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SOMMAIRE CURRICULUM VITÆ PROJETS PROFESSIONNELS EHPAD à Céret PROJETS ACADÉMIQUES Centre Culturel Wixárika Auberge de Jeunesse Centre de Congrès Habitat Collectif II Habitat Collectif I RÉALISATIONS Rénovation Salle de Bain PHOTOGRAPHIE ET GRAPHISME Untitled Expérimentations Fall
SERGIO BARAJAS ARCHITECTE DIPLÔMÉ D’ÉTAT
Expérience professionnelle 06-10 | 2020
Architecte Anthony Ramet Architecte Mission en tant que chargé de projet - Études pour une opération de 520 logements à Garges-lès-Gonesse
Été 2020
Architecte freelance Projet particulier Schiltigheim, France Rénovation d’une salle de bain - Phase ESQ
01-03 | 2020
Architecte Passelac Roques Architectes Mission en tant que chargé de projet - Concours de conception d’EHPAD Architecte mandataire : Atelier Dufayard Budget : 10 056 000€ Micro-crèche phases FAI - DPC Extension de bureaux phases ESQ - AVP
Été 2018
Contact 4 rue Doudeauville, 75018 Paris, France sergio.barajas@outlook.fr +(33) 7 83 48 99 32
Logements privés phase ESQ Été 2016
Compétences linguistiques Espagnol Français Anglais Italien Allemand
Langue maternelle Bilingue Bilingue Notions élémentaires Notions élémentaires
Compétences informatiques Dessin 2D et 3D
Revit AutoCAD SketchUp
Adobe
Indesign Photoshop Illustrator
Visualisation
Artlantis Vray
Microsoft Office
Word Power Point Excel Outlook
Centres d’intérêt et loisirs Photographie Graphisme Voyages
Musique Sérigraphie Langues
Stage professionnel en agence Alvaro Moragrega Arquitecto
Stage professionnel en agence OZE Architecture Logements d’urgence phase ESQ Rénovation d’un restaurant phase DPC Bureaux phase AVP
Formation 2017 | 2019
Master en Architecture ENSA de Strasbourg
2014 | 2017
Licence en Architecture ENSA de Strasbourg
2007 | 2011
Licence en Management Touristique Universidad de Guadalajara
Workshops et autres activités 12 | 2020
Formation intensive Revit (105 heures) Belformation, Paris
10-12 | 2020
Concours Madrid Call www.startfortalents.com
05 | 2018
Workshop « (Re)fabriquer la ville » ENSAS et Facoltà di Architettura di Napoli
02-04 | 2018
Concours Acier 2018 Construiracier, France
11 | 2017
Workshop « L’eau redessine la ville » ENSAS
Ci-dessus vue sur l’entrée principale
LA CASA ASSOLELLADA ATELIER DUFAYARD + PASSELAC ROQUES Projet d’un EHPAD à Céret à 10 056 000€ HT [ 2020 ]
Au regard du caractère hétérogène du contexte urbain, la volonté est de réaliser un bâtiment unitaire. Le projet se révèle sous les traits de quatre volumes simples et épurés qui accueillent les unités d’hébergement de l’établissement. En façade Ouest, le décalage entre deux volumes permet d’identifier clairement l’entrée principale, protégée par un auvent. L’un de ces volumes est construit en alignement sur la voirie afin d’affirmer le caractère urbain de l’édifice et de renforcer le statut d’établissement public de la maison de retraite. L’utilisation de la brique comme revêtement de façade est motivée par la volonté d’utiliser des matériaux locaux. De même, les toitures des unités d’hébergement sont à deux pans, en tuile, ce qui permet d’inscrire le projet dans la culture architecturale catalane tout en confèrant à la maison de retraite un caractère domestique.
Les façades sont percées d’une succession de baies verticales, dans l’esprit des constructions traditionnelles, avec une disposition aléatoire selon les étages. Des décalages dans la mise en œuvre des briques apportent un certain dynamisme aux édifices, et les nez de plancher sont affirmés dans une matérialité plus claire que la brique, en béton blanc, pour structurer le dessin des façades. La façade Sud, au droit des locaux d’activités, est largement vitrée pour créer une ouverture visuelle vers le jardin. La protection solaire de ces baies est assurée par les débords de toitures, les pergolas, la frondaison des arbres et, en complément selon les baies, par des brise-soleil orientables. Au cœur du bâtiment, le hall et les espaces communs s’ouvrent de façon généreuse sur la grande terrasse centrale, et les cloisons entre les circulations et les locaux d’activités sont vitrées. L’ensemble dispose d’un apport de lumière naturelle important qui, complété par des prestations particulières (sol en terre cuite, menuiseries intérieures en bois, mobilier sobre et élégant…) confère un caractère domestique agréable et accueillant à l’établissement. Concernant l’aménagement intérieur du projet et afin de respecter au maximum les consignes données par le Maitre d’Ouvrage, un plan hautement fonctionnel permettant un raccourcissement des trajets a été mis en place. Ceci dans le but de motiver les résidents à se déplacer et à se rencontrer dans les espaces communs.
