DEIIXIEME A.IÎNEE — N»19.
PRIX ! UN FRANC
0 Les seuls amateurs vrais sont les petits sportifs qui appar tiennent a des
DU 3 AU 20 NOVEMItRE II 33.
Ping-Pona
clubs
pauvres ou les gens riches qui disposent de tout leur temps.
JOURNAL ILLUSTRÉ PARAISSANT LE 5 ET LE 20 DE CHAQUE MOIS Organe officiel de la Fédération Internationale de Tennis de Table Mensuel en Juin, Juillet et Août. — Directeur: CONSTANT BOURQUirV
Colonel PÉTAVY
34,rue AInebeul -
^i'-ltTonTdl'r.-Elyséesioss
Abonnement: un an, 120 frs
n. c. Seine ssaa-ii
de libellée tous mandais et ebèi|iica nu nom do M. Constant. BOCRQIJIIV
Oraison
funèbre
ÉCHOS
pour le Syndieat du Ping-Pong^ Omnes morimur, et quasi aquae dilabimur in terram, quae non reveriuntur. « Nous mourons tous, et nous allons sans cesse au tombeau, ainsi que des eaux qui se perdent sans retour. »
En m'inclinant aujourd'hui devant la
dépouille de ce qui fut, ou plutôt de ce que devait être le Syndicat du Ping-Pong, je voudrais évoquer aux yeux de tous la vie brève de cet organisme en qui furent placés tant d'espoirs que la mort a ravagés dans la fleur.
J'étais donc destiné à rendre ce devoir
funèbre à l'enfant dont je saluais, il y a onze mois, la naissance glorieuse. Et ma triste voix était réservée à ce déplorable
niinistère. O vanité! ô néant! ô mortels ignorants de leur destinée ! Vanitas vani-
tatum, dixit Ecclesiastes,
vanitas vanita-
tum et omnia vanitas !
s'implantât en France rapidement, sûre ment, solidement. 'V^ous, Messieurs, à qui l'enthousiasme en faveur du ping-pong de vait profiter directement, vous décidiez dans un noble esprit d'entreprise de ca naliser et de diriger les aspirations d'une
jeunesse déjà gagnée au nouveau jeu. Vous fondiez un Syndicat qui devait être un véritable Comité de Propagande du Ping-Pong. Que tout cela était beau et combien l'on vous écoutait avec plaisir ! Vous preniez l'initiative d'un mouvement qui allait tout emporter dans son flot impétueux. Chacun se ralliait à votre panache. Mais un fâcheux osa parler du « nerf de la guerre », et aussitôt ce fut la déroute dans vos rangs. La cotisation de vingt-
cinq francs fut considérée comme le pla fond
Un bel élan vous avait rassemblés. Mes sieurs, autour des hommes de bonne vo-
lomté qui ont fait de notre sport ce qu'il est. La confiance vous animait. La foi
sembîait prête à soulever les montagnes, à vaincre l'inertie des timorés, la lâcheté des faibles. Il fallait que le nouveau sport
de votre contribution annuelle au
fonds de la propagande. Le Syndicat se donnait ainsi la mort le jour même de sa naissance. Son activité, aussi bien, devait se borner par la suite à tirer des diri.geants sportifs de menus avantages accordés sans contre-partie, ou presque.
La fatalité de ces groupements, c'est
La coiipe Diinlop
qu'ils sont livrés d'emblée aux profiteurs. On les trouve partout, s'arrogeant des droits imprescriptibles, ne connaissant ja mais de devoirs. Tout leur est dû. Ils ne doivent rien à personne.
Calculateurs mesquins, commerçants mal avisés, ce n'est pas leur faute si le pingpong survit à leur paresse. Messieurs, le Syndicat que nous enter rons est mort d'avoir été la proie des pe tits profiteurs. Laissez-moi voir dans la
Nous avons signalé le premier engagement pour la coupe Dunlop. Depuis quelques so ciétés se sont inscrites à la suite; il est pro bable que tout le monde se réveillera en meme temps, la veille... ou le lendemain de
la clôture des engagements. 11 est pourtant difficile de trouver une formule plus encou rageante pour les clubs de province. Quatre simples disputés par deux hommes et un double où les mêmes compétiteurs peuvent faire équipé. Qui donc n'a pas deux
tristesse de cet événement la marque vul nérable de toutes les entreprises des
joueurs? Et puis... Paris est hors concours. Oui mais, on a dit que le Comité de
hommes. Laissez-moi dans un seul malheur
Paris était exclu de la compétition, aussi
déplorer toutes les calamités du
genre
humain, et dans une seule mort faire voir
la mort et le néant de toutes les grandeurs humaines. « Vanité des vanités, et tout est vanité! »
tôt réclamations des clubs de Seine-et-Oise
et de Seine-et-Marne qui, bien que ratta chés au Comité de Paris, prétendaient à juste titre n'avoir pas comme les joueurs de la capitale ou de la proche banlieue,
C'est la seule parole qui me reste; c'est la seule réflexion que me permet, dans un accident si étrange, une' si juste et si sen
l'avantage de se frotter aux Barna et Szaba-
sible douleur.
dos. Il fut donc précisé que seuls les clubs
Je suscite à vos yeux les restes d'une ardeur qui s'est éteinte. Vanité des vani
ayant leur siège social dans la Seine seraient
tés ! Ce Syndicat du Ping-Pong n'est plus
mis hors d'affaire...
qu'une ombre et qui va rentrer dans le néant dont elle n'eût jamais dû sortir.
cun des clubs de grande banlieue n'a envoyé
B. AR.-VTRO.
Le plus curieux est que jusqu'alors au ses dix francs.
CONTRADICTION : — II est en avanee parce qu'il a plus de recul !
rV
^--t^i.
_
.
.,'1
PINa-PONG
La jouriK'c des dupes
Dos prooisious
Qui racontera par le menu cette ébourif fante- réunion de liquidation du Syndicat dn Ping-Pong ? Ce malheureux groupement n'avait plus de vie depuis que M. Gorbillon en avait abandopjié la présidence probablement le j:nr oîi il avait vu qu'on l'y mettait en avant
On prétend que 4 salles indépendantes sent installées ; toutes commandées par deux seules portes d accès. Quand on aura pré
peur cacher les appétits de quelques profi teurs de. notre sport. ke monsieur qui criait le plus fort était: celui qui avait obtenu de fournir la table pour la finale d'un grand tournoi de la sai son dernière qui en avait profité pour coller un panneau publicitaire grand comme le cadran Citroën au milieu de tous les clichés-
senté son ticket on pourra- circuler dans ces
4 salles... et cela sans gêner les joueurs qui dans chacune seront séparés du public par 11 n'y aura que l'accès au court central
qui nécessitera le versement d'un léger sup«plément.
Oh dit aussi que joueurs et joueuses trou veront sans sortir de la salle tout ce dont
ils pourraient manquer, maillots, sandales, raquettes, serviettes, etc.
du Monde
dire (pie nos amateurs sont plus ivrépru-
Tous gris
Il y eut quelques mots amers adressés à ceux qui ont profité du développement formi dable de ce nouveau sport en l'encourageant en tout et pour tout, par une cotisation de
la hédération Internationale si elle pouvait exiger la tenue grise pour tous, mais on craint
fera sûrement des affaires parce qu'on, sera sévère sur la.tenue.
La Fédération Française avait demandé à
en haut lieu d'être trop sévère 1 il paraît que normalement tous les compétiteurs se. présen tent en tenue correcte. Ce rr'est pas ce que nous avait raconté Corbillon à son retour de Vienne. « Le Jour »
Le nouveau quotidien s'est fait remarquer, par une enquête fort intéressante sur l'ama
tion vient d'une proposition que l'Associa
tion umjtuise soumet au Congrès qui se réu nira à Paris au. moment de nos ctiam.pion-
Paris, à la sajle .Marbeuf. lis se termine
Tout te bruit fait autour de celte ques
»'its du monde. AJuis on a mal. compris, en f/i'iiérut, te sens de cette proposition. Jt ne s'agit pas dans l'esprit de son au teur. Al. Alontagu, de créer une classe de
analogue à celui de ta Fê'déraiiqri hypocrile qui a banni Ladnumègiié. l^c geste dé AI.
tagu envisage-l-il que les profcssionnets ne- forment pas une caste séparée et que: tous Tes tournois sans c.rxcption .soient opon.. La même Fédératioai. régirait, tous les
LUNDI 4 (matinée) : 5. fi"; à tontes les places.
tardif.
la, F. F. T. T,., une- grande épreuve sco
laire et que trois fois par semaine les ama Quand ils s'aperçurent trop tard de leur teurs de Ping-Pong trouveront dans le ]out maladresse ils ne savaient plus que faire pour des articles les concernant. Amis, lisez Fui manifester un attachement... un peu. donc le Jour tous les jours. l'n mort-né Yovoz caisse
Sur la proposition de M. Corbillon, il fui, décidé: à l'unanimité que le solde en. caisse serait veraé pour l'achat de la coupe destinée, à récompenser l'équipe gagnante du Champioimat du Monde féminin. C'est: tout ce qu'a, fait de bien Le syn
dicat et ce n'est déjà pas si, mal.
N'avait-il pas été question aussi de l'ap parition prochaine dlun deuxième organe spécialisé de notre sport! Mazette! quand on pense que certaines fédérations... DIRI GEANTES n'ont mémo pas im bulletin polycopie à leur disposition ! Quelques commerçants qui trouvent pro bablement trop élevés nos tarifs de publi cité avaient rêvé d'avoir ainsi des lignes à
grès inlcrnatianal du tennis' de laide. Je rriiims en. effet que la création d'une caté
der leurs métiers. Il y a. suffisamment dé déclassés dans ta société moderne pour qu'on, s'abstienne de pousser à la roue. Comme le d.it excellemment
le,
colonel
Pétavy {on verra sa déclaration complète d. notre revue de la presse), Vamateurisnio pur est une fiction dès l'instant qu'un joueur accepte de se déplacer contre le rembour
sement de ses frais de voyage et de séjour. Le ping-piong a été jusqu'ici privilégié. Il possède un minimum d'amateurs mar rons.
Défendons-nous
contre
ceux-là,
sî
En tous cas, on y put découvrir un taleni qu'on ne soupçonnait pas. 'Le président de
qu'un pour mettre un peu de prose entre les
nous né voulons pas fermer tes yeux. Mais pourquoi irions-nous faire sauter l'obsta cle à des joueurs qui n'ont jamais envisagé
placards publicitaires et ceux qui savent
de vivre du ping-pong ?
séance montra une autorité et un tact qui
écrire, dans notre sport, ne sont pas telle
réussirent à freiner les élans de quelques agi tés et je vous prie de croire que la tâche
ment nombreux, alors tant pis, nous croyons
bien que nous resterons seuls encore quelque
n'était pas facile et que le mérite de l'avoii
temps.
Un iioiivcaii prcshlcnt
moins cher, mais il fallait trouver quel
menée à bien est fort grand.
Une prinu'
Le petit Poneot
Savez-vous ce qu'a inventé le~ Comité du
L'organisation des Championnats du monde se poursuit avec minutie. Les enga gés des différents pays reçoivent un plan de Paris où le trajet de la gare d'arrivée à la
Ping-Pong Club de France pour inciter ses adhérentes à porter la tenue grise réglemen
rue Marbeuf est dessiné, une instruction dans
ce qu'il faut faire... et un ticket de métro,
est exemptée de cotisation ce mois-là ! C'est toujours ça de rattrapé sur le prix de la robe, il n'y a pas de petites économies.
classe s'il vous plaît, est attaché à la
A qui la rohei
la langue voulue indique point par point
taire ?
C'est mieux que les papiers du petit Pou cet.
Qu'importe que de bans joueurs travaittcnf dans des maisons de sport et mê-ine qu'ifs bantisent de leur nom des objets qu'ils ont rriâ's ? Dès t'insiaJil qu'ils ne se font pas jxiycr pour donner des leçons et ciu'ils ne touchent pas de cachets pour jouer en public, ils demeurent à mes yeux des amateurs dignes d'être considérés com me tels et libres d'eux-mêmes.
Le jour où le professionnalisme serait reconnu, il .se passerait ceci : ou bien les professionnels seraient exploités par les amateurs, ou bien ils
deviendraient
des
Toute joueuse qui se présente en tenue' artistes de cirque, « numéros » pour 7nv-
lettre.
