Numéro 189 - 1964

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l OFFICIELLE DE LA FEDERATION FRANÇAISE DE TENNIS DE TABLE

Rédaction

Georges DUCLOS 63, rue Robert, LYON ôème

(Rhône)

Abannements i

FEDERATION

FRANÇAISE

DE TENNIS DE TABLE

44 bis, rue Pasquier, PARIS 8" Téléphone: EURope 40-07 C.C.P. 702-24 PARIS Abonnement annuel ; 10 F.

MAI

1964

-

No

189

-

21»

ANNEE

-

MENSUEL


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LE VERDICT CAROLOPITAIN DES XXVI= INTERLIGUES

Llle-de-France enlève souverainement le

Challenge PALMIERI

i'^

LE SERIEUX ET LE PUNCH LORRAINS JUSTEMENT RECOMPENSES EN CHALLENGE DELAY ! par Jean DEVYS

Coucou, me revoilà...

, .

Et, pourtant, en ce tiède après-midi du 1®"' mai, débarqué à la salie Dubois-Crancé (celle-là m me qui d'autres exploits en basket-bali par le fait de l'Etoile de Charleviile et de son "éièbre pivo. Jean avait alors que les hostilités avaient déjà été déclenchées par l'ami Brasiet, juge-arbitre de commenter l'esprit libre: l'expérience ébroïcienne avait incité la « Sportive » à déléguer un troisième homme pour commenier les 26®" Coupes interiigues...

De quoi vous permettre une certaine décontraction (ce qui n'est pas souvent mon contacts avec les amis de la direction fédérale et des autres ligues provinciales, après avoir constate que organisatrice avait très bien fait les choses sur le double plan accueil et matériel...

De quoi avouer également, aujourd'hui, que si je ne fus pas seulement un délégué consultatif notamment), il s'en faut de beaucoup que l'on m'ait vu sur les bords de la Meuse avec

iQuera

journalistique ou l'œil inquisiteur comme ce fut le cas à Evreux... Mon ami Georges Duclos, dont doute, jamais assez le mérite de « tenir » FRANCE TENNIS DE TABLE contre vents ft "larées et qui aura, sans uu ^ été l'absent le plus regretté à Charleviile, ne l'entendait pas de cette oreiiie-ià, fort de ?|jÇ_3ip nour

(la parole donnée, c'est quelque chose !) et ignorant de bonne foi la démarche de notre secrétaire m'éviter la passe de trois...

Fichtre! le troisième homme n'avait pas, parait-il, la plume facile et, de t®"*®®

'' hefies "éoreuves

rallier Charleviile...! Alors, afin qu'il soit quand même question des interiigues, une de nos plus

fédérales, dans notre revue nationale, le « pont » salutaire de l'Ascension aura, P®"'' .'® 7,=.' signification malgré un ordre du jour minutieusement élaboré et subrepticement anéanti, san^s q

m

nrécisé à p

quel détriment (sic). Ceci, surtout, pour mettre nos lecteurs dans l'ambiance et me faire pardonner les «oublis» qui, inévitablement, se glisseront dans ce qui suit...

UN 1" MAI SANS SURPRISE.. OU SI PEU I

Bien sûr, on ne saurait concevoir d'Interligues sons défrichoge... La fête du « travail » tombait à pic pour cela et il résulta ceci : CHALLENGE PALMIERI : où le Dauphiné prouva

que deux hommes formaient une équipe!

Vingt-deux ligues étaient représentées dans ce challenge Palmieri, mais il y avait des absents de marque sur le plan individuel, indé pendamment de rIle-de-France, qui a l'embarras du choix, comme chacun sait, et qui d'ailleurs, sous l'habile capitanat de Guy Bertrand, ne semblait pas devoir craindre grand-chose... Où étaient, en effet, les Gambier, Chariot (Flandres), Streit (Lorraine),

Granier (Lyonnais), Odeye (Bretagne), De Bernardi (Côtôe d'Azur)...

pour n'en citer que quelques-uns?... Méforme?... Maladie?... Obligations professionnelles?... Eviction de la sélection?... Nous le saurons progressivement, car, pour le moment, nous n'en étions

qu'à constater la chose sans autre forme de procès ! A minuit et... quelque, les Bourguignons ayant imposé le quart d'heure de rob' laid au dernier et stoïque carré des organisateurs

la ronéo de service (excellente, cette initiative champencjise .) rendait public, et à domicile s.v.p., le premier verdict i l Ile-deFrance et les Flandres, les « grandes » têtes de serie avaient passé allègrement le premier test, en dépit d'un exces de dilet tantisme du champion de France Vincent Purkart devant l espoir oisien Bowman et une « contre » du junior roubaisien Dubus face à l'astucieux franc-comtois Cavagnac !

Dans les autres groupes, 3 rnatches avaient été nécessaires pour extirper les heureux élus.

Pos d'inquiétude pour les Normands, emmenés por Jacques Hélaine et qui ne démentirent à aucun moment le préjuge favo-; rable devant les « marseillais » de M. Vaillant (Caverzaghi sauvant l'honneur à l'expedite-rule sur Legrand !) et les coura

geux Alsaciens, au rang desquels le « cadet » Galli fit beaucoup mieux que le capitaine Laengle, au besoin évident de souffler après une saison assez décevante pour les couleurs strasbourgeolses... Nos amis alsaciens ne firent pas le poids, d'ailleurs, devant le trio CasiSratti-Molkonian-Vaillont, ce qui prouve bien que...

Autres succès très nets ; ceux du Lyonnais et de la Lo ° deux sélections terriblement rajeunies, pouvant se permettre de n'alianer que des « juniors » et des « cadets » (de voleur^ oh cornSen !) et qui, à juste titre, étaient craintes. Les protégés du orésident Bardet n'eurent plus à forcer leur talent devant les « anciens » de l'Atlantique, auxquels Roger Pontille (moins expé

rimenté que ses camaraides) offrit l'honneur sauf, et la sélection du Languedoc-Roussillon, aux espérances anéanties avec la foulure de son « pilier » Mirouze... Ceux de Charles Rœsch, toujours aussi vigilant dans la facilité comme dans l'épreuve de force, ne furent pas plus tendres pour les Auvergnats (le jeune Weber jouant ici les Roger Pontille î) et les moins jeunes de l'Orléanais, ceux-ci — derrière Santos — grignotant la qualification de « second » a ceux-là, médusés et trahis indirectement par le jeune Dravers... Et de cinq !...

Uo pronostiqueur ouroit misé sans sourciller sur la Côte d'Azur pour' sortir le n" 6... Les amis de nos amis (méridionoux) n auront

pas à trembler plus en avont à me lire, puisque le solide trio de l'U.S.C.C.A. Nice gagna en fait sa place en poule des « premiers

mais, après un harassant voyage de 24 heures en chemin de fer

(contrarié en capital-sommeil par la greve de la S.N.C.K .I, que ce fut laborieux... Les Didier-Bonet-Meunier n ont-ils pas ete menés

2-4 par la Bourgogne au cours d'un match interminable? Pour

finalement l'emporter 5-4 grâce au métier et aussi a «Mairie prise de conscience des Bourguignons, réalisarit brusquement que l'impossible exploit était à leur main et en perdant illico 50 % de punch Savoldelli se montrant par ailleurs dans un lour sans 1... Les protégés de l'ami Fauvée n'eurent plus_ qu a se venger sur le dos des Tourangeaux délégués par le président Bordin... Il ne reste donc plus qu'à voir comment les choses œ sorit

dans les deux derniers groupes, plocés, eux, sous le signe de I indé cision. .


Dons le groupe III, quand on apprit que le feu-follet Guilbert avait déserté les rangs dauphinois, laissant le duo Demulder-Feugier

d'une grande table gornic à discrétion de Champagne (on l'eût

à un sort que l'on supposait Triste, ii avait été humoin de déduire

juré !) et de gâteaux.

qu'Alpins et Sarthais se dispueraient la

Tout ce joli monde prit place dons dos fauteuils disposés oufour

place ou soleil ! C'était

En guise d'apéritif oratoire, M. Lcbon souhaita la bienvenue à

oublier trop hâtivement le courage légendaire et le sens du jeu du

tous ses invités, leur souhaitant de passer un bon séjour dans

vieux « roi René » qui, imbattu, aidé efficacement par le volon

«sa » ville dont 11 sut vanter les mérites, énumérer les réalisations

taire Feugier, donnera une leçon admirable aux acteurs et spectole 23-21, toujours à la « belle », arraché por Demuider soi-même

et projets sur le pion sportif, nous mettre l'eau à la bouche, quoi f Il n'en remercia pos moins les dirigeants do la F.F.T.T. d'avoir dai gné choisir Charieville pour l'organisation de ces 26"" Interligues et d'en faire, durant trois jours, lo capitale du tennis de table

à Gauthier ÎJ, mois le résultat était là, étonnant, probant, et les

français.

troupes du Président Valset, qui avaient étrillé sévèrement celles du

Docteur Deplan iBorginet, entre autres, méritant un meilleur sort), n'eurent pius qu'à conclure que les années se suivent et se ressem

Lw vice-président Magnien avait la redoutable honneur do sup pléer M. Ceccoldi (qui arrivera dans roprès-midi) dons la tradi tionnelle répartie. Le moins qu'on puisse dire c'est que lo mission

blent, le s.gnataire étant très bien plocé pour corroborer la chose

fur remplie à lo lettre, notre ami remerciant M. Lcbon de cette

icf. le 5-^ des Flandres à Lisieux

remarquable réception et plus encore de l'appui précieux apporté par la Municipalité carolopolitaine dons (o réalisation de cette

feurs de ces 26®" Interligues. Bien sûr, il y eut des émotions fortes

Ile 21-19 à la « belle » de Feugier sur Véret par exemple ou, encore,

Première surprise, donc. Fout-il afflubler de la même épithète la victoire bretonne sur les représentants de ~lo Ligue organisa

grcndc épreuve notionola que sont et demeurent les Interligues.

trice ? Non, sur le papier, car nous savions que Flocn, même sans

son compère Odeye, avait le don de « sotnner la charge ». Oui, peut-etre, si l'on consiaere que le néo-sedonais Markic avait auto risé la uncmpogne à prendre du champ à 3-1 ! Mois une performonce du jeune Lafaye sur Nicolle, de plus en plus < petit bras » eu fur et a mesure que les choses se corsoient, remit tout en ques tion et notre Brestois en battant Lespnt et Markic (en 2 sets

s.v.p. !)

n'eut p.us- qu a

parachever l'œuvre avec l'aide de Le

Gcm. Dons ce groupe, le Centre avoit été nettement surclassé, malgré une victoire de Boudrie sur Lesprit. CHALLENGE DELAY : un premier tour conformiste... Le forfait de

l'Oise ramenait à

13 onni soit...)

le nombre

de

ligues désireuses de ramener le trophée at home, un trophée qui, plus encore que cher ces messieurs, a presque constamment souri depuis sa création aux sociétaires de rl.e-de-France, presque ossurées de reconduire leur titre malgré « l'orme secrète » des Lorroins on se méfiait depuis Egietons!), l'homogénéité auvergnate

ou bretonne, l'ardeur tourangelle

isons la volonté du

«

Roy »,

hélas !), les autres formations étant là pour « participer », y com pris la Franche-Comté qui ne pouvait que regretter la mise à l'ombre de Moniaue Alber.

E. pourtant, dès les premières joutes les « Acébétistes », conseil lées par l'ami Blonde, devaient avoir un premier avertissement fcx:c au «

mur »

Chontal

de l'Atlantique, Mlle Suglioni

Lemazurier

la

prouvant derechef o

différence existant entre

la

classe et

le

€ métier ». s'assurent le double fort justement et poussant à la belle » (21-15 I) Martine Le Bras elle-même. Brrr ! Echaudée, la sélection de l'Ile-de-France se tint sur ses gardes devont le roc

breton, sauvé d'un sec 0-3 par l'opportuniste Marie-Paule Ramée (vainqueur Itou de Chantai), celle-là même qui avait remis l'Atlanfique à sa vraie place.

Ces émotions parisiennes n'empêchèrent pos de constater le cava lier seul lorrain dans la poule II et même, si la Champagne (expé rimentale) et la Normandie (vouée à un honnête niveau de second

plan)

n'offraient pos l'opposition ad-hoc, il y avait la

manière.

Dont on reparlera.

La poule 111 était la seule à présenter quatre prétendants à la

Jamais deux sans trois: M. Piiloy prit ensuite la parole pour feiicitcr les dirigeants crdcnnars du tennis do table qui, en quel ques ^onhces, ont fait considérablement progresser notre sport dans ko département, non seulement dons ses effectifs (le nombre de

licenciés dépassant largement les 500 cicsormais), mais oussl par la propogandc et l'initiotion dans les milieux scoloires, témoin le stage de jeunes et de moniteurs réalisé dernièrement au C.E.T. de Mohon.

Oe superbes cadooux-souvenirs furent ensuite remis par M. Lcbon, destines aux ligues vainqueurs dos épreuves féminine et masculine. En foi de quoi, il fut permis da lever son verre et d'en ODorécler le contenu !

LES CHOSES SERIEUSES

CONFIRMENT LA « REVELATION » SECRETIN! Avant et oprès cette charmante réception, on s'était bataillé ferme

sur les tables. Dame ! C est de l'accession en finole qu'il s'agissait maintenant !

CHALLENGc PALMIERI : I hisfoira est un pcrpéfuci recommence ment...

11 na se serait trouvé personne à Chorlevilie pour contester la place de l'Ile-de-Fronce en finale du Challenge Palmiéri d'autant que l'ami Bertrand ne prenait que des risques opportuns et de foil pas plus lo Cote d'Azur (malgré la « belle » d'Evrard face a Didier) que le Dauphine ne purent soutenir lo comparaison Encore taut-il noter que au côté dauphinois, le « duo » continuait de faire merveille, le rusé Demuider ratant d'un cheveu la performance sur Vincent Purkart et Feugier, poussant Bouzigues et Cassan à la < belle ». Ce qui s'appelle mourir en beauté !

L'obstacle normand était beaucoup plus sérieux. Cela se vérifia

sur tables au terme d'une journée bien remplie et, pourtont nous fûmes enclins à conclure à l'écrasement lorsque Paul Evrard confir

mant tout le bien que Ton pensait de lui, eût dominé 'jacques

qualification. Même sons Thérèse Roy, la sélection de Touraine-

Héiaine en 3 sets. Mois Legrand, en bon lieutenant, emballa de

Limousln était favorite : elle n'eut à trembler que devant la Fran che-Comté au sein de laquelle la « lionne » de Belfort Christione

nouveau le « petit » public en tenont tête crânement et techni

Schneider confirma sa prestation ébroïcienne. Le double, toutefois .. Cependant, cette héroïque résistance franc-comtoise ne devait pas valoir la deuxième place à la formation de Mme Salomez, cor les Provençales de maître Vaillant, avec l'ex-Lorraine Devant, lui avait

infligé un net et indiscutable 3-0 auparavant. Ici encore, la cuiller de bois était offerte ou Languedoc. 11 restait une place à pourvoir. L'association familiale des Viala

se devait de redorer le bloson de l'Auvergne. Ce qui fut fait, assez aisément, sur l'Orléanais (dont les espoirs reposaient sur les frêles épaules de la championne de France « minimes » Muriel Burge-

vin), à la force du poignet sur la sélection des Flandres qui, sciem ment, avait foit confionce à sa championne régionale Josette Fouace et à Maryse Delassus. Celle-ci, en battant assez nettement « ma

man » Viala, fit croire à une possible performance d'équipe en for çant Jacqueline à disputer lo « belle », mais celle-ci avait des res sources et le lui prouva. La deuxième place du groupe échut comme prévu aux Flandriennes, mais Muriel Burgevin avait su démontrer à Mme Hardy qu'il ne faut jurer de rien ! CHARLEVILLE SAIT RECEVOIR...

Nous en étions donc arrivés aux choses sérieuses et comme le

temps, frisquet et terriblement cofardeux pour nos amis méridionoux, n'incitait pas à suivre (es méandres de la Meuse, dès les premières heures de lo matinée de samedi, le chemin de la sal'e Oubois-Croncé était trocé. Avant d'en épiloguer sportivement, il

quement à Gérard Chergui. Tout aussitôt, Vincent Purkart, déjà dans ses « petits souliers » au premier match contre Creff, s'incli nait sans rémission devant son finaliste d'Evreux, revanchard et avide de compensation. Puis Creff, toujours lui, prit encore un

set à Chergui et Evrard dut « sortir » le grand jeu devont Legrand ofin de clôturer la marque sur un très sévère 5-1. A n'en pas dou ter, jouant comme ils le firent ce samedi soir, en « équipe », les Normands étaient les

véritables dauphins de

l'Ile-de-France en

cette année de grâce 1964 !

Mois le Challenge Palmiéri o ses traditions et l'honneur d'accéder

en finale ol.ait, une fois de plus, échoir aux Flandres ! Pourtant, il faut admettre que la sélection nordiste, habilement dirigée par

André Mortier, n'avait pas cette onnée la partie facile pour s'être volontairement (l®s raisons étont pius morales que sportives) pri vée du « 1 f"'' série » Gombiér et d'un trio liévinois qui fut à un doigt d'être sacré champion de France par équipes. Hum ! Heureu

sement, le fait n'est pas nouveau, les Flandres ont un solide réser

voir et de non moins solides espoirs. Pour avoir été juge et partie, je passeroi subrepticement sur les palabres qui préludèrent à l'inté gration du « minime » Jacques Secrétin en vue du « choc » contre

la Lorraine pour n'en tirer que les enseignements sportifs Or il faut bien convenir d'une part que le triple champion d'Egletons aura été le grand bonhomme de ces Interligues 1964 et d'autre port, que les Flandres, sans lui, auraient pu très bien connaître

le codre d'une ploce grand'ducole au charme incontesté. Le tout

une amère désillusion à Chorlevilie. Une désillusion qui n'aurait pas été méritée, car qui eût pu prévoir le fléchissement de Robert Verhoeghe premier performer de 3" division nationale et ce dans le groupe le plus étoffé!) devant la Bretagne? Le numéro 1 hallulnois n'eut rien à se reprocher cependant : comme à son habitude il disputa chaque point mais, physiquement, cela ne répondait pas'

concrétisé dons le magnifique grand! salon de rhôtcl de viilc où

ce sont des choses qui arrivent à des gens très bien même si celte

est bon de mettre en exergue certaine « réception » à la Mairie de Charicviilc et qui rehaussa d'un ton cette veillée d'armes dans

M. André Lebon, conseiller générai et maire de Chorlevilie, entouré de ses adjoints M. Géo Lambert, chargé des festivités. Maître Gretcre, chargé des sports, Mme Jeanne Corlq, etc..., ovait convié à ses cotés M. Piiloy, directeur départemental de la Jeunesse et

fois, la chose eut le don de transmettre le frisson à Jacques 'Secrétin et ses 15 ans dominèrent insolemment Le Cam, aussi oisément qu'ils avaient déjoué les ruses de Robert Fioch. Francis Dubus moins percutant qu'à l'accoutumée (Ftoch en avait habilement pro

des Sports, la Fédération Françoise de Tennis de Table (bien sûr 1) représentée dignement par nos amis Pierre Mognicn, vice-président,

fité en cinquième match I), eut alors la ressource d'armrhnr il

et Jacques CrÊsafuMr,, secrétaire général adjoint, (a Ligue de Cham

Heureusement encore pour les Flondres, Doniel Westeel avait rollié Charieville et eut l'honneur de subir le baptême du feu face à Christian Rœsch soi-même ! Un match capital pour la qualifica tion, espérée à titre égal par nos omis lorrains encore que le ieunê Weber (bien tendre encore) ne fit jamais oublier Streit) Un rnatch à suspense aussi : le Lillois, après avoir mené 20-16 au premier set se fit coiffer 21-23, pour dominer outrageusement le deuxième set

pagne, avec sa trinité dirigeante Lassoux-Foucheron-Artoud (pré sident, vice-président et secrétaire général), le Dictrict des Ardcnnes qui y ovait délégué la même trinité avec MM. Bccker, Coulon et Soiiot, ainsi qu'une centaine d'invités, rcprésentont les dirigeants et joueurs des différentes ligues participantes, des associotions sportives de la ville, et d'autres personnalités. Lo Presse fonction nait grâce aux reporters do « L'Ardcnnols » et de « L'Union ».

point de la victoire à Baron. Ouf !...

a la « belle », c'est Christian qui eut constamment la direction des


ûpérotions pour ûvoir su accélérer le rythme au bon moment. A 16-19, sur son service, Westeel n'avait plus rien à perdre : Il ojusto 5 « bolides » qui laissèrent pantois son jeune et talentueux adver

saire, lequel n'en pouvait mais. Le match était virtuellement joué et l'on se prenait à regretter que le tirage au sort nous privât de la « revanche » d'Egletons entre nos deux grands espoirs françois Rœsch et Secrétin ! Nous devions cependant etre comblés car Alain

Pour l'attribution des 9« à 13® places, nous devions assister à un marothon fourni d'où sortit normalement victorieuse la FrancheComté devant laquelle s'effritèrent le « mur » de l'Atlantique (Mlle Sugliani s'inclinant deux fois en l'occurence !) et la valeur montonte de l'Orléanaise Burgevin. Le Languedoc, dans un sursaut d'énergie, laissait la cuiller de bois à la Ligue orgonisatrice. Quand je vous disais que l'on savait recevoir en Champagne !

Garaffi, sans contestation possible d'ailleurs, sut prouver à Daniel Westeel que l'exploit d'Evreux n'était pas un accident et comme Rœsch avait copieusement mis à profit certain manque de convic tion chez Dubus, nous l'avions. Quelques balles placées et chan ceuses donnèrent le teu vert au Messin au début du premier set

mais, déjà, le sourire du jeune Fouquiérois laissait transpirer une confiance totale : il recolla d 13 et fut d peine inquiété par la suite. Le deuxième set devait être un festivol de jeu moderne et

AU TANDEM BOITEUX-LECLER LE CHALLENGE DELAY...

Après une matinée dominicale diversement meublée (réunion du Conseil consultatif, demi-finales de la Coupe Nationale Corporotive et motches de closscment), la salle Dubois-Crancé s'était métamor

phosée quelque peu pour les finales des 26®" Interligues et, certes, les derniers rescapés des challenges Delay et Palmiéri avaient bien

le public caroiopolitain ne s'y trompa pas, pas plus d'ailleurs que

droit à l'oire centrale I

les autres acteurs de ces 26'''' Interligues qui arrêtèrent progressi

Ces dames, pour respecter l'horaire, durent se présenter a _ cote des corporatifs qui en étaient, eux, à l'ultime explication flandrienne et nous pouvions craindre derechef qu'elles ne passent inaperçues. Dieu merci, lo tactique lorraine, mise ou point depuis belle lurette

vement les opérations pour assister à la « démonstration ». Sans faillir à sa réputation de battant et d'opportuniste, Christian Rœsch ne put toutefois que subir la vague d'assaut en défense, en top-

,

.

,

spin, en 'contre, en punch, Jacques Secrétin était « intouchable »

dans les stages préparatoires de Frouard et d'ailleurs, oxée^ sur 1 of

en ce samedi 2 mai, heureux de jouer, de bien jouer... 21-8 1

fensive (ce qui ne gâchait rien 1), alloit faire reporter l'attention sur la finale du Challenge Delay sans qu'un soupçon de galanterie

Tout aussitôt, le héros du jour reprenoit la route de Fouquières où un examen important (le lundi matin! lui imposoit d'autres impé ratifs.

Le vent .Qvait tourné. Les Flandres avaient repris conscience de leur rang de finaliste et les jeunes représentants du Lyonnais s'en

aperçurent bien qui allèrent « se rhabiller » (avec le sourire) après une bonne heure seulement de combat.

Un mot sur la bogarre qui permit l'attribution des places d'hon

neur, étant logiquement admis que ni les Normands, ni les Lorrains ne pouvaient etre inquiétés pour lo seconde place des poules quaIificotives. La lecture des resultots prouvera que les premiers ne

lâchèrent qu'un point (Creff devant Demulder, comme par hasard !) et que les seconds ne durent qu'à la fragilité de Weber de ne pou voir les imiter oussi sûrement.

Derrière, ce fut moins net mais tout aussi probant. La Côte d'Azur subissait, à son tour, la loi de deux Dauphinois, trahie tout à la fois par Bonet (21-23 à la « belle » devant Feugier !) et ce coquin de Demulder qui scorait à trois reprises en deux sets nets ! Ailleurs,

bien que menés 0-2, le Lyonnais profitait astucieusement du désar roi breton (Floch et consorts ne se remirent jamais de lo douche flandrienne !) et de lo décontraction talentueuse de Georges Pon-

n'eût dicté ce choix populaire î « x « Si l'omi Rœsch n'avait pas d'autre ressource que de présenter le tandem Boîteux-Lecler (deux «

10 » I), Jean Blonde, lui, avait

l'embarras entre ses « 1 série > pour finalement aligner la cham pionne de France Martine Le Bras à côté de Mme Delaubert, le ponache (à la mode d'Evreux?) de la jeunesse allié à l'experience. Il n'y ovait plus qu'à voir la chèvre de M. Seguin résister au méchant loup ! .x i l®"" match: On crut à ce qu'écrivait Alphonse Daudet lorsque Christiane Delaubert fit commettre suffisamment de fautes à MarieClaude Lecler pour mener 20-18 au premier set et, puis, le mur

se lézarda comme par enchantement, une balle chanceuse de la Nancéienne et trois revers plocés (oh, combien !) renversaient la vapeur. Calmement, l'Acébébiste reprit sa force de démolition pour empocher un deuxième set à sens unique. Sur les conseils de son capitaine, Marie-Claude ne se découragea pas, attendit mieux .o « bonne » balle pour attaquer de son revers meurtrier et ce chan gement de tactique lui permit de prendre le départ qu'il foliait a 10 « belle », conservant son avontage tout le set et mener 19-16,

opérations et il est un foit que les « sans-grade » ou les^ déçus de

moment choisi pour confondre vitesse et précipitation, mettre trois balles au filet. Christiane Delaubert allait-elle jouer les Westeel ? On ne sait quels dieux inspirèrent alors sa jeune rivale mais tou jours est-il que, subitement métomorphosée, la Lorraine retrouva

la veille eussent tout autant nécessité une revue de détails. Les

son calme, dirigea son

Impératifs rédactionnels en décidant autrement, ajoutons simple ment que leur mérite pour décrocher un rang honorable dans ces 26®' Interligues fut égal à celui des vedettes et retenons-en quel

gle, sans rémission. La Lorraine menait 1-0 l

tille.

I l y aurait également beaucoup de choses à dire sur la suite des

ques faits marquants.

lift pour attendre l'ouverture du revers :

elle se produisit doublement, deux fois le coup partit dons l'an 2® match : Celui des championnes de France ! Certes, Martine Le Bras avait inquiété ses plus chauds supporters durant les élimi

Remarquons tout d'abord que la Champagne et la Provence ont émergé des poules des seconds. Celle-ci à la Pyrrhus, sauvee in extremis (au goal-average) por le déboulé bourguignon qui jouait à nouveau un tour pendable à la fois à la toble d'arbitrage et aux malheureux Sarthais, lesquels leur avaient pourtant donné une leçon

11 faut bien admettre que jamais la solide Michèle Boîteux, bien campée à la toble, répétant ses attaques du droit avec le minimum d'erreurs, prête au contre, ne lui laissa l'initiative. Martine ramena bien à 20-20 ou premier set dans un sursaut d'amour-propre, mais

de conviction le matin même ! Celle-là, très logiquement, grâce

ce fut tout ! De la belle ouvrage qui valut à la petite Lorroine

surtout ou régulier Markic et malgré les espérances atlantiques. Les poules des ■ troisièmes, réduites à trois unités, virent, contre toute attente mais combien logiquement, les Alpes et le Centre

dominer les débats, le dernier nommé prouvent que l'on peut être pressé de rentrer à la maison et bien jouer : les victimes étaient

natoires mais de là à la voir subir le jeu, il y ovait une marge. Or,

l'ovation et l'estime du public ! Et cela faisait 2-0 pour la Lorroine. Le double : Les actions parisiennes étaient bigrement en paisse, mais rien n'était joué. Marie-José Desplonques entroit en scène à côté de Martine Le Bras et son sens du plocement,, du contre éga

lement, s'avéra suffisant pour contrecarrer la conjugaison des efforts

surtout- nos omis alsaciens (déçus) et ouvergnats (résignés).

offensifs lorrains. Ce fut clair et limpide, tendu parfois mais tou

CHALLENGE DELAY : en possont par lo Lorraine... —

sourire !

Nous entrons Ici, directement, dans la batoille finale mais, avec le bon sens qui le caractérise, notre juge-orbitre Louis Braslet avait

queurs? C'est sans compter sur le tempérament et- la condition

jours à l'avantage des Parisiennes. L'ami Blonde retrouvait son

réservé le, match Lorraine - Ile-de-France pour le nec plus ultra.

De fait, les filles de nos amis Rœsch et Blonde n'étaient pas autrement inquiétéés.

il y eut évidemment une nouvelle et symptomatique olerte pour l'Ile-de-France lorsque Jacqueline Viola mena Martine Le Bras 21-20 à la € belle » (pour en rester là !), car le double gagné par nos Auvergnates prouvait qu'un résultat inversé eût pu vala blement changé la face des choses. I l y eut aussi le deuxième set

arraché par Marie-Claude Lecler à la même Jocqueline Vialo (à

qui la prime de la malchance ?) qui permit à la sélection lorraine de conclure sur un brutal 3-0 mais, ovouons-le, le contraire n'eut

pos empêché les meilleurs de gagner. •Nos Auvergnates, d'ailleurs, se vengèrent sur les Tourangelles malgré l'opportuniste Pillière. Le Président Bardin regrettait, avec l'absence de Thérèse Roy, certaine épopée qui d'Egletons à LIsieux... Il avait raison mais...

La poule des secondes alloit être mouvementée à souhait, le tout se soldant au goal-average derrière la solide Bretagne qui, sans jomais donner l'impression de dominer les débats, devait partout ovoir le dernier mot, l'équipe Alexandre-Ramée constituant un dou

4® match : Christiane Deloubert et son réseau défensif vain

athlétique de Michèle Boîteux qui, sans se démonter devant le « mur » adverse, pdéparant son droit par un top-spin de plus en

plus efficace, sut lifter, placer, déporter et donner l'estocade de son droit pour gogner 21-12 au premier set et mener 17-13 au deu xième. profitant d'un excès de vitesse chez la petite Lorraine, la Parisienne aligna néanmoins 8 points et le set. Suspense pas mort! Il ne dura pas car, appliquant la « consigne » à la lettre, Michèle sut éviter toute erreur d'attention ou d'appréciation et s'envolo littéralement... 21-9 ! La Lorraine avait-gogné et bien gagné.

Une victoire préparée dans l'ombre de toute une saison, sans bruit. Charles Rœsch et son équipe- récoltoient fort justement le bénéfice de leurs efforts !

L'ILE-DE-FRANCE « INTOUCHABLE » EN CHALLENGE PALMIERI...

