Numéro 112 - 1956

Page 1

g

13» ANNEE. -

N° I 12

vmrn

mai 1956

ï

CSarisMam® WATIL ®ï Kgra® EcS)@TlHiaaFT

dominent à Toulouse et gagnent chacun trois titres... Voir pages suivantes

85 ans pour cinq... Visages nouveaux, vedettes nouvelles ?

Iw

de gauche à droite :

Monique FÉRAUD, gagnante Cadette; Annie FOUQUET, championne Junior; Monique ALBER, 2 fois finaliste Jacques HÉLAINE, gagnant Cadet; Gérard CHERGUI, champion Junior et révélation de la saison

* Dans ce numéro : TOUT SUR L'ASSEMBLÉE OÉNÉRALE *


<5ata5^

leur experience

êm

Quaiiie 't' k

ÊM iiii'""

fi M

Alex agopoff

MICHEL lANSKOY

Raquettes

Ballesl

LANSKOY

LANSKOY-AGOPOFF

r

Roquettes

AGOPOFF

ONTANA SPORT PARIS 47, RUE LOUISE-MICHEL

-

LEVALLOIS-PERRET

TELEPHONE : PER. 19-29

M. LAriSK-OY


tennis de table

Rien de nouveau chez les"grands ", mais les

Quatre Titres des jeunes changent de titulaires malgré la présence des tenants! MERCI ENCORE...

Les Cliampioiis 1956 Toujours pressé, très discret, parfois distrait, mais jamais hors de la question, le Président Raymond Trinqué a le droit

Dames

aujourd'hui d'être fier de lui, car si une

Juniors

grande partie du succès des 29*3 Cham

Juniors Féminines

pionnats lui revient (en collaboration avec ses amis), l'idée de recevoir la grande famille française du tennis de table lui revient en propre. Et nous pou

Double Messieurs

Double Dames

nats.

Suivant depuis dix ans, et de plus en plus près les organisations nationales, je fus longtemps contre Toulouse, les rai sons étant celles de la majorité de mes collègues du Conseil. Depuis un an, je fus pour... et à fond, car une visite, il y a une dizaine de mois à Toulouse, m'avait fait entrevoir le succès qu'obtmrent les Championnats. J'y avais vu trois choses principales, dont on excusera le matérialisme, mais qui serviront aux autres candidats organisateurs : l" une équipe de dirigeants aux situations personnelles... assises, dont le total des re-

Ch.'W^alcl-R. Roothooft (Paris)

Les Vainqueurs des Critériums Jacques Hélaine (A.P.D.L. Caen) Monique Féraud (P.P.C. S'-Raphaël) Stéphen Cafiéro (U.5.B.H.V. Paris) Simone Tarlet (Shell Paris)

Cadets Cadettes

Conseil fédéral ne manquait pas de si gnaler à l'ami Trinqué que, pour orga niser, il fallait une « équipe », ce qui ne fut pas souvent le cas dans la région, où toutes les tâches sportives et adminis

tres « anciens » de la Ligue : Assémai et Anglade. L'équipe souhaitée était cons titua, et le Conseil fédéral ne voyait plus d'inconvénient à confier à la Ligue des Pyrénées la tâche — redoutable entre toutes — de bien mettre sur pied une telle manifestation que nos Champion

C.'\!faleI-C. Rougagnou (Paris-Strasbourg)

.

Double Mixte

vons vous dire qu'il a dû « accrocher » longtemps pour en obtenir l'organisation ! Ail début, il n'y avait pas les salles adeqiiàtés et le Conseil fédéral éludait. Puis, sur ses nouvelles interventions, le

tratives (qu'il « avalait » avec brio) ne reposaient que sur lui seul. Puis douce ment, trop doucement pour les initiés, la Direction pyrénéenne se modifia-. Il y eut d'abord R. Trinqué, puis Trinqué et Sellier, puis Trinqué, Sellier et Rossignol, et enfin les mêmes plus Barthès, ce qui ne manquait pas de ranimer l'enthou siasme quelque peu éteint des deux au

René Roothooft (A.C.B.B.) Christiane 'W^alel (Balmat Paris) Gérard Chergui (A.C.B.B.) Annie Fouquei (A.S. Contres! Roothooft-Lanskoy (A.C.B.B.-R.C.F.)

Messieurs

Corporatifs Corporatives

Quatre belles journées

centration supérieure. Le numérotage des joueurs, tous porteurs d'un dossard, fa cilitait la tâche du spectateur dans sa recherche

des

«

vedettes

»

en

action.

Toulouse, sans pouvoir être considéré comme un tournant de l'histoire pongiste française, constituera néanmoins une étape de son évolution. La « Ville Rose », en effet, a tout d'abord consacré nos deux plus authentiques champions de l'aprèsguerre, je veux parler de Roothooft et

Bref, tout s'annonçait sous les meilleurs auspices, d'autant plus que l'éclairage était fort convenable. Chacun allait pou

Watel, qui ont enlevé toutes les épreuves

L'après-midi, consacrée aux divers éli;

auxquelles ils participaient. Elle a en suite attiré

notre

attention sur le fait

que, en dehors de Chergui, valeur sûre maintenant, nos jeunes sont loin d'être « mûrs », aucun n'ayant confirmé ce que l'on attendait de lui. Elle a enfin jeté la lumière sur la faiblesse d'une grande par tie de nos « grands » (les Ire série), à la merci maintenant des ténors de seconde

série, sans pour cela que ces derniers aient spécialement progressé. Mais l'ex posé pur et simple des principales pha ses de ces quatre journées pongistes, mieux que toute conclusion, aussi ration nelle soit-elle, vous permettra de juger par vous-mêmes.

voir défendre ses chances avec le maxi

mum de garanties. LE SAMEDI

minatoires, se passe sans histoire. Tout juste peut-on signaler la défaite, en 32' de finale du double messieurs, du tenant

du titre Cafiéro, associé, il est vrai, à Arnaud, Sala malade n'ayant pu effec tuer le déplacement. La soirée est réser vée en grande partie aux 64's de finale du simple messieurs. Le Maroc, tout fier de son indépendance, continue à remuer..., et son leader Asnar, incorporé en der nière heure dans le tableau, fait du Champenois Gœman une victime de choix.

LE DIMANCHE

La « mitrailleuse de Champagne » était

enrayée... En trois sets, Bordrez, mécon

LE CADRE...

naissable, subit la

loi du flegmatique

Il convient, en effet, d'en parler... Beaucoup de villes seraient fières de pos séder un Parc des Sports semblable à

Baudry, trop heureux de l'aubaine! Avertissement pour les têtes de série.

lions étaient nécc.ssaires ; 3" la certitude d'une propagande payante grâce à la

celui de la Cité des Violettes, Et chacun

polrs, en clounie mixte, sur Chergul-Roii-

de s'extasier, à son arrivée, sur la pis-

gagnou. Hélas! cette jeune et valeureuse

prc-siic, là radio rt Iti publleiltii.

e'ino

formation ne

lations couvraient Toulouse et la région du haut au plus bas ; 2° les salles qui

rt UK

pas sa

mefuircs

pareille

gigantesques

en

qui

France. Le

n'a

soleil,

Nos parllclpaïUs ont fait le reste. De

mallioureusemeiit, n'était pas présent au

leur pns,snKO i\ Toulouse, mes collabora teurs et amis Coloubie, Giraud, Jubert,

rendez-vous... On le regretta. Les pon gistes, malgré tout, n'avaient pas à se

Lhomme et Rossignol vous disent ce qu'ils ont vu, senti et pensé à leur en

plaindre. La Salle des Fêtes, qui allait les abriter pendant deux jours, vaste et

droit les 21, 22, 23 et 24 avril 1956. Les

résultats détaillés de toutes les compéti tions compléteront enfin votre documen tation.

Jean BELOT.

{\ suivre.)

spacieuse, convenait parfaitement au dé-

rou'ement de cette épreuve majeure que sont 'es Championnats de France individuel.s. Le système de l'affichage des ren contres sur un pamieau aux dimensions

respectables, en supprimant les appels agaçants du micro, permettait ime con

On plaçait généralement beaucoup d'espeut franchir le cop dea

quarts de finale. Agopoff, toujours aussi coriace, bien soutenu par Tarlet, l'an nihilant totalement.

Autre surprise de taille, l'après-midi, avec l'élimination du Racingman Lanskoy ! Parmenticr, le Sociétaire de Fontenay-sous-Bois, nullement intimidé par la

réputation de son adversaire, ne s'en laisse pas conter. Et Lanskoy, absolument méconnaissable, ne

réussissant rien

de

bon, est une proie facile! Ah, la mousse! (Suite liage t).


TENNIS DE TABLE

TOULOUSE Et l'on quitte le Parc des Sports pour régler les affaires sérieuses dans le cadre

plus intime du Palais des Sports. Disputés en soirée, les 8's de finale du

simple messieurs sont de simples' forma lités pour Cafiéro et Amouretti, tout comme pour Chergui et Roothooft, dont l'adversaire Tolone ne peut défendre sa chance. Agopoff, par contre, est le 3» « grand » à mordre la poussière devant l'excellent

seconde

série des Flandres :

de Toledo, après ■une partie jouée avec l'acharnement que laisse deviner le score. Bouchard oppose une belle résistance à Dubouillé : Bouzin oblige Parmentier à s'employer, mais le « clou » de la soirée est le duel Haguenauer-Genton. Le grand Michel, menant 2-0, semb'e alors s'en dormir sur la table, et Genton saisit l'oc casion... Le titre de championne de France

cadettes

revient

normalement

à

Monique Feraud devant la Lyonnaise Girardet. Les 1/4 de finale du simple da mes voient les qualifications de M. Alber, C. Rougagnou, H. Beolet et C. IVatel. Alber, face à la Parisienne Tarlet, nous a semblé bien décidée. Présage pour les 1/2

finales

?

En cadets, le favori C. Sautereau con

firme ce que l'on pensait de lui, à savoir que lorsque la mécanique est déréglée, il n'a pas les ressources nécessaires pour

tre meilleurs Français présents à Toulou se ? En 1/2 finales du simple dames, ■Watel dispose aisément de Beolet et Al ber, confirmant ses bonnes dispositions, domine dans les derniers sets une Claude

Rougagnou qui sacrifie trop à la défen sive. Chergui et Sautereau, beau vain queur de Granier, disputent la finale du

simple juniors garçons que le premier nommé s'adjuge sans discussion. WatelRougagnou, en double dames, et Roo thooft-Lanskoy n'ont pas à forcer leur talent pour conserver leur titre... LA SOIREE FINALE

Le Palais des Sports est confortable ment garni quand Roothooft et Dubouil

lé pénètrent sur la piste. Belle partie que cette première demi-finale au com's

de laquelle le « toujours jeune » Du bouillé fait une véritable démonstration

devant un Roothooft dont le jeu se prête d'ailleurs admirablement au spec tacle. René, plus sûr, s'assure le gain du match.

Avec Amouretti et Chergui, le jeu est bien moins ouvert. Prenant le minimum

de risques, les deux antagonistes pous sent la balle, attendant le moment pro

nauer-Dubouillé à Roothooft-Lanskoy ! Et si ces derniers l'emportent au cinquiè me set, le résultat eut fort bien pu être inversé qu'il n'y aurait rien eu à dire. Les Provençaux ; Caverzaghi-Quinsac doi vent se contenter de prendre un set à Agopof f-Lhomme. En double dames ; Tarlet-Alber et ■Watel-Rougagnou n'ont aucune peine à atteindre la finale aux dépens respecti vement de Delay-Freville et BeoletMarchesini. La finale du simple jimiors jeunes filles nous montre une Monique Feraud incapable de s'adapter au jeu, pourtant rudimentaire, de l'Orléanaise Fouquet. Déception ! En 1/2 finale du mixte, Lanskoy-Alber sont

et

inexistants

devant Roothooft-'Watel

Cafiero-Jeannotin

frôlent

la

victoire

devant Agopoff-Tarlet. Mais pour qui connaît la ténacité d'Alex ! Chergui, Caussin, Granier, Sautereau joueront les 1/2 finales du simple jimiors garçons. LA SOBREE PREFINALE

Roothooft, Dubouillé, Chergui, Amou retti se qualifient avec panache pour les 1/2 finales du simple messieurs. C'est justice ! Ne sont-Us pas en effet les qua

LES

DU

Entendu le dimanche place du Capitole :

CAPITOLE

vers 13 heures,

Deux joueurs en survêtement tent... à l'arrêt de l'autobus :

discu

— Pour le stadium, c'est le 22 ? — T'es pas fou... il est scratché ! A deux pas de là... rencontré Bordrez.. qui cherchait les... oies... Au « bowling » du Chalet ■un match homérique a opposé Parmentier à Lam bert... les quilles tombaient comme des ministères !...

On vous le dit : un vrai... gâchis... par mentier.

A

Un arbitre que je ne nommerai pas s'approche d'un joueur à la tenue peu orthodoxe :

— Faudrait voir à quitter votre tenue bleue et vous mettre en gris réglemen

— Daltonien ou pas daltonien, peu im valable

partout et un bel et méritoire effort final

favori

sentimental est « tombé »

Réflexion d'un spectateur profane de

avec les honneurs de la guerre, il est

vant le tableau d'affichage :

vrai !

327-325!... Voilà un match qui a été serré et qui a dû dépasser les 20 minutes !

La finale du simple dames permet à C.

Watel

de

donner

un récital devant

une M. Alber, comme figée devant sa prestigieuse rivale. Les choses ne traî

Le service de « Presse », assuré par le sympathique

nent pas avec Christiane. Mais trois sets

lui ont tout de même suffi pour donner aux Toulousains un aperçu de ses possi bilités.

Rossignol,

a

parfaitement

fonctionné, grâce aussi, il faut le dire, à l'aimable Mme Rossignol, qui n'a guère quitté le clavier de sa machine à écrire

pendant trois journées !

Et c'est la grande finale. Amouretti a généralement les faveurs du pronostic. Roothooft prend le plus de risques au l" set qu'il remporte normalement. Mais Amouretti se livrant plus complètement, égalise et s'adjuge le 3° set sur un score sans appel. On pense alors que le titre est en bonnes mains. Mais c'est faire peu de

cas de la volonté,

de

René.

Cent

fois

de l'acharnement

sur

le

métier...

et

Roothooft s'accroche, lutte. 2 sets par tout... Le combat est véritablement pas sionnant. Finalement René coiffe Amou

retti sur le poteau. 'Victoire sympathique

Seul

des

journaux

<(

extra

muros

Tarlet, non seulement il en était très informé, mais il nous révéla les indiscu tables talents de discobole de S. Alber..., une favorite des prochains championnats !

La dernière partie de la soirée n'est autre que la finale du double mixte. Les deux champions de France du simple sont associés. Apothéose pour eux que cette dernière' victoire, en commun celle-là. Et Agopoff-Tarlet ne peuvent cette fois que s'incliner. Bernard

LHOMME.

DE

Au cours de son match de quart de fi nale contre Genton,

Charles Dubouillé

a fait un remarquable numéro de presti digitation... entre deux échanges... trois sourires... quatre tours de passe-passe... et hop !...

Ni vu, ni connu... que j't'embrouille... la balle était changée !

FRANCE ont été joués

sur tables S. P. O. R. T. international balle

»

« Sud-Ouest », de Bordeaux, avait délé gué son correspondant général, qui n'est autre que M. Alban Délias, membre du Bureau de la F.F.A. et président de la Ligue des Pyrénées d'Athlétisme... Aussi, lorsqu'on voulut lui signaler les perfor mances extra-pongistes de l'athlétique

s'il en est !

CHAMPIONNATS

avec la

!

porte... Le règlement est aussi pour les étrangers !

lui vaut la victoire. Le public est déçu.

LE LUNDI

JOIES...

Amouretti mené 2-1 semble bien près de sa perte. Il égalise pourtant à 2 sets Son

Partie intéressante que la demi-finale du double messieurs opposant Hague-

LES...

taire comme tout le monde ! — Oh ! excusez-moi, je suis daltonien !

adroitement son

du jeu.

ou

pice pour décocher une flèche meurtrière.

s'imposer et le Normand Helaine tire fort épingle

Echos des Pyrénées

ONTANA - SÉLECTION


tennis de table

Politesse

marocaine! Au

Palais

des

Sports, alors que la dernière balle des XXIX's Championnats de France venait d'être gagnée et que le public se retirait, une brune jeune tille s'approcha timide ment du Juge arbitre (M. W. Giratid). C'était Mlle Azran, de la Ligue du Maroc,

qui venait prendre congé en remerciant le J.A. de ses bons ollîces. Un geste de politesse et de courtoisie

bien

digne d'être signalé

et cite

en

exemple. *

♦*

En dehors des joies purement sportives

qu'ils nous procurent, les Championnats demeurent toujours la grande fête de famille du tennis de table avec ses...

habitués, qui constituent le décor pitto resque de cette » kermesse pongiste » : Le rire de Dubouillé, la pipe d'Acher, les facéties du tandem comique LambertParmentier, le baratin de Bardin, la sym

pathique famille Célières, l'annuaire de Lafitte, les

chansons

napolitaines

de

Khanzadian, les moustaches de Roothooft, la calvitie de Boissinot, le collectif de Branschten, la faconde de Mofeau, les vœux de Coubard, les discours du Prési

dent, l'accent

de

Trinqué,

l'incident

îlaguenauer.

Etc., etc...

Mais

sont

les

interventions

de

Poirot, le parapluie de Chalès, l'esprit de Le Bouquin... du passé... déjà ? Une attaque qui fait pschtt... et qui enthousiasme les s.î^ctateurs, c'est celle de notre gracieuse Championne de

France, dont chaque match est un vrai... Watel-délice!

*% La réalité ne dépasse pas la fiction...

ou les paires de double que nous aurions

pu voir à Toulouse : Lebot-Joly..., Harent-Brochet..., Dét-Devos..., Poirier-Oli vier et... Cher...gui-Amouretti (Au Niçois qui mal y pense!). PONG, Alias G. Jubert.

Illllllllllllllllillllllllllllllllillllllllllillllinilllllllllllllllllllllllllini

La critique des techniciens Même pour les chevronnés qui consti tuaient l'équipe Jubert-Coloubie-Giraud, la suppression du micro et son « rempla cement » par des tableaux d'affichage représentait une nouveauté, sinon de fait, du moins en tant que méthode de travail. Le système m'a séduit. Mais il y a beau coup à faire pour savoir s'en servir et, surtout, pour éviter incidents fâcheux et autres scratches intempestifs, souvent malgré la bonne volonté des compétiteurs. Il est indiscutable que les tableaux étaient placés trop bas et que les numéros ne se détachaient pas assez. Ce noir sur fond blanc n'était pas lisible de plus loin que la première enceinte (tables 1 à 6). Les

tableaux auraient dû être placés plus haut, car même en coupant les têtes plus ou moins sympathiques (c'est là une question d'appréciation personnelle) qui en cachaient à demeure la partie infé rieure, la première personne stationnant sur la plate-forme cachait une bonne partie du reste... Je crois que les organisateurs doivent prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer aux joueurs de bonne foi (la majorité) toutes les garanties désira bles, en leur évitant de passer ime bonne partie de leur temps à attendre debout, près de la table des dirigeants, l'afficha ge de leur numéro, ne profitant ainsi qu'imparfaitement des tables et chaises prévues pour leur repos. Si l'ambiance sans haut-parleur était in finiment plus reposante, il faut avouer que le micro a fait quelquefois défaut, pour appeler im dirigeant de Ligue ou de Club, dont nous pouvions avoir un besoin aussi urgent qu'impératif. Con fié à une personne raisonnable, et non à un « piqué » du micro, cet engin doit revenir, pour des cas bien précis et soiis la haute responsabilité du juge-arbitre, de son adjoint et du directeur des par ties, toutes personnes douées de bon sens, ainsi que chacun le sait.

Petits potins

Le responsable des arbitres de ces championnats, M. Barthes, n'a pas vou

autour d'une grande épreuve

lu me donner la liste de ses « braves »

Le secrétaire général de la F.F.T.T. dé

dans un ordre qui aurait pu me permet tre d'en citer quelques-uns. Cette solida

rité l'honore, mais elle me prive du plai sir de citer les plus méritants. La liste qu'il m'a remise comprend, en effet, 38 noms... Ce qui prouve qu'il avait bien fait les choses, si l'on tient compte des inévitables contingences. Qu'û me soit permis, ici, de les remercier tous pour

leur indéniable bonne volonté qui a pallié, dans quelques cas, certaines insuffisances techniques. L'organisation matérielle de l'arbitrage fut au-dessus de tout éloge. Après les quelques instants de rodage indispensa bles, la méthode employée pour le cir cuit des feuilles d'arbitrage, à l'aller comme au retour, a été parfaite. Il était

bien précieux, pour le juge-arbitre, de pouvoir immédiatement rencontrer l'arbi

tre qui avait dirigé une partie donnée et

discuter avec lui sur le point précis, que permettait la tenue impeccable des feuil les d'arbitrage. Merci encore, mon cher Barthes.

Dans l'ensemble, on peut dire que la tenue grise a été respectée. Ce qui aura fait le plus de tort, dans l'esprit des spec tateurs non avertis, c'est la présence, sur des tables où ils n'avaient que faire en général, de pratiquants en veston, chaus sures, gilet, cravate et j'en passe. Chas sés des tables, ces « accrocheurs » (dans

le mauvais sens) revenaient aussitôt que le dévoué officiel qui venait de sévir s'éloignait. Je pense qu'il y a eu, là, ime lacune certaine qu'il est souhaitable de ne plus voir se renouveler. A partir du moment où la compéti tion commence, on reprend, nul ne de vrait pouvoir « faire des balles » inter minablement, surtout ceux qui sont déjà éliminés... ou qui n'ont jamais eu l'hon neur d'être engagés. Il suffirait (je crois voir d'ici la grimace de M. Sellier en li sant ce mot), il suffirait d'un responsable pour trois ou quatre tables qui ne ferait rien d'autre que passer et repasser dans son domaine.

Je garde un excellent souvenir de ces championnats et remercie sincèrement tous ceux qui ont réussi à y créer une

ambiance

confiante, amicale et, pour

tout dire, « du tonnerre »... W. GIRAUD

sirait compléter les divers comptes ren dus des XXIX" Championnats de France

en publiant le point de vue êtes « aficio nados » pyrénéens résumé par le « plu mitif autochtone de service » iBelot

viens de bavarder avec votre Président

dixii).

qui déjeune avec MM. Trinqué et Sel lier... C'est un homme qui en impose... et qui se porte bien !»

La tâche du plumitif en question aurait été facilitée s'il avait assisté pour la pre mière fois à Toulouse au déroulement de

VENDREDI APRES-MIDI. — Désespoir' des organisateurs qui comptaient bien

ces Championnats, si cette compétition avait constitué son premier contact avec nos champions, avec les divers dirigeants, avec les membres du conseil fédéral. Ce

n'était pas tout à fait le cas : force lui a donc été de recueillir de ci, de là des impressions qu'il va livrer ici sans aucun lien entre elles... comme il les a enten dues... comme il se les rappelle... en im

plorant toutefois le pardon de ceux qui s'y retrouveront et en les assurant qu'il n'y a aucune malveillance... bien au con traire !

VEMJREDI 21 AVRIL. — 1 heure 30.

