jahre oder beidseitige Eingriffe oder mehrere große Eingriffe an Gelenken der unteren Extremit¨ at mit komplexem Eingriff, ohne a ¨ußerst schwere CC Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 335

Anhang

130

¨ ¨ Tabelle A.5.4: Ubersichtstabelle f¨ ur Anderungen von DRG Version 01 zu Version 02 Version 0.1

Version 0.2

I19Z

Komplexe Wirbelk¨ orperfusion ohne ¨ außerst schwere CC

I32Z

Komplexe Eingriffe an Handgelenk und Hand

I43Z

Prothesenwechsel oder Implantation einer Scharnierprothese oder Sonderprothese am Kniegelenk

I47Z

Revision oder Ersatz des H¨ uftgelenkes ohne komplizierende Diagnose, ohne Arthrodese, mit komplexem Eingriff, ohne a ¨ußerst schwere CC

Komplexe Wirbelk¨ orperfusion DRG-Split ohne a ¨ußerst schwere CC, Alter < 16 Jahre I19B Komplexe Wirbelk¨ orperfusion DRG-Split ohne a ¨ußerst schwere CC, Alter > 15 Jahre I32A Eingriffe an Handgelenk und DRG-Split Hand mit mehrzeitigem komplexen oder m¨ aßig komplexem Eingriff I32B Eingriffe an Handgelenk und DRG-Split Hand ohne mehrzeitigen Eingriff, mit komplexem Eingriff oder bei angeborener Anomalie der Hand, Alter < 6 Jahre I32C Eingriffe an Handgelenk und DRG-Split Hand ohne mehrzeitigen Eingriff, mit komplexem Eingriff oder bei angeborener Anomalie der Hand, Alter > 5 Jahre I32D Eingriffe an Handgelenk und DRG-Split Hand ohne mehrzeitigen Eingriff, ohne komplexen Eingriff, außer bei angeborener Anomalie der Hand, mit m¨ aßig komplexem Eingriff, Alter < 6 Jahre I32E Eingriffe an Handgelenk und DRG-Split Hand ohne mehrzeitigen Eingriff, ohne komplexen Eingriff, außer bei angeborener Anomalie der Hand, mit m¨ aßig komplexem Eingriff, Alter > 5 Jahre I32F Eingriffe an Handgelenk und DRG-Split Hand ohne komplexe oder m¨ aßig komplexe Eingriffe I43A Prothesenwechsel oder Implan- DRG-Split tation einer Scharnierprothese oder Sonderprothese am Kniegelenk mit a ¨ußerst schweren CC I43B Prothesenwechsel oder Implan- DRG-Split tation einer Scharnierprothese oder Sonderprothese am Kniegelenk ohne a ¨ußerst schwere CC I47A Revision oder Ersatz des H¨ uft- DRG-Split gelenkes ohne komplizierende Diagnose, ohne Arthrodese, ohne a ¨ußerst schwere CC, Alter > 15 Jahre, mit komplizierendem Eingriff Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt I19A

Bemerkung


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 336

Anhang

131

¨ ¨ Tabelle A.5.4: Ubersichtstabelle f¨ ur Anderungen von DRG Version 01 zu Version 02 Version 0.1

I50A

Gewebe- / Hauttransplantation, außer an der Hand, ohne CC, großfl¨ achig

I62Z

Frakturen an Becken und Schenkelhals Eingriffe bei Sinus pilonidalis und perianal

J09Z

Version 0.2

Bemerkung

I47B

DRG-Split

I50Z

J15Z J66Z K04Z K10Z

Kleine Eingriffe an der Mamma außer bei b¨ osartiger Neubildung Große Eingriffe an der Mamma außer bei b¨ osartiger Neubildung M¨ aßig schwere Hauterkrankungen Große Eingriffe bei Adipositas Eingriffe an Schilddr¨ use, Nebenschilddr¨ use und Ductus thyreoglossus bei b¨ osartiger Neubildung

L08Z

Komplexe Eingriffe an der Urethra

L17Z

Andere Eingriffe an der Urethra

L18Z

Komplexe transurethrale, perkutan-transrenale und andere retroperitoneale Eingriffe ohne extrakorporale Stoßwellenlithotripsie (ESWL)

I50A/B aufgehoben

aufgehoben J09A J09B

J13Z

Revision oder Ersatz des H¨ uftgelenkes ohne komplizierende Diagnose, ohne Arthrodese, ohne a ¨ußerst schwere CC, Alter > 15 Jahre, ohne komplizierenden Eingriff Gewebe- / Hauttransplantation, außer an der Hand, ohne komplizierende Prozeduren, ohne Eingriff an mehreren Lokalisationen, ohne schweren Weichteilschaden, ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC

Eingriffe bei und perianal, Eingriffe bei und perianal,

Sinus pilonidalis Alter < 16 Jahre Sinus pilonidalis Alter > 15 Jahre

DRG-Split DRG-Split aufgehoben aufgehoben aufgehoben

aufgehoben Eingriffe an Schilddr¨ use, Neben- DRG-Split schilddr¨ use und Ductus thyreoglossus bei b¨ osartiger Neubildung mit a ¨ußerst schweren CC K10B Eingriffe an Schilddr¨ use, Neben- DRG-Split schilddr¨ use und Ductus thyreoglossus bei b¨ osartiger Neubildung ohne a ¨ußerst schwere CC L08A Komplexe Eingriffe an der Ure- DRG-Split thra, Alter < 6 Jahre L08B Komplexe Eingriffe an der Ure- DRG-Split thra, Alter > 5 Jahre L17A Andere Eingriffe an der Ure- DRG-Split thra, Alter < 16 Jahre L17B Andere Eingriffe an der Ure- DRG-Split thra, Alter >15 Jahre L18A Komplexe transurethrale, DRG-Split perkutan-transrenale und andere retroperitoneale Eingriffe ohne extrakorporale Stoßwellenlithotripsie (ESWL) mit a ¨ußerst schweren CC Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt K10A


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 337

Anhang

132

¨ ¨ Tabelle A.5.4: Ubersichtstabelle f¨ ur Anderungen von DRG Version 01 zu Version 02 Version 0.1

L20Z

Transurethrale Eingriffe außer Prostataresektion und komplexe Ureterorenoskopien ohne extrakorporale Stoßwellenlithotripsie (ESWL)

Version 0.2

Bemerkung

L18B

DRG-Split

L20A

L20B

L20C

L62Z

Neubildungen der Harnorgane

L62A L62B

L66Z

L68Z

M03Z

Urethrastriktur, andere leichte bis moderate Erkrankungen der Harnorgane, mehr als ein Belegungstag oder Beschwerden und Symptome der Harnorgane oder Urethrozystoskopie Andere m¨ aßig schwere Erkrankungen der Harnorgane

Eingriffe am Penis

Komplexe transurethrale, perkutan-transrenale und andere retroperitoneale Eingriffe ohne extrakorporale Stoßwellenlithotripsie (ESWL) ohne a ¨ußerst schwere CC Transurethrale Eingriffe außer Prostataresektion und komplexe Ureterorenoskopien, mit a ¨ußerst schweren CC Transurethrale Eingriffe außer Prostataresektion und komplexe Ureterorenoskopien ohne extrakorporale Stoßwellenlithotripsie (ESWL) ohne a ¨ußerst schwere CC, mit komplexem Eingriff Transurethrale Eingriffe außer Prostataresektion und komplexe Ureterorenoskopien ohne extrakorporale Stoßwellenlithotripsie (ESWL), ohne a ¨ußerst schwere CC, ohne komplexen Eingriff Neubildungen der Harnorgane mit a ¨ußerst schweren CC Neubildungen der Harnorgane ohne ¨ außerst schwere CC

DRG-Split

DRG-Split

DRG-Split

DRG-Split DRG-Split aufgehoben

L68A

Andere m¨ aßig schwere Erkran- DRG-Split kungen der Harnorgane, Alter < 6 Jahre L68B Andere m¨ aßig schwere Erkran- DRG-Split kungen der Harnorgane, Alter > 5 Jahre M03A Eingriffe am Penis, Alter < 6 DRG-Split Jahre M03B Eingriffe am Penis, Alter > 5 DRG-Split Jahre und Alter < 18 Jahre M03C Eingriffe am Penis, Alter > 17 DRG-Split Jahre Tabelle wird auf der n¨ achsten Seite fortgesetzt


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 338

Anhang

133

¨ ¨ Tabelle A.5.4: Ubersichtstabelle f¨ ur Anderungen von DRG Version 01 zu Version 02 Version 0.1 O65C

R65Z

Andere vorgeburtliche station¨ are Aufnahme ohne intrauterine Therapie des Feten, ohne a ¨ußerst schwere oder schwere CC H¨ amatologische und solide Neubildungen, ein Belegungstag

Version 0.2

Bemerkung

R65A

aufgehoben (zudem: O65A/B leicht modifiziert) DRG-Split

R65B

T64Z

Andere infekti¨ ose und parasit¨ are Krankheiten

T64A

T64B

U60Z

Psychiatrische Behandlung, ein Belegungstag

U60A U60B

V62B

X63Z Y03Z

St¨ orungen durch Alkoholmissbrauch und Alkoholabh¨ angigkeit ohne Qualifizierten Entzug Folgen einer medizinischen Behandlung Andere Verbrennungen mit anderen Eingriffen

Andere Faktoren, die den Gesundheitszustand beeinflussen und Nachbehandlung nach abgeschlossener Behandlung

DRG-Split

DRG-Split

DRG-Split

DRG-Split DRG-Split aufgehoben

aufgehoben Y03A

Y03B

Z64Z

H¨ amatologische und solide Neubildungen, ein Belegungstag, Alter < 16 Jahre H¨ amatologische und solide Neubildungen, ein Belegungstag, Alter > 15 Jahre Andere infekti¨ ose und parasit¨ are Krankheiten mit komplexer Diagnose, Alter < 16 Jahre Andere infekti¨ ose und parasit¨ are Krankheiten mit komplexer Diagnose, Alter > 15 Jahre Psychiatrische Behandlung, ein Belegungstag, Alter < 16 Jahre Psychiatrische Behandlung, ein Belegungstag, Alter > 15 Jahre

Z64A

Z64B

Andere Verbrennungen mit anderen Eingriffen, Alter < 16 Jahre Andere Verbrennungen mit anderen Eingriffen, Alter > 15 Jahre Andere Faktoren, die den Gesundheitszustand beeinflussen und Nachbehandlung nach abgeschlossener Behandlung mit komplexer Radiojoddiagnostik Andere Faktoren, die den Gesundheitszustand beeinflussen und Nachbehandlung nach abgeschlossener Behandlung ohne komplexe Radiojoddiagnostik

DRG-Split

DRG-Split

DRG-Split

DRG-Split


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 339

Projet SwissDRG et soins infirmiers Mandat Partiel 1 Analyse quantitative de la charge en soins infirmiers Baumberger Dieter, Directeur d'étude du Mandat Partiel 1, Mandat ASDSI et ASI Bosshard Walter, Directeur de projet SwissDRG et soins, TeamFocus AG Lucerne Portenier Lucien, Responsable du domaine Qualité des soins infirmiers, SBK/ASI Berne Wittwer Markus, Directeur HRM & Pflege, Hôpital cantonal de Winterthur Bürgin Reto, Institut für Datenanalyse und Prozessdesign, ZHAW Müller Marianne, Prof. Dr., Institut für Datenanalyse und Prozessdesign, ZHAW Avec le soutien idéel de SwissDRG AG (Simon Hölzer, Mathieu Vuilleumier)

22 septembre 2009


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 340

2

Résumé exécutif Les données 2006 de 39 hôpitaux du réseau, dont 10 avaient fourni des données supplémentaires sur les prestations infirmières, ont été analysées afin d'examiner l'aptitude de SwissDRG version 0.1 en matière d'homogénéité du coût et de la charge en soins infirmiers. Le catalogue de données contenait initialement 480'197 cas ou 841 SwissDRGs 0.1. D'entente avec le Casemixoffice (CMO) de SwissDRG SA, des critères d'élimination ont été définis dont l'application a résulté en un catalogue réduit de 263'247 cas ou 401 SwissDRGs 0.1. Les prestations infirmières ont été analysées à partir des données de 73'930 cas ou 213 DRGs. Pour l'estimation des valeurs moyennes et des dispersions nous avons eu recours à des procédés statistiques résistants qui donnent des valeurs plus réalistes pour les données récoltées. On constate tout d'abord qu'il convient de soumettre la qualité des coûts des soins inifmiers saisis à un examen critique. La présentation graphique montre très clairement que dans certains hôpitaux les prestations infirmières ne sont pas systématiquement saisies par cas ou par prestation dans les coûts des soins infirmiers et qu'il est parfois difficile d'établir le lien entre les deux. Les coûts des soins infirmiers semblent dépendre fortement de la comptabilité des coûts de l'hôpital concerné. Il faut donc éviter par la suite de les surinterpréter. Avec une part de 28.5% au coût global, les coûts de soins infirmiers représentent la plus importante composante des coûts. Pour les DRGs analysés, la part des coûts de soins dans le coût global variait entre 8% et 56%. Comme attendu, il apparaît que les DRGs avec des coûts de soins importants présentent souvent une partition médecine interne (M). Coût des soins infirmiers : En matière de coût des soins infirmiers, trois des 401 SwissDRGs présentent une homogénéité « très insatisfaisante » (cœfficient de variation > 1). En outre, ils présentent un coût des soins infirmiers moyen très bas. 258 des 401 DRGs (64%) présentent une homogénéité « insatisfaisante » (cœfficient de variation > 0.5). Ils comprennent également les trois DRGs avec une homogénéité «très insatisfaisante». Il est recommandé d'examiner ces SwissDRGs de plus près. La comparaison des hôpitaux du réseau montre parfois des variations très importantes entre les coûts des soins infirmiers moyens par SwissDRG. Il est surprenant de constater que même pour les SwissDRGs les plus homogènes il peut y avoir des différences importantes entre les différents hôpitaux. Dans la typologie des hôpitaux, les hôpitaux universitaires ont tendance à avoir des coûts des soins infirmiers moyens plus élevés que les autres types d'hôpitaux du réseau. Une comparaison des groupes de diagnostic principal (MDC) montre des différences importantes par rapport à l'homogénéité des coûts des soins infirmiers. Le MDC « Maladies et affections de l'appareil reproducteur masculin », par exemple, est homogène, alors que le MDC « Traumatismes, empoisonnements et effets toxiques de drogues et médicaments » n'est pas homogène. Le regroupement des cas selon SwissDRGs n'explique qu'en partie la variabilité des coûts des soins infirmiers (R2 = 0:13; « inliers » uniquement: R2 = 0:36). La prise en compte des hôpitaux du réseau améliore le résultat, notamment en ce qui concerne les « inliers » (R2 = 0.21; « inliers » uniquement: R2 = 0.49). Charge en soins infirmiers : L'homogénéité de la charge en soins infirmiers mesurée en minutes LEP est également très variable. Il n'existe cependant pas de SwissDRG avec une homogénéité « très insatisfaisante » dans ce domaine. Toutefois, 123 de 213 SwissDRGs


