Saint-Albert, Vol. 10 Janvier 2018
Journal Communautaire sans but lucratif
Félicitations à notre maire Alain St-Pierre pour sa nomination à titre de préfet de la MRC d’Arthabaska!
Dans ce numéro : BABILLARD MOT DU MAIRE
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MÈRE NOEL SAPIN / HIVER
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FADOQ
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FERMIÈRES CŒUR EN CŒUR
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CANARDS ILLIMITÉS … 13 CONTE DU JOUR DE L’AN … 14 PROCHES AIDANTS … 15 NAÎTRE ET GRANDIR … 16/17 PROCES-VERBAL AGENDA 3 MOIS
…/18/ 19 … 19
21 janvier 2018 Journée internationale des câlins.
Bonne et heureuse année à tous nos lecteurs! Santé, joie, amour et pourquoi pas ... un petit peu d’argent!
1245, Rue Principale
Programme Nouveaux Horizons pour les aînés.
BABILLARD
PROCHAIN NUMERO : fin janvier Vos articles avant le 15 janvier S.V.P.
Page où l’on achète, on annonce, on vend, on collectionne, etc. GARDIEN Mon nom est Cédric Ouellet, j’aurai 14 ans en février. J’offre mes services pour garder vos enfants. Ayant un frère de 10 ans et une petite sœur de 5 ans, j’ai l’habitude des enfants. J’ai aussi mon cours de gardien averti. Je demeure dans le rang 8 et vous pouvez me rejoindre au 819-353-2208. Merci.
DATES À RETENIR Le 11 février : Brunch des placoteux de la Fadoq Le 24 février: Souper spaghetti de la chorale. Mettez ces dates à votre agenda et encouragez nos organismes.
VIE ACTIVE Nous serons de retour pour continuer à bouger tous ensemble à compter de mardi le 9 janvier 2018. Une bonne et heureuse année à tous nos participants. Cette activité est entièrement gratuite et s’adresse aux aînés 2 fois par semaine, soit les mardis et jeudis à 9h30. Venez essayer et peut-être serez-vous un nouvel adepte...
PÊCHE AUX POISSONS DES CHENAUX Avez-vous de l’intérêt à participer à un voyage de pêche aux poissons des chenaux? Les membres du C.A. de la Fadoq de St-Albert sont à organiser cette sortie. Cependant, il est préférable de communiquer avec une des personnes dont les numéros apparaissent ci-dessous. En sachant combien de gens sont intéressés, il est plus facile d’organiser et de réserver une ou des cabanes de pêche. Cette sortie pourrait se tenir quelque part en janvier ou en début février (c’est la température qui nous mène). Nous espérons avoir le privilège de pêcher avec vous et surtout de s’amuser. Simon Fleury: 819-353-2943 Guy St-Cyr : 819-353-2728 Simon Houle : 819-260-0939
Journal Communautaire J’Aî la Bougeotte 1245, rue Principale, St-Albert, Qué. J0A 1E0 Courriel : la.bougeotte@hotmail.com www.munstalbert.ca (onglet vivre à St-Albert, journal commu.) Publicité Carte d’affaires 10,00$ / parution ¼ page 30,00$ / parution ½ page 60,00$ / parution 1 page 125,00$/ parution Veuillez joindre la publicité que vous désirez, le nombre de parutions et votre chèque au nom de Journal Communautaire à l’adresse ci-haut mentionnée. Contactez : Huguette Routhier: (358-2088) Sylvie G.Boisvert: (353-2992)
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Calendrier des séances du conseil municipal pour 2018 Chacune des séances ordinaires aura lieu à 19h00. Lundi Lundi Lundi Lundi Lundi Lundi Lundi Lundi Lundi Lundi Lundi Lundi
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janvier février mars avril mai juin juillet août septembre octobre novembre décembre
Les citoyens sont toujours bienvenus à ces séances du conseil.
Tirage : 690 exemplaires, 10 parutions / an Distribution : St-Albert (gratuit) Abonnement: 20$/an POLITIQUE D’INFORMATION Le journal « J’AÎ la Bougeotte » appartient à la population de St-Albert et chacun peut s’y exprimer librement par des opinions, chroniques, comptes rendus, nouvelles, etc. La rédaction se réserve le droit de corriger le français, pour une meilleure lecture ou compréhension, et de refuser ou de faire modifier tout article qui ne respecte pas les objectifs du journal. L’Équipe du journal : Huguette Routhier, chargée de projet Sylvie G. Boisvert, secrétariat. Sous-comités de bénévoles Le genre masculin est utilisé afin de faciliter la lecture.
MOT DU MAIRE
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onjours à tous ! Permettez-moi, en mon nom personnel et celui de vos élus et employés municipaux, de vous souhaiter une très belle année 2018 remplie de joie, de bonheur et d’amour. Que la santé soit toujours au rendez-vous. Que 2018 soit pour vous tous, une année de belles réalisations. Que ce soit personnel ou professionnel, de bénévolat ou d’aide envers votre prochain, un sourire, une tape dans le dos, un petit mot gentil, soyons tous porteurs de bonté. Encore cette année, les Albertois auront chacun à leur façon décoré leur façade de maison pour rendre la féerie de Noël encore plus magique. Bravo. C’est tellement beau! Saint-Albert brille de toutes ces lumières. Grâce à des bénévoles engagés et à la municipalité, nous aurons mis en œuvre les paniers de Noël afin d’aider les gens qui, pour diverses raisons, en auront besoin. Personne n’est à l’abri d’une situation particulière. Perte d’emploi et maladie sont, entres autres, bien souvent la raison de la demande d’un panier. Que ces paniers faits avec amour puissent permettre à tous, sans exception, de passer un très beau Noël et que l’année 2018 soit un nouveau départ. Pour votre information, ce n’est pas de gaieté de cœur que pour le mois de décembre le bureau était fermé les vendredis. Rassurez-vous, c’est une mesure exceptionnelle. La maladie nous frappe de nouveau. Cette fois, c’est Any qui a dû se reposer. Elle sera de retour le 3 janvier 2018. L’année 2017 aura été, pour la municipalité, une année très difficile frappée par la maladie et le manque de personnel. Je nous souhaite que cette nouvelle année soit des plus exceptionnelle et que Suzanne et Any nous reviennent en grande forme. Vous aurez reçu, en décembre, une explication de vos comptes de taxes à venir. Depuis des années, le conseil tente de
maintenir le taux de taxes le plus bas ou dans les plus bas de toute la région. Malgré l’augmentation de cette année, nous sommes encore dans les plus bas taux de taxes. De pouvoir faire quatre paiements sans intérêts aide beaucoup les gens. Sachez que le budget est toujours conçu avec une grande attention. Nous gardons en tête vos capacités de payer. Cependant, rien ne baisse, tout augmente et nous devons suivre le pas. Profitez des horaires de la patinoire pour prendre l’air et vous amuser. Comme chaque année, nous prendrons un soin jaloux afin de bien l’entretenir. En terminant, j’aimerais remercier tous les gens qui sont très nombreux à m’avoir félicité pour mes nouvelles responsabilités de préfet de la MRC d’Arthabaska. Il y a deux ans, j’ai été élu préfet suppléant à ma grande surprise et le rôle de préfet ne faisait pas partie de mon plan de carrière politique. J’en suis là aujourd`hui et j’en suis très fier. Ce nouveau défi ne changera en rien ma disponibilité envers vous Albertois, Albertoise. Je ferai simplement de plus grandes heures de travail. À la demande des gens, je vous préparerai un petit mot, en début d’année, pour démystifier le rôle d’un préfet. Un très grand merci à vos élus municipaux de prendre de leur temps pour tenter de toujours faire de Saint-Albert un endroit où il fait bon vivre. Merci aux employés de leur très grand dévouement. Que 2018 soit, pour nous tous, une année de plaisir à travailler pour le mieux être de notre collectivité. Respectueusement, Alain St-Pierre Maire
HORAIRE DE LA PATINOIRE 2017-2018 (SI LA TEMPERATURE LE PERMET) Du lundi au jeudi : Patinage libre de 18h00 à 19h00 Hockey libre de 19h00 à 21h00 Vendredi :
Patinage libre de 18h00 à 19h00 Hockey libre de 19h00 à 22h00
Samedi :
Patinage libre de 13h00 à 15h00 Hockey libre de 15h00 à 17h00 Patinage libre de 18h00 à 19h00 Hockey libre de 19h00 à 22h00
Dimanche :
Patinage libre de 13h00 à 15h00 Hockey libre de 15h00 à 17h00 Patinage libre de 18h00 à 19h00 Hockey libre de 19h00 à 21h00
MERCI DE RESPECTER CET HORAIRE, Puisque dans le respect, tous y trouveront leur compte. Nous vous recommandons le port du casque de sécurité ainsi que le protège-cou en tout temps. Nous ne sommes pas responsables des accidents, s’il y a lieu. De plus, il est INTERDIT de fumer et de boire de l’alcool autant sur la patinoire que dans le local de la patinoire. Un surveillant sera présent encore cette année pour assurer le respect de ces consignes de sécurité et de civisme.
