Numéro 8 - 1933

DEUXIEME A\.\EE — X" 8.

AiiLT, Secrétaire, a donné sa démission.

Dans le tonneau de la

Fédération

il ne

res

tera bientôt plus que

IMVIX : ITX FH/\^'C

10

MARS 1133.

Piuff-Poiiff JOURNAL ILLUSTRE PARAISSANT LE 5 ET LE 20 DE CHAQUE MOIS

la lie.

Rédacteurs en Chef : CONSTANT BOURQUIN & RAYMOND VERGER — Administrateur:RAYMOND DUBILLOl 34, rue Alîii-beuf-

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(S»)

Abonnement: un an, liO frs

It. e. Seiue G5(iU-l

- 1

Rien de nouveau sous le soleil On pardonne aux enfants qui font des bêtises parce qu'ils n'ont pas l'expérience de la vie. On excuse les vieux dont le cer

veau fatigué donne cette impression de « ramolli », communément appelée (( gâ tisme ». Mais que dire des adultes qui commettent de grossières erreurs et qui n'hésitent pas à récidiver en connaissance de cause ? Qu'ils sont coupables ou bornés.

Nous ne ferons pas l'injure aux dirigeants de la Fédération de les croire inintelli

gents. La conclusion s'impose.

Ces réflexions me sont venues à l'esprit en apprenant, ces jours-ci, que M. Pierre

Agut, membre du Comité de la F.F.T.T.. et

désigné

par elle pour accompagner

l'équipe de France à Vienne avait été l'objet d'un blâme de la part de ses col lègues du Comité fédéral pour avoir pwblié un article dans le dernier numéro de « PingPing » !

Interloqué, je m'en fus sans rien dire en me livrant mentalement à un petit calcul : 28 clubs avaient pris part au vote, 16 clubs parisiens représentés par des délégués, et 12 provinciaux qui avaient envoyé des pouvoirs à la Fédération. L'opération était simple ; MM. Palmiéri et Hostin, dispo sant de 5 voix à Paris, y avaient ajouté les 12 pouvoirs provinciaux et imposé une liste qui m'excluait ainsi que Corbillon.

Le grief que l'on avait contre nous? je le sus plus tcurd : Tel M. Agut, je m'étais permis de formuler, dans r.4u/o, quel

Tels quels, les faits révélaient une triste

Présidents de Clubs de Province une let

Que r on m'excuse de prendre à cette occasion la place habituellement réservée dans ce journal à un travail de propagande utile. Mais vraiment l'histoire est trop drôle

tre signée (( illisible », mais à en-tête offi cielle, et priant lesdits présidents de bien vouloir faire parvenir avenue de Versailles un pouvoir, qui permettrait aux dirigeants

et je m'en voudrais de rire tout seul— j'ai rarement partagé les opinions de M. Pierre Agut et je ne l'ai jamais caché.

Ce n'est donc pas un ami que je défends.

Mais je me plais à reconnaître qu'il a

accompli à la Fédération du travail sérieux.

Le fait est assez rare dans la maison pour

mériter qu'on le signale. Mais, M. Agut a voulu travailler pour les autres, et non

« de défendre les intérêts de leur club ».

Bien entendu, ces pouvoirs furent adres sés personnellement au Président de la Fé dération, qui, statutairement, devait les remettre au Comité sortant qui aurait eu alors le soin de dresser une liste de candi dats à soutenir.

En fait, M. Palmiéri,

arbitrairement,

s'octroya cinq pouvoirs, il en remit cinq à

pas uniquement pour les pontifes de 1 ave

M. Hostin et deux à M. Agut, nouveau

nue de Versailles qui n'attendaient depuis

venu. J'étais Vice-Président sortant, et n'ai jamais été averti qu'il y eut des pouvoirs provinciaux.

quelque temps.qu'une occasion pour 1 obli ger à démissionner au profit d un quelcon que laquais.

L'abus de confiance était caractérisé.

Voilà qui est fait.' Et je reviens à ma

L'incident a été soulevé au cours d'une

mettent deux fois de suite au ^and jour

réunion du Comité de Paris, et j'aurais porté l'afl-aire en justice si je n'avais craint

petite réflexion du début ? « Ceux qui com

la même maladresse sont des coupables. »

Quelle est donc la première ? Si je ne me trompe, elle a pris date au cours du mois de juin 1932 et vaut d'être contée.

On procédait à la réélection du Comité Fédéral, en séance plénière. Depuis la fondation de l'organisme suprême du

Ping-Pong cette cérémonie s'était déroulée

régulièrement « en famille ».

Aucun club n'étant représenté, M. Palmiéri. Président, et M. Hostin, Secrétairetrésorier, se réélisaient gentiment en pré

sence de mon ami Friche, fidèle propagan diste, conseiller technique dévoué et...

spectateur impuissant car il était étranger et n'avait pas le droit de vote.

Au cours d'une de ces « réunions », je

fus prié d'accepter le titre de Vice-Prési dent de la Fédération,

de nuire aux intérêts du Ping-Pong fran çais.

Nous avons donc laissé dans leurs fau

teuils des personnages que se isont élus euxmême grâce à une escroquerie. Mais, il est utile aujourd'hui que les joueurs pro vinciaux, jeunes et enthousiastes, soient

prévenus contre les dirigeants qui vont, sans doute, leur demander à nouveau leur con

d'esprit n'a pas changé. Avec eux, le Ping-Pong ne pourra jamais acquérir chez nous la place à laquelle il a droit. Qu'on les chasse, et que d'autres plus honnêtes

et Hostin, je fus battu ainsi que Corbillon et Yvonne Fayard, nouveaux candidats.

vins de Suisse

sont

décidément

avaient dû mollir.

Ne inanqucz pas le spectacli

Mais où l'histoire devient drôle, c'est

une fois dans ta vie, abandonner le do

quand notre inconsistant Président fit con-naître son intention d'assister en personne : Bordeaux à cette réunion qu'il avait tan

maine de Vélucubration.

combattue.

au sérieux les questions que je té pose, — 0. K. chief.

— Pour le championnat de France, confiance ou, appréhension ?

Là, un rire neutre ; en réalité il rumine ce qu'il fa^it dire et je découvre alors qu'il n'est pas si rassuré que ça. Je pour, suis.

— Enfin, condition physique?

— Bonne, bien meilleure qu'il y a quel ques semaines.

— Quels sont les concurrents que tu re doute le plus ?

— Que tu estime le plus ?

11 eut grand tort d'ailleurs. Tou' d'abord, le voyage de 600 kilomètres dan; le spider d'une voiture et l'arrivée à Bor deaux en pareil équipage n'ajoutera pas beaucoup à son prestige. Espérons que h cinéma sera là et que nous pourrons voii la scène dans les prochaines actualités.

Puis, quand on a vu l'actuel Président, on comprend pourquoi il assiste si peu auj: réunions du Ping-^Pong qu'il est inconn; de tous les pratiquants, même à Paris. A tout prendre, il y gagne encore.

—■ Huagucnauer, qui j'espère sera battu

par un autre que moi, Worth par exemple, puis Gordon et Daniel Guérin. .

— Et Bolelli ?

— Ah! celui-là, s'il est déchaîné... mais il l'est un jour sur quinze ; c'est une petite moyenne.

— Alors, un peu de courage, dis-le car rément, tu vas gagner.

— Je tiens au titre. Je ferai le néces

saire pour avoir la foi ce soir-là.

— Parfait, tu es assez normand, mais enfin on peut déduire de ce que tu dis. Et

Le discours sera radiodiïfus;

Et ce pauvre homme veut aller à Bor deaux recueillir les remerciements, pou

ce qu'il n'a pas fait... et des pouvoirs er blanc pour sa réélection... Mais alors, il ve

parler ! ! !... oui. bien sûr, il demandera ai secrétaire de lui préparer un petit discour: comme il a déjà été fait aux Championnat; de France Internationaux..., mais s'il lu:

les doubles ?

faut en faire deux

— Worth est moi sommes imbattables.

C'est normand ça ? !

A mon tour de ne rien répondre ébahi.

— Tu vas avancer l'équipe reine OzenneBolelli. Eh bien mon vieux on en a assez

deux fois la fable apprise.

eh bien, il réciter-:

j'ai idée qu'on va s'amuser au bore de la Gironde, si un pince-sans-rire qur nous connaissons s'en mêle.

Roger et moi de la suprématie et on va un peu les remettre dans tel rang.

— Laisse-moi en douter, veux-tu bieni — Reste dans le doute, rien n'est plus charmant ! Et comme il s'éloigne :

A la balle de Ping-Pong (Sonnet)

— Et les mixtes ?

—■ Je m'en contrefiche !

Pas gentil pour les dûmes, le champion de France.

Marchera... Marchera pas

Le soir où Corbillon, au Comité de Pa

ris, émit le prerriier l'idée de faire dispu ter les Championnats de France 1933 dans

Sur les gazons et les pelouses vertes Déterminés par de minces traits blancs.

Elle s'élance et sans perdre un instant Saute et frémit, gracieuse et alerte.

Devant ses bonds, on la croirait offerte

Au bon plaisir de souffles turbulents Qui, tour à tour, d'ardeur rivalisant.

une ville de province, ce ne fut qu une

Jouent avec elle et l'envoient à sa perte.

PIERRE ABOUT,

ration marchera ». Si elle ne marche pas

Et tout à coup, au milieu du chemin, Un filet passe, et sa maille légère Semble, à jamais, la tenir prisonnière

démentir les faits que je rapporte et, proiu

Vinrent les élections de juin 1932. Can didat à la réélection avec MM. Palmiéri

— T^iCs

Nous ne raconterons pas comment il imf)osa son choix, toujours est-il que ce qu'il oulait arriva; encore une fois, les pontifes

et plus actifs se mettent au travail !

tuelle et nous réusssissions en une saison ce ans.

tenais à connaître ses

impressions sur le très prochain cham pionnat de Bordeaux où il doit mettre ce

L'incident Agut, après l'incident Pétql,

Président d'honneur du P.P.C.F.

que n'avait pu faire M. Palmiéri en quatre

J'ai pu happer à son passage à Paris le tenant du titre. Je

démissionné d'office, prouve que leur état

en faveur du Ping-Pong. je poursuivis ma

tâche, d'accord avec M. Corbillon qui, déjà, jetait les bases de l'organisation ac

clubs de ce Comité.

fiance sans la mériter.

en remerciement

d'une campagne de presse déjà entreprise

UNE INTERVIEW DE RAYMOND VERGER

très bons, beaucoup d'accent.

— Veux-tu me faire la grâce de prendre

non asservi à ladite Fédération.

assez d'indépendance pour dire ce qu il pense de la situation générale du Ping-

sibilités locales, mais Bordeaux le tentai

pionnats de France ; membre de la Fédéra tion, j'avais eu l'audace de ne pas approu ver ce qu'elle avait décidé.à mon insu.

Quant à Corbillon, il avait eu le tort de réussir.

Corbillon s'était même déplacé dans plu sieurs villes pour se rendre compte des pos beaucoup, à raison du grand nombre des

titre en jeu pour une nouvelle année.

— Content de cette tournée, Raymond?

Pong français aux lecteurs d'un journal

membre de la Fédération se permet d avoir

La balle au bond

ques critiques sur l'organisation des Cham

mentalité. Mais il y avait mieux.

Cette question des pouvoirs provinciaux, grâce auxquels la majorité avait été acquise, nous tracassait. Une rapide enquête nous permit alors d'établir qu'à la date du 20 avril 1932, la Fédération avait expédié aux

Vous voyez le scandale, le sacrilège ! Un

SET ET MATCH

P. S. — je défie qui que ce soit de

que l'on soit bien persuadé de mon désin

téressement, je prends ici l'engagement d'honneur de ne pas poser ma candidature aux prochaines élections.

P. A.

réponse : « Si vous pensez que la Fédé

répondit Corbillon..., nous la ferons mar

cher.

Quand on veut hieii

Mais sans effroi, elle attend son-destin

Inutile d'ajouter que ça ne marcha pas tout seul et que nos soi-disant dirigeants

cherchèrent toutes les solutions avant de

choisir celle que le . Comité de Pans s était juré de leur faite adopter.

Comprenant bien que sa course épbé [mère

En d'autres points revivra tout entière CAD.

PING PONG

Les étapes de la Croisade A peiae nos croisés avaient-ils abordé la

lae firincipale du Tréport qu'ils défilaient eatae une naie imposante de voitures. Cons

lacs différents et très rapprochés, il lâcha

tant Bourquin évoquait l'idée de quelque bal anoBcl où devait se retrouver le smart set

flotte !»

da Tréport. Cela ne l'empêcha pas de se îrtunmer vers Raymond Verger et de lui dise ironiquement: « C'est là, on nous attend Cinquante mètres plus loin, une easi^nB -lumineuse annonçait Ping-Pong.

Cetait bien là.

tes Tréportais, qui ne jouent au pingpoogque depuis quelques mois sont en pleine

*

estesnple, qui disposent d'une seule table et «Tin mètre vingt de recul seulement ! * * #

C^rleville réservait aussi à nos joueurs

mes et avant les photograpliies des trois champions se détache ce conseil : « En sou venir du passage de l'équipe de Paris faites signer votre programme ! » Bien souvent les susdits champions pes tent contre celui qui eut cette idée amusante. . *

*

paied.

Anssi bien les « croisés » se dirigent-ils ■MHtenant d'instinct vers les paucs d'autos. *

*

lies Ardennais sont des gens fort sympaihjqœs. Ils mènent une vie calme et retirée, paiSï^ée entre les joies de la chasse au san

gla: et celles que leur procure le pingL'accueil que reçut la croisade à Char-

îevïlîe fut des plus cordial. Verger était partioHlièremerit séduit par la vie forte de ces hoonnes libres et il eût volontiers abandonné

ses camarades pour se faire au moins huit ï<mis durant carlopolitain. » *

ï^nsque nous parlons de l'accueil fait à Bos faneurs, il serait injuste d'omettre celui çaW leur fit à Mulhouse et à la Chaux-

doFonds où l'on s'ingénia à leur être agréaHe. Quel souvenir ils emportent des vins de .Suisse et de ceux du Rhin ! Barna et

Beflak eux-mêmes, qui sont pourtant des buvoKs de limonades, y prirent goût.

core autographier des balles. A ce propios, alors qu'à Caen l'un d'eux signait, en série, la langue pendante, des balles, un plaisantin

lui glissa dans la main un œuf dur.

Inutile de vous dire que l'œuf dur reçut des paraphes impeccables. * *

*

*

Taifeif pour les « croisés ». IDurant les trois

fOTS de leur passage en Suisse M. Tripet ae les quitta pour ainsi dire pas. 11 les acŒillit à La Chaux-de-Fonds dès leur

anôrée en Suisse et ne les quitta, à Genève, tpan moment du départ pour Annecy. La Lancia de M. Tripet montrait la route à la C 6 de la croisade. On ne sait qui, du

président de la- F. S. T. T. ou du capitëmc des Parisiens appuie le plus fort sur le «hampignon. Mais ce furent d'impressKumantes poursuites,, en particulier sur la

oaoàciie de Montreux à 'Lausanne, dans la nuâ. «*»

Constant Bourquin se flatte de parler suffcfflBnent d'allemand pour se débrouiller en pa^s germanique. Il ne s'en tire d'ailleurs pas tlsop mal. Mais il ignorait que M.

Cltejppe a fait des émules. Bâle semble donc -ami ses agents polyglottes. A chaque fois >ifBe Constant Bourquin demandait : « Bitte ndhjeu;:. dèr weg nach Délemont > », on Se renseignait dans un français très correct.

C&ient des gorges chaudes au fond de la vortnre; Au cinquième agent enfin, notre dipwcfeur prend son parti d'interroger l'agent œ'^tançais. Et savez-vous, ce qui lui arriva ?

Le cinquième agent aussi lui répondit en !&ançais.,.

