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DEI MEMR A.\AEE — !V» 11.
Un fabricant de caont-
chonc a vendu, rien
qu'en France, et depuis le début de rannée, de quoi recouvrir 500.000 raquettes...
— Le pingf-pong' est en marche î
PRIX : TIX Fll/Vi\C
Fino-Pon a JOURNAL ILLUSTRÉ PARAISSANT LE 5 ET LE 20 DE CHAQUE MOIS
Rédacteurs eu Chef : CONSTANT BOURQUIN & RAYMOND VERGER - Administrateur : RAYMOND DUBILLOT
3.4, ,-„e Alarbeuf.
Tél.j
Nous avons enfin
Le nouieau Coiisilé
des dirigeants
(le la F. F. T. T.
Le com-age est une vertu qu'un
Président : 'Marcel Corbillon (Paris). Vice-présidents : F.aggiani (Bretagne) et G.
sont légion. Mais les malins prati
Secrétaire général : Pierre Agut (Paris). Secrétaire adjoint: Baymond Verger (Paris).
chacun ne pratique pas. Les couards
quent le courage à retardement. Nos campagnes ont affolé certains
poltrons, qui nous approuvaient dans leur for. sans oser toutefois nous don
S MAI ir^is.
Alionuciucnt: un un, 20 ïrs
SET ET MATCH La balle au bond
sa manière les instructions qu'il avait
G.arrigdes (Guyenne et Gascogne).
Trésorier : Pétel (Paris). Trésorier adjoint : Duban (Paris).
Membres du Comité : B.abré (Ctiainpagne),
BouÉ (Normandie), Blanc (Lorraine), GarDILLE (Centre), M.arcel Greffeuille i(Littoral), D'' Guérin (Paris), J. de Parseval
liste des candidats aux élections, ou bien le
représentant de ce Comité a-t-il interprêté à
Le fameux homme à la pipe, polilicien av cœicr innombrable, a été l'un des auteurs
de cette innovation démagogique : la diplo
matie Il au grand jour ». Ça nous a valu quelques parades peu brillantes de bons
reçues ?
Le nouveau président se vengea avec bon ne humeur en faisant élireiM. Garrigues à la vice-présidence de la F. F. T. T.
hommes. peu reluisants, des paroles creuses,
des gestes théâtraux, toutes choses propres à duper le bon peuple crédule. Quant aux négociations vraies, elles furent toujours
L'art (le faire des tableaux
de nous envoyer des articles où sont maltraités sans mesure les vaincus des dernières élections. Nous n'aimons
présence de tous les délégués qui avaient participé d l'assemblée générale. C'était nouveau et c'était littéralement la première
puté parisien et le tableau des doubles mixtes était une petite merveille du genre... Hélas,
pas, en l'occurrence, ces coups de
français avaient l'occasion de voir discuter Il au grand jour » les chefs qu'ils se sont choisis. Et pourquoi pas ? Les problèmes que la F.F.T.T. doit résoudre ne constituent
ner publiquement leur témoignage. Quelques-uns se sont ainsi dispensés
de voter afip d'être tout à fait sûrs de se trouver en fin de compte du côté des vainqueurs. Nous les félicitons de
(Languedoc et Roussillon), Pillot (Nord), J.ACQUEs Rufexacht (Alsace).
Les
Vice-Présidents :
leur adresse, mais nous les dispensons
fois que les petits dirigeants du Ping-Pong
pieds de l'âne.
Nous avons les dirigeants que nous avons souhaités. Nous croyons qu'ils ne décevront pas nos espoirs. Cela nous suffit et nous n'éprouvons nul besoin d'accabler des hommes qui ont
pas un secret réservé à quelques manda
rins, La politique u au grand jour » instau rée par l'équipe Corbillon est une formule très heureuse. Une politique de direction
et de contrôle n'a rien d voir avec la diplo matie.
pavé leurs erreurs.
Nous sommes enchantés que nos élus
aient 2ms d'eux-mêmes une initiative que
Des amis veulent bien faire hom mage à notre journal de la victoire
personne ne songeait à leur demander. Nous
dats sont élus presque à l'unanimité, Raymond Verger, par exemple, étant plébiscité par 147 suffrages sur 148
muis simplement la manifestation du désir qu'éprouvent des hommes forts et sûrs de leur force de nous conduire où nous devons
M. FAGGIANI,
Président du Comité de Bretagne
aller par des voies indiscutables.
El^ ce premier témoignage est infiniment agréable d des gens cqui savent avoir bien l>lacé leur confiance.
votants. Et seuls sont élus les seize
candidats que nous avons désignés. Si
LE JUGE-ARBITRE.
n'est pas en raison de la puissance n'avons aucune prétention à tirer les
« Vieille Gloire »
V V
i
ficelles. Nous en sommes fiers parce qu'il est ainsi établi que notre journal est un écho fidèle du monde pongiste. Nous avons exprimé ici les opinions
l'Auto.
Le lendemain des élections, il jouait,
dans l'équipe du Racing, la demi-finale du Championnat de Paris des Anciens.
Que les plus de quarante-ans en prennent
M. GARRIGUES,
Président du Comité de Guyenne et Gascogne
fair-play nous commande de rentrer
LE SYNDIC.iT DU PING-PGNG VA PKOTEOEIi LES ACHETEURS
malicieux qui voudraient que la nou velle fédération fût maintenant notre
prisonnière. Nous plaçons en elle une
confiance que nous croyons justifiée. Et nous songeons moins à contrôler ses gestes qu'à l'aider dans son action.
CONSTANT BOURQUIN. Lîre pag-e 3 :
Chez GeonjeH Simenon^ 1
Notre nouveau président jouait dans 1 équipe des Vieilles Gloires de France, paraît-il, d'après les comptes rendus de
doléances, leurs suggestions. C'est forts de leur appui et conscients de parler en leur nom que nous avons
Que ceci soit dit à l'adresse d'amis
Le capitaine Babault, de Metz, racontait aux délégués combien sa femme est fervente pongiste. C'est bien entendu, une lectrice
enragée de notre journal et le doux Capi
taine^ se plaignait que l'autre jour elle eût laisse brûler le roti tant elle était passionnée par la lecture des échos de la croisade. Méfiez-vous !
Un autre délégué, M. Faggia'ni, de Bre tagne, en racontait une bien bonne. Le Co
mité de Bretagne avait décidé de mettre en garde les clubs de la région contre le fameux
coup des pouvoirs en blanc. On prit les ins
tructions a ce point à la lettre que lorsque méfièrent
conformément aux
Heureuse décision, et qui s'imposait. La question de la tahic a été soulevée au cours d'un article paru dans notre
précédent numéro. Des commerçants mal renseignés ou peu scrupuleux inondent, en effet, le marché de ta bles injouables, dites néanmoins « ré glementaires » parce qu'elles ont les di mensions réglementaires. Le syndicat demande donc à la F. F.
T. T. d'homologuer des types de ta bles. Avec chaque table conforme aux types agréés, le syndicat délivrera un brevet d'homologabilité.
Les aclieteurs (|ui voudront acquérir l'assurance de n'être ptis trompés n'au ront qu'à exiger ce brevet.
de la graine 1
Copains 1
^ Les dirigeants de Guyenne et Gascogne
bateur ! Nous autres Rrctoiis...
M. Faggiani, président du Comité de
Bretagne, défendra avec fougue les intérêts
de ses ressortissants aux réunions de la Fé
dération dont il a été élu vice-président. Il
commence volontiers ses phrases par ;« Nous autres Bretons ».
Or son accent décèle son origine toulonnaise. M. Faggiani semble être appelé à etre le boute-en-train des réunions du Con seil Fédéral.
n en sont pas encore revenus : le comte Pal-
Violation dç domicile
mieri et Corbillon ne se quittaient pas d'une semelle. G est Corbillon qui alla recevoir le
Président à la gare lé lundi eoir, qui lui pré
senta M. Garrigues, qui le pilota; ensemble ils auraient mangé les huîtres d Arcachon si le président avait aimé les huîtres. Tout cela semblait surprendre les Bordelais, ils Seront
encore plus épatés quand nous leur appren drons que dans le discours du président la phrase regrettant les attaques personnelles n était pas dirigée contre Corbillon mais...
non là, ne soyons pas indiscrets ! La Reconnaissance
Est-ce parce que ce fut Corbillon qui eut
1 idée de faire disputer à Bordeaux les Championnat de France que le Comité de Guyenne et Gascogne raya son nom de la
instructions
reçues, et répondirent par un silence répro
1 autre dimanche, à Rouen contre le « onze »
puis des mois, nous recevions ici leurs
dans l'ombre.
Le rôti est brûlé
des Anciens de Normandie. 11 s'y distingua,
et les désirs de nos lecteurs dont nous avons été les porte-paroles. Aussi est-ce à eux qu'il nous plaît d'attribuer une victoire qu'ils ont su vouloir. De
bataillé. Les résultats sont acquis. Le
et ruina tous les espoirs de l'artiste. ,
M. Faggiani réclama pour lui-même les pou voirs^ en question de nombreux présidents se
nous sommes fiers de ce résultat, ce qu il semble nous reconnaître. Nous
helas, la paire bretonne n avait pas compris
n'y voyons aucune intention démagogique,
remportée. T1 est vrai que cette vic toire est écrasante. Tous nos candi
Il ne s agit pas de peinture mais de cet art subtil qu on reproche à certain dirigeant Je pensais d tout ça, 2>ar analogie, le soir du P.P.C.F. d'avoir mené pas loin de la des élections d la F.F.T.T. Aussitôt élu, le perfection. Eh bien, il y a en Guyenne et nouveau Comité se réunit pour élire son bu^ reau dans la salle même du congrès et en Gascogne quelqu'un d'aussi fort que le ré secrètes. La diplomatie est secrète ou elle n'est plus la diplomatie.
Le Ping-Pong Club Boulonnais est devenu
un club prospère, très bien aménagé et de
ce fait très fermé, sous 1 impulsion énergique
de quelques dévoués, dont M. Dutertre, le président actuel.
Récemment, 'le Club organisa une soirée privée avec la particaption de Barna et de Verger. A un agent du fisc qui venait voir ce qui se passait dans ce local brillamment
éclairé, M. Dutertre, qui n'est pas parti
culièrement emprunté, répondit : « Mon
cher Monsieur, vous êtes en état de violation
oe domicile; d ailleurs vous ne pouvez ins trumenter la nuit ». Sur ce, l'agent du Fisc, très aimable d'ailleurs, redescendit l'escalier
qui mène au très bel appartement du P. P. C. B.
.
- 4* .
,
•f
PING PONG
R»'*('(>ptious poniïistcs
LES ETAPM^S DE L/t CROIS/IDE
H y A tiès peu de temps, Yvonne Fayard «jfiïait à sœ amis un -cocktail pour fêtm- sa vkîoire du Gtampionnat de France. ■Plus Irécemment c'est M. Petel, qui veil lera désormais sur les trésors de la F. F.
T. T., qui invitait plusieurs Joueurs à sabler le cbampagne. Hélas ! à l'occasion d'un événement moins
,|^ ; Maurice Petel est en effet parti au service militaire.
Les Mourmelonnais vont
sûrement faire des progrès étonnants.
Douceur de vivre
Rien n'exprime mieux l'aiscince, la faci lité de l'existence qu'ont su se créer les biteriois. 11 semble que rien ne leur pèse et
que leur seule occupation soit de regarder couler les jours, installés aux terrasses des innombrables cafés des allées Paul-Riquet.
La température est douce alors qu ailleurs il
Autre (lépjtrt
fait froid et la lumière est d'une qualité toute provençale.
Rudy Loebenberg, l'excellent joueur de première série est parti pour Dieuze où il a
Crozals, Lacombe et tutti quanti, la vie s'écoule du matin au soir, et chaque jour ain
été affecté au train des équipages. Le capi taine Babault, de Metz, lui parlait sur un ton bien amical, au Palais du tennis, l'autre
Pour les pongistes locaux, les sympathiques si, à La Taverne (dont les propriétaires sont
les plus gentls qu'on puisse imaginer). Cha cun a, sur le rebord d'une fenêtre, une place
réservée pour sa pile de soucoupes. Comme
soir...
il vaut mieux ne pas trop se fatiguer, chacun
LES
GRANDS
CHAMPIONS
IIAYDOIV Haydon est de loin le premier joueur d'Angleterre, encore que David Jones le batte 4 fois sur 5. Ce résultat ne s'explique d'ailleurs que par la grande connaissance qu'a le Londonien du jeu très spécial de son compatriote de Birmingham. Au point de vue international, Hayd®n est donc d'une classe supérieure à tous ses compatriotes, sauf peut-être Perry. S'il ne lut jamais finaliste des championnats du monde, il fut souvent demi-finaliste et en Coupe Swaythling, il compte des victoires sur tous les joueurs européens, Barna com pris.
Aux derniers championnats internationaux d'Angleterre, il rencontra le champion du monde en finale et ce dernier en très belle
forme dut s'employer à fond pour le dis tancer sur la fi n du match. Ce fut d'ailleurs
une des trois plus belles parties que j'aie pu «air et à mon avis, personne ce soir-là, sauf Barna, ne pouvait battre Haydon. Ne ve nait-il pas d'infliger des défaites très sévè res à Glanez et à JColar ?
j'aime bien situer par un mot pour nos lecteurs les champions que nous faisons mieux connaître aux joueurs français. Haydon, c'est le lift — poussé à l'ex trême — exclusivemsit le lift. Je serais tenté de dire que tout en lui, même sa figure, indique cette spécialité, en tous cas certai nement sa façon de se tenir et de marcher. Lorsque je le vis pour la première fois à
Budapest en 1930, j'étais persuadé qu'il
était animé par une mamère de danse de
Saint-Guy ! 11 se tient, en effet, constam ment sur la .pointe des pieds, sautillant, animé par ce désir de lift, remontant avec la balle, les jambes, les bras, les épaules
et frappant toujours, même attaqué. De ce fait, il est toujours le préféré du public qui aime la bagcure. Dès le premier échange, et avec une seule face de sa raquette, il attaque, il « rentre dedans », ne jouant ex clusivement qu'en coup droit. Si d'aventure il ne peut faire autrement que prendre une balle à sa droite (car il est gaucher), il la recueille avec la même face de la raquette dans un mouvement acrobatique et rapide. J'ai remarqué également qu'il possède peu a d'amorti », préférant continuer à frap per jusqu'à écœurement de l'adversaire qui
iqjrend ses « canon balls ». Ses services variés et très compliqués ont fait dire de lui, par certains critiques qui ne réfléchissent pas, qu'il n'est pas un beau joueur. Il étudie des services et les réussit. C'est
très intelligent de sa part, puisqu'il attaque
ne règle ses comsommations qu'à la fin de la journée. Et les piles de soucoupes montent parfois si haut que leur équilibre devient pré caire...