1ER JANVIER: Fermé. 2 au 5 janvier: Patinage libre de 13h00 à 15h00 Hockey libre de 15h00 à 17h00 Patinage libre de 18h00 à 22h00 À COMPTER DU 7 JANVIER, RETOUR À L’HORAIRE NORMAL
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SAPIN SOUS LA NEIGE ET L’HIVER
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out vert et troué de petits espaces vides, voilà le sapin sous la neige! Son pied est chaussé d’un mocassin blanc. Des veines laiteuses formées de mille et une petites étoiles incrustées dans son écorce sillonnent son tronc gelé. Il charge ses bras de diamants et pose sur sa tête une belle tuque de laine blanche. Et quand le soleil vient projeter sur ce splendide décor quelques rayons de lumière, vous voyez le sapin exposer ses plus beaux joyaux qui scintillent. Yves Bergeron
A
ssis près de l’âtre, j’essaie de traduire le langage de l’hiver : ses longs murmures, ses craquements étouffés, ses longs sifflements dans la cheminée. Je me demande s’il aime remplir sa mission, s’il regrette ses journées. J’aimerais converser avec lui. Son travail des siècles passés doit être cousu de faits merveilleux, de légendes préhistoriques et d’histoires frivoles. L’hiver est mon meilleur ami. C’est à lui que j’avoue mon bonheur, mes joies, mes plaisirs et mes peines. En retour, il me transporte au bout du monde où des gens ont froid, dans mon pays où des miséreux gèlent, dans mon voisinage où des enfants grelottent. Yves Bergeron
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FADOQ ST-ALBERT
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e 1er décembre dernier avait lieu le souper annuel des Fêtes de la Fadoq de St-Albert où 133 personnes ont participé à cette belle soirée. Un repas délicieux avec de très bons desserts, de la musique, de la danse, etc.... Merci à tous les participants et bénévoles qui ont su faire de cette soirée un succès. Que 2018 vous apporte la sérénité, la santé et réalisent tous vos vœux. Un merci tout spécial à Alexandra Morin pour les photos. Pour plus de photos, visitez le site de la municipalité de St-Albert au www.munstalbert.ca sous l’onglet vivre à St-Albert, album photos. L’équipe du C.A. de la Fadoq St-Albert
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FADOQ Abolition du poste de Commissaire à la santé et au bien-être : des voix dénoncent le camouflage du transfert d’importants pouvoirs au ministre Barrette Le Conseil pour la protection des malades, la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec – FIQ, le regroupement Médecins québécois pour le régime public, le Réseau FADOQ et Me Jean-Pierre Ménard, avocat spécialisé en droit de la santé, dénoncent le manque complet de transparence du gouvernement du Québec concernant l’abolition du poste de Commissaire à la santé et au bien-être (CSBÊ) et surtout le transfert de ses pouvoirs. La suppression de cette importante fonction, qui permettait d’évaluer de manière indépendante la performance du système de santé et de services sociaux, avait été annoncée en mars 2016. Mais ce n’est que maintenant que l’on a la confirmation que le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, se soustrait à toute évaluation critique et indépendante de ses agissements. Cette abolition constitue un recul démocratique majeur puisque le rôle du Commissaire était d’éclairer le débat public et la prise de décisions du gouvernement en matière de santé. Or, les libéraux tentent de camoufler leur décision en abrogeant la Loi sur le Commissaire à la santé et au bien-être avec le Projet de loi 150. Ce projet de loi omnibus, qui renferme sur plus de 100 pages de nombreuses dispositions budgétaires de toutes sortes, relève du ministère des Finances et ne fera l’objet d’aucune consultation ni commission parlementaire. Ce n’est certainement pas un hasard si le gouvernement agit en catimini. Tous les pouvoirs du Commissaire, sauf un, sont transférés à l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS), qui relève du ministre de la Santé et des Services sociaux et qui n’a qu’un pouvoir de recommandation auprès de ce dernier.
Le ministre s’auto-évalue!
Le ministre de la Santé « hérite » quant à lui du pouvoir… de se conseiller et d’évaluer ses propres décisions et réformes. L’article 64 du projet de loi 150 stipule en effet que le ministre s’arroge les pouvoirs d’évaluation de l’impact des politiques publiques en santé sur la population. Tous les signaux perçus par les signataires de ce communiqué indiquent que les réformes du ministre Barrette, contrairement à ce qu’il en dit, sont passablement négatives. Entre 2009 et 2017, pendant que la part du salaire des médecins dans le budget de la santé est passée de 12 % à 20 %, on a réduit les services et l’accès aux soins. Les impacts négatifs sont nombreux, particulièrement auprès des plus vulnérables. Et aujourd’hui, la population n’a plus de contre-pouvoir.