Ci-dessus plan du rez-de-chaussée
De haut en bas vue de la façade Ouest, vue de la façade Sud et vue du hall d’accueil
Ci-dessus restaurant avec vue panoramique sur la vallée sacrée
CENTRE CULTUREL WIXÁRIKA DIRECTEUR DE PROJET : DOMINIQUE COULON Atelier Architecture et Complexité [ 2019 ]
La communauté Wixárika est le témoin vivant de l’héritage préhispanique du Mexique et fait partie d’une lignée ininterrompue qui conserve et pratique, encore aujourd’hui, des rites issus d’un patrimoine tribal qui remonte à ses plus anciennes racines. Ainsi, elle constitue également un des seuls peuples en Amérique du Nord à avoir maintenu intactes ses traditions. Or, leur communauté ainsi que leur culture se trouvent menacées par l’expansion des villes, la construction de nouvelles infrastructures routières et surtout par l’activité minière et touristique. De ce fait, l’État tente de mettre en place des stratégies d’action afin de soutenir les peuples indigènes, dont les Wixárikas. Parmi ces stratégies, la conservation et la diffusion de leur culture s’avère être un point d’action prioritaire. Dans l’optique de développer une conscience collective visant le respect et la préservation de la culture Wixárika et de répondre à la stratégie mentionnée précédemment, la création d’un centre culturel semble être la meilleure façon de mettre en lumière et perpétuer les traditions de cette communauté. Par conséquent, le concept du projet trouve son origine dans l’un des mythes fondateurs des Wixárika : la création du monde. Selon le mythe, leurs ancêtres déifiés ont émergé des profondeurs de la mer quand le monde n’était que pénombre. Ils ont alors entamé un pèlerinage
à la recherche de la montagne de l’Aube, lieu où le Soleil naîtra. Cet emplacement, connu sous le nom de Wirikuta, se trouve actuellement dans la ville de Real de Catorce, au Mexique. C’est ce site hautement symbolique qui accueille le Centre Culturel Wixárika. Real de Catorce se trouve au coeur d’une vallée entourée de montagnes. Le terrain choisi, par sa situation en zone escarpée, propose un défi intéressant quant à l’insertion du projet dans le paysage. Le choix d’une implantation en hauteur est fait afin de marquer la présence d’un nouveau lieu dédié à la transmission de la culture indigène, ainsi qu’un endroit de partage et d’empathie avec les peuples autochtones. Le programme du projet se développe ainsi autour de trois concepts principaux : échange, conservation et diffusion. Il se constitue, dans un premier temps, d’une vaste aire d’accueil initiant un parcours libre qui, après la traversée de la salle d’exposition permanente, débouche sur un large bassin circulaire. Cet espace singulier offre aux visiteurs une expérience de contemplation mais aussi de découverte et d’interaction avec les œuvres exposées et les symboles Wixárikas. Dans un deuxième temps prennent place des ateliersboutiques qui permettent d’échanger directement avec les artisans et d’acquérir quelques ouvrages. Enfin, une grande salle d’exposition baignée de lumière naturelle vient couronner l’ensemble. A ce parcours principal s’ajoute un amphithéâtre offrant un espace de dialogue et d’écoute, une école de langue indigène, un restaurant-bar avec vue panoramique sur la ville et la vallée sacrée, ainsi que des espaces dédiés à l’administration du centre. Ce projet se veut contemporain mais également sensible, afin de proposer une réinterprétation de la mythologie Wixárika au travers d’une séquence architecturale qui permettra au public d’expérimenter des ambiances faisant écho à leur vision du cosmos.
