P O R T F O L I O TARIQ NMILA
2022
Réseaux - encre sur papier, images à haut contraste, collage (basé sur une installation à échelle 1:1 - 300cm x 280cm)
CURRICULUM VITAE
TARIQ NMILA
NATIONALITÉ : FRANÇAIS - MOROCAIN NÉ LE : 18 JUIL. 1997 NÉ À : MONTPELLIER (34) ADRESSE : 22 RUE DE L’ÉVANGILE, 75018
24 ANS
EMAIL : TARIQ.NMILA@GMAIL.COM N° DE TÉL : 07.68.36.57.58
ÉDUCATION, STAGES & EXPÉRIENCES MAI.22 - ... Architecte Assistant de Projet, NAME Architecture (Paris, Londres). FEV. 22 - MAR.22 Architecte & Assistant Scénographe, MARCADÉ Events. JUIN. 21 - JAN.22 Architecte & Designer - PIERRE BROCAS,
‘Eyewa’ design de boutiques, pop-up, retail et dessins techniques.
OCT.2019 - JUIL.21 Master d’Architecture à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris La Villette. Paris, 75019. Mémoire de fin d’études « L’ESPACE SENSIBLE - PERCEPTIONS, IMAGES, MÉMOIRES » accompagné du court métrage « OSCILLATIONS ONIRIQUES » avec Félicitations du jury, dans le cadre du séminaire « Arts, Architecture & Cinéma » ENSAPLV, Paris, 75019. FEV.20 - AOUT.20 and AOUT.20 - JAN.21 Architecte Junior (Freelance), SNØHETTA Studio Paris. 23 rue du Renard, Paris, 75004. Stage de six mois à SNØHETTA Studio Paris. 23 rue du Renard, Paris, 75004. FEV.21
JAN.19 - JUIL.19 Échange de Master en Architecture à Arkitektur og Designhøgskolen i Oslo - AHO, Maridalsveien 29, Oslo, Norvège. AOUT.18 - JAN.19 et JUIL.19 - SEPT.19 Stagiaire et Assistant Architecte à HELLING ARKITEKTER. Øvre Vollgate 6, Oslo, Norvège. 2015 - 2018 Licence d’Architecture à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris La Villette. Paris, 75019. 2016 Stage chantier à LAUKIZBAR trois semaines, projet de logements et tertiaire. EL JADIDA, Maroc). Stage en agence, logements et conception d’un laboratoire d’analyses, cinq semaines at LAUKIZBAR. 2014 - 2015 Baccalauréat en Sciences économiques et sociales, spécialité Mathématiques, Mention Très Bien avec Félicitations du jury. Lycée Français Jean-Baptiste Charcot, El Jadida (Maroc).
AUTRES
AUTRES EXPÉRIENCES PROFESSIONELLES
2015 - 2018
MAI.22
Lauréat à quatre reprises du Concours International de Piano de RABAT S.A.R. la Princesse Lalla Meryem
VILLA TADDART aménagement intérieur d’une villa à Agadir (Maroc) pour un particulier. Oct.19 - JUIL.20 Moniteur à l’Atelier Maquette de l’ENSAPLV (bois, métaux, ...) sous la tutelle de Jacques Bergna. ENSA Paris La Villette, Paris 75019. Workshop en photographie supervisé par Hervé Jézéquiel. ENSA Paris La Villette, Paris 75019. 2019
2018
2017
Exposition à la ‘AHO Gallery’ dans le cadre du cours ‘Handrawing : Speculative Ideation’ supervisé par Carsten Loly. Maridalsveien 29, Oslo, Norway Exposition et publication AHO WORKS dans l’atelier ‘Spatial Performativity Studio’, à la suite du semestre effectué dans ce studio, encadré par Søren Sørensen, Sofia Cunha, Sareh Saidi. Maridalsveien 29, Oslo, Norway UNBUILT HOUSE (OSLO OPEN HOUSE exhibition) participation avec HELLING ARKITEKTER tenue par Holt O’brien AS & Svingen Arkitektkontor AS Schweigaards gate 34C, Oslo, Norge Cartographie et analyse historique de site, effectuée pour l’AGUR sur cinq semaines, Dunkerque. Relevés architecturaux effectués sur sites pour l’entreprise J’OCÉANE, Rungis.
2002 - 2015 Éducation musicale (Piano et théorie musicale, solfège) à l’«École de Musique ANITA GUEORGUIEVA». Diplome de niveau SUPÉRIEUR III.
LA K’FET ENSAPLV Crénaux au bar, Trésorerie et gestion des comptes
2006 2008 2010 2012
Mention Assez Bien Mention Très Bien, à l’unanimité du jury Prix d’Excellence, avec mention spéciale du jury Mention Bien Gallerie Chaïbia Talal, Cité portugaise de la ville de Mazagan/El Jadida. Exposition d’aquarelles, acryliques et huiles sur toiles.
2015 2014
Publication de la recherche ‘Mazagan, ville coloniale dans la Première Guerre Mondiale’ dans «Les Cahiers de Mazagan», au Centre Culturel Français d’El Jadida.
2014
Participation à la construction d’une école primaire à SERABTA, village dans la région Sud-Ouest du Maroc.
MAITRISE DE LOGICIELS
COMPÉTENCES LINGUISTIQUES
AutoCad InDesign Photoshop Revit Rhinocéros Illustrator ArchiCad Sketchup Lightroom Grasshopper Enscape Vray Ableton Suite Logic Pro X FinalCut Pro Premiere Pro
Français (langue maternelle) Anglais (bilingue) C2 Arabe (courant) C2 Espagnol A2/B1 Norvégien (Bases & Conversational) A2
CONTACTS & RÉFÉRENCES Rakel HELLING
rakel@hellingark.no
(HELLING ARKITEKTER)
F. MARTINET
fmau.office@gmail.com
(Professeur d’atelier & FMAU)
C.DALSTEIN
christophe@snohetta.com
(SNOHETTA STUDIO PARIS)
PREFACE
Après avoir été diplomé de l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris la Villette en Juillet 2021 et suite à plusieurs expériences professionelles détaillées à la double page précédente, je souhaite vous faire part, par le biais de cette candidature, de l’intérêt que je porte à votre agence pour consolider et construire mon parcours professionnel. Ce portfolio présente un condensé de la variété des travaux que j’ai réalisés en tant qu’étudiant et stagiaire en architecture, puis architecte, designer et assistant scénographe au cours de mon parcours ces dernières années. Je souhaite de ce fait vous faire part de ma volonté d’enrichir ma formation et mes compétences à vos côtés, dans le cas où mon profil retiendrais votre attention. En vous remerciant d’avance de l’attention que vous porterez à ma candidature.
PORTFOLIO, 2022
TARIQ NMILA, architecte D.E
TABLE DES MATIÈRES DRØMMAR FRÅ ØYENE - HOVEDØYA, LA MÉMOIRE DES ÎLES
5ème ANNÉE
(PROJET DE FIN D’ÉTUDES)
L’ESPACE SENSIBLE - PERCEPTIONS, IMAGES, MÉMOIRE: FLUX DE PENSÉES ET FRAGMENTS DE VIES
LITTORAL - SCÉNOGRAPHIE D’UNE PIÈCE DE W.MOUAOUAD (AU THÉÂTRE DE LA COLLINE)
4ème ANNÉE HELLING ARKITEKTER STAGE
4ème ANNÉE
SNØHETTA STUDIO PARIS
ENTRE MUSÉE ET RUINES JÅTUN - HOUNSING JÅTTÅRN - VIEWING POINT
SOUND IN MOTION - THE OSLO MUSIC AND DANCE SCHOOL & PERFORMANCE HALL MASTER
3ème ANNÉE
LE LOGEMENT IDÉAL LE CUBE - LA FIGURE VERTICALE - LA TOUR IDÉALE, HYPOTHÈSES
DUNKIRK : PLAN URBAIN
2ème ANNÉE
LA PISCINE - LE PARC DE SCEAUX
LE PARC DE SCEAUX, ANALYSE DE SITE - LA PISCINE
MAISON SUR LA FALAISE
1ère ANNÉE
LE VOLUME MARCHAND RÉSEAUX LES FONDAMENTAUX - LA PAROI
AUTRE TRAVAUX - DESSINS & AUDIO-VISUEL
LICENCE
D ATELIER, 5TH YEAR DIPLÔME / PFE, R LIEU : HOVEDØYA, OSLO Ø PROFS J. LIPSKI M D.BEAUTEMS M P.GUYONI L A A R F R Å Ø Y E N E
M É M O I R E D E S Î L E S
Sur lîle de Hovedoya, dans le fjord intérieur d’Oslo en Norvège, ce projet a pour ambition de tisser du lien entre le paysage, la mémoire du lieu, la spiritualité du parcours, en se projetant dans la culture locale. Le centre culturel de l’île d’Hovedoya vient s’ancrer comme une rotule au centre de deux axes majeurs, fruits d’une topographie et d’une histoire qui tendent à être révélées, sur et sous le sol pratiquable. L’eau, la terre, la roche, le ciel et la nature environnante prennent part au projet, et s’intègrent dans la vie des différents éléments de programme dans ce contexte insulaire. Habiter, travailler, partager, apprendre, observer, comprendre, se souvenir, se reposer, s’immerger, se recueillir... tant de pratiques qui viennent également tisser du lien, à l’échelle de l’Homme et du corps, sur ce site aux qualités multiples.