Une fois par an, ces charmants amis u en mettent un coup », au moment des vendan
ges, puis iL rentrent dans leur coquille ; Ah! que la vie est douce, douce... Je voudrais être biterrois ! Carcassonnals et Biterrois
Le long des allées Paul-Riquet à Béziers. Echange de vues entre un Carcassonnais, qui vante fort la beauté de .sa cité fortifiée, et un Bifterois :
— Vous nous chauffez les oreilles avec
l^iiracle des loups...
— Elhl les miracles, c'est pas tous les
grande sympathie de ce grand champion, toujours impeccable, un peu voûté devant la table, animé par une farouche volonté d'ob tenir le maximm... Après la partie, ayant gagné ou perdu, quel sourire épatant sur son visage de vrai sportif !
RAYMOND VERGER.
Tous les membres du
ing-Pong-Cluh d'Auvergne sont , postés à un point stratégique du parcours. Au deuxiè me relai on tombe sur le vice-président du club et ce court dialogue s'engage entre lui et Constant Bourquin. : — Vous êtes la Itroupe ? — Quelle troupe ? — La troupe..., enfin, quoi, la compagnie...
- — Vous voulez dire l'équipe de Paris ! Il y a déciclément des malentendus tena ces. Enfin la salle. Tout Aurillac et le Tout-
Aurillac sont-là. On a mobilisé le poète lo
cal, personnage grave (n'est-il pas directeur de 1 Ecole Normale ?) qui pimente cette
A (Libourne, on peut lire sur les poteaux indicateurs : Fronsac 4 kilomètres ; Pome-
rol 7 kilomètres ; et cela réchauffe le cœur. Le Président du P. P. G. L., M. Mo-
reàud, a des occupations qui le rendirent im médiatement et éminemment populaire. Il est distillateur...
Outre le Château Lagrange, l'absinthe d'avant-guerre, les croisés trouvèrent à Li
bourne les tables les plus rapides de
Libourne-Cosne : étape-reine pour des gens qui commencent à être sérieusement fa tigués. 450 kilomètres au cours desquels le
littéralement malades de fou-rire contenu. Le
tout se corse d'une Marseillaise imprévue qui éclate au moment où Verger pénètre dans
I arène. Suffoqué, Verger s'étale par terre et
rate la réception d'un bouquet enrubanné aux
couleurs nationales que lui tend une petite
nom de l'actuel Président de la Fédération fut souvent béni !
Ce n'était pas toujours la grande rigo lade.
fille dans l'attente du baiser rituel... Elxcusez
, Un Joli clul)
Verger, c'est la première fois qu'on le traite en chef d'Etat ! Un désir de Bellak
Aurillac-Bagnères-de-Bigorre : Une gen tille étape encore. Le Lot — pont en répa rations — les croisés doivent user d'un bac
Bellak, décidément amateur de flotte, a
cisson, c'est bonnet blanc et blanc bonnet.
II se trouve à Gosne, petite ville de la Nièvre où les champions jouèrent au dé botté. Nous nous permettons de signaler aux autres clubs de la région qu'ils trouveront
là un^e très jolie salle de club, spacieuse,
claire, propre... et de forts bons joueurs de tennis sur table qui deviendront vite de très bons joueurs de ping-pong. Hors programme
Raymond Verger avait promis depuis longtemps au club de Troyes de s'y rendre avec l'équipe de Ylntran. La date fixée se trouvait être le lendemain de la réunion de Cosne, dernière de la croisade.
Ses camarades rentrant à Paris, le laissèrejjt à Sens.
L extraordinaire Ladislas devait avoir sa revanche, le lendemain, à Bagnères. M. Le-
Sur Je quai où l'omnibus de Montargis était attendu, Bellak se payait nettement la tête de notre ami : « Verger, beaucoup (ihance voyager, très joli ijouer ping-pong ce
vel, l'aimable directeur de l'Etablissement
sorr »..
lit.
Le désir réalisé
Les bitenois, comme de bien entendu, fu
il est impossible de dépasser le 20 de moyen
.Au jiay.s de la vigue
La hçlic étaiie
coucher deux nuits de suite dans le même
voitures pour emmener loute la caravane à Sète. Au cours de cette étape, on connut la plus mauvaise route de France. D'Agde à Sète, elle longe la mer. Elle est si étrange ment vallonnée que, pendant dix kilomètres,
I heure : un beau cabaret, peu de monde, Bellak casse un maximum de verres.
le. Le public s'ennuie, mais il a le respect
seule fois, durant leur voyage, qu'ils purent
rent du voyage et ce ne fut pas trop de trois
22 heures : une belle salle, beaucoup de monde, une recette record.
des éminences. Quant aux parisiens, ils sont
II veut absolument traverser à la nage. Ses camarades, avec le renfort du pas seur, l'en dissuadent à grand'peine. Une demi-heure avant, les croisés déjeunaient à Figeac (foie gras, confit d'oie, cahors vieux...) Ajoutons que, pour Bellak, les truffes du Périgord noir et les peaux de sau
La proximité de Sète fit que les croisés gardèrent leurs quartiers à Béziers. Ce fut la
Bccords ù Biarritz
France, ce qui les réjouit aussi.
déjà retiré sa veste, sa cravate, sa chemise.
3Ial (le mer sur terre
cer à la poursuite de ses pourchasseurs !
coquette soirée d'une improvisation soigneu sement préparée et laborieusement spirituel
là que <( discussions », mais il paraît que sur le terrain de rugby (ne prononcez pas le g) ça dégénère en « explications ! »
thermal, invita, en effet, les champions à
A deux doigts du drame
s ébattre dans la très belle piscine. Quoique s'étant couchés fort tard, les « croisés » étaient au rendez-vous matinal,
On connaît la malchance des Auxerrois
qui durent annuler au dernier moment leur
ne. Et comme la route se confond pour ainsi dire avec la plage, on a l'impression
laissant Barna dans les bras de Morphée. Je
réunion à la suite de l'accident survenu aux
vous prie de croire que si tous les fervents
d'être en bateau et de monter à l'assaut de
du tennis de table se débrouillent comme
occupants de la 06. Une réunion de compensation fut donc or ganisée quelques jours après la rentrée à Pa
vagues démesurées. Bellak eut le mal de mer.
llumha... lueciim porto
Un coup d'œil au cimetière marin, immor
talisé par Valéry, puis Verger et Bourquin s'en furent à la poursuite du pastis. Dans un bar à matelots, on consomma sur le zinc.
Verger tout de suite dans le ton, mobilisa le phonographe et les pasasnts ahuris purent enendre, déformés par le pic^ up, les rythmes dissonants d'une rumba. Ah 1 cete ïumba ! Elle fit tout le voyage dans une poche de la voiture et, en toute oc casion, Verger la fit jouer pour se procurer au commandement les amères émotions du souvenir. L'heure de dîner. Barna et Bellak introu vables. Enfin on les découvre dans le café
doux M. de Parseval. Matches. Succès. Et
camarade, il se dégage une
nats sont malins.
de fortune. Barna s'aperçoit tout à coup que
passer à coté de ses balles de service, litté Comme
vu et le (malheureux Bourcuin avait dû fon
jours i Au café, devant les soucoupes, ce ne sont
comment, souvent haute, le sert beaucoup. J'ai vu David, le fameux joueur hongrois, ralement.
on brûle sans le voir le gentil champion d'Auvergne, Marcel Capitaine qui agite, au bord de la route, des fanions et une raquette cloutée d'or. Heureusement que les Auver-
— Ceci n'empêche que le cinéma vient tourner chez nous des films historiques, le
Bourquin s'était, en effet, artêté pour l'at tendre. Lacrouts et Verger n'avaient rien
.votre cité en carton pâle.
sétois où s'est réfugié le dernier billard de la région. Dîner familial présidé par l'aimable et
constamment. Une bcJle renvoyée n'importe
L'étape est enlevée tambour battant. A l'entrée d'Aurillac, environ 8 heures du soir,
Sète bat, en passant, le record de la re-
eux dans l'élément liquide, les a Délits bains » ne seront pas encombrés par dès pongistes cet été.
ris des « croisés ».
Les Auxerrois faillirent bien ne pas les Partir
Les (( croisés » eurent-bien du mal à par tir de Bagnères où M. et Mme Nassiet, les
propriétaires de l'hôtel Vigne et les impaya bles joueurs Lacrouts et Gault s'ingénièrent à leur .faire passer un agréable séjour. Il y eut entre autres, • une « cocktail party » improvisée assez badine, Nassiet, qui est de la grande lignée des barman, ami
de l'execellent Georges, rivalisait au sha
voir cette fois-ci encore.
En effet, ces derniers ayant crevé en route s'aperçurent que le coffre était fermé et qu'ils n'en avaient pas la clé, ce qui n'au rait d'ailleurs pas servi à grand'chose, la roue de secours étant également à plat ! Heureusement, ces constatations pleines d'humour ne se faisaient pas très loin d'un village et Auxerre applaudit, quoique très tard, Barna, Bellak et Verger.
ker avec le capitaine de la croisade, pen dant que Lacrouts et Gault prenaient le ernoddans des demis et péchaient à la main truites du bassin. N'avaient-iis pas ima-
NOS PHOTOS DE CHAMPIONS
ine d'emmener tout le monde au Tpurmaet pour sacrifier pendant une heure aux sports d'hiver ? Mais les croisés ont le sen
Chaque jour nous recevons de pro vince des demandes de photographies de Barna, d'Haguenauer, de Yerger, de Mlle Fayard, etc.
Ses
timent du devoir et ils furent le soir même
à Bordeaux où l'on prétendait déjà scratcher Verger.
.cette...
Ciirlcuse poursuite
Retour à Béziers vers 2 heures du matin.
Nous avons donc décidé de créer une
collection des grands
La Taverne est aussi animée qu'en plein jour. Bichus, petits pâtés 'de Pézenas, duel entre les deux capitaines : on s'arrête à un set partout... On se couche enfin en vue d'une fameuse étape à accomplir le lende
party » ? Toujours est-il que parti derrière Constant Bourquin et devant le rattraper pour lui rendre Verger qui avait pris place à son bord, il pourchassait quelqu'un qui se
main : Béziers-Aurillac.
trouvait derrière lui.
Lacrouts se ressentait-il de la « cocktail
champions et
nous nous sommes adressés au Studio
Piaz. D'ici quelques Jours nous serons à même de fournir de très belles pho tos, format 13 x 18, pour le prix de
3 francs la pièce. Joindre un franc en plus pour les frais de port et d'embal
lage. Envoi franco à partir de six pho tos.
PING PONG
Vinfil mùiules
Chez^ Georges Simenon, pongiste
axtoc le nouveau Pi^ésidenl
monde jusqu'à La Richardiàre, à une quin
Fendant que Barna et Bellak écoutent
La croisade avait quitté particulièrement tôt la ville de Nantes, quoique à regret, les
zaine de kilomètres de La Rochelle.
Nantais fêtant à leur façon ce jour-là la Mi-Carême. Mais il valait mieux partir
Georges Simenon une'sorte de Marquis de
pendant que Verger farfouille dans les op-
aivant que ce départ ne fût un arrachement.
Carabas Brusquement l'on quitte la route
jets nègres que .Simenon a rapporté de son
Le telai qui s'impose entre Nantes et La Rochelle est un relai gastronomique : Sainte-Hermine (et l'Hôtel des Voyageurs mérite l'attention que lui accordent les dis
ciples de Brillat-Savarin). La croisade abordait donc La Rochelle
Les abords de La Richardière révèlent en
religieusement une émission de Budapest
nationale pour un chemin cahoteux, à tra récent voyage en A. G. F.,-Constant Bour vers champs. Au bout de cinq minutes vous quin (tout en faisant honneur au champagne) découvrez un authentique manoir perdu dans pose au maître de céans des questions insi un parc admirable. Seul anatchtonisme et dieuses touchant la littérature et le pingqui révèle, selon Verger, une intention piong. j'écoute, quant à moi, religieusement, (< gangster », un magnifique distriputeur d'es- tout prêt à enregistrer des propos définitifs.
r
que dans les sports d'adresse : le cheval. Fa voile, le rugby, la boxe...
— Mais, cher ami, il me semble que la
question ne se pose plus, et j'imagine que pas une personne sensée n'en doute. G est un sport admirable, qui rappelle, à la fois, l'escrime et le tennis, et c'est l'occasion
d'un spectacle aussi beau à regarder que
passionnant à suivre. Un beau match de ping-pong m'intéresse autant que la plus
plus question, car les spectaeturs commen çaient déjà à assiéger la salle, d après les derniers renseignèments captés par 1 opéra teur sans-filiste de La Richardière. Mais tout le monde revint le lendemain
cinq heures de relevée. Mais ce n était saris kilomètres à la ronde vous n apercevez pas matin. Nouveau gentilhomme campagnard, doute pas l'avis des dirigeants rochelais qui, une maison. Ces champs, ces bois, ce ruis Georges Simenôn eut la gentillesse de faire depuis le début de l apres-midi, arrêtaient seau, ces étangs et même cette plage de aux (( croisés » les honneurs de son im l'océan, tout est à notre Marquis de à l'entrée de La Rochelle toutes les C6 vant Carabas, le plus charmant des hôtes, le mense domaine. Il offrit même des pursqui arrivaient. sangs arabes à chacun de ses hôtes, lesquels Jugez donc de la stupéfaction des croisés plus simple et le plus souriant des hommes se hâtèrent de se dégonfler, même Raymond ■ • r cd'être arrêtés ainsi par des inconnus. Court illustres. Verger qui ne s'intéresse à la race cheva
.
Ah! enfin 1 nous désespérions de vous
voir arriver...
— Mais nous ne devons jouer que' ce soit 5
— Oui, mais M. Simenon vous a at
nirs de l'hospitalité de Simenon, alors qu'il
n'est pas. sans inquiétude pour «es poulains.
Hi y a sur la table quelc^es Imuteilles d un
Champagne nature te. qu on n en trouve pas
- Ah ! non alors...