Centralisation à outrance et dérive autoritaire Nancy Bédard, présidente de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec – FIQ
« Nous le soulignons dans notre Livre noir de la sécurité des soins, la qualité ́ et la sécurité ́ des soins sont actuellement en péril au Québec. Surcharge de travail, fatigue et détresse chez les professionnelles en soins entraînent des omissions, des erreurs et des événements indésirables. Au Québec, nous avons besoin d’un organisme neutre et indépendant capable d’alerter les élu-e-s sur ces situations. Seul le CSBÊ avait un tel pouvoir! » Me Paul Brunet, président du Conseil pour la protection des malades
« L’institution du Commissaire à la santé et au bien-être était une promesse du Parti libéral en 2003 et il devait alors relever de l’Assemblée nationale. Mais l’éléphant a accouché d’une souris puisque le Commissaire, quand le projet de loi a été adopté, a davantage relevé du ministre, celui-là même qui vient de planter le dernier clou dans le cercueil de l’institution avec le projet de loi mammouth 150. » Dre Isabelle Leblanc, présidente de Médecins québécois pour le régime public
« La perte d’un poste et d’une organisation externe évaluant de façon objective et indépendante le réseau de la santé est catastrophique en cette période de réformes rapides du système, dont personne n’évalue vraiment les effets. Cette perte de forum de discussion réunissant experts, acteurs du système et soignants démontre vraiment la dérive autoritaire du ministère de la Santé. » Me Jean-Pierre Ménard, avocat spécialisé en droit de la santé
« Ce projet de loi s’inscrit dans la tendance lourde de centralisation des pouvoirs entre les mains du ministre. L’abolition en catimini du poste de Commissaire à la santé et au bien-être aura un impact très défavorable sur l’évolution du système de santé, dans le contexte d’une restructuration et de compressions qui ont eu des effets très négatifs sur l’accessibilité et la qualité des soins. » Danis Prud’homme, directeur général du Réseau FADOQ, qui compte plus de 495 000 membres
« Nous sommes outrés. Sous prétexte d’économiser un maigre 2,5 M$, le ministre de la Santé bafoue les principes d’indépendance et de transparence au cœur de la mission du Commissaire, qui gardait un œil sur l’évolution des dépenses et sur les décisions qui affectaient la qualité des services offerts aux contribuables. Le ministre agit comme le Napoléon du Québec. » Source: Site internet fadoq.ca Communiqué de presse du 4 décembre 2017.
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FERMIÈRES ST-ALBERT Risotto aux crevettes de type chowder INGRÉDIENTS 750 ml (3 tasses) de bouillon de poulet réduit en sel 750 ml (3 tasses) de lait 2 carottes, coupées en petits dés 2 branches de céleri, coupées en petits dés 1 oignon, haché 30 ml (2 c. à soupe) d’huile d’olive 400 g (2 tasses) de riz arborio 125 ml (1/2 tasse) de vin blanc 454 g (1 lb) de crevettes crues décortiquées et coupées en morceaux ou de petites crevettes entières 150 g (1 tasse) de grains de maïs surgelés, décongelés 30 ml (2 c. à soupe) de persil frais ciselé 1 pincée de muscade (facultatif) Sel et poivre
PRÉPARATION 1.Dans une casserole à feu élevé, porter à ébullition le bouillon et le lait. Dès le premier bouillon, fermer le feu. Couvrir et réserver au chaud. 2.Dans une grande casserole à feu moyen, attendrir les carottes, le céleri et l’oignon dans l’huile. 3.Ajouter le riz et cuire 1 minute en remuant pour bien l’enrober. Déglacer avec le vin et laisser réduire presque à sec. 4.À feu moyen, ajouter le mélange de bouillon, environ 250 ml (1 tasse) à la fois, en remuant fréquemment jusqu’à ce qu’il soit complètement absorbé entre chaque ajout. Saler et poivrer. Cuire de 18 à 22 minutes ou jusqu’à ce que le riz soit al dente. Incorporer les crevettes, le maïs, le persil et la muscade. Poursuivre la cuisson environ 2 minutes ou jusqu’à ce que les crevettes soient cuites
15 RECETTES MAGIQUES CONTRE L’ARTHROSE
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aviez-vous qu’en adaptant simplement nos habitudes alimentaires, nous pouvions diminuer les douleurs gênantes liées à l’arthrose ? En France, on estime que plus de 10 millions de personnes souffrent de douleurs articulaires. L’arthrose, qui touche 1 Français sur 2 après 40 ans, se manifeste par des raideurs articulaires parfois légères, parfois invalidantes. Certains se réveillent le matin avec la sensation d’avoir le corps ankylosé, d’autres souffrent au moindre mouvement. Bien qu’elle puisse toucher toutes les articulations, l’arthrose se concentre généralement sur les vertèbres, les genoux, les hanches, les épaules et les pouces. Les antidouleurs et les anti-inflammatoires sont les traitements les plus couramment prescrits. Pourtant, des solutions naturelles existent : plantes, huiles essentielles, baumes… Mais c’est surtout en corrigeant notre alimentation au jour le jour qu'il est possible de venir à bout de l’arthrose.
Les 10 règles de l’alimentation anti-arthrose
Diminuer sa consommation de viande Manger régulièrement du poisson Bien choisir ses matières grasses (évitez le beurre, la crème, les huiles d’arachide et de tournesol) Chasser l’excès d’acidité (limitez la viande rouge, les céréales raffinés, les sucreries) Opter pour les bons glucides (préférez les céréales complètes et fuyez les plats tout prêts) Se protéger contre les radicaux libres (optimisez vos apports en vitamines A, C et E, sélénium, zinc) Manger des fruits et légumes frais à tous les repas Ne pas consommer trop de produits laitiers Entretenir sa flore intestinale Abuser des épices et des aromates
Source: Site internet Femme Actuelle
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DE COEUR EN COEUR
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e 18 novembre dernier avait lieu le premier événement de la nouvelle fondation de Cœur en Cœur dont l’instigatrice est Madame Marika Bourgault, elle-même greffée du cœur. Celle-ci a pris la peine de nous expliquer tout son cheminement de personne en parfaite santé à personne en attente d’une greffe cardiaque. Il n’y a pas que les difficultés de santé qui se présentent lors de périodes de maladie, il y a aussi les problèmes financiers qui se pointent. C’est pourquoi celle-ci a décidé de mettre en marche cette nouvelle fondation qui vient en aide aux personnes en attente d’une greffe cardiaque. Ce souper était organisé pour débuter les fonds de cette fondation, mais avait pour but d’aider une femme de SaintAlbert, Karine Lacharité, qui devra avoir un nouveau cœur et un peut-être nouveau foie dans les prochains mois. Elle est en processus pour être sur la liste d’attente des futurs greffés. Karine a aussi livré un témoignage vibrant de vérité et on aurait pu entendre voler une mouche dans cette salle pourtant pleine à craquer. Son père, Claude, a aussi remercié chaleureusement toutes les personnes ayant participé de près ou de loin à ce souper. Une somme d’environ 10 000 $ a été amassée permettant à Karine et son mari Jean-Philippe de pouvoir respirer un peu pendant ces mois d’attente. Bien sûr, cette fois-ci c’était Karine, mais la fondation se promet d’aider d’autres futurs greffés. Merci à Marika pour ce beau geste du cœur. Bonne chance à Karine pour son futur cœur.