Rencontré à la porte du Rialto, M. Bou-

dey. correspondant de « La Dépêche du Midi .!>, chargé par « L'Equipe » des comptes rendus des « Nationaux » .' « Je

commissaire aux comptes... traîtreusement attiré dans ce guet-apens et à qui l'on ne manque pas de souligner sa délicate po sition. Si l'assemblée générale l'appre nait...

accueillir les « Parisiens » avec le beau soleil du Midi : celui-ci hélàs s'est caché

en route du côté de Montauban ! Ét le secrétaire de la Ligue des Flandres doit prendre un taxi pour amener ses jouteurs à leur hôtel. Son moral doit s'en ressentir car il an

nonce à qui veut l'entendre son éviction prochaine, inéluctable et sans appel du conseil fédéral : de quoi se marrer ! VENDREDI SOIR. — La température remonte autour d'un petit 'repas servi dans la banlieue de Toulouse. On y re marque, outre le président de la Ligue et Madame, le président de la F.F.T.T., le commissaire général, le responsable de

l'arbitrage, quelques membres du conseil fédéral arrivés à Toulouse et... horreur!le

SAMEDI MATIN. — Branle-bas géné ral ! Tout le monde s'affaire au Parc des

Sports. Quelques arbitres régionaux descendént de l'autobus spécial... juste à temps pour aider le commissaire général et le président de la Ligue à « charrier » les tables... Des joueurs de l'Ile-de-France arrivés également n'y coupent pas non plus.

Millot se présente épanoui à la récep tion du Syndicat d'initiatives... il n'a pas connaissance de certaines circulaires où l'on s'intéresse à lui.

SAMEDI MIDI. — Le président Prulière est interviewé à Radio-Toulouse. Il en

profite très habilement pour regretter no tre absence aux Championnats du Monde à Tokio.


TENNIS DE TABLE

Toutes les parties de Toulouse SAMEDI 1 HEURE. — Le coup d'envoi est d~,nné... le tabieau d'affichage fonc tionne... chaMn ne s y reconnaît pas tou jours... des scratches ivvmérités s'ensui vent (.n'est-ce pas M. Mûliat ?). M. Jubert reste impassible et domine la situat-on.

SAMEDI APRES-MIDI. — Certains es

saient de r-nix>yer dans le camp adverse la petite balle blan.he, d'autres discu tent... d-S groupes se forment. Pour par ler de quoi, au fait ? M. Belot est tou jours p.ssimisie : i- n'en a plus que pour quelques heures... Il pleut!

Les joueuses pyrénéennes découvrent la véritable tenue à adopter : leurs adver saires ont vraiment de l'allure / Tout cela

n'est pas pour nous déplaire. SAMEDI-SOIR. — A Radio-Toulouse, le directeur du Journal Parlé, Pierre Loubens, ne cache pas à Haguenauer combien il serait heureux d'apprendre des résul tats-surprises... par exemple la disparition de quelques vedettes durant les élimina toires. « Impossible au premier tour, ré pond Haguenauer, car en général nous en s.ymmes exemptés ».

A 1 heure du matin, Amouretti, très en forme, r-ncontre le plumitif au « Capaul ». « Avez-vous mis au panier mes circulaires ? Que non, bien au contraire,

liUNiDI MATIN. — Il ne pleut plus, le so.eil est radieux, tout incite à l'opti

miste ; les délégués du petit club

de

Saint-Laurent qui v.ennent assister au banquet « fraternel » arrivent un peu en

retard, mais tout réjouis, à l'assemblée gé nérale pjur écouter nos discussions ami cales... Se seraient-ils trompés de salle ? Çà bardait!ça bardait!ça bardait! Les minutes du secrétaire général sor tant sont comptées,,. M, Belot est réé-u (en 4" position s'il vous plaît /). Le Président Prulière domine

les

bats,,.

LUNDI MIDI. — Le commissaire génér ral est soucieux.,, et souffrant, sa joue

s'arrondit... l'apéritif Ricard est servi au Châlet... mais l'assemblée générale ne se termine jamais... et personne n'ose aller voir. Enfin les voilà ! Tout rentre dans l'ordre...

LUNDI 2 HEURES. — L" banquet... tournons la page l Pourtant le rosé de Saint-Laurent, la blanquette de Limoux et l'armagnac re tiennent l'attention...

je les ai lues très attentivement... »

LUNDI APRES-MIDI. — Atmosphère surchauffée au Palais des Sports, tendue au 2" étage.

Boumiquel de Mazamet a la désagréa ble surprise de ne plus retrouver sa voi ture en sortant d'un café.

LUNDI SOIR. — Une partie émotionnante : Granier psrd son titre devant un Sautereau qui réussit tout I Chergui pour suit ses succès calmement et sûrement!

DIMANCHCE MATIN. — La pluie conti nue à tomjyer. Dans la petite salle de re pos, les commissaires aux comptes et le trésorier s'affairent avec des airs sinis

tres... brandissent des papiers... compul sent des chiffres... Ça va barder! Une bonne nouve'le pour Pierre Loubens : l'élimination de Bordrez par Baudry.

Le commissaire général a une dent (estce parce qu'il en souffre ?) contre le cor respondant de « La Dépèche »... qui part en claquant la porte (symboliquement /). A 1 heure du matin, le président de la Ligue se fait fort d'arranger les choses. Au journal, son intervention ne paraît pas au goût du monsieur qui s'affaire au marbre... Ça va plutôt mal.

M. Bélot est très décontracté... il pense toujours qu'il sera battu!Le commissaire

général, lui, souffre des dents. DIMANCHE APRES-MIDI.

Il pleut

encore !

Oros incident à la table du juge arbi tre :on apporte à M. Giraud (ou à M. Coloubie ?) la fsuite du match ParmentierLanskoy... 3 sets à 0... on s'est trompé de nom pour le vainqueur! Qu'on aille qué rir cet huluberlu d'arbitre... vérification faite, l'hurluberlu est dans le vrai, et Par-

mentisr toujours dans le bain, Lanskoy,

lui, n'y est plus / Pierre Loubens se pâ merait d'aise.

Certaines vedettes sont invitées à en lever leurs tricots pour laisser apparaître leurs dossards... comme tout le monde I Un murmure d'approbation salue cette in jonction.

L'épreuve de consolation débute pour tant, la pluie ne cesse de tomber! DIMANCHE SOIR. — L'activité

s'est

transférée au Palais des Sports ; Saute-

reau perd son titre en « cadets ». Hague nauer aussi est battu... mais en seniors.

Tudieu, quel match captivant! M. Belot est de p'us en plus pessimiste, mais toujours décontra-té ! M. Sellier, commissaire général, lui, a de plus en plus mal aux dznts... sa joue gauche enfle d'une façon inquiétante !

MARDI MATIN ET APRES-MIDI. —

Enfin du repos ; à nous les promenades, les visites, à nous Saint-Cernin, SaintEtienne, le Pont-Neuf, le Capitale (oeuvre

de l'architecte Cammas, etc..,), à nous le gothique flamboyant.

Christiane "Watel gnou cœur passe Le

et

Claude

Rouga-

viennent à Radio-Toulouse, leur fait toc... toc... pourtant tout se fort bien ! soir, c'est au tour de Roothooft,

SIMPLE MESSIEURS

V64. — Sorazin b. Mirauchaux 3-2 ; Perroton b Quinsoc 3-2 ; Condette b. de Klugueneau 3-1 '■ Floch b. Debon 3-0 ; Ridard b. Penet 3-1 ; Coussin b. Arnaud 3-0 ; Diesnis b. Balesi w.o. ; Purkort V ' b. Gonnetont 3-0 ; Sylvon b Fauvée 3-0 ; Chauvelier b. Saunier w.o. ; Robin b. Décret w.ô. • Dubouiilé b. Benouaiid 3-0 ; Chormont b. André G. 3-0 ; Grebonvol b. Redureou 3-0 ; Georgesco b Rival 3-0 ; Olivier b. Le Gorff 3-0 ; Sautereau b Escaffre 3-0; Deiochenai b. Soussan 3-1 ; Szamick b. Labaquère 3-1 ; Khonzodion b. Brée w.-o. ; Toione b. Didier w.o. ; Loustounou b. Fléioine. 3-2 ; Tibi b. Leroux 3-2 ; Toujos b Abenoza 3-0 ; Barot b Casenave -3-2 ; Parmentier b. Joiy 3-0 ; Boudrie b. Vasiet w.o. : Trotier b Meunier w.o. ; Bouzin b Purkort R. 3-0 ; Bitoum b. Ankry 3-2 ; Asnar b. Goémon 3-0 ; Greffion b. Négrier 3-0 ; Chergui b Corrara 3-0 ; Denot b. Loiiheugue 3-0 ; Pétrement b. Le Cam 3-2 ; Horent b. Hooreibecke 3-1 • Boudry b. Piisson 3-1 ; Lebret b. Ttiévenet 3-0 •

Sokoloff b. Berge w.o. ; Delattre b. Miliiat 3-0 ; Uzon b. Souié 3-1 ; Coverzoghi b. Le Monio 3-2 ; Bourdon b. Bros w.o. ; Coupeou b Thubières 3-0 ; Encousse b. Paternotte w.o. ; Pradon b. Bocquiiion 3-2 ; Bonnet b. Chotoin w.o. ; Gracier b. Martin 1/32. — Floguenouer b Sorazin 3-0 ; Perroton b. Bortoluzzi w.o. ; Condette b. Fioch 3-0 ; Genton b. Ridard 3-0 ; Bouchard b. Coussin 3-0 ; Purkort V. b. Diesnis 3-0 ; Syivon b. Chauveiier 3-2 ; Dubouiiié b. Robin 3-0 ; Agopoff b. Chormont 3-0 ; Grebonvol b. Georgesco 3-1 ; Soutereou b Olivier 3-0 ; De Toiedo b. Deiochenoi 3-1 ; Toione b. Khonzodion 3-1 ; Loustounou b. Tibi 3-2 ; Roothooft b. Touios 3-0 ; Lanskoy b. Borot 3-0 ; Pormentier b, Boudrie 3-0 ; Bouzin b. Trottier 3-0 ; Aznar b. Bitoum 3-0 ; Lhomme b. Greffion 3-0 ; Chérgui b. Denat 3-0 ; Horent b. Pétrement 3-0 ; Boudry b. Bordrez 3-0 ; Cofiéro b Lebret 3-0 ; Sokoloff b. Delottre 3-1 ; Uzon b. Coverzoghi 3-2 ; Devos b. Bourdon 3-1 ; Encousse b. Lambert 3-0 ; Bonnet b. Pradon 3-2 ; Amouretti b. Gronier 3-1.

1/16. — Hoguenouer b. Perroton 3-0 ; Genton b. Condette 3-0 ; Bouchord b. Purkort V. 3-1 ; Dubouiiié b. Syivon 3-0 ; Agopoff b. Greborwoi 3-0 ; De Toiedo b Soutereou 3-1 ; Toione b. Szomick 3-1 ; Roothooft b. Loustounou 3-0 ; Pormentier l). Lanskoy 3-0 ; Bouzin b. Aznor 3-0 ; Chergui b. Lhomme 3-0 ; Horent b. Boudry 3-0 ; Cofiéro b. Sokoloff 3-0 ; Uzon b. Devos 3-2 ; Encousse b. Coupeou 3-0 ; Amouretti b. Bonnet 3-0.

1/8. — Genton b. Hoguenouer 3-2 ; Dubouilié b. Bouchard 3-1 ; De Toiedo b Agopoff 3-2 ; Roothooft b. Toione w.o. ; Pormentier b. Bouzin 3-1 ; Chergui b. Horent 3-0 ; Cofiéro b. Uzon 3-0 ; Amouretti b. Encousse 3-1.

1/4. — Dubouilié b. Genton 12, —16, 15, 7 ; Roothooft b. De Toiedo 15, 17, 15 ; Chergui b.

Pormentier 12, 17, 15 ; Amouretti b, Cofiéro 15. , 18, 9.

'

1/2. — Roothooft b. Dubouilié 16, 17, 16; Amou retti b. Chergui 14, —22, —19, 12, 17. Finale. — Roothooft b. Amouretti 15, —18, —12, 17, 19.

Genton et Chergui de dialoguer... Pierre Loubens tient naturellement pour ce der

bord, repart, revient, avant d'échoir à son

nier qui est « ousider » !

pouvoir en expliquer la provenance ! Le commissaire général fronce les sourcils !

MARDI SOIR. — La grande finale... le pub ic se presse sur les gradins... surtout au « poulailler », soupire le président Trinqué. Les Officiels sont là autour de M. l'Ins pecteur général, préfeû de la Haute-

titulaire. Le plumitif retrouve une pla quette dans la poche de son veston sans

La voiture de Bourniquel est retrouvée... pas en excellent état.

Amouretti et Roothooft sont bien près l'un de l'autre. 21-19 au 5' set. Roothooft

Garonne.

est champion. Il récidive peu après mixte avec Christiane Watel.

Chergui cause bien des émotions... et Amouretti s'en tire de justesse.

Redistribution des prix... le drapeau de la F.F.T.T. est remis au commissaire gé

Christiane 'Watel se taille un beau suc

cès... mérité d'ail eurs. M. le préfet, ravi et charmé, veut rester sur cette agréable impression... Il part ! Grosse rigolade au moment de la distri

bution des récompenses : on cherche par tout le champion Cadet Helaine et le « Caravelle » navigue de tribord à ba-

I t M I I tfcrill mil! • I

en

néral... le rideau est tombé ! Un voUe de mélancolie aussi... car, en dépit de toutes

les divergences, des amitiés se sont nouées, une certaine solidarité est née durant ces

quelques jours passés en commun. Les XXIX" Championnats sont morts... Vivent les XXX" Championnats de France l

J. ROSSIGNOL.


TENNIS DE TABLE

LES 29®"®® NATIONAUX : match par match 1/4. — Duboulllé-Hoguenouer b. Gronier-Plîsson

SIMPLE DAMES

JUNIORS JEUNES FILLES

1/32. — Pech b. Benoit w.o. ; Regnoult b. Célières J 3-2 ; Judois b. Négrier 3-1 ; Poirier b. Rouzoud 3-2 ; Alber b. Laurent 3-0 ; Thévenard b. Noth 3-1 ; Clorennec b. Cuillou 3-1 ; Thouvenin b. Gonon w.o. ; Delaubert b. Ramée 3-0 ; Jeannotln

1/8. — Nourrissot b. Diesnis 3-1 ; Moktori b. Calloud 3-0 ; Talion b Pocquemann 3-1 ; Fouquet b. Girordet 3-1 ; Souget b. Dum,!ly 3-0 ; Noth b. Rassot w.o. ; Roch b. Célières D. 3-0 ; Féraud b.

b. Moure 3-0 ; Soler b. Nourrissat 3-1 ; Viers b.

1/4. — Moktari b. Nourrissat 13, —16, 14. 14 ; Fouquet b. Talion 16, 18, 10 ; Souget b. Noth 7, 16, 12 ; Féroud b Roch 16, —19, 16, 15. 1/2. — Fouquet b. Mcktori —19, 18, 17, 18 ; Féraud b. Souget 18, 18, —19, 11.

Touroude 3-0 ; Brochet b. jousselin 3-1 ; Féraud b. Lectercq 3-0 ; Arnaud b. Célières C 3-0 ; Chéreau b. Dufor 3-0 ; Souget b. ternaire 3-0 ; Bonneton b. Landreau 3-0 ; Fréville b. Azran 3-1 ; Letto b.

Harosteguy 3-1 ; Marchesini b. Widera 3-0/, Viola b. Dubois 3-2 ; Hennequin b. Bourniquel 3-0. 1/16. — Tarlet b. Pech 3-0 ; Judois b. Regnoult 3-1 ; Alber b Poirier 3-0 ; Clroud b. Thévenard 3-0 ; Deloy b. Clorennec 3-0 ; Delaubert b. Thou venin 3-1 ; jeonnotin b, Soler 3-0 ; Rougognou b. Viers J-l ; Féraud b. Arnaud 3-1 ; Souget b. Ché-

reou 3-2 ; Béolet b. Bonneton 3-0 ; Fréville b. Letto 3-0 ; Vonnoni b. Marchesini 3-0 ; Viola b. Heurtefeux 3-2 ; Wotel b. Hennequin 3-0. 1/8. — Tarlet b judois 3-0 ; Alber b. Giraud 3-1 ; Delaubert b. Deloy 3-1 ; Rougognou b. Jeon notin 3-1 ; Féraud b. Brochet 3-0 ; Béolet b. Sauget 3-0 ; Vonnoni b. Fréville 3-1 ; Wotel b. Viola 3-0. 1/4. — Alber b. Tarlet 15. 16. 22; Rougognou b. Delaubert 17. —12, 19, 18; Béolet b. Féraud 11, 12, 6; Wotel b. Vonnoni 11, 15, 10. 1/2. — Alber b. Rougognou —20, —15, 19, 14, 13 ; Wotel b. Béolet 12, 16, 13. Finale. — Watel b. Alber 10. 13, 14.

Rouzaud 3-2.

1/64. — Hélaine b, Meilhan 3-0 ; Ciiillemant b. Corraz 3-0 ; Perrolaz b. Wissanberger 3-0 ; Lebot b. Pichot 3-2 ; Pradeyrol b Ballet w.o. ; Mofhon

b. Det 3-2 ; Drouet b. Toloso 3-2 ; Lefébure b. Cozaux ; Thro P. b. Chemoul w.o.

1/32. — Chergui b. Héioine 3-1 ; Volode b. Ruffot 3-0 ; Minetti b. Mortino 3-0 ; Fiolips b. Broiily 3-1 ; Cuérin b Robin 3-1 ; Hoorcu b. Spony

CADETS 1/32. — Fiolips b. Ballet w.o. ; Brochier b. Wan cier 2-0 ; Rossignol b. Ruffat wo. ; Lomoert b. Rossot 2-0 ; Kim b. Martine 2-0 ; Fonode b. Lebot

2-0 ; Brally b. Cozoux w.o. ; Thro b. Cuérin 2-1 ; Meilhan b. Dupère 2-0 ; Rayon b. Pichot 2-Û ; Avignon b. Spony w.o. ; Izord b. Genevey w.o. ; Toloso b. Bouffard 2-0 ; Det b. Minetti 2-0, 1/15. —

Doizy b. Thomas 2-0 ; Gozonove

Kim 2-1 ; Boulonger

b. Fonode 2-0 ; Hélaine b.

Brolly 2-0 ; Thro b. Bru 2-0 ; Meilhan b. Gloy 2-0 ; Lacoste b. Corroz 2-1 ; Sentence b. Rayon

2-0 ; Guillemant b. Avignon 2-0 ; Liboureou b. Izord 2-1 ; Gozenoz b. Toloso 2-0 ; Soutereou b. Det 2-1.

deyrol 3-0 ; Montai b Sentenoc 3-1 ; Izard b. Brochier 3-0 ; Mothon b. Donnet w.o. ; Barat b. Carde 3-1 ; Boulanger b. Escaffre 3-0 ; Relizoc b. Cazenaz M 3-2 ■ Soutereou b. Drouet 3-0 ; Le Monio b. Lefébure' 3-0 ; André b. Georges 3-0 ; Joly b._ Morcou w.o, ; Lambert b. Courset 3-1 ; Dupera b. Bouffard 3-1 ; Trilhe b. La Corff 3-1 ; Thomas b. Rossat 3-0 ; Gronier b. Thro P. 3-0. 1/16 — Chergui b. Volode 3-0; Fiolips b. Minetti 3-0 ; Cuérin b. Hoarau 3-2 ; Loilheugue b. Rayon 3-0 ; Condette b. Gailien 3-0 ; Bru b Doizy 3-1 ■ Coussin b. Oustric 3-0;'Uzon b. Montai 3-0; Motton b. Isord 3-2 ; Barat b. Boulanger 3-1 ; Sou tereou b Relizoc 3-0 ; Le Monio b. André 3-0 ; Lambert b. loly 3-2 ; Trilhe b. Dupère 3-2 ; Gro nier b. Thomos 3-0.

1/8 — Chergui b. Fiolips 3-0; Loilheugue- b

Doizy 2-0 ; Rossignol b.

Moutel 2-0 ; Lambert b. Valade 2-0 ; Hélaine b. Boulanger 2-0 ; Mellhon b. Thro 2-1 ; Sentence b. Lacoste 2-1 ; Guillemant b. Liboureou 2-1 ; Sou tereou b. Gozenoz 2-0.

—11, 14, 13; Soutereou b. Guillemant 7, 11. 1/2. — Hélaine b. Cazenave 16, 15 ; Soutereou t. Meilhan 16, 23. Finale. — Hélaine b. Soutereou 20, 18.

Moutel-Pichot b. Bourdon-Det w.o. ; Toujas-Loilheu-

gue b. Dupère-Mortin 3-0 ; Trotler-Coussin b. Creffion-Perroton

3-1 ;

Cosenove-Encousse

b.

Borot-

Olivler 3-0 ; Boudry-Delochenol b Benouolid-Aznor 3-1 ; Prodeyrol-Locoste b. Martino-Mlrauchaux w.o. ;

Pétrèment-Penet b. Thro frères 3-0 ; Le MomoRedureou b Chormont-Négrier 3-2 ; Floch-Le Corn b. Gollien-Rebizoc 3-0 ; Décret-Tolone b. Debon-

Deriot 3-0 ; Coverzoghi-Quinsoc b. Thomos-Volode 3-0 ; Hoorelbecke-Lebret b. Leroux-Bouzm 3-1 ; 5y|van-Crébonval b. Rossignol-Boufford 3-0 ; RoyonBrolly b. Hoarou-Bollet w.o. ; Horent-Condette b. Bouchord-Chouvelier 3-2.

b. Bcr.net-Connetont 3-0 ; De Klugueneou-Soulé b. Prodon-Robln w.o. ; Toujos-Loilheugue b. MoutelPlchot 3-0 ; Lanskoy-Roothooft b. Trotier-Coussm

Lebot-Guérin 3-0 ; Devos-De Toledo

3-0 ; Agopott-Lhomme b. Cosenove-Encousse 3-0 ; Boudry-Delochenol b.. Prodeyrol-Locoste 3-0; Petrement-Pénet b. Le Monio-Redureou 3-1 ; Floch-te Com b Bordrez-Coemon 3-2 ; Décret-Tolone b. Khonzodion-Ridard 3-2 ; Coverzoghi-Quinsoc b. Hoorelbecke-Lebret 3-0 ; Sylvon-Crébonvol b. Royon-

CADETTES

Brolly 3-0 ; Horent-Condette b. Cotiéro-Arnoud 3-2.

1/4. — Célières D. b. Rossot w.o. ; Girordet b. Roch 13, 9 ; Fouquet b. Calloud 8, 9 ; Féraud

3-0 ; ' Cronier-Plisson b. Coupeou-Le Gorff 3-0 ; Devos-De To edo b De Klugueneou-Soulé 3-0 ; Lonskoy-Roothoott b. Toujos-Lailheugue 3 0 ; Agopotf-

1/8.

1/2. — Girordet b. Célières D. 8; —19, 10 ; Fé

Finale. — Féroud b. Girordet 17, 1^. r '-

quin 3-2 ; Célières C. et J. b. Négrier-Mortès 3-0 ; Vonnoni-Brochet b.

Dutor-Pech

3-0.

1/8. — Torlet-Alber b. Delaubert-Letto 3-0 ; Vlers-Bonneton b. Touroude-Sauget 3-1 ; PoirierMoktori b Landrêou-Tallon w.o. ; Deloy-Fréville b. Arnoud-Cirardet 3-1 ; Giraud-Jeonnotin b.