D ATELIER, 5TH YEAR DIPLÔME / PFE, R LIEU : HOVEDØYA, OSLO Ø PROFS J. LIPSKI M D.BEAUTEMS M P.GUYONI L A A R Afin de pouvoir entrer dans le vif du F R Å Ø Y E N E
M É M O I R E D E S Î L E S
5mins
projet, en parallèle à des analyses historiques, démographiques et topographiques, il a été question d’ancrer le sujet dans une démarche urbaine, en commençant par ré-identifier le rapport entre la ville et les îles, et donc d’où l’on vient lorsqu’on se rend sur ces îles. Les îles sont alors identifiables tel un tissu urbain alternatif à celui de la ville, en reprenant la manière de les parcourir aujourd’hui et les singularités de ces sites en terme d’usage. Oslo est ainsi une ville a deux facettes, le ‘Oslo des terres’ et le ’Oslo des îles’, où les pratiquent y divergent mais demeurent néanmoins inscrites dans un ensemble cohérent. Dans la même logique qu’une ville se construit autour de polarités, d’un centre actif, et s’étend en périphérie, il a été question de réimaginer les îles dans un schéma similaire : un centre-île plus dynamique, et une périphérie qui s’étend autour. L’objectif étant de venir accentuer le lien entre le centre-ville d’Oslo et ce nouveau centre-île. Ce lien, une transition entre deux formes d’urbanités, étant par ailleurs déjà présent via le système de transport déjà établi, et tend à se fortifier et se qualifier plus précisement.
HOVEDOYA LINDOYA
NAKKHOLMEN
BLEIKOYA
GRESSHOLMEN
LANGOYENE
Voiture
Métro
Bus
Tram
Marche
Vélo
Ski
Autre
TRANSP. EN COMMUN MOBILITÉS DOUCES
LIEN ENTRE OSLO-VILLE VERS OSLO-ÎLES
LE PORT - LES EMBARCADÈRES (voyageurs et marchandises)
SCHÉMA : OSLO DES TERRES
Le Port : embarcadaires
Ferry: Bateau-bus
Voile
Kayak
Paddle
Nage
Marche
Vélo
Ski
Autre
ENTRE LES ILES SUR LES ILES
UN PAYSAGE SINGULIER
LIEU DE PROMENADE ET DE VIE
SCHÉMA : OSLO DES ÎLES
MOBILITÉS ET LIENS IDENTIFIÉS
Pendant longtemps, les six grandes îles du fjord intérieur ont été utilisées et exploitées à des fins industrielles, militaires, ou pour tout autres motifs visant à s’éloigner de la ville. Elles ont toutes, à un moment ou un autre, été des carrières pour récolter la roche calcaire qui s’y trouve à des fins de construire sur les terres d’Oslo. Usines de savon, premier aéroport du pays, décharge de la ville, front mlitaire, hopitaux de quarantaine, prison, centre de tirs, camps de déportation... sont quelques exemples des différentes manières dont les îles ont servi. Aujourd’hui, certaines sont relativement densément peuplées, à l’année ou de manière saisonnière, tandis que d’autres sont moins densément bâties, et sont parcourues en toutes saisons pour s’y promener, s’y baigner, s’y réunir et s’immerger dans la nature...
Ø Y E N E
M É M O I R E D E S Î L E S
RÉALISÉ À L'AIDE D'UN PRODUIT AUTODESK VERSION ÉTUDIANT
F R Å
L A
RÉALISÉ À L'AIDE D'UN PRODUIT AUTODESK VERSION ÉTUDIANT
D R Ø M M A R
En fonction de ces deux formes urbaines qui se font écho, il a aussi été question d’identifier les différences en terme de mobilités et de flux. Plus largement, il s’agissait de s’interroger sur la manière dont aujourd’hui ces îles sont en quelque sorte un tissu urbain assez parsemé qui tend à se densifier et se dynamiser de part notamment les volontés de la commune d’y insuffler de l’équipement et accentuer et donner un sens à ces flux en terme d’usage : de donner à chaque île une identité plus forte.
SCHÉMA : RÉSEAU ENTRE LES ÎLES ET LA VILLE
Centre ville
LA VILLE : Le centre et l’étalement urbain
Centre îles
TRANSITION PROGRESSIVE ENTRE DEUX FORMES D’URBANITÉ
ACCENTUER
LE LIEN EXISTANT
LES ÎLES : Absence de lien fort et de centralité
D R Ø M M A R F R Å Ø Y E N E
L A
Toujours en mettant en parallèle la logique de l’étalement urbain autour d’un centre ville, avec la logique d’une ile centrale qui viendrait créer un « centre-île », une nouvelle centralité vient donner une première impulsion à ce grand plan guide ou schéma directeur qui tend à se mettre en place.
M É M O I R E
Pour cela, l’ambition est de venir fortifier et densifier ce premier axe qui va agir comme une transition entre l’urbain de la ville et l’urbain des îles, et y ajouter en bout de parcours un nouvel embarcadère pour clore la promenade et l’ouvrir vers le reste des ces îles.
D E S
Ce deuxième sous-axe étant un tracé souterrain datant de la seconde guerre mondiale, où l’occupant avec utilisé l’île comme base militaire, notamment en y creusant un tunnel de 200m de long, qui n’a été redécouvert qu’au printemps 2020, et qui a été décisif dans mon choix de site et de projet.
Î L E S
VERS/DEPUIS LA VILLE
C’est sur cet axe majeur, composé de deux sous-axes, que la reflexion s’est par la suite focalisée.
Ce tunnel et les bunkers l’accompagnant venant s’ajouter aux ruines d’un monastère du XIIème siècle dans une démarche mémorielle que je souhaitais insufler dans le projet.
VERS/DEPUIS LES ILES
HISTOIRE
COLLECTIVE INDIVIDUELLE
MÉMOIRE
IDENTITÉ PATRIMOINE
SPIRITUALITÉ
ISOLEMENT
MORT
DEUIL
LIEN MÉMORIAL INTROSPECTION SÉRÉNITÉ
PROMENADE
DÉTENTE RETRAIT
PARTAGE
CALME CÉRÉMONIE
CONVIVIALITÉ
LUMIÈRE PARCOURS
SON (MUSIQUE?) CONTEMPLATION
SACRÉ / SACRALITÉ TEMPORALITÉ? Lieu ouvert à toutes les saisons, adapté au rythme et au climat Osloïte : en été une dimension plus festive (toujours dans une volonté de «s’isoler» loin de la ville); et plus calme en saisons froides.
POUR QUEL PUBLIC? Grâce au parcours des ferrys déjà en place, autant pour les habitants de l’île, de la ville que pour les résidents des îles voisines, ainsi que pour les touristes.
