Numéro 20 - 1933 by Besset Jérôme

NUMÉRO SPÉCIAL DES CHAMPIONNATS DU MONDE DEUXIEME AXXEE — N° 20.

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IMllX ; UX FKAXC

DU 20 XOVEiMORE S AU ilÉCE.MBRE irîSi

les Équipes de Fraiiee: COUPE SWAYTIILIIVG M Ichel Haj^ucnaucr.Uauîel

Giiérîn, Raymond Verjçcr, Charles Unbouillé et Henri Bolelli.

COUPE Meiies.

JOURNAL ILLUSTRE PARAISSANT LE 5 ET LE 20 DE CHAQUE MOIS

DES DAMES Yvonne

Fayard,

Organe officiel de la Fédéralion Inlernalionale de Tennis de Table

Mai-jf^uerlte de Tenaud, ïugendhat et Ravigneaux

Mensuel en Juin, Juillet et Août. — Directeur: CONSÏAÎVT BOURQCIIV 3-^, rué MnebeuFTél.j Abonnement: un an, 20 Trs R. C. Seine sriSS-^l I ri-ici-o lie llbellei- tous nianilals et i-lièciiies iiu .nom île M. Ciiiistnnt ttOCRQUIIV

PARLONS DONC DU PROFESSIONNALISME Depuis que l'éminent, autant que sym pathique, président de la F. I. T. T., M. Montagu, a mis la question de l'ama teurisme et du professionnalisme à l'ordre du jour de notre congrès annuel, on parle beaucoup des amateurs et des professionnels de notre sport. On en parle à tort et à tra vers, On en parle beaucoup trop. Je n'y verrais, quant à moi, nul incon vénient si tant de bruit soudain correspon dait à un effort pour mettre de la clarté et de la bonne foi dans une question très con troversée et qui se pose à l'esprit des di rigeants de tous les sports. Malheureusement, il faut constater trop souvent que le goût de la sincérité n'a rien à voir avec les motifs qui animent nos mo ralistes. Certains poussent au professionna lisme dans l'espoir de tirer un avantage du nouvel état de fait, certains pensent surtout à am.oindrir des clubs réputés trop forts. La plupart en.fin ne songent qu'à avantager ou à amoindrir autrui en optant, soit pour, soit contre ce qu'on ose appeler aujourd'hui l'amateurisme. Vaines querelles où le dé

sintéressement et la moralité entrent pour peu de chose.

J'aime l'amateurisme pur plus que qui conque, à condition que ce soit l'amateurismé intégral, tel que les gentlemen d'ou tre-Manche le conçurent il ,v a trente ans. Je pousse ce goût de l'acte gratuit jusqu'à mépriser un peu dans mon for le médecin

SET ET MATCH

qui vend sa science, l'avocat qui' tiré de l'argent de ses conseils ou de son lyrisme, l'écrivain nui trafique de ses rêyes. l'ai merais donc très particulièrement le sportif pour qui le jeu ne serait vraiment qu'un délassement et qui ne lui procurerait aucun avantage, fût-il indirect, ni aucune satisfac tion de vanité.

Cet amateurisme-là a peu de pratiquants et je doute fort s'il peut trouver des défen seurs vraiment convaincus.

Mais l'amateurisme tel qu'il se pratique à la grande satisfaction de nos moralistes est une abominable tartuferie. Que penser de cette pléiade de joueurs auxquels une grande entreprise fournit des loisirs riche

ment rétribués ? Que penser de ces grands clubs omni-sports qui font remise aux bons joueurs de leur cotisation et qui même éten dent au profit de certains- cette générosité à d'autres sports comme celui, si coûteux à pratiquer, par exemple, du lawn-tennis ? Que pen«er des clubs qui fournissent un équipement gratuit à leurs bons joueurs et à ceux-là seuls ? Que penser du gagnant d'un tournoi récent qui empoche un bpn de 300 francs à prendre en marchandises ? Que penser du joueur qui touche des frais de dé placement et qui se fait héberger aux frais de l'organisateur du tournoi dont il assure la recette ?.

CONSTANT BOUROUIN.

La balle au bond L'EQUIPE DE FR.àNCE Notre confrère Pierre About est nommé capitaine de l'équipe de France. Nous le fé licitons et nous souhaitons bonne chance à

ses poulains. ' ' ' ' Sans' doute est-il trop tard pour revenir

sur les conceptions ahurissànles qui ont présidé ■ au choix des sélectionneurs: jeu constructif, jeu latin, etc. La France n'a pas à faire cles démonstrations de style aux jouetirs des autres pays. Elle doit marquer des points. Si la France se classe mal dans la coupe Stvaythling, on iie dira pàs; les

d'un

tp*. fa.

AtnNoLi

core de l'ambition. On le voit s'entraîner

chaque jour pendant pilusieurs heures avec ses camarades de l'Opéra. Bientôt il ga gnera ses matches. Amateurisme

Un grand joueur de tennis anglais, grand champion aussi de notre sport, jouait en double au ping-pong avec un profession nel dé cricket. Cette paire fameuse fut même, finaliste d'un championnat du Le camarade profesionnel aime à faire remarquer les avantages de l'amateu

'■Et c'est bien pourquoi tous ceux qui fon daient Un espoir sérieux sur les perfortndnces dés nôtres ont quelques appréhensions, encore qu'ils ' veuillent ' espérer quand même.

Nos espoirs reposent ' sur trois joueurs : Haguenauer, Guérin et Nerge'r. Les deUx autresf Dubouillé et Bolelli sont S'acHfiés d'avancé.

Nous pouvions avoir Une équipe de cinq jouéitrs. Nous n'avons qii'Une équipé de trois pour gagner. Oui, niais nous aurons du jeu- latin, du jeu constructif...

jpai*

■

risme :

—- Aôh ! Fred, vouë gagnez dix fois

plus comme amateur que moi comme pro fessionnel...

' Et dire que ce sont nos amis anglais qui -ont inventé l'amateurisme!' Actualités

Enfin, le cinéma ne se fait pas prier. Dimanche,, deuxième jour, des épreuves de la Coupe Swaythling, Fox-Moofetone, Paramount et Eclair-Journal filmeront quel ques rnatches des championnats du monde. L année dernière, l'une de ces firmes

Le Juge-Arbitre.

riLûub 0^ ^ .

catégorie des vétérans, Raoul Guérin n -en

inonde;

I%îèopliyte,

(Lova, U4 iMu ?

fervent joueur de ping-pong. Bien qu'il appartienne de droit à la

pas fait de progrès. .

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Notre collaborateur et ami, Raoul Gué rin, l'illustre dessinateur humoriste, est un

Français ont Un joli jeu; on dira ; ils ù'ont

{Lire la salie page 3).

Imppesgions

Une recrue de choix

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PiNG-PONQ

avait demandé 25.000 francs pour filmer les championnats de France.

Le ping-pong est devenu un grand gar-

6. France, 7. Roumanie, 8. Angleterre, 9. Pologne, 10. Indes, II. Belgique, 12. Suisse. 13. Hollande.

Haguenauer : 1. Hongrie, 2. Tchécoslo

ton.

Suint-Nicolas

Le 6 décembre est le jour de la Saint

Nicolas. C'est aussi le jour de repos entre les^ ^euves par équipes et les épreuves in dividuelles

Szabados, qui se prénomme Nicolas (en hongrois Niklaus) voit dans cette coïnci dence une marque du destin. Aussi est-il plein de confiance,

vaquie, 3. Lettonie, 4. Autriche, 5. You

goslavie et France, 7. Polo^e, 8. Angle terre, 9. Indes, 10. Roumanie, II. Suisse, 13. Belgique et Hollande.

Constant Bourquin : I. Hongrie, 2. Tché coslovaquie, 3. Lettonie, 4. Autriche, 3.

France et Yougoslavie, 7. Pologne et In des, 9. Angleterre, 10, Roumanie, Suisse et Belgique, 13. Hollande.

Autres |)ro»osties

Baî^aues

Les équipes eurivent. Le champion d'Amérique, Marcus Schussheim est arrivé le premier, malheuieusement seul.

Jeudi soir arrivèrent à douze les joueurs hcmgrois. Barna et Szabados sont à la gare de l'Est avec de' nombreux amis quand arrive le train de Budapest, Effusions, con gratulations, petits drapeaux hongrois agi tés,, éclair de magnésium.

Coup d'œil sur les bagages. C'est im pressionnant. Borotra multiplié par douze. Ea|dication : chacun apporte à Barna un peu d'air du pays, si l'qn peut dire, sous forme de salamis hongrois, pâtisseries, boufeilles de Tokay et de ce fameux vin bap tisé « sang de taureau ». Il y aura de fainauses soirées au 2 de la rue Gervex.

Le resquilleur

11.

Quels seront les huit quart de finaliste ? Voici quatre pronostics : Barna : Szabados, Kolar, Svobada, Da vid, Hazy, Liebster, Ehrlich et Barna.

Szabados : Bama, IColar. Hazy, Hague nauer, David, Ehrlich, Hammer et Sza bados.

force toutes les portes, marche sur tous les pieds, il a eu sa carte de presse. Entraîiipnieut

des camarades de Barna, On but quelques verres de Porto et ainsi fut pris le premier

sous le patronage de YAuto, de YIntransi geant et de Match. Rien à dire de Y Auto.

L'Intransigeant fait ce qu'il peut, et ce n'est pas beaucoup.

Mais Match a paru à la veille des épreu ves qu.il patrone sans en dire un mot. Le ping-pong compte pourtant de bons amis rue Kéaumur !

Au cours de la rencontre Racing-P. P.

C. F., le score monta à 10 partout. Le Racing conservait donc sa chance, la pré sence de Szabados dans les rangs du P. P. C. F. étant compensée par une défection qui assurait 5 matches au Racing. A cet instant, la chance tourna. Le P.'P. C. F. s'assura consécutivement 5 victoi

res supplémentaires. Notre ami Pierre Tisseyre gagna lui-même, grâce à un cran qui manque à plusieurs de ses poulains, un match perdu d'avance contre Petrocelli. Ainsi l'Opéra, invaincu de toute la sai son, se trouve seul en tête du championnat de Paris. Un retour de lliimnie

L'Allemagne ne nous envoie qu'un joueur,

de la Coupe des Dames? Le Comité de Paris a passé commande

Heim. Raisons d'économie ou bien l'Alle

magne est-elle trop appauvrie par le départ de Madjarogtou, qui fait son service mili taire, et celui (iiïV'olontatTe) des Israélites

Nkkelsburg et Schimmel ? On regrettera

Aufros arrivées

L'équipe des Indes, malgré l'absence de Condappa, français de Pondichéry, défendra sa réputation. Timides, effacés, infiniment corrects, les

joueurs des Indes forcent la sympathie des sportifs.

N'avons-nous pas dit que le fameux Syn dicat du Ping-Pong, avant de .se dissoudre,

de la coupe à un fournis.seur de son choix, mais il attend toujours l'argent du Syndi cat.

Bon .tppi'tit. Messieurs

Le déjeuner offert par la Fédération aux journalistes parisiens fut exempt de tout protocole. M. Delarbre, dont le ministre avait été « dévissé » la nuit même, était en

pleine forme, il est vrai qu'il était délicieu sement encadré par deux de nos plus jolies joueuses de Ping-Pong. Après avoir nané des souvenirs de l'épo que héroïque du sport, il se mit à raconter une savoureuse histoire... extrasportive sur le compte du gardien du stade Delarbre. A entendre les rires qui fusaient du centre de la table, la salive nous en venait... à la

plume

Haguenauer.

. ."Un crayon, des petits papiers. Chacun

fait sa liste pour le classement de la Coupe Swaythling ?

Celui dont la liste sera la plus proche de la réalité sera invité à déjeuner par les qiiatres autres convives, le 6 décembre.

