8° ANNÉE
MAI
N" 74
1952
REVUE OFFICIELLE DE LA FÉDÉRATION
FRANÇAISE DE TENNIS DE TABLE mwm. •lemim tarâw
Parmt
ceux
q^ui se
signalèrent
à Ret eirriéu JLu milieu^ en haut : René Rootkooft •—•
en has : J.-C. Sala
JLii-'dessus :
Ckristiane
atel
En bas, à gauche: Simone GltarJ ,
* p •
76, RUE DE RICHELIEU La nouvelle balle de match "S.P.O.R.T."
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TABLE S. P. O. R. T. est utilisée par la Fédération Française de Tennis de Table
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TENNIS
DE
TABLE
René ROOTHOOFT et Christiane WATEL premiers^^ incontestés de France
i£
Un autre jeune d'avenir : Jean-Claude SALA ENSEIGNEMENTS MAJEURS DES XXV" CHAMPIONNATS
La brillanlte semaine (jne nous avons vécue à Reims a-t-elle des chances de se
renouveler chaque année ? NouiS le croyons quant à nous et le nombre des per sonnes « du tennis de table » présentes à 1 occasion de la Semainle Fédérale doit nous convaincre qu'elle répond à un besoin et qu'il est nécessaire wufune fois par an, au moins, des assises plus que complètes soient tenues pour que l'ambiance
collective aidant, tout un chacun puisse se pénétrer de la réelle importance que prend notre activité.
Cette Semaine fédérale nous a prouvé, s'il en était encore besoin, que même si sa
date n'est pas parfaitement choisie (à la vérité elle prolonge singulièrement chaque année les vacances de Pâques), que même si son lieu de déroulement n'est pas facile
ment accessible peur tous, elle avait sa raison d'être et nous tirerons satisfaction de ce
res d'être respectés et aux joueurs- de pratiquer en toute quiétude. Que ce soit du corps des arbitres fédéraux ou des com missions régionales ou enfin des candidats arbitres, il s'e-st trouvé à Reims le nombre voulu de direc.ieur.s de jeu et nous vou ions ici les féliciter publiquement sans ou blier leur animateur, V. Stassart, qui ac complit à cette occasion une beso.gne d'inv-stigations et de diplomatie de-s plu--: profitables.
qu'elle a marqué plus encore que précédemment la grande cohésion qui règne dans notre Fédération où chacun apprend à se connaître dans un milieu qui, félicitons-nous
LES JOUEURS
en, n'a pas de cris!e grâce à la belle tenue de tous ses membres. L'icice de la Semaine Fédérale est sans
doute parfaite, mais il faut -dire que le choix fédéral était aussi heureux et que
la .capitale de la Gliamipagnc nous a donné toutes les facilités de la réaliser au mieux.
Des lieux de déroulement sportif et con
gressiste parfaitement agréables (tes Ré
mois î), il nous a été possible grâce à la compréhension générale et â l'obstination amicale du juge-arbitre J.-R. Domingo, d'assurer un déroulement exempt de cri tiques qui fit l'émerveillement des sportifs iiémois. lesquels n'attendaient pas une telle pi-éclsion dans une- organisation de
rie la chaleur anormale dans le Nord-Est
agréaible ù fréquenter et qui fut pendant quelques jours marquée dans sa paix par l'animiation que lui apportaient quelque cinq cents «étrangers» dynamiques. Il n'en fallait pas plus ipour que les visiteurs emportas.sont de Reims un très agréable sou venir tendant à confirmer que la semaine qr-s Championnats de France est vraiment la
manifestation-reine
de
la
Fédération
qu'il ne faut jamais manquer ce qui se eonOrme. puisque avec, .plaisir nous rencontrons' cliaque année les 'mlêmes sym-
palhiques visages et aussi beaucoup de nouveaux, ce qui tendrait à démontrer fmats est,-ce la peine ?) que le milieu pon giste attache beaucioup.
donné de voir des choses vraiment extr.i-
Jean BELOT
En sens -qp-posé il m'est possible d'écrire cinq jours. Certes, il a fallu pour cela aussi que d'aucuns venus de loin soient A
Reims le jeudi, mais ils ont compris qu'il y avait un gros effort à faire et ils ont compris que d'une part l'augmentation dti nombre de tajbleaux à faire disputer et d autre part la nécessité pour ceux qui arrivent dans leurs tours ultime® de ne
puis être sollicités continuellement, gui dait les organisateurs.
MERCI RÉMOIS
iCe pnéam'bule ne devrait pas .faire ou
Ou'il nous soit permis de remercier sin cèrement le Comité d'Organisation présidé par l'aimable R. Degouy, « premier » de Cliamipagne, ses collaborateurs- et tout na turellement le principal de ceux-ci, le Commi-ssaire général 'Vincent Torta, déjà insqu'i-ci bien connu par sa silhouette, par .ses -q-ualilés de joueur, maintenant complé tées par celle d'un o.rganisat6ur de pre
santir sur ctiaque compétition qu'il sera po.ssible au signataire de ce? lignes de irniter dos Championnats. Disons-, au préalable — satisfaction d'or ganisateur s.ans doute — que pour la pre mière fois et surtout grâce à la possibilité d'utilisation de 14 tables (merci aux Ré-
ordinaires au cours des Championnats V Avons-Pous a signaler comme l'an dernier à Valence l'importance d'un raz de marée qui balaya la cohorte des champions ins
tallés en tête du ping-pong .français ?
L'ORGANISATION blier au ichroniqueur sa tâche de traiter également les questions sportive.?, mais •soit parce que les épreuves étaient nomibrouses, importantes et toujours passion nantes à isuiv.re, soit parce que cet article ne pourrait Cire allongé indéfliiiment, soit peut-être égalamient parce que sont rares ceux qui ont pu •« être de toutes les par ties » dans le Grand Hall des Expositions on au Cirque, c'est sans beaucon.p s'appe
miers.., et les seuls, qu'il n'était pas in
ratiqn. Majs à la vérité no-us a-t-il été
en avril, pas plus qu ils ne l'auraient été d'une température inverse, ce qui pouvait une ville
évoqué les satisfactions fédérales et célé bré les mérites des organisateurs. Vous m'excuserez d'avoir inversé les rôles, mais vous êtes si souvent à l'honneur les pre juste d'associer, pour «ne lois, -ceux qui comme vous font la .grandeur de la Fé-ié-
mois ne peuvent être rendus responsables
tout aussi bien se produire)
Oui, messieurs les participants vous n'êtes pas oubliés ! Et il n'est pas ques tion de ne pas parler de vous après avoir
mier ordre qui eut aussi le mérite d-^ s'entourer d'adjoints non moins dévoués et compétents au premier rang desquels nous placerons le taciturne Parthenay, omnipp<''sent et infatigable. Il n'est nullement question d'ouiblier ceux qui dans une manifestation en assurent en majeure partie le succès : les arbitres, qui permettent aux horai
que Reims ne nous a sportivement rien appris ! 11 y avpit le dernier soir quatre hommes connus- : Roothooft, Amouretti, Haguenauer, Gentoq. et quatre joueuses non moins affirmées ; NVatel, Girard, DeIny, Girau-d. Qu'en déduire ? Nous avons constaté que René- Roothooft était bien le succe.s-
seur de .Michel Haguenauer dont il pourra, dans les années à suivre, prendre l'importan-oe. Q-u'Amioiiretti devenait une « légen de c'csi-à-dire -que l'on ne pouvait plus considérer qu'il était encore le grand
champion qu'il fut, ni Texécutant le plus parfait tant il « souffrit » au cours des éhminalnires et tant il fut ridicule (de
.sa faute) en finale. Qu'Haguenauer reste toujours accrocheur, mais que de plus en plus les longues épreuves et même tes lon.g.ues parties ne lui seront aceessible.= ■ivec profit. Que Genton débordé par I.ans-koy et à deux doigts de ta défaite : 0-2 et 10-20 s'accroiciha désespérément et prit, l'avantage sur -celui qui possède à la fois de la facilité et nn tempérament très faible,
fut
le
seul
à
donner
satisfaction
puisqu'il avait auparavant éliminé Rendrez.
{Suile page 4.)
