DEUXIEME ANIVEE — ]\<> 12.
PRIX ! UN FRANC
20 AI AI ir33.
Mot d'ordre pour les fabricants :
Plus de camelote!
JOURNAL ILLUSTRÉ PARAISSANT LE 5 ET LE 20 DE CHAQUE MOIS Rédacteurs en Chef : CONSTANT BOURQUIN & RAYMOND VERGER 3^, rue NlarbeuT-
Tel S S'»'"'"''''- Elysées 97-61
Conseils aux Fabricants n y a line politique des dirigeants la Fédération est au-dessus de ces considérations de justice. Elle exige, souvent attiré l'attention de nos lec et cela nous suffit, un matériel ap teurs. C'est d'ailleurs la seule poli proprié au sport qu'elle a la charge tique viable, la seule qui puisse per de diriger. du ping-pong éur laquelle nous avons
mettre au ping-pong de vivre sur son élan et de s'établir solidement. Elle
Aux fabricants de faire un effort
,
î/./«Hed/i -EiyséesSOSS
Abonnement: un an, 20 frs
SET ET MATCH L'histoire rapporte que les empereurs ro mains, étonnés de leur' propre grandeur, se faisaient suivre par des esclaves chargés de
jours après qu'elle a paru, il nous télé phone : « Monsieur, je suis très satisfait
mento te esse mortem.
de votre publicité. Mon annonce dans vo
Bien qu'ils ne m'en aient pas prié, je
ment du ping-pong que dans la me sure où il est pratiqué comme un sport. Nous l'avons déjà dit, il faut le
telligence commerciale. Qu'ils fassent
de moins en moins ces hoîtes de jeu
sence des êtres mortels, et comme eux fail
qui valent quatre sous et dont les en
libles.
répéter : c'est là une condition de vie
fants eux-mêmes ne, se contentent
deux eiTeurs. Vous les avez commises invo
ou de mort pour le ping-pong orga
plus. A quoi hon ces palettes en bois
nisé en faveur duquel nous nous em
ou recouvertes de papier de verre?
lontairement. Vous pouvez donc les rache ter sans que votre amour-pnopre ait à en
grincements de dents.
raquette.
pelle, comme contrepartie, une poli tique des fabricants.
aurez travaillé pour vous-mêmes.
Cette politique des dirigeants ap Or il faut convenir que les fabri cants sont loin d'être, sauf de rares
exceptions, à la page. La plupart con tinuent à fabriquer des tables, des raquettes et les balles qui ne contri
CONSTANT BOl^QUIN. ATIS
buent en rien à favoriser la pratique du ping-pong comme un sport. Notre ami Raymond Dubillot, que Il y a des balles agréées par la son activité éloigne provisoirement de F.F.T.T. Ici la question est résolue. Paris, se voit obligé de renoncer à ses En ce qui concerne les raquettes, les fonctions d'administrateur du journal
joueurs sont capables de discerner ce
m'offre à remplir ce rôle d'esclave auprès ,de nos nouveaux dùigeants: Rappelez-vous,
tre journal m'a mpporté vingt-huit oommandes de tables... » Et nunc erudimini...
messieurs, que vous êtes de l'humble es
Vous venez, messieurs, de
commettre
souffrir.
Vous avez nommé une « commission de ■tclassement ».
Première erreur :
ceUe
commission
ne
comprend aucune compétence extérieure à votre comité. On les dirigeants que vous venez de remplacer à la tête de la F.F.T.T.
Aidez-nous, messieurs, à équiper la France d'un matériel irréprochable. Vous verrez qu'en fin de compte vous
C'est celle de Ping-Pong, sans doute. Voici un exemple : un nouveau client nous confie une annonce pour ses tables. Huit
leur rajypeler leur condition humaine: mé
qui sera de leur part une preuve d'in
pourra provoquer des pleurs et des
La bonne publicité.
La balle au bond
consiste à ne favoriser le développe
ployons. Cette formule imposera à la Une raquette ne coûte pas si cher que Fédération beaucoup de fermeté et l'acheteur ,ne mette volontiers cinq souvent même une intransigeance qui francs de plus pour avoir une honne
K. (;. Seine 5588-H
avaient eu l'adresse de faire appel, pour leurs commissions, aux bonnes volontés et aux compétences qui ne font pas défaut
dans le monde du pinn-pong. C'était} juste en même temps gu'adroit. R est vrai aussi
Un club chic.
On sait que la F. F. T. T. vient de choi
sir -pour les joueurs de ping-pong une te nue officielle et obligatoire ; pantalon gris, chemisette polo gris argent avec écusson brodé aux couleurs du club, chaussures blanches ou grises, dites fleet-foot. Veste facultative, grise également, genre bla ser.
L'Opéra P. P. C. (dont le plus glorieux
poulain est le nouveau champion de France Michel Haguenauei-) voit grand et fait bien les choses. Ses équipes seront habillées sur mesure en belle fl anelle anglaise, par Jean Courtès, un des mellleui-s tailleurs de Pa
ris. L'Opéra songerait-il à remporter aussi
qu'après les avoir appelés ils ne leur de mandaient plus rien et faisaient eux-mêmes leun obscure besogne... Deuxième erreur : notre ami Raymond
des prix d'élégance ?
Verger fait partie de la commission de classement. Nul ne met en doute sa com
Au moment où il e.st n'est question dans la presse que des persécutions hitlériennes, ce défi lancé par un plnce-sans-rlre■(Israé
pétence ni le fait, saiis doute, qu'il connaît le mieux en France, la valeur comparée de l'ensemble des joueurs. R est pourtant cho quant. d première vue, de le voir à la fois juge et partie, d'autant plus que cette si tuation le désavaritage pei\sonnellemerlt beaucoup. Elle l'oblige, en effet, à deman der pour lui, un classement qui peut être justifié par des contre-peèforrruinces sur le plan national mais qu'infirmerait sé rieusement Vensemble de ses performances
Guerre de religions.
lite, d'ailleurs) est d'actualité : Il s'agirait d'opposer une sélection des
meilleurs Israélites d'Europe à une sélec tion des meilleurs chrétiens d'Europe. Nous avouons volontiers que la chré tienté n'aurait que fort peu de chances de remporter ce match. Autant dire au cune...
« Ping-Pong » dont il demeure néan
inteiviationales. Dans les deux cas. Verger
BordeauX'Paris.
tables.
Pong » est confiée à notre rédacteur en
valeur et puisque, d'autre part, on pourra dire, malgré cela, qu'il a profité de sa situation pour se faire avantager.
cyclisme, mais plutôt de peiiffure, plus exactement môme d'un écho paru dans no tre précédent numéro au sujet de la com position des tableaux du championnat de
La F.F.T.T. vient de prendre posi tion en décidant d'homologuer des types de tables. Le Syndicat du PingPong s'est chargé de protéger les
chef, M. Constant Bourquin.
.suis votre esclave dévoué. Le Juge-Arbitre.
France national.
qui leur convient et le choix, parmi les bonnes raquettes, ne manque pas. moins le gérant. La direction générale de « PingLa question grave est la question des
acheteurs
en
se trtjuve lésé : puisque, d'une part', il est obligé de se faire classer au dessous de sa
Croyez, messieurs les dirigents, que je
Détrompez-vous. Il n'est' pas question de
Nous nous étions faits l'écho de la pro testation unanime des joueurs parisiens quant au <i tirage au sort" » du doublemixte. Nous l'avons fait avec le sourire et sans intention de contrister nos amis de
Bordeaux.
décernant un brevet
M.
Garrigues nous fait donc
savoir _ que ce tableau est l'œuvre de la
d'homologabilité avec chaque table Rendue qui sera conforme au type
Commission sportive de Guyenne et Gas cogne qui en assume toute la responsabi lité. Dont acte. Voici d'ailleurs ce tableau ;
agréé.
Cette mesure sera toutefois inopé rante si les fabricants ne l'appuient de leur bonne volonté. Il faut que les fabricants se rendent compte euxmêmes qu'ils tueront la poule aux
Mlîc R.Tviirneaux-Ozonne. IVlle SabfitLr-Ti'ozpl. Mlle Flameiit-Cpi'donnier.
Mlle Perrln-Darrii. j Mlle Gan-igues-Brisson. !
œufs d'or s'ils s'obstinent à submer Mlle
ger la France d'un matériel qui em pêche le jeu. C'est une erreur de croire qu'on peut jouer au ping-pong sur n'importe quelle table indifférem ment, et qu'il soit à la portée de n'im porte ipiel menuisier de campagne de fabriquer une bonne table. Les rares
I
Mlle Rogioi'-JouTini. Mlle
BcftlicFrav-Wortli.
Mlle Fayard-Boiolli. Fausses nouvelles.
L'hebdomadaire sportif bordelais L'Ath lète, organe officiel du Comité de Guyenne
commerçants qui sont parvenus à ce
et Gascogne, ne se prive pas d'attaquer
résultat n'y sont arrivés qu'après de
les Parisiens. Jamais un Parisien n'a fait
preuve, en cette occasion, de susceptibilité. Il n'en va pas de même lorsque nous nous permettons des pointes innocentes à l'en
laborieux et coûteux essais. Même de
ce point de vue là, il serait juste qu'ils fussent protégés contre des mar goulins qui sont toujours prêts à ré colter ce qu'ils n'ont pas semé. Mais
Blanclin-Guériii.
Mlle Galtier-Veiitresque. t
droit d'un Bordelais.
Le MoxsiEun intoi axe rnÈs ixTftiiEssE ^ — « Continuez, je vous en prie. Messieurs, et avertissez-moi donc Ioi s<[nc je vous gênerai... n'est-ce pas?»
L'Athlète s'offre même le jluxe des faus
ses nouvelles.
En voici un
dans son numéro du 10 mai :
exemple pris
•?.
II
PING PONG
Le Comité de la F. F. T. T. a tenu séance
samedi dcrniei\ 6 mai, à Paris; ta précé dente séance ij aeait eu lieu le 22 avril.
in tervie w
ttreï, se sera certainement dit qu'il n'ar rive pas à tout le monde de se faire battre p-ir an néo-ciiainpion, fût-il de Toulonse.
ùnagi naire
€"ést demi à moins de quinze jours d'in-
iervalk' qxte div sur seize des membres de ce Comité ont dû se « ré-apptiquer » te voifaye de Paris, depuis Bordeaus. Rennes,
Nancij, Rouen, Ciermont-Ferrand, Mar' séiUe, fhaim, Séte, Lille et Mcziéres! I*H journal officiel rte devrait pa-s
rer (jue le Comité de la F. F. T. T. n'a pas pu être eonvoiiué pour le 22 avril puisqufij à cette date, il n'était pas encore éla.
I.a croisade a laissé beaucoup d'amis à Charleville. Or voilà que ces amis se inan-
gout entre eux. Le sympathique groupe des chasseurs -de sangliers a quitté le P.P.C. Ardennais pour fonder le Charleville P. F C. L'actif dirigeant M. Badré est resté à l'ancieu club.
Le 22 avril était rései'vé à l'assemblée gé nérale annuelle de la F. F. T. T. dont est issu le nouveau Comité. C'est donc bien
sa ]'remièv.e réunion que tenait le 6 mai le> nouveau Comité. La seconde n'aura lieu
que le 29 juillet.
Avec M. GALLUS, AiUi-Pongisle
Chez les sanguinaires.
hTous souhaitons vivement que cette scis-
sioDL n'enta-aîne pas de complications dit-
plomatiques dont l'effet serait nuisible au développement du ping-pong- dans les Ar-
dennes. Nous comptons pour cela sur le bon sens de M. Badré et sur la boune hu meur de M. Stainck.
Paris-Rennes.
Ces chasseurs valeureux ne doivent pas .se mettre à traquer leurs semblables.
La popularité du sympathique président du Comité de Bi'etagne,. M. Faggiani, est
La « forme ».
en train de s'étendre à la France entière.
Il y a quelques jours, M. Faggiani fai sait à Paris l'achat d'une splendide 201 Bd&fOrt poui-vue de tout le luxe souhaita ble.
Comme il avait perdu quelcpie peu l'habitode du volant, M. Faggiani allait preriidr®' non sans appréhension la route de Sennes. Constant Bourquin se, mit avec
idaisir à sa disposition pour l'aider « à sortir de Paris ».
■Versailles, Dreux ; une heure d'arrêt, buffet. Constant Bourquin s'inquiète de l'heaire du train qui le remettra à Paiùs. ^L Faggiani se fait doucement persua sif. C'est samedi soir, demain dimanche.
Il voudrait bien garder son pilote jusqu'.à Rennes. Bourquin se laissa faire unei douce violence. Au reste, il a perdu, depuis la fameuse croisade, la notion exacte des distances.
'Alors, M. Faggiani (a?!er Vaccent de ToxiIm) — étiez —
: Corbillon m'avait bien dit que vousun poète... Poète ? Et pourqucâ pas ! Sawz.-vous
que Barna et Bellak, à la fin de l'a cioisade, ne m'appelaient plus que « le- maha radjah » ? — Ah
î
— Oui, ça les épatait que je ne busse pas du vin rouge avec le poisson,, qne je, lés empêchasse de boire de la limonade avec
le
chàteaubriant,
qne
je
Cbaîidon carte Meue... — Mais eux ?
*
-^ Ce qu'ils préfèrent, c'est iescalope de veau, l'omelette au fromage et le siphon. Mais Barna est devenu un peir mon- disci ple. Ah ! s'U- pouvait m'enseigner au pingpong ce cpie je lui ai appris dans l'art de' manger...
Un événement..
