Numéro 75 - 1952

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8° ANNÉE

JUIN - JUILLET

N° 75

1952

REVUE OFFICIELLE DE LA FÉDÉRATION

FRANÇAISE DE TENNIS DE TABLE mw''

figimm

APRÈS LE GRAND TOURNOI NATIONAL de:

^AMEni'SOIMl

Le vainqueur ORLOW (Paris) reçoit ie Trophée "Samedi-soir" des moins de M. COULET, Président du Conseil d'Administration Voir également page 11


Ca Raquette 5arpille-£anskcy Rédaction Ad77mnstration

TENNIS de tahle

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60, Rue de la Victoire P ARIS - IX^ Tél. TRI. 59-54 C.C.P. 702-24

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Étranger : 350 fr. Les abo7777e77ients souscrits à

■bartir du j^'' Août /pj/ s^ente77de7it pour les 77U777éros

£a Balle Baruîlle-fianskoy

parus ou à paraître pendant la saison sportive iç^i-^2.

AGREEE F.F.T.T. 1952

Balles agréées

etfKafti.

Le Conseil de la Fédération a décidé que, désormais, toutes les compétitions organisées sous son égide par ni7nporte quelle Associa tion ou par les Ligues et leurs subdivisions, sur BALLES DE TENNIS DE TABLE ^Mettant en œnnre

d^s

des

de fabrication noaoeaax

MONTANA-SPORT PARIS

le territoire de la France et de /' Union Fran

çaise, seraient jouées exclusivement avec une des halles agréées par la Fédération et dont la

liste figurera sur chaque numéro de Porgane ofijciel de la F.F.T.T. "Tennis de Tablé'\ En vertu de cette décision, les membres de la

offre une QualttÉ inégalée ce four

à

Fédération ne sont plus autorisés à participer à des épreuves organisées parla Fédération, ses Ligues et ses Associations, avec des balles autres que les suivantes :

spécialement sélectionnée comme bolie de tournoi la balle "MONTANA-SÉLECTION" est agréée par les Fédérations

Française, Suisse, Italienne, Belge, Autrichienne, Suédoise

Sont agréées par la F.F.T.T,, pour l'année légale 1952 :

AGOPOFF, AMOURETTI "2 Étoiles", B.A.L. Demandez nos conditions

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TENNIS DE TABLE

Final

brillant

de

1951-52

l'A.C. B. B.

exceUent Ckampion Je F

par Eijuipes

BOUL.OG-NiE-BILLANCOtJRT s'est fait remarquer de la façon la plus notable à

tL.ES

rance

deux reprises pendant la saison 1951-52. Ces deux fois, par coïncidence, sont rela. tives au Championnat de France par équipes et plus encore pour l'attribution du titre que pour le déroulement de l'épreuve pendant la saison. On se souvient que l'A.C.B.B. avide — ô combien — de succès, ce qui se conçoit d'ailleurs fort bieh,

avait envisagé d'éliminer tous les risques de manquer le titre de Champion de France, en essayant par des moyens que le Conseil de la Fédération estima... Olicites, de grouper sous sa bannière quelques-unb des meilleurs joueurs de France alors qu'il comptait déjà sur Ehrlich et Collier!

La seconde fois où les Boulonnais se mirent en « vedette » est beaucoup plus agréable à nos yeux puisqu'à l'occasion de la poule finale du Championnat de France par équipe 1952-53, l'équipe de la banlieue parisiehine s'attribua d'une manière indiscu table le titre de la première épreuve nationale inter-cliibs. Examinant toujours le ca,s de l'A.C.B.B.. on ne peut manquer de faire un rappro chement entre le début et la fin de sa saison, et constater que son animateur n" 1 AI. Robert Poulain ayant de la suite dans les idées, est arrivé à ses buts I

Pour ce faire, notons ù .son avantage (nous parlons .plus loin quand même .dos joueurs 1) cette régularité dans l'eUort en soignant toutes les rencontres disputées

pour .cette compétition pendant la saison, et en soignant encore .plus la préparation de .ses joueurs pendant cette journée du 18 mai qui fut un succès autant pour Boulogne que pour notre sport.

Et les autres Le B.C. France possédait au départ quel ques chances, car le troisième joueur, Pliilippe Rubini, aurait pu être dans un jour faste. Il n'était que .dans un jour fantai Nice

ni

devant Boulogne. De son

cûté,

.Ago.poff était dans une condition pliysique très .mauvaise et cela précipita la défaite des tenants du titre qui ont pour conso lation la .place de deuxième Caci[uiso au goalaverage) et la tenue normale do leur numéro 1 actuel Dubouillé

Le classement final ^

q,3 3

supériorité des joueurs de l'A.CB.B. provient surtout du fait que les trois

2 RCP

joueurs qui coimposent l'équipe

3 CG

Oham-

• pionne de France étaient remarquable-

' '"

"(iî viëtoirès'in.div ) Nice

(lô' victoir^ indiV.)' ' '

4. a^SC. Est

où il fallait les résultats optima.

5. 3. p^u

' ''

1 2 5 1 2 5

QU lis no J6 pOnSQ-lOnt} SllOnL cm''i!s''^no'^le^nLsaientr^

Ipu SO prc

que leurs vainqueurs qui eux, .étaient en

ià vn^o ito Niçois). tonnerre» (à vous,, les

dii

Cavigaî de Nice bat B.C. France, 5-4. Amouretti (C. Nice) b. Agopoff (R.CR.) 2-1; De Bernardi (C. Nice) b. Rubini (R.CR.) 2-0; DubouiUe (R.CR.) bat Ba ruffi (C. Nice) 2-1; Agopoff to. De Ber nardi 2-0; jAmouretti b. DubouiUe 2-0; Baruffi b. Rubini 2-1; Dubouillé b. De

Bernardi 2-1 ; Agopoff b. Baruffi 2-1 ; Amouretti b. Rubini 2-0.

A1C.B.B. b. Cavigal de Nice, 8-1.

Amouretti (C. Nice) b. Lebouquin (A.C. B.B.) 2-0; Ehrlich (A.C.BB.) b. De Ber nardi (C. Nice) 2-0; .Collier (A.CBB.) b.

Baruffi (C. Nice) 2-0; Ehrlich b. .Amou retti 2-0; Lebouquin b. Baruffl 2-1; Col lier b. De Bernardi 2-0; Ehrlich b. Barufû 2-0; Collier b. Amouretti 2-1; Lebou R.C. France bat A.S.C. Est Paris, 6-3. Bédoc (AB.CB.) b. Agopoff 2-1; Ru bini (R.CB.) b. Bouzin (AB.C.E.) 2-1; DubouiUe (R.C.F.) b. Laengel .(A.S.C.E.) 2-1; Bouzin b. Agopoff 2-0: DubouiUe b.

"

1 2 5 bouiUe b. Bouzin 2-0; Agopoff b. Laengel forfait général 2-0; Rubini b. Bédoc w.o.

(9' Victoires'"indiv )

A.C. Boulogne-Billancourt b. R.CF., 5-1.

très participants à. .cette ultime compéti-

sentcr devant les tables de la môme façon

Lebouquin b. Mathieu 2-0; Collier b. Ryback 2-0; Lebouquin b. Bédoc 2-1; Ehrlich b. Ryback 2-0.; Mathieu b. Collier w.o.

Bédoc 2-1; ILaengel b. Rubini 2-1; Du

Jl eût été souhaitaiblo que tous les au-

tion (exceptons-en quand même les Ghe-

(A.S.CiE.) 2-0; Ehrlich bat Bedoc 2-0;

quin b. De Bernardi 2-1.

3 p g

ment nu .point au jour «J» et que cha-

cun d'entre eux obtint précisément le jour

A.C^.B. h. A.S.C. Est Paris, 8-1. Ehrlich (A.C33.) b. Mathieu (AjS.C.E.) 2-0; Collier (A.C3.B.) b. Bédoc (AjS.C.E.) 2-0; Lehouquln (A.C.BB.) bat Rytoack

siste et cela ne réussit point ni devant

L A.C.B.B... Il apparaît en effet que l'incontestable

nÉSULTATS

^e Caviaal de Nice .oui .aviit ,m-is in n.ré minp tà la tmisî^rinp eaution.de présenter quatre4rnnpnt joueurs,H'niip ter-

surprenante défaite de la part des Chemi. j.j, , .g p j , t 33 NÏcok, dont le

P'''ésident, 'M. Gambotto, affichait très net-

tcment .sa sur déception, doiventmaximum compter deà chaque fois le rendement

Le déroulement de la poule finale du Ohampionnat de France fut favorisé par les excellentes conditions de jeu offertes aux participants h l'accueillante mairie de Boulogne, ce qui a grandement aidé la Fédération, alors que nous aurons néanmoins ù regretter que les efforts accomplis à cette occasion, sous l'impulsion de

Guy Amouretti. Or, celui-ci était, à Boulogne. assez peu .préparé et il subit deux défaites (par Ehrlich et Collier) imprévues, par ailleurs, il est assez mal .secondé, car ses suivants sont, d'une part assez loin de lu; en valeur, et .d'autre part, le premier ; Baruffi ne compta .guère, oar il considéra niutôt la poule finale du Championnat de

M. Moers, n'aient pas en propagande été

France comme une sortie à Paris que

mieux récompensés, malgré l'accès gratuit de la 'SalIe au .public. Nou.s avons dit l'excellente impression que nous avait causé durant toutes les rencontres l'équipe de l'A.C.B.B. Donnons .plus de précisions en remarquant que les

comime une com.pétition sportive. Quant au deuxième : De Bernardi, je crois qu'il resfera et pour l'éternité au rang d'espoir, car '1 n'a en rien augmenté sa vitesse .d'exéeution, soigné sa condition physique et surtout sa respiration difficile et, enfin, mora-

deux premiers — Ehrlich et Collier — ne

lement il ne dure plus le temps normal

perdirent aucun match (il y avait pourtant

J'un set.

en face les Ago.polï, Amouretti, Dubouillé, Bédod et autres). Lebouq.uin, lui-même, bicn qu'lionnôte joueur .de deuxième série,

Finalement, on s'apercevra que des trois équipes classées secondes, ce sont les Cheminois de l'Est de Paris qui furent le,s

mai.s dont la ténacité est légendaire, se hissa au niveau de ses coéquipiers et .par-

meilleurs. On doit .se mordre les doigts, avenue de Saint-AIandé, de n'avoir pas

vint à gagner le maximum, ne «'inclinant que devant Amouretti et Dubouillé,

songé un instant qu'une meilleure .place que la quatrième par suite du goal

Lebouquin {A.C.BB.) b. Agopoff (R.C.F.) 2-0; Ehrlich (A.C.B.B.) b. Rubini (R.C.P.) 2-0; Collier (A.C.B.B.) b. DubouUle (R.C.

P-) 2-0; Ehrlich b. Agopoff 2-0; DubouUle b. Lebouquin 2-1; Collier b. Rubini 2-0. A.S.C.E. Paris b. Cavigal de Nice, 5-4. Bouzin (A.iS.'CiE.) b. De Bernardi (C. Nice) 2-0; Amouretti (C. Nice) b. Mhthieu {A.S.C.E.) 2-0; Laengel (A.S.C.E.) b. Paiizy (C. Nice) 2-0; De Bernardi b. Mathieu 2-0; Bouzin b. Paiizy 2-0; Amou retti b. Laengel 2-0; Mathieu b. Paiizy 2-0; Laengel b. De Bernardi 2-1; Amou retti b. Bouzin 2-1.

average pouvait échoir à Bédoc et ses co équipiers. Le problème primitivement en

visagé était icelui de la participation et il avait été décidé que cinq joueurs évolue raient à tour de rôle. On s'est aperçu après coup que si Bédoc avait joué les trois ren contres, les Cheminots de l'Est finissaient

deuxième de la poule finale, ce qui aurait constitué une performance remarqiiahie. Bédoc s'ini.posa dans son équipe, mais aussi le défenseur Bouzin (vainqueur d'Agopoff entre autres), leurs co-équipiers faisant montre de moins de brio. Jean BELOT.


TENNIS DE TADLË

LE CHAMPIONNAT PAR ÉQUIPES 1952-53(en 2 Divisions) affirmera

la

vitalité

Les nouveaux participants L'accession au Championnat de France a posé de nouveaux problèmes oette année, puisqu'il a fallu trouver 2ii équipes nou velles pour remplacer 14 équipes du Ghamipionnat qui vient de se terminer qui vont composer icelui de première division à créer en 1952-53 et compléter la deuxième division où est créée une sixième poule (Ouest) qui comprenid (comme les autres) 7 équipes. Il a été possible à la Commission spor tive fédérale de n'avoir pas à faire jouer de poules d'accession dans la plupart des cas en raison de l'accord donné par tous les iqnalifiés' des Ligues pour participer à l'épreuve nationale et du fait que des re présentants ides nouvelles Ligues que le Conseil de la Fédération vient d'installer,

allaient avoir les mêmes possibilités d'ac cès que les autres. Définitivement une seule poule d'acces sion fut créée dans le Sud-Elst et qui de

vait rassembler les équipes d'Alès (Lan

guedoc). Grenoble (Dauphiné), Lyon (Lyonnais), Marseille (Provence) et Nice (Côte d'Azur). En dernière heure, l'iéquipe du Lyon A.C.

ne se présenta pas et l'opposition des quatre autres formations donna les résul tats... normaux que nous publions ci-après et qui consacrent l'entrée dans le Cham

pionnat de deuxième division de trois nou velles associations qui y brilleront sans nul doute, que ce soit le Gallia Club de Nice et son chef de file Meunier, bien se

condé par l'excellent Mirauchaux qui s'est signalé dernièrement 'à la finale du Tour noi de «Samedi-Soir»; que ce soit le Gre noble O.U. dont la «vedette» est l'Indo

chinois Chiet, objet des attentions toutes particulières des Remagny et Corazzini ou l'Eleotric de Marseille, toujours bien em mené par rexcellent deuxième série Ouin-sac. LES RESULTATS

S.CJS. Marseille (Qulnsac, Massi, Van Lieu) b. A.S. Alès (Benoit, Castor, Casteilla), 8-1. Grenoble O.U. OChiet, Décret, Genevey) bat A.S. Alès (Benoit, Castor, Casteilla), 9-0.

Gallia Club de Nice (Beltrame, Coûtant, Meunier) bat A.S. Alès (Benoit, Castor, Grenoble O.U. (Chiet, Décret, Oenevey) bat S.C.E. Marseille (Iche, Msissi, Quinsac), 6-3. Gallia Club de Nice (Meunier,Beltrame,

Mirauchaux) bat S.C.E. Marseille (Quinsac, Massi, Iche), 6-3. Gallia Club de Nice (Mirauchaux, Bel

trame, Meunier) bat Grenoble O.U.(Chiet, Décret, Genevey), 5-4.

de

nos

de si.gnaler que la Commission sportive fédérale ne s'est pas encore prononcée dé

finitivement pour la loompoisition des deux poules du Championnat de première divi sion.

pionnat de France deuxième division au

deux poules pour le titre de Champion de France de première division. En bas, la compétition se terminera par la descente automatique des trois dernières équipes de chaque poule, ce qui donnera six des

centes, lesquelles seront compensées par l'accession en première division des six équipes ayant gagné les poules de deuxiè me division, ce qui aura pour objet dans cette compétition de donner une récom pense certaine à tous les vainqueurs de groupes.

La deuxième division Nous rvenons de

dire

que les

vain

queurs des six groupes accéderaient à la première division. Nous préciserons main tenant comment s'attribuera le titre de ce Championnat. Cela s'effeiotuera en deux journées, une

première rassemblant d'un côté trois vain queurs de groupes et, de l'autre, les trois autres, selon un découpage qui n'est pas encore au point et qui mérite peut-être d'attendre la fin du Championnat. Chacune fie ces o-ppositions à trois qualifiera une équipe qui viendra (également à Paris) disputer la France

de

finale

du

deuxième

Championnat

division

en

de

rnême

temps que celle de la première division. Voici comment, à l'heure actuelle, se présente la composition des six poules de deuxième division, tenant compte de quel ques modifications qui ont dû être appor

tées au précédent projet. —

A.C. Abbeville, P.P.C.

P.C. Miillinuse, P.P.C, Belfort,, J..A Dijon, P.P.C. Autiin.

i;Fj2-53 toi qu'il sera publié dans l'annuaire

SUD.EST. — B.S. Lyon, G.E.O. SaintEtienne. C.S.F, Valence, Grenoble O.TI.,

géographique

Chairaipionnat régional. De môme pour la montée. Jcs poules d'accession seront or

queur aiccède auiomatiquament en deuxième

2° Bourbaki de Pau, P.P.C. Montpellier, Cavigal de Nice, A.L.E. Izieux, PjP.C. Mont-, ccau, V.G..A. Saint-Maur et B.C. France. Dans l'étude du Championnat de pre mière division, il doit au.ssi être dit que l'intérêt général commande un brassage assez important afin d'équilibrer les pou les et d'établir aussi un ordre hiérarchique normal, et c'est dans cet ordre d'idées qu'il e.st décidé que, en haut, la coimpétition se terminera par une seule rencontre (à Paris) qui opposera les vainqueurs des

qui ont toutes donné leur accord de prin

l'organisation...

Aucun changement n'est prévu dans la

l'Est et la Balmat de Paris.

cipe, vont recevoir prochainement le texte complet du règlement de l'épreuve de

Etudiant

Vassy, C.N.A. Rouen et une équipe à dési gner.

Laval, Raquette Sainte-Foy-la-Orande, A.C. Boulogne-Billancourt, AS. Cheminots do

.èulnay. CENTRE-EST. — P.P. Troyen-Savinien, J.B. Snini-Dizier, P.P.C. Strasibourg M.V.,

du Championnat, il y a lieu tout d'ahord

C.OJP. Le Mans, S.P.P.C. Le Mans. ILS.

ganisées selon le même processus que pré cédemment (qualifiés de.s Ligues groupés géographiquement en poules dont le vain

La première division

pour le Championnat étant clos le 15),

OUEST. — T.A. Bennes D. Fougères,

En voici une qui a l'oreilie de quelques

équipes intéressées et semble la mieux placée auprès de la Commission sportive : 1° PP.C. Lille, C.P.P.C. Reims, Stade

Les cinquante-six associations qui vont

Oequel ne pourra être à la disposition des

Limoges.

méthode actuelle de descente du Cham

NORD.EST.

associations en temps utile, la saison com mençant le 1" juillet et les engagements

CENTRE-OUEST. — P.P.C. Tours. P.L.F.

Tours, S.F. Bourges, G.SA.L. Nantes, C.S. La Rochelle, C.T.T. Rochefort, U.SA.

Quelles seront les appellations em ployées : Poules A et B ou Poules Nord et Sud? Cela n'est pas déterminé et l'im portance n'en est pas si minime qu'on pourrait le croire à première vue I Quelle sera la répartition des équipes?