Et pour que nos lecteurs puissent con naître d'eux-mêmes le vainqueur de ce pmi, voici les prévisions de chacun :

Borna : I. Hongrie, 2. Tchécoslovaquie, 3. Autriche, 4. Lettonie, 5. France, 6. Po logne, 7. Angleterre, 8, 9 et 10. Indes, ^ougogslavie et Roumanie, 11. Suisse, 12. Belgique, 13. Hollande. Szabados : 1 . Hongrie, 2. Tchécoslova quie ; 3. Lettonie, 4. Yougoslavie, 5. Auîr'che, 6. France, 7. Pologne, 8. Rouma nie, 9. Angleterre, 10. Indes, 11. Bel gique, 12. Suisse, 13. Hollande.

Niitray ; I. Hongrie, 2. Tchécoslovaquie, 3. Autriche, 4. Lettonie, -5. Yougoslavie,

mière réunion , des joueurs et des joueuses pressentis ont vit arriver une tête inconnue,

ronde comme une pleine lune et envelop pée d'ouate comme un fruit exetique, per sonne ne reconnaissait un des tiers de_ la

Sainte Trinité chargée de nous choisir des représentants. C'était pourtant bien le mal heureux Arrondeau qu'une fluxion . mons

trueuse avait .retenu au lit et qui, bravant tous les ordres de la Faculté venait rem

plir son devoir. Un iuiiro .martyr

Il est un homme qui aspire aussi âux

palmes du martyre. M. de Tomasson, ré dacteur à Y Intransigeant, était dans son lit, retenu par une angine quand M. Ponnelle

fui téléphona pour lui rappeler q'ue la Fé dération attendait à déjeuner les représen tants de la presse... Pas d'hésitation, R. de Tomasson se leva... et arriva pour le pois son. Il n'y a que dans les milieux sportifs qu'on voit ça. En être mi n'en être pas

Le Ping-Pong fut agréé au C.N.S. com me Fédération d'application. Mesure d'at tente, poire pour la soif ! Mais voilà qu'on n'en est plus ! L'athlétisme et le baskett continuant leur bagarre, on a annulé pour vice de forme la réunion au cours de la

quelle le baskett et le ping-pong furent in tronisés. Il est question maintenant de réin troduire notre sport... comme dépendant du tennis ! ! !

Nos dirigeants sauront remercier comme il convient les généreux membres du C.

Quelques places plUs loin voisinaient Mlle de Tenaud, la plus parisienne des

N. S.; ceux-ci peuvent être assurés dès maintenant que nous n'irons chez eux que

reçus sur le pied de la plus stricte égalité.

lui ?

naud est justement cousine d'un de nos plus

dirigeants locaux passent leur temps dans

"lorieux aviateurs, Chavez, qui le premier franchit les Alpes et se tua en atterrissant après cet exploit... M. Guérin avait vu

n'est pas son prénom., et ça se voit) reçoit

Les meilleurs joueurs anglais sont absents de r équipe anglaise. On n'y trouve les noms ni d'Hydon, ni de Jones, ni de Sears. De même on ne trouve pas dans l'équipe suisse le champion de Suisse Walter.

mourir Chavez. En Fonclitrasie

Il existe dans le Centre un joueur de

t'ongrès

Ping-Pons qu'on appelle « t^ut fou >> parce qu'il se précipite sur les balles sans Au moment où paraîtra ce numéro, le Congrès annuel des Fédérations affiliées à. leur donner le temps d'atteindre le point le la F. I. T. T. se réunira. Jamais il n'aura plus haut de leur course. Voilà vinst fois eu à décider, semble-t-il, d'une question oue les dirigeants de son club lui donnent aussi grave. Amateurisme, professionnalisme, des conseils à ce sujet. Un confrère

compagnie de Barna, Szabados, Niitray et

Jusqu où n'ira pas le dévouement de nos

sélectionneurs officiels 1 Le soir de la pre

seul survivant de J'équipe de Baden. Confirmera-t-il à Paris ses belles performances d'Autriche et les espoirs qu'on mettait en

acquises ?

Notre directeur déjeune chez Poccardi en

Po'ioTit les' morts

riirrpiiso roneontre

■Un hqmme à barbe suffit-il pour anihiler tant de bonnes volontés qui nous semblaient ■tournois open ? Paris

voitures neuves astreintes à une allure mo

dérée : « en rodage »!

étrangères et M. Guéiin, du Matin, qui n'a rien de commun avec notre jeune re présentant, mais qui est un sportif de la vieille et de fa bonne école. On parlait aviation... préhistorique et Mlle de Te

Absents

Ses championnats du monde sont placés

féliciter quand le joueur se retourna... il

le solde en caisse pour participer à l'achat

dont personne ne connaît d'ailleurs la valeur ;

les balles de l'adversaire presque au sol et les renvoyer avec calme... Mais toute la avait épinglé sur le dos de son veston FétiqUette qu'on voit à la lunette arrière des

Economies

contact avec Peuis.

Patronage

galerie se tordait. Un dirigeant allait le

L'autre soir, o miracle, on le voit, tout

10 il 10

avait décidé de verser au Comité de Paris

Et cette année, Kirloskar s'est joint à Les champions du monde aussitôt débar eux. Il n'était pas à Baden, en janvier, mais qués, se sont préoccupés de leur forme. ceux qui l'ont déjà vu aux charhpionnats du L Opéra a mis ses tables à leur disposition monde n'ignorent rien des succès de ce très et ceux-ci passent plusieurs heures chaque joli garçon. jour au Palais Berlitz, à faire des balles. Nous reverrons le gentil belge Eymael, Le Comité de l'Opéra avait d'ailleurs organisé une petite réception en l'honneur

Salissez, disait un autre Machiavel, il en reste toujours quelque chose.

lak, Hammer, fColar, Cohn et Haguenauer. Haguenauer ; Barna, Szabados, Hazy, David, Cohn, Kolar, Liebster et Finbergs.

dent de la Fédération au dernier des rem

Celui-ci ne se frappe pas pour si peu. Il

calme, aller,- comme Glickmann chercher

Niitray : Barna, Szabados, David, Bel-

La Hongrie amène dans ses bagages (en toutefois de ne pas voir le champion d'Al même temps que la Coupe Swaythling, lemagne Benthien détendre sa chance en dont elle a toujours été, sauf ime année, simple. détentrice), un prétendu journaliste hon En revanche l'Allemagne nous envoie une grois. Le piquant de l'affaire, c'est que brillante représentation féminine. pas un des hongrois de l'équipe, du Prési plaçants, ne feint de connaître cet encom brant compatriote.

Le banlieusard sait que c'est faux, qu'aucun club n'est plus irréprochable, mais il exécute la consigne.

On nous annonce, pour paraître durant les championnats du monde, un nouveau jour nal consacré au ping-pong. Nous saluons avec plaisir un nouveau

A l'Est, (lu nouveau

Grande bagarre en Lorraine. Les deux clubs de Metz sont à couteaux tirés, et les les trains de Paris. Garbillon-Salomon (ce

l'un, puis l'autre, fait la morale aux deux,

et finira certainement par arranger les cho ses, mais devinez un peu ce que l'un repro che à l'autre

: celui-ci aurait au cours

d'une soirée de Ping-Pong, présenté au pu blic : « M. Pétel, sélectionneur de l'équi

pe de France ». Tant que l'autre n'aura pas pu orésenter la commission de sélec tion au complet, nous craignons que rien ne puisse s'arranger. Allons, Arrondeau et About, dévouez-vous, partez pour Metz !

I.-a

meilleure balle du monde

confrère, s'il doit travailler avec nous à là

diffusion de notre sport. Il semble, toutefois, d'après les bruits qui courent, que ce nouveau journal n'ait qu'une mission très temporaire, comme ces feuilles qui pullulent au moment des élec

la Super-balle

tions.

Ce ne serait donc pas un confrère, mais un brûlot édité, avec l'aide d'un homme de

paille, par les ressuscités du feu Syndicat. Un cliallcnge

Il y aura prochainement un beau vase de Sèvres à gagner au Mans. Le dirigeant manceau fait part de l'événe ment à un dirigeant de la banlieue pari sienne, invitant sa meilleure équipe et lui annonçant la participation d'un grand club parisien. Alors : — Si les professionnels de... viennent, je ne viens pas.

BARIVA vient

fl'ètre

reconnue

ofOcîelle

par

FÉDÉRATION INTERNATIONALE DÉ TÉNNIS DE TAREE EIV -VEIVXE EAItXOEX

PINQ-PONGi

Guide de rorjpiiisaleur de Tournois Le problème qui vient d'être étudié est celui d une « poule de joueurs ». Mais un

rées, donc un peu plus d'un trimestre, la

autre qui ressemblé beaucoup à eelui-là est 1 organisation d'une « iMule de clubs ».

bleau damier comme celui qui est paru dans le n° 18 de Ping-Pong, mais vous vous en servirez d'une façon un peu différente.

Le championnat de Paris par équipe réu nit en une seule poule huit clubs de pre mière série qui se rencontrent tous entre eux, matches aller et retour.

Vous croyez peut-être que c'est le même problème. Et bien ce n est pas tout à- fait la même chose, et voici pourquoi ; Quand vous faites disputer une poule de joueurs, il importe surtout qu'un joueur ne soit pas astreint à disputer plusieurs matches consécutifs, alors qu'un autre pourrait se reposer entre chaque partie et il importe éga

lement que l'ordre soit établi de façon qu'on utilise constamment le plus grand nombre de tables possible.

Or, cette préoccupation n'existe plus pour une poule de Société, les rencontres ont lieu

une fois par semaine, ce jour-là chaque So ciété dispute un match et a huit jours pour se reposer, et d'autre part, chaque Société ayant ses tables, la question durée ne se pose pas non plus. Mais en revanche, le déplacement d'une équipe est un handicap... sportif ou finan cier, il est donc de la plus haute importance, de faire autant que possible, alterner les dé

placements. Je m'explique avec exemples. Pour huit joueurs, je commence, ai-je dit plus haut, par ; I contre 2.

2 contre 3.

3 contre 4. 5 contre 6.

4 contre 5. 6 contre 7.

7 contre 8.

8 contre f, etc.

Mais que I joue contre 2 ou 2 contre l, c'est la même chose, puisqu'on tirera au sort, le côté et le service.

Au heu de mettre un V en cas de victoire

vous mettez 2 points et 0 pour l'adversaire qui a essuyé une défaite. Si la formule des rencontres entre clubs

permet le match nul, vous mettez alors

I point à chacun. La chose est fort possible, si par exemple vous jouez 4 joueurs contre 4, en poule, cela fait 16 rencontres et chaque club peut rem porter 8 victoires. Si chaque société doit présenter 5 joueurs comme dans le Championnat de France par

équipes, mais qu'un joueur de chaque équipe soit en tenue irrégulière, il ne restera plus que 16 rencontres et la possibilité d'y avoir 8 victoires de chaque côté. Quand les matches aller seront terminés,

le premier tableau sera rempli, vous referez le même pour le matches retour, s'il y en a. Si vous avez préparé une poule de 7 so ciétés, prenez l'ordre indiqué plus haut, nu mérotez vos sociétés de 1 à 7.

Le premier soir ou jouera ; 1 contre 2 sur les tables de 1, de 7 et de 4. 7 contre 3

4 contre 6 et la société 5 sera exemptée. Le deuxième soir on jouera : 2 contre 3 sur les tables de 2, de l, et de 5. 1 contre 4

5 contre 7 et le club 6 se reposera, etc., etc...

Après 7 soirées, chaque société se sera déplacée 3 fois, aura reçu 3 fois et se sera reposée 1 fois. MARCEL CORBILLON

société I joue contre la société 2 sur les

Réparlons du classemenl. français

l'équipe adverse la première soirée, elle devra se délacer huit jours plus tard, et inversement l'équipe 2 qui s'est déplacée la première fois, recevra chez elle la semaine suivante... si faire se peut. Et quand la poule sera terminée, toutes

la première série fraiiçaise : 1. Haguenauer. 2. Verger.

donc 4 clubs qui se déplaceront 4 fois et 4 clubs qui recevront 4 fois.