Généralement, les joueurs choisissent panrii les raquettes qu'on met à leur dis position celles qui conviennent le mieux à leur jeu.' Certains renversent le problème, et c'est ainsi qu'on a une raquette Bellak. 'Mous avons appris que Barna étudie de puis plusieurs mois,, dans le secret, un mo dèle clo raonette qui soit adapté à son jeu. Et comme IL suppose qpe la raquette qui lui convient peut aidér autrui à bien jouer, il songe à la lancer sur le marché. AûtUs croyons savoir aussi qu'une grande maison française va en entreprendre in-
Un « match nul
Le speaker d'un club des environs du Ha vre
annonce
une
exhibition entre deux
joueurs. Mais il s'agit de faire apprécier
la classe exceptionnelle de l'un des adver saires.
Aussi le speaker annonce-t-il : « X..., qui fit récemment match nul contre le cham
pion de France Haguenauer ! » Voilà un score nouveau et qui surprendra les connaisseurs...
Nous avons dit, il y . a quelques semaines, que notre ami globe-trotter Gabriel Costes, ptas connu sous le nom de Gaby, savait îieattcœup d'histoires et savait les conter. tliï lecteur anonyme (à moins qu'il ré
ponde au nom de Jules Lemaître) le met au défi cLe les raconter tontes et particu lièrement celle-ci :
H paraît que, certain soir, Gaby échoue au Puy (Haute-Loire), où le ping-pong compte plus de bonnes volontés que de forts joueurs. Or Gaby aurait été proprement, écrasé « par le néo-champion touloiisain Haidoll, ce dernier à court d'entraîne ment ».
Gaby, qui est aussi modeste que spiri-
vaguement caligaresque. La fumée
montait du, sol comme un encens. En, regar
dant de près, je m'aperçus que d'innombrablès mégots, mal éteints, se consumaient doucement sans attaquer une épaisse mo
quette, figurant les tapis d Orient. Aux murs,, des coqs, encore des coqs. Au fond un écran de cinéma où paraissait, à chaque minute me semblait-ii, le coq enroue de Pathé-Natan.
Mon regard vira de 45 degrés et fut
happé par deux yeux fascinateurs. Je fis
quitte brusquement. Elle-revient parfois de
L'autre- jo.nr. Verger avait accepté par dévouement pour son cluij de jouer un tour noi. Il n'était pas à son affaire, nerveu.x et
ennuyé. C'est au- poi-nt qu'il ne triompha que de justesse de j-oueurs très modestes. Un spectateur très malin annonçait-,dans
vraient commencer à se méfier. N,'e con
testait-on pas la sélection de Verger dans
L'équipe de Erance avant Baden ? Or c'est à Verger U, TV-tçj'-A qri'on doit les JC"performances7 fran-^ çaises les plus brillantes aux cliampionnats ■*-
v»
•
______
_
-
-
.
ces .aux champiomiats d'A^leterre, sa vic
toire sur 1"ancien champion du monde Mechlov.its au cours du match Paris-Buda
Que les ingrats permettent aux joueurs de souffler un peu ! M. Loais L.ATZARUS
Manœuvres.
va par Chancel
Le dirigeant d'un club est nommé mempre de son Comité régional, puis discus
deux cents mètres, comme si je glissais ver
sion dans le club, et. le dirigeant quitte son club. Doit-il pour cela abaâidonner ses
tigineusement le long d'un rail, et je me
fonctions au
trouvai cloué dans un profond fauteuil, en
que non si vous admettez qu'on est mem
face du personnage assis de l'autre côté du
bre d'un bureau nour défendre les intérêts
bureau-ministre.
Bien sûr
généraux du comité et non pour y repré senter les petits appétits d'une société. Mais il n'est pas nécessaire alors de dire qu'on a adressé sa démission à la Fédéra tion qui l'aurait refusée.
J'eus l'impression de retrouver mes es
prits en réconnaissant M. Gallus (alias Louis Latzarus).
— Mon bon Maître, le journal Ping-
Ping seiait infiniment reconnaissant au lea Ceux qui ne comprennent pas.
der de son grand confrère l'Inlransigeani
d'exprimer son sentiment sur le nouveau Il est décid.ément difficile de mettre dans
la tête de ce.rtains... organisateurs que les as qui prêtent leur concours à une mani festation locale de Ping-Pong, le font, de leur plein gré... et ont droit à des remer ciements pour s'être dérangés. Leur rem bourser ce qu'ils ont payé eux-mêmes au chemin de fer, ne donne pas le droil de les considérer comme des mercenaires.
Gratitude 9 0/0
d'abord que cet horrible mol chinois ? Le français, que je sache, a un vocabulaire suf fisamment riche pour xommer avec préci sion, avec élégance, quelque objet que ce soit, fût-ce un jeu nouveau... — Laissez, mon bon maître, que je vous approuve sur ce point. —Vous voulez donc mon opinion sur la chose elle-même. Par la palsambleu, mon bon monsieur, je. trouve votre petit jeu gro tesque, indigne d'attacher un a honnête homme », comme on disait au temps où la France se respectait. Je les ai vus, vos joueurs, manches -retroussées, col dépoi traillé, le buste déshonoré par la bretelle-, suant, soufflant, faisant leurs gestes déme
para environ les années 1900. On le jouait dans les salons, en habit à la française, le chef soutenu par un col éclatant dont la hauteur m'était pas inférieure à ID cm. Ah î, en ce temps-là. la France était encore une nation policée, le pays par excellence de la règle et de la mesure... Et d'abord, mor.-
pest.
régional '?
et mufle. Vous me demandez ce que je pense du ping-pong ? Mais qu est-ce
chant de mille coqs. — Fichtre oui:, elle est propre votre te nue. Moi, monsieur, j'ai pratiqué le pim.-
du monde. Il y a ensuite ses. performan
Comité
bien, révérence parler, de cette ridicule gé nération d'après-guerre, élevée dans l'irres pect des plus, nobles traditions, inculte, snob
tez de moi quelque indulgence, daignez vous souvenir que vous appartenez à une humanité supérieure, songez à votre tenue, châtiez votre langage. Mais, nous y avons songé, à la tenue et précisément la F. F. T. T... Un grand éclat de rire accompagné da
— Verger est fini. ®Iérite-t-il même la dixième place du classement ? Depuis tant qu'on annonce la fin de Ver ger comme, j,aueuT, les pronnstiqueura de u
— Mon cher confrère, je me flatte de ne rien entendre à vos sornettes. Vous êtes
surés de forgeron sur une innocente balle de celluloïd... Non, Monsieur, si vous souhai
ma groupe ;
sport...
sâeur, connaissez-vous Dickens, avez-vous
lu les aventures de Mr. PiclfWicli, avez-vous
connu l'avant-guerre, le boulevard, le Na politain, le Tortoni ?
— J'avoue que... — Sortez, monsieur,, vous n'êtes qu'um foutriquet ! A cet instant je fus de nouveau assourdi par le chant de tous les coqs de la terre sa-i
luant un soleil invisible, je me réveillai en; sursaut. Je sortais d'un cajrhemar, M. Latzarus ne répondait toujours pas' à la demande d'interview du journii PingPong et je pus penser avec Byron : l have had a dream- which was net. ait a dream... L'ENVOYE SPECIAL.
l'occasion de veoir s'installer chez nous;
Nous recevons des avances, fort discrètes d'ailleurs, des meilleures raquettes. Après tout, quel mal y a-t-il à avoir u-n employé sportif ?
Nos Spécialités
Manches longues?
Pendant que nous sommes sur le chapi
tre de la gratitude citons cette réflexion un peu amère de Corbillon. Comme on était
sur ce sujet le jour des élections à la Fé
dération, le nouveau président fit remar quer qu'il eut l'idée de la Croisade du Ping Pong, qu'il en prit tous les risques!., et que sur 32 clubs visités, qui lui doivent par conséquent la visite de Barna, Bellak
et Verger... et souvent un substantiel béné fice... trois seulement lui envoyèrent une lettre
j\OS TABLES Barna porte toujours des maillots à man ches longues, alors qu'en France tous les joueurs ont des demi-manches^,Pas tous pourtant, car J.-C. Guérin ne porte pas les
Szabados, champion du monde 1931, est maintenant fixé à Rouen. Sa présence va certainement faire faire de gros progrès aux joueurs normands. Mais qu'on rre l'ac capare pas ! Il avait promis son concours à une soirée organisée dans une autre ré
gion. Nous espérons que la Normandie se ra aussi sportive que Paris qui a toujours prêté ses meilleurs joueurs à toutes les villes de province qui les désiraient... y compris Rouen. Qui veut un international ? La France exerce un tel attrait sur les
étrangers que tous- les joueurs hongrois... ou presque, désirent éperdument trouver
Modèle, réglementaire .avec pieds en retrait, conforme aux règlements des championnats
coulem's de son club... parce qu'il n'a pas
du Monde
trouvé de chemisettes polo bleu clair à
NOS BAGUETTES
manches longues.
—
750"
La d Tunmer i manche liège Discrétion
féminine.
de remerciements.
Complication diplomatique. Gaby,
reau
lueme.
cessa-nrtnent la fabrication.
Qui n'aura pas. sa raquetle Barna ?
pité plutôt que je n'entrai dans un vaste bu
Etre toujours en forme, c'est le vœu de tout joueur, surtout de celui qui occupe le premier rang. Haguena'uer est relativement régulier. Daniel Guérin l'est moins. Quant à Verger, on ne sait jamais. Sa forme le
manifes
tasse du goût pour les -subtilités de la gastrtmomie, que je fisse la différence entre un monopole Heid-sieck 1911 et le Moët et
Le coq chanta trois fois et je fus préci
Que devient do'nc le cbamipionnât de France féminin par équipes ? Le Stade y avait tout le premier renoncé devant le peu d'intérêt sportif qu'il présentait, mais il se croyait alors champion de. France par
deux
faces
caoutchoutées
Yerh
équipes masculines. L'équipe commandée par Mlle Fayart Laurait peut-être consolé
NOS BALLES
de la déception causée .par le Racing.
pouT toutes les grandes compéti-
Transferts.
18
»
25
»
La a Bellak n établie d'après les données .du Champion Hongrois. Manche en bois des Iles, deux faces caoutchoutées
La "Six" officiellement adoptée
ticfn's. La.douzaine . . . . . . . La " Tunme' Match" pour
championna's. la dou-zaine . .
Le club bleu et rouge va-t-il porter son
effort sur les joueuses... en prenant celles des autres sociétés ? On annonce, en effet,
que deux sœurs de bonne classe tourne raient en octobre prochain du gris au bleu. Mais, au fait, où donc jouera le Stade l'an prochain ? IL paraît que l'Opéra P. P. G. restera seul occupant du Palais Berlitz. Or pour recevoir les ébats de Volage requaliflé... il faut de la place...
12
»
10 »
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• r'riTi'îiuif'- 'iii'
Ciiido de roi'jfanisateiir de loiirnoi Tax
ajLi-aiicto soii'ée
UN MESSAGE
Et le tournoi se poursuit ainsi.
Peu à peu, les fiches s'amassent dans les mains du juge-nrbitre. 11 faut les conserver précieusement, vous les classerez, ou votre Comité Régional les classera sous le dossier de chaque licen cié et vous aurez ainsi, sans le moindre tra
Ainsi, donc, la^ fiche individuelle de cha que compétiteur a été préparée. • D'autre part, si vous avez suivi mon con
seil, tous les joueiug savent qu'ils doivent être dans la salle le premier jour du tour noi à l'heure dite.
Organisons-rnous ipcair les reoevoir, Près de l'entrée, un grand tableau placé îrès haut pour que les têtes de ceux qui
tables et tout en vérifiant la bonne marche
du tournai, la (carrection de la tenue des
joueurs, la qualité de l'arbitrage, il ramas sera les 'fiches des vaincus. Il verra de cette
façon si l'horaire prévu est respecté, et, de .retour au tableau, que lui seul ;a le droit de toucher, il y inscrira les résultats.
Car il n'y a rien d'urgent à cela, puis que -jusqu'au bout du tournoi, chacun sait ce qu'il doit faire, à <pml endroit et à regardent de près n'empêchent pas ceux qui quelle heure il doit jouer, tout ce qu'ignore lont derrière de voir (on oublie toujours je .un jcAieur, c'est le nom de 1 adversaire qu il
petit détail). Sur ce tableau, la liste des jpueurs par .ordre alphabétique, et à côté de chaque nom, le numéro du tableau qu'il va disputer. Ceci, évidemment, s'il y a plu-
rencontrera au tour suivant, mais comme ce
«ieurs tableaux, si nous n'avons qu'une qua
le tableau à jour.
rantaine d'engagés, ce travail est inutile. Et sous la liste en grosses lettres (( de mandez votre fiche au bureau ». Ces fiches
match n'aura lieu que jplus d'utie heure
après, il a tout le temps de se renseigner et le juge-arbitre aura sûrement,d'ici là mis Remarquons en passant que les juges de table conservent la même table pendant
toute la soirée, cela ne veut pas dire qu'ils
-étant classées aussi prar ordre alphabétique, arbitrent tous les matches disputés sur cette ten un instant chacun aura la sienne et, en
ila présentant, pourra entrer dans la salle. Nous pouvons donc commencer. Mes sieurs Legros et Guérin doivent se retrouver à 21 heures, près de la table n" 1, ils le savent, ils l'ont lu sur la fiche qui leur a été ïeniise. Tous les deux remettent leurs fiches
s rarbrtre, .ceki-ci leu»- donne une balle et
fautif.