Cauohy. Stade Bélhune. A.T.T.C. Chauny, PT,T." Thionville. Sauln(>s PJP.C., A.P.

participer au Championnat de France et

Associations

S.C.E. Marseille. Gaz Marseille, G.C

division).

Déplacements et autres problèmes Ainsi qu'il a été porté à la connaissance des quatorze équipes formant la prochaine première division, la Commission sportive fédérale s'emploiera, dans la mesure du

possible, à limiter au maximum à deux les déplacements de chacune id'elles qui, on

le sait, en ont trois à accomplir au titre de 1952-53. Pour cela, il faut donc noter que la méthode du tirage au sort du ca lendrier ne pourra être entièrement em ployée et que pour arriver à ce que chaque équipe devant effectuer un grand dépla cement puisse 'le coupler avec un de moyenne distance, les responsables du ca lendrier devront composer. Par contre en deuxième division, de par la réduction 'du kilométrage à accomplir, due à la création d'un sixième groupe, le tirage au sort intégral sera appliqué. Bien d'autres choses ont retenu l'atten tion des dirigeants de la Fédération, et sûrement encore beaucoup pourraient être étudiées, que ce 'SOit l'organisation des Championnats régionaux et le mode de qua lification aux poules d'acicession ou la par ticipation des équipes (ou de leurs joueurs) aux Championnats régionaux et au Championnat de France ce qui ne va pas parfois .sans quelques anicrociheis. Par ierons-nous aussi d'un problème financier et d'une caisse de 'péréquation alimentée par des l'ccettes bloquées ? De la nécessilé de procéder chaque année, compte tenu de la position des villes où résident les associations jouant le Oliampionnat de. France, à des aménagements géographi ques de poules pour éviter l'ennui qui na quit un jour... etc.?

Nous 'pensons qu'il s'agit là, non pas de points urgent®, mais de problèmes nou vellement po.sés par l'organisation fédérale et nous demanderons à l'usage de nous fixer mieux qu'autrement sur la position à

suivre, en attendant que, comme le Cham pionnat qui se termine et qui est bien assis, le 'déroulement en deux divisions soit, lui aussi, bien entré dans les habi tudes avec un circuit d'alimentation connu, fixé chaque fois très nettement, l'autre

Nice. condition du succès du Championnat étant SUD-OUEST, ' — Géralcllenne Aùriilac, le désir do jouer, de progre.sser qui anime Toulouse CjM.S., F.L.L. Perpignan, S.C. 'louis nos pratiquants et (lirigeants. Limoux, IP.PiC. Bagnères, J. Pessac, C..A. Jean BELOT. Bègles.


TENNIS DE TABLE

A

ReîmSf

le

20

avril

1952

La XXV^ Assemblée Générale marque

éveloppement de notre Fédération

RssembI^»p-^€Fiérale ordinaire du 20 Avril 1952, à 9 h. 30 à Reims, Hôtel de la Mutualité

Rapport moral pr^enté par M. BELOT, Secrétaire général Monsieur le Phésident,

Mesdames, Messieurs,

Présidence du camte Palmiéri, Président d'Honneur de la P.F.T.T.,

Asttislé ide MM. Jean Pruiière, Président de la F.F.T.T.; Jean

Beiol, Secrélaire général et Jean Funsohiiling, Trésorier général.

On ipourraït supposer que faire un dioours ou vous faire sup

porter un pcmsura est une corvée ! J'ai toujours du plaisir à

vous conter j\clion générale des dix-huit personnes que vous avez élues.

Notre

Associations représentées:

Adj. Pradie (GAI. Offenburg); Poizeau (PPQ. Montoeau-les-

Fédération

' Je voudrais, comme chaque année depuis quatre ans, faire une

Mines); Fauvée (CPPG Màcon); Vieille (P.S. Besançon); Leine-

observation relative^ la nominaiion de vos élus. Il est encore

nager {.A.S. Beauvais); Biancliet (C.M. Tyrol); Exbrayat (P.P.CMontpellier); Gartigny (Kullimann Paris); Granier (T.G. Aies); Poulain, Sarcelles (A.C.B.B.); M""" Gailais (UjS. Vassy); Bailarini (Saulnes P.P.G.); Peumaroux (Gérald- Auriiiac); Crisarulli (Goiombes Sp.) ; Rimmer (A.P.A. Aulnay) ; Moriceau '(E.D.F. Dieppe); Lecourt (P.P.Q.M. Rennes); Dreuil (J.B. St-Dizier); Poirot (A.S. Gii. Nancy) ; Baverel (G.M. Nancy) ; Torck (A.S. Bourse Paris); Magnien (A.S.Gh. Est Paris); Degouy (A.T.T.G. Giiauny); Nicolas (A..G.A.G. Paris); Allard (T.G. Villers-Gotte-

bien entendu, et je .nfc peux pas mieux faire que dé reprendre mon préambule annu®, pour bien enfoncer dans les tètes que ce sont les clubs qui instituent la Fédération 1... La Fédération est administrée par un Gonseii fédérai qui est

rets); Arlaiid '(G. Rémois); Bionncl (U.S. Métro Paris); J. Mercier (Saini-Siiniiien Nantes); Miliot (R.S. Lyon); " Plantrou (C.N.A. Rouen); Agopoff (R.G.F. Paris); Battisleiii (U.S. B.H.V. Pai'is); Lapianche (P.P.G. Gliâlons); Tlioret-ie-Duc (Jarnac-Spor.ls); Parthenay (G.P.P.G. Reims); Ghamoin {P.G. Troyes); Demuider (.\.S.E.

composé de dix-huit paonnes que vous appréciez, à charge

piour eux de suivre vos Votions de faire et contrôler des lois.

La Fédération c'est vou6\tou.s, ce sont vos Associations, vos dirigeants, vos joueure.

P'^^rois !. Geci dit, j'entre dans te vif

ra poprt moral et je commence

par me souvenir qu'il y a deuxVns, dans un numéro de Tennis

rte Table, j'avais écrit un petit Vticle intitulé : « J'y cnois ». Je me souvien.^ avoir été « cliarribom » quelque peu par des collè

gues du Conseil qui pensaient toe faire preuve d'optimisme

public était un peu superfétatoire\ J'ai ensuite écrit, il y a un

Lille); Gaurfenlc (Baimat Paris); Signoret (Licorne Marseille).

an, dans Tennis de Table, qu'il œrait souliaitabie d'envisager

En ouvrant la séance, le domte Palmiéri, après avoir dit sa sallsfaction de compter un grand nombre de dirigeants d'asso

gé 1 J'y crois toujours, et vous adAttrez, si vous voulez bien, que je n'ai pas tout à fait tort, en rKson de la poussée remar quable du iping-pong. Quami au chili||e de 25.000 licenciés, je m'étais trompé malheureusement, et ^ 10 avril, nou.? n'avons

d'avoir 25.000 licenciés en 1951-52

ciations à cette vinglHcinquième assemblée, passa la parole au président actif, M. Jean Pruiière.

mon opinion n'a pas chan

qu'un chiffre de 20.015 licenciés et je & vais pas vous infliger une série d'oliservations pour vous ci^liquer que faire pour

arriver à 25.000.

Nos effectifs Gelui-oi iprie les membres présente à l'Assemblée de l'excuser de ne pas prononcer d'allocution en raison du pou de temps dont il dispose avant la réception officielle des congressistes à l'Hûtel-de-Viiie de Reims. Il pense que la lecture des diffé

rents rapports fera, mieux que tout autre discours, ressortir la belle vitalité du tennis de iabie. Il demande enfin à tous les les présents de bien vouloir apporter le plus de concision possible dans toutes leurs interventiions afin de respecter l'Iioraire et de conserver à l'As.semblée sa belle tenue habituelle.

M. Jean Bélot, Secrétaire général de la F.P.T.T., donne lecture

du procès-verbal de i'Aesemblpe générale du 7 juillet 19i51, qui est adopté sans nbserv.itions.

En ce qui concerne les slalisliqucs, je voumferai quand même

i'"inarquer que la progression est notable daV trois endroits et d'abord dans l'Ile-de-France. Qu'il y ait une\iiou66ée normale

dans toute.s les Ligues (comptons quelque 10^ de nouvelles licences chaque année), je le conçois. L'Ile-de-France arrive à un résultat marquant; largement, son total dépVse 1.000 licen

ciés nouveaux. Il y a lieu de féliciter les dirigeaiits de l'IIe-deFronce qui ont, je crois, adopté les bonnes méthodes pour donner à Paris les chiffres que la capitale mérite.

Je ne voudrais pas, et mes amis parisiens m'en excuseront, lai.ser croire que je m'extasie devant Paris, mais je constate quand même que Paris arrive enfin à 'la place qui lui revient, en raison des facilités qui sont permises à ses pratiquante.

Je signale néanmoins que ce n'est pas par liasanj que 1.000 li-


TENNIS

cenciés nouveaux furent comiptés. Le CJoinilé de rile-ide-France s'est uoeupé de toutes ses zones et je voudrais féliciter, dans cet ordre d'idées, notre ami Crieafulli qui a beaucoup travaillé dans la banlieue parisienne. Les distriots dans les départements «at aussi travaillé et il faut noter là, la meilleure raison du •développement.

Deuxième ligue en progression : le Lyonnais. La raison, je l'ai donnée dans un petit articte présentant r^Xsscmblée générale quand je parlais de M. Miilot. Je crois que,, si la Ligue du Lyon nais a nettement progressé,- c'est uniquement grâce à l'action pondérée, mathématique et quand môme très dynamique de notre ami Miilot. Il y a dans le Lyonnais, chose assez rare en France, des cadres comme il n'existe nulle ipart ailleurs. La troisième ligue où il y a lieu de noter une poursée est la Bretagne, et là encore, il me semble que le travail de deux personnes est manifeste. C'est le travail de notre collègue Lecourt qui a retrouvé un appui intéressant en la personne d'un ancien membre du Conseil, M. Georges Banatre qui est re venu, après une petite absence, au premier plan de l'activité pongiste en Bretagne. Je ne vais pas m'é.lendre plus sur les statistiques. Je vous signale, pour la cinquième année, une .progression de cent Asso ciations, et là encore, il y a lieu de noter que Paris, sur les

De remarquables réalisations! Je vais, si vous le voulez bien, vous parler de notre activité fédérale. Je crois que .je vais parler de ce qui fut à l'honneur de la P.F.T.T. en cette saison. Les Fôtcs du vingt-cinquième anni versaire, dont nous a parlé le Président tout à l'heure, cnl été ipour nous la satisfaction intéressante. Pourquoi ? Tiout d'abord, parce que la consécration offlcielle du gouvernement nous est arrivée. Croyez-bien que, pour que notre sport puisse assurer une réunion présidée par une personnalité du gouvernement, il faut que noue soyons tous arrivés à quelque chose I...

L'autre satisfaction du Jubilé en est le déroulement sportif et mon ioollègue Occcaidi vous en parlera; mais je puis dire quan.d

L'épreuve-reine Deux années de déroulement du Championnat de France par équipe.s, «nt marqué définitivement le succès de cette épreuve selon la formule maintenant employée à l'exemple de celle d'autres sports, et encore une fois celto année, il n'y a eu à déplorer aucun forfait. Bravo donc aux trente-cinq Associallons qui s'affirment cijmme

les meilleures de France, et merci à tous ceux qui |)ariicipant ou non à cette épreuve, nous ont encouragés dans celte voie. Vous savez que, depuis le début de cotte ,épreuve, M a été envisagé de la scinder en deux divisions. Lesr'temps sont révolus pour la réalisation de ce (projet. La lecture du dernier numéro do

Tennis de Table a dû, a ce sujet, ôtre,fédiflante pour les inté ressés. d-"' Déjà, les quatorze clute qui vont atfcéder en première division

nous ont manifeslé leur intenlion hi^h marquée de ne pas man

quer celte ascension. Que cela n^lle pas sans réticences de la part de certains trésoriere, je l'ignore pas, .mais je fais con fiance à tous les Comités de Cj^'Associatlons, en leur prometlanl que, de notre part, nous ferons le maximum par cette première saison, afin que leur pariiri^tulion soit la moins coûteuse possible. Et je signale on terminât, avec le iplus grand plaisir, J'enllioupionnat de deuxième^ division qui est instauré cette année eu six poules.

,,

Bien peu -de pays peuvent se permettre de telles " fantaisies Parallèlement à ces rencoTiiires internationales, s'est disputé _

Tournoi du Jubilé à Paris dont on a su le rotenlisfcmenL^t,

encore dans le cadre sportif du Jubilé, il faut noter aus^'cnic

vingt-et-une manifostatio.ns infernationales, rencontres ofMelles rencontres de propagande ou d'exhibitions, ont été^erganisées pendant une seule semaine. Toute la presse, pendant dix jours, parla du ping-pong et je vois ici des pcrsoniiBs qui se

sont consacrées activement à organiser tout cela, que>^ voudrais féliciler publiquement. Parlons de Reims qui voit la fin de ces fêtes^du vingt-cin

quième anniversaire et de la semaine fédérale.^ Dites-vous que le Championnat, ce n'est pas ^ilement l'oppo sition de joueurs et joueuses qui font des majKmes ! C'est aussi la possibiIi[é de se rencontrer, celle de r^embler plusieurs centaines de personnes qui font de gno.s efpfrts après les Fêtes

de Pâques pour être présentes afin de prei^e contact, et je suis

quant à moi, très heureux d'avoir, celle anmo encore, fait connais sance avec quelques personnalités du piw-pong français. La semaine fédérale, c'est un titre

à mion sens, va mieux

que le Championnat de France; il évjtoue autant l'idée de fêtes du ping-pong que l'idée sportive. iveautés

De celle-ci, je nioterai que, P^r la première foie, nous avons un

Championnat militaire anrês bien des tergiversations, et

grâce à Taippui de notre çaRègue Jean Mercier, mililaire de

carrière. ^ Dans le cadre de l'orgai^alion des Championnats corporatifs, je voudrais là aussi rema^uer la progression consitante de cette branche de notre acIivit^Voue savez que le premier Championnat n Conpo » rasFembIaif,/fuatre équipes (trois parisicnne.s et une de

province); cette année, nous avons retenu huit équipes ; Inois de Paris et cinq provinciales. Notons que la progression pari sienne a permis aux Parisiens de s'attribuer le titre tout en aidant

la mise en route de cette branche en province. Je suis heureux de saluer tout particulièrement les représen tants des conpos venus de Mareeilic, Rouen, Bordeaux et d'ailleurs. Notre Conseil est heureux de constater que. rien n'arrête nos dirigeants régionaux, qu'il y a lieu de remercier, et qui, en plus des tâches normales, ne manquent .pas de s'attribuer un tra vail supplémentaire avec celte nouvelle activité. Je ne vais pas, dans ce rapport, déveloipper la questio.n corpo i Mais je veux dire que, dans noire Fédération, le sport corpo n'a pas encore de slalnt et je demande à tout le monde d'y faire atlnnlion i

Le sport corpo doit rester une occupation des loisirs du personnel et non ipas un nouveau palier dans la recherche de litres.

A

j^es afjinitaires et "nous" Tennis de^able va publier prochainement le loxite de pnolo-

cole d'aooor^signé avec l'U.F.O.fj.E.P., texte qui est actuellement

à votre dj^osition et qui, dans le chapUre des questions diverses de cet (^re du jour, pourra être discuté.

Nou^mvons rendez-vous la semaine prochaine avec ta F.S.F. (Patrp^ges), pour en signer un similaire, ce qui aura pour effet de aO'rmaliser nos rapports avec ces groupements sans d'ailleurs s'agisse .de modiflcalions profonclcs do nos relations.

même, qu'il e.st absiolument rare, si ce n'est unique, qu'un seul pays puisse organiser en quatre jours, six rencontres in.ler-

D'autres

TABLE

siasmc manifeslé par <fles Associations nouvellement qualifiées qui, au nombre de wgt-et-uno, auront à coimpléler le Cham

cent Sociétés, en draine le'tiers !

nationales !...

DE

Les

Mutations

Vous vous souvenez des circonstances qui nous ont amené à ■composer » récemment avec les usages à la suite de mutations « retentissantes », le Conseil fédéral ayant dû prendre des mesures exceptionnelles. Cout le monde considérait avant cela tout le monde, imlais les circonstances .font que des modifications s'avèrent indl.=ipensahles et le iGonsoil de la Fédération va étudier un projet de régime de mutation dont je voudrais vous donner les grandes lignes. A mon avis, il y aurait une période (précisons que je parle à titre personnel), une période 'de mn.latiun 'de deux mots. Disons juillet et août par exemple ? Pendant 'Ces deux mois, un joueur ayant idéjio.sé une demande do mulallon, conserve le droit de jouer individuellement avec la licence de Lan dernier. Pendant ces deux mois, les demandes 'de licence seraient bloquées à la Fédération.

A l'issue de ces deux mois, la Commission fédérale de .trans ferts, pendant quelques jours, s'occuperait de toiilcs demandes

de transferts et il y aurait (leux solutions, ou le •Irarisfert est

accepté ou il est refusé. S'il est aoceiplé, nous envisageriions de délivrer une licence, dite "M», permeUan.t ainsi à n'importe quel club .de recevoir dix ou trente joueurs avec licences nouveaux I... Mais, comment combattre les idées qui ne sont pas tout à fait sportives de Sociétés qui « fabriquaient » des équipes entièrement nouvelles ? La solution semble Lnouvée avec celle-ci : le club pourrait avoir autant de licenciés " M " qu'il voudrait, mais .dans toutes les

épreuves par équipes, il n'aurait le droit d'aligner qu'une licen

cié « 'M » par équipe. Voilà -en gros le projet que 'le Conseil étudie. Ce n'est pas une chose innovée pour nous. 'C'est l'expcricnce des autres fédérations qui devrait nous profiter.

Révisions

géographiques

Sur cette ques'ion, vous connaissez l'idée du Conseil fédéral, et il est inopportun de laisser à certaines Ligues la difficulté pour les 'dirignan.ts comme pour les pratiquants de rayonner sur huit ou dix départemenls si (bien que nous avons envisagé à la Fédéraliirm trois stades d'é.liide. Le ])remier comprend des fractionnemcnls à l'intérieur de quelques Ligues où le problème est souhaité ; Dauphiné, Anjou et Provence, à diviser en deux ou trois, à la donvande des intéressés. Deuxième Stade : aménagement plus complet : Les difficultés de la Champagne, de la Franche-Comté, celles de la Côte Basque, même celles do la Bourgogne, où tout le (inonde est trè.s au eournni de la question O'btienidTaient une solution.

Le troisième stade, je vous le dis franchement, c'est un stade équivalent, pour moi personnellement, à la méthode anglaise ; c'est une Ligue par département.