Si la finale « dames » ovait été un régal d'intensité, tactiquement et techniquement, nous allions en rester sur notre faim avec ces messieurs.

I l faut d'abord toucher un mot sur les matches de classement

Les Normandes, balayées sévèrement par un coup de mistral, crurent cependant au sixième fauteuil après avoir arraché la déci

car plusieurs surprises, dues peut-être à un certain dilettantisme ou à l'ignorance du futur tirage au sort (les 27«" Interligues, c'est loin tout ça !), les émailloient. Nous vîmes d'obord lo Lorraine, avec le seul tandem RœschGaraffi, dompter la Normandie qui se crut autorisée, à tort ou à raison, à jouer sans Hélaine. Nous vîmes surtout nos deux Dauphi nois mâter le tendre Lyonnais, histoire de prouver que lo cascade de performances n'avait rien que de très régulier. Nous vîmes les Bretons se foire damer le pion por le trio niçois, ovec sa valeur sûre Didier, pour la septième ploce ! Derrière, la Provence retrouvait suffisamment d'ardeur pour bou

sion (22-20 oux deux derniers sets du double !) à une formotion flandrienne qui avait mis sa championne Josette Fouace au repos,

champenoise qui ne jurait plus que par Markic. Quant à lo suite du

mais Mme Hardy sut renverser la vapeur en concluant sur un sec

clossement, avec tous les aléas que la formule comporte, elle se

ble irréprochable.

Ce double leur avait permis de compenser contre les Flandres deux défaites de Marie-Poule Ramée. Il assura des succès plus faciles devant les Normandes et les Provençales, celles-là sauvant

la face par la chompionne de France « cadettes » Marie-Claude Francesçhl.

ter hors (c'est de la neuvième place qu'il s'agissait) une sélection

3-0 devant lo Provence médusée. Une fois de plus, le « Midi »

joua conformément à ta logique, ainsi que nos lecteurs jugeront à

n'ovait pas bougé devant lo furia légendaire des Flandres.

l'énoncé des résultats !


Par4siens et Flandriens, eux, en étaient au repos forcé dans^ l'at

levé aucune contestation !) et la cloirvoyonce du « mliltoire » rémois

tente d'une nième explication ou sommet, maugréant, bon gré mai gre, sur l'heure tardive de la finale alors qu'un crachin sournois et tenace empêchait toute décontraction au sein du joli pays arden-

Ihomas dont l'arbitrage (impeccable) du match Normandie - llcde-Fronce en Challenge Palmiéri aura été un modèle du genre.

nais.

les volontoires ne manquant pas à côté des Loporte, Caries et autres

Lentement mais sûrement, elle vint cette heure tandis que la

plupart aes délégations — et pour cause — avaient repris la route

du bercail, tandis que le public Ibien maigre pour une épreuve de l'importance des Interligues !) choisissait ses places sur les gradins

Le matériel a, lui aussi, bénéficié d'une équipe à toute épreuve, Gosset.

Enfin, il y eut les résultats ronéotypés sous le couvert de « Cham pagne-Tennis de Table ». Nous avons déjà relevé cette excellente

finoie a sens unique cor, sans Jacques Secrétin (eh, oui... on en était là !), l'écart s'était encore creusé entre le trio Chergui-Purkart-Evrard, que Guy Bertrand avait rendu conscient de ses «im

initiative de nos amis champenois qui, entre autres mérites, eut le don de transformer la table d'arbitrage en havre de poix (tout étont relatif, bien sûr !>. Grâce en soit rendue aujourd'hui à Chories Artaud et à son « secrétariat », particulièrement à Mme Soilot. I l reste la « présence » fédérale. Elle fut assumée à la satisfac tion de tous par les délégués de service Pierre Magnien (dont on remarqua la présentation impeccable des équipes finalistes à jurer

menses) possibilités, et la « réserve > flandrienne qui, dès le départ, ne pensa qu'à limiter les dégâts, son but étant déjà atteint

Ciérord Lollier, appelé à d'outrés tâches parisiennes.

et bien atteint. On ne savait jamais, bien sûr, mois... le»" match : Pourtant, sans éclat, Robert Verhaeghe démontrait

Et j'aurais tout dit après avoir rappelé que le Comité d'Honneur avait été opportunément cbmposé de personnalités ci-après : MM.

de la salle omnisports. Qui supporter, puisque les finalistes étoienr

« insupportabies » (le rnot est du Président Bardin !). Il n'y eut guère de finale ou disons plutôt qu'il y eut une

son sens du jeu p>our inquiéter quand même notre Purkart nationol au premier set, recollant à 13 puis à 17 pour échouer de deux petits points. Au deuxième set, le champion de France conservait une large initiative... 1-0! l*' match : A Westeel d'entrer en acton ovec, comme adversaire, Paul Evrard et une « revancne » des Grands Prix de Paris à pren dre. Sans le top-spin du talentueux « junior > parisien, sons doute

y serait-il parvenu en dépit d'un punch visiblement émoussé mais, avec le top-spin, cela fit 21-19 pour Evrard au premier set, du juste

qu'il le fait tous les dimanches soirs !) et, de façon plus fugitive,

André Lebon, conseiller général des Ardennes et maire de Charle ville ; Bracq, inspecteur général aux Sports de l'Acodémie de Reims ; Pu'loy, inspecteur départemental à la Jeunesse et aux Sports; Gretère et Lambert, conseillers municipaux de Charleville, respective

ment adjoints aux Sports et oux Festivités ; (îleccaldi, notre Prési dent fédéral, toujours aussi clairvoyant et écouté, et Degouy, Pré sident d'honneur de la Ligue de Champagne et Vice-Président (actif) de la Ligue des Flandres. Leur appui aura été bien sympa thique et combien précieux.

mais du bon. Au deuxième set, le sociétaire du S.O. Charenton prit ...ET CONCLUSIONS

du champ à 9-3 puis 14-8, pour connaître un sérieux fléchissement en milieu de set (16-14) et top-spiner de plus belle: 21-17... et 2-0 pour l'Ile-de-France ! 3* match : Les carottes étoient cuites et le couroge légendaire des Flandres ne pouvoit, cette fois, suffire d'autant que Francis

Dubus, brillant dans ses actions offensives et au top-spin presque

parfait, n'avait pratiquement pas de jeu de table à opposer à un Chergui du meilleur cru. 21-14 et 21-15... celo faisait 3-0. 4« motch : On en venait à douter que les Flandres puissent pren

dre un set. Sur ce point, l'honneur fut néanmoins sauf grâce, à l'ardeur de Doniel Westeel qui réussit à coiffer Vincent Purkart (devant lequel il n'avait d'ailleurs jamais perdu !) au deuxième set, aux avantages certes mois logiquement car le Lillois avoit mené

presque toute lo manche et encore 20-18, sans empêcher le héros d'Evreux de le laisser aller deux fois à 16 avant et après ! Il y eut bien un soupçon de suspense lorsque Westeel, revenu à 14-16 à la

« belle » (après avoir été mené 6-13 !), joua son va-tout mais, faute de pouvoir doubler ses attaques croisées, il échoua au port... 4-0, cela se corsait.

5» mat-c^ : Il n'y en eut pas véritablement, Verhaeghe ne pou vant opposer que son courage à un super-Chergui, lequel mena ron dement les opérations pour le laisser à 14 et 8. Pas de problème et encore moins de sentiment. L'ardoise scorait lourdement à 5-0 !

L'Ile-de-France venait de prouver, une^ dernière fois, qu'elle

était pratiquement intouchable dans cette édition 1964 des Inter ligues, mieux qu'elle savait ne pas se reposer sur ses louriers (le copitalne Bertrand étant, à n'en pas douter, à l'origine de la chose î) et il n'est pas certain qu'une équipe des Flandres au grand complet eût pu faire beaucoup mieux en cette soirée du 3 moi. Même s'il regrettoit ce cavolier seul, le public avait apprécié et c'est très sportivement.qu'il applaudit vainqueurs et vaincus lorsque

Sans m étendre davantoge, il est permis de conclure que ces 26®" Interligues auront confirmé éloquemment la nécessité de main tenir ou calendrier pongiste une épreuve qui permet un brossage idéal des « valeurs » et que, désormais, les rencontres du Chal lenge Palmiéri aillent obligatoirement aux six matches pour don ner deux chonces à chacun, cela ne modifiera en rien un éloge admis unanimement. Charleville a prouvé en outre, plus qu'aucune autre édition ne l'avait fait à ce jour, que lo « formule » était une des meilleures qui fût (avec celle des Grands Prix de Paris)

pour accélérer l'éclosion ou la confirmation des jeunes talents, nos espoirs étant corrélativement débarrassés de la hantise de l'élimi

nation directe et enclins, de ce fait, à « jouer » le jeu à fond, sans réserve : les 26'^'' Interligues étaient « rajeunies » à n'en pas douter et personne ne s en est plaint, encore moins les « anciens » dont

beaucoup surent se battre avec un cœur de vingt ans admirable à

plus d'un titre d'oilleurs, prouvant que s'ils avaient l'âge de leurs orteres, la cure de jouvence ne leur était aucunement indifférente.

Peut-etre, en définitive, la seule amélioration à apporter serait d'éviter un laps de temps trop long entre la soirée (ou la jour née) pré-finals et la finale elle-même. Il est certain qu'à Char leville, puisque le « pont » du Ht mai le permettait, il eût été souhaitable de jouer le dernier octe du Challenge Palmiéri l'aprèsmidi, le public curait été aussi compact (malgré la déception que, quantitativement, nous avons ressentie)

et les heureux élus au

raient pu éviter, eux, un nouveau retour « by night », nécessité par les obligations professionnelles de chocun et pos tellement recommandé après la fatigue « morathonienne ».

Mais, répétons-le, ceci est un détail (jugé personnellement d'ail leurs) et que les Interligues oient, une fois de plus, gagné la partie, c'est là l'essentiel ! Jean DEVYS.

le Président Ceccaldi, plus attentif que jamais, remit coupes et récompenses aux derniers acteurs (victorieux) de ses 26®'' Inter ligues. Vivent les 27®' Interligues ! REMERCIEMENTS...

MARDI 26 MAI A PARIS:

C'est toujours avec plaisir que je me plie à ce devoir de recon naissance, avec d'autant plus de ploisir que, tous, nous nous som mes trouvés à Charleville devont une « équipe » qui avait le sens de l'organisation et l'amour du travail bien fait. A tel point qu'il est bien difficile d'en dissocier les noms qui la composèrent î Commençons par le Président Pierre Lossoux, dont le sourire e^

TOURNOI DES CHAMPIONS

duo solide et compétent. Le responsable de l'occueil et des finances,

Depuis quelques années les parisiens n'ont pas eu rocoasion n'assister à une importante réunion internatio nale, aussi ils seront comblés le mardi 26 mai en soirée

André Coulon, dont on loua très justement la parfaite organisa

au Stade Pierre de Coubertin.

l'humour dissimulaient la fatigue mais non la satisfaction. Le com

missaire général Marcel Becker et son adjoint Jacques Soilot, un tion, son adjoint Charles RIgaux ne lui cédant en rien. Le juge-

arbitre fédérol Louis Brasiet qui se défendit d'être Champenois bon teint mais n'en pétillo pas moins, apprécié de tous, certain drame de conscience si ce n'est pas une conduite de Grenoble (oh, là, là!). Les juges-arbitres adjoints, qui l'aidèrent si efficacement et si courtoisement, en la personne du Sedanais René Férauge et du repêché de la lointaine Aurillac : André Poumaroux, l'un et l'autre rivolisont d'ardeur, leurs cordes vocales dussent-elles en vibrer huit jours durant.

Le responsoble des épreuves était Louis Faucheron : c'était, ou départ, une gorantie de travail bien foit et, même s'il ne fut pas aidé comme il se devait par la Presse locale (et encore moins par

l'Agence France-Presse défaillante!), forte de la collaboration omniprésente de Jean Méline, l'action de notre omt aura été impeccable et nous reconnaissons aujourd'hui, à sa juste valeur, l'affichoge des rencontres en cours et des résultats précédents, un détail parmi tant d'autres ! Pour l'arbitrage, tout fut laissé au... Hazart qui, prénommé Roger, eut l'heur de s'entourer d'une équipe volontaire à défaut d'être toujours expérimentée et de laquelle nous avons retenu le compor tement exemplaire du jeune Jean-Claude Cadiat, de Nouzonviile, qui s'est permis le luxe de diriger quelque 12 rencontres tant en Delay qu'en Palmiéri, soit la bagotelle de 60 à 70 matches en trois jours (difficile de faire mieux, surtout si l'on ajoute qu'il n'a sou-

Profitant du séjour en France du Champion d'Europe

Alser, la Fédération a décidé de mettre sur pied un grand tournoi internationai. Celui-ci se déroulera à partir de

20 h. 15 par poule de 3, chaque vainqueur étant ensuite opposé.

En plus d'Alser, nous avons invité Johanson, champion de Suède; Bernhardt, S" Suédois; Scholer, champjon d'Allemagne; et les Français: Vincent Purkart, champion

de France, Gérard Chergui, Jacques Helaine, Paul Evrard et Christian Roesch ou Jacques Secretin. Cette manifestation qui s'annonce passionnante devrait attirer un nombreux public. Des places demi-tarif seront h toutes tniitoc les lac sociétés c/\/\i^f<io de Hû la la l_îmia I'IIa-cIa* adressées à Ligue flA de l'Ile-de-

France, de l'U.F.O.L.E.P., de la F.S.G.T. et de la F.S.F. Mardi 26 mai: une soirée

ne pas manquer!

I


XXVI' COUPES INTERLIGUES - CHARLEVILLE I. 2 ef 3 MAI 7964 LES RESULTATS TECHNIQUES CHALLENGE

Bretagne (Floch 3 v.. Le Cam 1 v., 2 d.,

PALMIERI

Lafaye 1

v., 1 d.) bat Champagne (Morkic

2 V., 1 d., Lesprit 1 v., 1 d., Nicolle 3 d.), Phase éliminotoirc.

Classement. — 1- Provence, 7 pts (+2),

2. Sort™ pts (+ 1), 3. Bourgogne, 7 pts { 3), 4. Oise, 3 pts. POULE D (seconds). — Champagne (Gon-

5-3.

7 V

POULE I. — Ile-de-France (Purkort 2 v., Evard 2 v„ Cossan 1 v.) bût Oise (Bowmon

2 d., Keldenich 2 d., Fretel 1 d.), 5-0.

Classement. — 1. Bretagne, 6 pts ; 2. Champagne, 4 pts ; 3. Centre, 2 pts.

Classement. — 1. Ile-de-France, 3 pts ; 2. Oise, 1 pl. _ POULE II. — Normandje (Helame 2 v., Creff 2 V., Legrand 1 v., 1 d.) bat Provence

Phase qualificative.

Vaillant 2 d. (5-1 )• v, Provence (Casarotti 2 v., Vaillant 2 v., Meikonian 1 v.) bat Alsace iLaengle 2 d.,

Evrard 2 v., Bouzigues 1 v.) bot Côte d'Azur (Bonnet 1 d., Didier 2 d.. Meunier 2 d.),

(Caverzoght 1

v., 1

d., Casorottl 2 d.,

Horworth 2 d., Galli 1 d.), 5-0. Normandie (Legrand 2 v., Creff 2 v., 1 d.,

Ybert 1 v., 1 d.l bat Alsoce (Galli 2 v., Laengle 2 d., Rothberger 3 d.), 5-2. Classement. — 1 • Normondie, 6 pts ; 2 Provence, 4 pts ; 3. Alsace, 2 pts. POULE I I I. — Sarthe (Aubier 2 v., Rousseau 2 v., Drouet 1 v.) bat Alpes

Rarginet 2 v.. Vacher 2 d., Veret 1 d.), Dauphiné (Demulder 3 v., Feugier 2 v., 1 d., Guilbert w.-o.) bat Alpes (Barginct 2 v., 1 d.. Vacher 1 v., 2 d., Veret 1 v., 2 d.), 5-4.

Dauphiné (Demulder 3 v., Feugier 2 v., \ d., Guibert w.-o.) bat Sarthe (Aubier 2 v., 1 d., Drouet 1 v., 2 d., Gauyhicr 1 v., 2 d.),

5-0.

Normandie (Hélaine 2 v., Legrand 2 v.,

1 V., 1 d., Feugier 2 d., Guilbert w.-o.), 5-1. Ile-de-France (Purkart 2 v., Casson 2 v.,

Bouzigues 1 v.) bat Dauphiné (Demulder ] d., Feugier 2 d., Guilbert w.-o.), 5-0. . Normandie (Hélaine 2 v., Creff 2 v., Ybert 1 v.) bat Côte d'Azur (Bonnet 1 d., Didier 2 d.. Meunier 2 d.), 5-0. Ile-de-France bat Normandie, 5-1.

Purkart ( 1

Guiot 2 d.), 5-2. Côte d'Azur (Bonnet 2 v., Didier 2 v..

Meunier 1 v., 1 d.) bat Touraine-Limousin

— 14, 15.

Classement. —

1. Côte d'Azur, 6 pts ;

2. Bourgogne, 4 pts ; 3. Touraine-Limousin, 2 pts.

,.

POULE V. —

Flandres (Secretin

2 v.,

Verhaeghe 2 v., Dubus 1 v., 1 d.) bat Franche-Comté (Cavagnac 1 v., I d., Nocg 2 d.. Petite 2 d.), 5-1.

Clossement. — 1. Flandres, 3 pts ; 2. Fran che-Comté, 1 pt. .

Hé'aine bat Purkart, 6,18.

Lyonnais (Bardet 2 v., G. Pontille 2 v., Hoitayan 1 v.) bat Languedoc-Roussillon (Avesque 2 d., Martin 1 d., Mirouze w.-o), 5-0.

Classement. — 1. Lyonnais, 6 pts; 2. Atlantique, 4 pts; 3. Languedoc-Roussillon, 2 pts. POULE

VU. —

Lorraine

(Rcesch

3

v.,

Garaffi 2 v., Weber 2 d.) bat Auvergne (Dravers 1 v.. 1 d., Tariant 1 v., 2 d.. De Jonghe 2 d.), 5-2.

Orléanais (Santos 1 v., 1 d.. Monceaux 2 V., 1 d., Cabarat 2 v., 1 d.) bot Auvergne (Tariant 2 v., 1 d., Blanchard 1 v., 2 d., Dravers 2 d.), 5-3.

Lorraine (Rœsch 2 v., Garaffi 2 v., Bouras

1 V., 1 d.) bat Orléanais (Santos 1 v., 1 d., Sauger 2 d., Viola 2 d.), 5-1.

Atlantique ( Doisy 2 v Le 'i^anio 2 v^

Greffion 1 v., 1 d.) baf Ft°naha-Comte (Nocq 1 V., 1 d., Cavagnac 2 d., Lemercier Champagne (Markic 3 v., Gonnetant 2 v., Lesprit 2 d.) bat Orléanais (Monceaux i v., 1 d. Viala 1 v., 2 d., Sauger 2 d.), 5-2. Classement. — 1. Champagne, 9 pts, 2. Atlantique, 7 pts ; 3. Orléanais, 5 pts, 4. Franche-Comté, 3 pts.

POULE E (troisièmes). — Alpes (Borginet

3 V., Veret 2 v.. Vacher 2 d.) bat Alsace (Galli

1

v., 1

d., Horwath

1

v., 1

d.,

Rothberger 3 d.), 5-2.

2 V., 1 d., Guiot 1 V., 1 d., Villousier 3 d.),

Dauphiné (Demulder 3 v., Feugier 2 v., 1 d

Guilbert w.-o.) bat Côte d'Azur (Didier

2 V

1 d.. Bonnet 1 v., 2 d.. Meunier 1 v.,

2 d.), 5-4.

Classement. — 1. Ile-de-France, 9 pts; 2. Normandie, 7 pts; 3. Dauphiné, 5 pts ; 4. Côte d'Azur, 3 pts.

POULE B. — Lorraine (Rcesch 3 v., Garaffi 2 v., Weber 2 d.) bat Lyonnais (Bardet 1 v., 2 d., G. Pontille 1 v., 1 d., Hoitayan 2 d.), 5-2. Flandres (Secrétin 3 v., Dubus 2 v., 1 d.,

5-2.

Alpes (Vacher 2 v., Veret 2 v., Bargitiet 1 v., 1 d.) bat Touraine-Limousin (Villousier 1 V., 1 d., Jamet 2 d.. Joyau 2 d.), 5-1. Classement. — 1. Alpes, 6 pts ; 2. Alsace, 4 pts ; 3. Touraine-Limousin, 2 pts. POULE F (troisièmes). — Auvergne (Ta

riant 2 V., Blanchard 2 v.. De Jonghe 1 v.) bat Languedoc-Roussillon (Avesque 2 d., Martin 1 d., Mirouze w.-o.), 5-0. Centre (Maigne 3 v., Boudrie 2 v., 1 d., Mouly 2 d.) bat Auvergne (Tariant 1 V., 2 d., Blanchard 1 v., 2 d., De Jonghe

Verhaighe 3 d.) bat Bretagne (Floch 2 v., 1 d.. Baron 1 v., 2 d.. Le Cam 1 v., 2 d.),

1

5-4.

1 v., 1 d.) bat Languedoc-Roussillon (Aves

1

V., 1

d.), 5-3.

Centre (Boudrie 2 v., Maigne 2 v., Mouly

Lyonnais (G. Pontille 3 v., Bardet 1 v.,

que 1 V., 1 d., Martin 2 d., Mirouze w.-o),

d., R. Pontille 1

5-1.

(Floch

1

v., 1

d.) bat Bretagne

V., 2 d., Le Cam

1

v., 1

d.,

Baron 2 d.), 5-2. Flandres bat Lorraine, 5-2.

Classement. — 1. Centre, 6 pts ; 2. Au

vergne, 4 pts ; 3. Languedoc-Roussillon, 2 pts.

Dubus (10) bat Weber (30), 18, 16. Westeel (0) bat Rœsch (10), —21, 12, 19. Phose finale.

Secrétin (10) bat Garaffi (15), 16, 17.

Rœsch bat Dubus, 18, 12. Secrétin bat Weber, 13, 13.

tique (Perroton 1 v., 1 d., Le Manio 1 v.,

Martin 2 d.), 7-1.

Comté (Petite 2 V 1 d Cavagnac 1 v., Nocq 1 V., 2 d.), 5-4. . X -7 Champagne (Markic 3 v., .'3o"neta"^' ^ y Dauvergne 2 d.) bat atlantique (Le Manio ] V., 1 d., Greffion, 1 v., 2 d., Perroton

Alsace (Laengle 2 v., Galli 2 v., Horwath 1 V., 2 d.) bat Touraine-Limousin (Joyau

Chergui bat Creff, 19, —19, 12. Evràrd bat Legrand, —12, 12, 16.

POULE VI. — Lyonnais (Bardet 3 v., G. Pontille 2 v., R. Pontille 2 d.) bat Atlan 2 d., Doisy 2 d.), 5-2. Atlantique (Greffion 3 v., Le Manio 2 v., Perroton 2 v., 1 d.) bat Languedoc-Roussillon (Mirouze 1 v., puis abandon, Avesque 3 d.,

série) bat Legrand (IP 10),

10, — 13, 15.

(Joyau 1 v., 1 d., Jamet 2 d., Guiot 2 d.), 5-1.

10),

Evrard (10) bat Hélaine (U'* serie), 18,

Classement. — 1. Dauphiné 6 pts ; 2. Sar

1 d., Bonnet 2 v., 1 d.. Meunier 1 v., 2 d.) bat Bourgogne (Demay 2 v., 1 d., Lacomme 2 V., 1 d., Salvodelli 3 d.), 5-4. Bourgogne (Lacomme 2 v., Demay 2 v., ] d., Salvodelli 1 v., 1 d.) bat TouraincLimousin (Jamet 1 v., 2 d.. Joyau 1 v., 1 d.,

série) bat Creff (IP

— 18, 13, 16.

Chergui ( 1

^

2 d

Creff 1 V., 1 d.) bat Dauphiné (Demulder

5-4.

the, 4 pts; 3. Alpes, 2 pts. POULE IV. — Côte d'Azur (Didier 2 v.,

Cabarat 2 d., Viala 2 d.), 5-0. Orléanais (Monceaux 2 v-.

2 V rs., Sauger 1 v., 2 d ) bat Franche-

POULE A. — Ile-de-France (Chergui 2 v.,

5-0.

Lesorit 2 v., 1 d., Dauvergne

" V 1 d.) bat Franche-Comté (Petite 2 v., Noca 2 V., Lemercier 3 d.), 5-2. Atlantique ( Doisy 2, v., . Petroton 2 v., Greffion 1 v.) bat Orléanais (Santos 1 d.,

Pour l'attribution du challenge

Palmier!:

Ile-de-France bat Flandres, 5-0.

Garaffi bat Westeel, 19, 14. Secrétin bat Rœsch, 17, 8.

Purkart (1" série)

Lorraine (Rœsch 2 v., Garaffi 2 v., Bouras 1 v., 1 d.) bat Bretagne (Le Cam 1 V., 1 d., Boron 2 d., Lafaye 2 d), 5-1Flandres (Dubus 2 v., Westeel 2 v., Ver haeghe 1 V.) bat Lyonnais (Bardet 2 d., G. Pontille 1 d., R. Pontille 2 d.), 5-0. Classement. — 1. Flandres, 9 pts ; 2. Lor raine, 7 pts; 3. Lyonnais, 5 pts; 4. Bre tagne, 3 pts.

bat Verhoighe (10),

19, 12.

Evrard (10) bat Westeel (0), 19, 17.

Chergui (l''^ série) bat Dubus (10), 14, 15.

Purkart bat Westeel, 16, —21, 16. Chergui bat Verhaeghe, 14, 8.

Pour les 30 et 4* places : Lorraine (Roesch

POULE C (seconds). — Bourgogne (La comme 2 V., Savoldelli 2 v., Demay 1 v., 1 d.) bat Oise (Bowman 1 v., 1 d., Biencourt

3 V., Garaffi 2 v., Weber 2 d.) bat Nor mandie (Creff 1 V., 2 d., Legrand 1 v., 1 d.,

2 d., Keldenich 2 d.), 5-1. Sarthe (Drouet 2 v., 1 d., Gauthier 2 v.,

Pour les 5® et 6« places : Dauphiné (De mulder 3 V., Feugier 2 v., 1 d., Guilbert w.-o.) bat Lyonnais (G. Pontille 2 v., 1 d., Hoitayan 1 v., 2 d., R. Pontille 1 v., 2 d.),

1

d., Rousseau

1

v., 1

d.) bat Provence

(Meikonian 2 v., 1 d., Caverzaghi 1 v., 1 d., Casarotti 3 d.), 5-3. Sarthe (Aubier 2 Rousseau

1

v.)

5-4.

v.,

Gauthier

bat Oise (Bowman

2

v.,

2 d.,

Keldenich 2 d., Bieincourt 1 d.), 5-0. Provence (Caverzaghi 2 v., Meikonian 2 v.. Vaillant 1 v., 1 d.) bat Bourgogne (Savol delli 1 V., 1 d., Demay 2 d., Lacomme 2 d.),

Classement. — 1. Lorroinc, 6 pts; 2. Or léanais, 4 pts; 3. Auvergne, 2 pts. POULE VIII. — Champagne (Markic 2 v.,

5-1 .

Provence (Caverzaghi 2 v., Vaillant 2 v.,

places : Côte

d'Azur

Pour les 9® et 10® places : Provence (Casarotti 2 v., 1 d.. Vaillant 2 v., 1 d., Meikonian 1 v., 1 d.) bat Champagne (Markic 3 v., Gonnetant 3 d., Nicolle 2 d.),

Meikonian

Fretel 2 d., Bowman 1 d), 5-0.

Bourgogne (Lacomme 3 v., Demay 1 v., 2 d., Savoldelli 1 v., 2 d.) bat Sarthe

(Perroton 2 v.. Le Manio 2 v., Doi^ 1 v.)

Lofaye

(Aubier 2 v., 1

bat Sarthe (Aubier 1 v., 2 d., Gauthier 1 v.,

Maigne 2 d., Mouly 1 d.), 5-0.

bat Oise (Biencourt 2 d.,

et 8®

Nicolle 2 V., Lesprit 1 v., 1 d.) bat Centre

v.) bat Centre (Boudrie 2 d.,

v.)

Pour les 7®

(Didier 3 v.. Bonnet 1 v., 2 d.. Meunier 1 v., 1 d.) bat Bretagne (Floch 2 v., 1 d., Lafaye 1 v., 1 d.. Baron 3 d.), 5-3.

(Boudrie 1 v., 1 d., Maigne 2 d., Mouly 2 d.), 5-1. Bretagne (Le Cam 2 v., Floch 2 v.,

1

1

Ybert 2 d.), 5-2.

d., Gauthier 2 v., 1

Rousseau 3 d.), 5-4.

d.,

5-3.

Pour les 11® et 12®

places: Atlantique

I d., Rousseou 2 d.), 5-2.


Pour les 13® et 14® places: Bourgogne (Lacomme 3 v., Raymond 1 v., 2 d., Sovol-

Flandres, 4 pts; 3. Orléonois, 2 pts.

defli

Phase

1

V., 1

d.) bat Orléanais (Monceaux

2 V., 1 d., Cabarat 1 v., 2 d., Viala 2 d.),

Classement. —

î. Auvergne, 6

pts; 2.

finale.

POULE A (de la " î à lo 4® place.

5-3.

Pour les 15® et 16® places : Franche-Comté

(Cavagnac 2 v., Petite 2 v.. Remet 1 v.) bat Oise (Bowman 2 d., Fretel 1 d.. Kelde-

Pour les 17® et 18® places: Alpes bot Centre, w.-o. Pour les 19® et 20® places : Alsace (Laen-

gle 2 V., 1 d., Galli 2 v., Horwath 1 v., 1 d.) bat Auvergne (De Jonghe 1 v., 1 d., Blanchard 1 v., 2 d., Dravers 2 d.), 5-2. Pour les 21®

Pour

rattribution

du

challenge

et 22®

Delay :

Lorraine bat Ile-de-France^ 3-1. Lecler (10) bat Delaubert

nich 2 d.), 5-0.

M®® s.), 20,

— 6, 19.

Boiteux (10) bat Le Bras d'*® s.), 20, 16. Desplanques-Le Bras bat Boiteux-Lecler, 18, 16.

Boiteux bot Delaubert, 12, —17, 9.

places: Tourolne-

Ltmousin bat Languedoc-Roussillon,

Lorraine (Lecler 1

v. sur Pillière, Boiteux

1 v. sur Rougeux, -f double) bot TouraineLimousin, 3-0.

Classement final : 1. Ile-de-Frcnce

Ile-de-France (Desplonques 2 v.. Le Bras

1 V.) bat Auvergne (J. Viola 2 d., L. Viola 1 d., -j- double par les mêmes), 3-1.

2. Flandres

3. Lorraine 4. Normandie

Ile-de-France (Desplaques 1

v. sur

Rou

5. Dauphiné

geux, Delaubert 1 v. sur Pillière, -f- double)

6. Lyonnais

bat Touraine-Limousin, 3-0. Lorraine (Lecler 1 .v. sur J. Viala, Boiteux

7. Côte d'Azur

8. Bretagne

1 V. sur L. Viala, -f- double) bau Auvergne,

9. Provence

3-0.