Voici donc le match eni train, n'en par tons pas, c'est une éputre histoire. Le voici terminé, l'arbitre alors (( reprend la balle », puis inscrit le résultat sur les deux fiches de la même façon « 'Legros bat Guérin 11-16,, 16-21, 2l-j9, 22-20 ». à l'endroit réservé sous le premier tour, mais
Joiirs été une garantie de qualité. Quand les autres fout hieii, BOURQITN-SIX
carte au joueur ?
■fait mieux. C'est sa raison d'être et vesi
Parfaitement, n'oublions pas qu'une ins tallation de Ping Pong ne pourra jamais
contenir un aussi grand porabre de specta teurs qu'un stade de Lawn-Tennis, il est donc impossible comme dans ce sport, de donner à tous les engagés, le droit d'accès jusqu'au jour des finales. Le principe a été décrit longuement, la Cause est entendue, n'y revenons pas. En Ping-Pong, qu'on le sache bien, ©n s'engage -dans une compé tition pour disputer sa chance et non pour assister aux finales... autrement qu'en spec tateur ayant passé au guichet.
peu partout et contre quoi il faut lutter avec
tat sur le tableau, lui doit rester à sa table
qu'à élimination, mais pas celui de gêner les joueurs qui restent en course. Dans une ciour«e par élimination au vélodrome, on
prêt à arbitrer la rencontre suivante, entre
n'autorise pas les éliminés à rester en piste.
Antoine et Robert à 21 h. 20.
Cekii qui a été battu en Ping-Pong doit laisser la place.
POUR LA « COUPE » DITE
Nous avons reçu quelques réponses, les ■unes sérieuses, les autres fa-ntaisistes.
Voici quelques-uns des noms proposés pour le trophée mondial réservé aux équi pes nationales féminines : Coupe Gallia, Coupe Trianon, Coupe ÎN-Iistinguett, Coupe France et Navai-re, Coupe d'Europe, etc. Il faut trouver autre cliose. Nous deman dons à nos lecteurs un petit effort d'ima gination. Nous rece,vans, à la dernière minute, une
lettre intéressante du Or 'Dermant, prési dent du P. P. C. Turgot. On la trouvera dans notre prochai-n. numéro.
NOS PHOTOS DE CHAMPIONS
Chaque jour nous recevons de pro vince des demandes de photographies
de Barna, d'Haguenauer, de Yerger, de Mlle Fayard, etc. Nous avons donc décidé de créer une
Piaz. D'ici quelques Jours nous serons à même de fournir de très heUes pho
3 francs la pièce. Joindre un franc en 1030
1»3»
plus pour les frais de port et d'emhallage. Envoi franco à partir de six pho tos.
France iuteruatiouaux, puis la raquette
Cette avance de SIX MOIS que la nuùson BOUKQUIN-SIX a sur les plus iia-
portantes maisons de France n'a Jamais été rattrapée. Cette Jiiarge a toujoius été utilisée pour faire mieux eucore.
Quand un perfectioniienrent est i)ossible, quand une amélioration s'impose, c'est la marque BOURQUIN-SIX qui est toujours la mieux plaeée pour i)rendre la tête (lu progrès.
Ce qui est vrai pour la balle et la ra
"QUTN-SIX n'ont aucune idée de ce qut peut être une table i>arfaite. Au moment où le piiig-pong prend l'essor foudroyant (£u'on lui coiuiaît EX TANT QUE SPORT la question du ma
tériel prend une importanee exeei»tiounelle. Le pîiig-poiig ne peut, en effet,
être pratiqué comme un sport qu'à l'aide d'un matériel de premier ordre.
•iussi nous vous engageons vivement à exiger chez votre marchand la marqinj BOURQUTN-SIX pour tous vos achats concernant le ping-pong. Si votre inar-chand Jiabituel ne possède pas nos arti cles, engagez-le à se les procurer siins retard ou écrivez-nous.
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la Balle de Tennis
tes possibles, la maison BOURQUIN-SIX a lancé 'la balle SIX, qui fut aussitôt adoptée pour les Ciiampionnats de
quette l'est aussi pour la table. Cîeux qui u'nut Jajuais Joué sur une table BOUR-
tos, format 13 x 18, pour le prix de 1
de ping-pong coiivenahles et en raquet
.nat de France national.
« OU FRANCE »
collection des grands champions et nous nous sommes adressés au Studio Comme en
l'origine du ping-pong eu France. Alors que la France était tributaire de l'étranger pour l'approvisiouiiemcut eu halles
que à son actif d'avoir gagné le mois dernier les cinq épreuves du champion^
QUI TKOUYERA UN NOJI
Le paiement de l'engagement donne à
fiche du vainqueur... et c'est tout, ce n'est
aussi l'explication de son succès. La maisou BOURQUIN-SIX a été à
BOU'RQUIN-SIX, aussitôt adoptée par les meilleurs J(meurs et enfin la raquette BELLAK qui a cette performance uni
MARCEL CORBILLON.
une -habitude déplorable qui a été prise un
chacun le droit -de disputer sa chance jus
C'est au juge-arbitre de passer entre les
pourront plus pénétrer dans la salle le len demain puisque la même fiche servait de
bonne marche du tournoi. C'est encore là
il conserve la fiche du vaincu et rend la
pas à Lui, arbitre de table, de noter le résul
cles Mits « bon marché ». Elle a loit-
Ces halles, vous les avez triées la -veille, elles sont bien rondes, on peut certainement
courtoisie, mais avec énergie.
Connue depuis des années jiar les
jouéin-s de tennis, la marque BQUR-
Mais alors, direz-vous, les fiches étant retirées des mains des éliminés," ceux-ci ne
Remarquons aussi que' c'est à 1 arbitre de table que vous avez remis au début de la soirée .trois ou quatre balles, pas plus..
joueurs éliminés ayant conservé leur balle, fassent des parties entre eux sur les tables qui leur semblent libres, et gênent ainsi la
Messieurs,
QLTN-SIX est la ]»reinière qui se soit Imposée dans le piug-poug. Cette mar que n'a Jamais été appliquée à des arti
titulaire
la partie commence, c'est à rarbitre, d'ail leurs, d'éviter les échanges de .balle trop jmer avec, l'arbitre doit a-voir bien soin de longs. Les joueurs sont là pour se rencon jiefuendre celle qui vient de servir après trer, et non pom s'entraûaer, s'ils voulaient chaque rencontre. s'échauffer un peu, ils pouvaient venir un 11 faut que cesse partout cette habitude peu plus tôt, mais il est l'heure, il ne faut qu'ont prise certains joueurs malhonnêtes, de plus s'attarder, la partie suivante est prévue, partir les poches bourrées de balles. 20 minutes plus tard, l'arbitre qui, par né Si vous suivez mon conseil, non seulegligence ou par manque d'énergie, conserve naent vous réaliserez une économie pas né îa table plus qu'il ne faut est gravement gligeable, mais vous éviterez aussi que les
AUX PONGISTES
vail nouveau, une précieuse documentation le jour cfù la Fédération fera le classement des joueurs.
table. Je vous conseille de prévoir un pu deux arbitres en supplément, qui lemplaceront éventuellement l'arbitre d'une table s'il est fatigué
BOURQUIN-SIX
Pour s"entraîner
an faire toujours mieux. Nos prix sont les
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plus Justes. Ils sont les plus bus "qui se puisseut faire pour des articles de qua
lité. Craignez le bon marché. Ce n'est a été ciloisie
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PING'PONQ
LE PING-PONG EN FRANCE ATIS AUX COMITES REGIONAUX
Les joucnrs parisiens seraient heureux
(le savoir, dès maintenant, en vue (les vacances, la date des tournois organi sés par les clubs régionaux pour la Pentecôte, l'Ascension et, en général, ponr la saison d'été.
Qualifi-cation. , — Seront qualifiés pour le cliampionnat de France par équipes les clubs désignés par les Comités régionaux, à raison de un par Comité régional. Les premiers tours
du championnat seront disputés le même jour dans quatre vdlles qui grouperont les représentîints des quatre grandes régions de France, chaque groupe désignant ainsi les demi-finalis tes 'de l'épreuve. Rencontre France-Angleterre. — Le Comité
de Bretagne reçoit tous po.uvoirs pour orga
Le journal « Ping-Pong » se fera un plaisir de publier des renseignements détaillés an sujet de ces manifestations.
niser la rencontre France-Angleterre, à Dinard.
(bassement des joueurs. — Les joueurs qui
Les joueurs de première série seront classés par
postulent uu classement doivent se liâter d'en
voyer au aeerétairo de leur Comité régional
leurs fiches do performances. Faute de cela, ils ne seront pas classés.
la dernière semaine d'août.
Classement des joueurs. — Les joueurs se ront classés en trois séries d'après les perfor mances obtenues au cours de la saison 1932-33
rérie, des joueurs à 20, 25, 30 et 35. Tous les
sont déjà classés, devront adresser le relevé de
leurs performances actives et négatives sur une
demande remise aux clubs dont ils dépendent,
Bétuiion du 6 mai 1933
Présents : 'MM. Corbillon, président; Agut, Badré, Blanc, Duban, Faggiani, Garrigues, doo' teur Guérin, do Parseval, Pétel, Raymond Ver Excusés : MM. Gardille, Greffcuille, Pillot,
et. transmettra ces propositions avec les fi ches indivi'duelles à la Fédération. Le Comité dési partie de la Commission de classement dont les
pouvoirs seront valables jusqu-'au 31 décem
Bufenaelit.
Quelques décisions Statut des Comités régionaux. — Sur le
rapport de M. Boué, le Conseil adopte le schéma suivant :
1" Un Comité régional est constitué en prin cipe par les associations de plusieurs départe ments voisins; 2° Cliaque société est représentée au Comité régional par un délégué si elle a de 5 à 10 li cences; 2 délégués de 11 à 25 licences; 3 do 26 à 50; 4 délégués au-dessus; .3° Le Comité régional peut être .administré soit par l'Assemblée générale des délégués, soit par un Conseil élu par ces délégués, soit par
un bureau de ce Conseil; 4" Le rôle des Comités régionaux est : а) d'affilier les sociétés, de percevoir leur co tisation, de les radier, etc. ; б) de distribuer des licences, d'autoriser les transferts, de prononcer les quaUfieations et disquaUfications, les sanctions ;
c) d'organiser les tournois, de les autoriser, de les surveiller, d'organiser les championnats régionaux, nommer des arbitres, etc. ; 5" Les ressources d'un Comité régional se composent de la moitié du produit des licen ces, de la moitié de la taxe fédérale, qni est fixée à 10 0/0 minimum, d'une cotisation ré gionale ;
6° Chaque Comité régional doit une fois par
mois rendre compte à la Fédération sur imprimé préparé d'avance :
un
a) de son activité -vis-à-vis des sociétés, affi liations, radiations (voir paragraphe a ci-des sus) ;-
h) de son activité -sûs-à-vis des joueurs (voir paragraphe b ci-dessus) ;
^c) do sou activité sportive (voir paragraphe c
ci-dessus) ;
d) il doit également envoyer chaque mois le
double des ])rocès-verbaux in extenso de toutes se? réunions et délibérations;
e) il doit faire parvenir à la F. F. T. T.,
avec la compte rendu mensuel, le montant des
sommes qu 'il a perçues Une priiiie de bonne aux Comités -régionux de leur régularité à
ceux-ci la transmettront au Comité régional avant le l"' juin. Le Comité régional établira les propositions de classement pour sa région
gne _ MM. Agut, Petel et Verger pour faire
ger.
pour son compte. gestion sera attribuée pur les récompenser remplir, les devoirs ci-
est champion de France par équipes
bre.
Tenue des jouetirs. —• Les joueurs devront
à l'avenir adopter le gris pour prendre part aux
rencontres
internationales et à tous les
championnats officiels organisés par la F.F.T.T. Ils devront désormais porter " un pantalon et une chemisette grise dite « polo » sur laquelle ils porteront l'écusson de leur club. Les dames
adopteront également une tenue uniforme grise.
Le juge de chaque Comité décidera quelles se ront les épreuves régionales pour lesquelles la tenue grise sera obligatoire.
Juges arbitnres. .—■ Les Comités régionaux sont in-vités à former des juges arbitres qui ' seront seuls qualifiés pour diriger les grandes épreuves sportives à la suite d'un examen. Dernières affiliations
F. est champion de France 1933* Sa vic toire est trop nette pour 'être discutée : 5 victoires à 2. Elle s'explique par In forme exceptionnelle, ce ijour-là, des frères Gué rin, par le cran de tous les racingmen et
par une légère éclipse de forme des stadistes Verger et Worth. Les meilleurs ont gagné. Vive le nouveau champion de France
Comité de l'Atlantique. — Club Baulois, Tria-
non Hôtel, La Baulo.
Comité
de
Erctagne Nord. — Ping-Pong
Club Landernéen, Hôtel Raoul, Landerneau. Comité de Lorraine. •— Association Romari-
monteine de Tennis de table, 23, Grande-Rue, Remiremont (Vosges).
Comité du Lyonnais. — Ping-Pong Club Hauteville-Lompnès, Café Savarin, Lompnès (Ain). ^ Club Amical de Ping-Pong, 5, rue do Bellc■ville, Villcfranche-sur-Saône (Rhône).
Ping-Pong Club du Puy, 33, place de Breuil,
Le Puy.
Comité de la Méditerranée. Méditerranéen, cours (Bouches-du-Rhône).
—
Carnot,
St-Mandé et l'Union Scolaire JOUERONT
EN PREMIERE SERIE
Ping-Pong
Châteaurenard
Ping-Pong Club d'Abaucli, Auberge Proven çale, Allauch (Bouches-dù-Rliône). Ping-Pong Club Raphaëlois, Hôtel du Pare,
Club Algérois, 44, rue d'Isly, Alger. Franche-Comté : Ping-Pong Club Bisontin, iCafé de la Bourse, Besançon.