TENNIS
DE
TABLE
o o o
LES JOUEUSES iMême opinion ahez les joueuses et une seule satisfaction qui n'es.t mallieoreuse-
ment causée par la championne ! Ch. Wntel, malgré ses 18 ans„ joue comme une «ancienne» et semble vraiment à chaque
matcli « prendre » sa leçon. Que cela suffi se pour gagner, d'accord en France, mais .qu'on ne croie pas que cela suffise pour faire une igrande joueuse. Les résultais à Félranger sont là pour le prouver. Satis faction de la .part de S. Girard qui a beau coup plu par sa crânerie (certes vouloir battre G. Wate.1 en attaquant sans arrêt, était peut-être un leurre) mais aussi par de gros progrès techniques qui lui don nent une attaque dont peu de monde soup çonnait la valeur et qui, lorsqu'elle sera mise au point (l'attaque... en lon.gueur)
lui vaudra des résultats importants. Un satisfecit sera à accorder aux deux
«semi-aniclennes » Delay et Giraud la der
nière ayant éliminé d'éxirême justesse la numéro 1 Béolet et la première ayant manqué d'éliminer la future championne après un match des plus « usants » pour les spectateurs et acteurs possédant l'a vantage dans le cinquième set à 7-3 alors qu'il restait 1' 15" à jouer II!
CONSTATATIONS
d'une intensité remarquables au point d'arracher à ceux qui connaissent ic pingpong députe longleraips., des cris d'admira tion
et
même
des
abscrvations
de ■« .Ta-
ra als vu » dans le monde ! 11 fallut pour cela (condition toujours essentielle), que les quatre protagonistes en «veulent». 11 fallut pour cela une certaine... vexation chez les « anciens » Haguenauer et Dubouille, marris de se voir battre en 3 sets secs (il s'en fallut de 3 points) cl aussi un certain IaiRsez-a:Uer chez les tenants du
litre Roothoo.ft-Lanskoy pour que les 25'' Cbanijiionnats se terminent en apotliéosn.
Militaires et Corpos On pourra dtecutcr longtemps sur le besoin éprouvé de faire disputer des coriipeiitions nationales pour les Corporatii's et les militaires. La supériorité des ga gnants à Reims n'étant pas en cause, que ce soit pour Cafiero et J. Delay en corpo-et Leprévost en militaire, l'initiative peut l'être, et j'avoue avoir été en partie con vaincu de la nécessité de laisser aux cor
poratifs le soin de prendre part à des compétitions iuler-établisscments dans le cadre des
corporations
ou
des Incaliiés,
IJes doubles, C. Watel associé à Amoii-
sans pour cela que ia « championnitc »
retti enlevait le nnixte sur une paire d'occasion formée à Reims: Delay et le
dé,jà à connaître en tennis do table) puisse
Nordiste
venir
Demulder
foncièrement
accro
cheurs et qui ne capitulèrent que dans les ilcrniers points devant la sûreté défensive de la .championne et du Niçois. Betlin.g-
Béolet, premières Françaises aux Interna tionaux en janvier à Paris, le restent à Reims, grâce à l'excellent travail de prcparalion de la première bien achevé par sa eo-6quipière. Les jeunes 'Wafel-Girard fi rent les frais de cette entente, mais je continue à douter que cet assem.blage de deux bonnes joueuses de simples puisse faire une bonne équipe, l'idée dassociat.ion ne semblant pas encore bien implantée chez elles. (Excusons-les, elles n'ont que peu d'exem/ples en France.)
(avec tous ses méfaits que l'on commence
fausser
l'idée
corporative
qui
turelles. De
même
chez
les
militaires
.■inssi. maintenue dans .le cadre de l'nccu-
palion du temps. Le but en général re cherché par les Fédérations sportives étant de donner à la caserne le goût et la possi bilité de pratiquer un sport pour qu'à son retour à la vie civile, le sport en question nuisse compter un propagandisie. et un
pratiquant de plus.
des dirigeants) au pessimisme (en par lant des joueurs), mais on doit la vér.ité à ses amis, et il me semble que l'on pou vait attendre mieux dans les tableaux des
pionnats. Si nous voulons parler d'avenir il nous faut constater que :
— R. Roothooft, 23 an.s. e.st maintenant devenu le champion; —• M. Genton, 20 ans, veut ej peut rede venir, ap.rès' une éclipse d'une saison mo tivée pour des raisons exlra-sportives qu'il y a pourtant lieu de rattacher à une rapide progression, un joueur solide qui devrait s'imposer;
LES CH^IVIPIONS 1952 Messieurs .
.
Daines
.
.
.
.
.
Christiane WATEL (Balmat de Paris)
Jean-Claude SALA (P.P.C. de France)
Juniors Féminines. Double Messieurs
Monique ALBER (C.P.H. Besançon) M. HAGUENAUER (P.P.C.F.) -
Double Dames.
.
Ch. DUBOUILLÉ (R.C.F.) H. BÉOLET (R.C.F.)-
Double Mixte .
.
S. BETLING (Guaranty C. Paris) Ch. WATEL (Balmat Paris) -
— Nos doux premières joueuses (préfi deux et que cela étant nouveau nous .pou vons par cet exemple arriver à faire pro.gresser rapidement le niveau national et international de nos joueuses; — Qu'un des rares matrhes qui nous remiplit d'espérance fut la finale du sim ple juniors où Sala s'affirma très fort et son adversaire Ross assez près de lui, Ions deux semblant se dé.gager des autres juniors à la réputation établie, tels Pra-
René ROOTHOOFT (P.P.C. de France)
Juniors
guration du classement ?) ont 40 ans à
G. AMOURETTl (Cavigal Nice) Corpo. par équipes
ESSO-SPORTS de Paris
dal Cerceau, Pétrement, Quetci et autres:
—
Messieurs.
Stéphen CAFIÉRO (U.S.B.H.V.)
— Que le niveau des autres tableaux
—
Dames .
Jeanne DELAY (KLEBER-COLOMBES)
.inniors et cadettes apparaît moins relevé que l'an dernier, mais qu'en regrettant, de n'avoir pas entrevu la ■« grande étoile dP demain», il se trouve quand même un lot
de jeunes pleins d'ambition et de dynamisnriie (deux polisseurs sur dix au plus !)
.
Lies Vainqueurs des Critériums 1952 Cadets
LES DOUBLES Parmi les choses remarquées à Reims s'il ne semble utile de nous approfondir sur le déséquilibre de la fi nale messieurs;
par contre il faut dire que la finale du double-messieurs fut d'une qualité et
Cadettes
Militaires par équipes
—
ii
ne .serait .peut-être pas très opporlun que les remous qui atteignent d'autres sports et gênent les compétitions civiles nous atieignenl. l'idée pongiste .pouvant être là
On excusera le signataire d'être tombé de la plus grande euphorie (en parlant
simples messieurs et dames de.= 25" Cham
est
d'occuper les loisirs du personnel par des distractions artistiques. spori.lvo.s ou cul
Fernand MERIAN (A.P.P.C. Lorient) Gisèle ARNAUD (Raq. Lentigny) C.M.F. Offenburg (F.F. d'Allemagne)
Individuels. Joël LE PRÉVOST (Ecole Navale Bordeaux)
tENNlS DË TABLE
Portraits de
Champions René
Roottiaoft
Le champion de France selmhle mainte nant dominer dans toutes les grandes occasions ses rivaux français de (juelques
points. Il a atteint une maturité et uns confiance qui en impoisent avant la partie, à l'adversaire comme
cela
s'illustra
L'Assemblée générale 1952 Le manque de place ne nous permet pas dans ce numéro de donner le détail des travaux de l'Assemblée générale te nue le 20 avril 1952 à Reims. Nous ne
manquerons pas de le faire dans le pro-
Election de la moitié des membres du Conseil
de
vant Haguenauer qu'il hattit par la sûreté
Suffrages exprimés
do sa défense et par ses contre-attaques
Bulletins
placées au milieu de la table alors que
Majorité absolue .
« l'ancien » était encore en mouvement, ou comme devant Amouretti qu'il se contenta de suivre.
On retiendra que de tout le Champion
nat il perdit un seul set et ce sera le
Fiinfschilling Domingo Agopoff
j'ai dans les yeux une récente rencontre
Vieille
,
123 112
— —
106
—
Approbation die la situation financière de 1951 Suffrages
exprimés
494
Bulletins nuls
88
Majorilé absolue En
204
faveur de l'approbation ; 390 voix
contre 16.
avec Bergmann où le revers s'avéra aussi
payant pour lui que le reste de son jeu.
CHristtane
Watel
Aussi peu loquace que son compère, la
plus solide de nos joueuses n'en a malheureusemenlt pas le panache et s'il n'est pas
question de la considérer, à l'instar de b&VlAX
midité, on peut constater néanmoins qu'elle manque de dynamisme. Sa défense est pratiquement — pour le moment —
« impassable » en France, mais je lui re procherai de se comporter d'une manière trop neutre et de ne pouvoir réusisir à trioimpher que face soit à des pousseuses
(elle peut les user toutes tant elle ralen tit le jeu et s'applique) soit à des attaquan tes trop irrégulières (comme Béolet) ou trop tendres (comme Girard).