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Cahier de services
1245, Principale, bureau 5 St-Albert, QuĂŠ. J0A 1E0
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Cahier de services
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LES BOIS DAVIES Fabrication d’escaliers; Armoires de cuisine; Finition d’armoires; Fabrication et réparation de meubles;
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CANARDS ILLIMITÉS
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L’HIVER DANS LE MARAIS
e marais semble dénudé, sans vie. Recouvert d’un manteau de neige et de glace, il est tellement différent de ce qu’il était il y a seulement quelques mois, quand l’eau vive accueillait la sauvagine en migration et que les vagues venaient lécher le rivage. Aujourd’hui tout est figé sous une croute blanche et dure. La quenouille et le scirpe défient le froid, raides sous le frimas qui blanchit leur tige. Il y a une éternité, me semble-t-il, que je me frayais un chemin en chaloupe dans cette même végétation, pour y déposer une douzaine d’appelants et attendre le moment magique. Mais c’était un autre jour, une autre saison. Aujourd’hui mon retriever Sarcelle, les moustaches blanches de givre et le museau enneigé, court au-dessus de l’eau dans laquelle elle nage habituellement. Elle fouine un peu partout avec une joie toute canine, ne s’arrêtant que pour renifler une hutte de rat musqué ou les excréments d’un quelconque animal. Car il y a des animaux, et même plusieurs. En hiver, le marais peut paraître désert, mais il est loin de l’être. En janvier, les observations peuvent être aussi simples et possibles que la neige, et presque aussi continues que le froid. C’est le moment non seulement de voir qui a fait quoi, mais de se demander pourquoi? Dans le marais en ce jour glacial, je savoure ces réflexions et cette beauté même si je dois enfoncer un peu plus ma tuque sur mes oreilles. Une piste de coyote marque la neige de sa ligne unique, la stratégie de l’animal semble simple : repérer les terriers de rat musqué, les arbres morts et les marques territoriales. Il s’est arrêté à chaque touffe d’herbe, mettant vraisemblablement à contribution son sens de l’odorat à la recherche de nourriture. Une minuscule paire d’empreintes de pattes de souris évoque une fermeture éclair géante, qui relierait deux touffes de scirpe. L’une de ces pistes s’éloigne du couvert protecteur et se dirige vers une touffe isolée, à une cinquantaine de mètres de là. À mi-chemin, elle s’arrête brusquement. Des traces d’ailes dans la neige encadrent la dernière série d’empreintes. Je me demande si la souris a jamais entendu le hibou qui l’a attaquée. Sarcelle et moi continuons notre voyage de découvertes et de réflexions. Nous quittons la glace et filons à travers la prairie enneigée. Tout à coup, la queue de Sarcelle commence à battre comme un métronome qui se serait emballé. Un faisan à collier crie à pleins poumons en prenant son envol. J’esquisse un sourire et demande à haute voix : «Où étais-tu l’automne dernier et que fais-tu si loin des quenouilles protectrices? » Penaud, je regarde tout autour pour être bien certain que personne ne m’a entendu. Mais je sais que nous sommes seuls. Le marais en hiver a cet effet sur les gens, il les tient loin dans les maisons, ce qui est bon pour les curieux comme moi et les chiens comme Sarcelle. Pour une raison que j’ignore, les gens croient qu’il ne se passe rien dans un marais l’hiver. Je suis reconnaissant pour la tranquillité suscitée par cette ignorance. Après avoir traversé les terres hautes, nous retournons sur la glace, j’aperçois des pistes que je n’ai pas souvent l’occasion
d’observer. Un vison, des pattes d’environ 3 cm de large et de 2 cm de long, avec cinq doigts au bout et on voit dans la neige de minuscules traces de griffes. La piste serpente sur la glace, l’animal alternant entre la marche et les bonds. Par 2 fois je perds sa piste effacée par le vent et je me mets à la recherche en faisant des cercles de plus en plus grands jusqu’à ce que je la retrouve. Je la suis pendant 1 kilomètre, m’arrêtant périodiquement pour scruter l’horizon avec mes jumelles dans l’espoir de surprendre l’animal lui-même. Finalement, la piste disparaît complètement et je reviens à regret sur mes pas. Nous mettons le cap au nord pour rejoindre le véhicule. Quelque chose d’étrange chapeaute un panneau de signalisation, à 300 mètres plus loin. Aves mes jumelles, je vois un corps blanc avec 2 yeux noirs qui me regardent : un harfang des neiges. Un mouvement derrière attire mon attention. Un coyote à l’épaisse fourrure surgit des quenouilles, s’arrête et s’assoit sur la glace. Curieusement je peux voir en même temps le harfang et le coyote, comme si je regardais un documentaire à la télévision. Après plusieurs minutes pendant lesquelles je les regarde nous observer, je décide de partir. Le marais nous a offert suffisamment d’action et de réflexion pour une journée d’hiver. Mais, avant même de démarrer, je pense déjà à y revenir. Yves Bergeron, bénévole Canards Illimités Canada
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CONTE DU JOUR DE L’AN
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l faisait chaud dans le magasin général. La grosse fournaise, pleine de bon érable, ronflait sous la grande grille de fer. Les clients avaient déboutonné capots de chat et parkas en étoffe du pays. Casques, tuques et mitaines jonchaient le comptoir secondaire. Quatre gros habitants jouaient au bridge sur la petite table, devant l’office. Quatre jeunots s’amusaient au jeu de pichenotte. Les autres, dont mon grand-père Arthur, fumaient leur pipe, assis sur les longs bancs bruns ou sur les fauteuils en contreplaqué que mon frère Camillo avait récupérés dans la carlingue d’un bombardier DC-3. Mon père Camille et ma sœur Mariette, derrière le comptoir principal, préparaient les « effets » commandés : sucre, farine, sel, thé –mais aussi, en cette période des Fêtes, les bonbons clairs, les « chocolats-casques », les biscuits Village. Moi, du haut de mes huit ans, je regardais, par la grande vitrine, l’après-midi qui allait tomber dans le soir. Il y avait beaucoup de neige déjà. Il faisait un froid sec dehors. Quand j’étais rentré tantôt, après avoir glissé longtemps sur mon traîneau, j’avais les joues bien rouges et les doigts raides dans mes mitaines. C’était autour de 1950. On était le 30 décembre. L’avant-veille du Jour de l’An. Soudain, dans le descendant de la Traverse, j’ai vu venir un drôle d’équipage : un traîneau attelé à un gros chien tout ébouriffé, avec dans le traîneau un petit garçon tenant dans ses bras un gros sac. De chaque côté du traîneau, un autre garçon de douze à quinze ans et un homme d’une quarantaine d’années. Les trois étaient habillés n’importe comment et semblaient bien fatigués. Pit Plourde, qui s’adonnait à regarder dehors lui aussi, s’est écrié : —Tiens, v’là les quêteux Jalbert! Sortez vos cennes noires! Grand-père Arthur s’est levé pour venir voir. Il a demandé : —C’est qui, ce monde-là? —C’est une famille de nécessiteux, a répondu Mariette. La mère est malade, le père n’est pas capable de se trouver de l’ouvrage; ils font bien pitié. —Ils viennent de loin? demanda encore grand-père Arthur. —Ils ont une cabane de l’autre bord du village. L’autre jour la mère est venue nous demander de leur garder les épluchures de patates, parce qu’elle n’avait pas d’argent pour acheter à manger. On lui a donné une poche de patates, mais elle doit être vide à l’heure qu’il est. Pendant cette conversation, le gros chien avait amené le traîneau jusque devant la porte du magasin. Les trois Jalbert sont entrés en courant : ils étaient à moitié gelés, dans leurs guenilles trouées et bien trop minces. Le plus jeune garçon tenait toujours dans ses bras le gros sac de coton. Il y a eu un moment de silence, puis le père Jalbert a pris le sac et en a sorti un accordéon qui avait eu des jours meilleurs… Il s’est mis à jouer un air joyeux pendant que les deux garçons allaient se placer le plus près possible de la grille de la fournaise. —À vot’ bon cœur, la compagnie, a lancé le père Jalbert, c’est le temps des Fêtes, ça fait qu’on va vous chanter un beau chant, pis ensuite Mathieu va passer le chapeau pis si vous avez aimé notre chant vous serez généreux, le bon Dieu vous le rendra ! Là-dessus il commence, sur son accordéon, « Il est né, le divin enfant », et les deux garçons commencent à chanter d’une voix un peu chevrotante, mais très juste. Ensuite le père entonne lui-même une autre chanson dont je me rappelle encore le début : « Nicolas, si tu la prends trop belle, On te l’enlèvera, Nicolas… » Quand il a fini, le plus jeune des garçons, celui qui s’appelle Mathieu, enlève sa tuque et se promène parmi les gens. Quelques-uns mettent un cinq sous dans la tuque, d’autres un sou
