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EXPOSITION CYCLE ONE+ ONE+ LUCILE BERTRAND ET ÉLISE LEBOUTTE
AU CCN CYCLE ONE+ ONE+
LUCILE BERTRAND ET ÉLISE LEBOUTTE
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Vernissage: mercredi 8 février, à 19:00 Du jeudi 9 février au dimanche 2 avril, de 14:00 à 18:00 Fermé lundi et mardi Gratuit / Entrée libre —
Avec cette quatrième exposition d’art contemporain du cycle One+ One+ , c’est une nouvelle conversation engageante entre les œuvres de deux artistes qui s’annonce: Lucile Bertrand et Élise Leboutte.
Lucile Bertrand est une artiste française (établie à Bruxelles) qui construit patiemment, à travers des dessins, sculptures, installations et vidéos, une œuvre subtile, élégante, toute en finesse. Un monde flottant, fait de temps suspendus et d’apparitions fugitives, d’où surgit, sans avoir l’air d’y toucher, la clarté singulière d’un tracé aussi net que le vol d’un oiseau. Et aussi l’acuité d’un propos où éthique et politique se conjoignent à l’esthétique.
Élise Leboutte, née à Dinant, vit et travaille à Bruxelles. Ses peintures se découvrent comme le lieu d’une expérience méditative intense au travers de la couleur et de la lumière. Une lumière qui semble toujours émaner de l’œuvre elle-même, comme au travers d’un vitrail. La peinture est abstraite, mais l’expérience on ne peut plus concrète. —
Sous le commissariat de Yves Depelsenaire : Le cycle One+ One+ repose sur une double envie: à travers les œuvres de deux artistes plasticiens, découvrez le dialogue s’instaurant entre leurs démarches et leurs sensibilités respectives tout en vous proposant d’entrer vous aussi en conversation avec la matière artistique. Un cycle ainsi jalonné par une multitude de moments qui vous placent dans une posture active: des ateliers créatifs à vivre en famille ("ateliers B.ABA"), de la médiation, des visites commentées pour un très large public, ou encore des moments conviviaux avec les artistes durant les conférences
Parole Donnée (voir page 152). —
“Une musicalité délicate émane des oeuvres de Lucile Bertrand comme de celles d’Élise Leboutte. Une atmosphère, qui, chez l’une comme l’autre, conjugue le « je ne sais quoi » et le « presque rien » cher à Vladimir Jankélévitch à l’évidence transparente d’un air de Mozart.”