— Toujours d'avis de laisser aux Coniités Régionaux leur indépendance ? — Mais, bien sûr! Je ne veux pas dire, évidenmrent, que désormais il y aura vingt Fédérations indépendantes qui tireront cha cune de son côté. I.e Conseil fédéral dois-
nera des directives précises, dirigera plus que jamais la politique générale du PingPong français, assumera la projiagande de notre sport, mais c'est bien aux Comités Régionaux qu'il faut laisser le soin d'afâlier les clubs nouveaux de leur région, de
percevoir les cotisations, de distribuer les licences, de contrôler les tournois, d'établir le calendrier local, de veiller au respect des
règles, à la correction, à la tenue, etc,, etc— — Mais qui garantit que ce travail sera fait en accord avec celui des voisins ? — Le Conseil fédéral, parbleu, qui rece
vra chaque mois de ch.ique Comité, d'abord copie des procès-verbaux de toutes les réu
— Oui, parfaitement ! Dans une fédéra tion sportive, on n'a rien à cacher ; pas de comités secrets, pas- de caisse noire, pu
au demeurant n'avait dîné, il n'en était même
recevait sur la Seine à bord d un trois-mats,
— Et pourquoi ? Comment une électioa pourrait-elle modifier mes idées ? — On ne sait jamais, le point de vue change quand...
et même de fondateur de club...
A ce moment-là Simenon et Bourquin
— Qui...
La question a l'air de suffoquer M. Cor billon.
nions, puis compte rendu sans phrases _de
disparurent dans la direction des bouteilles et' je perdis la suite de leurs propos. Quand je puis enfin les rejoindre, on parlait romans policiers, populisme, grand reportage, cabo tage dans les mers du Sud, chasse, faisans, élevage, mais plus de ping-pong. Il était temps d'ailleurs de s'en aller. Personne
— Monsieur Bourquin ?
pour parler bouquins que vous êtes venuî — Je suis venu voir si le Président de la
l'activité régionale, liste des clubs affiliés,
— Expliquez-moi donc comme c'est ar-
Mais c'est l'heure de l'apéritif. Et Cons tant Bourquin qui a gardé quelques souve
Mais la bibliothèque écra.?e tout, des livres, des livres. Un coui> d'œil aux titres. Tout Anatole France, en littérature. Tout Le Dantec, en biologie. Beaucoup de livres de sciences, de la physique moderne surtout. Je demande en riant : « Pas de poètes ? » Si, tout de même : Vigny, Richepin, Th. Gautier... et Renan. Mais, dites donc, c'est
je Isuis un fanatique de Roland-Garros. — Ainsi vous voilà presque dirigeant de iing-pong, puisque je vous trouve ici dans E(a peau d'un président d honneur de club
rive.
dialogue dès que k voiture a stoppé :
grises, tapis violet, meubles en chêne ciré.
belle partie de tennis — et vous savez que
— Mais j'en surs ravi!
non s'y alimentent. Il est vrai qu à quatre
main tendue sans réticences. Nous passons
dans un bureau : papier gris uni, tentures
taire du Comité de Paris ?
— Oui, mais j'aime'surtout les sports vio lents dont s'accommode plus facilement mon tempérament, j'y satisfais un besoin de dé tente et j'avoue que j'y brille un peu plus
comme un sport ?
tante dans son horaire. Il n'était guère que
Immeuble neuf près clu Bois, ascenseur, trois étages, cou2> de sonnette. J'entre ; sa lon ancien, salle à m.anger moderne, je suis, chez un éclectique. Le voici d'ailleurs, la
P.F.T.T. a les mêmes opinions que le Secré
nions internationales de ping-pong. — Vous considérez donc le ping-pong
fois, avec le sentiment d'une inarge impor
tous sont de ce coiii;
ragé...
teur plus fervent que moi aux grandes réu
sence devant la cour d'honneur. Et bien entendu, seuls les bolides que pilote Sime
Passy est décidément le quartier des di
rigeants ; ."tgut, Hostein, Verger, Corbillon,
— j'ignorais que vous fussiez un adepte du ping-pong... — Mais, cher ami, je joue au moins une heure chaque jour à ce jeu épatant que je pratique au moins depuis deux ans. Mon regret, c'est que ce soit pour moi beaucoup plus un jeu qu'un sport, je suis trop vieux pour changer ma manière. Et puis l'exem ple des champions m'a manqué... — je sais que vous êtes un sportif en
— Mais ce n'est pas très gentil pour le ping pong ce que vous me dites là 1 — Détrompez-vous! j'adore, au con traire, le ping-pong, mais j'y joue mal, hé las! j'y joue donc en cachette, mais tous les, jours. En revanche, il n'y a pas de specta
avec bonne humeur et, pour la première
(le la F. F. T. T.
captée sur un poste à ondes très courtes,
line que vue du pesage de Longchamp. Ver
résultats dé tous les tournois, transferts,
accordés, suggestions, et enfin compte ren du financier détaillé,,, — La maison de verre ?
blicité
absolue
des délibérations et dea
comptes. On nous reprochera ainsi notre maladresse peut-être, mais on ne suspectera jamais notre bonne foi. Parce que c'est cer tain, nous ferons des gaffes, nous ne con tenterons pas tout le monde. Mais alors, les fautifs seront ceux qui, pré'venus a temps, ne nous auront, pas dit que nou^ faisions fausse route. Quand quelqu'un ne
sera pas de notre avis, il n'aura qu'à le dire ; s'ii ne le dit pas, il n'aura pas, plua tard, de reproches à nous faire. — Amateurisme ? Salles de café ?
— Ah ! vous voilà parti dans les mots î Mille excuses, mais vous savez, les motS'
pour moi servent à exprimer des idées, et pas à en masquer le vague. Personnelle ment, j'avoue que j'aime le sport pour le sport et que je ne ni'inquiète pas de savoir si ceux qui le pratiquent en tirent un béné. fice (moral, physique-, financier^, des satis factions d'orgueil... ou d'argent. — Eh ! eh I
— Mais n'allez pas trop vite, je ne vm» ai pas. dit qu'il était indifférent de pousser les jeunes pratiquants à monnayer leur lent. Loin, de là ! Ce serait idiot, d'abord,
car on ne peut pas vivre du Ping-Pong, et
ger était d'ailleurs très attentif aux erreurs puis nous sommes une Fédération d'ama Nous ne pourrions donc que mettre que faisait parfois le romancier distrait qui teurs.poliment dehors ceux qui enfreindraient confondait les pêchers en fleurs avec les pom nos règles d'amateur.îsme. miers et les poules faisanes avec les coqs — Et les salles de café ? de Bntyère. Heureusement que la très char — Mais- ce n'est pas un problème que
vous me posez là, du moins pas un pro dans le commerce, un Pouilly fumé dont mante Mme Simenon était là pour rappeler blème général. A chaque club de résoudre son mari à une appréciation plus exacte de l'inventeur du commissaire Maigret fait son au mieux de ses intérêts le, problème de la la flore et de la faune charentaises. salle I On trouve bien des terrains de foot ordinaire, des bocaux de jus de tomate, tout
tendu jusqu'à maintenant et il vient de re Simenon avait dans tous ses hô ball, n'ayez crainte, on trouvera des salles. partir pour La. Richardière ou if comptait enfin de ce que peut souhaiter la plus in tesGeorges de fervents Il s'en est fait Et. transigeante des fines-gueules. Rayrnond de bons amis paradmirateurs. vous recevoir cet après-midi... le don qu'il a de 1 accueil, — Ah ! non, mon cher, garclez-en un pei£ Verger, toujours aussi peu sage malgré les Autre stupéfaction des croisés çpit n nsmpar sa bonne humeur, par sa bonne grâce. pour une autre fois. Votre journal n'a que mnaient pas trouver l'illustre romancier sous avertissements de son capitaine, se lai^e huit pages... et il n'en est pas à son der Chacun se sentait chez soi à La Richar les traits d'i» animateur du ping-pong ro
chelais. P\ii8«îBe Georges Simenon ne Les a
tenter par un Armagnac cinquantenaire. Ça lui vaudra l'hurnihation de risquer une dé
dière. Et comme disait l'un des « croisés » ;
nier numéro...
— Nous y sommes bien un peu chez nous, nous autres qui faisons à Simenon des ren
avec un vieux footballeur.
faite, deux heures plus tard, des mains d un On s'eataaae. à çpiinze dans la C6 qui n a joueur sans style mais terriblement accro tes en achetant tous ses bouquins! p s trop de sa superculasse pour conduire à cheur, et qui est fort loin d'être le meilleur 8894 R ime allure qui ne soit pas htâniliamte tout ce wchelars.
pas atteaAis
iront le relancer chez lui.
D 9.
Porto, re-porto... Et nous parlons football Mais c'est une autre histoire... L'INDISCRET.
PINQ^PONQ
LE PIIVG-PONG EN FBAIMCE P.F.T.T. — Le secrétariat de la Fédération
J. Rufenacht J. de Parseval René Pillot
est transféré : 34, rue Marbeuf, Paris (S"). Elysées : 50-85.
Badré
Assemblée générale
Pierre Agut Petel Duban Corbillon Faggiani
ordinaire
du 22 Avril 1953 Sont présents : MM. Palmiéri, président de la Fédération; Agut, secrétaire général; Magné, secrétaire adjoint; Dhur, membre provisoire du Comité; MM. Verger, Cons tant Bourquin, Corbillon, Pierre Tisseyre,
I44 143 142 141 139 138 122 119 115
Ceux de ma province au hasard des étapes
réagit et le dernier point joué, gagnant ou peidant, s accroche à nouveau aux bran ches Dunoyer...
Elle joue, du reste, très gentiment au ping-pong, Mlle Buteux !
qui sont élus membres du Comité de la Fédération pour la saison 1933-1934.
M. Verger, élu avec le plus grand nom bre de VOIX, prend alors la parole et pro
S.\int-Etienne. — Holleander,Letton 100 % Clerc de notaire 90 %, Pongiste 10 % a
D. René et Carbillet viennent ensuite cin quième et sixième .joueurs, assez près l'un de l'autre, le premier pourtant légèrement
maintes fois prouvé à Galmiche, son sui
supérieur.
vant immédiat, que le « Letton » est plus difficile à tordre qu'on ne le suppose. Galmiche, garçon charmant, au style
GABRIEL COSTES.
aisé, ne demande qu'une chose ; briller au ping-pong comme il brille au billard.
Péfel, Faggiani, Badré, Garrigues, Blanc, pose de nommer M. Palmiéri, ancien Pré Babault, About, Vendroux, Boué, Frisch, sident de la Fédération, président d'hon neur. Cette proposition est acceptée à l'una
Joueur de tennis classé à 1/6, Rivoire est carré des épaules mais ne fait pas d épate, sa modestie est légendaire et pour tant les muses n'ont pas inspiré les gars
PARIS Le Stade Français est champion de Paris
Leclerc, Kottlerevski, Delaeter, Valentin Bourquin, C. Tisseyre, Fourcault, Denisart, Valogne, Lerambert, Duban, Weill, Gau thier, Chabenat, Pistorius, Lefèvre, Prulière, Robert, Voisin, représentant 148 so
M. Agut propose alors de nommer trésorier honoraire Al. Hostein. Une discussion s engage à laquelle prennent part plusieurs
vivement ces dernières de n'y avoir songé...
l'Ous les titres; déjà ehaimpion de Paris do première^ sh-ie, favori du championnat de
ciétés.
membres de l'Assemblée. Finalement, il est
Brunchwig, bien que jouant la demi-vo lée, réalise des scores; pourtant s'il conti
très homogène le
bre d honneur de la Fédération.
nue ce jeu, dans six mois dix joueurs isté-
deuxième série.
Les membres présents signent les feuilles de présence qui sont annexées au présent procès-verbal.
M. Palmiéri prend la parole pour pro noncer une allocution. Le bureau est com
nimité à main levée.
décidé que M. Hostein sera nommé mem
M. Agut donne alors lecture d'un procèsverbal rédigé au préalable et qui est signé par les membres du Comité sortant.
Comité sortant.
M. Palmiéri met aux voix l'adoption de ce rapport. Le rapport n'est pas adopté. Une discussion s'engage alors. M. Garri
gues, du comité de Guyenne et Gascogne, prend la parole pour faire remarquer l'im portance du vote qui vient d'être émis et il demande à l'une des personnes qui ont voté
contre 1 adoption, d'expliquer son vote. M. Faggiani, de Bretagne, se lève et ex plique alors qu'il a voté contre les passages tendancieux de ce rapport. M. Corbillon prend également la parole et regrette qu'on
ait mélangé dans le même rapport, un
La Coupe Kester Pour la première fois, la Coupe Kester (epreuve par équipes) était mise en compétition par le P. P. C. Dinardais. Formule nouvelle, pour cette région, innovation en Bretagne puisqu'une équipe parisienne était invitee par le club organisateur.
Cette formule ne fut d'ailleurs pas accep. tee sans heurts, les joueurs locaux s'insurgeant d'abord contre la décision de leurs
dirigeants et prétendant ne disputer les coupes offertes dans leur comité qu'entre régionaux. Il faut louer les officiels bretons d'avoir su résister à cette prétention ef
d avoir réussi à convaincre leurs joueurs que les compétitions étaient créées jrour per mettre de faire des progrès en rencontrant
compte rendu moral qui vient d'apparaître
inacceptable par la majorité et un compte rendu financier sur lequel a priori, il ne semble y avoir nulle matière à discussion.
M. Palmiéri met alors aux voix l'adop tion des comptes. Ces comptes sont acceptés
styles et de formations
différents et non pour gagner des prix. Les dirigeants bretons ont vu juste. Quils continuent dans cette voie, ils eri seront certainement remerciés avant peu
à l'unanimité. Le rapport moral est refuse.
par leurs détracteurs d'aujourd'hui. La Coupe Kester, qui fut disputée dans le
M. Palmiéri prend la parole et propose la ratification d'une décision du comité qui
cadre idéal du Casino de Dinard, groupa
a appelé M. Jacques-Dhur dans son sein
pour remplacer M. Valentin Bourquin. dé missionnaire. Conformément aux statuts, la nomination de M. Dhur doit être approu
S clubs régionaux et une équipe de SaintMandé, finaliste du Championnat de Paris (2= série), qui fut d'ailleurs éliminée en finale par l'Amicale, de Rennes.
prouver la nomination de M. Dhur. Celui-
De très belles parties furent jouées et démontrèrent que la Bretagne possédait de bons éléments qui s'affirmeront le jour où il leur sera permis de disputer fréquem
ci quitte alors le bureau pour prendre place
ment des rencontres interrégionales.
vée par la plus prochaine Assemblée géné rale. L'Assemblée, consultée, refuse d'ap
dans la salle, il est remplacé comme scruta teur par M. C. Tysseire, représentant le Ping-Po?]g Club de France, la plus ancienne société présente.