De nomlireiix aniisi de province nous ayant écrit iioiir Umioiicer leur venue à Paris eu cette .oecasion et juiur nous demamler de leur réserver des places, nous avons le plaisir de les iii formel" quTIs-
court central. Soirée : idem.
gorie de professionnels ne pousse au., pro fessionnalisme véritable une quantité dé jeunes gens qui seraient bien arisés de gar
On nous affirme que.le grand journal des Champs-EJ.ysées va organiser, d'accord avec
ront le 10 deeèinbre.
demeurer sur un pied d'égatitc arec des ca marades plus favorisés. Aussi bien. Al. Alon
pouvait leur rendre service.
teurisme.
Ceux-ei commeiieent le 2 décembre à
jieuveut dès maiiAenaut les retenir au Atontagu constitue un acte de sincérité. A SCS yeux, il n'y a pas d'amateurs nv dv pro- siègo de fcbP.T.T., aL, rue Marbetrfj.r' "• fcssionncls.i mais avant tout des joueurs Voici le tarif qui sera appliqué : dont: tes uns peuvent se permettre le tuxc de sacrifier leurs intérêts à Icjirs plaisU^s,. SAMEDI 2 DELEMUllE (soirée) : en dont les autres sont aux prises avec les dif trée : 10 fr. ('ourt central : 5 fr. de sup ficultés- de l'existence. Qûé les uns sa fas plément. sent rétribuer ouvertement pour le .spec tacle à recettes qu'ils fournissent, AI. Alon DIMANCHE a (matinée) : 10 fr. et tagu estime que cela ne les met pa.f hors5 fr. de supplément pour Paccès au la-loi et que cela ne les empêche point de
joueurs,, lesquels seraient en cpieique sorte: tous des amateurs avec des nuances diffé rentes, de Tamatcwisme absolument pur {pratiquement inc.ri.staiit) à t'amalcuri.sme plus ou moins rétribué. L'intention de AL. Alontagu est, cxcellenlc.. Et pourtant, si j'avais à me prononcer, je ■m'opposerais à sa proposition tors du Con
Et* si nous avons appelé ça la journée des dupes,, c'est que les protestataires qui pen saient qu'ils n'en avaient pas eu pour leurs vingt^inq francs, trouvaient le moyen de rompre tout lien avec le seul homme qui
Notre iirochain numéro piiraîtra à la
veille (le.s chainiMoumils du monde et leur sera presque enlièrement consacré.
parias de notre sport sous t'étiquette « pro-
Tout ]»our 25 francs
Pas malins
Voici i/u'oH parle chez nous aussi de pro fessionnalisme. iXos amateurs seraient-ils nwin.s purs (pic ceux des autres sports ? t'a n'c.tl pas relu. Je serais même tenté de
Quel marchand d'article de sport tiendra- fessionncls ». H ne s'agit pas d'un geste ce rayon ? On n'en sait rien encore mais il
rEcfifice croyaient avoir en Corbillon un do mestique chargé dé défendre à la Fédératitm, non pas même les intérêts corporatifs, mais les leurs, en particulier.
Lhaiïipionnals
ehablvs que la plupart des antres.
une barrière.
pris ce soir-là... et qui, en remerciement, en voya aux journalistes sportifs un formidable chèque de... cent francs.
vîngf>-cinq francs... mais qui, pour ce gros
La balle au boiul
sir-hall, et le sport amateur commencerait à décliner.
En soirée : 10 tr. et 5 fr,. de supplé ment pour le central. MAllDL 5 (matinée) : 5 fr. à to.utes les places.
En soirée : 10, fr. et 5 fr. de supplé ment pour In central. MERCIÎEDI a : Repos. JEUDI 7 (matinée populaire) : îl fr.. à tuntes les places. En soirée : 5 fr. et 5 fr. de supplé ment pour le eentral-. VENDREDI 8 (matinée). 5, fr. et & fr. (le supplément pour le ceutraL En soirée : 10 fr. et 5 fr. de supplé ment pour le central.
S.LMEDf 9 (inatinée)!;,: l()f fr.. et 5 ft., de supplément ponr le cèotraX. Eu soirée i.Mein.:
DIMANCHE ÏO
m.èwes prix, que le
samedi.
NOTA. — Le billet d'entrée conféré le droit de circuler et l'accès à tous les cours secondaires.
Le supplément de 5 fr. peri^u ponr ■ l'accès au court central est un mini mum. Les meilleures nlaces assises sont
tarifées à des urix différents selon Eîni-
portance des éiireuves dispulées. ^
Les joueurs munis de leur licence
auront droit à une réduction de 10 %
sur le prix de toutes les places. Cartes de presse. — Les .iournalistes qui désirent oblonir une carte de" presse pour
les championnats du monde sont priés de
se faire connaître sans relard en faisant valoir leurs titres. Les caries seront peu
Est-ce cela qu'on vent ? ILe JucE-AnniTRE.
nombreuses.
D'ailleurs, le même club parle d'organi ser tous les samedis un tournoi féminin avec
Ne hmigonns plus
comme premier prix une robe grise sem blable à celle dont la photographie a été
Et quand, ainsi conduit jusqu'à la salle
publiée dans notre dernier numéro... Elle
Marbeuf, l'engagé y parviendra, il sera rmmadiatement photographié, séance tenante
sera faite sur mesure, évidemment, parce
qu'entre Mlle Blandin et Mlle Foy!!!
on lui établira une carte d'entrée avec
Doux écoles
photo qu'il devra présenter à chaque pass-'ge au cor.)rôle.
Encore un truc que les resquilleurs voient filer. Derniers tuviuix
Au match Opéra-P.P.C.F. dames, 1 au tre soir on a vu peut-être pour la première fois les six joueuses en gris, mais celles de la rue Marbeuf étaient en robes tandis que
les équipières de l'Opéra portaient la jupe T out ceux qui ont été à la Féd.ération en voiture l'après-midi savent combien il est dif'icile de
trouver une
place pour une
et la blouse.
Les deux pièces furent battues par les une
meilleure balle du monde
la Super-balle
BAR]\A
pièce.
voiture le long du trottoir de la rue Mar beuf, aussi l'organisateur qui a pensé à tout a-f-il fait réserver à l'intérieur du garage
La plus belle salle (le Paris
Marbeuf des emplacements de voitures gra tiiiN pour les spctateii'-s.
En prenant son ticket d entree au gardien d(! garage on peut laisser sa voiture jusqu'à dix-huit
heures trente
supplémentaire.
sans
aucune taxe
RTLSSKT-TACIIE H»-î.
<l<? Clî<-llj-
Lejeiidllprix sp6eeiatLX peu ries S(()la ires
VI
ont
<l'ôii-e ï-econnue
o<ïî«-îello
pai* lîi
l'ÉPÉRVriOX HVTEMATlOiXALB DE TEMMS DE TAREE VEi* r E E
lEl'OEX
îoïi
o-t son oi-jfÊMxo oi'JXoîol
McUon» les points sur les i Elst-ce faire de la polémique que relater
purement et simplement des faits ?
tspérons que non et qu'à la suite du pré
La Fédération résolut, par raison d'éco nomie, de ne plus faire passer que les procès
.prendre à ,partie le président de cette Fédé
notre appoint, et nous voulions pouvoir le
verbaux des réunions trimestrielles dû Con seil et la liste des nouvelles affiliations.
tout le monde, y compris M. Quiry, saû
un mernbre du bureau, élu pourtant grâce a dire en toute franchise.
et mal présentée. L. ancien conseil de la Fédération avait
caché à personne.
quement avec tous ses clubs. Un bulletin
avait été fondé à cet effet par M. Magné. Ce bulletin coûtait très cher, aussi M. Agut eut-il 1 adresse de contracter avec M. Quiry de la Reçue du Tennis, un arrangement qui donnait à ce journal le titre d'organe officiel de la F. F. T. T. mais l'obligeait, d'une part, à mettre 3 pages par mois à la dis
position de la Fédération pour ses commu niqués officiels, d'autre part, à faire le ser vice gratuit de la revue à tous les clubs affi liés.
Cette dernière charge était légère à cette
époque puisqu'il n'y avait pas cent clubs groupés,
L affaire fut conclue à la satisfaction des deux parties.
Aussi, quand la Fédération fit passer plus de 3 pages par mois, le supplément lui fut facturé par M. Quiry, ce qui était tout à fait régulier.
Ein dehors des pages officielles, la Reçue du Tennis publia sur le ping-pong des arti cles d amateurs ou de professiotmels qui furent rémunérés.
Il y eut, toutefois, un collaborateur abso lument bénévole, c'était M. Corbillon alors secrétaire du Comité de Paris.
Suivant ses principes de désintéresse ment, l'actuel président ne reçut jamais, pour sa collaboration, la moindre somme
de M. Quiry. A cette époque M. Quiry se plaignit
plusieurs fois fort amèrement de n'être pas aidé par les dirigeants de la F. F. T. T. dans la recherche de la publicité ; on ne lui communiquait pas, disait-il, les demandes de renseignements qui auraient pu lui faire obtenir des contrats rémunérateurs.
Les autres fédérations, affirmait-il, agis sent autrement-
Vinrent les élections d'avril dernier et la
nomination à la présidence de M. Corbil lon.
Un des premiérs actes du nouvel élu fut
de s'enquérir des conditions du contrat qui liait la Fédération et la revue officielle.
M. Corbillon alla chez M. Quiry qui lui dit en substance ceci ;
« La revue est liée
jusqu'en novembre 1933, mais le contrat
l
comme nous avions déjà cessé de l'être avec
sent article on ne nous accusera pas de nous plaire dans les disputes. Notre but est uni quement de inettre au point le plus objec tivement possible une question mai connue
senti la nécessité de correspondre périodi
î
on 1 autre cesser d être d accord avec lui,
signé par elle n'est pas. avantageux parce que l'ancien Comité ne m'a pas aidé dans la recherche de la publicité que je suis obligé de trouver pour compenser la dépense qu'entraîne pour moi l'obligation de livrer la revue gratuitement aux clubs affiliés, d M. Corbillon répondit à M. Quiry que le nouveau Conseil ne prétendait pas l'exploi ter, qu'il lui communiquerait loyalement ce qui lui parviendrait comme demandes de ren seignements commerciaux, mais qu'il ne pouvait s'agir de transformer la Fédéra tion en courtier de publicité et qu'au surplus le nouveau Conseil consentirait certainement
à décharger M. Quiry du poids de son accord, si ce contrat était véritablement trop
onéreux pour lui. Prévoyant donc la-résiliation du contrat au plus tard pour novembre suivant, le prési dent nous demanda si nous
consentirions
éventuellement à devenir organe officiel. Nous avons répondu qu'il n'en saurait être question, du moins dans l'état actuel des choses. Nous ne voulions pas aliéner notre liberté ûâe penser et d'écrire, et nous préten
dions (que tarm perdions cette liberté en
devenant lorgane officiel. Quelles que fus
sent les Tcliftierns d'amitié qui nous unis saient au président, nous pouvions un jour
■V.
Ne recevant plus rien de la Fédération,
Notre position était donc fort nette, M. Corbillon le savait et il ne l'a jamais préciser en outre que M. Corbillon (qui était notre collaborateur comme il était et continuait d'être celui de
M. Quiry), à qui, au surplus, nous avons
demandé maintes fois des directives sur la
politique sportive de notre journal, que Corbîllon n était en rien notre associé
et qu'il avait toujours, de son côté, tenu rigoureusement à - sa
liberté envers nous
comme nous tenions à la nôtre envers lui?
Il avait mis provisoirement un local à nohe disposition alors que nous étions à l'étroit
à notre précédente adresse. Notre journal
mérite de vivre dans ses meubles et il s'ins tallera bientôt d une façon définitive.
Or, il se trouve que nous avons cru pou
voir, dans nos colonnes, dire son fait à un
membre du Conseil... qui n'en fut pas par
ticulièrement satisfait et qui voulut se ven ger en nous faisant mettre à la porte de la rue Marbeuf.
Il faudrait ne pas connaître Corbillon pour
ne pas comprendre aussitôt que cette dé
marche eut le sort qu'elle méritait : « Je fais ce que je veux chez moi, j'y ai donné
1 hospitalité au journal Ping-Pong, ce n'est pas parce que j y donne aussi maintenant
Fhospitalité ...au même prix, à la Fédératioii que je dois mettre à la porte mes
amis. !) Si bien qu'au rebours de ce qu'on attendait, notre journal continua à se pré
M. Quiry se crut, cette fois-ci, particuliè
ration et surtout porter une accusation que être sans aucun fondement. M. Corbillsm
est assez homme d affaires pour avoir com pris quel avantage M. Agut avait obtenu en
rement visé et, continuant à gaffer, il s'en ' donnant à la Fédération la possibilité de prit encore une fois au président, alors qu'il Correspondre gratuitement vingt fois par an lui suffisait, s il avait quelque chose à dire, avec les binq cents club.î qui lui sont -affi-
de s'expliquer avec le secrétaire, M. Agut,
qu on ne pouvait soupçonner de lui être opposé.