TENNIS DÉ TABLE

Je rends déjà liommaçe aux quelques dirigeants' de Ligues qui ont manifesté le sacrifice, en nous disanJ : « Si vous voulez 'dans ma région, créez une ligue par département qui peut sup

porter d'ôtre Ligue. » C'est une étude très ioinlainc, mais c'est simplement pour

vous donner le ton de nos « ambitions ». Nous essayons 6urlout,,f' avec nos projelS', d'apporter une contribution à la progression: du ping-pong.

Le Tournoi de "Samedi-soir" Je vais tennincr en vous parlant 'de «Samedi-Soir».

Je voudrais simplement préciser comment cela s'est réoRisé.

ferons; il y a la politique toujours facile qui est celle de l'aug-

mentation des prix. Il seraijiiRMii^^e dire : « Nous allons augmen ter le prix de la coUsa^n 1 ».^ik

Nous ne savons pas ^ç^J££ ce que^pus pourrons faire à l'heure chose qui sera envifiagé.^^t qu'il nms faut -tâcher d'équilibrer recettes et dépense® sur jpSLipostes cMs'il y avait quelqu'un qui puisse nous donnet quelque^ explicwons pour y arriver, sans augmentation, qu'illirenne coltact a.'Ma nous 1... Je n'ai rien .d'autle dr*TW,ii>nrifi''"'y ajouter si ce n'est que je me tiens à votre en^re dispositiojFpour vous donner toutes les actuelle, mais de tpu.çfe^&lKons, ilw a -certainement quelque

expli-ca-tions qui vous >maientn|(e6saires sur itous les points.

C'est assez amusant d'ailleurs i Vous savez que certains journaux français ont des ressources, des capitaux a répartir dans des

Rapport des Commissaires aux comptes

différents concours et il s^'est trouvé à ce journal, un administra teur (ami .personnel de M. Prulière) nui -pratique le ping-pong.

Je précise tout -de suite -à notre d'écliarge que, seulement le !""■ janvier à «Samedi-Soir», le Conseil d'administration s'est réuni pour déterminer l'organisation du concours qui aurait pu

présenté par M. CRISAFTJLLI

être celui do la plus belle jambe ou du plus beau bébé. Ce fut le tennis do table qui prima. Ceci dit, sans qu'il' soit question

de faire de la publicité, croyez bien que ce tburnioi ne leur

rapporte strictement rien i Dites-vous bien que lés organisateurs ont décidé de mettre huit initiions dans la chosel... Et ce fut une des raisons de la réussite du Tournoi.

Cette iiremière réalisation a peut-être été ji'nprovisée; il y a

eu un calendrier très serre. D'autre part, iL»y eut des histoires

de classement ! Mais de tout 'Ocla, retemon^ que le Tournoi de

«Samedi-Soir» fut un succès de masse, gj^fice -à l'action de tout lé monde, éiémcnt. essentiel do cette réaliefetion. A l'heure actuelle, trente-doux joueur.ç'et seize joueuses sont convoqués à Paris. Même s'il y a des cafe' panliculiers qui dérou tent nos dirigeants, au fond « Samedi-Siir » ne peut envisager le ipniblôme -comme nous le faisons pa|îr nos épreuves, mais je cnuis, sans m'avancer, que « Samedi-Sflir » renouvellera son geste

l'an prociiain et, très probablement, delà commencera on octobre ou .novcmlire et nous aurons tout le teniips d'y travailler iitile-

mcnt sans être débordés.

J'avais souhaité, lors de la dernière Assemblée, que la trésorerie fédérale, selon -d'ailleurs f '^■instructions de la Direction des Sports, puisse comprendri oLalité les chiffres (recettes et dépenses) de -tous les fon. t circulé -dans -toute la France

pour le Tennis de Tabiei

Le temps pas.sc et j'aurais enwre voulu vous parler du journal

et de l'annuaire qui sont -des Jlément-s essentiels de notre acti

vité. En vous recommandant,We vou.s reporter au rapport que

je faisais -d'une manière ass-e^fio-ngue à l'Assemblée de 1951, noue gagnerons tous du temps, -çar le problème reste -le même. Je

fédéral

ou

mais je m'étonne qu'une gr

[sembl^ Je sais que cela a été fait, de np.tie des Ligues n'ai-t pas cru

Je -pense que chacun -CMp:

'ndjfi qu'il est de l'intérêt général

scr facilement un travail d"

devoir suivre la propositionij que le budget -de la FédS

fres puisqu il est entendu ne fonctionnent que par -d?

oudrdes raisons qui m'échappent,

in.^uisse comprendre tous les chifi Ligues et -donc leur trésorerie b.tlon fédérale.

Le Rapport pour 1951

i

Revue et-^Annuaire

e "*c soit à l'échelon

régional. P-our cela, j'avais nvisagé qu'une circulaire soit envoyée aux Ligues, pour q celles-ci puissent, chaque année, réaliser un bilan semblablel à celui de ila Fédération, tel qu'il lie, sans qu'il soit -possible de réali-est publié -dans la revue offi

« Nous soussignés Gauffenic André et Grisafulli Jacques, ccr-ti« biens avoir effectué le contrôle de la vérification -des pièces

« comptables et de -caisse de la Fédération Française de 'Tennis «

de

Table. »

« Nous avons- reçu du Trésorier général e-t -du caissier-comp« table tous les rensoignom-ents demandés sur les divers com-ptes.

« Nous avons effectué -des sondages et soulignons que les comip.tes

suis -d'accord que le journa|''ne -comporte pas assez do questions techniques, pas assez de iphotographies et pas -assez d'échos.

« qui nous ont été présentés correspondent -exactement au bilan « et à la situation financière 1931 présentés à l'Assemblée géné-

Ne m'en veuillez pas, carfsi d'une part je n'ose trop abuser du

« raie du 20 avril 1952. »

votre indulgence, en voiis obligeant chaque mois à subir ma prose, il y a d'autre pint que -les circonstances limritent notre publication à dix pour Ja saison, seulement sur 16 pages et que malgré tout, le déficit 4c « Tennis de Table » dépasse 100.000 fr. Notre Trésorier vous in parlera tout à l'heure, tout comme il

pourra vous dire qu/nous serions heureux d'avoir les moyen.s

Rapport de la Commission

des ^tatuts et Règlements prS^nté par M. Jean MERCIER

fi nanciers de pnursuB're dans la forme actuelle la publioa'tion régulière de l'annuatre en- augmentant la documentation qui y figure.

Ma désignatiaa. l'an -dernier, au poste de responsable de la

y

Rapport financier

Commisio-n fédère des Statuts et Règlements, me vaut aujour

d'hui l'honneur « traiter pour la première fois un sujet qui,

présenté paf M. FUNFSCHILLING, Trésorier

mes camara-des d\ Ligues -de province sont d'accord avec moi, n'est ipas- -très passilmnant, surtout ceci venant après les rapports de mes différents ccfcègucs qui eux, ont quand même la possi

Je serais .Ijfcf. :Mais on est bien obligé de parler finances.

-tiques. Je n'ai pas -oe^ -chance I Je vais quand même, compte

Vou.-s avez reeu ou vous avez devant vous le bilan de l'anné-o 1951

avec l'état œoa-pitulati-f des recettes et dépenses, et je ne crois

pas utile dip vous relire ces chiffres. On a tâché, cette année,

de préscntjir ce bilan d'une façon assez agréable; ce n'est pas facile à ■^ir, mais la manière est assez nelté, de sorte que l'on

puisse sume pour chaque ipos-te, l-es entrées et les sorties.

Dans «s chiffres, il est -évident qu'il n'y en a pas beaucoup d'élémems- à discuter, m-ais tout de même, il faudrait envisager

bilité pour imager Icu»; rapports de vous parler chiffres et statistenu de ma formation %e juriste, essayer de vous parler un peu

de cette question des sVtuts et règlements, et vous dire ce qui

a été fa-i-t jusqu'ici, vo» dire ce que noue espérons pouvoir

faire dans l'avenir et -te^iner en vous disant ce que je crois qu'il est nécessaire de fai^ pour alléger la tâche des dirigeants

de Ligues, sans pour cel^ entraver par des règlements trop

stricts, le fonctionnement r^ional.

Faisons le point

de reg£fr-der dans la question de la propagande, le budget de

la reviie « Tennis -de Table » qui. de plus -en plus, est indispen

sable four établir une liaison entre la Fédération, les joueurs et les dijpgeanls de clubs. DaiTs ce paragraphe de

propagande, on voit on Recettes

GOO.iffiO francs contre 725.000 francs en Dépenses i... "Vous pouvez

Tout d'-abord, -ofi en étion=-n^ l'an dernier ?

Vous veniez d'ôtre convoqués Xune Assemblée extraordinaire pour l'-aipprobation des nouveaux^^atuts de la Fédération. Vous savez comme moi que de plus engins nous entrons, à notre

aufffl^ voir pour Tannuaire officiel 431.000 francs de recettes

corps défendant, dans une ère admiiletrative et que notre sport

som deux postes qui nous chargent énormément au point de

toutes les autres Fédérations sportivesXptreints à des obliga

cor^o 478.000 francs de dépenses et il est bien é-vident que ce vue de la trésorerie.

Je vous le fais toucher du doigt de façon à examiner comment

nous pourrions, par la suite, équilibrer à peu près ces deux postes en recettes et déjienses. Il est évid-ent que nous ne pou

vons pas -continuer dans ces conditions là -et alimenter ces postes avec nos recettes normales. Je .no saie pas encore -ce qui nous

n'a pas- échappé à cette loi de tendafme; nous sommes, comme

tions légales^ et notammen-t, en -ce qui^pncerne Je mode des élections.

Il a fallu tenir compte de tout pour mettr^nu point des règle

ments; il a fallu tenir compte aussi, qu'il

vingt-cinq ans,

que certains existaient; et il fallait tenir con^|g de l'ampleur qui avait été -donnée à notre siport.


lENKlS DE TABLE

Ces statuts constituent donc la ctiarte soumise à une Assemblée

générale. Cest quelque ctnose d'intangible puisqu'il faut une autre Assemblée pour les modifler. 11 lauL les oompléter par des règleiments intérieurs, des règlements administrai ifs et sportifs. C'est donc la lâche à laquelle fa Commission des S'tatuts et Règle ments s'est atlacUée cette année.

Tout d'abord, il a fallu faire te point avec tes Ligues... Parce que, si nous recevons des Ligues, les noms .des gens qualifiés pour les Championnats de France, on a beaucoup moins de relations avec eux en ce qui concerne les rèlements intérieurs. Cela intéresse les dirigeants de savoir comment fonctionne une Assemblée générale ou une Ligue. J'ai donc écrit à tous mes collègues pour leur demander de m'envoyer leurs règlements.

Ces réponses, car iî^; m'ont tous répondu, ont été très instruc tives. J'ai co.nstnlé qu'il y avait actuellement trois groupe.^. 11 y a d'abord ceux qui ont la chance d'avoir certains membre.s

de leur Ligue au Consf^; ceux-là son tenus au courant, ils ont des règlements à jour; Ils sont dans la ligne fédérale. II y a 'Ceux qui le so-ut un peu moins, sans que cela soit

taire, on sent que le Tennis de Table, en- France, pénètre .ses rameaux dans des compartiinenls de plus en iplus variés do la jeunesse française, cl cela doit nous réjouir. De grandes éprouves comme l'épreuve .de « Samedi-Soir » auront un excellent effet pour le Tennl.s .de Table dans la masse, et me référant à ce que je disais l'an dornier/'je crois qu'il y a lieu d'être satisfait, et (l.o dire que ces faitsjjnarquent une ])rn-

gr^-slon sur l'an dornier. Je ne veux pas,^'appesanlir sur cet aspect du tennis de table en général, ipui# parier sur le terrain

plus sport proprement sportif .du joueuf de tennis de table et des résultats qualificatifs.

Une belle tenue iAîernatlondle Jean Belot vous a dit fort jusl^'inenl que, j>our la ipremière fois, nous avons pu rencontreré'simultanément au cours des épreuves du Jubilé, six pays, pon.so qu'il n'y eji a peul-être

pas un autre qui pourrait jsé' ipermoltre de faire cela, même l'Angleterre!... La 'Hongriçg' la Tchécoslovaquie, le Japon en

seraient ip.oiit-être capables^'mais enfin un pays qui peut, à deux

péjoratif. Un peu moins évolués au point de vue règlements ; ceux-là ont des rôglements.'^car vous savez comme moi qu'il y a une loi qui impose un modAd'élections. Us élisent quand même

jours d'intervalle, rcncon|ijPer simuManéiiienl lu plupart des équi pes d'Europe oeoidentatjjj' est évidemment, dans une sport donné,

des gens qui sont là et, généralement, ils élisent ceux qui s'en

Les résultais, voi^Je savez, sont cette année plus brillants que l'an dernier. 11^ a eu une grande, éj)reuvc du Jubilé gagnée

occupent et les meilleurs. II y en a d'autres qui m'on îbl : « Dans le fond, vous avez

raison, nous n'avons pas de règtéçients et nous allons en faire un. »

Une première ri^lisation J'ai pensé donc qu'il était de notr\ intérêt, malrite.iiaiil que

notre Fédération est majeure, qu'elle ^enfln une stabilité, de créer et, au plus tôt, de mettre au poi^ nn cadre duquel te Cansil fédéral le premier, et ensuite les din^renls Comités régio

naux seraient la base, pour mettre au potat les moyens qui doivent permettre à tons d'arriver au but est le nOtre et

que, dans nos discussions à tous les écliolo^, nous oublions parfois : Faire jouer au ping-pong !..,

Dans le fond, on cherche à faire jouer des geiîïL au ping-pong

et il faut tenir compte de différentes idifflcultés. Q^nd je ruis à Nantes, je vais jouer à Bourges, je fais 800 kllSmètres pouy? faire six sets et pour rencontrer une équipe cominje moi,

".Excellence». Ce n'est pas te cas ailleurs! On ne ijleut doTtc

im.poser quelque ctiose de draconien, mais c'est comme c^a^l'il

faut faire un Cbampionnet à trois joueurs, qu'il faut qum^' ait un gagnant, qu'il faut que tout le monde se rencontre. (j'espsJonc à vous, dans le cadre de cette idée, de faire en deu^^pcTWes

si c'est trop étendu comme te cas de ma Ligue. Si J^est pfc

petit, on ne peut faire qu'une seule poule. C'est uiw quoi tiol de dirigeants qui s«Dnt élus pour étudier et satisfg|in'e l'Intérêt^

général.

un pays très fiort.

par un Français ji<vec un autre Français en finale, c'est magni fique !...

à

Enfin, le Ti^iis de Table manifeste on France son impor tance .par l'accueil qu'il .reçoit auprès des pouvoirs publies, auprès de irfpinion, auprès des journaux; il est évident qu'on nous iprcii^au sérieux. Les résultats que nous faisons intéres sent les aftl,orit(« et la Direction des Sports, Tout ceci, c'est très

bien. J^jlpourrais m'arrêler là et vous dire: " C'est magnifique ». Je ne^ fais pas. Pourquoi nous progressons îe vais objectivement essayer maintenant d'interpréter ces faits, dis d'abord que le tennis de .table a affirmé son existence en

,!ant que sport auprès des -pouvoirs publics, cela est vrai ; mais encore .devons-nous faire tout de même une certaine analyse de la façon dont ceci s'est réalisé.

.M. BeIoL vous disait tout à l'heure que, s'I le journal « SamediSoir » fait une épreuve de masse, c'est parce que .notre Président, Prulière, connaît un jnembre du Conseil d'adminis!ration. Si In journal « Tennis de Table » a obtenu un régime préférentiel du papier de presse, c'est parce que l'un d'cn.lre nous est introduit a la Commission .d'examen (M. Belot: " Il s'ap.pelle Pierre Cec caldi. ») Si nous obtenons Ici ou tel l'é.sult.at dans telle ville, c'est parce que les dirigeants Jocaux ont fait preuve d'efforts inlassables.

■Mais enfin, 11 ne faut ipas croire que, déjà, le tennis de table

Un règlement intérieur qui paraîtra dans le procjl'ain annuaire, vous donnera beaucoup d instructions et de mqwns de travail.

Ltk aoceplié comme uq grand sport, ce n'est pas vrai. Il ne faut

nous appliquons Ifflusl

poiiît Se(î^do, et en ce qui concerne le point de vue sportif, là

11 vous donnera les règles essentielles que dé^, dans te fond,

Cela concernera les Assemblées générales jft les élections, le fonctionnement des différentes Commis.sions/Tmals cela est sur■ tout fait pour vous aider.

Donc, je voudrai.s maintenant terminer Jet exposé pour redire

publiquement ce que j'ai écrit à mes cam^ides des Ligues quand

je leur ai envoyé une petite oirculaire.^ur demandant de m'en

voyer leurs règlements : <• Je suis jrersonneltement opposé à l'élaboration d'un règlement troip débpllé », et mes ultimes pa

roles seront oelJes-cl ; " Je ne ve^ pa.s qu'un match qui est

p^nous endormir sur nos premiei-s lauriers. Voilà un premier encore"^ ne faut pas nous ".gargariser»!... A BoiîUiay, nous avons i;u deux demi-finalLslcs .ce'tle année.

Nous sornœes donc à la lête du tennis de table mondial !... Ce

n'.e.-it pas ?sai ! Gela sera vrai .lorsque .nous aurons une ma.sse suffisante dk joueurs pouvant s'imposer face aux meilleurs joueurs moncftieix. Nous n'en avons pas sur le iplan de la qualité

Inlernalionle. Iwiis avons un .très petit nombre .de bons joueurs

et qui ne sont jMis encore les meilleurs et ipuis aurions-nous les

» gagné sportivement devant une jKible, dans des conditions, au

moilicufs joueurs -'(^cluels, qu'il ne faudrait pas clianlor victoire. kHévolution mondiale

« que tous, nous ayons une un|té d'aclton et que tous nous tra-

Notre Président, a été- trop dl.scret on ne vous parlant pas! 11 vient de Bombay et il a'^mi qu'il s'opère actuellement une véri

Il fond correctes, se trouve après,^erdu adrainislrativemenl parce <1 qu'on a trouvé un article di^règlcnient qui... que... II faut

u vaillions pour la seule cauf^qui nous réunit ici aujourd'hui. »

Allocution/ae M. Ceccaldi sur lesfproblèmes sportifs " Faiies-niûus de t^innne politique et vous aurez dos lionnes finances. » Mon amiŒelot vous a montré qu'au ping-pong, c'est

la même chose. Utfand on fait de la bonne administration, les

affaires oporiivc^/rparchent bien, et effectivement, ;la Fédéra'tio.n

a fait beaucouff^ur le plan sportif et il suffit d'écouter notre

Secrélalre général, il vous suffit de lire notre journal, pour voir que, sur le plan s])ortif, la Fédération française est aussi en .plein essor.