HUITIEMES ET QUARTS DE FINALE de LA COUPE NATIONALE CORPORATIVE

Classement (de la 1 1"® à la 4® place). — 1. Lorraine, 9 pts; 2. Ile-de-France, 7 pts ; 3. Auvergne, 5 pts ; 4. Touraine-Limousin,

A MERIGNAC

10. Champagne

1 î. Atlantique 1 2. Sarthe

13. Bourgogne 14. Orléanais

3 pts. POULE D (de la 5® à lo 8® ploce). —

1 5. Franche-Comté

Bretagne

(Alexandre 2 v..

Ramée

2 d.,

16. Oise

4- double) bat Flandres (Delassus 1 v., 1 d..

17. Alpes

Fouace 1 v., double), 3-2.

15. Centre

1

d., Delassus-Bounoua

en

Provence (Voillont 2 v., Devant 1 v.) bot

19. Alsace

20. Auvergne

Normandie (Rodriguez 2 d., Franceschi 1 d.,

21. Touraine-Limousin

4- double par les mêmes), 3-1.

22. Languedoc-Roussillon.

Bretagne (Alexandre 1 v. sur Vaillant, Ramée 1 v. sur Devant, -{- double) bot

Provence, 3-0. Normandie Phase quoliftcative.

POULE I. — Ile-de-France (Le Bras 2 v., Lemazurier 1 v., 1 d., double perdu par Delaubert-Desplaques) bat Atlantique (Sugliani 1 v., 1 d., Clorenec 2 d., + double), Bretagne (Ramée 2 v., Alenxandre 1 d., -h double) bat Atlantique (Sugliani 1 v. 1 d., Clorenec 1 d.), 3-1. Ile-de-France (Deloubert 2 v., LemajujriGr

1 d., 4- double par les mêmes) bat Bretagne (Ramée 1 v., 1 d., Alexandre 1 d.), 3-1. Classement. — 1. Ile-de-Frcnce, 6 pts ;

2. Bretagne, 4 pts; 3. Atlantique, 2 pts. POULE

II.

sur Bestel, Lecler

Lorraine

1

(Boiteux

v. sur

(Franceschi

1

v.,

Rodriguez

1 v., 1 d., -j- double) bat Flandres (De lassus 1 y., Bounoua, 2 d., Delassus-Fouace en double), 3-1.

CHALLENGE DELAY

1

v

Barthélémy,

4- double) bat Champagne, 3-0. ^ Normandie (Rodriguez 1 v. sur Barthé

lémy, Franceschi 1 v. sur Gobet, -f- double) bat Champagne, 3-0.

Lorraine (Lecler 1 v. sur Rodriguez, Bot-

Bretagne (Alexandre 2 v., Ramée 1 d., 4- double) bat Normandie (Franceschi 1 v., 1 d., Rodriguez 1 d.), 3-1.

Flandres (Delassus l v. sur Vaillant, Fouace 1 v. sur Devant, 4- double par Bounoua,Delassus) bot Provence, 3-0. Classement (de la 5® à la 8® place). — 5. Bretagne, 9 pts ; 6. Flandres, 5 pts ( 4- 1 ) ; 7. Normandie, 5 pts (0) ; 8. Provence, 5 pts (— î ).

POULE C (de la 9® à la 13® place) :

Orléanais (Burgevin 1 v. sur Barthélémy, Corli î V. sur Gobet, -f- double) bat Cham pagne, 3-0.

Atlantique (Sugliani 2 v., Clorenec 1 d., 4- double) bot Languedoc-Roussillon (Fer rieu 1 V., 1 d., Mirouze 1 d.), 3-1.

Franche-Comté (Schneider 1 v. sur Leclere, Solomez 1 v. sur Bestel, 4- double) bat Champagne, 3-0.

4. Oise, w.-e.

Languedoc-Roussillon (Ferrieu 2 v., Mi rouze 1 V., 1 d.) bat Champagne (Bestel î V., 1 d., Gobet 2 d., 4~ double), 3-2. Franche-Comté (Schneider 1 v. sur Carli, Salomez 1 v. sur Burgevin, 4- double) bat

POULE III. — Franche-Comté (Schneider , Salomez 1 v. sur Mirouze, 4- double) bat Languedoc-Roussillon, 3-0. Touraine-Limousin (Manget 1 v. sur Vaillorit, Pillière 1 v. sur Devant, 4- double)

Atlantique (Sugliani 2 v., Clorenec 1 d., 4- double) bat Champagne (Barthélémy 1 v., 1 d., Leclere 1 d.), 3-1. Orléanais (Carli 1 v. sur Mirouze, Bur

teux 1 y. sur Franceschi, -f- double) bat Normandie, 3-0.

Clossement. — 1. Lorraine, 9 pts; 2. Normandie, 7 pts ; 3. Champagne, 5 pts •

bat Provence, 3-0.

Provence (Vaillant 1 v. sur Salomez, Devarit 1 v. sur Schneider, -f- double) bat Franche-Comte, 3-0.

Touraine-Limousin (Pillière 1 v. sur Ferneu Rougeux I v. sur Mirouze, + double)

bat Languedoc-Roussillon, 3-0

Provence (Vaillant I

v. sur Mirouze,

Devant 1 v. sur Ferrieu, + double) bat Languedoc-Roussillon, 3-0, „.,7?'^''°',"®-'-imousln (Manget 1 v., I d IC k,' FrancheComte (Schneider 2 v.,double) Salomezbat 2 d.), 3-2,

Classement. — 1. Touralne-Llmous'in, 9

Orléanais, 3-0.

gevin 1 v. sur Ferrieu, 4- double) bat Languedoc-Roussilfoh, 3-0. Franche-Comté (Schneider 2 v., Salomez

1 V.) bat Atlantique (Sugliani 2 d., Clorenec 1 d., 4- double par les mêmes), 3-1. Atlantique (Sugliani 2 v., Clorenec 1 d.

,I POULE iV, _ (FouaSpar 1 Bouv„ d,, Hardy v„ 1Flandres d -f- double J, Viala I

V, sur Carll,

double) bot

Auvergne (J. Viola 2 v., L. Viola 1 d 4- double) bat Flandres (Delassus 1 y.^ i d'' Fouace 1 d., Bounouo-Delassus en double)' 8

Impecioti 0 v), 5-1. A AMIENS

Municipaux d'Amiens (Lambert 2 v Gom^ Memheld et'Deglorgis v.l bat 0 E.E.v.l, Mulhouse (Ehret, 5-0 I.B.M. France Paris (A) (Auger 3 v

Vigneron 2 v., Bergeret 0 v.) bot AS Volloert Lille (Coppejans 1 v., Vromon'1 v Forestier 0 v.), 5-2.

*'

Municipaux d'Amiens (Lambert 2 v Combler 2 v., Loperle I v.) bat I.B.M France Paris (A) (Auger 1 v., Bergeret et Vloneron 0 V.), 5-1.

AU HAVRE

A.S.E. Lille (De Toledo 3 v., Salomé 1 v., Koopmans 2 v.) bat P.P.C. Raffinage du Havre (B) (Cropet 2 v., Quetel 1 v. Doré G V.), 6-3. Stein et Roubolx Paris (A) bof Lever Paris (B), 9-0 : feuille non parvenue.

SteIn et Roubaix Paris (A) (Loger 3 v., Laszklev/lcz

1

v., Pormentler

1

v.)

bat

A.S. Lille (Koopmans 2 v.. De Toledo 1 v., Salomé 1 v.), 5-4. ' A

PARIS

E.D.F. Paris (Evrard Pou! 3 v., Evrard Marcel 3 v., Touzlède 2 v.) bot C.A.S.O. Paris (A) (Servet 1 v., Léonard et Mortas 0 V.), 8-1.

Dernière minute :

2. Ile-de-France

Orleonats, 3-0.

Bros 2 v., Lagouarde 1 v.) bat A.S.C. Natio nale Paris (A) (Vasseur 1 v,, Peroudin et

tognet et Fournier 0 v.l, 9-0.

1. Lorraine

3. Auvergne

'

quet et Duchomp 0 v.), 5-1. S.F.E.R.M.A. Mérignac (A) (Gcemon 2 v.

Roussillon, 6 pts; 13. Champagne, 4 pts. Classement final du challenge Deloy

9 Franche-Comté, 12 pts; 10. Atlantique, 10 pts; 11. Orléanais, 8 pts; 12. Languedoc-

4. Touraine-Limousin 5. Bretagne

Auvergne (L, Viola I v, sur Burgevin

A.S.C. Nationale Paris (A) (Peroudin 2 v., Impecioti 2 v., Vcsseur 1 v.) bot Marcel Dossault Mérignon (A) (Boncon 1 y. pas-

4- double) bat Orléanais (Burgevin 1 v' 1 d., Carli 1 d), 3-1. ' Classement (de la 9® à la 13® place) —

pts ,• 2, Provence, 7 pts; 3, Franche-Comté,

Carll 2 d.), 3-2.

Paris (Delachot 1 v., Potier 1 v., Guillerme 0 V.), 7-2.

Usiner Denoln (Dermy 1 v., Sobczok 2 v., Kublco 2 V.) bot Gozélec Marseille (Coverzoghl 3 V., Rival 1 y., Iché 0 v.l, 5-4. Usiner Denain (Sobczok 3 v., Kublvo 3 v., Sermy 3 v.) bot E.L.F. Paris (Fessier, Cos-

5 pts ; 4, Languedoc-Roussillon 3 pts

noua-Delassus) bat Orléanais (Burgevin 2 v

S.F.E.R.M.A. Mérignac (A) (Gœman 3 v,, Lagouarde 2 v., Bros 2 v) bot C.S. Union

6. Flandres

7. Normandie 8. Provence

9. Franche-Comté 10. Atlantique 1 I. 12. 13. 14.

Orléanais Languedoc-Roussillon Champagne Oise (forfait).

1/2 Finales : AMIENS - BORDEAUX : 5-2. DENAIN - SR PARIS : 5-1. Finale :

AMIENS - DENAIN

5-2.


Les enseignements des 37® championnats de France individuels (par Jean DEVYS) (Suite du N" 188)

Chose promise, chose due...

Après avoir revécu cotte sympathique soirée finole des 37®" « Nationaux » (cf. « Froncc-Tcnnis de Table » n® J88), Il est juste d'expliquer comment les choses en étaient orrivées là et d' en tirer les enseignements pour ravenir.

Et pour cela, il fout reporter les opérations ou samedi 4 a vril à 8 heures, heure à laquelle les premiers conc»irrents (ceux des doubles notamment) ralliaient la salle du « bel ébat », trouvant tout noturel qu'Evreux leur offrît des conditions impeccables de

jeu alors que, quelques heures auparavant, ce que l'on appelle le o noble art »

donnait matière à cheveux

blancs au Président

Plantrou et à l'ami Groult qui, ayant déjà eu maille à partir av ce l'imprimeur des programmes, n'avoîcnt guère besoin de ce coup du sort. Occasion rêvée do rappeler discrètement leur fait d'armes

puisque^ avec l'aide d'une solide équipe de dévoués, tout étoit prêt à l'heure H pour recevoir leurs hôtes de morques.

« belle » (après avoir été mené 2 sets à 0 1) que (exploit était possible, n'était-ce un nombre incalculable de fautes d^aporeciotion qui revalorisèrent un droit d'oînesse plus que conteste. Kubtco se

foire copieusement dominer par un Lhomme qui n était pourtant pas des plus incisifs et, pour corser le naufrage, Francis Dubus, peut-être trop obnibulé par un manche de raqi^tte récalcitrant,

laissait logiquement bien qu'en cinq sets (le Roubaisierj

remonté le troisième de 14-20 à 22-20 à la desesperado .) le béné fice de lo qualification ou sobre et toujours opportuniste Brestois Michel (Odeyé. Le temps de voir Melkonion prendre un set au vieux lion » Haguenauer et nous n'avions plus qu'à conclure qu il n y avait (encore) rien de changé sous le soleil de France .

Des « moins jeunes ». nous voyions émerger le surprencmt cham pion de riIe-de-France Bouzigues, sans convaincre toutefois, devant son collègue poitevin Theillout mais qucsnd même plus heureux que son compère du C.S. Union : Cossan qui, devant le « mur » Fioch, fit oublier le héros 1963 de Coubertin ! Hoppenot, lui, regagnait le banc des qualifiés sans combattre.

Après quoi, il ne resta plus qu'à voir lutter les « anciens qu'ils font toujours ovec grand cœur, et triompher les tetes de série dont lo plus méritante (après Chergui et Roothooft) était encore

SAMEDI 4 AVRIL

Les doubles ouvrent le bal

le Lillois Daniel Westeel, impitoyoble pour l'ex-champion de Fronce Le programme des réjouissances avait mis les avant-tours des doubles en prélude.

Cela faisait 7 matches chez les messieurs (39 équipes engaaées) et 4 chez ces dames (20 équipes). Les Marseillais Casorottl et Coverzcghi brillant par leur absence, les Lyonnais Nardy et Haitayan

regagnaient de facto la touche pour assister au net succès de leurs « pays », les Pontifie Brothers. sur les Inconstants espoirs porisiens Beaumont-Nalès. Pas de problème non plus pour Creff-Legrand et Cassan-Bouzigues face, respectivement, eux paires sarthoises DrouetThomos et Tesse-Rolles. Hoopenot-Ricord lâchaient bien un set aux Lemanio et Doisy mais c'était, ooraît-il, prévu dans In mise «^n

route et le « Nord », représenté par l'association de fortune De Tolédo-Dhondt, n'eut pos tellement à trembler devant un « midi » qui n'a pas bouqé à l'imcae des Agullo et Melkonian. Finalement, nous n'avions qu'une « bataille » valable entre les chamoions des Flandres Westeel-Pétroff et les Alpins Ouinsac-Barqinet (ou Vacher?),

les premiers nommés, menés 16-18 à la « belle », redorant leur blason in extremis mais sons gloire offensive !

Pas de surorlses non plus chez nos consœurs, la paire parisienne Tourman-Ehrlich qualifiant sans combattre, imitée ovec presque autant de facilité mais sur table quand même par les lorraines

Boîteux-Lcclerc à la jeunesse triomohonte face aux vieilles gloires Fagnon-Hordy. Nous eûmes quand même droit à une âpre explica tion en 5 sets : celle qui vit les Normandes Rodriguez-Franceschi pousser les championnes des Flondres De Tolédo-rFouoce dans leurs derniers retranchements avant d'accuser le coup à la « belle ». Foillife de la « nouvelle vague » ?

Cette fois, les 37®" Nationaux étaient bien lancés et l'ami Giraud constatait la chose avec une réelle satisfaction, d'autant que la

réduction des tobleaux rendait la situation plus nette avec, 11^ est agréable de l'écrire, une diminution corrélative des forfaits. Néan moins, si sur 64 messieurs, 11 n'y avait que 4 absents (plus ou moins excusés), chez ces dames, le pourcentage étoit plus conséquent puisque 10 des 49 élues manquaient à l'appel du juge-arbitre, ce qui est quand même énorme pour un championnat où l'on se qua lifie. L'obsente de qualité était Claude Rougagnou qu'un télégramme avait absoute, mois... ..

Bref, la parole étant aux présents, les observateurs et les inlti^ n'avaient d'yeux que pour la « nouvelle vague » que l'on disait

« juniors » Coussin trop vite résiané, ce qui. avec Helaine (sans COUD férir), Amouretti, Purkart, Gambier (très à l'aise, ces trojs gaillards!), Goëman (qui étrilla le finaliste de Compiegne, Gre; bonval, à la « ba-bolle » puis à l'expedite-rule), donnait raison a la hiérarchie.

La « vieille garde » perdait bien Alex Ehriich, dont les jambes refusaient de suivre le rythme imprimé par le Navrais Creff, vain-

- - - ? — M A...» .M 1 n l oueur en 3 sets nets, mais conservait les Boncon, De Tolédo. Laaer, Ricord. Lucas et outres Quinsac, alors que Granier et Vauvorin

gagnaient sur le tapis vert. Quelques explications sévères quand même, du type marathon : c'est ainsi aue Vatin n'eut raison du numéro 1 alpin Décret que dans les dernières balles de In belle »

et, surtout, que l'expedite-rule fut nécessaire dès le troisième round de la guerre d'usure décrétée par le Rouennais Legrond et le neoArdennais Markic, après avoir eu l'occasion de conclure à 3-1, ce dernier allait encore mener 20-18 (toujours à l'exoedite-rule !) à la « belle » pour en rester là. Autres champions de Ligue à mor

dre la poussière : l'Alsacien Gintz, qui pêcho par excès de confiance au premier set livré ou touiours solide Soul, et Tolosa qui ne put rien contre le top-spin de ChaiMoux.

Au rayon féminin, les Lemazurîer, Antoniaza, De Tolédo, Vaillant, Boiteux et autres Schneider bénissaient ou maudissaient l'absence des adversoires désinnés, mais qu'y faire? Les têtes de serie étant exemptes de surcroît, lo situation s'en trouvait allègrement décan tée et l'on retiendra surtout la difficulté (initiale) que « marnan » Vialo éprouva face à la Bœtonne Ramée, la performonce de Motvsc Delassus (de la « nouvelle vague » flandrienne) sur la « 15 »

Porisienne Cuinet qui ne put ou ne sut exploiter lo^ mécanique offen

sive et celle de la Vendéenne Sualiani aux dénens d'u^e outre

€ 15 » auvergnate cette fois, Mme Dufour. Autre représentante

« yé-vé » à sortir du lot : la petite Pvrénéenne Rodes qui n eut pas l'opposition espérée de la Sarthaise Monat. Les semi-croulantes (hum !) plocaient la Lorraine Marie-Claude Lecier et la cFofpionne de Normondie Rodriauez qui, devont la championne de l'Oise Bon net. eut du cœur à revendre, puis la « vieille garde » ramassait les dernières miettes du gâteau avec les Tourmon (non sons peine devant la championne de Touraine Pillièreî), Portet, Van Robaeys et autres Gernot.

capable d'opérer une révolution de palais. Ce ne fut pas précisé ment le cos : certes, Christion Rœsch s'en sortait à son avantage mais son odversaire, le Roannais Bernard Nardy, n'est pas encore un croulant (sic) et il fout ajouter d'ailleurs qu'un score Inversé n'eût pas été injustifié, le futur champion de France « juniors » revenant de très loin ou troisième set, arroché 23-21 certes, Alain

LE PRESIDENT CECCALDI REMERCIE EVREUX

Garaffi n'était pas inquiété par le Bisontin Petite pas plus que Paul Evrard par le modeste Agullo, mais tout ceci n'avait rien que de très logique et c'était face à la « vieille garde » qu'il follait juger

Le temps de liquider ravont-tour du « mixte » et les diriqeonts fédéraux ou régionaux se retrouvaîenf à l'hôtel de ville d'Evreux

nos lionceaux !

Or, que vit-on ? Strelt prendre un set à Chergui. ce qui, devant le tenont du titre, était une référence, mais Jean-Paul pouvait faire mieux s'il n'avait pas confondu vitesse et précipitation, l'engage ment physique plaident por ailleurs en sa faveur ! Guilbert égaliser à 2 sets partout puis s'effondrer à la « belle » devant Cafiéro alors qu'il avait la possibilité de l'emporter en 3 manches avec une

où, selon une vieille coutume bien sympathique, la Municipalité oyait exprimé le désir de les recevoir.

demandont si le jeu négotif de Roothooft tiendrait vraiment devant

Réception marquée d'ailleurs de la plus grande cordialité, tra duite dans deux allocutions qui rivalisèrent d'éloquence. M. Mondic, moire d'Evreux, tira bien entendu le premier, atfirmont au passage la satisfaction ressentie par les personnalités cbro'iciennes devant le choix de leur ville pour l'organisation de ces 37®^ Notionoux, soulignant aussi ^ et c'était tellement évident I — l'intérêt que la Municipalité attachait au sport en général, au tennis de table

les coups de boutoir du jeune Halluinois dont les actions percutantes, extrêmement brillantes même, firent penser à I partout à la

de cité sur les bords de l'Eure.

meilleure concentration aux moments décisifs... Dhondt attirer les

férus d'émotions, sous l'œil

inquisiteur de l'ami

Brantschen, se

en particulier, car notre discipline o, il est vrai, largement droit 9

s »A


Notre Président ne pouvait que relever le gant et quand on

foires de l'U.S.E.G. Paris ; Portet-Culnet. Ici, les quarts s'onnonçaicnt

connaît so Ifacillté, sa simplicité d'élocution, nul ne s'étonnera d'apprendre qu'il eut droit o la première place à l'applaudimctre.

En mixte, par contre, nous n'en étions encore qu'oux scizièm^^c

il est certoln qu'il fallait remercier lo municipalité ébroïcienno tel

finale, émotllés de 5 forfaits (le plus notable étant celui de I

qu'ii le fit. Il est tout aussi évident que nous pouvions envier, avec

poire Rougognou-Gambier qui, présente, eût pourtant fait mal? pt

lui, le magnifique effort entrepris par Evreux en faveur du sport

des victoires logiques des < têtes de série

et de lo jeunesse, que nous devions aussi souhaiter de voir un

Mohktori-Hélaine et Alber-Purkart.

La suite des opérotions ne devait encore que donner à moitié raison à M. Ceccoidi, mais nul ne contestera que la machine mise

en marche à Compiègne tourne mieux... Alors? Dans l'immédiat, rassemblés autour de M. Louis Vigîer, notre

Président d'honneur, qui ne cachait pas sa satisfaction, ce qui fut frois... ce fut bien le vin d'honneur qui délia un peu plus les lan

gues pour le plus grand bien des palais connaisseurs et de l'avenir du tennis de table français!

Blond-Lucas arrachant la décision (23-21 à la « belle » )' aux Auver gnats Vialo-Toriont qui prirent d'oilleurs la chose avé le sour

Une poire remarquée : Martine Le Bras et Bernard Nordv ou 'ip?i offensif, cloir et combien percutant. Pour le reste, les ossociot o parisiennes confirmaient tout le bien que nous avons déjà dit' du t^nis^ de table féminin dons la capitale, Marie-CIcudc Lecler (osso

ciée^à Cofiéro) constituant l'exception à la règle qui confirmera Situation décantée dans les simples

L'heure n'étoit pas encore à la récupération, ni cnco-c mninc ô lo restouration, toutes les catégories de simple devant encom

Au tour des « juniors » d'entrer dans la danse Meurtris dans leur cmour-propre, si ce n'est dons de solides espcronces, les « juniors » eurent l'tjonneur de rouvrir les hostilités en puise de digestion et après avoir folt l'inévitable décomote des forfaits : 6 chez les gorçons (sur 55 inscrits) et 3 chez les filles (sur seulement 15 participantes!). Par le jeu des têtes de série, les trente-deuxièmes rie finale n'an-

portèrent pas de grandes émotions en c garçons >. Tout ou plus peuton noter comme surprises l'élimination du Parisien Mollet, trop sûr de lui, par le champion de Champagne Dauvergne, celle du grand espoir lorrain Weber face au roc breton, en verve ce samedi et représenté ici par Le Gall, et la peine qu'éprouva le Porisien Coudert et l'Halluinois Dhondt à se défoire respectivement de l'Alnin Vacher

et du Normand Rouos qu'oi aurait plaisir à voir toujours oussi mordant.

D'outrés matches « juniors » devaient encore oller aux 5 sets, attirant l'attention sur le volontaire Lemaître (Oise), vainqueur ou finish du dilettante chompion du Poitou Theillout, l'Arrageois Mc-rlot, mois néanmoins auteur d'un bcnu

sursaut d'amour-propre devant le Sarthois Thomas, lequel se voyait venger llliso par son compère Tesse sur le dos de l'Auvergnat Guilredressait de so houte stature

une situation bien compromise face au Lyonnois Norboux et par ailleurs, les Barginet, Cohen, Belhocine, Beaumont (sur l'Altifogien

Bullan !), Martrenchar, Morvitez, Noiès. Meikonian et outres Viennet confirmaient sur tables le respect de la hiérarchie ! De plus forte; émolons suivraient.

Par le foit des absences, celles (excusées) de la Flondrlenne Bou-

noua et de la Normande Péioquin entre autres, le premier tour des tilles ollaît être rapidement achevé, mois si les Delassus, Blond et Rodes (celle-ci malgré les progrès affichés par la Marsellloise Domi nique Vaillant) possaient sans peur ni reproche, la nouvelle cham pionne de France « cadettes », Merle-Claude Frcncescht, ne s'attendolt pas à une résistance aussi corsée de la Parisienne Gisèle Dufour, lo « belle » toutefois rappelant certaine logique. Creff-Legrand en vedette

Inlossablement, la navette des feuilles d'arbitrage s'opérait entre l'étot-major de William Gimud et la famille Mast plocée aux avontpostes du champ de bataille.

L'horaire était scrupuleusement respecté et, avec le deuxième tour des doubles, nous allions déià pouvoir déceler les hommes forts en forme. Pas d'histoire toutefois pour les Streit-Goraffl. Vot-n-

Loger, Ysnel-Fortier et Hoguenauer-Saul qui prolongeaient leur sieste foute de combattonts. Les « têtes de série », cependant, n'étaient pas toutes à la fête et il fallut même un Chailln"x terrlblemeni

entreprenant pour qu'avec son

maître tacticien

Stéohen

Cofi-^ro

les tenants du titre puissent posser l'c^stacle flondrien et inédit De Tolédo-Dhondt (15-21 à lo « belle »). Les Grébonvnl-Roothn'^ft

n'en menèrent pas larae non plus devont les jeunes Lvo'^nois Na'dvHaitayan qui eurent l'ovantage aux sets avant de s'effondrer dor^s les deux derniers. Cela oppeîalt une surprise : elle fut l'œuvre des

Normands Crcff-Legrond qui, follement encourogés, surent profiter astucieusement d'une coordination défectueuse ou sein du tandem

Amcuretti-Chergui, confirmant au passage que deux b'^idantes indi vidualités ne constituent pos inéluctablement un bon double et, pour tant, le troisième set avait prouvé aue...

Autres

victoires

remarquées : celle

des Guyennais

Loclaverie-

Mortrenchcr sur les Pontille Brothers, mystifiés à la « belle » après nvoir dominé les deux premiers sets ; celle, surtout, des Bretons Floch-Ddeyé qui surent exploiter le manque d'e^tento offensive entre Lhomme et Gambier (9' au cinquième set !) ; cette, encore, de l'ossociotion improvisée Lucas-Richord, ce dernier sans pitié pour ses coéquipiers Petite-Viennet. Puis, dans le reste du tableau, le conformisme devait triompher ovec plus ou moins de facilité, lais sant en

course

le*;

Ehrllch-Dubus

(devant les

solid<^«: /^rdennois

offrir un coup de balai.

tiens généroles : tout d'abord, les 8 têtes de série ollaie-t demenrpr ou commandement avec des fortunes diverses certes mois Ip f/Vf

JP' Cofiero), symptomotique plus d'un titrerésistance ! Si Roothooft (devanî un Dole Westcelà (sons gronde do Leorond d l'influx bien diminué après son morothon de lo matinée) "Hplni fsurclossont Hoppenot), Purkort (pos décidé à s'amuser'San! on faisant l'omère expérience !) Goëman (trop tentocu'anre oour Vn?, varin) et Chergui (sans pitié oour Creff) se qualifiaient en nets, nos omis Amouretti et Gombier passaient, eux par In n +'t Dorte. Celui-là devoit être souveroin 2 sets duront face ou vNnn taire Vatin sans pouvoir ''empêcher de lui souffler loninuem^t Ir

troisième set et le pousser aux avantages dons le quatrième oiif i Celui-ci allait en voir de toutes les couleurs avec le too-so'n Hp

Choilloux qui, oprès avoir pris les deuxième et troisième sets" m 7? oour le troisième!), démarra brutolement à lo « be'lè » ç sec 9-0. moment choisi par l'Amlénois pour se replier et surtout régler définitivement en défense, marquer les 21 points od-hnc

dont que le représentont du C.5.P.S.E. Paris n'en ajoutait que 5 à^snr

actif. Hum !

En tournant autour de l'olre de jeu, nous ochevio-s 'e bilo

'nouvelle vaque » conservait les Lorrains Garoffi (qui

inquiété par Ricord ou'au premier set) et Rœsch (impitoyable nnur Lucas), mois perdait anodinement Evrard qui décevait ses nh

Gronier (faut-il réellement croire que le champion du Lyonnais nn s'entraîne plus.?) et Bordet qui ne tint qu'un set devont Fioch Les semi-croulants continuaient de faire confiance o Ôdevé (tou jours là le Bretagne !) qui, après Dubus, remettoit gentiment lê champion de l'Ile-de-France à sa ploce. Les croulants se oortaient encore très bien grâce oux Parisiens Laqer (dont le travail de s'^'oe' eut raison du réseau défensif de De Tolédo) et Lhomme que l'on n'attendait pas aussi net vainqueur du Bordelais Boncon |o héros de Rennes, et II n'est jusqu'à lo « vieille gordo » qui n'eût droit à son quoliflé. En la personne de oui ? Quelle question ! pourtont Michel Haguenouer, car c'est bien lui, trente et un ans après nvoir enlevé son premier titre de champion de France, n'eut pas la partie facile avec le tou'ours jeune Qurnsoc oui mena 2 sets (orrochés M à 1 avant de s'incliner à la € belle » et à l'expedite-rule, tous records horaires battus. I l e<;t vrai que le « vieux lion » en a vu d'autres • dons sa longue carrière pongiste. Quel exemple oussi !

Le simple dnmiss en était itou aux seizièmes de finole.

ici encore et mise à port Claude Rouqagnou (pour couse), toutes les têtes de série doublolent le cap, très aisément d'ailleurs cor les Le Bras, Desplonques, Mohktari, Alber, Delaubert et Mathieu n'étaient pratiquement jomois inouiétées. leurs victimes s'oppelont resoect'vement Sugliani (à créditer d'un très bon deuxième set contre le future chomolonne de Fronce!), Antoniaza, Rodriguez, Tourman

Delassus et Rodes. Ces deux dernières, déléguées par la'« nouvelle

vaque », se vovoient venqées illico par Chantai Lemozurier '«-nns

.scrupules pour le droit d'aînesse de Mme Fochon), Jacquelirte Viain (faisant souffrir Françoise De Tolédo dons son omour-proore M et Michèle Bo'teuk (dont le contre n'a laissé oucune chonce n In chom Pionne de Fra^nce Josette Fouace), olors que Dominique Vaillant ne nouvnit que quitter la scène In t^te haute à l'issue d'un combat ir^gol contre I ex-chomplonnc de Fronce Mme Delqy Mois In hui

tjème tcte de série, dlrez-vous ? Thérèse Roy la fournit, oinsi quo ovoft voulu le tiroae ou sort, mois non sons peine devant « maman » Vinla qui sut mourir en beauté.

