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g 10' ANNÉE. - N° 94 §
MAI 1954
Le verdict de Rouen
Cliampions:les deux ppeniiers * ChrisHane WATEL et Guy AMOURETTI * Onze chompionnats - Six nouveaux titulaires ANS cette usine à broyer les espoirs et à distiller les espérances qu'était la piscine de Rouen, si bien transformée en sanctuaire de la « petite balle », la vie allait
L'AMITIÉ par
bon tram.
Du haut de son... plongeoir, la direction des Championnats jouait des horaires, jon glait avec les tableaux et multipliait ses appels. Sur le plancher, les joueurs attendaient
Marcel LECAUDÉ
dans une discipline parfaite, avec une belle patience 'dont personne n'abusa, suivaient
« Seigneur, préservez-moi de mes amis. Mes ennemis, je m'en.char ge. »
C'st à cette boutade du cardinal
de Richelieu que je pensais en li
parfaitement les prescriptions et parfois les injonctions. En somme, tout allait bien. e son perchoir, le ]uge-arbitre se muait tout à coup en reporter pour penser au présent papier de relation des Championnats, et chaque heure voyait se profiler son plan d article : im mot pour Un tel, des louanges à tel club pour son travail en profondeur, des félicitations a tous pour la tenue, et tout et tout !
sant certaine invite du rédacteur en
chef de notre revue. On m'y.requé rait — oh ! dans les formes les plus exquises ! — de rédiger un article « sur le sujet de mon choix, à con dition qu'il fût envoyé dans le plus
Ah ! mes
L'iennui, comme eût dit La Bruyè re, c'est qu'on arrive toujours trop tard et que tout aura déjà été écrit sur les récents Championnats de France.
Si vous êtes technicien, je vous
renverrai au spécialiste dont la plu avertie
vous
introduira
à
la
question du « caoutchouc mousse et de la mousse de caoutchouc », qui n'ont, bien entendu, rien de com mun.
Si vous êtes juriste, vous trouve rez sans doute, dans ce journal, un traité sur « les prêts de raquette à réméi'é » et sur les restrictions dans
l'usage des biens prêtés.
(Suite page 3)
éclata
une
Une véritable... mousson (il n'était pas dur .à venir celui-là !) déferla dans la pis cine. Elle faisait rire ceux — de Rouen —
bref délai ».
me
am'is ! Soudain
bom'be !
Guy AMOURETTI (Cavigal de Nice)
qui se plaignaient des... rigoles de la pis cine qui donne 'des vagues. En fait de vagues, nous en eûmes et si elles n'étaient pas... d'eau, elles étaient pour le moins bien salivées... 'Oh ! mousse qu'en ton nom on peut dire d'âneries ! Et il s'en est dit ! l'fotez bien que cela n'a pas empêché les deux plus forts : C. Watel et G. Amouretti. d'être les très bons cham pions 1954 attendus, car si l'on en croyait la véritable hystérie qui jeta pêle-mêle lors de la soirée finale des quantités de parleurs inconnus et n'y connaissant que bien peu à la question, on aurait presque pu croire que notre Championnat ne s'était pas déroulé normalement ! Le meilleur cliché que l'on puisse vous
donner pour vous dépeindre l'ambiance
(Suite pages 3,4,5,6,7)
BOULOGNE, Champion de France TOUS LES DÉTAILS EN
PAGE 15
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MAISONS
DE
SPORT
dit
TRNNI8 DE TABLE
Quatre jours et deux bons champions SUITE DE L.\ PACE
DE L'RMITIE
Alors on ne peut plus rire ?
I
de la soirée finale, est que vous imaginiez le
Si vous êtes moraliste, on vous
entretiendra (peut-être) de la liceité
des jeux d'argent dans les lieux pu blics.
Si vous êtes névrologue, on vous expliguera, thèse à l'appui, comment on se libère d'un complexe d'infério rité par le combat et non par le re noncement... même spectaculai re (?).
Si vous êtes dévoré par le prurit de l'organisation, vous apprendrez comment on transforme une piscine en salle de sports et les meilleurs
procédés pour amener 2.000 person nes à la soirée finale.
■Pour moi, qui ne suis ni plus technicien qu'il faut, ni plus juriste qu'il sied, et qui ne- professe au sur plus qu'une admiration mitigée pour le glacial Cardinal-Ministre, je vous parierai simplement... de l'amitié.
stade
de
'Colombes
avec
les
60,000
.spectateurs descendus sur le terrain pour s'informer auprès des ûoueurs si l'ar bitre avait raison d'accorder un pénalty à une des deux équipes ! A Rouen, il s'agissait, dans ce défer lement de verbiage, de savoir si Michel Haguenauer avait eu raison d'abandonner en demi-finale du Championnat de France, devant 2.000 personnes, face à un adver saire qui employait une raquette mousse I T'ont est là I Quant à nous, nous disons nettement NON et... n'irons pas plus loin pour ne pas sembler accorder une grande attention à un geste aailisportif que tout au plus une grande dépression nerveuse pourrait justifier (dans ce cas : on se repo.se, me souffle mon démon !) encore qu'il s'agisse surtout du résultat d'une vraie guerre des nerfs (dont nous faisons justice par ailleurs) comme en connais sent beaucoup d'autres sports et souvent sous des formes plus virulentes.
J'ai abandonné le Conseil Fédéral il
y a 16 ans. Je me suis retrouvé plongé, pour cinq jours, dans cette ambiance. Et j'ai constaté avec ra vissement... qu: .'.'i'toire continuait. Elle continue avec ses inévitables
polémiques,
avec
manœuvres
de
ses
nécessaires
couloirs.
Mais
elle
continue aussi avec son immense dié-
sir de voir progresser notre sport. ET ELLE CONTINUE DANS L'AMI TIE.
Cette amitié est basée sur l'estime réciproque. C'est parce qu'ils s'esti
ment que nos dirigeants fédéraux aiment
travailler
ensemble.
C'est
parce qu'ils aiment travailler ensem ble
qu'ils
savent
« se
retrouver »
malgré tout ce qui peut les diviser momentanément.
Nos dirigeants sont de mes qui, comme l'écrivait appartiennent au passé sentiments et à l'avenir
ces hom de Bonald, par leurs par leurs,
pensées. Voilà ce que ruminait un ancien,
au soir de ces Championnats qui n'ont pas apporté aux organisateurs toutes les satisfactions qu'ils étaient en droit d'attendre de leurs efforts.
Le grain de sable (ou de mousse) est inévitable, mais l'amitié pongiste est le plus siàr point d'appui de no tre action et le plus ferme garant de notre avenir.
LES
NATIONAUX ont été joués avec
La Balle
MONTANA - SÉLECTION sur
18 Tables S. P. O. R. T.
Parmi les meilleurs
Que d'en trop parler serait oublier que nous avons une super-cliampionne de France (po-ur la quatrième fois à vingt ans !) Christiane Watel, dont j'ai déjà tout dit, me contentant... de le confirmer, et aussi un grand champion de France, c'est-à-dire un Guy Amouretti, beaucoup plus équilibré qu'il ne le semblait aupa ravant, étant moi-même d'autant plus à l'aise pour le constater et le dire que j'ai souvent ici regretté un comportement uicnlal
nettement
inférieur
à
celui
du
champion. Cotte fois, le Niço-Parisien fut irréprocliabie, et sans aucune fantaisie, avec beaucoup d'application, le champion de 1953 et 1954 battit Bordrez (qui pour tant menait 15-10 au cinquième set !) « étrangla » ensuite un très bon Lanskoy (3-0), et surclassa (12 points par set) le finaliste — inattendu — Cafiéro dont on vous parle dans d'autres colonnes. Il y eut aussi beaucoup d'autres cho ses I Grâce à C. Watel, le mixte revint aux tenants, tandis que les deux autres doubles changeaient de titulaires. On re vit avec plaisir une équipe « mordante » on dames avec Brémond-Vias qui renouè rent avec le palmarès national et on vit la « mousse » de Cafiéro et la classe de
Sala
(sûrement le deuxième Français en
mai 1954. derrière Amouretti) faire peur puis déborder les tenants. Nouveau cavalier seul de la junior Mo nique u\Iber (troisième fois titrée à dixhuit ans !) et beaucoup d'espérances de sa jiart à chaque tour dans la catégorie supérieure (ne la vit-on pas à 18 partout au cinquième set avec J. Delay ?). Bonne tenue
du
jeune
quatuor
masculin
avec
Cela commença un jour d'entraînement comme les autres dans une salle de Paris.
Comme à l'habitude, Ehrlich venait de faire des balles avec Michel Haguenauer et de le dominer dans chaque set comme de temps en temps. Pourquoi fallut-il qu'à cet instant, germât dans l'esprit du grand Alex l'idée de faire peur à son vieux rival en lui disant : « Tu sais, Michel, « crois-moi, tu joues bien ! Mais il est
« impossible
à n'importe
qui
de
jouer
« contre la raquette-mousse que j'emploie 1 « Il s'agit d'une raquette-miracle qu'il
« suffit de savoir tenir pour battre tout « le
monde
!
»
Que n'avait-il pas dit là ? Qu'avait-il bien choisi son interlocuteur ! Cette sim ple phrase allait déchaîner un des plus beaux méli-mélos qu'ait connu notre sport, pagaïe qui arriva à son point culminant en cette mémorable soirée finale de Rouen
(dans les oouUsses s'entend !) arrivant même à affoler une majorité de membres du Conseil de la Fédération qui crut bien
faire de se mêler d'un des plus beaux ca nulars qui aient pu être montés. Après avoir cité le point de départ de cette immense farce, il est nécessaire, pour situer la question, d'en rappeler les pha ses essentielles (on n'a pas toujours l'oc casion de bien rire...). Or donc notre Ehrlich s'en fut le lende
main gagner le tournoi de l'A.C.B.B. Uni quement semble-t-il sur la réputation de
la « raquette-miracle » dont il ne parlait déjà plus mais dont les bruits d'utilisa tion savamment orchestrés par Michel Haguenauer, en plein affolement, obligè rent Ehrlich à les... confirmer. Il gagna ce tournoi, mais il doit être dit que parmi les adversaires il en était un, tout frais arrivé de Nice, qui ne connaissait pas cette raquette et ses prétendus pouvoirs et qui contre Ehrlich ne succomba que par 22-20 au set décisif ! Courtois, de Nice, honnête deuxième série, démontra (il y en eut d'au tres ensuite) que la raquette miracle ne gagne rien du tout mais que ce sont des
adversaires qui en ont peur selon que la croyance s'admet ou non !
Spécialiste (?) du caoutchouc-mousse S. Cafiéro ne pouvait échapper à cette em prise et grâce à ses excellentes relations avec son concitoyen Amouretti lequel est le fabricant de cette raquette... dite mira
cle (réclame non payée !) il obtint le prêt de ladite raquette pour disputer le Cham pionnat de France à Rouen, sous réserve que s'il parvenait en finale contre Amou retti (aucun des deux ne le croyait sincè rement) il ne joue pas avec ! Que cher
chait le groupe des Niço-Parisiens Amou retti, Cafiéro et Ehrlich dans cette affaire ?
Sans doute à éliminer le plus nerveux des
primauté au « belliqueux » àlichel .\ubain qui s'imposa face au « chevronné » Garnbier et au « nerveux » Provençal Granier landiis que le Parisien (I/Croux attirait pour la première fois sur lui l'attention
tège-tibia en mousse rend malade ! Pour les non initiés •— Dieu les en préserve — disons que la fameuse mousse (miracle
nationale.
ou pas miracle) utilisée en France est dé
-Mtontion qu'il faut apporter aux cadets de... Paris 1 Depuis longtemps l'Ile-de-
coupée dans des grandes plaques de caoutchouc fabriqué à usage industriel. C'était relativement facile et de jour en jour Haguenauer s'affola littéralement au point de subir une véritable dépression
Franco
était
absente
des
débats
ultimes
entre jeunes et il faut donc souligner une finale
de
Saul-Sautereau
comme un
élément
adversaires
:
nous
avons
nommé
Michel
Haguenauer que la simple vue d'un pro
satisfaction. Jean BELOT.
Voir page 5
TENNIS
DE
TABLE
^ne belle
page de souvenirs Dimanche
2
Mai
1954
Dans cette magnifique salle avec neuf tables se trouve
une piscine I
m %
Lundi
3
Mai
1954
t
A l'Hôtel-de-Ville : M. Prulière,
Présideht/'rt^.'' répond à l'allo cution de bienvenue de M.
Chostelloin, Député-maire de Rouen.
On reconnaît a g. M. Saint-Cyr, Adjoint-délégué aux Sports et a Vextrême droite M. Plantrou.
M. i.
Mardi 4
Mai 1954
i
La Soirée finale :
S.'\ox\e^dedos)\er\\e-eu vain de battre la Championne C. Watel.
■4^
TENNIS
DE
TABLE
I Les Hésaltats détaillés
Mérci Rouen
Messieurs
C'est évidemment peu croyable que le calendrier dévore les jours, les semaines et les mois à une telle cadence !
C'était hier que la Fédération di sait oui à la candidature normande ! C'était hier que l'ami Plantrou fai
sait sa première réunion d'études ! C'était hier que les amis Dorival et Caron étaient mis dans le bain !
C'était hier, et c'était pourtant il y a plus d'une année ! Quatre jours, l'ambiance mainte nant habituelle de la grande réunion de notre famille pongiste, le sport, le public ont absorbé bien vite une somme de travail considérable, ac cumulée depuis douze mois. Il fallait non seulement penser à tout, mais songer à faire mieus que « ceux » d'avant, en vertu du sain
esprit de compétition qui anime au moins autant les organisateurs que les joueurs. Bordeaux avait fait ceci ! Jubert avait trouvé cela ! Bon...
Cela nous donna les quatre jours de Eouen que vous connaissez. Et un
hôte prévenant et dynamique comme le Président Plantrou. Et des réali sateurs comme R Dorival et B. Ca ron (le créateur de la salle sur la piscine) ; deux nouveaux qui n'avaient jamais vu (qui l'eût cru !)
nos « Nationaux » précédents ; deux dévoués que l'on trouvait partout, prêts à tout et surtout à rendre ser vice. Et une équipe de travailleurs, à la tête desquels on vit sans relâche à la besogne les Moriceau, Vassard, Lefrançois et aussi notre vieil ami Marcel Lecaudé qui, dans toutes ses
œuvres (que ce soit d'orateur, d'écri vain, de gastronome, d'interne de service et j'en passe)... fut parfait. Et, enfin, aussi une nouvelle con sécration de la grandeur de notre tennis de table grâce à deux person nalités, entre autres, dont on appré cia la gentillesse pendant notre séjour et dont on n'oubliera pas le gros appui reçu pour la réussite des Championnats : M. Jacques Chastellain. Ministre des Travaux Publics, Député-Maire de Rouen, qui nous reçut si gentiment et nous suivit avec intérêt; M. Saint-Cyr, son ad joint à la Mairie, chargé des Sports, dont l'action préalable fut si efficace, la présence si réelle pendant quatre jours, et la verve et l'esprit si re marquables qu'il fut probablement le plus applaudi des Rouennais et la vedette de notre rassemblement. Merci. Bravo Rouen et la Norman die !
...Et vivent les
28" Nationaux à
(rrenoble !
nerveuse le dernier jour à Rouen ; au point également par des paroles superflu"s et sans fondement d'affoler René Roothooft
qui se présenta lui aussi en sacrifié mais pourtant démontra que l'on pouvait ouaud môme jouer contre Gafiéro (avec mousse ordinaire, mousse-miracle ou picot). On ne vous cachera pas plus longtemps que ladite raquette n'avait rien d'anormal par rapport aux autres qui sont vendues en France avec toutefois la différence d'être
réalisée avec une plaque de mousse... manquée,, c'est-à-dire un peu plus dure que les autres... On ne vous cachera pas plus qu'Ehrlich qui s'employa à accréditer cette légende du « miracle » y parvint facile ment ne serait-ce qu'en déclarant à la ronde que « les Japonais lui avaient con
fié à lui seul le vrai secret du mousse qui consistait en un badigeonnage fréquent du
un Strappe jouer sur un terrain en lon
gue cul,gtte ?) et en victime sacrifiée ! Le second en ne luttant que quelques points par sets, en attaquant à outrance du revers (diable !) et surtout en annon çant qu'il ne voulait pas ou qu'il ne pou vait pas jouer contre un joueur utilisateur d'iine telle raquette. Ce fut une brillante
victoire
du trio
Crosjean b. Sokoloff, 3-2; De Tolédo b. Cerceau, 3-1 ; Roothooft b. Fontonon, 3-0 ; Lonskoy b. Ragot, 3-0 ; Auboin M. b. Petit, 3-0 ; Ridard b. Bouteiller. 3-0 ; Homard b. Ogeron, 3-0 ; Solo b. Vibert, 3-0 ; Larcade b. Crapet, 3-1 ; Solomé b. Vendel, 3-(l ; Du bouillé b. Gronier M., 3-0 ; Dumon b. Uzon, 3-1 ; Pautou
b. Legrand, 3-2 ; Muzellec b. Potemotte,
3-1 ; Bordrez b. Bocquillon, 3-0 ; Devos b. Redureou, 3-0 ; Lucas b. Huguet, 3-0 ; Chorlier b. Horent, 3-2 ; Amouretti b. Loger, 3-0. 1/16. — Haguenauer b. Bartholomess, 3-0 ; Goé
mon b. Lhomme, 3-0 ; De Bernardi b. Gambier, 3-1 ; Le Com, 3-2 ; Agopoff. b. Mathieu, 3-0 :
Cafiéro b. Desreumaux, 3-2 ; Demulder b. Crosjean, 3-1 ; Roothooft b. De Tolédo, 3-2 ; Lonskoy b. Aubain M., 3-0 ; Homard b Ridard, 3-0 ; Sala b. LorLucas, 3-0 ; Amouretti b. Chorlier, 3-0.
d'autres ne puissent dépasser le premier janvier en parfaite condition t — La préparation de leur saison estelle bien conduite et leur envie de jouer
ne s'émousse-t-elle pas un peu à la faveur de déplacements, participations, d'entraî
code. 3-0 ; Dubouillé b. Solomé, 3-0 ; Dumon b Pautou, 3-0; Bordrez b. Muzellec, 3-0 ; Devos b. Dames
1/32. — Hardy b. Nourrissat, 3-0; Mousset b.