Nous avons relaté l'incident fort vif qui se passa à l'une des réunions du Conseil.
Il y fut dit que M. Quiry s'était plaint que M. Corbillon aurait refusé à M. Agut les
diés.
Est-ce là une nouvelle gaffe de M. Quiry,
ou bien tout ceci n'est-il qu'une manœuvre
adroite pour rejeter sur le présideiit la res ponsabilité d'une rupture souhaitée ipar
M. Quiry maintenant qu il lui faut servir cinq cents clubs et non plus quatre-viiigts, documents permettant à celui-ci de faire un comme à 1^ époque de la signature du pacte ? article pour la Revue du Tennis. C'était Nous n'en savons rien, ou plutôt nous ne absolument et complètement faux. M. Agut ■voulons pas donner un avis, puisque nous n avait rien demandé et le déclara, il n'avait
d ailleurs besoin de rien demander puisqu'il était secrétaire de la Fédération et avait à
sa disposition tous les documents possibles sans être obligé de les demander à qui que ce fût.
Ainsi, de plus en plus, tel Gribouille qui en cas de pluie se jette dans l'eau par peur d être rnouillé, M. Quiry éloignait de lui, à force d'adresse, un homme qui ne lui en voulait en aucune façon, n'ayant à l'ori gine aucune raison de lui en vouloir. Enfin, pour couronner l'édifice, voilà qu'un écho dans le numéro du 15 octobre accuse de façon ffort explicite M. Corbillon
nous sommes engagés au début de cet article
à exposer les faits le plus impartialement
possible, mais nous résumerons ce trop long exposé en disant que ;
I ° Le Président de la Fédération non
seulement ne veut pas rompre, mais exigera, si besoin est, l'exécution du contrat libre
ment signé par M. Quiry ;
2° Il a déclaré publiquement qu'il né voulait plus d'aucune façon avoir aucune
relation avec M. Quiry tant que des excuses ne lui auraient-pas été faites ;
3° Pour notre part nous n'avons jamais
de vouloir rompre le contrat qui engage la
demandé à être organe officiel de la Fédé ration Française de Teimis de table, nous ne désirons pas ce titre et le refuserions à
F. F. T. t;
l'occasion.
C'est .un cqmble ! On ne voit pas sou
Est-ce clair ? Est-ce net ?
vent la revue officielle d'une Fédération
.
P. P.
valoir de 1 adresse de la rue Marbeuf, bien que son siège effectif ne soit pas rue Mar beuf.
Alors intervint la Revue du Tennis qui
ne pouvait, disait-elle, admettre qu'un or gane non officiel s abritât dans le même im
meuble que la Fédération.
Et M. Quiry de prétendre qu'il était fi nancièrement lésé de ce fait. N'alla-t-il pas jiisqu à prétendre que c'est à notre journal
LES PALETTES ET LA BALLE (Ag-rée ,F.. E. T. T.-)
que la Fédération passait les demandes de renseignements commerciaux qui lui étaient adressées.
Or, aucune demande semblable n'arriva
jamais au 34 de la rue Marbeuf, pas plus qu'auparavant au 147 de l'avenue de Ver sailles.
Mais c'était là, venant de M. Quiry, une accusation grave de malhonnêteté portée con tre M, Corbillon. Et celui-ci prit fort mal la chose. Il avait déjà été vexé quand un membre du bureau avait voulu se venger de ses petites histoires persormelles en le som mant de inettre à la porte de chez lui notre journal.
Cette fois, il se fâcha complètement et
Chami>iou du Monde 19iLJ
sont acluellemenl t
les meilleurs accessoires
ne se gêna pas pour annoncer qu'il n'en verrait plus jamais une ligne de sa main à ta Revue du Tennis, en dehors des com muniqués officiels. A la même époque, un de nos collabora teurs quittait notre journal, cédant à une
de Piiijj-Poiig*
offre alléchante de la revue officielle. Il se flattait même d'emmener avec lui la col
En vente dans toutes les meilleures
laboration gratuite du Président. Les événements que nous venons de relater lui enlevèrent cet espoir, et il en conçut un désappointement qui apparut dans le numéro du 15 juillet de la Revue du Ten nis. En réponse à un innocent jeu de mot
Maisons d Artieles de Sport
d'un de nos échos, nous fûmes attaqués assez
incorrectement pour nous croire en droit de répondre. Comble de malchance ; le Conseil de la
Fédération avait découvert à la fois que le
contrat qui la Hait était de trois ans et non d'une année, comme M. Quiry l'avait dit à M. Corbillon. De plus, il faisait la re marque imprévue que ses communiqués ex cédant trois pages lui étaient facturés.
Cioncessionnaîre exclusif poui* le gros (t
LUDARVA
101, Iliic Réauîîiiir, Paris (2'')
l'I:?.!
PINQ^PONQ
LE Coupe Swaythling LA SELECTION FRANÇAISE Nos sélectionneurs font enfin par ler (Feux. Ils travaillent. On ne sau
rait leur reprocher de n'être pas >
k
consciencieux. Songez qu'ils ont même une doctrine. MM. About, Arrondeau et Pétel sont d'accord pour
penser qu'il faut donner le pas au jeu
■K.
^ (M
constructif sur le jeu en quelque sorte négatif du défenseur de parti-pris. Ils voudraient qu'on pût montrer aux championnats du monde line école française où les « crocodiles » n'au raient pas la priorité. Si je pense de mon point de vue de spectateur, je suis prêt à applaudir des deux mains, comme on dit. Je préfère évidemment le beau jeii aux guerres d'usure que sont trop souvent les matches de pingpong. Si toutefois j'avais l'honneur iFêtre sélectionneur de l'équipe de France, je penserais avant tout aux ré sultats. Et je me préoccuperais de constituer une équipe de joueurs ca pables de remporter le plus grand nombre possible de victoires. Le jeu constructif, c'est très beau quand au style, à Vintelligence, à la tactique vient s'ajouter l'efficacité. Les très grands joueurs pratiquent tous le jeu constructif. C'est un jeu qui ne paie réellement que pour les joueurs doués d'une classe exception nelle.
Il faudrait d'ailleurs s'entendre sur ce qu'on appelle constructif. Je crains que dans beaucoup d'esprits ce mot ne soit synonyme d'agressif. On peut, en somme, construire son jeu aUssi
bien en provoqiumt la faute de l'ad versaire qu'en faisant le point par un
coup décisif. Simple question de mé Ç Sr
thode et de tempérament.
Les juges compétents en matière de ping-pong s'accordent en général pour penser qu'à classe égale le défenseur a l'avantage sur l'attaquant {compre nez : le frappeur). Aussi bien, l'équipe française qui a
PING-PONG d'autre part, l'occasion est unique pour lui d'apprendre le métier de champion. En revanche, je n'ai pas une grande confiance dans le jeu de « renvoyette » de Furman. Il ne faiit pas confondre la défense et la « pous sette ». Ce jeu que Furman pratique en maître lui permet de gêner les meilleurs français et même à l'occa
Les résultats du 3" tour, disputé le 13 CHAMPIONNAT PAR
sion de les battre. Je l'estime absolu
à Dubouillé, son cas est un peu dif
férent. Il a poUr lui sa grande classe, contre lui .son extrême jeunesse et son
inexpérience complète des matches internationaux. Je serais d'avis de le
sélectionner pour la même raison qui
me fit préconiser contre beaucoup, l'an dernier, la candidature de Daniel Guérin : d'une part, personne ne
Paris par 18 à 7 ; Saint-Mandé bat Union Scolaire par 20 à 5 ; Racing bat Olympic par 13 à 12.
ment inefficace contre des joueurs qui savent frapper fort, vite et avec aisance, Furman étant mal armé pour défendre loin de la table. Je lui préférerais cent fois un joueur comme Voisin, au jeu classi que, aisé et complet. Mais Voisin n'a pas de cran. Il est capable du meilleur
Butelot, Bédoc et Simon. Du côté du P.P.G.F. ; Szabados, Furman, Gordon, Nahas et Campbel.
Sur le papier les chances étaient fort équilibrées.
Si les joueurs de l'Opéra ont gagné d'rme manière si décisive, malgré les mauvaises tables sur lesquelles on les fi t jouer, c'est qu'ils sont animés par un excellent esprit d'équipe. La confiance règne parmi eux. Banna gagne ses 5 matches, comme c'était prévu, Haguenauer, comme c'était prévu, m'en perdit qu'un qu'il fut d'ail leurs à deux doigts de gagner contre
comme dU pire. Worth, ni Gordon, ni Bolelli, mal
gré leurs qualités, ne sont à retenir.
Szabados. Butelot fit
Il resterait donc comme seul « can
didat sérieux », selon Pierre About,
le joueur André Butelot pour qui il est d'ailleurs extrêmement injUste.
J'hésite à plaider sa cause, puisqu'il s'agit d'un camarade de club, et de crainte qu'on ne m'accuse de partipris. Butelot n'a pas, en effet, une très grande classe, mais il est à mon avis le type même du joiieur de Coupe Swaythling. Patient, régulier, solide, adroit, peu impressionnable {il a d'ail leurs fait ses preuves), il gagnerait à mon avis plus de matches que n'en pourraient gagner Dubouillé, Furman et peiit-être même Verger. Mais je ne suis pas sélectionneur et il se pourrait après tout que je ne comprisse rien au ping-pong... CONSTANT BOURQUIN.
lui-même
une très
belle performance en battant tous les joueurs adverses à l'exception de Szabados. Bédoc, qui eut peu de chance, gagna quand même 2 matches et le courageux Simon eut aussi sa victoire en usant Càmpbell. Szabados fut excellent. Furman et Gor
don fi rent des parties honorables. Nahas continue à se faire 'battre et Campbell est peu brillant. Ah ! si Pierre Tissejne pouvait commu niquer Je feu sacré à ses poulains 1 L'équipe du Stade, qui s'était déjà fait battre par le P. P. C. F., a bien failli ré colter une
seconde
défaite des mains
du
P. P. C. St-Mandéen. En effet, après 22 matches joués, les deux équipes étalent à égalité, avec 11 victoires chacune, et les 3 matches qui devaient les départager se jouaient.dans l'ordre.entre Bcbas-Schwarz
Le grand match de la soirée opposait le iStade à l'Opéra sur les tables du Stade Français. Bien que l'Opéra fût nettement favori, on ne prévoyait pas l'écrasement des bleu et rouge. Barna et Haguenauer
gagnèrent chacun 5 matches, Butelot 4, Bédoc 3, Simon 2. Au Stade, seul Verger gagna 3 matches. Dubouillé en mit 2 à son actif, Worth 1. Classement après le troisième tour
Opéra Racing
6 points. 6 b
P.P.C. de France
4
b
Stade Français
2
s
Saint-Mandé
2
»
Olympic
2
»
Union Scolaire 2 P.P.C. de Paris 0 Composition des poules
» »
Deuxième division 1. Tennis Club de France.
2. Amical, Colombes. 4. Chalet du Lac. 5. ILevallois-Eloile.
Coupe Marcel Corbiïlon
6. Léopold Bellan.-
Bobas
nue
son
match
contre
5. Cigale .Audonienne. 6. Pointe Baquet. 7. Bulle Pinson. Poule B.
8. Villejuif. 1. Saint-Maur.
leur cran, Worth et Dubouillé parvinrent
2. Aulnay.
à gagner leur match respectif et ce fut
3. Charoinne.
rendant
au
cran,
ner à la Coupe actuellement dite des
Poule D. 1. Puteaux.
si
Prat
Combes, Bobas et Balestra, qui sont en gros progrès. L'Union Scolaire recevait le Racing-Club Monceau, champion de France actuel. La lutte était inégale, l'équipe du Racing comprenant des joueurs plus éprouvés que
ainsi participé à l'achat de la Coupe des Dames, à intervenir sans retard
auprès du Comité de Paris. Qu'ils l'appuient dans la décision qu'il a prise en sorte que notre ami Marcel Corbiïlon soit contraint de se laisser faire une douce violence.
jambe quelques jours auparavant en dis
putant la coupe de tennis A. Canet. Au cours des parties disputées ce soirlà, nous avons eu la satisfaction de cons
tater cpie les joueurs de l'Union Scolaire :
Raufmann
menait par 19-16.
et P. P. C. de Paris, fut sans histoire. L'O-
lympic acquit la victoire par ai victoires
ravir la place fjui lui serait donnée ;
mondial.
à /|.
uat de France 1933 ont été
ji'ajrnées avec des raquettes de
.