Nourris-

sat-Violo 3-1 ; Béolet-Morchesirii b. Chéreau-Thévenord 3-0 ; Célières C. et |. b. Cuillou-Horosrteguy 3-0 ; Wotel-Rougognou b. Vonnoni-Brochet 3-0. 1/4. Torlet-Alber b. Viers-Bonneton II, 13,

15 ; belay-Fréville b. Poirier-Moktari 17, 15, 12 ;

Béolet-Marchesjni b. Giraud-Jeannotin 10, —12, 17, 8 ■ Wotel-Rougognou b. Célières C. et J. 7, 8, 15.

1/2. — Torlet-Alber b. Deloy-Fréville 19, 12, 19 , Watei-Rougognou b, Béo.et-Morches.ni 19, 16, 12. Finale. — Wotel-Rougognou b. Torlet-Alber 19, 16.

DOUBLE MIXTE 1/32. Coverzoghi-Noth b, Sousson-Amoud w.o ; Hoguenouer-Morchesini b. Bpcquillon-Célières

Le Com-Touroude b. Gretfion-Brochet 3-2 ; ToujosCiroud b. Bifoum-Romée 3-1 ; Sarczin-Vonnoni b. Grébonvol-Deloubert 3-1 ; Aznor-Azron b. Tolone-

1/4 Chergui b. Loilheugue 17, 18, 19 ; Cous sin b'Condette 15, 19, —20, 19 ; Soutereou b. Uzon

roud b. Fouquet 12, 14.

Dubois-

b. Laurent-Henne-

1/32. — Diesnis-André b. Poternotte-Bros w.o. ; Loboquère-Boudrie b. Sokoloff-Sarozin 3-2 ; SzomikCarrora b Purkart frères 3-0 ; Parmentier-Lombert b. Tibj-Ankry 3-0 ; Bonnet-Connetont b. Rival frères w.o. ; De Klugueneou-Soule b. Trilhe-Thubières 3-2 ; Prodon-Robin b. Meunier-Arnaud w.o. ;

nier-P'isson b

b. Mortès 10, 6.

Chéreou-Thévenord b.

Dumilly 3-0 ; Béolet-Morchesini

Perroton-^Clorennec b, Coupeou-Leclercq 3-1 ; Boudry-Londreou b Ridord-Célières C. 3-1 ; Plisson-

Trilhe 3-0.

b. Gronier 19, 15, —5, —17, 12. Finale. — Chergui b. Soutereou 16, 9, 7.

venin-Lemo ire 3-1 ;

DOUBLE MESSIEURS

signol 3-0 ; Uzon b. Motton 3-2 ; Soutereou b. Borot 3-0 ; Le Monio b. Lambert 3-0 ; Cramer b.

Chergui b. Coussin 13, 10, 18 ; Soutereou

1/16. — Delaubert-Letto b. Judois-Leclerc 3-0 ; Touroude-Souget b. Brémond-Touttet w o. ; PoirierMoktori b. Widero-Clorennec 3-1 ; Arnaud-Glrordet b. Regnoult-DIesnis 3-0 ; Nourrissat-Vialo b. Thou

d' 3-0 ; Bouchord-Widero b. Trilhe-Moure 3-0 ;

1/16. Diibouillé-Hoguenouer b. Diesnis-André 3-0 ; SzamiK-Corroro b. Loboquère Bouririe 3-1 ; Coupeou-Le Cortf b Pormentler-Lombert 3-2 ; Cro-

1/2.

■DOUBLE DAMES

13.

Cuérin 3-0 r Condette b. Bru 3-0 ; Coussin b. Ros

12, 19, 18 ; Gronier b Le Monio 18, 15, 14.

Flnole. — Lonskoy-Roothoott b. Agopott-Lhomme 17. Il, 17. ■

1/4. — Cozenove b. Rossignol 11, —16, 20; Hélaine b. Lambert 15, 11 ; Meilhan b. Sentence

Lacoste 3-1 ; Ooizy b. Cozenoz T. 3-1 ; Bru b. Ri.vol 3-0 ; Coussin b. Lrtrot 3-0 ; Uzon b. Pra

b.

Fiolips 2-0 ; Moutel b. Brochier 2-0 ; Rossignol b. Morcoux w.o ; Lambert b. Oustric 2-0 ; Volode b.

wo. ; Rayon b. Wancier 3-2; Loilheughe b. Cuillemont 3-2 ; Condette b. Perrolaz 3-0 ; Gallien b.

Claye 3-2 ; Rossignol b. Lourent 3-0 ; Oustric b.

1/2. — Lanskoy-Roothooft b. Dubouillé-Haguenouer —16, 10, 15, —14, 13 ; Agopott-Lhomme b. Coverzoghi-Quinsoc 14, 14, —18, 14.

Finale. — Fouquet b. Féroud 12, 14, —9, IB.

1/8. — Cozenove b

JUNIORS GARÇONS

10, 18, —19, 11 ; Lonskoy-Roothoott b. Devos-De Toledo 15, 19, 16 ; Agopotf-Lhomme b. Floch-Le Com 14, 15, 13 ; Coverzaghi-Quinsoc b. SylvonGrébonvol 15, —12, 21, 12.

Dubouillé-Hoguenouer b. Szamik-Corrara

Lhomme b. Boudry-Delochenol 3-0 ; Floch-Le Com b. Pétrement-Pénet 3-1 : Coverzaghi-Quinsoc b. Décret-Tolone 3-1 ; Sylvon-Crébonvol b. HorentCondette 3-2.

Béolet b. Soulé-Chéreou 3-0 ; Violo-Lobaquêre b. Corrora-Dumilly 3-1 ; D esnis-Diesnis b. Denot-

Rouzoud 3-1 ; Sokolott-Tollon b. Georgesco-Roch w.o. ; Lhomme-Jousselin b. Négrier-Négrier 3-0 ;

Hennequln 3'-0 ; Floch-Judols b. Debon-Dutor 3-0.

1/16 — Agopotf-Torlet b. Poternotte-Horosteguy w.o. ■ Coverzoghi-Noth b. Rival-Moktori 3-2 ;

Hogu'enouer-Marctesini

b.

Hoorelbecke-Regnoult

3-2 ■ Cherguy-Rougagnou b. Bourhard-Widera 3-1 ; "Cat.éro-leonnotin b. Perroton-Clurennec 3 0 ; Décret-Lourent b. Boudry-Londreou 3-1 ; PlissonBéolet b Chormont-Mortès 3-0 ; Dubouillé-Frévil e b D'esnis-Diesnis 3-0 ; Khonzodicn-Poirier b Sokoloft-Tollcn 3-1 ; Lcnskoy Alber b Le ComTouroude 3-1 . PormenLer-Deloy b. Touios-GIroud 3-0- Aznor-Azron b. Sorozin-/onnoni 3-1 , Sylvon-

Thévenord b. Judois-Floch 3-0 ; Roothoott-Wotel b. Szomik-Dubois 3-0.

1/8. _ Agopotf-Torlet b. Coverzogh-Noth 3-0 ;

Chergui-Rougcgnou b. Hoguenouer-Morches ni 3-L .

Cotiéro-leonnotin b. Décret-Laurent 3-0 ; PhssoriBcolet b Vialo-Loboquère 3-0 ; Duboui le-Freville b Khonzodion Poirier 3-0 ; Lonskoy-Alber b. Lhomme-lousselin 3-0 ; Pormentier-Deloy b AznorAzron 3-0 ; Roothooft-Wofel b. Sylvon-Thevenqrd 3-1.

1/4. _ Agopott-Torlet b. Chergui-Rougcgnou 15. 18

9

22 ■ Cotiéro-leonnotin b. PFsson-Béolet 16, 15 20 15 ■ Lonskoy-Alber b. Dubouillé-Fréville l'a 20 ; Rôothoott-Wotel b. Pormentier-Deloy

12, 8,' 16.

1/2 — Agopott-Torlet b. Cofiéro-Ieonnotin —13,

—17 20 16 13 ; Roothoott-Wotel b. Lonskoy-Alber

12, 9, -I2I,' 11. Finale. 12,

Roothoott-Wofel

b.

Agopotf-Torlet

14, 17 (A suivre.)


tennis de table

XXIX'" ASSEMBLEE GENERALE d'outcnr plus cher en pourcentage que le budget est faible. Si nous avions la possibilité d'avoir un budget de 15.0(X).fX)0 — au lieu de 8.000.000

Assemblée générale ordinaire

les dépenses administratives seraient les mêmes ou seraient augmentées de très peu, et tes 7.(XX)OGO supplémentaires serviraient à s-ubventionner des épreuves

du 23 Avril 1956 à 9 h. 30

sportives dons les me.Heures conditions.

Ainsi nous aurions un pourcentage plus important des dépenses sportives eu égard avec les dépenses administratives.

Chambre de Commerce de Toulouse

Sur ce sujet, j'ajouterai que les trésoreries des Ligues font portie inté grante de la Fédérotion, et si, dans nos comptes financiers, nous faisions entrer en ligne de compte les dépenses sportives et administratives de celles-ci

Présidence de M. Jean Prulière, Président de la F.F.T.T.

nous aurions au total général un reflet plus net et plus catégorique de ce que',

Assisté ae MM. Jean Bélot, Secrétaire général, et Jean Funfshilling, Trésorier

dans l'ensemble, nous faisions ou point de vue sportif.

général.

Associations représentées par MM. : Emancipaîrice

B H.V

Toulouse

(Trinqué) ;

Colombes-Sports

(Crisofulli) ;

U.5.

Pans (Bottistelli) ; C.N.A. Rouen (Plantrou) ; A.C.B.B. (Poulain) ;

S.CE. Marseille (Martina) ; U.S. Crépy (Sautereau) ; A.S.P. Angers (Bolssi-

not) ; G.S. loulon (Dibon) ; G P. Arbanats (Laffitte) ; R.C. France (AgopofÔ ; A.P. Aulnay (Ridard) ; G.G.L. Poteaux (Khanzadian) ; G.A. Gaz Tunis (Strazzula) ;

S.b.c.

Glermont

(Viola) ;

A.P.D.L.

Gaen

(Rigoulot) ;

Balmat

(Brantschen) ; A.S.P. Tunis (Bismuth) ; Dauphins Tunis (Bismuth) ; P.P.G. Roanne (Szamik) ; P.PC. Tours (Bardin) ; AV. Bagnerais (Bartette) ; P.P.G. Tarbois (Fodat) ; A.S.Ch. Metz (Mercier) ; A.P.P.C. Aurilloc (Poumaroux) : P.P.G Saint-Raphaël (Pacquemann) ; G.T.T. Mâcon (Fauvée) ; U.S. Métro Paris

(Géiières?) ; C.O.M. Etampes (Moreau) ; Régie Bordeaux (Bergasse) ; C.A. Bègles (Fossevace) ; G.O. (Sauderan (Vervel) ; jarnoc Sp. (Thoret) ; S.A. Verdun (ternaire) ; AS. Gaz Sète (Sérié) ; R.S. Lyon (Duclos et Buffa) ; P.S. Besançon (Vieille) ; Bleus Arcochon (Giroud) ; Girondins Bordeaux (Olivier) ; P.P.G. Arcachon (Mme Giraud) ; A.S.G. Clomart (Ramseyer) ; U.S. Feurs (Penet) ; P.P.G. Feurs (Perraud) ; G.O Auberviliiers (Acher) ; Lyra Rennes (Lecourt) ; S.T. Béthune iDevos) ; U.P. Mazomet (Bournique!) ; S.T. Symphorien (Goloubie) ; O.S. Dnion Parie (Lollier) ; P.P.G. S.T. de la Gadrefîsse (Boyer) ; La Vaiognoise (Diesnis) ; Gavigal Nice (Amouretti) ; Hispania Béziers (Négrier) ;• P.P.C. Ax-ies-Thermes (Mouré):

Une chose qui sera sans doute rappelée tout à l'heure, comme l'an der nier, du reste. Comment se fait-il que le million, que les clubs nous oui apporté en supplément, par l'augmentation du prix de la licence de ICX) à 150 francs, et qui nous a permis de combler le déficit creusé par le déplace ment aux Championnats du Monde de Bombay, ne nous permette pas de réduire aujourd'hui le prix de la licence, comme nous l'ovions espéré? Il y a plusieurs couses à cela. D'abord l'augmentation des tarifs d'impri merie pour nos éditions, pour l'achat de nos imprimés et les frais d'adminis tration, le déficit des Championnats de France Internationaux, les allocations pour le Chompionnat et les Coupes, et la nouvelle réglementation de la coti sation du. G.N.S. Ce qui fait qu'aujourd'hui, nous arrivons à clôturer un exercice

blonc.

Nous aurions aussi aimé' donner des Indemnités plus importantes aux Ligues pour le déplacement des joueurs aux Championnats de Fronce Indivi duels. C'est, depuis quelques onnées, notre plus cher désir. Mois malheureu sement. nos moyens financiers sont trop limités et, en fin de saison, comme maintenant, nous nous apercevons de l'impossibilité matérielle de mettre à exécution cette intention

En conclusion, je souhaite, comme tous mes collègues, et certainement tous les membres de notre grande famille, .voir progresser l'effectif de nos clubs, l'effectiT de nos licenciés, ce qui permettrait d'avoir sons doute une trésorerie plus large, qui arrangerait effectivement bien des choses

M. Moreau.

Je suis heureux que ma circulaire ait mis pas mal de

choses ou point. Nous n'avons pas compris grand'chose au rapport financier. . Je rappelle les paroles de M, Prulière à Grenoble. M. Prulière o trouvé M. Prulière fait approuver, sans nouvelle lecture, le procès verbal de l'Assem

anormal qu'on nous appelle à voter pour des chiffres sur lesquels on ne com

blée 1955 du 9 mai, à Grenoble (publié dans le No 103 de la Revue), oprès une observation de M. Crisofulli qui rappelle que le rapport de la G.N. Cor

prend rien.

porative dont il est donné texte n'avait pas été lu en séance mais commenté

Bureau Fédéral et des Commissions

M est ensuite procédé à la désignation des 'scrutateurs qui sont : MM. Giraud (Arcochon), Poumaroux (Aurilloc), Assemat (Toulouse) et quatre eAi tr<r i l^i rr i Jll.. .... assesseurs toulousains. M. Giroud étant ensuite élu PrésidentA. des scrutateurs.

A la demande de M Batistelli (Paris) les enveloppes et les bulletins seront conservés par le Président du Bureau de scrutin pour contrôle éventuel. M. Vervel (Caudéran), s'étonne que rien n'ait été chongé au mode d'élection.

Le président Prulière déclore le scrutin clos et posse la parole au Trésorier général pour le lecture du Rapport financier, en recommandant à l'Assemblée de ne pas perdre de temps.

Rapport financier, présenté par M. Jean Funfschilling Trésorier de la F.F.T.T. Comme tous les ans à cette époque, depuis 1937, j'ai le privilège, ou la

charge, de vous présenter le rapport financier. Jusqu'à i'onnée dernière, le trésorier se Pornoit à répondre aux questions posées sur les différents cha pitres des comptes recettes et dépenses. Mais j'ai eu l'occasion de lire, sur une circulaire adressée oux clubs, que le compte rendu financier adressé aux clubs et paru sur le journal < Tennis de Table » était succinct et « comme hobituellement totalement incompréhensible ».

J'ai actuellement sous les yeux un compte rendu financier de l'année 1955 d'un très grand organisme, qui ne joue pas, comme nous, sur 8.000.000 — mais sur 8U(J(XX).000 — et je suis surpris de voir que, .sur un tel compte rendu, les différents chapitres recettes et dépenses sont nettement moins explicites. Pourquoi ? Parce que force nou.s est de donner' un résumé global des principaux postes sans pouvoir entrer dans le détail, sans quoi le journal tout entier n'y suffiroit pas. Etant donné que les Commissaires aux Comptes ont exominé très en détail toutes les écritures, slw place, en ma présence, que tous les documents demandés leur ont été communiqués en justification de ces écritures, et que ces Commissaires aux Comptes, émanation de fait de, cette Assemblée à qui vous faites confiance, vous communiqueront tout à l'heure leur rapport, il me semble qu'il n'y o pas lieu d'étaler les recettes et les dépenses dont le détail seroit véritablement fastidieux. Par contre, j'ai toujours été à la disposition de quiconque pour répondre aux questions que les chiffres

M. Vervel. — Je voudrais avoir une explication sur les déoenses du

M. Funfschilling. — Ce n'est pas compliqué. Les frais de "fonctionnement constituent la majeure partie des indemnités versées aux membres du Conseil

pour lea frais de déplacement. Mais nous ne payons ces indemnités que quand

nous ovons l'argent en caisse. 11 s'avère que j'ai pu régler au mois de septembre 1955 des indemnités en retard depuis deux ans et même trois ans" Ce qui fait une augmentation très grande sur ce chiffre, par rapport à l'année précédente.

M. Crisofulli (Commi^aire aux comptes). — Je ne vais pas parler de la question des comptes, puisque je la connais. Je vais parler de quelque chose de p us important !o façon de présenter la situation financière Elle est

présentée aux clubs dans un laps de temps trop court pour qu'elle puiss°

être étudiée par eux-mêmes et le rapport des Commissaires aux Comptes n'y est point joint ! Nous arrivons à cette chose extraordinaire ; c'est que si après avoir .voté — vous allez sans doute voter la confiance sur la situation financière — la majorité vote « oui », — les Commissaires aux Comptes vous disent :^* Messieurs, les comptes sont faux.. »

M. Prulière. — Vous avez parfaitement raison. Je croîs que le ropport des Commissaires doit être joint au rapport financier aux clubs Mais c'est seulement après dix ans de pratique que vous vous en apercevez ?' M. C'est --ûf+û . Crisofulli. . cette année /n.,rc; aussi que je me suis aperçu que Ie« Gommissaires aux Comptes n'étaient pas prévu aux statuts. M. Prulière. — C'est mieux que s'ils existaient sur les statuts et au'on ne s en serve

pas.

M.^ Loffitte — ie me suis aperçu en comparant le bilan 1954 et 1955 dune enornne maiorption des frais de personnel de l'ordre de 500.000 francs Qieile explication doit-on donner ?

M. Funfechllling.' — Dans le courant de l'année 1955 nous ovons eu la

visite d'un inspecteur qui nous a dit : « Vous payez des'indemnités au per sonne! dirigeant. C'est bien joli, mais je considère cela comme des appoin

tements « Nous avons été dans l'obligation de faire un chèaue de l'ordre de 269.000 francs

Rapport des Commissaires aux Comptes le soussigné, Rossignol Jacques, certifie avoir effectué le contrôle et la

vérification des pièces comptables et de caisse de la Fédération Française de Tennis de Table. M. Crisofulli, pour raisons impérieuses de santé, n'a pu y travailler à Paris comme les années précédentes, mais au cours de plusieurs séances tenues à Toulouse, en présence de M. Funfschilling, nous avons mis au point notre rapport.

J'ai lu Qussri < que les dépenses administratives sont anormalement élevées

Le Trésoriei générai, M. Funfschiiiing, et la Caissière comptable de la Fédération, Mme Renoncourt, nous ont présenté tous les documents nécessaires et ont fourni toutes les explications et justifications que nous avons sollicitées. Nous avons procédé à la vérification complète des postes suivants, choisis durant

en comparoison des dépenses sportives ». C'est un fait, mois qui ne ressort pas tellement du trésorier, mais plus exactement du budget fédéral. Néonmoins, je peux me permettre de dire que, ovant toutes choses, sportives ou autres, il faut une organisotion, et cette organisation coûte cher, elle coûte

matériel de bureou, traitements et Sécurité Sociale. Nous avons effectué des sondages sur les chapitres se rapportant aux « rencontres internationales » et à la revue « Tennis de Tdble ».

auraient pu

motiver.

itth'iin

les opérotions de contrôle : frais de fonctionnement, loyers et chorges, entretien


TENNIS DE TABDE

Nous certifions que le total des factures et pièces co^tobles examinées, coliotionnées et additionnées pour chaque mois de l'onnee 1955 corresf^na exactement aux chiffres figurant sur le bilan qui est soumis a I Assemblée générale du 23 avril 1956.

..

.

i

* u-i-*.a

Nous devons également attester de la parfaite tenue de la comptabilité Il faut regretter cependant que le respect de la légalité ne nous permette pas de contrôler une situation plus conforme à la réalite, c'est-à-dire pré sentée en fin d'exercice. De plus, il serait nécessaire que le compte < Pertes et Profits > à examiner fasse ressortir les « à nouveaux

Toij^ nos collèRuee sont à féliciter de leur travail, avec une mention plus ne nous ont pos ménagé ieur concours que nous avons voulu durable mois pa

nartiluHère à ceux qui non élus, mais tout aussi méritonts dans eur action écrasent afin de les garder plus longtemps avec nous. NOS EFFECTIFS

Pour grandir'/-iiioil faut être nombreux, et le premier examen de ce rapport lâ ornnri rQ2-dG-marés qui dsvoit smportsr toutos iss

et le solde exact

Une dernière observation ; la Trésor^ie fédérale devrait comprendre et centraliser les bilans financiers de chacune des Ligues qui^ la composent. L'étude de ces divers documents serait intéressante a bien des égards. bWe con

tribuerait notamment de faire apporaître sur le compte d'exploitation la situa tion exacte et complète des dépenses administratives en regard de celles purement sportives.

de franchir, pour la première fois, un cap agreable : celui des 1 500.

^LTo-r r^ispr,!;fV°p^.urr"ll6

Rapport moral, présenté par

_

Tout cela assorti néanmoins d'une réserve : nous étions 1.432 '

seTait-r^^PPortun

^rivi;"lircr qSë ISrëTrtats ëlhl^tar rég^onauT^^^^^^^^^^^ |onJ snns trêve les Clubs de la saison précédente qui n'ont pas donne signe de vie

M. Jean Bélot

mTme ëë leër présentant une quittance du montant de la cotisation onnuelle t

A ce chapitre nous noterons que l'augmentation provient d'abord d" plus

Secrétaire Général de la F F.T.T. Monsieur le Président, Mesddmes, Messieurs,

Voici l'ouverture réelle des débats de la 29= Assemblée générale

soutenue en Ile-de-France, Touraine, Normandie, Flandres et Alsace, Ailleurs on maintient les chiffres, tandis que, dans certaines riions, l'acti vité est par-trop réduite Espérons que cette organisation des 2^ Notionoux vœu qui sera étudié tout à l'heure et qui a eu — comme d autres choses" et une révision de io géographie pongiste relanceront e ping-pong dons cette l'honneur oe la compagne électorale _ ëégiën pyrénéenne qui mérite mieux, et sur la Côte d'Azur, ou les champ or^s Ce rapport doit-il être imprime et adresse aux Clubs avec la situation et les dirigeants ne manquent pourtant pas, ce qui devrait nous valoir mieux financière de l'année, afin que chocun puisse voter, pour ou contre les candidats

Fédération. Et c'est Toulouse où depuis quelques semaines se déroulent des corridas qui en est le théâtre ! Diable.. •. ji,,n Quelques mots préalables au sujet du rapport moral qui fait I objet d un

eu Conseil têdérai qui se représgntent à vos suffrages ? Le Conseil Fédéral sous celte forme précisé que non, car il estime qu il .

s'agit d un double emploi En effet, qu'est un rapport moral sinon I exposé

de l'activité de certains points de notre sport ou plutôt de notre adrninistration fait au nom du Conseil Fédéral par un dirigeant designé a cet effet ? .