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 341

3 (58%) présentent une homogénéité « insatisfaisante ». Ici aussi, il est recommandé d'examiner ces SwissDRGs de plus près. Comme dans le domaine des coûts des soins infirmiers, il s'avère que le nombre moyen de minutes LEP par SwissDRG est parfois très variable entre les différents hôpitaux, même pour les SwissDRGs les plus homogènes. Des facteurs d'influence importants sont d'une part la durée du séjour et d'autre part l'intensité de soins infirmiers en minutes par journée d'hospitalisation qui varient d'un hôpital à l'autre. Les différentes typologies d'hôpitaux ne semblent pas jouer un rôle important dans la comparaison. Les résultats sont d'ailleurs influencés par le fait que parmi les 10 hôpitaux tous ne saisissent pas les données de la charge en soins infirmiers partout, p.ex. au service des urgences, etc. Une comparaison des groupes de diagnostic principal (MDCs) montre également des différences importantes par rapport à l'homogénéité de la charge en soins infirmiers. Le MDC « Maladies et affections de l'appareil reproducteur féminin », par exemple, est homogène, alors que le MDC « Maladies et affections du système nerveux » n'est pas homogène. Le regroupement des cas selon SwissDRGs n'explique qu'en partie la variabilité de la charge en soins infirmiers (R2 = 0.16; « inliers » uniquement: R2 = 0:38). La prise en compte des hôpitaux du réseau améliore le résultat, notamment en ce qui concerne les « inliers » (R2 = 0.22; « inliers » uniquement: R2 = 0.46). Classification de la charge en soins infirmiers : La charge en soins infirmiers a été répartie en plusieurs catégories, afin de permettre, à l'avenir, la classification des cas selon la charge. Toutefois, les différentes catégories n'ont pas de fondement clinique mais ont été définies selon des critères purement mathématiques. Proportion d'« outliers » : La proportion des « outliers » concernant le coût global, le coût des soins infirmiers, la charge en soins infirmiers et le nombre de journées d'hospitalisation a été déterminée sur la base de valeurs limites prédéfinies de la durée du séjour. En somme, 5.6% (14'628 de 263'247) des cas analysés se situent en dehors de ces limites. Les DRGs qui ressortent du lot ont des proportions d'«outliers» d'environ 30%. DRGs qui conviennent pour une étude plus approfondie : Sur la base des résultats obtenus par rapport à l'homogénéité des coûts des soins infirmiers et des prestations infirmières, aux différences entre hôpitaux du réseau et aux proportions des « outliers », il a été possible d'identifier 24 SwissDRGs 0.1 qui conviendraient particulièrement pour une étude plus approfondie. Recommandation pour le développement du modèle soins infirmiers et DRG (phase 2) : Afin d'améliorer les SwissDRGs avec une homogénéité insatisfaisante pour les coûts des soins infirmiers et les prestations infirmières, il faudrait saisir des indicateurs infirmiers en vue du développement du modèle soins infirmiers et DRG. En principe, il est recommandé de se baser sur un échantillon d'environ 25 SwissDRGs, afin de pouvoir développer le modèle dans un cadre gérable et tester les indicateurs. 1ère recommandation – Qualité des données : •

Il convient d'examiner l'impact des différentes méthodes de calcul des coûts des soins infirmiers et de comptabilité par unité finale d'imputation

Il convient d'examiner l'impact des différences dans les structures salariales et les structures de soins (p.ex. sous-traitance de l'hôtellerie) ainsi que dans la productivité (coûts non liés aux cas/« valeur C ») sur les coûts des soins infirmiers

Il convient de vérifier la qualité des données sur les prestations infirmières (LEP) et des données importantes pour le groupeur (ICD, CHOP)

2ème recommandation – Sélection des SwissDRGs pour le développement du modèle :


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4 •

Le chapitre 9.2. propose un système pour l'identification des DRGs importants.

Il faudrait consulter également des experts cliniques (personnel infirmier, médecins) et les experts du système SwissDRG. (Question à poser: Pourquoi l'homogénéité au sein de ce DRG n'est-elle pas satisfaisante et pourrait-elle être améliorée à l'aide d'indicateurs infirmiers?)

Lorsque l'échantillon basé sur l'avis des experts est trop petit, il peut être élargi par d'autres SwissDRGs selon la systématique proposée (voir tableau 9.2.1).

Les SwissDRGs 0.1, qui n'existent plus sous leur forme originale dans le 0.2, devraient être vérifiés lors des analyses subséquentes dans leur forme adaptée et les résultats intégrés dans le processus de développement du modèle.

3ème recommandation – Indicateurs et méthodes statistiques : •

Pour des analyses ultérieures, il conviendrait d'examiner des indicateurs alternatifs d'homogénéité.

Analyse de régression : afin de pouvoir comparer les différences entre DRGs et les différences entre hôpitaux, il faut prendre en compte d'autres variables explicatives, p.ex. les indicateurs infirmiers ainsi que le lieu de séjour avant l'hospitalisation.

Application de règles alternatives, mais toujours après consultation du CMO de SwissDRG SA; p.ex. pour les cas avec des coûts des soins infirmiers incompréhensibles (« 0 à 1 franc »).

4ème recommandation – Opérationnalisation de la charge en soins infirmiers : •

Il convient d'analyser l'utilité de différencier parmi les unités de prestations infirmières (PRN, LEP ou autre) les prestations autonomes et les prestations médicodéléguées (« prescrites ») ainsi que les prestations directement attribuables au patient et les prestations qui ne sont pas directement attribuables au patient.

Il faut déterminer dans quelle mesure les cas de soins intensifs sont à intégrer ou à délimiter au vu du développement du modèle.

Il est indispensable que les données concernant les prestations infirmières soient relevées de manière intégrale.

Il convient d'examiner l'option de mesurer la charge en soins infirmiers à la fois en unités de temps standardisées (PRN, LEP) et directement dans la pratique (temps « réel ») avec tous les avantages et les désavantages que cela comporte.

5ème recommandation – Intégration dans le système SwissDRG : Il convient d'examiner les possibilités d'intégration des indicateurs infirmiers dans l'algorithme de regroupement avec le CMO de SwissDRG SA avant de développer le modèle.


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Medienmitteilung der Gesundheitsdirektion

Gesundheitsdirektion Zürich, CSS, Helsana, Sanitas und SWICA lancieren ein gemeinsames Projekt zur Umsetzung der neuen Spitalfinanzierung Für die Einführung der neuen Spitalfinanzierung im Jahr 2012 haben sich die Gesundheitsdirektion Kanton Zürich und die vier Krankenversicherer Helsana, CSS, Sanitas und SWICA auf ein gemeinsames Vorgehen festgelegt. Im Rahmen dieses Projekts sind die Rollen, Aufgaben und Zuständigkeiten von Kanton und Versicherern in den Bereichen Tariffindung, Rechnungsprüfung und Codierkontrolle zu klären.

Nach der ab 2012 geltenden Spitalfinanzierung müssen auf diesen Zeitpunkt schweizweit alle auf den Spitallisten geführten Spitäler mit leistungsbezogenen Fallpreispauschalen, den sogenannten DRG (Diagnosis Related Groups), entschädigt werden. Spitälern werden nicht mehr jeder Eingriff und jeder Aufenthaltstag einzeln vergütet, sondern sie werden von der öffentlichen Hand und den Versicherern pro Fall mit einem Pauschalpreis bezahlt. Damit werden Spitäler künftig nicht mehr finanziell «belohnt», wenn sie eine Patientin oder einen Patienten länger als nötig im Spital behalten.

Neue Rollen bei Tariffindung und Rechnungsabwicklung

Neu finanzieren die Kantone und Versicherer die stationären Leistungen von Spitälern gemeinsamen nach einem festen Schlüssel. Aus diesem Grund verändern sich die Rollen bei der Tariffindung und in der Rechnungsabwicklung. Klar ist: Kantone und Versicherer können die Leistungen nicht mehr unabhängig voneinander abgelten. Noch nicht in allen Details bestimmt ist , was das für die einzelnen Akteure bedeutet.

Partnerschaftliche Umsetzung im Vordergrund

Im Sinne eines aktiven, vorausschauenden Vorgehens und um Schwierigkeiten bei der Umsetzung und langwierige Gerichtsstreitigkeiten zu verhindern, haben sich die Gesundheitsdirektion Zürich unter der Leitung von Regierungsrat Thomas Heiniger und die vier Krankenversicherer Helsana, CSS, Sanitas und SWICA mit ihren CEOs Manfred Manser, Georg Portmann, Otto Bitterli und Hans-Ueli Regius auf einen gemeinsamen Vorgehensplan geeinigt. Kanton und Versicherer lancieren gemeinsam ein Projekt, um die Rollen, Aufgaben und Zuständigkeiten in den Bereichen Tariffindung, Rechnungsprüfung und Codierrevision in den nächsten Monaten zu klären. Die Beteiligten sind sich einig, dass


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nur ein kooperatives Vorgehen ein effizientes Einführungsprozedere garantieren kann. Die Projektarbeiten beginnen noch in diesem Jahr. Resultate werden auf Mitte 2010 erwartet und dann der Öffentlichkeit zugänglich gemacht..

Ansprechpersonen für Fragen: •

Hanspeter Conrad, Leiter Finanzen und Tarife Gesundheitsdirektion (043 259 52 13, hanspeter.conrad@gd.zh.ch)

Medienstelle Helsana (043 340 12 12, media.relations@helsana.ch)

Stephan Michel, Leiter Unternehmenskommunikation CSS (058 277 13 26; stephan.michel@css.ch)


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Vorgehensplan zur Klärung des Finanzierungsmechanismus 2012 im Kt. Zürich und Durchführung eines gemeinsamen Projektes zwischen

der Gesundheitsdirektion des Kantons Zürich und der

CSS Holding AG in Vertretung der Tochtergesellschaften CSS Kranken-Versicherung AG, INTRAS Kranken-Versicherung AG, Auxilia Kranken-Versicherung AG, ARCOSANA AG und Sanagate AG

Helsana Versicherungen AG Sanitas Krankenversicherung Swica Krankenversicherung AG

vom 24. November 2009


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1. Vorbemerkung Die auf 1. Januar 2012 in Kraft tretenden Bestimmungen des Krankenversicherungsgesetzes über die Spitalfinanzierung verändern für die Finanzierer der Gesundheitsversorgungsleistungen wichtige Parameter ihrer Zuständigkeiten und Aufgabengebiete. Aus diesem Grund wollen die Parteien dieses Übereinkommens gemeinsam ihre bisherigen Prozesse im Rahmen des Leistungseinkaufs, der Datenlieferung und –aufbereitung, der Vergütung und der Abwicklung prüfen und wo nötig nach Verbesserungsmöglichkeiten suchen. Im Rahmen der SwissDRG AG werden insbesondere Fragen im Zusammenhang mit der gesamtschweizerisch einheitlichen Tarifstruktur bearbeitet. Auf kantonaler Ebene stellen sich zahlreiche Umsetzungsfragen. Zwecks Klärung dieser Fragen für den Kanton Zürich starten die Parteien ab Herbst 2009 ein gemeinsames Projekt auf der Grundlage der nachfolgend ausgeführten Grundsätze.

2. Rollen- und Prozessgestaltung Die neuen Regeln der Spitalfinanzierung sollen durch Kanton, Versicherer und Leistungserbringer möglichst effizient umgesetzt werden können. Doppelspurigkeiten, die sich aus Rollenüberschneidungen zwischen Kanton und Versicherer ergeben könnten, sind zu vermeiden. Die jeweiligen Kernkompetenzen der Partner sind im Interesse einer effizienten gemeinsamen Aufgabenerfüllung angemessen zu berücksichtigen. Projektziel 1: Klärung der Rollen, Aufgaben und Zuständigkeiten von Kanton und Versicherern in den Bereichen Tariffindung, Rechnungsprüfung und Codierkontrolle.