Mériguet, w.o. ; Brochet b. Speck, w.o. ; Marie b. Pétrissant, 3-0 ; Donrée b. Koroche, wq. ; Vias b. Heurtefeux, 3-1 ; Jeonnotin b. Arnaud, 3-1 ; Chéreau b. Guillou, 3-0 ; Alber b. Brun, 3-1 ; Viers b. Soro zin J., 3-0 ; Trouvé b. Girard, 3-0 ; Stosskopf b. Le
(Suite page 0.)
nements inutiles (nous parlons bien sûr as n'est-il pas en baisse sensible quand on voit un Haguenauer abandonner une
n'était pas du tout dans le circuit de cette affaire. Et lui aussi (comme Courtois con tre Ehrlioh) manqua de mettre bas tou tes les savantes batteries préparées en une semaine. Il s'agit du Lillois De^reumaux (non pas celui qui fut champion de
partie et risquer ainsi de voir se ternir
une belle carrière, ou un Roothooft n'avoir plus aucun mordant et rechercher la faute
de l'adversaire même si cela l'oblige à rester une heure et demie sur la table
(cinq sets avec De Tolédo par exemple avec un dernier où il se décida à attaquer et l'emporta 21-10) 1 — N'est-ce pas plus dangereux encore quand on sait que Michel Haguenauer en est maintenant à la recherche d'une solu
On conviendra donc que ce qui est pos sible pour un joueur à 25 doit l'être pour un Roothooft — ou un Haguenauer ? Il faut vraiment que la forme ne soit pas là, que les nerfs soient à bout, pour se
tion chimique pouf en badigeonner des
rendre ridicules comme ils le firent tous
Tout cela est bien- inquiétant pour nos as, qui font maintenant beaucoup rire d'eux, qui n'impressionnent plus personne
pantalon, lui qui tire sa force de ses dé placements autour de la table (verrait-on
thieu b. Chormont, 3-0 ; Desreumaux b. Calais, 3-1 ;
nat qui nous oblige à citer d'autres cons tatations plus ou moins heureuses : — La saison est-elle trop longue pour que des joueurs comme Haguenauer et
Et le championnat commença ! Et en core une fois il y avait un joueur qui
deux. Le premier en se présentant en long
Marrand, 3-0 ; Goémon b. Sorozin, 3-1
cité plus haut, dans .cette guerre des nerfs qui précéda la finale du Champion
mousse avec un liquide secret ».
au cinquième set... avant d'en rester là.
tholomess b
Lhomme b. Jouon, 3-1 ; De Bernardi b. Genton, 3-1 Gambier b Bouzin, 3-0 ; Sauger b. Barreau, 3-1 ; Le Cam b. Latuillière, 3-0 ; Agopoff b. Marc, 3-1 ; Ma
Sauger b
du superflu) 1 — Le niveau mental de certains de nos
France junior) mais d'un plus modeste classé à 25 qui pas du tout affolé, ni im pressionné par le renom de son adver saire se retrouva avec lui à 17 partout
becke b. Conord, 3-0 ; Bartholomess' b. Benoualid,
3-1 ; Marrand b. Boussuge, w.o. ; Goémon b. Caverzoghi, 3-1 ; Sorozin b. Le Bouquin, w.o ; Jouon b Chambéry, 3-0 ; Lhomme' b. Meunier, w.o. ; Genton b. Martin, w.o. ; De Bernardi b. Tibi, 3-1 ; Gombier b, Boverie, 3-0 ; Bouzin b. Gastou. 3-1 ; Barreau b. David, 3-1 ; Sauger b. Lecomte, w.o. ; Le Cam b. Ayache, 3-1 ; Lotuillière b. Bédoc w.o. ; Agopoff b. Bion, 3-0 ; Marc b. joyau. 3-2 ; Mothieu b. Case-^ nove, 3-0 ; Chormont b. Rimmer, 3-2 ; Desreumaux b. Billebaut. w.o. ; Calais b. Bouche, 3-1 ; Huteau b. Louvel, 3-0 ; Gafiéro b. Bergé, 3-1 ; Demulder b Plisson, 3-1 ; Brée b. Lollis. w.o. ; Sokoloff b. Dcvidovitz. 3-0 ; Grosieon b. Bortoluzzi, 3-2 ; De T< lédo b. Purchart, 3-0 ; Cerceau b, Legros, 3-0 ; Fontonon b. Guillou, 3-0 ; Roothooft b. Dugit, 3-0 ; Lonskoy b. jafflin, 3-0 ; Ragot b. Boudry, w.o. ; Aubain M. b Homon, 3-1 ; Petit b. Boidin, w.o. ; Ridard b. Nicolle, 3-0 ; Bouteiller b. Richard, 3-0 Ogeron b. Watel, w.o. ; Homard b. Genevey, 3-0 ; Sala b. Gérard, 3-0 ; Vibert b. Ferrer, 3-0 ; Larcade b Denier, 3-1 : Crapet b. Courtois. 3-0 ; Vende! b Boroni, 3-1 ; Solomé b. Purchart R., 3-1 ; Granier M. b. Bros, 3-2 ; Dubouillé b. Abenoza, w.o. ; Uzor b. Collier, w.o. ; Dumon b. Nourrissat, 3-0 ; Pautou b. Suire, 3-0 ; Legrond b. Lovergne, 3-0 ; Poternottc b. Springinsfeld, w.o. : Muzelec b. Rière, 3-1 ; Bocquilion b. Szamick, 3-2 ; Bordrez b. Lecoq, 3-0 ; Devos b. Loengel, 3-1 ; Redureau b. Quetel, 3-1 ; Huguet b. Ecosse, 3-1 ; Lucas b. Decroix, w.o. ; Chorlier b. Marniquet, 3-1 ; Horent b. Touziède, 3-1 ; Bouchard b. Schuh, 3-0 ; Amouretti b. Loger, 3-0. 1/32. — Haguenauer b. Hoorelbecke, 3-0 ; Bar
Cafiéro b. Huteau, 3-0 ; Demulder b. Brée, 3-0 :
-.iiiiiiiiiiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii'E
Gn beau canular (suite)
1/64. — Haguenauer b, Schelcher, w.o. ; Hoorel-
plaques de mousse se précipitant ainsi et tête baissée dans le « panneau » pré senté par Ehrlich, lequel secret n'existait pas on l'a bien compris ?
(n'est-ce pas J. Bergé qui sortit rapide-
ment à Mazamet le porteur de la raquette dite miracle) et qui même vont freiner nos
organisateurs quelquefois enclins à les prendre pour des super-champions et des grands sportifs... Et en terminant l'exposé de cette mo numentale farce dont les échos ne sont
pas prêts d'être éteints, il doit être dit qu'Amouretti, bien que fabricant de la raquette, bien qu'au courant du canular, n'en poursuivit pas moins tranquilllement sa route vers le titre et que si Cafiéro n'utilisa pas en finale « sa » raquette-mi racle ce n'est pas du tout sur injonction de quiconque ou en conclusion d'accords
sérieux, mais tout simplement parce qu'il voulut prouver à tous ceux qui lui re
prochaient son attitude (?) qu'il pouvait faire aussi bien avec sa raquette ordinai re ! Ce qu'il fit d'ailleurs, car à notre avis Amouretti en super-condition physi que et mentale, laissa Cafiéro à sa place. Et cela sera notre conclusion !
TENNIS DE
TABLE
Les Résultats détaillés (suite) Bozec, 3-0 ; Imbert b. Barbe, w o. ; Fagnon b. Bannier, wo. ; Fréville b. jousselin, 3-1 ; Beîling b. Soler. 3-2; Rimmer M- b. Postre, 3-0 ; Fiament b. Girordet, 3-1 ; Giraud b. Rimmer J., 3-0 ; Vernay
b. Clorennec, 3-0 ; Gauthier b. Bergerot, 3-1 ; Hen-
nequin b. Céltères )., 3-0 ; Forgeron b. Schmitt, 3-2 ; Garoffi b. Maisonneuve, 3-1 ; Dubois b. Lorcheron,
Crapet-Homon, 3-0 ; Cafiéro-Salo b. Benouoldi-Suire.
3-0 ;
Paternotte-Bros
b.
3-1 ; Béolet b. imbert, 3-0 ; Fréville b. Fagnon, 3-0 ; Rimmer M. b. Betling, 3-2 ; Vannoni b. Fiament,
Cafiéro-Sala b. Paternotte-Bros. 3-0 ; Parmentier-
3-0 ; Giraud b. Vernay, 3-0 ; Hennequin b. Gauthier, 3-0 ; Garaffi b. Forgeron. 3-1 ; Watel b. Dubois,
Lhomme b. M. Aubain-Sarazin, 3-0 ; Devos-Demulder b. Agopoff-Lorcade, 3-2 ; Plisson-Cranier b. DenierPétrement, 3-0 ; Courtois-jouan b. HoorelbeckeCuyomard, 3-0 ; Lonskoy-Roothooft b. Bortoluzzi-
1/16. — Rougognou b. Hardy, 3-0 ; Brochet b. Mousset, 3-0 ; Marie b. Danrée, 3-2 ; Brémond b. Vias, 3-2 ; Delay b. Jeannotin, 3-2 ; Alber b. Chéreau, 3-0 ; Trouvé b. Viers, 3-1 ; Tarlet b. Stosskopf,
3-1.
1/8. — Rougagnou b. Brochet, 3-0 ; Brémond b.
Marie, 3-0 ; Deloy "b. Alber, 3-2 ; Tarlet b. Trouvé, 3-0 ; Fréville b. Béolet, 3-2 ; Vonnoni 'o. Rimmer M , 3-1 ; Giraud b. Hennequin, 3-2 ; Watel b. Garaffi, 3-0.
Leiièvre, 2-0 ; Saul b. Coussin, 2-1 ; Messen b. Li
M. Aubain-Sarazin b. Coverzaghi-Moracchini, 3-1 ; Parmentier-Lhomme b. Nicolle-Baronj, 3-0 ; AgopoffLarcade b. Crosjean-Schuh, 3-0 ; Devos-Demulder b Hermel-Delovoipierre, w.o. ; Plisson-Cranier b. Bor-
drez-Théron, 3-2 ; Denier-Pétrement b. Ridard-Rim mer, 3-1 ; Hoorelbecke-Cuyomard b, Pautou-Bocquil lon. 3-1 ; Courtois-jouan b. Charmont-Sauvoiol, 3-0 ; Bortoluzzi-Vendel b. Castou-Toloza. 3-0 . Lanskoy-Roothooft b. Bouchard-Brée, 3-0. 1/8. — Haguenauer-Dubouillé b. Amouretti-De Bernardi, 3-2 ; Hamard-Marc b. Rière-Bergé, 3-0 ;
w.o,
1/4. —"Sautereau b. Dethoor, 2-1 ; Guérin b.
Morrand-François, 3-0 ,
bourneau, 2-0.
1/2 finales. — Sautereau b. Guérin, 2-1 ; Saul b. Messen, 2-1.
Finale. — Saul b. Soutereau, 2-1. Cadettes
1/8. — Rollet b. Célières D., 2-1 ; Sauget b. De lofaix, 2-0 ; Margot b. Nourrissat, 2-1.
1/4. — Roch b. Ferret, 2-0 ; Sauget b. Rollet, 2-0 ; Margot b. Girordet, 2-1. 1/2 finales. — Fouquet b. Roch, 2-1 ; Morgot b. Sauget, 2-0.
Finole. — Margot b. Fouquet, 2-0. Corpos Daines
1/8. — Tarlet b.^ Heurtefeux, 3-0; Rouzier b.
Vendel, 3-1.
1/4. — Haguenauer-Dubouillé b. Hamard-Marc, 3-0 ; Cafiéro-Sala b. Parmentier-Lhomme, 3-0 ; De vos-Demulder b. Plisson-Cranier, 3-1 ; LanskoyRoothooft b. Courtois-jouan, 3-0.
Correard, 3-1 ; Danrée b. Mascie, 3-0 ; Pétrissant b. Kopf, 3-1 ; Danel b. Cornier, 3-1 ; Constantin b. Viers, w.o. ; Chéreau b. Bergerot, 3-2 ; Deloy b. Brunei, 3-1.
^■1/4. — Torlet b. Rouzier. 3-0 ; Pétrissant b. Dan rée, 3-2 ; Danel b. Constantin, 3-0 ; Chéreau b. De
Juniors Garçons Double
1/32. — Saul b. Perroton, 3-0 ; Gougain b. Bal
let. w.o. ; Boudrie b. Théron, 3-1 ; Petit b. Messen, 3-0 ; Mugnier b. Liboureau, 3-0 ; Gastou b. Arnaud, 3-0 ; Guiliemant b. Sauvajol, 3-2 ; Rougagnou b. Le Monio, 3-1 ; Sdrigotti b. Soi, w.o. ; D'Auriac b. Lelièvre, 3-0^; Morocchini b. Liandier. 3-1 ; Rière b.
Ponchon, 3-1 ; Roseinstein b. Burnel, 3-1 ; Delattre b. Nanty, 3-1 ; Coussin b. Pradayrol, 3-0 Poulain b Sueur, w.o. ; Boutier b. Abénoza, b Mineti, 3-0 ; Lebourg b. François. 3-2
Ayache Poncet
b. Déchaud, 3-1 ; Fiquet- b. Morillon, w.o. ; GilbertCollet b. Meilhan, 3-2 ; Nicolle b. Dethoor, 3-1 ;
Olivier b. Lobrunie. w.o. ; Tolosq b. Guérin, 3-2. 1/16. — Sou! b. Uzan, 3-1 ; Boudrie b. Gougain,
B-2 ; Petit b. Mugnier, 3-0 ; Leroux b. Gastou. 3-0 ; Guiliemant b. Rougagnou, 3-2 ; D'Auriac b Sdrigotti. 3-1 ; Rière b. Morocchini, 3-1 ; Gombier b. Rosein stein. 3-1 ; Aubain M. b. Delattre, 3-0 ; Coussin b.
Poulain, 3-0 ; Ayache b. Boutier. 3-0 ; Sautereau b. Lebourg. 3-T; Cranier b. Poncet, 3-0; Gilbert-
Collet b Fiquet, 3-1 ; Nicolle b. Olivier, 3-0 ; Tolosa b. Chancerelle, w.o.
1/8. — Saul b. Boudrie, 3-1 ; Leroux b. Petit, 3-0 ; Guiliemant
b. D'Auriac. 3-0 ; Gombier
b.
Rière, 3-0 ; Aubain M. b. Coussin, 3-0 ; Ayoche b Sautereau, 3-1 ; Grenier b. Gilbert-Collet, 3-0 ; Ni colle b. Tolosa, 3-0. 1/4. — Leroux b. Saul, 3-1 , Gombier b, Guilie
mant, 3-0 ; Aubain M. b. Ayache, 3-0 ; Cranier b Nicolle, 3-1. Juniors
Filles
1/16 — Rollet b. Delofaix, 3-0 ; Roch b Célières, 3-1 ; Jourdan b, Legros. w.o. ; Margot b. Bro chet, w.o. : Girard b. Ferret, 3-0 ; Sauget b. Feraud,
Mixte
lay, 3-1.
1/2 finales. — Tarlet b. Pétrissant, 3-0 ; Ché
1/32. — Giraud-Goëman b. Clorennec-Bion, 3-0 ; Bergerot-Mathieu b. Vernay-Bouche, 3-0 ; FlamentDevos b. Gautiez-Marc, 3-0 ; Imbert-Chambéry b. Donrée-Vendel, w.o. ; Marie-jouan b. Hennequin-Ge-
reau b.
Corpos
nevey, 3-2 ; Vannoni-Sokoloff b. Garaffi-Crosjeon. 3-2 ; Soler-Marrond b. Ferret-Olivier, 3-1 ; Dubois-
1/16. — Coyt, 3-0 ; Gruot, 3-2 ; Springinsfeld,
Szamick b. Brun-Laengel, 3-2 ; Brémond-Demulder b. Le Bozec-Ogeron, 3-0 ; Sàrazin-Sorozin b. Guillou-Cérard, 3-2 ; Fagnon-Poutou b. Schmitt-Bordrez, 3-2 ; Mousset-Tauziède b. Larcheron-Bouchard, w o
Lhomme b. Imbert-Chambéry, 3-1 ; Delay-Cofiéro b.
w.o. ; Laengel b. Schelcher, 3-0 ; Bortoluzzi b. Cenevey, 3-0 ; Grébonval b. Le François, 3-0 ; Quinsoc b. Couzère, 3-2 ; Cafiéro b. Vibert, 3-0. 1/8. — Sala b. Cirod, 3-0 ; Ridard b. De To lédo, 3-1 ; Demulder b. Richard, 3-1 ; Paternotte b. Hiordot, 3-2 ; Goëman b. Salomé, 3-1 ; Laengel b Maux, 3-0 ; Grébonval b. Bortoluzzi, 3-1 ; Cafiéro b. Quinsac, 3-0. 1/4. — Sala b. Ridard, 3-0 ; Demulder b. Pater notte, 3-1 ; Goëman b. Laengel, 3-0 ; Cafiéro b. Gré bonval, 3-0. 1/2 finales. — Solo b. Demulder, 3-0 ; Cafiéro b. Goëman, 3-0. Finale. — Cafiéro b. Sala, 3-1.
Fréville-Dubouillé, 3-1 ; Tarlet-Agopoff b. StosskoffMuzellec. 3-0 ; Brémond-Demulder b. jeannotinLarcade G., 3-2 ; Rimmer-Ridard b. Fagnon-Pautou. 3-0 ; Watel-Roothooft b. Bartholomess-Pinéda, 3-0. 1/4. — Rougognou-Lanskoy b. Flament-Devos, 3-0 ; Delay-Cafiéro b. Béolet-Lhomme, 3-0 ; TarletAgopoff b. Brémond-Demulder, 3-1 ; Watel-Roothooft b. Rimmer-Ridard, 3-0.
•1/32, — Caverzaghi b. Morrond, w.o. ; Gastou b. Chambéry, 2-1 ; Dabid b. jafflin, 2-0 ; Cosenave b. Lotuillière, 2-0 ; Bergé b. Louvel, 2-0 ; Hamon b Ragot, w.o. : Plisson b. Suire, w.o. ; Rière b. Lecocq, 2-1 ; Laengel b. Legros, 2-0 ; Bros b. Tauziède, wo, ; Courtois b. Denier, w.o. ; Tibi b. Pe
Heurtefeux-Rimmer, 3-0 ; Rimmer-Ridard"!). SarazinSarozin, 3-2 ; Fognon-Pautou b. Girard-Davidovitz,
3-0 ; Bartholomess-Pinéda b. Brochet-Conord, 3-2 Watel-Rûothooft b. Mousset-Touziède, 3-0. 1/8. — Rougagnou-Lanskoy Bergerot-Mathieu, 3-0 ; Flament-Devos b. Postre-Huguet, 3-1 ; Béolet-
CONSOLATION MESSIEURS
tit, w.o. ; Benouolid b. Bouche. 2-0 ; Bortoluzzi et
1/8 — Arnaud b. Rollet, 3-0 ; Roch b. jourdan. 3-0 ; Fouquet b. Vacherat, w o. ; Borré b. Floment, 3-2 ; Sée b. Margot. 3-2 ; Girard b. Pinédo, 3-2 : Nourrissat b. Cirardet, 3-0 ; Alber b. Sauget, 3-0. 1/4 — Arnaud b. Roch, 3-0 ; Barré b. Fouquet.