A quoi servirait que les clubs recevant un long exposé. prennent position

pour ou contre lui, attendu que tout ce qui o été fait, qui est condensé dons le rapport qui suit, a été exposé sous des rubriques diverses dans notre revue « Tennis de de Toble » ? Si vous n'êtes pas d'accord sur la ligne de conduite internationole suivie par votre Comité, si vous estimez qu'il a foilli sur telle ou telle question, que ce soit de calendrier ou de mutations, que ce soit

d'organisations ou de sanctions, ouriez-vous besoin d'attendre aujourd'hui pour le dire .^ Sûrement pas, puisque tout cela, vous le savez au mois le mois. Dansle cas contraire, nous en arriverions à cette conclusion que les membres sor tants du Conseil Fédéral pourraient établir un substantiel ropport moral et s'en servir pour se faire réélire.

.

j * *

je les connais suffisamment pour dire qu'ils ne 1 envisagent pas du tout

et que taisant juges les dirigeants des associations de leur action qui s inscrit dans les faits au fur et à mesure, ils se présentent confiants devant vous, laissant à l'opposition le soin de dire ce qui ne va pos, d'après elle, ce quelle n'a pas manqué de faire copieusement ces derniers temps.

que 9 Clubs dans les deux départements méditerranéens. LES LICENCIES

et trait naturellement ce qui vaut pour les associations vaut pour les

licenciés En 1954-1955, nous dénombrions 22.512 licenciés (soit 400 de pl^us que n saison orécédentel. Cette année, il y cura une augmentation qui n est pas encore évaluée définitivement, mois qui devrait approcher lé m.Hier, nous per mettant ainsi d'afficher délivrance 23.000 licences, I interTédiane ëë nos Ligues une régionoles, de dequi plus nousdeféliciterons les 30parpe^onna

oui se chargent de ce travail important et ingrat Je devrais dire .les 29

œtres! cor je suis à même d'apprécier l'effort de tous, le reolisant moi-meme au titre de ma Ligue.

La palme de l'augmentation revient, sans conteste, à la Ligue de lAtlanveaux La Guyenne avec près de 200, la Champagne avec Pl"5 ,de 200 elles aussi 'sont également à citer pour leur rçiouveau, tarrdis que I Ile-de-France, ta Bretagne l'Orléanais, la Lorraine, les Flandres et la Franche-pmte enregistœnt environ 100 licenciés de plus chacune, ce qui est malheureusement

tique qu^ avec une bonne équipe de dirigeants, a enregistré près de 3œ nou

ctténué par quelques défections ailleurs.

le n'aurais garde d'oublier, à ce moment du rapport, la classification

habituelle de nos associations au chapitre de la délivrance des licences.

LA CAMPAGNE ELECTORALE

Et puisque nous parlons campagne... je disais il y a deux ans, à Rouen, alors que comme aujourd'hui quelques bonnes volontés s attellent a la tache de dépouiller les centaines de votes émis pçr tes dirigearits français, que la campagne électorale devait avoir un but précis : celui de donner quelque chose au tennis de table français. Si mes renseignements sont exacts, outre les sor

tants qui pensent pouvoir continuer à faire quelque chose de positif ppur notre sport, un sfeul a signifié son intention d'aider de son expérience les gear#s actuels. Les autres se sont contentés, soit de gré soit de force, d'affir mer par personnes interposées qu'il fallait d'abord détruire. Comme si notre groupement possédait tellement de dirigeants. Comme s il était nécessaire pour servir le ping-pong français d'assouvir quelques petites rancunes^ et de livrer à la foule quelques têtes qui ne plaisent plus à certains. Sinon à beau coup le résultat le dira tout à l'heure. . .

Je sais quant à moi que cette méthode n'est pas la bonne, je sais et je redis encore une fois que le Conseil fédéral ne doit pas être un but pour un

candidat, ni un podium pour bateier, ni un poste d'observation. Ce doit être un lieu de rassemblement de personnes de toutes opinions n ayant qu une idée

en tête : développer notre sport et je ne crains pas de me repeter en disant qu'une tri'ogie est nécessaire qui grouperait des gens dexperience. des travail leurs et des bailleurs de fonds. ^ Cor si vous voulez que le ping-pong grandisse, il faut sortir de la petite

association de joueurs que nous formons actuellement pour en faire un grou pement puissent et organisé ' , ^ Pour cela les bases existent oinsi que vous pourrez en conclure après avoir entendu' tous mes collègues responsables des Commissions nationales

exposer leurs travaux et quelques intentions. A ce sujet, je dois dire comment, doucement mais sûrement, progresse le travail des Commissions nationales, d'inégale utilité publique mais de semblable intérêt pour notre sport. ^ ^ No<' amis Agopoff, pour la Commission d'arbitrage qui a commence o donner une forme définitive au problème des examens et o ce'ui de leur pré

Voici les huit premières (au 20 mars 1956) :

1. Union Sportive Electrique et Cozière de Paris

104 liceKies

2. Rhône Sportif de Lyon 3. Boimot de Paris 4. Renaissonce Saint-Firmin d'Amiens

^ ^ ^

6. C.S Toulon 7. Salle Rameau de Lyon 8. Soint-Joseph d'Holluin (Nord)

^

5. U.S. Métro-Transports de Paris

^

que Je vous demande de féliciter par vos applaudissements. LES DELIMITATIONS TERRITORIALES

Comment obtenir le moximum d'effectifs dons toute la France dans la limite de nos moyens actuels? Deux méthodes semblent prévaloir ; Stimuler les Comités réginnoux par l'apport de sang nouveou Pour suivre prudemment, mois sûrement, la révision des délimitations territoriales.

Sur le premier point, il m'appcraît difficile de m'étendre sur la forme et sur les moyens Ce qui est voloble dons le Nord ne l'est pas forcernent oilleurs, mais, ce qui est nécessaire portout, c'est de se renouveler si ce n est eri per sonnalités (ce qui s'effectue por le processus normol de (évolution), tout nu moins en actions, car il faut éviter l'ennui de l'uniformité et ne pas obliger

les dirigeants, qui sont seuls dons leur région, a ne pouvoir qu expedier les

offoires courantes.

Sur le • second point l'ottention du Conseil fédéral est toujours en éveil Elle 0 toujours été attirée par les grands espaces, et nous ne pouvons,

.-ans' cet esprit, que nous appuyer sut les résu'tats enregistres dans des cir constances similaires, tel l'Anjou Orléanais, l'immense Ligue aux dix ments qui, d'un déport de 125 Clubs et 1.710 licencies nous a donne quatre

tranche 'des cas douloureux. Le même à la Commission corporative dont le

Ligues, 194 -Clubs et près de 3.000 licenciés en tro.s ans ! Et ce nest pos fini. . Nous visons donc les gronds espaces, et ceux qui nous p^ccupent actuel

de ne mécontenter personnne, Georges Jubert qui a pris en mains la Comrnission de Matériel dont nous attendons, pour un proche avenir des moyens améliores

de deux à quotre départements, qui ne sa construiront pas si focilernent, cor les cadres manquent encore, et il y a tant de problèmes géographiques résoudre! Devant être dit, o la décharge des dirigeants octuels, que toutes ces régions de communicatioris difficiles ne permettent pas les activités de tant

paration ). Mercier qui. aux Statuts et Règlements, suit de près 1 actualité et

développement des effectifs et de leur voleur est un gage de satisfaction, P'^rre Ceccaldi qui a installé cette année le premier Comité de Techniciens, qui doit nous apporter tant de sujets d'amélioration, J. Leménoger qui poursuit un reve quasi chimérique': celui de classer tout le monde'à sa valeur la plus vraie, et de pratique sportive, et enfin la Commission Sportive Nationale dont j avais la responsabilité et dont -je vous parlerais tout à l'heure.

lement sont les régions du Centre de la France et des Pyrénées...

Qu'en ■ sortiro-t-il ? Nous pouvons prévoir la création de Ligues nouvelles

d'autres provinces françaises...


10

TENNIS DE TABLE

d'une grande partie de la soirée finale des Championnats de Fronce Interna-

LES LIGUES

tionoux de février dernier à Paris.

Divisions administrafo-sportives de notre Fédération, les 30 Ligues régio

nales à qui sont affectées des zones d'activité sont, et cela est à noter, en progression constante, si ce n'est toutes sur le pion des effectifs, tout ou moins sur celui ou du sport ou de l'établissement de bases, à partir desquelles

Cinémo. — Certes, nous avons pu voir dans les bandes d'actualités quel ques é:hanges de balles, mais il s'agissait là plus de photographies que de propogande, Ce n'est pas le cas du petit film technique que vient, l'on dernier, de réal.ser, ou prix d'un gros effort, notre collègue Agopoff, fiim qui sert efficocement la préparation de nos jeunes et qui, peut-être, srero le premier

il sera possible de faire plus. C'est sur ce point qu'il paraît nécessaire d'attirer l'attention de tous, et film de la cinémathèque fédérale, encore à l'état de projet... porticulièrement de nos dirigeants de Clubs. Il est nécessaire que chacun fasse ' plus qu'il ne le fait encore, et surtout que chacun pense au lendemain ! Il NOS PUBLICATIONS

faut^ que l'unique dirigeant de Club, sur qui repose toute l'octivité- de la

Société, trouve un collaborateur, puis des adjoints, afin que celle-ci ne soit plus Iq chose d'une seule personne. Il en sera de même dans nos Ligues, où chacun doit tendre à augmenter le nombre des responsobles régionaux, ce que j'évoquais au passage tout à l'heure, et ce malgré les difficultés de la tâche, car si les bénévoles épisodiques existent de-ci de-là, ceux qui le sont en perma nence monquent beaucoup.

Précision. — Veuillez entendre cela, non pas de la part du Secrétaire

fédéral, mais de la double part des membres du Conseil, qui sont une douzaine de province et du Secrétaire (bénévole, cela va sans dire) d'une Ligue de province Ne pos vivre en circuit ferrT>é, étoler les responsabilités, augmenter les sources de concours et de finarx:ement, est un rôle primordial pour toutes 'es Ligues, comme il l'est, on vous l'a écrit souvent ces derniers temps sur lo revue officielle pour la Direction centrale. Nous verrons, à ce moment, toutes nos Ligues devenir encore plus grandes (elles démontrent qu'elles le peuvent), car la matière existe, mois le creuset de leur direction ne permet pos d'en obsorber plus à l'heure actuelle.

LA PRESSE ET LA PROPAGANDE

En liaison avec l'activité de nos Ligues, il est utile de traiter de la pro pagande générale. Qu'il me soit permis tout d'abord, au nom de la Fédération Française tout entière, de remercier grandement tous les îournaux de France et d'Afrique du Nord pour l'excellent concours qu'ils nous apportent et pour lo bonne audience qu'ils nous accordent en général. Nous savons que des grands quotidiens français reçoivent avec plaisir notre documentation, et nous avons grand ploisir à y lire des informations sur notre activité, telles les lignes que consacrent lo presse du Midi aux 29^® Championnats que nous vivons octuellement. Mois nous nous demandons si chacun a bien conscience de l'im

portance extrême de cette aide, par ailleurs si précieuse parce que gratuite... Est-ce que tout le monde admet qu'une grosse partie de l'activité d'une Ligue ne prend de voleur que lorsqu'elle est connue? Pourquoi partout n'emploierionsnous pas cette formule, qui est d'outre-Atlantique, et parfois aussi de chez nous : < Bien faire et foire savoir » ? L'expérience personnelle de le Ligue

des Flandres o démontré qu'il est préférable de communiquer ô lo presse régio

nale^ ou départementale -toutes les informations et tous les résultats détaillés

Perlons encore presse, mais plus tout à fait de la même I Cette fois, de celle de la Fédération, qu'elle soit journal ou annuaire. Pour le prem.er, nous constoterons une petite reprise d'octivité dons sa diffusion, puisque près de 4C0 abonnés sont octuellement servis, outre nos 1.500 Sociétés. Un petit effort commun devrait nous redonner bien vite les 6(X)abonnés d'il y a trois ans (record). Nous nous permettons d'attirer votre attention sur la régularité de sa parution et de son expédition, ainsi que la recherche, nonobstant les éditorioux de votre Secrétaire générol, d'une extension

du nombre des plumitifs de service. Nous vous ferons aussi toucher du doigt q je n?tre revue n'o pos que le but que vous en attendez. Elle doit aussi, auprès

des Fédérations étrangères, parler de l'activité fronçalse ; elle doit' ouprès des organismes et personnalités qui nous reçoivent (sinon nous lisent), informer de notre oction, et, tout en conservant un caractère officiel, ne pas rebuter par une présentation cdminlstrotive.

Au passage, remercions les annonceurs qui, ovec quelque 300 000 francs ■ cette année, couvriront la moltii de lo dépense totale de la publication de la revue, et ne manquons pas de chercher ensemble, parmi les solutions pratiques et réalisables, celles qui nous permettront de paraître plus souvent, d'illustrer un peu plus « Tennis de Table » et de la vendre plus. Ces solutions existent

sûrement, mois il y a déjà tant et tant à faire dons des conditions précaires qu'il serait nécessaire de s'appuyer sur des bases plus solides que les nôtres actuellement pour prétendre s'élancer plus avant. L'annuaire sera, dans quelques mois, publié en* entier. L'édition de 1955 recevra les additifs publiés en 1956, et d'outrés modifications, que l'expérience rend nécessaire et qu'un certain nombre de vœux, qui vont subir l'exomen tout à l'heure, augmenteront peut-être, car nous traiterons oussi de la publication des odresses de correspondanls et de salles, et probablement nous continuerons à tourner en rond. Mais n'anticipons pas... NOS RELATIONS EXTERIEURES

Vous parler de nos contacts avec la Direction générale des Sports sera foire le procès de notre petitesse. Pourquoi ne sommes-nous pas considérés à égalité avec d'autres sports par l'Administration? Pourquoi ne percevons-nous

choque année qu'une poussière de subvention? A cela, il y a des explications,

plutôt que de «X se les garder > pour une insertion dans un bulletin régional

et beaucoup, dont je vais énoncer les principales, sans conclure si, aux yeux

qui n'a aucune audience publique ?

de l'Administration, elles sont valables ou décisives.

Bulletin des Ligues ? Si vous avez noté — pour d'aucuns directement intéressés ~ cette forme d'amener lo question, c'est parce qu'il est certain qu'il y a là un problème. Et important, parce que d'effets divers. Par exemple, êtes-vous convaincus (en dehors du plaisir de l'édition ou de l'impression) que le rendement d'un bulletin de Ligue est si important? Surtout si l'on prend le soin de se servir de la presse régionale gratuite, bien qu'à grand tirage ? Efes-vous convaincus que la part de travail demandé par les animateurs de

Le ping-pong est-il un sport ? Répond-il à un grand besoin, puisque la gronde presse ne semble pos y consocrer beaucoup de colonnes ? Qu'apportezvous à l'éducation de lo jeunesse ? Oubliez-vous que votre activité ne requiert

ces revues ne pourrait pas être consacrée à un travail plus constructif? Ne

il y a là matière à discussions sans fin. Il y a là procès à faire. Il y a là une orientation à donner à la Direction de la Fédération, mais il opporoît évident que le désintéressement de l'Education Nationale à notre égard o des sources dans le fait que nous sommes la seule Fédération nationale o ignorer les distinctions entre amateurs et ceux qui ne le sont pas, et une des rares à s'appuyer sur le commerce spécialisé. Et comme le disait un haut fonction

pensez-vous pas que le bulletin de Ligue devrait rester ce qu'il était à ses

débuts : l'organe de liai^n officielle entre lo Direction régionale et ses Clubs? Ne croyez-vous pos, enfin, que cette éclosion de presse, sous le couvert de la

Fédération Française, ne f.nira pas un jour par se révéler un écueil autant pour des questions de publicité, que de financement, ou de légalité ^ Tout est à

ni contrôle médical ni brevet sportif populaire ? N'êtes-vous pas soutenus par

les commerçants spécialisés? Vos représentants internationoux ont-ils tellement besoin de concours financiers puisque, personnellement, ils en tirent déjà un

parti que ne connaisse guète d'autres champions ailleurs? Tout cela se dit, et

naire : <3: Restez comme vous êtes. Puisque l'argent qui vous aide est le

penser.

Le conseil de votre Conseil étant, comme dit à choque paragraphe de cet

exposé, de ne pas travailler en vase clos, mois d'intéresser le grand public, lecteur des journaux, qui finira par suivre notre activité. Tout comme le fait une partie des sportifs fronçais avec le grand quo

tidien « L'Equipe ». de qui nous obtenons actuellement un concours régulier, sinon grandiose, et que nous remercierons, par rapport aux années précédentes de l'après-guerre, de nous assurer une rubrique, nos efforts devant tendre, por des moyens exposés ailleurs, à ce que ce journal puisse avoir l'oblîgatiort de s'intéresser à nous, autrement qu'en insérant nos communiqués, c'est-à-dire en affûtant un spécioliste de l'information à notre sport. Quelle belle victoire ce jour-là ! Mais quel travail pour fa mériter..

Ne soyons pas, dans ce cas, tellement pessimistes, quand on songe que lo Fédérotron d'Athlétisme s'estime mal entendue de la presse...

Liés à lo presse, il y o maintenant d'outrés moyens d'information qui sont la radio, la télévision et le cinéma, et, là aussi, il y a à dire. A dire que, par exemple, si toutes les régions de France trouvaient une

si bonne audience auprès des postes émetteurs que le Comité d'Organisation des Chompionnots de Toulouse auprès de Radio-Pyrénées, ce serait merveilleux De bons amis à Radio-Toulouse ont facilité notre tâche, et nous les en remercions

bien vivement, car déià leur concours o permis d'attirer l'attention du grand public sur le ping-pong ovec l'évolution première du cycle de l'information qui est celle-ci. émise par le profane : « En réalité, pour qu'on en parle à la radio, ce doit quand même être quelque chose d'intéressant. »

A la Radio Nationale, nous avons moins de chance, mais toutefois nous pouvons dire que nos manifestations importantes ont droit à la citation, même si, ou grond dom des chargés de la propagande ô Toulouse, l'émission domi nicale de Sports et Musique n'en n'a pas traité hier.

De la télévision, nous avons lieu d'être relativement satisfaits. Certes nous ne sommes qu'en France et loin, par exemple, de l'Angleterre et de cette bienheureuse Fédération anglaise qui perçoit 4(X),000 francs pour ovoîr donné son occord à une retransmission de la finale de ses championnats inter

nationaux (la salle de 12.000 places étant néonmoins remplie) ou de la petite Ville de Leeds. qui touche 1(X).CXX) francs pour diffuser une rencontre FranceAngleterre... Nous n'en sommes pos là. mois pourtant trois événements ont marqué cette saison :

La transmission en direct d'une des finoles des Chompionnots du Monde

en Hollande : une autre, directe également, de démonstrotion pour la jeunesse un jeudi oprès-midi et, enfin, et surtout, la retransmission, directe encore,

I

fi"-

'

bénéfice de votre activité, laissons pour d'autres l'argent des contribuables » Le Comité National des Sports est l'objet d'un des soucis de votre Direc tion, Il faut, en effet, chaque année, verser une somme de 5 francs par licencié et, gloire dont nous sentons le prix, le tennis de table est un des cinq premiers sports fronçais par ce versement...

Versement qui, soit dit en passant, alimente une gronde caisse, mais,-''jusqu'à ce jour, n'a guère rien apporté (le mot à lo mode...) à notre Fédéra

tion, ni aux autres, si ce n'est qu'un journal de plus, mois rien de positif pour les relations entre toutes les Fédérations, pour l'établissement d'un calendrier

commun des manifestotions importantes ou pour solutionner le grave problème qui vient d'opporoître entre certaines Fédérations dirigeantes et quelques outres, dites offinitoires. Vos représentants ou C.S.N. sont déjà intervenus sur ce

dernier sujet à des Assemblées du Comité National des Sports. II y a là un problème qui doit trouver une solution qui ne serait pas celle, brutale du bosket-boli rompant toutes relations avec l'U.F O.L.E.P. Pourtant quelque chose est troublant dans cette affaire, et nous croyons que la lutte de prestige entre les Fédérations offinitaires est à sa base. Nous estimons à leur juste prix le trovoil excellent fourni por les Fédérotions offinitaires, tout en considérant

qu'à la base il y a une intention générale qui nn'est pas purement pu qui est pas sportive ot quj^ ne nous regarde pas. Nous considérons, en effet, comme très valable

pour l'éducation générale que les patronages'catholiques ou laïques, ainsi que los atel'ers, puissent diriger, en les créant, des sections sportives et, par extension, de tennis de table. Nous apprécions les efforts faits par le'sdites

Fcdérofions pour donner à jouer en toutes spécialités à tous leurs membres, et nous nous évertuons (les accords possés relativement au calendrier, cette année, ovec la F.5.F. et l'U.F.O.L.E.P. le prouvent abondamment) o les oider, puisque celui qui travaille pour le ping-pong est un frère

Tout cela admis, est-il raisonnable que des ossociotions affiliées chez nous depuis toujours puissent se découvrir subitement des attaches avec telle ou

telle Fédération ? Admettons-le à la rigueur, encore que cela reste à démontrer.

Mois que des associations, qui, ou grand jamais, n'ont pu avoir aucune filiation avec un groupement politique ou religieux s'en découvrent une, voilà qui choque. Et nous en connaissons des exemples, les plus typiques étant ceux de clubs essentiellement corporatifs qui, quelques années oprès leur création

et leur affiliation, se révèlent affinitoires. Ceci pour regretter, malgré la dépense à notre budget, qu'il n'existe pas en Fronce le grand organisme interfédérotions qui puisse se saisir et solutionner ces problèmes au lieu de laisser à chacun le soin d'être juge et partie.

y.

L


11

TENKIS DE TABLE

LE SPORT SCOLAIRE

En quelques lignes, dons un récent numéro de lo revue, j'ai évoqué le problème du sport scolaire, qui est en perdition en France dans notre spécia lité. Partout les effecti^s baissent, que ce soit pour les compétitions indivi duelles ou par équipes, et même dons les épreuves de mosse. On nous dira très justement que, dons trop d'étoblissements, notre sport n'a pos que des défenseurs et que trop d'éducoteurs se désintéressent de la question. Nous vous

Je terminerai par une note optimiste. De plusieurs Ligues me sont par venues des demandes sur l'organisation corporative de notre ^ort, et je sais notamment que l'Ouest, avec 'la Touroine, la Bretagne. l'Atlantique et le Poitou. VG bientôt se mettre au diapason des grandes Ligues des Flandres, de l'Alsace et ae la Guyenne, pour ne citer que les principales provinciales. Le rapport que je vous ferai, au nom cte la Commission des Statuts et

l'accordons, et vous proposons de laisser ces indifférents, quitte à les reprendre plus tord quand nous serons plus forts. Mais il y en a d'autres... II y a des régions où notre sport o des sympattiies, où l'on peut organiser, où l'on peut

Règlements, portera sur trois points :

oider sérieusement les dirigeants scoloires. Il y o des régions où le nombre de protiquonts pongistes à l'école est important, soit parce qu'il y a de nombreux clubs dons lo région, soit parce qu'il y o des tables en nombre à l'école, soit parce que'les moniteurs et professeurs aiment le ping-pong, soit même par mimétisme, la seule présence d'un enragé suffisant à créer un mouvement. Sommes-nous sûrs d'avoir toit tout ce qui était en notre pouvoir pour tra

— et, entin, lo question- la plus importante à mes yeux : celle de l'orga

vailler, avec ceux-là ?