^
caoutchouc ■■■■
'
: :
'
f
7. Elba. Poule E.
. ■ , ■ 'f . , '
, •
■
1. Omnium.
2. Saint-Gervaîs.
,
P.P.C. XVA Bainville. Aima. P.P.C. Russe. Versailles.
'
•
■
■
:
Championnat féminin
■
2. Buffalo.
3. Vincennes.
_
4. Métro. 5. Centre. 6. P.P.C.F.
L 2. 3. 4. 5.
s'en fallut de peu pour que
'
4. Boulogne. 5. P.P.C. Asniérois. 6. P.P.C. du Bois.
dernier point. Isidore Barabel fut le meilleur homme de l'Union Scolaire, il battit successive ment Jean-Claude Guérin et iPétrocelli. Il
ajoutât une victoire pour son équipe lors qu'au cours du 3« set contre Pétrocelli, il
•
3. Suresnes.
7. Opéra.
jusqu'au bout, ne s'avouant battus qu'au
; -
2. Colombes.
Isidore Barabel, Henri Barabel, Livchitz, Raufmann, Berger, tentèrent leur chance
Les 5 épreuves de cliampion-
'
8. Vinccnnes.
Groupe A. 1. Montparnasse.
rité de laisser son nom à un trophée
recouvertes
'
quatre : Daniel Guérin, Jean-Claude Gué rin, Brunschwig, Pétrocelli ; l'équipe était privée dos services de Bolelli, blessé à la
peut prétendre indiscutablement à lui
L EYLAIV D
■
toires contre 7 défaites quoique jouant à
celle de son adversaire — aussi le Racing
La quatrième rencontre entre Olympic
Personne, plus que lui, n'aura mé
!
3. 4. 5. 6. 7.
s'adjugeait-il le gain du match par 18 vic
ont reçn la « croisade », et qni ont
"! :
-
n'avait cru spirituel de perdre ses cinq matches. En outre Verger en mauvaise forme, se fit battre par Combes. En résumé, mauvaise partie du Stade, mais aussi ex cellentes parties des jeunes du St-Mandé,
Nous invitons tous les clubs qui
r
6. Contre.
n'aurait jamais été en danger
du Ping-Pong, porte le nom de Mar cel Coi'billon (sans qui il n'y aurait pas eu de croisade).
, , ' ^ _i
5. International Sp. hommage
président du P.P.C. Turgot, de don
payée pour une part d'environ 2.500 francs par les bénéfices de la Croisade
•
4. Lairriers Roses.
7. Riviera.
Il faut que cette Coupe, qui sera
'
.
Poule C.
deux poulains de Prulière. Mais, grâce à
dont firent preuve les joueurs de SaintMandé, il faut reconna'ître que le Stade
Dames (championnat du monde fé
•
1. Montparnasse. 2. Longjumeau. 3. Maisons-.Alfort. A. S. A.
contres étalent assez ouvertes et auraient
en
. •
4. Monlmartre.
7. Métro.
Tout
.
2. Turgot. 3. Enghien.
Worth avait épuisé, les deux autres ren
remporta la victoire.
blier la proposition du D' Dermant,
■
6. Buffalo.
un
" •
Troisième division Poule A. L Entente Levallois.
battre
c'est-à-
'
»
7. Nalipn.
4. Maison-Blanthe. 5. Italie.
et Friche^Dubouillé.
par le score final de 14-11 que le Stade
Nous avons été les premiers à pu
•
dire que, si régulièrement iSchwarz devait
Voisin-Worth
■;
"3. Cercle d'Asnières.
très bien pu se terminer par la victoire des
d'accord.
cutables. Celui de Furman, à mon
res à 6 ; P.P.C. de France bat P.P.C. de
l'Opéra passe leader du championnat de Paris et il est certain, sauf accident, qu'il ne sera pas rejoint au classement. Du côté de l'Opéra : Barna, Haguenauer,
D' Dermant. Seul l'intéressé n'est pas
avis, ne s'impose pas nettement. Quant
Opéra bat Stade Français par 19 victoi
PARIS
l'rcmièrc division
de contre-attaquer avec à-propos et
ger, Furman et Dubouillé. Les trois premiers noms sont indis
DE
EQUIPES
En ballnuL plus nettement qu'on ne sup posait (par IG victoires à 9), ie P.P.C.F.,
avec sûreté.
Ceci dit, voyons l'équipe qui sem ble avoir la faveur de nos sélection neurs. Elle comprendrait : HaguenaUer, Daniel Guérin, Raymond Ver
Dernière minule novembre, sont les suivants :
joueurs patients, doués d'un excellent moral, défenseurs habiles et capables
doit-elle être composée sUrtout de
FRANCE
PARIS
minin par équipes), le nom de Mar cel Corbiïlon, le grand animateur du ping-pong français. Le Comité de Paris, qui offre la Coupe, s'est rallié unanimement et avec enthousiasme au point de vue du
le plus de chances d'obtenir des résul tats flatteurs en Coupe Swaythling,
EIV
,
'
' - ' ' ■
8. Riviera. Groupe B.
.
'
; *
■
. ..
-
Butte Pinson. Banville. Omnium. Lauriers Roses. Saint-Gervais.
6. Stade Français. 7. Saint-Maur. 8. A.S.A. Calendrier
Dans toutes les poules
Equipes I"" siu- les tables du i" nommé. 2<" 2"
— —
2» i"
— —
L EYLAW D
PINO-MNO ^.
LÉTUANGER
E T le lendemain Matches aller ;
Le
8 novembre
1 contre 2 3 5 7
Le 15 novembre
Le 22 novembre
Le 29 novembre
Le 13 décembre
Le 20 décembre
Le
3 janvier
— —
6—7 8 — 1 1 contre 3 2—4 5— 7 6—8 3 contre 5 4— 6 7— 1 8—2 1 contre 4 5 — 8 3— 6 7— 2 2 contre 5 6— 1 4— 7 8—3 1 contre 5 2— 6 3— 7 4—8
. 10 janvier, 17 janvier, 24 janvier, 31 jan vier, 7, 14, 21, 28 février. Equipes 1"' sur les tables du 2° 2° 3'
nommé
— 1" nommé — ' 2° nommé le lendemain
Présentation de la licence obligatoire. Forfaits tardifs amende 10 francs.
Licences. — Le secrétariat du Comité de
Paris insiste auprès des joueurs et des So"Ciétés pour que les licences qui lui sont remises soient remplies complètement, et eurtqut que le nom du Club y soit indiqué •en toutes lettres, et non par ses initiales. Il existe, en effet, à Paris de nombreux ■Clubs ayant les mêmes initiales.
Juges-arbitres. — L'examen pour le poste de juge-arbitre du Comité de Paris a lieu tous les jeudis soir à 21 heures, au siège social, 34, rue Marbeuf (salle- de ping-pong au sous-sol).
Les candidats devront écrire au préa lable, et ils sont informés qu'il ne suffit pas, pour être juge-arbitre, de connaître quelques règles du jeu ; il est également indispensable de savoir faire un tableau. Ont été reçus jusqu'à ce jour ; MM. Combes Roger, Fischer et Schvvartz. Examen
des
BRETAGNE
0
lilatches retour :
— —
\... : 21-16, 16-21, 21-16. En général, les joueurs se ressentirent vivement du manque d'entraînement fatal eu ce début de saison. Deux parties ce pendant nous permirent de voir du beau jeu, l'une où Brenngat triompha de No
RÉGIONALES
—
2 conti'e 3 -i
Ollivon-Trlquet (P.P.C.R.) battent Huet-
NOUVELLES
arbitres
du 9 novembre 1933
Quatre candidats se sont présentés, un seul a été reçu : M. Van Troyen, 11, ave nue de la ,Sœur-Rosalie, Paris (13'), qui prend, par conséquent, dans les arbitres du Comité de Paris, le numéro 4. Tournoi du R. C. F. M.
blet en l'usant par son jeu de défense, l'autre où Ollivon, faisant preuve d'une at
« Les Gas de la Côte
vont, paraît-il, bouger »
dames et double messieurs seront dotées de
très jolis prix et se disputeront dans la nouvelle salle organisée spécialement poul
ie ping-pong dans les vastes locaux du 59, rue de Courcelles, Paris (Tennis Mon ceau). La clôture des engagements est fixée au 19 novembre, date du tirage au sort qui
Je me demande cependant, pourquoi il s'est fait — à mon insu — mon porte-pa roles d'une part, et mon juge de l'autre. , Que devient, clemande-t-il, le Comité de
Bretagne-Nord? La question est assez plai sante et manque pour le moins d'à-propos en raison des explications qu'il fait suivre. Il dit très bien qu'après les enthousiasmes du début, les bonnes volontés (?) disparu rent à jamais. Pardon ! Il en resta au
moins une; la mienne. Oui le « papa Faggiani » '(Merci, ô Jeunesse !) assuma toutes les charges pendant longtemps et sans le dévouement du camarade Alliot — qui n'a aucune fonction officielle — bien des cho ses resteraient encore à faire.
J'admire les frondeurs, mais seu'ement quand ils sont bons à quelque chose, il ne suffit pas de s'agiter, il faut encore que
cette agitation ne soit pas stérile. C'est, hélas, ce que j'ai vu trop souvent! Les joueurs attendent, paraît-il, des nou velles du Comité et comme sœur Anne...
Il y a des mois et des mois que je les at tends eux-mêmes!!!... Quand je songe à toutes les circulaires que j'.ai envoyées aux
joueurs
comme
3 matches pour que tous nos joueurs puis sent jouer au 2" tour.
11 joueurs élaient on présence de chaque côté.
Résultat général ; P. P. Provinois bat le
Cercle P. P. C. de l'Aube par 13 victoires
^
■- .Ej9IS'
Sous la présidence active et éclairée de M. Maurice van Heule et avec le concours
des Grirnonprez, Vandtunrne, Pohoryllés, pour ne citer que ceux-là, il est appelé à un développement rapide. Le Nord, qui possède une pléiade d'étoi les dans les différents domaines du sport, sa devait 'aussi d'avoir dans la Capitale des Flandres à la fois un Club bien améqagé ec sympathique. A peine né, il nous a con vié -à une masniflque réunion. Je n'oublie
rai pas en effet de sitôt, et je suis pour tant novice en la matière, la splendide fi
nale du tournoi du 15 octobre de l'I.P.P.C.L.
qui mit aux prises Haguanauer et Szabados. Le public enthousiaste ne ménagea pas ses lapplaudissements aux deux champions et je suis sûr que ce jour-là il y eut quelques pi'ofanes conquis au ping-pong. Je crois qu'il serait bon d'ouvrir ici une
parenthèse et de vous parler un peu de l'I.P.P.C.L.
A
dix
mètres
de la Grande
Place, rue Nationale, au l'"' étage d'un
que je leur ai adressées en vain, je me de mande si leurs doléances (!) sont sincères.
d'ailleurs rien d'étonnant, 11 a été étudié
Eiie.5 sont, en tout cas, injustifiées. Vous avez raison, mon cher Herbert, il faut que cela fi nisse. Pour ma part, j'en
ai assez. J'ai contribué, je crois pouvoir le dire, au développement du ping-pong en Bretagne dans la mesure de mes faibles moyens. La constitution du Comité n'est-
elle pas mon œuvre? J'aime le sport — j'en ai toujours fait — êt mon plaisir est grand de voir la jeunesse continuer ces nobles traditions. Cependant, vous admettrez que ouoique désintéressé, — je l'ai bien des fois démontré — J'aie tant soit peu le souci de ma dignité. Je me refuse donc à assurer tout seul, la charge écrasante de la direc tion du Comité et à servir de bailleur de
fonds à la propagande du Ping-Pong. Vous n'ignorez pas, puisque cela s'est passé à Dinard, que j'ai payé de mes deniers la plus grande partie des frais occasionnés par la rencontre France-Angleterre. Lisez le journal « IPing-Pong » du 20 octobre, vous y verrez la décision prise au cours do la réunion du Conseil Fédéral, au sujet du déficit de cette manifestation. Qu'en pensez-vous? Je me demande avec anxiété ce qu'aurait été cette décision si j'avais — trais de séjour d'une semaine pour l'or ganisation de ce toiu-noi. J'ai convoqué pour le 26 novembre cou rant, les clubs bretons à une .Assemblée générale. A cette date, chacun prendra ses responsabilités, sinon le ping-pong aura vécu clans notre région. Trouvez des bonnes volontés, c'est ur gents; jl y en a peut-être. C'est la grâce cjue je vous souhaite. Ainsi soit-il. PIERRE FAGGIANI.