Pyrénées : Concordia Pinpr-Pong Club, rue
de la Concorde, 29, Toulouse."
man avant d'aborder sans aucun lapos le match fi nal qui l'opposa à un Daniel Gué rin jil'autant plus frais que Verger et
Ces épreuves de simples ne fi rent que
confirmer ce qu'on savait déjà, c'est-à-dire que Verger, Haguenauer et D. Guérin sont nettement détachés de leurs rivaux immé
diats. 'Worth décidément moins bon qu'il
set à Furman qui s'améliore chaque jour, Dubouillé mit Haguenauer, en danger et Weissblatt prouva une nouvelle fois, en enlevant son tableau qu'il .aurait été tout à fait déplacé dans la compétition de
équipes. La première soirée fut sans- histoire et donna les résultats suivants :
Saint-Mandé bat Colombes, Scolaire.
bat Union-
r (I Intran ».
Union Scolaire bat Colombes. Chalet bat Indo-Chine.
Quelques joueuçg se firent remarquer. (Ci tons en première,- place Ozenne qui fut à
Le deuxième jour TIndo-Chine, ne pou vant présenter son équipe au complet, était
un doigt de battre le champion de Fiance
en finale de son tableau, citons également Butelot qui donna chaud à Verger, ainsi
éliminée et la lutte restait circonscrite en tre le Chalet, l'Union Scolaire et SaintMandé.
'
L'Union Scolaire qu'une défaite aurait éliminé causait une demi-surprise en bat tant le Chalet par 4 vict. .à 2. Le dernier match entre le Chalet et Stfaite de Saint-Mandé mettant les trois clubs
à égalité. La partie fut d'ailleurs fertile en émo tions. Combes, atteint d'une défaillance
inexplicable, étant battu par Maréchal 2/3, Rraunstein par Villeneau 1/3, Bobas par
'
que Feldman qui se débarassa de J.-C.
Guérin avant d'être éliminé par Dubouillé. Rien à dire du simple dames qui une nouvelle fois fut une promenade pour
Yvonne Fayard oui ne daigna pas perdre
un set. Derrière elle Mlles Baur et Bruns-
wick fournirent leur carrière habituelle, tandis que Nicole Foy en progrès menaçait
Mlle Baur et nous donnait à nouveau l'im pression qu'elle était la seule joueuse fran çaise capable d'inquiéter" Yvonne Fayard d'ici quelques mois.
Busigny 1/3. Saint-Mandé perdait ainsi d'entrée ses trois premiers matches. Le Chalet entrevoyait déjà un succès fa cile. mais c'était mal connaître le merveil
Le simple juniors ne tint pas ce qu'il pro mettait du fait de l'absence de Dubouillé ;
leux esprit d'équipe qui anime les joueurs de Saint-Mandé. Raymond Maire, battant
set, ce qui n'est déjà pas mal.
Pradel 3/2 et Strauss éliminant Genet 3/1
en simple.
Braunstein-Combes battaient à
leur tour'Villeneau-Maréchal 3/1 et StraussMaire battaient Pradel-Genet 3/0 en dou
bel de l'Union scolaire, Braunstein, Roger,
Combes et Raymond Maire de Saint-Mandé. V Saint-fMandé 4 victoires 2' Union Scolaire 3 — 1 défaite 3" Chalet 2 — 2 — 4' Indo-Chine 1 — 3 — 5' Colombes 0 — 4 — L. Spect.
dessu.'.
(Jotisation. — A partir du 1" juin, la coti
sation des clubs est fixée à 30 francs par an, quelle <|ue soit leur importance et sans tenir
compte du nombre de tables qu 'ils possèdent.
Licence individuelle. — La licence indivi-
M
diielle devient obligatoire à partir du l'"' juin
ponr disputer toute épreuve placée sous le con
trôle de la F. F. T. T. Elle coûtera 5 francs
Jossua qui disputa la finale avec Daniel
Guérin dut se contenter de lui prendre un
Le double messieurs vit une nouvelle fois
la défaite prérnaturée de Bolelli-Ozenne qui cherchent toujours la bonne carburation,
Worth-Duhouillé en finale ne parvinrent même pas à inquiéter Haguenauer-Butelot autant que Furman-Feldman qui faillirent bien l'emporter.
Le double mixte vit une partie dramati que où Vnie Fayard-Bolelli durent à une
balle sur le coin de la table de n'être pas battus par Mlle Pemberton-Furman qui jouèrent remarquablement. Cet écueil fran chi, l'équipe championne de France ne ren contra plus de difficultés et s'assura faci lement la victoire en fi nale sur (Mlle Ravi-
gneaux-.Alamassi. Parmi les autres équipes seules Mlle Foy-Ozenne et Worth qui accédèrent aux
Mlle Baurdemi-finales
montrèrent une véritable classe.
Grâce à une contre-attaque de dernière heure Saint-Mandé parvenait in extremis à battre le Stade aux points. -Assez loin der rière, mais très détaché, venait le PPCF qui, n'ayant pas les réserves de ces deux clubs ne pouvait lutter a.vec eux. lîésidiats :
Simple Messieurs : D. Guérin b. Hague
par an.
Epreuves nationales. — Le championnat de
nauer 3-2.
Franco national individuel aura lieu, huit jours
Simple Dames : Y. Fayard b. D. Baur 3-0. Simple Juniors ; D. Guérin b. Jossua 3-1.
au moins avant Pâques, dans une grande ville de- province qui sera désignée ultérieurement.
Double
Le championnat de France par équipes' devra être terminé huit jours avant les championnats de France nationaux individuels. Le champion nat régional qualificatif pour le championnat do
Messieurs :
Hauenauer-Bulelot
b. Worth-Dubouillé 3-2.
Double mixte : Y. Fayard-Bolelli h. Ravigneaux-Almassi 3-1.
Cbassement des clubs : Saint-Mandé 1.180
France par équipes devra être terminé deux mois avant, Pâques. Les championnats intoma-
points ; Stade l.OTY points ; PP(rF 710 points ; Racing 457 points. Le SaintHMandé PPC gagne donc la table
tionaux 11)34 auront lieu à Paris, à une date qui sera fi xée ultérieurement.
Fônaule des championnats de France par
guipes. — Le championnat de France par équipes sera disputé par des équipes de cinq
On peut regretter en effet que par suite du rnanque de temps, Haguenauer ait été for cé de jouer successivement deux matches très durs en 5 sets contre Dubouillé et Fur-
y a quelques mois ne put prendre un seul
(Arras).
Comités non formés. — Algérie : Ping-Pong
tre les clubs, en une bataille Stade-Saint-
Mandé, ce qui finit par nuire quelque peu à l'intérêt sportif des dernières éprouves.
Disputées en deux soirées les parties fu rent jouées avec ardeur par toutes les
nement dans sa prochaine promotion. Nous lui signalons d'ores et déjà les frères Bara-
Comité de Paris. — Fyffes Ping-Pong Club,
transforma très vite, du fait du règlement
qui prévoyait un classement par points en
St-Mandé devant l'Union scolaire.
Saint-Raphaël.
91, rue de la Chapelle, Saint-Ouen.
tous les records d'engagements mais se
étant parti pour l'Algérie. La poule dei barrage pour l'accession en première série, qui groupait cinq clubs (le Golfers et la Générale renonçant à dé fendre leur chance), a été remportée par
ble. I.e Chalet était éliminé par 4/3. Les deux clubs nouveaux promus possè dent plusieurs joueurs d'avenir que la com mission de classement récompensera certai
Comité du Nord Maritime. — Ping-Pong Cfiub Arrageois, 4, boulevard de Strasbourg,
Le tournoi de l'APOC, remarquablement organisé par Valentin .Bourqu'm a battu
àVeissblatt avaient déclaré forfait. Verger
DANS LA SAISON PROCHAINE
Mandé devenait d'un gros intérêt, une dé
:
Le tournoi de printemps
Contre toute attente, car le Stade Fran
çais partait favori de cette finale, le R. (î.
ordre numérique, les joueurs de deuxième et
troisième séries seront classés par handicap théorique do 0 à G4; la seconde série compren dra des joueurs à 0, 5, 10 et 15; la troisième joueurs prétendant au classement, même s'ils
Comité de la F. F. T. T.
LeR. C. de France-Monceau
Bourquin-Six. •s*"
PIERRE TISSEYRE.
joueurs se rencontrant successivement les uns contre les autres sous forme de poule. L'ordre des joueurs sera tiré au sort ■ et l'ordre dos parties fi xé par un tableau donné dans les rè glements sportifs qui paraîtront ultérieurement.
SI
L EYLAi\D
CHAlMPIOiV !
Jouez avec la raquette L''UNIVERSELLE
Chaque équipe ne devra pas comprendre plus d'un étranger.
vous VOULEZ. . . DEVENIR
Un match Bellak-Bclair au Skaiing-Rink de Biarritz
Les 5 épreuves de eharapionliai
de Franee 1933 ont été
gagnées avec des raquettes recouvertes wmmm
de
caoutelioiic mh
— En TBDtn dans tous los majasins d'arlIclES do Sports —
L EYLYIV D
t / I.
.
PINa-PONQ
JE T
:a
PARIS Comité de Paiis. — L'assemblée générale 'du Comité de Paris aura lieu le 23 mai, à '21 heures, 34, rue Marbeuf. 1
dassemeut parisien. — La Commission que le Comité de Paris a chargé du classement des , joueurs jiarisiens est composée comme suit :
MM. "Valentin Bourquin, J. Prulière, Trézel, Pierre Tysseire et Weil. Prance-Russie. — Le P. P. C. Eusse de Pa:ris organise, le 27 mai, dans les salons de l'Elan, une grande manifestation « internationale »
n ne s'agit de rien moins qu'un match France
• Russie. Les Eusses seront, sbien entendu, des Eusses de Prance. L'équipe de France semble •devoir gagner, mais les Eusses peuvent renver ser ce pronostic.
Société in'tematioiiale des sports d'intérieur. — Cette société a disputé, sur les tables de Mar
■beuf, son tournoi annuel (0 au 12 mai). Voici les résultats:
Lissauer bat Maline, 3-1 ; Noël bat Caron,
:3-0; Bréey bat Jizinel, tv. g.; Moret bat Paul ■Jacquart, 3-1.
Lissauer. bat Barbarreau, w. o., Marcel Jac quart bat Buseine, 3-1; Eagaine bat Menu, 3-0: Van den Bruane bat Noël, 3-0; Quério bat Bré■cy, 3-0; Pétavy bat Faey, 3-2; Prigosine bat Paris, 3-1; Eossi bat Moret, 3-2. Lissauer bat Van den Bruane, 21-13, 17-21
21-18, 23-21; Eossi bat Quério, 21-18, 12-2l' 21-18, 21-16. -is > , ,
^iFMîafç ; Lissauer bat Eossi ; 23-21, 21-18, Omnium P. C. C. a battu l'A. S. Bourse,
•en match amien.l, par 7 victoires à une.
Résultats du Championnat de Paris de Ping-
Pong de la Fédération des œuvres Post-sco-
"Jaires laïques de la Seine. — Finale (86 en. gages) ;
I. Boisramé (A. Didot), 11 victoires. '2. Bossu (A. Eivay),* 10 victoires. 3. Tiifal (A. Didot), 9 victoires.
4. Bienvenu (A. Prisse d'Avenues), 7 vic"loires.
5. Clavier (A. La Plaine), 6 victoires.
6. Sirand (A. Be'Beville), 6 victoires. 7. Fontermann (A. La PMiue), 4 victoires. 8. i. Leleux (A. Prisse d'Avenues), 4 vie"toires.
9. Cléni'ent (A. Beilleville). 10. Fertray (A. Edouard Petit). II. Lalardie (A. Montparnasse).
NOUVELLES
RÉGIONALES ATLANTIQUE Laville et la Ville. — Le Stade Nantais de■vant être opposé au P.P.C. Nazairien à Saint-
INazaire, quelques invitations à déjeuner .avaient été envoyées par les pongistes nazairiens à leurs adversaires, parmi lesquelles celle •de M. Laville, -capit. du iPJP.C.N. au capitaine •du^ S.N.TJ.C. Ce denmier recevant le faire-part prévient sa femme en ses termes : « Noua ;Sommes invités à déjeuner par Laville de St-
Nazaire ». Etonnement de
celle-ci, et pour
•cause... -aile voyait déjà M. le Maire ceint de -aon écharpe, entouré de ses adjoints et des- fan
fares municipales -recevant l'équipe nantaise. Inutile de dire que le déjeuner fut plus intime.
L'étranger I Nouveauté. — S'il est un joueur confiant I leurs du -challenge intcrclub organisé par le
P.P.C. Nantais, c'est bien-Monges de l'équipe 2 du S.N.U.C. qui présente à cette occasion une raquette unique fabriquée ' avec des chambres à air d'auto, 'agrémentée d'un manche minus cule de -forme Idzarre, 1-e tout signé : 'Monges es-spéeiale. On fait grand bruit autour de cette nouvelle Bellak », plusieurs joueurs l'es sayent, tout le monde eafouille, il n'y a, pa raît-il, que l'inventeur qui sait s'en servir. Le
grand ehoe arrive, opposé
à
Nazaire), 21-12, 17-21, 23-25, 21-15, 21-18. 3. Laurent (S.N.U.C.) bat Delaunay (SaintNazaire), 21-16, 21-15, 21-11. 2® Demi-finale
Louis Philippe,
N.E.C. bat U.S. Baule, 3 à 0. 1. Maussion (N.E.C.) bat Richard (U.S.B.), 21-19, 15-21, 21-9, 17-21, 21-15.