EMPRISE DU PROJET
GRAND AXE IDENTIFIÉ SUR LA TOPOGRAPHIE EXISTANTE
PARCOURS MÉMORIEL LIEU D’APPROPRIATION DES ARTISTES
ÉQUIPEMENT CENTRE CULTUREL
LOGEMENTS VILLAGE D’ARTISTES
D R Ø M M A R F R Å Ø Y E N E
Dès lors, cette analyse permet d’identifier différentes natures de parcours, qui viendrait sur cet axe majeur se superposer, s’entremêler, et dialoguer. MUSIQUE : STUDIOS D’ENREGISTREMENT ET SALLES DE RÉPÉTITIONS
L A M É M O I R E
DANSE ET ARTS DRAMATIQUES : STUDIOS ET VESTIAIRES
SCULPTURE ET ARTS PLASTIQUES: ATELIERS
SALON ET CAFÉTÉRIE/CUISINES COMMUNES
LABO PHOTO ET ATELIER
SALLES DE RÉUNION ET BIBLIOTHÈQUE
AUDIOVISUEL : SALLE DE PROJECTION ET ATELIERS
SALLE DE SPORT
Ainsi, il s’agit de donner les grandes lignes paysagère et de flux à organiser sur le patrimoine existant, qui lui est le prétexte de venir ensuite organiser un pole de production lié à un équipement, avec une dimension d’habitation, de convergence de modes de vies, qui vient insuffler de la vie autour de cette promenade qui est définie, renforcée et magnifiée. Tous ces flux sont organisés de manière à fabriquer un tissu pour faire vivre le site et par rayonnement le reste des iles. C’est une nouvelle zone de polarité qui vient rythmer le paysage dans sa topographie sans dénaturer le territoire.
Le programme s’organiserait autour de ce pôle de production, où un peu plus loin dans le paysage, à proximité de la halle d’artistes existante, on viendrait y insufler du logement et des ateliers d’artistes, en lien avec le centre culturel.
D E S
Ces artistes, dans une sorte de schéma à la ‘Villa Medicis’, seraient logés et auraient accès à des lieux de travail et de création généreux, dans une démarche d’immesion dans le paysage. Leur contrainte serait alors de faire vivre, pendant la durée de leur séjour, ce parcours mémoriel (ruine, tunnel, bunkers...) sans le dénaturer.
Î L E S
Le dialogue serait aussi étendu non seulement aux artistes osloïtes dans une optique de collaboration, mais aussi aux écoles, établissements supérieurs et particuliers, dans une volonté d’apprentissage et à des visée éducatives.
PLAN DE MASSES : 1/500e
LE CENTRE CULTUREL
- Catering -Loges
NIVEAU RDC
Locaux techniques, entretien & stockage : - Aire de livraison - Machinerie - Stockage des décors - Stockage des instruments - Régie - Restauration des oeuvres - Cuisines - Archives - Locaux d’entretien - autres...
ÉQUIPEMENT CENTRE CULTUREL
PARCOURS MÉMORIEL LIEU D’APPROPRIATION DES ARTISTES
LOGEMENTS VILLAGE D’ARTISTES
Locaux administratifs et archives
TOITURE
TOITURE
NIVEAU R-1 PERSPECTIVE INTÉRIEURE DEPUIS L’ENTRÉE
RECHERCHES DE FORMES : UNE GÉOMÉTRIE POREUSE (VUES, ACCÈS ET PARCOURS)
AXONOMÉTRIE ÉCLATÉE LE CENTRE CULTUREL Pôle éducation et apprentissage
Accueil & circulation principale
Scène/salle
Pôle Restauration
Locaux techniques, entretien & stockage Ateliers polyvalents et salles de cours/séminaires
TOITURE
HOVEDØYA - DRØMMAR FRÅ ØYENE : LA MÉMOIRE DES ÎLES
CENTRE CULTUREL ET PARCOURS MÉMORIEL SUR L’ÎLE PRINCIPALE DU FJORD D’OSLO PROJET DE FIN D’ÉTUDES ENCADRÉ PAR JUSTINE LIPSKI ET DOMINIQUE BEAUTEMS TARIQ NMILA - 16A63 - ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D’ARCHITECTURE DE PARIS LA VILLETTE - JUILLET 2021 3/8
Archives et stockage : bibliothèque Sanitaires
Ateliers polyvalents etBibliothèque salles de cours/séminaires
Restaurant surplombant la ruine
Ateliers polyvalents et salles de cours/séminaires
Archives et stockage : bibliothèque Sanitaires
Archives et stockage : bibliothèque Sanitaires
Bibliothèque
NIVEAU R+1
Scène/Salle Bibliothèque Restaurant surplombant la ruine
Restaurant surplombant la ruine
Ateliers polyvalents AXONOMÉTRIE ECLATÉE SUR PROJET
AIRE MOTIVÉ PAR LA PRATIQUE DU SITE : ET CROQUIS
Scène/Salle
NIVEAU R+1
Patios Salles de cours et de répétition : danse
Scène/Salle
Vestiaires et douches : Salles de danse Ateliers polyvalents Salles de cours et de répétition : Musique.
NIVEAU R+1
UN IMAGINAIRE MOTIVÉ PAR LA PRATIQUE DU SITE : COLLAGES ET CROQUIS
Patios
Sanitaires : Pôle éducation Salles de cours et de répétition : danse Zone d’attente Vestiaires et douches vers : Sallesledepôle danseexposition : Cafétéria, déambulation, boutique Vestiaires Sanitaires : Hall/Foyer
Salles de cours et de répétition : Musique.
Circulation principale Sanitaires : Pôle éducation
d’attente vers le pôle exposition : Cafétéria, déambulation, boutique Ateliers polyvalents Zone Zone d’accueil et déambulation + Vestiaires borne d’accueil Sanitaires : Hall/Foyer Circulation principale
Restaurant accolé à la ruine
Zone d’accueil et déambulation + borne d’accueil
Patios
Restaurant accolé à la ruine
Salles de cours et de répétition : danse Vestiaires et douches : Salles de danse Locaux artistes : Salles de cours et deLocaux répétition desdes artistes : : Musique. COUPE-PERSPECTIVE : PARVIS-SALLE/SCÈNE : 1/200e
NIVEAU RDC
VUES 3D LE CENTRE CULTUREL
Foyer - -Foyer - -Catering Catering -Loges
NIVEAU RDC
-Loges
VUES 3D LE CENTRE CULTUREL
Sanitaires : Pôle éducation Locaux techniques, entretien &:stockage : Zone d’attente vers le pôle exposition Cafétéria, déambulation, boutique - Aire de livraison - Locaux Machinerietechniques, entretien & stockage
Vestiaires Aire dedes livraison - -Stockage décors - -Stockage des instruments Machinerie Sanitaires : Hall/Foyer - Régie
:
Stockagedes des décors - -Restauration oeuvres Stockage des instruments - -Cuisines Circulation principale - -Archives Régie - Locaux d’entretien + Zone d’accueil et déambulation Restauration des oeuvres - -autres... - Cuisines borne d’accueil - Archives - Locaux Restaurant accolé à la ruined’entretien - autres... Locaux administratifs et archives
Locaux administratifs et archives
NIVEAU R-1
AXONOMÉTRIE ÉCLATÉE LE CENTRE CULTUREL
PLAN DU REZ-DE-CHAUSSÉE : 1/500e
NIVEAU R-1
NIVEAU RDC N
PERSPECTIVE EXTÉRIEURE LE LONG DU MUR DE SOUTENNEMENT
Locaux des artistes : - Foyer - Catering -Loges
Pôle éducation et apprentissage
Accueil & circulation principale
RECHERCHES DE FORMES : UNE GÉOMÉTRIE POREUSE (VUES, ACCÈS ET PARCOURS) Scène/salle
Pôle Restauration
Locaux techniques, entretien & stockage
VUES 3D LE CENTRE CULTUREL
Le centre culturel viendrait se situer à la croisée de ces deux axes majeurs, l’un étant aujourd’hui hors sol, et l’autre étant souterrain, découvert récemment. Ce croisement se traduirait par une rotule, un élément circulaire, qui plutôt que de venir figer le paysage et la promenade, offrirait une diversité de parcours, de directions, vues, cadrages; tout cela en magnifiant l’entrée dans le tunnel et le dialogue avec la ruine et la nature environnante. Pour cela, le parvis creusé au centre a pour vocation de venir mettre en lien les deux niveaux principaux du projet, le dessus et le dessous, l’intérieur et l’extérieur. À l’intérieur de cet édifice, les grandes circulations ont toutes pour but de venir tisser par le regard un rapport constant avec ce parvis, poussant l’usager à vouloir en découvrir d’avantage, et à ne pas perdre de vue le tunnel, élément incontournable du projet.