Simples
dont quelques
Lille. — Un nouveau Club vient de se foj-nier à Lille.
bel immeuble, il a élu o^îte. Vous êtes surpris tout d'abord en en
cher une revanche au Cercle Ping-PongClub de l'Aube qui l'avait battue à Provins par 8, victoires à 2. Cette revanche, elle l'a splendidement remportée sur d'excellents adversaii'es aussi valeureux que très bons sportifs. Cette rencontre fut disputée sur les tables du café de la Paix, devant un public u sport ;■ qui admira le « fair play » et sut applatidir avec la même sincérité les jolies balles quels qu'en soient les auteurs. A signaler la splendide partie que four nit notre champion André Sénèque contre Gaspard, excellent joueur troyen, match poussé à la limite des 5 sets et arraché point par point, tous très âprement dis putés. Réception charmiante et cordiale des
Guiile et Renaud n'hésitèrent pas à jouer
NORD
clubs de mon ressort et aux convocations
Rennes. — iPing-Pong Club Rennais bat Amical Ping-Pong Club Rennais par 10 vic
Troyens
toires à 3.
Leprince (P.P.C.B.) bat Hemon (Amical): 21-14, 21-13. Legoff (Amical) bat Saumon (P.P.C.R.): 11-21, 21-15, 21-12. Léraichelet (P.P.C.R.) bat Leconte (Ami cal) ; 21-19, 2M3. Huchet (P.iI^.C.R.) bat Le Brell (Amical): 21-10, 21-9. Ti'iquet (P.P.C.R.) bat Golf et (Amical), 21-11, 21-12. Yvet (P.P.C.R.) bat de Solaminhac (Arni ca!) : 18-21, 21-13, 21-8. Bonigeois (I^.P.C.B.) bat (X) '(Amical) : 21-16, 22-20. linct'(Amical) bat Savin (P.P.C.R.) : 21-H, 21-11.
Brenngat (P.P.C.R.) bat Noblet (Amical): 10-21. 21-13. 21-18.
OUI von (P.P.C.R.) bat Leroy (Amical) ; 21-19, 21-23, 21-14. Doubles
de
Leroy-Noblet (.Amical) battent Brenngat Bourgeois : 11-21, 21-13, 21-11.
mtnf ■ rJï ■
g" i
chantés de l'organisation du tournoi qui
fut en tous points remarquable. FRANCHE-COMTÉ
Ping-Pong-Club Lédonien. — Résultats
techniques du tournoi organisé au siège du Club, café du théâtre, mercrédi dernier,
et auquel ont pris part 25 joueurs. Quarts de finales (simple) : Lacour bat
Genevaux par 21-18, 16-21, 22-20, 21-15; Joly
bat Chelma par 21-13, 21-19, 21-18; Van Ga ver bat Garino, par 21-9, 19-21, 23-21, 21-8; Tibles bat Myard, par 21-14, 16-21, 21-13, 14-21, 21-8.
Demi-finales : Van Gaver bat Joly, par
21-15, 21-19, 21-10; Tibles bat Lacour, 21-7, 21-15, 15-21, 21-14.
Finale du simple : Tible bat Van Gaver.
23-îl, 21-23, 21-15, 13-21, 21-13. Finab du double : iMyard-Van Gaver bat
tent Tible-Garino, 21-14, 24-22, 14-21, 21-18. Au cciurs d'une réunion qui a, eu lieu vendredi, il a été procédé à l'élection du
bureau du club, qui est ainsi formé : pré sident, F. Murgey ; vice-président. G. Ge nevaux et M. Myard; secrétaire-trésorier,
R Van Gaver; membres : Lacour, Joly,
Patard, Tible. Coutier, Dissard, Ducret. Un grand tournoi sera organisé le mer
crecli 22 novembre et jours suivants. Il sera doté de nombreux prix. Le bal du ping-pong aura lieu à la salle des fêtes de Lons, le samedi 2 cléeembre . 1933.
trant par la douceur de l'éclairage, à cela par un spécialiste, des tables parfaites et des fi lets unpeccables ajoutent à cette bonne impression. Matin et soir, membres du club s'entraL lient avec ardeur en vue des prochains tournois. Après cinq sets ardemment dis
putés, on va se rafraîchir dans le plus mi gnon des bars.
Pour amener le public au ping-pong, l'International P. P. C. organise tous les jeudis soir un tournoi handicap doté d'un joli prix, laissant ainsi à tous la meilleure
chance pour enlever cette épreuve. L'International P. P. C. a déjà formé trois excellentes équipes : une équipe pre mière composée des meilleurs régionaux, je citerai Grirnonprez, Vand'amme, Poboryllès, H' joueur 1 bis du Nord, les qua trième et cinquième places seront' sans doute répnrlip.s entre Droulcrs, 'Flouquot et Slron. La deuxième équipe sera constituée avec les meilleurs éléments de seconde sé
rie du Nord, quant à la troisième équipe elle comprendra également de bons joueurs, qui joui-nellement en contact avec les plus forts progresseront rapidement. Un programme de rencontres inter-clubs judicieusement réparti est déjà bien chargé. Bien dirigé et rempli de bonne volonté, rinternational P. P. C. fera certainement
parler de lui et Je le lui souhaite bien vo lontiers.
Oh! mais, j'oubliais et ici je crois qu'il est juste de louer l'actif Président de ri. P. P. C. L. d'avoir pu obtenir de .Station de Lille de Radiodiffusion, une mi nute ou deux consacrées au Ping-Pong, pendant le quart d'heure dominical du Sportif. Pour terminer, je souhaite à ce Club, , qui en trois semaines d'existence groupe déjà plus de 50 membres, de fêter le 1" jan vier sont cent et unième. Je m'excuse de m'être étendu aussi lon
guement sur ri. P. P. L., mais j'ai cm bon de signaler aux pongistes l'effort qui avait été fait dans une des plus .spor tives régions de France, et je suis per suadé qu'ils n'y seront pas insensibles. Je crois que ces quelques lignes écrites, le le répète, par un nouveau venu au PingPong, et qui, comme vous pouvez le voir, est déjà convaincu, donneront une petite idée de ce (pie peut devenir le Ping-'Pong dans le Nord grâce à quelques-uns qui ont c osé ». MICKEY.
Voici les résultats du Tournoi du 13 oc
PETITES NOUVELLES Homologation des balles et des tables
Balles. — ir>es fabricants qui dé.sirent marquer sur leurs balles: Agréée F.F.T.T. doivent remplir Ic.s conditions ci-de.ssous ;
1° Envoyer à la Fédération. 34, rue Mar beuf, pour examen, deux douzaines de bal
les pri.se.s parmi celie.s qui doivent être mises en vente dan.s le public. Si ces balle.s sont, confoi-mes aux coiulilJons imposées par la Fédération Internationale, c'e.sl-à-dire : 1° a) couleur claire el maie ; b) poids : 2 gr. 397 à 2 gr. 535 ; c) diamèlre : 3 cm. 63 à 3 cm. 83 ; d) forme : la plus spbérique pos.siblo e) rebond sur une table type : do 20 cm. 3 à 22 cm. !i, quand elle loinbe de 30 cm. -5. 2° Le.s balles qui sati.sfonl à ces condi
tions peuvent être marquées « Agréé F.F. T.T. » .si le fabricant ne les vend qu'en empaquelage muni do bandes de garantie (ie la Fédération, c.es bande,s étant placées de façon telle qu'on ne peut ouvrir l'empaquelage sans les déchirer. 3° Le prix de ces bandes est de 3 francs pour une grosse de balles emballées, c'està-dire :
3 franc.s la bande « rose » pour boîtes
d'une grosse ;
3 francs les 2 bandes « mauve » pour boîtes d'une demi-grosse ; 3 francs les 12 bandes « bleu » pour boîte.s d une douzanie ; 3 francs les 24 bandes « vert » pour boî tes ou lubes d'une demi-douzaine.
4° Il est bien évident que les balles ven dues dans
les boîtes
sous bandes de
la
Fédéralion doivent être strictement conformc.s aux balles soumises à la Fédération et
conservées par elle à titre de témoin. L'agrément serait retiré immédiatement dans le cas oû cette condition ne serait
pas remplie, et les bandes détenues par le fabricant lui seraient remboursées.
5° Si des balles agréées étaient vendues sans bande de la Fédération; l'agrément serait retiré immédiatement, et dans ce cas, aucune bande ne serait reprise aux fabricants fautifs, ceci, sous réserve des droits que pourraient réclamer la Fédéra-' tion
et
les
autres
fabricants
lésés.
Tables. — La Fédération n'homologue pas de tables, mais déclare bomologables les types de tables. Quand un fabricant désire voir homolo guer un type de sa fabrication sous un
tobre, organisé par l'International Ping-
nom déterminé, il envoie un modèle de ce
Poiig-Club de Lille, 4, rue Nationale. De
type à la Fédération, 34, rue Marbeuf, accompagné d'une notice descriptive com plète et d'un morceau du bois qpi a servi à faire le plateau, cette table devra autant que possible être munie des poteaux et
vant; une salle comble se sont déroulées les dcini-flnales et la finale de ce tournoi.
Elles mettaient aux prises Szabados et R. Grirnonprez. Ce dernier tut éliminé mal gré une défense splendide; d'autre part,
llagnenauer éliminiait I^ohoryllès, (jui n'ar
Lèiniclielot-Yvot (P.P.C.R.) battent Solminbaf-Collet : 21-14, 23-22.
spectateurs et joueurs se sont déclarés en
de Leroy, le baltil uotteinent par 21-14 dans la belle, après avoir fait jeu égal dans les deux premiers sets.
taire du P. P. C. Dinardais.
aura lieu à 18 heures. Provins. — La jeune équipe provinoise
s'en est allée 'Samédi soir, à Troyes, cher
La finale simple Dames permit à Mlle Protopokoft, championne de Belgique, de vaincre Mlle Ravigneaux. Ajoutons que
taque plus mord'ante et nlus sûre que celle
Eh bien, tant mieux. Depuis que je le leur demande, j'en serai enchanté. Je viens de lire (c Ping-Pong » du 5 no vembre et j'apprécie comme il convient la critique de notre ami, Jean Herbert, secré
comme c'était mon droit — réclamé mes
Le Club de Ping-Pong, champion de France, organise du 20 au 26 novembre un grand tournoi de début de saison. Les épreuves de simple messieurs, simple
diverses, l'emporta de justesse par 21-18,
2P-17, 15-21, 13-21, 21-19, triomphant ainsi de Szabados, ex-champion du monde.
riva pas à composer son jeu. : La fi nale, tant attendue, donne lieu à un match émouvant : notre champion de
France Hagucmiuer, après des alternaiives '
■d
du filet.
Si cette table est bomologable, c'est-àdire
si les
tables
vendues
conformes à
celle-là peuvent ôtrû homologuées pour y disputer des matches officiels, on enverra au commerçant, contre versement d'une
PiNQ.pONe
eomhiL' de 2C3 francs (deux cents francs), un brevet d'hoinobigabilitê, reproduisant le nom du type ei ta description de la
Des Arbitres
table. La table sera évideniment rendue au fabricnm, mais la notice et la cbute de bois seront conservées comme témoins.
Le commerçant devra, sur ses factures, garantir qiie la table livrée au client «st
conforiJie au type homologahle. Aoceesoircs. — .'Itucun droit n'est prévu actuetlemeiu pour les filets et les poteaux. Les coiliuierçants peuvent soumettre leur faltricalion nu siège de la Fédération, qui leur dira si leur.s produit.s sitnt ou non coiifm-nus au règlcnn'Ut.
Piiig-Poiîg-, au Tennis^ Le premier examen des candidats au ti tre de i( juge arbitré officiel du Comité de
dos-Verger, etc. Seul le point de départ
Mandé le jeudi 12 octobre.
change toutes les 5 halles.
Disons tout de suite que ce fut lamenta ble : six convoqués, deux nommés... Parfaitement! deux candidats parisiens seulement savaient dans quel ordre doivent
un ('iriuiger, neut être introduit avec un
double, et comment on fait un tableau quand on a l'engagement de onze joueurs classés. Précisons donc ces deux points : I " Nous supposons que le tirage au sort avantage l'équipe du Stade V'erger-Worth
étranger dans une équijte.
contre l'équipe du P. P. G. F. Szabados-
La ciui'.stion serti pn.<éc ati prochain Con seil, mais l'avis de M, Corbillnn est que --?e.s|)rit du règlement l'dait, non pti.s de met tre un élraiicer. iiiiiis de mel ire otiligaloiremcnl quiilre Frattenis au ininiinum, ce
qui em]iècberait rte- 'mettre dttUs Iti même équipe un étranger (d un joueur sans tiationatilé.
LîecncE'S. — Ainsi qu'il a été décidé pat le l'.mi.seil. un jouent- de pin.g-poiig peut avilir -deux licences, l'une pour un Club libre, l'autre pour un Club corporatif. 11 est bi^n évident qu'il ne peul pas avoir deux iicence.s jiour deux Clubs lil.ircs, ni' j.inur deux Clubs enrporatif.s.