Les « anciennes » se plaçaient encore : Mmes Portet. Von Roboevs

C^rnot, mois c'étoit sans en découdre, la première héritant de le pos-

sition privilégiée de Claude Rougagnou ! Il restait donc deux sièaes

G pourvoir en huitièmes : c'est Morle-Claude Lecler (se réglant prooressivement devont la volontoire cooitaine des Flondres Mme Hardv)

Lisette Ehriich pu bapoge technique plus complet quo la Franc-

En double dames, nous ovoncions égolement d'un rron. I es Lil loises Fouace-De Tolédo bénissaient sans sourciller le •forfait de Cloude Rougaqnou, alors que les Deloy-Van Robaeys et Le BrasMohktorl les imitoient sans plus combattre. A confirmer que Paris

Ms étaient encore 32 garçons et 8 filles à espérer.

les Antonioza-Gernot (surprenant le tandem famiiiol des Viola), (au

finish

sur

l'association

inédite

Bonnet-

Ramée), Deloubert-Desplonques (nullement inquiétées, pour les bien comoître, por l'équipe Tourman-Ehriich), laissont la Province sauver l'honnetjf grâce à In tête de série franc-comtoise Alber-Schneider

(ou mérite évident devant Boîteux-Lecler) et aux championnes tou rangelles Roy-Plllières, tactlquement plus ou point que les socié-

10

l

f?

chauds portisons en s'Inclinant en 3 sets secs devant le « reveno«?t

Comtoise Schneider, qui les occupèrent très logiquement.

est bien le ftef du tennis de tc^le féminin, nous trouvions encore

nuus

Lo simple messieurs nous réservait matière à que'qucs

Morkic-Nicolle, il fallait certes le faire!), Westeel-Pétroff (à la céhosîon douteuse), Granier-Bardet, Goëmon-Bancon et Cassan-Bouzigues (sans oitié, ceux-là !). Du sol'de, quoi...

1 emozurier-Dufour

•/

"

voulu terriblement devont le ménage Ehriich, et celui de«s

XXX

lemard. Le Fronc-Comtois Richard

Mathieu

Des succès tendus encore : celui des Hordy-Kubico oui

tennis de toble jeune, frais et vivant.

toujours timoré en comoétition

»

Place à nouveau aux « juniors »...

Chez celles-ci, nous assistons à deux succès nets et d'ailleurs pré la jeune Blond) et Jocqueline Vlala qui ne permit à lo Lyonnaise Champaqnat de ne foire que 26 points en 3 sets. Par contre, Marievus o l'actif de Michèle Boiteux (malgré l'héroïque résistance de

Claude Franceschi eut encore besoin de 5 sets pour ruiner les esooits de la quatrième tête de série, lo Pyrénéenne Rodes, qui n'en démé rita pas pour autant. Puis vint lo surprise dont peut en'-ore s'enornueillir lo championne des Flondres Maryse Delassus grôme à'une défense serrée et placée qui annihila, le contre oîdnnt. la furia offensive que l'on ottribue généralement à son amie Chontal Lemo zurier !


Des surprises, il n'y en eut guère en « garçons », tout ou moins chez les têtes de série. Encore fout-il

seront sons concéder le moindre set : Stred, Bordet et Evrard rnois, devant eux, les Poquier, Tesse et Le Goll etoient vraiment nop ten dres. Au nombre de ceux qui lâchèrent une manche, nous trouvions Christian Rœsch, égol à lui-même, mois accule dons ses dernieres ressources toctiques pour bouter hors un très bon Chorlet dont lo horgne offensive et néanmoins dosée attira la foul^ Georges Pontille eut moins de mérite à céder le deuxième set ou champion d Au^ gne Cohen, ce que devolt compenser son frere Roger, heureux de souver un égol honneur face à Dubus Alain Gorotfi, enfin peino pour battre un Belhocine di°blement entreprenant. Finotement c est le néo-Voultoin Aloin Gullbert qui olloit avoir le de diff cultes à s'en sortir, mené.2 sets à I par le Rouboisien Monniez qui, tefois, ne sut pos le contenir jusqu'à I naloii . Dons l'ombre des second-plans, nous notions encore des succès indiscutobles en foveur des Kubico, Beoumont et Melkonion, devant

qui les Soury, Richard et Viennet n'ont pas tait le poids. Mais pour aécrocher les cinq outres places, ce fut une belle bagarre. Si Borginet eut roison en 4 sets de Douvergne, il fout préciser que le qua

trième set alla à 24-22. Mené 2 sets a 0 par Lemaitre, oisin bon teint mois non oisif, l'Arrageois Merlot sut se ressaisir une fois

encore pour se libérer totalement à la « belle plus heureux que son ami Henry qui fit exactement le contraire face ou touiours solide Coudert, le tout se terminant par un 22-20 au cinquième set. Hum^! Autre succès porisien, tout aussi étriqué : celui d un très sur Noies que l'on o toujours plaisir à retrouver percutant et opportuniste mema quand il est mené 2 sets à 1, comme ce fut le cas devant Hoitayan ! Enfin c'est également en 5 sets, dont 3 poussés aux avantages, que le spécialiste Dhondt, aux actions toujours bnllontes a cote de fautes impordonnables, mit fin au rêve de Martrenchar, au bouc insuffisamment revanchard.

Cette fois, la situation était bien décantée et nous pouvions aller dîner, l'âme sereine.

...qui lancent la soirée pré-finale I A 20 h. 30, le marathon reprenait et il n'était pos sorcier de déceler la baisse générale de l'influx nerveux. La condition physique allait « parler » désormais autant que lo valeur intrinsèque des rescapés 1

Ce furent nos « juniors » qui remirent ça les premiers et, tout

de suite, nous pouvions remarquer que les 5 « gronds » Isi l'on peut dire) avaient conservé un potentiel intact : iJs étpierit d Lor rains, Christian Rœsch, Alain GaraffI et Jean-Paul Streit, impitoya bles respectivement pour Barginet, Merlot et Coudert (pourtant!), 1 Flandrien, Francis Dubus, qui n'eut pas plus à forcer son talent

ments de ces 37®» Notionoux : une balle renvoyée par Floch tou cha imperceptiblement le maillot avant la raquette de Roothooft ; sur la remise, l'arbitre ayant compté 20-19 malgré les protesta tions du Brestois, l'ex-champion de Fronce mit volontairement lo balle en l'air. 21-19. Geste spectaculaire et combien sportif qui honore René Roothooft même s'il ne devait pas être entièrement approuvé par son dirigeant de club (que jè comprends itou !).

L'heure n'était pas aux palabres cependant car, déjà, les hui tièmes de finole messieurs ottiraient outrement l'attention.

Alain Garaffi, héros du samedi soir...

Le héros de ces huitièmes de finale « messieurs » allait être le Nancein Alain Garatti, histoire de ramener un peu ae baume au cœur aes « fans » ae la nouvelle vogue. Devant un « battant » du

type Westeel, même si ce n'était plus le Westeei de Rennes, la perîormance n'en obtenait que plus de prix. Ajoutons que notre jeune cnampion de Lorraine mena constamment les opérations, campé à la taole, contrant à tour de bras do.is des angles coicuies; de ta belle ouvrage, quoi ! Ce que reconnut sportivement notre Lillois déconfit devant tant de panache.

On crut un moment à une répétition de la chose quand Chris tian Roesch eut ergoté le premier set à un Gambier visiblement à la recnercne de son équilibré. Cet équilibré, I Amiénois le trouva, une tois de pius, en detense, remettant en bonne place attaques croisées et top-spins dans ce style racé que nous lui connaissons depuis près de lO ans, protitont opportunément du moindre relâ chement de son jeune et brillant adversaire qui s'etfondra progres sivement au til des sets. Ce tut là le meilleur moment de cette

soiree pré-finale qui devait être encore contormiste mise à part l'élimination de Westeei et de Roothooft, lequel se désunit lente ment mais sûrement devant ce meme Floch qui venait de lui en taire voir de toutes les couleurs en double. Car les outres « têtes de série » allaient se qualifier sans autre forme de procès : Goé

mon (face à un Odeyé èmoussé par tant d'efforts prodigués de puis le matin) très aisément. Purkart et Chergui avec une petite pointe de dilettantisme bien que Lhomme (crânement) et le < vieux lion » Hoguenouer (suant plus que jamais) eussent démon tré sur la fable qu'ils étaient toujours là !

Helaine, lui, ne pouvait décevoir « son » public et II faut au jourd'hui admettre que Maurice Granier a fourni un sporringportner à la hauteur pour lui permettre d'accéder oux quarts en beaute ! Il restait Amouretti ; eh bien ! le spécialiste du cham

pionnat de France ne fit pas mentir la tradition, ne laissant aucune chance à Jacques Loger de meme sauver l'honneur. ...et Maric-Cloude Lecler l'imite chez ces Dames l

foce à Beaumont, et 1 Parisien, Paul Evrard, qui, en deux temps, trois mouvements, permit à Melkonion de faire d5 points. L'Ile-deFrance avait son qualifié et cela consolait le clan parisien de l'éli

quarts.

A ces dames de jouer à leur four la qualification

pour les

La « nouvelle vogue * encore représentée par Chantai Lema-

mination de Nalès qui, à vrai dire, ne gêna Alain Guilbert qu'un

zurier et Jacqueline Violo s'avéra bien vite trop inexpérimentée ou

seul set. Les Flandres, par contre, pour ne pas être en reste avec leurs éternels rlvoux et amis lorrains, plaçaient ericore Dhondt et Kubica au grand dam des « têtes de série » lyonnoiscs Bardet (qui

techniquement intérieure pour pouvoir surprendre Martine Le Bras et Aiima Mohktarl, toutes deux en pleine possession de leurs

eut le match à sa portée cependant mais ne sut pas forcer sa

heureuses de voir leur insuccès brillamment compense par une nou

chance en fin de deuxième set et Georges Pontille, dont le panoche et lo sûreté de jeu s'effritèrent au fil des sets.

velle

L'ami Giraud n'ovait pos attendu ce premier verdict de la soi

rée pré-flnole pour « attaquer » les quarts de finale du double dames. Ils devaient, il est vrai, être sans histoires, qualifiant rapi dement les Delay-Van Roboeys (qui supplantèrent ollègremerit les Flondriennes Fouace-De Toledo à la place de la tête de série

défaillante), Delaubert-Desplanques (qui se détachèrent irrésisti blement sur Roy-Pillières après un premier set égal), Alber-Schneider (seules à lâcher un set mais devant Antoniaza-Gernot, ce

n'était pas tellement ahurissant) et, bien entendu. Le BrosMohktarl (souveraines devant les jeunes Lemozurier-Dufour). C'était au tour de ces messieurs d'entrer dans la danse, le dou

ble ayant ici encore la primeur. Retenons tout de suite le cavalierseul des jeunes Lorrains Streit-Goroffi, vainqueurs en 10 minutes des résignés Lacloverie-Mortrenchar, celui un peu plus long mais tout aussi net des spécialistes de la montre Goeman-Bancon, Casson-

Bouzigues ne leur offrant pas l'opposition escomptée, alors que les

tenants Cofiero-Chailioux, échoudés, ne faisaient pas le rnoindre codeau à l'association Haguenauer-Soul ! Tout aussi expéditifs sur

le papier allaient être Purkart-Helaine mais, sur tables, la résis tance opposée par (es Lyonnais Grcnier-Bardet fut digne d'éloges, avec le regret de les avoir vu perdre sottement le second set... et de quatre !

moyens il est vrai, mais ces demoiselles surent mou.ir en beauté, victoire de

Michele

s'installa dans le fauteuil

Boiteux qui, surclassant Mme

Portet,

de Claude Rougagnou.

Il fout aussi passer rapidement sur la qualification en 3 sets

(dont un deuxième bien aisputè quand même) ae Monique Alber sur la toujours vaillante Mme Deiay pour qui le poids des ans,

toutefois... sur celie, à sens unique, de Mme Delaubert sur so €

vieille connaissance »

Van Robaeys, alors que la tenante du

titre, Christiane Mathieu devait lâcher le premier set à Mme Gernot ovont d'user du complexe de supériorité ! Tout ceci n'avait rien de palpitant, journalistiquement parlant. Nous de devions pas rester sur notre faim pour autant et les pre miers battements de cœur nous furent provoqués par Marie-Claude Lecier qui, mcmœuvrant Mme Desplanques, meno 2 sets à rien, per dit le troisième por excès de zeie (20-22 !), se fit rejoindre à la régulière pour, finalement, retrouver son abattage au changement de camp à la « belle ». Papa Lecler retrouvait le sourire des grands jours, doublement car, après la belle performance d'Alain Garaffi, il y ovait de quoi pavoiser à Nancy !! On attendait Thérèse Roy au huitième fauteuil, mois nous savions aussi que la championne tourangelle ovait le complexe de la

«

I re série » et, effectivement, répugnant à prendre l'initiative,

elle attendit que les nerfs de Lisette Ehrlich craquossent ! Ils furent

soumis à bien rude épreuve ces nerfs mois, alors que l'on suppu tait l'issue de Jo « belle » en faveur de la protégée du Président

Deux matches allèrent oux 4 sets mais les vainqueurs étalent

Bardin, ils tinrent on ne sait par quel miracle et, qui mieux, oux

prévus : Westeel-Petroff, aux dépens de Lucas-Richard, et VatinLager sur Ysnel-Fortier, les derniers (vainqueurs) nommés faisant meilleure Impression, par leur sûreté et leur opportunisme, que les premiers qui commettaient trop de fautes dès l'instant où il folloit marquer le point. Le champion des Flandres n'était visiblement pas

avantages. 26-24 ! mais, avouons-le, avec le bogage technique

possède désormais par la moitié de notre Alex international (ser vices travaillés et ottaque mécanisée !), les choses n'auraient jamais dû aller jusque-là. Oui da ! mais quand on a une pelote de nerfs à la place du cœur...

à son aise... était-ce un présage ?

Fnlalement, dons ce double messieurs, il y eut deux explications valables, disons dignes de retenir l'haleine du commentateur: entre Ehriich-Dubus et Creff-Legrond (les héros du deuxième tour !), le choix de lo formation devait décider du sort du match et, pour le stratège aulnésien, l'essentiel était d'éviter les remises molles du Navrais qui annihilaient le top-spin de son jeune partenaire ; un bon départ à la « belle » fit le reste I Les émotions fortes allaient venir toutefois des Bretons Floch-Odeyé (toujours eux !) face à Grébonval-Roothooft ; sous le signe de l'attentisme, la « forma tion » joua encore un rôle déterminant, toutefois nos Brestois — le revers d'Odeyé aidant — surent limiter les dégâts au démarrage du cinquième set et accentuer leur avantage au changement de camp. Leur avance fondit néanmoins en fin de partie : 19-16, 19-18, 20-18 et c'est alors que se situa un des onecdotiques mo

Le (c mixte » met le point pré-final!

Ouf, nous en étions sortis de cette journée interminable... pres que, disons-le tout de suite, car le « mixte » allait faire reculer d'autant le sommeil réparateur ! Heureusement, les derniers occupants du < bel ébat » eurent pitié de notre sérénité et, si le tandem fraternel des Vaillant ne sut pos saisir sa chance -face à Van Robaeys-Vatin (tout heureux de s'en sortir après avoir été menée 2 sets à 1 et 18-20 au qua trième 11), tout le reste se liquida en 3 sets nets. Ce qui s'cpprendra à la lecture des résultats, nous contentant de préciser que les sept autres paires élues s'identifiaient aux Alber-Purkart, Delaubert-Grébonval, Le Bras-Nordy, Mohktori-Helaine, Desplanques-Caussin, Lecler-Cafiero et Mathieu-Chergui... le fin du fin comme il se devait, Marie-Claude Lecler et Monique Alber étant le

11


dernier rempart (féminin) de lo Province avec, du côté mascu lin, Bernard Nardy (dont l'associotion avec Martine Le Bras cau sait de grands ravages !) et l'inévitable Heloine, ultime bastion normand ! Ouf... DIMANCHE 5 AVRIL

Le Bras-Nardy, celui de la jeunesse (assez rare pour qu'on le

metœ en exergue !) fut de la même veine quant au score, net dans les osux premiers rounds, mais plus méritoire par la façon dont II fut obtenu aux dépens d'AIimo Mohktori et de Jacques Helaine deux futurs champions de France de double, pourtant ! de démolition ne fit illusion qu'au troisième set } Mme Van Robaeys, Guydes Vatin lutta comme un beau diable pourQ contrecarrer la science Desplanques-Caussin

Les vétérans^ premiers forçats du dimanche Un timide soleil s'était levé dans le ciel d'Evreux en ce diman

che 5 avril, il n'ollait pas durer et, objectivement, les rescapés du € bel état > n'en avaient cure, la canicule n'ayant jamais été l'amie des pongistes.

il faut d'ailleurs enchaîner en constatant que ce ne furent pos les héros du p'tit bal du samedi soir qui firent la première oppa-

sons cepcndont empêcher lo classe de parler au quatrième set. Restaient les tenants Mathieu-Chcrgui ; après un set de rodage, ils surent mettre a la raison l'association Lecler-Cafiero qui se conso lera quelques heures plus tard cor elle aura été la seule à prendre

toutïfois^^ champions de France 1963 et 1964 ! N'anticipons pas

rition à la salle omnisports mais les délégués des Ligues au Conseil Consultatif dont le colloque allait se dérouler dons- la plus pure tradition des interpellations constitutionnelles, annonciatrices d'im

portantes mises au point carolopolitoines ! H y eut bien oussi, quelle innovation, une séance d'auto-critique de la part d'un de nos édiles fédéraux, sans doute refroidi par la proximité de la p'scine couverte, motif d'orgueil du cicerone de service, le Président Plantrou soi-même, et pourtant, un boin de jouvence n'aurait cer-

toinement pos été un mauvais remède à la stagnation actuelle du tennis de table français (sic). Nous n'étions pas encore à Chorleville.

Evreux nous rappelait en effet à la réalité et aux pronostics. On eut tout le temps d'en faire pendant que les plus-de-45-ans s'expliquaient en deux reprises successives. Un absent de qualité ici encore : le néo-Loupéen Louis Santos, tenant du titre < vétérons » (ce qui est une circonstonce aggravante). Deux autres for faits étaient enregistres illico sur 16 engagés : ceux du Belfortin

Ecosse et du représentant de l'Atlantique Kosossey, ce qui faisait trois heureux en la personne des Joyau, Gotignol et Laskiewicz! Les cinq autres places devaient être rapidement occupées, tous les assauts étant conclus en 3 sets nets souf un, notre vieil omi Decroix, le Goliath du tennis de table alpin, ne pouvant, malgré sa volonté de fer, que prendre le premier set à David, lequel avait

conscience de redorer le blason atlantique. Les suivants s'appe laient Alfred Schuh

(le vieux renard thionvillois n'eut guère de

considérotion pour le Président Vigier î), les Champenois Gobet et Servagnot (ruinant, sans autre forme de procès, les espoirs bre ton et auvergnats misés un instant sur la raquette des Lemeur et Leroy) et le porte-fanion de la Ligue organisatrice : Louis Brochet qui prouvait illico à l'ancêtre Villousier que les « bons restes » étaient également son aponage. Place aux jeunes î Et nous attaquions derechef les quarts dent l'issue devait être aussi nette en faveur des Schuh, Laskiewicz, Servagnat et Gatignol. Celui-ci ne laissait aucune chance aû Tourangeou Joyau et prenait rong de « tête de série » (dans le fauteuil de Santos î), le Champenois, non sans peine aux deuxième et troisième sets, met tait une bonne prise à son actif et, contre lui, notre Brochet dut se contenter de ne briller que l'espace d'un matin... le deuxième

repr^entant de la Champagne, Gobet, comprit trop tord le style du joueur de i'A.S. Messine, un style défiant l'orthodoxie, il faut bien l'avouer, mois combien meurtrier (ah ! ce revers au corps !) et, devont « popo » Schuh, toujours aussi fouinard, David tomba dans les^ bras de Morphée (j'allais dire de Bethsabée !) pour ne s'en d^>êtrer qu'un seul set. Rendez-vous à 16 heures. Messieurs ! Floch-Odeye, cendriUons du double messieurs I Nos « vieilles gloires » n'en ovaient pos encore terminé que, déjà, un nouveau pas vers la gloire se franchissait dans les caté

Alain Gorofif rate le coche

Pour nous mettre définitivement en appétit, les simples allaient deblayage supplémentaire, combien attendu celuiconnu, réservent souvent les explications

quarts, c est les ^ plus spectaculaires.

Dans le simple messieurs, le dernier représentont de lo . nou», Alain Garaffi, avait le redautable honneur d'affron-

ro ^'^.Notmaridie dans sesHeloine terres !dons Crânement, fit œ oMo que IroIT on attendait de lui, débordant les deux ilpre-

n t il fnîiM nêîhii ™

° ''' Pourquoi, fichtre, "Changeât diometrolement de tactique après avoir

?nit H» T- ■ points anodins ou départ dunetroisième Qu'il l'ait change ?? au problertie . en tombant donscommande, le panneaucelad'Helaine (et rien chocun sait lui .dans le jeudedesatable !), Alain perdu lui-meme, rotait surtout la chance vie sans savoir s'est si pareille

d?e°drchat ? iii' 'X'

qu'ovec certi^ poro!

. 's dernier mot ruie decretee successivement à chat 15-10eut (oule troisième seti l'exoeditefi 6 (ou

quatrième) et 17-9 (à la , belle .) tomW c^mr^e un choveu sur la soupe pour amuser la galerie ! Lucidement, Jacques Hera^ne soupirait d'Oise aptes ovoir craint le pire !

neiuine

Iriutile d'ajouter que le champion normand fut le dernier à se

qualifier, les Amouretfi (toujours lui !), Rurkort et Chergu l'oint précédé avec un tantinet plus d'efficacité. La présence du premier nonime en demi-finale ne surprenait personne, pensez donc, depuis tant données que le scénario se répété. Robert Floch eût pu cependont inverser le score en sa foveur si sa hargne (exemplaire

d'ailleurs) n'ovoit pas nui a certaine forme de concentration à il

fin des premier et troisième sets livrés ou Rocingman. Notre international Vincent, lui, avait affronté Gombier Un Garnbier qui . en voulait > visiblement malgré une apparente'non

chalance et certaine repugnonce matinale à mettre en route la

belle mécanique. Pourtant, l'Amiénois eut un excellent premier set, prenant l'initiative et la gardant, ce qu'il fallait foire ovont que le sociétaire du C.S. Union ne réglât son jeu. Ce qu'il fit bien sûr et dès le deuxième set ; dès lors. Combler se trouva quelaue peu désemparé, soit qu'il vouloir finir le point trop vite, soit qu'il voulait attirer le Parisien dans son réseau détensit pour' le coritrer mois il eût fallu tenir un outre rythme devant un garçon aussi bien préparé et, surtout, trouver d'autres angles. Purkort mena de cette façon les trois derniers sets à sa guise ou presque, sons empécher le cœur de l'ami Lollier — qui n'en perdit pas une I —. de

battre à tout rompre et de le transformer (c'est de notre respon

sable fédéral à la Presse qu'il s'agit) en agent de la circulation. Lo victoire de Chergui sur Goeman appelle moins de commen

gories de doubles.

taires car la différence qui existe entre un « 1" série . et un

Sensation tout d'abord avec les jeunes Streit et Garaffi qui ma nœuvrèrent Ehriich-Dubus deux sets d'affilée pour encore mener

rageux et opportuniste, le Bordelais sut profiter d'un court relâ

13-6 au troisième, confirmant donc l'excellente impression de faci

lité (offensive, ce qui ne gâchait rien !> laissée lo veille et, puis, notre grand Alex « plaça » sept revers consécutifs, les protégés de l'ami Roesch eurent alors le tort de se replier dans l'attentisme

des € anciens » et le top-spin de Dubus put renverser lo vapeur à son aise (21-13 à la « belle »). Une leçon de plus.

Plus sobres, ayant

visiblement

récupéré,

les

Bretons

Floch-

Odeye allaient fournir le deuxième des quatre demi-finolistes, très logiquement d'ailleurs malgré un deuxième set déficitaire (dû au réveil de Westeel !) et un quatrième tendu (par l'éternel jeu de la « formation >) devant les champions des Flondres, désireux de bien faire certes mais incapables de trouver leur habituelle homo généité ogressive.

iDons l'autre partie du tobleau, nous voyions émerger les PurkartHelaine et Vatin-Lager. Ce qui n'étoit pas tellement une surprise pour les premiers nommés encore que les Goeman-Boncon, plus tentoculaires que jamais, firent jeu égal quatre sets duront avec

les futurs champions de France, mais étonnait de la part des seconds qui ovaient maille à partir avec les « sortants » CafieroChoilloux. Or, ceux-ci furent « sortis » en trois sets seulement,

acharnés certes mais à la régulière. Il est vrol que l'opportuniste Loger est un spécialiste (rappelez-vous Rennes !) et quand on connaît l'application de son nouveau coéquipier VatTh ! Mais tout cela ne soulevait pas les foules. Ces dames en étoient, elles, aux demi-finales... D'un coup de baguette magique, les Deiaubert-Desplanques et

« 0 » se refléto éloquemment dans ce match. Tout à la fois cou chement du champion sortant ou deuxième set, puis lo loi du olus fort fut la meilleure. Et de quatre l

Ces dômes suivirent et, dons une unanimité touchante, déslgnerent leurs quotre qualifiées en quatre sets. Des sets clairs, lim pides dons leur déroulement et qui firent échec aux surprises ! Car ce n en Tut pos une de voir la petite Michèle Boiteux triompher de Lisette Ehrhch, non pas que cette dernière eût été dépassée en technique (le premier set en sa faveur et deux autres bien achar nes le prouvent) mois le song-frold et la détermination ont tou-

/ours su dejouer l'ébullitlon nerveuse 1 C'était, rappelons-le, pour occuper une place de demi-finoliste dévolue initialement à Claude Kougognou.

ai5® ceder le postellement une surprise Monique Alber devant Alimo Mohktorinon car plus il n'ydea voir pas de mira cle en sport, la classe innée ne palliant que très rarement le man que d entraînement a un tel stade de lo compétition. Les deux dernières élues l'étaient déjà au tirage au sort et le turent aisement sur le plancher du « bel ébat » et, bien que toutes deux eussent concédé un set, le résultat en leur faveur était suffisomment convaincant. Bravo cependant à Marie-Claude Lecler qui « se bottit > pour faire échec un set à Martine Le Bras et la força a raccourcir d'autant sa période d'échauffement, et à Christione Deloubert qui, avec un égal démarrage et un égal brio sut placer de belles bonderilles dans le « mur » de la tenante du titre, Mme Mathieu, ou style défensif toujours bien agréable à sui vre meme s'il ne rime pas avec tennis de table moderne.

Le Bras-Mohktari éclaircirent la situation, le commentateur n'y

La logique triomphe également en « juniors »

retrouvant pas son compte tant les Delay-Van Robaeys (sur leur valeur) et Alber-Schnetder (l'ex-championne de Fronce marquant incontestablement de table) furent dépassées par les événements.

Le menu apéritif de ce dimanche frisquet n'était pas encore achevé pourtant, les « juniors » ayant Itou à se diviser par deux.

Le a mixte » alloit offrir une occasion meilleure de faire tra

vailler lo matière grise. Bien sûr, les Alber-Purkart ne s'en lais

sèrent pas conter par Mme Deloubert et Pierre Grébonvol, mais le troisième set fut, techniquement, très valable, le succès des

u

On prévoyoit des quarts explosifs chez les garçons, ce ne fut pas précisément le cas et, puis, il n'y en eut que trois à être dis

putés conformément au programme car, voyant la tournure que

prenait le match Helaine-Garaffi en « messieurs », le jugearbitre invitait sagement le Rouboisien Dubus à se représenter à


16 heures pour offronter l'épouvantail lorroin. Por orlleurs, la logi que se faisait respecter, sons grand éclat mois a I aide d une tech nique qui n'a plus grand'chose à apprendre sinon t^tiquement. Sobrement, après une jolie remontée, le Denaisien Kubica « sur prenait » bien Christian Roesch ou premier set, mais le Messin n'a pas l'habitude de jouer avec le feu et se ressaisit très rapide ment malgré une vaillante opposition de son adversaire que Ion ne vit jamais baisser les bras. Par contre, loutre Flandrien, I Holluinois Dhondt, déçut un tantinet, non pas que sa défaite devant Jean-Paul Streit soit contestable, ni encore moins a contester, mais il y a plusieurs manières de perdre i or, devant le solide Thion-

villois, il n'eut protiquement jomals l'imtiative. Paul Evrard, lui, dit, aussitôt fait et en dominant le neo-Voultain dans tous les avait décidé de ne pas perdre un set devant Guilbert : aussitôt

compartiments du jeu. Rien à ajouter ! Nos filles s'affrontaient déjà au titre des demi-finales. Ici en core. la logique devait triompher dans toute sa splendeur et en trois sets secs ! Toutefois, Maryse Delassus eut plus de mérite a contenir Michèle Boiteux (menant meme 18-16 ou deuxième set) que Marie-Claude Franceschi à ceder trop facilement devant les

balles placés et fusillantes de Jacqueline Vialo. Boiteux-Viala en finale, c'était attendu !

jeu, le premier set allait ovoir une importance copitale : il se ter mina aux Gvantoges en faveur de Martine qui, aussitôt, profita de son ascendant morol pour empocher le second. Sous l'œil inquisi

teur de l aml Lambert, Alimo se reprit en début du troisième set et ne se tit pius rejoindre ; les deux concurrentes étaient prati

quement remises sur un pied d'égalité et, de toit, le quatrième set devait être l'exacte répétition ou premier à cette dirterence près qu'il alla à 26-24 et toujours en faveur de Martine. Ceae-ci reve

nait ae loin mais il fallait bien départager ces demoiselles... pour le titre, ce qui sera confirmé quelques heures plus tard !!

Juniors garçons : il était évident que le public qui avait adopté Christian Koescn, Horace moderne en lace aes trois Curiace otnietiques qu'étaient les Dubus, tvrord et Streit, attendaient ces demitinoies entre nos quatre bouillants espoirs. Si toutes deux se sol

dèrent en trois sets, il ne tout pas conclure au sens unique... oh, 10, la ! Que non...

Jean-Paul Streit et Paul Evrard en vinrent les premiers aux pri ses ; le premier set fut net, le Lorrain se « cassant le nez * sur

le jeu complet, attentiste meme, du Parisien, résista beaucoup tnleux ou second a torce de varier son jeu et d'eviter les toutes evitables, mais en s'inclinant quand meme l Dès lors, Evrard avait le mofcn en moins et le troisième set tut pius un round d'obser vation qu'une véritable batame encore que, techniquement, ce tut

un régai. 2U-19 pour le Parisien qui cassait alors sa roquette,

Ce n'est pos du cinéma... I

Le « bol ébat » offrant toutes les commodités à ses hôtes et,

entre outres, une magniriquo soéio de projection, ccio n était pas tombe dons l'oreille d un sourd, en l'occurrence celle de notre ami

Alex Agopoff, grond moîrro es-propagande ou sein de lo Fédé ration.

..

