Revue de presse Solar Decathlon Europe 2014
PRESSE HEBDOMADAIRE
Revue de presse Solar Decathlon Europe 2014 11/11/2013
LE COURRIER DU LOGEMENT Solar Decathlon
Revue de presse Solar Decathlon Europe 2014 24/12/2013
LE JOURNAL DU DIMANCHE Ce que l’année 2014 nous réserve à Paris
Solar Décathlon à Versailles. Des maisons solaires sur le domaine du Roi-Soleil… En juin, 20 équipes de chercheurs universitaires et d’étudiants venus du monde entier construiront, sur le domaine du château de Versailles, des prototypes de maisons utilisant l’astre du jour comme seule source d’énergie. Le public pourra y découvrir ces «logements de demain». http://www.lejdd.fr/JDD-Paris/ Transports-urbanisme-loisirs-ceque-l-annee-2014-nous-reserve-aParis-645370
Revue de presse Solar Decathlon Europe 2014 2/02/2014
LE JOURNAL DU DIMANCHE Versailles, temple du soleil
INNOVATION Vingt maisons futuristes et éphémères vont être érigées fin juin sur le domaine du château de Louis XIV. Pour une compétition de pointe et une exposition ouverte au grand public Le Roi-Soleil en aurait sans doute été fort aise : une cité solaire sur ses terres... La manifestation Solar Décathlon se déploiera sur le domaine du Château de Versailles du 28 juin au 19 juillet. Grâce à 20 maisons prototypes, cette compétition présentera au grand public le visage des habitations du futur. « C’est à la fois une exposition universelle du XXIe siècle, résume Pascal Rollet, architecte chargé d’organiser cette compétition, mais aussi une Coupe de l’America du solaire. Et un mondial de rugby, pour le côté collectif et l’esprit d’équipe. » Solar Décathlon se déroule aux États-Unis tous les deux ans; à l’initiative du département de l’Énergie américain. OutreAtlantique, plus de 300.000 personnes visitent les maisons solaires pendant les deux semaines d’exposition. En Europe, Madrid a attiré à deux de ses éditions plus de 200.000 personnes. C’est à la France de l’accueillir pour la première fois. Au départies Américains songeaient au Champ-de-Mars. Mais « cela posait des problèmes de voisinage, de circulation des camions et des grues pour le montage », raconte Pascal Rollet. François de Mazières, maire de Versailles, alors à la tête de la Cité de l’architecture, propose sa ville, un lieu emblématique. « Il y avait une cohérence à présenter la modernité dans un lieu fabuleux,
qui a une tradition historique d’innovation en matière de paysage et d’urbanisme », explique l’élu. Le château donne son aval: « On ne peut pas célébrer Versailles, lieu de création, et ne pas accueillir la création d’aujourd’hui », ajoute Catherine Pégard, présidente du domaine. Des maisons en kit venues de Thaïlande, du Japon, du Mexique Originaires d’universités du monde entier, 20 groupes d’étudiants - de futurs ingénieurs et architectes encadrés par des enseignants planchent depuis des mois sur leur projet de bâtisse innovante. L’État français, qui finance Solar Décathlon à hauteur de 8 millions d’euros, a octroyé des bourses de 100.000 € à chaque équipe retenue. Une opération publique qui fait aussi appel aux sponsors. Fin juin, une semaine avant l’ouverture au public, près de 150 camions apporteront les maisons démontées en pièces détachées, arrivées en France en bateaux venus de la Thaïlande, du Japon ou du Mexique. Cette noria de poids lourds déposera les éléments en kit sur le terrain des Mortemets. Une zone en friche appartenant au domaine du château de Versailles, encore inexploitée. Là, les 20 équipes monteront jour et nuit leur création à l’aide de grues. Les 800 jeunes participants logeront sur place dans une sorte de village provisoire. La compétition compte dix épreuves. Les maisons seront jugées sur leur architecture, leur ingénierie, leur efficacité énergétique... « Elles sont truffées de capteurs », décrit
Pascal Rollet. Un écran affichera en permanence la consommation énergétique de la maison. Mais les équipes seront également évaluées sur leur sens de la communication : les étudiants guideront le public, expliqueront leurs choix techniques. Ils ont dû prendre en compte des spécificités de leur pays d’origine : l’existence d’un patrimoine architectural pour la France, la forte densité d’habitation pour l’Inde, le risque de tremblements de terre pour le Chili, le risque d’inondations pour la Thaïlande... Le confort n’est pas oublié : ce seront de vraies maisons, de 45 à 100 m2, avec cuisine, salon, salle de bains et chambre. Il faut pouvoir faire tourner une machine à laver et un sèche-linge grâce à l’énergie solaire. Et concocter un repas pour huit membres du jury, qui noteront la qualité du dîner et le confort, l’éclairage, l’ambiance... « En plus de la compétition, des colloques et des conférences sont aussi organisés. Solar Décathlon constitue une vitrine du savoirfaire français en matière d’habitat, d’enseignement et de recherche », annonce Alain Lecomte, président du comité d’organisation. Des panneaux solaires chez le RoiSoleil ? Les associations de riverains, rassemblées dans le collectif Save (Sauvegarde de Versailles et environs), qui revendique 2.000 adhérents, se montrent moins enthousiastes : « La plaine des Mortemets se situe à 4 km de la gare la plus proche. Les visiteurs y viendront en voiture. Cela risque
Revue de presse Solar Decathlon Europe 2014