.Afin d'éviter toute erreur à ce sujet, le secrélariai de la i'édératiou a fait itnprimcr
do.s ilceiieés « roses » tiui sont destinées aiLX Clubs eoi'porulifs el qui se di.stin,gueronl ainsi il .prernirre vue des licences bleues ordiunii-e.s.
Dotvc, un joueur peut avoir une licence bleue et une licenc:^ ru.se, mai.s il ne peut; avoir ni deux licences bleues ni deux licen ces roses.
Les Comités réginnaux'qui ont déjà formé des .groiipemeiils corproriitifs peuveni s'adre.sser au .sec.rétni'ial pour ohloair îles imprimes pour licences roses. Ces licences seront di.slribui'es rxa.-lemenl iVaiis les mè-
més formes et condilinns tpie lés licence.s ordinaires. NOUVELLES A
LA
AFFILIATIONS F.
F. T.
T.
P.P.C. Boiminoi.s. HiMcl Salomez, Bohain (Aisne). Cercle de Ping-Pong- de l'Aube, Café de
la Paix, rue Emile-Zoïa, ïrpye.s. Associalion, Sportive Troyet-Sainte-Savine, 4, rae de.s Quinze-Yingls, Troyos. Sl-ade Iliomois, Café du Commerce, Riom (Fuy-de-lJi'iine). Pant in P.P.C., 96, rue de Paris, PanLiu.
,
Panhard Atbiélique Club, 18, av. d'Ivry, Paris.
Vvc
Coq,
La Jeanne d'Arc, 89, rue du Grand-Fau bourg, Chartres. Union Amicale et Sportive des Galeries Modernes. 78. rue Nationale, Tours. Fool-lwll Club de Ceruay 1911, Restau
rant de.s Trois-Rois, Cernay (Haut-lUiin). i. P.P.C. de .N'cnilly, 29, avenue de Neuilly, ,Neuilly-sui -Seine. i'(.
:
Courcelles P.P.C., 116, rue de Courcelles,
Paris. Amicale Sporlive Universitaire, 8, rue StJeau, Sainl-Elienne. Il Le Tournoi », l(t, av-enue PrésidenlFaurc, Saint-Etieiïne. Scld-fa P.P.C.. Café Cinéma Selecta, 27,
place -Crdix-Rousse, iT.yon (Rhême). P.P.C. Roanntiis, Café des Négociants, 90, rue J.-.fanri'.'=, Roanne. Billard Cluti d'.Ainay, Café Pidion, 1, quai Maréchal-JolYre. Lyon. Association Sportive de Valentigney-
Benutici! '.section de Ping-Pong), Valenlignev (Doubv. P.P.C. Saint-Ponais, Café des Arts, SaintPons (Hcraull;.
2 partenaires fera ces services. Fort mal
éditées par le Syndicat et signées par moi, les 5 mots au début de chaque jeu ont sauté à la composition, page 16, § 3, 2® ligne, et la paire opposée décidera ensuite qui sera
le choix du côté, aussitôt Szabados et Fur-
le premier ce relanceur ».
man vont se placer du côté qu'ils préfèrent
Donc Verger peut, s'il le veut, prendre la halle et si Szabados préfère recevoir la halle de Verger plutôt que de Worth, il pourra se mettre C relanceur,si bien qu'au
Ceci fait.
B) L'équipe du Stade peut alors:
a) Prendre le premier service; ou b) Forcer l'équipe du P. P. C. F. à faire ce premier service; ou bien encore c) Elle peut dire à l'équipe du P. P. C. F. ; « A vous de choisir si vous voulez ou ne voulez pas faire le premier service. » Ce 3° cas (c) se présentera rarement, parce qu'en général une équipe sait ce qu'elle veut et ose faire son choix entre les
cours de ce 2° set, les échanges seront dans l'ordre : Verger - Szabados - Worth - Fur
man - Verger - Szabados, ce qui n'est plus du tout la même chose, comme vous pou vez le voir, qu'au 1" set.
Arrive le 3° set, de nouveau l'équipe du P. P. C. F. ayant changé de côté, doit ser vir la première, et ce sera à sa volonté, Sza bados ou Furman qui remplira ce rôle de premier. Et de même dans l'équipe du Stade, le capitaine pourra soit reprendre l'ordre du
du Stade qui vient de prendre la balle pour
sir cet ordre.
servir la première va être obligée de choisir
Et maintenant, supposons que nous ayons 2 sets partout. On va donc disputer
mière, choisir 1 ordre de ses serveurs, et c'est à l'autre, ensuite, de choisir l'ordre des relanceurs.
Vous voyez donc qu'il y a en général,
DÉliôtâParls:Et. lïiAUBÏ 80, Rue de Bondy, ee Tel.: Bot. 47-17
Xeilue
orficîelle
et obligatoire de ï*îiig-ï*oog s'adresser à
deux premiers cas. Ce choix a, en effet, une très grosse importance, et vous allez voir pourquoi. Supposons que l'équipe du Stade ne soit 1®'' set, soit conserver celui du 2 set. pas le tandem Verger-Worth qui connais Si c est Furman qui sert le premier. Ver sent bien leur affaire, mais une paire de ger pourra, comme au 1" set, si la formule lui a réussi, mettre Worth pour reprendre débutants et que ceux-ci étourdiment choi sissent le droit de faire le premier service! le 1" service, soit, s'il a changé d'avis, — Mais, me direz-vous, c'est toujours se placer soi-même pour être le relanainsi qu'on fait dans un simple : quand on a ceur. Même chose au 4® set. Le Stade s'étant l'avantage du tirage au sort, on laisse l'ad versaire choisir le côté et l'on prend le pre placé, l'équipe du P. P. C. F. à .son tmtf choisit l'ordre des échanges. Chacune des mier service ! ^— Attendez un moment! la jeune équipe 2 équipes a donc eu 2 fois le droit de choi
lequel de ses deux ioueurs servira le pre mier; cfùând ce choix sera jait, l'équipe adverse aura le droit de choisir qui des
iMilHMcaiif
29-31, rue st-Dizier liMICy- Tel.; 23 41»
les 5 premiers services désignera lequel des
heureusement, dans les règles de Pmg-Pong
et V'erger-Worth vont de l'autre côté.
Prix:10
Celui qui voudra, n'oubliez pas cela, fu turs arbitres, le règlement est formel : ci Au début de chaque set, la paire qui doit faire
L'équipe du Stade peut alors : A) Choisir le côté de la table ou laisser ce choix à l'équipe du P. P. C. F. Je suppose qu'elle laisse au P. P. C. F.
deux sera le premier relanceur et vous com prenez l'importance de cela. Si. par exemple le premier serveur a la Association Sportive de la Vacuum Oii réputation de faire des services très coupés ' GVj 46, rue de Courcellcs, Paris. u " P.P.C. de Goulommiers, Hôtel de Avilie, et que l'un des deux adversaires n'aime pas . Coulommiei's. cela, il laissera son camarade plus adroit É> Société Cannium, 1, boulevard Beaumar- sur des balles « tortillées » jouer le rôle de , chais, Pari.s, . f P.P.C. IVfolière, chez M. Marc Wassner, premier relanceur. 6, rue de Sfax, Paris. — Mais, direz-vous. l'équipe du Stade i ■ P.P..C. des Valléc.s, 136, rue des Monlsvoyant comment se placent ses adversaires, Ciairs, Colombes. ^ Excelsior P.P.C., 2, riie Feray. Gorbeil. va pouvoir changer d'avis et faire servir ce ,. r-> Raincy Villemomble P.P.C., 4, ailée Sau- lui qui ne s'y destinait pas. tier, 'Villemomble. — D'accord, mais l'équipe du F^.P.C.F. Electric's P.P.C., i l, avenue de Paris, aura elle aussi le droit de changer d'avis, Niort. i''~ Amicale du Ping-Pong de Soisv, 13, ri.vc car le règlement est formel : c'est l'équipe Ga'dgnani. Soi.sy-sous-Etiolles (S.-el(-0.). qui fait le premier service qui doit, la pre P.P.C. Confolentais, Maison
Et le set se termine; qu'importe le score. A ce moment, changement de côté. Le service, lui, reste du même côté, c'est donc à l'équipe du Stade de faire le pre mier service, mais lequel des deux stadistes servira le premier ?
Furman.
Club Sportif Standard, 88, avenue des Cbamps-Elysées, Paris. n Les Cadets », place Pélissière, Bergerac.
place de la Fontorse, Confolens (Charente).
des échanges sera toujours le même : Sza bados - Verger - Furman - Worth - Szaha-
Paris » a eu lieu dans la salle de Saint-
servir les joueurs au cours d'un match de Quafiffcation. — Le règlement dit qu'un seul eiranger peut être introduit dans une équipe pour le Cliatiipiannal de l^rance. Vous pourre/, donc en conclure qu'un joueur san.s liatinntililé n'i'ltml p;i< par là mémo
Pour s'entraîner au
Henri ARI\AUD FoHrni.s.«ieiir agréé par la F-F.T. T.
Chemisette gris-argent En coton ;
l^.^O
et ÎSO Tes
En laine :
frs
et
39 frs
En soie :
le 5° set.
C'est au tour de l'équipe du P. P. C. F. de servir la première et c'est donc à l'équipe du Stade d'avoir pour la 3° fois l'avintage de disposer ces 2 hommes de la façon qui lui paraît la plus avantageuse. C'est pour quoi, quand l'une des 2 équipes aura mar qué 10 points et qu'on changera de côté, à ce moment, l'équipe Szabados-Furman pour ra imposer à ses adversaires de changer de place : si le 5° set a commencé dans l'ordre Szabados-Verger-Furman-Worth, je suppose qu'on fait le changement sur le score 10-7, c'est donc Furman qui est en train de ser
^9 frs
Pantalon
de flanelle gris 33ÎP8,39lF8,':y9ÎF8,îOOIr8
vir sur Worth et a encore 3 balles à servir,
IL PEUT exiger de les servir sur Verger et jusqu'à la fin du match, l'ordre sera donc Furman - Verger - Szabados - Worth - Fur man - Verger. Mais j'ai bien dit : IL PEUT exiger, il n'y est pas obligé, il a le droit, et son équipe seule d'ailleurs a ce droit, l'équipe adverse ne l'a pas, puisqu'elle-même a choisi au dé
avantage à ne pas servir eri premier.
but du S® set.
Et revenant à mon match Verger-Worth contre Szabados-Furman, je dis que VergerWorth ayant été avantagés par le tirage au
Est-ce bien clair ainsi, tout le monde a-t-il compris ? Alors espérons qu'au prochain examen,
sort, laissent les adversaires choisir le côté
nous recevrons 10 candidats sur 10.
et, ayant le choix du service, obligent l'équipe du P. P. C. F. à servir la pre
M. CORBILLON;
Envois
dans toute la France Remise
aux clubs
et à leurs membres
Heorl mm
mière.
Ainsi donc Szabados, par exemple, va prendre la halle, et Verger va se placer pour la renvoyer le premier sur Furman qui la renverra à Worth, etc.
Quand Szabados aura fait ainsi î ser vices, ce sera au tour de Verger de servir sur Furman, puis après 5 services encore à Furman, de servir sur Worth, etc., etc...
Vous voyez que pendant tout ce set, l'ordre
49, rue Richer, Paris-IX® ARTHUS BERTRAND I AiîiacAx r
miK
r»E ni::Mi\i-:s,
Tél. Litti-é "'"l'i-TS-ai 01-1/
.Arborciera-Paris
T
.AI F l> AILLE s ET PEAQUETTES INSIGNES, ISISEEOQliES, COUPES
OKDIU S T'l{ANCAiS\A: ETUaN'GEIîS
Le Gérant : R. DUBILLOT.
Imp. M. BOIVENT,
126, Av. Fontainebleau, Kr..Bicêtr»
PfNQ'PONQ
Le jj'iiide de l'oreanisaleiir de tournois La question des championnats ou des tournois disputés « en poule » pose un pro
Clmimpioniiikt
4 contre 5 table A. 1 contre 3 table B. 2 contre 4 table A.
blème qui est rarement bien résolu, c'est celui de u l'ordre des rencontres ».
Article premier. — I.a Fédéralion Fran çaise cii; Tennis de Table admet les clubs corporaLiFs dont les mombre.s actifs répon dent à la déri'.iition du i< Corporalif » et .sont
5 contre 1 table B. 3 contre 4 table A. 5 contre 2 table B.