B C
A
D
A’ C
D
En haut plan du premier étage
A’
B
A
En bas coupe longitudinale A|A’
En haut salle d’exposition permanente et espace de contemplation En bas à gauche ateliers et boutique d’artisanat En bas à droite salle d’exposition temporaire
De haut en bas coupes transversales B, C et D
Ci-dessus vue aérienne du projet
AUBERGE ET MÉDIATHÈQUE ENSEIGNANT : GEORGES HEINTZ Atelier International Strasbourg | Naples | Bruxelles [ 2018 ]
A Naples, au pied du Castel Sant’Elmo et de la chartreuse-musée de San Martino, se dresse un site exceptionnel. Avec une ouverture totale sur le centre ville, la mer méditerranéenne et le Vésuve, le Mont San Martino propose un terrain d’insertion idéal pour le projet. L’idée fondamentale est ici de répondre à la demande croissante d’un public jeune et en mouvement constant, par la création d’un lieu proposant des services culturels, d’hôtellerie et de restauration, tout en leur offrant un emplacement privilégié au cœur de la ville à prix abordable. Afin d’y parvenir, le programme se compose, au rez-de-chaussée, d’un atrium central qui accueille un bar et un accès direct vers la terrasse-jardin, établissant ainsi un lien proche
avec les étudiants de l’université adjacente. En ce qui concernce le premier et le deuxième étage, il s’agit des espaces dédiés à la culture. D’une part, une salle d’exposition occupe le premier niveau du bâtiment. D’autre part, une bibliothèque, un espace de lecture et des bureaux sont aménagés au deuxième niveau afin de mettre à disposition des espaces de travail pour le public. Les troisième et quatrième étages acueillent les dortoirs de l’auberge ; des chambres mixtes et des chambres privatives pour un total de 96 places. Le cinquième, entièrement dévoué au bien-être des hôtes, est composé d’une cuisine, d’une salle à manger, d’une zone de jeux et de salles de détente. Finalement, les deux derniers étages donnent l’opportunité, tant aux Napolitains qu’aux visiteurs, de faire l’expérience d’une vue panoramique sur la ville et son environnement naturel, que ce soit en prenant un verre au bar ou en se baignant dans la piscine du dernier niveau. Quant à l’aspect général du bâtiment, l’allure recherchée est celle d’un élément léger et poreux, employant l’acier, le verre et le béton. Ainsi, l’apparence des façades est le résultat d’un jeu de volumes superposés proposant plusieurs degrés de porosité, du plus opaque au plus transparent, en passant par des variations faisant usage de la structure apparente ou bien encore de résille métallique.
En haut à gauche terrasse panoramique avec piscine et vue sur le Vésuve En haut à droite chambre de l’auberge Au centre à gauche salle d’exposition Au centre à droite atrium central En bas intégration du projet sur les flancs du Mont San Martino
Ci-dessus coupe perspective
Ci-dessus vue depuis la baie
CENTRE DE CONGRÈS ENSEIGNANT : ANA POPOVICI Atelier Édifice et Lieu [ 2017 ]
Apprendre, échanger et se détendre. Ces trois concepts tracent les lignes directrices du projet, afin de créer un lieu commun capable de les concilier. Le Centre de Congrès se situe en lisière de la Plage des Catalans à Marseille, un site pourvu d’un contact direct avec la beauté de la nature et l’effervescence de la capitale de la Côte d’Azur. Ainsi, en prenant compte ces élements, le bâtiment crée également un lien direct entre eux. L’édifice vient s’implanter le long de la route du littoral. Il possède deux chemins d’accès : le premier, placé au niveau de l’avenue principale et le deuxième, placé au Sud. Ce dernier permet d’accéder au bâtiment depuis la plage grâce à une
rampe sculptée dans la roche, offrant ainsi au visiteur une découverte progressive du paysage naturel. Parmi les contraintes données dès le début du semestre, celle de la compacité était primordiale. En effet, lors du processus de conception, il nous a été demandé de respecter scrupuleusement les surfaces indiquées dans le cahier de charges. Par conséquent, le bâtiment s’exprime à travers un langage orthogonal simple mais d’une grande complexité spatiale. A l’intérieur, l’organisation des blocs offre de nombreuses zones de rencontre, des salles de formation et de réunion, ainsi qu’un auditorium. Le projet propose également des espaces dédiés à l’hébergement et à la restauration, et d’autres à la relaxation des visiteurs tels qu’un hammam, une piscine et une salle de fitness. L’imbrication des volumes est pensée de manière à permettre des vues dégagées, d’une part vers la ville et d’autre part vers les îles du Frioul. Enfin, le volume supérieur du bâtiment qui abrite entre autre, les chambres d’hôtel, est couvert par une résille métallique mobile, apportant ainsi un flux de lumière naturelle régulé en fonction des besoins.
De haut en bas amphithéâtre, chambre d’hôtel et coupe perspective transversale
Ci-dessus coupe perspective longitudinale
Ci-dessus vue depuis l’arrêt de tramway
HABITAT COLLECTIF II ENSEIGNANT : DOMINIK NEIDLINGER Atelier Projet Habitat Collectif
du XXème siècle, le béton et l’acier font recours à la rigueur de barres et de tours au Sud. Ainsi, le bâtiment imaginé est une réponse directe et en complète symbiose avec son environnement.
[ 2016 ]
Sur la partie basse en briques viennent se poser deux éléments en métal noir qui, par leur taille et leur disposition, contrebalancent la force des barres du quartier de l’Esplanade et adoucissent la transition vers les bâtiments plus bas du quartier allemand.