GD, CSS, Helsana, Sanitas, SWICA: Übereinkommen vom 24. November 2009

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2.1 Rollen des Kantons und der Krankenversicherer bei der Tariffindung Bei der Umsetzung der neuen Spitalfinanzierung werden die im Grundversicherungsbereich abzurechnenden Tarife in drei Phasen ermittelt: Vorbereitung (Datenaufbereitung), Verhandlung (Tarifverhandlung, Vertragsabschluss) sowie Vertragsgenehmigung. Zwecks Prozessoptimierung sollen die Rollen der beiden Finanzierer in diesen drei Phasen abgestimmt werden. Zur Erfüllung ihrer Aufgaben benötigen sowohl der Kanton als auch die Versicherer Daten von den Spitälern. Datenerhebung und –aufbereitung sollen deshalb zwischen Kanton und Versicherer abgestimmt werden. Die konkrete Aufgabenteilung soll im Rahmen des Projektes festgelegt werden. Soweit gesetzlich möglich sollen sich Kanton und Versicherer gegenseitig die benötigten Daten in geeigneter Form zur Verfügung stellen. Art. 49 Abs. 1 KVG bezeichnet die Leistungserbringer und Krankenversicherer als Parteien der Tarifverträge. Entsprechend sind die Krankenversicherer und die Spitäler zuständig für die Führung der Tarifverhandlungen und die Vertragsabschlüsse. Eine Teilnahme des Kantons an den Tarifverhandlungen ist gesetzlich nicht vorgesehen. Eine Beteiligung des Kantons kann aber - unter Beachtung seiner Rolle als Genehmigungsbehörde für die Tarifverträge - dennoch sinnvoll sein, wenn der Ablauf dadurch effizienter gestaltet werden kann. In der Phase der Tarifgenehmigung hat der Kanton den abgeschlossenen Vertrag auf Gesetzeskonformität, Wirtschaftlichkeit und Billigkeit zu prüfen (Art. 46 Abs.4 KVG). Es ist zu prüfen, inwieweit der Kanton und die Versicherer ihre jeweiligen Vorstellungen über die wesentlichen Bedingungen zur Bestimmung der Fallpauschalen austauschen und konkretisieren können (z.B. valide Daten, Methode des Benchmarking, allfällige Differenzierung der Pauschalen, Verhandlungsprozess, Einbezug der Investitionskosten, Umsetzung der Qualitätsverpflichtungen).

GD, CSS, Helsana, Sanitas, SWICA: Übereinkommen vom 24. November 2009

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Die Zuständigkeiten in den verschiedenen Phasen der Tariffindung richten sich nach den gesetzlichen Vorgaben: •

Phase 1 (Datenaufbereitung): Absprache zwischen Kanton und Versicherer

Phase 2 (Verhandlungen): Versicherer und Spitäler

Phase 3 (Genehmigung): Gesundheitsdirektion

Die Details der Phasengestaltung werden im Rahmen des Projektes geklärt. Projektziel 2: Die Tariffindungsprozesse sind zwecks Optimierung so zu gestalten, dass die Rollen der Finanzierer und die Grundsätze in den verschiedenen Phasen zur Bestimmung der Fallpauschalen geklärt und soweit möglich aufeinander abgestimmt sind. Form und Zeitpunkt des Einbezugs der übrigen Finanzierer und der Leistungserbringer sind zu klären.

2.2. Wettbewerb bei Tarifverhandlungen und Tarifvereinbarungen Das KVG ermöglicht unter den Versicherern nicht nur auf Ebene der Prämien, sondern auch im Verhältnis zu den Spitälern ein Wettbewerbsregime. Kartellistische Vorgehensweisen im Rahmen von Verbandsverträgen entsprechen zwar der Usanz und sind erlaubt, unterschiedliche individuelle Tarifvereinbarungen zwischen einzelnen Versicherern und einzelnen Spitälern sind aber ebenso möglich und zulässig. Verpflichtungen, bestehenden Verbandsverträgen beizutreten, sind unzulässig und ungültig (Art. 46 Abs. 3 lit. b KVG). Unter diesen Umständen können je nach Versicherer und Spital unterschiedlich hohe Pauschalen resultieren. Demgegenüber sollte aus Sicht des Kantons der jeweilige kantonale Beitrag an die Pauschalen unabhängig vom Versicherer und vom Spital bzw. innerhalb einer Gruppe vergleichbarer Spitäler gleich hoch sein. Zur Lösung dieses Zielkonflikts sind die Parteien dieses Übereinkommens bereit, die Thematik zu vertiefen und nach Lösungen zu suchen, wie die unterschiedlichen Ziele KVG-konform umgesetzt werden können.

GD, CSS, Helsana, Sanitas, SWICA: Übereinkommen vom 24. November 2009

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Projektziel 3: Ausgehend von der Tatsache, dass differenzierte Tarife je Versicherer und Leistungserbringer möglich sind, dass jedoch aus Sicht des Kantons der jeweilige Kantonsanteil pro Versorgungsstufe unabhängig vom Versicherer gleich hoch sein sollte, sind Lösungen zu suchen, wie die unterschiedlichen Ziele der Finanzierer KVG-konform erreicht werden können.

2.3 Rolle von Kanton und Krankenversicherern bei der Rechnungsprüfung Gemäss Gesetzesauftrag gehört die Rechnungsprüfung zu den Kernaufgaben der Krankenversicherer. Nach Abschnitt 8.1 Abs. 4 des "Vertrags über die Einführung der Tarifstruktur SwissDRG im Bereich der obligatorischen Krankenpflegeversicherung OKP" vom 2. Juli 2009 verzichten die Kantone auf den parallelen Aufbau einer eigenen Prüfstruktur. Zudem haben gemäss dem genannten Vertrag die Krankenversicherer und die Kantone die Art der Einsichtnahme in die Rechnungsprüfung zu vereinbaren. Für die Einzelrechnungskontrolle benötigen die Versicherer in einem DRG basierten System standardisierte Diagnose- und Prozedurendaten. Regelungen dazu finden sich auch im obgenannten Vertrag. Bei der Rechnungskontrolle sind die datenschutzrechtlichen Vorgaben, insbesondere unter Berücksichtigung des Bundesverwaltungsgerichtsurteils vom 29. Mai 2009 in Sachen Tarifgenehmigung im Kanton Bern, zu beachten. Projektziel 4: Es ist zu prüfen, in welcher geeigneten Form die Versicherer den Kanton über die Ergebnisse der Einzelrechnungskontrolle informieren können. Ebenso ist zu prüfen, in welcher geeigneter Form der Kanton die Versicherer über die Entrichtung des kantonalen Anteils direkt an die Spitäler sowie über die Revisionen der Spitäler informiert. Der Kanton Zürich bietet für die Einführung des Monismus im Spitalbereich nicht Hand. Trotzdem werden im Rahmen des Projektes die Konsequenzen einer Umsetzung von Art. 49a Abs. 3 KVG insbesondere zwecks Klärung der Prozesseffizienz geprüft. .

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2.4 Rolle von Kanton und Krankenversicherern bei der Codierkontrolle Gemäss Ziffer 4.1.1. Abs. 3 des „Reglements für die Durchführung der Kodierrevision unter SwissDRG“ vom 12. Juni 2009 sind in den einzelnen Kantonen weitergehende Prüfungen über die festgelegten Grundkontrollen hinaus möglich. Grundsätzlich ist der Kanton für die regelmässigen Audits / Codierrevisionen und der Versicherer für die Codierprüfung im Einzelfall zuständig. Weitergehende Elemente einer griffigen Codierkontrolle inklusive Sanktionsregelungen (Ausgleichszahlung, Strafmechanismus u.ä.) werden im Rahmen des Projektes gemeinsam geprüft. Das Recht des einzelnen Versicherers auf Codierprüfungen vor Ort bleibt in jedem Fall vorbehalten. Projektziel 5: Erarbeitung eines Konzepts für die koordinierte Durchführung der Codierkontrollen durch Kanton und Versicherer und für die gegenseitige Offenlegung der Resultate.

3. Projekt Die Parteien dieses Übereinkommens führen ein gemeinsames Projekt durch zur geordneten Einführung der neuen Spitalfinanzierungsregeln auf Basis der Grundsätze gemäss Abschnitt 2 und zur Klärung der offenen Umsetzungsfragen. Die Parteien stellen dem Projekt die notwendigen personellen Ressourcen zur Verfügung. Die Resultate werden transparent gemacht.

Die Parteien delegieren Vertreter in eine paritätisch zusammengesetzte Steuerungsgruppe. Diese hat folgende Aufgaben: •

Koordinierte Bearbeitung der Projektziele bis Mitte 2010;

Erlass einer Projektplanung und Steuerung des Projektes;

Klärung, zu welchem Zeitpunkt und in welcher Form die Vorstellungen der Parteien dieses Übereinkommens mit den weiteren Versicherern und den Leistungserbringern ausgetauscht und gegebenenfalls überarbeitet werden sollen.

GD, CSS, Helsana, Sanitas, SWICA: Übereinkommen vom 24. November 2009

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Gesundheitsdirektion des Kantons Zürich Gesundheitsdirektor:

Leiter Abteilung Finanzen und Tarife:

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Dr. Thomas Heiniger, Regierungsrat

Dr. Hanspeter Conrad

CSS Holding AG Vorsitzender der Konzernleitung:

Leiter Gesundheitspolitik, Mitglied der Direktion:

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Georg Portmann

Guido Klaus

Helsana Versicherungen AG Vorsitzender der Konzernleitung:

Leiter Gesundheitsökonomie und –politik:

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Manfred Manser

Pius Gyger

Sanitas Krankenversicherung CEO:

Leiter Departement Leistungen:

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Otto Bitterli

Beat Schläfli

SWICA Krankenversicherung AG CEO:

Departementsleiter Leistungen:

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Hans-Ueli Regius

Beat Schärer

GD, CSS, Helsana, Sanitas, SWICA: Übereinkommen vom 24. November 2009

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 352 Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la statistique OFS

Communiqué de presse Embargo:

14

28.11.2008, 9:15

Santé

N° 0351-0811-90

Statistique des établissements de santé 2007 / Indicateurs des institutions médicosociales 2006

La baisse tendancielle de la durée moyenne des séjours hospitaliers se poursuit Neuchâtel, 28.11.2008 (OFS) – La durée moyenne des hospitalisations continue de baisser : en 2007, les patients sont restés en moyenne 10,9 jours dans les hôpitaux, contre 12,4 jours en 2003. Ce raccourcissement des séjours s’accompagne d’une augmentation du coût de la journée d’hospitalisation. Entre 2003 et 2007, ce coût a augmenté proportionnellement à la diminution de la durée moyenne de séjour, pour s’établir en 2007 à 1140 francs. Dans un établissement médico-social, la journée d’hébergement coûte 236 francs à l’échelon national: ces coûts varient toutefois considérablement d’une région linguistique à l’autre. Ces résultats sont issus des statistiques des établissements de santé 2007, publiés par l’Office fédéral de la statistique (OFS). Résultat de la mise en place d’une série de nouvelles planifications hospitalières, le nombre d’hôpitaux suisse est en baisse. Il est de 321 en 2007 contre 333 en 2006 et 399 en 1998. Les patients traités en 2007 sont répartis dans les hôpitaux de soins généraux (1,15 million de cas), les cliniques psychiatriques (107'000) et les cliniques spécialisées en réadaptation, chirurgie, gériatrie, pédiatrie et gynécologie (209'000 cas). Le nombre de cas d’hospitalisation et de semi-hospitalisation est en augmentation de 2,5% par rapport à 2006, alors que le nombre de journées d’hospitalisation diminue de 0,9%. Les patients restent donc moins longtemps à l’hôpital : 7,8 jours dans les hôpitaux de soins aigus, 46 jours dans les cliniques psychiatriques et 25 jours dans les établissements de réadaptation. La baisse généralisée de la durée moyenne de séjour s’accompagne notamment d’une augmentation du nombre de cas enregistrés dans les cliniques de réadaptation : entre 2005 et 2007, il est passé de 46'600 à 55'400 cas par année (+19%).

Espace de l'Europe 10 CH-2010 Neuchâtel www.statistique.admin.ch


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 353 Communiqué de presse OFS

Causes d’hospitalisation les plus fréquentes Les maladies du système ostéo-articulaire (arthrose, affections articulaires, problèmes de dos) constituent la cause la plus fréquente d’hospitalisation (168’400 cas). 162'000 patients ont été hospitalisés suite à des lésions traumatiques dues à des causes externes et à des empoisonnements. Quelque 142'300 patients ont été traités pour des maladies de l’appareil circulatoire (affections cardiaques et cardio-pulmonaires, maladies cérébrovasculaires) et 126'600 en raison de troubles mentaux et du comportement (y compris démences, schizophrénie). Chez les enfants de 0 à 14 ans, les hospitalisations pour maladies de l’appareil respiratoire (16'500 cas) et les lésions traumatiques (16'700 cas) sont les principales causes d’hospitalisation. Légère augmentation des coûts et du personnel des hôpitaux Entre 2006 et 2007, les coûts de la prise en charge – sans les frais d’investissement – dans les établissements hospitaliers ont augmenté de 4%, pour atteindre 18,4 milliards de francs. Durant la même période, les effectifs de personnel ont également crû de 2,1%. En 2007, les hôpitaux de soins généraux employaient 96'600 personnes (équivalents plein temps) et les cliniques spécialisées 34'400. Etablissements médico-sociaux : disparités entre régions linguistiques mises en lumière Près de 135'000 personnes âgées étaient hébergées dans un établissement médico-social en 2007, représentant une hausse de 2,7% par rapport à 2006. Comme les effectifs de personnel ont également augmenté de 3% (personnel de soins + 4,7%, personnel administratif, hôtelier et technique + 2,9%), le taux d’encadrement des personnes âgées reste stable. Parmi ces dernières, la part des 90 ans et plus continue de croître : cette tranche d’âge représente 28% de la totalité des résidants, contre 25% en 2006. On assiste donc à un vieillissement de la population vivant dans les homes médicalisés. Enfin, une série d’indicateurs publiés par l’OFS met en évidence les disparités cantonales existant au niveau de la prise en charge des personnes âgées. Moins bien dotés que les cantons alémaniques en termes de places, les cantons latins accueillent des patients plus âgés et nécessitant des soins plus soutenus. La dotation infirmière, ainsi que les coûts journaliers, y sont par conséquent plus importants. Ainsi, une journée d’hébergement dans un home coûtera moins de 200 francs en Suisse orientale et centrale contre environ 270 francs en Suisse romande. Pour l’année 2007, les coûts totaux d’exploitation des établissements médico-sociaux se sont élevés à 7,17 milliards de francs. Autres institutions spécialisées En 2007, 37'000 personnes ont bénéficié des prestations offertes par les institutions pour personnes handicapées, en y étant hébergées et/ou en occupant des places d'occupation de jour, ateliers compris. Les séjours dans ce type d’établissement durent en moyenne 4,7 ans. Les handicaps principaux les plus couramment recensés étaient d'ordre mental (56%), psychique (20%), et physique (11%). Par ailleurs, 5300 personnes ont été comptabilisées durant l’année 2007 dans les établissements pour problèmes de dépendance. Enfin, 6300 personnes ont été prises en charge dans les institutions spécialisées dans le traitement des problèmes psychosociaux.