Autre aventure helvétique. Soucieux, dû jfiaBÔr et de l'agrément de ses jpueurs, le

•apêfaine parisien décide de faire un détour vingtaine de kilomètres pour se renAede Neufchâtel à Montreux. Le parcours est très beau. Il passe par Morat, Frihofosg et la vallée de la Gruyère avant la iescenfe magnifique à travers le vignoble

yumdols sur Vevey. Barna et Bellak dorsans arrêt du départ à l'arrivée. Quant

jer,. il ouvrit quelquefois les yeux. Et

«

Lendemain de bataille à Caen. Tout le

monde est chez Maës, l'ex-international de

football qui possède le long de l'Orne « le lido » où l'on nage, danse, boit et mange.

Barna, Bellak, Verger et C. Bourquin se chargèrent de boire et manger. Ils parlent encore de la terrine de pâté, une produc tion de Mme Maës et du « calva ».

Les Tréportais savent maintenant à qui ils doivent attribuer

l'arrivée tardive de

l'équipe de Paria. »*«

Au Tréport aussi d'ailleurs, le séjour fut trop court au gré de tout le monde et surtout de Bellak qui fut le clou du bal du Casino où des fervents du ping-pong et de l'acro batie l'avaient entraîné.

Il rentra d'ailleurs à l'hôtel quand Verger en sortit pour une promenade il faut l'avouer

C'est un art d'être champion et qui

Répondant avec plaisir à l'aimable invi tation de Ping-Pong, je viens dire à ses lec teurs quelques mots sur l'organisation des Championnats de France individuels qui, on le sait, vont avoir lieu à Bordeaux du 2 au

4 avril et sur l'intérêt que cette grandiose manifestation suscite dans la région.

Les éliminatoires commenceront le diman

che après-midi 2 avril {et, si le nombre des engagés l'exige, le matin à partir de 9 h.) dans les salles des deux clubs bordelais, le

Foyer pour tous et l'Odéon PPC, mises obligeamment à la disposition du comité : elles continueront le dimanche soir et le lundi

3 avril dans l'après-midi.

•

En soirées du lundi 3 et du mardi 4 avril,

à 20 h. 30, les épreuves finales se dispute ront sur une seule table, de façon à ce que les spectateurs ne perdent rien des parties, dans la salle Franklin, située au centre de

Bordeaux, rue Vauban, et qui peut parfai tement contenir un millier de spectateurs assis.

'

Comme, à l'heure où. j'écris ces lignes, on n'a aucune précision sur la liste des joueurs qualifiés se déplaçant effectivement,

il est difficile de parler d'ores et déjà des joueurs. 11 est cependant à espérer que tous les champions parisiens et la plupart de ceux des comités régionaux seront à Bordeaux et la grande question ici est de prévoit ce que feront nous joueurs locaux. 11 semble que l'excellent Weidenbaum doive jouer un rôle de tout premier plan dans la Coupe des Etrangers, mais les Saint-Anac, Joumu, Brisson, Chales, Bonnet-Bagues, Higy, etc., ont-ils une chance de parvenir jusqu'aux finales ? Pour ma part, je serais bien déçu si l'un au moins de ces joueurs ne se quali fiait pas pour les demi-finales.

Une vaste publicité pm prospectus, affi

très matinale.

ches, banderolle apposée sur le bel immeu

Lorsqu'il rentra pour le déjeuner, il certi fia avoir bu plus d'une tournée à l'œil en ville où des tenanciers sur le pas de leur porte le reconnaissaient et l'invitaient à « la

ble de la maison Tunmer, cours de l'Inten

moindre des choses ».

Il y eut ainsi des étapes où on se sentait en famille, d'autres moins agréables.

*

idc président de la Fédération suisse i^ut

»

Bien mieux, les malheureux doivent en

vus agréable surprise. 11 y avait une telle «pianfité de voitures aux abords de la salle que îa 838 RE 2 dut aller atterrir 200 mè tres au-delà de l'entrée. A Mulhouse, c'était

*

Chaque soir prend place le petit exercice de la signature. En effet, sur les program

Us sont déjà fort nombreux et ils jooBit dans une des plus belles salles de

France et l'une des mieux aménagées. fi il y a des joueurs à Chambéry, par

individuels

crmune en quelques heures on avait vu trois dans son demi-rêve : « C'est fou ce que les Suisses, perdent de place avec leur

*

«

Les quatre amis rencontrèrent à Amiens,

en la personne du président de l'ExCentric P. P. C. de Picardie un joyeux drille, luimême accompagné par un non moins joyeux

garçon. Il y eut champagne chez le prési

dent et quel champagne I un magnum de la bonne année après lequel Verger ravi d'avoir découvert deux gansters proposa un départ général sur Lille.

Personne ne se dégonfla, pas même Trem blé, le fameux et actif dirigeant amiénois qui est pourtant un garçon sérieux. *

#

#

dance (c'est-à-dire la voie de Bordeaux dans laquelle la circulation est la plus intense)

sera faite et, comme le Ping-Pong jouit à Bordeaux en tant que sport d'une vogue extraordinaire, il est à espérer qu'il aura le même succès comme spectacle, ce qui per mettrait d'indemniser dans la plus large me sure possible, les concunents de leurs frais de déplacement, le comité de Guyenne et Gascogne ayant refusé toute participation à la recette et n'ayant comme seule ambition que de se montrer digne de la tâche qui lui a été confiée.

Il est probable que la finale du Cham pionnat de France féminin par équipes aura lieu au cours de cette manifestation ; l'aprèsmidi du lundi 3 avril, à la salle Franklin, lui serait réservée.

Voici, n'est-ce pas ? un beau programme qui sera vraiment sensationnel si, comme il

Becquart est sans contestation, un excel lent joueur. Ses progrès ont été rapides et

y a tout lieu de croire, il se complète par

les

pion du monde Barna et son redoutable ad versaire Bellak, que la croisade du PingPong doit appeler à Bordeaux à ce momentlà. Nous comptons voir à la salle Franklin, en même temps que nos champions natio naux, le grand champion mondial et il aura certainement à cœur de répondre au vœu de tous les sportifs bordelais.

meilleurs

nordistes doivent désormais

compter avec lui, mais pourquoi diable faitil preuve d'un esprit peu sportif en refu sant systématiquement de rencontrer d'autres Amiénois, très forts, qui ne sont pas ou de la même association, ou du même milieu social, etc., etc...

Et cependant les croisés n'eurent nulle part à se plaindre de cette mesquinerie que les Parisiens reprochent souvent à la pro - *

*

«

Nous venons de sonner légèrement Bac-

quart. Racontons également le sonnage du champion genevois Michel, qui a de gran des qualités, mais qui est un tantinet pré tentieux, et cela nous ne l'avons pas décou vert, paraît-il.

Après sa partie contre Barna à Lausanne, et comme on le. félicitait du très joli score qu'il avait obtenu, il eut cette phrase réel lement pénible : « Je n'en touchais pas une et puis ce n'est pas chic de m avoir fait veirir de Genève pour me coller Barna,

alors que contre Verger j'ei une bonee

chaniC,e, »..

Le lendemain à Cenèye .Verger battait Michel 21-13, 21/-5 ; Raina également lui

infligeait 21-4, 21-è.

une exhibition entre l'extraordinaire cham

P. de ZANCRONIZ. ; SI VOUS' VOULEZ . ..

OEVENIR ClIiVHPlOlSI !

vince.

L'art d'être champion

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n'est pas à la portée de chacun. Et c'est un rôle, s'il vaut de la gloire à qui l'a su mériter, qui ne laisse pas d'être ingrat. Je

le savais depuis longtemps. Tout le monde le sait.

Il me semble pourtant que je viens seu lement de prendre nettement conscience de

celte notion. Je conduis depuis quelques jours ce qu'on appelle la « croisade du ping-pong » à travers la France. J'assiste chaque jour, quand ce n'est pas deux fois

par jour, à l'effort sans cesse renouvelé que font nos champions pour être dignes d'eux-' mêmes et dignes en même temps de l'idée qu on se fait d'eux. Ils s'acquittent de ce devoir chacun selon son humeur, et tout

compte fait, avec une bonne grâce dont il convient de leur être reconnaissants.

Tout est à recommencer pour eux chaque jour. Jamais un résultat .n'est définitive ment acquis. Ce qui a été démontré la veille est à redémontrer. Chaque jour nous paraissons devant des spectateurs nouveaux,

dont la plupart n'ont aucune, idée du jeu que sont capables de pratiquer un Barna,

un Bellak ou un Verger. C'est dire que ces néophytes sont naturellement disposés à sous-estimer la valeur de nos champions, aussi naturellement, qu'ils sont portés à surestimer celle de leurs joueurs locaux. Le public, inconsciemment cruel, vient toujours avec l'arrière-pensée de voir le dompteur dévoré.

Même fatigués, même souffrants, nos cracks doivent jouer. Ils doivent gagner. Ils doivent gagner brillamment. 11 en va de leur réputation dans l'esprit de plusieurs centaines de personnes. Peu importe que vous soyez champion du monde ou cham pion de France. Si vous vous permettez un double 21-19 contre le champion de Fouilly-les-Oies, celui-ci peut décemment penser qu'il a été à deux points d'écraser un des premiers joueurs du monde.

Il faut donc gagner, même si la table où vous jouez est mauvaise, si la lumière est défectueuse, le recul insuffisant. Les

conditions du jeu varient d'un jour à l'au tre. Il faut s'en accommoder.

Et puis il y a l'éducation sportive du public qui n'est pas toujours très avancée.

On rencontre plus souvent qu'on ne suppo serait, des ignorants de bonne foi qui vous prennent pour des artistes de cirque et qui applaudissent vos performances comme ils applaudiraient un numéro de music-hall.

C'est pourquoi je ne souris plus à l'ex

pression qu'ont lancée des journalistes avi sés. Notre tour de France est bien une

croisade. Les pongistes de France devront beaucoup à ceux qui ont eu le courage de l'entreprendre et de la mener à bonne fin.

Nos champions n'avaient personnellement rien à gagner à cette marche forcée autour de la France. Le résultat final seul les paiera de leur dévouement,.

La morale de ceci, c'est qu'on ne gagne pas une fols chaque année un titre de champion national ou mondial. C'est un titre qu'on remet en jeu chaque jour et

qu'on paraît avoir usurpé si on l'a mal défendu uij ,soir qu'on a la fièvre ou un embanas gastrique.

Le vrai champion est toujours im crack.

CONSTANT BOURQUIN. =

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LA FEDERATION QE IL NOUS FAUDRAIT La critique est aisée, nous a-t-on écrit, mais l'Art est difficile.

Comment voyez-vous l'organisation de la Fédération que nous devrions avoir, que nous espérons avoir quand les prochaines

élections auront fait passer l'aspirateur. » Or, nous avions depuis longtemps étudié le problème, voici notre projet.

La Fédération telle qu'elle est actuelle ment ne peut donner aucun résultat, elle ne peut que suivre de loin le développe ment du Ping-Pong ; 1 ° Parce qu'elle manque d'hommes ; 2° Parce qu'elle manque de méthode de travail.

1° Elle manque d'hommes, tout le monde le sait, nous avons, nous, dénoncé

ce mal depuis longtemps, les quelques in trigants qui se sont élu eux mêmSs l'an dernier n'ont aucune qualité, ni d'homme, ni de chef, les uns s'imaginent que c'est un droit pour eux de rester éternellement là,

Î)arce qu'ils y étaient avant que Corbil-

on ait lancé véritablement ce sport dont DCTsonne ne parlait avant qu'il s'en occu{>ât,

Pour nous, bien au contraire, nous leur en voulons de leur apathie, ou de leur égoïsme, ou de leur impuissance. Com ment ? depuis quatre ans ils étaient à la tête du Ping-Pong et personne ne savait ce qu'était ce sport et il a suffi qu'un autre s'en mêle pour que sans eux, et malgré eux et finalement contre eux, on en arrive au

développement triomphal actuel. Alors, à quoi sont-ils bons ?

Quant aux autres, on sait aussi que leur rôle s'est résumé en ceci : d'abord flatterie

auprès des détenteurs de « pouvoirs » pour entrer au Comité, ensuite somnolence à peine interrompue par des appels aux billets de faveur quand le Comité de Paris

deaux, Delarue de l'Atlantique, de Par-

C) La liste des transferts et les raisons

seval du Midi, Greffeuille de Marseille.

Hervoche, Badré, Delbos, Gardille, com

des refus de transfert ;

bien d'autres encore dont le nom ne vient

disputés, accompagnés de la taxe fédérale (portion revenant à la Fédération) ; E) Les doubles des procès-verbaux des

pas. Je le sais bien parce qu'on les con naît, qu'on sait ce qu'ils ont fait, eux, pour le Ping-Pong, chacun dans sa région, et ce qu'ils sont capables de faire pour le Ping-Pong français.

Mais, me direz-vous, tous ces dévoués,

tous ces utiles travailleurs, ne peuvent pas chaque semaine être à Paris pour discutail ler sur des vétilles, comme font nos iné narrables comitards actuels ?

Et en auraient-ils le désir, que certains peut-être ne pourraient prendre une sembla ble dépense à leur charge. C'est vrai, mais j'admets que le voyage aller et retour en 3° classe doit être payé aux représentants de la province parce qu'il n'y a aucune raison pour que seul Paris ait la parole, et c'est le Comité de Paris tout entier qui nous approuve. Et ce n'est pas là une charge insupportable pour la Fédération, nous allons le voir, mais j'arrive ainsi au dixième point de notre programme.

2° Si la Fédération manque d'hommes, elle manque aussi de méthode.

11 est bien évident que ceux qui s'étaiei\t emparé pour s'élire eux-mêmes des pou voirs en blanc envoyés étourdiment par les clubs de province aux dernières élections n'avaient nulle envie de rendre compte de l'exécution de leur mandat, ils n'eurent

donc qu'un but, enlever toute puissance, toute possibilité d'action, aux Comités ré gionaux.

La grande peur du Comité de Paris dont ils sont en somme les « laissés pour compte » ne pouvait que les enfoncer dans cette conception fausse que tout devait

D) La liste et les résultats des tournois

respondance incessante et coûteuse.

3° Arbitrer les litiges entre Comités ré

écœurement... on les a froidement mis de

hors ou obligés à le faire.

Admettez donc dans le nouveau Comité

Ces deux hommes, qui, faute d'avoir pu travailler, ont, du moins, essayé de le faire.

Avec une nouvelle équipe on peut compter sur leurs indéniables qualités, mais pour les

Autre exemple ; si un Comité a inter

prété une règle de jeu d'une certaine façon et que cette décision est critiquée, le Co 4" Organiser les Championnats de France individuels, par équipes, interclubs, sco laires et militaires, et faire le classement

national des joueurs.

5° Mettre sur pied un programme de propagande générale, participation aux

Championnats du monde, grandes épreuves nationales, croisade, etc. Relation interna tionales et liaisons avec les autres Fédéra

tions françaises. Comité national des Sports, etc. Relations avec la presse.Voilà un programme qui doit suffire lar gement à l'activité bien ordonnée d'une Fédération, le travail soigneusement pré

paré par le bureau est présenté une fois par trimestre au Comité.

Cette réunion régulière coûtera en frais de voyage de 1.000 à 1.500 francs ; en core certains membres, ayant besoin parfois de venir à Paris pour leurs affaires person nelles, tiendront-ils à honneur de ne pas .se

nent leur place capitale dans l'organisation

gements fiscaux », comme on dit ailleurs.

française du Ping-Pong. Les clubs doivent s'adresser à eux pour tout, affiliation, de mande de licence, organisation de tournois,

grand jour comme les délibérations. La re vue officielle publiera les procès-verbaux

mité régional décide, tranche, arbitre tout en appliquant des règles générales claires, simples et précises. Un joueur veut-il chan

approuvé par le Comité à la réunion cor

six mois seulement chez nos amis.

respondante.

ger le club à l'intérieur d'un Comité ? qu'importe aux autres Comités ; un club veut organiser un tournoi, en quoi cela

de cette année, disposent de l'argent de

Les meilleurs de leurs joueurs n'ont ri goureusement pas leur place en première série française et ii est probable que «fit joueurs encore de deuxième série sont pli® forts qu'eux.