PERSPECTIVE INTÉRIEURE DEPUIS L’ENTRÉE
COUPE-PERSPECTIVE : PARVIS-SALLE/SCÈNE : 1/200e
A
B
LERIE D’EXPOSITION
AXONOMÉTRIE ECLATÉE SUR PROJET
PLAN DU R+1 : 1/500e
La volonté de venir intégrer un programme aussi conséquent et étalé dans une site à la topographie contraignante et à la nature omniprésente était combinée à une nécessité de ne pas dénaturer le paysage, tout autant que de ne pas venir polluer visuellement cette nature qui fait le charme du lieu. Construire dans la pente, voir sous terre, en offrant périodiquement des ouvertures, cadrages et vues ciblées, ont permis de formuler un projet ancré dans le sol, en phase avec le paysage.
Il semblait également important que tout cela soit accessible même en dehors des horaires d’ouverture du centre culturel, permettant aux promeneurs et autres curieux de s’approprier le parcours mémoriel à toute heure et en toute saison, en parcourant le projet par le dessus autant que par le dessous.
Le centre culturel, au delà de tous les éléments de programme qu’il vient regrouper en tant que nouveau pôle de production et d’apprentissage, vient par la suite se déployer au dessus du tunnel en un hall d’exposition, musée à moitié enterré. Le parcours du visiteur devient dès lors une expérience artistique, lumineuse et sensorielle guidée d’une salle à l’autre par les ouvertures tournées périodiquement vers le tunnel et vers le paysage extérieur. Cette boucle révèle en effet le rapport jusque là inexistant entre la roche et le paysage, entre l’obscurité et la lumière, dans un jeu de regards et de cadrage positionné au centre de la réflexion. PERSPECTIVE INTÉRIEURE CIRCULATION PRINCIPALE
COUPE-PERSPECTIVE : PARVIS-SALLES DE MUSIQUE ET ATELIERS : 1/200e
A
B
LA CIRCULATION AUTOUR DU PATIO
LERIE D’EXPOSITION
COUPE DE PRINCIPE A : 1/200e PLAN DU R+1 : 1/500e
LA LUMIÈRE DANS LA GALLERIE D’EXPOSITION
COUPE DE PRINCI
PERSPECTIVE EXTÉRIEURE LE LONG DU MUR DE SOUTENNEMENT
COUPE DE PRINCI
COUPE DE PRINCIPE C : 1/200e PLAN DU R-1 : 1/500e
En dessous du musée, à moitié plongé dans l’obscurité, le tunnel de 200m creusé dans la roche devient une véritable expérience forte en émotions, baignant dans le silence et ouvrant sur l’imaginaire. On y devinne de la vie et de l’activité, au dessus et à l’extérieur, tout en s’immergeant dans une contemplation solitaire dans la poésie du lieu. L’histoire et la mémoire de l’île se révèlent, tout au long de cette promenade, et incitent à voyager à travers les époques que ce territoire a traversé par le passé, dans le but de se poser pour contempler les fjords et se recueillir au bout de ce parcours vers la lumière.
LA PERSPECTIVE DU TUNNEL LA ROCHE ET LA LUMIÈRE
Le tunnel et ses bunkers deviennent alors un parcours à part entière, un musée sensoriel où chaque étape est un arrêt, une fenêtre vers une histoire oubliée, vers un nouvel univers que les artistes habitant l’île ont pour responsabilité de faire vivre par leur production. À l’image des salles d’expositions au dessus, on y retrouve divers cadrages, points de vues, cette fois ci depuis le dessous, en cherchant à y agriper le ciel depuis le niveau de la roche.
LE PATIO DEPUIS LE TUNNEL
Les pièces du parcours se succèdent, se répondent, et la diversité des entrées du parcours laissent au promeneur une totale liberté de s’approprier le lieu, en choisissant son propre trajet. La dilatation suscitée par le patio central vient elle aussi rythmée la promenade mémorielle, pour ensuite menée sans pause au bout du tunnel, cadrant le ciel tout du long et laissant appercevoir le phare en bout de parcours.
LE BUNKER II
LE BUNKER I
La topographie réaménage du site permet d’y intégrer par excavation l’édifice de pierre et de bois, dans un but de maintenir l’accessibilité entre les différents niveau, la colline pré-existante, et disposer d’une continuité entre le sol pratiquable du centre culturel et sa toiture, qui devient elle aussi à son tour partie intégrante du paysage.
En bout de parcours, le mémorial sur deux niveaux autorise une dernière fois à se recueillir au plus près de la roche, cadrant cette fois-ci le paysage à l’horizontal, toujours dans cette quête de lumière omniprésente dès l’entrée opposée du tunnel. On s’y pose, contemple, se souvient. Un phare se dresse aussi là, point culminant du mémorial, venant marquer la première impulsion d’une ouverture sur le reste des fjords et sur la ville. Dans la même logique que venir créer un centreîle à l’image d’un centre ville, tout tissu urbain se compose de repère, qu’ils soient visuels, sonores, culturels...
LE PHARE
PLAN SCHÉMATIQUE DU MÉMORIAL
Ce phare vient ainsi créer un appel depuis l’île d’Hovedoya. Un repère visible en tout poins depuis la ville et depuis les autres îles, signalant une nouvelle polarité, un nouvel embarcadaire, et une volonté de fortifier ce lien déjà bien présent entre les îles du fjords d’oLso et le reste du paysage de la capitale.
LE PHARE : COLLAGE D’AMBIANCE L’EAU, LE CIEL ET LA ROCHE
La richesse de l’histoire de l’île ainsi que la force de ce tunnel récemment découvert et des interrogations que son usage soulève, ont mené à l’élaboration de ce parcours entre un au-dessus et en-dessous. Un dialogue visuel entre le centre culturel et la promenade mémorielle extérieure, où la lumière et les jeux de cadrages et de regards viennent souligner la spiritualité et la sacralité du lieu. Ce parcours vers la lumière devient alors une véritable immersion sensorielle, évoluant au fil des saisons et de la météo, pour ressortir en fin de promenade au bord de l’eau, sur une vue ouvrant sur les fjords.
L MÉMOIRE DE FIN D’ÉTUDES, 5ÈME ANNÉE ‘ SÉMINAIRE ‘Arts, Architecture & Cinéma’ E S P A C E S E N S I B L E
PFOFS M.NEGRO M.SAIDI E.RESTREPO F.PINATEL H.REIP
Cette recherche se compose de deux volets, un mémoire écrit intitulé « L’Espace Sensible - Perceptions, Images et Mémoires.», ainsi que d’un court métrage, « Oscillations Oniriques ».
La question de l’espace et de la perception spatiale a toujours suscité en moi un intérêt particulier. Notre manière de percevoir et d’interagir avec les espaces qui nous entourent, de les traverser, les en- visager et nous les approprier. Cet intérêt pour la perception spatiale n’a pu forcément qu’être renforcé et consolidé durant mes années en école d’architecture, où j’ai pu apprendre, explorer et expérimenter autour de ces thèmes. Aujourd’hui, l’architecture comme la pratique de concevoir des espaces, m’interroge sur la manière dont ces espaces se caractérisent, s’expliquent, se parcourent, se ressentent.