Pourquoi donc ne fait-on pas toujours des poules de 7 ou de 9, mais le plus souvent des poules de 4, 6 ou 8 ? Parce que les sociétés étant opposées 2 à 2, si vous en avez un nombre impair, il en teste une inactive chaque soirée de cham pionnat.

réformateurs. Les mots sont une chose. La

réalité qu ils signifient est une autre chose.

faroucher. Je suis le tout premier à l'ad

L'amateurisme ne peut se définir aujour d'hui que par opposition au professionna lisme. Sont professionnels,'à mon avis, les joueurs qui donnent des leçons contre rétri bution et qui touchent un cachet pour se

mettre.

Mais je m'indigne pour de bon quand je vois les profiteurs et les pratiquants de cette morale au rabais nous rebattre les oreilles

avec leurs arguties de petits bourgeois pro céduriers. Ne viennent-ils pas de découvrir que de grands champions ont donné leur nom à des raquettes qu'ils ont conçues ? L'avantage matériel que ces joueurs en ti rent ouvertement est trop visible pour qu'on

puisse tolérer que ce soit au grand jour. Leur cas n'est pourtant pas différent, dans l'es prit, de celui des joueurs dont nous par lions plus haut. 11 ne s'agit que d'une ques tion de degré. Et c'est là toute la question, c'est même la seule question. On permet aux joueurs de transgresser les

lois de l'amateurisme pur à condition que ce soit un peu seulement. On leur permet de bricoler dans l'ombre. On tolère qu'ils ga

gnent un peu d'argent, mais pas beaucoup d'argent. Toute cette armature de l'ama

teurisme n'existe que pour défendre les in térêts prétendus licites des gagne-petit ; ces intérêts ne deviennent illicites qu'au mo ment où on leur applique un certain coeffi cient. Comprenne qui pourra, comprenne qui voudra. Les intérêts de faible envergure qu'on dé

Suivons l évolution des moeurs et sachons

donner aux mots toujours leur signification actuelle.

produire en public. Tous les autres sont des amateurs.

II. est regrettable que le subtil et distin gué Pierre Agut n'ait pas pensé à tout ça et qu'il ait eu la maladresse d'offenser par des commentaires aussi injustes qu'injurieux un grand jcueur étranger à qui le ping-pong français doit presque tout et dont la moralité sportive peut servir d'exemple à beaucoup, aussi bien joueurs que dirigeants. Que les délégués des nations affiliées à (a F. 1, T. T. réfléchissent avant de se pro noncer sur la distinction entre amateurs et

professionnels. Que M. Montagu lui-même veuille bien tirer toutes les conséquences impliquées dans son projet. De deux choses l'une, dans le cas où le congrès ratifierait la proposition anglaise Ou les prétendus professionnels seront exploités par les dirigeants amateurs ; Ou les professionnels prendront leur li berté et ce sont les prétendus amateurs qui seront roulés.

Le sport a besoin de sincérité. 11 se passe de la fausse clarté des mora listes de façade.

donc froid. J'ai en horreur particulière les

CONSTANT ïtOCRQUIN.

3. 4. 5. 6. 7.

Guérin. Gordon. Worth. Voisin. Dubouillé.

Futman.

LES PALETTES ■

. • .

ET LA BALLE (Aj4rée F. F. T. T.)

9. Bolelli.

Loebenberg.

Petel.

SZABADOS

Petrocelli. 13. Guérin. 14. Prat.

Cinq mois ont passé et ce -classement ne correspond manifestement plus à la réalité. En dehors de la place de premier qui reste acquise à Michel Flaguenauer, a'ucun des autres joueurs n'est à sa place. De plus des noms nouveaux sont apparus, tels que Bedoc qui n'était pas même classé. A la veille des championnats du monde,

Champion thi Monde 1931

sont aclueiiement les meilleurs aeeessoires

il nous a semblé intéressant de refaire ce

Et puis, en faisant des matches aller et retour, on condense dams les matches retour les injustices commises dans les mat

classement en tenant compte de tous les ré sultats obtenus depuis le début de la sai 1. Haguenauer.

La société qui «'est déplacée 4 fois et n'a reçu que 3 fois, recevra maintenant 4 fois. Reportons-nous à l'ordre des matches dans une poule de 8 donné plus haut. J'ai eu soin de le faire pour qu'il puisse servir pour une i poule de clubs » vous ver rez qu'en faisant les 4 premières rencon tres le premier jour, les 4 suivantes le se

2. D. Guérin.

cond, etc., etc..., au bout de 7 soirs, la

société a joué une fois chez elle puis deux

3. Verger. 4. Furman. Butelot. 6. Dubouillé. 7. Voisin.. 8. Gordon. 9. Bédôc.

dehors et ennn deux fois chez elle ; pour les matches retour l'ordre des rencontres reste le même, mais les lieux sont inversés.

13. Pétrccelli.

3 5 7 1

contre contre contre contre

2 4 6 8 etc...

La société I joue alors une fois dehors,

une fois chez elle, etc., etc. Après 14 soi

^faisons d'Articles de Sport ^

Brunschvicg. 12: Worth.

1 3 5 7

En vente dans toutes les meilleures

Bolelli. _

fois dehors, puis une fois chez elle, une fois

contre contre contre contre

(le Piiip-Poiip'

son.

ches aller.

2 4 6 8

Il s agit là d'un amateurisme plus ou moins rétribué. Disons que cette situation est commandée par les conditions actuelles de la vie en société, qu'on n'y saurait rien changer et qu'il n'y a pas là matière à s'ef

Au mois de juin 1933 la commission de classement de la Fédération établissait ainsi

même nombre de déplacements... disons tout de suite que cela n'est possible que si le nombre des sociétés est impair. S'il y a 8 clubs dans une poule, chacun doit jouér avec les 7 autres, donc 7 rencon tres, et il est certain alors qu'une société quelconque ne peut pas faire 3 déplace ments 1/2 et recevoir 3 fois i '2, il y aura

(Suite de la i™ page).

fend sous le nom d'amateurisme me laissent

tre !, donc si la société 1 a reçu chez elle

les sociétés devront avoir fait toutes le

DU PROFESSIONNAtlSME

poule sera terminée. Vous aurez fait un ta

Mais dans une poule de 8 Sociétés où la

tables de l'une d'elles (en l'espèce, la pre mière nommée s'il s'agit de l'équipe pre mière), donc le match 1 contre 2 n'est pas du tout la même chose que le match 2 con

PAltLOm DOJMC

Concessionnaire exclusif pour le gjros

14. J. G. Guérin. Nahas.

Ce classement ne correspond sans doute pas à l'opinion des sélectionneurs de l'équioe de France. C'est que nous n'avons voulu lenir compte, ni du style, ni de la classe des joueurs, mais uniquement de leurs perfor mances.

P. Tisseyre.

LFDARVA e\ 101, Rue Réaumur, Paris (IP)

Tél. » Central 34-71 »

34-7U

>llflQ'ïî6NQ

A PARIS, DV S AU'-10 DECEMBRE, 1927

d'un jeu fin

1927 Londres

Le _ championnat du monde par équipes se dispute pour la première fois en janvier .de celte

je me rappelle encore le jour où mon grand ami, Dieudonné Costes, vint avec son Hispano m'apporter, un soir (Têtrennes, ma première table de ping-pong quil avait arrimée luimême sur le marchepied.

Il y a six ans de cela et Messieurs les Menuisiers de France ont dû en

La Hongrie se classe première, non sans diffi culté, la lutte polir la première place donnant lieu à un barrage avec l'Autriche. Le D'' Jacobi, premier représentant hongrois, ayant dû quitter précipitamment Londres, fut remplacé dans celle rencontre capitale par le joueur Van Kehrling, jbien connu des amateurs de tennis. L'Autriche menait par 4 victoires à 2 et il lui suffisait donc d'un seul point pour emporter la décision. La Hongrie réussit à égaliser à 4 partout par suite des victoires de Mechlovits sur p'iussmann et du D'' Pechi sur Thum. Le dernier

match semblait perdu d'avance pour la Hongrie

puisqu'il opposait le remplaçant Von Kehrling

amoureux alitant

an numéro un autrichien: Billinger, lequel avait battu les deux premiers joueurs hongrois. C'est ainsi, par surprise, que la Hongrie s'attribua

que moyens, surtout moyens, allons pouvoir assister en plein ChampsElysées, aux championnats du monde

pour la première fois le trophée mondial. La Tchécoslovaquie, qui devait devenir si re doutable par la suite, se classa dérnière des six

de ce jeu siibtil, aérien, léger et puis

nations engagées.

sant à la fois.

Quatorze nations, cinquante des meilleurs joueurs du monde, sélec tionnés, dont dix hommes de,chez nous.

Bien entendu le dieu Barna et ses

collègues Szabados, Bellah seront les pliis beaux à voir jouer. Ou bien près de la table assénant des coups pénétrants ou bien à six

1928 Stockholm

■

Huit nations sont engagées. Le premier jour, l'équipe d'Angleterre, composée de Ferry, Haydon, Bull, bat la Hongrie, représentée par Mech

lovits, Pechi, Bellak, par 7 à 2. L'Angleterre gagne tous ses matches, sauf coiitre l'Autriche, ou,' après avoir mené par 4 à 2, elle perd 5-4. La bataille pour la première place donne lieu à un barrage entre la Hongrie, l'Angleterre et l'Autriche. La Hongrie bat ses deux adversaires par 5 à 2 et s'assure ainsi pour la deuxième fois le garde de la coupe.

mètres de celle-ci, bloquant toutes

1929 Budapest

les trajectoires possibles du centre de leur petite raquette, qui ne fait pas

Pour la première fois, Barna et Szabados font leur apparition dans l'équipe de Hongrie. C'est à ce moment que commence le grand règne des Hongrois sur le ping-pong. Leur suprématie est

3Q centimètres carrés.

Et encore il ne suffit pas de stop

per la balle au loin, il faitt la rame ner sur la table là-bas, de l'autre côté du filet si haut.

Barna-Bellak, quel souvenir! Rastelli contre Rastelli! Et nous allons revoir ces passes

Le D'' Jacobi bat Mechlovits en finale.

Ceux qui ont assisté à cette rencontre émouvante

Le simple dames revient à Mlle Medniansky, qui le gagnera pendant cinq années consécutives.

estiment que la Coupe Sivaythling n'a jamais donné lieu a d'aussi beaux matches.

Le double revient à l'association: D'' Jacobi-

année.

raboter pas_^ mal depuis. Dans quelques jours, nous au tres, les joueurs

Les épreuves individuelles

La Coupe SWaythlihg

Le fin dit

D'' Pechi.

1930 Berlin

Le double mixte revient à: Mlle Medniansky-

Dix nations sont engagées. La Hongrie .gagne de nouveau tous ses matches par 5 à 0, sauf

contre l'Allemagne où Szabados perd Un match contre Madjaroglou. Là Suède cause une grosse surprise en se classant deuxième devant l'Autri

Flussmann et Liehster se classent en.suite.

che.

1931 Budapest

Encore dix nations engagées. Les Tchèques ont atteint la grande cltisse avec Lauterhach, Svohoda et Kolar. La Tchécoslovaquie se classe

deuxième ex-oequo avec l'Angleterre. Les Hon grois gagnent encore facilement, mais moins nettement que les années précédentes!

chaque reprise par les cris étoiiffés de la foule, car il y aura foule. Pensez à toutes les tables qui se

Tchèques (Kolar, Malarek, Lantenbach) sur le

Blanez: 3-0.

En finale du double mixte: Mlle Sipos-Kelcn battent Mlle Gal-Barna qui avaient eux-mêmes battu Mlle Medniansky-Mechelovits. Double dames: Mlle Medniansky-MIle Sipos.

On peut se rendre compte de l'atmosphère de la rencontré quand on songe que ces matches se . disputent devant 5.000 spectateurs. La Tchécoslovaquie, l'Autriche, la Hongrie sont donc à égalité et il faut jouer des barrages pour-la première place.

On joue un lundi matin, à 9 heures, devant 3.500'spectateurs. Kelen remplace Bellak dans l'équipe hongroise. Les Tchèques gagnent néan moins par 5 à 3. L'Autriche perd ses deux matches par S à 1. Elle se classe donc troisième derrière la Hongrie. -

été menée, 3-2 et 4-3.