Ceci dit, je vais, en m'efforçant d'être oljjeotif, d'abord de voir tes faits comme ils sont, les faits sportifs et ensuite do les

interpréter, c'est-à-dire de les cIlBouter. Les faits, ce ."oiit d'abord les faits de masse, les faits individuels et tes faits sportifs en

général. Du point de vue de la masse, je crois que noiuî soonmes en progrès sur l'an der.n.ier. Du point de vue scolaire, universi

h

table révolution dans le Jeu du tennis de fable. Nous jouons en France d'une façon quei-pous -appelons classique, et je crois

que nos meilleurs joueurs oblîçnnent. dans -ce domaine, les résul tats que l'on peut obtenir. Il se. révèle qu'il y a d'autres façons de joiier. Cela ne veut pas dire'qu'en remplace le picot par le mousse comme j'ai vu un joueur très distingué qui, à clieval sur l'ancienne époque et sur ce m-odernisime ( ?) ipose d'un cOl.e de sa raquetle le picot et de l'autre le mousse avec comme résultai. un jeu mi-figue, mi-raisin, qui personnellement ne m'a ipas enchanté. Ce problème n'est pas une question de picot ou de mousse, mais un état d'esprit du joueur.

Les joueurs asiatiques, vous le savez par la lecture de « Tennis

de Table», nous ont montré qu'il y a une autre façon do jouer, une autre tactique, un autre état d'esprit, tous orientés- essen tiellement .sur l'attaque. Cela ne v(mi1 pas dire qu'on attaque toutes les.balles d'une façon inconsidérée comme le fonl certains joueurs OTiais le jeu .doit être orienté vers l'al-laqtio résolument et dégagé

de toutes ces craintes, de to utes ces suggestions mentales qui, souvent, paralysen-t nos jtjueuns Français.


TENNIS

DE

TABLE

Les Doubles

Remise des médailles de

M. Belot pnrUiit Loul à flipurc ilii double, et je r.ilsols, en l'écoulant, cotte réncxlon que i?l nous avons de mauvaises éqiii-

l'Ordre

nes de\ double, cela tient .essenilellemcat à l'esprit indlvidua-

du

Mérite

lifilo, mais non à une vérité que les techniciens affirment comme

un fait Indisculable : la question de.la formation! On dit, n'est-ce

pas, qu'^ faut prendre la bonne formation ipour gagner, et qu'en cas contraire, nous avons des chances de perdre. Ccki est complè tement fcuxl... iLa formation n'a pas d'imiportance. Certes, elle

en a dai|s les fins de 601.= ; mais j'ai vu do très bonnes équipes

de doubla étrangères, et dans tous les cas, les joueurs eux-mêmes ne sembiflicnt guère s'en occuper et c'était le capitaine qui en était soucieux.

Je vais maintenant passer à un autre genre d'exenaioe ! Celui de vous expliquer ce qui a été fait pour récompenser les diri

geants les plus méritants parmi ceux qui ont le plus travaillé pour la Pédéraliion.

Dans le tennis de .table, vous le savez, existe un palmarès pour tes joiieuife qui ip.crpétue le nom .de ceux qui ont été les cham pions.

Mais le tennis do table ne s'est pas fait tout seul et même pas uniquement avec les champions, mais aussi bien par des diri-

Un Jeu

geanls i Nous avons donc pensé qu'il serait bon de récompenser ceux qui, pendant un certain nombre d'années (que le Conseil a

do .table est un sport, mais qu'il n'est qu'un sport et qu'il faut jouer avec Vou.s ses moyens en donnant le meilleur de soi-même.

lui-même fixé è vingt ans) s'étaient occupés de tennis de table et, de créer une distinction qui ne serait pas décernée auto matiquement, mais .seulement à ceux qui, pendant vingt ans.yÇnl

On voit trèSj souvent dans les matchcs, chez nous en France, des joueurs crisijiés, .des joueurs « malades » avant de jouer, et qui

de ces dirigeants figurant è un palmarès.

Il faut garder du bon sens, ne pas pendre de vue que le tennis

le sont encoYo pendant le jeu, et encore après I... Evidemment, à ])arlir de çe TOoment-là, il faudrait presque" les montrer aux pyschiàires, fear ce n'est plus une question physique, mais une question psydJuque. No.iro Président me disait que les Japonais et les meilleurs joueurs de IIong-Kong jouaient dans un tout

aulrc état d'esprit, rencontraient de très forts joueurs Français et osaient les iàborder sans aucune crainte, sans aucune vénéralion, et devant Ijm Bergmann. un Sido, un Roothooft ou n'importe

vraiment contribué au .développement du tennis de italïïe. L(imom

Nous avons décidé que les membres du Conseil qui, cei^ année remplissaient les conditions roquise.s, c'est-à-dire avai(#t vingt

ans et souvent iplus, d'activilé à la Fédération, fori^-aiont le Conîeii de l'Ordre à l'image .des organisations civilar de notre ipays, et que ce Cionseit .de l'Ordre choisirait, soit apr demande

des inléTessés, soit sur la demande des AssociationSj^s dirigean.is ayant vingt ans de service et ayant conlribué .au «évelop])ement du tennis de talole aussi bien dans leurs AssociatioB®, leurs régions

qui, ils jouaient détendus, ils allaient cn.suito 6'a6.çoir, ils s'es

ou à la Fédération.

leurs. .le crois que vous, dirigeants, vous devriez éduquer vos joueui's à avoir un tel état d'esprit, leur interdire de se casser

sonnes désignées comme je viens de l'indiquerjîGe sera le premier contingent de l'Ordre du Mérite de la Féd#'atlnn, qui je crois

suyaient,' et c'était fini! Le iilus souvent, ils avaient gagné d'ail la tête, .de 'prépater des combinaisons infinies et même dos cal

culs, iparoe que, |e tennis de table, ce n'est pas un jeu cssentieliement inlellccLDol. Getto part intellectuelle incombe à d'autres.

Aux dirigeants, j'alenlondu .dire beaucoup de choses justes dans ce 'domaine, mais Aussi beaucoup .d'erreurs; je crois qu'il faut

comsidércr nomme îpusse, l'affirmation que, seul, un technicien

,/

NOU.S avons aujourd'hui à remettre des distinjctions à onze per fonmera un palmarès éloquent dans un pnoche avenir.

A titre .de « s.uper-anoien ». U .appartenait .à niotre Président d'honneur, le comte Palmiérl, de procédja' à la première distri bution de médailles et ainsi que l a pràTm le protocole, je cède

la place à M. 'le oonite Pal.micri qui iSfa commencer pair vous donner les noms et va décerner les iprei^ières médailles de mérite.

peut guider des joutoi's. C'est une erreur complète.

^ Les éducateurs R'aliord, il e.^t un faitaquc l'un de nous regarde jouer un autre, même s'il n'esl, .pas irèslfor.t et voit lui-môme les erreurs mani festes. Le seul fait de ne pas jouer permet de voir des fautes, des go.stes ma.l faits qu'ofe peut corriger. Et encore, il n'y a pas

que la teciinique. Il y a Ifeussi la formation morale du joueur. Là, il est évident que c'esftle rôle du dirigeant. Le dirigeant de

Messieurs,

J'ai l'honneur et le grand pl^ir d.e distribuer la preimière

médaille au président en activitéjA M. Jean Prulière que je suis

ticureux .de féliciter pour ses vingt et un ans d'activité au tennis de table. Je le prie .de bien yftuloir, en sa qualité de premier

réoipiendiaire de bien vouloir gêursuivre la lecture .de ce palmarès agréable.

g

i ***

club peut amiUiorer conslt^rabiement la valeur .du joueur, et, Je vais .donc distribua? les autres médailles et j'appel en tous ca.s, faire en snrie 'ique la pratique dti tennis de table lerais en premier, si vmJL 'le voulez bien, notre ami Eugène lui profite, au lieu, disons 1(| mot, de lui démTOlir le système Piantrou, de Normandie ;j^uis M. André Mercier, qui e.st un vieux nerveux.

\

Dernier point dont j'avais longuement parlé l'an dernier îi l'Assemblée et sur lequel j'insiste encore : la formation .phy sique. Il ne faut pas vous y trniniper. noms pratiquons le tennis de tabie, ma.is nous ne pouvons pas tous devenir des champions. Il faut des aptitudes nalurelle.s, ®i encore, j'aurais bien voulu pouvoir, avec des instruniients précis...

Qu'un joueur arrive on première! série cela n'arrive pas cou ramment nu arrive pour un sur dix paille; mais par contre il est permis k tout joueur .d'arriver .A un piveau convenable beaucoup plus élevé que l'on ne pense, n'iim.pnrte quel joueur qui sait un |ieu conduire sa barque ipeut arriver en deuxième série. Coinmen.l.?

n'aimrd par la culture physique i Nos joueur.s ne son! pas des athlètes. Beaucoup ont'ta physiologie, orii. le système .physiologi que, la carrure de l'athlète, niais la (plupart ne sont ipas dés athlè tes parce qu'ils ne pratiquent pas un autre s.pnrt que le tennis de table. On peut combiner ta pratique du lenni.s de table avec la culture iphyeique permanente et un sport è l'air libre, ne serait-ce que l'été. Comment voulez-vous arriver à faire de nos joueurs des chaïupious et en tous cas .des athlètes, s'ils ne font, pas de culture phj'sique nu départ. Je vous dis; ne nous'« gargarisons » pas, nous perdrions notre temps à méconnaître ee'tle vérité. Il est ahsoliiinent: néeessaire, dans tous les clubs, d'abord de soumeltre vos joueurs (surtout je pense aux jeunes) A des exa.mens médicaux. S'il y a conlre-lndieations au .point de vue ner

militant du ping-pong, Ai a œuvré depuis vingt ans en Bourgo-

.gne pour le développearent du tennis de tabie et qui maintenant,

est devenu un t'out p^It peu (parisien. AT. Jean FunfsohilUflig. notre trésorier, œuvre depuis vingt ans dans toute la Franciif .Après celui de Champagne 'il est mainlenant pré.sident de la rég»n du Centre, et son activité nous est connue.

J'aurais un mot/pariiculier pour M. Gorbillon qui, comme vous le savez, est notM « père » à tous, car c'est grâce a son activité

de la première jfcure que le tennis de .fable est né.

Parmi ceuxjqui ne figurent pas ou plus dans notre présent oonseil, se irMve M. Garrigues, de Guyenne et Gascogne, viceprésklenl d'mnneur de la Fédération, qui me prie de l'excu.oer

nuiprès de \Ai.s — son état de santé ne lui permettant pas d'être ici comme/I l'aurait d.és.irn — pour recevoir la distinction qu'il mérite.

Je voiAais maintenant citer (M. Poumanoux, d'.Aurillac (après Bordeaiut). Tous- ne le .conna!s.qent, pas parce qu'il y a eu cette

périod^de guerre qui lui a fait dé.'=orter un moment les activités

féd.ér<ye6, mais ceux "qui disputent les Championnats de France

depuis de nombreuses années, .se souviennent de lui comme jugearbi^e.

vais passer à un de nos dirigeants-joueurs qui s'a.ppelle le

to/jours jeune Fossecave. Celui-là, tout le monde le connaît parce

q/i'il a à peu près occupé depuis vingt ans tous les postes possi-

Mes: arbilrc, joueur et diriacant: tous les échelons dans la région

veux nu du cœur pt des poumons, é^carter sans liésiter I En les

Aordeinise et les organisations naftonales.

laissant, jouer, vou.s leiir rendriez un très mniivais service. Essayez d'orienter et de sélectionner les meilleurs sujets pour les pousser.

Dans cette i)romolion, il reste encore trois personnes qui n'ont pas pu se déplacer atijourd'hui : M. Déniant, du Comité dCAujou quii a cédé sa place de Président pour .raison de santé, mais qui demuis le début du tennis de table dans l'Anjou, est des nôtres.

.le no veux p,ae insi.ster davanlage...

Je vous laisse sur celle impression valable de satisfactions iioiir enlle s.ai.mn sur le plan smorl'f, mais il faut encore e.spérer. Il ne

faut pas trop se faire .d'illueions et se rendre compte que la partie n est pas encore gagnée.

M. Cuinal, .de Bourcogne, qui depuis vinct ans a iravailié pour le tennis de table tant en Bourgogne que dans .d'autres ligues. Et enfin M. TIaas, de Franche-Comté, région où depu-is plusieurs lus tres il est le .dirigeant et l'animateur .principal.


TENNIS DE TABLE

Voici la première ]

Tite de la Fédératien. Je "le l'an prochain et vous _ méritent celte distincles demandes à la Fédéchacun ipuissent être exa-

vous le recommande,

trouverez des gens

da

tion. Adressez pour liftssem ratiion de façon à c

abstention de Paris, alors que cinq équipes venaient do province, que ce soLt entre autres de Bordeaux ou de Marseille 1

Il ne nous a pas paru illogique d'attribuer 30.000 francs à la Ligue de l'Ile-.do-Franee, sur un total do 70.000, car il est certain que la proportion reste en faveur des Parisiens, si on compare cette somme aux 10.000 francs alloués aux Marseillais ou aux

minés.

Bordelais 1 1

L'ordre du jour appelle ensuite l examen dos vœux présentés par les Ligues et les Associations. , ,„ Aucun dépôt de ce genre n ayant été effectué, I Assemblée géné

L

rale passe i l'article suivant: questions diverses.

discJtiijl^"

®

(iUve

1) Les Corporatifs

Mathématiquement, si nous suivons votre raisonnement qui est •d'ailleurs spécifiquement parisien, puisque posé également par vos collègues pour les Champiionnats Individuels, nous aurions dû accorder sept ipiaccs sur huit aux Parisiens I Ce n'est pas notre opinion et celle-ci'.e.st très nette ; « Paiiis n'est pas la France, et nous ferons toujoi^ en sorte que le tennis de table en général se voit soutenu suitl'enscmble du territoire non pas au prorata du nombre de liccmes, mais en tenant compte h la fois de la

valeur sportive et d\ la nécessité d'aider la progression provin ciale. » \ Pour terminer son %xposé, M. Cartigny regrette que la revue

Tennis de Table dont^ souligne la belle amélioralion au cours

M. Cartigny, secrétaire de la Commission Corporative de l'Ile-

•de la présente année, we consacre pas plus de place au sport

die-France, mandaté par cette dernière, pose deux questions : 1° Pourquoi n'y eut-il 'P^s <îe réunions de te Commission Cor-

.V. Belot précise à ce s^et qu'au cours de la mise en ipages de.s

iporative fédérale en 1951-1952!

2° Pourquoi aucune décision f^érale n^ intervenue sur la

situation particulière des militaires pratiquant en corporatifs ? M. Prulière répond :

rsissi

corporatif.

\

numéros de 1951-1952, amcun article de Ligues (Corpo ou non) n'a été écarté.

2)

Les compétitions ien Afrique du Nord

M. Suire, de Casablanca, timnsmet le désir de la Ligne du Maroc

d'organiser des Cbamipionnafe de tennis do tabie individuels en Afrique du Nord, et souhaitelquo la Fédération voie celle cbn.sp d'un très bon œil. Il siignaleteue le problème des cinq Ligues d'Afrique du Nord, où le nomîtro de joueurs ot d'Associalinos e.'^t en progression, ne peut être teomiparé fi celui de cinq Ligues

métropolitaine,s. car des miillierfSde kilomètres les séparent, alors

rile-dë-Francèrte"n'ai'\a8 jugé utile d'entretenir l'aotivill de

cette Commission, ipuisq\e dune part elle avait simplement à répartir les sommes alloiises par la Fédération pour une énreuve nationale, et d'autre ipart,\e secrétaire parisien 'des corooratnfs M. Cartigny étant en <jion'ta(\quasHpermanent. avec M. Beiot luimême secrétaire des Corpora^s des Flandres, les mises au point

administratives complémentaire pouvaient se faire facilement.

2° La question touchant unai immixtion corpo-militaire est un cas d'espèce visant une ou deu\ personnes, et nous n'avon.s pas cru utile d'établir un règlement &r ce point. Je vous ai confirmé verbalement à l'occasion d'une \&union corporative à laquelle vous m'aviez convié, le point de vA fédéral et les moyens d\mé nagement utiles.

\

M. Cartigny précise qu'il n'a pas .fenu compte de cette mise au

point car il crovait que ne ipouvaientfevoir comme caractère offi

ciel que lies lettres ou les informationsMonnées dans le local de la Fédération. \

M. Crisafulli, secrétaire de te Ligue d\ l'Ile-de-France et ancien

responsable des Corporatifs, précise qu'fin'a, quant à lui iamais

démissionné e.t regrette qu'il n'y ait pa& eu de réunions de la

Commission. Il regrette également que teïédération et ses orga nismes ne semblent pas attacher plus d'inbortance au problème corporatif au moment où cette activité tenoLà se créer une autonamie.

\

M. PruUére répond à M. Cartigny que safc vouloir iouer au

dictateur, il croit dans ce cas avoir fait au miAx, et tout en'com prenant la nécessité d'une Commission spécialifce, n ne peut pas penser que ce problème doit échapper aux memlbes du Conseil de

la Fédération. Enfin, et surtout ce qui crée \ee mouvements divers dans l'Assemblée, il précise d'une manièi^très nelte que tout ce qu'il déclare en tant que président de la^dération et à n'importe quel endroit en dehors' de son fauteuil,Iwoit être con sidéré comme in formai ion officielle.

t

A M. Crisafulli, le président précise que la FédérjKon ne sou liaile pas la désignation de Commi.-Sione fantômes, mdfc surtout la réunion d'anlmateure désireux ,de produire.

M. Cartigny s'exprimant toujours au nom 'de la Olmmission régionale s'étonne du ctinix du lieu et du jour pour iSdéroule

ment des épreuves nationales corporatives. 11 signaleVlue les ■toutes leurs dispositions pour être présentes. Il regrettAégalernent que sur la somme bloquée suivant une décision fédéré au titre des corporatifs, Paris ne se soit pas vu attribuer un» part Associations de l'Ile-de-France n'ont pu en leur temps\rendre plii.s importante que 40 %, alors que son importance en efffctifs représente les 4/5 des Oorpos franç.aiis. Celle remarque T également pour le nombre de places atlribués dans les diffère épi'eijves.

M. Prulière répond en justifiant les décisions du Bureau féti»

ral : le lieu a été choisi dans le cadre des 25« nationaux afin di

créer vraiment un rassemblement des activités du tennis de table

■au cours d'une période dite «semaine fédérale». II est possible, dit-il, que le choix des mercredi et jeudi, ait gêné des participant.s, maie il a y lieu de constater que sur huit équipes il y eut une

que 'parfois dans la mCimc Li®ie des centaines de kilomètres

séparent les Associatlcns. II insiste devant rAssemWée pour jus-

■Wfier le nombre de difficultés qu^so présentent aux joueure qui diisirent participer aux ChampionBats de France dans la Métro

pole, et termine en souhaitant u\ examen favorable sur cette

question.