3-0 ; Soler-Margot b. Forgeron-Rimmer j . 3-1 ; Ar
3-0 ; Sée b. Girard, 3-0 ; Alber b. Nourrissat, 3-0
naud-Dubois b. Bannier-Guillou, vy.o. ; Tarlet-jous-
Double
Guillou, wo. ; Poternotte b. Gérard, w.o. ; Baroni b. Quetel, w.o. ; Schuh b. Richard, w.o. ; Lager b. Pétrement, w o, ; Nourrissot b. Bion, w.o. 1/16, — Caverzaghi b, Ayache w o. ; David b. Casfou 2-0; Cosenave b. Morniquet w.o. ; Bergé b. Fer rer w.o. ; Hamon b. Conord 2-0; Plisson b, Rière
Daines
1/16. — Gcuthier-Stosskopf b. Sorozin-Vacherat. 3-0 ;
j.
Célières-Chéreou
b.
Hennequin-jourdan.
b. Benouolid 2-0; Uzon b. Paternotte 2-1; Baroni 2-0; Laengel b. Rimmer w.o.; Bros b, Brée w.o, ; Tibi
seiin b. Trouvé-Hardy. 3-1 ; Fréville-Delay b. BerMessieurs
1/32. — Haguenauer-Dubouillé b. Guérin-David, 3-0 ; Arnaud-Vibert b. Petit-Touziède, 3-1 ; Le Com-Lucos b. Schelcher-Springinsfeld, w.o. ; Amou-
retti-De Bernardi b. Marniquet-Cerceau, 3-0 ; BionOgeron
b
Ayoche-Ferrer, 3-1 ;
Homard-Marc
b.
Gambier-Horent, 3-1 ; Rière-Bergé b. David-Lager, 3-2 ; Cropet-Hamon b. Rogot-Pinot, 3-1 ; CafiéroSala b. Muzellec-Bouteiller. 3-0 ; Benoualid-Suire b Conord-Perroton, 3-2 ; Paternotte-Bros b. BrunelNonty, 3-0 ; Marrand-François b. Nourrissat-Boudrie.
gerot-Danrée, 3-0. 1/8. — Watel-Rougagnou b. Gauthier-Stosskopf, 3-0 ; j Célières-Chéreau b. M. Rimmer-Heurtefeux, 3-2 ; Imbert-Vernoy b. Brochet-Le Bozec. 3-1 ; Vios-
b
Redu-
reau-Le Manio. 3-1 ; Hermel-Delavoipierre b. Sokoloff-Olivier. 3-2 ; Devos-Demulder b. Fontonon-Ri-
chard, 3-2 ; Plisson-Cranier b Goëmon-Borreou, 3-2 ; Bordrez-Theron b. Goyt-Dugit. 3-0 ; DenierPérement b Szomick-Pcmcot, 3-2 ; Ridard-Rimmer b. Gérord-Guillou, 3-0 ; Pautou-Bocquillon b. HuguetCoussin. 3-1 ; Hoorelbecke-Guyomord b. Sauger-Huteou, 3-1 ; Courtois-Jouon b. Cuérin-Lebot, w.o. Bortoluzzi-Vendel b. De Tolédo-Salomé, 3-0 ; Bouchard-Brée b Chombéry-Bouche, 3-0. 1/16. — Hoguenauer-Dubouillé b Arnaud-Vibert. 3-0 : Amouretti-De Bernardi b Le Cam-Lucas, 3-0
Hamord-Morc b Bion-Ogeron, 3-1 ; Rièro-BeVgé b
b. Szomick 2-0; Loger t>. Schuh 2-1; Sorazin b Nourrissat
Loger b. Sorazin 2-1.
tois b. Uzan 2-0. Finale, — Courtois b.
Plisson
CONSOLATION
Cadets
1/16. — Soutereau b. Déchoud, 2-0; Meilhan b Dumoutier, 2-0 ; Tolosa b. Xreinen, 2-0 ; Dethoor b. Chatagnier, w.o. ; Guérin b. Pivert. 2-0 ; Minetti b. Ponthieu, w.o. ; Leiièvre b P. Lecoudé, 2-1 ; Ar
Mousset wo, ; Pastre b, Rimmer j
b. Labrunie, w.o. b b b
w.o.
1/8. — Arnaud b. Girord 2-0; Imbert b. Fagnon w.o ; Denrée b. Guillou w.o.; Célières j. b Soler
Guiliemant. 2-0 ; Coussin b. Le Chevallier
2-0 : Boutier b. Sueur, w.o. ; D'Auriac b. Helaine 2-1 ; Saul b. Liandier, 2-0 ; Messen b. Célières, 2-0 ; Lecaudé j.-M. b. Rouffignac, 2-1 ; Libourneau
2-1.
DAMES
1/16, — Arnaud b. Brun 2-1; Imbert b. Sorazin 2-0; Danrée b, Girordet 2-0; Célières j. b. Schmitt 2-0; Maisonneuve b. Le Bozec w.o.; Pétrissant b
1/32. — Dethoor b. Plécu, 2-0.
1/8. — Soutereau b. Meilhon. 2-0 ; Dethoor Toloso. 2-1 ; Guérin b. Minetti, 2-0 ; Leiièvre Arnaud. 2-0 ; Coussin b Boutier, 2-0 ; Saul D'Auriac, 2-0 ; Messen b. Lecaudé j.-M., 2-1
'
1/4. — Caverzaghi b. Berge 2-0; Plisson b. Homon 2-1 ; Courtois b. Tibi 2-1 ; Uzon b. Loger 2-0. 1/2 finales. — Plisson b. Coverzaghi w.o; Cour
Brun-Pétrissant, 3-0.
naud b
2-0.
1/8. — Coverzaghi b. David 2-0; Bergé b. Cose nave 2-0; Hamon b, Nicolle wo.; Plisson b. Laen gel 2-0; Courtois b. Bros 2-1; Uzan b. Baroni w.o. •
Brémond b. Soler-Margot, 3-0 ; Betling-Béolet b Arnaud-Dubois, 3-2 ; Tarlet-jousselin b. C. CélièresMoisonneuve, 3-0 ; Brun-Pétrissant b. Postre-Cirard. 3-0 ; Vannoni-Giraud b. Fréviile-Deioy, 3-2. 1/4. — Wotel-Rougagnou b j. Célières-Chéreau. 3-1 ; Vias-Brémond b. Imbert-Vernoy. 3-0 ; Tarletjousselin b. Betling-Béolet, 3-0 ; Vannoni-Giraud b
3-2 . M Auboin-Sarazin b Uzan-Tibi, 3-2 ; Cavcrzoghi-Morocchini b, Latuillière-jafflin, 3-1 ; NicolleBoroni b Louvel-Genevey, 3-1 ; Agopoff-Lorcade b Casenove-Meilhan. 3-0 ; Grosieon-Schuh
Messieurs
Sala b. Caverzaghi, 3-0 ; Girod b. Ridard b. Calais, 3-0 ; De Tolédo b. Demulder b. Laury, w.o. ; Richard b 3-2 ; Hiordot b. Brunei, 3-2 ; Pater-
notte b. Poutou, w.o. ; Salomé b. Larcade, w.q. ; Goëman b. Forgeron, 3-0 ; Maux b. Fagegaltié!
1/16 — Rougagnou-Lonskoy b. . Giraud-Goeman, 3-0 ; Pastre-Huguet b. Forgeron-Forgeron, 3-1 ; Flament-Devos b. Chéreau-Loger, 3-0 ; Imbert-Cham béry b. Hardy-Harent, 3-1 ; Béolet-Lhcmme b. Morie-jouan, 3-1 ; Fréville-Dubouillé b. Célières-Dovid j., 3-1 ; Deloy-Cofiéro b. Vannoni-Sokoloff, 3-1 Tarlet-Agopoff b. Soler-Marrand, 3-1 ; StosskoffMuzellec b. Dubois-Szamick, 3-1 : jeannotin-Larcade G. b. jourdan-Louvei, 3-0 ; Bremond-Demulder b.
w.o.
Double
Danel, 3-0.
Finale. — Tarlet b. Chéreau, 3-0.
w.o.; Bergerot b. Maisonneuve 2-0; Dubois b. Nour
rissat 2-1 ; Pétrissant b. Clorennec 2-0; Pastre b.
Heurtefeux w o.
•
1/4, — Arnaud b. Imbert 2-0; Danrée b. Célières j. 2-0; Bergerot b. Dubois 2-1; Pétrissant b. Pastre 2-0,
1/2 finales. — Arnaud b. Danrée 2-0; Bergerot b. Pétrissant 2-1.
Finale. — Arnaud b. Bergerot 2-0.
TENNIS DE
TABLE
(SE (^un
T SIMPLE
Haguenauer
A
IPA
îEaU
MESSIEURS
Haguenauer 3/0
Goëinan
Haguenauer 12, 13, 12
De Bernardi
De Bernardi 3/1
Sauger
Cafiéro
7, 14, ab.
Cafiéro
Cafiéro 3/0
Agopoff
Cafiéro
19, -23, 15, 13
Demulder
Roothooft 3/0
Roothooft
AMOURETTI
10, 7, 13
Lanskoy
Lanskoy 3/0
Hamard
Lanskoy __13, _io, 17, 20, 16
Sala
Dubonillé 3/2
Diibouillé
Amouretti
21), 9, 14
Dumon
Bordrez 3/1
Bordrez
Ainourciti
13. —18, 6, -19, 19
Devos
Amouretti 3/0
Amouretti
SIMPLE Rougagnou
1
Rougagnou j
Brémond
î
10,16,6
1
Fréville
1
Vannoni
i -IS,11), 18.-18,14)
M^atel
1 î
11,6,9
Watel
Tarlet ( 12.-16.15,15 18,18,15 1 / ( Fréville ) Watel ( 13. 9, 7
DOUBLE Lanskoy-Roothooft A ■
Tarlet'Jousselin
j î
Giraud
Va n noni-Giraud
Cafiéro-Sala
I
Dubonillé-Haguenauer J
VIAS
7, 14, 11
Gambier Leroux
Brémond-Vias Brémond-Yias
14,-18, 17,-18, 13
DOUBLE
MESSIEURS
—19, 18, 20, 17
-22,11,18,-16,12
Gambier
21, 16, —19, —14, 14 f Aubain
Granier
13, 21, 15
MIXTE
Roufiagnou-Lanskoy ) Delay-Caficro CAFIÉRO-
Delay-Cafiéro
)
Tarlet-.'\eopof
1 \S7ateI-Roolhoofl
AUBAIN
—11, 11, —19, 16, 9
- \
18,-16,17, 15 >
Watel-Roothooft
ROOTHOOFT
l lo .ir o.> 14 o
! 15,-16, 13,-21,15)
SIMPLE
JUNIORS (Garçons)
Aubain
-17,23.-14,19,11
Watel-Rougagnou
1 Caficro-Sala
SIMPLE
BREMOND-
WATEL
SALA
I
\
18, 17,-17,-18, 1."
]
Lanskoy-Roothooft 18, 18, —16, 15
Devos-Demulder
DAMES
TarIct-,Iousselin Tarlet
Delay
Tarlet
DOUBLE
DAMES
JUNIORS (Filles)
Arnaud
I
Arnaud
Barré
)
19, 18, 14
Sée
Alber
Alber
7, 11, 21
ALBER
18, 10, -17. 17
'(il
TENNIS
DE
TABLE
Pour les Tournois et les Championnats de la saison 1953 - 54
Raquettes et
Balles "3 couronnes" Agréées F.F.T.T. 1954
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DE
TABLF
Bilan
satisfaisant
de
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XXVIIIÎI! ASSEMBLÉE GÉNÉRALE Assemblée générale ordinaire du 3 mai 1954, à 9 h. 30 Salle Sainte-Croix-des-Pelletiers, à ROUEN Présidence de M, Jeon Prulière, Président de la F.F.T.T. Assisté de MM. jeon Belot, Secrétaire général ; Jean Funfshilling, Trésorier général.
Rapport moral
présenté par M. Jean BÉLOT, Secrétaire général Monsieur le Président, Mesdames,
Messieurs,
Une mode nouvelle est en train de se créer en France et à l'étranger sur la
question- des rapports. On voit générolement dons ceux-ci l'expression d'une rela tion annuelle d'événements. On y a à connaître des prises de position du pou voir exécutif ou de ses individualités et, enfin, des suggestions ou recommanda tions émanant des mêmes sources, concernant tous les problèmes intéressant une
Associations représentées par MM. : U S. Vassy (Mme Collais) ; j.A Chartres (Coubard) ; Toulouse C.M.S. (Trin qué); C.F M. Deville (Convert-Bourdicr); C N.A. Rouen (Plantrou); S.A. Verdun
iC. Lemaire); Colombes-Sports (Crisafulli) ; S.M. Coen (Villalon); A S. Beauvais M. (Comeou); O.S. Beauvals (Abbé Desmarets); P.P.C. Droitaumont (Th. Rudowski); C.S.C. Metz (J. Mercier); Ch. Nancy (Foirot); U.O.B.T.P Rouen (Alosonotti) ; A P. Aulnay •(Rimmer); E.S. Couëron (Coillaud); C.S. Union Paris (lollier); R.C. France (Agopoff) ; A.C.T.T. Chauny (Degouy); P.P. Troyes S (Chamoin) ; Raquette Lentigny (Petitbout) ; P.P.C. Tours (Bordin et Joyau) ; P.P.C. Le Canon (Vios); P.P.C. Arcachon (Giraud); Cavigol Nice (Amourefti); US. Mers (Suire);' C.A J Rouboix (BarH-;o!omess) ; A.S. Chert)0urg (Merrien);
vie fédérale ou de groupements.
Cette mode, qui consiste en faisant approuver tel ou tel rapport ert son ensemble, que toute recommandation ou tout souhait se transforme en lois ou règlemenis. nous ne la suivrons pas ! ' Nous avons, ou Conseil Fédéral, trop conscience de nos responsabilités d élus, trop conscience de mener à bien la tâche que vous nous ovez confiée pour ne pas reeter ces méthodes, mais, bien plus sportivement, bien plus honnêtement, nous nous présentons devant vous les moins pleines de décisions d'aménagements, d'initiatives ou même d'erreurs, et nous vous demandons ;
« Approuvez-vous notre action? Avez-vous la certitude que votre déléga tion a bien rempli la tâche que vous lui avez définie : faire jouer et faire pro gresser notre sport ? »
Duc); Raquette Envermeu (Sevestre); Kuhlmann S.P. Paris (Cartigny); A.S.
Nous le saurons tout à l'heure quond nos scrutateurs, ayant terminé leur tâche, livreront ou public la décision de nos dirigeants d'Associations. Souffrez qu'au préolable votre Secrétaire général vous expose quelques aspects de cette action dont nous tirons, quant à nous, un bilan positif, ne serait-ce que pcr le maintien d'une sûre progression d'effectifs, l'amélioration de nos organi. sations, celle de notre élite qui. en se renouvelant de gré... ou de force, vo
Bourse Paris (Hiordot); CAP. Nord Paris (Dcsmaret); Club Shell Paris (Du
apporter tont de joies et tant d'espérances dans beaucoup de Sociétés françaises
R.S. Lyon (Duclos et Latuillière) ; C.O P. Le Mans (Duchassaing); Electricité Dieppe (Moriceou); Rouen A.C (Bernard); A.S.Ch.E. Paris (Magnien);^ A.S.E. Lille (Demulder); Electricité Marseille (Martina); U.S.M.T. Paris (Célières); P.P.C.M. Rennes (Lecourt); Stcde Béthune (Devos); P.P.C. Jarnac (Thoret-le-
pont); C. Saint-EIoi Petit-Quevilly (Lecaudé); Boyard Argentan (Pescheur).
et dans la tête de nos jeunes.
JElcciians ci campagfnc éicctoralc •
m. BCdot, Secrétaire de la Fédération, donne
sonotti (Rouen), Célières (Paris), Duchossoing (Le Mans). Rudowski (Jorny) et M. Poumaroux (Aurillac). qui allait être élu par ses collègues Président du
Derrière nous, à ce moment précis, quelques dévoués procèdent ou dépouil lement des centaines de votes qui ont été exprimés par nos Associations. Il s'agit vous le savez, de désigner neuf personnes pour compléter votre Conseil. La présence de tel ou tel candidat, dont d'aucuns pensent ou qu'ils n'avaient plus leur place ou qu'ils ne l'y ont pos encore, la campagne électorale que d'autres ont effectuée, ne seront pas rappelées ici pour les faits ni jugées ici pour leur résultat, positif ou non. Je voudrais seulement, en tant que travailleur o part entière ou tennis de table français, regretter que le Conseil Fédéral ne soit
Bureau de vote.
pas considéré comme chose sérieuse !
lecture du
Frocés-Verbal de l'Assemblée
Générale du 27 Avril t953 qui est adopté. Il est procédé ensuite à la désignation des scrutateurs, qui sont : MM. Alo
Je voudrais dire ici quelle est ma surprise lorsque j'apprends que des candi dats se présentent et axent leur campagne sur la nécessité de savoir ce qui se passe oudit Conseil ! Je veux dire aussi combien de candidats, avoués ou non.
Allocution de M. Prulière
considèrent le Conseil Fédéral comme un moréchalat et le but suprême à attein Mesdames, Messieurs, Je remercierai en votre nom les organisateurs de Rouen qui. à la suite du brillont Championnat de Bordeaux, ont une tâche extrêmement délicate à remplir.