Double mixte: Mlle Medniansky-Szabados. Double dames: Mlle Medniansky-Mlle Sipos. 1931

La finale oppose de nouveau Barna et Szaba dos. Ce dernier gagne par 3 à 0. Se classent ensuite Madjarouglou (qui résista 5 sets à Barna et mena notamment contre lui 2 à 0) et Kovacs. Double messieurs: Barna-Szabados.

Double mixte: Mlle Medniansky-Szabados, qui battent Mlle Sipos-Barna: 3 sets à 1. En double dames, l'association Mlles Medniansky-Sipos poursuit sa carrière qui n'est pas 1932

Barna prend sa revanche sur Szabados en le battant en 5 sets en finale, non toutefois sans avoir failli perdre. Szabados menait en effet par 2 sets à rien, 17-12, 19-16, pour perdre ce set 19-21. Au cinquième set, Szabados mène 6-0; Barna prend le commandement avec 10-7 l.pur lui, 18-13, 18-16, 20-16, 20-18 et gagne le

Fédération Internationale, les champion

blanches(non marquées)fournies par les

set et le match 21-18.

Barna et Szabados gagnent à nouveau le dou

six marques suivantes:

ble en battant en finale Bellak-Glanez: 3-1.

Le double mixte revient à Mlle Sipos-Barna qui battent Mlle Medniansky-Szabados: 3-0. En simple dames, Mlle Medniansky est battue pour la première fois par Mlle Sipos: 3-0.

Pronostics:la Hongrie favorite de toutes les nations et de ce fait ses

¥illa - Tema - Leng^leii

1933

Szabados et Bellak ne jouent pas, la Fédéra tion allemande les ayant suspendus, pour avoir joué dans des clubs non affiliés. La finale oppose

vainqueur.

N'est-ce pas le joueur aUx revers

monde en battant Bellak en finale par 3 à 1. On peut remarquer, à ce propos, que Bellak a été souvent finaliste, aussi bien en simple qu'en double, mais qu'il n'a jamais réussi à enlever un til,re mondial. David et Kelen prirent la troisième et qua trième places.

encore .arrêtée.

(yonformément à la décision prise par la

souvent, pour y jouer des matches amicaux avec la potiche du milieu

en coup de fouet du poignet les plus

1930

Barna gagne son premier championnat du

Double messieurs: Barna-Szabados.

1933 Baden

nats du monde sont joués avec des balles

monde individuel avec Barna comme

Double mixte: Mlle Medniansky-Mechlovits. Double dames: Mlle Medniansky-Mlle Fleun.

score écrasant de 5 à 0.

trouvent dans les appartements pari siens, autour desquelles on se réunit

joueurs en tête du championnat du

le match.

1929

La Belgique est présente pour la première fois, ce qui porte à douze le nombre des nations engagées. La France est prés-ente avec Haguenauer, Verger, Daniel Guérin. Elle se classe dixième, mais aurait pu se classer mieux, avec 5 à 2. 11 y eut cette année-là une grande bagarre . un peu plus de chance. La Hongrie gagne de justesse devant la entre l'Angleterre et l'Autriche pour la deuxième place. L'Autriche finit par l'emporter par 5 à 4, Tchécoslovaquie par 5 victoires à 4, après avoir

comme prix au vainqueur.

La finale du double oppose: Perry-Bull à Liebstcr-Thum. Elle n'est pas jouée, Perry s'étant foulé un pied quelques minutes avant

Barna est battu au troisième tour par Haydon. La finale oppose: Perry et Szabados. Perry , 1932 Prague gagne par 3 sets à 1. Se classent ensuite: Haydon Oiize nations engagées, la France s'étant ! et Mechelovils. Bellak est battu au premier tour jointe aux autres pays. Représentée par Verger, par Thum. Timidement, deux Français, qui sont venus à Bolelli, dzeune, Loebenherg et Nahas, elle se leurs frais, sont présents: Verger et Desruols du classe évidemment onzième. La première rencontre oppose l'Autriche à la Tronçay. Celui-ci est écrasé par un Autrichien Tchécoslovaquie. Celle-ci perd le match par inconnu qui se fait éliminer lui-même au tour suivant par Mechelovils: 21 à 0. 5 à 4. La grande surprise consiste en la défaite En double, Barna-Szabados battent Bellakdes Hongrois (Barna, Szabados, Bellak) par les

magnifiques, ces échanges inouïs de balles enchantées, accompagnés à

1928

Mechlovits gagne le simple contre Bellak après avoir été mené par 2 sets à 0 et 20-17.

dès lors indiscutée et ne subit pour ainsi dire pas d'éclipsé. La Hongrie gagne toutes les rencontres par 5-0, sauf contre l'Angleterre où le score est de

malgré trois victoires de Perry pour les Anglais.

Mcchlovits.

Hanno - Reina - Barna

donc un Barna en mauvaise forme au Tchèque Kolar. Barna gagne quand même par 3 sets à 1.

Le double revient à Barna-Glanez qui battent

étonnants?

Kelen-David: 3-2.

Et ce qui ne gâte rien, garçon sym

pathique, as de ce jeU si abordable à tous.

J.-C. D'AHETZE.

SAMEDI 2 DECEMBRE (soirée) : en trée : 10 fr. Court central : 5 Ir. de sup

Mlle Sipos gagne de nouveau le simple dames et le double mixte revient à Mlle MednianskyKelen qui gagnent par 21-19 au cinquième set contre Mlle Gal-Glanez. Le double dames revient, comme les années précédentes, à Mlles Mcdniansky-Sipos.

La super-balle BARM améliore le rendement d'une

table.

YENDREDI 8 (matinée):5 fr. et 5 fr.

LE PANONCEAU

de supplément pour le central.

En soirée : 10 fr. et & fr. de supplé ment pour le central. S.VMEDI 9 (matinée) 10 fr. et 5 fr. 5 fr. de supplément pour l'accès au.

DE LA

FEDERATION

plément. DIMANCHE ;{ (matinée) : 10 fr. et court central.

Soirée : idem.

El NDI 1 (matinée):5 fr. à toutes les places. En soirée : 10 fr. et 5 fr. de supplé

ment pour le central. MARDI 5 (matinée): 5 fr. à toutes les places. En soirée : 10 fr. et 5 fr. de supplé

ment pour le central. MERCREDI 6 : Repos.

JEl D1 7 (matinée populaire) : 3 fr. à toutes les places. En soirée : 5 fr. et 5 fr. de supplé

ment pour le central.

de supplément pour le central.

1934.

ék

Les propriétaires de salles de Ping Pong t(ui abritent un club affilié ont avantage à signaler ce fait aux joueurs.

En soirée :idem.

DIMANCHE 10 : mC'mes prix que le samedi.

NOTA. — Le billet d'entrée confère le droit de circuler et l'accès à tous les cours secondaires.

Le supplément de 5 fr. perçu pour l'accès au court central est un mini mum. Les meilieures places assises sont

tarifées à des prix différents selon l'im

portance des épreuves disputées. Les joueurs munis de leur licence auront droit à une réduction de 10 %

sur le prix de toutes les places.

FEDERATION

, FRANÇAISE DE

Ils le pourront en demandant à la Fédération Française de Tennis de Ta_ blc, tu, rue Marbeiif, Paris (8") de leur

TENNISdeI^BIÉf 34.B1fE MJIKBEDF.PilBIS''

▼PNfrPOHG

faire parvenir le panonceau 1931. Il leur suffira de s'inscrire comme mem

bre bienfaiteur (cotisation 60 fr.) pour recevoir le panonceau gratuitement frianco de port et d'emballage. -

piNQ-PQNO

CHAMPIONNATS DU MONDE 1954 8ZABADOS

HAGUEÂAljER

Né à Budapest le 7 mars 1912! 1 fois champion du monde individuel, 4 fois •-«n double avec Barna, 2 fois en mixte. Sélectionné 49 fois pour la Hongrie, 2 fois

■^champion de Hongrie, 2 fois champion d'Angle-

Né à Budapest le 24 , août 1911.

, .

en jouant, mais simplement en-ne les défendant

Trois fois champion du inonde individuel. Cinq fois en double. Une fois en mixte. Sélectionné 65 fois pour la Hongrie, 2 fois champion de Hongrie,. 3 fois champion d'Al raagne, 1 fois champion d'Autriche, 1 fois cham

pion d'Angleterre, 1 fois champion de France, 4 fois champion de Budapest, 4 fois champion de Vienne, 2 fois champion de Berlin, etc. A noter que Barnâ n'a jamais perdu ses titres

pas.

On ne peut pas compter les tournois" gagnés par Barna. Signalons qu'il a gagné en compa gnie de Szabados 71 épreuves de double.

11 a reçu 61 coupes et 480 prix. Ces trophées remplissent plusieurs pièces d'un appartement. Barna était membre à Budapest du M.T.K. Il est actuellement licencié pour l'Opéra

Né à,Paris le 22 janvier 1915. Champion de France 1933-34.

Vainqueur de plusieurs tournois en simple et eu double.

Sélectionné 10 fois pour la P'rance et 11 fois poùr Paris.

P.P.C. de Paris.

. =r^-s. ■

tiMHiiifr 51

lierre, 1 fois champion de Tchécoslovaquie, I fois

• champion de Vienne, de

Dresde,

Hesse-

Massau, de Saxe, etc...

Haguenauer compte des victoires en épreuve:,

Szabados n'a pas reçu moins de 43 coupes et ■de 400 prix.

cfficielles sur: Szabados, Svoboda, Mahrimovit.-:,

Haydon, Bull, Condappa, etc...

Comme Barna, jouait à Budapest pour le

Haguenauer a toujours joué à l'Opéra, où il a débuté et où il était, il y a deux ans, un joueuç,

M.T.K.

Licencié à Paris pour le P.P.C.F.

tout à fait modeste.

C'est sur Haguenauer que la France compfc'

surtout pour

défendre le ping-pong français

dans la grande compétition mondiale.

Proposition française

au Cong'rès International

Lellrc du Japon (d'après Tisch-1 ennis)

La règle officielle de la Fédération Interna

Il parait au ,lapon une revue de tenuis

tionale si)écifie bien qu''it?ie volée est un point

de table, qui nous est envoyée régulière

perdu même si elle se produit sur une halle de

■ service qui a touché le filet dans son parcours. File justifie cette décision en disant qu 'un tel

ment par la Fédération des Etudiants Ja ponais. Bien que la langue Japonaise ne

bien cju'ayant touché le file.t, ne peut être bonne -à d'autres égards, n'ayant pas touché directe

tirer de cette Revue, grâce aux illustra--

nous soit pas familière, nous avons pu, re

.service no i>eut être remis, parce que la balle,

tions, des renseignements très intéressants

sur ie ping-pong japonais, qui est appelé à prendre un grand développement.

ment le cours du relauceur.

J'avoue que je ne comprends plus! Analysons la suite des faits. -

Nous espérons .pouvoirs donner à nos lec

Le serveur envoie correctement la balle qui"

teurs dans un de nos prochains numéros,

"touche d'abord son court, puis le fi let et pour-'

un article sur le Ping-Pong au Japon, par un des. meilleurs jotieurs japonais. Nous croyons que cet article sera intéressant,

•suit sa trajectoire. A ce moment une seule chose est certaine":'

■c'est que la balle ne sera pas bonne, elle sera peut-être mauvaise si elle ne touche pas le court du relanceur; elle sera peut-être à remettre si ■elle le touche, mais je le répète elle ne peut jîlus du moment où elle a touché le filet, donner en

-ù .-t •■.-■.H 1,

d'autant plus qu'il est à prévoir que d'ici quelque temps, l'on pourra compter sur

l'activité internationale de la Fédération

Jap()naise. D'ailleurs, il est indéniable que

aucun cas le point au serveur.

les joueurs japonais pourront Jpuer un rô'e

Or le relanoeur interrompt la trajectoire .de

-la balle en la touchant de volée, avant qu'on

■«r-'A

puisse savoir si elle sera mauvaise où à remet

tre, prenons donc le cas le plus défavorable

'if,'

pour celui qui a commis la faute, et pour punir cette faute déclarons que la balle qui aurait

aura été commise.