..

kt do là à posser le film sur les « Mondiaux

,

_

do Prague, il

n'y avait qu'un pos qui fut fronchi avec une facilité apparemment dérisoire et digestive, le sobre commentoiro de Robert Pormcntier aidant à l'apprccier davantage. Il paroit même que les « artistes » chinois ovaient attiré plus de monde que certaine « aventure à Gibroitar » l Toujours est-il que, si la salie de projection fut comble, ceux qui s'y entassèrent étaient loin d'être tous initiés

et qu'au lieu d'aller prendre l'air, ils ne purent résister à l'envie do s'engouttrer dans lo salle omnispor^ ou, aux quotre coups de raprès-mioi, le juge-arbrtre William Giraud donnait feu vert oux demi-finales do ces 37"^ Nationaux, ou, plutôt, au dernier quart « junior » restant à jouer entre Dubus et Garoffi. Celui-ci, c était cloir, avait perdu une partie do sa superbe et, d'autre port, ovait maintenant attaire à un jeu terriblement moderne, incisif et qui contrastait avec les styles anciens des Helaine, Westeel et con sorts. bt puis, le Roubaisien, au top-spin bien au point désormais, était frais con>me un gardon et l'engagement physique dont il fit prouvo prévalut très justement maigre un relâchement au quotrleme set (son péché mignon !).

btupetacfion générale, qu'oilait-ii se passer ? Il ne se passa rien ; 10 temps de denicher une nouvelle raquette, de servir et Streit mettait ou filet.

Les émotions ne faisaient que commencer car un deuxième festivol de tennis de table moaerne nous était offert tout aussitôt

avec Dubus-Roescn. Comme à son habitude, le Roubaisien partit

aèiiDérèment à ratroque, ce qu'attendait visiblement son ami Mes sin qui marqua aerecnet les cinq premiers points et les conservo

a la grande satisfaction a'un pubnc conquis. Mois la < turio »

oevoit quand meme payer et Cnristion ne sut contenir plus long temps certe cascade ae « boulets » en angle, amenés d'ailieurs

par des top-spins de lo meilleure veine. 20-14 pour Dubus l Le Rouboisien eut alors le tort ae ne pas prendre au sérieux la baiie qui suivit et, sur son service, assez anodinement, le Messin ren

versa la vapeur. A 20-20, après une bien inopportune vériticotion du filet (??), l'avantage sourit à tour de roie ; le set aiiait se jouer sur un coup de dés et Roescn tut assez heureux de

saisir sa chance à Ju-28 il Le troisième set fut d l'image au se cond encore que le Nordiste, atteint dons son amour-propre, n'eut jamais roccosion de reprendre une pareille marge de sécurité, puis il se déconcentra aux deux-tiers du set et laissa les deux points d'écart ou futur champion de Fronce. Il fallait un vain

queur ! De dépit, notre Dubus jeta sa raquette, ce qui n'est pas tellement recommandé en pareille occosion. Cnristion eut le réflexe de 10 rattraper ou vol et le geste chevaleresque de la lui rendre.

Le public apprécia et allait d'ailleurs en être doublement recom pensé en soirée finale !

Les demi-finales

plus. Il paraît aussi (ah ! >ces mauvaises langues I) qu'il n'y eut

Double mixte : puisque la « nouvelle vogue > reprenait du poil de la bete, sentimentalement, lo cote d'amour allait à Martine Le Bras et Bernard Nordy aont lo première demi-finoie du « mixte ».

pas autant ae monde pour assister au sacre ue l'équipe locale de

Vincent Purkort étaient prévenus. Plus est, ils eurent la chance

Le public était là, fervent, connaisseur ou avide d[en savoir Tootboil ! Les demi-finales et

des finales promises en avant-

premiere alloient donc pouvoir se dérouler dons l'ambiance des grands jours:

Vétérans : comme le matin, ils eurent le mérite d'entamer les

hostilités, lesquelles débutèrent sur un coup d'éclat (et de maîtrei

de Tnaaée Laskiewicz qui, en trois ^sets impitoyables, régla le compte au favori Alfred bchuh, médusé devant tant de réflexe et de précision. Pius égale tut l'explication entre Servagnot et l'outre Parisien, lè dévoué Gatignol ; chacun eut normalement son set, le troisième se joua aux avantages et décida du motch. La Champa gne pétillait ; elle avait « son » finaliste 1 Double messieurs : s'offraient en pâture Ehrlich-Dubus contre

Floch-Uaeye d une port, Purkart-Helaine contre Loger-Vatin d'au tre part.

La première demi-finale devait être une guerre de « forma tions » et Floch savait pertinemment que sa remise de balle gêne rait le top-spin de Dubus, sovoit aussi que les vieilles jambes d'Alex ne suivraient pas la tète s'il interdisait au jeune Roubaisien de foire le « trou » sur Odeye. Le toss ayant été favorable aux Bretons, ceux-ci enlevèrent donc tout naturellement le premier puis le troisième set ; leurs rivaux, tout aussi logiquement, Dubus topsinont évidemment sur Floch, enlevèrent les deuxième et qua trième. Tout ailoit se jouer au démarrage de la « belle » : les Brestois avaient doublé leur capital « points » au changement de camp et surent conserver cette marge de sécurité. Sur l'autre table, Vincent Purkorr avait la partie belle en ce sens qu'il connaissait par cœur le jeu de ses cornorodes de club Loger et Vorln ; il ne restait donc à Jacques Helaine que de com mettre le minimum de fautes, ce qui fut toit et heureusement pour les futurs titrés cor les deux premiers sets furent tendus de bout en bout. Une véritable guerre d'usure dons laquelle la décontrac tion légendaire (combien lucide cependant 1) de Vincent olloit

11 n'y eut rien à leur reprocher mois Monique Aiber et, surtout, avec eux, s'octroyant les deux premiers sets aux avantages... ou

troisième, le cœur n'y était pius ! Plus terne devait etre l'autre expiicoticn mois la supériorité des tenants Mathieu-Chergui était teiie depuis le début de la compé tition que nous ne saurions tenir rigueur à Mme Desplonques et à Guy Coussin de n'avoir pas su faire mieux que les autres. Et quand on connaît la suite...

Prélude à lo soirée fînole

A tort ou à raison, les spectateurs vidaient les gradins, ravis et se donnant rendez-vous de toutes façons à 20 h. oO. Pourtant, en vertu dune soge décision des organisateurs, la soirée terminale n allait pos comporter toutes les finales, quatre d'entre elles étant promises en preiude avant l'ultime repas dominical. Il y eut d'abord le sacre (attendu désormais) ou « vétéran »

Laskiewicz qui ne fut pratiquement jamais inquiété par le cham pion champenois Servagnot lequel, pas plus que les précédentes victimes, ne comprit goutte à ce jeu issu des temps héroïques mois, comme disait ceiui-ld, peu importe la manière... seule l'efficacité compte en tennis de table !

il tout néanmoins avouer que nous avons eu plus de satisfoction a voir Michele Boiteux dompter la championne « junior » sortante ; Jacqueline Vialo, laquelle fut, cette tels, techniquement dépassée et ce n'est pas le deuxième set arraché par l'Auvergnate qui modifiera ce jugement. Jocqueline serait-elle arrivée à « son »

plafond, un plafond prédit depuis plusieurs années déjà en fonction de son styie et pourtant reculé ou fil des saisons pongistes ? Nul ne le soit mois ce qui est certain, c'est que Michèle Boiteux a tout pour foire

une gronde joueuse. L'avenir

nous donnero

rolson...

peut-être !

jouer un rôle déterminant.

Simple dames : entraient en lice Martine Le Bras contre Alima Mohktori d une port, Christlane Mathieu, la tenante, contre Mi chèle Boiteux, la révélation (confirmée) de ces 37®" Nationaux, d'outre part.

Disons tout de suite que la petite Lorraine pensait davontage à sa finale « juniors » et que, devant la défense serrée de la cham pionne sortante, elle ne s'est guère fait d'illusions... percutantes. D'où le score.

A côté, cependant, nous allions assister à une sorte de finale

ovont la lettre entre deux filles qui se connaissaient sur le bout des ongles et pour couse I Martine liftait, amortissait et cherchait la faille. Aiima ploçait, contrait et provoquait les fautes. A ce petit

Un seul double était prévu en soirée (heureusement d'ailleurs

quand on soit l'heure à laquelle le double messieurs s'est joué !!) et cela imposait à ces dames de quitter l'arène les dernières ou presque. On attendait évidemment Martine Le Bras et Aiima Mohk

tori, les tenantes, toutes deux en super-forme de surcroit ; elles gagnèrent mois que ce fut tiré par les cheveux ! Crânement, l'as sociation Desplonques-Deloubert empocha le premier set, on crut que le changement de formation allait apporter régolisation ; fich tre, Il y eut bien égalisation mais à 20 et elle permit aux oînées d'empocher le deuxième set. Situation équilibrée au troisième mais la jeunesse, déjà, triomphoit : le bouquet d'artifice éclata ensuite. Hum !

11


et sans que cela ne nous outorise à pavoiser, ont respecté leur

Dernier titre à être attribué dans l'antichambre : celui^ du

engagement, il est INDISPENSABLE que les Nationaux demeurent une compétition hors-série, réservée donc à la véritable élite de

a mixte ». La manière écrosante dont Christiane Mathieu et Gérard Chergui conservèrent leur bien dispense de tous autres commen taires et ce n'est pas Monique Alber et encore moins Vincent Purkart qui me contrediront ! Vincent, d'ailleurs, pensait surtout à lo soirée finale. La lecture du n" 188 de « France Tennis de Table » a déjà

nos pongistes qui, quelle que soit la formule adoptée à Charleville, avec ou sans éliminatoires interrégionales, devront S'Y QUA LIFIER t

1'^ le tennis de table français, s'il progresse en profondeur, n'a pas suivi la courbe européenne, ce n'est un secret pour personne, et la vague de fond suscitée il y a quelques années par quelques audacieux parmi nos dirigeants de clubs, encouragée rapidement par le Président Ceccaldi et son équipe fédérale, n'a pas encore donné les résultats attendus d'elle. Nos espoirs jouent bien, de mieux en mieux, de plus en plus athictiquemcnt et, de

prouvé à nos abonnés qu'il n'avait pas tort.

Des enseignements à en tirer

fait, s'engagent à fond, mais ne dominent pas comme le feraient (et lo font) tant de jeunes champions étrangers. Le titre su

La (longue) revue de détail dont viennent d'être l'objet les 37«'' Nationaux mériterait d'être complétée par Kénoncé des ensei

prême, chex nous, récompense toujours une certaine maturité de jeu, pas encore l'engagement physique ou la condition othlétiquG. Manque de moyens ? manque de contacts ?... c'est à nos édiles fédéraux d'en juger sans, pour cela, bouleverser tout ce qui s'est fait chex nous. Néanmoins, le jour où un garçon de 16 ans deviendra champion de France, il y aura quelque chose de changé et seulement ce jour-là. Et ce n'est enlever aucun des mérites de Vincent Purkart que de l'affirmer oujourd'hui !

gnements que chacun a pu tirer de fédition ébroîcienne. Sans pouvoir nous étendre, nous devons quand même mettre deux constotations évidentes en exergue :

1» nos championnats individuels ont beaucoup gogné o être réduits dans le temps par le jeu même des tableaux compressés,

plus représentatif désormais de l'élite de notre pays, et les

Jean DEVYS.

joueurs, eux-mêmes, l'ont compris qui, plus que les autres années

Après mise au point en accord avec les moniteurs présents à Egletons, M. Mercier propose au Comité de Direction les appel lations suivantes : moniteurs régionaux pour les candidats ayant passé avec succès l'éxa-

men de fin de stage de l'I.N.S., moniteurs

fédéraux pour les moniteurs régionaux ayant été reconnus capables de diriger des stages interrégionaux, entraîneurs pour les moni teurs fédéraux capables de diriger, sur le plan technique, les stages de joueurs natio naux et internationaux. Ils doivent aussi être capables de diriger individuellement ces

mêmes joueurs. M. Mercier estime qu'actuel — Ont été prévues des rencontres spor

PROCES-VERBAL DE LA REUNION DU COMITE DE DIRECTION SAMEDI 4 AVRIL 1964

tives de

MM.

Champdorge,

Crisafulli,

Duclos, Katz, Khanzadion, Lecourt, Lemé-

nager,

Lollier,

Magnien,

à

Noël en

ces (10 jeunes Français et 2 moniteurs en

Sous la présidence de M. Ceccaldi.

Présents :

Jeunes (matches aller

Allemagne et retour à Pâques en France), des stages de jeunes pendant les grandes vacan

EVREUX, 16 h. 00

Rhénanie, entre le 29 juillet et le 8 sep tembre ; 6 jours; et 10 jeunes Allemands

Meyer,

et 2 moniteurs à Poitiers, du 11 au 17 sep tembre : 5 jours de stage et 1 jour de visites

Funfschilling,

culturelles) et des échanges de moniteurs

Mercier,

Plontrou, Ridard, Thoret le Duc.

lement, aucun de nos moniteurs n'est encore

capoble d'un tel comportement. Mme Dubois et M. Rœsch ont du reste donné leur accord

pour n'être que des moniteurs fédéraux. Le titre d'entraîneur fédéral est maintenu

au profit de M. Agopoff. Le Comité de Direction donne son accord

pour ces appellations. M.^ Mercier propose alors de nommer MM. René Demulder (Dau-

(5 Allemands viendront à l'I.N.S., du 7 au

phlné), Maurice Texier (Sarthe) et Jean Herent ( Ile-de-France) moniteurs fédéraux

Secrétariat assuré par Mme J. Renoncourt.

12 septembre ; opération inverse prévue pour

et de confirmer Mme Dubois et M. Rœsch

Le

fournir l'interprète).

Excusés :

MM.

Coubord,

Trinque. P.-V. de

la

réunion

du

Comité

de

Direction du 15 février est adopté. Le président Ceccaldi présente les excuses de MM. Coubard, Funfschilling et Trinque, ainsi qu'un message d'amitié adressé par

1965, la Fédération recevante se devant de

Conseil consultatif. Délimitations territoriales.

M. Mercier signale que la Fédération a

M. Mercier, vice-président d'honneur de lo

reçu

F.F.T.T. Il charge ensuite M. Plantrou de présenter les remerciements de la F.F.T.T.

Jeunesse et aux Sports, relative à la situa

aux

organisateurs

des

37^

Championnats

tion

une

lettre du

Secrétariat d'Etat à

irrégulière de la

la

Ligue de Touraine-

Limousin vis-à-vis de l'arrêté du 21 avril 1961.

Après explications de notre part, le Secré tariat d'Etat accepte le statu-quo jusqu'à la création, prévue en 1965, de l'Académie

d'Evreux.

Assemblée générale ordinaire, Paris. € France Tennis de Table », ainsi que les

de Limoges. La Fédération devra ensuite régler le problème selon une des trois

modèles de pouvoirs et procurations soumis

solutions suivantes : ou bien la stricte cor

por M, Mercier en vue de l'Assemblée géné Ces textes sont acceptés. De plus, une circu

respondance des limites des Ligues et des Académies, ou bien la formation de deux Ligues dans une Académie, ou bien la for

laire de convocation sera adressée directe

mation d'une seule Ligue pour deux

ment à toutes les associations par le Secré

démies.

Le Comité étudie les textes à insérer dans

rale ordinaire du dimanche 24 mai, à Paris.

Aca

La Fédération procédera, en principe, à la

tariat fédéral.

création d'une Ligue de Touraine (Indre-etSéjour d'Alser en France.

Loire, Indre)), d'une Ligue du Limousin (Haute-Vienne, Creuse et Corrèze) et au

M. Mercier fait le point sur le séjour en France du champion d'Europe, le suédois

rattachement

Hans

Charentes et du Cantal à l'Auvergne.

Alser, qui

doit

arriver

à

Paris

le

de

la

Vienne

ou

Poitou-

18 avril.

Secrétariat fédéral. Relations internationales.

M. Mercier fait un compte rendu de la

réunion sur

les échanges sportifs franco-

Le président Ceccaldi informe le Comité

Karlsruhe. Les points suivants ont été

Le Comité procède à la préparation de l'ordre du jour de la réunion du 5 avril à Evreux. Il étudie en particulier :

a) Coupe de France ; M. Mercier indique que le P.-V. du Conseil consultatif de novem bre 1962, pas plus qu'aucun P.-V. ultérieur du Comité de Direction, ne porte pas men tion de la modification au règlement incri

minée, à

savoir : une

seule

équipe

par

association.

Il serait donc bon de reprendre la question afin qu'un règlement définitif soit établi pour la saison prochaine. Le président Ceccaldi regrette que l'on

n'ait pu arriver à faire de cette compé tition l'épreuve de masse espéiée et pense qu'il faudra probablement se contenter de

n'en faire qu'une épreuve pour l'élite.

b) Caisse de Péréquation pour les jugesarbitres des rencontres du Championnat de France par équipes : M. Mercier, président

de la Commission Fédérale des Arbitres, soumet le projet de prélever sur les sommes revenant aux clubs une quote-part de 10 F

par rencontre pour rembourser les frais de

déplacement et donner 5 F par motch aux juges-arbitres désignés pour les 392 ren

qu'à partir du 20 avril, le général Petit fera

contres

un essai bénévole comme secrétaire fédéral.

équipes. Ce projet sera soumis ou Conseil

allemands qui s'est tenue les 14 et 15 mars,

à

à ce grade. Ces nominations sont entérinées.

du

Championnat

de

France

par

consultatif.

Nomination d'entraîneurs et moniteurs.

traités :

c) Championnats individuels : Plusieurs solutions sont envisagées par suite de la réduction des tableaux et des inconvénients qui en découlent, sur le plan purement

deux Fédérotions. Les ligues et clubs doivent

M. Mercier fait part de la réunion des cadres techniques de la Fédération, à laquelle il a participé avec M. Agopoff, à Egletons,

faire des demandes de subventions respecti

en vue de rechercher une solution au pro

vement auprès de leurs Services Académique et Départemental de la Jeunesse et des

blème des appellations nouvelles à donner aux techniciens en raison de leur quoli-

Tout d'abord, le projet de la Ligue des Flandres qui a été soumis par M. Jean Devys, ensuite celui, plus ancien, comportant

Sports.

fication.

créotion d'un tour interrégionol qualificatif,

— Toutes les demandes, sur le plan spor

tif, doivent passer obligatoirement par les

Il

sportif.


Ces diverses solutions seront soumises aux membres du Conseil consultatif, qui pour ront les étudier ensuite dons le cadre de leurs Ligues avant la réunion de Charleville,

afin qu'une décision puisse être prise ayant l'établissement du calendrier de la saison à venir.

Pour Comité

^ ^

terminer, le Président informe le des démarches qu'il a entreprises

auprès du Délégué général aux Sports pour attirer son ottention sur les difficultés très sérieuses qu'éprouve le moniteur national

pour l'entraînement des meilleurs joueurs nationaux et leur participation aux épreuves internationales et mondiales. . , L'ordre du jour étant épuise, la seance

Championnats de France individuels. M. Ridard, président

de

la

Commission

Sportive Fédérale, parle du projet Flandres et de celui du Comité de Direction concer

nant la qualification pour les Championnats de France individuels, et la création d'Inter régionaux.

Les

avis

des

délégués

sont

partagés,

certains souhaitant que le champion régionoi reste qualifié pour le Chompionnat national. En résumé, le Conseil consultatif est d'accord sur le principe de la création d'épreuves interrégionales. Un projet sera donc envoyé aux Ligues et discuté à Charleville.

est levée o 18 heures.

Prochaines réunions du Comité de Direc tion :

Somedi 23 mai, o 16 heures, ou siège de

la

F.F.T.T. ;

-

,

i-i.

— puis dimanche 24 mai, après la clôture de l'Assemblée générale élections oux divers postes de lo F.F.T.T.

Division supérieure des Championnats de France por équipes. M. Crisafulli demande aux Ligues que l'épreuve supérieure des Championnats par équipes se joue selon les règles fédérales. Le Président insiste pour que les Ligues harmonisent le plus possible leurs règlements avec ceux édités par lo F.F.T.T. Journal « France Tennis de Table ».

M. Duclos fait un large exposé sur le nombre

d'abonnés, le

tirage, le

coût

du

journal < France Tennis de Table » et les PROCES-VERBAL DE LA REUNION DU

CONSEIL CONSULTATIF

DIMANCHE 5 AVRIL 1964, 8 h. 30 SALLE DES SPORTS D'EVREUX

Sous la présidence de M. Ccccaldi. Secrétaire du Conseil consultatif : M. Crisofulli.

"Présents : MM. Chompdorge, Duclos, Koti, Khonzodiùn. Lccourt. Lollicr (en partie). Magnien, Mercier, Meyer, Plantrou, Ridord,

impératifs du Secrétariat d'Etat à

la Jeu

nesse et eux Sports, qui a

demandé

compression,

la

«

au

budget,

de

la

rubrique

Actuellement,

iournal

chaque

et, d'autre

société

part, la

reçoit

un

publicité

est

MM. Sugliani (Atlantique), Rouquette (Auvergne), Bertin (Bretagne), Faucheron (Champagne), Devys (Flandres), Vieille (Franche-Comté), Rivière (Ile de France), Lecicr (Lorraine), Bardot (Lyonnais), Moriceau (Normondie), Le Boucq (Orléanais),

Pour répondre à cette demande, M. Duclos propose de diminuer le nombre des numéros et le nombre de pages. M. Lecler (Lorraine) propose ou

Conseil

d'augmenter le prix de la cotisation fédérale du prix d'un abonnement, soit 10 F, ofin Séance levée à 11

h. 30.

du

Brabant

belge

En déplacement à Bruxelles, le jeudi de l'Ascension, les espoirs des Flandres ont laissé ceux

du

Brabant

tirer

les

premiers, pour

ensuite s'assurer un large succès, tant en « cadets » (où l'opposition était relativement

faible)

qu'en

regrettée

du

«

juniors

champion

» de

(où

l'absence

Belgique

Van

Ellewyck a pesé lourd dans la balance!). Voici

Prochaine réunion : lors des Coupes inter

les résultats techniques de cette

rencontre

internationale, jouée sous le signe de la plus

ligues Seniors de Charleville.

fronche sportivité. JUNIORS (ôge international)

Proust (Poitou-Charentes), Barthes (Pyré nées), Vasiet (Sorthe), Bardin (Touroine-

FLANDRES-BRABANT belge, 7-2.

Limousin).

Excusés : MM. Funfschilling,

ceux

nulle.

de maintenir la présentation de la revue.

Thcret le Duc (en partie).

LE 7 MAI, A BRUXELLES les espoirs des Flandres surclassent

Journal >.

Vandenkerckhoven bat Guetière, 19-21, 21-18, 22-20. Secrétin bat Vcn Schel, 21-1 1, 21-12. Fosse bat Van Gelder, 21-9, 23-21.

Leménager,

Trinque.

Secrétariat assuré par M. Coubard.

Guetière

Le P.-V. de la réunion du 5 mai 1964,

bat Von

Schel, 13-21, 21-13,

21 -14.

qui a été adressé à tous les membres du

Fosse bat Vandenkerckhoven, 21-15, 21-7. Secrétin bat Van Gelder, 21-19, 21-8.

Conseil, est adopté sans observation.

M. le Président ouvre la^ séarice en souhai

Van Schel bot Fosse, 14-21, 21-15, 21-19.

tant la bienvenue aux Délégués présents.

Guetière bat Van Gelder, 21-8, 21-7. Secrétin bat Vandenkerckhoven, 21-2, 21-

Coupe de France.

14.

M. Coubard, responsable de cette épreuve depuis plusieurs années, fait un vaste expose

CADETS

(âge

international)

sur l'évolution de cette épreuve.

Après avoir fait ressortir les erreurs et omissions commises suite au déroulement du début de saison, M. Coubard pose la question : . . , , — maintenir, sur le plan national, la formule d'une seule équipe avec participation libre (4 éléments par tour) ; — revenir à l'onclenne formule : enga

gement illimité ou qualification possible de plusieurs équipes d'un même club, celles-ci étant nommément désignées et partant res trictives (2 éléments par tour avec toujours

au moins un joueur qualifié, l'autre ne devant pas avoir joué dans une autre équipe).

FLANDRES-BRABANT belge, 8-1.

Ghesquière bot Brion, 19-21, 21-17, 21-17. Delassus bat Demeure, 21-5, 21-16. Lefebvre bat FHon, 21-10, 21-8.

EN BREF

Brion bat Demeure, 18-21, 21-18, 21-14.

DE CHARLEVILLE

Lefebvre bat Ghesquière, 21-12, 21-11.

Voici en bref les principales « suggestions » du Consultatif

de

Charleville.

— Coupe de France. MM. Mercier et Coubard, en accord avec la C.S. Fédérale,

établiront un règlement laissant possibilité d'engager plusieurs équipes par club.

Après un vaste tour d'horizon sur les deux

— Championnats de France individuels et

formules et sur les questions de détail sur ce problème, le Conseil décide de poser Iff "problème par écrit, afin qu'une décision

interrégionaux. — Les membres du Consul tatif sont d'accord pour tenter un essai

d'application du projet d'interrégionaux dès

soit prise à Charleville.

la saison prochaine. — Relations avec la

Championnat de France par équipes.

circulaire mensuelle sera envoyée aux res

M. Mercier, président de la

Commission

Fédérale des Arbitres, déclare qu'il faut arriver à la désignation de juges-arbitres pour

les 392 rencontres de

la saison. Les

membres du Conseil consultatif sont d'accord

pour créer une Caisse de Péréquation en prélevant sur les sommes revenant aux clubs

une quote-part de 10 F par rencontre pour rembourser les frais de déplacement et donner 5 F par match aux juges-arbitres désignés.

Delassus bat Flion, 21-10, 21-8. Lefebvre bat Demeure, 21-17, 21-19. Brion bat Flion, 21-9, 21-16. Delassus bat Ghesquière, 21-17, 21-15.

Fédération. —

Une

ponsables Ligue et le bulletin fédéral com portera une page des avis officiels. — Réduction journées des Championnats

par équipes. — Il est demandé aux Ligues d'envoyer leur projet de réduction du nom bre de journées. — Interligues. — Désormois, on arrêtera en Masculins à la 6® rencontre (plus de 5-0), mais 6-0... E. COUBARD, Secrétoire

Conseil

Consultatif.

15


Au Championnat de France A. S. S. U. Jacques SECRETIN conserve son titre L'annuel rendez-vous de notre jeune génération pongiste s'est terminé à Egletons en apothéose avec le Cham pionnat de France Scolaires et Univer sitaires.

Depuis de nombreuses années j'ai le privilège d'assister à cette manifesta tion, mais jamais je n'ai eu l'occasion de voir une finale aussi relevée que celle qui opposa le tenant Jacques Secretin à Christian Roesch.

La veille ces deux joueurs s'étaient rencontrés

en

finale

du

Critérium

« Cadets » et contre toute attente le

nordiste avait enlevé son second titre, puisqu'une demi-heure avant il s'oc troyait celui des « Minimes ».

Pour se qualifier nos deux jeunes grandes vedettes s'étaient défaits, avec

tissage des Travaux Publics d'Egletons et en particulier à M. Blum qui en a été la cheville ouvrière, aussi, au nom de TA.S.S.U. je tiens à leur adresser un grand merci. Gérard LOLLIER.

Hoppenot, Fac. Droit Paris bat Bou vard Fac. Lettres Besançon : 3 à 0. Le Prieult, Ecole Montalembart, Tou louse bat Thomas, Ly. Mun. Clamecy : 3 à 1. Rebmann, Ly. Faidherbe, Lille bat Deniaud, Ly. T. Chauvinières, Nantes :

devaient être conformes à la logique, sauf toutefois pour le surprenant Lie fooghe qui sortait tour à tour PontUle R. et N'Guyen Thu. A noter également

Baron, Inst. St-Malo bat Miquel, Ly. Arago, Perpignan (21-14, 21-16, 21-8). Lafaye, Rennes bat Pinatel, Fac. Droit Bordeaux (21-17, 17-21, 19-21, 21-15, 21-13).

Martrenchar, Ly. Montaigne, Bor deaux bat Malo, Ly. E. Pothier, Orlé

penot.

Gaillard, Ly. E.J. Puy, Roanne bat Choby, Ly. Techn. Mouchard (21-16,

mier set, se retrouva dans le second su faisant en attaque un véritable récital, mais malgré cela le nordiste bien en jambes et dangereux en contreattaque, repartait de plus belle pour enlever la troisième manche. Christian

Roesch allait-il laissé échapper cette victoire ? Jouant chaque point avec brio il força son talent, mais Secretin était là, toujours là et la balle revenait à chaque fois sur la table. A 2 partout il étaient bien difficile de désigner un vainqueur tant les deux joueurs étaient

près l'un de l'autre. A 15 égalité, Christian commettait une faute sur un retour de service, puis manquait son top spin : c'était fini, Jacques Secretin était sacré « Champion de France A.S.S.U. » pour la seconde année con sécutive. Nous venions d'assister à une très grande finale, mais si nous con naissions Roesch vainqueur des Grands Prix de Paris, nous avons eu la confir mation que notre Fédération possédait aussi un autre grand espoir.

Liefooghe bat N'Guyen Thu (21-14, 21-15,

16-21, 29-27).

Secretin

bat

Lesprit

(21-9.

21-10,

21-15).

DEMI-FINALES

Roesch bat Hoppenot (21-17, 21-11, 21-15).

Secretin bat Liefooghe (21-9, 21-16, 21-10).

FINALE

Secretin bat Roesch (21-13, 21-14, 15DOUBLE MESSIEURS

21-11).

Weber, Ly. Etat Metz bat Pignon, E.N.I. Arras (21-13, 17-21, 21-9, 21-19).

HUITIEME

DE FINALE

21-10, 21-14).

Lafaye-Boquet battent Turchetti-Le Prieult (21-11, 22-20, 21-12). Dravers-Pontille battent BuathierThomas (21-13, 21-19, 21-14).

N'Guyen Thu, Fac. Mx. Sciences Pa ris bat Barginet, Ly. Nat. St-Marcellin f20-21, 8-21, 21-10, 21-11, 21-18). Pontile R., Ly. Nat. Roanne bat Reb

Roesch-Weber battent Bouvard-Choby (21-15, 21-13, 21-12). Prigent-Baron battent Malbo-Busseron (16-21, 21-17, 22-20, 21-15).

mann, Ly. Faidherbe Lille (21-18, 9-21,

N'Guyen Thu-Oppenot battent Blandin-St-Pierre (21-5, 21-11, 21-18). Gaillard-Pontille R. battent Liefooghe-Deniaud (W.O.).

Pontille G.. Ly. Nat. Roanne bat Le Prieult, Ec. Montalembert, Toul. (21-8,

21-15, 18-21, 21-16).

Liefooghe, Ly. David Angers bat Vailland. Ly. V. Hugo, Marseille (2115. 17-21, 18-21, 21-18).

Prigent, Fac. Médecine Paris bat Pradeau. L.T.E. Limoges (W.O.). Lesprit, Fac. Sciences Reims bat Bus■seron, Ly. E. Franklin Orléans (2022, 21-8. 21-13, 21-16). Saint-Pierre, Fac. Sciences Rouen bat

Dravers, Ly. Mun. Mx Cusset

'21-9,

21-11, 21-13).