J'ai eu l'occosion, de par ma présence à la Commission Notionole Scolaire, d'étudier les roisons de désintéressement de la F.F.T.T. à l'égord des organi

sations scolaires (que les collègues de certaines régions qui œuvrent réelle ment ne se sentent pas visés). Elles sont ; le monque de dirigeants F.F.T.T. pouvont consacrer quelques jeudis par année à cette œuvre de propagande ; le problème des salles, des tables et de leur transport ; le rapport avec J'inlérêt direct du dirigeant dont le club ne profitera de ce travail, les élèves

n'étont pos, dons lo plupart des cas, des futurs habitants de la localité. Il y a

surtout le 'manque de temps de la plupart de nos dirigeants, ce que nous comprenons fort bien, mois qui pourrait être atténué si les effectifs régionaux étaient plus étoffés et si chacun dons la vie pouvait consacrer plus de temps à sa distraction favorite, ce qui est une bien outre histoire encore qu'à la mode ici.

. ,

Et, pour terminer, s'extrairont de ce rapport quelques consignes qui le résumeront et peut-être vous aideront : , , u Pour chaque Club, foire licencier tout le monde et plus; cest une chose

qui opporolt anodine dons une locolité, mois qui, à l'échelon national, a une portée certaine. Augmenter le nombre des dirigeants de Clubs et foire en sorte que l'association puisse toujours être prête à accueillir un peu de cette jeu nesse dont le nombre va grandissant chaque année, ce qui pose trois problèmes : salles, motériel et transports, c'est-à-dire de grandes tâches, mais dont on tire tant de satisfactions.

l

j

j- •

— lo simpiiticotion et l'uniformisation des règlements ; — les mesures disciplinaires que le Conseil fédéral o été amené à prendre cù cours de la saison ; nisation

administrotive de

notre

Fédération.

Voyons le premier point., j'ai déjà souvent -insisté sur l'intérêt d'avoir des règlements, mais les plus simples possibles, j'ai eu, au cours de lo saison, à examiner des projets de statuts de Ligues et de tournois ou d'autres docu ments du même genre. J'ai constoté une nouvelle fojs combien les règlements présentés étaient longs et compliqués, et je vous dis « cosse-cou ». Aurez-voia les moyens de les faire oppiiquer ? cor c'est là que le bât blesse : il ne suffit pas, par exemple, d'écrire qu'un joueur ayant joué deux, trois ou quatre motches dans une serie ne peut plus jouer dons la série inférieure, il fout trouver

quelqu'un capable d'assurer le travail supplémentaire que l'on crée volontoiremant à cette occasion.

Un outre exemple de simplificotion souhaitable à l'échelon régional ; toutes les Ligues ont. heureusement pour elles, plusieurs séries dons leur c^-ampionnot par équipes masculines ; ne serait-ce pas plus simple, ou lieu d'excellence, d'honneur ou d'autres titres, d'appeler la Ire division régionale, celle groupant les plus fortes équipes, et continuer par 2°, 3^ etc..., divisions dons le sans de force dégressive des équipes? Mettez-vous, à cette occasion, à la place du lecteur du journal local, qui apprend, par exemple, avec - éîonnement, que la 1*"® série d'une Ligue n'en groupe que les plus faibles équipes.

A

j'aborde mainîenont un point plus épineux de mon propos avec ^ les sanc tions infligées Cette saison par le Conseil fédéroL II o été dit et écrit à ce sujet beoucoup de choses, et j'estime de mon devoir, à l^occosion du plus important 'assembiement de- dirigeants de .l'année, de vous informer des raisons qui ont omené la suspension, pendant trois mois et demi, du tenant du titre de champion de France. ^ .. . A ""l'occosion des Championnats Internotionaux d'Italie, la participation

Pour nos Ligues, les mêmes souhaits. Augmenter le nombre des dirigeants et éviter de surcharger de besogne les mêmes dévoués. Ne demander à chacun

au tournoi de Chalon-sur-Saône des deux joueurs invités officiellement à ces

de considérer l'activité d'une Ligue comme n'étant que la reconduction de la

des aeux dates et de l'impossibilité de remplir correctement les deux enga

précédente.

Ces joueurs y ont participé qiiand même, pas entièrement de leur faute, du reste, par suite d'un quiproquo. Qu'en est-il advenu ? L'un n'a pas .voulu rejoindre ensuite l'Italie et l'autre s'y est fait battre

que ce qu'il peut donner, pour que cela reste un plaisir. Eviter, par là même, ,

,

Enfin à tous : Nous grandissons, cela est certain

^

Nos effectifs, maigre

ce que j'en ai lu récemment (je lis beaucoup les ouvrages de biographes ama teurs en ce moment), progressent régulièrement. Ils sont le double de ceux de

Championnats avait été interdite par la Fédération en raison de la proximité gements.

1947 (mo première année ici...), ils sont cinq fois plus forts que ceux de

dans les tours eliminotoires.

1938. Tout ne va donc pas si mol, mais il faut de la patience et une action soutenue qui sera longue pour arriver à nos buts. M Moreou M Belot o parlé très calmement Je ne voudrais pas

membres parisiens du Bureau pour entendre leurs explications, ce qui a été fait. Le principal intéressé s'est présenté et a reconnu ses torts, notamment

opportér de la possion dons un débat qui ne va pas en monquer. Je suis d'o'-cord ovec lui pour déplorer cette campagne électorole, a le regretter publiquement. Je suis prêt à le regretter si M. Be'ot regrette d'avoir donne, lui-même, l'exemple, dons lo presse officielle.

M Belot.

Je ne peux exprimer de regrets pour des articles parus dans

lo presse officielle dont vous venez de parler. Quant à la compagne électorale, je n'en ai jamais fait.

Le Bureau fédéral a décidé, à Nancy, de les convoquer devant les trois le fait de son absence en Italie,

Le second, estimant avoir des difficultés à justifier oralement son attitude, ce qui étonne, étant donné le peu de griefs retenus contre lui, a comrnencé par remettre aux membres de In Commission un document écrit, où il précisait, au préalable, qu'il n'acceptait pas d'être jugé par des personnes ayant, comme lui, des intérêts personnels dons le sport, le tout laissant planer la suspicion sur les intéressés, et présenté d'une façon peu correcte. L'entretien s'est fina

lement borné û cette remise de document et à quelques e)^[icotions de détails Le Bureau fédéral de décembre a décidé de confier à une nouvelle Com

mission l'étuae des deux dossiers, et c'est ainsi que le Conseil fédéral o infligé I ou premier joueur un mois de suspension et au second trois mois

Rapports de M. Jean Mercîer :

et demi.

j'estime, ou plutôt, parlent en ce moment au nom de mes collègues du Conseil, nous estimons avoir, en cette occurence, rempli correctement le

C.N. des Statuts et Règlements

mandat que vous nous avez confié.

La prise de position sanctionnée ne visoit pas seulement ! intégrité de dirigeant de M Prulière, marchand de tables, et M. Bélot, marchand de raquettes, qui en ont entendu d'outrés, croyez-moi, mais encore et surtout la bonne foi des dirigeants des nombreux clubs" qui, par leurs suffrages, avaient amené

et C.N. Corporative Le rapport que je vous présente, ou nom de la Commission Corporative, o

l'élection des deux premiers personnoges de notre Fédération, notre Président

pour but de vous mettre ou'courent de l'activité des corpos sur le plan

et notre Secrétaire général, et c'est ceci, autant que celo, que nous avons

national.

voulu sanctionner.

,

,

i

^

.

.

Cette année, comme vous avez pu le lire dans le dermer < Tennis de

Table » le critérium national ne se déroulera pos en même temps que les Championnats de Toulouse, et sera disputé en même temp? que la Coupe Notionole Corporative par équipes ou Stade de Coubertin. à Paris, les 5 et

^ ^Pourquoi ce changement? Tout d'abord, une activité officielle nulle des

corpos dons lo Ligue des Pyrénées ; ensuite, des désirs exprimés par les diri geants parisiens, dont les troupes représentent plus de 80 % des effectifs notio-

noux et qui se plaignent des trop longs déplacements débordant largement sur la semaine, d'où journées de travail perdues. Moyennant quoi, certains

joueurs regrettent déjà- l'ancien système ! Comme l'on prochain les Championnots de hrance auront lieu à Paris, nous avons donc le temps pour fixer la posit on ae la Commission Nationale Corporative pour Tours ou Saint-Etienne

en 1958.

,

.

-n ♦

La Coupe Nationale Corporati.ve a vu de nouveaux venus s y illustrer, si les anciens se sont, dans l'ensemble, bien défendus. Nous verrons en finole trois parisiens contré un Lillois, qui pourrait, cette année encore, mettre «es adversaires d'accord et conserver son trophée. Mois nous ovons^ vu avec plaisir lo Côte Basque et la Provence se joindre aux « grands », où lo Normandie, oorès un beou départ, marque le pas depuis deux soisons

Au point de vue administratif, le Président et le Secrétaire général de la Pédération ont reçu une délégotion de l'Amicale des Clubs Corporatifs, venue l'entretenir du problème corporatif. Un seul point accroche et qui o trait à la double opportenance. mois je ne pense pas que les clubs corpos de notre

sport oient l'intention d'abandonner le principe de la carte corporative, dont le produit sert uniquement à l'auto-finoncement des deux épreuves corporatives individuelles et por équipe et dont Ils auraient olors la charge totale.

je pense vous avoir fait objectivement le point de cette affaire qui, maintenant, est du passé, puisque vous verrez le joueur Amouretti défendre et, pourquoi pas. conserver encore un an un titre précieux.

A. j'en orrive, enfin, ou troisième point, qui o trait à l'organisation admi ■

nistrative dè notre Fédération.

Vous ovez pu lire, dons « Tennis de Table > de février, les résultats de l'Assemblée extraordinaire du 12 février à Paris. Vous avez pu apprendre

que. molgré 19" oui contre 15 non. sur 900 voix possibles, le projet de modi fications aux statuts, ne. réunissant pas lo majorité des deux tiers des présents, n'a pas été adopté.

' ^

Vous pourrez vous étonner qu'un projet touchant toutes les personries qui s'intéressent ou développement de notre sport n'oit pas réuni plus d'assistants, même parisiens, et qu'il n'ait pas donné lieu, par exemple, à un vote par correspondance.

.

. .

Dites-vous bien que ceci o retenu aussi l'attention du Conseil qui, inter-

prctont louablement, pour ne pas dire trop lorgement. comme un accord tocite du projet tes trop nombreuses absences, n'a pas voulu modifier légèrement deux articles, ce qui aurait permis ou projet de passer o la quasi-unanimité des quelques présents.

Dans le fond, à quoi correspondait ce nouveau Conseil fédéral ? C'était, en quelque sorte. l'introduction, sur un mode mineur, je le reconnais, d'un organisme do Fédération de Ligues dons une Fédérotion de Clubs, dans le but

de permettre eux Présidents des Ligues de s'associer plus étroitement à l'étude

des gronds problèmes de notre sport.

tVwjAii. ■


12

TENNIS DE TABLE

J'en arrive ainsi à évoquer un aspect majeur de l'évolution odministrative de notre sport. Nous appartenons à une Fédération de Clubs, dont les, dix-huit élus

détiennent, par délégation directe des Clubs électeurs, et évidernment dons les limites des statuts et de la loi, la totalité du pouvoir d'administration de

année, nos pèlerins — joueurs et dirigeants — n'ont pu oller se retremper dons le grand bain et y voir et retenir quelque chose, tout comme la plupart d'entre vous vivent nos championnats nationaux et tentent de ne jamais 'es manquer pour^folre le point. Certes, nous avons perdu une place enviable (lo sixième) dons la hiérar

chie des équipes masculines et nous ne retrouvons que vers la quatorzième, mois

notre sport.

Les Comités de

direction

des Ligues

ne détiennent actuellement leurs

pouvoirs, quoique élus à ces postes par leurs Clubs, que du Conseil fédéral qui, par une sorte de gentleman-cgréement, entérine les résultats des élections,

peut-être cet arrêt d'un on donné oux sélectionneurs permettra de revoir la question des désignations futures, et en deux ans il y o souvent autant de

pertes de valeurs que d'éclosions qu'on peut en conclure qu'à quelque chose

puisque, suivant le proverbe « Vox çwpuli, vox de! », l'on peut toujours

malheur sera bon,

supposer que ce sont les plus ccpobles qui sont élus.' Le Conseil fédéral n'intervient que dons les cas où les règlements n'ont pas

je ne .vous parlerais pas des résultats internationaux, cor il faudrait alors vous relire < Tennis de Table » et le temps nous manque. Vous avez pu oppré-

été respectés (deux, l'an dernier), pour faire procéder alors à de nouvelles élections.

Ces Comités de direction ne sont donc que de simples organismes fédéraux, qui ne sauraient légalement être constitués sous la . forme d'associations, du type prévu par la loi de 1901. Il en est de même pour les districts, où, partant du principe juridique que le pouvoir déjà délégué ne peut être à nouveau sous-délégué, le Conseil fédéral n'a admis ces subdivisions territoriales que comme des parties inté grantes des Ligues au triple point de vue : administratif, sportif et financier. il faut cependant reconnaître qu'il existe un sens de l'évolution vers la décentralisation.

Suivant la vérité d'expérience, qui veut que l'on n'administre bien que de près, la Fédération a confié aux Ligues la responsabilité totale de l'enre gistrement des licences et l'organisation des éliminatoires de certaines épreuves nationales.

De même, sur le plan national, la Commission des délimitations territonales recherche, dors le fonctionnement, aux résultots payants, une solution ou problème des Ligues trop vastes pour permettre une prospection des acti vités pongistes et un déroulement aisé des épreuves régionales. Devrons-nous, dans un avenir proche, sanctionner cette évolution dans les textes et abandonner la formule actuelle pour reprendre celle de Fédération de Ligues, dont les délégués élisent directement, par mandats corre^ondont à leur importonce, les membres du Conseil fédéral ? je ne le pense pas, à moins que les effectifs des Clubs et des licenciés n'augrnentent dans une proportion inespérée. En effet, si nos Clubs ne voient pas très souvent leurs élus^ avec le système actuel, ils ont au moins l'avantoge, por leur bulletin de vote, d'un contoct annuel, matérialisé, de plus, par votre

présence ici ce matin. Dans le système de Fédération de Ligues, ils s'en trou veraient séparés entièrement ovec l'écran supplémentoire des délégués des Ligues qu'ils auront élus, pour élire, à leur tour, les membres du Conseil fédéral.

Je vous demande donc, en terminant, d'étudier à votre tour ce problème et de nous donner vos avis et propositions pour une modification éventuelle

des statuts, puisque les vœux émis à ce sujet à Grenoble n'ont pas été enté rinés par la dernière Assemblée générale extraordinaire.

cier les résultots des uns et des autres, et nos observotions nous amènent

ropidement à constater que nous ne possédons qu'un représentant ayant la vraie cadence internationale moderne : c'est Christione Watel, à qui je souhaite de poursuivre son excellente carrière.

Chez les hommes, l'enthousiasme décroît et nous n'avons pu relever de nos

sélectionnés pour les sept pays visités : Suisse, Yougoslavie, Autriche, Belgique,

Angleterre, Suède, Italie qu'une participation de poMtesse sons oucun résultat notable, bien que sans aucune défaillance spéciale. Nous nous contenterons d'inscrire à notre crédit la désignation à choque déplacement international d'un

moins de 20 ons, mesure attendue et souhaitable qui o .valu des récompenses à des ieunes, mais aussi un aperçu du déroulement des grandes compétitions et une bonne leçon.

De nos j'eunes, il y a encore un mot, un mot ogréable à dire, c'est leur tenue aux Championnats d'Europe Juniors qui se sont déroulés à Stuttgart ou début de la saison. Le quatuor formé par Cranier, Saul, Chergui et Sautereou s'y comporta fort brillamment et se classe deuxième du Championnat (derrière l'Allemagne).

Notre champion Maurice

Grenier échouant en

finale

du

titre

individuel. Et cette évocatjon nous voudra, après les félicitations d'usage, oux

jeunes et à leurs mentors, le point final de l'exposé des sélectionneurs. ' .

« Nous constatons que dans le cadre international nos jeunes sont oussi forts que ceux de tous les pays. Jusque 18 ons, ils leur tiennent la drogée haute si même ils ne sont pas les plus forts. Après. . c'est le problème de la formation de l'élite qui se pose. »

« A l'étranger, les meilleurs de ces jeunes sont pris en main, lancés dans le grand bain, mais soutenus et encouragés ou maximum. Chez, nous... ils sont trop livrés à eux-mêmes et doivent se foire un chemin tout seuls au milieu d'une toule de joueurs en place qui — et c'est très normal — n'en veulent rien

savoir. » . . La Commission Sportive Nationale a fonctionné, ce me semble, d'une ma nière efficace cette saison. J'en rends hommage aux amis choisis, qui oyant nom MM. Boggi, Bedoc, Bion, Cartigny, Celières et Rouzières ont utilement travaillé, d'une manière obscure mois soutenue, indépendante et correcte, dans

le

cadre des attributions de

la Commission.

Le Championnat de France par équipes en est octuellement aux épilogues. Félicitons les 56 participants qui ont tout joué parfois - ou prix de difficultés

sérieuses. Un seul forfait a été enregistré parmi les 168 rencontres (et encore

M. Khonzadian. — Je répondrois à l'exposé de M. Mercier sur deux points :

eut-il des motifs militaires..)

Cette compétition ne nous o valu que des satisfactions, car les rencontres

ô ce fait^ qu'à l'Assemblée Extraordinaire, à Paris, il y a eu très peu de

ont été jouées dons le meilleur esprit sportif, une seule réclamation a été enre gistrée qui G eu sa conclusion logique. A chaque date, le service d'informa

clubs représentés, je le regrette d'autant plus que ce jour-là était fixé un tour de la Coupe de France. Je suis obligé de dire qu'il y avait quand même dans Ig salle 6 membres représentant des clubs parisiens, qui étaient olus intéressés

ou courant, et nous avons pu, de Poris, vous tenir au courant par « L'Equipe > et les grands quotidiens régionaux (via l'Agence Fronçoise de Presse) des résul

par la Coupe de^ France ; 2® L'Assemblée de ce matin a. commencé à 9 heures

tots et classements.

1° Il serrbloit tout à l'heure qu'il ait donné une importonce très grande

et doit se terminer à. midi. Or, il est 11 heures et il est normal que tout l'ordre du jour soit épuisé. Je pense que c'est le seul jour où tous les clubs ^ trouvent réunis quelque part, où chacun peut avoir des idées intéressantes

à communiquer aux voisins. Je demande une plus large audience à ces clubs,

et donc queja séance ne soit pas bâclée. Reprenons-la après déjeuner? M. Prulière. —■ Ce n'est pas possible, car, si nous suspendons la séonce pour participer à un banquet, après, je m'excuse de vous le dire, ce ne serait plus une Assemblée générale ! Mois, si vous voulez bien chacun prendre la parole à .votre tour sur des sujets précis et surtout aux questions diverses, ne pas parler dix fois sur le même sujet, j'ai l'impression que nous arriverons très bien.

M. Laffitte. — Je crois que M Mercier a décloré que les Ligues ne pou vaient pas être constituées sous lo forme d'associations et ne pouvaient pas avoir des statuts Reportez-vous au texte, des règlements — Article à propos de<ï Assemblées Générales des Ligues. s'ogit d'une erreur d'impression.)

(Apaisement est donné à l'orateur.

Il

tions 0 parfaitement fonctionné, les organisateurs ont bien tenu le « centra! »

Satisfaction encore que l'étoblissement des projets futurs, telle la prochaine opplicafion des matches aller et retour, souhaitée depuis longtemps par beau coup et aussi par les Ligues régionales et qui, cela doit être signalé, répond o un désir commun puisque sur les 56 équipes consultées. 39 répondirent dont 38

favorablement.

Les dispositions sont prises pour cela ainsi qu'une autre encore pour la soîson qui s'achève : la préparation du décompte /des indemnités de déplacement aux

équipes ayant parcouru plus que le kilométrage imposé à tous et dont je l'espère la trésorerie fédérale s'acquittera bientôt. Au chopitre des résultats. l'A.C. Boulogne-Billancourt garde le titre de Ire division et son équipe qui a pu sons dommage remplacer un très fort

joueur (Sala) par un jeune qui, au début de la saison, était encore fragile (Chergui), indique la marche à suivre, Nos féiicitotions donc aux Boulonnais, et nos compliments également à l'équipe du R.C. France qui échoue, encore une fo's, en tinole, disons'-le pourtant, peut-être par ûn simple manque de finish, mo's pos par différence de classe.

Le titre de 2o division opposero Argentan et Fontenay-sous-Bols, deux Clubs solides dans nos palmarès et nos compétitions depuis quelques années. La portie sera indécise, et pour aujourd'hui nous félicitons en bloc ces deux équipes pour leur présence à ce stade qui signifie la montée en première division l'nn prochain ainsi que Saint-Raphoël. Le Havre, Pessoc et Lyon qui ont dû

Rapport de M. Jean Bélot : Commission Sportive Nationale

'•éder le pas lors des demi-finales, mais après avoir brillamment triomphé dons

Au double titre de Président de lo Commission Sportive Nationale et de membre du Comité de sélection, je .vois poursuivre le compte rendu d'activité annoncé en me consocrant cette fois ou sport.

Le sport international occupera, si vous le voulez bien, fa première ploce

dons la hiérarchie de cette présentation. En parler revient tout de suite à parler de cette question sordide d'argent. De cette tribune, nous avons dû l'on dernier éclairer quelques-uns de nos dirigeants qui pensaient que les tinances fédérales consacroient une trop grande part eux champions, aux sélec tionné? et à leurs déplacements. Cette année, c'est l'admînîstrotion et ses

commis qui sont en cause ! Ainsi va la vie, mois cela ne nous empêchera pas

de confirmer que votre souci fût-ce au détriment de notre première fois notre Fédération Nous vous avons dit pourquoi tout en regrettant le fait qui

de l'an dernier était et reste encore le nôtre, représentation nationale C'est ainsi que pour la n'était pa? présente à un championnat du monde. sur « Tennis de table >. je n'y reviendrai pas. nous dépasse largement puisque la dépense aurait

été largement supérieure au million. Un million ? Ce chiffre g été reproché récemment. Devons-nous faire un ropport entre le non'-déplacement de quelques-uns de nos champions et la critique d'une trop grande dépense de un million pour rodministration ? Ce serait amusant.

Mois soyons sérieux Le regret de notre absence à Tokio ne vaut peut-être pos pour les résultots que nous pouvions y obtenir, mois il vaut, cor pour une

'■ ■ •

'

\

ii' '

'

. ' I

''

A-|lVr'r' i1

[t

kur groupe inteTégionol de 2® division.

La modification rodicoie apportée à l'organisation de lo Coupe de France sur

lo rerommondotion de l'Assemblée de Grenoble a été bénéfique pour l'épreuve Le nombre des engagés à l'échelon Ligues ne nous est pas encore connu, mois mus pensons que le total doit être de quelque 1.200 équipes. La formule a aussi

perm's ae donner avec l'épreuve de consolation que'ques rencontres supplé mentaires aux équipes les moins fortes, et permis un déroulement général plus focile parce que plus adopté aux contingences régionales. Dons deux semoines, nous connoîtrons les équipes qui succéderont à celles du R.C Fronce qui avait fait le doublé l'on dernier mais dont aucune ne

jouera sa chance cette fois-ci. L'A.C. B.8., le Stade Français, Lentigny et Par^ thenoy joueront à Poris en Coupe féminine tondis que Marseille, Pou, Caen et le ClP.S.E, joueront la « Masculine » à Issoudun. Les Coupes Interligues vont bien, vont très bien même,, et je plains nos

cmis Fourel et Bajeux qui vont les orgoniser cette année à Valence avec l'espoir, m'ont-iis dit, de ne pas déparer la collection et de faire mieux que Nancy.