QUESTIONNAIRE
- AVANT PROPOS -
(p.9)
- INTRODUCTION -
(p.21)
ENTRE CHAQUE CHAPITRES : RÉCITS PERSONNELS
- CHAPITRE 1 LES SENS
(p.31)
- CHAPITRE 2 - (p.45) LE SYSTÈME DE PERCEPTION VISUELLE - CHAPITRE 3 - (p.59) LA VUE ET LA COULEUR - CHAPITRE 4 - (p.75) LA CHAMBRE DE MARIE - LE SCARABÉE DANS LA BOÎTE - CHAPITRE 5 - (p.85) L’ABSENCE DE VISION, LA PERCEPTION CHEZ LES AVEUGLES - CHAPITRE 6 - (p.97) GARRANDÉS, L’ÉCLAIREUR
- CHAPITRE 7 - (p.111) LA COURSE AUX IMAGES - CHAPITRE 8 - (p.127) RELATIVITY : ARRÊT SUR L’IMAGE - CHAPITRE 9 - (p.143) L’IMAGE : OUVERTURE SUR L’IMAGINAIRE - CHAPITRE 10 - (p.157) LE TEMPS, MARQUEUR DE LA MÉMOIRE - CHAPITRE 11 - (p.169) RUINES ET LIEUX DU PASSÉ - CHAPITRE 12 - (p.193) LE FIL DU TEMPS, OUTIL SCÉNARISTIQUE - CHAPITRE 13 - (p.209) LES PORTES DE L’ESPRIT - REFLEXIONS - CONCLUSION - (p.249) - BIBLIOGRAPHIE - (p.252)
16
« Construire un ailleurs, que chacun peut s’approprier, effleurer sans attraper, pour comprendre un autre qui n’est jamais un réel, universel, commun; mais qui peut être interprété et ressenti différemment. »
« Les souvenirs sont comme des constructions de l’esprit, comme des mensonges racontés par le temps, à notre mémoire. »
« C’est le temps qui sert de cadre à ce que l’on perçoit, et de frontière à ce que l’on ressent. »
17
O S C I L L A T I O N S O N I R I Q U E S
Mon intention initiale était de traîter dans cette recherche uniquement des questions de la per- ception spatiale ainsi que de la manière d’aborder l’espace à travers l’ouïe, et donc le son. Or, très vite lors du premier confinement en mars 2020, les questions de voyages, de chercher un ailleurs, de pous- ser les murs pour laisser place à l’imaginaire et l’irréel, se sont faites sentir, prenant petit à petit un peu plus d’ampleur dans ma réflexion. C’est notamment ce que j’ai choisi de traîter et montrer finalement dans mon court métrage présenté en soutenance, Oscillations Oniriques, où la réalité de mon appartement se dérobe, laissant place à un irréel coloré, une hallucination spatiale et sonore où un ailleurs rêvé tend à devenir véritablement palpable. Au delà de cette expérience, que j’ai choisi de garder pour mon film final, j’ai voulu étendre ces ques- tions plus loin que ma propre perception, que mon propre vécu et que mes propres souvenirs. L’isolement auquel nous avons tous été sujets a eu des impacts divers et variés, et certes, certains l’ont vécu plus difficilement que d’autres. Mais durant ces périodes d’isolement profond, un besoin de partage et de se reconnecter au monde a émergé. Du moins c’est ce que j’ai pu remarquer dans mon entourrage plus ou moins proche. Partant de là, j’ai commencé à discuter de mon sujet avec plus de monde, et partager quelques idées. Les premiers retours que j’en ai eu m’ont poussé à expérimenter avec les récits d’amis, de proches, puis à étendre ce travail plus loin. J’ai alors rassemblé une série de questions, simples, pour au final en faire un questionnaire que j’ai largement partagé (et qui se trouve en double-page suivante). Finalement, les récits que j’ai obtenu en retour, tous de nature différentes, sont venu compléter ma dé- marche, et exacerber cette idée d’individualité universelle, qui nous unit dans l’infinie pluralité de nos expériences. Ce travail se composera donc de deux parties qui tendent à se rejoindre en fin de reflexion. Une partie plus théorique, sur les pages à fond blanc, qui évolue sous la forme d’un flux de pensées organisées. En parallèle, sur fond noir, le récit sensible est composé de témoignages anonymes, des fragments de vies dénoués. Comme des bouteilles à la mer, ou des cartes postales de souvenirs, ces invitations au voyage, qui m’ont été partagées à l’oral ou à l’écrit, sont réparties comme des intercalaires entre chaque chapitre. Ces récits offrent le temps d’un instant la possiblité de pénétrer dans diverses expériences vé- cues par d’autres, pour finalement se les approprier aussi. En espérant que ce court métrage ainsi que la lecture ces témoignages vous fassent autant voyager que moi.
Oscillations Oniriques : https://youtu.be/raI7EzcpJrc
(0)
Arrêts sur images : Oscillations Oniriques : https://youtu.be/raI7EzcpJrc
S ATELIER, 5TH YEAR SCÉNOGRAPHIE, C LIEU : THÉÂTRE DE LA COLLINE, PARIS E PROF(s).- M. MAZLOUMAN N M. DESSARDO J. GAUTEL O G L R I A T P T H O I R E A L
Il était question, lors de mon S9 en studio de scénographie, de travailler sur une pièce de Wajdi Mouaouad, Littoral. Par le biais de l’écritude, de croquis, de collages et de notes d’intentions, nous devions dans un premier temps choisir un angla d’approche, un point de vue découlant de notre interprétation personnelle de la pièce. Par la suite, le but était de venir proposer une scénographie fidèle à ces premiers ressentis et interprétations. Par le biais de maquettes conceptuelles, l’enjeu était de venir proposer des mécanismes et mises en scènes précises qui viendraient transmettre aux spectateurs du Théâtre de la Colline, les émotions qui nous avaient premièrement habitées. La lumière, la matière, la texture, ainsi que les distances, les hauteurs et positionnement, devenaient alors de nouveaux outils vecteurs d’émotions spatiales, mis au service de la scénographie de l’oeuvre de Wajdi Mouaouad.
LITTORAL Pièce de théâtre de Wajdi Mouawad
Créée le 2 Juin 1997
Projet d’architecture 905: Scénographie et architecture, de l'oeuvre au lieu Sous la tutelle de Mme Mazlouman, Mr Gautel, Mr Dessardo et Mr Gribe Créée le 2 Juin 1997
Pièce de théâtre de Wajdi Mouawad
LITTORAL
S9 2020/2021
Interprétations scénographiques par : Fabia Frinken, Tariq Nmila et Faustine Lecauchois
Interprétations scénographiques par : Fabia Frinken, Tariq Nmila et Faustine Lecauchois
S9 2020/2021
Projet d’architecture 905: Scénographie et architecture, de l'oeuvre au lieu Sous la tutelle de Mme Mazlouman, Mr Gautel, Mr Dessardo et Mr Gribe
LITTORAL Pièce de théâtre de Wajdi Mouawad
Créée le 2 Juin 1997
Projet d’architecture 905: Scénographie et architecture, de l'oeuvre au lieu Sous la tutelle de Mme Mazlouman, Mr Gautel, Mr Dessardo et Mr Gribe Créée le 2 Juin 1997
Pièce de théâtre de Wajdi Mouawad
LITTORAL
S9 2020/2021
Interprétations scénographiques par : Fabia Frinken, Tariq Nmila et Faustine Lecauchois
Interprétations scénographiques par : Fabia Frinken, Tariq Nmila et Faustine Lecauchois
S9 2020/2021
Projet d’architecture 905: Scénographie et architecture, de l'oeuvre au lieu Sous la tutelle de Mme Mazlouman, Mr Gautel, Mr Dessardo et Mr Gribe
Pièce de théâtre de Wajdi Mouawad
Créée le 2 Juin 1997
LITTORAL
Projet d’architecture 905: Scénographie et architecture, de l'oeuvre au lieu Sous la tutelle de Mme Mazlouman, Mr Gautel, Mr Dessardo et Mr Gribe
S9 2020/2021
Interprétations scénographiques par : Fabia Frinken, Tariq Nmila et Faustine Lecauchois
Interprétations scénographiques par : Fabia Frinken, Tariq Nmila et Faustine Lecauchois
S9 2020/2021
Projet d’architecture 905: Scénographie et architecture, de l'oeuvre au lieu Sous la tutelle de Mme Mazlouman, Mr Gautel, Mr Dessardo et Mr Gribe
ACTE VI LITTORAL, SCENE 42: RÉCITATIF II.
Projet d’architecture 905: Scénographie et architecture, de l'oeuvre au lieu Sous la tutelle de Mme Mazlouman, Mr Gautel, Mr Dessardo et Mr Gribe
S9 2020/2021
Interprétations scénographiques par : Fabia Frinken, Tariq Nmila et Faustine Lecauchois
Interprétations scénographiques par : Fabia Frinken, Tariq Nmila et Faustine Lecauchois
S9 2020/2021
Projet d’architecture 905: Scénographie et architecture, de l'oeuvre au lieu Sous la tutelle de Mme Mazlouman, Mr Gautel, Mr Dessardo et Mr Gribe
LITTORAL
Créée le 2 Juin 1997
Pièce de théâtre de Wajdi Mouawad Créée le 2 Juin 1997
Pièce de théâtre de Wajdi Mouawad
LITTORAL
Le travail, exclusivement en maquette, témoigne cependant de la situation de confinement et l’impossibilité de se procurer la totalité des outils adéquats pour plonger pleinement dans les détails d’exécution.