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noir, d’autres ne donnent rien. À ce moment grand-père Arthur se lève, frappe sa pipe avec force sur le gros crachoir de fer et prend la parole, lui qui pourtant n’est pas un « parleux ». —Il fait frette dehors, commence-t-il. Ce monde-là a encore long à faire pour arriver chez eux. On peut pas les laisser reprendre le chemin à moitié habillés, comme ils sont. Dans le magasin soudainement silencieux, les gros cultivateurs et les jeunesses baissent la tête, se regardent par en dessous, jettent parfois un œil sur le père Jalbert qui, étonné, suspend le geste d’envelopper son accordéon dans le sac de coton. —Camille, continue grand-père Arthur, prépare des bonnes culottes d’étoffe, des chemises, des bas de laine, des bonnes chaussures. Puis il sort de sa poche un vieux porte-monnaie et s’approche du comptoir. —Tu me diras ce que ça coûte, je vais te payer. —Ça adonne ben, répond mon père, sérieux comme un pape. Aujourd’hui il y a de gros spéciaux sur la marchandise sèche. Mais c’est juste pour vous, le beau-père. —Camille, aurais-tu un petit spécial sur le manger itou? demande alors Ti-Mand Thériault. Wilbrod pis moi on prendrait une poche de patates, un gros morceau de lard salé, des pois puis du pain. —Avec ça, tu pourras mettre une boîte de fromage, un demi baloney pis une petite caisse de biscuits avec de la gelée, intervient Arthur Denis le Noir. —Eille ti-gars, viens donc icitte un peu, lance le Ti-Bi Sirois en faisant signe au plus jeune des Jalbert. Tiens, mets ça dans ta tuque. Et il dépose, à travers la monnaie déjà amassée, un billet d’un dollar –une journée de salaire comme journalier. Il y eut d’autres interventions, je ne me rappelle pas de tout. J’avais huit ans… Mais je me rappelle qu’en quelques minutes les Jalbert étaient vêtus de neuf et de chaud, et que le traîneau était chargé de boîtes attachées avec une grosse ficelle. J’avais demandé à maman de préparer une grande écuelle que le chien avait dévoré. Quand ils sont repartis, à la brunante, il me semble qu’il faisait moins froid. Il tombait une petite neige. Dans le magasin général, il a fallu quelques moments avant que revienne le bruit des cartes qu’on brassait, des dames s’entrechoquant sur le jeu de pichenotte, la rumeur des conversations. J’ai regardé longuement mon grand-père Arthur qui était retourné s’asseoir et avait rallumé sa pipe. Je ne le savais pas encore, j’étais trop jeune, mais depuis j’ai compris qu’en ce temps-là des pauvres malchanceux comme les Jalbert n’avaient pas d’autres recours que la générosité des gens comme lui . Et je sais aussi que sa générosité était de l’abnégation parce que ce qu’il donnait, ce n’était pas du superflu. C’était ce qu’il s’enlevait à lui-même. Je pense que les Jalbert ont passé un beau Jour de l’An.
Source: site internet Richard Lévesque.
Proches aidants Deuil du rôle de proche aidant Et si un jour ça m’était utile…
Essayez de reprendre contact avec certains amis ou de
refaire certaines activités que vous aimiez et que vous avez laissé tomber. «Ma conjointe est décédée à la suite d'un cancer. La souf Allez chercher de l’aide pour vous permettre de retroufrance a rendu les derniers mois très pénibles. Je m'en ver un équilibre dans votre vie et parlez de ce que vous suis beaucoup occupé; les activités de ma journée vivez (groupe de soutien au deuil). n’étaient centrées que sur elle. Maintenant qu’elle est par-
tie, je suis mêlé dans mes émotions. Je le vis parfois comme un soulagement, mais en même temps je me sens Vous vivez une situation similaire ou vous connaissez quelcoupable de penser comme ça. En plus, je me sens perdu qu’un qui vit cette situation? Contactez l’Association des proches aidants Arthabaska-Érable au 819 795depuis qu’elle n'est plus là.» Très souvent, le proche aidant se retrouve à consacrer beaucoup de son temps à la personne qu’il aide, ce qui peut entraîner l’effritement de son réseau social. Cette situation provoque un déséquilibre dans sa vie, car lorsque la personne aidée décède, il peut ressentir un sentiment d’inutilité et d’isolement. En plus d’être en deuil de la personne qu’il aimait, il doit vivre le deuil de son rôle d’aidant. Voici quelques trucs et pistes de réflexion : Acceptez le mélange des émotions, c’est normal lors d’un deuil. Donnez-vous du temps, ça peut parfois être long et il y a des hauts et des bas.
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ette seule statistique donne froid dans le dos; 40% des aliments produits finissent à la poubelle. Heureusement, la technologie HPP (Hydro Procédé de Protection), approuvée par Santé Canada, permet de déjouer cette triste réalité en augmentant jusqu’à trois fois la durée de vie des aliments frais, sans en altérer le goût, la texture, la fraîcheur ni les valeurs nutritives. Pratique pour ceux qui veulent avoir des aliments frais sous la main mais qui ne vont pas régulièrement à l’épicerie! Comment fonctionne ce procédé? Les aliments emballés sont immergés dans un bassin d’eau froide qui est ensuite rempli d’eau puis soumis à une pression très intense qui détruit les microorganismes des aliments. Le Centre de développement bioalimentaire du Québec y travaillait depuis plusieurs années. Il vient de lancer Projet 9, en collaboration avec Recyc-Québec, qui vise l’adoption de nouvelles façons de faire pour réduire le gaspillage alimentaire, des producteurs jusqu’aux consommateurs. Déjà, plus d’une dizaine d’entreprises alimentaires québécoises utilisent cette innovation pour offrir des produits à durée de vie prolongée aux consommateurs, dans la plupart des grandes chaînes d’alimentation. Il suffit de rechercher le logo HPP fraicheur prolongée.
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Naître et grandir
Vérité ou mensonge?
L
quelqu’un lui mentait. Un enfant adopte plus facilement les es parents s’inquiètent souvent quand leur toutvaleurs familiales quand il les connaît et quand il competit ne dit pas la vérité, mais rassurez-vous, prend leur raison d’être. l’enfant d’âge préscolaire est bien connu pour défor- Mettez des mots sur l’émotion que vit votre enfant ou enmer la vérité. Il s’agit en fait d’une phase normale de core sur ses désirs. Vous l’aiderez ainsi à comprendre son développement. pourquoi il n’a pas dit la vérité. Par exemple : «Tu aurais Pourquoi les tout-petits «mentent» parfois? Les jeunes enfants disent souvent de petits mensonges sans mauvaises intentions. Dès l’âge de 2 ans et jusqu’à environ 5 ans, un enfant peut mentir pour éviter de se faire chicaner ou par peur de déplaire. Il va surtout essayer de cacher un geste qu’il a posé et qu’il regrette (ex. : il a tiré les cheveux de son frère, il a cassé un vase du salon…). À cet âge, il ne fait pas encore bien la différence entre de bonnes ou de mauvaises actions. Aussi, avant 5 ans ou 6 ans, un enfant ne fait pas encore bien la différence entre la réalité et l’imaginaire. Il peut donc déformer la vérité pour s’amuser, pour faire rire ou pour imaginer une réalité qui lui semble plus intéressante. Par exemple, il raconte qu’il a un papa explorateur, qu’il a un animal de compagnie rigolo ou qu’il est une fée. Ces « inventions » sont plutôt le reflet des rêves et des désirs de l’enfant que de réels mensonges. Parfois, le mensonge peut camoufler une faible estime de soi. Un enfant peut en voyant le beau château de sable de son copain de jeu, raconter qu’à la maison, il a construit un bien plus gros château qui ne s’effondre jamais. En tant que parent, il est important de prendre ces petits mensonges pour ce qu’ils sont au lieu de les considérer comme un problème. Un enfant cesse habituellement de mentir vers 5 ans à 6 ans alors qu’il fait mieux la différence entre l’imaginaire et la réalité et qu’il comprend le sens du bien et du mal.
bien aimé ne pas accrocher le vase, n’est-ce pas?»