Plusieurs membres de l'Assemblée pren nent la parole au sujet du vote précédent pour expliquer qu'il n'y a pas eu dans
leur façon de voter de manifestation per
exemple sur Jaques Amsçin qui, avec sa ra quette en bois, a abandonné ce style désuet. la troisième place l'an prochain.
de France, la plus ancienne société pré M. Palmiéri donne ensuite la parole à M. Magné, secrétaire adjoint, pour la lec ture du compte rendu moral élaboré par le
phanois le battront facilement ; qu'il prenne
Duffour a un jeu prometteur, je lui prédis
plété par M. Uuban, représentant le T. C. sente ; il remplira le rôle d'asseseur.
de Grenoble à son sujet et nous remercions
Le champion de Bretagne, Darris, possède
une classe certaine et sa valeur actuelle
n est pas loin de la première série ; Id
match qu'il disputa contre Szabados doit lui être d'un bon enseignement. En marge de la Coupe fut joué un match-
exhibition entre Szabados, ex-champion du monde, et Friche, un des meilleurs joueurs
Fulchiron, joueur et président, a beau coup de qualités en tant que président; il est certes un des pionniers du ping-pong stéphanôis.
La championne stéphanoise, Mlle Boromé n est pas la « grande menteuse » qui avait promis d'être à Nice. Elle a moins de style que cette dernière, mais elle rattrape mieux. « La Grande Menteuse », c'est Mlle Juran, le vrai titi de l'équipe ; elle a une ma
nière de se coincer la langue entre les gen cives quand elle fait des drives, depuis peu elle fait des revers; sa langue suit le mouve ment, une fois j' me la mords à droite, une fois j'me la mords à gauche... CH.vîVffiÉRY. — A Chambéry, grâce à Dossmann, le sympathique propriétaire du Café
du Commerce, voilà bientôt deux ans que l'on joue au ping-pong et on joue en fa mille entre copains. La salle est un peu exiguë, à cause des murs sans doute, maid surtout à cause des détracteurs qui en par lent, car chez Dossmann, on fait la partie non pour gagner,
mais
pour
passer un
agréable moment.
que ce Couvert ne coupe pas, cela lui cause
parfois quelques ennuis, avec Carente, d'An necy, il en a vu trente-six chandelles...
Pin a droit au deuxième rang et DossniMn au troisième; l'écart de classe est
minime entre ces deux joueurs. Pin a un
drive, mais Dossmann a un sacré petit re
mances font pâlir les pucelles de Cham
béry. Allons, Mesdames, 'Mesdemoiselles, si vous voulez bien jouer, a_vez des enfants... (Je demande à connaitre le recensement de Cliambéry l'an prochain). Annecy. Une très grande salle au Ca
profitables leçons aux régionaux. Carente,
nom du Comité de Paris, le nombre de 16 représentants. La proposition du Comité de la Fédération est mise aux voix et ne
belle manifestation aux côtés de M. Fag
tournoi d'.ànnecy sur Couvert de Chambéry
sont en présence, mais le Secrétaire géné ral de la Fédération, M. Agut, signale que M. Tremblé a retiré sa candidature. M.Boué signale que M. Bénard a retiré sa candida
ture. M. Constant Bourquin signale que MM. Fulchiron et Delarne retirent égale ment leur candidature. M. Vendroux, au début du vote, déclare également se désis ter en faveur de M. Pillot, qui est comme lui représentant d'un des deux Comités du
compenser un dirigeant dévoué et marquer aussi le rang important q«e la Bretagne occupe déjà dans le P. P. français.
Après une journée consacrée au Ping-
Pong, la soirée fut réservée, à l'instar de
toute grande manifestation qui se respecte, à un bal grandiose où vainqueurs et vain cus définitivement réconciliés rivalisèrent d entrain.
Les joueurs de Saint-Mandé n'oublieront certainement pas de sitôt le charmant ac
Nord.
Deux bureaux sont constitués pour le dé pouillement des votes.
Les résultats sont les suivants :
Raymond Verger
I.47
G. Blanc IF Giiérin Garrigues Boué Jean Gardille Marcel Greffeuille
146 146 146 145 145 144
cueil qui leur fut réservé par MM. de Sonis, Herbert, Masson et Ollivier, du P.P.C. Di nardais, qui- furent pour leurs invités des hôtes parfaits. J. PRULIERE. SI vous VOULEZ...
DEVENIR
î
Jouez avec la raquette L'UNIVERSELLE
LEYLAND
sino. On devrait bien jouer à Annecy, les éléments ne manquant pas avec les nom breux touristes susceptibles de donner de qui dernièrement a remporté la finale du
(pourtant supérieur d'une classe) coupe à en écœurer l'adversaire, il a dû apprendre
à jouer aux Usines Gillette... Ses suivants, dont les noms m'échappent, s'ils ne font pas de progrès avec lui en feront entre eux
à moins que le champion, dont le cran est une des plus belles qualités, n'améliore sa
technique en ne jouant plus pour gagner rnais pour apprendre, ce qui lui permettra de consolider son titre.
Grenoble. Il existe une académie de pàng-
part, cette longue semaine d'inaction avait
détendu une énergie si magnifiquement bandée au cours d'un championnat qui dure depuis 4 mois.
Quoi qu'il en soit, et malgré la victoire re lativement facile du Stade, nous tenons à fé liciter cette jeune équipe si chère à M. Prulière qui pour ses débuts, parvint à la finale d'un championnat qui réunis,sait plus do GO équipes.
Au Stade il faut tout particulièrement citer
Fos^ qui, en forme e.xtraordinaire, électrocuta littéralement Braunstein, récent vainqueur de Dubouillé. On doit également mentionner Char-
peine qui, longtemps on difficulté devant Ray mond Maire, parvint « in ext.-cmis » à se re-
irrendre ot à triompher de son adversaire lé
gèrement découragé, paraît-il, par une erreur d'arbitrage.
A Saint-Mandé nous avens avec plaisir dé couvert un joueur d'avenir en Roger Combes. Son style facile ot brillant, hcurousemcnt tem
péré par une solide défensive, lui permet tous les espoirs. Tocque, excellent pourtant, ne pub
aussi bon en double qu'en simple, expédiait avec l'aide de Braunstein les joueurs 1 et 3 du Stade, Fos et Selnva.rtz.
Résultats. — Fos bat Braunstein, 3-0; Com bes bat Tocque, 3-0; Schwavtz bat Mayro René, 3-0 ; Charpeine bat Majore Rajmiond, 3-2 ; Bonnaire bat Strauss, 3-0; Braunstein-Combes bat
pong à Grenoble, oui, messieurs, dames,
PIERRE TYSSEIRE. Championnate scolaires. — Voici les résultats
des deux dernières poules qui devaient fournir les quatre équipes devant disputer les demifinales.
Poule I
Jeanson bat Rollin, 5-3. Jeanson bat Carnet II, 5-1. Jeanson bat Pasteur, 5-2. Rolliii bat Pasteur, 5-0. Rollm bat Carnot, 5-1. iCarnot 11 bat Pasteur, 5-3. Poule 11
Carnot 1 bat Buffon 111, 6-3. Carnot 1 bat Saint-Barbe, 5-0. Carnot bat Normale d'Autenil, w. 0. Sainte-Barbe bat, Buffon 111, 5-2. Sainte-Barbe bat Normale d'Auteuil, w. 0. Buffon III bat Normale d'Auteuil, w. 0. Los demi-finales et la finale se jouent le jeudi 4 mai au Palais Berlitz : Carnot 1 contre Rollin 1. -loanson 1 contre Sainte-Barbe.
Les gagnants disputeront la finale. Le Tournoi de 1' « Echo de Paris ». — Cette
épreuve, dont le succès l'an dernier, fut grand révéla-t-ello pas au public l'actuel champion écrit sur la porte et ma foi, on sent que (ne de France ?), devient annuelle. Elle devient même les efforts de M. Giroux, le propriétaire de nationale au lieu d'être limitée strictement à la salle, ont eu pour but d'assurer aux Paris, comme elle le fut. joueurs le maximum de confort nour pra Le tournoi de l^Echn de Paris est réservé aux une vraie de vraie académie, c'est du reste
tiquer leur sport favori. A Grenoble, je joueurs non classés. Le droit d'engagement est n'ai pu voir jouer ni Tsien, ni Wertheim, do 2 fr. pour les joueurs licenciés et de 5 fr.
ni Félix Faure, leaders de la région. J'ai vu Dunoyer, joueur très régulier et plein d avenir... régional, je dis régional, car la championne Mlle Buteux, le tient par le bras à jicrpétuité, ce qui le prive de ses moyens; elle le couve des yeux quand il joue, pâlit quand il rate une balle, rosit de bonheur
quand il marque un point, ferme les yeux quand il est en danger, les ouvre quand 'il
— En vcnle dans tons les magasins d'arllcles de Spnris —
forme que la semaine précédente, lorsqu'elle avait superbement triomphé du P.P.C.F., du Eacing et d'une autre équipe du Stade. En effet, le meilleur joueur do Saint-Manidé, Deville, était parti pour le régiment ot, d'autre
tent Schwartz-Fos, 3-1; Charpeinc-Tocque bat-
définitivement à la cause du Ping-Pong
élection à la vice-présidence de la Fédéra tion Française. Cette distinction vient ré
Sans vouloir diminuer le succès du Stade, on peut dire que la jeune équipe do SaintMandé ne s'est pas présentée dans la même
leint Mayre-Laisné, 3-2.
M. le Maire de Dinard qui présidait cette
Nous profitons de l'occasion qui nous est offerte pour féliciter M. Faggiani de son
de Paris de
La gracieuse Mme Dossmann, jeune ma man, entre deux tétées données à sa fille, fait sa petite partie et ses brillantes perfor
Tysseire prend la parole et propose au
recueille aucune voix. La proposition du Comité de Paris est acceptée à l'unanimité. En consécpjence, on procède aux élections de 16 membres du bureau. 23 candidats
championnat
vers qui n'est pas téléphoné...
hongrois actuellement en France. Match splendide qui souleva l'admiration des
giani, le sympathique Président du Comité de Bretagne.
France, il vient d'enlever grâce à une équipe
rien contre lui. Il prit sa revanche en double Le champion Couvert est nettement plus avec Charpeine, on triomphant de la seconde fort.que ses suivants immédiats, dommage équipe de Saint-Mandé, tandis que Combes
sonnelle contre M. Jacques-Dhur. M. Palmiéri propose alors, au nom du bu reau de la Fédération, de porter le nombre des membres du comité à quinze. M. Pierre
nombreux spectateurs présents et qui gagna
de deuxième série
Le Stade Français semble vouloir truster
pour les joueurs non licenciés.
A Paria, les épreuves se dérouleront du 22 mai
au 1"»' juin. Elles comprennent : simple mes sieurs et; simple dames. Les engagements sont reçus jusqu'au 16 mai à la rédaction de l'Echo
de Paris, 6, place de l'Opéra. _ En province, il y aura un. tournoi par Comité
régional, ne comprenant que le simple messieurs, n se déroulera du 18 au 25 juin. Lire les détails dans l'Echo de Paris,
Les 5 épreuves de champion nat de France 1933 ont été
tta}»nées avec des raquettes recouvertes
de
caoutchouc
LEYLAND
PING-PONQ
ET
A
L'ÉTRANGE
Grand tournoi de Printemps, — Pour terani-
par le Ping-Pong Club de France. Bacing-Club de France; Montparnasse Sporting-Club.
ner brillaïuent la saison d'hiver, l'Association pongiste de l'Opéra-Comique organise, sur les ta-
DEMANDE DE MATOHES
"bles du Palais Bcrlitz, un colossal tournoi doté . de très beaux piùx. Il aura Heu du 8 au 13 mai
Très bonue équipe du Mont paru anse SportingCluh disputerait matches dans lo Sud-Est de la
8t comprendra les cinq épreuves classiques. L'intérêt de ce tournoi est corsé par l'attri bution d'une table de match Bourquin-Six à l'équipe dont les joueurs auront totalisé le plus
France courant juin et juillet.
Les tableaux seront affichés dès le 6 mai, à
BRETAGNE Dinaivl : Coupe Keslet*
Le tournoi du P.P.C. du Bois. — Un bal et
Premier tour. — Saint-Manclê bat Etoile Di■nardaise par 4 d 0.
bon tournoi que celui qu'organisa, sur les tables
• du Paliùs Berlitz, le P.P.C. du Bois. Du sport,
Friche bat Connan, Bival bat Gautier, Straus
-de la simplicité, une boime organisation et des résultats réguliers. Que l'on continue dans cette
voie et le^ ping-poug aura le droit de revendiquer la qualité de grand sport... Quelques faits intéressants ressortent de l'en
Huet bat Guillermou, Noblet bat Lebas, Le Groll bat Bival, Straus bat Moccali, Friche bat Duquesne, Biesels bat Prulière, FricheStraus battent Biesels-Mme Poujet.
. ment les concurrents qui se trouvaient, dans son
tableau. On se souvient que "Woysblatt, engagé dans le tournoi de VIntran, fut découvert à
temps et empêché de figurer parmi les débutants,
Calme et régulier, il se sert volontiers d'un shop meurtrier à force d'être « roulé ». Patiemment, il attend la faute de l'adversaire et manque rarement d'être satisfait s'il ne trouve à parler à un champion. Et, pour peu qu 'on lui livre une
balle facile sur son revers, il place une balle très rapide et suffisamment désaxée pour laisser
sur place les plus avertis. Sa première victime
fut Almassi qui n'est pourtant ]ms tombé de la dernière pluie. En trois sets, le merveilleux petit, hongrois fut liquidé sans avoir pu rendre
définitives ses belles attaques. Dubouillé, autre
concurrent de marque — de marque noire si vous voulez — subit le même sort après avoir
lutté cinq sets et épuisé toutes les ressources de son jeune talent. Ici, j'ouvre une parenthèse, car le grand espoir du Stade qui sera bientôt lo
meilleur français, a confirmé, matgré sa défaite,
ses récentes performances. J'aimerais revoir le
match qu 'il disputa ce jour-là et je parierais sur .sa chance...
Troisième victime, Pétrocelli. Qu'on ne dise
pas que là ofi avaient échoué Dubouillé et Al massi, Pétrocelli ne pouvait réussir. 11 aurait dû
Deuxième tour. — Amicale de Bennes bat . Saint-Enogai par 8 d 0.
roy bat Jagou. Saint-Mandé bat Saint-llaïo par 3 à 2.
semble des parties disputées : la présence du joueur polonais Woysblatt gêna considérable-
■ce qui eût été une injustice, car il est très fort.
bat Leroy, Le Guillou bat Prulière. I
Dinard bat Dinan par 3 à 2.