Nous avons pu jouer dans une salle magnifique, une salle sportive, puisque, dans d'outrés moments, cette salle est une piscine et c'est grâce aux ingénieurs de la ville de Rouen qu'en quelques jours cette piscine a été transformée En ce qui concerne l'Assemblée générale, une salle non seulement magnifique mois très historique nous a été réservée. Je remercierai le Président de la Ligue de Normandie, mon vieil omi Eugène Piantrcu, mon non moins vieil ami Lecoudé, qui était un des anciens membres dirigeants de la F.F.T.T, il y a quelque vingt ans. retiré volontairement et qui. maintenant, a repris du service à. l'occasion de ces Championnots de Franco. le remercie tous les nombreux collcboroteurs d'Eugène Plantrou, dont (pour
quclques-i.ns) j'ignore les noms, ne citant pas les autres, cor j'oi peur d'en oublier beaucoup ; Mois enfin je me souviens ou moins de M. Caron, qui tro-
voille quelque port — il n'est pas là mois on l'applaudira quand même — io sois qu'il a fait un travail extroordinairc. Je ne veux pas empiéter sur .les nrérogatives qui oppartierinent à mes ccmarodes qui vont vous faire tout à l'heure un rooport moral, un rapport financier, un rapport sportif Je vous dirai que, pour cotte saison, nous avons tout lieu, comme d'habitude, de nous féliciter de la morche de notre Fédération. Vous me direz donc que c'est
naturel puisque c'est nous qui la dirigeons ! Nous avons à nous féliciter de 1'^ marche de la Fédération, cor nous avons organisé dans plusieurs centres de pro vince des rencontres internaticnoles. Nous avons organisé des rencontres pour Juniors. Nous en avions besoin. Nous avons organisé dernièrement à Paris un''
dre dans une vie sportive.
Je voudrais dire combien j'aimerais que tous les candidats fassent comme de trop rares membres de Commissions, c'est-à-dire se mettent d'obord o In disoosition du sport fronçais pour apporter quelque chose. Apporter -quelque chose, voilà le grand problème... Bien sûr, un avis est toujours intéressant et bien venu.'mois croit-on que cela peut être considéré comme un travail effectif?
J'odmets que le premier travail des dirigeants fédéraux est_ effectué soit ou
sein des Ligues, soit ou sein des Commissions. Mois encore ? N'oublions pas qucnotro Fédération grandissante a besoin de nombreuses personnalités pour étrr guider et dirigée, et. si ces personnalités existent, je leur dis ; Ne restez pas ins^^ns bles à l'oopel de votre sport, aidez-le. aidez-le toujours et seulement dans la mesure du possible. N'entreprenez pas de tâches insurmontables. Votre action de président ou de secrétaire de « quelque chose > ne peut être divisée : ou il fout la garder et vous en contenter ou. mieux encore, il faut former des diri geants qui prendront votre picce quond vous serez plus haut. Ne pensez pas non plus qu'il vous faut au Conseil Fédéral être le représentant de quelque chose Croyez-le bien qu'il est surtout nécessaire d'être dirigeant national pour tout le monde, contre personne, et soyez assurés que c'est la règle d'or du Conseil actuel que ie connais depuis cinq années. Je rends pour celo hommage à notre «•ancien», le Président Corbillon. et à son successeur, mon voisin J Prulière, de n'cvoir p-^rmis que des débats sens restriction et une action vraiment commune Nous sommes tous convaincus de connaître assez de vos dirigeants et con-
vaincyc que vous en connaissez assez des nôtres pour que nous puissions vous
dire, et vous l'admettrez, que notre administration correspond à vos désirs.
iVos effectifs ei teurs possibilités
grande monifestation où se trouvait réunie l'élite des Pongistes mondiaux, puisque
les Japonais, champions du monde par équipes, y sont venus nous démontrer qu" nous étions encore des élèves dons le tennis de table d'attaque
Et je veux
croire que nous verrons une éclosion nouvelle de joueurs d'ici quelques années si chacun veut bien se rendre comote que notre sport est un sport de vitesse.
J'en Durais terminé en ce qui me concerne et je vais demander à mon camarode Bélot de bien vouloir venir vous faire le rapport moral. Mais avant toute autre chose, je dois vous redire que, pour orgcnlser toutes
Où en est le tennis de toble que la Fédération a pour mission de gérer ou sein de la France et de l'Union Française? ^ .
Foiscs parler les chiffres, qui nous feront arriver à des constotations assez peu brillantes, qui elles-mêmes nous traceront notre devoir : —r- La France et l'Union Françoise comptent 100 millions d'habitants. — Accordons-nous qu'une personne sur dix soit que le ping-pong existe. Ci : 10 miil'ons.
ces magnifiques réal'sat'ons, Il fout des disponibilités dons un budget qui s'avère
— Supposons que, sur ce chiffre, une sur dix sache que ce ping-pong possède
de plus en plus lourd. Je ne peux pos me permettre de remercier le Gouverne
des compétitions. Ci : 1 million de connaisseurs — Pensons (espérons-le) que. sur cette quontité. une sur dix sait que le ping-
ment de l'aide qu'il nous opporte, cor. depuis plusieurs années, il semble nous fbondonner, et nous sommes obligés de faire par nous-mêmes ce que d'autres font avec une aide officielle.
C'est pourquoi nous vous demanderons l'onnée prochaine une petite cugmentation sur le tarif de vos licences de façon à pouvoir continuer l'œuvre entre
prise et colmater les brèches de notre trésorerie, qui sont dues o la défaillance de l'Administration française.
pong est géré par des Associations et une Fédération. Ci
lOCCCK) Inté
ressés.
— Est-il interdit de croire qu'il n'est pds possible de foire mieux, que sur ces 100.(XX) personnes connaissant notre tennis de table comme un sport crgonisé, une sur cinq y soit seulement inscrite?
Accordez-moi qu'il ne s'agit pas là de jongloge de chiffres, mois de réalités,
TENNIS
DE
TABLE
car si vous avez bren voulu admettre, au fur et à mesure de cet exposé, la grande indigence de ces proportions, vous avez senti qu'ils étaient facilement
précédents, mais pourtant chiffre anormalement bas quond on songe qu'il y a
améliorables.
200 francs par an ! Problème de prospection, problème de dirigeants ? Cela est sûrement vrai mais II vaut pour tout.
j'aurais aimé vous le confirmer par comparaison avec les chiffres de 1953.
Malheureusement, alors que chacun s'accorde à ressentir une progression tangible
plus de 25.000 pratiquants officiels et onimateurs et que l'abonnement coûte
de notre sport, nos effectifs de Ja saison ne dépasseront guère les précédents.
pr€>pagande
— 1.444 Clubs au 30-6-53, 1.441 aujourd'hui, c'est-à-dire une toute légère amé^
liorotion à prévoir, qui va se manifester d'ici deux mois. Et pourtant il y a
eu 219 nouveaux Clubs... Et pourtont 11 Ligues sur 32 ont vu s'augmenter leur total...
— 21.699 licenciés au 30-6-53, 22.000 aujourd'hui, c'est-à-dire, là oussi, une
légère augmentation avec progression dans 13 de nos Ligues, et une bonnenote aux Ligues d'Alsace. d'Atlantique, Flandres, Maroc et Touraine, qui ont « pris p plus de 100 nouveaux.
Y aurait-il des régions en p(<*te de vitesse? Je ne le crois pas, mois il y a probablement saturation chez certains de nos animateurs, qui se contentent peutêtre d'expédier les affoires courantes ?
Vers les 25.000 ? Mon vœu reste valable, et naturellement un jour j'espère que je finirai par le voir comblé. Mais quand? Mais comment? Pour cela je vous propose de changer de tactique :
• Parlons petit. Evitons les grands mots, les grands projets. A chacun je dis : Ne vous occupez pas du voisin î Si vous avez deux ou trois ou quatre joueurs qui ne sont pos encore licenciés, faites-les inscrire. Vous aurez fait de l'utile,
et je le crois, dans Te domaine du possible, mais ainsi vous 'aurez participé à
Problème de dirigeants, disois-je ? j'avois fondé des espérances sérieuses sur la créotion et la réalisation du Premier Tournoi des Supporters. Ce tournoi qui devait aider la représentation française aux Chompionnots du Monde, et faire plaisir gratuitement (à 80 francs près I) à de nombreux membres de nos associations.
Cette fois encore, nouvelle déception. 42 clubs se sont occupés du tournoi. 70 tableaux ont été joués. 3 lauréats ont été désignés, qui ont profité par faitement des avantages annoncés. Et pourtant que n'aurions-nous pu faire oyec cette initiative si tout le monde avoit voulu s'en préoccuper (les moyens d'information n'ayant pas été mesurés) et si par exemple 1.000 clubs sur nos 1.440 ovaient organisé un tableau? 40 lauréats auraient été déplacés. Une délégation française de plus de vingt joueurs et joueuses aurait pu être envoyée à Londres au lieu de la limiter à cinq joueurs, trois joueuses et un capitaine comme nous avons dû le foire.
Est-il interdit de penser que nous pouvons espérer une nette oméliorotion pour 1951-55 ? Acceptons-en l'augure. Dons quelques jours et pour la seconde fois depuis notre création (souve
l'augmentation de notre total ce qui fera vivement plusieurs milliers, II existe des tobles partout. II y a partout des groupes de joueurs. Aidez-les, visitez-les. Ils vous suivront, progresseront et, par leur présence, vous économi
nons-nous de lo croisade de 1936 avec Borna, Bellok et autres) une grande
seront des frais de déplacement. Sur cette recommandation, j'ochèverai l'exa
ovec le concours de grands champions étrangers toujours attirés en France par
men de ce problème en mettant à l'honneur les cinq premières Associations de la F.F.T.T. pour 1953-54, par le nombre des licenciés. Je nomme : le CO.P. du Mans, ta Balmat de Paris, le Cavigal de Nice, le C.S. Toulon et l'U S. Métro de Paris.
atiec. Mes a/fintiaircs Parce que le tennis de table prend une plus grande ploce dans l'activité des
Fédérations multi-sports qui, de trois '(F.S.F., F.S.G.T, et U.F.O L.E.P,), sont devenues quatre à la suite d'un nouveau protocole signé avec l'U S. Travoilliste, et parce que, de notre côté, nos calendriers deviennent en « peau de chogrin », par suite de l'augmentation de nos organisations; nous allons aller vers de grandes difficultés en ce qui concerne la participation de nombreux de nos licen ciés à des compétitions de plusieurs fédérations.
Nous oyons, en plusieurs échos, publiés dans < Tennis de Table », donné quelques opinions sur lo question, mais nous croyons que ce problème impor tant mérite qu'on s'y arrête un peu plus en se souvenant avont tout que chaque année ne comporte que 52 dimanches !
Si lo Commission Sportive fédérole a pu, jusqu'ici, éviter que les rares comoétitions purement nationales comcidént avec celles nationoles d'autres Fédérofions, il est parfaitement roisoiSnoble de penser que chacune des
Fédérations Affinitoires n'ayant que des zones d'influence ossez restreintes, ne 'peut prétendre que notre calendrier national et nos colendricrs régionaux puissent être bloqués sur tout le territoire même avec ou sous prétexte de protocoles d'accord.
. Nos amis d^ dites Fédérations m'excuseront de cette brutalité, verbale seulement, ovancée pour foire comprendre que la position de lo F F.T T. est assez délicote. Il faut, o la Fédération Française et à ses organismes, faire iouer.de plus en plus d'équipes et chacun sait que les dimanches ne suffisent déjà plus.
Plusieurs de nos Ligues ont dû refuser des oménogements à leurs calen
driers parce que quelques Joueurs ou clubs de leur région voulaient oussi pra tiquer dans une outre Fédération. Et surtout pour une autre raison ! Par
exemole. si l'on admet très bien que la Bourboki de Pau ou l'Amicale Laïque de Grenoble, clubs d'origine F S.F. et U.FO.L.E.P. ensuite affiliés chez nous. nous demandent de pouvoir continuer à oarticiper dans deux Fédérations, est-il
roisonnable d'accorder la même fcr/eur à des clubs, de toujours F.F.T.T., pris subitement du désir de glaner, en des activités supplémentaires, des titres plus accessibles?... On voit por ce simple exposé que nos relations avec les autres Fédérations méritent d'être poursuivies mais oménagées avec tact et réalisme en attendant que le Comité National des Sports, en fonction de ses attributions, procède aux consultations qui s'imposent. D'ici là. recommondons o tous nos pratiquants et dirigeants de continuer à observer la règle de
rigueur chez nous, à savoir que notre action est purement soortive en faveur de tous et en faveur du tennis de table que nous voulons développer, souhai tant que nos collègues régionaux des autres groupements odoptent la même
position compréhensive, ce qui aplonirait déjà bien des discussion| aux échelons régionaux.
iVos pubtications
Grande a été la surprise de quelques dirigeants de nos associations de ne recevoir en début de soison qu'un annuaire de format réduit. Nous avons
su avec plaisir que beaucoup ^ en avoient compris le pourquoi et nous disons oux autres que notre Conseil n'avoit guère d'autres solutions raisonnables
quand, se trouvant devant des difficultés financières accrues, il s'aperçut qu® l'impression de l'annuoire 1953 ne comportoit qu'une trentoine de lignes de modificotions ou précédent ! Ce fut donc lo porution d'un annuoire « en pilule », opérotion qui, je le crois, sera renouvelée dons l'avenir si les circonstonces le permettent, mois, en tous cas, pas la saison prochoine où une édition complète sera réalisée.
Un nouvel ouvroge vient dë voir le jour ô l'occasion de ces 27e Nationaux.
Il s'agit d'un essai en vue de publier un manuel qui doit rendre de grands ser vices aux organisateurs et oux officiels. Saluons cette parution provisoire en attendant que définitivement mis ou point, ce manuel soit édité et obtienne le
tournée de propagande va parcourir la France pour une centaine de réunions quelques semaines de vacances. Nous donnerons ainsi l'occasion à tous nos
animateurs, o des conditions... de vacances, d'organiser, de propoger de foire jouer. Espérons que tous saisiront cette chance de se faire valoir et d'imposer encore plus notre tennis de table. Notre tennis de toble qui si j'en juge par la presse notionale vient de foire un pas sérieux en avant. Les Championnats de Frarice Internationaux, les Championnats du Monde et la grande semaine de Paris oprès Londres, en furent les raisons. J'ajouterais que ma satisfaction vient peut-être encore plus des chroniques que des comptes rendus, car on sent io progression d'une activité non pas tant aux reportages (encore que pour la première fois < l'Equipe > que nous remercions vivement, avait délégué un envoyé spécial aux Chompionnots du Monde à Londres) qu'aux échos, entre filets, chroniquettes qui les agrémentent. Et que paraissent secondaires les termes employés, les critiques émises puisque parodiant certoins acteurs célèbres
nous devons dire : « Qu'ils en disent n'importe quoi, mois qu'ils en parlent. ^ JP'rancc présente partatit « II apparaît nécessaire dans ce rapport sur les méthodes de direction
utilisées par vos élus, de traiter de ce problème de la représentation française, non pas tant sur le plan sportif pur que sur le pion de cette nécessité.
« A certaines opinions émises tendant à démontrer qu'il n'est pas opportun de diminuer les maigres ressources de la Fédération en affectant des sommes —
qui forment finolement un total importent — aux déplacements de joueurs à l'étranger, étant sous-entendu, je précise, qu'il s'agit de quelques joueurs — souvent les mêmes — qui sillonnent le monde dans tous les azimuts, nous disons : « Faites-nous l'omitié de croire que, pas plus pour cette raison que d'outrés, nous n'engageons de dépenses somptuaires. Nous vous disons aussi : gardezvous de croire que d'être représentants de la F.F.T..T. à l'étranger est une siné cure ! Nos Internationaux vous le diront et vous démontreront la différence de traitement qui ne peut pas permettre qu'on les assimile aux internotionaux d'autres sports, dont le presse vante à longueur de colonnes les démêlés et les sotisfoctions
1
<3: Enfin, nous vous disons que la représentation française à l'étranger est nécessaire et j'aiouterais même que cette question fait partie de la mission qui nous est confiée. > C'est dons ces termes que je m'exprimais dons un précédent rapport rela tivement à la nécessité de la présence de la France à toutes les manifestations de l'étranger, même si cela n'intéresse pas nos pouvoirs publics (leur silence devant nos demandes d'aide en est une preuve) alors pourtant que nous savons
combien lo présence française est accueillie avec Joie dans tous les pays du monde ou que d'être international de tennis de table vaut n'importe quelle sélection en un autre sport. On nous o dit que la plupart des grands joueurs étaient des fovorisés sous cet angle I On nous a dit que les versements foîts par les petits ioucurs et les
sociétés servoient à faire bénéficier certoins privilégiés de magnifiques sorties ! On a posé par là le problème suivent : « Devons-nous oui ou non. être présent sur le pion international ? > Sans hésitation, nous répondrons' oui sons que cela veuille du tout dire que nous allons dépenser des centoines de milliers de francs pour des vedettes. Cela veut dire qu'en toute catégorie, individueliement ou par équipes, nous devons désigner des représentants pour aller se foire valoir, voir et aussi apprendre à l'étranger. Et cela n'est autre que ce que nous faisons ! En limitant votre concours (par exemple par une carence dons l'orgonisotion du Tournoi des Supporters sous le vain prétexte que tel ou tel joueur pré-sélectionné ne plaît pas), vous mettez tout le monde en difficulté. Et surtout la classe montante, celle vers qui le Comité de Sélection se penche de plus en plus sérieusement, celle qui a déjà permis de foire affirmer sur le pion international les C, Wotel, Rougagnou, Sala et Genton ; celle qui demain permettre d'en faire de même avec les Aubain, Cambier, Granier ou Alber. Mes collègues vous parleront tout à l'heure de ce que fut notre année sportive, mois me pioçont sur le pion des possibilités, je vous redis : « Ne nous ménagez pas votre aide : sachez que lo représentation française est une partie de notre vie fédérale comme l'annuoire. l'enregistrement des licences, les Championnats ou les élections. Vous curez en répondent à nos appels, bien travaillé pour notre sport. »
Primauté au spart
succès au'il mérite, tant il est attendu.
« TENNIS DE TABLE » ooursuit sa voleureuse existence. Lô encore les diffi
cultés finoncières générales de la Fédération nous ont obligés à toujours limiter
lo parution à seize pages, ^et à limiter ou moximum la réalisation des clichés pouvant à chaque numéro égaver notre revue. Celle-ci qui o son budget propre n'opporte pas encore de satisfactions tellês aue l'on puisse lui donner le vrai caractère qu'elle mérite, c'est-à-dire d'informations, d'éducation, de confrontotîon d'idées etc . Pourtant on sent une petite progression puisque nous avons otteint plus de «"inq cents abonnés pour la soison ! Chiffre qui doit selon cer tains de mes collègues, donner satisfaction puisque nettement en hausse sur les
J'en arrive oux phoses ultimes de mon rapport. Sons du tout empiéter sur ce que doivent dire mes collègues, je dois attirer votre attention sur le fait que si votre administration centrale, celle de vos Ligues, fait de son mieux
dons les meilleures intentions, nous sommes quand même une Fédération spor tive et que nOs buts sont surtout : de faire iouer, d'apprendre à jouer, de le faire sovolr ô la masse, de donner à celle-ci la possibilité de venir à nous.