Je leur souhaite de tout cœur des progrès

Il est inadmissible que des individus in connus de tous, comme les soi-disant élus

tous ; qu'ils augmentent pour leur bon plai

crainte, nous n'avons que l'embarras du

Le rôle de la Fédération se réduit alors, et c'est déjà fort beau :

layons notre maison et que l'équipe nou

Fédération internationale, ce qui est une référence, commissaire général des cham

pionnats de France Internationaux et de la Grande Compétition populaire de VIntran.

Vous avez M. Grimonprez de Lille, Rufi^enach d'Alsace, Blanc de Lorraine,

Jeannet de Bretagne, de Zangroniz de Bor

il ne faut tirer aucune gloire, puisqifon.

joue le Ping-Pong de compétition d^iis

s'inspirant de la formule du Championnat

jours conduit au succès. Secrétaire de la

sports sont en effet affiliés à l'Asoociiafion genevoise !

Fidèle à notre habitude, nous devons sEtuer la valeur de cette dizaine de jotuîttrs .suisses par rapport à celle de nos jonairs^ Constatation agréable cette fois-ci et datt

point, le bilan trimestriel de la Fédération

de France.

Comité de Paris qu'il a créé, qu'il a tou

cialisés ou sous-sections de clubs annÉ-

des séances et, j'insiste vivement sur ce

pitié ni scrupule.

Par qui les remplacer ? Là, n'ayez aucune

comme on l'aj^lle partout, secrétaire du

de Zurich,, où Zsifris fut battu en finaàa; par Zeppa, il faut croire que 2 ou 3 joaeaxs de Zurich, ou la même classe que lairs compatriotes de Suisse Romande ois le Ping-Pong de compétition est cependaié plus développé. Quelque vingt -clubs -spé

D'ailleurs, les comptes seront tenus au

défiance et d'autoritarisme. Ouvrons les

gande vous avez notre collaborateur Mar cel Corbillon, le père du Ping-Pong,

ré.'^ultats du récent tournoi internatioiiaE

tation des cotisations... et sans « aména

teux et nullités, du balai, du balai, sans

Vous avez R. Verger, le champion de toujours, celui qui n'hésite pas à faire, ra quette à la main, la meilleure des propa

n'est pas plus faible. Ji- n'ai malheuraaaeiment pu voir à l'œuv.-e les représeniaiita de la Suisse allemande, mais d'après les.

Et maintenant, administrez la Fédération

tion.

compétents.

plaisir de jouer à Mulhouse contre Zsîfrïs, qui est champion de Bâle. La Suisse îran.çaise semble l'ignorer et i-écipraqufiinent d'ailleurs. Ils ont donc également tort, cay s'il n'est pas plus fort que GarangiotiSr il

naires dans l'année pour des problèmes urgents que le bureau ne peut prendre sur soi de résoudre, et voilà une dépense totale

,e Comité régional organise comme il l'en tend ses Championnats régionaux, car il est évident qu'il aura tout intérêt à le faire en

d'eux f)our conduire notre Fédération, il ne manque pas en France de dévoués et de

clubs affiliés régulièrement dont les joueurs doivent être iicenciés s'ils veulent pisndlre part aux tournois, de plus en plus nom breux depuis un an.

Grâce à la présence d'étudiants éîrangers, les joueurs locaux font chaque ïŒUir des progrès et les plus forts semblenÉ ré sider en Suisse Romande, où L-iusan-ne" et Genève se disputent la supériorité. Le-Cer cle Lausannais de tennis de table posède Garangiotis, le champion suisse inlEmational, dont la suprématie, quoique discu tée par les Genevois, est certaine. C'.esï. «m joueur qui connaît bien le Ping-Pong, le joue avec tête et posément, peut-être trop lentement. Le jeune Michel, excellent jourar de tennis, sera certainement dans quelques mois le meilleur joueur suisse, s'il consent à réfléchir sur ses erreurs qui sont rooiutmentales. La première est de jouer avec une raquette de bois qui le laisse très ma ladroit sur les effets. Il attaque sans rasee, généralement bien, mais sans tête. Pcmr fe moment, Glickmances, Wendtner et Grat ter, étrangers résidant en Suisse sont ûitrinsèquement plus forts que lui. J'ai ai! le

en dernier ressort, etc., etc.

Eeut-il intéresser l'autre bout de la France ?

choix et quoi qu'en disent les comitards actuels qui ne voient personne en dehors

mande, à Zurich comme à Berne.

Le Ping-Pong est pratiqué dans soixaaïte

mité de la Fédération est là pour trancher

sir la contribution de chacun, sans rendre

autres, pour tous les autres, flemmards, vani

Le Ping-Pong de compétition connaîî ac tuellement la grande vogue et il sufSfc rte parler quelques instants avec M. TrïîKt, l'énergique président de l'Association (cen trale, pour être persuadé de l'avenir bra^ lant de notre sport sur tout le tcrrliDire helvétique, au Tessin comme en Suisse.Ro^

tente entre les deux Comités.

avec les principes de stricte économie du Comité de Paris et je prétends que le bud get peut être bouclé sans aucune augmen

dégoûtés ont manifesté trop haut leur

mentale.

Comité à un autre, c'est la Fédération, évi demment, qui décidera s il n'y a pas en

qu'ils n'en laissent à tous les Comités ré gionaux réunis et transforment tout ça en paperasseries inutiles... en conespondance qui arrive trop tard.

Il faut que les Comités régionaux repren

taxes de tournois, radiations, etc. Le Co

réellenaeat

gardant malgré tout une grande liberté d'action, presque une autonomie gouterne»-

gionaux et décider en juridiction d'appel après une décision attaquée d'un Comité.

Par exemple si un joueur veut passer d'un

de 7 à 8.000 francs.

transfert, paiement des cotisations et des

semble

par exemple, entre dans le sein fédêcal,

qui tirent à eux seuls plus de ressources

et des sectaires s'est arrangée pour leur enlever à l'un comme à l'autre toute pos sibilité de travail, et quand les travailleurs

organisation

Quekjues dissensions existent encoi®;, par raît-il, et il a fallu b-eaucoup d'efforts pour que la très puissante association genevisise,

faire rembourser leurs frais. Admettons maintenant une ou deux réunions extraordi

l'Olympique de Pantin, qui sait ce qu'est le sport, comme Agut, secrétaire général qui voit juste, mais la bande des non-valeur

Cette

F) Les propositions diverses, les sug gestions, les vœux, et ceci évitera la cor

aller directement à eux-mêmes, au lieu de

avaiit au Comité de la Fédération des hom mes comme Petel, l'ancien animateur de

délimité.

réunions du Comité ;

suivre la voie normale : c'est-à-dire joueur, club. Comité régional. Fédération.

Depuis un an bientôt, nous assistons à ce paradoxe, des gens qui veulent tout faire et ne sont capables de tien, des gens

serait aller tout de même un peu loin ; il y

dont le territoire d'activité est netteroeiit

parfaite si i'on considère la naissance rêcente' de l'association et son affiliatiani à l'I. T. T.

l'on sait.

Dire que perwnne à la F. F. T. T. n'était capable de travail et n'a rien fait,

rait l'organisation d'une associatiou cm-

trale régissant des associations régionales

organisait les grandes manifestations^ que En avez-vous vu un chez vous ? Qui s'est jamais dérangé de la Fédération pour em mener une équipe en province, pour apai ser un conflit local, pour porter la bonne parole ?

Il était évident que la division de la Ccnfédération Helvétique en cantons favœiae-

1 ° A faire des règlements clairs, simples et précis, dans un esprit large, lais^nt aux

sensationnels d'ici à décembre et nous sfr

rons ravis d'applaudir leurs succès aux Championnats du monde de Paris où Qs nous ont promis de venir.

aucun compte, sans la moindre justifica Assez. Assez de cette atmosphère de

R. VERGER.

i.iiiiiiiiiiiiiniiiiiiiniiiiiililniiiiniiiiiiiiiiiiiiililii.liiliiiHMWKar

portes au grand air, au grand soleil, ba

c. A. BUTTE PINSON A PIERREFimE

velle se mette à l'œuvre pleine de volonté, (Butte Pinson) à 20 minutes de PariE..

Deux tennis découverts. Cotisation'20û Sic

d'entrain... et de gaîté.

liiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinMiiiiiiiiiiiiiiiKiiiiiKiiiiointiiiinflMH

P. P.

bureaux locaux le soin de les appliquer au mieux. Et surtout pas d'esprit tatillon et

oo

pas d'ordres impolis ; Cffmmv.

2° Centraliser les renseignements spor tifs, administratifs et financiers fournis pé

//!'

riodiquement par les Comités régionaux et en publier l'essentiel dans la revue offi cielle ; et là, pas de paperasserie inutile, un état préparé d'avance est rempli chaque mois par l"# secrétaires des Comités Régio naux * «et état portera :

501EIL FAIT

OeSON 'JVEO* POURTEifTER l AhateuR

PCNQ CLU6

RiEN A tVUR?

c-UHBin

CALME

PORce

iRResiSTiQLB

L'ATriRE VERS UA SAliE

OÙ IL PEUT

SATlSPfljtœ

SA PASHON.^

AVEC VIRTUOSITE

A ) La lis^e des nouveaux clubs admis

par le Comité ; la liste des clubs radiés ; la part de cotisation de la Fédération y sera jointe ;

B) La liste des licences nouvelles, avec l'argent dû à la Fédération pour cela ;

MALAOftFASE

n

50US LE

BE&ARO observateur OF M aOUflOUlN

GRANP MAITRE

LIEUX

Eximii du a Miroir des Sports » du i!\ mars i'g53.

PING^PONG

LE PIIVG-POMG EIV FRANCE vais jour, se fit battre par Ziefifrics. Les autres matches fmirent ce qu'on en attendait : jolies exhibitions et faciles victoires de Vlès siir le second felois, de Delalande sur Polatsik, de Gadelle R. siir Baumgartner, de Molnar sur Korb et de Gadelle if. sur Weber. Même le

NOUVELLES

Régionales ALSACE

double ti^ pour Strasbourg, Bokauovvski-Dela-

AJsace. — Les Championnats d'Alsace 1033

Jipn à Ll"

•

^nde batît-nint sans grande difficulté les doux i>aJois.

P3S donné

coDiptai€nt parmi les favoris

Le premier tableau vit Heller se qualifier sans

grand mal pour les demi-finales, le ehampion d Alsace se débarrassant aisément de Weill Alex et de Fngard.

Delalande -et Gadelle E.

0 ironie du tirage au sort, les frères Gadelle ;

tore : le giremier double Delal.ande-VIès contre Feîter-Ferïy alla à la limite clos 5 sets, mais

Les quatre premiers matches furent sans his-

^ Le second tableau opposait au premier tour

finalement le plus jeune l'emportait, avec un peu

tut peu intéressant du fait du piètre jeu fourni.

de chance, par 25-23 au S" set. Gadelle Eollon

Le secou'â double, Bokanowski-Heller icontre

ensuite pour les demi-finales en se

Fraenkel-I^orget (Yves), et les deux premiers

^faisant avec moins de mal du mulliousien

simples VHs contre Dorget (Yves) et Gadelle contre Ferry ne furent guère disputés, du fait de 1 éerasamte supériorité strasbourgeoiso.

r®bs. Le troisième tableau devait, normale

ment, ■ qualifier Delalande ou Vlès ; Delalande

triomiiha facilement de Heitz, Vlès eut plus de

le tour snavant, Nancy menaçait d'être écrasé par 7 vietfiÉres à 0. Mais il fallut déclianter • au nez et à la barbe de Delalande, Bokanowski

finales, par 23-21 au 5" set.

et Heller, je Thiers P.P.C. remportait 3 victoi res à la file. Doi-get (Alain) battit Delalande ré gulièrement,, Bel for vainquit Bokanowski et Fraenkel unit HeEer à mal sans difficulté. Ces

Le dernier tableau fut sans histoire, Boka-

nowski éliminant Melir, puis Gillig.

Les demi-finales fipposaient donc, assez- nor malement, Heller à Gadelle et Bokanoirski à De lalande. La V demi-finale, Heller-Gadolle fut

^sultats n'ont d'ailleurs rien de surprenant, car Feltor comijite déjà une victoire sur notre Ver ger national, et Fraeukel une victoire sur Bel-

sans doute la plus belle partie de toute l'épreu

ve. Indécise jusqu'au 5° set, la victoire allait revemr au jeune, à l'espoir, quand à 2 balles du

match, a 19-16 en sa faveur, il crut avoir partie

pour le battre on ne peut employer que doux tactiques: il faut jouer avec lui, ou comme

décisifs-dans le filet, s'énerva et perdit une par

La finale ne tint pas ce qu 'elle avait promis, un match Hcller-Bokanowski étant toujours dis •'

une demi-finale contre le P.P.C. Metz, où Heller'

Malheureusement, Bokanwv.ski joua bien en dessous do sa forme, comme d'ailleurs toute la

Delalande -et Gadelle_ ne laissèrent à Metz qu'un

match contre 5, eélui qn'Hinigbaum un jeune à

journée et se fit battre en 4 sets.

suivre, g.ag®a contre Gadelle.

Le simple dames (jualifia Mme Polatsik et

En finale, l'équipe Heller, Bok.nnowski, Dela lande renccMitrait son adversaire do la veille, le Tluers P.P.Ci Ce fut une rencontre des plus pal

Mlle Marlise Weill. La finale fut très dispuMlle Marlise Weill semblait

cevoir l'emporter, quand, à 1-5-11 en sa faveur,

pitantes, où il y eut de beau spc-rt.

elle fit une chute, cassa sa raquette, et écœurée, lâcha le match et le titre de championne d'Alsace

Nancy ayant gagné le toss, Delalande joue contre Praenik-el; il part battu, ne cliereiie'pas

par 21-19.

à gagner, mais fatigue son adversaire et entraîne ses jiropres croups.

Heller-BokanoTvski, les vainqueurs eurent un seul

match difficile à disputer. Ce fut le quart de

finale oii ils rencontrèrent Gadelle frères (que décidément le tirage au sort n'avantage guère)

Puis Bokanowski, dans le plus beau match de tout le challenge, prend sa revanche sur son vainqueur clio la veille, Eelter.

Et Heller marque assez facilement un point

et ne les vainquirent qu'après 5 sets acharnés. pour Straslvoarg en battant Dorget.

La finale vit leur victoire en 4 sets contre Delà- Fraeukel j^galise pour Nancy, battairf un Boka nowski qui se réserve pour son troisième match. lande-Vlès.

Les_ tenants du titre furent vaincus en dou Ensuite ÎHeller écrase un Feiter démoralisé, ble mixte : la finale opposait comme la dernière qui vaut bi-eu mieux que ce match. fois_ Mlle Weill-Bokanowski à Mme et M. Po M.ais Delulande ne fait pas mieux que la latsik. Après une exhibition franchement mau veille contre Dorget (Alain). Les deux équipes sont donc à 3 victoires partout. Le grand match vaise^ de Bokanowski, les Mulhousiens furent pro clamés champions d'Alsace. de la joum-ée va se disputer.

Fraeukel mène 5-0, 8-2, 12-8 contre Heller; il Le double dames fut sans intérêt : le forfait de Mme Delalande-Mlle WeiU permit aux ïhan- croit avoir îa partie dans sa poche, et est subi noises, Mlles Lett et Fallecker, de remporter cette tement mem.S 1 set à 0 par un Heller jouant

épreuve, sans grande résistance, en finale, de la part de Mlles W-elter et Gander.

