Introduction

Depuis des temps immémoriaux la terre été l’un des matériaux disponibles partout dans le monde et qui permettaient à l’humanité de s’abrité chacun avec son propre climat et son propre environnement.

« Utilisé ce qui se trouve sous nos pieds », l’exemple de la muraille de Chine est le plus représentative de cette idée, traversant une grande partie du territoire chinois la muraille est construite en pierre là où il y a de la pierre, et construite en terre là où il y a de la terre et même en sable là où il y a du sable. A l’époque le transport de matériaux était plus difficile qu’aujourd’hui, même si cela devient problématique et pointé du doigt par plusieurs acteurs du développement durable. La moitié de l’humanité vit dans un habitat en terre 1 rue. L’architecture de terre est présente sur tous les continents habités. Selon le département de l’énergie américain, 50% de la population mondiale vit dans une construction en terre crue. De plus, 15% des œuvres architectural inscrite au patrimoine de l’UNESCO sont en Terre.

Aujourd’hui nous sommes face un tournant décisif avec un changement climatique galopant, la fonte des glaces qui accélère de jour en jour et peut être des changements encore plus dramatiques que celle que l’on vie. Et cela nous pose face un dilemme se réadapter à la nature qui nous entoure où périr.

La construction en terre en soit est durable on la collecte du sol on l’utilise pour y habiter et on peut la détruire et elle revient à son état naturel un cercle vertueux qui est à l’opposé de matériaux comme le béton.

La technique du pisé semble faire une bonne impression dans le monde de l’architecture contemporaine et permet de créer une forme de poésie dans son aspect naturel et pour c’est composante non seulement thermique mais aussi acoustique :

« Les lignes parallèles et horizontales des murs en pisé accentuent le caractère minéral et naturel de ce « béton d’argiles » elles rappellent les strates sédimentaires et symbolisent le cycle géologique de la matière minéral. »

Dans une première partie de ce mémoire, nous verrons l’évolution des techniques de construction en terre dans le temps et nous étudierons les spécificité thermique et acoustique de ce matériau.

Dans une seconde partie, nous étudierons des études de cas déjà réalisé pour déterminé les limites et les bienfait de ces matériaux dans une architecture épurée contemporaine.

Et enfin, dans une troisième et dernière partie nous illustrerons le cycle vertueux du matériau et ainsi déterminé si oui ou non devra être intégrer dans une démarche de développement durable

En conclusion, et d’après notre étude nous nous demanderons si la terre pourrai se substitué à la quantité de béton que nous utilisons dans nos construction d’aujourd’hui.