Évitez d’avoir une réaction trop négative à un mensonge.
En sachant que votre tout-petit a peut-être menti par peur d’être chicané, il vous sera plus facile de réagir avec calme. Vous pourrez ensuite trouver des solutions ensemble afin de l’aider à dire la vérité. Aidez votre enfant à trouver des idées de choses réelles à dire à ses amis si vous constatez qu’il invente souvent des histoires (ex. : il dit qu’il a un animal de compagnie alors que c’est faux). Faites-lui penser à ce qu’il a d’intéressant à raconter. Aime-t-il un sport? A-t-il un talent particulier? Aidez-le à comprendre la différence entre l’imaginaire et la réalité toutes les fois que c’est possible. Dites-lui, par exemple : «Je me rends compte que tu peux inventer de
belles histoires. Nous devrions les écrire pour en faire un livre.» Ou encore «Tu joues à être le roi lion, tu fais semblant de…»
Mensonges de parents Si votre enfant constate que vous lui mentez (par exemple, vous lui dites qu’il n’y a plus de biscuits quand il en demande, alors que c’est faux), il comprend qu’il est correct de mentir pour se sortir d’une situation. Il vaut mieux lui dire la vérité, avec des mots simples. Par exemple, que vous ne souhaitez pas qu’il mange de biscuits avant le souper. Pour ce qui est du père Noël, de la fée des dents et des autres personnages imaginaires, ce sont plutôt de petites inventions qui stimulent l’imagination de votre enfant. Vous pouvez donc en parler sans crainte. Un jour, votre enfant n’y croira plus, mais en gardera de beaux souvenirs.
Quand le mensonge devient-il un problème? Ce n’est qu’après 5 ou 6 ans qu’un enfant fait mieux la différence entre les bonnes et les mauvaises actions. Il . pourrait alors faire exprès de mentir pour obtenir ce qu’il désire. Le mensonge peut devenir un problème si vous sentez Source : revue Naître et grandir, octobre 2017, pages 22 et que votre enfant ment presque tous les jours ou s’il le fait 23 encore souvent après 5 ans ou 6 ans. Il faut alors en parler avec lui afin de comprendre pourquoi il ment. A-t-il peur de À retenir votre réaction? Veut-il se rendre intéressant? Il est important de lui dire que les gens l’aiment tel qu’il est. Il n’a pas besoin Avant 5 ans, un enfant ment surtout pour de mentir pour être apprécié. éviter de se faire chicaner ou pour imagiComment réagir ? Voici quelques conseils pour encourager votre enfant à dire la vérité : Félicitez votre enfant quand il dit la vérité, même si c’est pour avouer une bêtise. Par exemple, si votre enfant vous avoue avoir brisé le jouet de son frère, vous pouvez lui dire que vous appréciez qu’il vous l’ait dit, puis trouver ensemble une façon de réparer son geste. Expliquez-lui pourquoi c’est important de dire la vérité : «Quand les gens disent la vérité, cela nous aide à leur faire confiance.» Demandez-lui comment il réagirait si
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ner une réalité qui lui semble plus intéressante. Il est important de prendre les petits mensonges de votre enfant pour ce qu’ils sont au lieu de les considérer comme un problème. Lorsque vous dites à votre enfant qu’il n’a pas besoin de mentir pour être apprécié, cela l’encourage à dire la vérité.
Naître et grandir
Les otites et le langage
V
otre enfant a souvent des otites? Cela peut-il nuire au développement de son langage?
vent moins bien à cause d’otites, aura sûrement encore plus de difficultés de langage. QUOI FAIRE QUAND UN ENFANT ENTEND MOINS BIEN? Si vous vous rendez compte que votre enfant a une otite et entend moins bien, voici quelques conseils : Placez-vous à sa hauteur et assurez-vous d’avoir son attention avant de lui parler. Évitez les sons qui entrent en compétition avec votre voix (ex. : la radio, la télévision). Parlez un peu plus fort qu’à l’habitude, articulez clairement et parlez plus lentement. Répétez autant que votre enfant le demande.
L’enfant qui a une otite peut se mettre à moins bien entendre. En effet, certaines otites peuvent causer une accumulation de liquide derrière le tympan (ex. : otite moyenne aiguë et otite séreuse). Il faut toutefois savoir que l’audition est affectée de façon variable d’un enfant à l’autre et d’une otite à l’autre. Pendant une otite, certains enfants entendent presque normalement. D’autres ont besoin qu’on leur parle plus fort pour bien entendre. Certaines otites passent inaperçues, car elles ne Si le problème persiste ou que votre enfant a des difficulcausent pas de douleur à l’oreille. Ces otites durent souvent plus tés de langage, parlez-en à un médecin. Il vous aidera à savoir si vous devez voir un ortholongtemps. Il arrive que l’enfant qui a ce type d’otite demande à phoniste ou un audiologiste. son entourage de répéter. LE LANGAGE EST-IL AFFECTÉ? De nombreux enfants peuvent vivre en entendant un peu moins bien sans que le développement de leur langage soit affecté. Par contre, un enfant qui a déjà de la difficulté à apprendre à parler et qui entend mal pendant longtemps pourrait en venir à avoir un retard de langage. Le retard de langage est un problème temporaire que l’enfant peut rattraper à son rythme. L’enfant qui a un retard de langage parle généralement comme un enfant plus jeune. Les otites ne peuvent toutefois pas entraîner un trouble, comme la dysphasie ou la dyspraxie. Par contre, un enfant qui a un trouble du langage et qui, en plus, entend sou-
À retenir
Une otite peut faire que l’enfant entende moins clairement les sons, les mots et les phrases qui lui sont dits. Une baisse d’audition de longue durée causée par une otite peut entraîner un retard de langage chez certains enfants. Si votre enfant entend moin bien, assurez-vous qu’il vous regarde quand vous lui parlez Source : Revue naître et grandir, octobre 2017, page 19
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De l’aide et de l’espoir pour les familles et les amis des alcooliques.