E. G.

ScswUats des championnats d'Alsace 1933 Simple messieurs : quarts de finale : Heller

bat Prigard, 3-0; Gadelle-Eollon bat Krebs, 3-1-

Delalande bat Vlès, 3-2; Bokanowski bat Gillig^ Verni-finales: Helhu- bat Gadelle, 21-23, 21-16

li-f iL2i, tl;

^iFLmhî ;^Holler bat Bokanowski, 21-16, 18-21, dames ■ demi-finales : Mlle Marlise Wcill bat Mme B-ingenbach 2-lS *^1-1^ Mme Polatsik bat Mlle Lett, 21-15 "21-1! 93 91

avaient encore beaucoup à apprendre, ce score est néanmoins sévère pour le P.P.C.B. dont les équipiers firent parfois mieux que se défendre.

Un pou plus de coiifianee et do désir de vaincre sévère, des rencontres iuter-^ clubs treqiientes et les équipiers du P.P.C.B. pouiToiit avoir la prétentioh de résister aux meil

Le score final est de .5 à 3 pour le P.P.C.

Strasbourg, qui a bien, mérité sa victoire par le cœur de ses joueurs à la tâche, leur moral à toute épreuve et leur entente exceptionnelle. Un

ban pour la valeureuse équipe strasbourgeoiso! _ Un ban aussi pour l'organisation, qui fut

impeccable en tous points, grâce à la direction éclairée du capitaine Babaud. Ses efforts furent

que prive de son leader Eoland Jourmi, parvint a se qualifiei;, également par 5 victoires à 2, au 'détriment du P.P.C. Sétois.

sion, tant par sa combattivité que par sa par-

Voici les résultats :

Simples messieurs : Chassagne bat Cottoz

Monciqu ne réus.sit-il pas, grâce à sa souplesse

Comité.

Les doubles nous démontrèrent la pauvreté de taeti(|iie de nos représentants dans ce compartiineiiU Seuls St. Anac qui, pour les ehampion-

21-12, 21-16; Merle bat Wargiiler, 21-10, 21-19 13-21, 21-13; Barbe bat Depoilly,' 21-14 21-12

2L14; ^Van Dosterom bat Joliel, 21-13, 18-2l'

iiats individuels, pourr.a donner sa mesure en compagnie de J. Brisson, et le lin Higy savent

Doubles messieurs : Chassagne-Laeour battent Pisier-DazaiU, 21-16, 25-23; Mcrle-Eamon bat

.jouer le double et c'est grâce à eux'que la

science de Montpellier ne put être ■justement ré compensée.

Van Dosterom battent Goullot-Depoilly, 21-16 '

Un club est en formation au Patronage SaintPaul à Beauvais sous le nom de Ping-Pong Club

cap pour lui et il no pouvait vraiment pas pré tendre a mieux que ce qu'il fi t.

tace de notre champion, étoile incontestable du

H ok "3-13, ; Lacour bat Pisier, 21-12, 23-2l' 21-17;21-16 Earaoïi bat Carpontier,

18-21, 21-8.

et (le Weidonbaum dans le team du Foyer pour fous, son adversaire, était un trop gros handi

extraordinaire et à son moral à toute épreuve, 3e meilleur sur le jeune Boiiiiet-Bagu6s(?) ftandis que Brauiistoiii, on s'adiiigeant un set sur St. Aiiac, prouva sa réelle valeur ; c est bien la tout ce qu 'il pouvait e.'jpérer en

leurs.

Le Président^ du Comitd de Guyenne et Gas cogne, juge-arbitre de la rencontre, après avoir proclame la victoire du Foyer pour Tous par 6 victoires à 1, no ménagea pas ses compliments aux vaillants Montpelliérai-us, que nous reverrons tou.iours avec plaisir.

ALPES

Alpes. — Une belle performance du chinois

Tsien. — Lors d'une rencontre opposant une

équipe de Vil tard-de-Lans, composée de • A Foucaud, elas.sé 2° série, champion du Contre'

Cadier et Mlle Guiîlias de Lille, à une équipe du P.P.C.G., composée do Wertbeim, Tsien, Mme Eamiis, T.sien a battu Foucaud par 3 sets à 0.

Tsien a fourni une partie magnifique, où ou alternant^ les amortis de demi-volée et les atta

ques liftées sur le rever.s do son adversaire, il est arrivé à lui faire faire souvent la faute. Le nombre de joueurs elassé.s étant iiettemcnt insuf

fisant pour l'émulation en province, il semble que la Fédération den-ait tenir compte de telles

performances, pour introduire certains joueurs dans son prochain classement.

A noter encore la belle victoire de l'équipe Vertheiin-Tsien en double sur Cadier-Foucaud.

D'ailleurs voici les résultats teelmiques : Tsien

Dans le rayon 'des rencontres amicales, à si ^ssant le match nul avec la brillante équipe du

gnaler la performance de rOdéon P.P C réus-

P»P.C. Libournais, dont le leader Morcau eut beaucoup do peine à se débarrasser de .Jardel

tandis que G. Gcupy (Odéoii) prenait le meil leur sur Teurlay. Améliorant chaqiio jour la tecliiiKjiie do son jeu, la jeune et vaillanté équipe de la Eivo Droite sera dans un très proche ave

nir un rude adversaire pour les meilleures

G. G.

BRETAGNE

Breta^e. -— Le tournoi par ('iquipe organisé PnL ®au Petit 3ùinardais Hou etle sera 10 avril 1.33 Casino de aura Dinafd doté cl une superbe coupe offerte par M. Koster, maire de Dinard.

Afin de faire une grande propagande pour le

iing-Fong nous aurons un haut-parleur qui an-

iiçncera dans les environs du flasinn tous les

bat Foucaud par 21-14, 21-13, 21-17; Foue.aud bat Wertbeim par 21-17, 18-21, 21-14 21-10 •

resiilt.ats des matches et les performances des

Cadier bat Tsien par 21-19, 21-11, 21-12; Cadier b.at Wertbeim par 21-15, 21-13, 22-24, 21-13 • Mlle Guilhas bat Mme Eamus par 21-16, 21-17; Wertheim-Tsiea battent Foueaud-Cadier, 21-11,

joueurs, dirigeants et invités.

21-19, 20-22, 22-20; Mlle Guilhas-Cadicr battent

Mme Eamus-Wertheim par 18-21, 21-14, 21-12 M. G.

Championnat des Alpes. ■— Le Comité provi soire des Alpes avait organisé activement le ehampiounat des Alpes entre les deux Clubs af

Docteur-Mazet.

de mettre le point final en battant Feltor.

^

A Sèto, 1 équipe de notre club champion, bien

raito corroetioii; mais ha présence de St. Anae

chargea do montrer aux Beaiivaisiens qu'ils

mandement jusqu'à la fin, et se fait mater 3 sets à 0 qiar un Heller qui joue la poussette mieux que lui, et qui quelquefois enthousiasme les spectateurs par des attaques étourdis.santes.

gagné par iStrasbourg ; et Delalande se charge

dë'ha côta 'Csq^uë;' ®

sonue.s environ avaient répondu à l'appel des or

fi liés : P.P.G.G. et P.P.O.E., les jeudi 9 et vendredi 10 mars au siège du P.P.C.G., 6, rue

mière défaite en match officiel depuis deux ans.

A ce nioaiiieut, le challenge est virtuellement

ue y.i .u Arcachoimaia, sans son chef de file

ganisateurs. Par 9 victoires à 0, le P.P.C.E. se

admirablemCTt. A partir de ce moment, c'est la débâ.cle, il joue battu, il ne prend plus le com

Autant HelOior s'est fait écraser la veille, autant il ridiculise son adversaire aujourd'hui, u-a ad versaire^ dont e 'est, il faut le' rappeler, la pre

ping-poi^ qui se pratique cliez nous.

Bqmiet, est allé à 8aint-Jean-dc-Luz s'en dé!

o-ûL® a produitde àMontpellier, trèsimpres homo gène, Bordc.aux laéquipe meilleure

Saint-Paul, M. Dubois, rue Saint-Pierre on est

Do Nant-j, le P.P.C. Strasbourg, représenté par Heller. Bokanowski, Delalande et Gadelle E. se rendit à Metz disputer le cliaileiige Siva. Il n'avait d'alleurs que deux rencontres à fair.e •

ski battit en 4 sets Delalande.

Dans le double messieurs, que remportèrent

G était la première fois qu'unP-P-Cmatchdo .deÊosny. pingpong avait lieu eu public à Beauvais, 70 per-

le presideut.

Barna, ou -comme lui-même.

tie imperdable. Dans la 2« demi-finale, Bokanow-

au 5' set;

rencontrer im-e bonne équipe de cette ville Par

'. ^ 2, le P.P.C.B. affirma sa nette supériorité. A la suite de cette rencontre un club a

tent Carpcntier-Wnrgnler, 21-19, 21-14; Barbe-

lak. Hélas. Fraeukel ne joue p.as au ping-pong, il fait de ja poussette, et de la pire espèce; et

gagnée; il joua imprudemment, mit deux drives

tee r

prcmitre sortie officielle et se rendait à Creil

Lie P.P.C. Strasbourg était donc qualifié pour

mal a battre le champion du Haut-Eliin, Wolsaqclier. Puis Delalande, surtout à cause de sa moindre nervosité, gagna sa place pour les demi-

pute.

Picardie -—Pwij.po,!^ Club do Béarnais. — Dimanche 2fa février, le P.P.C.B. effectuait sa

cte forme. Le samedi 4 mars, le P.P.C B reee-

•Tv^t P-P-C.son Strasbourg se Chamdépla çait à Nancy, pour jouer l" tour du piOT-n^at_dç- France par équipes contre le Thiers G du i Pdcmble Gadelle strasbourgeoiso à l'exceiition frères, laétait, plus forte pos^ble : eUe comprenait Heller, Bokanowski, Vlès

riMPii-t fie 1 chaque epreuve, excessives, les vaiiiqueuis saufpuisque en double da-

( de Guyenne et Gascogne confirme la classe du

nord-maritime

Le titre français a donné lieu à des luttes

sévères. Félix Faure se qualifie pour la finale après avoir éliminé Martha qui le menait par 2 sets à_ 1, puis_ Malleiu oui lui ravit le 3° set.

Ce dernier avait

eu le mérite d'avoir battu

joueurs après chaque rencontre.

Le soir, le bal annuel du P.P.O.D. réunira

^Nord. — Cambrai. — Le dimanche 5 mars s est jouée, a Cambrai, la compétition de ping-

pong organisée par L'Intransigeant. A tous points de nie elle fut couronnée de succès. Le

nombre des engagés d'abord, plus de cent,

prouve amplement que le ping-pong se développe particulièrement bien dans notre région. L'orga

nisation ensuite fut excelleute. Les Parisiens en

gagés ont déclaré sans flatterie qu'en déplace un Icical qui se prêtait aussi bien au ping-pong que le Trianon. Wortii lui-même, que l'on sait difficile, se trouva enchanté du recul, de l'éelaiment en province, ils avaient rarement joué dans

rage, do.s tables, du parquet.

_ Àu point de vue sportif enfin, deux conchi-

A. Boell après 5 sets fort disputés.

Dans l'autre partie du tableau le jeune M. Chev.alier au meilleur de sa forme se qualifie pour la finale après de magnifiques parties. 11

sions s'imposent. Les progrès énormes réalisés par les Cambrésiens, la supériorité encore sensi ble de Paris sur la province.

Quatre jioiieurs Cambilésieiis étaient encore en course aux demi-finales : Denimal fi t son pos sible devant Mollet, de Lille; Dindeleux. dont

émotionnants (il a\'ait pris les deux premiers et enleva le dernier par 21-19). Enfin il faillit

Delabaye fi t deux sots contre Tr.aii-vaii-ba, et

élimine Carbiilet (3 sets à 1), Eiollet (3 sets à 1), puis enfin la tête de série _D. Eciié après 5 sets

enlever le titre car il succomba de pou devant

Félix E.aure puisqu'il s'adjugea les deux pre miers sets et mena par 20-18 au 3®, puis 19-13 au 5°.

les progrès sont constants, résista bien à Worth;

Dieiino eut raison du pa.risieii Scliwarz, classé en tête de la 2° série de France.

Mollet, quelque pou hors de forme, siiceomba

ensuite devant Tran-v.an-ba et Worth élimina A. Dieiiiie. En fi nale, Worth eut facilement rai

son do Tran-van-ba au jeu souple' mais mono

Deialande-Vlès battent Heitz-Osswalr' 3 0 -

récompensés par le succès du tournoi, tant au

point de vni.'e du nombre des équipes engagées

Chez les élrangers, Wertbeim et Tsien se re trouvèrent en finale ; malgré la belle résistance de leurs adversaires. Mannaherg enlève 1 set à

Eyehennes-Pro-

qu'à celui dm public qui se pressa dans la salle

Wertbeim et Neïcov 1 set à Tsien.

La finale en 3 sets vit la victoire de Tsien

nes et particiillèrement pour Mlle Suzanne Bri-

Fntscli-Meiir battent TJnterberger-Weber 3 2Dcnu-/iM?ft9 ; Bokanowski-Heller battent

St\enï

18-2™ fl-fs ^

Delalandtwl

21-10,

des matches.

Et merci _aiix magasins Siva, dont le challenge

sur son camarade de Club.. Chez les dames, Mlle

est une véritable œuvre d'art et les prix indivi duels eux a-nssi furent magnifiques.

sur Mlle Gargat sans avoir perdu 1 set au cours

E. G.

BeWn..

(S.). 2MI., 2M7, 18-21,

if-

(S.) bat Dorget (Yves) (N.) 21-15 21-16 'l4-21

(N.r b.at Delalande (S.):

nsr m maisonlianfheap, de magnifiques prix par la Boka et doté organisé par le PPC Strasbourg pour les membres du PPC Stras

et™fut

d'Alsace

victoire du Champion

esTiln'véritahf'® est un véritable espoir du Bernheimfce ping-pong, quide™"': nour arriver en finale avait dÛ battri Delalandrët Marl^r'wëiir' déplaçait sa 1 équipe à Mulhouse; Strasbourg elle était malheu reusement prHée de ses deux chefs de file

Ozenne retenu à Joinville, et Heller, malade Eilé

ënnfër I*' par nncdeux très des fortemeilleurs sélectionBâlois mulhousicniie, renforcée dont le champion-Zieffrios. Malgré ce renfort, ce fut une Tietnire sur toute la ligne de Strasbourg qui pei<dit un seul match. Bokanowski, dans un mau

J: fir •

cout, qui, classée 4® du Nord, élimina successi vement Mlle Gra.s, classée 3», et Mlle Lejosne,

ohassée 2°, et en finale, la championne du Nord,

Mlle Flament; de Lille, par 3 sets à 1. Avis au

comité de classement I

^Résultats ;

né, 23-21, 21-14, 16-21, 11-21, 21-19; Félix Fauro bat Malleiu, 21-10, 21-16, 16-21. 21-13.

Finale : Félix Faure bat Chevalier, 9-21,

18-21, 22-20, 21-19, 21-19.

Etrangers : demi-finale : Wertbeim bat Mannaborg, 21-14, 20-22, 21-18, 21-16; Tsien bat Neï cov par 21-15, 21-13, 20-22, 21-11.

Finale : Tsien bat Wertheim, 21-19, 21-12 21-17.

'

Dames : finale : Mlle Buteux bat Mlle Gar gat, 21-18, 21-13, 21-10.

franc'succès,

Hclle- nuis^A •'"' 'ï"'- do Gadelle avoir Marc battu J4CH0., puis Vlès,T le vainqueur

du championnat.

Côté dames, gros succès pour les Cambrésion-

Français : demi-finale : Chevalier bat D. Ee-

T)ouhl- mixte ; Finale : Mme et M Polatsik

Mit'Wïo'r -JSSÎ L'ncrtwafé rU Ping-Pong ChCb de Strasbourg.

Butoux confirma sa classe en enlevant le titre

tone.