Et pourtant .chacun sait que Ch. Watel est la joueuse de France qui frappe le plus fort, qui possède le revers le plus meur trier (peut-être) du monde! Les initiés sa vent aussi que ses deux coups décisifis ne sont utilisés que dans des cas désespérés, ei qu'il leur faudrait une préparation pour
être réguliers, combien nous aimerions la
Le Conseil Fédéral A la suite de l'As.seniblée générale ordi nalre, le nouveau Conseil s'est réuni pour désigner les membres de son Comité de
Direction, ainsi que le Bureau fédéral. Ont été élus :
Président: M. Jean Prulière; Vice-présidents: MM. Eugène Plantrou, Pierre Ceccaldi;
Secrétaire général: M. Jean Bélot; Trésorier général: M. .Tean FunfscliiJling. Le Bureau fédéral (qui se réunira au minimum, une fois ipar mois), sera com
posé de MM. Jean Prulière^ Eugène .'^lan-
trou, Pierre Ceccaldi. Jean Èéloi, Jean FunfscMUing, membres de droiit et de MM. Jean Mercier, André Mercier, Mau rice Thorot le Duc, membres élus.
Notez bien...
poe dela Victoire
même au risque de! résultats moins con
Paris t9^>
Jean BELOT.
C. Sportive
Fédérale:
M. Jean-René
Domingo; C.C. des Statuts et Règlements: M. Jean Mercier; Comité de Sélection: M. Jean Prulière,
Président; MM. Jean Bélot, Pierre Cec caldi, Jean-René Domingo.
Deux importantes décisions Le Conseil de la Eédération préparant l'organisation de la saison 1952-53, en fonc tion de rtmiportance prise journellement par le tennis de table, étudie actuellement plusieurs aménagements importants. DELIMITATIONS
TERRITORIALES.
—
Do 25, le nombre des Ligues régionales passe à 30, de par le découpage de trois T.îii-npc actuelles. P.'pcf nnp le Ip "nfliinhiLigues C'est .'-linQî ainsi que Dauphiné se scinde pour former la Ligue des Alpes (Isère, Savoie, Haute-Savoie, HautesAlpes) et celle du Dauiphiné (Drôme et ne comprend plus désormais que les dé partements du Vauclu'se et des Bouchcs-du Rhône. La Ligue de Côte d'Azur est créée avec. les Alpes-Maritimes, les Basses-iALpes et le Var.
Enfin i'An'jou-Orléanais qui était la plus imiportante (géographiquement .parlant) ligue de la Métropole, se transforme en quatre nouvelles Ligues qui sont : l'Atlan
tique (Loire-Infériem-e, iMaine-et-Loire et Vendée), la Tciuraine (Indre-et-Loire et Sarthe), le Berri (Cher et Indre), l'Orléanais (Loiret, Loir-et-Cher et éventuellement 1 Eure-et-Loir).
MRTATIONS. — Le nôgime actuel des transferts est modifié pour être sensiblemient celui préconisé dans son rapport mo ral à l'Assemblée générale par le secrétaire général RI. Jean Belot. Les grandes lignes du nouveau régime prévoient la suppres sion dos licences A et B et, l'existence d'une licence ordinaire. Toutes les mutation.s accordées donneraient droit à une" lioence
voir se libérer de cette attitude négative qui l'amène en bout de table, le buste incliné faisant angle droit avec les jambes en train de recueillir posément la balle sur la raquette et de la remettre en évitant toute faute, et se livrer beaucoup plus vaincants... au début.
C.C. de Classement: M. Jean Lemena-
-Ardèohe). I^a Provence conserve son titre, mais
j
Roothooft comme affligée d'une grande ti
C.C. des Arbitres: M. Georges Millet:
—
148 voix 126 —
Corazzinf Crisafulli
sentation «'spectaculaire » de Roothooft ne
près du filet. L'absence de revers enfin
—
—
336
.VIM Bajetix B-ilumer
Ces critiques comme celle visant la pré
ne sera plus bientôt qu'un souvenir car
—
419
414
404 — , 400 364 —
Torck
Commissions :
Ont obtenu en outre :
avantage.
çais à pouvoir attaquer une balle à n'im porte quel endroit de la table et surtout
422
Millol
Le Conseil a procédé à la désignalion des responsables chargée de comipoeer les
C.C. Corporative: M. Jean Mercier: 424 voix 423 —
Me.rcior J
Commissions techniques
gcr;
ELUS
Bélot
observées dernièrement à Londres et qui
doivent pas nous faire oublier que ses progrès techniques sont incessants, que son attaque est de plus en plus rapide et régulière et qu'il est un dos rares Fran
244
-MM. Plantrou Ceecaldi.
qui engendre un laissez-aller qui lui coûta (ainsi qu'à Lanskoy aussi distrait) le titre. Facilité et distraction que j'avais déjà
tement depuis quelques années et je dois dire que là aussi celui-ci n'est pas à son
7
SOmT
meilleur compliment. Par contre j'ai re trouvé en double-mqssieurs cette facilité
no me semblent pas dignes d'un champion. Quant au double-imixte les circonstances m'ont lait approcher de pré,s son compor
494
nuls
chain pour l'édification de nos lecteurs. Nous publierons dans notre prochain numéro, tous les résultats détaillés des différents tableaux des championnats et critériums joués à Reims.
L'adresse de la Fédération est
la
suivante :
F. F. T. T., 60,
portant la mention M (Mutation) et dans toutes les épreuves par équipes de la Fé dération et " des Ligues, les Associations ne pourraient piiésenter qu'un joueur titu laire de cette lioence •« M s. par équipe. Le
idêtail complet de la nouvelle méthode des transferts sera publié dans le prochain numéro (mi-juin) de Tennis de Table, L'attention des dirigeants est attirée sur le fait que la période des miutations est
fixée pour la saison 1952-53 du 15 juin au 15 juillet 1952.
TENNIS DE table
SIMPLE
MESSIEURS
Lanskoy
Lanskoy 10, 17, 19 Tibi
Genton —16, —12, 23, 15, 14 Bordrez
Genton 19, —9, 17, 11 Genton
AMOUBETTI 13, 26, 13 Cafiéro
Cafiéro 15, 15, —15, —17, 14 Sala
Amouretti 8, 11, —14, 9 Aubin
Amouretti 13, 14, 11 Amouretti Haguenauer
o
Haguenauer 6, 16, 10 Plisson
Haguenauer 10, 18, 18 Devos
Agopoff 18, 11, 18 Agopoff
BOOTHOOFT 15, 19, —14, 16 Collier
Dubouillé —18, 15, —20, 10, 18 Dubouillé
Boothooft 13, 13, 14 Hamard!
Boothooft 9, 13, 14 Boothooft
SIMPLE
DAMES
Bêolet
Giraud —11, —12, 14, 18, 25 Giraud
GIBABD 19, 17, 15 Vannoni
Girard 14, 19, 16 Girard
WATEL 19, 16, 13 Delay
Delay —21, 15, 19, 12 Betling
WATEL 14, —7, —9, 16/11, 9/8 Brémond
Watel —22, 11, 16, 15 Watel
SIMPLE
JUNIORS
Bradai
Pradal 19, 16, 17 Lager
SALA 20, 13, 10 Nubois
Sala 7, 14, 13 Sala
SALA 19, 16, 15 Cerceau
Cerceau 11, 12, —16, 15 Petrement
BOSS 19, —14, 16, 14 Artiguee
Boss 14, 17, —14, 13 Boss
;• il 1 1 1 I I
■
TENNIS DE TABLE
DOUBLE
MESSIEURS
Amouretti-Cafiéro
Amouretti-Cafiéro 12, 13, 17 Bruneaii-Fauvée HAGUENAUEB-DUBOUILLE
11, —15, 12, 18 Genton-Pautou
Hagucnauer-Dubouillé 8, 12, —^20, 13
Haffuenauer-Dubouillé HAGUENAUERr-DUBOUILLE
—19, —10, 18, 12, 19
Açopoff-ljarcade Agopoff-Larcade 17, 15, 18 Boidiii-De Tolédo BOOTHOOFT-IANSKOY
11, 11, 17 Lliomme-Ragot Roothooft-Lauskoy —19, 9, 11, 7 Boothooft-tanskoy
DOUBLE
DAMES
Béolet-BetUng Béolet-Betling —18, 16, —21, 19, 15 Vias-Brémoiid'
BEOLET-BETLING 18, 18, —20, 18 Vannonl-Bamos
Watel-Girard 23, 15, 19 Watel-Girard
DOUBLE
MIXTE
Betling-Haguenauer Delay-Demulder 17, 18, 14
DeXay-Demuldcr DELAY-DEMtJLDEB
—21, 8, 13, 14 Bamos-Lhomme
Bamos-Lliomme w.-o. Brémond-Genton WATEIi-AMOURETTI
16, 18, —20, —12, 11 Béolet^Cafiéro
Béolet-Cafiéro 12, 11, 14 Bougagnou-Grébonval
WATEL-AMOURETTI
—6, 19, —19, 10, 15 Tourolle-Plissoii
Watel-Amouretti 16, 18, 11 Watel-Amouretti
1
SIMPLE
t.