Réunions hebdomadaires Bois-Francs LUNDI 19H30 MERCREDI 13H30 Groupe Fraternité Groupe Euréka École St-Christophe Église Ste-Victoire 660, Boul. Bois-Francs Sud, 99, rue Notre-Dame Ouest Victoriaville Victoriaville LUNDI 19H30 JEUDI 20H00 Groupe du Nouveau Groupe Bonne Entente École St-Christophe Église l’Assomption MARDI 19H30 129, rue Larivière Groupe Lumière Victoriaville Salle Communautaire 475, 3ième avenue, Asbestos
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Procès-verbal Municipalité Saint-Albert novembre 2017 Province de Québec M.R.C. d’Arthabaska Municipalité de Saint-Albert Ouverture de la séance ordinaire du conseil de la Municipalité de SaintAlbert, tenue le 13 novembre 2017 à 19h00, au bureau municipal, 1245, rue Principale. Sont présents : Diane Kirouac, conseillère Mélanie Vogt, conseillère Dominique Poulin, conseiller Alexandre Bergeron, conseiller Jean-Philippe Bibeau, conseiller Nicolas Labbé, conseiller Tous formant le quorum sous la présidence du maire, Monsieur Alain StPierre. Madame Any Lemay, directrice générale adjointe / secrétairetrésorière adjointe, agit comme secrétaire de la réunion. La séance ordinaire est ouverte à 19 h 00.. Mot du maire Le maire, Monsieur Alain St-Pierre, souhaite la bienvenue à tous. Il souligne que cette séance est la première d’un mandat de quatre ans. Il félicite les deux nouveaux élus et remercie les anciens d’être présents pour un autre mandat. Monsieur St-Pierre confirme les intentions de la caisse Desjardins des Bois-francs de fermer le guichet automatique de SaintAlbert. Il avise un citoyen présent que suite aux déceptions témoignées lors de l’annonce de cette nouvelle, qu’il demanderait une rencontre avec les dirigeants de la caisse afin d’évaluer certaines possibilités. Monsieur le maire fait mention d’une lettre reçue par le garage Jimmy Lajeunesse stipulant leur déménagement temporaire à Victoriaville puisque le terrain utilisé par le garage à Saint-Albert est en cours de décontamination. Une minute de silence a été respectée par les membres du conseil et de l’assistance afin d’honorer le jour du Souvenir. Un compte rendu est donné par Monsieur St-Pierre concernant la formation « Sauver une vie en une heure » qui s’est tenue les 30 octobre et 4 novembre dernier. Trente-et-un (31) citoyens(es) ont suivi cette formation. Un plus dans notre municipalité. Monsieur St-Pierre remercie Madame Any Lemay, directrice générale adjointe, pour sa présence à cette séance à titre de secrétaire de réunion. 2017-174 Adoption de l’ordre du jour Proposé par Madame Diane Kirouac, conseillère Que l’ordre du jour du 13 novembre soit adopté tel que proposé. Que le varia demeure ouvert. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-175 Adoption des minutes de la séance ordinaire du 2 octobre ainsi que la séance extraordinaire du 17 octobre 2017
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Proposé par Monsieur Dominique Poulin, conseiller Que les procès-verbaux du 2 et 17 octobre soient adoptés tels que rédigés. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-176 Approbation des comptes et du journal des salaires pour la période du 11 septembre au 2 octobre 2017 Proposé par Madame Mélanie Vogt, conseillère Et, il est résolu à l’unanimité des conseillers, d’adopter le registre des salaires, tel que présenté au journal des salaires, et les comptes à payer, tels que présentés au journal des déboursés. Une copie de chaque registre a été remise à chacun des membres du conseil lors de la séance par la directrice générale et secrétaire -trésorière adjointe. Et, il est résolu à l’unanimité des conseillers, d’autoriser la directrice générale et secrétaire-trésorière par intérim à payer les dit comptes à payer : Registre des chèques #4098 à #4169 au montant de 142 757.22$ Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-177 Avis de motion est donné par Monsieur Dominique Poulin, conseiller, que sera adopté à une séance ultérieure le projet de règlement numéro 2017-12, concernant le code d’éthique et de déontologie des élus municipaux de la Municipalité de Saint-Albert. Avis est également donné que le projet de règlement est disponible pour consultation au bureau municipal au 1245, rue Principale. 2017-178 Adoption du projet de règlement 2017-12 Attendu que Monsieur Dominique Poulin, conseiller, a présenté le projet de règlement numéro 2017-12, concernant le code d’éthique et de déontologie des élus municipaux de la Municipalité de Saint-Albert. Une copie du projet a été remise aux conseillers ; Il est proposé par Monsieur Alexandre Bergeron, conseiller Que le projet de règlement soit adopté tel que présenté. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-179 Adoption du calendrier des séances du conseil pour l’année 2018 Attendu que l’article 148 du Code Municipal du Québec prévoit que le conseil doit établir, avant le début de chaque année civile, le calendrier de ses séances ordinaires pour la prochaine année, en fixant le jour et l’heure du début de chacune ; Il est proposé par Monsieur JeanPhilippe Bibeau, conseiller Que les séances du conseil se tiendront chacune à 19h00 aux dates suivantes : Lundi le 08 janvier
Lundi le 05 février Lundi le 05 mars Lundi le 09 avril Lundi le 07 mai Lundi le 04 juin Lundi le 09 juillet Lundi le 27 août Lundi le 10 septembre Lundi le 01 octobre Lundi le 5 novembre Lundi le 10 décembre Qu’un avis public du contenu du présent calendrier sera affiché pour consultation conformément à la loi. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-180 Nomination des membres du Comité Consultatif d’Urbanisme (C.C.U.) Attendu que la Municipalité de Saint -Albert a un comité consultatif d’urbanisme ; Attendu que le C.C.U. de la Municipalité de Saint-Albert est présentement formé de Monsieur Alain StPierre, maire, de même que les employés municipaux, Madame Suzanne Crête et Monsieur Clément Paquet et des citoyens, Messieurs Simon Fleury et Jean-Philippe Bibeau ; Attendu que suite à l’élection de Monsieur Jean-Philippe Bibeau comme conseiller municipal, celui-ci est automatiquement retiré dudit comité ; Attendu que Monsieur Michel Ducharme, citoyen de Saint-Albert, a manifesté son désir de faire partie du comité; Proposé par Monsieur Dominique Poulin, conseiller Que Monsieur Michel Ducharme soit nommé membre du C.C.U. en remplacement de Monsieur Jean-Philippe Bibeau. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-181 Nouveaux arrivants Fête des bénévoles et organismes Attendu que la Municipalité de Saint -Albert offrait un panier de bienvenue aux nouveaux propriétaires ; Attendu que ce panier était remis en main propre par Monsieur Alain StPierre, maire, et Madame Colette Gagnon, conseillère ; Attendu qu’avec le nouveau mandat de quatre (4) années du conseil actuel, un changement de façon d’accueillir les nouveaux résidents a été proposé ; Il est proposé par Monsieur Nicolas Labbé, conseiller Que lors de la fête annuelle des bénévoles et organismes, les nouveaux arrivants y soient invités. Que le déroulement de la soirée sera créé par le comité organisateur. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-182 Formation en ligne des nouveaux élus - Code d’éthique et de déontologie Attendu que la Municipalité de Saint -Albert a deux nouveaux conseillers ; Attendu que la formation sur le code d’éthique et de déontologie des élus municipaux est obligatoire ;