OFFICE FÉDÉRAL DE LA STATISTIQUE Service de presse

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 354 Communiqué de presse OFS

Statistiques des établissements de santé de l’Office fédéral de la statistique La statistique des hôpitaux est établie sur la base des données administratives des établissements concernant les hospitalisations (cas, lits, journées d’hospitalisation), le personnel et les charges d’exploitation. La statistique médicale des hôpitaux repose sur des données sociodémographiques (sexe, âge, région d’habitation) et médicales (diagnostics et traitements) des patients traités. La statistique des institutions médico-sociales est basée sur des données concernant l’offre de l’institution, la clientèle hébergée, le personnel employé ainsi que la comptabilité des maisons pour personnes âgées, établissements médico-sociaux, institutions pour handicapées, établissements pour personnes dépendantes, établissements pour cas psychosociaux. Les résultats publiés sont provisoires. Les chiffres définitifs pour l’année de relevé 2007 paraîtront début mars 2009.

Renseignements: Adrian Füglister, OFS, Section Système de santé, tél.: +41 32 71 36940

Nouvelles parutions: Actualités OFS « Indicateurs des institutions médico-sociales 2006 − Analyses et résultats », n° de commande: 532-0814-05. Prix : gratuit. Actualités OFS « Statistique médicale des hôpitaux 2007 − Résultats provisoires (tableaux standard) », n° de commande: 532-0812-05. Prix : gratuit. Actualités OFS « Statistique des hôpitaux 2007 − Résultats provisoires (tableaux standard) », n° de commande: 532-0811-05. Prix : gratuit. Actualités OFS « Statistique des institutions médico-sociales 2007 − Résultats provisoires (tableaux standard)», n° de commande: 532-0809-05. Prix : gratuit.

Service de presse OFS, tél. : +41 32 71 36013; fax : +41 32 71 36346, e-mail: info@bfs.admin.ch Commandes de publications : tél. : +41 32 71 36060, fax : +41 32 71 36061 e-mail : order@bfs.admin.ch Vous trouverez d’autres informations et publications sous forme électronique sur le site Internet de l’OFS à l’adresse http://www.statistique.admin.ch > Thèmes > 14 - Santé Abonnement aux communiqués de presse sous format électronique (pdf) à l’adresse : http://www.news-stat.admin.ch

Ce communiqué est conforme aux principes du Code de bonnes pratiques de la statistique européenne. Ce dernier définit les bases qui assurent l’indépendance, l’intégrité et la responsabilité des services statistiques nationaux et communautaires. Les accès privilégiés sont contrôlés et placés sous embargo. Aucun accès privilégié n'a été accordé pour ce communiqué. 3/5


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 355 Communiqué de presse OFS

T1: Chiffres-clé du secteur de la prise en charge hospitalière 2003-2007

Nombre de cas total (sans les nouveau-nés en bonne santé) hospitaliers semi-hospitaliers Nombre de journée d'hospitalisation cas hospitaliers Durée moyenne de séjour totale (en jours)

2007

1

2003

2004

2005

2006

1 371 616

1 403 029

1 403 570

1 432 393

1 468 642

1 103 746

1 128 003

1 131 663

1 158 073

1 195 082

267 870

275 026

271 907

274 320

273 560

13 664 217 13 529 001 13 284 519 13 106 070 12 989 475 12,4

12,0

11,7

11,3

10,9

9,0

8,8

8,5

8,2

7,8

38,3

36,9

35,9

34,6

33,1

1017,7

1036,3

1076,9

1097,9

1140,0

1250,8

1274,4

1329,8

1364,1

1436,0

588,0

591,0

616,6

621,1

638,7

sans les charges d'investissement (en mio de fr.)

16 358

16 694

17 217

17 649

18 380

dans les hôpitaux de soins aigus2 dans les cliniques spécialisées (psychiatrie, réadaptation, gériatrie, diverses)

13 343

13 681

14 069

14 428

14 955

3 015

3 013

3 149

3 221

3 425

123 475

123 385

125 703

128 238

130 990

dans les hôpitaux de soins aigus2 dans les cliniques spécialisées (psychiatrie, réadaptation, gériatrie, diverses) Coûts par journée d'hospitalisation total (en fr.)

3

dans les hôpitaux de soins aigus2 dans les cliniques spécialisées (psychiatrie, réadaptation, gériatrie, diverses) Charges d'exploitation

Personnes employées au 31.12. en équivalents plein temps 1

Résultats provisoires.

2 En font partie les hôpitaux de soins généraux ainsi que les cliniques spécialisées en chirurgie, en pédiatrie et en gynécologie/néonatologie. 3 Charges d'exploitation sans les investissements et sans les charges de l'ambulatoire, divisées par la somme des journées d'hospitalisation et des cas semi-hospitaliers.

Source: statistique des hôpitaux.

4/5


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 356 Communiqué de presse OFS

T2 Chiffres-clés du secteur des institutions médico-sociales 2003-2007 2003

2004

1

2005

2

Nombre de journées d'hébergement Etablissements pour personnes âgées 28 633 647 28 922 730 29 066 624 Etablissements pour personnes handicapées 8 104 896 8 483 620 8 584 210 Coûts d'exploitation, en milliers de francs Etablissements pour personnes âgées 6 194 410 6 382 448 Etablissements pour personnes handicapées 3 066 686 3 235 808 Places en service Etablissements pour personnes âgées 85 658 86 214 Etablissements pour personnes handicapées 27 435 28 258 Emploi au 31.12 en équivalents plein temps Etablissements pour personnes âgées 61 680 62 837 Etablissements pour personnes handicapées 24 919 25 850 Nombre de clients au 31.12 Etablissements pour personnes âgées Etablissements pour personnes handicapées

2006

2007

29 140 803

30 390 816

8 721 425

3

7 877 521

6 579 511

6 808 659

3 311 577

3 131 554

3

86 798

84 467 / 1813

4

28 232

25'217 / 44'752

5

63 887

63 373

64 909

26 295

24 667

25 724

3

7 176 330 3 377 580

86'049 / 1851 26'171 / 47'006

3

4 5

81 937

82 909

83 053

83 298

85 564

25 358

26 283

26 299

35 500 6

37 532 6

1

Pour les données 2003-2004, les valeurs manquantes ont été imputées et les valeurs aberrantes corrigées selon un modèle développé par les services méthodologiques de l'Office fédéral de la statistique.

2

De très bonne qualité, les données 2005 ont été plausibilisées mais elles n'ont subi aucune imputation.

3

A partir de 2006, les données ont été récoltées via un nouveau questionnaire. Pour certaines variables, la comparabilité avec les données des années précédentes n'est pas garantie.

4

places long séjour / places court séjour

5

places avec hébergement / tous types de place

6

nombre total de personnes en institution, hébergées ou non

Source: statistique des établissements de santé non hospitaliers 1999-2005, statistique des institutions médico-sociales 2006-2007.

5/5


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 357

Buchbeitrag „Gesundheitssysteme im Wandel“ z. Hd. der deutsch-schweizerischen Gesellschaft für Gesundheitspolitik

Stand der Einführung des DRG-Systems in der Schweiz: Die Sicht der Krankenversicherer 1. Um was es geht – Kernelemente und Ziele der neuen Spitalfinanzierung Ende 2007 hat das schweizerische Parlament nach langen Beratungen eine neue Spitalfinanzierung beschlossen. 1 Lange konnten sich die beiden Parlamentskammern nicht über die Details einig werden. Gefeilscht wurde insbesondere über die Kostenaufteilung der stationären Behandlungen zwischen Kantonen und Versicherern. National- und Ständerat fanden sich schliesslich bei der Mindestquote von 55% für die Kantone. Strittig war auch die Frage, ob sich Schweizerinnen und Schweizer künftig ohne Einschränkungen in allen Listenspitälern des Landes behandeln lassen können – und nicht nur in jenen des Wohnkantons. Die Räte fanden den Kompromiss, ausserkantonale Behandlungen zwar zuzulassen – doch müssen die Versicherten allfällige Preisdifferenzen zu ihrem Wohnkanton selber tragen. Das eigentliche Kernelement der neuen Spitalfinanzierung hingegen war weniger umstritten: Die Einführung der leistungsorientierten Abgeltung durch Fallpauschalen. Das bedeutet einen eigentlichen Paradigmenwechsel. Bisher orientierte sich die Spitalfinanzierung an Strukturmerkmalen und „brillierte“ mit einer Vielzahl von Tarifmodellen. Kantonal oder gar regional gewachsene Vergütungsmodelle führten zu einem kaum vergleichbaren „Finanzierungswirrwarr“. Die fehlende Vergleichbarkeit der Tarife und die ausgeprägte Orientierung an den bestehenden Kapazitäten haben zu einem System geführt, in dem wirtschaftliche Aspekte stark in den Hintergrund gerieten. Damit einher gingen Tarife, die weit von einer auch nur annähernd korrekten Abbildung der Leistungserbringungskosten entfernt waren. Die Anforderungen an ein neues Finanzierungsregime waren damit gegeben: Erstens brauchte es eine Vergleichbarkeit von Qualität und Kosten auf nationalen Ebene, und zweitens musste die struktur- und kapazitätsorientierte Sichtweise einer leistungsorientierten Abgeltung der Spitalleistungen weichen. Beiden Aspekten wurde im neuen Artikel 49 des Krankenversicherungsgesetztes (KVG) Rechnung getragen. Er besagt, dass die Tarifstrukturen für stationäre Behandlungen auf national einheitlichen Strukturen und leistungsorientierten Pauschalen basieren müssen. Das Gesetz gibt zwar nicht ausdrücklich vor, dass dazu ein DRG-System nötig ist. Doch sind sich alle Partner einig, dass diese den Zielsetzungen am besten Rechnung tragen kann. Diese Tendenz in Richtung Fallpauschalen hat in der Schweiz bereits vor der Revision der Spitalfinanzierung begonnen. Die Arbeiten an der Tarifstruktur „SwissDRG“ wurden deshalb bereits im Jahre 2004 aufgenommen. Das System basiert auf dem etablierten G-DRG-System, welches seit 2003 in Deutschland im Einsatz ist. Am 1. Januar 2012 wird SwissDRG schweizweit verbindlich eingeführt. Wie dies für national einheitliche Tarifstrukturen der Fall ist, muss auch SwissDRG vom Bundesrat genehmigt werden. Die neue Spitalfinanzierung umfasst neben den Fallpauschalen, dem neuen Kostenteiler und der freieren Spitalwahl weitere Massnahmen: • • • • •

1

Gleichstellung von öffentlich und privat finanzierten Spitälern Gleichstellung der Geburtshäuser mit den Spitälern Miteinbezug der Investitionen in die Tarife Verschärfte Anforderungen an die kantonalen Spitalplanungen Streichung des Begriffs „teilstationär“