Il y a beaucoup à foire pour cela et tout d'abord solliciter de nos quelques milliers d'animateurs plus de vitalité, plus d'attention à tous les problèmes du tennis de îoble.
tENNlS DE TABl^
Ont obtenu en outre :
ÉLECTIONS
LE BUREAU
MM.
Lollier
Suffrages exprimés : 663.
245
Rimmer
169
Degouy
, 168
Baieux
Bulletins nuls : 7.
125
Duolos Sont élus MM ;
579
Coubard
Agopofî
553
Torck
Ceccaldi
551
Funlschilling
532 ■
Plantrou
530
Mercier J Millot
527 488
Domingo
485
Lemaire
281
*.
LA FÉDÉRATION POUR 1954-55
125
Gorazzini
Bélot
DE
117 115
Président : M. Jean Prulière.
89
Vice-Présidents : MM. Plantrou Eugène, APPROBATION
DE
LA SITUATION
Ceccaldi Pierre,
FINtANCIERE DE 1953
Secrétaire général
Suffrages exprimés
663
Bulletins nuls
123
Majorité absolue
271
(M, Copbillon Mar-
cel.
Trésorier général ; M. Funfschilling Jean. Membres : MM. Domingo Jean-René, Mer
En faveur de l'apprébation : 496 voix
cier André, Mercier Jean.
contre 43
il n'est pas possible que lo plupart d'entre eux oyont versé une cotisation administrative, attendant d'une vingtaine de personnes des miracles ! Ce serait
trop beau et comme celà n'existe pas ailleurs en des spécialités beaucoup plus populaires, je vous remémore l'adage toujours volable : « Aide-toi le ciel
Aux Championnats du Monde, à Londres, nous avons tous remarqué une évolution du jeu. je ne parle pas des Japonais parce que beaucoup considèrent que leur force, leur vitalité actuelle est due en partie à l'emploi de caout chouc mousse. On vous en reporlera bientôt.
je veux parler en général, de tous les joueurs qui composaient les équipes
t'aidero ! »
Or la trop grande passivité de nos dirigeants ne permet pas " beaucoup ! Savez-vous por exemple que malgré des appels dans notre journal, aucune, absolu ment aucune réponse, ne nous est parvenue concernant la préparation de stages, leur organisation et la participation de vos jeunes joueurs I Perroettez-moi de le regretter, que ce soit pour cela ou même pour d'au
tres problèmes, en vous demandant de vouloir bien excuser le ton parfois pessi miste, parfois emprunt de reproches qui o présidé à l'exposé de ce rapport moral, mais je voudrais tant vous faire partoger le conviction que nous pour rions, avec un tout petit rien d'enthousiasme général, faire tant de choses magnifiques.
Rapport financier présenté par M. FUNSCHILLING, Trésorier général je n'en aurais d'oilleurs pos pour longtemps «^ur le sujet, puisque, tous, vous avez reçu le bilan de l'année 1953 qui s'établit du l*®*" janvier au 31
décembre de l'onnée. Vous^ en avez vu les chiffres ! Vous avez pu les comparer avec ceux des années précédentes ! Vous avez pu en voir les résultats dans l'état récapitulatif et dons le bilan, et vous tolérerez que je ne relise pas tous ces chiffres qui sont un peu barbares comme il se doit. |g me tiens donc à votre disposition pour répondre aux questions que vous avez sons doute à poser :
Question posée par M. Suite : « Comment se foit-il que l'exercice parte janvier pour s'arrêter au 31 décembre? Réponse : Nous voudrions arrêter l'exercice à fin mors, par exemple, de façon à pouvoir vous présenter une situation véritablement à jour. En réalité;
du
celle-ci est en retard de quotre mois ! La loi nous oblige à foire un bilan eî un compte de profits et pertes du l*-' janvier de l'année jusqu'au 31 décembre, et nous n'y pouvons rien. N'oubliez pas toutefois que nous établissons un compte de profits et pertes mensuel ce qui nous donne une situation exacte à l'heure présente, sur les mêmes boses que celles-ci, bien entendu. Après avoir entendu l'approbation de la situation financière présentée par les Commissoires aux Comptes, MM. Crisafulli et Cauffenic, l'Assemblée leur en donne quitus et adopte le bilon de l'année 1953.
Rapport de M. Domingo : C.N. Sportive Mes Chers Camarades,
vues en Angleterre.
Ces joueurs sont tous très entraînés physiquement, ils deviennent de plus en plus redoutables et rwus avons plus de mol à les battre. Les divers pays ont pris conscience que le ping-pong était un sport, lis ont entraîné leurs joueurs physiquement, de façon à attaquer pendant un très long temps sons s'effondrer* Ceux qui emploient lo méthode qui consiste à défen dre. n'ont plus lo même facilité et ils ne peuvent pas spéculer sur un effon drement de leur odversaire.
II fout que nous fessions un effort dans notre Fédération pour amener nos jeunes joueurs à se préparer physiquement, c'est-à-dire avoir une bonne condition générale. M est certain qu'octuellement encore (je Toi remarqué hier comme vous l'avez fait avec moi) beaucoup de jeunes d'abord ne croient pas à la possi bilité de gagner quand ils sont face à un joueur considéré comme plus fort qu'eux. Ils jouent gentiment mais avec pas assez de cran ! Ils ont l'impression de ne pas pouvoir gogner ! lis ne sont pas assez méchants et je crois que leur condition physique est réellement insuffisante car ils ne peuvent pas aller jusqu'au bout de leurs intentions.
je vous demande de faire un effort, car nous, nous ferons quelque chose, (èt ce n'est pas le slogon habituel que j'emploie) pour soutenir les jeunes. Nous voulons leur montrer l'importance d'une préparation physique et je pense qu'à partir du moment où les joueurs l'ont compris, qu'ils se sont préparés pour faire bénéficier leur jeu d'un apport musculaire et aussi d'une préparation avant le motch, nous aurons la possibilité de puiser parmi les jeunes et nous le ferons dès l'apparition du moindre talent.
Rapport de M. Jean Mercier : C.N. des Règlements et C.N. Corporative Mesdames, Messieurs,
Le rapport que je suis chargé de vous présenter au nom de la Commis sion des Statuts et Règlements et de la Commission Nationale Corporative, por tera sur les points suivants qui sont au fond toujours les mêmes : les trans
ferts, les règlements, les sanctions disciplinaires et enfin, quelques mots pour terminer, de l'activité nationale corporative.
En ce qui concerne tout d'abord les transferts, je vous disais l'on dernier que la réglementation que nous avions mise au point, nous, et vous, donnait satisfaction. Elle a eu des difficultés l'année première cor nous étions arrivés en retord dans cette mise ou point, mais je crois que mointenant nous allons petit à petit vers une stabilisation. Non pas des clubs, mais des joueurs ! Je crois que c'est le but recherché qui est atteint car en causant avec mes amis
Avant de commencer le compte rendu, je veux d'obord remercier tous les
dirigeants, on s'aperçoit que les dirigeants n'aiment guère voir leurs joueurs
dirigeants de province qui nous ont envoyé leurs appréciations et leurs sugges
les quitter après qu'ils les ont formés. Nous cherchons donc à ce que notre
tions sur les problèmes d'ordre général, ce qui nous a efficacement oidé dons
sport permette aux dirigeants de conserver les gens qu'ils ont éduqués et éviter que certains s'en aillent sur un coup de tête, qu'ils regrettent souvent après.
notre travail.
je veux ajouter : soyez plus nombreux encore à le foire, en ne traitant bien entendu que des questions d'ordre général. Nous y gagnerons en vitalité, Nous pouvons, cette année, perler du Championnat de France par équipes, sans foire une sorte de rapport policier ! Presque tous les participants l'ont disputé dons un excellent esprit sportif. Néanmoins, certains ont déclaré forfait, causant ainsi un réel préjudice d'abord aux clubs visités et ensuite, à tous leurs adversaires.
Ce forfait, ils l'ont souvent provoqué sachant qu'il n'ourcit aucune in fluence sur leur classement. Ils ont pensé faire une économie. Ils ont eu tort car ce n'est pas une solution. Certes nous connaissons bien les difficultés de tous les clubs au point de vue financier surtout, mais leurs dirigeants les connaissent aussi et quand ils s'engagent en Chompionnot, ils prennent la resposabilité d'amener leur équipe ou terme du Championnat.
Nous préférerions ne pas avoir à prendre de mesures, ni o aménager nos règlements pour empêcher cela et nous espérons que l'esprit sportif sera suffi sant dans l'avenir pour y remédier. Je vois vous foire grâce de la lecture du
palmarès de cette année. Au point de vue international, il y a eu du bon et aussi... du bien mauvais ! Malgré tout, nous conservons une excellente place internotionole parce que nous n'avons pos été malchanceux et ensuite parce que notre équipe féminine qui a été renouvelée, s'est brillamment comportée. Et suivant une expression de Jean Belot : < Elle a pris une place parmi les grandes ».
M'iU..'
1 fI
.!■ Si
,
Nous y arrivons et ce sera ma première conclusion.
En ce qui concerne maintenant les règlements, les dirigeants de Ligues ont reçu ou début de l'année, tout ce qui concernait rorgcnisation d'une Ligue. .Nous continuons lentement dons la même voie, cor ces choses nécessitent beau
coup de mises au point, mais molntenont nous arriverons à vous publier, je pense, pour lo prochaine saison, un règlement général bien ou point. Au point de vue disciplinaire nous avons une octivité assez restreinte. Heu reusement du reste ! Toutefois, certains incidents dons différentes Ligues ont
prouvé que les dirigeants régionaux, forts du reste dons les cas qui nous ont été soumis, de leur bon droit, se sont un peu affranchis de la forme et n'ont
pas respecté ce que nous pourrions appeler en termes juridiques les droits de la défense, ils ont par exemple condamné certaines personnes sans les ovoir convoquées. Résultat : les punis ont fait oppel au Conseil Fédérol qui n'a pu que faire une chose : casser la décision !
Il est évident que cela vexe un peu les gens. Tout le monde discute. Fina lement les choses s'arrangent, les sanctions se maintiennent quand même en les reprenant dans le bon sens, mais je crois que je ne pourrais mieux faire que de conseiller, avant d'appliquer des règlements, et surtout des sanctions, de les relire.'
Cela évitera beaucoup de papier et beoucoup de discussions. En ce qui concerne le sport corporatif, je peux dire que c'est une activité qui n'a pas d'histoires. Petit à petit nous nous améliorons et nous avons le
plaisir de voir, cette ar>née, en Coupe Nationale un nouveau que beoucoup ne connaissent pas, c'est < Motobloc » de Bordeaux, équipe qui o battu le tenont
uJ rit
A-jeàai
■11
la
TENNIS DE
de la Coupe Esso-Sports. Nous avons le grand plaisir de voir dans cette coupe
TABLE
Pernod de Paris et l'A.S.P.T.T. Poris ; petit à petit, les Parisiens qui, au début,
physique, c'est de faire du saut en longueur, c'est de faire du saut à la corde, c'est de se lever tôt le motin de foçon à ne pas être endormi quond on ren contre le.Brésil... par exemple ! Je crois que je me laisse emporter quand je parle
avaient presque un monopole, se voient rattropés au point de vue corporatif,
de tennis de table, et devant vous parler de l'importonce de la Fédération
nationale des demi-finales : « Motrbloc de Bordeaux >, rElectrlcité de Lille,
par l'élite de province, ne pouvant faire autrement que d'imiter Paris
Internationale, je crois, que je suis parti dons une voie de goroge. Revenons o
ROUEN
nos moutons.
Avec les Flandres en tête, nous voyons rrKiintenant l'Alsace, lo. Guyenne, et
La Fédération Internationale, je vous disais tout à l'heure, est beoucoup
beaucoup d'autres Ligues que l'oublie, venir à cette branche de notre action. Pour terminer et devant la cohorte nombreuse de dirigeants que l'on a pu
, sportives. Il y a beoucoup de questions administratives qui y sont posées et
rencontrer ici à Rouen, je redis mes paroles de l'an dernier : « Formez des diri geants, car c'est cela qui nous manque le plus pour asseoir notre sport. »
plus près de vous que vous ne semblez le croire en dehors de ces questions
'qu'on ne résout pas comme cela le iour du Congrès International. Ces ques tions sont étudiées lentement, longuement, pendant toute une année pendant
l'inter-soison, par des Commissions. Il est donc indispensable que nous soyons représentés dans ces Commissions.
Rapport de M. Agopoff : C N. des Arbitres Je ne suis pas venu avec un petit papier dans la poche, mais je suis très content de pouvoir vous dire quelques mots.
Il y a quelques années, nous étions d'une grande pauvreté sur la question des orbitres et des juges-arbitres. Mois nous avons remarqué, depuis quelque temps, que beaucoup de dirigeants, et même de joueurs, venaient de plus en plus nous aider dons ce travail de l'arbitrage. Seulement la difficulté es'
qu'en tant qu'arbitres, il est facile d'apprendre puisqu'il existe des règles de jeu et un code de l'arbitrage, mais pour faire des juges-arbitres, nous n'avons absolument rien. Ou plutôt nous n'avions rien ! Nous avons entrepris, cette
année, avec deux techniciens : M. CortDillon qui est un ancien de la Fédérotion Internationale et Bélot, qui en est un nouveau, de préparer un manuel (que nous
pensons éditer d'ici peu) à l'usage des organisateurs. Attuellement nous l'avons ronéotypé. Nous pensons le remettre à toutes les Ligues à plusieurs exem plaires et nous souhaitons que tout le monde le lise attentivement et nous fesse des observations.
Faites-nous des remarques et nous corrigerons afin d'arriver à éditer quel
que chose qui tiendra debout. Lorsque ce texte paraîtra, nous allons y ajouter un questionnaire pour l'exa men de juge-arbitre et un pour l'arbitre. Avec ces questionnaires et leurs répon ses. il sera focile de faire subir des examens et aux candidats facile de se pré parer.
Et au sujet de Rouen, si vous le permettez, je signolerais quand même une petite chose : j'ai suivi, hier, les candidats-arbitres qui ont opéré dans la salle,
et je n'ai vu aucun incident technique. Il n'y a eu que des incidents de fait, ce qui est une question à part.
Au dé'put. il y a vingt ans, quand j'ai commencé à assister aux travaux mondiaux, il n'y avoit de Français nulle port, mais petit à petit, nous nous sommes (excusez le mot : il est exact) nous nous y sommes imposés Maintenant, il est certain que dans les réunions de la Fédération
Inter
nationale nous avons l'oreille d'une gronde quantité d'autres nations. On nous écoute, on nous regarde. Quand la Fédération Françoise parle, elle est écoutée avec soin; nos propositions sont toujours fort écoutées et bien discutées. Nous pourrions, si nous le voulions, contrebaloncer l'importance qu'ont depuis longtemps d'autres fédérations étrangères.
Je ne viens pas. Ici, prêcher lo bagorre contre tel ou tel poys, mois "il v o des pays qui cherchent à imposer leur façon de penser, à tirer de la Fédé ration Internationale des avantages, contrairement à ce qui se passe à l'inté rieur de la Fédérotion où tous les membres du Conseil n'ont pos à défendre leur région mais l'intérêt du ping-pong français. Chaque pays vient défendre ses intérêts, ses désirs, ses aptitudes, et c'est contre cela qu'il nous faut lutter et lo bogorre est sérieuse, je vous prie de le croire. Elle n'a 'pas lieu le jour de l'Assemblée générale et il faut qu'aux différentes réunions du Conseil fran çais, on en discute. C'est le souhait que je fais maintenant : que plus souvent encore on en discute régulièrement ! D'ailleurs comme vous ovez pu le lire nous avons, cette année, de grands succès — je ne vous parle pos sur des tobles — autour de la table verte où l'on se réunit puisque dons les Commis s'ons importontes, nos représentants ont une place.
M. Bélot. M. Prulière, M. Domingo. M. Ceccaldi, soit une grande quontlté de vos dirigeants, font partie maintenant des Commissions de travail de la Fédé ration
Internationole.
Je me permets de leur adresser mes félicitations les plus sincères en k' engageant vivement à bien étudier les pfoblèmes qui leur seront posés parce qu'^ de leur opinion sortira une vérité qui s'imposera l'on prochain à vous tous pour une autre année.
La France, le monde et le progrès par M. Marcel CORBILLDN M. Prulière :
de constituer les équipes dons les Championnats Régionaux. A Paris les éqir
Je voudrais maintenant vous dire qu'au-dessus de la Fédérotion Françoise,
pes sont constituées par trois joueurs, dans d'autres régions, par quatre joueurs, dans d'autres régions, c'est peut-être autrement, je voudrais savoir si \r Fédération a, dans ce domoine, une politique, si elle impose des vues ou si au rontroire. elle laisse à chaque Ligue la possibilité de s'organiser, compte tenu
il existe une Fédérotion Internotionale dont nous sommes un des éléments, et
j'ai demandé à notre ami M, Marcel Corbillon, celui qui a fait que notre Fédération existe, celui qui a fait que notre Fédération, administrativement et sportivement compte parmi les premières, de vous entretenir de la situation de lo Fédération Françoise vis-à-vis de la Fédération Internationole. La parole est o M. Corbillon.
des circonstances et des conditions du lieu ou du moment.
— M. Domingo : La Fédération conseille aux Ligues d'harmoniser leur for
mule de Championnat Régional avec le Championnat de France par équipes File le conseille simplement. Le vœu de la Commission Sportive c'est de tendre à ce qu'il y ait une luniformité ovec le Championnot de France par équipes
Mesdames, Messieurs. et mes Chers Camorodes,
Pour le moment ce n'est qu'un vœu et un conseil.
Tout à l'heure l'ami Bélot a insisté sur l'importonce qu'il y a à être repré senté en dehors de la France. Cela est indiscutable et je n'oi pos besoin d'in
sister. Je suppose que vous ovez tous compris. Mois il est certain d'autre part, que dans votre région, dans votre Comité, vous ne pensez pas à la liaison intime qu'il y a entre vous et l'organisme mondial que représene la Fédéra tion
Questions diverses — Question posée par M. Lecoudé do Pctit-Quevilly : On constate qu'il y a une certaine diversité parmi les Ligues sur lo façon
Internationole
C'est un peu lointain, bien entendu Les problèmes qui s'agitent ou Congrès annuel, que ce soit à "v'ienne, Stockholm, Londres, Bombay ou ailleurs ne vous semblent pas des problèmes immédiats quotidiens pour vous. C'est là une profonde erreur.