JUNIORS
FEMININ
Arnaud
STRIGLIONI 16, —15, 8, —9, 20 Striglioni
ALBER —16, 21, 19, 18 Alber
ALBER 14. 15, 18 Rcgnault
TENNIS DE TABLE
FKux Championnais du Monde
La technique européenne A FAIT FAILLITE...
La raquette iu Ckampion du Monde
raquettes rondes : tout cela s'est vu à Wimbledon.
En dehors'de la raquette du type Satoh, le Tennis de Table a connu les raquettes
N
OUS devons à l'amabilité de l'Hon. Ivor Montagu, Président de la Fédération Internationale, de pouvoir présenter à nos lecteurs un article d'une qualité exceptionnelle relatif au déroulement des Championnats du Monde et, plus particulièrement, à la victoire du Japonais Satoh.
La plupart des dirigeants de la Fédération Française avait déjà eu le plaisir d'écouter le « premier » de la Fédération Internationale à l'occasion du banquet du Jubilé, et il avait été grandement apprécié de ses auditeurs pendant son allocution ayant trait aux épreuves de Bombay. Nous pensons que nos lecteurs feront leur profit des lignes qui vont suivre et nous en remercions bien vivement leur auteur. TENNIS DE TABLE.
La victoire éclatante que H. Satoh (1) b) de donner à. la balle une vitesse inha a remportée dans le Simple Messieurs dos bituelle (autrement dit, les joueurs Championnats du monde, en utilisant une non accoutun-jés à ce procédé sont décontenancés par la différence de vi raquette recouverte de caoutchouc mousse, a donné naissance à une bruyante cam tesse qui existe entre une belle « mol le » consécutive à un blocage sur la pagne contre ice procédé et contre la régie, raquette et une balle attaquée fran qui l^utorise. chement, de plein fouet, ou encore le Cette agitation est due surtout à un sentiment de panique de la part des gens . renvoi en demi-volée d une balle d'atta que adverse) ; mal informés, ou bien à leur goût du sen sationnel. Un rappel des faits ne serait pas inutile. 1. La surface de. la raquette de Satoh est formée d'une
par Yvor MOISITAGU
couche de caoutchouc
mou, spongieux, poreux, ayant une épais la
c) d'au.gmenter l'effet de surprise, en ce
moitié de cette épaisseur, elle ©sL encas trée dans une palette de bois carrée,
qui concerne la vitesse et la direction
d'une balle d'attaque, par la suppres
comme une toile dans un cadre. De même
sion du
que la gomme molle à effacer, ce caout chouc s'effrite et se rompt facilement. Aussi, pour éviter l'usure due aux chocs qu'elle pourrait recevoir pendant le trans port, .Satoh conserve isa ruquetle dans
coup.
seur
d'environ
une iboîte
comme l'on
à
huit
millimètres. Sur
intérieur
molietonné, tout
protège une
raquette ordi
naire par une enveloppe de toile. Le caoutchouc mousse permet : a) de :communiqupr à la balle un effel d'une intensité inhabituelle (autrement
dit. l'intensité de cet effet ne peut être calculée par l'adversaire en fonction du mouvement de bras qu'il voit, inter prété en s'appuyant sur l'expérience qu'il a de la raquette ordinaire), ;
(1) Résultats de Satoh : Koczian. 19, 17, 14 ; Roothooft, 19, 15, 19 ; Sido, — 19. 20, 4, 13 : Bergmann, — 10, 13, 15 ; Leaoh, 18, 10, 13 ; Amouretfi, 5, 8 ; Reismann, — 18, 12, 15, 12 ; Lanskoy, 12, 10 ; Van Lieu, 8, 5, 12 ; Cafléro, 10, 14 ; Braun,
'6, 20 ; Than, 14, 15 ; Jayant, 10, 7 ; Dé, — 20, 1.3, 17 ; Lim T.V., 14, C ; LMai-bonr, 10, 3 ; Shérif, 17, 13 ; Gonzaives, 5, 11 ; Ramos, — 16, 15, 23.
en bois, en parchemin, en papier de verre, en boyaux, en cordes métalliques, sans oublier
2. L'article 4 des Règles du Tennis de T-ablc (« La maquette peut être faite d'une matière qucloonque ; ses dimensions', sa
taille et son 'poids sont indéterminés...») ne constitue pas une rouerie extraordi naire ni une erreur de la part des véné rables fondateurs do notre sport. II est conforme au génie et à l'histoire de la catégorie de jeux a laquelle le Tennis de
Table appartient. La .taille d'une «batte» de crk'liot est
limilée il est vrai, pour des raisons évi dentes se rapporiant à son .rôle et aux dimensions du «guichet». Mais il n'existe pas de règle définissant ou limitant en aucune façon la raquette empioy'ée au tennis, au squasii ou au Badminton. On a commencé à jouer au tennis avec la main recouverte de cuir, puis avec des cordes tendue.s par-des.sus la paume. P'Uis avec une plaque de bois, puis avec une
mince
et dur
caoutchouc
a
usage. 11 est boiï de' se souvenir que, pas plus tard qu en 1926, les partisans do la raquolte en bols réclamaient rinterdiction de la surface dernière nommée, en allé guant qu'elle «.faussait» le jeu. Longtemips ■ avant que la victoire de Satoli eût mis la puce a roreille d'un cer
tain nombre de gens, mais ti'op tard pour que le Congrès de l'I.T.T.F. à Bombay pût s'en occuper offlciellement, la Fédé ration japonaise avait proposé d'adopter une définition des caractéristiques régle mentaires de la raquette. Interrogé sur les raisons de cette proposition, le repréntnnt du Japon répondit qu'il paraissait logique de procéder à une telle définition, qui consacrerait soit le caoutchouc dur, soit le caoutchouc mousse. Avant do décla
rer cette mesure nécessaire, il serait peutêtre
bon
du
de songer
caoutchouc
dur
que et
la du
coexlstence caoutchouc
mousse au Japon ne semble pas avoir porté atteinte h la popularité de notre sport dans ce pays' (qui compte 250.000 joueurs insicrlts), pas plus qu'à sa valeur lechnlque, à ses qualités spectaculaires
ni il son allant (témoins Fuji!, Hayashl. Narahara et Nishlmura).
Le mousse en... 1900
bruit lors de l'exécution du
Les variétés de raquettes
le
picots qui est aujourdhui courant. Les dimensions le.? plus diverses ont été en
3. Le caoutchouc mousse de Satoh et le
■'OU pratiqué par celui-ci ne sont pas des nouveautés.
A entendre certains, on pourrait suppo ser
qu'ils
ont
oublié, 'oue
l'année
der
nière, à Vienne l'Autrichien Pritsoh, uti lisant le caoutchouc mousse, a battu une série de joueurs de tout premier plan, et que cette année il était dassé parni! les dix premiers joueurs du monde. Dn pourrait supposer également que les amateurs Anglais ont oublié Charles
Dawes de Bristol, qui, il .y a peu de temps, battit trois internationaux à. la fil© aux Giiarapionnats d'Angleterre, en emploiyant le caoutohouc mousse, et qui, plus récemment, faillit encore donner la Coupe Wilmott à son équipe.
Et voici qui jette une lumière singu
lière
sur le soin avec lequel
on lit la
revue officielle de la Ifédération anglaise ; pas un des membres de l'équipe d'Angle terre, stupénée .par Satoh ne semblait avoir
saisi
le
sens
.de
l'interview
dans
raquette k manche court. J^e Lawn-Tennis a connu les 'cadres en métal, les cordes
laquelle, il y a quelques mois seulement, notre vénéré vice-président P.-E. Warden.