Änderung KVG vom 21. Dezember 2007, in Kraft seit 1. Januar 2009


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 358

Die nachfolgenden Überlegungen beziehen sich in erster Linie und wo nicht anders erwähnt auf SwissDRG2. 2. Die Kernanliegen der Krankenversicherer bezüglich der DRG-Einführung Die Krankenversicherer begrüssen die Einführung von Fallpauschalen und SwissDRG. Im stationären Bereich werden künftig nicht mehr einfach Kosten gedeckt, sondern Leistungen abgegolten. Das macht aus wirtschaftlicher und auch aus qualitativer Sicht Sinn. Falsche Anreize – wie etwa das Füllen von nicht benötigten Betten – fallen weg. Die Erwartungen an SwissDRG sind gross: Sie sollen einen Qualitätswettbewerb unter die Spitäler bringen, Vergleichbarkeit und Kostentransparenz herstellen, wenn nötig für eine Strukturbereinigung sorgen und zu guter Letzt auch noch mithelfen, die Kostensteigerung zu dämpfen. Sicherlich hat das neue Tarifsystem das Potenzial zu all dem. Es wird sich aber nur realisieren lassen, wenn die Rahmenbedingungen stimmen. Die Tarifverhandlungen der Spitäler betrifft vor allem die Baserates – quasi die Taxpunktwerte der Fallpauschalen. Idealtypischerweise sollten diese überall gleich sein. Weil das Tarifsystem aber nicht jede Einzelheit genau abbilden kann, wären manche Spitäler je nach Fallzusammensetzung bevorteilt, andere benachteiligt. Deshalb wird man eine gewisse Bandbreite bei den Baserates in Kauf nehmen müssen. Diese wird zwischen Spitälern und Krankenversicherern verhandelt. Dazu braucht es aber Transparenz über die Fallzusammensetzung eines Spitals. Das heisst: Die Krankenversicherer müssen wissen, welche Diagnosen wie häufig anfallen. Auch für die Anwendung von SwissDRG ist Transaparenz von höchster Bedeutung. Die Rechnungskontrolle durch die Krankenversicherer ist per Gesetz ein integraler Bestandteil jeder Art von Leistungsabrechnung. Damit dies gewährleistet ist, brauchen die Krankenversicherer minimale Angaben über die Diagnose. Das bestätigt ein Urteil des Bundesverwaltungsgerichts vom 29. Mai 2009. Es bezeichnet die Weitergabe von Diagnosen zum Zweck der Rechnungskontrolle als verhältnismässig. Gleichzeitig mahnt es an, den Datenschutz ernst zu nehmen. Sensible Diagnosen wie Geschlechtskrankheiten oder psychische Leiden dürfen ausschliesslich an den Vertrauensarzt der Krankenversicherung gehen. Zudem schreibt das Bundesverwaltungsgericht fest, dass die Krankenversicherer die Diagnosedaten nicht länger als nötig aufbewahren dürfen. Die Fallpauschalen eliminieren, wie erwähnt, den Anreiz zum Bettenfüllen. Es gibt aber auch Befürchtungen, dass der Anreiz sich ins Gegenteil verkehrt und verfrühte Entlassungen, so genannte Bloody Exits, die Folge sind. Deshalb ist ein einheitliches Qualitätssicherungsprogramm wünschenswert, welches solche Auswüchse aufdecken würde. Im Parlament sind erfolgversprechende Vorstösse lanciert worden, die genau das verlangen. Wichtig ist aus Sicht der Krankenversicherer, dass es möglichst wenig so genannter Zusatzentgelte gibt. Manche Spitäler sind der Ansicht, dass bestimmte teure Behandlungsschritte wie etwa Krebsmedikamente nicht Bestandteil einer Fallpauschale sein können, weil diese die Kosten niemals decken könne. Die Krankenversicherer hingegen vertreten die Ansicht, dass dies bei einer korrekten Berechnung der Kostengewichte3 kein Problem sei. Die Fallpauschalen sind Durchschnittswerte, welche die tatsächlichen Kosten einmal über-, ein andermal unterschreiten. Deshalb sind Zusatzentgelte aus Sicht der Krankenversicherer nicht nur unnötig, sondern auch schädlich. Sie vermischen den Pauschaltarif mit der Abrechnung von Einzelleistungen und torpedieren die positiven Anreize, welche SwissDRG schafft. Schliesslich ist wichtig, dass in die Tarifverhandlungen und in die Vergleiche der Spitäler keine Strukturelemente mit einfliessen. Das heisst: Ein Unispital soll für seine Leistungen keine höheren Tarife erhalten als ein Regionalspital. Aus Sicht der Patienten ist es nämlich egal, wo er eine Behandlung erhält. Für ihn ist einzig die Qualität relevant. In der Folge beleuchten wir drei dieser Kernanliegen genauer: Die Transparenz, die Qualität sowie die Voraussetzungen für gute Preisverhandlungen. 2.1. SwissDRG und Transparenz 2

SwissDRG umfasst alle stationären, akutsomatischen Spitalbehandlungen, nicht jedoch die Leistungen der stationären Rehabilitation und Psychiatrie. 3 Das Kostengewicht ist abhängig von der Schwere des Falles. Komplexe Fälle erhalten ein hohes, einfache Fälle ein niedriges Kostengewicht. Der Rechnungsbetrag (die Fallpauschale) wird so berechnet: Baserate mal Kostengewicht.


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 359

Die Einführung eines DRG-Systems setzt hohe Massstäbe an Transparenz und Datenflussprozesse. Die Erfahrungen der Krankenversicherer aus diversen APDRG4-Tarifverträgen haben klar aufgezeigt, dass mit Einsatz von DRGs allein noch nicht viel erreicht ist. Kostenvergleiche auf einer aggregierten Ebene lassen sich damit zwar – unter Einschränkung einer relativ geringen Ausdifferenzierung des Leistungskatalogs – recht gut anstellen, sie werden aber mit einer hohen Intransparenz in der gesamten Abwicklung der Finanzierungsflüsse erkauft. Diese Intransparenz ist in erster Linie die Folge der in der Schweiz üblichen Datenflussprozesse, welche allesamt in einer Zeit vor DRG entstanden sind. 2.1.1. Transparenz im Einzelfall Im Zentrum der Diskussion steht dabei zweifelsohne die Frage, welche Angaben die Krankenversicherer für die Rechnungs- und Wirtschaftlichkeitsprüfung brauchen. Gemäss Art. 42 Abs. 3 KVG muss der Leistungserbringer dem Krankenversicherer – welcher bei stationärer Behandlung von Gesetzes wegen Schuldner der Vergütung ist - „[…] eine detaillierte und verständliche Rechnung zustellen. Er muss ihm auch alle Angaben machen, die er benötigt, um die Berechnung der Vergütung und die Wirtschaftlichkeit der Leistung überprüfen zu können. […]“. Es reicht somit nicht aus, wenn die Rechnungsstellung nur den Rechnungsbetrag und die abgerechnete Fallgruppe umfasst. Es braucht alle Angaben, die für die Gruppierung des Falles notwendig sind. Darunter fallen auch die relevanten Diagnose- und Prozedurenangaben gemäss den angewendeten Klassifikationen. Hinzu kommen weitere Merkmale des abgerechneten Falles, wie etwa Aufenthaltsdauer, Urlaubsstunden oder Angaben über eine eventuelle Fallzusammenführung. Fehlen diese Angaben, kann nicht einmal eruiert werden, ob der Fall der richtigen Gruppe zugeteilt wurde. Der Normalfall wäre damit eine Blackbox. Wegen der Spannweite der abrechenbaren Kostengewichte ist schon allein dieser Umstand nicht akzeptabel. Neben dieser rein „technischen“ Rechnungsprüfung werden die Informationen zur Rechnungstriage verwendet. Was heisst das genau? Die Krankenversicherer werden sich davor hüten, jede einzelne Rechnung detailliert zu überprüfen und Nachfragen beim Spital anzustellen. Weil sie wissen, dass ein Grossteil der Rechnungen korrekt gestellt wird, würden Aufwand und Nutzen einer derartigen systematischen Detailprüfung in keinem vernünftigen Verhältnis stehen. Trotzdem: Falsche Rechnungen gibt es immer wieder. Unter DRG erhöht sich diese Gefahr aus zwei Gründen: Die Komplexität des Systems alleine kann zu Fehlern führen, und die finanziellen Auswirkungen und damit die Anreize der Rechnungsstellung sind viel prägnanter als. in einem System mit Tagespauschalen. In Kenntnis der gruppierrelevanten Parameter und unter Einbezug anderer Faktoren (wie die Kenntnis bisheriger Abrechnungsfehler) ist es einem Versicherer möglich, die Fälle zu triagieren. Der grosse Teil, nämlich die unproblematischen Fälle, kann ohne weiteres bezahlt werden. Fälle, welche in irgendeiner Weise eine Auffälligkeit aufweisen, können weiter geprüft werden. Die Prüfungen können die Zuständigkeit des Versicherers (z.B. unfall- statt krankheitsbedingte Prozedur oder Hauptdiagnose) oder die korrekte Anwendung der Abrechnungsregeln umfassen (z.B. eine Komplikation im Zusammenhang mit einem früheren Spitalaufenthalt). Sie können – müssen aber nicht – zu einer Einsichtnahme in das Patientendossier durch den Vertrauensarzt oder gar zur Hinterfragung der Wirtschaftlichkeit einer Leistung – etwa aufgrund eines unangebrachten Eingriffs – führen. Diese notwendigen Prüfungen sind nur dann vernünftig durchführbar, wenn der Versicherer die benötigen Angaben für jeden Fall und zum Zeitpunkt der Rechnungsstellung kennt. Andernfalls verkäme die Rechnungsprüfung durch die Krankenversicherer zum „Fischen im Trüben“ Sie würde eine Unzahl nicht gerechtfertigter Rückfragen bei den Spitälern auslösen - mit entsprechenden Administrationskosten auf beiden Seiten. Den Krankenversicherern wird fälschlicherweise vorgeworfen, dass sie in Kenntnis der abrechnungsrelevanten Daten die Spitäler mit Rückfragen überhäufen würden. Doch bei näherer Betrachtung leuchtet ein, dass genau das Gegenteil der Fall wäre: Um die gleichen Fehler in den Abrechnungen entdecken zu können, müssten die Versicherer ohne Kenntnis der relevanten Angaben bedeutend mehr Rückfragen 4

All Patient Diagnosis Related Groups, erstmals eingeführt im Kanton Waadt (2002)


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 360

starten. Im Gegensatz zu Deutschland, wo die medizinisch relevanten Prüfungen an die MDK (landesweit vereinheitlichte „medizinische Dienste der Krankenkassen“) delegiert werden, müssen die Versicherer in der Schweiz die Administrativkosten für jede zusätzliche Prüfung selber bezahlen. Sie werden sich deshalb davor hüten, irgendwelche Prüfungswellen loszutreten. Es ist dabei völlig unbestritten, dass der Datenschutz zu gewährleisten ist. Die Bestimmungen des KVG und der dazugehörigen Verordnung sind mehr als klar. Es ist keinesfalls so, dass sich die Krankenversicherer in einem Umfeld voller Datenmissbrauch bewegen, wie immer wieder – wohl nicht ganz ohne Hintergedanken – unterstellt wird. Der gesetzes- und datenschutzkonforme Umgang mit heiklen Personendaten ist vielmehr eine Kernkompetenz der Krankenversicherungen und untersteht der Aufsicht durch die Behörden, mit drastischen Strafen im Falle des Missbrauchs. 2.1.2. Transparenz beim Leistungserbringer In der intensiv geführten Diskussion über die Notwendigkeit der Diagnose- und Prozedurendaten für die Einzelfallprüfung geht zuweilen vergessen, dass DRGs auch auf konsolidierter Ebene des Spitals erhöhte Anforderungen an die Transparenz stellen. •

Die Vergleichbarkeit der Spitäler und ihrer Leistungen ist ein erklärtes Hauptziel der neuen Spitalfinanzierung. Doch auch hier gilt: Die Existenz von Daten alleine bringt wenig, wenn sie nicht zugänglich sind. Noch existiert bei den Spitälern verbreitet die Haltung, dass bereits Angaben zum Casemix Index (CMI) des Spitals besonders schützenswerte Daten sind. Diese Sicht der Dinge erscheint angesichts der Zielsetzung der Leistungsorientierung fraglich, weil die Angaben zur Fallschwere letztlich einfach das Leistungsspektrum des Spitals wiedergeben, welches wiederun durch die Leistungsaufträge definiert wird. Auch über die Qualität der Leistung kann der CMI keine Aussage machen.

Für die Krankenversicherer erlangen detaillierte Angaben über den CMI aber noch eine weitere, ganz entscheidende Bedeutung, nämlich für die Berechnung der Spitaltarife. Der Basispreis (Baserate) – also jener Wert, welcher mit dem Kostengewicht multipliziert den Rechnungsbetrag ergibt und vergleichbar ist mit dem Taxpunktwert in TARMED – entspricht vereinfacht den Leistungskosten des Spitals, geteilt durch die Summer der Kostengewichte. Währenddem sich für die Ermittlung der Kostenbasis über die Jahre eine klare Praxis entwickelt hat, gilt die Summe der Kostengewichte bislang als Blackbox. Die Erfahrungen aus den heutigen Tarifverhandlungen mit APDRG zeigen, dass die heute nicht rechtzeitig plausibilisierbaren Angaben der Spitäler ohne weiteres Differenzen von 5 % oder mehr zum realen Wert ausmachen können. Diese Differenz schlägt sich direkt auf die berechneten Tarife nieder und ist weit mehr als eine tolerierbare „Schwankungsbreite“.

Unter SwissDRG gilt die jährliche Anpassung der Tarifstruktur als erklärtes Ziel, damit das Tarifsystem die medizinische Realität möglichst exakt abbilden kann. Die Tarifberechnungen werden damit aber zusätzlich erschwert. Zum oben beschriebenen Umstand können weitere Verschiebungen des CMI von mehreren Prozentpunkten hinzukommen. Dies deshalb, weil im Jahr der Tarifberechnung mit den Leistungsdaten des Vorjahres der Tarif des kommenden Jahres zu ermitteln ist. Zwischen der Berechnungsbasis und dem Abrechnungsjahr liegen demnach zwei Tarifstrukturwechsel mit den entsprechenden Verschiebungen. Beide Effekte können sich zu substantiellen Fehlern in der Tarifberechnung summieren, die aus Sicht der Versicherer nicht akzeptabel sind.

Diesen Schwierigkeiten kann am besten durch den sogenannten „SwissDRGGesamtdatensatz“ begegnet werden. In einem solchen Datensatz wären sämtliche SwissDRGFälle eines Jahres zusammengefasst. Die Angaben dürfen keine Rückschlüsse auf die Patienten zulassen und müssen dementsprechend anonymisiert sein. Sie beinhalten jedoch all jene Angaben, welche die Berechnung des CMI auf Spitalebene ermöglichen. Dies gilt einerseits für


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 361

den CMI, wie er aus den Fällen des Erhebungsjahrs resultiert, wie auch für den CMI, wie er auf Basis dieser Fälle in einer künftigen Tarifstrukturversion resultieren würde. Diese Differenz wird als Katalogeffekt bezeichnet. Die Erkenntnis, dass die permanente Weiterentwicklung der Tarifstruktur auch entsprechende Massnahmen in der Tarifberechnung bedingt, hat sich noch zuwenig durchgesetzt. Für die Krankenversicherer gilt sie jedoch als zentrales Element der erfolgreichen Einführung von SwissDRG. 2.1.3. Folgen für die Datenflussprozesse Aus den bisherigen Überlegungen wird klar, dass die Einführung von SwissDRG mehr als die Erstellung der Tarifstruktur umfasst - nämlich die grundlegende Anpassung der Datenflussprozesse. Es ist dabei keinesfalls notwendig, die heute existierenden Datenerhebungen völlig neu zu konzipieren, doch sie müssen für SwissDRG fit gemacht werden. Im Zentrum steht dabei die medizinische Statistik, welche zwar alle relevanten Angaben minutiös erfasst, diese aber am Schluss mehr oder weniger unzugänglich brach liegen lässt. Dazu tragen nicht nur die Widerstände der Spitäler bei, sondern auch die kantonale Datenhoheit, welche die Datenerhebungen verzögern und zu uneinheitlichen und damit schlecht vergleichbaren Ergebnissen führen kann. Es geht dabei nicht darum, die Datenbedürfnisse der Kantone in Frage zu stellen oder das Bundesamt für Statistik (BFS) für die unzureichende Nutzung des riesigen Datenbestandes verantwortlich zu machen. Es geht um die Frage, welche Anforderungen SwissDRG an das Datenflusskonzept der Zukunft stellt. Diese lauten auf den Punkt gebracht: • • • •

SwissDRG als national einheitliche Tarifstruktur fordert eine national einheitliche Datenstruktur. Die Datenerhebungen müssen zeitnah erfolgen. Die konsolidierte Datenbasis muss in kurzer Zeit vorliegen. Die Berechtigungen zur Nutzung der Datenbasis müssen den legitimen Ansprüchen angepasst werden.