Pièce de théâtre de Wajdi Mouawad
Créée le 2 Juin 1997
Quelques scènes ont ainsi été choisies pour être matérialisée, l’accent ayant aussi été mis sur les transitions d’une scène à l’autre, et l’aspect technique allant avec.
(Le père) Mon odyssée s’achève. Mon pays m’a conduit à mon pays. Le chemin fut long, mais la récompense est grande. J’entends les mugissements des vagues qui
5($/,6( $ / $,'( ' 81 352'8,7 $872'(6. 9(56,21 (78',$17
E N T R E
R U I N E S
5($/,6( $ / $,'( ' 81 352'8,7 $872'(6. 9(56,21 (78',$17
Dans une parcelle fictive mais imposée, à la géométrie aléatoire, il a été sujet de venir composer autour d’un programme imposé également, en gardant de vue un climat méditérannéen.
Ce musée d’archéologie vient s’insérer au desd’une ruine romaineromaines en essayant doivent de la ma- avoir Les sus ruines antiques gnifier, révélant un parcours et une découverte une entrée de lumière naturelle filtrée, on doit sensorielle d’un patrimoine à conserver. y retrouver un parcours à travers celles-ci avec Les contraintes multiples imposées justifient la une mise en scène, des points de vues différents forme finale de l’édifice, et plus largement du (de haut,projet hauteur d’oeil, etc). en lui-même. 6/
5($/,6( $ / $,'( ' 81 352'8,7 $872'(6. 9(56,21 (78',$17
&
ENTRE MUSÉE ET RUINE,
LIEU : MÉDITÉRANNÉE PROF(s).- E. ROPARS S. DISCORS 5($/,6( $ / $,'( ' 81 352'8,7 $872'(6. 9(56,21 (78',$17
M U S É E
PROJECT, 4TH YEAR
PLAN DE NIVEAU
H E L L I N G
INTERNSHIP, 4TH YEAR JÅTUN - TOWER,
LOCATION : Jåttå, STAVANGER - NORWAY SUPERVISOR - RAKEL HELLING FARINA KOEHNECKE MIA MARKER
A R K I T E K T E R A project which is defined by its location between new urban developments and traditional farmland. The regulation for the area shows a clear green belt around the site. It describes the main concept of the design which proposes various recreational public places along the way. The natural belt embraces the more private housing clusters where each single one is programmed and designed differently, offering a mix or housing typologies for every generation and individual interests.
As an intern, I participated in the conception of three of these units (B1, B3 and B3), where many regulations were to take in consideration, while trying to maintain the architectural identities we defined initially.
B3
B1 JÅTÅRN
(viewpoint)
B5
JÅTUN CONCEPT DIAGRAM COLLAGES - THE DIFFERENT UNITS VIEW - SITE 3D MODEL
H E L L I N G A R K I T E K T E R
EXPERIMENTS : PLANS - SECTIONS - ELEVATIONS - SKETCHES
V E R T I C A L I N V E S T I G A T I O N S
JÅTÅRN is an observatory point overlooking the entire Jåtun site, at the border of the green belt surrounding the whole project. The idea of the triangular shape for the tower was to give it three different panoramas, oriented towards three different landscapes and directions.
VIEWS - THE TOWER IN THE SITE
Through an iterative process, we explored the possibilites to deviate the horizontal parcour of the green belt in a vertical manner, to elevate the user’s experience. Two different proposition emerged from this process, that each had the same basis but offered specific experiences.
H E L L I N G A R K I T E K T E R
EXPERIMENTS : ELEVATIONS - SKETCHES - 3D MODEL
V E R T I C A L I N V E S T I G A T I O N S
VIEWS - THE TOWER IN THE SITE
The experimental aspect of the design process was key to understand the outcome of these two propositions. The use of wooden pannels for one and wooden strips for the other open up differently towards the landscape and thus provides an impacted interiority and for that matter different experiences.
M PROJECT, 4TH YEAR SPECIAL PERFORMATIVITY, U LOCATION : FILIPSTAD, OSLO S TEACHER - S. MARTINS DA CUNHA I S. SØRENSEN S. SAIDI C & D A P N E C R E F O S R C M H A O N O C L E H A L L
SOUND IN MOTION Spaces dedicated to practicing, teaching and performing Music and Dance are very different and for that matter have diverse requirements. Still, these two disciplines are strongly bonded and the result of the two colliding is often extremely rich and beautiful. Sound is vital source of inspiration for movement, as much as movement is a vital source of inspiration for sounds. The project consists of three independent spaces with their own specific identity each, while still forming an overall singular unit. The first two entities (the Music and Dance Schools) are colliding and interacting at a converging space, where the two volumes, and thus disciples, are intertwined and overlap. Furthermore, the third part of the project building will be accessible not only by the students of the school, but also the public, where people can attend several types of performances related to those disciplines.
LOCATION OF THE SITE SITE PHOTOS SITUATION & ACCESS PLANS
S O U N D I N M O T I O N
T H E F R A C T U R E
CONCEPT DIAGRAMS PHOTO : LIGHTING INTENTIONS
T H E P R O G R A M
6TFST 4UVEFOUT
6TFST 1VCMJD
.VTJD 4DIPPM
80 Students, Bachelor - Master Level 3FIFBSTJOH 4UVEJPT .VTJD $MBTTSPPNT 3FDPSEJOH 4UVEJPT 8SJUJOH 3PPNT .FFUJOH 3PPNT 4UPSBHF GPS *OTUSVNFOUT *OTUSVNFOU .BJOUFOBODF 5FDIOJDBM SPPNT
%BODF 4DIPPM
50 Students, Bachelor - Master Level 3FIFBSTJOH 4UVEJPT %BODF $MBTTSPPNT .FEJDBM $FOUFS $IBOHJOT %SFTTJOH 3PPNT -PDLFST 4IPXFST 3FTUJOH "SFBT 4UPSBHF
$PNNPO "SFBT &OUSBODF 4FDSFUBSZ "ENJOJTUSBUJPO 0GmDFT "VEJUPSJVN $BGFUFSJB -JCSBSZ 4UVEZ 3PPN "MUFSOBUJWF 0VUEPPST 4UBHF #BS 4UPSBHF 1SJWBUF "DDFTT UP UIF 1FSGPSNBODF )BMM 0VUEPPS -FJTVSF "SFBT $PVSUZBSE
1FSGPSNBODF )BMM
__________________________________________________________
1FSGPSNBODF )BMM &OUSBODF 'PZFS $MPBL 3PPN 3FTUBVSBOU $BGFUFSJB .BJO 4UBHF #BDLTUBHF 5FDIOJDBM 3PPNT 0VUEPPS -FJTVSF "SFBT 5FSSBTTFT
PROGRAM DIAGRAM CONCEPT SECTIONS
.VTJD TDIPPM
%BODF TDIPPM
S O U N D I N M O T I O N
SECTION : THE PERFORMANCE HALL CROSS SECTION OF THE FACILITY
GROUND FLOOR PLAN
S O U N D I N M O T I O N
SECTION : THE MUSIC SCHOOL SECTION : THE DANCE SCHOOL
N
FIRST FLOOR PLAN
S O U N D I N M O T I O N
T H E L I B R A R Y
AXONOMETRIC VIEW VIEW OF THE LIBRARY
N
SECOND FLOOR PLAN
S O U N D I N M O T I O N
T H E C A F E T E R I A AXONOMETRIC VIEW VIEW OF THE CAFETERIA
ROOF PLAN
N
S O U N D I N M O T I O N
T H E S T U D I O S
1
2
3
5
4
PHOTOGRAPH OF THE SITE AXONOMETRIC VIEWS OF THE PROJECT VIEW OF ONE MUSIC STUDIO
L O G E M E N T I D É A L
ATELIER,
3RD YEAR
PROF - P. HOFSTEIN G. CLEMENT
LE CUBE La première étape de ce projet était de travailler dans un cube de 9mx9mx9m et de lui donner une direction pour pouvoir ensuite concevoir un espace de vie à l’intérieur de cette forme géométrique neutre. J’ai choisi de traiter ce cube en diagonale, de l’orienter vers les angles, en forme de losage, afin d’en allonger les espaces intérieurs. Cela a permis de repenser la façon de concevoir et de dessiner ce projet, de visualiser les espaces dans une autre dimension, et d’apprendre les mécanismes de planification libre à travers diverses séries de recherches et de références.