Cela est contraire à l'esprit du règlement.

Phôlo Henri Manuel.

Dois-je rappeler par exemple cet autre cas :

Un joueur envoie la balle, lâche sa raquette •qui décrit une trajectoire en l'air, pour aller tomlmr sur le filet, mais pendant que la raquette est en l'air, l'adversaire arrêté la balle b: " de vo

lée, dès ce moment il y a faute pour celui qui che pas le filet pendant que la balle est en jeu

En somme on analyse chronologiquement la suite des faits en prenant au fur et a mesure qu'ils se passent, les_ sanctions prévues au règlement

voir leur échapper,

étudié, je propose donc à la Fédération Internationale la modification de l'appendice incri miné.

Mais pour l'instant la règle demeure. Messieurs les arbitres, appliquez-la. On vous préviendra si elle est modifiée.

L EYLA]\

sa victoire ne ferait aucun doute. Mais la brutalité de la méthode de l'élimination di

Sur le papier, toutes les épreuves de vraient revenir aux Hongrois.

Et pour en revenir maintenant au premier cas

Kobé,

;< Le ping-pong est joué au Japon depuis

le fi let parce qu'ensuite une faute plus grave

sans qn 'un fait postérieur puisse,, modifier les

M. Yamada, à qui nous avons deinand.j quelques renseignements, nous écrit :

veur, vous annulez en quelque sorte la demifaute commise par lui quand la balle a touché

sanctions antérieures.

Un de nos fidèles lecteurs

Mais n'allons lias plus loin, une loi n 'a pas ■d'effet rétroactif, en donnant le point au ser

et il n'y a pas faute pour celui qui l'a lâchée.

nent à notre sport plus que toute auti i3 race.

pu être mauvaise, est à remettre.

a touché de volée, et par le fait même la balle cesse d'être en jeu. Dès lors la raquette ne tou

assez important dans les rencdntres inter-

, nationales, car il nous semble que les qu.alités physiques des Japonais les prédesti

iLa Coupe Sroaythling ne semble pas de La Coupe des Dames est, gagnée d'avance par Mlles Sipos, Mednian'sky et "Gai. Le simple messieurs doit revenir à un Hongrois, que Ce soit Barna, Szabados, Da vid, Hazy ou Béliak. (La fi nale devrait nor malement opposer Barna à Szabados et don

recte permet toutes les surprises. Le double messieurs doit être l'apanage de Barna-Szabados qui n'ont jamais été battus ensemble.

Le simple dames ne peut être gagné que par la tenante, Mlle Sipos, ou sa compatriote Mme Medniansky. Le double mixte ienfin rie peut échapper à

ner la victoire à Barna, Barna étant incon

Mlle Sipos-Barna ou à Mme Mednian.sky-

testablement le plus'fort joueur du monde et

Szabados.

dominant d'une classe ses, concurrents le.s

plus immédiats. Dans une fi nale en poule-.

de France

être...

I9!i3 ont

été

fraffiiécs avec des raquettes re<*ouvertes ■MB

formé une' fédération, maintenant floris

sante. D'ici peu de temps, ce changement de régime sera définitivement admis, et le Japon pourra commencer à travailler poul ies relations internationales. »

La pins belle salle de Paris

ROLSSKT-TACHE lO^. Roiifcvai'rl <lc Cllcliy

ïlongrie donc sur toute la ligne ? Peut-

Les 5 épreuves de ehainpionuat

35 ans. Mais ii est pratiqué sous une toute autre forme cpie le ping-pong intermation.-il d'aujourd'hui. La table est plus petite, la. balle plus légère et plus molle, les sets comportent seulement 10 points, etc... 11 s'est toutefois foiané un groupe de joueurs de classe, qui ne veulent plus Jouer que se lon les règles internationales. Ces joueuis sont principalement des étudiants, qui orjl

caoutchouc un

Le jeudi : prix spéciaux pour lesScolaire.s'

L EYLAY D

\ -F- -

PING-:PONO

lSc}>iem('ul du Chninpionnal de Paris par équipes

CLUBS NON AFFILIES. — Les elubs non encore affiliés à la F. F. T. T. sont

Article premier. — Le Clianipionnat de Paris par équi])ea est ouvert à tous-les dubs du Uoniité ayant payé la cotisation do l'aunéd on cours.

Art. 2. — La date limite et le prix des eugagciueiits sont fixés juir la C'. P. Tout oiigagoiiient non accoiupague des droits peut être consi déré eonnne nul.

Los Société engagées sont réj)arties on divi

sions suivant les résultats obtenus par leur preanièro équijie dans le cliampionuant, de la saison précédente. Art. 3. — 11 y a huit Sociétés en première division, seixe en deuxième, trente-deux en troi-

sièino, soixante-quatre • en quatrième, etc. Art. 4. — Dans chaque division il est orga nisé un championnat d équijjes premières et un chaïupioniiat d'équipes inférieures. Par exem ple: équipes 2, 3 et 4 de première division, équipes 2 et 3 de deuxième division, équipe 2 de troisième division. Excci^tionuellement, si le nombre des dernièi-es équipes d'nne dh-ision est trop faible, on poii-ra les grouper avec les équipes eorrespouduiites des autres divisions. Pour la saison 33-34 par exemple, les éiiuipes troisièmes de Chalet et- du Cercle (2" division) joiueront avec les équijxrs deuxièmes de troisième série, poule A.

poules de deuxième division so ronconfreront ou une poule de classement (matcii aller seulement sur table neutre) ; les deux dernières do cette

épreuve disputeront une ponle de barrage avec

les quatre premiers do troisième division comme il est dit plus loin. Art. 21. — Cettcf épreuve de barrage se fera

eu poule, .cliaque équipe'rencontrant les cinq au

tres eu une seule .fois sur table neutre suivant

les règlements imposés

par

deuxième

deux

division.

Ijos

champion

clubs

les

mieux

classés de cette junilc .joueront l'année suivante en deuxième division ainsi que leurs équipes in férieures.

Los q,uatre derniers Jouei'ont en troisième di vision ainsi que leurs équipes inférieures.

Art. 2'2. — Les trois promifrs classés des pou les de troisième

division -se

rencontreront

une poule do classement (match aller seulement

sur table neutre) ; le premier do cette é])reuvc

aura le titre de champion do Paris de troisième

division ; il sera qualifié ainsi (|Uo les trois sui vants pour disputer le bari'age deuxième et -troi sième division prévu article 20.

Art. 23. .— Les Sociétés classées quatrième et ciiiquiènio, sixième de cliaqu.e imiile disputeront

une épreuve do consolation dont les modalités Art. 5. — Dans eha(|UO division, les Sociétés seront élablies ]iar la C. P. seront groupées en poules de huit, soit deux Art. 24. — Les deux derniers de chaque poule poules en deuxième division, quatre eu troi disputeront une ])ôule de elasseuiciit (m'alch alsième. huit eu quatiièmo. .. 1er seulement sur taldo neutre) et les quatre Art. (j. — Dans co;n|ue groupe, les clubs ren I derniers de cette éiireuve disinilcroiit les barracontrent tous kfirs :iiversaires deux fois; une I ,ges avec les quatre j.u-emiers de quatrièine divi sion désignés conuiic il est dit plus loiip fois sur leurs propres tables et une fois sur les Art. 23. —. Cette épreuve de barrage se fora '■tables de l'adversaire. Soit au total: 14 rencon en poule, eliaque équipe rencontrant, les sept au tres. Ait. 7. — La C. P. uili(|ue pour ciiaque poule tres une seule fois sur table neutre, suivant les le numéro 1 à S affecté à cluique Société et indi règlements imposés par les Cli. do troisième sé

que lo calendrier des dates réservées aux qua torze rencontres. Elle réserve des dates pour les niatclies à rejouer.

Art. 8. —- Dan.s chaque poule de huit, les reiieontre.s eut lieu dans l'o'dre suivant:

Premier Jour: 1 ciiiitre"2, 3 contre 4, ô con

rie.

Los quatre clubs clas.sés en tête de cette poule Joueront l'année suivante en troisième division, ainsi que leurs équipes inférieures. Les quatre autres Joueront en quatrième divi

sion, ainsi que leurs équipes .inférieures. Art. 25 his, — Si des clubs classés dans une

tre - fi , 7 contre S.

Deuxième Jour: 2 contre 3, 4 contre 5, 6 con tre 7, S contre 1.

division venaient à disparaître entre la fin d'un championnat et le début de la saison suivante, le

Septième Jour: ^ contre ô, 2 contre 6, 3 con-

C. de Paris pourrait soit laisser la place dis-

fr.e 7, 4 contre S. ■ Art. !). — Ce soir-là on ne peut seratelicr dans, les tournois individuels les Joueurs qui parti cipent le même soir aux ehampionuats par équi))e.

jionible, soit faire monter d'après les résultats du barrage autant de clubs eu plus de la série inférieure, celle-ci se recomplétant d'après le

Art. 10. — Deux Sociétés ])euvent s'entendre sans en référer au Ch.ampionuat Parisien pour disputer leur rencontre un antre Jour de la se maine que celui indiqué, à condition que le résultat parvienne dans les délais prévus ci-après. Mais les i)articipants à cette rencontre déplacée peuvent être, le même soir, scratchés dans im ■tournoi individuel auquel ils participent. Art. 11. •— La Société dont une équipe déclare forfait lo Jour do ta rencontre est pénalisée d'une amende de dix francs, qui doit être versée

de la façon suivante : chaque capitaine donne sous pli clos avant le match la liste des cinq Joueurs composant son équipe numérotés do 1 à 5. On tire au sort laquelle des deux équipes pren dra les lettres A. B, C, D, E, qui sont alors données dans l'ordre aux joueurs 1, 2, 3, 4, 5. L'autre équipe affectera les lettres V, W, X, Y, Z dans 1 ordre de ses joueurs 1, 2, 3, 4, 5. Les vingt-cinq rencontres ont alors lieu' obli gatoirement dans l'ordre ci-dessous.

avant le match suivant.

cas

îéeidive,

l'équipe fautive peut être exclue du championnat. Art. 12. — Le forfait d'ime éfinipe peut entraîner le forfait des équipes inférieures de la même Société.

Art. 13. — Les résultats dos rencontres doi vent

être

établis

sur « feuille

match î>

fournie par la Commission de Paris. Cette feuille doit être eomplètément et lisiblement remplie, puis signée par les deux capitaines. Et lo capi taine de l'équipé gagnante est chargé de la faire parvenir, dans les délais prévus, au siège du Championnat de Parts, 34, rue Maibeuf. Art. 14. — Les réclamations, s'il y en a, doi vent être inscrites sur la feuille de match

accompagnées d'une somme de 20 francs qui sera remboursée à la Société si sa réclamation

est fondée, ne serait-ec qn 'en partie et même si lo résultat du match n on est pas .modifié. Art. 15. — Une victoire donne 3 points, un match nnl 1 point, un match perdu 0. - Les équipes sont classées dans chaque poule à l'issue de tons les matclies par addition des points

même mécanisme.

Art. 26. — Los rencontres entre clubs ont lieu

Art. 27. — Toutes ces rcmcontres ont lieu en

cune autre rencontre.

Art. 31. — Tout joueur doit être obligatoire ment en tenue grise (pantalon gris uni et che misette gris uni). Art. 32. — Si un joueur est absent, ou en te

nue irrégulière, ou hors d'état de Jouer à son tour (in:liqué à l'art 2C), il a match perdu, mais pourra disputer son match suivant s'il est là prêt à Jouer et en tenue.

Art. '33. — Une équipe ne présentant pas au

Sociétés comme

bon

leur

semlilc

sans

tenir

S'il reste des rx-œquo. ils seront départagés de la façon suivante. On les classoi-n d'après les'

compte du classement des Joueurs. Art. 36. -7- Un Joueur ne peut Jouer pour deux

résultats

équipes différentes du même club au cours de la

entre

eux

(une victoire :

ce classement est nécessaire.