mlétailiques, les grandes maquettes, les
aujourd'hui âgé de Si ans, 'exprimait Topi-
TENNIS DE table
nion que le style autrefois pratiqué par
n'était pas
l'équipe
sans transition, les mitrailla au point de
iui mettrait les modernes en déroute s'il ressuseilait do nos jO'Urs 1... La raquette de P.-L. Wardcn, qu'il avait fabriquée lui-
américaine de la Goupo Davis '! Que dire
les transformer en « passoires ». N'étaitce .pas un spectacle fascinant, plein d'art et dix fois plus enlhousiasmant que toutes les explications qu'on.t entrle elles Je-s
même comportait un caoutchouc à picots recouvrant un velours épais, collé sur le bois. 11 fit ses débuts avec cette raquette en lOOO-iflOi et, bien qu'il ne fût plus tout .jeune en 19-20, il continuait encore
h pousser les meilleurs des modernes jusque
dans leurs djcrniers
ments. Sa
défense
était
retranche
exactement
ia
mômq que celle de Satoh, c'est-à-dire qu'elle consistait en balles molles extrê mement travaillées, mais il n'avait .pas les foudroyantes attaques-surprises de Satoh. G.-W. Doc'lie.r, pendant lon.qiemps. se
servit de ouaté ou de caoutchouc mousse pour garnir ses raquettes. J'en ils autant pendant plus de vingt ans. Nous jugions alors que la rencontre de la balle avec une surface molle facilitait le jeu pour les myopes (soit dit en passant, Satoh
porte des lunettes et il est le second champion du monde qui porte des lunet tes : le premier fut Kolar). Le
caûutcliouc 'inousse
est
utilisé
do,
nos jours par des joueurs Français aussi bien que par des joueurs Autrichiens et Anglais. Nishimura s'en servit à Bombay pour attaquer sans relàclie. Elle n'a pas semblé, pour cette tactique, en tirer un avantage appréciable par rapport à Sa coéquipière Narahara (qui employait un
çaoulohoue ordinaire, dur et à picots). Aucune de ces joueu.ses n'a été assez forte
pour déré.gler les magiiiflques défenses conpée-s de Rozeanu, Farkas, Prltzi, Elliott. bien que l'une et l'autre, attaquant en
balles fortoir.;ent liftées, aient pu contrain dre les jumelles Rowe à se réfugier dans
la défensive, les rendant ainsi vulnérables (tout comiine le fait Wertl avec une ra(inetle oi'thodoxe).
Satoh doit sa victoire, non à sa raquette, inaig à son adresse et à rintelligence avec laquelle il exploite les possibilités de son instrument.
même
memibre
de
du vainpiueur do la Coupe do Football V Le champion est isupérieur aux autres le jour du championnat. On ne peut pas lui en demander davantage.
La qualité de jeu 5. Ou laisse entendre que la façon dont Satoh a gagné ses maldies a gâché le jeu .pour les spectateurs. Voilà q.ui est absurde. Lorsque leur attention fut atti rée
sur
l'entliousiasme
munifeste
des
spectateurs et le plaisir que ceux-ci pre naient aux matohes de Satoh, les déni greurs afllrmiôrent que seule la nouveauté en était la cause, que le public dispa raîtrait si ce style se généralisait, etc... Ce n'est là qu'une hy.poUiôse fondée sur une autre hypotiiése. N'importe qui pO'Urra se procurer une raquette comme celle de Satoh, mais combien sauront en jouer aussi bien que lui ?
Un a prétendu que cette raquette donne
à son piossesseur un avantage •« injuste », qui fausse le jeu, et qu'il faut donc 1 interdire icomme on l'a fait pour la halic de service travaillée avec les doigts, La comparaison est fausse. Un joueur qui donnait de l'effet avec les doigts pou vait gagner par une marge confortaible la
'.najoritè des services, et par conséquent io match, sans posséder nécessairement une adresse particulière au Tennis di Table (par exemple, dans le maniement de la raquette). .Avec .une raquette souple, un joueur ne peut briller que s'il est e.xceptionnellement intelligent et habile dans tous les compartiments du jeu. On a prétendu que la méthode de Satoh, qui iconsiste à « étouffer » l'adversaire, à l'entortiller pour ainsi dire dans une vaste et molle taie d'oreiller, manque de
beauté et n'est pas spectaculaire. 1.1 est vrai que deux .cogneurs se sont « cassé le nez » sur Satoh : Sido et Reis-
mann.
Le
premier, cependant,
victimes de Satoh ? Que des esprits non prévenus (et même n'importe qui, en
dehors desidites victimes), puissent sincè
semblait
rement soutenir le contraire ; voilà qui me .paraîtrait incompréhensible.
L'avenir de Saloh G. Satoh
n'est
nullement invincible.
11
parait que, sur les 250.000 joueurs Japo nais, une cinquantaine utilisent la raq,uette souple. Ils n'enlèvent .pas les champion nats pour autant, et plusieurs Japonais battent Satoh régulièrement.
En se rendant à Bombay, les m.embres de l'éq.uipe japonaise ont disputé un match à iHong-ilÇong et ils ont assisté à la défaite do
Saloh. Les
dirigeants
de Hong-Kong
disent qu'une trentaine de leurs joueurs
utilisent également du caoutcliouc naturel, non traité. Ils sont liabltués à ses effets, et ils ne craignent aucunement Satoh. Il sem ble q.ue celui-ci, au Japon comme à HongKong, soit battu priucipalement par des attaquants (miais qui attaquent avec cœur).
Si l'on peut .parler de chance dans le cas de Satoh, c'est uniquement parce qu'il n'a pas e.u à jouer contre quelqu'un qui l'eût déjà rencontré avant Bombay, ni à jouer deux fols
contre
le même adver
saire à Bombay. Gela tient aussi à l'acci dent de Simons, qui était en excellente
forme, comme lé prouvent ses victoires
sur Hayashl et Fujii. Habitué au, jeu do Dawes, dont il fut le coéquipier, il pos sède lui-même exactement de style qui convient : .chop bas et une attaqueéclair. (L'habUuide est certainement d'un grand secours. A 'Vienne, Fritsch fut éli
miné facilement en simple par un joueur qu'il avait battu dans les rencontres par équipes, mais qui avait eu le temps de pencer sa taolique à jour. Et Tannée même où il abattait comme des 'quilles les Inter-
nationa.ux Anglais aux Chamipionnats d'An gleterre, Dawes ne pai'vint pas à rem porter l'épreuve réservée aux vétérans. Les « vieux de la vieille » ne sont pas
digne do ce nom 1...
avoir résolu le problème et avait le match en poche, et Reismann a perdu cotte année devant Ehrlioh, Roothooft, Amouretti et même Freundorfer. Et que de fois nous avens vu Sido s'effondrer pareillement devant dos défenseurs orthodoxes et pour la même raison : ses nerfs craquent et il renlro dans sa coquille (d'où un jeu sans
Logiquement et historiquement, l'argunucnt est faible. Les titres mondiaux, et ce
caractère, qui n'est ni de la défense de l'attaque).
ques,
Le gagnant de Bombay 4. Certains disent que Satoh, n'étant pas
le premier joueur de son .pays (il est classé n° 5), a été- favorisé par la chance et qu'il n'est pas un champion du monde
n'est .pas le cas seulement pour le Tennis do Table, sont souvent ga.gnés en toute justice par des joueurs qui savent s'éle-
ver à la .hauteur dos ciroonstanoeg {^ h ■ vrai dire, dant toute Thisloire du Tennis de Table, seul Barna a fait du Simple messieurs une éprouve dont le résultat était connu d'avance). Lorsque Perry rem porta son titre, c'était sa première vic toire dans un tournoi ; il était alors classé 11° 3 d'Angleterre, et il fut b.attii celle
ni
Mais ce qui a isurtoiit .fait pousser les
hauts cris, c'est la suprême aisance avec laquelle Satoh s'est .débarrassé de joueurs à la renommée mondiale qui avaient essayé de lui mettre l'épée dans les reins : Bergra ann, Leaoh, Amouretti, Roothooft !... Estce donc un, crime de « dégonfler » des réputations 7 Chacun de ces joueurs a une attaque trop faible pour pouvoir per cer la défense des autres. Ce sont eux qui
leur dos Tchécoslovaques l'année où il fut
Uennent le haut du pavé, à notre époque nù les jeunes prodiges sont bien trop nerveux pour tenir devant eux pendant 21 points ; mais quand ils se rencontrent (ou bien quand ils ont affaire à Haguenauer, Soos, Ehrlioh), le public sait qu'il
champion. Sans sa victoire de Stockholm,
en a pour cinq sets de lutte « à l'usure »
nnnée-là en finale .de neuf tournois intor-
n.alionaux
organisés
par
la
Fédération
an.nlaise.
IColar n'était certainement pas .le meil Lcacli anrait-il pu, cette année-là, être classé avant Be.r.iîmann 7 11 y a deux ans seulement,.c'est le n° 3 Hongrois qui faillit enlever le tUre.
Et ailleur.s I Que. dire de .Petra et de
Falken'hurg à ■Wim.bledon ? De Savitt, qui
Al J . j
où il ne sera que rarement récompensé par de belles phases de jeu. Avec beanroiip d'adresse, Satoh neu tralisa les attaciucs de ses adversaires, et quand ceux-ci essayèrent de fermer le
jeu, il les endormit tout doucement puis,
si bêtes I) Disons aussi que Satoh a été
favorisé par l'absence des Tebjécoslovaqui
sont .tous
des
attaquants.