4 victaires à '«t-'a^bourg bat Nancy pai..Fésullais die la finale du challenge Siva. PPC S1ra.sbourg ,contre Thiers P.P.C. Nancy —

mT3

(N

Delalande (Str.asbourg), (N.) 21-4 21-16 Delalande (S.),' 2I-13' (S.) bat Eraonkei

w'«), htîe;Uj2"W°2? hëff

championnat de France par équipes, le Comité

pong continue I Si les clubs importants font un peu moins parler d'eux actuollemont — sans

rester cependant iiiactifs — les petits clubs naissent

de toutes parts.

d huile le ping-pong

Comme une tache

s'étend

à l'ontour

de

Eoueii loin dans la campagne. Pays do Caux, Paix de Bray, il s'infiltre dans les vallées, re

monte les rivières, côtoie les f.alaises, envahit les plaines! Une ■épreuve régionale selon la for mule . handicap est en voie d'organisation à Eoiien et touchera les elubs à 40 km. à la ronde.

Elle est dotée d'une Coupe offerte par le Café Standard et de breloques offertes par le corres

pondant roiiennais de ping-pong. Elle a reçu l'engagement d'une bonne douzarno de clubs

(S.) bat Feiter

FraeBkpl (^) bat Bokanowski (S.') 21-li 2l-iï5 SÎ'î'b îî 14^ Tn) H 10

M. G.

GUYENNE ET GASCOGNE Guyenne et Gascogne. — En couserv.unt trois clubs en course pour les quarts de finale du

NORMANDIE

NornianiHe. — Rouen. -—- La vogue du ping-

m?- ''®"ip0rte le challenge Siv,â 'en

Nancy^ar 5%ic

« Les Assemblées Générales Extraordinaires peuvent êtr au moins des Membres de la Fédération. »

Que tous ceux qui sont fatigués de la gabegie act\ EI^ECXIOI\rS.

I wm

PINQ-PONQ

ET

A

L'ÉTRANGER

réunissiuit une vingtaine d'équipes. La fonnule du handicap lui donnera certainement beaucoup _

P. 0. P.) battent Voruière-Begleiter (E. C. E.)

T-,.

Paeeau.

2° ex-œquo : Lauganay (P. P. E.), Béliai- (E. C. E.), Vornière (E. C. R.), 3 victoires.

lui se sont classés Broyelle, Jeanne et Carel. Ces quatre joueurs sont qualifiés pour aller disputer pion de Normandie que détient Broyelle. Etant actuelle

des

Caenuais

nous

■croyons à la victoire de l'un d'eus.

Piiig-Pong Club Caenuais recevait samedi soir

Szortland gagnent Felderfer-Ry, ce dernier lian-

raîtront ces ligues, nous saurons si le titre tant envié est l'apanage d'un Caennais ou d'un Rouen

res battent facilement les messins PottecherHoiiigbaiini. *

contre Nesvigenski • Jeanne, Destiné et Broyelle prirent un ou deux sets à leur adversaire, et on

Le 19 mars, en effet, à Rouen, la finale du

Lambert (Caen) bat Brunswiek (Paris), 0 à 0; Nesvigenski (P.) bat Carel (C.), 3 à 2 ; Petrocelli (P.) bat Jeanne (C.), 3 à 1; J.-CI. Guérin (P.) bat Destiné (0.), 3 à 2; Daniel Guérin (P.) bat Broyelle (C.), 3 à 1; Broyelle-Jeanne (C.) bat tent J.-Cl. Guérin-Nesvigenski (P.), 3 à 0; Da niel Guérin-Petrocelli (P.) battent Carel-Destiné

CHAMPIONNAT DE NORMANDIE ETRANGERS

On attendait avec impatience cette épreuve dans l6s_ milieux .jiongistes Normands. En effet,

MATCHES AMICAUX

B. C. Boue^i hat P. P. Sanvio, 6-1. — Pour

Rouen. Cette première manifestation du Club

Havrais obtint un gros succès qui récompense les •eiforts d'un Comité très dévoué ; MM. Auzillon, président d'hoimeur ; Dubois, )irésident actif ; Bellet, trésorier; Chometon, secrétaire; Mlle Trettel, vice-présidente; Dagier, Ferret, de La Juganniêre, membres.

Bésv.liats : Rosmarin (E.) bat Dieliarry (S )

21-8, 21-12, 21-13; Vornière (E.) bat Fèvre (S.),'

21-13, 21-13, 21-16 ; Béhar (B.) bat Cliometon (8.), 21-12, 21-6. 21-9; Colombo (S.) bat Patrio (R.), 2,0-23, 21-17, 12-21, 24-22; Patris (E.) bat Lecunf (S.), 21-18, 21-14, 16-21, 21-17; Eosma-

rm-Behar b.attent Fèvre-Dicharry, 21-7, 21-S,

21-12 ; Vornière-Patris battent Chnmeton-Colom-

bo, 18-21, 21-16, 17-21, 21-19, 21-9.

nian qui a déjà accompli quelques performances notoires depuis ce champio^nnat.

Le champion de Rouen 1932, G. Erdclyi ter

issue, y compris de nombreux confrères parisiens,

■qui ont lancé bien souvent des appels au calme!

Mais n'anticipons pas et faisons confiance aux dirigeants et particulièrement aux Présidents de ces deux Clubs rouennais et laissons-les travail ler dans li^ calme !

CHAMPIONNAT DE FRANCE PAR EQUIPES LE 26 FEVRIER

P. P. C. Paris bat B. C. Bouen 3 à 2. — Dans un but de décentralisation, le E. C. E. avait

organisé cette rencontre officielle à Déville, au

siège du^ P. P. C. Démllois, banlieue proche de Rouen où le Ping-Pong fait fureur. Cent vingt-

cinq personnes se retirèrent enthousiasmées du

jeu fourni par les deux équipes.

La victoire ne pouvait échapper aux Parisiens dont la correction fut très remarquée, mais ils

duresnt s'employer à fond pour vaincre; nous souhaitons aux Gordon, Durieux, Lœbenberg, Trézel, Darrou d'aller loin dans la compétition Nationale !

_ Néanmoins, les Rouennais eurent la grosse sa tisfaction d'enlever les deux principales ren contres. Le champion . de Normandie étranger Bosmarin, se défit en qatre sets de Gordon après une partie palpitante, et la nouvelle équipe de double, Bosmarin-Béhar vainquit la paire Gorâon-Lœlien'berp... qui n'en sont pas encore re venus

!

BésuUats techniques : Rosmarin (E. C. E ) bat Gordon (P. P. C. P.), 21-19, 21-22, 12-21 21-19! tP . P. F C. 41 P.) P V bat haf Béhar (R. |-P C. r< 21-19; Dllrienv Durieux (P R.), 21-23, 21-12, 21-15, 21-11; Lœbenberg (P. P. C. P.), b.at Vornière (R. 0. R.), 21-19, 21-15, 18-21, 21-16; Trézel (P. P. C. P.) bat Begloiter (R. C. R.), 2L12, 21-9, 21-15; Darrou (P. P. C.

tité et qualité.

Messieurs : Nette supériorité du Thiers P. P. C. de N.!ney. Vient ensuite le P. P. C. Metz,

franç.ais et étrangers.

étoiles futures, puis Nancy Tennis Ping-Pong,

com^itera 10 points.

mann (N. T. P. P.).

Dames : 1 Fromholt, 2 Gandin, 3 Mmes Blanc

Etudiants-Club de Torolc.

Fabing (N. T. P. P.).

Cla.f.sement : 1" H. Rosmarin (R. C. R.), 2® G. Erdelyi (R. C. R.); 3" de Torok (R. E. C.) ; 4® Witty (R. C. E.) ; 5» Gilbert (R. C. R.) ; 6»

Challenge des Vêtements Siva. — Un superbe objet d'art que sur les démarches du président

CENTRE UN SOUHAIT EXAUCE

Metz, une.

joueurs eux-mêmes. La victoire revint à la meil-

Que d'enseig;iehieiits dans cette coupe Sival !

neries aussi. Il faut bien que les 6rg.anisatcurs et les joueurs mêmes s'en tiennent aux règles du

cation. Servagnat est un garçon vraiment gentil, il ne sait rien refuser, aussi nos futurs cham pions en usèrent-ils et même en abusèrent, lui faisant faire plus de quinze sets sans arrêt, sans se soucier de sa fatigue pourtant visible.

Et, ainsi que le dit certain proverbe, comme un bonheur ne vient jamais seul, voilà que PingPong part en croisade à travers la France. Une croisade, pouvait-elle moins faire que s'arrêter à Clermont, n'est-ce pas dans notre ville qu'en l'an 1095 fut décidée par le Pape Urbain II et prêchée par Pierre l'Ermite, la première croi

Fair Play. Licences,

— Le Centre Ping-Pong Club, 21, boulevard Sé-

Ecrire au secrétaire: Lefrique René.

— Nous apprenons l'ouverture, à Joinville, 2, rue de Paris, d'une nouvelle s.allo de Ping-Pong

Le P. P. C. du XV° a rencointré le 5 mars,

viç=se ^ rSrm.

L e 12 mars, le P. P. C. XV° a battu l'Ami cale Club Vincennos par 5 victoires à 2.

Le P.P.C. XV® demande des matches. Ecrire

au manager M. Rizzo, 33, rue des Volont.aires, Paris (15®).

qualifications cela doit et

vice soit joué. Cela évite souvent des écluangos de paroles assez dures, et des réclamations, et

COMITE DE PARIS Bcunion de la Commission Permanente'^'' du 6 mars

Bourse des matches. — Tous les lundis, après 9 heures, les représentants des clubs qui dçyfent

ou si cotte manifestation a un but de démons-

trouver à^ la_ salle Marbeuf où un emplacement

faut éviter des scores 5 à 0 ou quelque chose

joueurs à Bordeaux, pour le Championnat de France. Les prix donnés n'étant pas inférieurs à ceux du chemin de fer, le projet est abandonné.

conclure des matches inter-clubs, pourront se

tration ou fi nancier. | leur a été réservé et aménagé.

D 'ores et déjà, il est indispensable de résorvci' Autobus Paris-Bordeaux. ■—■ M. Corbillon, rend compte des renseignements qu'il a obtenus pour certaines éprouves à certains clulis dont le niveau l'obtention d'un autobus destiné à emmener les est nettement supérieur à celui des autres. Il d'approchant. Il faut éviter ces exécutions en

masse où le gagnant n'a rien gagné du tout, où le perdànt risque do perdre sa foi dans les compétitions.

Dans un .autre ordre d'idées, il semble qu'il

soit impossible de faire jouer selon les règles strictes du jeu. On se demande si certains joueurs savent que certaines règles existent... Certains

spectateurs ne voient que leur favori et ne se doutent pas que leurs acclamations dérangent les joueurs de ' ; la la table voisine, et peuvent fausser complètement les résult..ats...

Tout cela ne demande qu'une mise au point.

Mais il est aussi facile de f.aire prendre de bon nes habitudes que de mauvaises, alors qu'il est

Carte d'officiels. •— Une carte d'officiels sera créée pour permettre aux membres des différen tes commissions ou du bureau de se faire reconnaître pour tels dans les réunions où ils se-

r.aicut amenés à se présenter.

Breloques. — 5 breloques de même valeur que celle de l'an dernier, seront achetées pour être remise à l'équipe du Stade Français, champion do Paris 1933.

Classement. — C'est par erreur que Vlntrau'

•) n/ynaff- .nxroif "ranl-vl-îA «si/a 1/a T> t .sigeant avait publié que le joueur" Rossi était

chassé, crést en réalité Ritchi qui avait été classé par la Commission.

excessivement difficile de les faire passer, ces mauvaises habitudes. Que les di-igeants montrent

Béunion de la commission permanente

joueurs, seront les premiers à se déclarer satis

Mach le Jlavre-Paris. —■ L'équipe de P,aris est ainsi formée: Barna, Bellak, Verger, Balclli. Ces 4 joueurs joueront au Havre le 18 mars, en

1111 pou de fermeté, et les principaux intéressés au développement normal des compétitions, les

faits. Avec de la bonne volonté de part et d'an

tre, il sera facile de constater un progrès certain à la prochaine occasion.

B. G.

AFRIQUE DU NORD Algérie. —■ Ping-Pong Club Algérois. — .Ce

beau sport si répandu dans la Métropole, va fi f.. nn' ^ fi fi ^ ffi f-. — f— f. X— __ 111.. a sousû pout-tf avoir son succès dans notre ville . /—1 Grâce c

.

^

des disqiialific.atimis. Les organisateurs doivent savoir s'ils font ou disputer un challenge dont

l'importance se justifie par la qualité des joueurs.

le nous Vécrivent.

Éfa

v.ard Erlgar-Quinet, dont le Corhité a été ainsi

peut être mis au point avant que le premier ser

Jérusalem.

KI^E]ClXIOI\^S.

. — Nous .avons le plaisir d'annoncer la forma

tion du Montparnasse Sporting Club, 25, boule-

l'Amicale des Etablissements Lafont et a été

Il y eut du beau sport, certes, mais des mesqui

service d'ordre et ouvrir un bureau de lo

(Arf. XIII des statuts de la F.F.T.T.)

(lUM.ton 87 .51.)

déprimés moralement et physiquement. Ne l'ou-

un

ionvoqu(5es par le Comité lorsquMI en est reaiiis par le quart

points (Messieurs et Dames), remportera le Chal lenge Sools. 10 francs par joueur .au « Mont parnasse Club » , 25, boulevard Edgar-Quinet

vaincre les joueu rs du Thiers P. P. C. (Nancy),

je crus un moment qu'il allait falloir organiser

obligé les organisateurs à déplacer .au dernier

Le club dont 1 joueur sera qualifié pour le

1/8 do fi nale, comptera 1 point.

Le club comptant le plus grand nombre de

équipée avec 3 tables do match « Morris. »

ling c'est du sport qui deimande un effort phy sique considérable et un moral à toute éprouve.

' L. S. | LORRAINE | ( Lorraine..

Championnats de Lorr.aine.

I Ces épreuves disputées à Metz, ont réuni de

Le club dont 1 joueur sera qualifié pour le

1/4 de fi nale, comptera 2 points.

leure équipe, sans conteste celle de Strasbourg, qui n'eut même pas à s'employer à fond pour

internationaux et s'y comporta de brillante fa çon prenant la 3° place du simple messieurs et enlev.!nt le titre de champion, de ■ double mes sieurs. Sa venue causa une grande émulation parmi les pongistes elermontois, tous voulaient jouer avec lui, on se-l'arrachait, ma chère, et

vers

Le club dont 1 joueur sera qualifié pour la

1/2 finale, comptera 4 points.

bastopol, serait désireux de rencontrer .amicale ment d'.autres clubs soit chez eux, soit chez lui.

cellent P. Servagnat de retour d'un long sé jour en Suisse où il participa aux championnats

Le passage de l'équipe de Paris suscite un gros intérêt parmi les amateurs de ping-pong et nombreux sont les joueurs qui briguent l'hon neur do rencontrer les champions. Pour les diri géants du Centre, la tâche no sera pas facile de choisir entre la régularité d'un Andor, la défense d'un Bargoin, le drive d'un Cornet ou d'un Brirot, le revers de Senaize et les contrepieds de A. Dupichot; pour ne citer que les principaux. Gageons qu 'ils trouvent une f ormule pour satisfaire les plus méritants.

Le club dont 1 joueur sera qualifié pour la

finale, coinplcra 6 i)oints.

Thionville, Saint-Mihiel, Longuyon, (îliarleville)

La formule par poule dans chaque rencontre a recueilli les suffrages et des sjrectateurs et des

sade

Le club dont le joueur gagnera à la finale,

coi.stil.ié : Président, M. Jacques Gâches; secrét.air,-, Mlle Lily Brun; trésorier, M. Robert Burdin; membres, MM. Martin, Gautier.