Secretin, Lycée de Lens bat Tùrchet-

ti. Lycée Auch (21-11, 21-9, 21-17).

QUARTS

DE

FINALE

Martrenchar-Pinatel battent Lafaye-

Boquet (21-12, 21-13, 15-21, 15-21, 21-13). Roesch-Weber battent Dravers-Pon tille G. (21-15, 21-13, 16-21, 18-21, 2117).

N'Guyen Thu-Oppenot battent Pri gent-Baron (21-13, 20-22, 21-19, 21-16). Secretin-Pignon battent Gaillard-

Pontille R. (17-21, 15-21, 21-14, 21-19, 21-13).

DEMI-FINALES

N'Guyen, de l'emporter. Tout au cours

Roesch-Weber battent MartrencharPinatel (21-15, 21-16, 21-15). N'Guyen-Tliu-Oppenot battent Secre tin-Pignon (21-15, 21-17, 21-17).

liers et leur entente fut parfaite. Les vainqueurs de l'année dernière Pignon

aux organisateurs de l'Ecole d'Appren-

Hoppenot bat Gaillard (20-22, 21-15, 21-15).

Buathier, C.E.G. Mâcon (21-19, 21-15,

de cette épreuve, ils ont été très régu

16

Secretin bat Saint-Pierre (21-11. 2117, 21-14).

Hoppenot, Fac. (Mx) Droit Paris bat

paire parisienne Martin Hoppenot -

Si cette manifestation a connu un succès éclatant nous le devons surtout

Lesprit bat Prigent (21-16, 16-21, 2119, 21-18).

21, 18-21, 21-17).

21-11, 21-15).

Le Critérium de double permit à la

- Secretin ne purent rien contre eux, tout comme Roesch - Weber.

Liefooghe bat Pontille R. (21-18, 2220, 21-16).

19).

SEIZIEMES DE FINALE

ans (21-17, 21-14, 21-9).

Le lorrain, après avoir perdu le pre

21-15, 21-13).

QUARTS DE FINALE

le bon comportement de Martin HopPour en revenir à la finale, celle-ci fut de très haute tenue, les deux ac teurs donnant le meilleur d'eux-mêmes.

21-19).

Roesch bat Baron (21-11, 21-12, 21-

Lyc. Mun. Le Hâvre (W.O.).

et Lafay. Par la suite les résultats

Hoppenot bat Weber (21-18, 15-21, 21-

3 à 0.

natoires apportèrent quelques surprises

s'inclinaient devant Weber, Liefooghe

Gaillard bat Martrenchar (21-12, 2114, 21-10).

N'Guyen-Thu bat Pontille G. (21-7,

saires, mais toptefois les tours élimi puisque Pignon, Vaillant et Pinatel

22. 21-11, 21-19).

15, SIMPLE MESSIEURS

Roesch, Ly. E. Metz bat Lecame. Ly. Vogt Commercy (21-10, 21-12, 21-5). Blandin, Fac. Lettres Caen bat Potter,

beaucoup de facilité, de leurs adver

HUITIEMES DE FINALE

Roesch bat Blandin (21-16, 21-9, 21-4). Baron bat Lafaye (14-21, 21-17, 20-

\

FINALE

N'Guyen-Thu-Hoppenot (Paris) bat tent Roesch-Weber (Metz) (21-14, 2115, 19-21, 15-21, 21-8).


ASSEMBLEES GENERALES ORDINAIRES DIRIGEANTS

DES LIGUES

û

10. Les questions présentées dans les dé lais pour être inscrites o l'ordre du jour.

Les Ligues peuvent prévoir aussi des rap ports des différentes Commissions. De même, toutes modificotions aux sta

tuts ou aux règlements de la Ligue sont à mettre à l'ordre du jour de l'Asemblée Générale.

L'allocution

du

Président n'est pos obli

gatoire stotutairement, mais il est bien nor

OBJET : ASSEMBLEES GENERALES ORDINAIRES DES LIGUES

mal qu'elle y figure, ne serait-ce que pour

Les stotuts et le Règlement Intérieur de la F.F.T.T. ayant été modifiés profondé ment dons ce qui avait trait à la tenue des

tion entend suivre.

fixer la politiaue que le Comité de Direc

Assemblées

Générales

élections aux

des

Ligues

et

postes de Président

membres de

leur

Comité

de

aux

et

de

Direction, le

but de la présente instruction est de ras sembler, en un seul document guide, les dif férentes opérations à effectuer à l'échelon des Ligues pour que leurs Assemblées Gé

L'ordre du jour une fois arrêté, doit être adressé suffisamment à temps à toutes les

associations de la Ligue avec lo liste des condidats aux postes de membres du Co mité de Direction et au ooste de Président

de la Ligue, et le bilan financier de l'année écoulée.

Un imprimé de pouvoir et de procuration

IV. — QUI PEUT PARTICIPER

I. —

A

Générales des Ligues doivent se tenir les 7, 14, 21

ou

Cette

28

juin.

date

doit

moins 2 mois à

être

communiquée

l'avance

aux

au

associations

ficotion des pouvoirs, lorsque les opérations

de contrôle sont terminées,^ vient

L'ASSEMBLEE GENERALE ? Ne

L'Assemblée Générale de la F.F.T.T. ayant lieu en 1964 le 24 mai, les Assemblées

peuvent

Générale que

faire

de

l'Assemblée

les délégués des

oortie

associations

nvont au moins 11 licenciés au l-®*" moi 1964. Hs disposent du nombre de voix corrpsnondont ou barème de l'article 16 des stotuts fédéroux.

Seuls les Présidents (tituloires de la corte

par tous moyens que le Comité de Direction de la Ligue décide (bulletin, presse, etc.).

verte de dirigeant otvec

II. — CANDIDATURES AUX POSTES DE PRESIDENT ET DE MEMBRES DES CDMITES DE DIRECTrON :

rale. S'ils en sont empêcF'és, ils peuvent designer un membre licencié de leur asso ciation pour les représenter.

Les

candidatures

en

vue

du

renouvelle

ment, pour 3 ans, du tiers des membres du Comité de Direction des Ligues (nombre au quel il y a lieu d'o'outer éventuellement

la mention

Prési

dent) ont qualité pour représenter directe ment leu'- association à l'Assemblée Géné

Ils doivent, dons ce cas. lui remettre un pouvoir d'un modèle analonue à celui prévu pnr la Fédération pour son né''ale (exemplaire joint).

Assemblée Gé-

Le déléaué doit remrl'r 'es conditions pré

celui des vacances existant parmi les pos

vues à l'article 46 du Rèalement Intérieur et

tes non soumis au renouvellement) doivent être adressées au siège de chaque Ligue au

notamment être moieur et cropartenir à l'as sociation depuis plus de six mois.

moins 3 semaines semblée Générale.

avont

la

date

de l'As

Il en est de même pour les candidatures

ou poste de Président de lo Ligue, avec cette réserve

que

le candidat doit être soit

un

membre du Comité de Direction non soumis

à renouvellement, soit candidat à un des postes à pourvoir de ce Comité. Les candidats doivent être âgés de 21 ans au moins au jour de l'élection, être de notionalité française et jouir de leurs droits civils et politiques.

Ils

doivent être

mem

,.

Le Président de la Commission de veri-

ditions possibles.

(Art. 6Î du Règlement Intérieur) :

Elle vérifie que le délégué possède bien un

pouvoir régulier ou sa carte de Président, que son association o bien droit ou moins à 1 voix. S'il présente des procurations, elle s'assure que toutes les associations^ en couse ont bien leur siège dons le même département que celui du siège de son as sociation et que ces documents sont régu lièrement établis. - , M X Lorsque tout est reconnu eri réglé, il est recommandé de remettre au délégué un popier portant un signe d'identification et mentionnant son nom suivi de 2 nornbres, le premier Indiquant le nombre de voix de son association, le second indiquant le nom bre de voix des associations dont il détient les procurations.

est à joindre à cet envoi.

nérales se déroulent dans les meilleures con

DATES DES ASSEMBLEES GENERALES

Elle vérifie l'identité des délégués, prend

note de leur qualité et de l'association qu'ils représentent et les fait émerger sur la feuille de présence. Elle se folt remettre les Douvoirs et procurations qu'ils présentent.

Qu'il s'agisse du Président ou du titu laire d'un pouvoir, le rep''ésentant de l'os«••ociotion o qualité pour participer à toutes

les discussions et prendre part à tous les

rendre

compte à l'Assemblée des résultats de ses trovaux. 11 lui soumet, pour décision, les cas douteux. Les décisions de l'Assemblée Généro'e sont immédiatement exécutoires et sons appel.

Les bulletins de vote pour les élections oux postes de membres du Comité de Di rection sont olors remis à chaque électeur selon le nombre total de voix auquel il a

droit. Chaque délégué vote à l'appel de son nom et dépose, dans l'urne, le nombre de

bulletins

correspondant à

son nombre de

voix.

Lorsque le scrutin est clos, il est pro cédé ou dépouillement oor une Commission désiqnée par l'Assemblée Générale. Sont proclamés élus au premier tour les

candidots ayant obtenu la majorité^ absolue des suffrages valablement exprimés. Sont donc décomptés les bulletins nuls (comportn-t. par exemole, des Inscriptions oarticulières ou dont le nombre de noms est supé rieur à celui des postes à pourvoir). Par contre, les bulletins bloncs ou dont tous les noms sont rayés sont valables et entrent en compte.

Il est procédé, si besoin est, à un 2® tour

votes de l'Assemblée Générale avec le nom

pour les postes restant à pourvoir. Les mê

bre de voix de son

mes

association.

En application de l'orticle 62 du

Règle

ment Intérieur, font partie de droit de l'As

semblée Générale, le Président de la Liaue et les membres de son Comité de Direction.

Ms peuvent participer à toutes les discus

bulletins

de

vote

jusqu'où

oeuvent être utilisés, soit noms

des

n'en

tenont

élus, soit

aucun

en

plus

1®^

tour

rayant

les

simplement en

compte.

La

mojorîté

simple suffit alors.

Il doit être procédé de même pour l'élec

bres depuis plus de 6 mois de la Ligue ou

sions. Toutefois, s'ils ne représentent pas en même temps une association, ils ne peu

tion

d'une de ses associatiais

vent prendre part aux divers votes.

sont pas membres du Comité de Direction

affiliées.

Pour éviter des discussions, il est recom mandé d'occuser réception, dans les délais les plus courts, des candidatures reçues. III. — ORDRE GENERALE :

L'ordre du

DU

JOUR

DE

Sports, Représentant de Municipalité, lourf^alistes, etc.) à assister à tout ou partie

L'ASSEMBLEE

jour

de l'Assemblée Générale

plus tard

date de

Assemblée.

cette

S jours avant la

Les propositions d'inscription à l'ordre du jour doivent être adressées au siège de la

Ligue au moins 15 jours avant la date de l'Assemblée Générole.

du

jour

doit

obligatoirement

comporter les points suivants :

1. Approbotion

du

procès-verbal

précédente Assemblée (jénérale. 2. Renouvellement du tiers des du

Comité de

3. 4; ral) p.

Election Rapport présenté Rapport

de ses débats, mois en oucun cns ces invi

tés ne doivent portlciper aux discussions.

est arrêté ou

L'ordre

L'Assemblée Généro'e souveroine neut au toriser certaines personnes (Inspecteur des

de

la

membres

Direction.

du Président de la Ligue. sur la gestion (rapport mo par le Secrétaire Général. sur l'activité sportive.

VOTES PAR PROCURATION :

V.

Lorsqu'une association n'est pas repré sentée, soit directement, soit par pouvoir, à l'Assemblée

Générale,

son

Président

peut

donner procuration (modèle joint) à une personne représentont déjà une association de son département à l'Assemblée Générale pour voter en son nom et avec son nombre de voix, lors de l'élection des membres du Comité de Direction de Président de la Ligue.

la

Ligue

puis du

Le représentant d'une ossociotlon ne peut disposer, au maximum, que de neuf procuKotions

pour

et celles-ci

ne sont

valables

que

les élections.

du

Président de la Ligue.

Dons le

cas où le ou

les candidats ne

de la Ligue ou ne le sont pos devenus à 'a suite des élections précédentes, il

y a

lieu de convoquer une nouve"e Assemblée Générale pour cette élection. En attendant, il ooportiendra au nouveau Comité de Di rection de désigner un de ses membres pour osstjrer l'intérim du poste de Président. Pendant le dépouillement des votes, l'As

samblée peut continuer à délibérer sur les diverses questions figurant à l'ordre du jour, mois sur elles seulement. L'Assemblée

oeut être suspendue pendant

l'heure des repas, mais elle ne doit pas être c'o«e ovont que toutes les questions fiaurant à i'ordre du iour n'aient été oopelées. Il est désigné un Secrétaire de séonce et un nrocès-verbol de l'Assemblée Générale est étobli et diffusé à toutes les associa

tions par les soins du Comité de Direction.

Deux

exemplaires

en

sont

adressés au

Secrétorlot de la Fédération. Le Secrétaire Générof : Jean MERCIER.

D.^ Rapport sur la situation finoncière pré VI.

senté por le Trésorier Général.

7. Rapport des Commissaires aux Comp tes.

8. Vote de l'Assemblée sur les comptes de l'année écoulée.

9. Désignation

des

TENUE DE L'ASSEMBLEE GENERALE:

Il doit être constitué une Commission de

vérification des pouvoirs (en principe pré sidée par le Président de la Commission des Statuts

Commissaires

Comptes pour la saison suivante.

aux

doit

et

Règlements). Cette Commission

commencer

à

fonctionner

avant

verture de l'Assemblée Générole.

l'ou

Destinataires :

— Toutes les Ligues (2 exemplaires^ avec modèle de pouvoir et procuration. — Comité

des Statuts et

— Président de

Règlements.

ia F.F.T.T.

17


Conseils aux joueurs de eompétition (Voir

186, 187 et 188)

Un chose est certaine, à égalité de force, les équipes attaquantes sont plus fortes que celles qui défendent, parce qu'elles les gênent constamment par leurs place ments de balles.

Pour qu'une équipe impose son attique et sa cadence, il faut que les deux partenaires sachent:

PLACEMENT DES ECHANGES EN DOUBLE

Dans la majorité des cas, le joueur attaquant de double place surtout ses baUes en diagonale. Lorsqu'une équipe est en défense, chacun des parte naires doit placer la balle dans l'angle diamétralement opposé à celui de son partenaire, pour que l'envoi (géné ralement en diagonale) se dirige sur son partenaire et que ce dernier ne soit pas gêné par le retour. Lorsqu'une équipe joue l'attaque, et que ses deux adversaires sont droitiers, elle peut employer les moyens suivants qui consistent, avant tout, à gêner leurs adver saires dans leurs déplacements. 1» Servir court ;

— le partenaire attaque sur le relanceur ; — le serveur attaque à l'opposé. 2" Retourner le service sur le serveur :

— le partenaire attaque dans le coin opposé. 3» Attaquer celui qui a retourné l'échange: — le partenaire attaque dans le coin opposé. 4° Taire une balle amortie ou une poussette du côté de celui qui a retourné l'échange ; — le partenaire attaque à l'opposé. Etc., etc...

— attaquer sur le service ; — au service, empêcher d'attaquer par des placements judicieux ; — contre-attaquer ; — jouer vite, et toujoui's accélérer la cadence des échanges.

LES QUALITES D'UN BON JOUEUR DE DOUBLE

Voici ce qu'un joueur doit essayer de réaliser pour devenir un joueur de double expérimenté: — il doit surprendre son adversaire par le service (servir très court et bas, par exemple) ;

— il doit savoir placer le retour de service et si pos sible par un petit lift ; — il doit savoir lifter régulièrement ; — il doit savoir terminer une balle haute par un coup fort ; — il doit savoir faire des balles amorties et placées ; — il doit savoir contre-attaquer sans commettre fautes ;

de

— il doit savoir placer ses échanges ; — il doit se retirer de la table sans gêner la visibilité de son partenaire ; — il doit éviter toutes remontrances à son partenaire et ne lui montrer que son bon caractère.

A ceux qui représentent une équipe Ces lignes vous sont adressées, non parce que cer tains se sont faits remarquer lors de différents dépla cements par leur comportement de non sportifs, mais plutôt parce que je voudrais que l'on dise ; le pongiste est un sportif modèle. Si sur le plan international, nous n'arrivons pas à être dans les meilleurs, nous en avons analysé les raisons à plusieurs occasions, je voudrais tant que nous le soyons en battant toutes les autres disciplines, sur le côté com portement humain. A ce jour, je peux certifier que depuis plusieurs saisons, vos camarades des différentes sélections nationales font honneur par leur maintien impeccable au tennis de table français. Maintenant, c'est à vous de les Imiter.

Les joueurs d'une équipe doivent se comporter entre eux avec beaucoup d'affabilité. Les hommes ne doivent pas oublier que la galanterie française existe et ils doi vent le montrer. Enfin, joueurs et joueuses doivent avoir beaucoup de savoir-vivre et ne pas oublier que l'exac titude en est la première forme, ainsi que la simplicité. Le rôle de vedette n'a rien à faire dans une compétition sportive.

La tenue vestimentaire du joueur doit être identique à celle de son équipe, on y bannira toute fantaisie quel conque. L'équipe doit être homogène tant par sa tenue

que par son comportement. Enfin, l'hygiène du corps a

l'importance que nous savons tous, surtout dans un sport ou l'on transpire abondamment. Une toilette complète sera recommandée après chaque épreuve. VOTRE EQUIPE PART EN DEPLACEMENT

a) Au préalable: en vue de la rencontre, s'assurer que LA TENUE DES JOUEURS

En dehors des rencontres, lorsque le joueur est libre,

votre équipement est au complet et propre : — chemisettes ; — écussons; — shorts ;

on lui demandera une parfaite décence tant par sa mise

— survêtement ;

que par son comportement. Les joueuses veilleront tout

— espadrilles blanchies.

particulièrement à ne pas ressembler à des « garçons manqués » par une tenue inopportune et ne jamais oublier que la femme française est synonyme d'élégance et de bon goût, qu'elles se doivent de représenter avec

le maximum de gentillesse et de charme. Les joueurs voudront bien, à leur tour, faire attention à ne pas avoir une tenue trop excentrique ou avoir des coupes de che

veux d'un goût douteux. 11 ne faut qu'en rien les joueurs oublient qu'ils représentent une localité ou une région ou peut-être bien un pays. 18

Se renseigner du rendez-vous et ce qu'il faut amener : billet, passeport, devises, etc...

b) Le Jour du départ: avant de partir, vérifier si la tenue est cornplète, si la raquette n'est pas égarée et si

l'on a avec soi les pièces d'identité nécessaires (passeport, carte d'identité, la licence, etc...) : — se présenter à l'heure au rendez-vous ;

— se mettre à la disposition du responsalale du dépla cement.


c) Pendant le voyage:

par Alex AGOPOFF,

— se distraire par de la lecture ou des jeux de cartes ; — éviter les discussions (politiques) pouvant énerver

Entraîneur Fédérai

les camarades.

—■ Au repas : proscrire les aliments lourds, les sauces et les boissons alcoolisées. d) A

l'arrivée:

— vérifier que l'on a rien oublié soit dans le compar timent ou dans les voitures ;

— demander des instructions au responsable de l'équipe concernant les horaires de la journée ; — se retirer dans la chambre pour faire un peu de

LES RAPPORTS DU JOUEUR

ET DU CAPITAINE D'EQUIPE AVEC LES OFFICIELS

toilette, prendre quelque repos, et ranger les affaires.

e) Le jour du championnat, avant la rencontre: pré voir un horaire très détaillé de la journée : — calculer l'heure du réveil d'après l'horaire des matches et ce qu'il y a lieu de faire d'autre ; — les repas suivis si ipossible d'un temps de repos ; — se trouver devant les tables de match bien avant

pour s'échauffer et s'habituer au rendement ; — respecter l'horaire très scrupuleusement ; — s'il y a lieu, se faire pointer auprès du juge-arbitre. f) Lors du championnat:

— en pénétrant dans l'aire de jeu, déposer sa serviette et ses affaires près du capitaine ou de ses camarades.

Vous pouvez ainsi, à la fin de chaque set, vous trouver

près d'eux et pouvoir ainsi en vous essuyant écouter leurs conseils ;

— dans une épreuve par équipes, vous n'avez pas à rentrer en contact avec

les

officiels de la rencontre,

c'est le rôle du capitaine. Si vous avez une observation à faire, c'est ce dernier qui la transmettra au nom de l'équipe :

— les conseils de tactique que vous pouvez avoir à faire, doivent être faits avec douceur pour ne pas éner ver

votre

camarade.

g) Après la rencontre :

penser à se désaltérer dès le match terminé ; — s'il y en a la possibilité, vous prenez une douche ou

"un bain, mais seulement si vous ne rejouez plus de la journée.

h) Le jour de retour, avant le départ : — vérifier que l'on a rien oublié dans la chambre ; — aller au rendez-vous de l'équipe.

i) Pendant le voyage de retour : mêmes recommanda tions que pour l'aller. Recommandation générale :

Du départ jusqu'au retour, veuillez vous abstenir de toutes critiques. Surtout si votre déplacement a lieu à l'étranger, évitez de critiquer vos dirigeants pongistes ou même gouvernementaux.

a) La décision de l'arbitre désigné pour cette rencon

tre est sans appel pour tous les faits pouvant survenir.

b) Lâ décision du juge-arbitre désigné pour cette ren

contre" est sans appel sur toutes les questions d'interpré tation des règlements soulevées au cours de cette ren contre.

c) Une décision du juge-arbitre ne peut faire l'objet d'un appel au Comité d'organisation que si elle porte sur un point concernant le déroulement du tournoi ou de la rencontre et non prévu par les règlements, par exem ple : l'heure, les conditions de jeu, etc... En aucun cas, une décision concernant l'interprétation des règles ne peut faire l'objet d'un appel.

d) Dans une compétition individuelle, un recours ne peut être introduit que par une personne participant au match dans lequel s'est produit l'incident motivant l'ap pel. Dans une compétition par équipes, un recours ne peut être introduit que par le capitaine d'une équipe remplissant les mêmes conditions. e) Aucun accord entre joueurs (dans une compétition individuelle) ou entre capitaines (dans une compétition

par équipes)

ne peut modifier une décision sur une

question de fait, de règlement ou d'organisation de tour noi ou de match prise par l'arbitre, le juge-arbitre ou le comité compétent. f) Toute réclamation présentée par les personnes compétentes (joueur dans une compétition individuelle, ou capitaine dans une compétition par équipes) à pro pos d'une question de droit posé par la décision d'un jugearbitre, ou à propos d'une question d'organisation posée par une décision du Comité d'organisation, doit être soumise à la Commission des Règlements de l'I.T.T.F. (Fédération

endossée

et

Internationale)

si

transmise par la

la

dite

réclamation

Fédération

Nationale

est

à

laquelle appartient ce joueur ou ce capitaine. La déci sion de la Commission des Règlements servira d'indica tion pour la solution des cas pouvant se présenter ulté rieurement, mais n'en influera pas sur la validité du jugement précédemment rendu par le juge-arbitre ou le Comité compétent. Cette décision pourra être atta quée par une Fédération Nationale, et il appartiendra à l'organisme approprié de l'I.T.T.F. de se prononcer en dernier lieu.

Dans une épreuve nationale, la juridiction la plus haute est le juge-arbitre.

PROPAGAN DISTES

A votre disocsition : DEUX SEANCES DE CINEMA 1) CHAMPIONNATS DU MONDE PEKIN 1961 - 55 minutes et le STAGE DE NOËL 1961 - 15 minutes.

2) CHAMPIONNATS DU MONDE PRAGUE 1963 - 1 h. 30. Tous renseignements à la F.F.T.T. 19


COMMENT MUTER DU 15 JUIN AU 31 JUILLET 1964 LA LICENCE « M »

MUTATIONS

Tout joueur ou Joueuse qui désire changer de club en

Toutes les mutations accordées donneront droit à une

licence portant en surcharge sur le timbre de la mention

vue de la saison 1964-1965, doit le faire pendant la période comprise entre le 15 juin et le 31 juillet 1964.

(partie numérotée 1, 2, 3, 4) dûment rempli en ce qui con

« M ». Cette licence sera à qualification restreinte, c'està-dire que, dans toutes les épreuves par équipes, réser vées aux associations et organisées par la Fédération ou les Ligues (Championnats par équipes. Coupe de France, Coupes Régionales ou similaires), les associations ne pour ront présenter qu'un joueur titulaire d'une licence a M »

cerne 1 ;

par équipe.

Méthode à employer:

Il (ou elle) doit adresser sous pli recommandé:

a) au Club qu'il désire quitter un imprimé de demande de mutation qui lui sera remis par le secrétariat de la Ligue . j

j j

Cette restriction n'est pas valable pour les associations

b) à la ligue du Club qui reçoit le TALON de demande de

nouvellement affiliées en 1964-65 ou les associations re prenant leur activité après au moins une saison d'inacti

mutation (5) dûment rempli en y joignant une licence en

tièrement remplie, datée et signée (par lui-même et par le Président du club qui reçoit). Ne pas oublier la photo

vité, dans les championnats régionaux, où elles sont enga gées obligatoirement dans la dernière série.

graphie. Coller dans la partie réservée le récépissé postal de recommandé de sa démission (voir plus haut) ;

c) pour les Cadets, Cadettes et Minimes, joindre l'autori sation écrite de ses parents ou de son tuteur légal pour

RECOMMANDATIONS.

jouer pour cette association.

Il est recommandé aux joueurs (ses), clubs et Ligues

L'association quittée a dix jours, au reçu de l'imprimé,

pour formuler son avis sur la mutation demandée (2) et

régionales de:

adresser l'imprimé à la Ligue dont elle dépend.

I. — Aux joueurs

Délivrance des licences:

a) Remplir correctement la demande de mutation ; b) de ne pas adresser le talon N° 5 sans y avoir apposé le récépissé postal de démission (le coller à l'emplacement

Les Commissions Régionales de Transferts procèdent à l'examen des dossiers des joueurs. Elles formulent alors leur avis (3. Lorsque celui-ci est positif, elles valident les licences des joueurs: à l'exception des mutations Inter ligues ou de celles concernant les 1ère et 2ème séries; pour ces deux cas, elles transmettent à la Commission Fé

réservé) à la Ligue régionale qui reçoit ; c) adresser sa licence (avec photo) au club qui reçoit. II. — Aux clubs

dérale de Transferts, avec leur avis (3), toutes les deman des. Lorsque celui-ci est négatif, elles retournent la deman de au joueur par l'intermédiaire de l'association. Le joueur

a) quitté: de faire suivre dans les délais les plus courts la formule 1, 2, 3 et 4 à sa Ligue avec son avis.

b) qui reçoit: de transmettre rapidement la demande de licence correctement remplie à la Ligue du club qui

qui recevra une demande de licence rejetée aura la faculté de faire appel soit à la Ligue (3ème série et au dessus), soit à la F.F.T.T. (1ère, 2ème séries ou Interligues) dans les 15 jours de la réception de sa demande refusée. Cet appel devra être accompagné d'un droit de 2 francs qui lui sera remboursé s'il obtient satisfaction et confisqué

reçoit. III. — Aux ligues

a) quittée: remplir le volet N" 3 avec avis ; b) qui reçoit: transmettre rapidement à sa Commission compétente le dossier complet, après décision de celle-ci ;

dans le cas contraire.

En cas de rejet de sa demande par la Ligue, le joueur peut ,dans les mêmes délais, faire appel à la F.F.T.T. La Commission Fédérale des Transferts procède de la même façon pour les mutations qui la concernent et les joueurs conservent les mêmes facultés d'appel dans les frêmes délais (15 jours après réception de l'avis de re

les mutations exceptionnelies hors délais, joueur étranger

jet).

étant compris.

c) valider la licence s'il s'agit d'une mutation à l'inté

rieur de ia Ligue touchant un joueur (se) autre que de 1ère et 2ème séries ; d) transmettre à ia Fédération pour tous les autres cas,

A envoyer au Club Ancien

Demande de mutatrion

SAISON SPORTIVE: 1964-65.

par pli Recommandé

NOM ET PRENOMS: DUPONT André.

ADRESSE: 13, rue de la République, Toulouse.

Date de naissance: 13-6-27

Classement: 20.

LIGUE QUITTEE: FLANDRES. CLUB QUITTE : Ping Pong Club Auchel, CLUB pour lequel le JOUEUR SOLLICITE LE TRANSFERT; Toulouse A.C LIGUE DU DIT CLUB: Pyrénées,

AVIS DU CLUB QUITTE FAVORABLE

MOTIF EN CAS D'AVIS DEFAVORABLE Néant

Date et signature du Président :

3 juillet 1964

Tartenpion.

(faire suivre à la Ligue du Club quitté)

AVIS DE LA LIGUE DU CLUB QUITTE: FAVORABLE. MOTIF EN CAS D'AVIS DEFAVORABLE: NEANT.

Date - Cachet de la Ligue

Nom du Signataire : Dubidon 3 12 juillet 1964 (Faire suivre à la F.F.T.T. en cas de mutation Interligues ou 1ère et 2ème séries) de la Ligue Régionale: Accordée

Date : 20 juillet 1964

DECISION

4

I de la Fédération: Accordée.

(à détacher) TALON DE DEMANDE DE MUTATION

RECEPISSE POSTAL DE DEMISSION

Nom et Prénom : DUPONT André

Adresse :Toulouse, 13, rue delà République date de naissance : 13-6-27 CLUB et LIGUE quittés: P.P.C. Auchel - Flandres Classement: 20. CLUB et LIGUE pour lesquels le JOUEUR sollicite le Tr ansfert: Toulouse A.C. - Pyrénées. Saison Sportive 1964-1965

(A adresser à la LIGUE REGIONALE avec la licence et le droit correspondant par le NOUVEAU CLUB), 20


La Ligue de Lorraine et Jacques SECRETIN J.' (par Roland DELASSUS)

Et Dourtant. les poulains de M. Chompdorge ne s'attendaient pas

Egletons ! Que de souvenirs ogréablcs restent attochés à ce nom, pour qui s'intéresse depuis quelques onnées à l'histoire du pongisme fronçais... Aussi c'est avec une sotisfaction non dissi mulée que les jeunes de toutes nos ligues avaient rallié en cette fin mors 1964, la petite cité corrézienne. Certes, un temps plutôt frisquet nous attendait mais il est vrai que l'accueil plein de cha

Q jouer les cinq motches contre la Sarthe, f"-! le leune Lesieur, auteur d'une double victoire, fit En poule G, l'équipe chère à Demulder devait laisser Orléanois et Pyrénéens s'exoliquer ensemble, explication a I oyaritoge des

leur et de sympathie que nous réservait M. Blum et ses omis dé voués du comité d'organisation, n'allolt pas tarder à nous mettre la joie ou cœur. Et ceci compensait bien celo. Il fout reconnaître

(malgré l'obstacle alsacien réduite, hélas, ou seul Golli), ^rstons

aussi que rarement les conditions d'hébergement furent aussi par faites. aussi bien adaptées à la participation à l'épreuve longue et fotigonte que constituent les Interllgues des Jeunes.