!'"■ joueur bauilois et peut-être -deseendant de •l'ex-iiuonarque, le snueistei doit -s'incliner de vant ses eo.upés redoutables qui ont dû 'lui
2. Moreau (N.E.C.) bt-; Louis Phil. (U.S.B.),
Cii'ev-er ses chambres à air.
Sous toutes
21-17, 12-21, 21-17, 21-16. 3. Eabreau (N.EjO.) bat Louis Padoue (U.
réserves, ' nous signalons qu'il
S.B.), 21-15, 21-16, 14-21, 21-19.
cherche là l.ancer le battoir de blanchisseuse
dans les cercles pongistes, de ce. côté, pas de dégonflage possible,
La table aimantée. ■—■ Au premier tour du
challenge du commerce, Saint-Nazaire est op posée à la 2' du P.P. Nantais, Hervo'ehe vice-
président de l'Atlantique est désigné pour ar bitrer.
Service à Nantes, 0-1 raquette sur la table, prononce l'arbitre, 0-2 raquette sur la table, 0-3, 0-4, '0-5 même faute, 5 coups de répit et l'on Toeomimence.
Je u-e sais si l'arbitre a l'air voche mais sa victime a dû lui trouver 'l'air v...
Challenge du Commerce. — 1°'' tour (sont exempts : iS.N.U.C., N.E.O., F.C.E., P.P. Sa blais).
Ping-Pong Club Pontenois bat P.P. Louis Millet, 3 victoires à 1. 1. Faimonvilie (Millet) bat Alain (P.P.C.P.), 16-21, 21-19, 31-17.
2'. Méuard (P.P.C.P.) bat Bonneau (Millet),
Finale des seconds
U.S. Baule bat P.P.C. Nazairien, 3 à 0. 1. Richard (Baule) bat Sapène (Saint-Nazaire), 16-21, 22-20, 24-22.
2. Louis Phil. (Baule) bat de Berdouaré (StNazaire), 21-13, 16-21, 21-11. 3. Louis James (Baule) bat Delaunay (Saint-
21-18, 21-8.
r V
2. Coekell (P.P.N.) ba.t Amouraben (M.N.),
21-14, 21-11.
3. Piard (M.N.) bat Bosser (P.P.N.), 21->10, 21-16. ^ > 4. Le Berrc ('M.N.) bat Boequého (P.P.N.),
21-14, 31-10.
1
■ ^
/>
Piard-Gouty (M.N.) battent Coekell-Dubourg,
31-15, 14-2.1, 21-18.
P.P.C. Nazairien
bat P.P.-O.
Nantais II,
4 à 0.
1. Laville (P.P.C.N.) bat Bouteloup (P.P. Nantais II), 21-3, 21-13. 2. De Berdoiuaré (P.P.C.N.) bat Gemigon (P.P.N. II), 21-6, 21-17. 4. Sapène (P.P.C.N.) bat Bossez (P.P.N. H),
21-10, 31-5.
^
U.'S. Baule bat S.N.U.C. 3, 3 à 1. 1. Richard (U.S.B.) bat Foucher (S.N.U.C.
2), 21-18, 13-21, 21-16.
2. Chulir (S.N.U.C. 2) bat Louis James (U.
S.B.), 21-12', 21-8.
3. Louis Philippe
'
(U.S.B.)
bat Monges
(S.N.U.C. 3), 21-7; 21-12.
■ 4. Louis Padolu (U.S.B.) bat Eey (S.N. 'S.N.U.C. I bat P.P. Pontenois,
4 à 0.
'
1. Hervouët (SJST.U.'C. bat Civel (P.P.C.P.), 21-17, 21-14.
II), 21-'5, 25-23 21-15, 21-19, 21-19.
Laurent. .(S.N.UjC.) bat Eabreau 14-21, 18-21; 21-12, 22-20, 21-17.
(N.E.C.),
Classement général 1. S.N.U.C. 2. N.E.C. 3. U.S. Baule. 4. P.P.C. Nazairien.
(S.N.U.C.) bat Alain (P.P.C.P.),
4. Laurent (S.N.U.C.) bat Bourquet (PP.
C.P.), 21-18, 21-12.
.
Championnats du Plng-Pong Club Dijonnais.
— Les champioimats du P.P.C.D., disputés par catégories, ont pris fin par la victoire, en pre mière catégorie, de Cliarau, ce qui confirme tous les pronostics. Ce joueur termine sa saison en
n'ayant été battu que 2 fois: à Metz, ])ar le cham])ion de Lorraine Fraenkel, et à Bordeaux,
aux championnats de France, par le' champion de Guyenne et Gascogne, Saint-Anac.
Derrière le vainqueur, Piguolet s'est surpassé, Poillot et Bouton ont été bons, Cuinat, décevant. Le championnat de deuxième catégorie a'été gagné par Gouget et celui do troisième catégorie ])ar Evrard. Je crois que c'est surtout en troi
sième catégorie qu'il faut chercher les espoirs de la s.aison prochaine; il y a là, en effet, de très jeunes joueurs dont les progrès déjà con sidérables, s'affirmeront encore.
A la suite de ces championnats, le classement des joueurs dijonnais pour la saison 1932-33.
1. Sapène (P.P.N.) bat Eibot (P.P.S.), 21-11, 2. Delaunay (P.P.N.) bat AbeUa (P.P.S.),
21-17, 21-18.
3. Poirier (P.P.S.) bat LaviUe (P.P.N.), 21-18,
21-16.
L
j
4. De Berdouaré (P.P.N.) bat Gaborit (P.P.S.),
22-20, 21-12.
V
/)
La Palisse.
— Shouid'nt they never pîày with the tinny
withe bail* ( — La scène se passe en l'aA lûMonsieur. — L'on a sonnô(7à' la grille du
Château-{C}iinon). "f: Madame. —• Encore une visite f ,
La domestique (entrant). — C'est le facteur
qui vient d'apporter « Ping-Pong
,
Madame et Monsieur (ensemble). —1 Ah! don nez vite.
— J'aimerai pourtant entendre autour de la
table verte cet : •!: Allez Montlu » çon, qui m'a si souvent percé les oreilles autour d'autres ter „
—■ Les Gannatois ont-ils peur d'y perdre... la boule et de no pouvoir faire comme leur eéjèbre
— Ecoutez ce vieux dicton auvergnat:
^
Issoire
'
Bon' vin à Voire
Belles filles à voir
;
auquel nous pourrions ajouter; Jouer Ping-Pong... pas savoir.
— Quoique n'ayant pas de club, un tournoi
s'y est disputé dernièrement. Gageons que le premier prix était : une fourme d'AmVert.
— Notre sport aiderait pourtant sérieusement les eaux de Càôteï-Guyon à soulager... le mar — Dans ce pays qui devrait être celui des bal- '
les coupées, il y a un fabricant de tables, mais
pas de club... « Nul n'est prophète en son pays ». Il est vrai qu'on s'y fiche du Thiers
comme du quart.
— La jeunesse de Saint-Play craint-elle de
faire au Ping-Poiig trop triste... mine?
L'EMBALLEUR.
P'.-B. — Que ceux, auxquels la lecture de cet
article aura donné l'envie de se grouper pour pratiquer le ping-pong de compétition, écrivent sans tarder au Comité du Centre do Tennis de
Table, 20, place de Jaude, à Clermont-Ferrand. Ils recevront tous renseignements nécessaires pour former un Club, s'affilier, etc... La commis sion de proijagande du Comité se mettra en ou
tre graeieusoment à leur disposition pour l'or ganisation de tournois, e.xliibitions, soirées de propagande. Clermont-Ferrand. — Le tournoi du Clermont
s'établit comme suit. 1"'® 'catégorie
1. Charau; 2. Pignolet; 3. PoiEot; 4. Bouton; 5. Klein; 6. Cuinat. 2® catégorie
1. Gouget; 2. CharehUley; 3. Ducreux; 4. Voisin; 5. Evrard; 6. Fernerot. 3° catégorie
1. Adolf; 2. Martin Roger; 3. Beaudouin; 4. Canot; 5. Galy; 6. Martin Raymond; 7. Protheaii.
Université Club. — Les 11, 12 et 13 mai, dans' la coquette salle de P. P. du grand café Gla cier, le C.U.C. faisaiit disputer son premier tournoi ouvert. Un gros succès fut la récom
pense des organisateurs. Si dans la première ca tégorie les favoris se montrèrent à hauteur de leur réputation, l'épreuve réservée aux débutants
nous montra des jeunes qui possèdent déjà un style fort agréable.
Les joueurs du Stade Clermontoi.s, desc|uels émerge P. Servagnat, se taillèrent la part du lion, iDrenant les trois premières places du simple et fournissant les vainqueurs du double. Le sim
4® catégorie Dix joueurs sont classés.
Ces championnats terminent la saison offi
cielle 1933. Cette saison a été bien remplie pour le P.P.O.D. Champion de Bourgogne par équiim, il battit en championnat de France le P.P.C.
P.P.C. Nazairien bat P.P. Sablais, 3 à 1.
— Il n 'y a pas de club de P. P. chez vous, mais tout le monde la sait, c'est une vérité,de...
tyre de l'obèse. BOURGOGNE
2. Digo (S.N.U.C.) bat Ménard (P.P.C.P.), 21-11, ai-1'3. ''
21 h
Meunier... non... Moulins tu dors...
sainte Procule?...
Hervouët (S.N.U.C.) bat Quémet (N.E.C.), 21-11, 21-14, 17-21, 23-21. Digo (S.N.U.C.) bat Moreau (N.E.C.), 21-9, 21-16, 18-21, 14-21, 21-14. Hervoche (S.N.U.C.) bat Maussion (N.E.C.),
U.C. 2), 1-21, 21-1,4 21-12.
■ 2® tour.
des clubs de. rugby; assoce, et même tennis, vi elle que ,nou3 lui chantions l'air connu ;
4 à 0.
4. Bourguet (P.'P.C.P.) bat M-Esant M. (Mil
Maillet Nantais bat 'P.P.C. Nantais I, 3 à 2. 1. Duboutg (P.P.N.) bat Gouty (M.N.),
Chez les retaïdatàires ou les Villes\sans Club. — Cette eo.q«'ebte préfeetiire qui pos;5ède
rains.
3. CIVEL (P.P.C.P.) bat Milsaut F. (Millet), 21-18, 21-17, 21-13. let), 21-12, 21-15.
CENTRE
Nazaire), 24-22, 21-15. Finale des premiers Stade Nantais U.C. bat Nantes Etudiant Club,
21-17, 6-21, 21-15.
21-11. us o-LeMevTù
4. Louis Padoux (U.S.B.) bat Guyard (F.O.E.), 21-19, 21-13. 1''° Demi-finale 5.N.U.C. bat P.PjO. Nazairien, 3 à 0. 1. Heivouët (S.N.U.C.) bat LavEle (SaintNazaire), 21-9, 21-17, 21-17. 2. Hervoche (S.N.U.C.) bat 'de Berdouaré (St-
Metz, à Metz, le 5 mars 1933; par m.alheu;-, il
dut le 12 du même mois, déclarer forfait daus ce champioûnat, étant, pour des raisons fi nan cières, incapable d'aller se heurter à Strasbourg, au P.P.'C.S.
Fort do ces résultats encourageants, le P.P.O.D. mettra tout en oeuvre pour faire mieux encore, la saison prochaine.
ple dames fut pour Mlle Bcaugheon l'occasion
de confirmer sa victoire des derniers champion nats.
Terminons en remerciant sincèrement le svm-
pathique M. Vasseur qui, non content do prêter sa salle et ses tables, avait doté ce tournoi de
très nomb;-oux et superbes prix. L. S. Résultats
Simple dames : 1. Mlle Beaugheon (C.V.C.), 2. Mlle Planche G. (A.S.M.), 3. Mlle Planche M. (A.S.M.), 4. Mlle Diot (C.U.C.). . Simple Messieurs: 1. Servagnat (S.C.), 2. Cor
Nantes Etudiant Club bat Maillet Nantais,
Troyes. ■—• L'A. S. Bourse s'est rendue à
net (S.C.), 3. Senaize (S.G.), 4, Bargoin (A.S.M.), 5. Diipichot (C.U.C.).
1. Maussion (N.E.C.) bat Arnouraben (M.N.),
Troyes pour y disputer mie rencontre amicale contre le P. P. C. Troyen. Les Parisiens ga gnèrent par 6 victoires à 4.
Double Messieurs: 1 Senaize-Servagnat (S.C.), 2. Bargoin-Dupichot (A.S.M.-O.U.C.), 3. cx-œquo: Meyrial-Nhieu (C.U.C.) et Delisle-Portier (P.P.
3 à 1.
^
'
2. Moreau (N.E.C.) bat Le Berre (M.N.), 21-
13, 13-21.
^
3. Delaunay (P.P.C.N.) bat Eibau (P.P.N.
21-13, (21-15.
3. Quemot (N.EjO.) bat Gouty (M.N.), 21-10,
22-20.
4. Piard (M.N.) bat Eabeau (N.E.C.), 21-17,
Résultats
:
Tara (A.S.D.) bat Farragi (T.), 3-1; Nicollier (A.S.B.) bat Vaillat (T.), 3-1;, Passez (A.S.B.) bat Dupont (f.), 3-2; Vuillaume (T.) bat Dcycard (A.S.B.), 3-1; Pollaek (A.S.B.) bat
'
■Winck (T.), 3-1; Alleau (T.) bat Zcff (A.S.B.), 3-1; Renaud (T.) bat 'Weyssier (A.S.B.), 3-1;
1. Richard (U.S.B.) bat Ohesnoau (F.C.E.),
Cartery (T.) bat Zeff (A.S.B.), 3-1; Pollaek (A. S.B.) bat Herbin (T.), 3-1; Tara-Nicollicr bat tent Farragi-Vuillaumo.