équipe. Strasbourg avait délégué ses meilleurs joueurs d'Alsace. Nancy trois équipes. Dijon.

m«a papier mis à la poste nous reven.ait l'ex

Tous les matches joués par élimination, en

simple, au meilleur de 5 sets.

du P. P. C. M., les Etablissements Siva ont mis en compétition, a été l'occasion d'un e.ssai de compétition par clubs désignant chacun une

des adversaires de classe et voilà qu 'à peine

P.) b.at_ Pafrig (R. C. R.), 21-16j 21-10, 23-21 ; ; noml)rexix engagements et rcmnortèrent iin très Rosmarin-Béïiar (H. 0. R.) battent Gorclon-lKB- i vit' succès, bien qu'un cas de force majeure ait

benberg (P. P. C. P.), 3-2; Durieux-Trézel (P.

Chapeliers Sools; épreuve ouverte à tous les joueurs et joueuses, classés de 1" ou 2° série,

(N. T. P. P.), Tantôt et Babault (Metz), Mlle

les

français devront s'incliner devant sa régularité;

Je me plaignais dans le dernier numéro de Pinq-Pong, de ce que nos joueurs locaux ne jjouvaient faire de progrès, faute de rencontrer

Tout le monde se réjouirait de cette heureuse

laquelle se développe le Ping-Pong en Lorraine, est d'excellent augure pour sou avenir en quan

les mêmes remarque.s s'appliquent au troisième de l'épreuve, le sympathique capitaine du Bouen

Jiiet plus guère de progresser, nous sommes per

Tous les matches seront joués par élimination,

en simple, au meilleur de 5 sets.

2° Challenge Sools, offert par les Maîtres

meilleurs

mine second ; si son jeu de défense ne lui per-

qu.alifiés pour les demi-fi'nales ou finales d'une

Commentaires. — Après ces championnats, il

8 Clayeux (Metz), Bertin F. (Thiers), Tourel (Metz), Tugondhat (N. T. P. P.).

Seconde série : Van-Tri (M), de Falvelly (Thiers), Eliret (Thier.s), Bertin J., L.ardey, Pottecher (Metz), Panon (Thiers), Sehmitt-Lieb-

arriver à s'entendre. Ainsi se termineraient ces

Reine-Inférieure.

club.

fiui^ remporte trois titres, puis les nouveaux venus Thionville. Amateurs de Nancy. Lo';iguyon.

Clas.'ieinent : 1 Fraenkel (Thiers); 2 Dorget Yves, Folder, Szortland; 5 Dorget Alain (tous du Thie's) ; 6 Honigbaum (Metz), Ferry (Tliiers) ;

Bo.imarin qui, faisant cavalier seul, remporta le titre, il est bien, placé entre les mains du racing-

Begleitc-r (R. C. E.).

Clochers, face à face joueurs, amis et dirigeants de deux Sociétés qui ont tant fait depuis quel ques mois j)0ur la diffusion du prag-pong en

du

qui parmi ses nombreux membres trouvera les

Comnie nous l'avons dit, c'est le Polonais

On dit que... — Deux iClubs Rouennais qui n'ont pas jasqu'alors entretenu d'amicales re lations pourraient dans un avenir assez proche •querelles qui ont dressé, dans la Ville aux Ont

épreuve, coupe ou challenge.

tous quatre

est possible de ,faire ,le J,. point.^La rapidité avec ,,

au contraire.

din-.Sports », épreuve ouverte à tous les joueurs

sur Mlles Fabing-Liebmann, ,

en effet, ne semblent pas avoir progressé, bien

contrôle de la Fédération de tennis de

, ®J 1° Coupe Burdin, offerte par la Maison « Bur-

et joueuses non classés et n'ayant j.amais été

même

nos joueurs français peuvent largement rivali ser avec leurs maîtres de l'an passé. Ces clerniors,

suadés que bien souvent encore

Paris.—■ Le « Montparnasse Spo.rting Club ». "i*^' Edgar-Quinet, organiser.!, le soir du 3 au 9 avi-il, deux éprouves de Ping-Pong,

Doubles mixtes : Mlle Fromholt conquiert son troisième titre associée à Tiigendhat; après urne

partie mouvementée, ils s'assurent le meilleur

qu'à part le champion de Normandie Rosmarin,

l'inaguration de son local le jeune actif Club Sanvicais recevait le team du Eacing-Club de

PARIS

Doubles dames : Mlles Fromholt-Fabiug de |

N. T. P. P. gagnent sans peine l'équipe Mme Bl anc-Mlle Yandevever, du même club.

toires à 2.

E. J.

Simples dames : Mlle Fromholt (Nancy T. P. P.), domine de loin ses adversaires et conquiert

été inquiétée... sinon par les spectateurs. Très remarquéé par son style prometteur, Mlle Gan

Ping-Pong tous les résultats de cette journée.

pas de géant depuis le début ?

A l'i.s.sue de cette épreuve nous devons avouer

éliminé le Ping-Pong Club Caennais par 5 vic

lioniogènc, la plus régulière, Fracnkel-Szortland.

din, de Metz, finaliste.

(C.), 3 à 2.

Le Eacing-Club de France Monceau a donc

(sous-sol), où le meilleur accueil leur sera ré servé.

La fi nale voit la victoire do l'équipe la plus

nais.

les étudiants étrangers qui, des mois d'août à décembre 1932, remportèrent toutes les épreuves officielles _ et amicales, allaient-ils produire un jeu supérieur aux Rouennais qui progressent à

Les personnes qui désirent s'inscrire peuvent se présenter au siège social, 44, rue d'Isly

son titre de chainpionne de Lorraine sans avoir

Nous donnerons dans le prochain numéro de

Voici les résultats :

officielles.

dicapé par une blessure récente, et Dorget frè

nais, les deux villes qui se disputent la suprématie du Ping-Poiig en Normandie.

ont fait de ■ très gros progrès depuis quelques

mois.

Fédération pour l'organisation do compétitions

Doubles messieurs : En demi-finale, Fraenkel,

du championnat de Normandie! A l'heure où pa

pronostiquons pourtant la victoire d'un Rouen

classe sépare les vainqueurs des vaincus, mais il est indéniable que les Clmmpions de Normandie

pager ce sport et se mettre d '.accord avec la

joueurs de la région.

nous promet de bien belles luttes pour la finale

Championnat du Comité opposera les quatre pre miers joueurs Hauts-Normands aux quatre pre miers Caennais! En 1932, à Caen, les Bas-Nor mands furent victorieux sur toute la ligne; nous

^ Le comité directeur se réunira sous peu pour élaborer un règlement intérieur en vue do pro-

officielle de sa très nette supériorité sur tous les

Qu importe! la lutte de ces quatre joueurs

double Broyelle-Jeaimo _ battirent 3 sets à 0 J.-Cl. Guérin-Nesvigenski. Il est entendu qu'une

Spiteri, Jayle.

champion de Lorraine, consécration

désespérant demain par sa nervosité!

'

sident; Pierre Crétois, avocat, docteur en droit; vico-presidents : Marins Dàlian et Noël Allard; Mcretaire général : M. Scror; secrétaire-adjoint: De-Noter; trésorier : Nodger; trésorier-adjoint: Lipbel; assesseurs : Marcst, Quiliquini, Celia,

En finale, Fraeukel tint en ténacité et régu larité, ce qu'il fallut sur Dorget pour emporter.

sant aucun doute on se demandait simplement comment allaient se comporter les Caenuais de vant des joueurs tels que Daniel et Jean-Claude "Guérin, Petrocelli, Nesvigenski et Brunsivick. Les spectateurs furent agréablement surpris car les joueurs du P.P.C.C. firent niie'ix que se défen

dre : Carel eut quatre balles de match au 4° set

Le bureau a été élu de la façon suivante : pré

coutiimière régulai'ité sur Clayeux.

excellence, invincible aujourd'hui par son calme,

Franco Monceau. La victoire de ce Club no fai

Ping-Pong

rue d'Isly.

vais début se retrouva pour l'emporter par sa

fisant. Vornière c'est le mystère! le versatile par

France la très forte équipe du Eacing-Club de

Le groupement a pris pour titre

Clug Algérois », et le siège social est situé, 44,

sur un Szortland qui ne fut lui-même qu'à de

jamais battu d'avamce, mais son drive est insuf

11 mars pour le 2° tour du Oliampionnat de

necess.aire.

rares moments. Puis Yves Dorget après un mau

depuis plusieurs mois. Lauganay joue avec le plus de style, mais semble manquer un peu de flamme. Béhar est bien le plus courageux de tous,

E. J.

M. Marius Lalian, fondateur, qui exposa ies rai-

Honigbaum de Metz, en 5 sets.

En demi-finale, Fraeukel eut une facile victo'o

se disputent une suprématie non encore tranchée

Championnat de France par équipes. — Le

L'assemblée générale constitutive s'est déroujcndreidi, sous la présidence effective de

sons pour air lesquelles lesquelles la la diffusion diffusion do rlo ce sport était

Par contre, la lutte fraticide des Do.rgct fut de toute beauté. Alain succomba devant Yves, était précédemment venu à bout du jeune

5" Lanchon (E. E. C.), 6® Hugo (P. P. E.).

Le jeune champion du P. P. E. Monnet rempor ta indiscutablement la palme, se montrant supé rieur dans tous les compartiments de jeu.

Derrière lui terminent ex-œquo 3 joueurs qui

à leurs camarades Rouennais le titre de Cham forme

Simples messieurs : Les quarts de finale virent la grosse surprise de la journée : l'élimination de Felder, trop nerveux, par Clayeux, de Metz.

Rouennais), 5 victoires.

tiné en sortit difficilement vainqueur. Derrière

en effet, à l'initiative de quelques amateurs, uii groupement vient d'être constitué.

effort est à faire.

Classement officiel. — irr Yves Monnet (P P

extrêmement dure dans la poule finale et Des

la

qui nuisit quelque peu à l'organisation maté rielle. En ce qui concerne l'arbitrage un gros

CHAMPIONNAT DE HAUTE-NORMANDIE

^ Pmg-Pong Caub Caenuais a fait disputer

le Championnat de Caen individuel. La lutte fut

louné

moment le lieu des rencontres préliminaires, ce

3"1,

'■

d'attrait.

du 13 mars 1932

soirée.

District Owst. Sur la proposition de M. Boussard, il est décidé de gi-ouper dans un idistl-ic.t Ouest tous les clubs de Seine-et-Oise, dont la si tuation no rend pas facile les ccmmunic-ationis avec Paris.

Les affaires do ce district seront étudiéo,s par une commission spéci.ale qui sera foi-mée à la proelraine réunion ploiniêre.

l-

PINO'PONG

I

Oroisadeî

La Vie des Clubs

qui furent disputés ont donné les résultats sui

LE 3

L'Equipe de Pans à Cacn. — Vendredi soir, il y avait dans la coquette salle du Ping-Pong Club Caennais, nombreuse et élégante assistance.

Les nombreux amateurs de ping-pong que compte notre cité étaient en effet tous accourus pour assister à rcxhibition dos rois du teuuis de table.

Et je puis vous assurer que personiio no fut déçu !

Un conçoit difficilement en effet comment peut être acquise une telle virtuosité dans le manie ment d'une petite raquette caoutclioutée diri geant dans tous les sens la légère balle qui sem ble pour les débutants instinctivement attirée eu

dehors du plateau de jeu.

Le team parisien était composé du prestigieux champion du monde Barua, du fameux joueur Bellak et du sympathique champion de Prauce Eaymond Verger.

La soirée se prolongea dans l'enthousiasme gé néral jusqu'à plus de minuit.

Apres la réunion, M. Detolle, maire de Caen, et ses adjoints, tinrent à venir féliciter le cham pion du monde. Malgi'é les nombreux sets qu'ils avaient déjà joués, Barna et Bellak reprirent leur raquette et firent devant les édiles Caennais

vants :

*belle démonstration de ping-pomg.

D'autre part, en double, Barna-Morigny ont battu Bellak-Staing, par 21-17, 21-11, 16-21. — D. LE 8

assistanée avait réponJdn à leur appel, parmi la quelle on a pu aisément reconnaître les person nalités marquantes sportives nancéiennes, les délégués des établissemcuts scolaires, la presse et les habitués des tables de ping-pong de la

région. Le contingent messin, malgré la lon gueur du déplacement, était particulièrement re marquable.

A 9 heures précises, le président du comité do Lorraine, en quelques mots, pose la question

du ping-pong, sport captivant convenant à tous Picardie. — C'est le samedi 4 mars, que le i et qui connaît un succès mérité idû à ses carac

Ping-Pong Club Tréportais recevait la .visite des merveilleux champions de Ping-Pong : Barna, Bellak et Verger, pilotés dans leur tour dé France par le sympathique capitaine Bour-

quin; devant un public nombreux et enthou siaste, ils nous firent assister à une superbe dé monstration de jeu.

Us furent tout d'abord et successivement op posés aux meilleurs joueurs lOcaiix et régionaux, MM. Mary, Pelletier, Gelée, Ternisien, Vornièrcs et Eousclle qui tireront certainement profit de leur- match.

Le clou de la soirée constitué par le match exhi bition entre Barna et Bellak fut de toute beauté, et certaines phases de jeu resteront, j'en suis convaincu, pour tangtemps gravées dans la mé moire des spectateurs présents.

Soirée de propagande en tous points réussie dont il faut féliciter les organisateurs et parti culièrement le dévoué président M. Ternisien, et qui contribuera certainement à faire de nouveaux

adeptes du ping-pong dans notre région.

LE 5

La venue à Péronne de l'équipe de Paris, composée de Barna, Verger et Bellak, a valu

tères propres. 11 demande que chacun fasse un effort pour sa diffusion et ses appels s'adressent partieiiliêremeTit aux gérants de brasserie pour faciliter le développement des clubs existants ou permettre la naissance de nouveaux.

Puis deux jeunes « moins de quatorze ans », les benjamins des pongistes naucéiens quelque peu intimidés par leur contact avec le grand public, firent un set dans un style prometteur.

Mlles Fi'omholt et Fabin, les doux premières

joueuses du N. T. P. P., club qui va représenter

ia Lorraine aux championnats de France par équipes féminines, donnèrent pendant la durée

du set qu'elles disputèrent une idée satisfaisante du ping-pong féminin.

L'arrivée des champions provoque les applaudi.ssements umanimes et tout aussitôt les parties commencent.

Verger, champion de France, donne à Ferry, du Thîers P. P. C., l'occasion de se dépenser à fond et de faire montre dè sa virtuosité dans

le jeu long et le travail de la balle. Deux sets, dans lesquels le champion dé France n'a jamais couru le moindre danger, cola va sans dire, mais au cours duquel sou adversaire a fait preuve de Felder contre Bellack a paru à maintes repri

sident, M. Lace, un magnifique succès.

Plus de 200 personnes, venues de tous les

ses complètement débordé; il y a de quoi, car les retours de balles souvent acrobatiques de son

coins de l'arrondissement, assistèrent à cette

adversaire le laissèrent littéralement médusé.

belle démonstration du jeu de Ping-Pong et fu

Fraenkel, champion de Lorraine, par son jeu tout de défensive serrée, ne permit pas à Barna

do sortir son grand jeu.

nous fut offert.

M, A- Gauehin., conseiller d'arrondissement, . présidait et présenta les champions au public.

Quelques amateurs de la région, MM. Nourrit, Courcol, Sirven, GuiUemain, Mennechez, Mme HaUdy, acceptèrent bien volontiers de se ren contrer avec Barna, Verger et Bellak et se com portèrent vaillamment.

A l'issue du match qui opposa les deux fa meux Hongrois, M. Ganchin prononça nué char mante allocution dauo laquelle il remercia les

Inutile de dire que ces trois matches furent enlevés par les visiteurs sans que l'un ou l'au tre aient eu à s'employer tant soit peu.

Le double qui opposait Bollack-Sortland (Nan

joueurs de leur merveilleuse exhibition, leur dé

entre eux, qui n'allèrent pas plus loin (lue trois sots. Mais queUo débauche de drives, d'amortis,

voué capitaine, M. Bourquin, les organisateurs et le public.