Avant de m'étendre sur le vif du sujet, |e ne voudrais pas

omettre

de souligner l'extraordinaire

ombiance de camaraderie,

d'amitié qui quatre jours durant régna entre tous les jeunes et aussi entre tous les dirigeants venus de tous les horizons de notre pays. Ambiance jeune, gale que ce soit sur les boncs du réfectoire (où des mets succulents et savamment préparés entretenaient !o

bonne humeur) ou dons les vastes dortoirs où jeunes et Vroulonts,

premiers nommés malgré un bon Delgado trop esseule, ici encore

Dan"'^'le5^poufeT'^D?^E°et'F, victoires aisées des favoris Lvonnois dons une poule relativement facile

'

Pexcel-

ne disposait pas de son grand espoir Leievier) et Alpins ou lexcel lent tandem Barginet-Vacher confirmait ment pongiste national, maigre une riposte très honorable d une

formation bourguignonne hornogene. Mois tandis que les gars s'affrontaient en luttes

.ur les

tables voisines, les filles ne leur cédaient en rien sur le P tivité Ici si l'on pouvait s'interroger de prime obord sur le niveau

technique des confrontations, tout scepticisme disparoissod vite car molgré l'absence des Viola et autres Le Mozurier possees dons le

garçons et filles dûment oréporés et piaffant d'imnotience pou

cadre supérieur, le niveau moyen s annonçait en hausse maigre 1 âge relotivement bas des compétitrices. . Les Auvergnates, sons Vialo mois ovec une inedite de bonne voleur Carte, franchissaient normalement l'obstacie ori^nots, d'®»] aue Burgevin oit réussi un doublé méritoire et maigre i exceUent comportement de la mignonne oetite Tétaz, encore un peu fr^e Dour de telles rencontres. Par ailleurs, les Nordistes chères a Mme Hordv. handicapées par l'absence de l'Intrépide^ Violaine Bounouc, se débarrassaient d'une formation lyonnaise inédite et tr^ leune et qui donna pos mal de fi! à retordre aux Flondriennes Delossus

vaient entrer dons le grand bain et nhorder les premières batailles;

et Torchv, peu à l'oise en l'occurence.

se retrouvoient le soir tous logés (et très bien, ma foi) à la même enseigne.

Sur le plan sportif, les condition*: n'en étoient pas moins idéales:

12 tables remarquoblement instniPées dans le vaste pvmnnse de l'Ecole Nationale du Bâtiment, alioient permettre aux compétitions de se dérouler sons incident et avec le maximum

de réaulorité.

Autre détoil. 3 tables bénéficiaient du morquaqe électrique (comme en 1961 d'ailleurs), innovation très intéressante. Dès lors, deux salies d'entraînement avoient été mi«es la veille ô la d'soo-

sition des dirigeants pour mettre la dernière touche à la prépa ration des joueurs.

Et le mardi 31 mors, jour « J ». le grand maître de céans, notre grand ami M. Brantschen

déclarait ouverte l'édition

19^^

des interliaues, non sons avoir auparavant donné les dernières recommandations d'usage. Comme pour les années antérieures,

c'est à l'autorité bonhomme et souriante, pleine de doiaté et de connalssonces du monde des jeunes de M. Proust qu'était confiée la charge de diriger les épreuves. UNE PREMIERE JOURNEE SANS SURPRISE

L'observoîeur averti, au courant des derniers tuyoux pongistes, qui tend i'oreiile aux propos de couloir, savait que comme les onnées précédentes les deux ligues septentrionales et sœurs de Lorraine et des Flandres partaient lorqement favorites ; pourtant Il ne pouvait ignorer qu'un outsider sérieux pointait le bout dn nez avec les Lyonnais chers à l'ami Bardet et forts d'un trio très homogène et justement réputé; il ne pouvait pas non plus croire que les outres ligues venaient s'offrir en victimes expiatoires aux ossouts des favoris. Disons cependant que d'un avis unanime, une grande revanche se préparait, pour lo conquête du challenge Jean Belot, entre les capitaines Roesch et Secretin. Le premier tour ne nous apprit rien de particulièrement nou veau. Bien entendu il ne pouvait être question pour les jeunes champenois et auvergnats de faire trébucher les favoris lorrain et flondrien. Tout au plus Douvoient-ils se battre voillomment.

,

,

Mois le choc féminin de ce mardi se jouait entre les Lorraines et l'Ile-de-France. Dès les premiers échanges, il fut clair que la bagarre serait chaude et que quiconque voudrait enlever le Chal lenge Ceccaldi devrait au préaiobie sortir le tandem Muller-Bernord tout frais émoulu (Beauvois n'est pas si loin) de la « RœschSchool ». Malgré la classe évidente de l'élégante (Sisou Dufour, toujours un peu trop nerveuse. les Lorraines l'emportaient norrnale-

ment et les protégées de M. Brantschen n'avoient pas à rouair de

leur défoite, tout ou contraire. Guère plus heureuses, les^ Sarthoises subissaient une lourde défaite dans ce groupe très relevé. Enfin la Normandie, comme orévu. s'imposait sons coup fenr

face aux Provençales (où Vaillent n'est dos encore remplacée), et plus difficilement devont les filles de l'Atlantique qui résistaient très bien, Mlle Drancourt s'offrent le luxe de sortir Pcloquin. OU LE DANGER LORRAIN SE PRECISE

Le temps d'assister oux demi-finales de lo Coupe de France Cadets, et le marathon reprenait entrant maintenant dons sa phase prefinole.

,

Chez les garçons, deux poules sensiblement equihbrees avec d une

port les Lorrains, grandissimes favoris, et d'un outsider a 80 contre un : les Alpes, et de l'autre les Flandriens serrés de près par les Lyonnois de l'ami Bardet.

, ,

..

.

Disons qu'il n'y eut guère de surprises et que lo hiérarchie des valeurs fut respectée. Les Lorrains, certes, durent abandonner un point face aux Alpins (du fait de lo victoire normale de Barginet sur Gry), mais il est évident que les Rœsch et outres Nodulek, très décontractés, considéraient leurs rencontres comme de ^rieuses par

Ils le firent et sans le moindre comolexc, devant une cguioc lor

ties d'entraînement. Sur l'autre tobleau, les Secrétln's ^ys ne pou

raine exoérimentale (4 joueurs utjlisés sans Roesch et Weber, ce qui allait entraîner la non-participation automatique de ce dernier

Jacques (aidé contre l'Ile-de-France par un excellent Guetière et

eux rencontres suivantes) et devant des ieunes nordistes un oeu

crispés et ossez peu à l'oise malaré la focllité relative de la tâche demandée. Les autres poules qualificatives se disoutèrent sous deux angles différents. Si Lyonnais. Bretons et Alpins oossoient sans qrond dommage les premiers écueils, les poules B, C et G étaient l'occasion de duels âpres et serrés entre des équipes de valeur sensiblement identique.

En poule B, l'Ile-de-France, soigneusement couvée par l'omi Ridard (et oui ne voulait certes pas rééditer certoine fantaisie cou pable de 1963), et les Provençaux, solidement emmenés par un très bon Meikonian, après avoir muselé les jeunes Franc-Comtois (moins à l'aise m'ont-ils semblé que l'an dernier), s'affrontaient en une lutte acharnée d'où les Parisiens devaient sortir vainqueurs malgré une très bonne réslstonce du jeune Farinotti au dernier" match contre Rouillard.

En poule C, choc à trois entre les Sarthois, Normands et Poitevins, très équilibré et qui tourne à l'avantage d'une jeune équipe normonde excérimentale (on en reparlera), mais où la défaillance du jeune Collet (qui joùo sons doute en dessous de ses possibilités) fut compensée par la gronde régularité du Rouennais Levasseur.

vaient se permettre, eux, de iouer aux petits fous. Cor si I ami

contre les Normands par un Merlot beoucouo moins inspire) ossuroit deux victoires successives, le choc contre le Lyonnais donno lieu à une bagarre terriblement indécise qui rnit

nerfs flandriens, et les voillants Bardet, Gaillard et Ponfille firent passer le frisson à maintes reprises dons le dos des dirigeants nor distes qui n'en menaient pas large. Avouons qui! fallait s y atten

dre cor les deux premiers nommés avaient conquis la veille au soir et de fort agréable manière le trophée Leménoger contre les Auchellois de votre serviteur.

^ ^4.

Pour se foire une Idée de I intensité de cette rencontre et de son incertitude, il faut noter que dons le double les Lyonnais ayant contre toute attente empoché le premier set menèrent 19-10 ou

deuxième set ovant de s'Incliner par 20-22 et de voir s^voler un point plus que précieux, peut-être décisif, au troisième set. Le Nord l'avait échappé belle. .• b.,.: Derrière l'on s'expliquait dur pour les places d honneur Les Pari

siens en se défaisant des jeunes Normands, et les Bretons, voinqueurs de l'Orléanais, obtenaient le droit de concourir pour une nouvelle cinquième place, tandis que, glorieux dauphins des favo

ris, jeunes lyonnais et alpins alioient en découdre pour I accessit.

d'Honneur.

-

—'

fi


Pour le compte du Challenge Ceccaldi, les affaires

rondement menées, car les filles, elles aussi, entraient ^ du sujet ; Flandres-Lorraine (tiens, déjà vu quelque part) ^ . mandie-Auvergne ; jamais on n'eut l'impression que les pr T g de MM. Rœsch et Chompdorg étaient en danger les matches se déroulèrent à sens unique. Maryse Delœsus, jOue -

de base des Flandres, jouant contractée, se limita ♦rr»c trop négatif devant une Bernard excellente, ^douée d un .1*^^ ^ . complet : bon jeu de jambes, poussette très sûre et qui

top-spin non négligeoble. Et malgré tout sa bonne volonté, minime Ponchort, trop statique et sons défense devant les travaillées de Muller, dut s'incliner elle aussi regulierement. u

lors, les dés étaient jetés et le double nordiste improvise rnois . laissait de justesse envoler le troisième point et avec lui '® . espoir caressé un moment d'enlever le « Ceccaldi >. Les

empochaient ainsi leur première victoire sur leurs rivaux nc^dist et ce n'étaient que justice. Comme d'outre part, le tandem

Carte s'inclinoit normralement face aux Norrhonds malgré une joi

victoire en double, la finale filles étaient connue®: NormandieLorraine, finole logique entre deux belles équipes athlétiques mais pour beaucoup d'Initiés une victoire lorraine semblait inévitable. OU LES LORRAINS TRIOMPHENT SUR TOUTE LA LIGNE

Ainsi donc, en ce mercredi soir 1'®'" avril, tout étoit prêt pour tes grandes finoles ; un public restreint mais averti de oueurs et de dirigeants, ottendoît calmement l'heure de l'explication finale. A noter aussi les haut-placés du ponpisme français, M. Mercier, secrétaire générol, Alex Agopoff l'entraîneur national, venus suivre d'un œil très intéressé les différentes épreuves. Les filles ouvrirent la soirée finale et il opporut d'entrée que l'='s normandes étaient visiblement peu à l'aise face au jeu plus fouillé et plus othlétique des Lorraines, apparemment pressées d'en finir. Aussi, la* marque ne tarda pas à passer à 2-0 en faveur de la poire Muller-Bemard. qui pourtant dut concéder un set dans le double ardemment discuté avant de l'emporter finalement et le plus logiquement du monde. Dès lors, les omis Rœsch et Di Maria et toute la cohorte des sup

porters lorroins pouvaient arborer un large sourire, mois les sym pathiques Normandes avaient opporté quant à elles un bien bel accessit dons l'escarcelle de lo ligue chère au président Plantrou. Sur l'aire de jeu voisine, les garçons avalent entamé l'ultime combat. Ici oucune fantoisie. Papa Secrétin, en accord complet avec

paraissaient marqués et surtout la crainte de disparaître qui para lyse et fait perdre dons toute épreuve individuelle par élimination. Cette dernière raison me semble d'outont plus picxjsible que j'ai constaté que de nombreux minimes, tout à la joie de participer aux deux épreuves minlrnes et cadets, jouaient parfaitement décontrac tés dans la catégorie supérieure et se permettaient de sortir des joueurs mieux classés et intrinsèquement supérieurs. Mois revenons à nos jeunes et voyons por catégorie leur comportement jusqu'eux huitièmes de finole.

En Cadets, 98 joueurs présents; le premier tour n'apporte guère de surprise, seule une disparition notable, celle du numéro 1 Nor mand Levosseur face à Roulllard, mais on ne pouvait là parler de surprise. Par contre, dès les trente-deuxièmes de finale le déblayoge commence et avec lui les surprises et non des moindres. Et qui foit les frais de cette opérotion : le tondem roannais Bardet-Goil-

lard, glorieux vainqueur de la Coupe de France. Certes, l'os Guétière était un peu dur à avaler pour un Gaillard encore un peu sommeil

lant et qui, faut-il l'avouer, payait les efforts des jours précédents,

mais que Alain Bordet s'incline face à un excellent Gollet certes, avouez que l'affaire se corse. Uor ailleurs, relevons encore les éli minations notoires de Gaugoin, de Delgodo (face à l'infatigable renvoyeur Pêcher) et de Roulllard (face au Roannais Pontille après un motch équilibré), et aussi les difficultés éprouvées par les Nor distes Fosse et Merlot peu à l'aise apparemment face à Bloc et o Férez.

Remorquons encore que sur les 32 qualifiés cadets, on dénombre

8 minimes, pas moins, et qu'avant les seizièmes de finale 14 ligues comptent encore ou moins un représentant ; les Flandres tenant la

tête avec 9 qualifiés devant les Lorrains et l'inottendue Bourgogne encore forte d'un trio très voloble.

Le tour suivant éclaircit dcvantoge la situation et le lot de sur prises s'étoffe : les étonnonts diablotins nordistes Férez et Delossus, plus prompts et plus incisifs, boutent hors compétition l'Alpin Vacher et le Noncéen Gry ; un outre minime, le grand espoir Lorroln Lendroit, joue remarquablement bien face à Barginet et l'emporte de justesse, il est vroi . Pendant ce temps, les os Secrétin et Rœsch poursuivent tranquillement leur progression. Mois ce tour a fait des ravages dons les rangs flandriens. Fosse trop timoré face ou cham pion alsacien Golli, Merlot décevant et sons ressort devant un très bon Nadulek, Hélin normalement face à Pontille et surtout l'Arra

geois Henry malgré une résistonce très honorable foce ou messin Wébert, ont loissé ou seul Guétière le soin de défendre l'honneur nordiste (il ert vrai que 4 minimes chers à Devys ont réussi à se glisser parmi les grands, c'est le triomphe des bambinos!) .

l'état-major flandrien, alignait le fiston de l'Arrageois Henrv. Pnoa

Répartition des forces après ce troisième tour : Flandres 5, Lor raine 4, Bretagne 2, Ile-de-Fronce, Lyonnais, Provence, Bourgogne

national et son fidèle lieutenant Nodulek. La rencontre s'onnonçait

et Alsace

Rœsch ne pouvait^ faire autrement aue d'opposer son Christian

émouvante, pleine de suspense. Ceux qui avaient vécu les finoles inoubliables de Blois et de Beauvais ne pouvaient penser autrement. Disons que sur ce point nous restâmes quelque peu sur notre foirn. D'emblée, Roymond Henry affrontait Rœsch et très opportuné ment il essaya de le prendre de vitesse. On put croire quelques instc^ts au miracle mais, peu hobltué à suivre un tel rythme, le Nor diste dut s'incliner nettement non sons ovoir défendu crânement

so chance. Secrétin se devoit d'égaliser, il y parvint, mois le robuste Nadulek lui tint longtemps la dragée haute. Il est vrai que Jacques ne semblait pos dans son meilleur jour, commettant des fautes de toble, rotont de nombreux contres du couo droit. Et puis, le Nanceen passait de temos à outre, comme à la parade, son revers ful

gurant. Pourtont, à la belle, décontracté par un départ sur les cha peaux de roues (9-3, puis Î6-8) , le Nordiste s'envo'o. ramenant un sourire un peu teinté de crainte sur le visoge des diriononts nor distes

(1

partout). Tout était à refaire, le double ol'oit décider.

Après un premier set égal enlevé de justesse par In poir» lorfoinp, Secrétin et Henry prenant tous (es risaues menèrent '•ao'd^mont 15 à 10, tous les espoirs étaient permis. Et ce fut l'effondrement incom préhensible ; une série

invraisemblable d'erreurs cor-'mise»; ne un

Henry complètement décontenancé, et les Lorroins se retrouvèrent menomt à marque par 17-15 et l'emportaient finalement 21-16 (2-1 pour la Lorraine).

Rœsch-Secrétin, l'événement du jour, le choc attendu. L'affaire fut rondement menée, précisons-le. Jusqu'à 15 partout le miniroe nordiste tint bon, rendent coup pour coup à son ami Christian qui tinniement l'emporta grâce à son ieu olus efficace et à so rnnc«=nfration suner'eu'-e. Le deuxième set fut la répétition exacte du pre-

1 ).

Avec les Minimes garçons, peu de surprises, les deux premiers tours quolifiont les meilleurs. Certes, l'élimination du grand espoir Collet de Normondie peut paraître prématurée, mois son adversaire le jeune Delochenol,

ou jeu peu orthodoxe,

s'avérait difficile à

-manœuvrer. Deux chocs équilibrés, Lepage-Férez et Brion-Deloporte, qui tournent à l'avantage des premiers nommés, et surtout le fiston Delossus qui se foit prendre un set sons jouer mol d'ailleurs, face à un étonnant petit « bout de chou » de Lyon, Dominique Mes, qui finit par s'incliner certes mois non sons s'être battu o l'extrême

limite de ses forces. Un outre tout-petit, admirable de combativité, l'Auvergnat Laurent Jean-Pierre, à suivre de près...

Ici,

la répartition avant les huitièmes de finale donne : Flan

dres 5. Bretogne 3, Bourgogne 2, Auvergne, I le-de-France, Alsace, Lorraine, Normandie et Alpes I. Remarquons l'excellente tenue des jeunes bretons, le trovcil en profondeur de Gabelle portant ses fruits assurément. En Cadettes, une remorque s'impose de

suite,

la qualité nette

ment supérieure dons le tableau B où à côté des têtes de série normalement prévues Delossus et Franceschi, on relève les deux Lorraines gagnantes des interligues Muller et Bernard et même Gisèle Dufour, autre espoir national. Pauvre Gisèle qui sera éliminée après une rencontre magnifique de jeu ouvert contre Muller : 21-19 à

la belle, alors qu'elle aurait pu tout aussi bien disputer la flno'c avec des chonces certaines de vaincre. Cette même Muller connais

sait sitôt après réiimination « sons bavures » contre la future cham

pionne Franceschi

(25 points en 2 sets), olors que la veille elle

s'en était défoit avec une aisance insolente. Bizarre retournement

^oolité n 1 1 . nuis en^m! de Rœsch qui gagna sons être

des choses ! Pour le reste, toutes les favorites se qualifient sons

inquiété, de manière indiscutable.

grand mol.

Les meilleurs nvaient naané et b'en goqné ; l'omi Rœ'^ch e-t *es

nmis pouvaient être lé-^itimement fiers du magnifique doublé réa

En Minimes, peu d'événements notoires, les têtes de série s'imDosont normalement à l'exception de la championne des Flandres Sonneville, battue d'extrême justesse à la belle por la Sorthoise

lise en ce l®»" avril. Félicitations réciproques, remise de couoes. cette soîree se terminoit dons la joie peut-être un peu nuancée chez certains ; il est vroi que le sport est un jeu et ou il fout perdre avec le sourire, et puis les plus costauds l'avaient

Lollouet.

APRES BATAILLES AVANT LA SOIREE FINALE

emporte.

Peut-être ai-»e oub'ié de parler des rencontres de clossement ; précisons aue dans le Challenge Belot. les Aines contre toute attente

remportent la troisième place aux dépens des Lyonhals où Bardet,

eouise porce que trop mis à l'éoreuvG. ne fut que l'ombre de 'iii-

rneme.^ Aioutons oue les Pcisiens remportent une très hono'"nh'G cinquième place foce^ oux Bretons et aussi que fa troditionnel'e « cuiller de bo's » échoit cette année aux aarcons de Tournîne. Chez les fil'es. In tmkiérne place p«t acouise par les Flandres d'ex trême iustesse c détriment des Auveronates. tandis que la der nière ploce est l'aponoge des jeunes Provençales.

L'ultime après-midi sous le signe du plus grand sérieux, car désor mais les places vont ctre chères. Si l'on excepte le nouvel exploit de Delossus (toujours oussi bottant) qui sort un Melkonion terrorise

à l'idée de perdre, les résultats sont normaux. Secrétin et Rœsch poursuivent leur travail de sape (Il faut voincre, ne serait-ce que pour se

rencontrer une nouvelle fois !)

et

les

jeunes

Pêcher et

Brion (le brave Patrick s'inclinera avec les honneurs) font les frais

de ropérotion. Lendroit, Guétière et Nadulek, plus percutants, triom

phent eux aussi en 2 sets nets et amènent les Flandres et la Lor

raine à égalité pour ce qui est du nombre de qualifiés : 3 portout.

DES INDIVIDUELS PLACES SOUS LE SIGNE DE LA REVANCHE

L'éclotant triomphe des Lorrains avait-il annihilé chez des adver saires nettement dominés toute velléité de revanche? La question se posoit en cette aube du 2 avril, dernière iournée d'une captivonte compétition. Toutefois, ici de nouveoux éléments devenaient déter

minants : la fatigue physique et nerveuse, cor de nombreux jeunes 22

Plus difficiles sont les victoires de Pontille sur Weber et de Gollet f.4r, 4® Lyonnais et la Bourgogne auront eux oussi leur qua lifie, mais il s'en est fallu de peu. Les quarts de finale sont enlevés sans qu'il y oit de belle. Tou jours la même verve insolente chez les deux favoris : Christion cor^Qit trop bien son omi Lendroit et Jacques est quand même plus

rusé que le petit roubaisien Guétière qui pourtant ne se dégonfle

pas et déchaîné les applaudissements par son sens de l'offensive.


D'autre port Nadulek et Delossus, accrochés très sérieusement tous deux au premier set (25-23 pour le premier^ et 27-25 le deuxième) se déchaînent ou deuxième set face a Gallet et Pon-

tilîe qui perdent confioncc et s'inclinent. 2 Flandriens, 2 Lorrains en demi-finales : déjà vu en Î963 à Beauvais.

En Minimes garçons, qualification normole des quatre rneilleurs du lot, le Lorrain Lendroît et l'étonnante tripjette nordiste, Secretm itout à fait normal), Delassus et Brion moins connu que celui-lo

mais pourri de classe et qui sua sang et eau pour se défaire des joueurs très sûrs que sont Pêcher et Bloc. Un outre favori, le Bre

ton Gaugain, après ovolr éliminé à l'usure le benjamin amienois Lefèvre, déçut quelque peu face à Lendroit.

Deux beaux champions, deux belles championnes et derrière eux une pléiade d'espoirs au talent prometteur. Comme l'a si bien dir Alex Agopoff, le ponglsmc fronçais est bien portant et le niveau de jeu pratiqué d'une excellente facture. Pour en revenir à cette soirée, elle se termina bien entendu par

les cérémonies protocolaires, les quatre meilleurs de chaque finale montant tour à tour sur le podium pour y recevoir coupes et pla quettes.

Les Interjeunes 1964 ovolent vécu. Grâce à l'accueil extraordînairement chaleureux de nos grands amis d'Egletons, nous avions

tous vécu dons la petite ville de Corrèze des journées inoubliables et réconfortante au plus haut point.

Mais si les garçons lorrains et flandriens trustaient littéralement les places d'honneur (8 demi-finalistes sur 8 pour les deux ligues), il en était tout autrement chez les féminines.

En Cadettes, les deux Normandes Fronceschi et Peloquin et rOrléanaise Burgevin se promenaient en quarts de finale (2p P ^ de moyenne pour les deux sets pour leurs adversaires). Seules I Auchelioise Delassus et la Lorraine Bernard, animees toutes deux par la même volonté de vaincre, se livraient a uri marothon épuisant

La Commission Fédérale des Jeunes adresse des félici

tations à l'équipe organisatrice des Journées Nationales des Jeunes, en particulier à MM. Blum et Proust et re mercie la Ligue du Lyonnais qui a mis 12 tables à la disposition du comité organisateur.

et plein de suspense, d'où la première pommee sortait vainqueur

d'extrême justesse. Elle ne pouvoit récidiver en demi-firiale ou pour

avoir fait ie jeu et de très intelligente manière la longiligne et élégante Franceschi l'emportait très logiquement, taridis que loutre

LE P.P.C. ROANNE

Normande Péloquin, plus sûre en poussette en éliminant Burgevin apportait à ses dirigeants la belle satisfaction (assez inattendue)

d'une finale purement normande.

En Minimes filles. Dans cette catégorie, les événements se dérou laient normalement, Burgevin étant trop solide pour Lallouet qui s'énervait et Ponchart trop odroite pour l'Auvergnate Carte (celleci ayant eu le mérite d'éliminer la petite Lacofrette, gamine extrê mement douée et dont on reparlera).

Restaient les demi-finales garçons qui furent en cadets rapide

ment expédiées, car si Secrétin avait retrouvé la forme « optima » et le coup de potte adéquat (Nadulek s'en aperçut bien vite), Rœsch n'était pas décidé à faire de cadeaux au jeune Delossus manifestement peu à son affaire face aux top-spins et aux boulets de l'ami Christian ; la logique triomphait la encore. En Minimes, une explication très chaude, prenonte, entre Len droit et le même Delassus. Des deux cotes, un excellent jeu de

table et un coup droit meurtrier. Victoire de justesse du Nordiste après maints renversements de situation, mois un résultat inverse n'eût pas étonné. . L'autre demi-finale, entre Secrétin et Bnon, fut très spectacuioire elle aussi et confirma les remarquables dispositions offensives du jeune poulain de Devys. Dès lors, tout etoit prêt pour la soiree finale dont les huit protagonistes se répartissaient comme suit . Flandres 4, Lorraine 1, Normandie 2 et Orléanais i. A 20 h. 30, dans l'allégresse générale, on abordait le stade ultime de la compétition. Disons que les trois premières finoles se dérou

(Alain BARDET et Henri GAILLARD)

brillant vainqueur du Challenge LEMENAGER (Coupe de France des Jeunes) DEMI-FINALES

A.A.E. AUCHEL BAT E.G. NANCY, 3-1. Auchel présente Delassus (30) et Fosse (30). Nancy aligne Nodulek et Gry (25).

Noncy marque le premier avec Gry, vainqueur de Delassus, 19, —17, 18, puis Fosse égalise pour Auchel devant Nadulek, qui resta deux fois à 17. Auchel, en s'adjugeant le double,marque un point précieux acquis sur le score de 18 et 20, puis Delassus porachevait le succès de l'équipe du Nord en obtenant le troisième

et dernier point à l'issue d'un duel acharné avec Nadulek, battu —15, 17, 18.

lèrent comme prévu.

En Minimes filles, Muriel Burgevin rééditait so victoire de Beau vais, grâce à son gabarit nettement supérieur et a sa plus grande sûreté dans le renvoi. Il est vrai que Annie Ponchart, largement menée d'entrée, perdit confiance et ne parvint jamais a régler son coup droit.

En Minimes gorçons, finale spectoculalre entre deux compères qui se connaissent de longue dote et pour la nième fois Jacques bat Jean-Luc à la satisfaction des deux papas et des participants eux-mêmes. Bien sympathique tout cela...

En Cadettes filles, pas plus de suspense ici que là, ça ne pas car Marie-Cloude, sûre d'elle-même, frappe sur tout et emporte le titre suprême malgré une résistance « trop défensive >, helas, de M.-C. Péloquin. Mais nos deux filles quittent l'arène le sourire aux lèvres, visiblement satisfaites de la revonche obtenue sur les fuies de Lorraine.

En Godets gerçons, la grande finale, digne opothéose de trois jour nées marquées du sceau de la qualité. Après quelques échanges d'observation, Christian Rœsch prend rinltictive du jeu, frappe et marque. Changement à 14-6. Et pourtant Jacques semble tenir bon et remonte à 15-10 sur quatre coups droits consécutifs. Nouvelle offensive de Christion sur son service et après un merveilleux échange (10 contres consécutifs!), set pour la Lorraine par 21-11. Dès le deuxième set, Jacques change sa manière et joue davan

tage en retrait, remisant les top-spins de Christian en défense et attaquant très opportunément par balles croisées ; 7-3, .12-9, 15-10, 19-11 ; Jacques mène constomment à la marque devant un Christian Rœsch qui semble accuser le coup et réaliser soudain que les mésa ventures de 1962 (face à Nalès) et de 1963 (face à Streit) pour raient bien se reproduire en cette soirée d'avril 1964. Le troisième set est la réédition exacte du second car le Lorrain,

mené à la marque par 6-3, puis par 10-4, rate des coups fociles, tandis que Jacques Secrétin avide de revanche réussit des coups extraordinaires de précision aidé aussi à plusieurs reprises il est vrai par dame Chance. A 18-12 pour Secrétin, Rœsch remonte à 18-15, mais s'incline finalement por 21-15, sous les apploudissements nourris d'un public enthousiaste. • u • Certes, comme tout bon Nordiste qui se respecte, le chroni^qtieur occasionnel que je suis a bondi de joie en constatant ta défaite, mon brave Christian ; cruauté du sort, à trois reprises, tu as entrevu le titre Cadets, trois fols il t'a échappé ; et pourtant, je pense tra duire là l'impression générale en affirmant que tu es vraiment le plus grand espoir français de ces dernières années. En 1964 pour tant, en réussissant de haute lutte le doublé « Minimes-Cadets »

ton jeune ami Jacques Secrétin s'est hissé, lui aussi, à l'échelon supérieur.

P.P.C. ROANNE BAT A.S.P.T.T. ARRAS, 3-1,

Roanne présente Aloin Bardet (15) et Henry Gaillard (30), tandis qu'à Arras, on trouve deux « 30 », Henry et Merlot. Bordet ouvre le score aux dépens de McrJot, qui lui résiste bien (20, 14), son coéquipier Gaillard faisant de même avec

Henry, mois faiblissant au troisième set (— 20, 20, 10). Roonne reprend l'avantage grâce au double, qu'il empoche en deux sets

secs (13, 16). Alain Bardet obtient le point décisif devant Henry, qu'il loisse à 15 et o 13. FINALE

P.P.C. ROANNE BAT A.A.E. AUCHEL, 3-2.