Froment bat Duval, Leguével bat Olivier, Poignet bat Bolleli, Dufour bat Desprès, Poi gnet-Froment battent Leguével-Dufour. Rennes P.P.C. bat Saint-Meen par 8 à 0.
Savin bat Deschamp, Darris bat Buen, Olivon
bat Bolset.
Demi-finale. — Amicale de Bennes bat Dinard par 3 à 1.
Lejamtel bat Desprès, Leroy bat Ollivier, Poignet bat Huet, Noblet bat Froment. Saint-Mandé bat Bennes P.P.C. par 3 à 2.
Olivon bat Prulière, Darris bat Bival, Straus bat Savin, Friche bat Huchette, Friche-Straus battent Darris-Ollivon.
Finale.
—
Amicale de Bennes bat Saint-
Mandé par 3 d 1.
réussir. Pétrocelli sait en eflfet s'adapter à tous
Après avoir perdu deux sets, il avait compris
à 0; Szabados bat Friche, 3 sets à 2. Oancale. — Le dimanche 30 avril, dans le
que les lifts longs - et hauts gênaient son adver-
•sairc. D en usa si bien et avec tant de patience,
qu'il égalisa. Le cinquième set semblait devoir 'lui revenir lorsc|ue Woysblatt eut soudain l'ins piration de reprendre ou demi-volées : et c'est alors que Pétrocelli manqua de rapidité dans son
En exhibition. — Szabados bat Darris, 3 sets
grand garage Pansart, s'est déroulé un tournoi
Servannais bat Emeraude Ping-Pong Club, par
perdues a la fin de la belle, cela se refait rare
ment. De fait le Eacingman fut battu mais ici
■encore je gîigo qu 'il ne s'y laissera plus prendre...
Ah ça, Woysblatt allait-il battre tout le monde 1
QiMrt de finale : Ping-Pong Club Malouin-
victoires à 1.
Mocali (M.S.) bat Pinson (E.), 21-9, 22-24,
21-15 ; Yvet (M.S.) bat Brugaro (E.), 21-13,
21-14 ; Lhotellier (E.) bat du Pouget (M.S.), 22-20, 18-21, 21-18 ; Duquesne (M.S.) bat Le-
■On crut bien en tous cas que Purman allait être
quec (E.), 21-16, 21-13.
menait par deux sets à rien et 20-12 dans le
Club Hédéen, par 3 victoires à 1.
■à smi. tour immolé en demi-finale. Le polonais
troisième lor.sque s'esquissa le plus fantastique retour que j'aie jamais vu. 8ûr de vaincre, Woy sblatt tenta quelques attaques en revers qui furent parées et quelques autres qui sortirent des
21-10, 21-12.
Granvillais, par 3 victoires à 0.
Bonne leçon à méditer pour ceux qui se désespè
(B.) bat Gros (G.), 21-5, 21-8.
rent et se désunissent dès qu'ils perdent l'avan
Ping-Pong Club Bennais bat Ping-Pong Club Huchet (B.) bat Anquetil (G.), 21-13, Garnier (B.) bat Châtaignier (G.), 21-5, 21-11; Darris
Amical Ping-Pong Club Cancalais bat Ping-
Pong Club Dinardais, par 3 victoires à 1.
tage.
' .il ? dommage que Purman fût battu, car était le plus fort et le plus doué. D rencontra ■en finale Daniel Guérin, vainqueur.de son frère qui avait lui-même éliminé "V"oisin. Très beau match et match très égal entre deux joueurs de
-classe internationale. Deux ou trois points les séparent actuellement et je no suis pas certain qu'ils soient à l'avantage de Daniel Guérin qui
Ollivie- (D.) bat Jean Cadiou (C.), 21-8, 11-21, 21-19 ; François Cadiou (C.) bat Masson (D.), 21-15, 21-10 ; Miette (C.) bat ColUn (D.), 21-11,
21-11 ; J. Cadiou (C.) bat Guelfand (D.), 21-17, 21-14.
V
z,
Demi-finale. — Ping-Pong Club Bennais bat
Ping-Pong Club Malouin-Servamiais, par 3 vic toires à 1.
de l'équipe de France.
Yvet (M.S.) bat Huchet (B.), 21-19, 13-21, 21-13, 22-20 ; Darris (B.) bat Du Pouget (M. S.), 21-11, 21-11, 22-20; Lemichelet (B.) bat Duquesne (M.S.), 21-17, 21-15, 21-17; Garnier (B.) bat Mocali (M.S.), 21-8, 20-22, 23-21, 23-21.
que seules Mlles Ea-vigneaux et Blandin repré-
Pong Club Cancalais, par 3 victoires à 2.
g'agna en cinq sets. Avec des moyens très diffé rents, ils sont capables de gagner chacun leur tour au hasard des impondérables. En tous cas ils font partie de l'armature désormais solide
Le champ féminin était moins ouvert puis
Ping-Pong Club Dinannais bat Amical Ping-
Monique Bavigneaux qui n'abandonna pas un set à sa rivale, Monique était en très bonne forme et l'on a regretté de ne pas la voir plus
Jh. C.adiou (C.) bat Decroux (D.), 21-10, 21-7 21-16; Dufour (D.) bat Jean Cadiou (C.), 21-10, .^3-21, 21-19 ; Le Guével (D.) bat François Ca diou (C.). 21-13, 21-11, 21-11; Miette (C.) bat Bololli (D.), 21-18, 21-18, 11-21, 18-21, 21-19.
reproche que je lui fais...
(C.), 2-15, 21-16, 10-21, 21-16
■aentaient les joueuses classées. Elles se sont re
trouvées on finale pour la plus grande gloire de
serieusement menacée. Mais ce n 'est pas un PIEEBB ABOUT.
pour le Bacing ; Daniel Guérin, J.-O. Guérin, Pétrocelli, Aesvigonsky, Brumswig, D. GuérinPétrocelh, ,T.-C. Guérin-Brunswig.
BurdiTL — Messieurs : Thieu, Bedoe ; Dames :
Mme Péruchon, Mme Olian.
|Frich (P.P.O.P.). Le Challenge Sools eet gagné 1m
■ Almassi (P.P.C.F.) bat
Clermont-Ferrand. — Quelques silhouettes. Audet... ferait mieux de jouer... aux dés. Abraham... dit Jacob, n'est pas du tout ce que vous pensez.
Andor... son origine hongroise lé fait consi dérer comme un second Barna par ses nombreux camarades qui l'ont surnommé... Barna B.
Bargoin... éliminé
en 'simple messieurs des
eham])ionnats du Centre a, dans le double mixte, retrouvé sa... Planche... de salut.
mité de Cluyenne et Gascogne se remet à sa
besogne bien facilitée par les encouragements reçus.
L.a vaillante équipe du Foyer pour Tous, sous
la conduite de son symp,athique capitaine Higy,
est allée a Paris, défendre fièrement sa cliance
contre la redoutable phalange du Bacing-Club
Jeudi soir,
au café
Glacier, le
parisienne se débarrassaient de leurs valeureux
scn ma^tch au détriment, de Neswiginski par
.3 sets a 2. En double, chacune des deux équi
pes s'adjugeant un match, le Bacing-Club Mon
ceau se qualifiait par 5 victoires à 2.
La coupe que le Ping-Pong Sport va faire disputer est l'objet de la convoitise de bien des
cnib.s, couvoilise justifiée par l'enjeu, superbe objet d'art offert par le sympathique président
Compte rendu du journal riomois :
Gala du
Ping-Pong Club obtint un franc succès. Les ex
du Ping-Pong Sport, M. J. Dufour. Tournoi très ouvert par le jeu d'un handicap judicieux. De
bien rudes empoignades en perspective !
G.
Le Ping-Pong, trop peu connu dans la « Belle
nul doute que sous peu il ne connaisse chez noi'p la vogue qu'il obtient dans les villes voi
G.
LITTORAL
Cavaillon. — Le Sporting Club Cavailîonnais, toujours très actif, organise un grand
tennis de table est devenu un sport excellent,
tournoi interclubs sous le nbm de « Challenge Gaston Bœuf »; Les épreuves, auxquelles partici
énorme.
les dimanches 7, 14, 21 et 29 mai.
sines. Considéré à l'origine comme un jeu, le doué
au
surplus
d'un
intérêt
spectaculaire
Au cours de la soirée fut disputée la fi nale
Vid.al par 3 sets à 2 : 19-21, 16-21, 21-17, 21-16 21-19.
'
•
!
!
En match de classement Duperrier eut rai son de Jabot par : 15-21, 21-17 et 21-10 et réussit la belle performance de ne succomber devant Cornet que par : 21-12, 21-16. Jabot, qui avait à rencontrer l'excellent Bo rocco, fut b.attu par : 21-12, 21-11. Enfin les deux finalistes du Tournoi se défendirent de leur mieux devant les « as » Senaize et Barnar •
L'heure des exhibitions étant arrivée nous
eûmes le plaisir d'assister à un véritable régal.
En 5 sets Cornet eut raison do Borocco : 21-18, 21-13, 20-22, 24-26, 21-18, et Senaize réussit à battre Bargoin par : 21-18, 21-14 18-21 11-21 21-16. ' . > , Au cours de' ces deux rencontres où balles
coupées, drives et revers furent applaudis, les cliampions
clermoutois
donnèrent
le meilleur
d'eux-mêmes.
Enfin, pour terminer cette soirée en apothéose il nous fut pnné d'admirer un match de dou ble où Senaize-Cornet, absolument déchaînés triomphèrent do Bargoin-Borocco, par 3 sets à 1 : 23-2.5, 21-19. 21-18, 21-14. Bientôt, le Ping-Pong Club Biomois mettra
sur pied _ son second gala et nul doute qu 'avec la participation de ses amis clermoutois, il n'ob tienne un succès plus considérable encore que le premier. L.
S.
Vichy. — Samedi 22 avril a eu lieu, à La
Bosoraie, un match amical entre les équipes de I'A.BjC.V. et celle du P.P.C.V.
peront tous les clubs de Provence, se disputeront ATLANTIQUE
Nantes. — Le Stade Nantais bat le Foyer
Catholique des Etudiants, par 17 victoires à 1.
— Ce match qui inaugurait la série des rencon
tres entre les clubs de Nantes, fut pour lo S. N. U. C. l'occasion d'une écrasante victoire. Le
Stade Nantais craignant une surprise toujours possible avait tenu à présenter son équipe "toute première composée de Hervouët, Hervoche, Delplancq, L.aurcnt et Digo. Ceux-ci qui s 'étaient spécialement entraînés pour cette rencontre, ilommèront de loin leurs adversaires ; seule, l.'î dé faite de Laurent par Maussion perriiit au Foyer
de sain-er l'honneur. Des étudiants, seuls sont à
citer, Guiart pour sa belle défense cont-e Her voche, et Maussion pour sa victoire sur Laurent.
Le résultat est assez éloquent par lui-même et pourtant on doit dire que lo F.C.E. est jus qu'ici la meilleure équipe rencontrée par le ,S.N. UjC. dans l'Atlantique (n 'en déplaise aux Nazairiens). Cela mantre, je crois, assez la faiblesse
générale de notre comité et le travail qu 'il y a à accomplir en ce sens.
Doubles : Digo-Delplancq (S.N.U.C.) battent Guiart-Pineau (E.C.), 21-16, 21-9, 21-15 ; Her-
voiiot-Horvoche (S.N.U.C.) battent Morcau-Massiou (E.C.), 21-15; 21-11, 23-21.
Simples : Hervouët bat Guiart, 21-14 21-14, 21-14, bat Moreau, 21-10, 21-11, 23-21, bat Mau.ssion, 21-8, 21-4, 21-6, bat Cliesneau, 21-18, 21-17, 21-19; Digo bat Guiart, 21-12, 21-12, 21-10, bat Moreau, 22-20, 24-22, 21-2, bat Maussion, 21-18, 21-17, 22-24, 21-18, bat Cliesneau, 21-14, 14-21 21-15, 21-15; Hervoche b.at Guiart, 21-14, 15-2l! 21-7, 18-21, 21-10, bat Moreau, 21-G, 21-17 21-15, bat Maussion, 21-8, 17-21, 21-17, 21-15, ])at. Clies neau, 21-17. 21-13, 21-13; Laurent bat "Guiart, 14-21, 21-15, 21-12, 21-16, bat Moreau, 22-20, 21-18, 14-21, 21-12 bat Oiesneau, 21-11, 21-17, 22-20.
'
Le Ping-Pong Club Vichyssois a remporté faci lement la victoire.
Les résultats obtenus au cours des différentes rencontres sont les suivantes :
Finale. — Ping-Pong Club Bennais bat Ping-
Pong Club Dinannais, par 3 victoires à 1.
CENTRE
Cov/pe
au nouveau Ping-Pong Club Eiomois.
bat Vcga, 21-13, 12-21; 21-6; Blaisse bat Bris-
bouillé, Verger-Worth, Tran "Van Bà-Duboiiillé •
—-
réception et je souhaite une graarle prospérité
Le Guével-Dufour (D.) battent Jh-Jean Cadiou
Huchet (B.) bat Le Guével (D.), 21-18, 21-19, Lemichelet (B.) bat Decroux (D.), 21-9. 21-13, 21-7 ; Bolelli (D.) bat Garnier (B.), ^1-17, 21-12, 16-21, 21-15; Darris (B.) bat Du four (D.), 13-21, 21-15, 25-27, 21-9, 21-18.
Sportlng-Club.
grâce à l'hospitalité si largement ouverte des colonnes de ce journal, à remercier cnco'.'e une fois nos amis de Biom de leur si charnmnte
Simples Messiews : Bonnet bat Espinasse, 21-17, 21-12 ; EgulUon bat Senneret, 21-14, 22-20; Doyc bat Laprugne, 21-18, 21-13 ; Bellam
Championnat de France par équipes. — La finale se joue ce soir, salle Marbeuf, entre les ^(uipes du Stade Français et du Bacing-Club de ïrancfi. .louent pour le Stade : Baymond "Ver ger, .Jacques Amson, Boger Worth, Prat. Du
Montparnasse
Faisant partie de ce déplacement, je tiens,
21-7, 21-11, et Senaize battant Picard 21-11, 21-8. .
demi-finaliste des championnats de France refit peu à peu les huit points de retard et sans desemparer il enlevait le set et le match avant
■que Woy.sblatt eût compris ce qui lui arrivait.
sport do la chanson, une éel.atante revanche sur leurs camarades clermoutois.