Art. 16. — Le club le mieux clas.sé de pre mière division a le titre do champion de Paiis par équipe. Art. 17. — Les club.s classés septième et liuitième de pfeiuièro division disputeront une poule de barrage avec les deux iiremiers de la deuxième division, désignés comme il est dit plus loin. Cette épreuve, se fera en pouio. Clmqiic équipe rencontrant les trois autres une seule fois sur

table neutre, suivant les règlements imi)osés ])Our le cbamidonnat do première division. Les

deux

clubs

les mieux

classés

cette

épreuve joueront l'année suivante ou premiè:-e division.

Les dou.x derniers Joueront en deuxième divi sion.

ipême semaine.

Art. 37. — Un équipier quelconque ayant Joué une fois dans l'équipe d'un cliib ne peut plus descendre dans son club que de deux équipes au plus (soit en deuxième ou en troisième s'il a Joué une fois en première). S'il a J.oiué deux fois dans une équipe (ou flans une équipe suirérienrc), il ne iicut plus descendre que dans l'équipe immédiatement infé:-ieure (troisième s'il a Joué deux fois en deu.x-lènie, une fois en deuxième et nno fois en première).

Enfin, s'il a Joué trois fois dans une équipe (ou dans des équipes supérieures) il ne peut plus descendre.

3. — Toutes

tes

rencontres

auront

hou

on vue de leur

affiliation. L'affiliation comporte, pour leurs joueurs, de très importants avan tages. La cotisation annuelle, minime, ne doit retenir aucun club.

les

moreredis soir pour toutes tes équipes, premiè res et secondes.

Le Jeudi soir pour toutes les équipes troi sième et quatrième, sauf cas d'un accord entre tes deux Clubs intéressés. De toute façon les matclies devront être disputés avant te lundi do la semaine suivante. 4. — Les feuilles de match devront être re

tournées etiaque semaine au Comité de Paris pour te lundi soir, 21 heures, dernier délai.

^ fi . — Los barrages de troisième à deuxième division n'auront pus lieu. T.iu.s les Clubs avant disputé te champiomiat do deuxième division resteront qualifiés d'office, s'ils n 'accèdent pas

Xeilue

s'adresser à

A l'issue des poules éliminatoires do troisième division, te classement sera obtenu à la suite

d'une poule finale pour laquelle les trois pre

miers de chaque poule seront qualifiés.

Cette poule finale se disputo.-a selon la mémo formule que lo Chapipioimat proprement dit, en match aller seulement, sur terrain neutre, à raison do deux matches iiar semaine tes mercredi et ven

orfîcîelle

et obligatoire de I*iiig-I*oiig

à la première division.

Henri ARMAUD Fournisseur agréé pajr la F.F. T. T.

dredi "soir. Les Clubs classés 1"', 2°, 3", etc... jus<;]u'à ,9' de cette poule participeront l'année prochaine au Championnat de 2" division. Tous

les autres Clubs ayant disputé cette année te Cliampionnat de 3° division formeront cette di vision pour la saison 1934-35.

Tous tes Clubs qui n'auront pas été engagés

dans la compétition 1933-34 et tous tes nou veaux Clubs formeront la 4" division.

Chemisette gris-argent

DANS TOUTES LES DIVISIONS

6. Classement final. ^ Pour te cas où plu sieurs clubs se trouveraient à égalité de points, leur classement sera obtenu en teimnt compte du nombre des victoires de eliacun d'eux dans l'en

semble des rencontres disputées entre eux, dans la poule. Toutefois, si l'un ou plusieurs do ces Clubs a été battu par forfait par l'un des au tres, il sera d'office classé dernier de

ces

En coton :

l^.^O

frs

comme dit précédemment.

7. Tenue.

—

frs

En laine ;

œquo, et tes autres seront départagés entre eux

Trs

A titre transitoire, la tenue

officielle ne pourra pa's être exigée pour tes équi

pes inférieures de l'" division ni par les équipes

soie ;

des autres- divisions avant te 31 décembre 1933.

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laire.

h) Cbampinnnats de Paris 2" division : Chalet du Lac, Amicale de Colombes, Indo

clubs

5, place Saint-Augustin

1. — a) Les Olubs suivants sont qualifiés pour te Oliampiounat do Paris, l'" division : Stade Français, Raciiiig, Club de France Mon ceau, Ping Poug riul) de France, Ping Pong Club de Paris, Olympic, 0|iéra Ping Pong Club, Ping Pong fdul) Saint-Mandéen, Union Sco

aux

et à leurs membres

La « Eellak » établie sur les données

club ne peut plus faire partie de l'éfpiipe d'un autre club pour te même cliamiiioiiuat, môme s'il a obtenu le t"nu3fert do sa licence pour ce

Pantalon

IVO."! tables, après séleelton. ont 6Ui choisies par lu Poaêralion Française de Tennis de

.Irt. 38. — De tonte façon, un Joueur ayant commencé de disputer tes cliarapionnats pour un

Art. 1.8. — .1.708 équipes inférieures do ces clubs

suivent le sort dos equii>cs premières, c 'est-àdire changent cventuonemnt de division en mènutemps qu'elles. Art. 19. — Les quatre premiers clas,sés des deux poules do 2" divi.sion se rencontreront ou une poule de clasapinent (match aller seulement, sur table «leiitre). L? premier do celte é)iveuve aura le tifxî de cbnmpiuii de Paris de 2" divi«iim ; il sera qualifié ainsi que le 2" pour diapnte- lo baiTago division prévu à l'arlicle 27. Art. 20. — Les (|uatre dernier.- clns-sés des deux

compagnés du montani, soit 10 fr. par équipe.

Art. 28. — L'équipe gagnante est celle qui Art. 29. — Pour faire partie de l'équipe d'un club, un joueur doit être licencié an nom de ce club ; sa licence doit porter lo papillon de la saison en cours (blanc 1933-34) et elle n'est va lable qu'à partir de la date de la licence. Art. 30. — Si un Joiienr licencié ne peut pré senter sa licence, il sera passible d'une amende de 1 franc, payable avant de participer à au

deux forfaits.

obtenus

2. — Los engagements devront parvenir au Comité de Paris avant lo 15 octobre 1933, ae-

a le plus de victoires.

81 deux ou plusieurs clubs se trouvaient à égalité de points;'on mettra d'abord, après les autres, celui ou eenx' qui auront d'éclaté un for fait et derrière ceux-ci celui qui aurait déclaré

deux points; un match nul: un poini). Si cette méthode no les départage pas, la Commission permanente organisera une épreuve supplémentaire pour obtenir un classement, si

c) Tous' les autres CIuljs formeront la 3° divi sion.

les indications utiles

match de 3 sots.

moins trois Joueurs en règle est considérée comme ayant déclaré forfait, mais la G. P. pourra le dispenser de l'amende de 10 francs prévue à l'article 11. Art. 34. — Les équipes 1 de première divi■sion doivent comprendre an moins quatre équipiers français. Art. 35. — Les équipes sont formées paii tes

obtenus.

chine, Léupold Eellan, P. P. 0. du Cercle d'Asnières. Tennis Club do Franco, P. P. C. de la Nation, Lovallois Etoile P. P. C., Golfer's P. P. C., Club Athlétique des Sports Généraux, Red Star Olympic.

priés (le se faire connaître à la rédaction (lu journal. Il leur sera fourni toutes

Le Ping-Poug est on sport

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La partie fut acharnée, mai» dépourvue d'in térêt pour les spectateurs. Les deux joueurs jouant pendant une heure un ping-poug de dé butant, faisant une moyenne de 80 échangés par point. D. Giiériu l'emporta par 20/24 au

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lî"" Division

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M. joués Gagnés Perclus Points 1. Opéra "2. Rncing

3. P. P. 0. F... Salnt-Mandé .. >Stiide

U. Scolaire ..

7. Olympic. Si P." P. 0. P...

0 1 2 2 3 3 4 5

1 1 2 2 3

6 6 4 4 2

5 4 3 3 2 2 1 0

5 5 5 5 5 5 5

8 6 6 4 4 2" 0

Equipes 2"

fi. Opéra P. P. 0. F...

3. Racing Saint-Mandé .. fii, U. S.'olaire .. Stade 7: P. P. C. P...

3 4 3 4 ' 3 4

2 2 1 1 0

0 0 1 1 3 3

6 4 4 2 0 0

Equipes 3

li. Opéra % Saint-Mandé .

P. P. C. F.,. 4. U. Scolaire .. 5. Stade

P. P. C. F...

3 2 2. 1

3 2 32 3 3"

Saînt-Mandé . 3. Stade 4. U. SeoTalare .. P. P. G. F...

0 02 2 3

3 3' 3 2 3

3 1 0 0

6 6 2 0 0

Equipes féminines. l'o Mivisiou . 1 P. P. C. F... Stade

X .Saint-Mandé .

-4. Opéra Racing

3 4 3 t 2

0 1 2 2 S

3 3 1 0' 0

6 6 2 0 0

France

Le Montparnasse Sporting Club organise du 11 au 17 décembre 1933, sur ses tables, un tour noi de piug-|)ong (à l'exception du mercredi 13 : cliampioiiuat).

Du 20 au 26 novembre, s'est disputé sur les tables du R.C.P3I. un tournoi d'ouveiture de

Balle

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à minuit jusqu'au 8 décembre. Droits d'engagements : Messieurs et. daines

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Une organisation impeccable a pormi» de cons tater que le guide de l'organisateur du tournoi de M. Corbillou a porté profit daus toute la

La formule de ,

France.

U n y eut pas le moindre incident, et les joueurs furent d'une court-,oisie parfaite, ce qui est tout

Loebenbcrg, capitaine du C. P. Messin, a fourni une très belle partie contre l-lagiieiiauer

•étant qualifié pour le tableau final. Ce tournoi •comprenait en outre le simple dames et le dou

BRETAGNE

ble messieurs.

L premier tableau éliminatoire fut gagné par Mesmeur sur Toledo Junior. Très belle partie

•où le» qualités du joueur de l'Opéra s'affirmè rent très grandes. Mesmeur avait auparavant battu ■ Bernstein en demi-finale, le résultat do

inversé.

L'autre demi-finale opposait Huard à Toledo;

là encore, les deux joueurs pouvaient fournir im vainqueur.

Le deuxième tableau éliminatoire fut l'apa

nage de Bruuscltvicg ; celui-ci gagna en effet

"toutes ses parties assez facilement. Il battit en finale Petit qui venait d'éliminer Jacques Barabel dans la première demi-finale. La seconde •opposait Brunschvige à Barabel, partie sans "histoire d'où celui-là sortit tout à son avantage.

A noter dans les premiers tours du tableau ime -victoire de Petit sur Thiljault.

Mesmeur et Toledo, joueurs d:e seconde œrie.

Haguenauer et Brunschvige se rencontrèrent •dans la premièTe demi-finale ; le champion de France battit son adversaire après une partie très méritoire de Brunschvige. La deuxième

demi-finale opposait D. Guérin et Glickmann. •Celui-ci fut éliminé par trois sets à 1. La finale fut donc disputée entre D. Guérin et Haguenauer.

Devalois-Viguicr, 21-18, 21-14; Maltiien-Pelegrin,

cieux.

Enfin Mlle Tugendhat surclassa Mlle Hennés Tilly dont le jeu est par trop nidimeiitairo sur le revers.

Il semble que cette jeune pongiste peut faire des progrès si son jeu est moins nerveux et sa défense pins classique.

l-'2.5, 21-16; Desprès bat Bourneuf par 21-13,

21-1-0, 21-16; Legucvel bat Relou par 21-15, 22-20, 21-18; Çupas bat F. Briand par 21-16, 21-18, 19-21, 21-19; Herbert bat L. Briand par 21-19, 21-10, 19-21, 21-13; Majesky bat Cava lier par 21-11, 21-10, 21-13; Masson bat Jobic par 21-18, 21-9, "14-21, 17-21, 21-18. Herbert-Diibas battent Jobic-Relon par 21-12,

21-13, 21-18; Froment-Desprès battent Bobet-

Rcignard par 21-12, 16-21, 21-11, 21-11; Poignet-Leguevel battent Bournouf-Briand 21-.5, 21-8, 19-21, 21-19.

par

On d.it que deux joueurs de grande classe

viendraient renforcer le club diuardais.