Ce ?e'"ait une performance, car pour la première fois nous avons eu une grande compétition de ces confrontations entre nos équipes sélectionnées de

Ligue. Ce tut portait et la Ligue do Lorraine o droit à nos félicitations pour

cette première réalisation, dont il serait difficile de dissocier dans le travail et


13

TENNIS DE TABLE

la réussite notre collègue Cuy Lemolre, de qui nous venons d entendre d re < qu'on se aemondait ce qu'il pourrait faire pour le pmg-pong » ... et a qui les visiteurs fle Noncy ont d.t leur grande satisfaction qui doit etre la sienne de

"^Sportivement parlant, l'Ile-de-France a poursuivi sa carrière dans l'épreuve

et ce n'est que justice, même si le dirigeant de l'equipe présente en finale vous dit par ma voix, que cette fois-ci les Flandres ont manque de bien peu la Coupe Polmièri. On o pu noter à Nancy que les hiérarchies n étaient pas si solides qu'on se plaît à le penser et que certains petits n avaient pas peur des gros cè qui est de bonne augure, puisque beaucoup de nos loueurs et loueuses ionf très heureux de jouer les - grands les cherchent souvenÇ et les trouvent partois..., ceci tendant à démontrer que la compétition n est pas si

'"'^®°le ne crois utile de m'étendre longtemps sur l'organisation des Champion

nats Internofionoux de février 1956, où une catastrophe sous la fome de la vogue du troid déferla sur nous tous et nous priva de la double satisfaction ^ financière et sportive, la seconde étant acquise. Tout le monde a pu en ire les détails et se foire une idée de sa réalisation a travers la presse officielle,

'''^'^Pour^'terminel-^ il y a à parler des Champiannots que nous vivons. Ils me s=r.viront d'exemple pour marquer l'optimisme, quand je vous aurais signa e

q'u'il y a quelques années, il ne pouvait être question d organiser une teUe compétition a Toulouse, le président Trinqué étant trop isolé. Or en moins de

cinq ans il a trouvé une équ.pe, et cette équipé q pu foire quelque ct.o» d t-ès bien ce que vous êtes à même d'apprécier. Bravo aux Toulousains et, eri particulier aux quatre mousquetaires qui ont nom J/mque, Sellier, Borthes et Pûssienol Bravo à tous leurs collaborateurs sons oublier le trio girondin Jubert, Ciroud Coloubie, qui a organisé la partie. technique, votre serviteur se conten tant d'aiguiller tout ce monde ofin que notre orgamsration soit de plus en plus réussie et ce fui facile ici grâce à l'effort commun.

Rapport de M. Alex Agopoff :

M Prulière

D'accord, au moment des Championnats de France, de

réunir les Commissions et les membres des Ligues qui s'y intéressent.

M. Agopoff. — Entièrement d'accord pour une réunion le 24 ovril, à 17 heures, à Toulouse

Rapport de M. Georges Jubert Commission Nationale du Matériel Mon intervention sera très brève.

Un des rôles de la Commission Nationale du MatérieL vous le savez,^

de choisir en toute indépendance et en toute impartialité un maténel Fo venable pour les grandes manifestations nationales, puis dobtenir en merne

Zps le moxîLm de concours et assurer une équitable répartition de, l'utilisation des morques.

ii'^?y^^a^pasTLr:it?':"n;^urét"u^^^^^ toutes les propositions, nous

soll.ch^ons^tous

désignation de balles et tables, nous procédons, bien

entendu, à l'agrément annuel des balles, ce dont vous trouvez mention regu

hèrementcdans^ 'Nitional'des Sports ayont formé une Commission specialetnent

chargé de l'équipement sportif, nous ovons exprimé a cet organisme

besoira

du tennis de table, en même temps que nous lui avons indique les normes çnllpç ronvsnant iG mlGux pour la protlquG dss sports. _ ^ je pense que le rôle de la Commission du Matériel, de création recente, se

développera II lui apportiendra de susciter la création de Commissions re&o noies (il en existe déjà...), avec qui elle se tiendra en rapport pour I examen des salles et du matériel utilisé avec leur agrément qui apparaît de plus e

pfus irldispensable surtout et en premier Jieu

Commission Nationale de l'Arbitrage

Aiiî'si,'"à^la fin de cette saison, et ceci sera ma conclusion, je suis heureux

iviesdames,

Mesdemoiselles,

de vous signaler qu'il n'y o eu absolument aucun incident.

Messieurs,

Nous avons à ce jour, inscrit dans nos statistiques 28 juges-arbitres et

57 arbitres nationaux, mois, en réalité, 'une partie de ceux-ci p'officient plus depuis plusieurs années. Pour cette raison, par une circulaire de notre Secré tariat général nous avons demandé à toutes nos Ligues de nous signaler si taus leurs ressortissants inscrits sur ces listes étaient encore en activité. De cette moniere, sur le prochain annuaire, nous espérons ne voir que des noms de iuges-arbitres et arbitres réellement en fonction. Lorsqu'un candidat arbitre veut préparer son examen, il , a 0 sa dispo sition les règles de jeu qui sont insérées dons l'annuaire, mais le candidat iuge-arbitre n'a encore aucun texte qui puisse l'aider dans cette preiMration. Nous avons fait poraitre dans des différents numéros de « Tennis de Table » une série d'articles prévoyant presque la totalité des connaissances nécessaires à ceux-ci Ces numéros du journal datent de plusieurs années Nous souhaitons vivement que le futur Conseil trouve les fonds nécessaires pour irnprimer une

brochure comprenant tous les textes concernant les juges-arbitres et les arbitres^ Cette dépense, d'ailleurs, ne serait qu'un prêt, car cet opuscule pourrait etre vendu. De plus, il n'y aurait aucun risque de perte d argent, parce qu il ne

pourrait devenir périmé trop vite, du fait que les textes changent très peu

Le^Totfr ^où^^ceUe^'^brochure existerait, nous espérons que nos ■ effectifs se

Commission Nationale de Classement ,M Prulière — le suis chargé d'excuser M. Leménoger que ses travaux

rte Fmnre à "Assemblée a eu lieu ane réunion très intéressante concernant le classement II est évident que l'absence de M. Lemenager joue, en I occu pe mo^ il'serait peut-être bon que cette reunion ait lieu tous les ans a la mêrrie date II s'y fait un assez bon travail. Cette question du classement est

tTès importante. Il y a donc un intérêt ô ce que les contacts soient établis

entre tous les dirigeants de clubs et de Ligues.

.

. ,

M Prulière. -- l'en suis perusadé. J'avais pns l'engagement, si ^ pouvait se charger, ici. pendant la période _qui reste réunion entre les rapporteurs régionaux présents, ce ne serait pas complet

""^'^IvL^ Bllot.^ — le'^vLdrais compléter et transmettre Dort de M Lemenager : La réunion de !o Commission,

1 on

multiplieraient par dix, et mêrne par vingt, car \q tâche de nos responsables des Commissions régionales serait grandement facilitée.

d'uni défâil?an"c"e admini"s?rJtiîre, ^'la Commissim °oya^f' élé Flîwoquée tardif

Profitant de la réunion de cette Assemblée générale, nous desirons rap peler une des attributions de cette Commission ; ., . .. « ...Elle désigné les juges-arbitres et arbitres des manifestations nationales

^iian^^ « ^ré^i^n ^^^0^?, ^I^ÎTXiurli/'r-as^'^è

Cela veut dire que, seulement après qu'il ait été décidé nécessaire de fournir des luges-arbitres et arbitres pour telle ou telle manifestation, la

nniK; vous oroDOSOns demoln matin, de faire une réunion.

Commission Nationale des Arbitres désigne les personnes compétentes. Nous rappelons cela à propos de la présence de juges-arbitres 0 certaines rencontres au Championnat de France par équipes. Nous avons reçu des ins tructions de la Commission Sportive pour l'organiser. Nous .avons rempli notre tôche Nous savons que cette organisation fut impopulaire, cor le financement coûta aux clubs porticipant ou Championnat. Ce problème concerne la Com-

Merdlr!^—' Il y a ici des membres de lo Commission de Classement et

Vœux présentés

par les Membres de la Fédération

résultats très souhaitables au tennis de table en général ;

petites réunions amicales, pour monter dans la hiérarchie sportive, et prendre celui de manitestations sportives officielles et contrôlées ;

d'autre part, pour réduire ces dépensg,s, les associations qui disputent les grandes épreuves fédérales se trouveraient dans l'obligation de préparei

Nous allons passer à l'examen des vœux. Ces vœux

M Ciraud. — Cela me paraît un minimum, puisqu'il existe une commis sion des Arbitres — qui fait l'honneur de m'envoyer des papiers en tant que membre et me demande d'y répondre — que tous les ans au moins pendent la durée des Championnats de France, la Comimission se réunisse. _ M Agopoff Au début, lorsque nous nous sommes organises, nous avons nommé une Commission. Nous nous trouvons dans une positiori où lo Commis■ sion ne travaille qu'administrativement. Nous avons prépare des textes ;. nous faisons passer des examens. Nous ovons déjà eu des réunions, mais, au bout d'un quart d'heure, nous n'avions plus rien à nous dire | ! ai réuni une tos des arbitres à Bordeaux : nous nous sommes trouvés à 4 ! Nous avons parle,

mais je vous assure qu'en dehors de petits problèmes d'arbitrage connus, nous

ne pouvons rien nous dire.

p.*?,™']"

Dor le Conseil qui donne son ovls. L'auteur du vœu sera amene o defendre son vœu, s'il le désire. Les membres qui seraient ^ d'un vœu et qui ont quelque chose à dire ne demanderont la parole qu une seule fois s'il vous plaît, .cor il y a 20 vœux

chez elles les techniciens diplômés que nous leur envoyons actuellement, et qui sont nos juges-arbitres et nos arbitres nationaux. A

_

une 'bonne quantité de dirigeants, ce serait mieux ;

""^^'Mais''nourpensons que si cette mesure se génçralitrait, elle donneroit deux — d'une port, nos organisations par équipes quitteraient cet ospect de

^

M Crisofulli. —' Il est intéressant qu'il y ait peut-etre une autre reunion, ma's au cours des Championnats de France et de l'Assemblee Generale, avec

VŒU N» 1. DE M. VIVIEN, DES « BLEUS DE BAR-LE-DUC

« Les clubs qui n'ont pas la possibilité de déplacer un de leur mernbre qualifié pour assister à l'Assemblée Générale de la FT.T.T pourront donne, pouvoir à un licencié F.F.T.T apportenant o un autre club pour en leur nom, prendre part aux délibérations et émettre les votes, suivant I ordre du

|Our.^»

exigeant la présence effective du représentant d'un club,

favorise ceux dont les moyens financiers permettent le déplacement : Position du Conseil Fédéral : . a u Le vœu de M. Vivien dénote un souci légitime de s'associer même de loin aux travoux de l'Assemblée Générale. Toutefois, le Conseil propose donc de ne pas retenir ce vœu. qui est contraire aux statuts et a I arrêté du 8 |uin Î949 sur l'organisation sportive Vœu non approuvé


»*

, i' •

•J8;oJai\[ UBajf 'jaij

-loi PJBJaf) 'uipjEg -f-'j : saaqiuai^ •âui[

-[tqosjun^ uuaf ; [BJauaS jotjossjj;^

« SLZ '• uoTjBqojddBj aj-juog *!"A t8£ : uoiitîqojddB,! 3p jnoABj ua

((

<(

«

spiu sunaifna

«

■fr£9 : S3iu!Jdx3 saSBjjjns Sgl :

SSCI aaNNV.x aa

aaaiOiVVNia Noixvnxis va aa

UMf :[BJ3U33 3JlB}3J33g •oiiQ 3g i3Joqg 33ijnBj\[

'iioJiUBjg ousSng : sinapissjj-aaj^ •3J3tinjg uBap s )U3pis3jg

NOIXVaOHddV « »6T « 952 « 2£g « 6Cg X!Oa 8ig

:

■i£6I-9£6T -"no'! •x'X"ji"d[ VI aa avaana

loiliHi ajiBtuog

<( « «

OdUllUOO Suiinqosjunj

9^

«

J9TI101

TOî'

((

« ((

IZf SKV

ipitî3003

«

« ((

XXOA

aia

«

«

oss

I3AJ3A

îoi?a japjo]^ '£

iiodoov LZ9

: UNaxaO XNO

■qiqBiî loqsini

aaxao Na aNaxao

"i mu;

■Z8i

: sjnu sugoifiiti

S3TUudx3 saSBjjjns

x\o

•681

:

s-juBioA

learap^l nasuoa ne suoD^aia

fiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiitiiifiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiijiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii,i{,iii„iiiiiiii,i,i,i„„„„„„„j„i„,„i,ii,ii,ii,i„,„„„„„„„i,„i,i,„„„„„„„„„i„„,i,i,„i,i„,i„„„„i„iiii,i,„„i {'Sjafns y)

•b4jods saj4nD sap

sojDjjp^4 suoî4DS|ud3jo sai ajpuiolaj N'S'D D] Ç Sjiusuoi; nsoA

siuajDiiip S8a sp 9400109 9UU914 9p inb |DUJJ0U 94x94 4uaLuainoj3p un,p apn^p un jnodeiieoued 9A!4J0ds49uoS4u:od ssiluujo^ di o S11USUDJ4 4jos naoA 93 anb asodojd i| 9ip!44!p zasso '459 'sqnp "xno sjnoino4 boa 4U9iDqi^oDU!,u S94i|!qDsuods0j S3[ '9501 souojj ep adno^ d| ap sdd' a, suop jDD 'anSji jnaj ep 94004 9un jnod sqnp sap uoi4!4adojOD sjoq 9J449uj ?nD auj[4S9 'naoA 39 ap apuo^-uaiq-aj 4UDs>iDuuo9aj ua 41104 "pasuo^ 9-]

sjnaijio.p 0a4;DJ4 aouaS

ap - iopa :

4UD4JOduji

4Ujod aj4nD,-]" ' *

aijajosaj4' anA ap 4uiod np" [lanjjj un- 4uauj0inas an4!4Suo9 43 4UD4J0duj} S0J4 sod 8J4o-4n9d 4S9.u s9uoj4 os'sp janu.ujip au ap 4104 03 '9j9i9udu.4 ubi4S9nb 0| 4sa p4!|iq.ssod ajôjiueja 03 saAnaja^ xnb uoi4Ddi9i4jDd oi j9U;Luoxa,'p 4U9Lua4snl 459.9 'sâunaf sap uOiSstuuujo^ 94493 p suaisubd sqnp sap 54004 -uasajdaj" saj jud apuoujap ^43 6 mb 99 4a uoîssiluluo^ 'aun ^j9 sudad snou 'aauuD 3449^ saunai sai jnod '|jOADj4 un aouaujaiob suoad snou 'a9uDJd-ap-a||,|

,.-'K

sp anap uj suop ' sa^uuD sjna|snid smoaQ "jauuop jnad D|a9 anb 4D4jnsfj ai jns S8nbi4da9s saja snoA anb 4104 a| S4140UJ aujujoa zauajd soca 'suoiS

-npuo9 sas suop 34104'ai

{ojapa^ ipsuoo np uojijsod

^ "OU oN « 9|CiDX 9p siuuax ^ 9P II

-ija^u oj ap 9|i99 onb isuio uo:4S9nb 94499 4ujod no 9J449oi sp snoA y *

-004 S949pos sjnaj D9ao ' 'ap as 49 uopjiadujoo sjol| siuj 4u9ios siopp saAî4 séi suop S94]|Dnb b9| sod 4uojjaAU9,u mb xnaô anb suopuoùjap snoN aiqouuosioj lopp un suop S9J4U99 sap saïqosuodsaj sa; 49 s9a!4!|Dnb $3401905 S9| J9S!A0.p 94!l!q!SSodujj.| suop $49 d aApjods uoiss!UJUi03 oj 'anân spi^itonb sap iOAU9,i 'jncd l'i-j j oj jod 03x;4 04Dp 'c|' op 49adS9J uôu np '941ns JOd anb 9J4UOUJ o snou 956[ 99udjj ap adno^ oq : 3i||Ajn 3iV0 »

4ua!A- |jasuo3 aj bluujod 'naoA a| 4UDSsnodaj 03

« anSiq aj4ou ap nsoA puo^as un ajnaq.i ç 4004 ojpujojaj 0(33 "saunai ap 541499449 sou ja|0J4U09 ap oj44aujjad snou 0)93 »

jos u3 naoA aa jiua4nos ap ^puoujap d.lu pjDqno3

:

4jJ9a,uJ

II

aouasqo

— '!li"49S!0 'W

naoA 89 Jiua4aj sod au ap 9uop asodojd

j!asuo3 aq

•4J0ds aJ40u "jnod 4i40jd unono sues "ajiDjqq no no dlu^uid

no ojj '4a3pnc4 aJ40u jnod anpjad |sujO jnanol Jod 590044 ap aujujos Oj anb 43 qnp jna| no a[i!UJD4 jnaj jod sicuj 'xne jod sa^Acd scd 4uos au saunai

sap saouaojj sa) 'ajqujasua.i suop 'anb 4J0ssaj \\ qjod aj4no.p : saouaDn ap xud jnas un oaAO auja4sAs np a4p;idaJ!S aun Jod 4inpoJ4 as or.b n404s 3} ■4JDd

ûun.Q 541493449 sap ubi4D4uauj3nb aun,"p a4!jjqiS5oa oj jns |}asuo3 np sajqioàui saj sanbi4da9s 4uess!oi oa[40[4iu! 9(134 aun.p ajpua440 o " s4D4,n5aj saq ••

siVNvaiao.n aa anôn vi aa amviaaogs •abvanoD aima aa '5 on oda

|OJfpa4 ijasuoo np uofjiso^

'N S'D 01 Ç SÎUISU0J4 naoA

■saunai sap uoissjujujoa-snos aun 4!os 99 anb : 'naoA 39 o 4uaujapuaujo un spjasodojd al sjb;o" 'aA-qjods uoissilliluo3 d] ap apuadap 'a((a,nb ajisap uo js saunaf sap uojss'ujujbi aun.p uôi4n4i4su09 d| 9uop s!Djpua4ap af (odpuud 4nq un soj 'DAnajd^ apuojS aun,p *• (043094 uofd ajuaAouj jns

un siDLu

uoî4DSjuo3jo.| uaÂoLU jnod 4udAd 'saunai sap 4U9uj9nbiun quodnoo.s a4U949dujo9

U0!SS|UJUJ03 9un suouaujio snofsj

aasuad dlu ap puo4 a| sjnanio.p 4sa.3 -jnq

e; UOU 4a uaÂoLu aujja4 a| jaAojdiua'jnod pJ099D.p sins af — ■!lM40SjJ3 'asuodaj

o|

suop

auiJ04dp

?4? 0 naoA np 4|jd5aj onb siojd af 'sa90|d 4004 sdj; sjnanoj sap anA ap 4urôd no sod 4sa.u aa •pjoqno3 ap 4|Jdsa.| suoq — "(suocj) uaqaisuojg -pg apn4a jnod aAî4Jod$ U0!SSjUJLU03 d| o s;ujsudj4 410s naoA aa anb asodojd \\

saunai xno aiuo4joduj| aaoïd oun 4UDua4uiDUJ aujujoa 4uda

-jasaj ua sjnanoi sap .aiciajasua.i ap aAqjôds a4iAi490.| ap jadnoao.s o anupuoD aAqjodg U01SS1UJUJ03 Oj anb asodojd 43 |an4'9D "auja4sAs a( jaSuoqo ap ajqn sod 9uop aujî4sa,u iîasuo3 aq 'JOjunf un suioai no' sudoioo 400 ja3uoj4aq o

S9SiD!>uDJ4 ssdmb^ saj *4uaujanbfuq9a4 a|qjSSod"a4a 0 0|â9 anb 5(04 anbDq3' '

«

jnaj ja4uaujSnD,p suoi4Di9osso sou o oj44BLUjad ojao aj4a-4nad '4J0d aJ4no.a »

' ■

jjOApj4 ap dnoanoaq 4a ■^Aj4

-DJ4siu'UjpD sûoi4b9i(dLuo9 sap ojau4DJ4ua bjao anb 4U0JIJ snoA 50104433 »

« " S9U0J4 coi 9 Jna!J94ui

•S9UOJ4 001 9

9| Jaxj4

■S9UDJ4 os o

54:101004 ajnp

vi aa aaivxayoas

'ajOjauaQ aajqujassvj

<

xno soaAuasaj saAnajda.p

s!uj5uoj4

'ayvanoD aiiiNa 'w aa 'a on nuA

uo!4!SO(]

'(lOuoiSoy

-OJd 39 jns jaqouad as 4004 |i •"■949 "sjoiunf'sap son3!|ja4U| sadnoo 'ejdLuaxa 'saunaf

no

uoijosjuoSjo.i

|bdi9u'jd inq jnod 4P

ap

s4uasajd saj jod (ojouj 4JoddD4 aj ja4dopo ajjo^ 0 suojanuqubo snou 'afojauaQ aaïqujassv

auioqoojd

Oj

jnod

anb

suosmpafD

ua

snofq

-ajai^nij

quDAD siDLuol sioLU *4naA' uo is 'saidD a'OAua.s (Djoai 44oddoj aj 'Suo!4DJapaj sa( 594004 sucâ — -noajng ' aa;qu4assy,|

o jaAjasaj ai

ap aiqoja^ajd

4Sa ii.nb 51049 af 'sqnjD sap sajdno 410484 as auj^-inj jiasuo3 aj anb'9419 -;iqnd aun" "410435 93 •xna!9UDpua4 ajja jiojjnod 4Jod'doj" aq — -ajannjj

i jojoLU 4JoddDJ ai jns a40A uo 'suoubjapa^ 534400.9 sudq — -noejcj/^ -41^ •••nua4aj sod 410s au OcDa aa anb duod asodojd jiasuo3 aq

aauojj ap sanSiq

sa| 534004 o 4uoua44DddD s4UDa3i4ip ' ap aoA ep s4u;od sap U01404U0J4UÔ9 Oj Jod '4jods' aJ4ou ap uojSsajSojd "oj o ajqD4!40jd 5944 4uo4Jnod 'U140UJ 39 ap a;|a9 aujLuoa" uoissnasip 34004 amiJddns' tnb aô 'sa4uasajd S4joddoj sap ajciujas

in 3a 'i' «n oda

naoA

aasspq 410s sjnanof S9p 99U99.| d| anb

sounaf sa| jnod 4U9Uianbîun jaAoïdujaj ap anSp d| Jod aSjoqo o aunal

D|

•|}dXdj4 ap 4uauja|ddns'99 ja4Joddns ap sajqodoa

sanSiq ^ $40140434932 saj suoA6j9 snou siduj

4'jaAnos saj4 4a 534400 sap sun saj S4uaja44ip 5544 xjjd sap o saDuaon ap 594495

sjnaisnjd '4ua4Ai|ap mb suoi4Djapaj sajj'no" sa| oaÂo 341(083,p paid o 9449.P 43 « saunaf > "4[49a^a uos'43,0441109 ap uo!4Djap3j d| D"DJ44aujjad 0(93 > J3,p 43 snossap-no 4a joiunf aSo.p sauna! sa; jnod aDuaoji aun jafjo ap smiu 'S9UDJ4 001 9 OSl sp aaûaoïj Of'jauaLuoj ap sod suopuoujap snoA au snorq sjnojno4 34saj 4a aâuoqo sod -o.u sangjq sap aujnoisu o| 4a