Le secrétaire général, M. Belot, Ixipose au représentant de la

Ligue du Maroïc que ce problème e\t à l'étude depuis quelques

sai.=tons à la Fédération. Qu'à plusicum reprises, différentes Ligues

se sont posées candidates pour organfeer les Championnats indi

viduels d'Afrique .du Nord, mais que^usqu'ici il n'a jamais été certain qu'il s'agissait véritablement d'ifac organisation 'interrégio

nale qui pourrait être suivie. M. Suire «prend que le bureau de la Fédératin a jusqu'ici admis le printupe de cette réalisation

et pour cela a obtenu l'accord des cïfcq Ligues intéressées :

Maroc, Oranie, .Mger, Constantinc, Tunisiia afin que l'organisation soit assurée à tour de rôle dans un ordre wxé par tirage au sort.

3) Le problème des forfaits 'Une discussion à laquelle prennent part mSi. Bonne.l et Célières

(l'U.S. Métro) entre autres, ainsi que le Présilent et le Secrc'taire

de te. Fédération, s'établit ensuite au sujet d\me question pn.sée

par M. Poizeau, iprésielent du P.P.C. Monlccaindcs-Mines, relative

au dérouleimcnt des parties dans le Championîjn.t de France par

équipes et accessoirement dans toutes les compétitions similaires. Il est souhaité qu'à chaque occasion, les neuf teu plus) parties d'une rencontre puissenl être jouées, car il est éyidemmenf anor mal que les équipes ayant effectué un déplacement de plusieurs centaines de kilomètres n'aient au total qu'à jouer cinq parties (s; le score est acquis rapidement) soif pour l'un des joueurs une seule ! 1 1

.•\près avoir rap'pelé qu'en spojK^l n'y a que le résirllat qui

compte et que celui qui est

après cinq parties reste et

restera, dans .tous les cns, Mmflpi^^ans souci do ce qui se pas

sera si les quatre

perdues par l'une

nu l'autre des équipesj^yir^^voir Ù^elé qu'en tout état do cause il n'est pas nojamni les .«'anotions adminis tratives puissent pupi*- dcs^iwj^^i^vrs et qu'en fait il s'agi.t en ca.s de manqjurnLnljKe Q»^9Br^d'application de sanctions identiques, le Pr^idlnb^nubiWe^i]^^ dirigeants qui sur cette question ont des profc^i^rfns à faire, les déposent dès qu'ils le pourront "'tN? de^lfijro&ération. lections Nous avnns publié notre dernier numéro les résultats des élections au .posle'ne mem.brp..=. du Conseil et les résnllats du vote sur la .situnlinn fi nancière. Signalons pour mémoire que le bureau de vote était composé de MM. Poumaroux (Aurlllac) pré sident; Ballarini (Saulnes), Battistelli (Paris), Dreuil (Sainl-Dizier).

Aucune autre question ne fi gurant .à l'ordre du jour, l'AssnmWée générale se sépare, après avoir renouvelé à MM. Crisafulli cl ■Gauffenic. la fonction de Commissaires aux Comptes, îpour l'année 1952


TENNIS

DE

TABLE

Dans

Féderation /

notre

de taille et de poids notables pour son

Naïveté Opr Dans le palmarès de l'équipe de France, cela se remarque et il n'est sûrement pas inutile d'en chercher le pourquoi. On doit le trouver d une part dans une certaine candeur des sélectionneurs qui omt icru normal (qui les en blâmerait?) d'aligner contre l'équipe anglaise le 8 mai dernier à Paris, leurs 4 « grands », mais seulement en faisant fond sur leurs noms, leurs réputations, leurs valeurs.

Il apparaît que cette confiance n'était pas méritée. Mais disons-le bien vite, non pas tant parce que les Anglais l'ont em porté, et par 5-0, mais parce que nos visi teurs ont su bâtir leur succès face à deis

joueurs qui ne leur étaient pas inférieurs. Pourquoi nos joueurs ont-ils déçu.!" Les Français sélectionnés ont-ils en toute honnêteté sportive honoré leur dési gnation? ESSAYONS DE PORTER UN JUGEMENT

EN TENANT COMPTE QU'IL S'AGIT DE LA FIN DE SAISON (en éliminant Roo. thooft de la critique car être adversaire

de Bergmann même si l'on est Champion de France et bien préparé...) AMOURETTI dont la valeur internatio

nale est fixée largement au-dessus de celle de Kennedy ne trouva pas le temps de se régler car on jouait en deux sels et il n'a pu se préparer car il lui aurait fallu, dit-il, jouer quelques heures avant la rencentre...

âge et n'est pas affligée de cette nervo sité tant remarquée chez les joueuses. On souhaite à la Francomtoise Monique

Alber, sortie seule du rang, de progresser continuellement et de s'imposer chez les « grandes ».

Encore " Samedi-soir" Orlow (diminutif de Orlowski, joueur déjà connu chez les N.C. depuis quelques années) est, si l'on en croit un rédacteur de « Samedi-Soir » un jeune homme très réservé et qui l'a prouvé en ne souriant (la première fois de toutes les journées finales si magnifiques) qu'après sa vic toire.

que Orlow est aussi un humoriste à froid de premier ordre et un pince-sans-rire. Qu'on en juge! Résidant à Paris, utilisateur comme chacun des membres de sa famille d'une voiture automobile, Orlow était venu de chez lui avant la dernière partie en... taxi.

L'organisateur de « Samedi-Soir » chargé du bien-être des qualifiés ibravo en passant une nouvelle fois aux dyna miques Tixidre et Martin pour cette ques tion comme pour toutes les autres) ne

fut pas peu surpris de recevoir la visite du futur vainqueur demandant le règle ment de la dépense du taxi de trois cents francs!! Vous étonnera-t-on en vous disant que le caissier de « Samedi-Soir » n'y alla

tonné pendant doux sets uniquement en

Internationaux

de

France

et au

Grand

Prix du Jubilé!

classe?

58 : 3 = Espoir ? Modestement cachés dons un petit article inséré dans un précédent numéro, les résultats brûlants qu'à obtenus en Alle magne C. hougagnou, l'ex-champlonne ju

nior (qui'n'a pas encore 19 ans .') ont pu

pa.ner inapercuK.

Nous voudrions les signaler mieux à l'allcntion du monde du tennis de table

français et peut-être même des sélection neurs, en constatant qu'après une nouvelle série de manifestations qui viennent, de se en

Allemagne

occidentale,

ce

jeune espoir se transforme en ctiampionne

et qui mieux est, vient de passer brillam ment l'examen international, pour battre

succes,sivement les cinq premières joueu ses allemandes [certaines à plusieurs re prises, chez elles), il faut déjà posséder une valeur sédieuse puisqu'on considère que l'équipe féminine d'.-lllemagne est au minimum de la force de l'équipe fém'mine française !!! Verrons-nous prochainement (comme cela se fit il y a une quinzaine d'années où aux Championnats du Monde les Françaises ucaieni 31 ans à deux) l'équipe de France siufiulièrement rajeunie si on ajoute aux

jeiines déjà affirmées (Watel et Girard'^ l'ex-championne bretonne ? 58 ans pour

trois joueuses Cela .serait prometteur et marquerait un renouvellement du p'mgpohg féminin français.

point d'un desserrement des cordons de la bourse, une demi-heure avant que la Vespa soit remise à Orlow?

LANSIKOY attaquant connu, s'est can défense et pour se justifier atteste que la table ne rebondissait pas, alors qu'il s'agis sait de la mêlme qui avait été utilisée aux

La soirée d'exhibition serait-elle préfé rée à l'organisation sportive même de

dérouler

Nous, on veut bien! Mais nous pensons

*

Exhibitions ! Ou admet, en général, que la soirée dite d'exhibitions est celle où un orga nisateur cherche à assurer le renom lo cal de sa Société, à prouver à ses conci

Connaissez 'vos droits Sail-on qu'il s'est présenté au cours dit Championnat de France par équipes de cette année, un cas e.rtrémemenl curieux ? Une équipe en déplacement fut reçue dans une salle assez petite dont l'aire de

jeu ne répondait pas aux. exigences (à peu

HAGUENAUER avouait que depuis Reims, il n'avait plus joué qu'au tennis Ce qui n est pas on le sait, la préparation

et que c'est autre chose que les échanges de balles effectués par les jeunes gloires

de chose près d'a'illeurs) fixées par les règlements fédéraux. Les visiteurs refusè rent de jouer et chose extraordinaire impo sèrent un forfait à leurs hôtes! Une dis-

ad hoc!

locales.

( U.ssion et un accord suivirent et pour évi

Que répondre?

Que les Anglais jouaient aussi ce match en deux sets, que le rebond des tables françaises ne les avantagent pas du tout et que l'un d'entre eux arrêtât le tennis quinze jours avant le match pour s'y pré parer dès sa sélection connue. En con clusion, disons que la candeur des sélec tionneurs français, le manque d'esprit d'équipe de France d'au moins trois loueurs et la volonté anglaise si visible sous les quatre maillots bleus, ont amené déroute de Coubertin et souhaitons que notre Comité de sélection agisse en consé. quence.

^ Un Espoir ?

/Lordinaire a été ditn'était ici que « rien » d'extra ressorti des tableaux de jeunes à Reims hormis les fina

toyens que le tennis de table est un sport

Et de faire venir des champions de vent même d'aménager la trésorerie du

ter la perte de la caution, les deux équipes s'entendirent pour adresser à. In Fédération une feidlle de malch où l'équipe recevante

club.

était battue... 9-0

Paris ou de Nice et de triompher, et sou

Mais si ce dernier résultat semble pri

mer dans l'esprit des organisateurs, estil bon de dire quand une Association or ganise plusieurs soirées d'exhibitions par saison, qu'il s'est agi uniquement de pro

pagande et ne serait-il pas opportun de parler seulement de spectacle?

Inidile d'ajouter qu'il s'agit là d'un exemple surprenant, d'un manque de sportirite d'une part, et d'un mangue de cou rage d'autre part. Bien que ce cas ne so'd pas prévu au règlement de l'épreuve, i' est évident qu'il appartenait aux visiteurs de jouer la rencontre en faisant sttr la

feuille de match des réserves sur les man

Soirée sportive Cette réflexion faite à Boulogne lors de la poule finale du Championnat de France par équipes où l'A.C.B.B. rece vait. Ce fut une manifestation de choix à tous points de vue mais qui, on peut le concevoir, n'obtint dans la capitale (un dimanche où tous les sportifs sont solli cités) aucun succès auprès du public.

Et pourtant il ne doit manquer de lo

listes Juniors masculins. Ce n'est pas tout à fait exact, car il y a lieu de remarquer que la cliampwine Junior a ce qu'il faut

calités en France où le plaisir de voir

pour devenir une bonne joueuse! Elle pratique régulièrement un sport de plein air {c'est si rare) et obtient des satisfac tions régionales en athlétisme. Elle est

part de tous les joueurs de première série, aurait été grand pour beaucoup comme il le fut l'an dernier à Menton.

évoluer pendant vingt-quatre heures ''es quatre grands clubs de France et la plu

quements con.statés. D'un autre côté, l'équipe recevante, devant une telle propo sition, né devait pas accepter el devait en référer à la Fédération car elle aurait dt) savoir que la caution est perdue en cas de forfait constaté, ce qui n'était pas son cas puisque ses joueurs étaient prése7its ! Elle aurait pu perdre par pénalité (peutêtre), mais dans ce cas, il n'était nultemeni question de la confiscation de la caidion En conclusion, H semble idile de rappe ler à tous que jamais la décision de la vic toire ou de la défaite (qtwi qu'il eût pu se piosser sur les tables ou aidour des tables) n'appartient aux adversaires, mais qu'elle est seulement le fait de la Commission d'homologat'ion de chaque compétition.


TENNIS DE

TABLE

Après les XXV" Nationaux Simple Messieurs 1/64. — Grébonval bat Thierry 3-1, David bat Moraln 3-1, Bninea-ii bat Sitruc 3-1, Tibi bat Boulay 3-1, Mercier bat Korsak "w.o., Lambert bat Forestier 3-1, Bordrez bat Riminer 3-0, Dewitte bat Soriano 3-2, Martin bat Leroy w.o., Hiardot bat Barre 3-^1, Theureau bat Chiaudano 3-0, Albert bat Trottier 3-1, Meyer bat iCrapet w.o., Genton bat Brodheriou. 3-0, Cafiero bat Quesnel 3-0, De Toledo bat Gravaud w.o., Pradal bat Sales 3-1, Nedelec bat Quetel 3-1, Lebouquin bat Artigues 3-0, Sala bat Le Cam 3-0, Paiitou bat Tillou 3-0, Demtilder bat Schmitt 3-1, Aubin bat Trcave 3-1, Chevallier bat .Vautier W.O., Schuller bat De Bernardi 3-2, Lhomme bat Legros 3-0, Bancon bat Malfait 3-1, Barto bat Larmigny 3-0, Cerceau bat Gauffcnic 3-1, Amouretti bat Ridart 3-0, Haguenauer bat Jouan 3-0, Parmentler bat

Remigniac 3-0, Hamon bat Boiizin w.o., Adam bat Herbaut 3-1, de Klugueneau bat Jeu 3-0, Roget bat Pierre 3i2, Plisson bat Grosjean w.o., Roîdin bat Houppe 3-1, Helfbann bat Marot 3-0, Devos bat Ragot 3-0,

à Reims

1/4. — Gambier bat Bullant 2-0, Granier

bat Leroux 2-1, Mérian bat Toquet 2-0, Rou gagnou bat Arnaud 2-0.

1/2 finales. — Granier bat Gambier 20, Merian bat Rougagnou 2-0. Giraud bat Drux w.o., Vannoni bat Charron 3-0, Celières bat Pétrissant 3-1, Mazade bat

Charles 3-0, Girard bat Tarlet 3-'2, Delay bat

Quinsac

bat

Fuks

3-2, Etienne

Regnault 3-0, Vernay bat Mesiki 3-1, Vias

3-0

1/8. — Beolet bat Rougagnou 3-1, Giraud bat Nicolas 3-0, Vannoni bat Celières 3-1,

Girard bat Mazade 3-0, Delay bat Vernay 3-0, Betling bat Vias 3-1, Brémond bat Wilhelm 3-0, Watel bat Joing 3-0.

bat Delage 3-1, Gallai.s bat Ohnana 3-0, Bonnin bat Marrant 3-0, Triballat bat Metalzeau boiiiilé

bat Guémart 3-0, Suire bat Didier

3-2, Eskcnazi bat Berge 3-1, Hamard bat Larcade 3-2, Laengel bat Lameyre 3-1, Ghiet

1/8, •— Dyon Nicole bat Ccliérc.s 3-0, Arnaud bat Bataille 3-0, Striglioni bat Simo nin 3-0, Hamon bat Pineda 3-0, Chancel bat

Ollivier 3-0, Albert bat Barre 3-0, Dyon Moni que bat Hiinauer 3-0, Regnault bat Bidaull 3-0

bat Fauvée 3-0, Ross bat Dupuy 3-0, Chales

bat Baudry 3-0. Rooth-ooft bat Gcorgesco 3-0. 1/32. — Lanskoy bat Simonot 3-0, Grébonval bat David 3-1, Tibi bat Bruncau 3-1, Mercier bat Lambert 3-0, Bordrez bat Dewitte 3-0, Martin bat Hiardot 3-0, Albert bat Theoj-

reau 3-2, Genton bat Meyer 3-0. Cafiéro bat de Tolédo 3-1, Nédclec bat Pradal 3-2, Sala

Les résultats détolllés

1/'^. — Torta-Morain bat Ferrey-Mazart 3-2, Fontanon-Adam bal Larmigny-Bourquin 3-2, Eticnne-Grébonval bat Jeu-Moufticr 3-1, Quinsac-PIisson bat Ridard-Helfmann 3-1, Scluiller-Roger bat Martin-Pierre 3-2, GciitonBautou bat Trouvc-Gnémart 3-0, LcbouquinTrotticr bat Barré-Blin 3-0, David-TIrévenct bat Brocherloii-Jeau 3-1, Baudry-Bonnin bat Bancon-Auba in

bat

Fores!icr-Malfait 3-0, Bordrcz-Nédelec Mercicr-Quesnel 3-1, Dewitte-DGmuldcr Baruffi de Bernardi 3-2, Tibi-Silruck

bat bat liât

Tilloii-Chevalier 3-1, Siiirc-Hamon bat Pradal-Artlgiics 3-1, Boidln-de Tolédo Iwt Laen-

gel-Parmcntier 3-2, Legros-Hamnrd bat Gravaud-Bcne w.o., Soriano-de- Klugueneau bat Schmit-Boulay 3-1, Dcvos-Herbaut bat Mctaizeau-.Salcs 3-0, Jouan-Gallais bat RimmcrYnhlel 3-0, Cerceau-Simonot bat HacquesLccourt 3-0, Tlieurcau-Poîzcau bat ChambéryCostn 3-1, Lhommc-Ragot bat Mathieu-Lam bert .3-2, Chiaudano-Mnrran bat Strassart-Im-

berdis 3-1, Deinge-Eskcnazî bat Fucks-Diipuy

de toutes

les épreuves

ler 3-0, Barto bat Bancon 3-2, Amouretti bat Cerceau .3-0, Haguenauer bat Parmcntier 3-1, de Klugueneau bat Adam 3-2, Plisson bat Roget 3-2, Boidin bat Hclfrrumn 3-1, Devos bat Billebaait 3-1, Mathieu bat Quinsac 3-1,

î/lfi — Amourotti-Cafiéro bat Torta-Morain

W.O., Fontanon-Adani

Juniors

dry Bonnin I)at Rancon-Aubain 3-2, Hagiien'-uier-Dubouille ' bat Bordroz-Nedolec 3-1,

'1/32. — Quctcl bat Meyer 3-1, Marti bat

AgopolT-LarcaiP

Guyon w.o., Hansart bat Sautereau Ch. 3-0, Arnaud bat Richard 3-2, Schmitt bat Jean 3-1, MînettI bat Gillet w.o., Soler bat Gaston

3-0, Ross bat Chiet 3-1, Rioothooft bat Chales

3-1, Nubois bat Merlan Jean 3-0, Vendel bat

Gallnis

3-0.

Angles d'Auriac 3-1, Glardon bat Gonnctant 3-1, Plasse bat Cornotte 3-1, Georgesco bat

Eskénnz! bat

Bonnin

3-1, Yahiel

bat

1/16. — Lanskoy bat Grébonval 3-0, Tibi bat Mercier, 3-0, Bordrez bat Martin 3-0, Genton bat Albert 3-0, Cafiéro

bat Nedelec

'Rowman w.o., Bergel bat Toquet 3-1, Adam bat Carino 3,-0, Gambier

bat Meclalln

3-0, Sala bat Panton. 3-0, Aubin bat Lhomme 3-1, .Amouretti

chèle w.o., Granier bat Mérlan F. 3-2, Leleux

Barto

3-0, Haguenauer

bat Hamon 3-0, Plisson bat de Klugueneau

bat Vauticr w.o., Martin bat Poulain 3-0.