L'Opéra Ping-Pong Club à Metz. — Le sym

pathique M. Cussenot. de l'Opéra P. P. C.,_ a présenté à Metz les equipiers du club parisien. Barna, Haguenauer et Mlle Tugendhat ont en

thousiasmé les messins qui se pressaient nom breux dans la salle du Cercle Pongiste.

M. Petel, de passage à Metz avec son fils Maurice, seconda le maître des lieux, le capi taine Babault, l'animateur du tennis de table en Lorraine.

Cliampîoiiiiiats

MouïBet

cfue les geands cliamploiis ont

tous adopté

•

berg qui domina littéralement son adversaire. Nous avons pu remarquer l'ardeur du match Morange (R.)-Stajncq (G.).

Le match gagné par le premier nommé fut très passionnant et les deux adversaires pre nant tour à tour l'avantag;e, point' par point, Le match le plus attrayant fut sans aucun doute celui qui opposait le jeune rémois Carré à Bernard do Charleville, oui se termina à l'avan

tage du premier nomme.

Cette réunion présidée par le sympathique M. Hatzfeld, se" termina par une gentille ré ception.

Le ping-pong se développe de plus en plus à Reims et dans la région, et nous espérons pou voir former bientôt des équipes dignes de re présenter la vieille province do Champagne.

"ÎVatomberg (R.) bat Albous (C.), 21-7, 21-7, 21-10. Morange (R.) bat Steiucq (C.), 12-21, 2117, 21-9, 21-19. Carré (R.) bat Bernard (C.), 1921, 22-20, 21-13. 21-13. Bruno (R.) bat Boulley (C.), 1.8-21, ''I-IO. 14-21, Rl-0, 21-19. Lott (G) bat Morange J. (R.), 21-14, 21-18, 21-9. Cliarbonncaiix (C.) bat Montgardien (R.), 21-18, 2111, 21-15, Hazard (R.) bat Tyckozinski (C.), 12-21, 21-1'2, 19-21, 21-19, 21-17. Ricliard (C.) bat Roger (R.), 21-19, 22-20, 12-21, 21-1.8, Mme Steineq (C.) bat Mme Badu (R.), 21-19, 21-19.

"Watèraberg-Bruno (R.) battent Lott-Stcincq

(C.), 22-24, 21-17, 21-13. MorangeMCarré (R.) battent Bornard-Boulley (C.), 21-19, 21-12.

succès autant par le nombre des engagements

que par la qualité des joueurs. • Placé sous les auspices de la F.F.T.T. et du Petit Provençal, Petit Marseillais, Madical de

Vauoluse, de l'Auto et de l'Intransigeant, cotte

manifestation ne pouvait que réussir. Des joueurs

do classe s'affrontèrent dans la salle des fêtes

Balle agréée par

13-21. 21-16, 21-17; Lacombe-Abrie, 21-16, 21-

13;

Combret-Amoiidieu,

21-13,

11-21,

21-16;

Mondon-Dumas, 21-12, 21-10. * Finale

Coiigras-Magnc,' 21-19, 17-21, 21-17, 18-21, 21-17; Dafour-Achard, 21-17, 2] t), 21-16; La.combe-Faure, 21-18, 21-19, 21-20; Mondou-Combret, 21-S,- 21-0, 21-10. Deini-flautc

Dufour-Ceugras. 21-9, 14-21, 21-4,21-17; Mondou-Lacombe, 21-10, 21-11, 16-21, 18-21, 21-13. Finale

Mondou-Dufour, 21-18, 21-16, 31-13. Tournoi pur éqnipis. l"' Tour

Raoux-Martin, 21-11, 21-5; Roiix-Gharpin, 21-17, 21-6 ; Raoux-Roux-Martiii.U.liarpin, 21-12, 21-13; Favicr C.-Peytior, 19-2], 21-13, 21-10; Favier F.-Coquelin, '21-18, 21-13; Favier C.-Favier F.-Coquclin-Peytior, 21-1.8, 21-16; PugotLouis, 23-21, 21-18; Amondieu-Diinias, 21-21-17; Puget-Amondieu, 24-22, 21-9, 21-17; Puget-Dumas, 14-21, 16-21; Amondieu-Dnmas, 21-9, 2115; Achard-Gautier, 23-21, 19-31, 21-8; Combert-Vallat, 21-18, 21-19; Achard-Combret-Gantior-ValVat, 21-13, 21-17 ; Sarrola-do Valois-Taciissel, w.-o.; Mondou-Dufoui-Andibert-Bonncau, w.-o.

2" Tour

Raoux-Favicr C., 21-13, 21-17 ; Raoux-Favier F., 21-8, 21-8; Raoux-Rou-x-Faviei F.-Favior C., 21-8, 21-18; Amondieu-Congra.s, 10-21, 15-21; Lacombe-Puget, 21-10, 21-12; Congras-LncombeAmondieu-Puget, 21-17, 21-15; Mondou-Corabret, 21-8, 21-8; Dufour-Aeliari'J, 21-14, 21-8; Mondoii-Dufoiir-Achard-Combret, 31-14, 22-20; Abric-Vila-Sarrola-de Valois, "W.-o. ; Demi-finale

Avignon. — Le .grand tournoi qu'organisait l'Amicale des Anciens Elèves d'Avignon, pour les 11 et 12 novembre, a remporté un très grand

Kit vente paftont

Dcvaloi-Favier C.,

3' Tour

Dans 1 ensem ensemble les -matches furent tous très

disputés.

MEDITERRANEE

la Raquette BAR]\A

2° Tour

Roux-Gras, 21-12, 21-10;

Magno-Roux, 21-14, 21-17 ; Oongras-de Valois, 21-16, 21-18; .èchard-Puget, 21-14, 17-21, 22-20; Dufour-Raoux, 21-l.s, 21-17 ; Faurc-Escogido,

Jaque d'Akmont. Voici les résultats de cette réuuioa :

bret-Taousscl, 21-12," 21-10; Amoudien-Charpin, 21-19, 21-16; Duba-Foi-fo, 21-5, 21-7.

ment à notre disposition par M. Laniei'. Ce match nous a permis d'assister à uue très belle exhibition du champion régional Watcm-

viUe-Piiig-Pong, daus la salle du premier étage de la Brasserie de Strasbourg, mise gracieuse

set par set.

LORRAINE

21-1.5, 21-14; Sarola-.A.mabrogi, w.-o.; RaonxVila, 21-19, 9-21, 21-16; Escogido-Martin, 21-6, 21-6; Faurc-Peytier, 21-14, 21-13; Aubert-Clavel, W.O.; Favier-Carbono, 21-17, 21-18; Com-

Reims. — Reims-Riug-Poug bat CharlevillePmg-Poug par 7 victoires à 4. Reims-l-'ing-Pon-g recevait samedi 25 novem bre en match retour la bonne équipe du Oliarle-

CHAMPAGNE

Çoste-Roux, 18-21, 15-'21 : Gra.s-Patron, w.-o.:

21-16, 21-16; Puget-Conil, 21-10, 21-9; AchardMatliieu, 31-16, 15-21, 21-16; Sniola-Raoux, 2117, 21-13", 18-21; Escogido-CmpieJin, 21-10, 2111; Valat-Faure, 16-21, 10-21; Abric-Aubert, 21-10, '21-13; Combret-Favicr F., 11-21, 21-18, 21-18; Amondieu-Marioii, w.-o.; Duma-Courmail, 21-13, 21-3.

leures équipes régionales.

Le tableau final comprenait un beau lot de

joueurs de première série : Haguenauer, D. Guérin,, Nu-ssenow, Purman, "Voisin, Gordon, Gilckluann, J.-C. Guérin, Friseh, plus Brunsebvigc,

comme le champion de France.

note émue, tant leur jeu fut classique et gra

Poignet bat Reignard par 24-22, 20-22, 21-18, 26-24, 21-11 ; Froment bat Bobet par 21-13,

gistes amateurs. Au cours de cette compétition,

à leur boiiueur. Voici les résultats : Tournoi individuel. — 1"' Tour

Trois juniors donnèrent aux siicctatcurs la

Dinard. — Dinard bat Saint-Mecii par 11 vic toires à 0. Nette victoire des Diiiardais qui s'aainoncent cette année comme une des meil

ce tou'.uoi excluant les joueurs

classes jjrcmièrc se-io a satisfait tous les pon

et n'a pas été trop surclassé. .Son style efficace

ferjiit de lui un grand joueur s'il était régulier

NOUVELLES

■=qui leur étaient réservés, chaque demi-finaliste

être

Alaisoii G. COIVVEar. OYO.WaX, ALV.

derniers qualifiés en poule de cinq sots. Une coupe au I""" des messieurs. Une coupe à la 1'" des dames, et dix autres

RÉGIONALES

nux

croise

pour les cliaUenges Sools et Aviz : 10 francs. Pour le challenge Burdiu Sports : 5 francs.

la saison de ee Club. La formule adoptée était la suivante r Tes joueurs non classés, do troisième •et do seconde séries, jouaient dans des tableaux

Bi'cféeée des ^eaiids Joueues

Ce tournoi comp'.-eud triiis épreuves ; Socils,

Aviz et Burdin Sports. Les engagements sont reçus dès maintenant au Montparnasse S]iorting Club," de 14 heures

Monceau

•cette partie eût d'ailleurs

IL(a nieîHeure

prix.

Tournoi du Racing Club' de

"RECTA

élimination du meilleur de ciu(| sets, les quatre

Equipes 4"'

1. Opéra

Le double inossieur» fut remporté par la fa meuse équipe Bolelli-Ozenne (pii triompha en fi liale de Hagueiiauer-Glickiiiann. Ceux-ci fornieiit pouttaiit une formation assez homogène. Au S.G. Montparnasse

du Petit Palais judicieusement disposée en salle de tournoi. MM. Mondou, champion du Langue doc; Diifour de Laverneido, Lacombe, Abrie, Escogido, Villa, Cougras, do Montpellier, Magne et Duma de Nîmes, Raoux de Chateaubriand, et d'autres bonnes raquettes de la région, rivalisè rent d'ardeur pourieonquérir la première place.

les Fédérations Françîdse et Etrî4iigèi*es

et j»onr les tournois inlernalioniinx;

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Congras-Roux, 21-7,

21-17 ;

Raoux-Lacombe,

21-13, 21-14; Congras-Lacoiiibc-Raoux-Roux, 21S, 22-20, 21-14. (Montpellier B gagne Châteaurenard de Provence, par 3 à 0); Dufour-Abric, 21-17, 21-14; Mondou-Vila, 21-11, 12-21, 21-17; Mondou-Abrio, 21-13, 21-11 ; Mondou-DufourVila-Abric, 24-22, 21-15, 21-18. (Montpellier A gagne Montpellier 0 par 4 à 0). Finale

Mondou-L.aconibe, 21-13, 21-9. 18-21, 21-14, 21-13; Mondou-Congras, 21-18, 1.8-21, 21-17, 2117 ; Moiidou-Dufour-Liicombe-Congras, 21-6, 2116, 21-17; Diifour-Congras, 21-19, 21-19; Dufour-Lacoinlie, 23-21, 21-18, 21-17. (Montpellier A gagne Montpellier B par .5 à 0). Montpellier gagne la (Joupe offerte par M. R. C'bambon, vice-|n'ésident .de l'E.P.S.

PING PONG

PRO DOilO A M. Garrigues Yice-PrôsidnnI cU' !;> F.F.T.T.

Au Coinilc du Aord Messieurs, J'aiiprends que vous demandez à' la F.F,

TARLE " ROERQUIA-SIX " Type homologué pur la F. F. T. T.