0(39' '0104439 4sa 4104 un "aJiDJOGuja; 'subsip '41043 ajnsauj 94439 anb 4j"p 0 snou ajaj-fnjfj" 4uap|sajd "aq qojapa'^ 4aSpnq np "sapiA saj jaiqLUoo jnod soudj^ qsi 9

Oo'l ap aa4J0d'a4a o aouaofi D( 't-Sél ua "uanoy n ; saouasif sap xjjj » sivNvaidon aa anon

■aj!0|09s apouad o( 4uopuad S4usnbaj4 doJ4 S4uauja90|dap sap jod

sapn49 sjnaj jaA0J4ua,p uoqsanb aj4a 4iDJnDS au (i.nb npua4ua 41404^ 'saunai sa] jnod 440443 soj3 un 4uaLua||on49D "4104 4sa (i.nb 3041453 i!asuo3 aq ]Ojap94 ]{asuoo

49 S49U4SIQ S4dq3 dxg) ouoS^iOD 94499 ap a4!jD4!A D| aAnojd snou saïuiuft^j aAnajdo 9un,p uoi4Daj9 03 sjnanof sou ap a4||9,| ap jiuaAD,| 4sa d| jdo 'aiuaiq JOd

49 iouoj4Du uDjd ai jns 99949 4iOS S9un9f sap 4ÛaLU9nbjun 4UDdn990.s 94u949dujo3 U0|SS!UJUJ03 aun.nb suoueujiD snoN "ll d d sauno'f sap ugissiluluoo '» •SIVNV31Î10.1 3a 3nôn vi 3a 3yivx3yD3s •ayavnoD 31iin3 noajng

jnod pjo9DD,p saaiujos snou anb 'a9|nujjo'4 .4ua!A inb spuoujap bi o a4ins '9JÎP ap zajoj np 49[J4S!a 9] Jod aSJoqo sfns af " -(sjnaj) 4auad -41^ ap a9u99î| JOd soudj; oS sanSp xno s9aujno4S!J 4uâ}os anb |iasuo3 up.qooJd no jasodojd uap xnaA a( saunai sjnai j'osuaoai p sanSp sa|. japp siojajpap o| 'uojjDjapaj énb 4UD4 ua.nb aujaiu loJp al 43 pjoDoo.p 4U3Uja}P4"jDcj sjnânof sap a|oj4uo9 un zajnoA snoA aujpuj pubnb '4Li9!4 uopisod aJ40A "ap aqdojSojod jaiuiajd a"! 'pujjouo 4sa,3 'saouao!} ep xud xnap anb 's:p af — 'ajaynjg •aDuaoîi

-ua,( jns UOU aod nb mo jod aouopuodsajJOD jod 4ub40A sqn|9 saj 'ajOjauaQ aa|<^assy aun Jiua4 ap uosjoj ap snfd 410 A.u \\ 'aiua4sAs e9 4UDS!|Djau0 ua.nb 4ujDJ9 |iasuo3 aj sioÛj 'aiqissod 4uaujLuapiAa 4sa 'ja!9uouj4 44oddDj a| anb sduja4 aujauj ua sqn|9 xno lOAua uos 4a (ojouj 4Jodd04 np uoissajduii.q- • •uo!4DqojddD ubs o siiunos 'ajqojbajd no '4U0S ajpuaiua.p zauaA stioA anb suojs -S1UJUJ03 sap S4jobdbj 534400 saj'aujaioo lojpuao 8410434932 np (Ojolu 4JoddDj 3j" anb 4104 aj jns aajqujassy.i ap 001403440,1' aJU+b (ojapaj 1135003 sq •39043 jnod

ja sadu4D43 |/^"0'D S|

uoisSiUJLuo3

o] o aAoAuaj

ajqouajQ o a4uasa'jd 043 o anSojouo naoÀ un |0Jdpd4 (lasuoD np uomsog

ap 4909 aj jns a9uaj944ip o|

34104

sod au 'uiosaq no 'aujpuj 43 'saunaf ap S4!49a44a sou ap uojSsajSojd ap eqjnoo 'oi djAjns 49 jajqujouDp jfoAnod ap jnpo 459,9 *4UD4Jodujj a4ijasajd a3D4UOAD.-i ajjp 9| 4[0JJn0cf ]\ '0)-3UJ94SAS 39 9a/v i uoN I-aouojj ua saunai ap o  p uaïqiùoo ajip |i-4iojjriod 4i4DJ4S|U!UjpD

« 'asnoD ap aauDssiouuoo ua ja4afaj ai no jaiOA a| 4uo4jnod mb

sqnjD sa| sno4 o 'aouoAO.i o assajpo 410s jojodj npuaj a4diiJ09 a| an^ » Dna-31-îiva 3a sn3ia S3a

4DiJD4^j9aS a| '4uaujai|an49V «"sod suossiouuba sa| âu snôu 'saunai sbfq

'N3IAIA

W 3a 'Z oN HDA

aaavi aa siNNax

n


15

TENNIS DE TABLE

L'ORDRE

L'OFFICI E L DÉCISIONS

Dimanche 27 mai 1956. — 6" Tournoi

Ont été nommés :

'Juges-arbitres nationaux ; MM. Aeher Jean, Crisafulli Jacques, Parmentier Ro bert, Weill Daniel (Ligue de l'Ile-deFrance).

Arbitres nationaux : MM. André, Dela-

Interrégional de Sens (Marché couvert). Deux

tableaux

Messieurs, im

Dames et un tableau Jeunes. Deux cou

pes et nombreux prix. Engagements chez M. Jean Jacquin, 174, rue d'Alsace-Lorraine. Sens (Yorme).

**•

devant s'effectuer sous la direction d'un officiel qui doit être invité dans les mê mes conditions.

A

Un appel de la Bourbaki de Pau, con

Dimanche 27 mai ternational de la tableaux Messieurs, un tableau Juniors,

1956. — Tournoi in Méditerranée. Deux un tableau Dames, deux doubles. Qua

tre challenges : 200.000 francs de prix. Renseignements à M. Francis Betta, La Rogère, ruelle Videau, Aguillon, Toulon (Var).

cernant la sanction infligée par la C.S.N. (avertissement et blâme), à la

suite de manquements à l'occasion des 1/8 de finale de la Coupe de France, a été rejeté. La réunion nationale de la Commis

Dimanche 27 mai. — Tournoi interré

de

l'A.S.

Cheminots

Chartres-

Mainvilliers. Classés 15 et après. 4 ta bleaux. Coupe Berthome. Engagements

(26 mai, 18 h. 30) : M. Charles Petitjean, 23, avenue Texier-Gallas, à Chartres.

F.F.T.T.

A Reconduction a été décidée des règle ments administratifs actuels pour la prochaine saison pour Affiliation ; inchangé. Cotisation : inchangé (la feuille de

renseignements sera modifiée). Timbres-licences ; inchangé._ Cartes corporatives ; réservé (une en quête est en cours pouvant modifier la

Dimanche 27 mai, — Salle des Congrès de Séraucourt. à Bourges, à partir de 8 h. 30. 3 tableaux : nationaux et 3« série, 4- série et non classés. Dames : 3 coupes.

Engagements à M. Bernard Gozard, 20, rue Sainte-Ursule, à Bourges (Cher).

A

l'Assemblée générale, pour l'étude du vœu du C.O.M. Etampes, visant l'indé

Messieurs :

CORET Jean-Louis : Fondateur en 1934

du P.P.C. Pampadets à Bagnères, Secré taire de la Ligue des Pyrénées de 1941 à 1947 et, depuis cette date, Président de la Ligue de Côte Basque. DIEU

Fernand : Fondateur

du

R.C.

Maubeuge et du District de la Sambre en 1935. Maintient toujours ses activités.

Membre du Comité de la Ligue des Flan dres depuis 1938.

LEPAGE Marcel : Membre dirigeant de l'U.S. Vassy depuis sa création en 1935. Membre du Comité de la Ligue de

PARTHENAY Marcel : Fondateur

du club depuis cette date jusqu'en 1955. Président

du

District

de

la

Marne

Cor-

billon, Jubert, Moreau, Plantrou.

Dimanche 24 juin. — Tournoi annuel de l'E.D.F. de Dieppe. Salle des Fêtes. 3 tableaux Messieurs, 1 Dames. Rensei

TRINQUE Raymond : Fondateur du Toulouse P.P.C. en 1934, dirigeant de différents clubs toulousains avant guerre, élu Président de la Ligue des Pyrénées en 1941 et maintenu à ce poste. Membre du Conseil Fédéral.

VOLL.'VND Robert : Membre du Co

1947 à 1949. Président d'honneur du Dis trict

Rhône

et

Vice-Président

du S.R.

Lyon.

C.S.E.D.F., 10, rue Claude-Groulard, à Dieppe (Seine-Maritime).

Balles agréées 1956 Toutes les compétitions organisées sous r égide de la Fédération, pai

Organisateurs, Attention!

ritoire de la France et de l'Union

de joueurs et joueuses de première

Française, doivent être jouées exclu sivement avec des halles agréées par le Conseil Fédéral et dont la liste

série invités, et toute organisation ou verte aux joueurs non licenciés à la F.F.T.T. (français ou étrangers) doit

figure dans chaque numéro de l'or

être autorisée par la Fédération (sous

gane officiel « Tennis de Table ». couvert de la 'Ligue), AGOPOFF-LANSKOY; AMOURETTI Cette autorisation ne pourra être ac cordée que si la demande en est dépo EHRLICH; HAGUENAUER au moins quinze jours à l'avance^ HALEX 2 étoiles ; KLESTONE; MALIE sée et conformément à une décision du

OLYMPIC; READY; REINA

TENNIS DE TABLE Revue Officielle de la F.F.T.T.

Conformément au règlement publié n'importe quelle association, ou n'importe quel organisme régional : par l'annuaire fédéral, toute organi Ligue ou ses subdivisions sur le ter sation de propagande avec le concours

MONTANA-SELECTION

et

membre du Comité de Champagne de puis 1950.

gnements et engagements jusqu'au 22 pendance des joueurs et des commer çants, a été composée comme suit : juin 1956 à M. J. Devaux, Secrétaire du MM. Thoret-Le-Duc (Président),

du

Central P.P.C. Reims en 1933. Secrétaire

mité de la Ligue du Lyonnais en 1933 (délégué à la presse). Vice-Président de ce Comité en 1946, puis Président de

méthode actuelle).

La Commission spéciale, décidée par

néficiaires :

Normandie.

gional

sion de Classement a été fixée au samedi 30 juin à 10 heures au Siège de la

du Conseil de l'Ordre du Mérite Fédéral,

a donné la lecture de la composition de la Promotion 1956, qui comprend six bé

tableau

vallée, Guilbert, Parisse, Piaeza, Rougagnou, Vautier (Ligue de l'Ile-de-France). Un déplacement au Maroc pour deux •joueurs en tournée n'a pu être accepté, tout déplacement hors de la métropole

MERITE

Au cours de l'Assemblée générale 1956 à Toulouse, M. Jean Prulière, Président

ENGAGEZ - VOUS

DU CONSEIL FÉDÉRAL

DU

Conseil Fédéral, si elle est accompa

gnée d'un droit d'inscription 1.000 fr.

MENSUEL

Rédaction, Administration, Publicité

60, Rue de la Victoire P ARI8 - IX« Tél.: TRI. 59-54 = C.C.P. 702-24 Abonnements :

200 francs par

saison

Etranger : 500 francs Les abonnements souscrits à partir dulr< Août 1955 s'entendent poui les numéros parus ou à paraîtrejusqu'au F'' Juillet 1956


• W|

TENNIS DE TABLE

16

à Tokio

LA SUPRÉMATIE JAPONAISE

Mais cessons-là ce reportage express et contentons-nous de rappeler que le ping-pong, deuxième sport du Japon, a pouvait vous

établir une liste des réceptions grandioses

Finale : Ogimura bat Tanaka 13, —22, 18, —18, 13. 1/2 finales : Ogimura bat Tomlta —19,

qui furent organisées pour

9, —17, 17, 22 ; Tanaka bat Nohlra 13,

richissime Prince, entre autres personna lités, reçurent ies participants avec tm ste vraiment asiatique.

—17, 6, 8. 1/4 : Ogimura bat Miles (U.S.A.) 3-0 ; Tanaka bat Kawai 3-1 ; Tomita bat Bergmann (G.-B.) 3-1 ; Nohira bat Nogaraj (Indes) 3-2.

1/8 :

Miles

bat

Andréadis

(Tch.)

3-0 : Bergmann bat Gantner (Roum.) 3-2. DAMES

Finale : Okawa bat Watanabe 15, —13, 21, —9, 16. 1/2 finales : Okawa bat Eguchi 3-2 ; Watanabe bat Zelier (Roum.) —16, —14, 21, 6, 15. 1/4 : Eguchi bat Haydon 3-0 ; Zelier bat D. Rowe 3-0. DOUBLE

MESSIEURS

1. Ogimura-Tomita ; 2. /Uidréadis-Stipek (Tch.): 3. Tereba-Vyhrianowski (Tch.) et Tanaka-Tsunoda.

les

mier

Ministre, le

Maire

de Tokio, un

LES HAUTS FAITS DE TOKIO ...ET LES AUTRES

salle était bondée. Au point que tout le personnel de l'Ambassade française... y est entré quand même... avec des insi gnes de joueurs! Le Consul français était parfois assis sur des marches! Quel en gouement...

débarrassa sans difficulté de l'Anglais

, ; que.

Mais tout le monde reste fidèle à l'at

Venner, puis, probablement satisfait des

taque... et même dans les moments dif

résultats obtenus, ii n'opposa à Ehrlich en finale qu'une résistance de principe. Chergui m'avoua, après sa défaite, avoir été fatigué par les parties précé dentes, mais Ehrlich, qui, lui, rend 25 ans, avait, avant cette finale, usé deux

ficiles. Vous allez le

voir.

A Match Japon-Roumanie. — A quatre victoires partout sont ces deux équipes. Dans ia dernière partie : Gantner-Tanaka, les joueurs sont à 1 set partout.

tribution

l'an

CLASSEMENT MONDIAL DES FEDERATIONS

APRES TOKIO

Ire catégorie. — 1. Japon ; 2. Tchécos lovaquie ; 3. Roiunanie ; 4. Hongrie ; 5. Grande-Bretagnq ; 6. Chine ; 7. Alle magne ; 8. Vietnam ; 9. Yougoslavie ; 10. Hong-Kong : 11. Suède; 12. Inde; 13. U.S.A. ; 14. France. Dames. — 1. Roumanie; 2. Grande-

Chine.

fut sensationnel et émouvant pour les arrivants!

LES DIRIGEANTS FRANÇAIS télévision! Parlons-en... Tous les

A

des copies seront mises en vente. Il n'est pas impossible que la Pédération Prançaise n'en acquiert tme pour « sa » ciné

mathèque dont on parle et pour la pro pagande générale. A voyiez « Prance-Soir »

Si vous et le « Figaro » consacrer une de leurs pre mières pages à l'ouverture des Champion nats avec une grandiose photo d'ensem ble, vous vous diriez?...

Au Japon, c'est naturel, et nous avons

pu le constater de visu par des exem plaires qui nous sont parvenus.

sérieux : le

Polonais

Kusinski

tration

et

faire

travailler

sa

volonté.

Cette défaite sans panache n'est pas due à une fatigue musculaire, mais à une fatigue nerveuse.

En dehors de ces considérations, je constate avec plaisir les progrès cons cela s'entraîne avec acharnement ; 11 a raison, c'est la seule condition du succès.

2.000?

Pleurs, discours et accueU délirant. Ce

Un film complet des Championnats a été réalisé par une firme japonaise, et

clients

21-19 au 5' set, suivi de l'Anglais Ken nedy, im peu mou, mais toujours dan gereux. Alors... Je pense que Chergui, qui a déjà fait beaucoup de progrès dans ce sens, doit encore soigner sa concen

tants de ce jeune qui « en veut » et pour

de 1961.

la télévision!...

ciales... C'est tout.

une

notre jeune Chergui ; sans forcer son talent, il disposa du Hollandais Oraiés et du Beige Roland, remonta ensuite une partie fort compromise (deux balles de match contre lui), face à l'Allemand Tietmeyer avec un parfait sang-froid, se

Bretagne ; 3. Japon ; 4. Hongrie ; 5. Au triche ; 6. Galles ; 7. France ; 8. Tché coslovaquie ; 9. U.S.A. ; 10. Corée ; 11.

La

ayant

Ogimura a toujours sa petite raquette de 90 grammes avec une piaque de mousse très mince ; Tanaka joue mainte nant avec une raquette à picots. Picots coliés sur une peliicule de mousse. To mita est toujours fidèle au picot clas-

3.000 personnes sous la pluie atten daient l'avion d'Air-India, qui amena 70 personnes du « Vieux Monde ». A l'aéro drome, tous les joueurs connus du Japon étaient là, et la presse, et le cinéma, et

Championnats furent télévisés en direct en permanence par des chaînes spé

« outsiders »

chance de plus de sortir. C'est ce que fit

^ Quant à ia France... Et avec la dizaine assister 'de millions nécessaires... Peut-être qu'en

16.000 personnes pouvaient en permanence aux Championnats. A l'ouverture de ceux-ci, ii n'y avait plus aucune place à vendre pour les dix jours de Championnats! Du matin au soir, la

autant, les

aux grandes occasions.

mitrailleuse japonaise ne se départit de son calme et de son style, et, victime du rythme et d'une malchance effroyable, Gantner perd, et la Roumanie avec lui! A Les Championnats du Monde n'auront plus lieu que tous ies deux ans à partir de la prochaine saison. Stockholm re cevra en 1957 et l'Allemagne en 1959. L'Egypte est la mieux placée pour l'at

et Reiter-Zeller (Roum.).

Il n'y avait pas de vedettes de tout premier pian aux Championnats Inter nationaux de Hollande ; l'intérêt des

spectateurs n'en était pas diminué pour

* ♦♦

La mousse... Petit couplet d'actualité

1. Rozéanu-ZeUer (Roum.); 2,. Watanabe-EIguchi ; 3. Okawa-Tanaka et HayiVnXTE

de Hollande

pionnats. Le fils de l'Empereur, le Pre

Gantner mène 20-14. Pas une seconde la

1. Klein-Neuberger (U.S.A.); 2. Andréadis-Haydon (Tch.-G.-B.); 3.-Pujii-Tanaka

aux " Internationaux "

Cham

DOUBLE DAMES

don-D. Rowe (G.-B.).

FRANÇAISE

raiment des titres de noblesse!

Ne serait-ce que si on MESSIEUBS

BRILLANTE TENUE

A L'HONNEUR Réuni à Tol^lo, le Congrès inter national du tennis de table a, au cours de ses réunions, procédé aux désignations suivantes dans la di rection

de la

Fédération interna

Une surprise dans ces Championnats : ia présence, pour la première fois depuis

la guerre, de joueius et joueuses polo nais dans une épreuve occidentale. Les joueurs Arbach et Kusinski utili sent avec adresse la « mousse japonaise ». Associés, ils remportèrent le Double Messieurs. Parmi leurs victimes en Sim

ple, il y eut Cafiéro et moi-même. La Pologne sera probablement représentée à Stockholm Tan prochain. Encore une équipe dont il faudra se méfier. Du côté féminin, la victoire attendue de l'Anglaise Diana Rowe sur l'Ecossaise Eliott, Nos joueuses se comportèrent honorablement, en particulier Claude Rougagnou qui, avec son énergie coutu-

mière, lutta jusqu'au bout et ne perdit qu'en demi-finale devant la gagnante après une excellente partie. Alber a beaucoup progressé, son jeu s'est affirmé, mais ses nerfs me semblent fragiles.

A Rotterdam, le lendemain, avait lieu France-Holiande

Masculin, Les

Hollan

Président suppléant de l'I.T.T.F.

dais furent déçus. Par un sévère 5-0, nous devions triompher, Chergui et moi, de leur meilleure équipe devant un pu

— M. .lean Bélot a été réélu mem bre du Comité Directeur de PI.

deux jeunes espoirs Chergui, 18 ans, et

tionale :

— M. Marcel Corbillon a été réélu

T.T.F.

Dans les Commissions, ont été désignés :

MM. Bélot (Règlement, Classement, Technique). Ceccaldi (Classement). Domingo (Jeunes).

Prulière Préparation du Con grès).

blic

nombreux.

La

confrontation

des

Onnés, 17 ans, était un test intéressant à suivre.

Le Français fit tme partie ifitelligente, il démontra la maturité et l'équilibre de son jeu face à tm adversaire remarqua blement doué certes, mais encore trop instinctif et sans aucune discipline. La condition physique intervient pour beaucoup dans cette différence entre les

deux jetmes. Chergui est solide, bien


H

TENNIS DE TABLE

campé sur ses jambes. Ormes, au coniraire, semble avoir terriblement besoin de grand air et de culture physique. Il nous reste maintenant à suivre notre

espoir. Eispérons que son accession en première série ne constituera pas, pour lui, une consécration suffisante et qu'il essaiera de dépasser, sinon d'égaler, les succès de ses aînés. M. HAGUENAUER.

LES RESULTATS MESSIEURS

Ehrlich bat Chergui 15, 16, —12, 18. 1/2 finales : Ehrlich bat Kennedy (G.B.) —12, 20, —14, 19, 10 ; Chergui bat Venner (G.-B.) 15, 16, —12, 18. 1/4 de finale : Ehrlich bat Kusinski (Pol.) 3-2 ; Kennedy bat Schelïer 3-0 ; Venner bat Arbach (Pol.) 3-1 ; Chergui bat Tietmayer (AU.) 3-2. 1/8 : Arbach bat Haguenauer 3-1 ; Ku sinski bat Cafiéro 3-1. DAMES

D. Rowe (G.-B.) bat Elliot (Ecosse) 3-0. 1/2 finales : D. Rowe bat Cl. Rouga-

gnou 3-1 ; Elliot bat Klonisch (AU.) 3-0. Auparavant, Claude Rougagnou avait battu

la

Polonaise Szmidt (3-2) et

la

Champiomie d'Allemagire Schlaff (3-2), qui avait battu au tour précédent Mo nique Alber. DOUBLE DAMES : Gagnantes D. Rowe-Elliot.

DOUBLE 3IESSIEUBS : Finale : Arbach-Kusinski battent Ehrlich-Cafléro 3-1.

A travers le monde pongiste Des pourparlers sont assez avancés pour l'organisation d'une série de ren contres à travers la France, opposant de

nombreux clubs français à une équipe portugaise qu'ils recevront (.N.DJL.R. : Les conclusions de rencontres se traitent directement entre les intéressés).

A la lecture des résultats des journées finales de la Coupe de France, on a re levé, par rapport à celles de l'an dernier,

qu'aucune des huit équipes de 1955 n'y avait joué en 1956!Il est vrai que SaintRaphaël a perdu Barouh, que le tandem Gambier-Harent a été dissocié par le classement, que Bègles a perdu Khanzadian et le R.C.F. Schmitt.

Autre constatation, mais cette fois en Coupe Nationale Corporative. Les quatre équipes de la journée finale du 5 mai étaient les mêmes que l'an dernier! Les demi-finales, tirées au sort sur place, furent encore les mêmes. Et les résultats aussi...

*

Sous les yeux, nous avons une licence délivrée par la F.F.T.T. (34, rue Marbeuf)

Une

équipe

française,

composée

de

joueurs employés par la SJT.Ô.F., s'est taillée un beau succès à la compétition mondiale organisée par l'U.S.I. Cheminots à Hammerbach (Allemagne) du 28 avril au 2 mai, se classant 4" d'une épreuve par équipes, où étaient présentes les équipes correspondantes d'Allemagne, d'Angleterre, de Suède, de Belgique, de 'Yougoslavie, entre autres. Equipe de la S.N.C.F. : Pétrement, Forgeron, Lemaire, Chopin, Mullot (Pa ris), Le Cam (Rennes).