3-1, Devos l>at Boidin 3-1, Agopoff bat Ma thieu 3-0, Collier bat Triballat 3-0, Dubouille

1/1 G. —

Pradal

bat Quelel

bat Marli

thooft bat Ross 3-0.

Lagcr bat Schmitt 3-0, Minelti bal Bonis 3-1, Nubois bat Soler 3-1, Glardon bat Vendel 3-0, Sala bat Plasse 3-0, Cerceau bat Geor

gesco 3-1, Bergel

1/.32. — Trouvé bat Roy w.o., Rougagnou bat Bruckner w.o., Jeannotin bat Ramos 3-0,

Nicolas bat Moreau 3-0, Speck bat iReaugheon 3-1, Drux bat Mousset 3-0, Giraud bat Fau-

trel 3-0, Vannoni bat Thévenet w.o., Char

bat

3-2, Hansart

bat Yahiel 3-0, Hamard bat Suire 3-1, Roo-

Simple Dames

3-0, Bourquin

Arnaud

3-0,

tin

3-0.

'1/8. — Pradal bat Hansart 3-1, I^ager bat Bourquin 3-1, Nubois bat Minetti 3-0, Sala

Regnault bat Hennequîn

w.o., Vernay bat

Fontenille 3-0, Mesiki bat Sergent 3-1, Vias bat Marie 3-1, Goffin bat Hubert 3-0, Schmitt

trément bat Ohnana 3-0, Artigues bat Leroux 3-0, Ross bat Granier 3-0

RrénTond bat Fagnon 3-0. Hardy bat Dubois Tourelle 3-0, .loin,' bat T^^aval

w.o.. Baverai

3-(>,

3-2, Devos-Her-

bat

bat

Ccrceaii-Simonot 3-2, Lliomme-

Thenrcau-Poizeau

3-1,

Chiaudano-Marran

Delagc-

.3-1, Root-

hooft .Lanskoy bat Barto-Gaiiffcnic .3-0. 1/8.

Amourelti-Cnfiéro

bat

Fontanon-

Adam 3-0, Bruneau-Faiivéc bat Etienne-Gré-

bonval 3-2, Genton-Pantou bat LebouqulnTrottier 3-1, Haguenaner-Dubrouille bat Bau dry-Bonnin 3-0. Agopoff-r/nrcadc bat S'iiireHamon .3-0. Boid!n-de Tolédo bat Devo.s-Her-

bnut 3-2. Lliomme-Ragot

bat Jouan-Gallais

3-0, Roothooft-Lanskoy l>at Delagc-Eskenazî 3-0

Double Dames 1/16. —• Duboîs-Fontenîlle Goffin .3-2, Bavcrel-Bellier

bat Gauthîerbat Fautrcl-

bat

Speck-Rim-

mer 3-0. Tlienrenu-Pinson bat Roche-Chancel

3-0. . Vernay-Mazade bat Roiigagnon-GIraud 3-2, Jeannotin-Tarlet bat Dnix-Jobin 3-0, Hardy-Joing bat Baillrul-Tliévenet 3-0, Fagnon-Pctrîssant bat Sergent-Schmîdt 3-0, Wilhclm-Célières bat Henneqiiin-Brucltner w.o.

Cadets

1/8. —

bat Theureau 3-2. Betling bat Chancel 3-0, .3 0, Rlmmer bat Poiirchet w.o., Wilhelm bat

Ragot

Hnbert 3 0, Vias-Brémond

!)at Glardon 3-0, Cerceau bat Bergel 3-1, Pé

bat Mo

Dewitte-Deniulder

Lcgros-Hamard

Iiant bat Soriano-de- Kugucnenu 3-0, Jouan-

bat Adam 3-1. Pétrément

pétrissant bat Pinson

3-0, Mazade

bat

bat Gambier 3-1, Ohnana bat Blin 3-0, Le

roux bat Mcrecssian 3-2, Artigues bat Denat 3-1, Granier bat Leleux 3-0, Ross bat Mar

ron bat Hamon 3-2, Celières bat Bannier 3-2, reau 3-0. Charles bat Gauthier 3-0, Tarlet bat Roche 3-0, Delay bat Bardin 3-0,

Tolédo

3-0,

Petrement bat Gandon 3-1, Blin bat Bulond W.O., Leroux bat Juincl 3-1, Denat bat Mi

bat

bat

Suire-Hamon bat Tibi-Sîtruck 3-2, Boidîn-dc

Fosseeove 3 2, Dubouille bat Baruffl 3-1, Suire bat Eskenazi 3-2, Hamard bat Laen.gcl

bat

l>at Benzaki-Ohnnna,

3-1, Etienne-Gréhonval bat Quinsac-PIisson 3-2 Bruncau-Fauvée bat Schullcr-Roger 3-1, Gen ton-Paiiton bat Collier-Triballat 3-2, Lcbououin-Trollier bat Davîd-Thévenet 3-0. Bau

Aubin bat Chevallier 3-1, Lhomme bat Schul

3-0, Triballat

3-1,

3-0, Bnrto-Gauffcnîc bat Le Cam-Albert 3-1.

bat Lebouquin 3-0, Pautou bat Demulder 3-1,

Agopoff bat Etienne 3-0, Collier bat Gallois

Double Messieurs

Valette-Ivaplanche

Juniors Féminins

bat

Sarazin w.o., Agopoff bat Vaslet w.o.. Collier

.3-0, Yahiel bat Benzaki 3-0, Fossecave bat Hacques 3-0, BarufÛ bat Fontanon 3-4, Du-

Finale. — Merian (Bretagne) bat Granier (Provence) 2-11.

bat Goffin 3-2, Betling bat Schmitt 3-1, Brémond bat Hardy 3-2, Wilhelm bat Rfimmcr 3-0, Joing bat Baverel 3-1, Watel bat Bellier

Billcbaut bat Ferey 3-0, Mathieu bat Lecooirt

W.O.,

1/8. — Gambier bat Salle 2-0, Bullant bat Millier 2-0, Granier bat Medalin 2-0, Leroux bat Tliéron 2-0, Toquet bat Roscnstein 2-0, Meriaii bat Angles d'Auriac 2-1, Arnaud bat Nubois 2-1, Rougagnou bat Bonis 2-0.

1/16. — Salle bat Gastou 2-1, Millier bat Godard 2-0, Riillant bat Carino 2-0, Medalin bat Grandmengln 2-1, Granier bat Voire 2-0,

bat .Striglioni 3-2. Bellier bat Le GIcut 3-0.

Théron bal Marti 2-0, Toffuct bat Olivier 2-0, Mérinn bat Sautereau 2-0, Anglés d'Auriac

1/lC. — Beolet bat Trouvé 3-0, Rousagnott bat Jeannotin 3-0, Nicolas bat Speck 3-2,

bat Lautrec 2-0, Nublois et Letissier Bonis bat Gaugain 2-0.

2-0,

Beolet-Betlîng

bat

Duboîs-Fonte-

nille 3-0, Mesiki-Moreau bat Baverel-Bcllier

.3-0, Vias-Brémond bat Maric-Legleiit 3-0, Delay-Nicolas bat nieureau-Pinson 3-1, Vannoni-Ramos bat Vernay-Mazade 3-2, Jeanno-

fln-Tarlet bat Trouvé-Toiirolle 3-2, Harc^-

Jolng bat Fagnon-Pétrissant 3-0, Watel-ÎGîrard bat Wilihelm-Gélières 3-0.


17

TENNIS DE TABLÉ

1/2 finales. — De Bernard! bat Jouan 2-0,

Double Mixte

de Tolédo bat Trouvé 2-0.

l/;!2. — Speck-Helfmann bnt BcauftliconDi-blyck W.O., Sclimidl-Lîiiniigny bat Veraay-

Ic-Roy 3-0, Baverel-Boulay Itat Thévcnet-Th^-

Finale. — De Bernard! (Provence) bat de Tolédo (Flandres) 2/1.

A.S.E. Lille (Demiuldcr, Koopmans, Vankerkhoven) bat B.N.(M. de Rouen (Lecomte, Houppe, Sautais) 6-0. 1/2 finales. — Esso Sports de Paris bat U.S. Monnaie de Paris 6-3.

vcnet 3-0, Dclay-Demiilder bat Bellicr-Scbmidt 3-0. Hubert-Collier bat Drux-Simonnot w.o.,

Critérium Militaire par Equipes

Goriln-Lacngel bat Theureau-Theureau 3-2, Ilardy-Devos bat Laval-Grosjean w.o., Gi-

C.M.F. OlTenburg (Eskenazi, Qucsnel, Mer cier) bat C.M.F. Tyrol (Delage, Poulaillon,

A.S.E. Lille bat Messageries Maritimes de Marseille (Plisson, Mlle Meyer, Signoret) 5-4. Finale. — Esso Sport de Paris bat A.S.E.

3ari)erot) C-O.

Lille 5-2.

C.M.F. OlTenburg bat C.M.F. Baden-Baden (Costa, Chambéry, Georguitti) 4i-3. C.M.F. Tyrol bat C.M.F. Baden-Baden 5-4.

Barbillat bat Koopmans 2-0; Demiulder (L.) bat Grébonval 2-0; Sala bat Vankerkhoven 2-0; Grébonvnl bat Koopmans 2-0; Barbillat bat Vankerkhoven 2-1; Demulder (L.) bat

raud-Aubain bat Boilleul-Trottior w.o., Jcan-

notin-Lareade bal Marie-Gallais 3-1, CbarlcsI.c Cam bat Fautrel-Ferrey 3-0, BrràiiondGenton bat Ghaneel-Chiet 3-1, Rocbe-Marran bat

Charron-Brochcriou

3-2, Pitrissant-Par-

mentier l«it .More.au-Moreau 3-0, Joing-Guémart bat WilheJm-Ridnrd 3-1, Mazado-Roget bat Vias-Roothooft 3-1, Me.siki-Lebouquin bat

Hrnnequin-Cbiaudano

w.o.,

Tarlet-AgopolT

bat :Mousset-PradaI w.o. Pautou-F'agnon bat

Foritenille-Fontanon 3-2, Tourolle-Plisson bat Moroau-Riranicr 3-2, Striglioni-Debernardi bat Plnson-Poizeau 3-1, Gauthier-Hamard bat Riiumor-Yabiel 3-1, ,Touan-Ic-Gleut bat Bannier - Tillon 3-2, Ilubouille - Vannonl bat Trouvé-Trouvé 3-1

1/10. —. Betling-Hauguenaucr bat SpeckIlclfiiiann 3-0, Baverel-Boulay bat SchmldtLariiiigny 3-0, Delay-Dcmiilder bat HubertCollier 3-0, Gofnn-Lacngel bat Célièrcs-Gauffcnic 3-0, Ramos-Lhomme bat Hardy-Devo.s 3-2, Jeannotin-Larcade bat Giraud-Aubaîn 3-1, Brémond-Genton bat Charles-Le Cam

3-1, Girard-Lanskoy bot Rocbe-Marran 3-0, Beolet-Canéro bat Pétrlssanl-Parmentier 3-0,

.Toing-Guémart bat Mazado-Roget 3-0, TarletAgoiioir bat Mesikl-Lcbouquln 3-1, RougagnouGiTbonval bat Pautou-Fagnon 3-0; TourollePlisson bat Nicolas-Baruffl 3-2, StnglioniDebornardi bat Sergcnt-Torta 3-0, Gautltier-

Sala 2-0; Grébonval bat Vankerkhoven 2-0.

Classement :

1. C.M.F, OlTenburg, 2 vict.; 2. C.M.F. Tyrol, 1 vict.; 3. C.M.F. Baden-Baden, 0 vict.

1/1«6. — Ridard bat Barbarot w.o., Lebou-

1/16. — Costa bat Barbcrot 3-0, Leprévost Ijat Vacca 3-1, Tardy bat Gcorgiutli 3-1, Guer rier bat Giernas 3-0, Delage bat Mercier 3-2. ,1/8. — Poulaillon bat Costa 3-2, Pradîé

bât Montel 3-0, Peugier bat Oucsnel 3-2, Le prévost bat Morain P. 3-1, Tardy bat Menenni 3-0, Eskenazi bat Guérie 3-0, Londa bat Le-

vézier 3-0, Delage bat Chambéry 3-1. 1/4. — Poulaillon bat Pradîer 3-1, Lepré vost bat Feugicr 3-2, Eskenazi bat Tardy, 3-i2, Delage bat Londa 3-2.

Boulav 3/0, Delav-Demulder bat Gofrin-Ijaen-

gei 3-0, .BamoK-Lbomme bat Jeannotin-Lar cade 3-0, BréaitOnd-^Genton bat Girard-Lans koy 3-1, Beolet-Cafléro bat Jolng-Guémart 3-1, Rou.gagnou-Grébonval bat Tarlet-Agopoff 3-0, Toui-oile - Plisson bot Striglioni-Debernardi 3-0, Walel-Ainourettl bat Gautbier-Hamard

SUITE DES RESULTATS

Critérium Militaire de Double 1/8. —• Tard,v-Guérié bal Mercier-Quosnel,

1/4. — Trouvé bat Dubois 2-0, Roche bat Sergent 2-0, Bannier bat Beaugcron 2-0, Fon-

W.O., Tardy-Guérié

tenille bat Rainos w.o.

3-1, Menenni-Montel bat Chainbéry-Giorgiutti

1/2 finales. — Trouvé bat Roche 2-0, Ban Finale. — trouvé (Flandres) bat Bannier (Bretagne) 2-0.

Consolation Messieurs qiiin bat Soriano 2-1, Jouan bat Benzaqul 2-1, T.cgros bat Hazart 2-0, Sitruck bat Jeu

2-0, Ragot bat Dupuls 2-0, Barre bat Scbinitt 2-1, tie Bernard! bat Berge, de Tolédo bat Brocberiou 2-0, Delage bat Poizeau 2-0, Guémard bat Marron 2-1, Malfalt bat Artigues 2-0, lyarinlgny bat Forestier 2-1, Fucks bat Ferrey

2-0,

Fontanon

1/4. — Costa-Eskenazi bat Gicmas-Levézier

bat

Poulaillon-Barberot

W.O., Leprévost-Fciigier bat Delage-Londa 3-1. 1/2. —• Costa-Eskénazi bat Tardy-Guérié, 3-2, L^phévost-iFeugier bat Mcnenni-iMontel 3-0.

1/10. — Chiaudano bat Hamon 2-1, Bour-

bat

Mctaizeau

Finale. — Costa-Eskenazi bat LeprévostFeugier bat Delage-Londa 3-Cl. 1/2. — Costa-Eskenazi bat Tardy-Guérié 3-2, Leprévost-Feugier bat Menenni-Montel 3-0.

Finale. —• Cost^i-Eskcnazi (C.M. OlTenburg) battent Leprévost-Feugier, —12, 14, 21, 14.

Championnat Corporatif par Equipes

2-0,

Tiouvé bat Didier 2-0.

1/8. — Oltiaudano bat Bourquin 2-1, Jouan bat Legros 2-0, Ragot bat Sitruck w.o., de Bernard! bat Barre 2-0, De Tolédo bat Delage 2-0, Guéinard bat Malfait 2-1, Fucks bat Ixir-

1/4 de finale. — Esso Sports de Paris (Grébonval, Sala, Barbillat) bat Enersports de Bordeaux (Jaubert F., Jaubert M., Bûche)

mi.uny 2-1, Trouvé bat Fontanon 2-0.

6-0.

1/4. — Jouan bat Chiaudano 2-0, de Ber

nard! bat Ragot 2-0, de Tolédo bat Guémard 2-0, Trouvé bat Fucks 2-0.

LES

Deville w.o., Jaubert F. bat Leconte w.o.

Il/S. — Demulder bat Ridard 3-0, Laengel bat Leboulanger

3-0, Grébonval

bat Koop

mans 3-0, Parmentier bat Houppe 3-1, Sala bat Lebreton 3-1, Signoret bat Gombert 3-(i, Jaubert F. bat Barbillat 3-0, 'Cafiéro bat Plis

Cafiéro bat Jaubert F. 3-0.

1/2 finales. — Demulder bat Parmentier — 13, 17, 18, 12. Cafiéro bat Sala 21, —10, 17, —14, 12.

1/2. — Lc-prévost bat Po-ulaillon' 3-1, Eske nazi bat Delage 3-0. Finale. — Lepi'évost (Ecole Navale de Bor deaux) bat Eskenazi (C.M.F. OlTenburg), 13, — 4, —12, 5, 19.

3-1, Leprévost-Feugier bat Pradié-Vacca w.o.

nier bat Bcauneron 2-0.

bat G. Larcade 3-0, Lebreton bat Jaubert M.

3-1, Signoret bat Vernay 3-0, Gombert bat

1/4. — Domulder bat Laengel 3-2, Parmen tier bat Grébonval 3-1, Sala bat Signoret 3-0,

3 0.

Consolation Dames

langcr bat Amaeuve 3-1, Laengel bat Causer 3-1, Grébonval bat Herbette 3-0, Koopmans bat Bûche 3-0, Houppe bat Loubes 3-2, Sala

son 3 -0.

Hamard bat Jouan-le-Glcut 3-1, Watel-Amouri'tti bat Dubouille-Vannonl 3-2.

1/8. — Retling-Haguenauer bat Bavcrel-

Simple Messieurs Corporatif

Critérium Militaire Individuel

IJ.S. Monnaie de Paris (Parmenlîer, Leboulanger, Le Breton) bat O.S. Fives-Lille (Vérbriigge, Bernier, Rousseaii) 6-2.

XXV

emes

Finale. —

Simple Dames Corporatif 1/8. — Tarlet bat Bergerot 3-0. 1/4. — Nicolas bat Daniel 3-1, Plénécassngne bat Ménard 3-1, Pétrissant bat Meyer 3-2, Delay bat Tarlet 3-1. 1/2 finales. — Plénécassagne bat Nicolas 3-2, Dclay bat Pétrissant 3-0.

Finale. — Delay (Kléber Colombes) bat Plé nécassagne i(C.S. Chase Bank) 12, 19, 10.