On sabla ensuite le Champagne et quelques vues furent échangées entre MM. Bourquin, Ver-

fer et M. Daee, président de la commission, do 'ing-]?ong de la Sohime.

Amiens. — Devant 2ô0 personnes environ,

Verger débuta contre Boequart d'Amiens. Ridi culisé dans les dix premiers points, eclui-ci se mit

peu à peu « dans le bain », défendit âpremont le second set et gagna le troisième par 23-23, après deux balles let contre lui. Dans le quatrième set, il réussit encore à monter à 10.

. Puis, Verger rencontra Bellak, et, après un

cy) à Verger-Hoaiigbanm (Metz) a 'VU la vic toire des premiers au bout de trois sets ardem ment disputés pendant lesquels l'intérêt specta culaire n'a pas faibli un seul instant. Belle te nue des joueurs lorrains.

Puis ce furent les rencontres des champions

do revers, d'attaques et de contre-attaques ! Le second set Vorg'er-Barna fut plus que les au tres remarquables et les attaques de Verger an filet soulevèrent maintes fois les applaudisse ments unanimes:

Quant à la finale Barna-Bellack, ce fut un TCi-itablc feu d'artifice. Noblesse oblige, lès deux

meilleurs joueurs du monde ne pouvaient donner

qu'un spectacle d'une oxceptionnelle beauté, le bouquet en fut le point final qui consacra la victoire de Barna.

Après la réunion, les joueurs ont été ^unaminic.» à faire part aux organisateurs de^ la très grande

champion de France, Bellak gagua assez diffi

satisfaction qu'ils avaient éprouvée à jouer dans une salle exempte de toute fiiméo do tabae, fait

cilement, en quatre sets. Dans ce matcli, par des séries de balle» longues et d'amortis, qui

les organisateurs t]ui ont déployé tout_ leur tact

match où la chance ne favorisa pas toujours le

unique ju.squ'à maintouant, dont il faut félieitor

vait mener un match autrement qu 'en attac|uant

pour y parvenir, et les spectateurs qui ont très sportivement compris les avantages qu'en tirè

à outrance. H y eut aussi une série curieuse

rent les joueurs et eux-mêmes.

fatiguèrent Verger, Bellak montra qu'il pou de 5 balles let, alternant régulièrement en fa veur de Bellak et de Verger : la succession d'une

crispation des traits et d'un franc sourire, chez Verger, selon le joueur bénéficiant de cet amorti idéal, était du plus pur effet comique !

Après un rapide 3-0 contre Bacquart^ (sjuis , que, cependant, l'Amiénois ait jamais été ridi cule), Barna « sortit » successivement Verger, 3-0, et Bellak, 3-0. Dans ce dernier match, Barna. réussissant à. mener l'attaque contre

Bellak, se montra en très grande forme.

Pour terminer, un double Barna-Bacquart contre Bollak-Vergcr fut gagné facilement, 3-0,

qjar les premiers, Verger, fatigué et ayant à peine pris quelques bouchées en. arrivant do Pé

trente ans, pleins d'ardeur et d'enthou siasme pour le ping-pong. Marcel Greffeuille eh préside les destinées que nous souhaitons brillantes. Il est secondé en sa

tâche par d'actifs et dévoués collabora teurs qui ont nom de André Mossé, secré taire général; Jean Maroni, trésorier; An dré Cassoute, secrétaire-acijoint; M. Coquard, trésorier-adjoint; Monceau, Montlès, Pierre Léna et Géo André, membres du bureau.

Les membres sont nombreux : cent cin

quante. N'est-ce pas un record pour un club qui a quatre mois d'existence ?"

Le nombre n'y est pas seulement, 11 y a des éléments de valeur : Galfard, Jean Vlasto, Salvan, Simeonoglou, Couteaux, Florentlno, Aboucaya, Cassoute, Monceau, Montlès, Lachard, Montoux, sont les plus forts joueurs.

Galfard est un joueur excessivement ré gulier d'un calme remarquable qui a rem porté maints premiers prix. Appelé à un très bel avenir, Galfard est certainement le second joueur du Littoral.

Vlasto, tennisman remarquable, joue au ping-pong avec les mêmes qualités qu'il déploie au tennis. Intelligence de jeu ma gnifique, régularité, coups décisifs, telles sont ses principales qualités.

Salvan, joueuT brillant, trop brillant sou vent et décevant parfois.

Le Plng-Pong Club de Marseille veut de venir un très grand club. Il y parviendra.

Les bonnes volontés n'y manquent pas.

C. NEMO.,

A Nancy, en Lorraine, le piuig-pong est lancé!...

C. BLANC.

LE 10

Alsace. — L'équipe de Paris à Mulhouse. — Grâce à la venue de l'équipe de Paris, composée do Barna, Bellack et Verger, Mulliouso n'ignore

plus rien de l'art du ping-pong, et dès le len demain, tous les fervents de la région, se sont mis au travail pour ttentor de copier de leurs maîtres, les coups savants et bien étudiés dont ils furent témoins, tout au long de cette magni fique soirée.

Le P. P. C. Mulhouse, organisateur de _ cette

11 a reconnu en effet après les avoir fait cs-

■sayer, cpie ces tables donnaient toutes les ga ranties de régularité dans le jeu.

Sculiaiious que beaucoup de clubs et de co mités suivent cet excmiile.

Nota. — La table Tunmer, démontable, coûte 750 francs et est en vente 5, place Saint-Augus-

tin, à Paris, et 61, cours Bordeaux.

de

^

l'Intendance à

mis en vente à Amiens (par Hachette) aux lieux suivants : Hachette; la Civette; scinare de la Gare.

S. P. LE 7

Oharleville, 8 mars (de notre oorr. part.). —

La venue des clianipions de ping-pong en notre ville avait, attiré au Foyet Municipal un grand nombre de spectateur.». Il faut reconnaître que

le Ping-Pong Club Ardenuais déploie une très grande activité dans notre région. Les matclics

nouveaux et nombreux adoptes du sport si à la

mode, ceci étant d'ailleurs le but principal re cherché par les organisateurs.

Voici les résultats :

Verger bat Bokauowski, 21-5, 21-6, 21-13 ; Bellack bat Szifris, 21-18. 21-4, 21-15; Barna liât Heller, 21-9, 21-11, 21-7; Verger bat Szifris,

21-15, 21-17, 24-22; Barna bat Verger, 21-13, 21-12, 14-21, 21-13; Barna bat Bellack, 21-15, 21-13, 21-18; Bcllack-Hcller battent Barna-Ver ger, 21-18, 10-21, 21-16.

4 5 6 7

Levallois A Butte Pinson Vincenne.s C St-Mandé C

20 21 22 23

Aubervilliers B Gambetta B St-Cervais A Masséna B

8 Stade Français A 24 Racing A 9 Aubervilliers A

10 Dunlop A 11 Red Star, B 12 Vincennes A 13 Charonne A

14 Masséna A 15 Vitry A 16 P. P. C. F. A

25 26 27 28 29 30 31 32

Red Star A Centre A Vincennes B St-Mandé B Butte Pinson B Duranton A Vincennes D Gambetta A

Rappelons que les rencontres ont lieu le mercredi. 4 messieurs 1 dame soit 16 simples messieurs, l simple dame, I double mes sieurs, 1 double mixte, au total 19 parties en 3 sets.

Repêchage à chaque tour, une équipe n'étant ainsi éliminée qu'après 2 défaites.

RAQUETTES La i Tunmer » manche liège faceg

caoutchoutées

18

noir

20

La a Bellak » établie d'après les données du Champion Hongrois. Manche en bols des Iles, deux faces caoutchoutées vert

25

TABLE Modèle réglementaire .avec pieds en retrait, conforme aux

règlements des

championnats

du Monde

750

»

TUMMER

AUTRICHE Notre excellent correspondant et ami vien nois, M. Edgar Grûn, nous communique un compte rendu des championnats Interna

Paris, 1, Place Salnt-Augustln.

Bordeaux, 61, Cours de l'Intendance.

tionaux d'Autriche et du match Autriche-

Hongrie.

Les joueurs hongrois Boros, David, Ke-

Médailles,

len et Mecklovitz ont participé aux cham

pionnats internationaux d'Autriche qui se sont

déroulés

à

Vienne.

Les

Plaqnelles,

meilleurs

joueurs autrichiens étaient engagés, à l'ex ception de Llebster actuellement en An gleterre.

Le vainqueur des championnats 1932 re nouvelle sa victoire. Kelen triompha, en effet, de l'autrichien Cohn en finale, après avoir éliminé, après un match épique son compatriote Boros, le score du dernier set ayant été de 25-23.

De son côté, Cohn avait éliminé Mecklo vitz et David.

De nouveau, Mme Wlldam remporta le titre en battant en finale Mlle Forhat. Ces

deux joueuses sont certainement les meil

Kronzes,

Coupés, liisiqnes p" Sociétés Diiseaux éLi C'® *20, lUi** Uustourolle — Paris Xol. :

1

leures en Autriche actuellement.

Le double messieurs voyait une finale en tre Hongrois, David et Kelen disposant fa--

mixte et la même joueuse associée à Mme

.

Poule de Oonsolation

1 P. P. C. Paris A 17 St;Mandé A 18 Dunlop B 2 Dunlop C 19 P . P. C. F. B 3 Racing B

mer.

Pendant toutes les parties, le publie put ad

Do pareilles soirées ne peuvent que faire de

CHAMPIONNAT PAR EQUIPES

bols deux faces caoutchoutées

et, particulièrement appréciés des org.anisateurs.

rités.

tableau noir ceinturé de chrome est divisé

Dans notre numéro du 5 mars, nous avons si gnalé à nos lecteurs les qualités que devait x:osséder une véritable table de Plng-Pong.

Nous sommes heureux de constater que ces renseignements ont iiorté leurs fruits puisque le Comité de Guyenne et Gascogne, chargé do l'or ganisation des Championnats de France, dis]mtés à Bordeaux, n 'a pas hésité pour faire jouer cette grande épreuve, à prendre des tables Tun-

choses, et les spectateurs qui se rendirent à la Bourse, trouvèrent celle-ci transformée en arène.

fement pouvant vous être utile pour l'amioneer vos lecteurs, que Ping-Pong est régulièreinent

Marbeuf,

La (( Bourquin Six s manche

M. 0. Bourquin fut un capitaine d'une affa bilité et d'uu rayomiement de synipatliic rares,

mirer la souplesse, l'adresse et la virtuosité des champions, dont la plupart de leurs échanges furent couronnés d'applaudissements fort mé-

34, rue

A COTÉ DES CHAMPIONNATS DE FRANGE...

cllement de Mecklovitz et Boros.

Aucune photo n'a malheiirousemejit été prise.

P. S. —r Je vous signale, comme un rensei-

blent salle Marbeuf,

près des salles de Ping-Pong et concluent des rencontres entre leurs équipes. Un grand

deux

réunion du 10 mars, avait fort bien fait les

ronne n'étant, plus en course.

questions importantes dans le bureau dii co mité, les représentants des clubs s'assem

en trois parties : demandes de matches pour équipes de I™ série, pour équipes de 2®,.

Après un premier tournoi triomphal, le Plng-Pong Club de Marseille naquit offi pour équipes de 3" ciellement. Sa devise ; « Up club de jeunes Un taxiphone à proximité peut recevoir fait pour des jeunes. » En effet, le (ïlomlté les communications : Balzac 47-19.

cran.

au iPéronne-Ping-Pong-Club, et à son actif pré

rent enthousiasmées pai- le jeu splendide qui

Chaque lundi après 21 heures, pendant que la commission permanente agite les-

directeur est composé par des moins de

Le gala des champion.s a obtenu un grand suc cès. — Le succès de cette démonstration dépas sant toutes esiêrances, est venu récompenser les organisateurs de loure efforts. Une très nombreuso

une spleudide exhibition qui nous rappela cette

LE 4

p. p. c. Marseille. — Depuis quelques mois le ping-pong s'est développé avec ra pidité dans la région méditerranéenne et les clubs ont poussés coniuie des champi gnons. Cette marche ascendante et triom

Verger, cliampion de France, bat Bunout (P. P. G. Ardennais), par 3 sets à 0, Bellak, finaliste du Champiounat du monde, bat Stauig (P. P. >0. Ardeunais), par 3 sets à phale -du tennis de table fait bien augurer 0; Barna, champion du mon'tlie, bat Morig.ny de l'avenir. (champion des Ardeiines), par 3 sets à 0 : 21-11, Le premier club créé sur le Littoral fut 21-8, 21-17. le Pliig-Pong Club de Marseille, monté de Tournoi triangulaire : Bellak bat Verger par 21-12, 21-13, 21-1(1; Barna bat Verger, 21-13, toutes pièces par Marcel Gi cffeuille, qui est, 21-12, 21-13; Barna bat Bellak par 21-12, 21-18, on peut le dire, le promoteur du ping-pong 21-9. Ce match nous permit d'assister à une très .dans notre région.

fameuse finale des Championnats Internationaux de France 1932.

LA BOURSE DES MATCHES

Mlles Wildam

Forbat-Flussmann

gagnèrent

le

enlevait sans coup férir le dou

ble dames.

La rencontre Autriche (Cohn, Flussmann,

Fischer), Hongrie (Boros, David, Ktelen), re. vint aux Hongrois, par 7 victoires à 2.

Résultats : Kelen bat Flussmann, 21-11,

21-18, 21-13; Boros bat Fischer, 15-21, 21-15, 21-3, 21-15; Coh-n bat David, 21-17, 15-21, 21-19, 18-21, 21-16; Boros bat Flussmann, 21-3, 21-8, 21-10; Kelen bat Fischer, 21-17, 21-6, 21-19; David bat Flussmann, 21-17, 22-24, 19-21, 21-19, 21-16; Boros bat Cohn, 18-21, 21-6, 21-17, 21-18; David, bat Fischer,

21-19, 21-17, 22-20; Cohn bat Kelen, 21-18, 18-21i 2-21, 2K13, 21-15.

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CîiiîV/e de lorganistiteur de tournoi \ Je vous al conseillé l'autre jour de con voquer tous les joueurs, le même jour, dans

la même salle, à la même heure, pour créer cette ambiance, cette chaleur qui est néces saire au développement d'un sport nouveau.

milieu du tableau, tirez un gros trait à l'en cre qui sépare ainsi le demi-tableau haut du

demi-tableau bas. Puis vous reprenez vos inscriptions aux places suivantes ; Le Le Le Le Le Le Le Le Le Le Le Le

Mais je vous ai signalé le grave danger qu'il y avait à agir ainsi. Attention au dé

sordre!1! Voyons donc comment nous allons l'éviter.

Rien ne s'improvise quoi qu'on en dise.

Votre tournoi ne se passera sans accrocs que si vous l'avez soigneusement préparé. Met tons-nous donc au travail maintenant que .nous avons devant nous tous les engage ments.

I ° Relever sur une liste unique tous les joueurs (du simple Messieurs par exemple) .ayant envoyé le montant de leur engagement.

Les autres... au panier sans scrupule ni re mords.

Je vous recommande très vivement de

faire établir cette liste par ordre alphabéti que c'est un petit travail qui vous deman dera quelques minutes supplémentaires mais qui va par la suite vous épargner de grands

soucis. D'ailleurs si le nombre des engagés m'est pas énorme vous pouvez vous conten ter de grouper les noms suivant leur pre mière lettre seulement. Les Dupont, Du rand, Ehibois ensembles, sans vous astrein

dre à l'ordre alphabétique absolu; 2° Souligner de crayon rouge les joueurs classés en première série et de crayon bleu ceux de deuxième série et noter les places •du dlassement à gauche du nom des classés.

Puis compléter votre texte en inscrivant dans une deuxième et une troisième colon

nes les adresses des joueurs et le nom de leur club.