22-20.
U.S. Banle bat Foyer Catholique des Etu
diants, 3 à 1.
15-21, 21-17, 21-14.
2. Louis Philippe (U.S.B.) bat Manson (F.
C.E.), 21-9, 21-18. '
3. Ponoolé (F.C.E.) bat Louis James (U.S.B.),
24-22, 21-10.
"
La journée du dimanche fut consacrée par
les visiteurs à une exploration archéologique. Ils eurent le temps, avant de reprendre le train
pour Paris, de jouer encore un match contre l'équipe du Café de la Paix.
C.C.).
■
.
Députants : Simple Messieurs : 1. Mazart, 2. Cholet, 3. Longevialle, 4. Mas, 5. Lafarge. Double Messieurs : 1. Cliolet-Grisonnet, 2. Hos-
melin-Ury, 3. ex-œquo, Mas-Maueourt et EoyatRoubas. ie
LYONNAIS
f
Lyon. — Le tournoi do l'Ae:idémie Lyon naise de Ping-Pong a obtenu le plus complot suc cès, cette compétition hebdomadaire qui en est à sa deuxième édition avait réuni 45 engage-' mcnts.
Nous avons eu la bonne fortune de posséder
LES
HERVOCHE
du Stçidc Nantais V. C.
vu par Bouyer et Hervoêt
ïLEXILIAUlES
DE
ROX
-lOEEER :
llac[uette ''Ludarva"
Balle "]\erva"
Vente imposée 1 *î frniics
Vente Imposée 1 S îrs la douz.
—
JEÎV
VEIVXE
PARTOUT
—
Vente en gros: "LUDAUVA", 101, Rue Réaumur, Paris (a«).
■
parmi nous Gabriel Costes et Robert Cliavot de l'Opéra P.P.C, do Paris. Costes a de haute lutte enlevé le tournoi con
tre Cervannin eu finale, ce dernier d el'Académie Lyonnaise. Hors eom])étition, Robert Oliavot avait battu
Jonrnet, ex-cliampion du Lyonnais, on cinq sets. Remar(|iié dans le tounioi. Badin, troisième
joueur lyonnais, battu en 1/4 de fi nale et Grimonnet Maurice, premier joueur de l'Acadênrio et espoir de la .salle.
>
V
( A
NORMANDIE
Le Havre. — Tournoi de la Société des Ségatcs. — Le 11 mai eut lieu au Palais des Réga
tes, les finales du tournoi organisé au profit de la Société Protectrice 'de l'Enfance :
Simple messieurs : P. Gas (P.P.O.) bat Mlle de la Jugannièro (Régates), 3-2. Doubles : P. Gas-Gibon (P.P.C.H.) battent
les clubs iiivité.s par le P.P.C.G., il y eut des défoctioiw regrettables : St-Jeau-de-iLuirleaue,
qui a complètement oublié que le 23 février der nier, eu déplaçant sa uieille\ire équipe, le P.P.
liatteut. Mille Ca-zale-Mego ; 2l4, 21-3, 21-11.
pin
Saint-Etienne
avait
fait
un
gros
effort
on
Annecy, Ohambéry, Mâche, Lyon, avaient ré pondu à l'appel des organisateurs. .Careiite (Annecy), vainqueur de Couvert, nous déçut en s.e faisant tiattre au deuxième tour par Deletraz (Oliainliéry) et en demifinale de consolation par Tepaks.
Negri (Annecy), fit un beau tournoi, et ne
succomba qu'en 5 sets devant Neieov en 1/8
'bleao, la facile victoire de Beaugin sur Gibon, qui a cependant réalisé au cours de ce tournoi, d'excellentes performances, et dans le bas du
Neieov (P.PjO.E.) opposa une résistance fa rouche à Galmielre, il fut le seul à lui enlcvqr
tableau, Erdclyi, qui après un début difficile, enleva la victoire au Pécampois Débris, qui panit
Félix Faurc (P.P.C.E.) irerdait en demi-finale contre sou adversaire du Championnat de
trop nerveux.
France, Galmiche; il avait eu le mérite d'éli miner, au 3" tour, Cai'billet (FJ.G.G.) terri
joueure, no fut pas oe que l'on escomptait. Le
jon trèé .partieulier du Bolbécais (jamais de re vers, jamais d'attaque), gêna fortement Beau-
gin qui gagna le !""■ et le 3" set. Mais dans la 5° manche, le Havrais cliangea de tactique, .aban donna l'attaque et adopta le jeu de sou adver saire. Cette tactique fut la bonne, puisque api-ès . avoir mené 13-1, il enleva le match par 21-4. (A. noter qu'au cours de ce matcb, certains points
étaient disputés par pilns de 80 éclianges). Résultats : Demi-finaies : Beaugin (P.P.C.H.) bat Gibon (P.P.C.H.), 21-15, 21-17, 21-14; Erdelyi (Bolbec A.C.) bat Débris (l'.S. Fécamp), 13-21, 21-15, 21-19, 21-19. . Finale : Georges Beaugin (P.P.C.H.) bat Erdelyi (Bolbee A.C.), 21-18, 16-21, 22-20, 16-21, 21-4.
ALSACE Leurs silhouettes.
Kampmmn. — L'égal beauté, évidemment).
de
Bama
(par
la
Vies. — Un « coriace »■.
: Seller. — Fait son petit Mee(lovitz). Bemheim. — Ou 1' ■s. asticot s>.
,
Bokanowski. — « Moi, je m'en f... »
Ë/ronenberger. — 15-2, s. v. p.
Maro Gaûelle. — Grand joueur grand.
ou
joueur
Mohiar. — Quel « crocodile »! Delalandc. — Ou le Vologe atrasbourgeois. Grossmami. — Roméo fit,„ Mlle Juliette Pedkter. — Juliette. Mlle Marlise Weill. — Le « flambeau ».
tigué les méninges (voyez ci-dessus) qu 'il se fera battre par topt le monde aujourd'hui. SOUPE AU lait;
O. A.
StnUiotiâe bat S.
C.
Sochatix-Moiit-
béitard par 7 à 2. — Jeudi soir 27 avril, à
21) heures 30, au Cercle Peugeot, la jeune sec
tion de Ping-Poiig de F. 0. Sochaux rencon trait le C. A. Mulhouse, champion d'Alsace. On voit que pour ses débuts (la section n'est
constituée que depuis deux mois), Sochaux n'a pas manqué d.'audace. Bien que d'après le nom bre de victoires, Mulhouse ait gagné nettement 09 match, différentes parties furent très dis putées, et les joueurs et les joueuses de Sochaux ne fiu-ent pas surclassés. En
examinant
les
résultats
donnés
ci-des
sous, on remai-que que sur cinq raatches de sim
ples messieurs, Sochaux en a gagué deux, bien qu'un de ses meilleurs .joueurs soit absent. Nos
deux vainqueurs. Courtot et surtout Dumoulin, firent une trè.s belle partie, le matcb Dumoulin-Hofmann était passionné au possiifle. Par contre, notre champion Sabatier, après un bon
2
blement gêné par son service, puis Tamet (Saint-Etienne). Nieollet (P.P.C.E.) est nn tout jeune joueur
au style très pur, et qui progresse rapidement.
H battit. Legày (Saint-Etieime) puis Riojlet un .des meilleurs joueurs du P.P.C.G., qui avait peut-être eu le tort de déjeuner trop copieu sement avec ses amis stéphanois. Enfin en quart do finale, au milieu .de l'enthousiasme général, il enlevait le premier set à Wertheim par 21-9. . Brunsehwig (Saint-Etienne) avait battu -au 2° tour D. René, après avoir perdu le premier set, puis Tsien (P.P.C.G.) en 4 sets, enfin Pin (Cbambéry) en quart de finale. Il ne devait «nceomber qu'en demi-finale devapt, Wertheim
En simple-dames la lutte fut moins intéres sante. Mlle Borome et Mlle Buteux, se quali fièrent facilement pour la finale que Mlle Bo rome emporta. Le double-messieurs
donna lieu à des luttes
intéressantes, 4 équipes se détachèrent : Galmiche-Brunsehwig, Félix-Faure-Chervalier, D. René'Oarhillet, 'Tsien-Wertheim. Galmiche, obligé de se rendre à Lyon dis puter un championnat de billard, ne put ter miner, il fut remplacé par RioUet. L'équipe Bnmsohwig-Riollet se qualifia pour la finale après avoir battu Félix-Faure-Clievalier, en 5 sets. Tsien-Wertheim arrivèrent en finale après
avoir battu D. Rene-Carbillet, qui leur oppo sèrent une belle résistance, après avoir enlevé
res.
De nombreux spectateurs assistaient à ce match et se «ont mSntrés particulièrement enthou.siasmS« do la soiréé.
Fricard (G A.M.) bat Ablitzer, 21-13, 21-16, 21-18; O.sswal.'l U'.A.M.l bat Baratiger, 21-1.5, 2d-17, 21-8; 'Courtot fP.C.S.M.)
I>at
Heintz
21-18, 14-21, 21-6, 21-16; Dumoulin CF.G.S.M.) bat Fofmann, 17-21, 15-21, 22-20, 21-15, 21-18Krebs (G.A.M.) bat rlttbatisr, 15-21, 21-17, 21-19' 21-12; Heintz et Hofmann (C.A.M.) Inattent
Médailles,
AFRIQUE DU NORD
IMapeltes, Coupes, Insignes p'' Sociétés
sport.
NOUVELLES
Le
double-mixte vit on
l^^ahi'leanf
29, Rnft Pastourelle — Paris Xol. T Areli.
ALLEMAGNE
joueuse.s de première série : ^£6ssi cufs
•
Le Tournoi de consolation fut rempoité par Alberti d'Annecy sur Tepaks, après 4 sets
grâce à la générosité de « Ping-Pong » qui avait donné aux oiganisateurs quelques abon nements à distribuer aux gagnants. M.
G.
Résultats techniques : 1/4 de finale. — Galmiche bat Neieov : 21-10, 19-21, 22-20, 18-21, 21-13. Félix Faure bat Martel : 21-4, 16-11. Wertheim bat Nieollet ; 9-21, 21-17, 15-18.
Brunseliwig bat Pin ; 21-13, 17-21, 21-8, 21-19. 1/2 finale. — Galmiche bat Félix Faure :
22-20, 21-9, 13. Wertheim bat Brunsehwig' :
15-21,
15-21, 21-1.5, 21-15. Finale. — Galmiche bat Wertheiin
21-17, : 21-12,
13-19.
Consolation. — Finale. — Alibert bat Tepaks 21-19, 20-22, 21-15, 21-17.
MEDAILLES
1. Madjaroglou, 2. Benthîen, S, Nikolsburg et Syrhin, 5. Baner, Deiser, Schimme.l et Schwager, 9. Entholt, Steincr et Zabludowsky, 12.
Lindcnstadt
et
Siman,
14. Brainos
PLAQUETTES breloques
et
Dietze, 16. Loh-maim, Mûehow et Schardt, 20. Jontsch, Kiack,
Melde, Richart,
INSIGNES
■Stepuhn et
COUPES ET STATUETTES
Wèps. Dames
POUR
:
1. Mlles Kre'sbach, 4.
Munster, 5.
2. Hànsch,
SOCIETES
3. Felguth,
Sehnlz, 6. Haug, 7.
Buldge,
A noter que Madjaroglou garde le numéro 1 FABBIGàNT-EDITEUR
170, rue du Temple,, Paris III'
SUISSE
Tél. :
D.eux tournois très importants se
Catalogue
Archives 37-21
sur demandé
sont déroulés en Suisse en avril et mai; le tour
noi de Suisse Romande, disputé à Lausanne a vu la -victoire de l'international allemand Nickels-
burg, qui a fait ses débuts en Suisse en domi nant nettement tous ses adversaires.
Résultats : Demi-finale : Glikmanas bat Ga-;
ra^iotis, 2-0 ; Nickelsburg bat Wentner, 2-0. Finale Simple Double Double
: Nickelsburg bat Glikmanas, 3-0. dames .: Mille Schindlor. messieurs : Niekelsburg-Dyrenfurth. mixte; Mlle Dyrenfurth-Nickelsbnrg.
Le 7 mai, au grand tournoi de
Table
de
Maleh
BOTRQUm - SIX
Nickelsburg a remporté une nouvelle -victoire de
La plus réputée
vant Garangiotis, Sebba et Dyrenfurth. A noter la belle performance du champion de Zurich, Sebba, qui parvint à prendre un set à Nickels-
Prix epéoiaux pour les Clubs ou établisse ments. V. A. BOURQUIN, Spécialistes du
Wrg en demi-finale. Il est probable que la Suisse sera bientôt par tagée en Comité Régionaux, l'extension du ping; pong rendant cette réforme nécessaire. L'activité
ne se ralentit guère à l'approche de l'été et il est certain que la saison d'été ne le cédera pas à- beaucoup à celle qui vient de s'écouler, plu sieurs tournois étant déjà annoncés pour juin et juillet. F. LOUBET.
9^
Ping-Pong', 19, rue de la Michodiène, ParisII*.