PLANS MAQUETTES
Après avoir travaillé sur le logement en lui-même, l’objectif était de commencer à aborder la verticalité des cubes, en commençant par les empiler verticalement mais aussi horizontalement, afin d’établir une relation entre les espaces distincts. L’assemblage vertical n’était qu’une approche préliminaire pour la figure verticale, qui n’est pas encore un bâtiment dans la mesure où elle représente l’ébauche d’une intention ou d’une intuition verticale.
AXONOMETRICS PERSPECTIVES VERTICAL DWEELLINGS (MODEL)
L A
F I G U R E V E R T I C A L E
J’ai ensuite choisi, pour cette partie du projet, d’essayer différentes variations pour ma figure, afin d’expérimenter les volumes, les hauteurs, les vides et les espaces. Cette première figure est une ébauche des interractions possibles entre l’intériorité et l’extériorité de la tour. Horizontalement, il s’agit d’allonger les volumes en travaillant sur une trame orthogonale en interaction avec une trame diagonale. Créant ainsi une faille verticale.
PLANS COUPE MAQUETTE 40cm x 20cm x 90cm
En poursuivant la phase d’expérimentation, j’ai exploré l’hypothèse de la trame uniquement orthogonale, afin d’estimer s’il était possible de percevoir à l’échelle du bâtiment la diagonalité des logements individuels. La figure d’ensemble est le résultat de la répétition de la même organisation, inversée plusieurs fois, créant une intériorité variable dans le grand volume.
PLANS COUPES PERSPECTIVES MAQUETTE
La troisième et dernière proposition est une sorte de combinaison des enseignements tirés des deux premières figures. Les variations entre orthogonalité et diagonalité dans les plans d’étage en étage créent une rupture donnant non seulement des directions différentes à la figure mais aussi des espaces de natures diverses. Le contraste entre ces ruptures périodiques et la continuité de l’assemblage vertical permet à la figure globale une plus grande fluidité dans son ensemble, dans le but d’empêcher une trop grande fracture dans sa globalité. L’objectif principal était d’approfondir l’idée développée dans la première partie du projet, LE CUBE, où je voulais allonger l’espace intérieur d’un carré, en l’appliquant à la figure entière ; le résultat de nombreuses expériences et recherches sur la géométrie et la volumétrie en terme de conception architecurale.
PLANS COUPE ÉLÉVATION MAQUETTE 30cm x 20cm x 140cm
PERSPECTIVE DEPUIS LE SOL MAQUETTE 30cm x 20cm x 140cm
A N A L Y S E D E S I T E
ATELIER, 3ème ANNÉE PROJET URBAIN,
APPROCHE PRÉLIMINAIRE LOCATION : DUNKIRK PROFS - F. MARTINET P. GUYONI BINÔME : FORSTER Lucile
APPROCHE PRÉLIMINAIRE L’objectif du semestre était de produire dans un premier temps une analyse globale du paysage dunkerquois, à travers les époques et les périodes qui ont marqué sa croissance et son développement, du VIIe au XXIe siècle. Au-delà du travail cartographique réalisé, chaque binôme devait enquêter sur deux sites, afin de formuler au mieux des hypothèses face aux enjeux urbains et architecturaux que présentaient ces sites.
PLANS CONCEPT DES SITES PHOTO : LA CÔTE DUNKERQUOISE
I L E J E A N T Y
ATELIER, 3ème ANNÉE PROJET URBAIN,
APPROCHE PRÉLIMINAIRE LOCATION : DUNKIRK PROFS - F. MARTINET P. GUYONI BINÔME : FORSTER Lucile
Au centre de Dunkerque, l’Ile Jeanty, est un site qui souffre aujourd’hui d’un fort manque d’accessibilité, de diversité et de dynamisme : alors qu’il dispose non seulement d’un emplacement stratégique au centre de la ville, mais aussi d’une riche histoire et d’un fort potentiel. En travaillant sur ces aspects et en analysant l’accès et la circulation sur site, au bord de l’eau, cette proposition vise à mettre en valeur les caractéristiques déjà existantes du site.
PLAN MASSE (1 / 1000)
MAQUETTE DE SITE (1 / 1000) PHOTO : ÉTAT ACTUEL DU SITE
I L E J E A N T Y
L’approche concernant le site était non seulement de mettre en valeur les qualités existantes en travaillant sur le dialogue entre les deux côtés du canal, en mettant l’accent sur les perspectives et les axes majeurs identifiés, et en créant des promenades le long de l’eau ; mais aussi de mettre en œuvre différentes formes de logements, des villas, des installations pour étudiants, aux logements sociaux, afin de diversifier la population vivant autour de ce point d’eau, et d’insufler une nouvelle dynamique au sein de ce quartier. L’idée était également de faire référence à l’identité des bâtiments anciens de Dunkerque, fortement inspirée par la culture flamande qui a eu une influence notable sur le paysage bâti de cette région.
PLANS & ÉLÉVATION : ‘VILLAS FLAMANDES’ VUE DEPUIS LES VILLAS VERS LE CANAL COUPE TRANVERSALE SUR LE CANAL
T E T E G H E M
ATELIER, 3ème ANNÉE PROJET URBAIN,
APPROCHE PRÉLIMINAIRE LOCATION : DUNKIRK PROFS - F. MARTINET P. GUYONI BINÔME : FORSTER Lucile Teteghem est une zone résidentielle située en périphérie du centre de Dunkerque ; on y trouve uniquement des logements de type pavillonnaire, et toute forme d’interaction est absente au sein du quartier et entre ses habitants.
PLAN MASSE (1 / 1000) MAQUETTE DE SITE (1 / 1000)
TYPOLOGIE DE LOGEMENT ‘HORIZONTALE’ VILLAS INDIVIDUELLES LOGEMENTS COLLECTIFS ‘LA RUE INTÉRIEURE’ VUE CONCEPTUELLE
L’objectif principal était d’émuler différentes formes de logements et de typologies qui ne briseraient pas l’identité résidentielle et suburbaine de la zone, tandis qu’une impulsion différente émergerait du dynamisme d’un mélange des populations et de la présence d’un nouvel hôtel de ville et d’une place de marché centrale. Par ailleurs, le concept d’une rue intérieure entre les blocs d’habitation brouillerait les lignes entre le privé et le public, en étendant le jardin de chaque unité de logement et encourageant les interactions entre les résidents. L’idée de centralité, non seulement au sein des différents blocs, mais aussi dans l’ensemble du quartier, a donc été placée au cœur de la réflexion menée au cours du projet.
A ATELIER, 2ÈME ANNÉE LA PISCINE, N APPROCHE PRÉLIMINAIRE LIEU : PARC DE SCEAUX A L PROFS - P. DE BECK B. BANCEL Y S E Jardins du château de Versailles
D E S I T E
LE PARC DE SCEAUX, UN SITE MOTIVÉ PAR LES QUALITÉS D’UNE TOPOGRAPHIE : Situé en région parisienne, à proximité du lit de la Bièvre, le Parc de Sceaux est implanté dans une topographie spécifique marquée par des plateaux et des thalwegs. C’est typiquement un Jardin à la Française sur lequel André Le Nôtre a commencé à travailler en 1670, après avoir achevé des projets similaires tels que Les Jardins du Château de Versailles ainsi que Vaux-Le-Vicomte et Fontainebleau.