de créer des bouchons et des problèmes de parking en pleine haute saison », s’inquiète Claude Ducarouge, le président du collectif. Yvelines Environnement assure être « 100.000 fois favorable à cette manifestation écologique, selon Christine-Françoise Jeanneret, la présidente de l’association de défense de la nature. Mais ce n’est pas le bon lieu pour une manifestation grand public. Et qu’adviendra- t-il du site ensuite?» Les organisateurs assurent que des navettes - peut-être électriques - seront mises en place entre les gares de Versailles et les lieux. Tout doit être ensuite remis en état, les prototypes de maisons repartiront toutes dans leur pays. « C’est une chance pour accompagner la requalification paysagère des Mortemets. Pour nous, il est aussi intéressant de montrer que le lieu pourrait se prêter à ce genre de manifestations », estime François de Mazières. Dans le cœur historique de la ville royale, une zone classée et protégée, il est impossible d’installer des panneaux solaires. Mais grâce à des démarches innovantes, comme celle de Solar Décathlon, « dans quelques années, espère le maire, il existera sans doute des panneaux qui auront l’aspect de toits en zinc.» Pour installer du solaire de façon permanente sur les terres du RoiSoleil. MARIE-ANNE KLEIBER
Revue de presse Solar Decathlon Europe 2014 DATE
NOM DU JOURNAL TITRE DE L’ARTICLE
L’hydrogène est une des solutions de la ville de demain, thème du Solar Decathlon
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Revue de presse Solar Decathlon Europe 2014 29/06/2014
LE JOURNAL DU DIMANCHE Des étudiants inventent les maisons du futur
Solar Decathlon a ouvert au public hier à Versailles (78). Les visiteurs peuvent y découvrir un incroyable village de maisons solaires conçues par des jeunes. Voici un défi à la hauteur des rêves et du souffle de leurs 20 ans. Près de 800 jeunes ont construit des maisons solaires en dix jours à peine à Versailles ; ils avaient travaillé d’arrache-pied, en amont, sur ce projet pendant des mois. Répartis en 20 équipes, ces étudiants venus du monde entier ont bâti en un temps record leurs prototypes près du château de Louis XIV. Il y a dix jours encore, une quinzaine de grues s’activaient sur le grand champ dévolu à cette compétition d’un genre inconnu en France. Depuis hier, le public peut visiter le village solaire et découvrir des bâtisses autonomes en énergie, souvent étonnantes, comme la maison en toile imaginée par des Allemands et des Américains. Leurs guides : les étudiants eux-mêmes qui sont notés, c’est l’une des dix épreuves de ce «décathlon». La «coupe du monde» des maisons solaires a été lancée aux États-Unis en 2002. Elle se déroule pour la première fois en France, à Versailles, dans les Yvelines, jusqu’au 14 juillet. Vingt équipes d’étudiants ont construit leur prototype écolo et participent à ce concours. Quatre équipes françaises s’étaient présentées à ce concours imaginé en 2002 par le département de l’Énergie américain. C’est la première fois
que cette compétition se déroule en France. Deux projets tricolores ont été retenus par le jury pour figurer parmi les 20 finalistes. C’est peu sur un ensemble de 20 écoles d’architecture en France. Une serre plantée sur le toit Ouessanne Dobé, 24 ans, future ingénieure, est la chef de l’une de ces équipes hexagonales : elle dirige un groupe de 40 étudiants issus comme elle de Centrale Nantes, de l’École nationale supérieure d’architecture de la ville (Ensa) ou de l’École supérieure du bois. Depuis une décade, les nuits sont courtes. Les jeunes ingénieurs, techniciens et architectes se sont relayés jour et nuit en trois-huit pour construire leur maison. Ils l’ont baptisée Philéas, en hommage à Jules Verne. «On est des aventuriers», lance Ouessanne Dobé. La jeune femme a utilisé une visseuse pour la première fois de sa vie, et opéré en hauteur, accrochée avec un harnais d’alpiniste. Les étudiants nantais ont d’abord imaginé leur projet sur le papier : la réhabilitation d’un immeuble, une ancienne minoterie en béton datant de 1895 à Nantes. Puis ils ont fabriqué «pour de vrai» un appartement de cet immeuble, qu’ils ont situé au dernier étage, y ajoutant une loggia en bois et une serre sur le toit. Ils ont monté leur prototype à Nantes. Un entraînement à blanc pour détecter toutes les galères (et il y en a eu) avant de mettre le cap sur les Yvelines, avec leur maison solaire en kit dans un 35-tonnes. «Dans les écoles d’architectes,
on réalise en général des études théoriques, puis on fait des maquettes», explique Jean-Élie Tanguy, enseignant à l’École d’architecture Paris-Malaquais, et manager de la deuxième équipe française. «À Solar Decathlon, on travaille en grandeur réelle, et on fait tout de A à Z.» Ses étudiants ont coulé eux-mêmes le béton des parois de leur prototype, le Liv-Lib’ (sur le modèle de Vélib’). Une capsule en bois qui s’accroche à des structures en béton fournissant l’énergie (solaire bien sûr). Il a fallu penser à tous les détails : les Nantais ont cultivé des plantes pour les mettre dans leur serre sur le toit, ils ont décoré leur habitation pour que les visiteurs réalisent qu’elle est habitable, ils ont installé déodorant et tube de dentifrice dans la salle de bains, et un violoncelle dans la chambre. Tous ont mis et mettront la main à la pâte, au pied de la lettre. Une des dix épreuves du décathlon consiste à cuisiner un repas en se servant de l’énergie solaire. Les Parisiens feront des crêpes, les Nantais ont concocté un menu «zéro déchet»… «J’ai appris énormément, juge Ouessanne, j’ai dirigé une équipe de 40 personnes, avec un budget de 500.000 euros. On sortira grandis de cette expérience.» Par Marie-Anne Kleiber
Revue de presse Solar Decathlon Europe 2014 10/07/2014
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Revue de presse Solar Decathlon Europe 2014