Dans le dernier numéro de Ping-Pong, nous avons examiné le cas de 5 joueurs: Du
rand, Lemoine, Valéry, Hispa et Lévêque,
ronstilués comme il est dil à rarlicle 3 du
présent Statut.
Vous pouvez jouer sur 2 tables sans in convénient et si vous jouez sur une seule
jouant tous les uns contre les autres, soit
10 matches mais nous n'avons pas dit dans
table les joueurs quels qu'ils soient ne dis
quel ordre se disputeront ces 10 rencontres.
putent pas 2 rencontres de suite.
Vous ne pouvez demander à Durand, par
Arrivons au cas de 6 qualifiés, nous allons
exemple, de rencontrer successivement Le
moine, Valéry, Hispa et Lévêque, Il faut 1 3 5
lui assurer un repos. 11 faut établir un pro
2 4 6 5 1 4
Voici la suite des rencontres : contre z table A. table B.
table A. table B
table A. table B.
Vous pouvez donc utiliser 2 tables à la îois, mais alors les joueurs n'ont plus de
sczi, usine, adminislralion ou. d'un corps de
contre
niiHicr.
3 table A. 5 table B. 1 table C.
iLc.s corporallon.s ne pouvant réunir dans une même maiso'n un nombre suffi-sant d'é
léments pour constituer une équijin sont autori.sécs à se grouper par corps de métier et dcvrout. porter dans leim litre la nature de leur corporation.
contre contre
contre
2 table A. 3 table B. 6 table C.,
Art. 4. — Adhésion. — Toute société qui désire s'affilier doit, .si elle remplit les con ditions exigées par la qualification « corpo rative formuler sa demande sur l'imprimé
1 table A. 4 table B. 6 table C.
réglementaire dd la Fédération, en indiiiuant très exactement les ren.seignemrs.ils demandi's. La demande implique le respect de.s
règles de ramaleurisme et l'adhésiou pleine el entière aux Statuts de la F. F. T. T. ainsi
1 table A. 2 table B. 5 .table C.
qu'au Comité de Paris. Cette demande doit être adressée- au siège de la Fédération, 3-i, rue Marbeuf, à Paris.
Nous pouvons évidemment ne jouer que sur 2 tables et si nous n'avons qu'une table,
La Fédération garde un exemplaire et tran.smnt l'autre à la Commi.ssion corpora
remarquons encore qu'aucun joueur ne dis pute 2 matches consécutifs.
ses an Conseil. Nul ne peut faire partie d'un club corporatif s'il n'o.st amateur suivant la
2 G. 3 1—4 5—7
3 c. 4 2— 5 6—1
5 c. 6 4—7 1 — 3
6 c. 7 5— 1 2— 4 sur 3, ou 2, ou 1 table.
exemple, ne se présente pas, il vous suffit de rayer les matches où devait figurer 4,
Pour»'huit joueurs ce 1 c. 2 3—4 5—6
.1 contre 2, 2 contre 3 et 3 contre 1. Passons au cas de 5 joueurs. table table table table
contre
l c. 2 7—3 4_6
Remarquons aussi que le programme étant établi, si l'un des joueurs, le numéro 4, par
retrouvons exactement l'ordre Indiqué précé
7—8
4 G. 5 3—6 7—2
2 c. 3 4— 5 6— 7 8—. 1
7 6 3
c.
—
1 2 5
--
sera
2 c. 4 3—5 6— 8
4 c. 6 5— 7 8— 2 1 — 4
7— 1
puis: 2 c. 6— 4— 8—
A. B. A. B.
5 1 7 3
1 c. 5— 3— 7—
4 8 6 2
! 2 3 4
c. —
—
5 6 7 8
«5, rue Richer, Paris ; voMS' offre ses tables de qualité. Deinandor tarif avec conditions spéciales.
3'c. 4 2—5 6—1
4 c. 5 3—6 7—2
5_ 7
6— 8
7— 9
8—1
5_6
6—7
7—8
8—9
4_ 7
5— 8
6— 9
7 — i.
8—3
9—4
1—5
2—6
9—2
]_3 . 2 — 4
3—5
sur 1, ou 2, ou 3, ou 4 tables maximum.
Dépêchons-nous d'ajouter que les succes sions que nous venons de donner ne sont pas les seules possible, loin de là, j'ai sim plement donné pour chaque cas une solution satisfaisante. Ce n'est pas ici le lieu pour étudier le problème mathématique et en
BRELC QUES INSIGNES
COUPES ET STATUETTES POUR SOCIETES
pour tout équipier j^articipant aux épreu ves offîcieUcs-réservécs aux clubs corpora tifs.
Ces licences sont sujettes aux mêmes rè glements et formules que les licences ordi naires.
Art. 6. — Un joueur licencié pour un club corporatif peut,être en même temps licen cié pour un autre club libre de la F. F. T. T. et réciproquement. Art. 7. —■ Lai licence corporative donne le droit lie parLiciper aux épreuves officielles corporatives organisées par la F. F. T. T. ou ses ligues. Art. 8. — Le sport corporatif est admini.stré à la F. F. T. T. par une CommissicM centrale corporative nommée par le Bureau. Art. 1). —iLa Commis.sion centrale corpo rative organise chaque année un champion nat. corporalif, des coupes et des cballen-
Art. 11. ■— Chaque société devra mettre au moins une table à la disposition de la Commission pour tous les challenges et ctiampionnats organisés sous ces règlements Art. 12. — iLa mutation d'un joueur cor poratif quittant son club (pour un cas .jus tifié) no pourra être obtenue pour un autre club corporatif qu'après un mois de délai. Le joueur devra en avertir la C. C. C. : la mulatioii comptera du jour de cet avec I issemimt.
Rou.s réserve de ce qui précède ie.s règiemnnt.s généraux de la Fédération sont applicabin.5 aux clubs coronratiL^.
ces tableaux, ils vous seront utiles un jour ou l'autre, ainsi, vous ne serez pas obligés
FABRIC.'^NT-EDITEUR
Archives 37-21
ce jour-là de m'écrire... m moi de vous répondre sur ce sujet fastidieux.
sur demande
sous le contrfile de la b'. F. T. T. cl est ou-
\'ert à loua les clubs corporat ifs ai'liliés à la Fédéral ion.
T.es sociélés engagées peuvent présenter dans leurs équipes des joueur,s étrangers et féminins.
Chaque société peut engager jilusieurs équipes, cliaque équipe compi'enanl quatre
joueurs et un remplaçant ; tout joueur ayant opéré dau.a une équipe e.at qualifié jiour celle-ci. et en aucun cas, il ne pourra chan ger d'équipe. Art. 3. — Les droits d'en.aagement, -sont
fixés à. 10 franrs par équipe"^ ; "les sociélés devront être à jour'de leur cotisalion fédé rale.
La Commission centrale des Corporations, sous |p couvert de la .F. F. T. T., a toujours le droit do refuser l'inscription d'un ohib. Ai'f. L — Les matches de championnat commenceront à partir du mardi 7 novem bre en soirée à 21 heures ; un délai do 15
minutes' .sera accordé aux joueurs avant d'èlrc scralchép.
T.a victoire sera acquise au meilleur des 16 matclips.
if.e.s sociétés engagées devront mettre à
la disposition de la Commission corporative une table de match réglementaire. La tenue des joueurs devra être confor
me à pelle adoptée par la F. F. T. T. Art. 5. — En cas d'une modlficalioin quel conque pour l'heure de la rencontre, l'arbi trage. etc.. les deux .sociétés devront se metIre d'accord et en aviser
-la
Commission
quarantn-buil. heures avani le match. En cas d'impossibi!il,é d'accord les sociédés in
téressées devront se présenter le luindi de vant la Commission corporative qui tran chera le différend.
Art. 6. — Un .ju.ge arbitre sera désigné pour chaque match qui devra exiger la présentaliou des licence;?, en rèele. de tou.s les
joueurs avant chaque match. Il devra lo certifier sur la feuille de match.
En cas de non présentation de licence, lo
joueur sera pénalisé d'une amende de deux francs, que le juge arbitre perrevra immé diatement et qtii sera vergée à la Coininis-
sion corporative : en ca.s de naiteslatioii.. le joueiii' iiourrn être convoqué jiar la Com mission de.s RègJpmenl.s. .Art. 7. — Pour cparpie renctv.itre la so
ciété qui reçoit remeltra In fouille de match au juge arbitre à son arrivée ;
après
la
la Fédération, 3-i, rue Martieuf. par la so ciété recevant, dans un dé'ai de quarante-Art. 8. -— Toute l'éclamafion devra être
confirmée par lettre recommandée, dans un
délai -de vingt,-quatre heures, accompagnée de la sonuue de dix francs qui sera rem- ■ boursée si la réclamation se Trouve fondée. Art. 9. — En cas de forfait, tardif, le club
défaillant qui n'aura prévenu la Commis sion, dans le délai de quarante-tuiit heures,
aura matcTi perdu et devra rembourser les
frais engagés évalués forfaitairement à la somme do dix francs ; au troisième forfait
le forfait général sera pronirncé. Art. tO. — Le championnat corporatif de tennis de lable se jouera entre les clubs en gagés ; le.s rencontres auront lieu en poule au meilleur des 16 simples de 3 sets. Art. 11. — Tous les cas non prévus au présont règlement, .seront solutionnés par la Commission des Pièulements de la F. F. T. T.
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ili.spnteca jionr la sai,son itl33-193.'i par équipes de -i joueurs. Art. 2. — Le championnat est organisé
On
épuiser la matière en donnant toutes les so lutions possibles... ou la façon de les trouPour le cas qui nous occupe, je crois suf fisant ce que je vous ai donné.,., mais gardez
Article premier. — La Cciimnission cenrale des r,orporations oiganise. aimuellernent un cluunpionnat de ieniiis de lable. qui se
huit heures.
ges.
tous le.s tournois officiels. -
2 c, 3 1—4 5—9
PLAQUETTES
.Art. 5. — La licence corporative, diïïércnte des licences ordinaires, est exigible
voici :
I c. 2 9_3 4— &
MEDAILLES
définition de la F. F. T. T.
qui représente déjà 36 rencontres; elles se succéderont par exemple dans l'ordre que
Enfin finissons par le cas de 9 joueurs, ce Le Ping-Pon^' est en sport
tive. Le.s demandes d'adhésion .sont .soumi
Le. championnat annuel corporatif sera ouvert à tous les clubs corporatifs affiliés à la F. F. T. T. suivant la formule présenléc-par la C.C.G. et adoplée par la F.F.T.T. .Art. tO. —H.a tenue réglementaire impo•sée par la F. F. T. T. sera obligatoire dan.s
sur 4 tables si vous voulez ou sur moins.
Le spécialiste HENRI ARNAUD
à uii corps do métier .groupé dans letiuel a
dans son litre la raisoit sociale d'une mai-
puis ;
demment pour une poule de 3, c'est-à-dire
maison, à l'usine ou ii radmini.«lration, ou
Art. 3. — l^oiir être coirsidérée société
pour 7 joueurs,
A 21 h. 30 les deux suivants. A 22 heures les deux derniers.
c'est-à-dire le 2', le 4' et le 6', et nous
sociétés .sportives formées dans une maison de commerce, usine pu administration ; nul ne peut y participer .s'il n'appartie'.U à la
corporative, ladite. .société devra prendre
Et voici l'ordre que vous pourrez adopter
repos.
2 5 I 3
contre
5 contre 2 contre 3 contre et enfin : 4 contre 6 contre 3 contre
tiré l'ordre L..2.'3./4,
contre contre contre contre
contre
2 table A. 4 table B. 6 table A.
puis
ça évitera les réclamations : faites toujours iirer au sort les places dans une poule. Arrivons au cas de 4 joueurs, ils ont
1 3 4 2
contre
puis
de suite, tandis que 1 se repose après son premier match pendant que 2 et 3 jouent. Vous voyez que la seule solution possi ble n'est pas équitable. Donc, notez ceci,
Mais vous pouvez prévoir votre horaire d'une façon précise, par exemple; A 21 heures les deux premiers matches,
contre
puis
i contre 2, puis 2 contre 3, enfin 3 con tre 1. Ainsi 2 et 1 disputent 2 rencontres
4 3 1 1 2
An. 2. — iTjes épreuves cprjioratives sont, exclusivement réservées aux membres des
été formée la société.
gramme qui laisse autant que possible des repos égaux aux différents compétiteurs. S il n'y a que 3 joueurs, c'est très simple.
contre contre contre contre contre
CHEZ LES COm>Olt/iTIFS
REIM
- ^3
PING PONG
Revue de la Presse Dms 'le nouri iiii quotidien de M. Léon
« Aclueliement le.s sports — du moins
Bailliy. Le Jour, 'où. la page ^-poeliee est
certains d'entri' eux et dans des circonstan ces déterminées — .«ont des industries et
dirigée par un grand spiurtif en même temps qu'un des meilleurs érrirains d'aujourM'Iiui. M. Jean. Prérosi, roiei une enquête d'actualité: AMATEURISME ? PROFESSIONNALISME ? OU SI.MPLEMENT : SPORT?