Vos règles, les règles que vous suivez, que vous êtes astreints à suivre,
dépendent des renions de ce Congrès International. C'est là, tous les ans. que des modifications sont proposées aux règles du jeu et aux règlements admi
nistratifs. Ces règles sont proposées, elles sont^ discutées très souvent, on les rejette parce que comme vous le disait le Président Prulière tout à l'heure on n'aime pais trop changer. Il est évidemment brutal de changer tout d'un coup
une règle de jeu On a pris la précaution à la Fédération, .quand on modifie une règle de n'appliquer cette modification qu'un on après le vote, de foçon que le temps soit donné dans les Fédérations Nationales et chez^ vcus-mêm-s d'étudier ces modifications afin de ne pas être surpris ipar une règle nouvelle. Cette onnée, la révolution, c'était le caoutchouc-mousse ! Ce que j'ai pu entendre de bêtises ou point de vue caoutchouc-mousse ! J'ai vu un ioueur de première série, un de nos représentants, venir me raconter des sornettes, des absurdités et vraiment ces gens-là croient à cela, comme d'autres croient à des soucoupes volantes. Absurdité complète. Et bien sagement la Fédérotion Internotionale a refusé de suivre le Pays de Colles qui proposait l'interdir^ndu caoutchouc-mousse Nous avons toujours le droit de jouer avec l'instrument qui nous plaît, ovec lo raquette qui nous convient. Si certains d'entre vous ont des doutes à ce sujet, qu'ils viennent m'en
— M. Prulière : Nous avons décidé que les Championnats Régionaux qua
l ificatifs pour les Championnats de Fronce devraient être disputés à trois joueurs Nous nous en sommes tenus là parce que lors de la décision, nous nous sommes
aperçu que certoines Ligues trouvaient que leur Championnat, à elles, était bien mieux que ce que nous préconisions.
Nous avons dit : d'accord ! Mois quand même nous désirons une loi com mune. cor la formule pour les épreuves officielles qualifiant au stade national doit être la même partout. Le Championnat régional qualifiant pour le Cham pionnat National, doit donc se disputer à trois joueurs. — M. Agopoff signale à ses collègues de province que la formule que nous ovops prise ou Championnat de France est la même que celle des Cham pionnats du Monde.
Question posée por M Poirot, de Nancy, pour la Coupe de Fronce. En admettant qu'on gorde la formule actuelle, je souhaite, dans l'intérêt
d'-s joueurs qu'avec les perdants du premier tour, on
fosse une Consolation
qui reste régionole pour éviter les frais de déplacement. — M. Agopoff : Cela peut se foire por choque région. — M. Poirof se dit aussi partisan de foire une épreuve qui serait baptisée
« Critérium de Fronce » par équipe de trois joueurs qui [oueroient en deux sets gognonts. Une équipe par club engagé et por éliminatoire directe. — M. Duclos : I! me serrble qu'il y o peu d'intérêt sur le plan notionol. Sur le plan effectifs, on pourrait créer une épreuve pour un minimum de cinq joueurs sinon de dix plutôt qu'une épreuve de trois. Quesion posée par M. Criscfui'i, de Colombes : Demande à la FcdéraTion que l'augmentation de la licence de 50 % qui est oppiiquée pour cette saison, et pour un motif invoqué qui est celui du déficit cousé par les déplacements à l'étronger ne soit qu'une augmentation parler et k l^ur donnerais individuellement les raisons qui ont été opposées à pour cette onnée. Qu'elle ne prenne pas un caractère chronique cor je ne pense _..... i^ ae /n r". r* f cette interdiction. pas que la Fédération s'engage dès «M maintenant àX créer- iun déficit tous Iles ans ! Quelque chose ne vous o peut-être pas été ropportée encore : je presid-" ' — M. Prulière : La Fédération comble son budget choque année. Pour à ce moment-là, lo réunion du Congrès international et j'oi donné la parole à donner satisfaction, nous idirons que l'augmentation sera temporaire. Pour être un représentont japonais qui nous o dit — on l'o traduit — gentiment, sans franc ovec vous, et si nous voulons faire de grandes choses, il fout de l'argent s'énerver : « Messieurs vous proposez la suppression du cooutchouc-mousse. Nous sommes d'accord, nous Joponois Quand vous aurez supprimé le mousse, — M. Crisafulii : Inutile alors d'écrire en notifiant la décision que Ic.s nous prendrons notre raquette et au-dessus, nous mettrons du picot à l'envers, motifs qui l'amenaient étaient le déficit ! Vous avez des besoins d'argent et l'élosticité sero lo même. Supprimez le picot ! D'accord, nous jouerons si vous c'est simplement pour cela que vous augmentez la licence. le voulez avec une raquette enf bois et si vous le voulez, encore, nous pren
drons du bois que vous ind querez : sapin, cèdre, ce sero ce que vous voudrez. >■> M ne nous a pos dit. ovec cela nous gagnerons tout de même... Il est
certain que si les Japonois gognent, ce n'est pas qu'ils ont du caoutchoucmousse ; Ce sont des sportifs qui remuent derrière lo table. Ce qui manque à la plupart des joueurs, c'est cette volonté de gogner et c'est l'entraînement
i'iftiii ■ iJfcll m
It'lfll*!!)
iill ItniiÉyilÉa
— Question posée par M. Agopoff
Tendant à exiger qu'un club oit ou minimum onze licenciés (parce due
le vote chez nous est de onze licences). Il trouve qu'une associotion n'est pos
une association avec moins de onze licenciés, ce n'est qu'une représentation de quelques-uns de ses éléments.
, iiftiiyJ'riittirf.'in'v
TENNIS
DE
18
TABLE
— M. Coubard : S'il est possible pour certains clubs d'avoir un minimum de dix licenciés, par contre, je peux vous citer un exemple : Chêne-Chenu qu. depuis sept ons avoit plus de onze pratiquants, n'en possède plus que sept...
— M, Lecaudé : Je vous avoue que je suis un peu effrayé de voir le temps que l'on perd dans des travaux administratifs et la perte d'énergie que repré sentent ces dits travaux pour des dirigeants qui pourraient être infiniment mieux
dans une commune de deux cents habitants...
employés à d'autres tâches et \qui méritent mieux que de foire du travail de
— M. Martina : La question posée par Agopoff est bonne mais seulement,
elle demanderait d'être étalée sur deux ou trois ans après le démarrage des clubs qui se forment parfois avec deux ou trois personnes. Ils commencent petit ; ils montent ensuite et ce n'est qu'ou bout de deux ou trois ans qu'Us peuvent déve
lopper leur activité. — M. Prulicre : Les clubs font déjà un effort en payant la cotisation fédé rale. Pour un club de Paris, lo cotisation fédérale de 1.500 francs n'est rien .. mois pour la petite localité où il n'y a que cinq licenciés, les 1.500 francs se répartissent entre quelques personnes. — M. Agopoff : Vous avez des associations qui ont trois ou quatre licen ciés. Du fait de l'augmentation de la licence, vous curez encore des clubs qui
ne prendront pas des licences pour leurs joueurs.^ — M. Prulicre s'oppose à cette obligation. La fera mettre o l'ordre du jour d'un prochoin Conseil Fédéral où, dit-il, il ne se trouve pas à sa connoissonce de majorité pour imposer le minimum de onze licences par association. — Question de M. Lemairc (Ligue des Alpes) Tendant à la représentation à la Fédérotion, des Ligues avec voix consul tative ou Conseil Fédérol.
— M. Bélot : II y a deux" mois, sur convocation de M. André Marie, le
sujet a été traité par une Commission Nationale en ces termes : « Nous sou haitons que les Fédérotions oient un Comité Directeur, plus exactement un Conseil Fédéral composé d'une port, de membres élus et complété ensuite por au moins un représentant de chaque Ligue. > La Commission a émis le vœu qu: cela serait réalisable (après pas mal de discussions et de mises ou point). Le
Ministre n'a pourtant pas pris de décret instituent cette méthode. Cette intention prendra corps ou sein de la Fédération Françoise et je pense qu'un jour ou l'autre (nous n'attendrons pos, j'espère ce décret pour le foire), nous arriverons à avoir un Conseil Fédéral qui ne sero plus l'octuel, mais qui sero le rassemblement d'une ou deux personnes des Ligues et même de personnolités dont la compétence sera reconnue, qui viendront tous ensemble discuter avec le Comité de Direction.
— Vœu. émis por les clubs du Calvados et présenté par M. Villalon : Il est demandé par l'ensemble des clubs du département du Calvados, qu'il soit prévu dans les statuts de la Fédération Française de Tennis de Table : lo L'existence dans chaque département d'un Comité Départemental fornié de membres élus par les représentants de club au cours d'une Assemblée géné rale précédent celle de la Ligue dont dépend ce département.
2o Que l'Assemblée générale des Ligues ait lieu après l'Assemblée générole départementale et ovant l'Assemblée générale de la F.F.T.T. Ceci afin de
permettre une représentation à toutes les Assemblées générales de membres élus à l'échelon inférieur et ayant des mandats b^en établis préolablement. 3o Dans les départements où l'effectif des clubs est nombreux et groupé autour de centre de population ou géogrophiquement, il pourra être prévu des sous-divisions ou districts ayant, dans les mêmes conditions que les départe
ments et les Ligues, des élus au cours d'Assemblée générale précédant celle du
gâchis auquel on remédierait si on était courageux et si l'on voulait voir problème avec un esprit neuf.
Il y o des Fédérations qui ont déjà pris des positions qui me semblent Inté ressantes.
Exemple : le Tennis qui a supprimé la licence, sans plus de falsification, et qui délivre un papillon annuel qui est collé sur le carte du membre de club.
Le club a une carte; le joueur o donc quand même un carton dans son porte feuille
Gros avantoge pour la Fédération : perte de temps limitée et vroisembiablement pas plus de truquage.
— M. Bélot : J'ai fait cette proposiion il y a un an au Conseil. Je l'ai laissée entendre à quelques Ligues pour me renseigner. Mais je me suis trouvé devnnt une levée de boucliers contre cette mesure. Sans doute n'ont-ils pas assez de travail !
On nous parle fraude, toujours fraude. malhonnête
On cherche toujours l'exemple
II est rare, le redis : depuis cinq ons, je n'ai vu qu'une fois par
an un problème de fraude ! Est-ce que celo vaut que tout le monde perde du •trmps et de l'argent ?
— M. Bardin est persuadé que de nombreux petits clubs en Fronce, en ten nis de table, n'ont pas de cartes. — M. Pruiière : Le club petit ou grand fait foire des cartes et du papier à lettre... et un tampon — M. CrisofulM : Nous avons eu déjà des doubles et triples licences. Plus de trente joueurs ont demandé deux licences ou même trois.
— M. Agopoff : Dons ce cas, c'est vous qui fraudez... en acceptant de recevoir trois licences !
— M. CrisofulM prétend que c'est le même travail pour opposer un papillon, mois avec moins de contrôle,
— M. Bélot : Pourquoi ne pas nous laisser essayer ? — M. Leménager repose la question des assurances.
— M. Bélot : La majorité des joueurs sont ossurés par un autre sport ou. dp par leur appartenance à un club omni-sport. Seules les Coupes Interligues sont une manifestation régionale, où la Ligue sélectionne des gens assurés ou à
assurer, tandis que les représentations en Chamoionnot de France sont, à notre connoissonce, individuelles. Chacun vient à ses risques et périls et doit y penser. — M. Agopoff : Certaines associations, lorsqu'une équipe se déplace, pren nent des assurances.
— Question posée par M. D.uclos : Problème des transferts. « M. Mercier a dit que la loi donnait toute satisfaction. Je suis d'occord. En ce-qui concerne les fonctionnaires et les militaires, ne peut-on pas leur oc-
cord'^r une licence normale? Il est onormal qu'un militaire ait une licence "«M » en rentrant dans son club. »
— M. Bélot : La Commission des Transferts accorde toujours la licence ordinoire aux
militaires rentrant dans leur club.
En ce qui concerne les fonctionnaires et les différentes personnes mutées en
département.
M. Bélot : Le décret du 8 juin 1949, qui fixe dons ses grandes lignes le fonctionnement des Fédérations, rappelle que • celles-ci ont le choix d'être
des groupements de clubs, de Ligues ou de départements. La F.F.T.T. a choisi d'être groupement de clubs et une fois par an (en outre des communications mensuelles par son journal officiel) elle prend contact avec eux — c'est le cas aujourd'hui — pour exposer le travail effectué, les espérances et demander de désigner les dirigeants de l'année suivante. Puisque nous sommes Fédération de clubs, il nous appartient de déterminer comment nous fonctionnerons régio-
nalemenf Nous ovons dit que ce serait por Ligues, et chaque année le Comité directeur fixe le nombre de Ligues et à chacune ses attributions et sa juridiction
(C'est pourquoi, il ne semble pos du tout opportun de créer en dessous des Ligues des organisations administratives autonomes car de diviser les 1.400 clubs français en trente et une ligues apparaît largement suffisant ! — M, Corblllon. — Première solution : Les joueurs nornment leurs repré-
sentonts de clubs, les clubs nomment leurs représentants^ départementaux, les départements nommant les représentants régionaux, les Régionaux nommant les représentants o la Fédération : c'est une méthode qu'on qualifie de démocratique et qui ne l'est pas plus qu'une autre. Ou deuxième solution : Toutes les associations nomment un Conseil qui
n tous pouvoirs pendant un an. C'est lui qui délègue les pouvoirs à ces Ligues, lesquelles Ligues délèguent leurs pouvoirs à des représentants dons les départe ments.
Voilà les deux méthodes qui se sont présentées à nous, quand on a lonce le tennis de table en France.
Première méthode rejetée parce que nous avons-croint qu'à chaque étaR-^ on se mette à discuter non pas sur les intérêts du tennis de table français mais sur l'intérêt locol.
Donc à cette époque nous avons refusé lo première méthode et nous ovons
pris la seconde qui consiste à ce que toutes les associations nomment des délé gués, à qui ils font confiance A eux de se débrouiller pendant un an. A chaque instant, on vous répète, Pruiière. Bélot et rnoi : au sein du Conseil, pers'^nne ne représente ni un club, ni un département ni une Ligup. Nous sornmcs chargés de l'intérêt du tennis de table français un point c'est tout. — Question de M. Letnénager rappelant le vœu de l'apposition de In photo sur la licence et l'assurance. (Vœu de la Ligue de l'Oise). — M. Prulicre : A l'heure actuelle la photo est focultotive pour éviter les difficultés C'est un fait qu'à Paris, il est facile de se faire photographier, mais dons les petits pays c'est autre chose. . — M. Leménager : Ma proposition ne vise qu'à éviter le truquage. — M. Bclot : Les gens qui trovalilent aux Ligues ne sont pos toujours par
tisan de cela, car la suppression de la photo facilite leur tâche.
— M. Moriceau : Toute licence sans photo doit être appuyée d'une carte d'identité
bureau, je demande, étant donné le nombre extrêmement réduit des truquages, des falsifications relevés au cours/d'un exercice sportif, s'il n'y o pas lô '
C'est le règlement.
— M. Lomairo : On n'est pas obligé de se promener en Fronce avec une corte d'identité.
cours de saison, il est délivré la licence « M ».
— Question de M. Duclos : Problème des Coupes Interligues. « En roison du lieu de déplacement, souvent très lointain, ne pourrait-on pos
étoger sur plusieurs dimanches le déroulement des Coupes Interligues, œn faisant
des Centres régionaux au départ ? t — M. Bélot : Nous avons admis qu'il y avait à peu près choque année 15 l.igues qui participaient aux Coupes Interl'gues. c'est-à-dire deux tiers de l'ef
fectif ; c'est regrettable, car il y o des ligues qui n'ont qu'une représentation tous les deux ans
Quant ou problème de séparer les Coupes Interligues en étage, c'est difficile pour une ra-son sportive. En coupant la France en quatre pour étaler, nous trou
verions malheureusement les meilleures ligues avec les 18 ou 25 premiers joueurs français dons une poule, par exemple, et dans d'autres poules que des joueurs de
3^ série A première vue, cela choque, et c'est un premier argument qui nous o empêché de découper la France par régions. — M. Agopoff : Por lo suite, ils joueraient toujours les mêmes équipes, au tomatiquement.
— M. Bélot : Il y a aussi que les petites Ligues veulent jouer avec les gron des. Les Coupes Interligues, ce sont nos Championnats du Monde. — Mme Ciraud : Pourquoi ne va-t-on jamais au bout des matches ?
— M. Bélot : Nous cherchons un vainqueur, et c'est celui qui o acquis cinq victoires Après les cinq matches. il y a touiours quelque chose qui empêche de continuer. Les joueurs"qui ont plusieurs matches à foire se réservent, les autres
sont fatigués ou pressés de déjeuner. — Mme Ciraud : Marque d'entraînement physique des joueurs ! — Question posée par M. Crisafulli : « La réglementation des mutations oppiiquée depuis deux ans semble avoir donné satisfaction, mois ne peut-on envisager la création d'une licence Indivi duelle ? Licence individuelle, qui ne serolt remise qu'eux ioueurs dons la situotion suivante ; un joueur démissionne d'un club (je parle principalement pour les clubs des grandes villes), envoie sa lettre recommandée, et le club occept"
sa démission. Pour des raisons que la Fédération a déjà jugé, elle admet que le transfert n'est pas voloble. non pas sur le point de vue acfcninistratif, mois pour des roisons spéciales, et elle n'occorde pas le transfert. Le joueur en question ne
peut donc nr^s être Qualifié pour un nouveau club et. d'autorité, est renvoyé à son rx-'-iub. Mais le Président ou le Comité de ce club refuse, c'est également son
droit ! Ce joueur n'a donc pas le droit, de par la Fédération, d'entrer dons un rertnip club. mais, por contre, il n'a plus le droit de jouer dans son ancien club.
La licence individuelle réglerait la question. » — M. Pruiière : Comme nous sommes une Fédérotion de clubs, nous n'avons
pas à protéger des individus seuls. — M. Bélot : Pourtant il y o à foire, et personnellement je suis d'occord
avec la suggestion de M. CrisofulM, sous réserve noturellement que la Commission dos Transferts soit seule habilitée pour lo délivrance d'une licence individuelle.