Avec un emplacement idéal à proximité du port du Rhin –quartier en pleine métamorphose–, entre le centre ville de Strasbourg et la ville allemande de Kehl, la place d’Islande à Strasbourg se profile comme potentiel carrefour central qui reliera ces deux villes frontalières. Étant au centre de ce site en plein développement, le projet cherche à eanticiper les défis et les mutations futures qu’il pourra présenter.
Au-delà d’un désir esthétique, la surélévation de l’aile Sud est le résultat de deux intentions urbaines. La première est de créer une place publique mettant en relation immédiate le cœur d’îlot, les commerces ci-établis et l’arrêt de tramway afin de redonner un sens à son nom «Place d’Islande». La deuxième est d’offrir à chaque appartement de cette aile, une terrasse avec vue sur le centre historique de Strasbourg et sa cathédrale.
Influencé par son contexte, le projet retranscrit dans une expression contemporaine les matérialités des immeubles avoisinants ; la brique rappelle les bâtiments au Nord du début
Enfin, le projet naît de l’association des tissus urbains et langages architecturaux environnants, cherchant à les réinterpréter dans une écriture contemporaine forte et trascendante.
Projet realisé avec la collaboration de Julien Brocker et Christelle Bernard
En haut plan du deuxième étage En bas coupe longitudinale
En haut élévation Nord En bas élévation Sud
Ci-dessus photographie de la maquette
HABITAT COLLECTIF I ENSEIGNANT : DOMINIK NEIDLINGER Atelier Projet Habitat Collectif Projet realisé avec la collaboration de Julien Brocker et Christelle Bernard
[ 2016 ]
L’objectif était de développer un projet d’habitat collectif dans un milieu urbain dense, tout en respectant la composition urbaine existante. Le projet trouve son essence dans trois éléments reliés par deux passarelles. Chaque élément est constitué d’une superposition de modules reposant sur une base carrée constituant le rez-de-chaussée. La particulière imbrication de ces modules permet la création de divers types de logements possèdant chacun au moins une terrasse et bénéficiant tous
d’une double ou triple orientation. Afin d’atténuer l’intégration du projet dans son contexte, le bâtiment Est vient s’aligner en hauteur avec l’immeuble adjancent. Contrairement à celui-ci, les deux autres bâtiments montent d’un étage en plus pour ainsi atteindre le niveau de l’immeuble voisin côté Ouest. L’ensemble du projet est discrètement surélevé afin de créer une délimitation vis-à-vis de la rue. Les rez-de-chaussée abritent une variété de programmes au service des habitants du quartier. Dans la partie postérieure du projet, des bassins entourés d’espaces arborés, une aire de jeu et une cuisine extérieure sont mis en place au profit des riverains. La création d’un lien entre la rue, le cœur d’îlot et le quartier s’avérait de grande importance. C’est pourquoi le projet, se voulant un élément de connection et d’ouverture, dispose de plusieurs accès faisant ainsi le lien avec la traversée piétonne et les cours des immeubles voisins.
En haut plan du premier étage En bas coupe longitudinale
Ci-dessus vues de la maquette
Ci-dessus photographie détail
RÉNOVATION SALLE DE BAIN CLIENT : TANGUY B.
[ En cours ]
Cet appartement est situé à Schiltigheim, dans la périphérie Nord de Strasbourg. Son propriétaire, Tanguy, souhaitait renover la salle de bain en un espace épuré et contemporain disposant d’une luminosité plus abondante. La première intervention fut d’élargir la taille du velux afin d’obtenir un apport plus généreux de lumière naturelle. Pour renforcer la sensation de clarté, un carrelage blanc a été choisi pour les surfaces intérieures.
Un autre élément important dans la rénovation de cette pièce fut le remplacement de la baignoire par une douche. Il était difficile de se doucher en position debout dans l’ancienne baignoire à cause de la pente de toit à cet endroit. La hauteur du sol de la nouvelle douche, plus basse, répond à ce problème. La suppression de la baignoire et son assise a permis une ouverture physique mais aussi visuelle de l’espace. De ce fait, on découvre une nouvelle surface plus confortable et mieux adaptée à la taille humaine. Pour des questions de style, une attention particulière fut donnée aux joints de carrelage et au sol, auxquels un traitement en couleur gris anthracite et une apparence béton ont été appliqués respectivement. Enfin quelques éléments en bois clair viennent apporter une touche chaleureuse à cet espace minéral.
Ci-dessus axonométrie
En haut salle de bain avant intervention En bas résultat après début des travaux
UNTITLED PHOTOGRAPHIE NUMÉRIQUE Digital Canon EOS 600 D Reflex [ 2017 ]
EXPÉRIMENTATIONS PHOTOGRAPHIE ARGENTIQUE Minolta XD7 35mm [ 2015 ]
FALL PHOTOMONTAGE DIGITAL Illustrator et Photoshop [ 2017 ]
PORTFOLIO SERGIO BARAJAS Copyright © Sergio Barajas [ 2021 ]