T.'i'. de faire suspendre Baïua pour avoir joué une exhibition à Bruay-cn-Arlois dans

Monsieur.

un club non affilié.

On a pu voir, depuis cpte nou.î vous ûles in.sinué (par soif d'honneui's ol de titres) dans notre sport, a quel point vous êtes per_ suadé de votre iinporlanee, le j'espcct que vous vous inspii'ez à vous-inf'nie et lu gra vité sans sourire que vous mettez en toute chose.

Aussi bien pouvez-vous juger que l'hon neur de vous servir et de refléter votre ab

sence de pensée doive être rerherehé. Je ne le nié pas et je .suis sûr cpie point n'est besoin d'aller jusqu'à Bordcau.v pour trou ver des complaisants. Vos démêlés avec M. Corbillon, leurs rai sons e.xactes et celles ai)parentps. tout cela m'indiiïère au plus haut degré. Que même vous lenti'z sur

mon

dos de réconcilier

Fn peu d'hisloiro. iT/L B. 1'. C. de Lille conclut une ren-

conlrc avec une équipe do mon rlub.^J'acconqiagnc donc à Lille les joueurs de l'ttpéra

UI%

un récent dimanche de novembre. Toul se

LA TABLE DE MATCH

passe normalement, comme à l'Iiabilude. Au cours de la soirée, j'ai l'occasion de

d'entrer dans la Fédération, avec

mille

joueurs licenciéi?. Je le renseigne de mon mieux sur les avantages de l'affiliation, sui' les formalités à remplir. J'ai la prétonlinn de m'entendrc à la propagande cl je pense que celle que j'ai l'aile à porté ses fruil-s

allon.k j'accepte de rn'arrèlcr quelques mi nutes à Bruay le lendemain avec Bariia, Haguenauer. Simon et Cussenot. J'accepte une petite réception au club de Bruay. Paroles échangées, coupes de mousseux. Mes joueurs cèdéul" au désir des vingt personnes pré

CONSTANT BGURQITIN.

MEDAILLES

PLAQUETTES breloques INSIGNES

COUPES ET STATUETTES POUR SOCIETES

demi-heure plus' tard, nous reprenons la route, et j'ai la promesse d'une enirée en masse à la F.F.T.T.

Celle promessème paraît tout à faij serondaire et, ne'doit en rien justifier à me.« y?ux l'iniliative que j'ai prise.. L'Opéra n'a pas disputé do malche.s. dans un club inlei-dil. Il .u'a pas organisé une exhihllion, comme vous dites élégamment, à Bruay. Nous n'avons rien fait, les cinq que nous étions, qui excède le droit qu'a un individu de jouqr au pi.ngrpoi]ig où bon lui plaît.-

Vous demandez la- suspéns-ion 'de'jjBajuià i parce que je n'ai pu vous accorder sa pré'sonce à ilnlle un dimanche que vous le dési riez. Voire dépit injustifié pourrait .«'expri mer par des gestes plus sportifs,-d'autant plus que vous n'avez aucune raison de de-

sur demande

souvenir de vos procédés et que-je, com prends maintenant, le point , do vue dos joueurs d^Artois dont la seule condition pour

■'entrer à la Fédération est de ne'pas faire partie du Comité du Nord. ' .

une petite fille de on:-e ans. Celle-ci, grië-' cernent blessée, fat trépanée d'urgence.

articles de caoûtclioUc manufacturés par la Leyland et Birmingham Tlubber C°.

2° Chaque concurrent pourra proposer cinq noms différents au maximum. Ces noms devront être le plus court possible 2 ou 3 syl labes, par exemple — ils devront avoir une consonnance euphonique, être de bel aspect, publicitaires en un mot. Ils devront si possible évo quer la constitution de l'article à dénommer.

, 3° Pour départager les concurrents qui enverraient les mêmes ré ponses, tous les participants du concours sont invités à envoyer un ou

plusieurs « slogans » (qui pourront contenir l'un des noms suggérés)

Caran-d'Acbe a bonne mine ». — « Globe, l'âme du citron ». « Palmo-

du ping-pong.un ca.s analogue à celui cité plus haut en àthlétisine, nous p.iUvons con

live : talisman de beauté ».

sidérer celui d'un joueur qui, dans le feu de-la jjartie, donnerait un coup de raquette màlencontreux dans Cœil d'un spectateur trop-proche de la table de jeu. 'Noqs avons

cours Leyland » en haut et à gauche.

vu qu'une jurisprudence a rendu' respon sables les organisateurs.

Un autre rîSque couru par les dirigeants

est celui d'un jouèlu' se blessant par leur faute. Un exemple: Un clou dépassant 'intérêts tes Bleuets et te Stade Bordelais' du pai-quet, un joueur bute dedans et se foule la cheville. Ce n'est pas une hypo conjoints et solidaires'du préjudice causé à leur-fille. thèse et le ca.s s'est produit. Les Bleuets tentèrent de rejeter ta faute Enfin les joueurs peuvent se blesser de de l'accident sur tés wirents, eux-mêmes, leur propre faute : Un joueur,, au cours pour défatU de siirreitlance et, à titre sub d'une partie, glisse et se blesse en tombant. sidiaire sur t'at.hjèli- du Stade Bordelais. Il ne peut évidemment s'en prendre qu'à Devant le tribunal, te Stade Bordelais -luimêine et 'cependant les dirigeants peu n'eut nuaine peine à .s-e tirer d'affaire .— vent faire quelque chose pour lui. Et là, n'étant pas organisateur de la. réunion — nous touchons un point très délicat, car ainsi que t'alhtèie qui affirma .avoir fait quoique désireux d'assurer à un joufur, au un tancer normal. cas où il viendrait à se blesser, une indem Le tribunal retint, en fin de compte, ta nité en rapport avec le préjudice qu'il a resporisatrilité des Bleuets, alloua 4.000 fr. ■ subi, les dirigeants du foot-ball, du rugby, du basket-bail, etc.., peuvent difficilement à ta famille, à tihe de provision, et com mit un -expert pour fixer les suHes juridi contracter une assurance de cette nature, ques qui découlent de ta responsabilité re dite (' assurance' individuelie ». En effet, dans tous les sports cités plus haut, le ris connue des Bleuets. que couru est très grand, et de-ce fàit,Be3 Voilà un cas typiqiie de jurisprudence en primes d'assurance très élevées, trop éle matière des responsabilité civile, des socié vées pour les ressources des jo.ueurs. en tés sportives organisatrices. La bonne foi général. Au contraire, dans notre sport, le de chacun est évidente. Mais il y a sujet risque existe, liien entendu, mais bien pins ■ à réparaiions et ces réparai ions incombent restreint, pas .assez pour qu'on le néglige, à t'oryanisateur La bonne foi n'est pas un mais suffisamment pour que'le coût de l'as motif absolutoire en l'espère. surance soit relativement faible et que.cha- ( Sociétés, assurez-Vous eontre ta responque joueur puisse en supporter la ch-ôrge. ; satrititè civile. L'ètémentuire prudence vous Donc, puisque les dirigeants des clubs • en fait un devoir. de ping-pong lè peuvent, il nous parait B'cn que cet arficle soit suffisant pour convainci'e les dirigeants de clubs de la être de leur devoir de prendre, en même ; temps qu'une assurance rouvrant les ris néces.sité de s'assurer contre tes conséquen ques de leur responsabilité civile, une assu ces de leur responsabilité civile, il nous rance individuelle pour chacun de leurs .semble iniére.ssant d'insi.stcr sur le tait joueurs. , ; qu'il est d'autres risques à couvrir.

Ic.s- parents actionnèrent en dommages et

D'abord, pour donner dans le domaine

nôm îjarticuîiér pour définir plus exactement les qualités de ce fameux tissu, le nom de « Leyland » étant un nom général désignant tous les

Un slogan est une formule à l'emporte-pièce qui frappe l'imagi nation et qui évoque les qualités du produit. Par exemple : « Le crayon

CONTRE LES RISQUES ClUlLS

football girondin, h's nieiwls de Smnt-PîerreuVAarUtac, avait iieii une réunion au cours de laquelle un attiléle du Stade Bor delais, lani'anl le poids, atteignit à la tête

les raquettes de ping-pong. La S. E. A. C. L, créatrice du tissu Leyland, désire trouver un

et qui servira de devise au tissu à pastille de la S. L. A. C. 1.

SOCiETES, ASSUREZ-VOVS

L'an passé, sur Ir- ierrnin du club de'

journal Ping-Pong et de la Revue des Articles de Sport, savent évidem ment que le tissu à pastilles en caoutchouc est utilisé pour recouvrir

1 " Le concours « Leyland » est ouvert à tous.

' CONSTANT BOURQ-UIN.

Nous reproduisons un article paru dans L'Aulo sous le titre; n Soci-étés, assurez-, vous contre les làsipies civils » :

à pastilles pour palettes de piug-pong, organise un concours. Tous lès lecteurs de la Revue du Tennis et du Ping-Pong, du

dans le même-cas-que lui. Mieux encore., .s'il

' Croyez.-Më.Ssiouf.S,'que je saurai garder le

Archives 37-21

giiam Riibber C, la plus importante manufacture du monde de tissus

CONDITIONS DU CONCOURS

une fois clé pl'U.s'pour le ping-pong.

Catalogue

La S. E. A. C. I., organisation de vente de la Leyland et Birmin-

aibrS qù'HagUenauer, Simon, Cussenot sojii

ire moi vsçul qu'elle devrait ]'êlf'e,)pul.squc

Tél. :

Concours "LEYLAIAD

inander une sanction contre Barna .«eul,

j'ai ,i/ri,s seul là .re,sponsabiliLé de ffaVnillcr

170, rue du Temple, Parie III'

Rensciguemculsdans Ions les mag-asins d'articles de sport

sentes- et font quelques balles entre eux. Un ,>

■ y avait.une-sanction à prononcer, c'est con-,

FABRICANT-EDITEUR

depuis un an. Comme nous roulons on voilure, que Bruay est .sur le, chemin d'Amiens, oi'i nous

obstacle.

C'est un plaisir dont Je ne me priverai pas et qui ne me coûtera jamais trop cher.

miODEEE

parier avec le dirigeant d'un groupemcnl important de la région de Béthune, désireux

M. Corbillon avec M. Quiry. je n'y vois nul Je vous prie siinplcmenl de ne pas dire que j'ai souhaité faire de mon journal l'or gane officiel de la Fédération française."Si j'avais eu cette pensée folle, je ne me le pardonnerais pas. Mais je ne l'ai pas eue. Moins que jamais je souhaite de per dre la liberté qui me |)prmet de m'adrosser à vous rie la manière qui me plaît, la liberté qui me permet de dire à d'autres et à vousmême ce que je pense.

8E1LJL

P. P.

4° Les réponses à ce concours devront être adressées à la S.E.A.C.l. 36, rue de Laborde, Paris, et l'enveloppe portera la mention : « Con 5° Ouverture et clôture du concours : Le concours commencera

le 20 novembre et sera clos le 15 décembre 1933. Seules seront admises

au concours les lettres portant une date postale comprise entre le 20 no vembre et le 15 décembre inclus. 6° Prix :

l"prix 2° prix 3° prix 4°, 5' et 6' prix

500 fr. en espèces 250 — 100 — 50 •

•

Soit au total : 1.000 francs.

Les résultats de ce concours paraîtront dans ce journal le 20 dé cembre 1933.

.- - j 1

Tous les noms et slogans primés deviendront la propriété de la S. L. A. C. 1.

CONSTITUTION DU JURY

Le jury est composé de : . . , , i i c ir i MM. l'Administrateur délégué et le Directeur général de la b. A. C. L

M. J.-B. Lefèvre, Secrétaire Général de YU.N.T.E.L.

M. Raymond Bigot, Directeur de la Revue des Articles de Sports.

M. Constant Bourquin, Directeur du journal Ping-Pong.

M. Jacques Quiry, Directeur de la Revue du Tennis et du Pmg-

^11 est entendu que le personnel de la S.L.A.C.l. et des journaux

mentionnés ci-dessus ne pourra prendre part au concours.