Was bedeutet dies konkret? Vorab muss sichergestellt sein, dass ein stationärer Fall auch in der Statistik lediglich ein stationärer Fall ist. Spitäler und Kantone konfrontieren die Krankenversicherer immer wieder mit dem Argument, dass der Abrechnungsfall nicht dem statistischen Fall entspricht, beispielsweise wegen einer unterschiedlichen Diagnose- und Prozedurenkodierung. Der Grund liegt in den geschichtlichen Wurzeln der medizinischen Statistik, welche primär epidemiologischen Ansprüchen gerecht werden musste. Diese Ansprüche müssen wir nicht aufgeben - doch braucht es einen Fokus auch auf SwissDRG als Abrechnungssystem. So müssen beispielsweise Nebendiagnosen, welche nicht vergütungsrelevant sind, entsprechend gekennzeichnet werden. Die Datensätze müssen darüber hinaus frühzeitig einer zentralen Stelle – welche aus der Logik heraus das BFS sein sollte – vorliegen. Frühzeitig heisst am 31. März des Folgejahres. Die Daten müssen anschliessend plausibilisiert und konsolidiert werden, damit spätestens per Ende Mai des Folgejahres die Gesamtdatensätze vorliegen. Die Gesamtdatensätze müssen den Ansprüchen der jeweiligen Empfänger gerecht werden. Denkbar sind deshalb unterschiedliche Datensätze für Kantone, für die Spitäler, für die Krankenversicherer und für den Bund. Wie bereits erwähnt, muss der Datensatz für die Krankenversicherer nicht nur die Berechnung der verschiedenen CMI für die Tarifberechnung ermöglichen. Er sollte auch Aufschlüsse ermöglichen, welche zur Weiterentwicklung der Tarifstruktur oder der damit verbundenen Regelwerke (Abrechnungsregeln, Kodierhandbuch) dienen können. Was hier recht einfach klingen mag, dürfte sich in der Umsetzung als „Masterpiece“ erweisen. Es braucht noch viel Überzeugungsarbeit: Die Abhängigkeit eines DRG-Systems von adäquaten Datenflussprozessen wird eindeutig unterschätzt, nicht zuletzt weil sich die meisten mit den


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 362

heute gültigen Standards arrangiert haben. Die Zeit drängt, denn die Prozesse müssen bei Einführung von SwissDRG etabliert sein müssen. Die Fehler, die sich in der Startphase der Anwendung von SwissDRG ansonsten ergeben würden, sind nur schwer zu korrigieren. 2.1.4. Die Bedeutung des Datenschutzes Es ist offensichtlich, dass dem Datenschutz dabei eine wichtige Rolle zukommt. Die Ängste und Befürchtungen, welche mit der Übermittlung von Diagnosedaten an die Krankenversicherer verbunden sind, sind gross. Sie basieren aber auf falschen Vorstellungen. Bereits heute sind die Krankenversicherer tagtäglich mit heiklen Daten konfrontiert. Der Umgang mit schützenswerten Personendaten ist eine ihrer eigentlichen Kernkompetenzen, die nicht einfach in Abrede gestellt und mit einem generellen Missbrauchsverdacht versehen werden kann. Die Übermittlung von Angaben zu Diagnosen und Prozeduren ist bereits heute auf Stufe des Einzelfalls absolut üblich und unproblematisch sowie mehrfach gerichtlich als zulässig bestätigt. In einem DRG-System kommt jedoch hinzu, dass diese Angaben die Berechnung der Leistungsvergütung direkt bestimmen. Sie werden damit zu einem zwingenden Bestandteil in der Rechnungsstellung. Mit dem Entscheid für ein DRG-System geht der Entscheid für die notwendige Transparenz einher. Die Zulässigkeit der damit verbundenen systematischen Datenübermittlung wird teilweise in Abrede gestellt, obwohl die Unzulässigkeit weder aus dem Datenschutzgesetz im Allgemeinen noch dem KVG im besonderen abgeleitet werden kann. Datenschutz meint nicht, dass keine Daten übermittelt werden dürfen, sondern dass der Empfänger, welcher die Daten berechtigterweise erhält, korrekt und sicher mit diesen Daten umgeht. Aus Art. 84 KVG geht zweifelsohne hervor, dass die Krankenversicherer berechtigt sind, besonders schützenswerte Personendaten zu bearbeiten und demzufolge auch zu erhalten. Der Bundesrat hat in der Überarbeitung der Verordnung über die Krankenversicherung KVV vom 22. Oktober 2008 diesem Sachverhalt im Hinblick auf SwissDRG Rechnung getragen und explizit festgehalten, dass die Versicherer für die Bearbeitung der diagnosebezogenen Daten die erforderlichen technischen und organisatorischen datensichernden Massnahmen treffen müssen (Art. 59 Abs. 1bis KVV). Hinzu kommt die Pflicht zur pseudonymisierten Aufbewahrung der diagnosebezogenen Daten (Art. 59 Abs. 1ter KVV). Die Zulässigkeit der Datenlieferung bestätigt auch das Urteil des Bundesverwaltungsgerichts vom 29. Mai 2009 (siehe oben). Weiter ist in der Verordnung über das Datenschutzgesetz eine Fülle von Massnahmen aufgezählt, die der Versicherer erfüllen muss (Art. 8 bis 10 VDSG). Diese reichen vom Schutz der Datensysteme über die Wahrung des Verwendungszwecks bis zur Zugangskontrolle für unberechtigte Personen. Die Versicherer müssen dazu ein Bearbeitungsreglement erstellen, welches dem Datenschützer vorzulegen ist und öffentlich zugänglich gemacht werden muss5. Im Kommentar über die geänderte Verordnung zum KVG6 konkretisiert der Bundesrat unter Ziffer 4: „Die Einführung von leistungsbezogenen Pauschalen in der Form diagnosebezogener Fallpauschalen macht Datenlieferungen vom Leistungserbringer an den Versicherer erforderlich. Die Datenlieferungen enthalten wegen der Erfassung der Diagnosen Informationen, welche im Sinne des Datenschutzes als besonders heikle Personendaten gelten. […] Die Datenweitergabe an die Versicherer ist unabdingbar, weil diese zur Rechnungskontrolle personenbezogene Daten benötigen. […]“ Angesichts dieser klaren Worte erstaunt der geballte Widerstand der Spitäler. Eine sachgemässe und zügige Umsetzung von SwissDRG wird dadurch nicht erleichtert. Gleichzeitig wird den Krankenversicherern die Schuld für diese Verzögerung zugewiesen, weil sie unrechtmässige Datenansprüche stellen würden. Mithin gipfelt die Interpretation im Vorwurf, dass die Kranken5

Art. 84b KVG (tritt per 1.1.2012 in Kraft) „Verordnung vom 27. Juni 1995 über die Krankenversicherung (KVV), Änderungen per 1. Januar 2009, Änderungen und Kommentar im Wortlaut“, Schweiz. Eidgenossenschaft

6


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 363

versicherer die leistungsorientierte Finanzierung zu Fall bringen wollen. Diese Argumentation ist angesichts der Erläuterungen weiter oben grundlegend falsch. Die Krankenversicherer können kein Interesse an der Aufrechterhaltung der heutigen Finanzierungsstrukturen haben. Sie fordern seit Jahren mehr Transparenz bei der Finanzierung von Spitalleistungen und den entsprechenden Systemwechsel. Gleichzeitig müssen sie im Sinne der Versicherten und Prämienzahler handeln, welche Anspruch auf eine einwandfreie Rechnungsprüfung und die Vermeidung von überhöhten Spitalrechnungen haben. 2.2. SwissDRG und Qualität Der Qualitätssicherung kommt in einem leistungsbezogenen und pauschalierten Entgeltsystem eine grosse Bedeutung zu. Grundsätzlich ist die Argumentation, wonach der Leistungserbringer bei einer Pauschalvergütung einen Anreiz hat, bei den Leistungen zu sparen, nachvollziehbar. Dabei geht jedoch vergessen, dass bereits im bisherigen KVG die Pauschalierung der Vergütung vorgegeben ist und es eine Reihe von Mechanismen gibt, die für den Leistungserbringer gegen ein solches Verhalten sprechen: • •

• •

Spitalbedürftigkeit: Von Gesetzes wegen ist nach wie vor die ärztliche Beurteilung der entscheidende Faktor, wann ein Patient aus dem Spital zu entlassen ist. Abrechnung: Mit einer zu frühen Entlassung riskiert das Spital Komplikationen im Behandlungsverlauf. Muss der Patient wegen einer Komplikation erneut stationär aufgenommen werden, wird das Spital dafür nicht mehr entschädigt und muss dadurch beträchtliche ungedeckte Kosten in Kauf nehmen. Wettbewerb: eine schlechte Leistungsqualität wirkt sich rasch auf den Ruf eines Spitals aus. Tarifstruktur: das Vorenthalten von Leistungen wird sich mittelfristig in der Tarifstruktur niederschlagen, weil diese auf den real erbrachten Leistungen und Kosten basiert. Verfrühte Entlassungen rächen sich somit in der Zukunft.

So regelmässig das Schreckgespenst der „Bloody exits“ auch auftaucht, so wenig ist deren Existenz erwiesen. Wenn ein Patient die Pflege im Akutspital nicht mehr benötigt und Nachbehandlungen ambulant erfolgen, ist das nicht per se eine Qualitätsverschlechterung. Im Gegenteil: Es ist es häufig sinnvoll, mit der Rehabilitation so rasch wie möglich zu beginnen - was einen künstlich verlängerten Aufenthalt im Akutspital sogar schädlich machen würde. Der Abbau von unnötigen Spitaltagen, welche vor allem noch in Systemen mit einer Tagespauschale anfallen dürften, ist letztlich ein gewollter und sinnvoller Effekt von Fallpauschalen. Allzu oft wird die Qualität somit unterbewusst über die Aufenthaltsdauer definiert und ein Sinken dieses Werts als Indiz für eine Qualitätsverschlechterung interpretiert. Die Verkürzung der Aufenthaltsdauer im Spital ist jedoch seit vielen Jahren eine Tatsache, ohne dass DRGs flächendeckend zum Einsatz kommen. Der medizinische Fortschritt und verbesserte Behandlungsmethoden haben zu einer stetigen Reduktion der Aufenthaltsdauer geführt, ohne dass dies die Qualität in Frage gestellt hätte. Eine differenzierte Betrachtung des Qualitätsbegriffs drängt sich also auf. Die emotionale Ebene muss einer sachlichen Betrachtungsweise weichen. Dies kann gelingen, wenn wesentliche Qualitätsindikatoren nicht nur schweizweit einheitlich erhoben, sondern die Resultate auch öffentlich zugänglich gemacht werden. Die Leistungserbringer tun sich damit jedoch äusserst schwer. Deshalb gibt es heute eine Vielzahl von Qualitätsbemühungen, welche stark fragmentiert sind und kaum zu vergleichbaren Ergebnissen führen. Der Patient erhält so keine Informationen, welche er für seine Spitalwahl nutzen könnte, und der Versicherer kann die Tarife nicht qualitätsorientiert berechnen. Die Situation ist also für alle Seiten unbefriedigend. Sie wird fast unweigerlich dazu führen, dass die Auswirkungen von SwissDRG auf die Behandlungsqualität schwer nachweisbar bleibt. Denn Qualitätsvergleiche würden bedingen, dass die Qualität bereits vor der Einführung von SwissDRG gemessen und transparent gemacht würde. Davon sind wir noch relativ weit ent-