BolelU (D.) bat Froger (H.), 21-16, 21-12 ;
limites de la table. Extraordinaire de calme, le
Bordeaux. —• Après avoir savouré dans le
^cueillcmont, l'apotliéoso des Cliampionnats de
adversaires St. Anac et AVoidenbaum, par 3 sets à 1. alni's que Bolmann et Dupae succombaient ; Mais, Iligy, .avee^ un cr.an a-dmirablc, gagnait
pin, ce dernier battant lo docteur Vidal par :
22-20, 21-17 ; Dufour (D.) bat Giroux B. (H.)
GUYENNE ET GASCOGNE
dessert, les joueurs rioniois prirent, daais le
Ping-Pong Club Dinannais bat Ping-Pong
Hobiou (H.) bat Decroux (D.), 14-21, 21-14, 21-12 ; Le Guével (D.) bat Giroux L. (H.),
''
Monceau. Les frères Guérin, leaders de l'équipe
qui fut en tous points réussie et. qui se termina tard dans la nuit par un succulent souper. Au
fut Picard qui enleva le titre contre le docteur
Voici les résultats des divers matches de ce
18-21
fait par un journaliste local, de cette soirée
Lebreton.
■.attaquant, comme il l'avait fait sans succès au cours des deux premières manches. Trois balles
prendre qu'il fallait répondre du tac au tac en
Biom. .— Une petite croisade. — La semaine
dernière, le Comité du Centre avait déplacé quatre de ses meilleurs joueurs dans la coquette cité riomoise, ceci dans le but de provoquer la constitution définitive^ et l'affiliation du club local. Nous donnons ci-dessous le compte rendu,
du Tournoi de Pâques et, bien que là encore, le « championnat » ait nui à la facture du jeu, ce
tournoi :
(P.P.C.F.)
21-14 ; Maridet-Bellâm (P.p! C.V.) battent Hospital-Courtial (P.P.C.F.). 21-18 19Y1, 21-17, 14-21, 21-15 ; Alésina-Piana (P.p!
Franco, en enregistrant des marques d'estime venues do tous les points de la France, le Co
L'EMBALLEUB.
de ping-pong organisé par l'Amical Ping-Pong Club Cancalais, pour disputer le Challenge Yves-
jugement. Il joua trois balles avant de com
Tirmarche-Granger
C.F.) battent Compiègne-B.allutaud (P.P.C.V).
Thierry... ce fils d'assureur devrait bien se faire assurer contre la nervosité. Tous ensemble... d'excellents camarades.
endormie » s'impose chaque jour davantage et
Finale. — Mlle Perrin (Saint-Malo) bat Mme
b.attent
Sinwn... revers pouvait passer !
gères), bat Mme Greffin; Mlle Perrin bat Mme Lemichelet.
C.V.), 21-16, 21-15, 20-22, 21-11.
18-21, 21-16, 21-15, 12-21, 21-10.
Senaize... doit en cachette faire de l'aviron;
on le voit souvent avec... une de ces rames...
cellentes raquettes clermontoises Senaize, Bar goin, Bprocco et Cornet emballèrent l'assistance.
Malo) bat Mme Benault (B.) ; Mme Beek (Fou
Résultats ; Simples Messieurs : Jean Bellam
(P.P.C.V.) bat Courtial (P.P.C.F.), 21-16, 21-18, 21-16 ; Maridot (P.P.C.V.") bat Hospital (P.P. C.F.), 25-23, 21-12, 21-17; Compiègne (P.PjC.V.) l>at Piana (P.P.C.F.), 15-21, 21-16, 21-14, 11-21, 21-1 ; Doyo (P.P.C.V.) bat Granger (P.P.C.F.), 15-21, 21-10, 21-15, 21-18 ; Tirmarche (P.P.C.F.) bat Egullion (P.P.C.V.), 21-19, 21-15, 14-21, 21-9 ; Alésina (P.P.C.F.) Jiat Ballutaud (P.P.
Doubles Messieurs : Egullion-Doye (P.P.C.V.)
govie, fait toutefois couler moins d'encre.
(Bennes) bat Mme Wurtz (E.) ; Mme Beek (Fou gères), bat Mme Savin (B.); Mme Perrin (St-
Beek (Fougères).
les jeux et mérite en cela im bon classement.
trop de
Portier... je ne souhaite pas un pareil portier à l'équipe d'assoce de mon club. Serre... aussi Gaulois que l'oppidum de Ger-
Huet bat Prulière, Lejamtel bat Bival, Friche
bat Leroy, Noblet bat Straus. Coupc de l'Intransigeant. — Mme Greffin
une pipe,
Dupichot... aussi raide que la justice à la quelle il appartiendra un jour.
. dividueUes. Penseigncments par téléijhone : Cen tral 61-79.
Cornet... une casquette, nerfs.
Cohade... no veut pas être confondu avec le grand parfumeur clermoutois du même nom.
RÉGIONALES
midi, au Palais Berlitz. Pas de convocations in-
se croit plus photogénique.
Delisle... son coup de raquette peut lui per mettre de briguer avec succès une place de dis tributeur à la soupe populaire.
NOUVELLES
grand nombre de points.
Brirot... un concurrent de poids, ...tu parles ! Borocco... joue moins bien que Barna, mais
son, 21-12, 21-10 ; Compiègne bat Bellin, 21-4 ; 21-7 ; Teyssèro bat Brosse, 21-12, 21-10 • Bal-
lutaud bat Baury, 21-11, 21-17. Double Messieurs : Egullion-BIaize battent
Espinasse-Laprugne, 18-21, 21-17, 21-10 ; Compiègqe-Bl.ai.s.se. bai.ent Sennoret-Vega, 21-15, 21-17 ; Belham-Bonnet battent Brisson-Baury,
21-12, 21-18 ; Maridot-Teyssèro battent Beii'nBrosso 21-12 21-19, soit 13 victoires à 0 pour le P.P.C.V.
,
Vichy. — Samedi 29'avril, l'équipe première du Ping-Pong Club de Firminy a rencontré en match retour l'équipe première du Ping-Pong Club do Vichy. Après de belles parties où l'on remarqua l'adresse dos Piana, Alésina, Tirmar che, Hospital, Courtial, Granger, la 'victore re vint au Ping-Pong Club de Vichy, par 6 à 3.
CHAMPAGNE
Beims. — La vogue du iriuig-pong qui s'étend
de plus en plus à travers la Franco^gagnc main
tenant la Champagne, les Ardesimes et l'Aube qui jusqu'à présent, étaient restés on retard sur les autres régions. Plu.sieurs clubs se sont fondés
tant à Beims qu'à Charleville, Cliâlons, Homilly,
etc., et leurs joueurs progressent déjà sensible ment. Un Comité Champagne-Ardcnnos-Anbe est en formation, des rencontres ainicalos ont en
lieu avec tout le succès qu'on escomptait, mais
a part Clmrleville, aucune ville de notre région
n'avait ou le plaisir d'applaudir les grands
joueurs internationaux résidant en Franco. Beims
se mot à la page en faisant venir le 2d mai jirochain en soirée Szabados, Bellack, Hagnenauer
et Worth ainsi que deux très bonnes joueuses qui donneront une exhibition au Cirque municipal. Cette grande salle, espérons-le, sera bien garnie
et les sportifs de Beims et des environs feront
une belle ovaHon à ces grands joueurs qui met tent si volontiers leur magnifiqiin talent an ser
vice du iiing-pong pour activer de plus en plus
le développement de ce sport ai agréable.
PING PONQ
J)<nibh- Mê.f.'iiutii-.i :'MM. GalmlcliC-Brunsehwiq hatteut MM. Moiiliu-Margaine, tous de Saint-
NORMANDIE
Ire Racing-Club de Rouen remporte la Coupe Welcker. — Le P.P.O. Bernay, do création réeonte est en train de se hisser au premier
Guide de roi'îjaiiisaleiii' de tournoi
Etienne (Loire"), par 21-12. 21-14, 22-20. Simple Me.isicur.i : Champion du Lyonnais : M. Calmiche.
])!an de l'activité Pongiste en Normandie. Le mercredi 36 avril, il met tait _ en compétition
Nous avons étudié il y a un mais la façon
Inscrivons sur la I" carte le premier nom
une Coupo offerte par son Président d honneur,
d'établir correctement un tableau. Il faut
maintenant faire disputer les. rencontres de
de la première colonne, c est en 1 espèce M. Legros, il va rencontrer M. Guérin à
ce. tableau, et surtout faire: cela avec ordre. Vous savez tous comment cela se passe
21 heures sur la table n° 1, car vos tables sont évidemment numérotées, et c'est tout
NOUVELLES ÉTRANGÈRES
M. le docteur Welckor.
Répondant à l'aimable invitation, de M. lillon, président actif, les deux grands clubs nor mands ot rouonnais, le E.C.B. et le P.P.R. se
déplacèrent donc A Bernay pour s'y disputer cet objet d'art.
.
.
.
Confiiiuant ses deiix premières victoires dans
le Championnat par équipes, le Racing l'em-
poria de justesse, il est vi«i, sur ses voisins,
Championnats nationaux 1933. — Résultats ; Simple Messieurs : Liebstov (W.T.T.C.) bat Cohn (Badcn), 16-21, 21-19, 20-22, 21-18, 21-1. ;
mais snffisammeiït p'Oiur que l'on ne puisse in firmer sa supériorité dans l'ensemble de cette Plussmann (Ilakoah) ot Altiuann (Hakoah). Simple names : Aime Wildam (Vindobona) bat saison. Les deux équhies étaient au complet ; le P.P.R. .était renforcé par trois transfuges du Mlle liadstactter (individuel), 20-22. 21-10, 22-20, 2HÛ .; Aille Boues (W.A.C.) ot Aille Eeiss (HaRouen Etudiants Club (aussi partait-il favori, dv ce match). 0'é.tait faire bon marché du cian et de la volonté des Mauves qui se le- ^'^Poublc Messieurs : Flussmann (Hakoah)-Liebster (W.T.T'.r.) battent Fleischmann (Vindotr iuvent toujours dans ies matehes capitaux. Tous les matehes furen*- disputés^ avec un b'oUa)-iUum (K.S.K.), 10-21, 21-15, 18-21, 21-18, réel acharfneut et la plupart allèrent -à Ja limite liouhic mi.rte : Aime AVildam (A'iudobona)des ses. 1! nous fut particulièrement agiiéable de constater que depuis octobre, les meillcur.s Licbster (W.T.T.C.) battent Aille Reiss (Haéléments roueniiais ont accompli^ de réels pro koah)-Fischor (Hakoah), 21-4, 21-10, 21-15.
grès. Nous iiersistims d'ailleurs à crniro C|ue la sélection de Normandie serait diffiieilomeiit battable en province. Pour en revenir à la rencontre précitée, nous donnons ei-des.sous les résultats techniques :
Rosma.rin (R.C.R.) hat Monnet tP.P.R.), 3-2.;
Vornière (R.C.R.) bat de Torok (P.P.R.), 3-2; Lauganav (P.P.R.) bat Béh.ar (R.C.R.), 3-2; Oîlbert (R.C.R.) bat Lanchnn (P.P.R..), 3-2 ; Théveain (P.P.R.) bat Patris (R.C.R.), 3-Ot Monnet-Lang.anay (P.P.B.i battent Rosmann-
Réhar (B.C.R.),'Sd ; Yornière-Gilbort (R.C.R.) battent T.Oïok-Lanchdn (P.P.R.). 3-1. J. BENARD. NORD
Championnat du Nord par équipes femlnuie&
— Le Championnat du Nord par équipes fémi nines n'avait réuni qu'un nombre re.streint d'en
gagements par suite de l'hésitation que momtrent encore certains Clubs à se lancer dans là voie des compétitions féminines.
Double dames : Aime Wildam-AIlle Forbak
(Vindobona) battent Aille Ladstaetter (individuelle), Championnats juniors : Schediwv (Sturm), 12.-21,
très intéressantes parties, quo les matehes sont
le meilleur moyen d'améliorer la qualité du ping-
pong féminin,"et qii'ciifln l'esprit de compétition n'est pas moindre chez les joueuses que ehez_ les
joueurs. Nul doute que bientôt, les championiiats de ce genre ne réunissent de nombreux enga ■
gements.
Le titre fut enlevé par l'équipe du Ping-Pong
Club de Cambrai, en gros progrès, qui, en lÎMle,
Bcnes (W.A.C.)-Mll_e 23-21, 21-19, 21-15. Goebel ("W.A.C.) bat 19-_1, 21-16,. 21-15,
21-12 ; 'llartingor (Don Bosiso) et LudiVag (W. A.C.).
Mlle Bricnut bat Mlle Bc'aucamps, 3 à 0;,Ml]e
Gondry bat ADlc Tillié, 3 à 0 ; Mlle Dienne bat
Mlle Bacq, 3 à 0.
•
den Schrick, 3 à 0 ;Mlles Lejosiio-Flamcnt bat tent Mmcs Van don Sehriek-Simoens, 3 à 2. Finales des Seconds : New Ping-Pong Club de
Roubaix bat Club Athlétique LUIois (Equipe B),
par 4 victoires à 0. — Mme Simoens (N.P.P. C.R.) bat MUe Beaucamps, 3 à 0 ; Mme Lorthiois (N.PP.C.R.) bat Mlle TilUê, 3 à 1 ; Mme Vaa den Schrick (N.P.P.C.) bat Mlle Baeq, 3
1 ■ A
à 0 ; Mmes Van den Schrick-.Simoen? (N.P.P. C.R.) battent Mlles Bcanc.amps-Tinié, 3 à- 0. Finale : Ping-Pong Club de Cambrai bat Club
Athlétique TAllois (Équipe A), par 3 victoires 2. — Aille Bricout (Cambrai) bat Mlle Fla
ment (C.A.L.), 3 à 2; Mlle Gondry (Cambrai) bat Mile Lejosne (C.A.L.), 3 à 0 ; Mlle Gras (C. A.L.) bat Mlle Dienne (Cambrai), 3 à 0 ; Mlles Flament-Gras (C.A.L.) b.attent Ailles Brieont-
Goiïdry, 3 à 2 ; Ailles Brieout-Lienne (Cambrai) battent Mlles Flament-Lejosne (Cambrai), par 3 à 2.
partent de la boîte et n'y reviennent pas... tout cela ne manque d'ailleurs pas d'un certain charme, c'est de la vie, et géné
ralement « tout se tasse » grâce à la bonne volonté de tous et au talent de quelquesuns.
Si pourtant nous tentions de faire un peu mieux.