Il
est .possible de le bousculer. L'un des désavEuitages du caoutchouc souple est que les balles .d'attaque renvoyées par lui ne sont pas aussi basses et rapides qu'avec le caoutchouc dur. et qu'eUes sont
moins
difficiles
à
.mettre
hors
de
portée du défenseur.
Il est extrêmement significatif que Satoh n'ait trouvé aucune parade au jeu régu ler (le Koezian, entremêlé de coups droits subtil et précis, jusqu'à ce que Koezian perdit la tête et la main et, pratique ment, lui fi t cadeau idu match.
En fait, c'est ainsi que la plupart des joueurs ont été vaincus par Satoh. Impuis sants à anticiper par l'interprétation des signes habituels (mouvement du bras, son, etc... chez la plupart des joueurs expéri mentés, Tanticipation inconsciente joue un grand rôle (comme chez les automobi listes, cyclistes, etc...). 11 est remarqué que les 'défenseurs qui se fient surtout
{Suite page 10.^
TENNIS DE TABLE
à. leur expérience (ex. Bergmann) ont le plus souvent fait moins bonne figure de vant les Japonais (à raquette dure ou souple) qu'un défenseur comme Roothooft, qui se fie davantage à son agilitié. Pour eux, la prise en porte-plume double la difficulté qu'il y a à prévoir la direction de la balle. Certes, cette prise a ses points faibles, mais c'est là une autre his toire. 11 -ne leur restait qu'un moyen de s'en '« tirer » : c'était de suivre chaque
balle séparément, en se concentrant au maximum, jcusqu'à ce qu'elle arrivât sur
leur raquette. Après avoir acquis ainsi une confortable avance, ou même gagné le premier set, ils se relâchaient un instant, soit par excès do confiance, soit par une réaction due à la fatigue. En un temps
qui paraissait terriblement court, l'avance qu'ils avaient prise avec tant de peine avait disparu, soit parce qu'ils mettaient dans le filet ou hors de la table des balles
qu'ils n'avaient pas surveillées, soit parce que Satoh attaquait et marquait sur des balles qu'ils avaient mises trop haut.
.Mors, ils s'affolaient, et la partie étail perdue. Que chacun veuille bien noter avec quelle difficulté Satoh a battu Oé et Ramos (bien que l'Indien et le Portugais ne soient nullement ides joueurs de classe) quand ceux-ci ignoraient encore la valeur de leur adversaire. Et comparez leur rér sistanoe à la capitulation des champions,
saisis d'une frayeur mortelle après que Bergmann et Loaoh eurent pris le chemin de la défaite.
Il est possible que, grâce à la mélliode de Satoh, on vienne à bout des joueur.s toujours sur la défensive qui régnent depuis si longtemps en Occident. S'il en est ainsi, et s'il apparaît dans d'autres pays une nouvelle génération d'attaquants énergiques, audacieux, ayant du cœur au ventre (comme les oompatriolcs de Satéb).
7. En résumé :
Il n'y a absolument aucune raison de recourir à des mesures draconiennes.
Cette largeur d'esprit à l'égard des ra quettes n'est pas une attitude exception nelle en Tennis de Table : elle fait partie de la tradition commune à ce .sport et à ses cO'USins ; dans le passé, elle a con tribué efficacement à le rendre plus varié
et à faciliter son développement. La nouveauté ne réeside ni dans la ra
quette ni dans le .style de Satoh, mais dans la maîtrise avec laquelle celui-ci en tire parti.
Il n'y a aucune raison de supposer que Satoh ne peut pas être battu ; au con traire, nous possédons beaucoup d'indices confirmant qu'il peut l'être.
le
S mai
votre administration
pareils, où est le mal ?
11 y a cinquante ans, le style et la ra quette qualifiés de modernes et d'ortho
Utilisez les
doxes affirmèrent leur suprématie en Occi dent et firent disparaître à .peu près par tout la prise en porte-plume et le caout chouc mousse. Le même phénomène se reproduisit il y a trente ans. Que les jeunesi d'aujourd'hui s'instruisent de l'ex ploit de leurs ancêtres et le rééditent. Le Tennis de Table eu sortira plus vivant et plus neuf !
IMPRiniÉS FÉDÉRAUX
Satoh est champion. Qu'il le reste jusqu'à ce que quelqu'un soit assez fort pour le
60, Rue de la Victoire, Paris
En vente au secrétariat de la F.F.T.T
-
vaincre.
Pour l'amour du ciel, ne soyons pas comme ces hommes politiques dont ou
dit que, is'ils viennent à être battus, ils
C.C.P. Paris 702.24 -
Tarif des Fournitures
changent les lois, Vvor
MONITAGU.
AFFICHES DE PROPAGANDE :
« Jouez au Tennis de Table »
2 couleurs, 1/4 col., 30 x 40 :
N.D.L.R. — Il ^ a lieu d'ailleurs de pré ciser que Satoh oiertl de se découvrir un émule
ayant beaucoup retenu à Bombay (où il étcdl envoyé par son club), a décidé à son retour de suivre les traces du champion du monde. Bien que n'ayant qu'une seule face de sa ra quette recouverte de mousse (l'autre Vêtant de
caoutchouc à picots), Cafiéro semble jeter la perturbation parmi les « Grands » Français et quelques victoires significufives en ce début de mai ont apporté des éléments passionnés de discussion sur la question exposée par M. Montagd- B'avenir nous dira quelle solution cs(t la meilleure car ce n'est pas exactement la mé thode du Japonais qui est adoptée par Cafiéro mais un à peu près qui se révèle pour l'ins tant très «•( payant » mais qui demande encore confirmation dans des épreuves cVimporlance, (A ce sujet les prochains championnats de Hollande nous fourniront peut-être des indi cations!)
linmiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiifiiifiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiifiiiii
Al
vos organisations,
ambitionnant de battre ce dernier et ses
'en France en la personne du n° 8 Cafiéro qui
CONCLUSION
S^our améliorer
A. Berck-Plage, le lO mai
Par 10 minimum. Par 50 — .
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AFFICHES PASSEwPARTOUT
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recto verso sur carton 21 X 13,5 :
L'équipe d'Angleterre inflige
Les Juniors de Fronce - terriblemeni accrocheurs -
battent la redoutable équipe à l'équipe de France d'Angleterre (5 vict. à 4) une lourde défaite
Kennedy bat Amouretti, 21-7, 21-16; Craigie bat Lanskoy, 21-19, 22-20; Berggnann-Leach battent RoothooftLanskoy, 21-17, 21-18; Leach bat Haguenauer, 21-18, 21-12;
Bergmann bat Roothooft, 21-19, 22-20.
Finalement les Anglais l'emportent par 5 à 0
Bootb bat Cerceau, 21-18, 21-14; Sala bat Merrelt, 19-21, 21-13, 21-9;
Ross bat Ingber, 15-21, 21-19, 21-17; Merrett bat Cerceau, 21-15, 21-16; Bootb bat Ross, 21-13, 21-15; Sala bat Ingber, 18-21, 21-11, 21-11; Merrett bat Ross, 21-9, 21-15; Cerceau bat Ingber, 19-21, 21-19, 21-16; Sala bat Bootb, 21-18, 19-21, 21-17.
Par 10 minimium.
8 fr. Pièce
Par 50
7
—
.
»
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FEUILLES DE MATCHES :
21 X 27, pour équipes de 2, équipes de 3 et équipes de 4 ; Par
50 minimum.
Par 200
—
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Modèles assortis sur demaude.
Eniballage et taxes comprises PORT en PLUS ATTIENTION 1
O II ne sera rien envoyé contre remboursement.
O Nous n'expédions pas en des sous des quantités minima indi quées. O Consultez-nous pour des quan tités plus importantes.
TENNIS DE TABLE
U
L'A.C. B.B. est champion de France par Equipes 1951-1952
Possédez-vous l'INSIGNE
Nous publierons, dans noire prochain numéro, les részdtats détaillés de la poule finale attribuant le titre, ceux de la poule d'accession nu groupe Sud-Est, et nous donnerons connaissance des projets établis par la Commission Sportive Fédérale pour
du JUBILÉ?
la 1" et la 2" division de d9r)2-J9r)3.
Les classements définitifs POULE nord et est. S s -S
S Ca S
G ^
POULE CENTRE-OUEST. 1. Raciiig-Club de France .. 6 6 0 18 2 V.O.A. Saint-LlVIaMr 3. Stade Laval 4. T.A. Rennes
6 5 1 16 6 4 2 14 6 3 3 12
5. U.S. Vassy
6 2 4 10
6. P.P.C. llours 7. S.PJ.C. Le Mans
6 1 5 6 0 6
8 6
POULE SUD-EST. 1. A.C, Boulogne-Blllanc. .. 6 6 0 18 2. P.P.C. Lille 6 4 2 14 (10 victoires).