3° Faire le tableau. Si du moins vous

avez décidé de faire jouer un tableau, c'est-

à-dire si vous avez adopté cette formule qui me donne que « le vainqueur », mais ni le second, ni le troisième. Je ne veux pas ici entrer dans la discussion : ce serait beau

coup trop long nous y reviendrons plus tard.

Je n'entrerai pas non plus dans le détail

de l'établissement d'un tableau important de ■Championnats de France ou du monde. Pour

le moment j'écris pour les débutants en •organisation et vais donc envisager seule

ment le cas très simple quitte à reprendre plus tard le problème en grand.

Ainsi je suppose que vous avez 32 enga gés au plus. Vous prenez une grande feuille

de papier blanc de 40 cm. sur 50 environ.

Vous la divisez en 6 colonnes par des traits verticaux au crayon à peine marqués.

Dans la première colonne, celle de gau che, vous tracez 32 lignes et vous numéro tez ces lignes de haut en bas.

Si vous vous êtes procuré un tableau tout imprimé dont font cadeau les marchands

d'articles de sfiort vous constatez que les li•gnes ne sont pas numérotées Faites-le tout d'abord c'est encore là un travail de deux

minutes qui vous économisera du temps... ^ de la salive plus tard.

Réunissez alors par des accolades les lignes deux à deux.

Et maintenant si vous avez 32 engagés tout juste c'est très simple. Vous relevez dans la liste établie le nom du joueur le mieux classé et vous l'écrivez sru la 32°

ligne tout à fait en bas. Puis le nom du joueur le mieux classé après celui-ci est écrit sur la première ligne tout en haut.

Le 3° joueur sur la 16° ligne et le 4° sur la 17° ligne et pendant que vous êtes là, entre ces deux noms, c'est-à-dire tout juste au Extrait dn catalogse Tailles rég-Iemcntaires pliâmes avec potelets sur clievalois emretoisés » 4» îr, Ea 3 pièces avec assemblase automati que, 8 pieds pliants 600 Ir. Avec 12 netna, filet tournoi, 4 raqu., Avec 12 Relna, lllet tournoi, 4. raquettes,

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et vous complétez votre tableau en mettant aux 16 places qui restent (libres le 31° à côté de 2 (31 +2=33), le 18° à côté de 15 (18+15=33), le 23°à côté de 10 (23 + 10 = 33), ainsi de suite jusqu'en bas, où le 17° sera à côté du 16° (17+16 = 33) et enfin

le 32° à côté du 1°"^ (32+1 =33) — les pla ces additionnées des joueurs d'une accolade

.

Ce critérium n'a pas apporté de vérita bles surprises, mais si aucun nom nouveau ne s'est imposé à l'attention, certains joueurs ont fait preuve de nets progrès et

l'on peut dire sans ex^ération que Camp-

bell, Butelot, Voisin, Furman et sans doute

le jeune (Dubouillé ont gagné leur place en première série.

Pour permettre de qualifier lies 8 joueurs qui auront le droit le participer aux cham pionnats de France on avait réparti les 110 engagés en 4 tableaux. Les 4 demi-finalistes

de chaque tableau étant répartis en 4 pou

32, ni I dans la première colonne mais vous inscrivez le n° I dans la 2° colonnè en face

de l'accolade,, c'est ce qu'on appelle un exempt.

N'avez-vous que 30 engagés ?... Faites la même opération pour le numéro 31 qui est supprimé tout en haut à la 2° ligne et pour le n° 2 qui passe sans lutte dans la 2° colonne en haut et ainsi de suite en exemp tant les premiers joueurs classés 3, 4, 5, etc., puisqu'ils n'ont pas d'adversaires.

Dois-je insister encore et vous faire re marquer que dans le cas où vous n'auriez que 16 engagés vous les mettriez tout de suite dans la 2° colonne et qu'ils seraient dans l'ordre suivant de haut en bas : 2—15 — 10 —7 —6 — 11 — 14—

3—4—13 — 12 — 5 — 8 — 9—16

— I, vous les réunissez 2 à 2 par une accoLde, chaque accolade représentant cette fois un total de 17.

Les combattants sont-ils moins de 16, sup primez de la même façon les plus forts nu

méros et faites passez dans la 3° colonne le»

camps, Furman, Lhuer, About, Cussenot, Dubouillé, Voisin.

Dans chaque poule la lutte fut acharnée

pour la première place. Campbell triompha

plus aisément pourtant qu'on aurait cru d'un Butelot qui méritait un meilleur sort.

Voisin venait non sans peine à bout de Dubouillé et Tran van Ba rencontrait une

sérieuse résistance devant Lesvêque et le

M. CORBIjLLON.

des équipes de valeurs sensiblement égales, et la lutte pour la première place, dans la poule finale, nous réservera certainement des surprises. Il y a parmi ces équipes, des

joueurs très cotés, tels que Daniel Guérin, Campbell, etc..., et je ne serais pas éton né de voir ces joueurs battus par de jeu nes éléments qui sont vraiment très forts.

Beaucoup de ces lycéens encore inconnus dans nos équipes de club, valent de bons

qui nous mettront, dans un avenir pro chain, sur une pied d'égalité avec les pays centraux. Voici les résultats : Poule I ; Pasteur et Michelet sont en

core à égalité, i victoires chacun.

Poule II : Vainqueur Carnet 1 (Daniel Guérin, Mettez et Bernstein) 6 victoires à 0.

Poule III ; Vainqueur Buffon III (Trézel, Lemoine et Denolle), Poule IV ; Vainqueur sua, Bardet et Lamy), i un match à jouer.

Poule V : Vainqueur

5 victoires à 0.

Carnot II (Josvictoires, encore Sainte-Barbe

I ,

(Buzzini, Maréchal et Pradelle), -4 victoi res. encore un match à jouer.

Poule VI : Vainqueur Rollin I (Camp bell, Mesmeur, M. Pain et Rotschild), 5 victoires à 0.

Poule VII : Ecole

Normale

d'Auteuil

semble devoir gagner 3 victoires à 0, en core 2 matches à jouer.

Poules VIII : Vainqueur Janson I (Lefort, Nesviglnsky et Citroën), 5 victoires à 0.

Dans le prochain numéro de Ping-Pong, les résultats complets de toutes les poules.

VALENTIN BOURQUÎN.

OÙ trouver «

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à Paris

Bondonneau.

Après cette victoire nous n'hésiterons

pas à soutenir que Mlle Nicole Foy mérite d'entrer en première série; elle est la seule

révélation de l'année et la seule jeune fille qui dès l'année prochaine puisse inquiéter notre invincible championne Yvonne Fayard.

Vous pourrez trouver « Ping-Pong » à Paris dans les kiosques suivants : Porte Maillot ; Porte Champerret ; Porte Clichy ; Porte de Saint-Cloud ; Porte Saint-Ouen ; Porte Clignancourt ; Porte de la Chapelle ; Porte de la Villette ;

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etc., etc.

Tout ce que je viens de dire là, \oua le saviez certainement, vous l'avez déjà fait mais il est probable que vous ne numérotiez pas ainsi vos accolades de 33 à 62.

queur cei-tain de chacune d'elles. Ce sont

joueurs de 2° série. Je suis persuadé que

Paris, 1, place Saint-Augustin.

accolades de 33 à 48, vous marquez là, vous le savez, les noms des 16 vainqueurs du 1°' tour, vainqueurs soit après lutte, soit sans lutte piour les exempts ou pour ceux dont les adversaires ne se seront pas présentés à l'heure. Mais ça c'est une autre histoire.

Les 16 lignes destinées à recevoir les noms de ces heureux gagnants sont tracées par vous dans la 2® colonne et jointes encore 2 à 2 par de nouvelles accolades numérotées de 49 à 56 puisqu'elles sont 8.

4 accolades grouperont encore 2 à 2 ces vainqueurs et porteront les numéros de 57 —

tion. On connaît, dès maintenant, le vain

c'est là que nous trouverons des éléments

Bordeaux, 61, Cours de l'Intendance.

tées de 1 à 32, numérotons de même les 16

Les rencontres de ces dernières semaines ont, dans chaque poule, éclairci la situa

Trezel, Guys, Brouet, Campbell, Des

premiers numéros qui leur seraient opposés, Revenons à notre tableau de 32 complet ou non, c est-à-dire avec ou sans exempts.

Les lignes de la !" colonne ont été numéro

Championnats scolaires parisiens par équipes

les de 4 joueurs chacune : Pradelle, Lesvêque, Charpeine, Tran van Ba, Butelot,

jeune Trezel. Seul Furman ne fut pas in font toujours un total de 33.

C'est bien simple tout cela évidemment quiété et se débarrassa de tous ses adver mais à condition de connaître l'ordre des ! saires.

Le vainqueur de VIntran Offenstadt ne 32 joueurs, or, ils ne sont pas tous clas s'était pas engagé mais le finaliste Huard sés, et le seraient-ils que plusieurs pour ne put passer le cap du second tour, Les raient être classés ex <squo. Je vous ré ponds : si plusieurs joueurs ont même place vêque se chargeant de l'éliminer en trois sets. Voici qui prouve péremptoirement que au classement, tirez au sort leur ordre. la commission de classement connaissait son Si vous avez des joueurs non classés, clas sez-les ou tirez au sort mais quoi que vous métier et qui fermera, il faut l'espérer, la bouche de tous ses détracteurs qui préten fassiez en ce cas vous serez critiqués certai nement, les malins chargent une commission daient que ladite commission avait classé à sportive de faire le classement... comme ça tort et à travers.

Du côté féminin Mlle Nicole Foy prouva ils ont un parapluie contre l'averse certaine une nouvelle fois sa grande classe en sortant des revendications.

Compliquons maintenant le problème. Au facile vainqueur des 17 engagées.

Elle battit assez facilement dans la poule lieu de 32 engagés vous n'en avez plus que 31. Et bien, c'est enfantin, puisque le finale Mlle Blondin, sa sœur Jacqueline joueur 32 n'existe plus, le joueur n° 1 n'a Foy et Mlle Berthélemy, nouvelle venue pas d'adversaire, vous n'inscrivez donc ni qui s'était qualifiée aux dépens de Mlle

nis en 2 accolades, 61 et 62.

Caisse emballage pour une ou trots tabtea,

«

la ligne

58 — 59 — 60 destinés aux noms des demifinalistes. Enfin ceux-ci seront encore réu

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A XOS AMIS

REVUE DE LA PRESSE Nos Icdeurs seront sans doute ravis de|jamais pris au sérieux. Nous ne sommes pas

pouvoir suivre la polémique engagée entre le chroniqueur de Gringoirc et noire jugearbitre. On se souvient que, dans un précé dent numéro, M. .André Lang fut ici fort vivement secoué à propos des opinions cocas ses qu'il émettait sur le Ping-Pong. Cet « échange de balles v, même sans résultat, semble amuser M. Lang. Notre bonne hu meur est pour le moins égale à la sienne et nous nous jugerions impardonnables de ne

des sportifs. Nous n'avons jamais songé à considérer le stylographe sous l'angle du jeu.

C'est un grand tort. Notre situation, soyezen convaincus, changera du tout au tout le jour où la critique examinei'a le livre ou l'article comme un set de tennis ou comme

un match de football, le jour où les chapi tres s'appelleront « manches », et où le Bulletin de la Société des Gens de lettres s'intitulera Porte-plume.

pas jouer avec lui.

Voici la réplique de M. Lang, parue dans Gringoire du lo mars: Je n'ai rien à dire : c'est de bonne guerre I J'avais brocarde, l'autre jour, l'organe offi ciel de la Fédération des joueurs de pingpong de France, et je me suis fait agrafer dans le dernier numéro de cette importante

publication. Je m'étais permis d'écrire que les revendications des ping-pongeurs fran çais dégageaient un humour des plus fins. Le rédacteur anonyme qui me répond, m'af firme qu'il est une prose qui le divertit infi niment plus que ne m'égayé celle de ses amis, et que le Bulletin de la Société des Gens de lettres fait sa joie. Bravo ! De cette manière, tout le monde est content. Le pingpong nous amuse et nous amusons le pingpong.

Je reprocherai seulement à mon aimable confrère un manque de mesure, bien regret table chez un « juge-arbitre » puisqu'il pro fite de l'occasion pour asséner sur le crâne dés pauvres gens de lettres quelques coups de massue, qui sentent leur passion d'une lieue. <)n attendait plus de légèreté et d'es prit d'un homme habitué à manier une raquette de bois tendre, -âh ! voyez-vous, journalistes, mes frères, nous ne serons

r.

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M. Lang pousse en l'occurrence l'imagi nation jusqu'à, la manie de la persécution.

Nous ne voulons aucun mal aux gens delettres en général (et nous avons sans doute pour cela de bonnes raisons) — ni à M. An dré Lang, en particulier. Nous avons pro testé contre la prétention insupportable qu'ont la plupart des gens de plume à l'omniscience (de om'ni die scibili...) par la sim

ple vertu de l'étiquette qu'ils se donnent. Il y a trop souvent tromperie sur la qualité Je la marchandise.

■Voilà pour les écrivains en général. Quant à M. André Lang, en particulier, qu'il veuille bien se persuader que nous ne lui l'eprochons nullement de n'aimer point les sport.'' et même de les mépriser. Nous lui repro chons de parler avec suffisance de choses qu'il ignoi'e. C'est tout. C'est beaucoup.

Par ailleurs, nous

avons

autant,

sinon

plus, que quiconque le respect des hiérar chies. Nous

accordons

d'importance sur

évidemment

le plan de l'éternité à

l'auteur des Pensées ou à celui de la théorie

des Quanta qu'à un honorable yaudeviliste.

Et cela ne nous empêche point de consi

dérer le ping-pong comme un sport extrê mement agréable.

■

TA.BÏ.ES

i>E

de joueurs.

Mais en entreprenant cette tâche, ils pensaient grouper peu à peu autour d'eux toutes les bonnes volontés, quel les qu'elles soient, aussi bien celles de

la Fédération que celles du Syndicat du Piiig-Pong, autant celles de Province que celles de Paris.

A part le Comité actuel de la Fédéra tion dont la nullité en tout

est

écla

tante, nous avons pfirtout effectivement eu l'aide de tous. De tous les coins... et même du milieu de la France nous sont venues les collaborations désinté

ressées... de ceux qui savent écrire, et les encouragements de ceux qui savent pourtant tenir une plume assez bien pour nous exprimer de façon parfois touchante leur sympathie.

Cela ne nous suffit pas, nous ne de mandons pas que vous soyez avec nous, nous voudrions que vous fussiez parmi nous. 11 faut que vous viviez de notre vie, que notre cause soit la vôtre. Il faut que vous connaissiez nos succès, que vous participiez à nos joies comme à nos déceptions. Le Conseil d'adminis tration du Ping-Pong, c'est vous tous ; comme si nous étions tous réunis autour

d'une table à tapis vert, posez-nous des

questions, rien n'est secret dans notre

maison, ni nos buts, ni nos moyens.

3Iais eu revanche aid(!z-uoHs, ditesnous par exemple cette semaine à quel endroit de votre ville nous devrions

mettre en vente notre journal et quel nombre d'exemplaires nous devons y envoyer, nous suivrons votre conseil, tout le monde y gagnera, nous d'abord puisque nous diminuerons le nombre des invendus, les fervents du Ping-Pong ensuite puisqu'ils s<auront dorénavant où s'adresser pour trouver leur journal, et vous aussi... mais ça je ne vous dirai pourquoi qu'une autre fois... sinon, oh serait votre mérite ?

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Un tournoi handicap féminin aura lieule dimanche 26 mars au Turgot — la, rue Turgot. — Les engagements seront reçus

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Le» tournoi handicap mixte du jeudi con tinue à se disputer dans les mêmes condi

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Comme nous l'avons dit dans le

dernier numéro, ce journal n'est pas une entreprise financière, encore moins une manœuvre électorale. La poignée de camarades qui s'est attelée à la be sogne n'a pas rêvé autre chose que d'ai der, par la plume, le développement d'un sport, que d'autres poussent grâce à leur activité ou grâce à leurs qualités

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