Je suppose que n'ayant eu que 30 enga gés j'aie obtenu le tableau ci-dessous: ") 47
r S-tgijcr i
Aille Forbat (Vindobona) ; Aille Bcnes (W.A.C.)
ût fU
PORTUGAL
Lisbonne. —• Le championnat individuel qui sera disputé selon la formule de « poule » avec
ih-
Je sais que pour fane disputer un tableau Je dis presque parce que restent devant moi complet de 32 joueurs il faut 31 matehes; ies carres de Durand et d un autre joueur
des rencontres en trois sets, formule qui semble
comme les rencontres 1 contre 2 et 31
défectueuse, a réuni un grand nombre de con-
contre 32 sont supprimées parce que je n ai
. currents. .
Parmi les joueurs les plus connus, on remarque
cependant l'absence de Alvaro Lousa et Peixato. Ce grand tournoi sera joué au courant du mois de mai.
Chronique (les
Chaïupionnals du Moude Le grand événement approche. Les cham pionnats du monde auront donc lieu à Pari§ du 2 au 10 décénibre 1933. # «
' -
On annonce la participation de pays nou;
vellement gagnés au tennis de table- et qui n'ont encore jamais figuré dans la compé tition mondiale. Panni eux ; la Suisse, la
Hollande, le Portugal. La participation des Etats-Unis paraît certaine. On parle même du Japon. *
Tous les fervents du ping-pong seront à
Paris pendant la grande période. Pour ré pondre au désir- manifesté par iilusieurs joueurs ét supporters de province, le jour
i
reste plus que 4 joueurs en présence
qu'il gagnera contre Guérin et sur la deuxième- ligne, je note qu il disputera le
survivants à ce moment seraient obliges
table 1.
plus de 2 matehes à la fois puisqu'il ne
d'abord, puis les 2 finalistes, et puis les deuxième tour contre Durand a 22 h. 20
de jouer sans repos entre les parties, donc ne vous y fiez pas et réservez les demifinales et la finale pour un autre jour. Ceci dit, je me suis procuré trente car tons du modèle ci-dessous, autant que d'en
pionnats du Lyonnais à Boiirg-en-Bresse et a chargé le oliib do cette ville, « Les Amis du .Pinf-Pong », de l'organisation de cette ren contre.
Ijcs résiilhits ont été les suivants ;
Simple Dames : Mlle Boromé, do St-Etie:me (Loire), bat Mlle Oasnle, par 21-7, 21-4, 21-4. Double mixte : Mlle Boromé-Briin.schwiq, de S.alBt-Elienne (Loire), .sont vainqueurs de Mlle JtiMson-Chottier, Se Bourg.
contre Durand à 22 h. 20 table 1. Je suis
A DR ESSE
CLU B r.ic.x,
c TOUR ^M" CONTRE ^0.<A'n.à^/i^.iable h 2° TOUR
dont faire coïncider leurs vacances avec
la
3° TOUR. n
Le Commissaire.
(ÏÛI TROUVERA UN NOM
4o TOUR - -
M---A'Â
—.
POUR LA « COUPE » DITE « DE FRANCE »
5° TOUR
;
--
Nous invitons nos lecteurs à faire tra-
vaillci' leuf imagination. Lequel (Tentre
équipes;'
Ecrivez-nous. Nous puhlirons les fépoiises intéressantes.
■
>1
m i
Résultats :
championnat du monde féminin par
Championnats du Lyonnais. — Après le succès remporté par les Championnats de l'Ain, le Coniib'j dn Lyonnais a décidé de joncr les Cham
^
NOM
Avis aux mordus du ping-pong qui vou-
Gra.s-Nico]let, Doyminoux-Revaz, Chottier-Hen-
let, Favier.
Mais il n'est pas sûr que Legros gagnera
contre Guérin. Supposons maintenant le contraire, prenons la carie de Guénn et no tons dessus qu'il disputera le deuxième tour
gagés (il est possible pour une si petite donc paré, que ce soit Legros ou Guérin quantité de les faire taper à la machine qui gagne au premier tour, sa- carte sera sur des quarts de feuille format à écrire). prête pour le match du second' tour contre
billet de chemin de fer, aller et retour, à
riet
Simple Messieurs : AIAI. Bertheiix, Tonrnicr, Pirat, Bcrnollin, Naquef, .Teanton, Lefel.ivre, Chappaz, Cnicvrolet, Rivaz, Gras, Boigoy, Nieol-
'
tenter de liquider mon tableau en une soirée. qui de Legros et de Guérin gagnera. Reprenons maintenant la première carte Mais vous oubliez qu'à partir des quarts que j ai faite : celle de Legros. Je suppose de finale vous ne pouvez plus faire disputer
partir d'un point déterminé, la pension et l'hôtel pendant le séjour à Paris, le droit
eux trouvera un nom pour la Coupe, offerte par hr France, et attrilmée au
Messieurs : MAI. Bertheux-Boigey,
premier tour.
voyages A prix réduits qui comprendront le
posant de jouourB (soixante - environ) et les résul
Double
en bas du tableau qui ne disputent, pas le
Je prends la carte de Durand et sur la que 30 engagés, il reste donc 29 matehes. Or on peut, je l'ai dit, compter 3 matehes première ligne j écris exempt mais sur la eh une heure sur une table. Si je dispose deuxième je notre CONTRE 34 à 22 h. 2C de 3 tables je ferai faire 9 matehes à table 3, Qui est 34 ? C'est le gagnant du match l'heure ou 27 entre 9 heures ot minuit. Legros (3) Guérin. (4) que j'appelle forcé A première vue il semble donc que je ment 34 pour le moment car j'ignore encore puis compter sur un ou deux forfaits et
nal Ping-Pong étudie l'organisation de
l'époque des championnad;s du monde !
Simple Dames: Aille Besson, Mme Debout, Mlle Bbert, Mme Benoit. Double mixte : Aille Bosson-M. Chottier.
ro
f-
Double mixte : Aime Wildam-AIorgenroth (Vin dobona) ; Aille Benes-Goobel (W.A.C.).
(Equipe A) ; 3. New Ping-Pong Club de Rou
tats ont été les suivants :
ÂL.
ÂJL. hyOA
Thum (K.S.K.) ; Schediwy-Nagcl (Sturm).
lyonnais
m:--
l^aAxAA.'cs.
?- XdLCjiie.t
et Aille Ladstaetter (individuelle). Double- Messieurs : Fleisehmann (Vindobona)-
d'entrée aux manifestations.
Bourg-en-Bresse. — Le samedi 8 avril ont eu lieu à Bonrg-eu-Brosso, salle du Triaiion, les Championnats de l'Ain de Ping-Pong. Ces iCliaœpionnats ont réuni im nombre im
LOlCPy\d
Tournoi de 'Vindobona. — Résultats : Sim
Classement des équipes féminines du Nord à la suite de ces Championnats. — 1. Ping-Pong Club de Cambrai ; 2. Club Athlétique Lillois
baix ; 4. Club Athlétique Lillois (Equipe B).
Faisons aussitôt la carte de Maurice, in
verse de la précédente. Piiis 5° et ô' cartes ^ pour Jacques et pour Leroy à 21 heures table 3. Et voilà mes trois tables occupées pendant 20 minutes, si bien que Antoine et" Robert ne pourront jouer sur la table n° I qu'à 21 h. 20; et ainsi de suite, jusqu'aux joueurs 27 et 28 d'une part, 29 et. 30 d'autre part qui occuperont les tables 1 et. 2 à partir de 21 h. 20. Voilà mon stock de cartes presque épuisé.
ple Messieurs : Sehodiwy (Sturm) ; Goebel (W. A.C.) ; Fleischmann ot Alorgenroth (Vindobona). Simple Dames : Aime Wild.am (A'^indobona) ;
Ping-Pong Club de Roubaix, par 4 victoires à 0. 3 il 1 ; Mlle Lejosne (C.A.L.) bat Mme Lorthlois, 3 à 1 ; Mlle Gras (C.A.L.) bat Mme Van
arbitres, on sollicite des résultats, les-balles
Gruenauer.
Club Athlétique Litlois (Equipe A) bat New — 'Mlle Flament (C..A.L.) bat Mme Simoene,
La 3° carte est celle M. Georges qui
grossit, on hurle des noms, on cherche des joue contre Maurice à 21 heures table 2.
Technique), 15-21, 17-21, 21-9, 21-15, 21-6 ; R.
Athlétique Lillois.
Ping-Pong Club de Cambrai bat Club Athléti
soirement ces deux cartons.
res puissent être opposés,.dans la foule oui
Chajcs et Loowv (Université). litmblc Messieurs : Defris-R. Chajes ; Breuer-
battit de tonte justesse, l'équipe A du Club
que iiKoi,?'(Equipe B) par 3 victoires tV 0.. —
pointe les présents; comme par hasard on . gros. A 21 heures table 1. Classons provi
attend une demi-heure que deux adversai
Championnats universitaires : Simple Mes sieurs : Gruenaucr (Université) bat Defris (Ecole
Ce Championnat a pourtant montré clairement
quo ces sortes de compétitions donnent lieu à de
ce que je puis dire pour l'instant. Je prends Le juge arbitre a fixé le tableau au mur, une 2' carte, c'est celle de M. Guérin qui les joueurs arrivent quand ça leur plaît, on lui évidemment joue au 1'"' tour contre Le-
habituellement.
AUTRICHE
6° TOUR -.--
- -
-
a--
Remettre à l'arbitre avant le match. L'arbitre conservera la carte dn vainoi urana table lauie I-i- a > Durand à 22 ii. h._i.w20.
Et je continue ainsi, je complète les car tes de Georges et de Maurice en y écrivant
qu'ils rencontreront 36 à 22 h. 40, table 2,
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ce 36, ce sera suivant le cas, mais cela; m'est indifférent, Jacques ou Leroy. Et comme cela jusqu'au match qui oppose-
à 23 h. 20 sur la table 1 le vainqueur de 29-30 à l'exempt du bas numéroté 18. Pour la troisième fois je reprends mon-
■ta-:.
PING'PONO
|»aquet de fiches et je suppose que le
Vers la saison
îoueur qu'elle représente a été vainqueur. La fiche de iDurand tout d'abord. Il
d'élé
Médailles,
rencontrera donc 50 à 23 h. 20 table 2, je
Plaquelles,
méts évidemment la même chose sur les
fiches de Legros et de Guérin. Et sur les La saison est avancée; certains préten fiches des 4 suivants Georges, Maurice, dent qu'elle est terminée ou sur le point de Jacques et Leroy j'écris inversement qu'ils l'être. Personnellement, je Tr'-en crois rien. rencontreront 49 à 23 h. 20 table 2. Sans doute, les tournois de la plupart des Je n'insiste pas et suppose que vous avez grands clubs sont joués; ils viennent d'être compris ce mécanisme très, simple... bien heureusement couronnés par le champion qu'un peu long à expliquer. nat de France à Bordeaux, qui laissera dans Et maintenant voyons le résultat et les la mémoire de tous ceux qui y ont assisté le ■ conséquences de ce travail. Attention, en souvenir d'un beau voyage sportif, qui fut faisant cela nous nous sommes engagés dans animé ^ussi bien par l'émotion intense résul la voie de l'ordre, il va falloir n'en pas tant de la compétition individuelle, que par ' sortir. cet esprit collectif et de camaraderie, qui Les fiches que vous venez de faire cons est d'ordinaire réservé aux sports par tituent en même temps des cartes de joueur équipe. D'ici quelques jours, le champion qui donneront droit à l'entrée de la salle, nat de France par équipes aura départagé les et des convocations précises... et complètes, grands clubs et.il semble que, dès lors, les soit que vous les expédiiez avant le tour joueurs n'auront plus qu'à prendre des quar noi à chaque compétiteur, soit que vous les tiers d'hiver — pardon, d'été — qu'ils au distribuiez à l'entrée le premier jour (si ront bien gagnés. vous avez économisé les timbres des con Tel cependant n'est pas mon avis. Et je vocations individuelles). Mais un homme averti en vaut deux, ne crois pas que les joueurs de P. P. aban celui qui ne se trouvera pas près de la donneront pendant une période de 6 mois table dite, aux heures indiquées SERA IMPI un sport qui, pour nombre d'entre eux, est TOYABLEMENT SCRATŒÉ. Pas de quart non pas le spiort préféré, mais le seul qui d'heure de pitié, pas d'histoire, sinon c'est compte, en ce sens que c'est celui dans le toute votre organisation par tene de la faute quel ils excellent. 11 est indéniable qu'en d'un impoli, n'ayez aucun remords, vous principe .(I), ce ne sera qu'exceptionnelle-
V0US (êtes donné, vous, du mal pour pré venir tous vos engagés (ce qui ne se fait presque jamais) des heures précises et des
(1) Je dis « en principe », car je n'ignore pas que Perry, Bolelli. Journu-.et.bien d'au tres, excellent au tennis et au .P. P.
ment, et à titre d'hygiène ou de délasse ment momentané, que des .Haguenauer, les tez pas qu'un écervelé ou un mal appris Verger, les Daniel Guérin iront faire figure décale tout l'horaire et gêne tous ses ca de comparses de 3 série sur un court de marades. Ceci dit n'oubliez pas que : tennis, alors que, dans les salles .de .P. P , ]° l'absence d'un joueur ne change pas leurs narines respirent à toute heure les fu l'horaire établi, et que 2" deux joueurs ne mées de l'encens. Ils feront une partie de sont pas autorisés à changer de table parce tennis, de golf ou de basket, comme on que la table voisine est libre à la suite prend un bain de mer ou comme on va à la d'un forfait. En résumé ; les indications chasse. Mais ce ne sera qu'à titre acces portées sur les fiches sont impéralives. soire; le principal restera le P. P. Et c'est endroits exact.i où ils doivent être, n'admet
La table libre un moment permettra de du reste à cette condition, il faut le dire faire des balles ; mais sera ainsi disponible franchement, qu'en dépit de l'exemple de dès que la rencontre suivante qu'elle doit Perry, ils conserveront leur suprématie. 11 supporter sera prête. serait du reste déplorable que, pendant l'été, MARCEL CORBILLON. Oui, mais.... avec une BLAGK et WHITE on manœuvre l'adversaire caoutchouc blanc — manche noir
\
ciée. Les détracteurs du P. P. seront ré
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au
Pîn$>'-Pong, au Tennis, -3
les joueurs abandonnent le P. P. Le plus grave reproche — c'est à mon avis le seul qui soit fondé — que l'on puisse faire à celui-ci, c'est de se jouer à la lumière arti ficielle et dans une atmosphère souvent vi duits au silence, lorsqu'ils assisteront à une partie menée à toute allure dans une salle élégante de casino, dont les fenêtres s'ou vriront tout grand sur la mer pour laisser en trer le soleil étincelant du mois d'août.. Et
ces autres détracteurs à regret du P. P., que sont souvent les parents des jeunes joueurs, ne contrediront plus à ce jeu, qui, durant les mois de vacances cessera d'être consi
le Flip
cielle, eût au moins dans sa mallette un
pantalon de flanelle gris réglementaire et une chemisette de couleur, rehaussée de
l'écusson du club. Certains regrettent que le public fasse souvent défaut et n'accorde pas au P. P. l'intérêt qu'il mérite. Mais pourquoi eux-mêmes ne lui accordent-ils pas plus d'intérêt ? Vous voulez que des spec tateurs trouvent une heure ou deux de liberté
pour assister à vos rencontres. Que ne trou
ville, Dinard, Royan, La Baule ou Biar
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du casino, qui éclipsera nos modestes ins tallations d'aussi loin qu'un théâtre des bou levards peut éclipser une salle des fêtes de province, et le public élégant centralisé au casino et capté d'avance aussi bien par l'oisiveté des vacances que par l'absence d'autres distractions à cette heure-là.