Sr vous DESIREZ...
lire réguUèreme.Tit PIN(ï-POXG, abon H nous est impossible de mettre no
Bemfica, champion de Lisbonne. — Le Sport Lisboa et Bemfica, le plus populmre des clubs
portugais, s'est attribué le premier titre offi
ciel, battant le Club Sportivo de Pedrouços paiLe champio-nnat a été disputé selon une for mule très compliquée, comparable en tout point à colle du mgby français. Les résultats de la finale furent :
-Onrdoso (B.) ri-nha (B.) bat telas (P.) bat rinlia (B.) bat (B.) bat Pedro
bat Rui (P.), 21-15, 23r21; FaPedro (P.), 21-10, 21-16; CasPeixoto (B.), 21-18, 21-1'?; FaRui (P.), 21-18, 21-18; Peixoto (P.), 21-11, 21-18; Cordoso (B.)
bat Castelas (P.), 21-11, 21-14. Parinba fut le meilleur de tous et Rui Solano le meilleur des -vaincus... Les autres ont
tre journal en vente chez les 80.000 dé positaires des Messageries Hachette. En vous abonnant, vous avez l'assu rance de recevoir sûrement votre jour nal. Vous faites une économie et vous nous faites faire des économies.
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usé d'un ping-pong très négatif et peu bril
lant. Cordoso et Pedro Solano ont joué beau coup moins que d'Iiabitude.
Occasion merveilleuse
Trois cents personnes assistaient à cette fi nale réalisée au Grémio du Minho, sous l'ar
bitrage excellent
de
l'infatigable Honrique
Pinto.
Coupe Oallieâros Viegas. ■— Le Sporting a pris la première et la seconde place avec ses doux équipes, suivi des Espérantistes et du Maria Pia, etc... L'équipe gagnante était com posée par -Calh-eiros, Villaça, Perreira, champion universitaire fi e tennis, et du lycéen Alfonso
Bmnoiilin et Gourtel, 21-13, 21-14. 23-21 • Krebs
ranger, 12^2{, 2l-iî, 21-17, 21-19; Mlle Gan
Double-messieurs. — Riollet-Bvuiischwig bat tent Félix Fauve-Chevalier : 18-21, 21-14, 7-21,
ços, 5-2; .Sporting-Algéî, 8-0; ting, 6-3'.
Rencontres
amicales.
21-10, 21-17.
—
Aeademico-Pedrou-
Nacional-SporF. C. V.
iV
réîilîser
de
suite :
2^ tables Simpicx valant de «:îO â
1OOO IV.
soldées a moilié prix Ces tables, retours dVxpositions, sont absolument coiiiuie neuves et réirlementaires à tous
les points de vue. C- 1. A. S. !■ G. 26, rue Poussin, Paris ds')
lezet, 21-17, 21-18. 21-16,
C. A. M. gagne par 7 victoires à 2.
Le 30 avril, au Cercle Hôtel de Montbéliard,
CINEMA PING-PONG BAR
le F. O. Sochaux-Montbéliard battait le P.P.C. Bizontin par 6 victoires à 3. ALPES
Grenoble. — Tournoi du P.P.C.O. des 29 et
34, Rae Marbeuf (Métro: Marbeuf)
80 a^rril. — Ce tournoi a été caractérisé par une largo jmrticipation extérieure. Cependant parmi
ri
>
nez-vous î PORTUGAL
5-1.
Mlle Cazale.
ISI-ay
Voici lé nouveau classement des joueurs et
fi nale Mlle Borome-
Brunschiw et Mlle Félix-Paure — Félix-Faure; la première l'emiiorta en 4 sets. En double-dames. Victoire facile fie l'équipe Stéphanoise : Mlle Borome-MUe Neel, sur l'é quipe mixte, Grenoble-Dijon : Mlle Félix -Faure-
C le
I>iiseaiix
ÉTRANGÈRES
Gage.
ter (C.A.M.) bat Mme Bengnot, 21-12, 21-7 21-12; Mlle Bihr (C.A.M.) bat Mme Corto-
Bi'onzes,
Le Cliampionnat d'Alger. — Le Ping-Pong
Algérois, récemment créé, vient d'organiser un championnat qui a groupé 04 engagés. Les éli minatoires, par poules de 6, ont attiré de nomhreux ciu'ieux .qui s'intéressent à ce nouveau
Simple-dames. — Finale. — Mlle Borome bat Mlle Buteux : 21-10, 13-14.
■et Frigard fC.A.M.) battent Sabatier 'et Ba-
Mme
'Aille Borome-Bi-miscbwig battent Mlle Félix Fanre-F. Faure : 16-21, 21-13, 21-13, 21-12.
facilement le premier set. Ils battirent en 4 sets Riollet-Brunschwig, en finale.
Nous pouvons espéi-or du matcli revanche, qui
core beaucoup mieux â ses brillants adversai
battent
du classement masculin, bien que- Benthieu lui ait ravi le titre de champion d'Allemagne.
ce goure de parties.
l'équipe de Hochaux au complot ié.sistera en
Faure
5 sets disputés. Par ses victoires sur Oiigier (P.P.C.G.), M. Giroud (P.P.C.G.), Nieollet (P.P.C.E.), Brunsehwig (Saint-Etienne) (en 5 sets), Wer theim fut opposé en.finale à Galmiche, qui avait battu Gonon (Saint-Etienne), Lafond (SaintEtienne), Hilmi (P.P.C.E.), Neieov (P.P.C.E.), Félix Faure (P.P.C.E.), Wertheim fit un joH match, mais succomba devant son adversarré toujours en progrès, au jeu si précis et si élégant.. 'Toutes les parties importantes furent arbi trées par Négri qui, jusqu'à la fin, se dévoua dans la tâche délicate d'arbitre, et si, au début, il commit quelques erreurs, il fut excellent en
Puis ce fut la distribution des prix, qui fu rent plus nombreux qu'aux derniers tournois,
uura lieu à Mulhouse dans une quinzaine, que
Faure-Pélix
Ewen, Karge, H. Kroling et Putsch, 13. Dunker, Henschcl, von Normann, Rau et Zehfien.
de Mulhouse.
tique de nos joueur-s -de double. H faudra qu'à l'avenir ceux-ci s'entraînent sérieusement pour
Manche bois caoutchouté Prix imposé : 10 fr.
Borome-Bruiischwig
qui prit ainsi s.a revanche du deiniér tournoi. Pin, avait en 1/8 de finale éliminé IVL Cher valier, finaliste du iCIiainpionuat des Alp.es, en
disputés.
messieurs furent nettement à l'arantage de MuUiouso en raison du manque d'assurance de nos joueuses d'une part et du manque 'de tac
Félix
Mlle
Faces caoutchoutées
Audonin-Neicov ■ : 21-17, 19-21, 21-19, 21-19. _
sets.
départ, se fi t remonter par le jeune champion
Les deux simples de dames et les doubles
Mlle
—
La ràquelte c MQRRIS »
de finale.
suite.
Mme Delalande. — « Mme la secrétaire, ou la troisième joueuse d'Alsace? » Le signataire de ces lignes s'est tellement fa
Double-mixte.
déplaçant 15 joueura.
eais, par 7 à 0.' Les demi-finales virent, dans le haut du ta-
La .finale, bien que réunissant deux excellents
Wert'heim-Tsien battent 'Riollot-Brinschwig : 21-19, 21-13, 18-21, 21-18. ■
quel but, puistpt'ils iie font pas les Tournois. Enfin, Voirou, qui semblait pourtant vouloir
mans, qui, avec A'^ial et Morette, compte paraîtil des joueurs qui foqt de gros progrès,, mais dans
Tournai du Oranii Café Prader. — Le 13^ mai, grande finale du tournoi individ.uel. organisé par C'est, devant une très nombreuse assistance
Rene-Carbillet :
Double-dames. — Mlle Borome-Mme Neel bat tent Mlle Félix- Faure-Mllo Cazale : 3-0.
s'intéresser vivement au mouvement pongiste al
que se sont déroulées les ultimes parties de cette épreuve qui avait réuni près de 90 engagés. Le programme se corsait 'd'exhibitions de Eosmarin, champion des étraitgetrs de Pi-anee, Vernière, Bchar, etc..., en un mot l'équipe du Eaeing de Rouen qui défit le soir mtoie le P.P.C. Saurd-
D.
C.G. avait assuré le succès de son tournoi; Ro
Desbois-Vigne (P.P.C.H.), 3-0.
le Café Prnder.
Wertheim-Tsieu battent
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Oui, mais....
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La formule du cocktail
souhaitant que cette petite injustice le pi que au vif et lui donne le désir de se dis cipliner.
On parle beaucoup du futur classement et c'est très naturel, car il est maintenant
certain qu'il marquera une date dans l'his toire du Ping Pong français, celle de sa majorité. Notre sport n'est plus en enfance, il n'est plus besoin de s'arracher les che veux pour découvrir vingt joueurs dignes de faire partie d'une première série mouvante et de modifier le classement tous les trois
mois pour essayer, de le rendre provisoire ment exact. Le prochain classement, à nor îre avis, sera stable et ceux que la Com missiez toute puissante admettra en pre mière série n'y feront pas un stage éphé mère.
Le premier problème qui se pose à pro
pos de classement est de savoir ce qui lui servira de base. Sera-ce l'arbitraire d'une
commission ne tenant compte que de ses im pressions, ou au contraire la rigidité mathé matique d'un collationnement de perfor mances ?
11 me semble qu'un cocktail de ces deux méthodes qui consisterait à modifier par l'im pression tout ce qu'il peut y avoir d'injuste idans un classement mathématique, est :seul moyen d'avoir un classement équitable £t wrai.
Nul n'ignore, en effet, que de tous les
-sports le Ping-Pong est celui qui présente le plus fréquemment la situation suivante : Pierre bat toujours Paul, Paul est manifes tement supérieur à Charles et Charles triom
phe régulièrement de Pierre. Comment clas ser ces trois joueurs qui s'entrebattent ? Par leurs performances avec des tiers. Bien souTent nous ne ferons qu'augmenter le diamètre de ce cercle vicieux. Peu de sports, d'autre part, où il soit aussi difficile d'être toujours égal à soi-même,, quand la moindre contraîiété peut vous faire perdre 10 points par set.
D'où la nécessité : 1 ° de ne séparer dans ie classement que les joueurs ayant une îéelle classe de différence et 2° de tenir
compte de l'impression que vous a laissée •un joueur avant de lui assigner la platce que méritent ses performances. Ceci, d'ailleurs, bien souvent, se traduira par donner plus d'importance aux performances négatives, telles-qu'un set pris à Barna ou à verger •dans des-GiTconstances connues, qu'à une vic toire sur Bolelli ou J.-C. Guérin, pour ne
parler que des plus versatiles parmi nos ■champions. Certains vont s'écrier sans douté que cette
performances de Baden, lesquelles compor tent en particulier deux victoires très nettes sur des joueurs qui battirent Haguenauer, ainsi que sa victoire sur Mecklowitz à Pa ris et sa défaite d'extrême justesse à 'Lon dres devant le joyeux Perry, qui reste, comme chacun sait, un des tout premiers joueurs du monde. Les scores obtenus contre des Madjaroglou, Kelen et autres seigneurs
de même Importance se valent. Toutefois, il ne faut pas oublier les scores répétés de Ver ger devant Barna et Bellak au cours de la croisade, alors qu'Haguenauer, pendant sa tournée en Angleterre avec Barna n'est jamai parvenu à lui prendre un set. Ce léger avantage en faveur de Verger s'efface si l'on place les deux rivaux dans le domaine na tional. Là, en effet, Haguenauer, non seule ment triomphe à chaque coup de son adver saire, mais encore Raymond a son palmarès
Pour terminer, je verse un pleur sur le sort des champions de la première heure, les Durieux, Swetschin, Jean Fayard, que dès maintenant je souhaite voir à la rubri que « Antérieurement classés en première série » ; et je souhaite que ni Ozenne, ni
Le classement annuel des joueurs doit avoir lieu incessamment. Il semble qu'il y ait intérêt à envisager en ce moment les meilleures conditions d-ans lesquelles celuici pourrait être effectué.
Nous parlerons d'abord de la composi tion, de la commission, ensuite du mode de répartition des joueurs.
fonde du Ping Pong. Je mets Verger à la seconde place pour obéir aux mathémati ques, et presque mal-gré moi.
d'un certain nombre de délégués représen tant les (Kvers clubs de la France.
permettent pas pourtant de le classer à éga
C'est une eommission composée suivant ce. dernier mode, oui effectue tous les ans te classement de plus de 2,000 loueurs de tannis. Ses décisions sont presou'unanimeine.nt considérées comme fondées : elles «ont en fous fos tmn'aura resnectées et con
lité avec eux, ses performances internatio
fèrent aux loueur.®
nales étant très inférieures jusqu'ici aux
n'e.sf nas discutée. I-o ne vois donc aucun motif pour ciue la,- commission: chargée de classer les inuenrs de P. P. ne s'insnire
Derrière eux, Daniel Guérin est indiscu
table, le set qu'il prit à Glanez suffirait à justifier son classement. Ses victoires sur l'an cien et le nouveau champion de France ne
leurs.
Gordon vient ensuite. Au point de vue international, il a pour lui un set pris à Mad jaroglou dans un très beau style, au point de vue national, il ne s'est incliné que devant
ceux qui le précèdent et Woith. Ce dernier
termine bien mal une saison magnifiquement commencée ; Furman qui vient de le battre récemment partagera avec.lui une cinquième, place que sa jeune valeur n'a nas encore tout à fait gagnée, mais qui lui serait due sous peu.