Championnat de l'O.S.S.V. 1/8. —■ Chiet (Faculté Droit Grenoble) bat Gain (Lycée Dijon) 3-0, Pradal (Institut Juri dique Paul) bat Chevalier (Col. Dlnan) 3-0. Van Lieu (Lycée Saint-Charles Marseille) bat L-rban (C.M. Le Havre) 3-1, Phong (Faculté Droit Grenoble) bat Peuvcrgne (Faculté Droit Lyon) 3-1, 'Hian (Faculté Pharmacie Montpel lier) bat .A-dain (Lycée .\urillac) 3-1, Didier (Menton) bat Houdusse (Institut Dentaire Rennes) 3-1, Aubaîn (Lycée Montaigne Bor deaux bat Guémart (Lycée Lille) 3-0, Mar cel (Faculté Sciences Paris) bat Cerceau (Lycée Reims) 3-0. 1/4. —■ Ghict bat Pradal 3-0, Phong bût Van Lien 3-1, Didier bat Than 3-0, Marcel bat Aubain

3-2.

Demi-finales. — Chiet bat Phong 3-1, Di dier bat Marcel 3-1.

Finale.

Nguycn

dier 3-1.

IV A T IO IV

ont été joués avec la BALLE et sur TABLES

Caûéro (U.S.B.H.V. Paris) bat

Demulder (A.S.E, Lille) 17. 12, —18, 8.

P

IJ X

Trong

Chiet

bat

Di


TÉNNtS DÈ TABLÉ

Aux Internutionaux de Mollande

Les vedettes de la saison

se partagent les titres Honnête tenue des 9 représentants français

Deux « grands » ont sorti leur épingle du jeu lors des Cinguièmes Championnats

de Hollande gui se sont joués fin mai à Utreolit. Il s'agit de Barna et Bergmann gui remportent chacun un titre des plus cotés. Il faut dire gue l'organisation des Championnats de Hollande est une de celles gui fait souvent causer et gui per met d'ailleurs beaucoup d'excuses aux vainlous, et à force d'en entendre discuter dans le monde des « grands » du tennis de tahle, et voulant aussi pouvoir avoir, dans les yeux et dans l'esprit, tous les aspects de cette organisation, je m'étais rendu en Hollande à l'occasion de cette manifestation gui marguait la fin de la saison internationale (1), A dire vrai, il s'agit d'une organisation qui tient com.pte d'éléments locaux et na tionaux, mais qui au fond n'est pas telle ment faite à l'intention des participants. Est-ce un bien ? Est-ce un mal. que nos «■ as » ne soient pas « chouchoutés » et soi gnés comme ils le sont partout et plus encore — sans fausse modestie — en Fran

ce dans de semblables circonstances ? Je

ne veux pas ouvrir de débat sur ce point, mais un dirigeant hollandais à qui je posais le problème, le solutionnait rapide ment en me confiant que depuis cinq ans les mêmes principes étaient suivis et que toujours le « iplateau » des vedettes étran gères était bien garni. Enregistrons donc, mais je puis constater qu'en tout état de cause, c'est à la France qu'il appartient cette saison d'avoir organisé le plus riche et le plus agréable (pour public et joueurs) Championnat International dont on se sou vient qu'il reçut une participation étran gère aussi variée que celle des Cliampion-

nats du Monde («Jaunes» en moins).

E.es raisons françaises

Une leçon Co® constatations pessimistes faites, cela suffit-il à expliquer que les Français n'obtiennent — eux les tenants de tous les

titres de 1951 — qu'un demi-championnat ?

Je le pense réellement bien que n'étant pas en général très tendre pour nos cham pion®. Je le pense et je le justifie de deux manières :

— Bergmann remporta le titre principal, mais comme par hasard ( 1) il avait été éliminé au premier tour du Double mixte et presque aussi vite on double messieurs, ce qui le libéra bien vite. Barna fut en finale des deux doubles, mais il ne jouait pas' le simple 11 Ce qui reviendrait à dire que nos deux

«anciens-» habitués des grandes épreuves ot des petites fi celles, savaient ce qu'il fallait faire -pour obtenir le maximum. — En sens opposé, Hoolhooft fut battu en finale du simple, alors qu'il venait de remporter le double mixte (mais oui 1) et de s'incliner en demi-finale du double mes

Nous avons vu un assez bon Lanskoy, ressemblant à celui dont la frappe était bonne (c'était il y a bien longtemps I) et qui prenant enfin conscience qu'il venait do 'perdre quelques saisons à -pousser ou défendre, lui qui n'a pas de condition phy sique ni de «jambes », se iconsacra (contre Harangozo) enfin, à imposer ses attaques

en droits et revers. Gela ne réussit -pas,, car SOS fi ns de sets furent difficiles, mais

avec de la volonté (autre arme qui lui manque souvent), il devrait pouvoir enfin concrétiser quelques-uns- des espoirs qu'il avait S'uscités.

Aimourctti

eut

la

malchance

de

« tom

ber » au deuxième tour, sur Bergmann, lequel ne lui fi t aucune grâce cl prit l'avanilpge en trois sets ipourliant bien «accrochés».

Une fois encore ce ne fut

pas -du grand niçois car il semble que la -préparation s-portive soit -dérangée au -pro fi t (heureux, j'ajouterais bien vite) du tra vail, mais pour le régal de® yeux du pu.blto nous avons vu contre le Hollandais Stoop et contre l'.ânglais très souvent à l'oeuvre, cette défense si agréable et qui fut si im perméable 11 Nous -parlons .par ailleurs de rc-.«sai de Cafiero sur le plan international. Genton a

be.soin beaucoup encore de IraVcitl-lor pour i-edevcnlr bien fort.

Opposition féminine franco-anglaise Le sim-ple -dames fut un festival Ro-we sist-ers toujours en verve.

des

Du cûté français- deux -présences : celle de S. Girard,, tenante du titre, qui affirme régulièrement -des progrès et -passa bril lamment id-es préliminaires assez délicafs ne s'inolinant -en demi-finale que devant la gagnanle ,D. Rowe. Celle de H. Beolet lut moins brillante et il setmble que notre

numéro 1 actuelle aura perdu sa saison à vouloir rejouer trop vite à la suite d'une opération en novembre dernier, qui la marque encore.

Pourtant en

double-da-mcs on retrouve

en finale les deux françai.ses associées oi'i

elles s'inclineront -devant les Anglaises Rowe, non sans avoir passé un autre écueil anglais en demi.

vis-à-vis des organisateurs la tenue somme

sieurs. Pourtant il jouait à la perPection et doiminait littéralement le Championnat. Mais que penser -du fait qu'entre 14 h. 30

toute bonne, mais pas étonnante des Fran

et 24 heures avec une idemi-beure d'arrêt

çais,

à 20 heures,, il eut à jouer dix parties con sécutive® — ou presque — toutes parties de classe -comme on le verra plus loin ! 1 Il faudra donc désormais qu'à l'avenir la Fédération Française -prenne plus en mains .cette question de représentation internationale et -défende parfois, les

Le double-messieurs fut aus-si marqué par la tro-p nombreuse sollicitation des

Sans vouloir justifier par des critiques on peut toutefois dire que ceux-ci

ne furent pas gâtés et on ne pourra pas leur reprocher d'avoir limité leurs efforts. Expliquons-nous ! Il n'est pas possible de dire que quand une vingtaine d'invités étrangers sont reçus en Hollande et hébergés entièrement chez l'habitant que ce soit en .soi criti

quable 1 Mais ce qui l'est, c'est que ceuxci doivent être présents dans la salle de

8 h. 30 jusque 12 h. 30 pui® de 14 h. à 18 h. et enfin en soirée sans avoir la possibilité s'ils n'ont qu'une partie (ou pas du tout) à Jouer,' de se reposer ou de quitter les lieux, car il® sont transportés en car de leur domicile occasionnel à la

salle, une

fois par tranic-he de journée ton coimiprend l'Ire de S. Girard qui é-tait héibergé à quel ques trois quarts d'heure de la salle !!!) Ceci dit tout en constalant également que l'horaire des Championnats était très serré, on pouvait penser qu'entre le samedi à 14 heures et la soirée du dimanche, le programme pourrait s'achever à peu près normalement. Mais pour des raisons que

joueurs- contre eux-mêmes.

Bergmann for ever ! Le simple messieurs vit donc finalement la victoire de R. Bergmann qui encore une -fois battit, Roothooft. uMais on relèvera de

cette partie que Bergmann soit parce qu'il vieillit, soit parce -quil n'était pas très bien préparé, fi t beaucoup moins d'impression que le Français qui, -quand il mena 2-1 avant le repos, -suscita une cole qui donnait prabab-lement, du 100 contre 1 ! Mais le repos demandé par Bergmann qui, fait

rare, dès la -première balle suait à grosses gouttes, fut fatal à Roolhooft qui ne s'en

releva pas et termina complètement épuisé.

il s'A,5t •proid'uit que seulement quelques partie.s préliminaires furent disputées sa medi et que le dimanche après-midi et le

Au préalable, notre numéro 1 venait d'éliminer difficilement, -mais quand même nettement le You,go-.slavp iHarangozo tandis que Ber.gmann, à qui Haguonauer imposa un départ rapide -qu'il ne tînt que deux

le® Championnats.

sets, finissait par prendre l'avantage à la fi n de la -partie qui les opposait.

.j'ai cherché à comprendre sans le pouvoir,

dimanche soir furent réellement disputés

\ double et demi!

participants et sans vouloir chicaner leur

succès aux -sympathiques Barna-Haguenauer. qui forment une paire extrêmement intelligente il eût été logique que -la finale

puisse -leur opposer les « vrais » Yougosla ves Harangozo et Dolinar (-champions'd'An gleterre) plutôt que deux joueurs qui

tenaient à -peine -defbout -co-mme surtout Harangozo qui -sortait de sa demi-finale

contre Roothooft. La fraîcheur (mais oui) de Barna et la volonté d'Haguenauer firent

le reste. -Enfin sur-prise pour les français Roothooft gagnait un double-mixte I Cer

tes -pour la première fois il avait une par

tenaire de classe qui fi t un gros travail, niais pour la -première fois aii-ssi le oham.

pion français se d-é-pensa et c'est si rare dans celte -compétition, cette remarque valant d'ailleurs eh -i-aison -de la première. Jean BELOT.

(1) Il ne me semble pas mutile de préciser à cette occasion que tous les comptes rendus

parus cette année sur des épreuves jouées en

différents points du monde, te furent par des diriqeants se déplaçant en dehors du budget de ta F.F.T.T., ceci pour répondre à quelques précisions demandées Assemblée générale.

tors

de

ta

Les Résultats détaillés

récente

i»-


XENKIS DE

10

TABLE

Les 5^' Championnats

NOUVELLES

DU

MONDE

de Hollande

Le talent personnel

MESSIEURS

Seizièmes de finale. — IJolinar (Y) bat

Gonlon. tl-Vi, 21-12, 21-16; Amourelti bat Stoop (II), 3-1; illaguenaiier bal Bertrand (B), 3-0. Les autres Franç;us se qualifleut sur dos jeunes Hollandais. Huitièmes de finale. ■—• Roothooft bat

Buyens (B), 3-0; Lanskoy bat Meyer (S),

3-0; Harangozo bat Cailero. 3-1; Haguenauer ibat Van Zoolen (H), 3-0; Urelietti

(S) bat Elirlioli, 3-0; Bcrgraann bat Amourcttl, 21-19, 21-13, 22-20.

Quarts de finale; — Roollioolt bat Cor

du Buy (II), 3-1; Harangozo bal Lanskoy,

3-1; ll'aguenauer bat Urelietti, 3-0; Berg-

et le caoutchouc-mousse

UNEm'avait des raisons de la curiosité qui poussé à me rendre aux cin quièmes Championnats de Hollande, était, on s'en doute, la production attendue du Français Cafiero et de sa raquette en partie recouverte de caoutohouo-mousee. H faut dire que le terrain lui avait été bien préparé par ceux qu'il avait battus en France et surtout par Ehrlich et Hague.

Angleterre à Paris, 1 équipe britannique

nauer, farouchement défenseurs du mousse

fédiérations de toutes les parties du monde, viennent de fixer leurs vaqanoes estivales sur un circuit qui les amène, au moment où paraîtront ices lignes, pour quelques semaines au Japon.

mann bat lUolinar, 3-1. Demi-finales. — RooUiooft bat Haran

(bien que ne s'en servant point eux-mê mes) et qiui voulant sans doute justifier

gozo, 21-19, 20-22, 21-17, 21h15; Bergmann bat Haguenauer, 21-17,, 13-21, 21-18, 21-13. Finale. — Bergmann bat Roolhooft, 17-21, 21-16, 17-21, 21-ai, 21-10.

ces défaitoij avaient créé autour de la ve

DAMES

Huitièlmes de finale. — Roland (B) bat Bimlol, 13-21, 22-20, 15-21, 21-16, 21-18 ; 01rarri bat Ptper (G-B), 3-2. Quarts de finale. — Girard bat Detournay (B), 3-1. Demi-finales.

21-10

21-15,

D.

l'i-21,

Rowc

21-16;

bat

R.

Girard,

Rowc

bat

Boland„ 21-10, 21-11, 21-12. Finale. — D. Rowc bat R. Rowe, 3-1. DOUBLE MESSIEURS

Finale. — Barna-Haguenauer battent Ho-

rangozo-Dollnar, 21-10, 17-21, 21-li8, 22-20. En demi-finales, les gagnants avaient dllminé Bergmann - Ehrlich (eux-mOmes

vainqueurs d'Amouretti-Gaficro), tandis que les fi nalistes battaient RootbooltLanskoy. DOUBLE MIXTE

Finale.

—■

O.

Rowe-Rootliooft

battent

R. Rowe-Barna, 21-10, 21-16, 21-19, En demi-finales, les gagnanis avaient éliminé Miss Piper-Harangozo, tandis que les fi nalistes battaient leurs leomipatriotes Miss Fry-Hurlock. DOUBLE DAMES

Finale. — Rowe sisters battent Girard-

Béolet, 21-14. 21-12, 22-20.

En demi-finales, les Françaises avaient battu les Anglaises Fry-Plper,

Des

titres

mérités

Rappnoobant cet éoho des inrormations

publiées par ailleurs sur l'Europe Gentraie il y a lieu de souligner que chaque année les Hon,çrois proposent — en vain

— au Congrès de^ la Fédération Interna

tionale que pour l'attribution du titre du champion du monde, la fonmiuio par éli minations directes ,aoit abandonnée et remiplaoôe par une poule fi nale, c'estcà-dire qu'au moins après les quarts de fi nale, les quatre, joueurs restant quali

fiés soient apposés les uns aux autres au oouns'

obtenu

de

deux

réunions,

le

classement

donnant mieux qu'autrement un

résultat writable. Celte fonmiule est

d'ailleurs

fort

en

honneur en Hongrie, et il serait peut-être intéressant qu'au lieu de présenter deux demi-finales et une fi nale, les organisa teurs d'une grande épreuve envisagent — il titre d'essai —■ de présenter les six parties nécessitées par cette formule. Qui en prendra l'initiative en France ?

(SlHlcS) A Bruxelles, au lendemain de France-

nue de Cafiero un mythe d'invincibilité qui gênait d'ailleurs un peu le brave Stéphen et faisait sourire certains joueurs comme Bergmann, Bama et les Français Roothooft, Lanskoy et Amouretti, entre autres. C'est donc à l'émotif Yougoslave Haran gozo que revenait l'honneur « d'esisuyer les plâtres ». Au vrai, cela ne dura point et cette psychose créée s'évanouit assez vite car le Yougoslave mena tout le pre mier set d'une douzaine de points pour arriver à 20-9 et ne plus is'ihlquiéter. Il se retrouva à 17 partout au deuxième et là réelleiment perdit 2 balles (puis le set) sur des effets « bizarroïdes » du mousse, mais ne relâchant plus son attention, il l'em porta très nettement ensuite. Il ne s'agit pas dans ces quelques lignes de

clamer

la

défaite

du

caoutohouo-

mousse, mais il s'agit de rappeler à ceuxlà qui croienlt qu'en changeant une petite chose parmi les incidences matérielleis du tennis de table on peut devenir subitement très, très fort. Je tiens à préciser que l'excellent Cafie ro n'est pas en cause dans ce papier car je sais qu'il avait adopté, il y a deux mois, le

mousse

sur une face

de sa raquette,

comme plaisanterie, mais que progressive ment la plaisanterie paya, surtout de par la « peur » qui s'empara de quelques-uns de ises adversaires. Mais cela ne changea point du tout sa manière de jouer, et Cafiero reste jusqu'à plus ample informé, celui qui attaque brillamment (il fit d'ail leurs tous ses points à Utrecht du coup droit «à picots»), dont les oonltrepieds sont remarquablas et payants et qui sur tout devient un gagnant presque certain dès qu'il mène de quelques points. Par contre cette constatation d'uini échec

du mousse ne doit pas nous faire oublier que Satoh en profite parce que c'est d'abord un attaquant-né et un inipertubahle qui ne s'inquiète pas tant que les

joueurs européenls, tous trop occupés cérébralement avant, pendant et après les

parties. Cafiero a été égal à lui-même et à ses Résultats depuis que nous le connais sons. On admet facilement qu'il ait tenté de bénéficier de l'aide qu'apporte le mousse à celui qui peut einicore contrôler la balle a mouissée » (c'est très rare), et on comprend parfaitement que Cafiero s'en tienne à cette initiative, maipi on serait assez surpris que Cafiero puisse réguliè rement s'imposer parimi les trois ou qua tre premiers Françai,? du moment autreinenit que lors de résultats acquis comme ceux

de

ces

dernières

semaines

sur

des

'Sujets relâchés après Reims, ou jouant au tennis, ou ne pratiquant pas beauooup' i ! ! Jean BELOT.

formée de Kennedy et Craigie, a nette ment défait l'équipe de Belgique (Buyens, Delabarre, Bertrand) 5-0. A Richard Bergmann et Johny Leach ré-

porrdant â des invitations de nombreuses

Le 2 juin furent disputés les Champion

nats nationaux de Hollande, ills ont vu le

huitième triomphe de Cor du Buy qui battit en finale Cor Pelser, les deux au tres demi-finalistes ayant été respective ment Stoop et Van Zoelen. A Le 23 mai à Liège, l'équipe nationale

de Belgique (Roland, 'Buyens, ■Demollin) a battu celle de Suisse (Urelietti, .iMeyer, Boux) par 5 victoires à 4. A Allemagne orientale. — 'Les titres de simple messieurs et sim'ples dames ont été remportés par Schneider et Horn. A

Hongrie. — Selon la iméthode employée dont nous parlons plus haut, Koczian est devenu champion de Hongrie 1952 en battant dans la poule fi nale Seibok (3-0). Sido (3-1) et Gyetvai, tenant de 1951 (3-0) Ue même chez les joueuses, Farkas est restée la numéro un en battant en

fi nale

Kerkés, IKiraly et Jabor, A ■Suède. — Les champions suédois pour 1952 sont : Plisberg (messieurs) et Brehmer (dames). Etats-Unis. l'est

du

A

Les

Championnats

des U5..\. ont vu la victoire

« revenant »

Schiff

(connu

à

de

fi nale

Paris)

sur R. Miles 3-2; l'ex-yougoslave d'Italie maintenant

aux Amériques,

Herskowitz,

étant auparavant battu ;par le vainaueur (3-0). L. Tiiall - Neuberger également bien connue en France reste la plus forte Amiéricaine.