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fernt. Immerhin haben sich die Partner im Gesundheitswesen anfangs 2009 im „Nationalen Verein für Qualitätsentwicklung in Spitälern und Kliniken NVQ“ vereint, um die Qualitätsmessungen national einheitlich aufzubauen. Trotz der unbefriedigenden Datenlage ist der Vorwurf, wonach eine fallpauschalenbasierte Vergütung praktisch systembedingt zu Qualitätseinbussen führen muss, zurückzuweisen. Nicht das Tarifsystem ist ursächlich für die Ergebnisqualität verantwortlich. Qualität ist ein System mit einer Vielzahl von Einflussfaktoren. Sie beginnt mit der korrekten Diagnosestellung, umfasst die richtigen Prozesse bei der Leistungserbringung, setzt aufeinander abgestimmte Handlungen voraus – etwa zwischen Ärzteschaft und Pflegekräften - und umfasst nicht zuletzt den gesamten Behandlungspfad inklusive die vor- und nachstationären Bereiche. Wird diesen Aspekten auf breiter Ebene Rechnung getragen, so werden sowohl die Tarifstruktur wie auch die Vergütungen den Anforderungen an eine qualitativ gute Versorgung gerecht werden. Auf einen Nenner gebracht gilt: Nicht die Vergütung bestimmt die Qualität, sondern die Qualität bestimmt die Vergütung. 2.3. SwissDRG und Preise Art. 49 KVG Abs. 1 besagt: „[…] Die Spitaltarife orientieren sich an der Entschädigung jener Spitäler, welche die tarifierte obligatorisch versicherte Leistung in der notwendigen Qualität effizient und günstig erbringen“. Der Gesetzgeber hat mit der neuen Formulierung dieses Gesetzesartikels mit der bisherigen kostenorientierten Finanzierungsform gebrochen. Massgebend für die Tarifierung sind nicht mehr die Kosten des einzelnen Spitals, sondern die Tarife eines Spitalkollektivs, dessen Leistungen die Qualitätsstandards zu günstigen Kosten erfüllen. Was bedeutet das für die Preisbildung, und wie sind die einzelnen Faktoren zu gewichten? Die Tarifbildung muss stets aus einem Vergleich resultieren oder einem Vergleich standhalten. Der Tarif eines Spitals darf somit eine gewisse Schwelle nicht überschreiten. Der Gesetzgeber hat darauf verzichtet, diese Schwelle zu definieren und überlässt diese Frage den Tarifpartnern und Genehmigungs- respektive Festsetzungsbehörden. santésuisse ist seit ein paar Jahren dazu übergegangen, die Tarifbildung in diesem Sinne zu etablieren und führt regelmässig Benchmarkings durch. Die Erfahrungen zeigen, dass ein solcher Prozess niemals abgeschlossen ist und stets verfeinert werden kann. Darüber hinaus ist eine gewisse Flexibilität wichtig. Einerseits können sich die Akteure nach einem BenchmarkSystem ausrichten und damit das Resultat direkt beeinflussen. Andererseits muss das Benchmark-Modell offen für neue Erkenntnisse sein. Im Hinblick auf SwissDRG sind aus Sicht von santésuisse folgende Punkte für die Preisbildung entscheidend: •

Keine einheitlichen Basispreise (Baserates): In Deutschland wurde von Beginn weg ein System etabliert, welches auf einheitliche Basispreise abzielt. Ein solches Vorgehen führt zu massiven Umverteilungen, welche nicht in jedem Fall erwünscht sein können. Zudem wird durch fixe Preise der Wettbewerb gehemmt und gleichzeitig der Druck auf ergänzende Vergütungsformen erhöht. Benchmark: Sinnvoller als eine Konvergenz auf einheitliche Basispreise ist der direkte Vergleich der Spitäler in einem geeigneten Benchmarkverfahren. Verglichen werden dabei die „kalkulatorischen Basispreise“, welche sich durch Division der Leistungserbringungskosten mit der erbrachten Leistung (Summe der Kostengewichte) ergeben. Aufgrund des einheitlichen Leistungsbezugs können die Kosten nun direkt miteinander verglichen werden.


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• •

Keine Strukturelemente: Der Vergleich darf nicht mit Strukturelementen ergänzt werden. Darunter fallen zum Beispiel Spitalgrösse oder –kategorie. Im System SwissDRG wird ein Unispital nicht grundsätzlich höhere Tarife haben als ein Regionalspital. Transparenz: Der Vergleich setzt eine transparente Bereitstellung von Kosten und Leistungen durch die Spitäler voraus. Ungenügende Transparenz muss finanzielle Sanktionen nach sich ziehen.

Eine endgültige Abkoppelung des Preisbildungsprozesses von den Kosten der Spitäler scheint aus heutiger Sicht wenig realistisch und auch nicht sinnvoll. Der Kostendruck wird sich aber alleine aus dem Benchmarkverfahren heraus ergeben und wird ängerfristig zu einer Angleichung der Basispreise führen. Dennoch dürfen die Tarife die Kosten der effizienten und qualitativ guten Leistungserbringung nicht unterschreiten. Es wird für die Spitäler weiterhin möglich sein, kostendeckende oder gewinnbringende Preise zu erzielen. Dies setzt allerdings optimierte Prozesse und Strukturen voraus. Mit SwissDRG werden sich auch die kantonalen Unterschiede bezüglich der Leistungserbringungskosten herausschälen. Teure Kantone werden den Druck besonders zu spüren bekommen, weil die OKP-Tarife nicht höher sein dürfen als in einem Kanton mit effizienter Versorgungsstruktur. Es wäre jedoch vermessen, Prognosen über die konkrete Entwicklung zu wagen – die Unwägbarkeiten der verschiedenen Anpassungen in der Spitalfinanzierung sind (noch) zu gross. Skeptisch stehen die Krankenversicherer den so genannten Zusatzentgelten gegenüber. In Deutschland hat sich mittlerweile ein System etabliert, welches eine bereits hohe und weiter wachsende Anzahl von Separatentschädigungen vorsieht, die den Pauschalierungsgedanken aushöhlen. Betroffen sind in erster Linie Implantate und Medikamente, welche fälschlicherweise als nicht geeignet für die Pauschalierung bezeichnet werden. In einem DRG-System ist immer die Balance zwischen Abbildungsgenauigkeit und Entschädigungsziel zu finden. Die pauschale Abgeltung soll genau dazu führen, dass die Leistungserbringer einen optimalen Ressourcenaufwand betreiben und dabei auch Kosten-Nutzen-Überlegungen anstellen. Reine Kostenvergütungen sind systemfremd. Darüber hinaus muss es bei Fallgruppen das Ziel sein, die Vergütung auf den durchschnittlichen Fall auszurichten. Mehr- und Minderkosten müssen sich über die Gruppe betrachtet ausgleichen. Das gilt für die Unterschiede im Pflegeaufwand oder in den Arztleistungen genau gleich wie bei Implantaten und Medikamenten. 3. Mögliche Auswirkungen von SwissDRG 3.1. Vor- und nachgelagerte Bereiche Die Abgeltungsform der Fallpauschalen kann dazu führen, dass gewisse Leistungen aus dem stationären Behandlungsprozess ausgekoppelt werden. Mögliche Folgen sind eine Verlagerung von Leistungen in die ambulante Versorgung oder der frühere Transfer in die Rehabilitation. Diese Prozesse sind nicht per se gut oder schlecht – es ist zumindest denkbar, dass gewisse Leistungen bislang auch unberechtigterweise im stationären Behandlungsprozess angesiedelt waren und eine Bereinigung angezeigt ist. Entscheidend ist vielmehr, dass die Leistungen dort erbracht werden, wo dies effizient, günstig und in der notwendigen Qualität möglich ist. Es besteht aber die Gefahr, dass freiwerdende Kapazitäten durch eine Mengenausweitung sofort wieder ausgelastet werden. Problematisch wäre dann nicht die (adäquate) Verschiebung von Leistungen, sondern eine fehlende Strukturbereinigung. Hier sind in erster Linie die Kantone gefordert, welche mit den Spitalplanungen über das zentrale Instrument dafür verfügen. Was aus Sicht des Gesamtsystems stimmt, muss aus Sicht des Einzelnen aber nicht zutreffen. Aufgrund der unterschiedlichen Finanzierungsformen für ambulante und stationäre Leistungen kann die Verlagerung in den nicht subventionierten ambulanten Bereich zu übermässigen Kostenschüben in der Krankenversicherung führen. Diese Problematik ist jedoch nicht in erster Linie eine Folge von SwissDRG, sondern der unterschiedlichen Finanzierung von ambulanten und stationären Leistungen. Leider wurde diesem Umstand in der Revision des KVG nicht


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Rechnung getragen, womit wir weiterhin mit diesen verzerrenden, ungleichen Finanzierungsmechanismen leben müssen. 3.2. Investitionen werden zum Knackpunkt Mit der neuen Spitalfinanzierung hat das Parlament beschlossen, dass auch die Investitionen in die Infrastruktur der Spitäler über die Tarife der OKP zu finanzieren sind. Damit hat es den Akteuren im Gesundheitswesen eine besondere Aufgabe mit auf den Weg gegeben. Die Überlegung dahinter ist einfach: die Gleichstellung der öffentlichen und privaten Spitäler und die volle Abgeltung der Leistung über die Fallpauschalen7. In der Umsetzung werden die Tarifpartner und Kantone gefordert sein: 1. Bewertungsproblematik: Durch den hohen Anteil der öffentlichen Finanzierung im Spitalwesen dürfte es in vielen Fällen schwierig sein, die Höhe der getätigten Investitionen überhaupt zu ermitteln. Dies wird dazu führen, dass viele Bewertungen auf Schätzungen beruhen, über deren Erstellung heute noch keine Einigkeit herrscht. Hinzu kommt, dass die Grundversicherung lediglich den Kostenanteil vergüten darf, der auf die stationäre Behandlung in der allgemeinen Abteilung entfällt. Doch wo werden hier die Grenzen gezogen? 2. Eigentum: Wie hoch soll die Vergütung für die Nutzung von Anlagen sein, die sich gar nicht im Eigentum des Spitals befinden? Es ist durchaus üblich, dass sich Spitalbauten im Eigentum der öffentlichen Hand befinden und künftige Investitionen zumindest teilweise durch den Kanton verursacht werden. Dies führt dazu, dass die Krankenversicherungen „Investitionsdeckungsbeiträge“ an die öffentliche Hand überweisen müssen oder die Anlagen in die Bilanzen der Spitäler zu integrieren sind. Hier beginnt wiederum die Bewertungs- und gleichzeitig die Finanzierungsproblematik. 3. Wettrüsten: Unklar ist auch der Effekt auf die getätigten Investitionen. Wird die neue Regelung zu einem teuren Wettrüsten der Spitäler führen, die damit ihr Überleben sicherstellen wollen, oder werden die Spitäler in Liquiditätsengpässe geraten, weil sie ihre Investitionskosten nicht amortisieren können? 4. Mittelverwendung: Gerade Spitäler, welche bei einer allfälligen Strukturbereinigung geschlossen werden müssten, könnten die Investitionsbeiträge zumindest über eine gewisse Zeitspanne zur Deckung von Defizite statt für Investitionen verwenden. Das gleiche gilt für Spitäler, welche im Kostenbenchmarking schlecht dastehen und ebenfalls Defizite generieren. Hier wäre die Folge, dass sich ein allfälliger Investitionsstau bildet oder zusätzlich verstärkt. Mit anderen Worten: die Krankenversicherer würden nicht Investitionen mitfinanzieren, sondern Beiträge liefern, deren Verwendung unklar ist. 5. Doppelvergütung: Die Krankenversicherer müssen die Investitionskosten ab 2012 mit vergüten. Dabei kann es durchaus sein, beispielsweise der Kanton die Investition bereits vollständig bezahlt hat. Nach der Vergütung über das kantonale Steuerbudget droht eine erneute Vergütung über die Versicherungsprämien. Die Situation wird zusätzlich verschärft, weil die Krankenversicherer bis dato über praktisch keine Informationen über den Investitionsstand der Spitäler verfügen. Was bisher nicht vergütungsrelevant war, wurde den Versicherern schlicht nicht offen gelegt. Dass alle beteiligten Partner vor einer ernsthaften Herausforderung stehen, ist mittlerweile unbestritten. Es wird von allen Seiten grossen Einsatz erfordern, hier eine Lösung zu finden, welche weder zu einer systematischen Unterfinanzierung der Spitäler noch zu überhöhten Vergütungen zu Lasten der Prämienzahler führt. 3.3. Kostenentwicklung 7

Der Kanton muss sich mit mind. 55 % an den Fallpauschalen derjenigen Spitäler beteiligen, die er auf seiner Spitalliste hat. Bislang hat er sich mit mind. 50 % der Betriebskosten zuzüglich Investitionen bei den öffentlichen Spitälern beteiligt, nicht aber an den Privatspitälern (wobei die Handhabung dieser Finanzierungsregelung unterschiedlich ist).


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Mit SwissDRG wird häufig die Erwartung an eine kostendämpfende Wirkung verknüpft. Aufgrund der bisherigen Erfahrungen mit dem Wechsel von Tarifsystemen ist jedoch Vorsicht geboten. Eine Tarifstruktur kann nie in erster Linie ein Kostenziel verfolgen, sondern muss die verschiedenen tarifierten Leistungen in ein korrektes Verhältnis zueinander rücken – ein Umstand, dem gerade das DRG-System mit dem Begriff „Relativgewicht“ Rechnung trägt. SwissDRG wird in erster Linie zu einer leistungsorientierten Vergütung und damit einer sachgerechteren Verteilung der finanziellen Mittel führen. Die Auswirkungen auf die Kosten unterliegen letztlich anderen Faktoren: •

Tarifberechnung (Preis): Die korrekte Berechnung der Basispreise setzt – wie weiter oben umschrieben – voraus, dass die Krankenversicherer bei jedem Leistungserbringer über transparente Angaben zu den erbrachten Leistungen und zugrundeliegenden Leistungserbringungskosten verfügen. In einem System mit Vertragszwang und faktischer Abnahmegarantie wird sich fehlende Transparenz immer zu Ungunsten des Kostenträgers auswirken und damit in höheren Kosten zu Lasten der Krankenversicherung niederschlagen. Menge: Die Kosten, welche die Krankenversicherung zu tragen hat, sind natürlich auch abhängig von der erbrachten Leistungsmenge. Der Wechsel auf ein System mit Fallpauschalen kann durchaus zu einer Mengenausweitung führen (Fallsplitting). Die Preisbildung hinkt einer solchen Entwicklung in der Regel nach. Die Krankenversicherer werden die Entwicklung deshalb im Auge behalten. Kodierung (Abrechnung): DRGs bieten zweifelsohne Spielraum zur Optimierung der Rechnungsstellung. Hinzu kommt die Gefahr des DRG-Creep: Die verbesserte Kodierung führt zu einem höheren Kostengewicht, welches mit einem Basispreis multipliziert wird, der noch auf einer qualitativ schlechteren Kodierung ermittelt wurde.