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Non, le spectacle ne réside pas unique ment dans la qualité du jeu. Au'champion
que lorsque Verger disputa la dernière balle, qui allait le déposséder de son titre de champion de France, le spectacle fut au trement émouvant que s'il se fût agi de la plus magnifique partie d'entraînement entre
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Voici un exemple de facteur moral. Mais, je le répète, celui-ci n'est pas seul à jouer. Les facteurs matériels ont leur im portance; parmi ceux-ci le seul qui dépende des joueurs — les autres sont le fait des organisateurs — est leur tenue. Que pour le développement du P. P., ils y veillent donc avec le plus grand soin et qu'ils n'aient pas la pmesse de faire un stage au vestiaire avant la partie. Qu'ils songent à ce que se rait un Grand Prix de Paris dans lequel les jockeys porteraient leurs chandails usagés des jours d'entraînement. Et qu'ils s'imagi nent Borotra, le jour de la Coupe Davis, pé
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de s'efforcer, dans la
mesure de leurs
moyens qu'elle contribue au développement du P. P.
Vous jouerez mieux avee les Raquettes
égal à celui des parties, qui seront jouées pendant les mois de juillet, août et septem ritz. Tout contribuera au succès et le cadre
La raquette i MORRIS »
dans la qualité du jeu. 'Nullement. La qua lité du jeu n'est qu'un des éléments du spec tacle, le plus important, sans contredit, mais qui ne doit^pas faire négliger les autres et en particulier toute la mise en scène, qui agrémente la partie : Exposition de la coupe offerte au gagnant, isolement de la table d ispcsée en court central, gradins qui l'environnent, arbitre de Fédération pour diriger la partie et enfin tenue uniforme des
championnats joués dans les plus grands
bre dans les casinos de Paris-Plage, Deau-
Tel. ; .1%1-eli. 1 a-NT ï
être complet. Te spectacle, me direz-vous, consiste
nat de France, à Bordeaux, la qualité du jeu dans la partie finale, qui opposa Verger à Haguenauer, fut bonne, mais non point exceptionnelle. Et cependant je vous assure
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Les vacances seront donc, à mon avis,
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de nature à rallier au P. P. un public sé lectionné. Mais il sera nécessaire que les joueurs se mettent en harmonie avec le ca dre élégant dans lequel ils seront souvent appelés à jouer. La question de la tenue aura un rôle primordial dans le dévelop pement du P. P., qui, comme tous les au
Batalogue franco
tres sports, ne progressera et ne se divul
sur demande
guera qu'au moyen d'une élite. L'effet
d'une belle partie sera considérablement
)
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pour endosser une tenue, sans laquelle le spectacle, au sens propre du mot, ne peut
Pour nous résumer, je crois qu'il y aura une saison d'été, qui ne le cédera en rien à la saison d'hiver, et je conseille aux joueurs
clubs de Paris connaissent jamais un succès
Ouseanx ^ Cle
vez-vous, vous-même, dix minutes de liberté
mieux classée.
résultats intéressants, en ce sens que les •joueurs seront disséminés dans toute la France. Mais elle sera infiniment plus bril lante,. Je .ne crois pas que les finales des
Coupes, Insignes ' p'* Sociétés .
pantalons de ville, chemises dont le col est simplement retiré. 11 faudrait que chaque joueur, qui dispute une compétition offi
nétrant dans le stade Roland Garros avec son
d'été. Peut-être sera-t-elle moins fertile en
Prix:10'
une tenue fantaisiste — chaussures de cuir,
déré par eux comme le concurrent dange reux, qui, pendant Tannée scolaire, rendait facilement 13 points à la version latine la Je crois -donc qu'il y aura une saison
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LE LYCEE JEANSOiN EST CHAMPION
On dit clans L'Auto du l" mai, gous la plume (le Gaiitier-Chaumet, rétonnaht arti cle que voici :
Epuisé par des efforts violents pour do miner un tempérarnant congénitalenient méctiant pendant toute une seinaine que j'ai voulu de. bonté, comme tout le monde, et constatant que la reinise de mes activités correcto-rnnseuses coïncide avec une jour née de chômage â peu près général, je n'étais pas, hier malin, d'une humeur in dulgente.
Mais j'ai éprouvé une grande joie, et je vais vous lu faire partager : On manquait de fcdéraiions... Dieu et les pontifes viennent de nous en
donner une, une de plus: la Fédération Française de T. T.
Celle fédération s'est pourvue elle-même d'un président. Il s'appelle M. Corbilllon... Dans mon Corbillon, qu'y met-on?... On y met des projets, qui deviendront de très gros événements. Mais ceci n'est rien.
M. Corbillon s'est fait interviewer par un journaliste spécialisé dans le P. P. tou
chant la future activité des dirigeants du T. r.
M. Corbillon a fait à notre confrère un
certain nombre de déclarations dont je ne vous recopie que l'essentiel, mais en pro pres termes et que, par conséquent, je vous prie d'étudier lentement et avec attention:
« Nous allons, diminuer les cotisations.. », a dit d'abord M. Corbillon... Pas de com mentaires: admirons!
« La Fédération va se borner à diriger, ccuitrôler et arbitrer... a poursuivi M. Cor billon. <( A part cela., nous pourrons don ner aur adhérents, clubs et comité, le plus d'indépendance possible... » A' 'ul ne saurait se retenir d'applaudir à ce sens aigu de la contradiction dans, l'esprit d'un haut, dirigeant: laisser-aller et disci pline, dictature et liberté, anarchie et gou vernement.
(( Ensuite, nous allons créer, a continué
M. Corbillon, une section de juges arbitres officiels... »
Le besoin s'en faisait sentir; il ne peut y avoir de beau T. T. ni de P. P. possible sa7is une section d'hommes impartiaux et doués d'autorité et qui soient de surcroît juges, arbitres et officiels. Puis, M. Corbillon va mettre à l'étude la
question de la tenue des joueurs. .Sans nul doute, c'est un souci extrême ment veslimentaire. L'uniforme et le bon goût s'imposent, ainsi que des couleurs vi ves sur les jnaillots, le pli au pantalon et la cape pour les inlernalionaux...
Voilà donc une Fédcration qui manifeste une nette volonté d'activité, de diffusion et de puissance. Elle use pour se ranger aux côtés des plus grandes de moyens, nettement originaux et d'un programme... ... D'un programme incomplet. Je me per mets de conseiller à M. Corbillon d'organi ser de bonnes petites querelles touchant Vamateurisme, le professionalisnie et le marronismc comme tout
le
monde
bien
des... fédérations, de bonnes petites disqua lifications; comme en athlétisme, de bonnes petites questions mal solubles, de savoir, comme en football, si l'on peut mélanger les torchons et les serviettes et faire jouer les. pros et les purs; enfin, je conseille sur tout à M. Corbillon de répandre, co.mme en rugby, le jeu dur ét les coups en v... sfil veut trouver auprès des foules enthousiastes un succès mérité, bref d'organiser dès main tenant, dans le T. T., le P. P. de muerte...
fédération est née
quand
la
Fédcration
Fiançaise de tennis de table a été fondée en 19^7, eh puis, qui donc devait élire le Président,, sinon les membres de la Fédéralion, elic-mêmc, vous n'auriez tout de même pas voulu qu'on allât chercher GautierCha.umct pour ça. Qu'y a-t-il de drôle aussi et de contradic toire à enlever au Comité central, le soin
d'affilier les clubs, de donner les licences, de pcrcepovr les cotisations, d'organiser les championnats régionaux, de surveiller la correction des épreuves, etc.; de donner tout cela aux Comités Régionaux en ne lais sant au Conseil Central que la mision « de diriger » la politique générale de notre sport, « d'arbitrer » les conflits entre les Comités Régionaux s'il s'en présente, enfin de contrôler le plus discrètement possible la gestion sportive et financière des Ré gions. Et pourquoi aussi ne nous inquiéterionsnous pas d'avoir des « arbitres officiels » pour 710S épreuves, puisqu'il nous a tou jours faliit des arbitres officieux? Tous
SCOLAIRE DE PARIS ujSS. Les parties finales ont été disputées hier au Palais Berlitz.
Demi-finales :
Gabnot bat lloLLiN : 5 à 4Jeanson bat Ste-Barbe : 6 à 3. Finale :
Jeanson bat Carnot : 5 à 3
(Neswigensky (J) bat MoUez, 2-0 ; bat Bernstein 2-1; Lefort (J) bat Mottoz 2-0; bat Bornstein 2-1; Citroën (J) bat Beimstein 2-1; Daniel Guérin bal Neswigensky 2-1; bat Citroën 2-0, bat Lefort 2-0).
d- cela ?
Et voilà, monsieur Gautier-Chaumet, l'opi nion d'un Corbillon {tout le monde ne peut pas avoir, comme vous, un nom qui se dé
visse comme une canne à pêche), qui « rie s'est pas fait interviewer », parce qu'il n'at tache ni à lui-même, ni à la Fédération qu'il préside depuis si peu de temps, une importance exagérée. Mais, pratiquant le ping-pong ou non, nous nous en occupons avec foi, avec bonne humeur et surtout... — ça va peut-être vous épater, vous? — avec
fédération ? Le ping-pong... Nous avons demandé à M. Marcel Cor
billon de bien vouloir répondre lui-même au chroniqueur souvent plus spirituel dé L'Auto:
Présemez-nous de nos amis; nos ennemis, nous nous en chargeons. L'article de Gautier-Chaumet dans L'Auto
du 1"'' mai me fait revenir cette prière à là mémoire. Oh'il ne s'agit pas de GautierChaumet: depuis trente ans que je pratique le foot-ball. je lui cri vu écrire tant de bêti ses sur ce sport, que de nouvelles ampoules
A sa suffisance ne sont pas pour m'étonner. Mais dans L'.^uto !!! c'est presqu'un com
ble.' Que La Fouchnrdière dans L'Œuvre, confonde te go-yo avec le Ping-Pong, nous en rions bien volontiers. L'Œuvre n'a pas la prétention d'être un journal spcivlif, et La Fouchardière est spirituel, mais dans L'Auto ! ah!non, elle est bien bonne. Lire
dans notre vieux jaune qu'une nouvelle I
REINA
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au point et déposé un ramasse-balles parti culièrement ingénieux. C'est une tige souple de 80 centimètres terminée par un filet en cerclé qui, grâce à un caoutchouc intérieur, Il y a deux tnodèles : l'ordinaire d'une
seule pièce ; l'autre d'une présentation plus élégante démontable en deux pièces. Tous les marchands d'articles de sport «à. la page » se procurent le ramasse-balles Doria.
|iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiiiiii|g
I LA RAQUETTE I La croisade à La Richàrdière
(De gauche à droite : Barna, Georges Si menon, Constant Bourquin, Raymond Ver ger, Revert, président du P.P.C. Rochelais.)
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T. T. MARCEL CORBILLON.
Mais, m'a.Uez-vous dire, bon lecteur im patient, riu'est-ce donc qu'elle régit, qu'estce donc qu'elle gouverne, cette formidable
dire que cet effort est lassant et devient vite ■
particulièrement déplaisant pour les joueurs.
peut « coiffer », 3 balles en deux temps et"
Presse.
El, ne vons en déplaise, la Fédération de Tennis de Xable n'est pas une toute petite Fédcration, depuis que L'Auto a bien voulu s'occuper d'elle, le nombre des sociétés, affi liées est passé à plus de 300, et le nombre de.s pratiquants dépasse 50.000. Je sais, moi, beaucoup de Fédérations sportives qui nous_ envieraient de pareils effectifs. La Coupe de France de foot-ball remue 40O équipes, à 11 joueurs chacune, cela fait 4.100 pratiquants pour la France entière, eh bien, la seule compétition de Ping-Pong de L'Intran a, dans Paris seulement, réuni cet hiver 4.027 engagés et la recette de la soirée finale nous a permis de verser à la caisse des journalistes sportifs {M. Chaumet rien esl certainement pas), un chèque de plus de 12.000 francs... beaucoup de <( For midables » Fédérations sont-elles capables
par terre. Lorsqu'il s'agit de la dénicher sous les tables et sous les chaises on peut
trois mouvements.
les sports en ont. C'est vrai, j'oublie que M. Gautier-Chaumet ignore probablement la différence qui existe en Ping-Pong com me en tennis, entre le juge-arbitre et l'ar bitre de siège... Fauve type!!! Et ta tenue!!! c'est donc grotesque de jouer au foot-ball en culotte courte et che mise de couleur, de faire de la natation en maillot de bain, de pratiquer le tennis en blanc ? Vaudrail-il mieux faire du PingPong comme on fait du ballon au poing dans les villages de la Somme en retirant seulement sa veste et son faux-col ? Tout cet esprit, d'ailleurs, parce que M. Gautier-Chaumet ne sait pas que le PingPong est un sport, dame! il n'y a guère que vingt mois que L'Auto l'ayant reconnu a, le premier, grâce à ses articles journaliers, permis le développement d'un sport agréa ble et peu coûteux... Gautier-Chaumet ne lit peut-être pas L'Auto... et il ne connaît pas non plus lès aiitres collaborateurs du Fau bourg-Montmartre qui ont formé entre eux plusieurs équipes de Ping-Pong dont l'une est arrivée en finale du Championnat de la
Toute !a fatigue venant d'une partie deping-pong provient du geste répété toutes les deux minutes de ramasser la petite balle
au Ping-Pong,^, TENNIS STATION SERVICE !.
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