'Dans rillinois, les Championnats de Glilcago ont vu la victoire d'un antre '« ancien »

Holzriicbter

sur Prlce.

Des indicatians

d'Europe centrale « De justesse » en effet puisque Koc zian ne prit l'avantage sur Tokar qu'au

cinquième set à 24-22, .puis sur Vana au cinquiàm'e set également à 21-19 !! (L'au tre défaite ide Vana lui fut infligée pEir son compatriote Tokar.) Par le truchement de la Fédération In

ternationale, nous sont parvenus quelques rensci,gnements intéressants' sur la forme

actuelle des « vedettes » d'Europe Cen trale. Rapprochant ces résultats, dont nous publions ci-dessus l'essentiel, avec ceux donnés par le Cbaimipionnat du

(Monde à 'Bombay, il sera peut-être 'possi ble aux « augures » des grandes nations


20

TENNIS DE

TABLE

pongistes d'établir une hiérarchie mon diale (on sait en effet 'que le récent C!ongrès de l'I.T.T.F. a décidé de supprimer

NOUVELLES

DE

FRANCE

l'établissement du classement "mondial en

raison

des difficultés trop nomibreuses

pour sa réalisation). Ces résultats traduisent le déroulement

I

et de notre Fédération

I

d'un tournoi extrèmament important qui

a opposé les meilleurs Hongrois et Tchè ques, selon une formule — éminemroent

Alsace

Calendrier Sportif

sportive, d'allleu'r.s — .fort prisée en Eu rope Centrale, celle de la .poule opposant tous les participants. Les voici ; 1. Koozian (H) 13 matûh.es,-13 victoires ; 2. Vana (T) il victoires; 3. Tohar (T), 10 victoires; 4. Sido (H), 9 victoires; 5. Andreadàs T), 9 victoires; 6. Gyetva'i (H) 7 victoires; 7. Tereba (T) 6 victoires, etc. On relèvera dan© ces résultats la bril lante tenue des « anciens » ; "Vana et sur

tout Tokar, 'le recul du finaliste de "Vien ne : Andreadis, tout en notant la supé

riorité (de justesse) du finaliste de Bom bay : le hongrois Koczian.

Une

épreuve

similaire

réservée

aux

.joueuses de .ces deux mêmes .pays a vu le triomphe, sans restriction, de la Hon groise Gervai-.Parkas, qui .perdit en tout et pour tout un set contre neuf adver saires. ! Sa suivante est également bien connue puisqu'il s'agit de .la Tchèque Krejcova-Purstova qui précède Hruskova (T) puis les Hongroises Kar.pati, Kiraly, Sagi et autres.

CHAMPrONNATS PAR EQUIPES POULES FINALES

Honneur : 1. A.P.P. Saint-Louis, 6 pts. 2. AH. Cheminots de Strasbourg, 4 pts. 3. E.S. Cohnar-Logelhach, 2 pts. Prdmdère

division : 1. Saint-Antoine de

Colmar,. 6 pts. 2. AH. Cheminots de Strasbourg (b), 4 pts. 3. M.J.C. Wittenheim (b), 2 pts.

La Coupe d'Alsace masculine a été' rem.portée par la .formation Pfirsch. Weller, du P.P.C, Montagne-"Verte de Strasbourg, lequel club est aussi cham pion d'Alsace et accède au Championnat de France de deuxième division.

A l'étranger, 'la saison sera, comme à l'habitude, dominée par les Championnats du Monde qui, sans changement, doivent rassembler les meilleurs joueurs du mon de k Bucarest (1®' au 15 mars). Différent©

Championnats internationaux, en outre de ceux de France (4-5-6 janvier) reçoivent

ré,gulièrement la visite de nos représen tants, Ce sera très probablement encore le cas lors du déroulement de ces compé titions en Angleterre, en Belgique, au Pays de Galle, en (Hollande et en Suisse. La question est actuellement réservée .pour l'Autriche (k" et 2 novembre), mais

entrée dans 'le F.F.T.T,

concert

nnrdiste

de

la

Cette épreuve ainsi que la deuxième journée des Championnats, des Flandres Individuels disputée fin mai, a permis de constater le gros effort des 80 clubs de la Ligue, qui s'em,ploient à renouveler les cadres, ce qui .donnera à 'bref délai des rem.plaçants aux >« anciens » champions

présentations autrichienne, espa^ole et yougoslave, et pourquoi ne pas l'espérer, celle des Japonais !!I O

Les dirigeants des AssorAalwns ou des Ligues françaises gui désireraient épingler leur programme de réalisation, l'organisailnn dlune des manifestations dont nous venons de parler, ou d'une similaire, peu vent se mettre en rapport dès maintenant avec le Secrélarial de la Fédération.

10 février. — Championnats de France par équipes — 6® journée.

22 février. — Coupe de France — 1/32 et 1/16.

1®*^ mars. —— Championnats Individuels des Ligues.

équipes — 7® et dernière journée. 29 mars. — Coupes de France — 1/8. 9 au 12 avril. — XXVI® Championnats de

et -Devos étant 'beaucoup p'ius des pous-

16 mai. — Coupe de France. — Journées

a été gagné par l'Electricité de .Lille, qui a pris 'l'avantage sur Amiens-Sports et l'U.S. Valencicnnes, chacun de ces trois clubs icom.ptant sur les trois premières

landais et des équipes masculines de Bel gique et de Hollande, alors qu'au minimum les juniors français iront en .Angleterre et les joueuses en Belgique. (Ce programme étant celui conclu actuellement.) .11 n'est pas interdit de penser que nous aurons la possibilité de recevoir en France pour des malches internationaux, les re

équipes — 5® journée.

1®*" février. — Championnats Individuels des Districts — Journée qualificative.

autres, et dont le seul, mais combien ■iffloace « survivant », est Demulder. Pour cela 11 faudra que tous les jeunes se pé nètrent bien .que ce qui est vrai dans le monde l'est aussi dans les Ligues, à savoir que l'enthousiasme doit primer, jui amène forcément l'attaque que seul Demulder emploie toujours, les autres ;< vedettes » nordistes .de Tole.do, Boidin

4-5-6 novembre^

des féminines anglaises, des .juniors hol

4* tours.

18 janvier. — Championnats de France par

22 mars. — Championnats de France par

seurs et des défenseurs.

Sur le iplan dos rencontres internatio

Il janvier. — Coupes de France — 3® et

des .Flandres iManohislca et Bordrez entre

il semble qu'une forte délégation française sera à ceux de Yougoslavie (Belgrade : nales, il y aura tout d'abord les deux Prance-.Vngleterre habituels (celui en France à Paris le vendredi 20 mars). Le pro.gramme prévoit la réception en France

mier et 2® tours.

Internationaux.

du F.S..P, de Croix, qui a fait cette année (venant des Patronages), une excellente

qui va s'ouvrir.

par équipes — 2® journée.

16 novembre. — Championnats de France par équipes — 3® journée. 22-23 novemibre, — Coupes Interliguea. 7 décembre. — Coupes de France — Pre

Flandres

INTERNATIONAL 1952 -53 ce calendrier ne

5 octobre. — Championnats de France par équipes — 1'"° journée (deux divi sions). 26 oclohre. — Championnats de France

par équipes — 4® journée. 4-5-6 janvier. — Championnats de France

LE PROGRAMME Toutes les dates de

1952-53 ★

14 décembre. — Championnats de France

La Coupe des Flandres (6° année) pa tronnée par « La Voix .du Nord » a été rem.portée par l'équipe .Dewitte-Lefebvre,

Sont naturellement .pas encore arrêtées en ce début de juin, mais pourtant on peut prévoir quel sera .le programme offert aux représentants français pendant la saison

Le Championnat par équipes .féminines

France.

19 avril. — Coupes de France — 1/4,

26 avril. — 1/2 finale du Championnat de France par équipes (2® division). finales.

17 mai. — Finale des Championnats de France par équipes de 1^® et 2® divi sion.

joueuses des Flandres (respectivement Vfm» Moreau, M!"" Hardy et M"® Joing).

■Vlais là aussi des nouvelles, dés débutan

Qai veut recevoir?

l'avenir.

L'équipe du Sparta de Amsterdam qui se déplacera en France, cherche à ren contrer des équipes de cluhs français entre le 15 et le 20 juillet sur le circuit Dauphiné, Alpes, Provence et Côte

tes même, semblent prendre la chose au sérieux et cela est encourageant pour

FrancHe-Comté La quatrième rencontre Alsace-Franche Comté vient de se jouer et a vu — encore une .fois — le triomphe des Alsaciens dont la représentation — fait à noter — n'était plus cette fois seulement assurée par les seuls Mulhousiens. En

voici

les

bat

Fefer

2- 0;

L'équipe hollandaise comprend Cor du Buy, champion de Hollande dont la

valeur

est

sixième

bien

joueur

connue en France, le de

Hollande

et

la

joueuse numéro un de la capitale hol

résultats :

Majérus bat Marok 2-0; Schuller bat Ecosse 2-1; Feldhaendler bat Sales 2A);

Hetsich

d'Azur.

Feldhaendlcr-

Schuller battent Fefer-Ecosse 2-1.

landaise.

Conditions demandées : Frais de séjour. Renseignements au Secrétariat Fédé ral.


TENNIS DE TABLE

m

Une modification importante,,.

Nouvelle règle pour la durée du set a

la Commission Mondiale

fjdes Statuts et Règlements dont fait

partie notre Secrétaire général J.

Bélot, vient, à la suite de décisions pri ses par le Congrès de la Fédération In ternationale, de modifier comme suit la règle, actuellement appliquée en France, concernant le déroulement du set. En conséquence, la Fédération fran çaise porte à la connaissance de ses mem bres, dirigeants, arbitres et pratiquants, qu'à compter du î" juillet 1952, la règle de la durée du set est ainsi applicable:

Durée d'un set. — Un set ne doit pas

Il accordera aussitôt aux joueurs (ou aux paires) un nouveau délai de cinq mi nutes pendant lequel il arrêtera la partie lorsqu'un point sera marqué. Le reste sans changement.

Recommandation. — Il est précisé que lors de l'arrêt d'une partie au terme des vingt minutes (ou des dix minutes) celuici devra être notifié par le chronométreur d'un son bref et décisif qui ne saura apporter aucune gêne au déroulement des autres parties dans la salle.

durer plus de vingt minutes. Le passage de la période des vingt Si, au bout de vingt minutes, les minutes (ou des dix minutes) à la pé joueurs ne sont pas à égalité l'arbitre. riode supplémentaire de cinq minutes arrête le set, et le vainqueur est celui qui n'apporte aucun changement dans l'ordre a le plus de points. des services qui s'effectuent comme s'il Quand un set (n'importe lequel dans n'y avait pas d'interruption. une partie) aura duré vingt minutes ou plus, le ou les sets restant à disputer se Dans la mesure du possible, une pen ront joués en dix minutes. dule ayant le cadran tourné vers les joueurs, sera installée à chaque ren Dans le cas de déroulement d'un set de vingt minutes (ou de dix minutes) et contre. En cas d'impossibilité, les arbitres auront le devoir de répondre favorable lorsque les joueurs seront à égalité, au moment de

la fin

du

set

L'ARBIITIE

ARRETERA LA PARTIE.

ment aux demandes raisonnables des ad

versaires sur l'horaire du set.

DIRIGEANTS.,. ATTENTION! La période estivale libérée des calendriers officiels vous permet plus facilement l'organisation de réunions ù caractère partlcidicr telles que Tournois sur invitalions. Jiencontres internationales, Réunions de propagande et aussi vous permet de récom penser vos membres par des déplacements à l'étranger.

Votre attention est rappelée sur les points de nos règlements traitant ces ques tions {annuaire page 33 et la suite) et il y a lieu de noter que la Commission Sportive et le Bureau Fédéral viennent de refuser des autorisations pour des orga nisations projetées, par suite du retard apporté aux demandes prévues qui idoivent recevoir l'avis de la ligue régionale, car il y va plus encore de l'intérêt du tennis de table, des joueurs de première série {seuls soumis à l'aulo7'i.sation) et des organi sateurs que de. l'application aveugle d'un règlement pourtant inspiré par Vexpéncnce. C'est pourquoi la Fédération croit devoir rappeler à tous qu'etle s'en tiendra, à l'avenir, aux délais imposés.

(Il y a lieu de préciser que n'entrent pas dans ce cadre : les rencontres entre

Les Statistiques Saison 1951-52 Sociétés (Le chi^e entre parenthèses indique le nombre de Sociétés en 1950-51)

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

Ile-de-France 237 (201) Normandie 170 Q65) Anjou-Orléanais .... 112 (125) Bretagne 94 (84) Lyonnais 90 (78) Flandres

85

(85)

Champagne 8. Guyenne

70 64

(70) (64)

9. Poitou

60

(57)

10. Dauphiné

55

(60)

11. Lorraine

47

(47)

12. Pyrénées

44

(49)

13..Provence

37

(36)

14. Alsace

35

(31)

15. Bourgogne

29

(27)

16. Centre 17. Franche-Comté 18. Maroc

23 23 18

(17) (26) (12)

19. Côte Basque 20. Languedoc 21. Alger

18 16 15

(13) (15)

(14)

22. Tunisie

11

(10)

23. Tyrol (S.M.F.)

10

4-

9 8 4 2

— (7) (3) (2)

24. 25. 26. 27.

F.F.A. Sud (S.M.F.) . Oranie Constantine Corse

1.386 (1.298)

fjfeeiictés (Le chigre entre parenthèses indique le nombre de licenciés en 1950-51)

associations de la F.F.T.T. et les tournois ouverts.)

L'Insigne du Jubilé A l'occasion de la célébration du XXV® anniversaire' de la création de

la Fédération, un insigne vient d'être réalisé, marquant le souvenir de la

Calendrier administratif 1952-53 28-29 juin. — Réunions du Conseil de la Fédération —• Etablissement du clas sement 1951-1952.

période du printemps 1952 où du

1"' juillet. — Ouverture de la saison 1952-

14 mors ou 20 avril tant de belles réalisations seront accomplies.

15 juillet. — Fin de la période des muta

Gravé par le maître FraisseDemey, l'insigne porte deux dates: 1927 et 1952, et rappelant le lieu de la création : Paris, celui de la célébration de l'anniversaire': Reims

comporte également en deux écussons les ormes de ces villes artisti

quement émaillés. Cet insigne est maintenant en venté' aux bureaux de la Fédération, 60, rue de la Victoire, au prit de 150 francs {C.C.P. 702-21 paris).

1953.

tions — Clôture des engagements en

Championnat de France par équipes. 31 octobre. — Clôture des engagements pour :

— les Coupes Interligues; les Coupes de France. 15 décembre. — Clôture des engagements Pour les Championnats de France Internationaux 1953. 25 mars. — Clôture des engagements pour les XXVI" Championnats de France.

31 mars. — Tirage au sort des XXVF Championnats.

12 avril. — Assemglée générale de la F.F.T.T.

1. Ile-de-France . .. 2. Normandie

4.391 (3.409) 2.435 (2.419)

3. Anjou-Orléanais .. 4. Lyonnais

1.533 (1.710) 1.389 (1.233)

5. Bretagne

1.226 Ô.047)

6. Flandres

7. Champagne 8. Guyenne

>•

1.206 (1.147)

:■

1.093 (1.048) 931 (973)

9. Poitou

796

(808)

10. Dauphiné 11. Pyrénées

720 641

(765) (721)

12. Provence 13. Lorraine 14. Alsace

577 475

(502) (555)

451

(376)

15. Bourgogne

329

(319)

16. Côte Basque

294

(213)

17. Centre 18. Franche-Comté .. 19. Maroc

279 266 261

(214) (280) (163)

20. Languedoc 21. Alger

215 206

(151) (268)

22. Tunisie

118

(144)

23. Tyrol (S.M.F.) ...

87

--

24. Constantine 25. F.F.A.Sud (S.M.F.)

80 69

(96) —

26. Oranie

55

27. Corse

28

(27)

20.151 (18.588)


Tennis de table

Recommandations aux Arbilres

9^our améliorer vos organisations,

Comment procéder au tirage au sort Comment doit-on, avant le dé but d'une partie, tirer au sort ? L'usage veut que l'arbitre prenne la balle dans une de ses mains et

plaçant celles-ci sous la surface de la table fasse désigner par l'un des

joueurs la main détenant la balle, ce qui en cas de réussite de ce pro blème de divination permet à celuilà de servir le premier H! Nous disons bien de servir, car la plupart des Joueurs et des arbitres ignorent que le fait de gagner le « toss )), sous couvert d'une balle, ne veut pas dire attribution obli

C'est pourquoi dans une de ses dernières réunions, le Conseil de

tirer au sort avant chaque partie avec la piécette classiquement em ployée dans d'autres activités spor tives, le vainqueur du toss pouvant à ce moment,

60, Rue de la Victoire, Paris

(l'adversaire devenant, à son gré, premier serveur ou premier relan

sort et que, par conséquent, selon Is règles du tennis de table, il a

premier un choix des trois possibi

versaire pouvant choisir d'être ser veur ou relanceur);

c) d'obliger son adversaire à faire le premier choix. On comprendra aisément que quand deux joueurs au courant de ces points de règlement procèdent au choix, ils ne soient guère com pris du public, ni d'autres prati quants qui les considèrent comme des (( chinois ».

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lités ci-dessus.

Outre que cette méthode permet tra aux spectateurs de se rendre plus facilement compte de l'assimi lation de notre sport à d'autres, la puérilité du choix de la balle sous la table étant remplacée par la mé thode en honneur au football, rug by, etc., elle aura pour intérêt de permettre aux joueurs « timides » d'envisager d'une tout autre ma nière la conduite d'une partie, la

quelle, on le sait, débute avec l'at tribution souvent

AFFICHES DE PROPAGANDE ; « Jouez au Tennis de Table »

ceur);

vant le premier); — obliger l'adversaire à faire le

b) le côté de la table (son ad

-

—— choisir le côté de la table

choix d'une main signifiait que le joueur avait gagné au tirage au

choix du côté);

IMPRIMÉS FÉDÉRAUX En vente au secrétariat de la F.F.T.T

gatoire du service! Précisons-leur que, jusqu'ici, l'attribution de la balle après le

a) d'être le premier serveur ou relanceur (son adversaire ayant le

Utilisez les

la Fédération a décidé de recom mander désormais à ses arbitres dé

— servir le premier (l'adver saire pouvant choisir le côté); — relancer le premier (l'adver saire pouvant choisir le côté et ser

le droit de choisir:

votre administration

du

premier service

découle

de

et

l'affectation

d'un meilleur côté de la table ou de la salle.

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