6 4 2 14
(9 victoires).
4. Stade de Béthune (8 victoires). 5. A.C. Abbeville 6. A.S.P.T.T. Thionville 7. A.T.T. Chaimy
6 4 2 14 6 1 5 5 1 4 5 G 5
8 7 5
(Match en retard ; Chauny-Thionville).
réalisations seront accomplies.
1. Cavigal de Nice
6 6 0 18
2. A.L. Izieux
6
3. P.P.C. Montpellier
6 3 3 12
4
2
14
(5 victoires). 4. E.O. Marseille (4 victoires). 5. G.E.O. Saint-Etienne
6
3
3
12
6
2
3
10
(6 victoires). 6. RjS. Lyon
6 2 4
10
(3 victoires).
7. C.S.F. Valence
6
1
5
8
POULE SUD-OUEST.
1. AS.C. Est Paris 2. La Balmat - Paris
2. Raquette de Sainte-Foy .. 6 5 1
16 14
6 6 0 18 6 5 1 16
1. Boui-baki de Pau
6 6
0 18
2
14
3 C.T.T. Rochefort
6
4. P.C. Mulhouse
6
3 3
12
4. C.A. Bègles
6 3 3 12
5. C.C.L. Puteaux
6
2 4
10
6. P.P.C. Autun
6
1
5
8
5 Toulouse C.M.S 6. Géraldienne d'AurUlac ..
6 6
2 4 1 5
7. P.P. Troyen-Savinlen
6 0 6
6
7. S.C. Limoux
6
0
4
Gravé par le maître FraîsseDemey, l'insigne porte deux dotes : 1927 et 1952, et rappelant le lieu de la création : Paris, celui de la célébration de l'anniversaire': Reims comporte également en deux écussons les armes de ces villes artisti
quement émaillés.
POULE CENTRE-EST. 3. P.P.C. Montceau-les-Mines 6 4
la Fédération, un insigne vient d'être réalisé, marquant le sauvenir de la périade du printemps 1952 où du 14 mars au 20 avril tant de belles
es Os
3. C.P.P.C. Reims
A l'occasion de le célébration du XXV® anniversoir-e de la création de
2
6
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10 8 6
Au Cavigal de Nice la Coupe de France
L'épreuve féminine aux Parisiennes (de la Guaranty MESSIEURS
FINALE
Cavigal Nice bat Stade Lavai1/2 FINALES
lois 4-1 :
16 ; Danrée bat Pétri -14. 17, 16, 16.
U.S. Métro Paris bat C.S. La Rochelle 5-0 :
Albert (L.) bat De Bernardi (N.) Celières (P.) bat Blanche (R.) 8, 3/2; Barouh (N.) bat Robert (L.) 13, 10 ; Chereau (P.) bat Giraudon Paris 3-1 : 3/2 ; De Bernardi-Borouh battent (R.) 11, 9, 3; Celières-Chereau Albert (L.) bat Mathieu (P.) -18, Albert-Robert 3/2 ; Barouh bat Al battent Blancho-Giraudon 10, 11, 21, -15, 18, 19: Châtelain (P.) bert W.O.; De Bernardi bat Robert 17; Célières bat Giraudon 15, -16, bat Robert (L.) -18, 14, 16, -18, W.O. 13, -16, 16; Chereau bat Blanche 13; Albert-Robert battent Mathleu13, 10, 16. Chatelain 9, -14, 9, 19 ,- Albert DAMES FINALE Stade Lavallois bat A.S.C. Est
bat Châtelain 17, -21, 21, 18.
1/2 FINALES Cavigal de Nice bat L.A.C.S.R. Lyon 3-0 :
Guaranty
Club-Paris bat U.S.
Métro Paris 3-2:
Guaranty Club-Paris bat Gallia-
Chereau (M.) bat Danrée (G.) -22, 13, 20, 11 ; Betling (G.) bat De Bernardi (N.) bat Roget (L.) Freville (N.), bat Danrée (P.) 17, Celières (M.) 20, 12, -20, 16 ,- Bet 5, 17, 19 ; Barouh (N.) bot Ravoi- 14, 16 ; Betling (P.), bat Pétri (N.) ling-Danrée battent Celières-Che re (L.) 19, -13, 16, 17; De Ber -19, 13, 19, 10; Betling-Danrée reau 19, 10, 20 ; Betling bat Che nardi-Borouh battent Roget-Ravoire battent Freville-Petri 19, 14, -10, reau 15, 16, 11 ; Celières bat -17, 17. 5, 17. 13; Betling bat Freville 12, 12, Danrée 10, 9, 13. Club de Nice 4-1 :
XENNIS DË TABLÉ
13
Le Grand Tournoi National de ^
^AMEni-SOIR
Nous vous recommandons:
se termine en apothéose ELON la formule oon.>acrée « Le Touimoi 1952 est terminé ! Vive le Tournoi 1953 ! »
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nière :
Oes quelques mots parus dans le der nier numéro de «Samedi-Soir » qui relate fort éloquemment le déroulement de la journce finale, sont évidemment très pro metteurs, et nous devons à tous les éche
lons de Ja Fédération, nous réjouir que le grand hebdomadaire ait manifesté son in-
Tout pour le Sport
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étant d'oros et déjà entendu que les points suivants seront étudiés d'une nouvelle ma
lenlion de continuer la réalisation
d'une
manifestation de telle envergure. Dans un journal spécialisé comme lo
nôtre et qui s'adresse (beaucoup plus à des
— situation dos joueure;
— situation des joueurs appartenant h d'autres Fédérations; — âge des iconeiir.renis ; — limitation émanant du classement.
Nous ne manquerons d'ailleurs pas, à ce sujet, d'étudier avec symipalliie toutes les suggestions nouvelles que pourraient nous faire tous ceux qui s'intéresse'nt à la ques tion.
LES RESULTATS DE LA JOURNEE
dirigeants et organisateurs qu'au grand public, il nous est possible de faire tou
FINALT
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cher du doigt à nos lecteurs, l'importance
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de ce tournoi, en donnant on seul cliiffrc dont nous garantissons l'authenticité : l'or ganisation générale du tournoi a coûté h « Samedi-Soir » en 1952 plus do 8 millions de francs lU II est possible à chacun de se faire une opinion en songeant que ve qui a été réalisé dans sa localité ou remis aux lauréats de tous tes échelons, est à multiplier de nombreuses fois, puisqu'il y eut plus de 4.000 centres locaux et une centaine de centres régionaux... Nous pensons que ce serait désobliger nos excellents amis de «Samedi-Soir » que d insister plus encore que nous l'avons tait de vive-voix sur leur extrême gentil lesse vis-à-vis du Tennis de Table et sur
La Pergola 23, Av. du Maine (M° Bienvenue) 10 Tables de Compétition Une salle unique à Paris llllllllllllll
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les moyens qu'ils nous ont donné d'aug menter notre rayonnement. Qu'ils en soient, nu nom de tous, chaleureusement remerciés, depuis le Président du Conseil d'Administration, 51. Goulet, 'jusqu'à ceux
qui dirigèrent l'orgcinisation du tournoi, nos amis Sorin et Tixiidre, sans oublier naturellement le promoteur de cette Idée, CVl. Gueymard, un des administrateurs du
journal, aussi enthousiaste pratiquant que novateur.
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II n'apparaît pas opportun dès mainte nant do traiter de l'organisation du tour
noi de 1953, mtais il est un apaisement qu'iï est po&giible d'apporter aux futurs orga nisateurs et participants. C'est celui des délais 11!
Certes, à chaque occasion, les délais Impartis pour la réalisation du tournoi de « Samedi-Soir »
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1952 aux
différents
éche
lons se sont révélés trop justes, mais nous devons préciser que l'organisation en a été suggérée et amorcée seulement au début de cette année, et qu'il était donc très difficile d'opérer autrement, notre inten
tion n'ayant jamais été de n'en reporter la réalisation qu'à la saison prochaine. Le tournoi de 1953 bénéficiera donc, an départ, d'une plus grande facilité de dé roulement, mai.s il bénéficiera égaleraient des enseignements de celui qui se termine.