PLAN DE SITUATION ( 1 / 25 000 )
Gare Montparnasse
B RER
D 92
0
Gare d'Austerlitz
6
D
90
Gare de Fontenay-aux-Roses
9
Gare de Robinson
RER
Gare de Bourg-le-Reine
B
D2
D
A 6B
N 118
Gare de Sceaux 06
8
14
D
A8
D9 20
6
Gare du Parc de Sceaux
N 118
PARC DE SCEAUX
D 986
A 86
A
6B
D9
RER B
20
Gare de la Croix de Berny
A 86
A ATELIER, 2ÈME ANNÉE LA PISCINE, N APPROCHE PRÉLIMINAIRE LIEU : PARC DE SCEAUX A L PROFS - P. DE BECK B. BANCEL Y S E D E S I T E
COUPE TOPOGRAPHIQUE PHOTOS DU SITE MAQUETTES DE SITE (1
/ 25 000 & 1 / 5000)
(70cm x 110cm)
(140cm x 260cm)
L’aspect crucial de cette analyse a été de comprendre comment André Le Nôtre a utilisé les singularités et les atouts du site pour créer des espaces et des perspectives monumentales, notamment en travaillant sur les courbes de niveau, les pentes, les masses végétales et les canaux, afin d’insérer le parc dans la topographie environnante. Notre intervention devait se faire sur l’un des quatre sites désignés par nos professeurs, chacun étant situé près d’une des entrées principales du parc.
PLAN MASSE ( 1 / 5000 )
L A
P I S C I N E
PLAN DE NIVEAU PERSPECTIVES COUPE
UN SITE DOMINÉ PAR L’AXE DU GRAND CANAL : Le centre de natation que j’ai conçu est situé dans la partie nord du parc, près d’une des entrées. Sur le site actuel, une perspective dominante est suggérée mais l’objectif principal était d’essayer de sublimer cette perspective avec de nouvelles masses bâties. Le défi principal a été d’insérer l’édifice dans le site existant, d’organiser tous les éléments d’un programme aussi conséquent, sans pour autant dénaturer les caractéristiques principales du site; créer des espaces construits qui s’entrelacent avec le site naturel qui l’entoure en jouant sur les courbes de niveau et le dénivelé.
UN PROJET QUI RYTHME LE SITE : Le centre de natation est situé près d’un étang existant, et suggère par ses espaces et ses volumes une compréhension nouvelle de l’horizontalité du site.
ÉLÉVATION PHOTO DU SITE
M A Q U E T T E S
La maquette permet d’appréhender le projet dans sa volumétrie finale, en aidant à comprendre sa relation avec la lumière, le site environnant et sa structure...
REZ DE CHAUSSÉE NIVEAU R+1 VUE SUR LA TOITURE ESPACE INTÉRIEUR PRINCIPAL VUE FRONTALE
L A
ATELIER, 2ÈME ANNÉE PROFS
M A I S O N
- F. FAUCONNET G. PIQUERAS
Le sujet de ce projet était de concevoir une maison semi enterrée sur un site de notre choix. Mon choix s’est porté sur une falaise, afin de jouer avec les hauteurs, la roche, et de faire entrer le site au cœur du bâtiment, en brouillant les lignes entre l’intérieur et l’extérieur.
S U R L A F A L A I S E
PLAN DE NIVEAU COUPE TRANSVERSALE
0
3 1
10m 5
COUPE LONGITUDINALE MAQUETTE
L E
ATELIER,
1ÈRE ANNÉE PROFS :
V O L U M E M A R C H A N D
F. MARTINET P. GUIONY
STRUCTURES ET ESPACES Les espaces marchands peuvent être réinventés et conçus pour suggérer ou offrir une réponse à un produit spécifique. Ici, le projet propose un bâtiment de 2000m2 implanté sur un parking imposé, dédié à la vente de café artisanal, suivant un schéma structurel aligné sur la trame du parking en question. La structure en bois contraste avec la façade métallique en aluminium.
MAQUETTES CONCEPT PLANS MAQUETTE STRUCTURE ÉLÉVATION MAQUETTE 1/20
R WORKSHOP, 1ère É PROF - C. BAGOT S E A U X
ANNÉE En utilisant uniquement du bois, du ruban adhésif noir et de la peinture noire comme moyens d’expression finaux, le défi de la réalisation de cette installation inspirée de Mondrian a été de travailler efficacement en équipe de huit étudiants en l’espace de trois jours. Nous avons commencé par faire des croquis de processus, de petites maquettes afin de définir nos intentions. Puis nous sommes passés à la partie réalisation, où nous avons dû manipuler les matériaux et les différents outils nécessaires à la construction de l’œuvre.
ÉQUIPE : Ablad Salma Freitas Pierre Forster Lucile Larguech Youssef Lucas Thibault Monnier Lise Vasquez-Castro Cloé
RÉSEAUX est une installation à échelle 1:1 qui défie notre perception commune de l’espace. Au cours de cet atelier de trois jours, nous avons décidé de créer un réseau de lignes et de volumes afin de jouer avec la distance et la proximité ; les ombres et la profondeur, sur le principe de l’anamorphose.
L A P A R O I
L A C O U R B E
LES FONDAMENTAUX ATELIER, 1ÈRE ANNÉE PROFS
- F. MARTINET P. GUIONY
LES FONDAMENTAUX était le premier de tous les projets qui m’ont été confiés en école d’architecture. APPROCHE INTUITIVE : Le sujet devait imaginer une fenêtre, un escalier et une cloison de manière naïve, sans avoir encore aucune connaissance architecturale, ce qui a permis une grande liberté en terme de créativité. Le sujet de LA PAROI était de séparer deux espaces sans les diviser. L’utilisation d’un seul rectangle, plié, sectionné et déformé de différentes manières m’a permis de créer une anamorphose en lévitation.
CROQUIS D’ÉTUDE MAQUETTES 1:20
O A T U H T E R R E W T O R R A K V A U X
THE HUMAN FIGURE PENCIL INK CHARCOAL WATERCOLOR SOFT PASTEL
SKETCHES PENCIL INK
MINERALS AMETHYST UNREFINED COPPER
PORTRAITS PENCIL INK WATERCOLOR
A U D I O
SINGULAR ACCUMULATION
V I S U E L
BUT WHAT HAPPENS WHEN WE STACK UP ALL OUR UN-USED PRODUCTION?
W O R K
TEAM WORK : YOUSSEF LARGUECH
THE MODERN CITY IS TRAPPED IN AN UNSTOPPABLE CYCLE OF PRODUCTION AND DESTRUCTION, CONSUMERISM AND UNRESPONSIBLE BEHAVIOUR NOWADAYS TRANSLATES INTO WASTE.
SLOW-MOTION
WORKSHOP : SPACES & BODIES ARTISTIC GROUP PERFORMANCE IN THE PARISIAN METRO. YOUTUBE LINK : https://youtu.be/S1TjowsvLKQ
AN UNSETTLING VISUAL AND SONIC EXPERIENCE THAT AIMS TO DISTURB THE VIEWER AND QUESTION OUR URBAN ENVIRONMENT. YOUTUBE LINK : https://youtu.be/bzo5qln7ZFQ
CHAINED
WORKSHOP : SPACES & BODIES ARTISTIC PERFORMANCE IN THE PARISIAN METRO AND IN PUBLIC SPACES. THIS WORK SHOWCASES OUR MODERN WAY OF INTERACTING WITH NON PRIVATE SPACES. AND HOW WE, AS A SOCIETY, ARE CONDITIONNED TO ACT, LIVE AND SEE THINGS IN A CERTAIN WAY. YOUTUBE LINK : https://youtu.be/dvo1EkCsJqY CHAINED, PHOTOS
PROJECT, 4TH YEAR
TEACHER - C. LOLY
TELLURIC Def. proceeding from the earth or terrestrial soil; relating to a usually natural electric current flowing near the earth’s surface. A sonic and spatial experience developped by materializing a defined soundscape through visuals, as a combination of Auditory-tactile Synesthesia and Chromesthesia, using paper as a base and diverse mediums as tools to lay it down. This work aspires to be a wandering experiment and a sy- nesthetic translation of a defined and specific soundscape through symbols, drawings, patterns, colours, etc. It aims to be a visual and poetic awakening towards physical or abstract ideas that we don’t tend to observe or discover, through the use of texture. YOUTUBE LINK : https://youtu.be/z6AghAm5v00
POSTER - EXHIBITION
80404 SPECULATIVE IDEATION
SPECULATIVE IDEATION,
LOCATION : AHO, OSLO
Tariq Nmila
GALLERI AHO
Friday - 03.05.19 Wensday - 08.05.19
M E R C I
PORTFOLIO, 2022
TARIQ NMILA
P O R T F O L I O, 2022 tariq.nmila@gmail.com