SwissDRG kann für sich alleine genommen keine kostendämpfende Wirkung entfalten. Diese kann sich jedoch durch die direkte Vergleichbarkeit der Leistungserbringer ergeben, wenn kostenoptimierende Potentiale ausgeschöpft und nicht durch entgegengesetzte Wirkungen (insbesondere durch Mengenausweitung und Strukturerhaltung) überkompensiert werden. 4. Weiterer Handlungsbedarf und Fazit Das schweizerische Parlament hat mit der Gutheissung der neuen Spitalfinanzierung einen wichtigen Schritt hin zu einer effizienten, leistungsorientierten Abrechnung der stationären Spitalbehandlungen getan. Wie aus diesem Artikel hoffentlich hervorgeht, ist der Erfolg von SwissDRG kein Selbstläufer. Er hängt von einer Reihe von Rahmenbedingungen ab. Damit diese bei der Einführung 2012 möglichst günstig sind, bleibt noch einiges zu tun: • •

Die Datenlieferungen von den Spitälern an die Krankenversicherer müssen bis 2012 geregelt sein, ebenso die damit zusammenhängenden Fragen des Datenschutzes. Ansonsten ist die Versicherern eine gesetzeskonforme Rechnungskontrolle unmöglich. Es braucht möglichst bald vergleichbare und transparente Qualitätsmessungen. Nur so ist nachweisbar, dass die Fallpauschalen nicht den befürchteten Qualitätsabbau mit sich bringen. Daran müssten alle Akteure interessiert sein. Die Zeit drängt: Bereits jetzt scheint es kaum realistisch, solche Qualitätsmessungen bis 2012 aufzubauen. Die an sich begrüssenswerte Verlagerung von Leistungen in den ambulanten Bereich könnte für die Krankenversicherer einen Kostenschub bringen. Schuld daran sind die unterschiedlichen Finanzierungssysteme der ambulanten und der stationären Leistungen. Wenn DRG in Kraft ist, wäre eine monistische Spitalfinanzierung sinnvoller denn je. Aus Sicht der Versicherer müsste die Politik diese weitere Revision der Spitalfinanzierung nun angehen. Der Miteinbezug der Investitionen kann unter Umständen zu falschen Anreizen und zu einer Doppelbelastungen für die Bevölkerung via Prämien und Steuern führen. Ausserdem besteht die Gefahr, dass die Investitionsbeiträge in den Spitälern versickern, die Benchmarks verwässern und damit eine sinnvolle Strukturbereinigung verhindern. Hier


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müssen sich die Tarifpartner zusammenraufen, um eine ausgewogene Lösung zu finden. Nochmals: Die Tarifverhandlungen werden nur dann auf einer objektiven Basis stattfinden können, wenn die Spitäler die dafür nötige Transparenz schaffen.

Es bleibt die Erkenntnis, dass die Umsetzung der neuen Spitalfinanzierung sich nicht in der Einführung von SwissDRG erschöpft, und dass SwissDRG weit mehr als die Entwicklung einer Tarifstruktur umfasst. Dem Gesundheitswesen in der Schweiz bietet sich nicht nur die Gelegenheit, überkommene Strukturen in ein moderneres Zeitalter zu überführen, sondern geradezu die Pflicht, diese Chance auch zu nutzen. Ein System, das jährlich aus Milliarden von Steuer- und Prämiengeldern gespiesen wird, kann sich nicht alleine damit rechtfertigen, unzählige wertvolle Gesundheitsleistungen zu erbringen, sondern es ist auch für einen effizienten Umgang mit den Mitteln und eine gute Leistungsqualität verantwortlich. Beides benötigt den transparenten Umgang mit Daten, ohne dass dabei die Aspekte des Datenschutzes vernachlässigt und die schützenswerten Interessen der Patienten aufgegeben werden müssten.


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Erwartungen von santésuisse an Kantone und Spitäler für die Tarifverhandlungen nach SwissDRG Anreiz zu mehr Effizienz oder neue Kostenbombe? Tagung des Instituts für Rechtswissenschaft und Rechtspraxis der Universität St. Gallen Zürich, 26. Januar 2010 Beitrag von Stefan Kaufmann Direktor santésuisse

Projekt:

Datum: 26. 01. 2010

Folie: 1


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Inhaltsübersicht

DRG – Grundlegendes DRG – Die Eckpfeiler aus Sicht der Krankenversicherer DRG – Qualität und Wirtschaftlichkeit Tarifverhandlungen zu SwissDRG: Erwartungen von santésuisse an Kantone und Spitäler

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DRG – Grundlegendes

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Chancen von SwissDRG

Schweizweit einheitliches Abgeltungssystem Mehr Transparenz Benchmarking / Vergleichbarkeit Effizientere Leistungserbringung Innovations-Druck auf bestehende Strukturen und Prozesse Eindämmung der Kostensteigerung (?)

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Risiken von SwissDRG

Kostenschub beim Systemwechsel 2011-2012 (vgl. Strommarktliberalisierung) Verfrühte Entlassungen von Patienten Senkung des Ressourcenverbrauchs unter das medizinisch vertretbare Mass Selektive Patientenauswahl (durch Leistungserbringer und Krankenversicherer) Mehrbelastung von vor- und nachgelagerten Bereichen (Ambulatorium, Rehabilitation, Pflegeheime, Spitex “Kreatives Kodieren” und unterschiedliche Kodierqualität Untergrabung des Systems durch “Ausnahmefälle” und Zusatzentgelte

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Auswirkungen von DRGs: Spitäler senken und / oder verlagern Kosten

Quelle: IfG Institut für Gesundheitsökonomik 6


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DRG - Die Eckpfeiler aus Sicht der Krankenversicherer

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Kernanliegen von santésuisse

1. Korrekte Kostengewichte Æ Spitaldaten repräsentativ und qualitativ einwandfrei 2. Keine Aussonderung von Teilleistungen (bspw. Arzthonorare) Æ Zusatzentgelte minimieren 3. Rechnungs- und Wirtschaftlichkeitskontrolle Æ Minimum Data Set 4. Preisdenken statt Kostendeckung Æ Schweizweit einheitlicher Benchmark ohne Strukturelemente

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Aufgabenteilung

Casemix Office (Tarifstrukturelle Ebene) ¾ Entwicklung und Pflege der Tarifstruktur ¾ Berechnung der Kostengewichte ¾ Vorschläge zur Anpassung der Kodierrichtlinien

Tarifpartner (Tarifvertragliche Ebene) ¾ Preis- und Baseratebestimmung ¾ Rechnungsstellung und Datenübermittlung ¾ Qualitätssicherung, Kodierqualität und korrekte Tarifanwendung

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DRG - Qualität und Wirtschaftlichkeit

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Rechnungskontrolle / Wirtschaftlichkeitskontrolle auch im DRGSystem Die Rechnungskontrolle ist selbstverständlich und alltäglich. Sie gehört zur normalen kaufmännischen Geschäftsabwicklung. Es geht darum zu prüfen, ob … -- die Leistungen, für die Rechnung gestellt wurde, erbracht wurden. -- die erbrachten Leistungen dem Krankheitsbild angemessen waren.

Bei DRG – Pauschalen sind 3 Instrumente zur Sicherstellung der ordentlichen Umsetzung erforderlich: -- Codier-Revision; jährlicher Revisionsbericht; zertifizierte Revisoren -- Kosten-Controlling; Auffälligkeiten; Benchmark -- Rechnungskontrolle im Einzelfall (Rechnung richtig; Leistungen wirtschaftlich) 11


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Datenbasis

Krankengeschichte mehrere tausend Diagnosecodes

Diagnosen

Prozeduren

Falldaten

+

Kodierrichtlinien

Leistungskomponente

+ mehrere tausend Prozedurencodes +

„Filter“

Falldaten (Gewicht, Alter, Geschlecht, etc.) + Kodierrichtlinien (Interpretationsspielraum)

Grouper

DRG-Fallgruppe

Preiskomponente

≠ Eindeutige Fallzuordnung !

(Kostengewicht)

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Datenbasis zur Steuerung DRG

Die Krankenversicherer (Kostenträger) benötigen

die Mindestangaben für die Prüfung der Abrechnung des konkreten Falles

Für …

die sinnvolle Rechnungstriage (keine unsinnigen Rückfragen beim Spital) die Einführung von SwissDRG und die Steuerung der Einführung die Prüfung der Codierqualität / Audits die Weiterentwicklung von SwissDRG die Wirtschaftlichkeitsprüfungen 13


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Datenbasis

Die Krankenversicherer benötigen jene Daten, welche für die Codierung verwendet wurden und für die Gruppierung des Falls in die fakturierte Fallgruppe massgeblich sind: Diagnosen, Nebendiagnosen und Prozeduren Weitere Daten, wie bspw. ganze Austrittsberichte, nicht behandlungsrelevante andere Erkrankungen, frühere Vorkommnisse, etc. werden im Rahmen der Datenlieferung nicht benötigt.

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 383

Tarifverhandlungen zu SwissDRG: Erwartungen von santésuisse an Kantone und Spitäler

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Tarifverhandlungen zu SwissDRG: Erwartungen von santésuisse an Kantone und Spitäler Konstruktive Mitarbeit bei der Lösungssuche in Sachen Datenlieferung: Datenschutz und der gesetzliche Auftrag zur Rechnungskontrolle sind gleichwertige Aspekte. Bundesgerichts-Urteil (Mai 2009): Die systematische Übermittlung von Diagnose- und Prozedurdaten ist rechtens. Dass geltende Datenschutzbestimmungen von allen Beteiligten eingehalten werden, ist eine Selbstverständlichkeit.

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Tarifverhandlungen zu SwissDRG: Erwartungen von santésuisse an Kantone und Spitäler Konstruktive Mitarbeit bei der Lösungssuche in Sachen Datenlieferung: Es liegt nun an Spitälern und Versicherern, die Details zu verhandeln und für eine reibungslose Umsetzung zu sorgen. Komplexität des neuen Systems verlangt nach entsprechend aussagekräftigen Informationen. Nicht vorhandene, sondern fehlende Daten würden eine Anfrageflut seitens der Versicherer auslösen. Eine eingeschränkte Datenübermittlung ist deshalb ein untaugliches Mittel, um den administrativen Aufwand niedrig zu halten.

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Tarifverhandlungen zu SwissDRG: Erwartungen von santésuisse an Kantone und Spitäler Erhebung der Kosten- und Leistungsdaten: Diese Daten sind unverzichtbar, um die Kostengewichte korrekt zu berechnen. Im Moment ist nur eine klare Minderheit der Spitäler an der Erhebung der Daten beteiligt. Hier muss es jetzt vorwärtsgehen!

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Tarifverhandlungen zu SwissDRG: Erwartungen von santésuisse an Kantone und Spitäler SwissDRG-Gesamtdatensatz: Der SwissDRG-Gesamtdatensatz ist eine anonymisierte Sammlung aller SwissDRGFälle eines Jahres. Dieser Datensatz ist unerlässlich, um die Spitaltarife zu berechnen bzw. anzupassen. Die Daten müssen zeitnah zur Verfügung stehen – also etwa im April des Folgejahres.

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 388

Tarifverhandlungen zu SwissDRG: Erwartungen von santésuisse an Kantone und Spitäler SwissDRG-Gesamtdatensatz: Der Gesamt-Datensatz ist Bestandteil des Tarifvertrags. Die Kantone müssen ihre zum Teil sehr unterschiedlichen Datenerhenungs-Systeme aufeinander abstimmen. Sind die Spitäler bereit, die nötige Transparenz auch zu gewähren?

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 389

Tarifverhandlungen zu SwissDRG: Erwartungen von santésuisse an Kantone und Spitäler Wie wirkt sich die neue Kostenverteilung zwischen Kantonen und Versicherern aus? Der Effekt auf die Grundversicherungs-Prämien liegt noch völlig im Dunkeln. Höherer Kantonsanteil vs. Einbezug der Investitionen. In den Vertragsverhandlungen sollten Kantone und Spitäler Hand bieten zu einem fairen Regulativ, so dass die Einführung von SwissDRG einigermassen kostenneutral über die Bühne geht.

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 390

Tarifverhandlungen zu SwissDRG: Erwartungen von santésuisse an Kantone und Spitäler Berechnung der Investitionskosten: Die heutige Spitalfinanzierung ist alles andere als transparent. Deshalb beruht die Höhe der Investitionen in vielen Fällen auf Schätzungen, über die heute noch keine Einigkeit herrscht. Wie lässt sich verhindern, dass die Spitäler zwar Investitionsbeiträge bekommen, diese aber gar nicht für Investitionen verwenden (sondern z.B. für die DefizitDeckung)? Wenn die Kantone die anstehenden Investitionen bis 2012 durchführen und abbezahlen, zahlt Bevölkerung zweimal: Zuerst via Steuern und dann via Krankenversicherungs-Prämien. Hier sind die Tarifpartner dringend gefordert, gemeinsam faire Lösungen zu suchen. 22


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Qualitätssicherung

Begleitforschung Qualitätsmessungen Spitäler, Kantone und Versicherer haben entsprechende Schritte eingeleitet. Beispiel: Nationaler Verein für Qualitätsentwicklung in Spitälern und Kliniken (ANQ)

Transparente Qualität ist gemäss KVG eine Voraussetzung für zugelassene Leistungserbringer und deshalb kein Grund für zusätzliche Abgeltungen! 23


infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 392

Fazit

Die Erwartungen an Swiss DRG sind unverändert gross. Kantone, Spitäler und Versicherer sind auf gutem Wege. Trotzdem: Es wartet noch viel Arbeit!

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infosantĂŠsuisse : Dossier DRG 1/2010 393

Haben Sie Fragen?

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infosantésuisse : Dossier DRG 1/2010 394

Danke!

Besten Dank für Ihre Aufmerksamkeit!

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