Voisin et Dubouillé méritent la septième;
place. Le premier pour la régularité de ses performances et les- scores qu'il obtint en particulier devant Verger, le second par an ticipation sur ^s performances futures. Je maintiens Bolelli pour son set pris à Szaba-
une
hiérarchie, qui
pas de l'expérience de sa sœur aînée, dont le but est identioue au sien. Sur ce point, mon avis est formel. Si le
P. P. ne prend pas son essor, une com mission centrale, comnosée de queloues membres seulement, retenant par imnres-
sion le nom de 25 joueurs de première sé rie et de 100 joueurs de deuxième série est tout à fait suffisante. Mais si, au con traire, le P. P. devient chez nous le jeu national qu'il est en Eurone Centrale : si cent mille joueurs viennent à la Fédéra tion, et ce chiffre ne me paraît pas exa géré (je connais des bourgs là 400 kms de Paris, dans lesuuels certains cafés possè dent une table de P. P.l. le défie bien une
■«t nous ne rép>ondrons pas à de telles criti ques. On pourra plus simplement prétendre ■qu'ils peuvent se tromper, mais je préfère de telles erreurs, peu à craindre à mon avis, aux injustices d'un classement uniquement basé sur les performances. D'après un tel classe-
dixième place, le premier n'ayant pas démé rité au cours de la saison, le second ayant brillamment terminé la sienne par une vic
5. 2. 9. 10.
"Wbrth et Furman. Voisin et'Dubouillé. Bolelli. Prat et Petrocelli.
1.2. Petel, J.-C. Guérin. et Loebenberg, 15f., CampfelL et Butelot;
Non clas^ pour insuffisance de perfor mances. : J . Amson et Ozenne.
J'étais tenté de classer Verger et Haguenanerà égalité, voici pourquoi : dans l'ordre des performances, ce sont évidemment les performances internationales qui comptent le plus. Sur ce terrain les deux rivaux sont à pea près à égalité. Verger pouvant opposer, auîf victoiresid'Haguenaner en coupe Swaythling sur Sobowa et Maximovics, ses propres
me'bt quelconque que le joueur qui, dans des épreuves offlciélles, a battu 3 joueurs possédant le classement qu'il postule. Toute nroposilioh, qui n'est pas appuyée de la triple référence, est impitoyablement rayée par le président. C'est une garantie contre ' l'arbitraire, une digue efficace contre la ca
plus brillante contre-performance obtenue par un joueur de 3° série, qui aurait eu la balle de match contre un joueur de pre mière série, ne saurait suppléer à une troi sième performance qui ferait défaut. Une
jsbur son intelligence et sa connaissance pro
ser en connaissance de cause un maximum
^
Toute fantaisie est exclue de ces propo sitions. Ne péut être promu à un classe-
plète, ou bien an contraire une commis sion dans laquelle le président est assisté
ne puis me défendre d'accorder à Verger un léger avantage pour son jeu plus complet et
tesse devant Daniel Guérin en particulier.
■4. Gordon.
PIERRE TISSEYRE.
maraderie facile, l'enthousiasme d'un jour. Jamais, en séance, une voix ne s'élève pouï
abus. Ceci serait mettre en doute l'honnêteté ■des mémbres de la Commission de classement
3. D. Guérin.
exception retourner à la seconde série.
En ce qui concerne la composition de
Swaythling et ses défaites d'extrême jus
.
^
la commission, deux théories en présence : ou bien un Comité de quelques membres seulement exerçant une omnipotence com
porte ouverte à l'arbitraire peut entraîner dès
Pour illustrer ce- qui précède, voici, tel •que je le conçois, le classement des joueurs, ^français de première série. 1. Hagueirauer. 2. Verger.
* ^
entaché de défaites des mains de Daniel
bien son travail. Elle sera capable de clas
demment ridicule.
,
Je crois enfin qu'après les championnats de France la question des joueurs provin ciaux ne se pose plus éf qu'ils devront sans
Guérin et même de Gordon. C'est ici que, faisant'Intervenir le facteur impression, je
commission
place en première série, ce qui serait évi
gant.
Le classement mathématique
dos, les résultats qu'il obtint en coupe
ment, Bolelli par exemple n'aurait plus sa
J. Amson ne soient déclassés pour cette sai^ son ; la rubrique « Non classés pour man^ que de perforrtiances » leur irait comme un
Prat et Petrocelli viennent ensuite à la
toire sur Friche, sur Worth et une très belle
partie contre Weissblatt. En douzième position, je classe ensuite Petel, J.-C. Guérin et (Loebenberg, tous trois irréguliers en diable, mais-réeHement tïop forts pour retomber en seconde série. Enfin, fermant la marche, deux jeunes,
ainsi
constituée de
mener à
de 2 à 3O0 joueurs, mais elle ignorera for cément les autres et erépra des rancunes et des mécontentements. Et il faudra néces
sairement, si l'on veut entretenir dans la masse des joueurs l'émulation et l'ambi tion indispensables au progrès, en venir à une commission identique de tous points à
celle qui fonctionne pour le tennis et dont il peut' être" dès lors' intéressant d'éxp'oser brièvement ïe mécanisme.
Cette commisaioft' se compose d'ilfi prési
tent la première série. Encore qu'on puisse reprocher à Campbell les scores écrasants
dent, qui doit être l'homme db' France qùj connaît le-mieux l'es joueurs-; il est? assisté' d'un certain nombre de- délégués' : un par comité régional, une quinzaine pour' le Co
que lui inflige Verger et ses défaites des
mité' de Paris.
Campbell et Butelot qui l'un et l'autre méri
mains de Neswijensky, on ne doit pas ou blier qu'il gagna le Critérium sur Voisin et qu'au cours de la saison il a battu entre autresj Daniel Guérin, Dubouillé, J.-C. Gtiérin et Trézel. Butelot, lui, est, à mon avis,
le joueur sûr par excellence toujours prêt à profiter d'une défaillance d'un champion pour inscrire un nouveau: succès à son actif. N'a-t-il pas mis: récemment Verger à l'ou vrage ?
J'ai beaucoup hésité au sujet du jeune Trézel qui, au cours de la saison, a vaincu
de nombreuses première série ; je pense, toutefois, que assez complet dès à présent les champions
son jeu d'attaque n'est pas pour lui permettre de faire des parties honnêtes devant étrangers. Nous le laisserons
donc provisoirement en seconde série en
Tous ces délégués, qui sobt détenteurs d'une carte leur conférant l'accès à toutes
les réunions organisées par la Fédération, se tiennent en contact avec les groupements
qui les intéressent, les délégués régionaux avec les clubs de leur région ; ceux du Comité de Paris, avec les clubs qui leur" sont attribués.
En fin de saison — au mois d'octobre
pour le tennis ; au mois d'avril par exem ple pour le P. P. — chacun de ces délé
réclamer une exception à cette règle. La
seule exception est prévue en ce qui con cerne l'es gagnants du critérium, et de l'es pérance, qui ont, en principe, droit à la série supérieure.
La triple performance
ne confère du
reste pas un droit absolu "au classement.
Elle crée simplement une présomption en faveur de ce droit. La qualité de ceux com
tre qui a été réalisée la performance est envisagée en séance et- les contre-performau'ces doivent être soigneusement rnen-
tîùnnées à l'encre rouge sur les feuilles de proposition. Sans dôute ceUes-ci sont-belles
souvent omises par les délégués, qui tien nent à ce qu'aucune ombre ne vienne ter
nir l'éclat de certaines propositions aux quelles ils s'intéressent, et il est à remar quer en pa.rticulier qu'une jeune et joliejoueuse effectue bien rarement une contre-
performance, le rouge se rencontrant, dans ' ce Cas beaucoup plus fréquemment sur seslèvres que sur sa feuille de performance. MaUieiireusement — ou heureusement, suivant que l'on sacrifie sur l'autel de la
beauté ou sur celui du sport— les lois har
monieuses de la compensation veulent que la contre-performance de l'un engendre la performance de l'autre. Aussi celle-là finit-
elle presque toujours par être évoquée -à la faveur de nouvelles propositions et la petite supercherie est dévoilée. Ne le se rait-elle du reste pas sous cette forme, qu'elle aurait toute chance' de l'être de
mémoire par l'un des -vingt ou trente délé gués réunis dans la salle de Commission
et qui sont choisis parmi des joueurs, clas sés pour la plupart, habitués de tous le.s clubs, ayant participé eux-mêmes à la ma jorité des tournois.
Les propositions des délégués sont cen- ■
tralisées par le président, qui étudie les dossiers et les annote. Lorsque son tra vail est terminé, il réunit sa Commision et procède de la manière suivante :
Il prend successivement les propositions de chacun de ses délégués. Il fait adopter en bloc toutes celles qu'il trouve justifiées : les autres sont soumises à la Commission
et font l'objet d'une discussion suivie d'un
vote à mains levées. Les délégués sbrtt, je le répète, choisis parmi des joueurs expéri mentés et sensés ; le président possède une autorité considérable, qui- résulte de sa compétence et de son impartialité, aussi les décisions prises ne sont-elles que très rare-
gués adresse au président la liste de tous
raciit contestées.
les joueurs dont il propose le classemenf
Rien ne s'oppose à la constitution d'une commission analogue pour le P. P. Il serait facile de grouper autour d'un président réellement conrpétent un certain nombre de délégués, qui représenteraient les grands clubs de Paris et fie la province avec au-
(ceux déjà classés; dont il demande le maintien — ceux déjà classés, mais qu'il estime devoir être avancés ou rétrogradés — et enfin ceux pour lesquels il réclame un premier classement).
PING'PONG
.n^
tant de compétence, de zèle et d'impartia lité qpie leurs amis du tennis. Et je suis assuré que le classement effectué par eux ferait même autorité.
La Commission une fois constituée st son
mode de travail défini, il importe de pré
La deuxième et la troisième séries se raient, l'une et l'autre, divisées en trois groupes : A. B. et C., la série A. ne com prenant toutefois qu'un nombre restreint
de joueurs, soigneusement sélectionnés, pt qui formeraient en quelque sorte le réser
ciser le cadre dans lequel seraient"Classés
voir destiné à alimenter la série supé
les joueurs. Divers systèmes sont en pré
rieure.
sence ;
L'actuel, qui consiste à répartir les joueurs en deux séries et à affecter, à cha cun d'eux, un numéro. N'insistons pas ; nous ne sommes plus à l'âge de pierre. (J'imagine par avance les insomnies de celui qui serait chargé de numéroter un millier de joueurs).
Une seconde méthode consisterait à adop ter le mode de classement du tennis et à
répartir les joueurs en trois séries ; une pre mière série numérotée, et deux autres séries
divisées en sixièmes, ceux-ci étant rempla cés par des échelons de trois — ce qui assi
Certains (et parmi eux, bien entendu, les ' détracteurs systématiques du P. P.) con sidéreront qu'un tel cadre est trop vaste et qu'il est prématuré. Pour moi, je n'en crois rien..Et je dirai une fois de plus ; ne com mettez pas le péché contre la foi. A .quoi du reste la prévision de ce cadre vous engaget-elle ? Remplissez-le suivant vos moyens actuels ; vous le garnirez un peu mieux chaque année. Mais admettez-en, dès au jourd'hui le principe. Classez 25 joueurs en première série ; 10 en deuxième série A. ; 25 dans chacune des 2® séries B. et C. la deuxième.
à 18, et.'à la troisième série, 21 à 36.
doïfnés au tennis. Au P. P., en effet, la
Soyez assuré que vous aurez ainsi créé chez les joueurs un sentiment d'émulation générale, qui sera de nature à stimuler leur ardeur et à contribuer au développe
fffrme des joueurs est tellement fragile, le
ment du P. P.
Je ae crois pas que ce système donne
résultat des parties est si souvent faussé
par les conditions dans lesquelles elles sont jouées, enfin les. performances des joueurs sont tellement nombreuses que l'on
Derniers
aux cham-
souvenirs
pionnals
du voyage
du inonde^
de
en
Ping'-Pong-
Autriche
et instituez une troisième série analogue à
gnerait à .la deuxième série les limites 0
au p. P. les excellents résultats qu'il a
CHAMPIOIVIVATS DU MOADÉ
L'OBSERVATEUR.
PETITS ECHOS
Au sommet du Kiiicbis
anregistre nécessairement des contradic
tions multiples dans les résultats. Aussi, la meilleure solution consisterait, à mon avis, à choisir un cadre plus élastique, c'est-àdire à diviser les joueurs en trois séries, comme au tennis, mais en abandonnant
partiellement, le classement par numéro en ce qui concerne la première série et en ne retenant que trois compartiments, au lieu de six pour chacune des deux autres sé ries.
Le classement de la première série par munéro est une innovation assez- récente au tennis. Elle dorme des résultats d'autant
Tenue
Les joueuses du Ping-Pong Club de Nan cy, qui ont fait le déplacement de Paris pour rencontrer en championnat de France le Sta
de-Français, doivent être félicitées pour leurs ravisantes tenues gris-argent.
Nous ne pourrions Ihélas pas voter les mê mes félicitations aux joueurs du P.P.C. de
Paris qui se présentèrent la plupart, en che mise de ville pour jouer une demi-finale du Championnat de France. N'y aurait-il pas là matière à avertisse ment ?
meilleurs que les décisions litigieuses (Borotra-Cochet, par exemple, après la coupe Davis) sont esquivées par l'emploi des exœquo, mais les joueurs de tennis ne se
rencontrent que rarement et dans des par ties dont les résultats..présentent, pour les motifs que nous exposions tout à l'heure, des garanties supérieures à celles des par ties de P. P. C'est pourquoi, en ce qui con cerne celui-ci, nous estimerions que le plus sage serait de n'effectuer le classement par nuinéro que pour les dix premiers joueurs, dont toutes les performances sont suivies
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prenant les joueurs « non classés pour in
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suffisance de performances », c'est-à-dire, en langage clair, les joueurs de première
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série à qui l'on veut éviter l'humiliation d'être rétrogrades en deuxième série.
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Comme au tennis, la* première série se rait suivie d'un compartiment spécial com
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