1/16 de finales
LMirauoliaux bat Le Calvé 3-1; Tari bat Boulotou 3-0; Harent bat Tuan 3-0; Lecocq 'bat Erre 3-2; Chtieang Sum bat Cliarpln 3-0; I..emaire bat 'Tliéron 3-1; Monsaint bat Beaufils 3-1; Ogeron bat Bernezat 3-0; Martin bat Téobaido 3-0; Agullo bat Blatz 3-0; Casenave bat Frenoat 3-1; Greffe bat Dhalluin 3-0; Orlow bat Caltro 3-'0; Cung
i.iat IKorsak 3-0; Ferrais bat Huguet 3-0: Cirnd bat Galin 3-0. 1/8 de finales
Miraucbaux bat Tari 3-0; Harent bat I-ecoicq 3-0; Chheang Sum bat Lernaire 3-1: -Monsaint bat Ogeron 3-2; LMartin bat Agullo 3-0; Casenave bat Greffe 3-1 ; Orlow bat Cung 3-1; Girod bat Ferrais 3-0. 1/4 de finales
Miraucbaux bat Harent 3-1; Clihean.ir Sum bat Alonsaint 3-1; Martin bat Case nave 3-0; Orlow bat Girod 3-1. 1/2 finales
Mirauicihaux (Nice) bat Chheang Sum (Paris) 1-3; Orlow (Paris) bat Martin (3t-Dizier) 3-2. FINALE
Orlow bat Miraucbaux 19, 17, -12, -8, 19. DAMES
1/8 de finales
Donnée bat Flégat 3-0; Thévenart bat Kotowska 3-1; Soler bat Brochet 3-2; M.azado bat ViaJa 3-0; .Mber bat Lemeray 3-0 Blancho bat Bleuze 3-0; Brun bat Karache 3-1; Chereau bat Lobgeois 3-0. 1/4 de finales
Danrée bat Thévenart 3-0; Mazade, bat
Soler 3-0; Alber bat Blanche 3-1; Chereau bat Brun 3-0. 1/2 finales
Jlazade (Roanne) bat Danrée 3-0; Che reau (Paris) bat Alber (Besançon) 3-1. FINALE
Chereau bat Mazade -19, 20, 12, -17, 18.
Le Grand Tournoi "National de Samedi-soir
a été joué avec la Bail,
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Qui doit servir le premier? COimilEIVT
TIRER
Comment doit-on, avant le dé but d'une partie, tirer au sort ? L'usage veut que l'arbitre prenne la balle dans une de ses mains et
plaçant celles-ci sous la surface de la table fasse désigner par l'un des
joueurs la main détenant la balle, ce qui en cas de réussite de ce pro blème de divination permet à celuilà de servir le premier !!! Nous disons bien de servir, car la plupart des joueurs et des ar<bitres ignorent que le gain du tirage au sort, sous couvert d'une balle, ne veut pas dire attribution obligatoire du service !
Précisons-leur que le fait d'avoir obtenu le gain de la balle veut dire que le joueur a gagné le tirage au sort et que par conséquent, scion les règles du tennis de table i! a le droit de choisir, soit le côté de la table (le service appartenant donc à l'adversaire), soit de servir le pre mier (l'adversaire pouvant choisir le côté), soit même d'obliger l'ad versaire à faire le premier choix ! On comprendra aisément que quand deux joueurs au courant de ces points de règlement procèdent au choix, ils ne soient guère com pris du public, ni d'autres prati quants qui les considèrent comme des <( chinois ».
AU
SORT
C'est pourquoi dans une de ses dernières réunions, le Conseil de
tirer au sort avant chaque partie avec la piécette classiquement em ployée dans d'autres activités spor tives, le vainqueur du toss pouvant à ce moment comme dît plus haut: choisir le côté de la table
(le premier service étant à l'adver saire); — servir le premier (l'adver saire pouvant choisir le côté); — obliger l'adversaire à faire le premier un choix des deux possibi
puérilité du choix de la balle sous la table étant remplacée par la mé thode en honneur au football, rug by, etc., elle aura pour intérêt de permettre aux joueurs « timides » d'envisager d'une tout autre ma nière la conduite d'une partie, la quelle, on le sait, débute avec l'at tribution du premier service et souvent
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lation de notre sport à d'autres, la
niment poursuivie, car il y va plus encore, de. l'intérêt du tennis de table, des joueurs de première série {seuls soumis à l'autorisaiion) et des organisateurs que de l'applicalion aveugle d'un règlement pourtant inspiré par l'expérience. C'est pourquoi la Fédération croit devoir rappeler à toiis qu'elle s'en tiendra, à l'avenir, aux délais imposés.
dans une salle claire, aérée,
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Outre que cette méthode permet tra aux spectateurs de se rendre plus facilement compte de l'assimi
penser vos membres par des déplacements à l'étranger. Votre attention est rappelée sur les points de nos règlements traitant ces ques tions {annuaire page 33 et la suite) et il y a lieu de noter que la Commission Sportive et le Rurcaii Fédéral n'ont pu donner qu'en toute dernière heure des auto risations pour des organisations projetées, par suite du retard apporté aux demandes prévues qui doivent recevoir l'avis de la ligue régionale. Ces autorisations ont été données pour ne pas gêner l'effort réalisé par nos dirigeants d'associations, mais il va de soi que cette méthode ne pourra être Indéfi
quez pas de participer au Tournoi de"La Pergola
acadeiuie:
lités ci-dessus.
La période estivale libérée des calendriers officiels vous permet plus facilement l'orfiunisnlion de réunions à cnraclère parliculier telles que Tournois sur invitations. Rencontres internationales, Réunions de propagande et aussi vous permet de récom
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la Fédération a décidé de recom mander désormais à ses arbitres de
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bat DairA,iilio
(Genève) 3-0: Poizcau bat Alohr (G.) 3-2; iienler bat Guillot (G.) 3-2; Urohetti bal Freneat 3-0.
Les demi-finales virent les victoires de 'rheureau sur Poizeau et d'OrchoIti sur Denier, la finale revenant facilement au
champion suisse. Toulefois, les iMontcélliens causèrent la surprise en reniporlant une nouvelle fois le Challenge « Le Niger •■>. Non-classés. — Domination des joueurs
rie Tarai'C qui gagnent le Challenge de l'Union Commerciale, et .plairent en fi nale les Frèrc-s Frénéat.
Dames. — M"° Mazade
Miio vernay (Cours) 3-2.
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n'avait pensé recevoir 400 engagemonls. Les six taibles furent sollicitées pendant plus de là heures et un nomibreux puiblui
nier (finaliste h Reims du Critérium cadel) et du T.G. .Arles qui enlève la Coupe liniinefoy. Le taibleau réservé aux joueurs classés valut au public l'occasion d'une finale de grande classe en Ire le Afontpelllérain El. Tawill et .le Marseillais Plisson.
Le premier l'emporta en trois sels en fai sant grosse impression. Enfin chez les féminines cavalier seul de R. BrémoncI, nui en finale bal sa icoéquip'ére du Gazéleo de Marseille Tnuffet, ce t'iu.h remportant la Coupe Goca-Gota.
XXV
emes
Alsace -Appelée .par la résidence de sa famille en Allemagne occupée, à. .participer à de nomCireuses oomiiétitions dans ce pays, l'ex-championne de France juniors, Claude Rougagnou, qui, M y a quelques semaines, avait l'emporté brillamment le Champion nat international de Suisse 1052, vient de confirmer sa 'progres.sion en se si.gualanl lors du Tournoi organisé à Bad-Homburg, où les cinq premières joueuses d'-\lleningne étaient présentes. La jeune française, si elle fut .battue en fi nale par la champion ne allemande .Bussmann (3-1) n'en a pas moins réalisé d'excellentes performances, en prenant l'avantage en dernl-finalc sur la numéro 2 allemande Donath; en quart de fi nale sur Hitzi (3-0) et en huitième de fi nale en .haltant la numéro 4 d'outre-Rhin
Cappelmann (3-0).
Xormandic 2000 personnes enthousiastes ont assiste à la soirée franco-anglaise organisée le 9 mai, au cirque de Rouen, par l'A.SjM.R., sous la .présidence dn député nralTe de Rouen, et de nombreuses pep.sonn:ni!é.s. Les cinq parties furent toutes d'une très li.aiilo classe, et dépassèrent largement, en qualilé et on intensité, les rencontres de
France-.éngleterre.. On se demaude pour quoi d'ailleurs I Rootlinoft 'liât Leaoh -19, 18, 15. Ber.cmann bat H-aguennuer 18 18. lîIa.ffUPnauer-RooUiooft battent BergmannLeoch 20, 10. Hagnenauer bat Leach -12, 12, 20. Bor.gmann bat Roolliooft 16, -16,, 9.
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le territoire de la France et de P Union Fran
çaise, seraient jouées exclusivement avec une des balles agréées par la Fédération et dont la liste Jigurera sur chaque numéro de P organe officiel de la F.F.T.T. "Tennis de Tablé". En vertu de cette décision, les membres de la
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Fédération ne sont plus autorisés à participer à des épreuves organisées parla Fédération, ses Ligues et ses Associations, avec des balles autres que les suivantes :
spécialement sélectionnée comme balle de tournoi la balle "MONTANA-SÉLECTION" est agréée par lés Fédérations Françoise, Suisse, Italienne, Belge, Autrichienne, Suédoise
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