Le sport est roi, mais sou royaume c.st divisé, car deux partis s'y disputent le pou voir.
L'un d'eux, celui qui mstalla fortement la dynastie sur le trône rénové d'Olympie,
prop'osa à la fin du siècle dernier à notre jeunesse alors cloîtrée et immobilisée un idéal de vie au grand air et de mouvemenl. Cet idéal était celui de la jeunesse brltan-
personne ne croit plus à ramateunsme réel, d'ailleurs impossible, de certains granits champions, « En outre, vous admettez qu'un artiste
me ? Jacquelin naguère ne fut-il pas le plus grand vulgarisateur du vélo ? Il est mort pauvre — en cigale — mais son nom reste
dans l'histoire mondiale du
cyclisme et,
physique l'indice certain d'une régénération de" l'individu et l'instrument de notre re
Voilà quelques-uns des arguments que
son histoire.
nal olympique q.ue préside maintenant le comte "de Baillel-iLatour. En maints endroits la formule du sport pour le sport, la for mule du sport qui est un plaisir coûteux et ne doit rien rapporter a été battue en brèche. Certaines fédérations françaises :
celles du ryclisme, de la boxe, dui football
notamment," ont, depuis plus nu moins long
Faut-il que, rcconTiaissant « ipso facto » le sport professionnel, les fédérations ama teurs en assurent, le contrôle ? Faut-il môme renoncer à la distinction entre ama
teurs et professionnels quand il s'agit de Nous posons cettd question à tous ceux, dirigeants, sportsmen, sportifs d'hier et d'aujourd'hui qui voudront bien nous dire franchement leur opinion, *
•
*
Voici l'execlIcHte réponse du colonel Jean Petavij {administrateur délégué de la So ciété française des pneumatiques Dunlop) : De quoi s'agit-ll? comme disait le maré chal Foch, D'abord, de définir l'amateur. L'amateur est le sportif qui assume in
çaise de boxe demande aujourd'hui de sui
tégralement tous
vre son exemple et le président de cette même fédération, précipitant une évolution qu'il juge inéluctable, propose de mettre immédiatement à bas, dans le cas de la re
l'exercice d'un sport et qui a fortiori ne
reçoit aucun prix en argent dans les com pétitions auxquelles il prend part, Pouvez-
teurs.
« Le sport est un jeu » Que di.sent les uns ?
«■ Le sport pour nous est essentiellement un jeu. Notre but est de former une jeu nesse saine, physiquement et moralement, de cultiver les corps des adolescents des deux sexes, d'élever leurs esprits et leurs cœurs en leur proposant un idéal d'humanité for te, généreuse, équilibrée. Le sport, sous ses
aspects les plus divers, est un des moyens que l'éducateur averti utilisera pour former
plus aisément .ses disciples. Le sport est un idéal cpû no doit pas distraire l'enfant, l'adolescent du travail qui demeure la
grande loi humaine, « Ceux qui, pour satisfaire leurs ambi lions ou leurs appétits sont les fourpiers des « carrières » sportives portent une res
ponsabilité écrasante. « Pour quelques grands champions qui font fortune — ce qui ne les préserve pas, trop souvonl, de la déchéance finale — com bien gagnent moins dans l'exercice éphé mère de leur métier de professionnel du
sport qu'ils ne gagneraient .s'ils éfàient res tés sagement à l'établi, au comptoir, au bu reau ! La forme s'en va vite et, avec elle
les occasions qu'offre la fortune. Et alors compient se remettre au travail terrible ment monotone et quotidien ? « .Et pui.s, pour l'amateur, le sport c'est
la jdie ; môme dans la compétition la plus durCjj parce que, précisément, l'enjeu n'est qu'um.f'tre ou une médaille de quatre sou.s.
Si l'aident s'en mêle, — l'argent qui pour
rit (out. ce qu'il touche, — adieu l'effort total dé.sintéres.sé et joyeux, la franche ca maraderie qui liera bientôt les adversaires d'une heure. Adieu, peut-être, la sincérité, même dan.s la compétition, car l'exhibition professionnelle, c'est le cachet qu'on gagne. Le cœur n'y e.=t pas, « Le sport professionnel conduit à l'abî me une très grande et très noble idée. S'ils avaient le juste sentiment de.s désordres sociaux qu'ils vont créer en tolérant le sport professionnel, pouvoiirs publics et fédéra tions en arrêteraient net l'essor. »
« Le sport amateur c'est une industrie »
Que répondent les évolutionnistes ? « Le .sport pour le sport, c'est très bien mais c'e.st vieux jeu. Nous aussi nous ai mons le .sport, nous connai.ssons sa valeur
les
frais
qu'entraîne
vous trouver une autre définition?
Si vous admettez qu'un amateur puisse, dans certains cas, accepter le rembourse ment des dépenses qu'il engage pour jouer, il devient impossible de délimiter l'ama teur du professionnel. Ayons le courage de le reconnaître : la plus grande partie des amateurs ne ré pond pas à cette définition. Le rugbyman qui se fait payer son équi pement par son club, le tennisman qui, convoqué dans un tournoi, paye sa pension 10 francs par jour dans un grand palace, ne sont pas des amatèurs au sens strict du mot, pas lilus que le champion, employé dans une grande firme, qui passe les trois quarts de son temps sur les terrains de jeux, parce que donner du temps c'est aussi donner de l'argent. Les seuls amateurs vrais sont les petits sportifs qui appartiennent à des clubs pau vres, ou les gens riches qui disposent de tout leur temps. Ceci dit, je ne vois aucun inconvénient à abolir une fojs pour toutes cette distinction. A mon sens, il n'y a ni amateurs, ni pro fessionnels; il y a des gens qui pratiquent un sport.
Qu'ils le pratiquent en payant tout ou partie de leurs dépenses, ou même pour en tirer un bénéfice, cela n'a pas beaucoup plus d'importance que pour l'homme doué d'une belle voix qui, suivant son état de fortune, chante gratuitement, ou en se fai sant payer son déplacement, ou en tou chant un cachet.
Ce qui a de l'importance, c'est la sincé rité du sport. Rassemblez tous les sportifs
sport sa dignité et sa haute valeur morale, rnalgré les subventions et les prix en ar gent. Cette franchise vaudrait cent fois mieux
que l'équivoque actuelle. Un homme jeune, bien doué pour un sport, ne peut pas le pratiquer s'il est peu fortuné. Il faut nécessairement l'aider d'une façon ou
Pourquoi ne pas le faire ouvertement?
Coupe Dunlop Coupe « Dunlop ».
« Le .sport amateur a perdu beaucoup de son panache le jour où il a mis de.s tourni
quets à la i)ortè de .se.s stade.s. Il s'e.st corn-
Cette épreuve se dispute sous la forme de la Coupe Davis (4 matches de simple, un match de double), les équipes étant op posées entre elle.s comme pour la Coupe do
promis en la personne des mauvai.s bergers
France de football, s'éliminant directement
/du sport vient du sport dit amateur.
Rubber C. CONDITIONS DU CONCOURS
1° Le concours « Leyland » est ouvert à tous. 2° Chaque concurrent pourra proposer cinq noms différents au
maximum. Ces noms devront être le plus court possible — 2 ou 3 syl labes, par exemple — ils dévront avoir une consonnance euphonique, être de bel aspect, publicitaires en im mot. Ils devront si possible évo quer la constitution de l'article à dénommer. 3° Pour départager les concurrents qui enverraient les mêmes ré ponses, tous les participants du concours sont invités à envoyer un ou
plusieurs « slogans » (qui pourront contenir l'un des noms suggérés) et qui servira de devise au tissu à pastille de la S. E. A. C. I. Un slogan est une formule à l'emporte-pièce qui frappe l'imagi nation et qui évoque les qualités du produit. Par exemple : « Le crayon Caran-d'Ache a bonne mine ». — « Globe, l'âme du citron ». « Palmolive : talisman de beauté ».
4° Les réponses à ce concours devront être adressées à la S.E.A.C.I. 36, rue de Lahorde, Paris, et l'enveloppe portera la mention : « Con cours Leyland » en haut et à gauche. 5° Ouverture et clôture du concours : Le concours commencera
le 20 novembre et sera clos le 15 décembre 1933. Seules seront admises
au concours les lettres portant une date postale comprise entre le 20 no vembre et le 15 décembre inclus. 6° Prix :
1" prix .. 2° prix 3° prix . 4', 5° et 6' prix
jusqu'à ta fi nale, qui donne le vainqueur, détenteur pendant un an de la Coupe offerte par M. Pétavy.
•
500 fr. en espèces 250 — 100 — 50 —
Soit au total ; 1.000 francs.
Les résultats de ce concours paraîtront dans ce journal le 20 dé cembre 1933.
Tous les noms et slogans primés deviendront la propriété de la S. E. A. C. I.
CONSTITUTION DU JURY
d'une autre.
rôsperfahlés certes, mais dont notre époque
qui ont créé et entretenu l'amateurisme marron. L'exemple de la commeinialisation
La S. E. A. C. L, organisation de vente de la Leyland et Birmin gham Rubber C°, la plus importante manufacture du monde de tissus à pastilles pour palettes de pmg-pong, organise un concours. Tous les lecteurs de la Revue du Tennis et du Pinff-Pong, du journal Ping-Pong et de la Revue des Articles de Sport, savent évidem ment que le tissu à pastilles en caoutchouc est utilisé pour recouvrir les raquettes de ping-pong. La S. E- A. C. L, créatrice; du tissu Leyland, désire trouver un nom particulier pour définir plus exactement les qualités de ce fameux tissu, le nom de « Leyland » étant un nom général désignant tous les articles de caoutchouc manufacturés par la Leyland et Birmingham
ment les compétitions et vous assurerez au
Il est rappelé à tous les clubs de pingpong de France qu'ils peuvent dès mainte nant envoyer leurs engagements pour la
ne peut plus s'accommoder.
Concours "LEYLA]\D
dans une même catégorie, mais assurez avec la plus grande sévérité la régularité des épreuves. Pourchasse î les « combines », exigez le « fair nlay », surveillez étroite
nir le sport amateur. Seulement nous refiison.s de demeurer esclaves de formules,
éducative, et nous sommes prêts à soute
Renseignements dans tous les magasins d'articles de sport
la représentation nationale ?
temps, reconnu le professionnalisme, A celles qui hésitent tou,jours à tenir compte du sport commercialisé, la fédération fran
présentation nationale, ces barrières qui sé parent encore les professionnels et les ama
LA TABLE DE MATCH
les défenseurs de l'une ou de l'autre thèse pourront utiliser.
enthousia.stes des rénovateurs du cuite au
Cette doctrine a subi de nombreux as sauts au sein même du comité internatio
:
*
Nous ouvrons cette enquête au moment où le sport français est à un tournant de
L'amateurisme intégral Quelle était la doctrine du baron Pierre de Coubertin ? Celle qui s'exprime dans une formule : « l'amateurisme intégral »,
mODEUE
*-
*
mitu'e pierre de rédiflce du sport moderne, il matérialisa les aspirations confuses mai.s quel l'Hellade avait tant sacrifié.
SEUL
pentier et pas ceux d'un Chariot? Est-ce qu'un Nurmî ou, un Ladoumègue ne sont pas de la publicité vivants pour l'athlétis
cette tentative de résurrection de l'activité
dressement national. Aussi quand, en 1894, le baron Pierre de Coubertin posa la pre-
Type homologué par la P. F. T. T.
tire profit des dons que lui donné la nature, et vous n'admettriez pas qu'un attilète eu fît autant ? Pourquoi ? Au nom do quelle morale condamnez-vous les gains d'un Car-
grâce à son exemple, combien de jeunes getns ont fait du sport I »
«ique. L'élite française vit aussitôt dans
TABLE " BOURQUIA-SIX
Le jury est composé de :
^
MM. l'Administrateur délégué et le Directeur général de la S. EA. C. I.
M. J.-B. Lefèvre, Secrétaire Général de VU.N.T.E.L.
M. Raymond Bigot, Directeur de la Revue des Articles de Sports.
M. Constant Bourquin, Directeur du journal Ping-Pong.
M. Jacques Quiry, Directeur de la Revue du Tennis et du PingPong.
, ^_
.,
Il est entendu que le personnel de la S.E.A.C.I. et des journaux
mentionnés ci-dessus ne pourra prendre part au concours.