Mais comme il n'y a peut-être pos un cas par an qui s'est encore posé, est-ce né-
— M. Pruiière : C'est obligatoire à partir de seize ans !
^1, iHii'djîiViliillilli'liiÉ'àyÉlMtMitUiÉiiiËi
csesoire de foire un règlement ?
tfÉÉi
14
TENNIS
— Question posée par M. Pcscheur :
« Au nom des clubs de l'Orne, j'ai un vœu à présenter à l'Assemblée, et cc vœu tend à accorder le droit de vote pour le Conseil Fédéral à tous les clubs,
quel que soit te nombre de licenciés (clubs ruraux avec sept ou huit licenciés qui n'ont jamais le droit de vote). »
— M. Prulière : Nous n'y pouvons rien, c'est lo loi (voir le décret du 8 juin 1949).
— Désignation des Commissaires oux Comptes :
— Vœu de M. Prulière : changement tous les ons d'un des Commissoires oux Comptes. Par exemple par une personne du lieu du championnat de Tonnée "suivante. S'il doit y avoir une vérification o effectuer sur les comptes, elle sera toujours plus focifément faite par une personnalité sur place, avec le Trésorier plutôt qu'avec une personne qui ne se dérangera peut-être pas. L'Assemblée donnant son accord, sont désignés : MM. Crisofulli, Secrétaire de la Ligue de TIle-de-France, et Lemaire, Président de lo Ligue des Alpes. Le chapitre des questions diverses étant épuisé, et aucun autre orticle ne figurant à Tordre du jour, M. Prulière, Président, avant de prononcer lo clôture des travaux de l'Assemblée, procède à la Retnise
des
médailles
de
l*Ordre
<fu
3Mérite
(Nos lecteurs trouveront par ailleurs la liste des bénéficiaires de la Pro motion 1954 et leur brillent palmarès.
Avant d'en terminer, la parole est donnée à M Modillac, Directeur Départe mentol des Sports qui, ayant assisté aux travaux de l'Assemblée, s'adresse aux
DE
TABLE
On a parlé beaucoup du tennis de table dons la ville de Rouen, sous l'im pulsion du comarade Plantrou ; le tennis de table a supplanté pour un temps la natation et a volé le local qui lui est réservé. Cela a fait tiquer certoins ! Ce sera finalement pour nous une oide précieuse, cor celo prouvera qu'une salle est nécessaire à lo ville de Rouen, je pense que ce projet d'une solle
à la ville, qui troîne depuis plus de dix ans, et dont M. Corbillon avait égale ment essayé de trouver la solution, aura d'ici quelque temps une solution, parce que je crois sovolr que le nouveau délégué aux Sports, qui vous accueillera avec le sourire et également le dynamisme qui le coractérise, vous entretiendra d'un projet qui est maintenant à Tétude.
"Si bien que lorsque vous reviendrez, d'ici quelques années, à Rouen, peutêtre avec un temps quelque peu meilleur, j'espère que vous aurez une salle nette ment réservée et plus conforme ou tennis de table qu'une piscine, ce qui, pour tout le monde, sera une grande satisfaction. M. le Ministre de l'Education Nationale est pris ces temps-ci por des obli gations sérieuses II était hier chez lui, et j'ai essayé ce matin, à la demande d'autres camarades, de lui demander de faire un saut jusqu'à Rouen aujourd'hui ou demain ; il m'a loissé entendre que cela lui était tout à fait impossible. Il le regrette fort et vous a attribué une coupe pour doter vos épreuves. Je sais que vous préféreriez outre chose, car je suis au courant de vos difficultés financières, je préférerais qu'il donne un peu plus d'argent à votre Fédération, qui est un peu défavorisée sur ce point. Il paraît que les finances de l'Etat sont pauvres sur le plan sportif, mais je me demande jusqu'à quand ? J'espère que grâce à votre dynamisme et, je crois, grâce à l'intervention de tous les sportifs de France, nos responsables du Gouvernement prendront cons cience de l'importance du sport et finiront par vous donner, à vous comme aux autres. les moyens de mener à bien votre mission.
Congressistes :
Je vous félicite de lo courtoisie de vos discussions qui changent un peu avec
L'Assemblée entend enfin la proclamation des résultats des élections effec
celles qui ont lieu habituellement dans cette salle. J'ai constaté que la cour
tuée par M. Poumaroux, Président du Bureau de Vote, et dont nous donnons le
toisie et le dynamisme ont présidé à vos débats, et je vous en félicite.
détail par ailleurs.
excéder dix jours
En vue de la Saison 1954-55 La stabilité amène l'égaiité . Avant le prochain numéro de « Tennis de Table » qui donnera les détails admi nistratifs nécessaires au ibon fonctionne ment des associations des Ligues et du
Secrétariat fédéral, il doit déjà Cire dit qu'une modification importante sera appor tée à l'administration générale actuelle des organisâtes fédéraux.
En effet, le « barbarisme » : Ligue Ma jeure (impliquant : Ligue Mineure ce qui est un peu péjoratif) a vécu ! Toutes les ligues seront désormais au même rang et la qualification née du « majorai » disparaît, A temps d'ailleurs, certains di rigeants régionaux ayant parfois décelé dans ce qualificatif, le droit de prendre des libertés... autonomistes don! leurs so-
ciétiis souffrent maintenant, comme celui d'organiser des Championnats régionaux quelque peu hybrides, non conformes aux règlements fédéraux, ce qui eut pour effet de ne qualifier aucune équipe de ces Ligues pour le Championnat de France par équipes.
Tout joueur ou joueuse qui désire chan ger de Club en vue de la saison 19.5i-55 doit le faire pendant la période comprise entre lo 15 juin et le 15 juillet 195-i. a) 11 adressera tout d'abord, par cartelettre recommandée, sa démission à l'As sociation pour laquelle il possède une licence au titre de la saison 195.3-5'i. Le
Ce rappel évoqué, il doit être noté dé
avenue. DEDISIONS
A l'Issue de la période de mutation, la Commission fédérale des Transferts pro cédera à l'examen des mulations et pour ra : ou les accorder, o.u les refuser, ou provoquer une enquête complémentaire. Dans le premier cas, la licence sera re vêtue à la Fédération d'un cachet por tant la lettre M. et retournée pour enre gistrement aux secrétariats intéressés. Dans le
deuxième
cas la
demande de
licence sera retournée à son auteur. Le joueur qui recevra une demande de licen ce « M » rejetée aura la faculté de faire
gnée du récépissé postal de démission, à
obtient satisfaction et confisqué dans le
sa Ligue régionale par lettre recommandée, avant le 16 juillet (les Ligues ne pourront considérer comme reçus dans les délais, les envois dont lo timbre de la poste au d'part. serait |)ostérleur au 15 juillet); c) Ne seront autorisées k déposer des demandés de licences de jo.ueurs désirant muter (comme des demandes pour des nouveaux .joueurs), que les Associations
cas contraire.
ayant régularisé leur situation adminisIrativc pour 1951-55. To^utes les il°mandes gnées devront porter la vignette 1954-55. OPPOSITIONS
— que toutes les associations adresse
de la
récépissé délivré par les P.T.T. devra être daté au plus tard du 15 juillet (passé ce délai la démission ne pourra plus être con sidérée co.Tme réalisée); b) I! signera une demande de licence pour une as.so'ifition de son choix, laiiuelle devra la faire parvenir, accompa
lie licences complètement remplies et si sormais :
non
PÉRIODE des MUTATIONS du 15 Juin au 15 Juillet
l'envol
Toute opposition notifiée dans d'antres eonditions sera considérée comme nulle et
Lefondionnemenl des Ligues
après
carie-lettre de démission.
Les Assoc'at'ons qui au reeu d'une car-
appel auprès de la F.'F.T.T. dans les quinze jours du rejet de sa demande. Gel appel d'vra être accompagné d'un droit de 200 francs qui lui sera remboursé s'il
LICENCES « M »
Toutes les mutations accordées donne
ront droit à une licence portant en sur charge la mention « M ». Cette licence sera à qualification restreinte, c'est-à-dire que dans toutes les épreuves par équipes réservées aux Associations et organ'sées par la Fédération ou les Ligues (Cham pionnats par équipes. Coupes de France,
Cnunes régionales et similaires), les ^asso ciations ne pourront présenter 'qu'un joueur titulaire d'une licence « M » par équipe. Cette restriction n'est pas valable pour les Associations nouvelles ou les associa
ront il leur Ligue régionale, la feuille de
te-letlre de démission d'un de leurs licen
tions reprenant leur activité après
renouvellement de la cotisation annuelle
ciés 1953-54. auraient d^s observations à
saison d'inactivité et qui dans les Cham
(telle qu'elle paraîtra dans la procha'ne revue) et le montant de cette cotisation (inchan.gée à I.SÛO francs). De même serat-il fait pour les nouvelles associations.
formuler, devront les faire par letlre re commandée à la Ligue régionale dont elles dépentlent, dans un délai qui ne pourra
toirement dans la dernière série.
pionnats régionaux sont engagées obliga Lorraine
— que toutes les demandes de licences nouvelles, de renouvellements de licences
précédentes, de transferts seront aussi en voyées à la Ligue régionale dont dépen
i vous voulez suvoir...
dent les associations.
En temps utile, les Associations affiliées en
1953-54
leur
recevront
du
Secrétariat, de
Ligue, toutes instructions
mentaires.
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TAfiLB
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L'A.C.B.B. et LILLE gagnent les deux divisions du
CHAMPIONNAT DE FRANCE PAR ÉQUIPES Dimanche !6 mai à Paris oooo
Lille et Régies joueront en première di vision la • saison prochaine. Lille jouera la finale de deuxième divi sion .
M*9*emiGw*e
Aioîsion
A.C, Boulogne-Billancourt bat B.C. Fran ce 5-4.
I.anskoy (R.) bat Tribalal 21-9, 21-l.'i: Agopafif (R.) bat Roothooft 21-10, 17-21, 18-17; Sala (B.) bat Lbomme 21-8, 21-9;
Agopoff bal Tritoalat 21-13, 21-G; Sala bat Lanskoy 21-19, 10-21, 21-18; Roothooft bat Lhomme 21-11, 21-13; Sala bat Agopofr 21-12, 21-19; Lhomme bat Tribalal 21-16, 21-9; Roothooft bat Lanskoy 21-17 12-21
A GANNAT
S.C.E. Marseille (Plisson, Caverzaghi, Iché) bat C.S.F, Valence (Feugier, Chiaudano, Georgesco) 8-1. C.S.F. Valence (Georgesco, Loine-Feugier) bat C.O.P. Le Mans (Bouchard, Vaslet, Ghauveller) 5-4. A.S.C.E. Alarseille
bat
C.O.P.
Le
Mans
Marseille et Valence joueront en premiè re division la saison prochaine Marseille jouera la finale de
jactMxiéwnc
deuxième
division.
De Tolédo bat Quinsac 20-10, 21-G.
□
A BOURGES
A.S.E. Lille (Demulder, De Tolédo, Salo mé) bal J.A. Dijon (Pélrement, Ehré, Bailiiart) 9-0.
C.A. Réglais (Possecave, Le Prévost, Toujas) bal J.A. Dijon 5-3.
A.S.E. Lille bat CjA. Réglais 5-1.
(La C.S.
.A.S.P.G. Ghâteauroux (Jabneau, Thénin,
Jamet) bat P.P.C. Parthenay 6-3. A Montpellier Toulon.
:
Qualification
du
C.S.
C.S. Toulon (Vincensini, Betta, Romey) bat M.J. Pau (Petit, Bureau, Rordenave)
M.J. Pau bat L.S Marseille 7-2.
Les six
nouveaux
du
Championnat 1954 = 55 A Paris : QualL'ication d'Amiens-Sports. Amiens-Sports (Gambier, Rriaux, Harent) bat E. Mézières (Lassaux, Qi'es.son, Van Hems) 9-0.
Amiens-Sports bat A.S. Reauvais (Trottier, Gamblin-Rousselet) 5-0. Reauvais bat Mézières 9-0.
La montée en T'division
5-4.
C.S. Toulon bat L.S. Marseille (Signoret, Yarborough, Lacombe) &-3.
A.S.E. Lille bal S.C, Marseille 5-3.
De Tolédo (L.) bat Caverzaghi 19-21,
GJM. Le Pouliguen bat P.P.C. Parthenay (Hervé, Vannoni, Rernard)
Nationale a donné comme perdues les ren contres gagnées par une joueuse) _
7-2.
□
Oivision
21-12, 21-8; Demulder (l.) bat Plisson 21-18, 22-20; Quinsac (iM.) bat Salomé 19-21, 21-19, 23-21; De Tolédo bat Plisson lG-21, 21-15, 21-19; Cavorzaghi bat Salomé 24-2G, 21-18, 21-15; Demulder bat Quinsac 21-15, 21-10; Plisson bat Salomé lG-21, 21-19, 21-13;
A Parthenay ; Qualification du C.N. Le Pouliguen. C.IS. Le Pouliguen (Brunet, Conord, Turpault) bat .AS-P.O. Ghâteauroux (Jamet, Théotine, Jabneau) 7-2.
G-3.
21-15. oooo
uA.S.R.G. Caen bat S.P-P.C. Le Mans G-1 S.C. Chartres bat SPF.C. Le Mans 6-3.
A Chartres Paris.
Qualification du R.H.V, de
R.H.V. Paris (Cafiéro, Huy, Mathieu) bat A.S.R.G. Caen (Vauvarin,' Ruty, Anne) G-0.
RH.V. bat S.C Chartres (Huteau, Thireau, Sauger) 5-0.
R.H.V. (Cafiéro, Genton, Huy) bat S.P. P.C. Le Mans (Ragot, Pinot-Courvolsier) 5-0.
AS.R.G. Caen bat S.C. Chartres 5-1
Par sa souplesse, son adhérence
'
A Jussey ; Qualification de l'E.S. Colmar.
E.S. Colmar (Horrenberger, Jaeger, Rlatz) bat E.S. Jussey (Lemercier, Grllot, Gavagnac) 7-2,
E.S.
Colmar bat S.C.
Dijon
(Brunoau,
Cousin, Noirot) 7-2.
E.S. Jussey (Cachot, Lemercier, gnao) bat S.C. Dijon 5-4, A
Roanne
Qualification
Gava-
du P. P. C
Roanne.
P.P.C. Roanne (Fougère, Contard, Szamik) bat A.S. Grenoble (Genevey, Chamberod, Alinetti) 5-4.
P.P.C. Roanne (Fougère, Poncet, Szamik) bat I.S. Alontluçon (.André, Nourrissat, Ta ri an t) 7-2 .
P.P.C. Roanne bat P.S. Romans (Maran, Viret, Ferrier) 9-0, A.S. Grenoble bat P.S. Romans 7-2.
E.S. Romans bat I.S. Montluçon 7-2. I.S. Montluçon bat A.S. Grenoble 7-2.
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Epreuve Masculine Demi-finales.
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bat R.C.
1/8 DE FINALE
France :. 3-0.
h
.1. -\ubain bat Larcade 3-0; M. Aubain Lho.T.me 3-2; J. et M. Aiiliain IbattenI
Larcade-Lhomme 3-0.
Esso Paris bat Air-France Paris 6-3.
Compteurs Paris b. Enersports Paris 0-3. C..\ P. Nord bat, S^F. Ferma-Bord'Uiiix 8-1. 1!.S. .Motrfblcic 'Bordeaux
S.C. Marseille bat Amiens Sports : 3-1. PIi.sson (IM.) bat Gambier 3-0; Coulant f.M.) bat Harent 3-1; Ganabier-Harent (A.) battent Plisson-Coutant 3-2; Plisson bat Harent 3-2.
une
bat La France
Pai'is 0-0
tenue réglementaire de joueur de
.A.S.P.T.T. .Paris bat Slade Soliev'lle 8-1. A.S.E. Lille bat Shell Paris 8-1. A.S. Pernod Paris bal iManurliin iMuIhou-
se 0-0.
Saini-Gobain Saint-Fons
Finale. — Raquette Marmande bat Mar
PARIS
bal
M.f). Po
tasses'Muibouse 9-0.
1/4 DE FINALE
seille : 3-1.
M. .\nbain (RjM.) bat Plisson 21-17, 21-li, 21-10; J. .Aubain (RJM.) bat Coûtant 21-15. 21-17, 21-16; Plisson Coulant (M.) battent J. et M. -Aubain 21-17, 21-16, 23-21; Aubain .1. bat Plisson 18-21, 16-21, 21-17, 21-16, 21-7.
r
.Motoblor
Bordeaux bat Essu Paris
5-3.
tennis de table
-A.S.E. Lille liât Co.npieurs Paris 5-1. A.S. Pernod Paris bat, Saint-Oobaln SalntFons 7-2. A.S.P.T.T. Paris bal C.A.P. Nord 5-i
- Chemisette et Short gris -
1/2 FINALES
*
A.S.E. Lille bat A.S, Pernod 5-1.
Epreuve Féminine Demi-linales. — Guaranty-Club bat A.S.C. Est Paris : 3-0.
Plénecassa.qne bat Brun 3-2; Bergerot b. Pétrissant 3-0; Plénecassagne-Bergerol b. Brun-Pétrissant 3-1.
ne Tolédo (L.) bat Laengel 2-1 r Demulder (L.) bat Richard 2-0; Cardon (P.) bal .Salomé 2-0; n eTolédo bat Richard 2-1;
Saloim; bat Laengel 2-0; Demulder bal U.S. Motobloo
Bordeaux
bat
A.S.P.T.T.
Paris 5-3.
Fréville bat Coulon 3-0; Belcrédil bat FJaveau 3-1; Fréville-Belcrédit battent Cou-
Goëman (B) bat Pascal 2-0; Fage-Oaltié fP.) bat Lasserre 2-1; llidard (P.) bat Paternolte 2-0; lOoëman bat Fage-Oallié 2-0; l^aternotte bal Pascal 2-0; Ridard bat Lasserre 2-0; Paternotte bat Fage-Galtic 2-0;
lon-Daveau 3-0.
Goëman bat Ridard 2-0.
Cavigal de Nice bat P.L F. Tours : 3-0.
Finale. —
Bei'gerot (O.) bat Belcrédit 21-19, 21-13.
,21-18; Fréville (N.) bat 'Danrée 21-13, 21-10, '21-8: Fréville-Belcrédil battent BergerotDanrée 12-21, 15-21, 21-17, 21-17, 21-17; Dan rée bat Belcrédit 8-21, 14-21, 21-9, 21-16, 22-20; Fréville bat Bergerot 21-8, 21-14, 21-15.