Nous avons appris avec un vif regret le décès de notre collègue et ami Georges Banatre, qui fut la grande personnalité du ping-pong breton, lequel lui doit beaucoup. Longtemps membre du Conseil fé

déral, juge-arbitre national, G. Ba natre fut un grand dirigeant, que son allant, sa connaissance des hommes rendit précieux et dont notre sport se trouve privé à 56

ans. Le ping-pong français le re grettera, et c'est ce que déclara son successem-, A. Lecourt, qui repré senta la F.F.T.T. aux obsèques.

en 1936 à un joueur du Midi. Nous y avons

relevé

une

chose

amusante

au

questionnaire d'état civil où, après le ncrm et le prénom, est demandée la date

îa

de naissance... avec cette mention savou reuse entre parenthèses (pour les mes

TTlapcyuje

sieurs seulement !...).

On était galant en ce temps-là...

Deux victoires MESSIEURS

recevoir ces jours-ci la visite de Roothooft et de Bergmann (en exhibition avec une

France b. Hollande, 5-0

Chergui b. Stoop, 21, 17, 17. Haguenauer, b. Onnés, 14.

8,

—18, 21.

HaguenaueriChergui

l^étiuialion nrionoLlale

Des nouvelles du 'Venezuela : Caracas et certaines autres villes de ce pays vont

b.

Stoop-

Onnés, —17, 6, —15, 14, 13.

Haguenauer b. Stoop, 15, 13, 16, Chergui b. Onnés, 16, 13, —17, 13, DAMES

France b. Hollande, 5-0 Alber b. Oosterwijk, 21, 17, —14, 12.

Rougagnou b. Peeters, 9, 12, 11. Alber-Rougagnou b. OosterwijkPeetcrs, 21, 14, 7. Alber b. Peeters, 16, 17, 19.

équipe des « Harlems Globe-Trotters »). On nous signale aussi l'existence à Ca

KLESTONE

racas d'un club français qui joue en

division supérieure. Il est formé par des Français.

_

**

LE CLASSEMENT SUEDOIS

Messieurs.

berg ;

1. Mellstrom ; 2. Flis-

3. Osterholm ;

nofre usine

4. Johansson ;

Sva<i.5 udmtnéciiai/ie

5. Andersson.

Dames. — 1. Signhild Tegner; 2. Eli sabeth Thorsson ; 3. Brigite 4. Ingrid Hermansson.

Tegner ;

Le déplacement annuel de fin de sai son de l'équipe française de la F.S.G.T.

Rougagnon b. Oosterwijk, 11, 14,

est prévu pour les 14 et 15 juillet à Bo logne, où une rencontre masculine F.S.

—12, 12.

G.T.-U.I.S.P. sera organisée.

LA TABLE AVEC SON FILET

Frs.25.600 fRANCO DANS TOUTE LA FRANCE

EtabH.SAUTEREAU CRÉPY-EN-VÂLOIS (OISE)

DR/I/E Pour compéllllon, toile double "Ventilex œillets d'aération, semelle Intérieure

en spongieux.

Support de voûte plantaire.

Semelle crêpée.

R

smoH

En vente cnez tous

les Spécialistes

I

Pour compétition,

B toile double "Venlilex ", œillets d'aération, semelle Intérieure

en spongieux. Support de voûte plantaire".

Semelle moulée anti

dérapante, claque striée renforcée.

.'M


i8

TENNIS DE

LE TOURNOI INTERNATIONAL

LE TOURNOI INTERNATIONAL DU C.T.T.C. MAÇON

Le 7' Tournoi International de tennis

de table, organisé par le C.T.T.C. Mâcon, qui s'était assuré la participation d'inter nationaux de grande classe : Amourettl, Roothooft (France), Urchetti, Vassmes, de Stadelhofîen (Suisse), et celle des meil leurs régionaux, s'est terminé en apo théose par la finale entre l'ex-champioo de

France

Amouretti

et

le

nouveau

Roothooft.

La confrontation franco-suisse tourna

donc à l'avantage des Français, qui se retrouvèrent trois

dans les deux

demi-

finales et furent les meilleurs hommes

de la journée. Le C.G.E.S. Lyon gagne la coupe Pernod (dames); le Silver Star, de Ge nève, gagne la coupe Le Niger (joueurs classés): la coupe de l'Union Commer ciale est remportée par le Carrouge T.T.C., de Genève (non classés) et la coupe Jean-Humbert est attribuée, en juniors, à ia Jeanne-d'Arc, de Dijon.

Finale :

CRITERIUM CORPORATIF MASCULIN

.b. LocloveneFogégaltie b. Markic w.o. ;3-0 Springinsfi 3-1 ; Moroin b. Meunier ; Lem eJ b. Bourdon w.o. ; Chopin b. Vibert w.o. ; Crue ' b jeonguyot w o^; Broglie b. Laurent w.o. ; De' tre

NON

b. Hiardot 3-0 ; Loszkiewicz b. Délais w.o,

Mme

Dubois

(Roanne) bat Mlle Gillioz (Suisse) 2-1. NON CLASSES. — Demi-finales : Thro

Benigne bat Lambert 2-0 ; Monnet bat Pascot 2-0.

Finale : Thro Benigne (Dijon) bat Mon net (Chagny) 3-1. CLASSES

Troisième tour : Amouretti bat Degtiar 2-0 ; 'Wasner Bat Thro Philippe 2-0 ; Prince bat -Poizeau 2-1 ; Urchetti bat Gojon 2-0 ; de Stadelhofen bat Gaillard 2-0 ; Neyret bat PonneUe 2-0 ; Steckler bat Reynaud 2-0 ; Roothooft bat Laffay 2-0.

Voulte)

b. Soulé 3-2 ; Cirod b. Joingt w.o. ; Couzère b Sousscn w.o. ; Crebonvol b. Helm 3-0 ; Solomé h

Challenge : 1. Orange, 26 pts ; 2. La Voulte, 119 pts ; 3. U.S.C. Valence, 13 pts ; 4. Genève, 10 pts ; 5. Toulon, 9 pts,

,a. C.ermontel ~ Fagégaltie b. Springinsfield 3-1 ; Moraln 3-0 ; Pétrement b. ternaire 3-1 • Bor-

(Orange) bat Petithomme (La

Bhaux 3-0 ; Lee Von b. Jacques 3-2.

2-0.

DAMES.

toluzzi b. Chopin w.o. ; Broglie b. Féderlen'3-1 • De Toledo b. Delolfre 3-2 ; Demulder b Loszkie

Demi-finales : Colombo

wicz 3-1 ; Deloge b. Holl 3-0 ; Julio b. Ridord 3-0 ; Cirod b. Forgeron 3-2 ; Gauzère b. Goyt 3-1 • Grébonvol b. Solomé 3-0 ; Cafiéro b. Lee Von 3-0." 1/8- — Fagégoltie b. Chorosse w.o. ; Pétrement b. Moroin 3-1 ; Bortoluzzi b. Gruot 3-0 ; De Toledo b. Broglie 3-0 ; Demulder b. Deloge 3-0 • Julio b Jeanrot 3-0 ; Gauzère b. Girod 3-0 ; Cafiéro b.

(Milan) bat Hennequin (Grenoble) 3-0 ; Jaquet (Genève) bat Lallier (Valence) 3-0.

Finale : Colombo

bat Jaquet 21-17,

21-13, 21-19.

Challenge : 1. MOan, 17 pts; 2. Ge nève, 7 pts ; 3. C.S.F. Valence, 5 pts.

Crébonvol 3-0.

1/4. — Pétrement b. Fagégoltie 3-2; Bortoluzzi b. De Toledo w.o. ; Julio b. Demulder w.o. ; Co-

CLASSES MESSIEURS

Quarts de finale : Radice (Milan) bat Neyret (Lyon) 2-0 ; Georgesco (C.S.F.V.)

fiéro b. Gauzère 3-0.

1/2. — Bortoluzzi b. Pétrement 3-1 ; Cofiéro b.

Steckler 21-15, 21-15. Demi-finales : Roothooft

bat

Finale. — Cofiéro b. Bortoluzzi 17, 8, 8.

Demi-finales : Radice bat Georgesco 21-19, 12-21, 9-21, 21-14, 22-20; Ehrlich bat Moretti 21-17, 20-22, 21-17, 21-16. Finale : Eihrlich bat Radice 21-9, 21-10,

CRITERIUM

Challenge : 1. A.C. Boulogne-BiUancourt, 20 pts ; 2. Milan, 17 pts ; 3. C.S.F. Valence, 8 pts ; 4. Lyon, 7 pts. Ajoutons encore que Alex Ehrlich, vainqueur de ce ■ challenge, a tenu à l'offrir

aux

Italiens

du

C.R.A.L.

FEMININ

b. Gornier 17, 15, 14 ; Chéreou b. Letto —19, —16, 17, 17, 12 ; Torlet b. Heurtefeux w.o. 1/2. — Deloy b. Thévenord —17, 16, 17, 20 ; Torlet b. Chéreou 11, 10, 14.

de

Finole. — Torlet b. Deloy 19, 7, 17.

Milan.

CHEZ

F.S.F.

LES AFFINITAIRES

Coupe Nationale

par équipes masculines : Finale : P.P.A.C.R. Fontenay bat Elan

Le Critérium Nationai Individuei, qui s'est joué à Nantes les 29 et 30 avril, a été remporté par Bouchard (Sarthe) sur Condette (P.-<ie-C.), lesquels avaient bat

Neyret

CORPORATIF

1/8. — Deloy b. Lecouturier 3-0 ; Jeon b. Posquier 3-0 ; Cornier b. Delovollée 3-0 ; Thévenord b. Ménord w.o. ; Chéreou b. Cruchet 3-1 ; Letto b. Bonneton 3-2 ; Torlet b. Chotignon 3-0 1/4. — Deloy b. Jeon 17, 16, 14 ; Thévenord

21-14.

Arcueil 3-2.

1/2 finales : Fontenay bat Elan Arcueil (2) 3-0 ; Arcueil (1) bat Bayard Argen

tu en demi-finales Greffion (L.-Inf.) et

21-7, 21-19, 15-21, 20-22, 21-18; Amouretti

Khanzadian (Paris).

bat Urchetti 23-21, 21-8, 22-20. Finale : Amouretti (Nice) bat Roothooft

Par équipes, l'équipe de l'Amicale JeanJaurès, de Tourcoing (Vandeputte-Demey) gagna de nouveau.

(Paris) 21-23, 21-18, 21-17, 17-21, 21-19.

Julio 17, 20, 19.

U.F.O.L.E.P.

Quarts de finale : Amouretti bat Wasner 21-15, 21-5; Neyret bat de Sta delhofen, 21-13, 21-17 ; Roothooft bat

tan 3-2.

par équipes féminines : Finale : U,A. Cognac bat A.S.G. Neuilly 3-0.

SEULE...

LUNION MUTUELLE DES SPORTIFS qui depuis 1951 ajoute aux GARANTIES OBLIGATOIRES pour les licenciés la Responsabilité civile des Transporteurs (gratuitement et sans formalité) donne une SÉCURITÉ TOTALE dans tous les domaines :

JOUEURS et DIRIGEANTS (Ri.sques personnels et Responsabilité civile, trajet compris) ASSOCIATIONS (Responsabilité civile, tribunes comprises)

TRANSPORTEURS bénévoles (Responsabilité civile illimitée)^ COTISATIONS POUR LA SAISON 1955-1956 JOUEURS et DIRIGEANTS MINIMES

A.ssurés sociaux —

50 fr. 40 fr.

Non Assurés sociaux —

100 fr. 60 fr.

INDEMNITÉ JOURNALIÈRE FACULTATIVE DE lOO FRANCS A 500 FRANCS Demandez le dépliant documentaire avec garanties et conditions du i"' Juillet 1955 : SeMMle adresse:

faitlfiAmfkHmfltiltM *t ""l'-i I ■ I* I -ni' i 1

De-

loge b Mille w_o. ; Jeanrot b. Barbier 3-1 ; Julio

CLASSES. — Finale : Gorecki

bat Genevey (Grenoble) 2-1 ; Ehrlich (A.C.B.B.) bat Fafournoux (Lyon) 2-0.

JUNIORS. — Finale : Thro Benigne bat Thro Philippe 2-0. —

DU C.S.F. VALENCE

Succès dû aux champions suisses, ita liens et français, fidèles habitués de cette grande manifestation pongiste, mais suc cès dû également à Alex Ehrlich, un des plus grands noms du ping-pong mondial

bat Betta (Toulon) 2-0 ; Moretti (Milan)

RESULTATS

DAMES.

à Paris,les 5et 6Mal

DAUPHINE

BOURGOGNE

TAm.,

rue des Petlts-CHamps — PARÏÏS(f) — TétépHone:ËtIC, 8S-SS

Écrits»

• . .-•ïL»..»- , -


19

TENNIS DE TABLE

L'A.C. Boulogne - Billancourt

et Fontenay ^/bois

COUPE DE FRANCE MASCULINE

- diasupions de France 1956 Finale Iru Division

Finale 2' Division

Roothooft (B) b. Haguenauer (R) 21-19, 21-16 ; Lanskoy (B) b. Chergui (B) 21-15,

12-21, 21-15; Dubouillé (R) b. Ehrlich (B) 21-17, 20-19 : Roothooft b. Lanskoy 16-21, 21-14, 21-18 ; Ehrlich b. Haguenauer 21-15, 15-21, 21-12 ; Dubouillc b. Chergui 18-21, 21-19, 22-20 ; Ehrlich b. Lanskoy 21-10, 16-21, 21-16 ; Roothooft b. Du bouillé 14-21, 21-13, 21-13 ; Chergui b. Haguenauer 21-15, 17-21, 21-13.

1/4 de fi nale

S.C.E. Marseille bat M.J. Annecy 3-2 : Bourbaki Pau bat A.E.S.S. Nantes 3-1 ; A.P.D.L. Caen bat A.S.C.E. Paris 5-0 ;

C.S.P.S.E. Paris bat Sportive Thionville 3-1.

P.P.A.C.R. Fontenay

A.C.B.B. bat R.C.F. 6-3

L'A.C.B.B. et CAEN gagnent les Coupes de France

bat Bayard Argentan 5-4

1/2 fi nales (à Issoudun)

Duong (F) b. Jouan (A) 18-21, 21-10,

21-18 ; Lcbret (A) b. Laengel (F) 21-16,

S.C.E.

Marseille bat Bourbaki Pau

3-1

21-14 ; Parmentier (F) b. Lecomte (A) 22-20, 25-23 ; Jouan b. Laengel 12-21,

Campagne (P) bat Granier 3-0 ; Quinsac (M) bat Tauziéde 3-0 ; Granier-Quinsac (M) battent Campagne-Tauziéde 3-2 :

21-10, 21-16 ; Lecomte b. Duong

Granier bat Tauziéde 3-1.

13-21,

21-15, 21-16 ; Parmentier b. Lebret 21-16,

21-15 ; Lecomte b. Laengel 21-18, 21-19 ; Parmentier b. Jouan 21-17, 21-7 ; Duong b. Lebret 21-10, 21-9.

A.P.D.L.

Caen

bat

C.S.P.S.E.

Paris

3-0

Hélaine (C) bat Julio 3-0 ; Gaspari (C) bat Pétrement 3-0 ; Hélaine-Gaspari bat tent Juiio-Pétrement 3-1. Finale (à Issoudun)

En vue de la saison

prochaine

A Lyon M..I. Annecy (Décret, To'one, Sache) ■b. M.S. Roanne (Lebon, Fosy, Solarik) 7-2.

M..J. Annecy b. Romans w.o. POULES D'ACCESSION

Iru journée A Montpellier ; H.D. Béziers (Négrier, Ribéra, Charmont) b. U.S.C. Nice (Lévy, Trucco, Bonet) 8-1.

H.D. Béziers b. E.C. Perpignan (Debon,

Erré, Ravel) 7-2. U.S.C. Nice b. E.C. Perpignan 8-1. A Bordeaux :

Girondins Bordeaux (Lestage, Barat, Olivier) b. S.N. Bayonne (Casenave, Meilhan J., Meilhan F.) 5-4. Girondins Bordeaux b. Jeunes Brivc (Boudrie^ Pra,deyrol, iLabaquère) 7-2. S.N. Bayonne b. Jeunes Brive 5-4. A Tours :

E.C. Niort (Chauvin, Villousier, Gir;-

rin) b. A.S.P.O. Châteauroux (Thénjn, Jabneau, Théotine) 7-2. E.C. Niort b. P.P.C. Tours (Joyau, Lorillard. Bourgeois) 5-4. A.S.P.O. Châteauroux b. P.P.C. Tours

20, —21,

:

.2' journée' : Sens

U.S.A.

27 mai 1956

:

Liévin

-

U.S.E.G.

Paris

- J.A.

Dijon - M.J. Aimecy. A Limoges Girondins

Bordeaux

-

E.C.

Niort

G.E.C. Angers - H.D. Béziers. Dans chacun de ces deux centres, où les quatre équipes se rencontrent toutes par match aller, les équipes classées Ire et 2' accéderont l'an prochain en 2» Di vision.

6-3.

G., Caussin M.) 5-4. U.S.E.G. b. Arago Orléans (Le Cocq, Xorsak, Turbat) 8-1. Bstrées-Saint-Denis b. Arago Orléans 6-3.

A Besançon :

J.A. Dijon (Ehré, Cotte, Gaillard) b. A.S. Mulhouse (Springinsfeld, Péderlen, Sclïirmer) 6-3.

J.A. Dijon (Thro, Ehré, Gaillard) b.

R.(j.P. Besançon (Vivier, Dardy, Meu nier) 8-1. j R C.F. Besançon (Vivier, Dardy, Tac-

quart) b. A.S. Mulhouse 5-4. A Rennes :

G E.C. Angers (Ogéron, Lemanio, Redureau) b. A.S.P.A. Le Havre (Mallard, Creff, Ouenne) 8-1.

G.E.C. Angers b. A.S.P.T.T. Brest (Floch, Legoff, Cariou) 8-1. A.S.P.A. Le Havre b. A.S.P.T.T. Brest (Cariou, Floch, Menez) 6-3.

15.

1/4 de fi nale

P.P C. Parthenay bat P.P.C. Arcachon 3-2 ; A.C.B.B. bat P.P.C L'Hermitage 5-0 ; Stade Français bat R.C.F. w.o. ; U.S. Lentigny bat C.S.F. Valence 4-1. 1/2 fi nales (à Paris) U.S. Lentigny bat P.P.C. Parthenay 4-1 Vannoni (P) bat Girardet 3-0 ; Arnaud (L) bat Delille 3-0 ; Girardet-Amaud (L) battent Vannoni-Delille 3-0 ; Girardet bat Delille 3-2 ; Arnaud bat vannoni 3-0. A.C.B.B. bat Stade Français 3-0 Delaubert (B) bat Bonneton 3-0; Letto (B) bat Viers 3-1 ; Delaubert-Letto battent Bonneton-Viers 3-0. Finale (à Paris)

A.C.B.B. bat U.S. Lentigny 3-2 Delaubert (B) bat Arnaud 14, 7, —18,

14 ; Girardet (L) bat Letto —18, 14, —19, 13 ; Arnaud-Girardet battent laubert-Letto 19, 15, 17; Delaubert Girardet 9, 6, 9 ; Letto bat Arnaud

11, De bat 12,

5, 13,

. A Paris :

U.S.E.G. (Lucas, Toan, Delage) b. U.B, Estrées-Saint-Denis (Lemaitre, Caussin

16,

COUPE DE FRANCE FEMININE

U.S.A. Liévin (Laurent, Markic, Mille) b. Sportive Thionville (Meignant, Schuh, Gandon) 9-0. U.S.A. Liévin b. P.P.C. Epernay (Marniquet, Servagnat, Dubois) 7-2. Sportive Thionville b. P.P.C. Epernay 7-2 (sous réserves de la qualification d'un joueur de Thionville).

A

13, 13 ; Gaspari (C) bat Quinsac 9, 16, 16 ; Hélaine-Gaspari battent Granier-Quinsac 11, —14, —12, 19, 14 ; Granier bat Gas

pari —17, 10, 6, 12 ; Hélaine bat Quinsac

M.S. Roanne b. Romans w.o. A Sedan

.A.P.D.L. Caen bat S.C.E. Marseille 4-1 Hélaine (C) bat Granier —18, 13, —16.

ESSO SPORTS reprend la Coupe Nationale Corporative Chalbos R. 2-0 ; Pétrement bat Delattre

1/4 de fi nale

Esso Sports

bat

U.S.A.

Liévin

7-2 ;

A.S.E. Lille bat A.S. Messine 9-0 ; C.A.P. Nord bat S.F.E.R.M.A. Mérignac 9-0 ; C.S.P.S.E. bat C.G.E.S. Villeurbanne 7-2. 1/2 fi nales (à Paris) A.S.E. Lille bat C.A.P. Nord 5-0

Salomé (L) bat Forgeron 2-0; De Toledo (L) bat Lemaire 2-0; Demulder (L) bat Mullot 2-0 ; Salomé bat Lemaire 2-1 ; Demulder bat Forgeron 2-1.

Esso Sports bat C.S.P.S.E. 5-1 Delattre (E) bat Chalbos E. 2-1 ; Sala (E) bat Pétrement 2-0; Grébonval (E) bat

2-1 ; Grébonval bat Chalbos E. 2-0 ; Sala bat Chalbos R. 2-0.

Finale (à t>aris)

Esso Sports bat A.S.E. Lille 6-3 Sala (E) bat Toledo (L) bat Delattre (E) bat bat Salomé 6,

Salomé —17, 16, 13 ; De Grébonval 16, —18, 12 ; Demulder 2-1 ; Grébonval 11 ; Sala bat Demulder

2-0; De Toledo bat Delattre 10, 17 ; Gréboval bat Demulder 13, 13 ; Salomé bat

Delattre —16, 15, 19 ; Sala bat De Toledo 10, 16.

...SOUS le patronage de

la balle MONTANA-SÉLECTION


LES GRANDES MARQUES INTERNATIONALES DE BALLES ET RAQUETTES BALLES

BERGMANN-OLYMPIA **★ Agréée par l'I.T.T.F. Championnats de France Internationaux 1956

OLYMPIA

SUPER ★★

Balle de haute précision DE REBOND EN REBOND LES BALLES AGRÉÉES F.F.T.T.

REINA

et

Ch" du Monde 1933/34

OLYMPÏC

Ch*° de France InD 1949, 51 et 54

ONT FAIT LE TOUR DU MONDE

RAQUETTES

BERGMANN, d'origine anglaise BERGMANN 5 fois Champion du Monde

REINA, Brevetée indéformable V. BOURQUIN, picot V. A.B. OLYMPIC, picot anglais OXFO RD-CAM B R1DûE, Picot Tacky - Mousse et Picot Mousse PLASTILUX *** Picot anglais - Indéformable - Incassable - Insensible à la chaleur et à l'humidité

EN

VENTÉ

CHEZ

TOUS LES DETAILLANTS

TENNIS DE TABLE. Revue Périodique 60. Rue de le Victoire PARIS-IX*. 4^ Gèrent : -J. BÉLOT

DARTICLES DE

SPORIS

Imp. Mounot - 20. rue de la Tour-d'?Vuvergne - Paria.


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.