Attendu que la formation est donnée par la Fédération Québécoise des Municipalités (FQM) ; Attendu que celle-ci sera suivie en ligne par Messieurs Jean-Philippe Bibeau et Nicolas Labbé au coût de 200.00 $ chacune, taxes en sus ; Il est proposé par Monsieur Alexandre Bergeron, conseiller Que messieurs les conseillers, JeanPhilippe Bibeau et Nicolas Labbé, soient autorisés à s’inscrire à cette formation. Que les frais seront à la charge de la Municipalité. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-183 Entente de loisirs 2018 à 2022 – Ville de Victoriaville Attendu que l’entente inter municipale avec la ville de Victoriaville concernant les loisirs prend fin en décembre 2017 ; Attendu que plus de trois cents (300) familles utilisent le service de loisirs de Victoriaville ; Attendu que suite à des négociations entre la Municipalité de SaintAlbert et la ville de Victoriaville, les coûts ont été proposés comme suit : 2018 2019 2020 2021 2022 Activités de loisirs destinées aux enfants de 14 ans et moins 27 067 $ 31 880 $ 36 693 $ 41 507 $ 46 320 $ Activités de loisirs destinées aux personnes de 15 ans et plus 5 637 $ 6 640 $ 7 642 $ 8 645 $ 9 647 $ Carte de bibliothèque 11 270 $ 13 274 $ 15 278 $ 17 283 $ 19 287 $ TOTAL 43 974 $ 51 794 $ 59 614 $ 67 434 $ 75 254 $ Il est proposé par Monsieur Alexandre Bergeron, conseiller Que l’entente de loisirs soit acceptée. Que Monsieur Alain St-Pierre, maire, et Madame Any Lemay, secrétairetrésorière adjointe, soient autorisés à signer les documents relatifs à cette entente. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-184 Ministère des Transports du Québec – Réduction de la vitesse sur l’autoroute 955 et changement de l’appellation Attendu que le segment de l’autoroute 955, situé entre la Route 122 et la rue Principale, permet une limite de vitesse de 100 km/h ; Attendu que cette portion d’autoroute n’est pas utilisable par les véhicules agricoles ; Attendu que la Municipalité de Saint -Albert désire que la vitesse maximale soit réduite à 90 km/h ; Attendu que cette réduction de vitesse permettrait aux véhicules agricoles de circuler en toute sécurité ;
Procès-verbal Municipalité Saint-Albert Il est proposé par Madame Diane Kirouac, conseillère Que la Municipalité de Saint-Albert demande l’autorisation au Ministère des Transports du Québec (MTQ) de réduire la vitesse maximale à 90 km/h pour le segment de l’autoroute 955, situé entre la Route 122 et la rue Principale. Que l’appellation de cette portion d’autoroute soit modifiée. Que cette dite portion demeure sous la responsabilité du MTQ. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-185 Adhésion à la Fédération Québécoise des Municipalités (FQM) Attendu que le renouvellement de la contribution annuelle de la FQM pour l’année 2018 est de 1 480.22$ plus les taxes applicables ; Il est proposé par Madame Mélanie Vogt, conseillère Que la municipalité renouvelle l’entente de services avec la FQM pour l’année 2018. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-186 Renouvellement au Service d’intervention d’urgence civil du Québec (SIUCQ) Attendu que le S.I.U.C.Q. est un organisme sans but lucratif qui offre un soutien technique, en matière de sécurité, aux services de première ligne lors d’une situation d’urgence ; Attendu que la Municipalité de SaintAlbert a reçu l’offre de renouvellement ; Attendu que le coût estimé pour 2018 est le même qu’en 2017, soit de 1.10 $ par habitant. Attendu que le montant déboursé inclus un nombre illimité d’évènements qui pourraient se produire dans la municipalité dans une année ; Il est proposé par Madame Diane Kirouac, conseillère Que la Municipalité de Saint-Albert accepte la proposition du S.I.U.C.Q. pour l’année 2018. Que Monsieur Alain St-Pierre, maire et que Madame Any Lemay, directrice générale adjointe, soient autorisés à signer, pour et au nom de la munici-
palité, l’entente avec le S.I.U.C.Q. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-187 Trio Desjardins pour l’emploi - 2018 Attendu que la municipalité a reçu une demande de participation financière pour l’édition 2018 du Trio étudiant Desjardins pour l’emploi ; Attendu que chaque année, des jeunes de notre municipalité bénéficient d’un emploi d’été aux Loisirs StAlbert en collaboration avec le carrefour jeunesse emploi de Warwick ; Attendu que le montant demandé est de 600.00 $ ; Il est proposé par Monsieur Nicolas Labbé, conseiller Que la Municipalité de Saint-Albert collabore avec le Carrefour Jeunesse pour un montant de 600.00 $. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-188 Relevé topographique des phases 2 à 4 dans le Domaine Mon Repos – Services EXP inc. Attendu que des travaux de drainage sont en cours dans le Domaine Mon Repos ; Attendu que la phase 1 est terminée ; Attendu que pour l’exécution des phase 2 à 4, des relevés topographiques sont nécessaires ; Attendu que Les services EXP inc. accepte de produire les relevés pour un montant de 1 500.00 $ taxes en sus ; Il est proposé par Madame Diane Kirouac, conseillère Que la municipalité mandate la compagnie Les services EXP inc. pour l’exécution des relevés topographiques. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-189 Résultat des soumissions pour le déneigement des édifices municipaux, des stations de pompage et des bornes sèches Attendu que la Municipalité de SaintAlbert a demandé des soumissions pour le déneigement et l’entretien des stationnements municipaux et des allées piétonnières, des accès menant aux bornes sèches et aux stations de pompage ;
novembre 2017 (suite)
Attendu que les résultats se lisent comme suit : Fournisseurs 1245, Principale 25, rue Des Loisirs Ferme Blondeau 2000 inc. 1 590 $ 2 390 $ Pierre Desfossés S/O S/O Transport Pothier S/O S/O Démolition JSM 1 500 $ 2 800 $ Fournisseurs Accès aux bornes sèches et aux stations de pompage Ferme Blondeau 2000 inc. 1 400 $ Pierre Desfossés S/O Transport Pothier 2 500 $ Démolition JSM 3 500 $ Attendu que les prix n’incluent pas les taxes ; Il est proposé par Monsieur Dominique Poulin, conseiller Que les soumissions de Ferme Blondeau 2000 inc. soient acceptées. Adopté à l’unanimité des conseillers 2017-190 Dépôt des états financiers comparatifs 2017 Madame Any Lemay, directrice générale et secrétaire-trésorière adjointe, a déposé les états financiers comparatifs 2017. Une copie a été remise à chaque élu(e). 2017-191 Rapport des dépenses électorales 2017 Madame Any Lemay, directrice générale adjointe et secrétaire-trésorière adjointe, a déposé le rapport des dépenses électorales pour les élections municipales 2017 dont une copie a été remise à chaque élu(e). 2017-192 Demande financière FADOQ Saint-Albert Attendu qu’à chaque année, la Municipalité de Saint-Albert contribue monétairement pour la FADOQ de Saint-Albert ; Attendu que le montant annuel s’élève à 150.00 $ ; Attendu que la FADOQ a demandé de bonifier ce montant ; Attendu que les bénévoles de la FADOQ s’impliquent à plusieurs reprises durant l’année dans divers
évènements ; Il est proposé par Monsieur Dominique Poulin, conseiller Que la municipalité accorde un montant de 400.00 $ afin de soutenir l’organisme FADOQ de Saint-Albert. Adopté à l’unanimité des conseillers. 2017-193 Levée de la séance ordinaire du 13 novembre 2017 Il est proposé par Monsieur Alexandre Bergeron, conseiller Que la séance ordinaire du 13 novembre 2017 soit levée à 20h17. Alain St-Pierre, maire Any Lemay, Directrice-générale adjointe / Secrétaire-trésorière adjointe
Agenda Trois Mois JANVIER 01 Bonne année 2018 03 Ouverture du bureau municipal 08 Séance du conseil
FÉVRIER 05 10 11 24
Séance du conseil Réunion Fermières Brunch Fadoq Souper spaghetti chorale
MARS 05 Séance du conseil 08 Journée internationale de la femme 14 Réunion Fermières
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