FINALE
Cavigal de Nice bat Guaranty-
Club : 3-2.
La tenue Gris réglementaire
Cardon 2-0,
A.S.E. Lille bat U.S, Motobloo Bordeaux
SF
m
est déjà la plus appréciée I
5-1.
Goëman (B.) bat De Tolédo 21-18, 21-13; Salomé (L,) bat Lasserre 14-21, 21-13, 21-18; Demulder (L.) bat Paternotte 21-18, 21-17; Salomé bat Goëman 21-13, 19-21, 21-17; De Tolédo bat Paternotte 21-10, 21-16; Demul der bat Lasserre 21-16, 21-8.
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RPRES
LES INTERNflTIOrSRUX
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Champion de Paris International . ^ravo, Saris... Lesdu né-eisiiés d3 la réalisation précédent numéro ne nous ont pa^ permis de donner de compte rendu délaillé de ces Cham pionnats Internationaux qui sont al lés rejoindre un palmarès extrême ment brillant. Nous avons dù borner
nos ambitions à publier les résultats détaillés des compétitions interna tionales et naticnales et reporter à
aujourd'hui 1 adresse de compli ments à tous ceux qui aidèrent la réalisation de cette reprise, qui a tant fait pour notre sport ; — A la grande presse nationale tout d'abord, qui n'a pas manqué de voir, en la présence à Paris des Ja ponais et des hongrois, l'attraction suprême que peut espérer avoir à
contempler le pongiste français. Tont l'attrait d'une activité trop souvent oonsidérée comme une sim
ple distraction na pas. manqué, en de brillants et importants reporta ges, d'être dit et bien dit.
— A tous les participants qui, au nombre d'un millier, ont répondu à l'appel de la Ligue et de la Fédéra'-ion pour permettre — enfin — d'avoir à Paris nne épreuve digne de la capitale. — A tons les généreux donateurs, 4ui permirent de récompenser digneni m une grande quantité de parti cipants, que ce soit la Maison «Pernod», la Compagnie Aérienne CLICHÉ
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Le Japonais OGIMURA
Champion du Monde 1954
vainqueur final du Hongrois SI DO (ci-dessous) La Championne de Paris Internationale 1954
Gizy FARKAS-GERVAI(Hongrie)
« T.W.A. »,
le
Journal
« Samedi-
Goir », la Ville de Paris, les com merçants spécialisés de notre sport-: « Montana » et « Sport » en tête.
— Enfin, à tous ceux qui, du H au'21 avril, ont apporté leur con cours précieux à la réalisation ma térielle et technique de ces Cham pionnats, qu'ils soient organisateurs de rile-die-France, animateurs de clubs (ouverts ou corporatifs), qui ont fait jouer leurs représentants dans une grande compétition ou en core officiels de tous échelons appe lés à faire des prodiges, et qui n'y faillirent pas.
Les Championnats de Paris ont été joués avec
Championne du Monde 1954 (Mixte)
Champion du Monde 1953 Ciassé depuis 1947 dans ies 3 premiers joueurs du Monde
la balle Montana• Sélection !!ï!îyi'S.P.O.R.T.
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Cinq coupes. Renseignements et engage ments à M. Claude Catez, 76, rue HenriMartin, à Liévin (Pas-de-Calais).
COMMISSIONS TECHNIQUES
Succédant aux championnats par équi pes de nombreux tournois, challenges, coupes, continuent à entretenir la forme des joueurs et prolongent ainsi l'activité de notre sport ce qui est tout à l'hon neur des organisateurs et constitue une excellente propagande.
FÉDÉRRLES POUR 1954-55
Simple Messieurs ; Felten (Lux.) bat Martin (St-Dizier) 3-0. Simple Dames : Garaffi (Toul) bat Thouvenin (Saulnes) 3-2. Simple Messieurs, non classés : Nanty (Verdun) bat Plerron (Ch. Nancy), 3-2. Double Messieurs : Felten-Oster (Lux.) bat Grosjean-Pagnard (Saulnes) 2-0. Double Dames : Thouvenin-Pagnard (Saulnes) bat. Pourchet-Devant (NeuvesAlalsons) 2-1. Saulnes enlève la Coupe par équipes. TOURNOI DE DOMBASLE
Simple Messieurs : Grosjean (Saulnes) bat Schoup (Lux.) 3-0. Simple Messieurs non classés ; Romenville (Domb.) bat Pierron (Ch. Nancy) 3-2. Simple Dames : Garaffi (Toul) bat Drouot (Gomm.) 3-0. D. Messieurs: Schuh-Futgoni (Thionville) bat. Grosjean-Pagnard (S.) 2-1. Double Dames : Garaffi (T.)-Pagnard (S.) bat. Pourchet-Devant (N.M.) 2-0. Double
mixte : Schuh-Garaffi
bat. Ro-
mcnvilIe-Pourehet 2-0. Saulnes enlève le challenge Solvay.
Kalles agréées 1954
COUPE DE LORRAINE
Demi-finale: Saulnes bat Ch. Nancy 3-2. Thionville bat Droitaumont 3-0.
Finale : Saulnes bat Thionville 3-2. Provence
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seille 18 pts; 2. A.S.P.T.T. Marseille 14 pts; 3. B.C. Istrcs 14 pts; 4. U.SM. Saint-Loup
MENSUEL
(3) 14 pts; 5. Licorne Marseille (3) 8 pts; 6. Rooca Marseille 8 pts; 7. S.S.P.J. Fuveau
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8 pts. Poule B. — 1. P.T.T. Marseille (2) 13 pts; 2. S.S.P.J. Fuveau (2) 13 pts; 3. Elec. Mar seille (4) H pts; 4. E.M.C. Marseille (2)
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Abonnements :
200 francs par
saison
.Marseille. En finale, Azard-Pascal (Cazélec)' battent Busli-Bonnet (P.T.T.) 3-2.
Etranger : 500 francs Les abonnements souscrits à partir du l"''Août 1953 s'entendent pour les numéros parus ou à paraîtrejusqu'au pr Juillet 195éf
LES CRITERIUMS
NATIONAUX
U.F.O.L.E.P.
Au Havre, les 8 et 9 mai : Messieurs : .M. Bordrez (A.T.T.C. Chauny).
Dames : E. Hardy (Amiens-Sports).
Mti'Ai fi "
-■' ■irti.n ni*,,
Mercier.
Comité de Sélection : MlM. Jean Prulièro, Pierre Ceccaldi, Jean-René Domingo, Jean Lemcnager.
CitLElVDRlER
15 juin au 15 juillet : Période des trans ferts — Clôture des engagements en Cham pionnat de France par équipes. 10 au 25 août : B'rance (juniors) contre Belgique, Hollande, Alle.aiagne, Suède (en déplacement). 10 octobre : Championnat de France par é(iuipos, doux divisions (première jour née). 4-5 décembre : Coupes interligues. Le Mans.
10-13 janvier : Championnats internatio naux de France. Paris.
27 février ; Championnats individuels des districts.
27 mars : Championnats individuels dos Li.gues. 16-24 avril : Championnats du monde à Ulrccht (Hollande). 24-28 avril : Championnats de Paris in ternationaux.
7-10 mai : 28" « Nationaux » à Grenoble.
21-22 mai : Journées finales des Coupes de France et Championnat de France par équipes.
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SATISFAISANTE
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DE TABLE Rédaction, Administration, Publicité
Désignation des responsables : C.N. des Arbitres : M. Alex Agopoff. C.N. de Classement : M .Jean Leménagcr. CN. Corporative : M. Jean Mercier. C. Sportive Fédérale : M. Jean-René Do mingo. C.N. des Statuts et Règlements : M. Jean
PROVENCE Division d'Honneur Vauoluse. — 1. P.P.G.
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TA&LS
LORRAINE
TOURNOI DR SAINT-MIHIEL
Dimanche 30 mai. — Sixième tournoi
DE
Tournoi International juniors de Metelen
CWestpbalie) : 1. Allemagne de l'Ouest; 2. Autriche; 3. Bavière; 4. Belgique; ,5.
France de l'Est; 6. Luxembourg; "î. You goslavie. L'équipe des Jeunes français de l'Est était formée par Nicole, Théron (Champa gne); Horrenberger (Alsace) et Burnel (Lorraine). France bat Allemagne (scolaire) 5-0. — Excellente performance des frères .\ubain
(Jacques et Michel), tous les deux pre miers pongistes scolaires de 1954, qui bat tirent les deux sélectionnés allemands à Darmstadt.
CHAMPIONNATS DE SUISSE INTERNATIONAUX
En nous excusant auprès des intérossé.s de l'oubli du metteur en pages, lors du numéro d'avril de notre revue, nous rap
pelons que les Championnats Internatio naux
do Suisse se sont déroulés le 30
mars dernier à Neufohâtel, et que s'ils ont vu la victoire finale de V. Harangozo sur son compatriote Z. Dolinar, lesquels deux ■yougoslaves avaient éliminé en demifinale nos sélectionnés Ilaguenaucr et
Lanslvoy, notre pays a été pourtant cité au palmarès grâce au jeune Jacques Sautereau qui, avec assurance, mena si bien sa barque dans l'épreuve des Jeunes, qu'il remporta finalement le Championnat de Suisse Juniors.
TENNIS DE
TABLE
19
Les Statistiques de la Saison 1953-54
LA 2- CROISADE EST PARTIE
SOCIÉTÉS 'Après indiquent
le nombre ilc sociétés en t'.)ô2 -53). 1. Ile-de-France
209
2. Normandie
107 111 96 91 85 70 58 45
4. Bretagne 5. Lyonnais 6. Atlantique
7. Ciiam pagne 8. Guyenne 9. Alsace 10. Poitou
(243) (172)
(107) ( 92) ( 86) ( 71) ( 78) { GO) ( 37) ( 45) ( 44) ( 44) ( 43) .( 38) ( 25) ( 28) ( 27) ( 26) ( 22) ( —)
43
.'\lpcs
. 43 42 42 40 32 27 25
12. Lorraine
Pyrénées 14. Orléanais 15. Touraine
16. Centre
17. Bourgogne 18. Provence
24
19. Franche-Comté
23 22 21 16 16 15 14 14 12 11 10 9 2
20. Oise 21. ftlaroc
22. Languedoc .'Mger 24. Berry 25. Côte Basque
Côte d'Azur
27. Dauphiné 28. Oranie
29. Gonstantine 30. Tunisie 31. Corse
( 17) ( 17) ( 14)
( 16) ( 21) ( 15) ( 13) ( 13) ( 4) ( 13) ( 2)
1.441 ■oooo
licences (Les chiffres en,tre Ijarenllièscs indiq.uent le nombre de li cenciés en 1952-53.} 1. Ile-de-France 2. Normandie
3. Flandres
4. 5. 6. 7. 8. 9.
Lyonnais Atlantique Bretagne Champagne Guyenne Pyrénées
10. Poitou
3.824 2.356 1.799 1.355
1.230 1.000 1.026
926 761
15. Lorraine
703 694 619 600 ,569 535
IG. Oise
458
17. Centre
423 331
11. Alpes 12. Orléanais 13. Alsace
14. Touraine
18. .'Vlger 19. Maroc
20. Bourgogne 21. Franche-Comté
22. Berry 23. Provence
24. Côte d'Azur
26. 27. 28. 29. 30.
Côte Basque Languedoc Dauphiné Gonstantine Tunisie 'Qranie
31. Corse
315 314 312 302 293 284
248
219 157 134 92 62 31
(4.278) (2.402)
(1.689) (1.412) ( 972) (1.153) (1.080) ( 8(») ( 783) ( 703) ( 669) ( 572) ( 458) ( 394) ( ( ( ( ( ( ( ( ( ( ( ( ( ( ( (
529) - ) 395) 300) 184) 365) 271) 221) 357) 385) 369) 223) 152) 77) 128) 83)
(
33)
22.032
N. B. — L'Oise provient de l'Ile-deFrance.
La Promotion 1954 Au cours
quelques
avatars
inévita
bles dans la mise au point et quel
ques autres qui auraient pu ne pas l'être, s'il n'y avait pas eu la soirée mémorable de Rouen, la grande croi
sade du tennis de table est partie le 17 mai.
La 2' grande croisade de notre sport, initiative à la base de laquelle on trouve des personnes qui, comme celles de 1936, croient Jermement à
la
réussite
de
notre
sport,
vient
de l'Assemblée
Générale
1954
à Rouen, M. Jean Prulière, Président du Conseil
(Les cliiffi'es entre parenthèsos
3. Flandres
L'ORDRE du MÉRITE de
l'Ordre
du
Mérite
Fédéral
a
donné la lecture de la composition de la Promotion 1954 qui comprend sept béné ficiaires : MlM. :
DEGOUT Raymond
;
Fondateur et ani-
ii.atenr de clubs et organismes-dirigeants en
Picardie
de
1932 a
1941. Membre
du
Comité puis Président de l'.-V.T.T.C. Chauny depuis 1943 ; membre puis Président de la Ligue de Oliampagne depuis 1946.
aussi — comme d'autres réalisations
GIROUD Maurice : Fondateur du P.P.C. Grenoble en 1930. animateur de cette asso
— à son heure, et nous tenons à fé liciter les dirigeants de nos associa
Ligue des Alpes de 1932 à 1939. Fondateur
tions qui n'ont pas hésité à entre prendre l'organisation d'une soirée. Ils sont déjà 40 ; ils seront bientôt
en 1946, puis animateur (toujours en acti vité)" de l'A.S. Grenoble.
100,
chiffre
qui a
été
fi xé et
ciation jusqu'à la guerre. Président de la de la section de tennis de table du G.O.U.
sera
.recherché, à travers toute la France,
GUIDAT André : Fondateur et secrétai
re tj'ésorier du P.P.C. Epernay (toujours
sûrement pour être obtenn.
Alex Ehrlich — à son grand regret — retenu à la chambre par une gra ve maladie, n'a pu prendre le dé part de cette tournée sensationnelle. En attendant qu'il la rejoigne, lui souhaitant un prompt rétablisse ment, nous devons dire combien son
action de propagandiste a été effi cace et qu'elle a été, pour une part, dans la réussite qui se manifeste dans cette croisade.
Après un début près des côtes de la Manche, un petit circuit dans le nord de la France, quatre jours en Alleiuagne, trois jours en Suisse (comme tout Tour de France qui se respecte 1), le quatuor de propagan distes (qui se rejaient régulièrement selon leurs périodes de vacances) visite cette semaine les Alpes, le Lyonnais, plonge vers Marseille, fait un saut à Alger (battu le Tour cy cliste 1), reprend contact à Montpel lier, tourne dans les Pyrénées, la Côte basque et, enfin, le Bordelais, qui, le 30 juin, verra un éclatement de la croisade.
Clubs, retenez bien ; à partir du l"' juillet, deux équipes sillonneront la France. L'une, avec (en principe) Ehrlich, Leach, Amouretti et Mainquist, partira vers les Pyrénées, le Languedoc, la Côte d'Azur, poim re gagner Paris par le Centre. L'autre, avec Bergmann, Lanskoy, Freundorfer et Agopoff, longera les côtes de France : Poitou, Bretagne, Norman die, Manche, avec retour à Paris par
en
activité)
en
mars
1933.
Membre
JUBERT Georges : Fondateur du Trianon P.P.C. do Pcssac en 1932. Juge arbitre ré gional et membre du Comité de Guyenne
et Gascogne dès 1933 dont il gravit' suc cessivement
les
échelons
:
Commission
Sportive. Propagande. Secrétariat général, Présidence qu'a assume toujours avec une rare compétence qui lui permet aussi de compter depuis de nombreuses années p.armi les membres du Conseil Fédéral où l'ont porté, et maintenu, les dirigeants français. KERN
Albert
:
Membre
fondateur
du
P.P.C. Strasbourg en 1929, du C.P. de Stras bourg en 1932. de la section de tennis de table de l'.A.S.P.T.T. de Strasbourg en 1940. Dirigeant et joueur successif dans ces associations, M. Kern est le plus « an cien
»
encore
en
activité
sur
tous
les
plans. MOTTIN Jules
: Membre fondateur du
P.P.C. Envermeu de 1930 à 1934, puis de la Raquette Envermeudoise, depuis vingt années.
POIROT René
:
Membre
fondateur
du
l^jP.C. Lunéville en 1931. animateur numéro
un de notre sport à Nancy et dans la ré gion. Membre du Comité de la Ligue de Lorraine, R. Poirot est un des plus an ciens dirigeants français et un des rares à avoir suivi depuis plus de vingt années presque tous les championnats nationaux, l.a plupart des grandes compétitions fran
çaises dans tout le pays et participé aux
le Nord.
— Permettre à nos dirigeants de
faire voir à leurs amis, à leur pu blic, et aussi à leurs détracteurs, ce qu'est le vrai visage du tennis de
travaux de de
quinze Assemblées générales
la F.F.T.T.
« Tennis de Table » joint volontiers ses félicitations aux officielles déjà adressées.'
table.
— Permettre à ces organisateurs de le faire dans les meilleures con
ditions
du
Comité et Trésorier de Champagne de 1935 à 1945.
financières,
pouvant
ainsi
améliorer les conditions d'existence de leurs associations. Tels sont deux des buts de cette
organisation, dont l'intérêt n'échap pera à personne et qui encourage ront à organiser ceux qui ne l'ont pas encore entièrement décidé.
Le Palmarès des Clubs 1. C.O.P. Le Mans 2. La Balmat Paris
85 11c. 80 »
3. Cavigal de Nice C.S. Toulon
77 77
» »
5. U.S. Métro Paris 6. O.S. Nantais A.L
72 64
» »
64
»
61
»
R. Saint-Flrmln Amiens
8. Salle Rameau Lyon
..
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R A Q U\E T T E s
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REINA INDÉFORMABLE
G^umpic^ SÉLECTIONNÉE
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'7.V .
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REIIVA Championnat du Monde 1933-1934
Ch'sde France Int" 1949, 51 et 54 Ch's de France Ind'= 1953
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BeRGr<9ANN ALEcSriA
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intégrale
Championnats de France 1949
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^.L .CCÔ.é.
MATCH "SPÉCIAL" Pour assurer une
meilleure prise de raquette
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Employez le TAHIPOX POUPREUR iHAIlIr 1^ Pour absorber toute sudation gênante BRACELET pendant le jeu u 1111S e z
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TENNIS DE TABLE. Revue Périodique 60 Rue de la Victoire PARIS-IX*. U Gérant d. BÉLOT.
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Imp, Mounot - 20. rue de la Tour-d*î^uvergn« - Parte.