La finole sera longtemps indécise et Delossus père, tout autant que Bardet père, ont passé de bons, mois aussi de bien mouvais

moments. Au premier match, Bardet marquera sans doute le point copitol devant Delassus (—13, 16, 19). Auchel égaliso oussitôt par Fosse, voinqucur de Gaillard (16, 18). Moment critique avec

le double, qui s'avérera finalement le point capital, que gagnent les Roannofs au 3^ set (17, —17, 12). Alain Bardet, dans un grand jour, reste invaincu dans cette épreuve et marque le point décisif devant Fosse (13, 11). Pour l'honneur on joue le dernier match et Delassus réduit l'écart finol pour Auchel devant Gaillard, bottu 12 et 17.

i


En Championnat de France par équipes Sensationnel doublé de

l'ATHLETIC CLUB BOULOGNE-BILLANCOURT

L'édition 1963-1964 du Championnat de France par équipes aura été marquée en fin d'épreuve par le sen sationnel et magistral doublé de l'A.C- Boulogne-Billaiieourt. Le club cher à Claude POULAIN, non content de envie^

démontre un certain goût

rappeler, l'A.C.B.B. obtient pour la 6ème fois le titre de la première division, dépassant son grand rival parisien, le R. C. France qui ne compte que 5 titres. L'A.C.B.B. TERMINE INVAINCU CHEZ LES FEMININES.

Boulogne-Bflloncourt a sans doute, cette année, voulu bien foire

les choses, car non content de conserver son titre, ce qu'il lit avec brio, ne concédant aucune défaite et s'offrent le luxe de prendre

le meilleur sur le Stade Français, sons aligner sa championne de France, Martine Le Bras, et ne permettant même pas à son vieux rival de sauver l'honneur I

L'U.S.E.G. Poris, profitant de sa victoire sur Clermont-Fcrrand,

rejoignait le Stade à la seconde place. Ce qui est égolement un excellent résultat pour Hildegords Kroska et ses coéquipières pour leur première année en Division Nationale.

Les Clermontoise occupent la quatrième place, ce qui est hono rable, puisque, jouont à deux, peut-être qu'avec Laure Dufour le résultat final aurait pu être meilleur, mois il ne nous opporticnt pas d epiloguer.

Puis viennent Nancy et Colombes-Sports, à égalité de points, qui se rencontraient au titre de lo dernière journée. Colombes, qui termine en beouté, a pris so revanche de l'aller, Nancy limitant le score grâce à Marie-Claude Lecler. Félicitons Nancy pour sa bonne tenue dans cette épreuve relevée et dominée por les formotîons parisiennes et bravo à l'équipe de Jeanne Dclay, qui vient

Dernier résultat. Argentan, avec deux joueurs, prenait lo meil leur sur Fontenay, trois victoires de Jocques Héloine et deux de Le Brct, dont une sur Grébonval, 22-20 au 3*^. Victoire pour l'honneur qui sera insuffisante pour sauver Argentan do la descente. Un Argentan qui n'alignait plus sa nouvelle recrue de Cannée, Jean-Claude Treinen, pour des raisons que nous ne connaissons pas et qui, en compognie de Bordeaux, se voit relégué en Deuxième Division.

Fontenay occupe la 5^ place,^ le champion sortant connaissant une série noire depuis le 16 février et accumulont les défaites,

cinq consécutives et chaque fois sur le score de 5-4. On trouve ensuite le Racing, cher au cœur de Comi Katz, ce n'est plus le Racing triomphant, mais un club qui doit lutter pour se maintenir. Avec la présence d'Amourctti, les efforts du toujours

jeune Hogucnauer, do Sautorcau, de Leroux, le R.C.F. est sauvé, mais attention pour la saison prochaine, les jeunes ont les dents longues.

LILLE ET NICE EN FINALE DE DEUXIEME DIVISION.

d aligner trois succès consécutifs.

Pour ^n dernier match, La Fuye Tours ovoit fait appel à There^ Roy et il en fut bien inspiré, prenant ainsi une nette ^voni^e sur les Lyonnaises du Rhône Sportif, où seule Ginette Chambery se montra à la hauteur. A la suite de cette victoire, les tourangelles ont relégué les lyonnaises à la dernière place et

Toui^, comme Lyon, seront condamnés la saison prochain à jouer en Deuxième Division, Fontenay et St-Chamond devant les rem placer. Le bruit circule déjà que St-Chamond renoncerait d'avance a jouer en haut lieu, ce qui laisserait à Tours un secret espoir, mais attendons l'heure de la vérité. XXX

Le C.S. Lille de Gilbert Petroff, sûr de sa qualification pour lo

finale, n'a peut-être pas donné le meilleur de lui-même lors de son déplacement o Brest pour son dernier match en poule A, Odeyé et ses camarades infligeant un 6 à 3 au leader lillois. Amiens, qui avait pris goût à la victoire, a malmené Chartres, battu 8-1, partagcont ainsi la seconde place avec Messine, vain queur du Métro. Notons dans cette rencontre les performances de Robert Saul (10) sur Coficro (0) et Bouzin (0).

Reims, qui effectuait le difficile déplacement du Havre, fut mené 5-2 et voyait ainsi Le Havre le dievancer d'un tout petit point, un point qui condamne Reims et Chartres à retourner en Troisième Division.

En poule 6, Nice, déjà qualifié, ne jouait pas en ce 26 avril, qui vit Marseille disposer d'Annecy, qui ne pouvait déplacer que deux joueurs, dont un « 45 », et Roanne allant vaincre Toulouse chez lui, et les Bardct et Nardy prenant le meilleur sur les Lefcbvrc

PAS INVAINCU, MAIS CHAMPION AU GOAL-AVERAGE, L'A.C.B.B. L EMPORTE EN PREMIERE DIVISION MASCULINE. d'un championnat passionnant jusqu'en sa dernière journée, la formation masculine de l'A.C.B.B. se pare du titre

et Tolosa.

mojeur, lui apportant, après son succès féminin, lo grande consécratiori qui lui permettrait de se parer du titre officieux de club

monde reste qualifié.

Ici, por suite des forfaits de LImoux et de Caudéran, tout le

Son succès n'est pos une grosse surprise, car en

définitive bien des équipes se valaient, mois il fallait pour le faire devancer le tenant, Fontenay, qui, au départ, paraissait bien arme, le Racing, toujours redoutable, le C.S. Union qui, à la fin des aller, comptait 4 points d'avance sur Fontenay et 6 sur I A.C.B.B., le Racing et Liévin, ce dernier accomplissant, dans

lo première partie des^ matchcs retour, un parcours triomphant. I Cheminots ocrniere journée, le club de Chergui nettement sur les Parisiens, bénéficient d'un l'emportoHexcellent Béguin, qui foisait aussi bien^ que i'ex-champion de France. Tout aussi faci

lement, do son cote, le C.S. Union se jouait du Racing, limitant le score par Amourctti, s'offrent la satisfaction personnelle de prendre le meil eur sur le nouveau champion de France Vincent Purkart, le meilleur do la rencontre étant toutefois Jacques Loger, et notons au passage que Michel Bouzigues (35) prenait le meilleur

sur Leroux

et Soutercou (10). Le goal-average sacrait

Boulogne chompion. Le club cher à M. Poulain s'ctant incliné

seulement a Coller devant le Racing, le C.S. Union et Argenton, chaque fois sur le meme score étriqué de 5 à 4 et ne connaissant plus lo défaite depuis le 5 janvier.

Ce même mois de janvier étant fatal au C.S. Union, qui connoissait lo défaite devant le Racing, puis devant Liévin, deux fois par 7 à 2, puis par 6 à 3, laissait s'échapper la couronne devant l'A.C.B.B. le 1

mors.

On trouve en troisième position l'U.S.A. Liévin, qui a roté le coche dons le dernier

parcours, tout comme la saison dernière.

Pour son dernier match, les hommes de Chorlot prenoient le meilleur sur ceux de Gœman, assez facilement, Bordeaux n'ayant plus rien à espérer. Les liovinois devancent les cheminots porisiens, qui se sont bien repris, n'oublions pas qu'à la fin dos matches aller, le C.S.P.S.E.

était encore en 7* position.

«i

XXX

NANTES, CHAMBERY, SAINT-DENIS, HALLUIN LEADERS DE LA TROISIEME DIVISION.

Passons sous silence le forfait de Nantes à Brivc, heureusement Brive étant bon dernier, cela ne changera rien au résultat final.

A l'image des nantais, il semblerait que l'on ait terminé dans cette poule en « roue libre », les deux clubs rennais subissant la

loi d'Angers et du Mans, bien que jouant chez eux !... Par oilleurs, Bèglcs confirmant son succès de l'aller sur Cenon qui lo recevait, laissait à ce dernier l'inconvénient du droit à la

descente en compagnie^ de Brive. En poule B, Chambéry et l'A.S.G. Morseille ont terminé victo rieusement et les protégés de M. Decroix l'ayant emporté deux fois sur les marseillais, obtiennent le bénéfice de la première place, alors qu'au départ la formation méridionale, qui présentait Caverzaghi (10), Casorotti (15) et Rival (20), semblait intou chable.

Nette victoire de Toulon, obtenue à Marseille devant l'EIcctric, qui n'avait trouvé que deux « 40 » pour épauler Pellcgatti. Chez lu];, le Rhône Sportif, qui alignait Granier, prenait le meil leur sur FeurSi, les deux clubs lyonnais luttant ce jour-là pour l'honneur, se sachant relégués.

En ^ poule C, Aulnoy, profitant de la présence d'Alex Ehriich, n'avait aucun mol à prendre lo meilleur sur Vassy, au compte d'un match remis du 16 février qui contribuait grandement à le souver.

St-Denis termine victorieusement et sera le seul club de Troi sième Division à terminer Invaincu, ce dont il faut féliciter les Bortoluzzl, Molet ot Stepok.


victoires de Christian Rœsch, mais oussi deux du messin Jean-Pauf

Le derby normend Rouen-Coort û souri oux protégés du pré sident Piantrou. Disons cependant, c'est peut-être d'ailleurs une erreur de notre port, que cette équipe nous paroissoit devoir pou

victoire messine

voir faire mieux dans cette poule.

leur table.

Weber (un bon 30), qui prit le meilleur sur Dubus. Cette dernière

Dammorie a joue le jeu et pour le sport, a battu Vassy qui,

le fauteuil du

Le Mans a fait l'impossible et pour son dernier match, prenolt le meilleur sur Le Trait, battu de justesse. Malheureusement pour les monceaux, le goal-overagc était favorable à Aulnay. du goal-overage

de rester

imbattus sur

leader.

Pour le prestige, Auchel s'imposait « at-home » devant Thion-

villo, ce qui était conforme o la logique, tout autant que la victoire de Sedan obtenue à Mulhouse, ce dernier finissant bon dernier et accompagnant Cronenbourg en division régionote.

Vassy et Le Mans sont donc derniers.

besoin

locaux

De son côté, sans histoire, Halluin prenait le meilleur sur Cronenbourg, ce qui lui permettait de détenir en toute propriété

jouant chez lui, ne présentait pas Daniel Lepage...

Alors que nous pensions ovoir

permettant oux

pour

trouver le leader do la poule D, la St-Mîchel Roubaix^ est allée

Georges DUCLOS.

se foire bottre à Metz sur le score sans appel de 6 o 3. Trois

LES RESULTATS DU 26 AVRIL 1964

/

match, 20 fév. 64).

A.C.B.B. bot Stade Fronçais, 9-0. U.S.E.G. bat G.E. Clermont, 7-2. MESSIEURS

temps utile).

^

Amiens S.C. c.

G.S.O.S. Le Mons (résultat non communiqué

Boyard Argentan bat Fontenay, 5-4.

en temps utile).

C.S. Union bat Roclng C.F., 7-2.

c. S.C. Soint-Chamond

C.S.P.S.E., 7-2.

(résultat non

DEUXIEME DIVISION

muniqué en temps utile).

POULE

15 mors 1964 :

com

2® division, Poule A ; G.S.O.S. Le Mans c. A.C.S. Fontenay (résultat non communiqué

Messine bot Métro, 6-3. Le Havre bot Reims, 5-4. Brest bot Lille, 6-3.

en temps utile).

TROISIEME

CLASSEMENTS

DIVISION

A

Brive bot Nantes, w.-o. Angers bot T.A. Rennes, 6-3.

A.S.G. Marseille bat Besançon,9-0. R.S. Lyon bat Feurs, 6-3. Toulon bat E.S.C. Marseille, 7-2. Chambéry bat A.S.P.T.T. Marseille, 6-3. POULE C

I. A.C.B.B., 42 pts, 109-17. 2 Stade Français Paris, 34 pts, 70-50 ; U.S.E.G. Paris, 34 pts, 86-40.

4 G E.C Clermont-Ferrand, 32 pts, 70-56. 5. A.S.E.G. Nancy (G.A. 10-8, 24 pts, 53-73.

St-Denis bat Aulnay, 6-3. Rouen bat Coen, 7-2, Dammorie bat Vassy, 6-3. Le Mans bat Le Troll, 5-4.

6. Colombes-Sports (G.A. 8-10), 24 pts, 45-81.

7. P.L. La Fuye, Tours, 18 pts, 43-83. 8. Rhône Sportif Lyon, 16 pts, 28-98.

Match remis du 16-2

Aulnay bat Vassy, 7-2.

DEUXIEME DIVISION.

POULE D POULE

Auchel bat Thionville, 6-3. Sedan bat Mulhouse, 6-3. Halluin bat Cronenbourg, 7-2. Metz bat Roubaix, 6-3.

1. 2. 3. 4. 5.

AMENDES Amendes en Championnot de féminin par équipes

France

A.

A.C.S. Fontenay, 24 pts, 62-10. Amiens S.C., 20 pts, 52-20. U.S. Pétruvienne, 16 pts, 28-44. A.S. Messine, Paris, 12 pts, 23-49. G.S.O.S. Le Mans, 7 pts, 15-57.

POULE

B.

32-44.

2. A.S.G.

Marseille

(G.A.

2), 38

pts,

87-39.

E.S.C. Marseille, 30 pts, 62-64. R.C.F.C. Besançon, 28 pts, 57-69. C.S. Toulon (G.A. 6), 24 pts, 54-72. A.S.P.T.T. Marseille (G.A. 2i , 24 pts,

63-63.

7. Rhône Sportif Lyon, 22 pts, 50-76. S. U.S. Feurs, 20 pts, 49-77.

1. 2. 3. 4.

U.S. St-Denis, 42 pts, 87-39. A.S.R.G. Coen, 34 pts, 72-54. C.N.A. Rouen, 32 pts, 79-47. Esso Sportif Le Trait (G.A. 11-7),

26 pts, 60-66.

5. E.S.

Dommorie-les-Lys

(G.A.

7-11)

26 pts, 58-68.

6. A.P. Aulnay (G.A. 11-7), 22 pts, 58-68. (G.A. 7-11), 22 pts, 45-81.

8. U.S. Vassy, 20 pts, 45-81. POULE D.

1. C.S.J. Holluin, 36 pts, 85-41. 2. S.M. Roubaix, 34 pts, 83-43. 3. A.A.E. Auchel, 32 pts, 72-34- PPC Sedan, 32 pts, 71-55,

5. P.E.C. Metz, 30 pts, 67-59. 6. Sportive Thionville, 26 pts, 63-63. 7. Amande Cronenbourg, 20 pts, 51-75 8. F.C. Mulhouse, 14 pts, 12-114

1. S.C. St-Ctiomond, 18 pts, 40-14. 2. A.S.S. Lyon Dépôts, II pts, 21-33. 3. La Voulte Sportif, 10 pts, 29-25. 4. A.P. Clermont-Ferrand, 8 pts, 18-36. MESSIEURS

2« division, Poule B : La Voulte Sportif c. A.S.S.L.D. Lyon (résultat non communi qué en temps utile). 22 décembre 1963:

S.C. St-Chamond

c. La Voulte Sportif (résultat muniqué en temps utile).

non

com

5 janvier 1964 ;

U" division ; R.S. Lyon c. P.L.L.F. Tours

(résultat non communiqué en temps utile). 2" division. Poule A : A.C.S. Fontenay c. C.S.O.S. Le Mans (résultat non communiqué en temps utile).

2® division, Poule B : La Voulte Sportif c. A.P. Clermont-Ferrond (résultat non com

muniqué en temps utile). 19 janvier 1964 :

division ; U.S.E.G. Paris c. Stade Fran (résultat non communiqué en temps

utile).

2 février 1964 :

1 division : C.E.G. Clermont-Ferrand c. P.L.L.F. Tours (résultat non communiqué

PREMIERE DIVISION.

1. A.C.B.B. (G.A. 10-8), 36 pts, 80-46. 2. C.S. Union Paris (G.A. 8-10), 36 pts, 71-55.

3. U.S.A. Liévin, 32 pts, 70-56. 4. C.S, Paris S.E., 28 pts, 61-65. 5. A.C.S. Fontenay (G.A. 6), 26 pts, 68-58. 6. R.C.F. Paris (G.A. 2), 26 pts, 59-67.

7. Boyard Argentan, 24 pts, 58-68. 8. C.S. Régie Bordeaux, 16 pts, 37-89. DEUXIEME DIVISION. POULE

I.

1. C.S. Lille, 36 pts, 74-52. 2. Amiens S.C., 34 pts, 84-42 ; A.S. Messine Paris, 34 pts, 77-49. 4. A.S.P.T.T. Brest, 32 pts, 67-59.

5. U.S. Métro Paris, 26 pts, 59-67. 6. A.S.P.A.H. Le Havre, 21 pts, 44-82. 7. Olympique Reims, 20 pts, 58-68 ; T.T. Chartres, 20 pts, 41-85.

en temps utile).

2« division, Poule A : Amiens S.C. c. Fon

tenay (résultat communiqué en temps utile mais réception de la feuille de match, 10 fév. 64).

16 février 1964 :

2» division, Poule A ; A.S. Messine Poris C. Amiens S.C. (résultat non communiqué temps utile).

POULE

B.

8 décembre 1963 :

en

(G.A. 61 , 20 pts,

POULE C.

; PREMIERE DIVISION.

POULE B

1 çais

7. U.S.C.R.D. Cenon

8. M.J. Brive (G.A. 21, 20 pts, 45-81.

DAMES

Bègles bat Cenon, 6-3. Le Mans bat A.S.C. Rennes, 8-1.

2" division. Poule B

4. T.A. Rennes (G.A, 8), 30 pts, 69-57. 5. C.O.P. Le Mans (G.A. 6), 30 pts, 74-52. 6. C.A. Bègles, 22 pts, 47-79.

3. 4. 5. 6.

II

Marseille bot Annecy, 7-2. Roanne bat Toulouse, 6-3. POULE

3. G.E.C. Angers (G.A. 10), 30 pts, 7)-55.

1. A.S.P.E.S. Chambéry (G.A, 6), 38 pts,

I

Amiens bot Chartres, 8-1.

POULE

DIVISION.

A.

45-81.

2® division, Poule B : La Voulte Sportif

bot Bordeaux, 7-2.

A.C.B.B. bot

1 division : R.S. Lyon c. G.Ê.C. Cler mont-Ferrand (résultat non communiqué en

2® division, Poule^ A

PREMIERE DIVISION

POULE

1. A.E.S.S. Nantes, 37 pts, 77-49. 2. A.S.C. Rennes, 34 pts, 76-50.

K"- mars 1964 :

Colombes Sports bat A.S.E.G. Nancy, 6-3. P.L. La Fuye Tours bat R.S. Lyon, 7-2.

TROISIEME

(résultat communiqué en

temps utile mois réception de la feuille de

PREMIERE DIVISION

Liévin

2® division. Poule A : U.S. Pétruvienne c.

A.C.S. Fontenay

DAMES

POULE

2ème Division :

LILLE - NICE : 5-4 Sème Division :

II.

1. U.S.C.C.A. Nice, 28 pts; 68-22. 2. La Voulte Sportif, 24 pts, 54-36. 3. A.N.D. Marseille (G.A. 10), 18 pts, 39-51.

4. P.P.C. Roanne (G.A. 8), 18 pts, 44-46. 5. Toulouse O.A.C. (G.A. 6), 18 pts, 40-50. 6. M.J. Annecy, 13 pts, 25-65.

HALLUIN - ST-DENIS : 5-0 NANTES - CHAMBERY : 5-3 Finale :

HALLUIN - NANTES : 5-3. 25


îT]

'

DANS L'EPREUVE FEMININE, A.C.B.B. (TENANT DU TROPHEE), R.S. CHAMPIGNY, A.C.S. FONTENAY ET U.S.E.G. PARIS QUA LIFIES POUR LA JOURNEE FINALE.

L'exploit de cette journée du 19 avril re vient au R.S. Champigny éliminant aux Andelys le Stade Français qui faisait figure

A Metz, Amiens, à la suite du forfait de Fontenay, fournissait le qualifié de ce cen

Centre n® 1. — Poris.

dominé par

Metz et surtout par Christian

Rœsch, ce

dernier s'offrant

Casorotti bat Sautereou 14, - 15, 10, - 15, 15; Coverzaghi bat Leroux 17, 13, 19;

performance

de choix

une

devant le

nouvelle 1

série

Jacques Gambier qui le mena pourtant 2-1.

de favori logique de par le classement indi

Georges DUCLOS.

viduel et le renom de ses joueuses. Cham pigny débute en trombe par Chantai Le-

Mlle Dufour, « un bon petit 50 » pour égaliser... mois le Stade perd ensuite le double ce qui n'arrange rien, d'autant plus

Cosorotti bot Coussin 13, -19, -11, 15, 13; Chergui bat Coverzaghi 12,'-16, -16,

Christiane Delaubert ayant « souffert » de

vant Christiane Fréville. Fontenay (Gernot, M'Ohktq^i)

l'emporte

assez

15, 20; Caussin-Chergui battent Casarottl-

Centre n<^ 1. — Paris.

ceux attendus, l'A.C.B.B. (Delaubert, Le Bras) continue sa route avec aisance, seule facilement

à

Besançon où l'on note toutefois la perfor

Ccverzaghi 20, 18, -19, 1 1 ; Chergui bot Casarotti -15, 17, -9, 16.

A.C.B.B. bat U.S. Le Mans : 3-0.

Delaubert bot Monat, 17, 11, 20 ; Le Bros bot Pinot 10, 5, 12 ; Delaubert-Le Bras bot tent Monat-Pinot 8, 18, 16. A.C.B.B. bat C.S.P.S.E. ; 3-0.

Delaubert bat Fréville -17, 13, -21, 10,

mance de Morcelle Salomez (15) sur Jean

14; Le

nette Gernot (10) après un cinq sets ardem ment disputé. L'U.S.E.G. Paris (Kraska, Cuinet, Portet) étant la dernière qualifiée, qua lification que les Parisiennes ont acquise à B^les, devant les locales et les Clermontoises, Jacqueline Viola ayant dû subir la loi

Delaubert-Le

d'Hildegorde Kroska.

Bras bat Antonlaza Bras

battent

18, 19, 21 ; Antoniazo-Fré-

ville 14, 18, - 18, - 11, 25. Centre n"^ 2. ^ Les Andelysi

PARIS ET D'AMIENS.

cfAmouretti. Performance de Casarotti (15) sur Sautereau (10), battu 3-2. Au four sui vant, les Marseillais durent subir la loi de

avec

un

Chergui

en

excellente

forme, son coéquipier Coussin (5) fut moins

le C.S. Union temportait, il le devait o son nouveau champion de France, Vincent Pur-

kart, dont la tache ne fut pas de tout repos notamment devant le Niçois Jacques

Martrenchar 14, -11, 18, 16; Greffion bot Martrenchor 18, 19, 17; Laclaverie bot Mo risseau 18, 1 1, - 18, 19.

R.S. Champigny bat C.S. Andelys : 5-0. Lemazurier bat Chauchis 11, 5, 7; Dufour bat Boué 13, 13, 11 ; Lemazurler-Dufour bat

Benko bot Martrenchor 9, 18, -20, 19; Purkart bot Lcclaverie 18, 12, -18, 8; Purkort-Bouzigues

tent Chauchis-Boué 13, 8, 16; Lemazurier

trenchar - 23, -18, 16, 17, 23; Purkart bat

bat Boué 8, 7, 11 ; Dufour bat Chouchis 14,

Martrenchor 16, 19, 10.

R.S. Champigny bat Stade Français: 4-1. Lemozurier bat Chéreau 22, 15, - 18, 20; Van Robays bat Dufour - 17, 17, -20, 11, 14;

Dufour-Lemazurier

battent

Bonneton-

Van Robays 17, 15, 18; Lemazurier bot Von Robays 12, -14, 14, 20; Dufour bat Ché reau 23, 17, 17.

Didier ovec des sets arrachés à 30-28 et

Centre n<* 3. — Besançon. A.C.S. Fontenay bat P.P.C. Roanne : 5-0. Gernot bat Coavoux 12, - 16, 16, -23,

14; MohktorI bat Szomik 13, 6, 7 ; GernotMohktori battent Coovoux-Szomik 17, 14, 17 ; MohktorI bat Coavoux 14, 3, 15 ; Gernot bat Szamik 9, 15, 11. A.C.S. Fontenay bat P.S.B. Besançon : 4-1.

21-19. Mentionnons aussi la performance du

Miohktori bat Marguet 18, -18, 22, 13;

nouveau champion de l'Ile-de-France, Michel

Salomez bot Gernot 17, -14, 17, -19, 13; Mohktori-Gernot battent Morguet-Solomez

Bouzigues (35), sur Robert Bonnet (10). L'air angevin fut favorable oux Cheminots

Parisiens, éliminant les locaux qui marquè rent pourtant le premier point de la ren

contre grâce à une performance de Pierre Lemanio (20) sur Roger Portier (15). De

son côté, Bordeaux éliminait te C.A. SaintLéon Paris qui sauvait l'honneur avec une performance de Thu Nguyen (20) sur Chris tian Bancon (5). En finale, les Cheminots prenaient le meilleur sur les Bordelais assez facilement après une très belle victoire de Gérard Choilioux (5), le meilleur joueur do ce centre, sur Bernard Goëman (0), battu

as

Lcclaverie bat Greffion 17, -15, 18, 18;

Martrenchor bot Morisseau - 15, 16,' 17'-is' 19; Greffion-Morisseau battent lloclaverie-

10, - 11, 13 ; Von Robays bat Delay 14, 19, 10 ; Bonneton bot Jeon - 22, 1 1, 17, -11, 20.

heureux, s'mctinant devant Markic (10) et

Cosorotti (15), chaque fois en cinq sets. A Cenon, le C.S. Union et Nice, d'une part^ les locaux et Nantesi, d'autre part, se livrè rent à des duels acharnés et si finalement,

en trois sets secs.

C.S. Union bot U.S.C.C.C.A. Nice : 3-2. Purkart bat Bonnet 16, -15, 22, 17; Didier bot Bouzigue - 18, 20, 15, 15; DidierBonnet battent Purkart-Benko 20, - 12, 9, -19, 19; Purkart bot Didier -18, 13, 28, 19; Bouzigue bat Bonnet - 19, 12, 20, 19.

C.S. Union bat U.S. Cenon ; 4-0.

battent

Lccioverie-Mar-

12, 8.

A^ Paris, excellent résultat de Marseille éliminant le Racing Club de France, privé

l'A.C.B.B.

Centre n'^ 2. — Ccnon.

U.S. Cenon bat A.E.S.S. Nantes : 3-2.

Stade François bat Colombes Sports : 3-2. Delay (C.S.) bat Bonneton 12, 21, - 19, 15; Van Robays (S.F.) bot Jean 20, 17, 12;

Delay-Jeon battent Chéreou-Van Robays 20,

EN MESSIEURS, L'A.C.B.B., TENANTE DE LA COUPE, TOUJOURS EN COURSE» EN COMPAGNIE DU C.S. UNION, DU C.S.P.S.E.

Coscrotti-Cover-

DAMES

Dimonche 19 avril 1964

meilleur sur

Dons les autres centres, les résultats sont

battent

Résultots des 1/8 et 1/4 de finale

que l'incroyable arrive, Lemazurier et Du Robays et Chereau.

Leroux-Soutercou

zoghl -4, -13, 10, 17, 16; Coverzaghi bot Sautereau 17, -16, 17, 18.

Chergui bat Nicolle 17, 18, -24, 17 ; Mar kic bat Coussin -15, 17, 19, 17; ChergulCaussin battent Morkic-Nicolle -17, 18, 11, 18 ; Coussin bot Nicolle 14, - 16, 20, - 17, 18. A.C.B.B. bat A.S.G. Marseille: 3-1.

à Odette Chereau (10), Anna Van Robays (5) doit lutter pendant cinq sets avec

Van

A.S.G. Marseille bat R.C.F. Paris : 3-1.

A.C.B.B. bat P.P.C. Sedan ; 3-1.

maxurier (15) qui prend le premier point

four prenant respectivement le

MESSIEURS

tre, plus à l'aise devant Jussey, battu 3-0, qu'au premier tour où il fut longtemps

14, 13, 16; MohktorI bot Salomez 9, 9, 9; Gernot bat Marguet 11, 9, 15. Centre n'' 4. — Bègles.

Audtn-Guillou 6, 8, 14. bat

G.E.C.

Po

Goëman bat Paté

12, 18, 16; Nguyen

bat Boncon 17, - 19, - 13, 26, 14; Bancon-

Goëman battent Nguyen-Paté - 12, 20, 19, 20; Goëman bot Nguyen 23, 11, 12. C.S.P.S.E. Paris bat G.E.C. Angers: 3-1, Le Manio bat Portier -13, -10, 15, 11, 13 ; Chailloux bat Redureou 19, 16, 11 ; Fortier-Ysnel

battent

Le

Monio-Redureau

- 19, - 15, 14, 16, 15; Chailloux

bat Le

Monio 11, 10, 1», C.S.P.S.E. Poris bat C.S.R. Bordeaux : 3-0.

Choilioux bot Goëman 8, 17, 11 ; Fortier bat Lasserre -20, 11, 14, -22, 20; CholllouxLofosse battent Bancon-Lassierre -18, -20, 12, 16, 17. Centre n® 4. — Metz.

E.S. Jussey bat A.C.S. Fontenoy : w.-o.

Kraska bat Guillou 3, 8, 10; Portet bat Audin 18, 15, 10; Krosko-Portet battent Paris

C.S.R. Bordeaux bot C.A. Soînt-Léon ris : 3-1.

Amiens S.C. bot P.E.C. Metz: 3-2.

U.S.E.G. Paris bat C.A. Béglais : 3-0.

U.S.E.G.

Centre n° 3. — Angers.

Clermont-Fer-

rand : 3-1.

Krasko bat L. Viola 1 1, 8, 19; J. Viola bat Culnet 19, -19, 19, 19®; Kroska-Cuînet bottent L. Viclo-J. Viola 10, 12, - 12, 13 ;

Kraska bot J. Vlalo -20, 12, 17, 12.

Rœsch bat Combler -15, 15, -9, 17, 12; Lambert bat Bouras 13, 14, 16; Gambler-

Lombert bottent Rœsch-Bouras 19, - 19, - 15, 16, 18; Rœsch bat Lambert 16, 13, -18, 14; Gambier bat Bouras 8, 8, 18. Amiens S.C. bot E.S. Jussey : 3-0. Gambier bot Covagnac 12, 12, 16; Lam bert bat Lemercier - 18, - 15, 16, 15, 11 ; Gombler-Lombert cier 14, 20, 16.

battent

Covagnoc-Lemer


L'activité Régionale neuf et ses instollations superbes, réfectoire, dortoirs, douches, salle de sport, de projec

tion, foyer et tout son

AUVERGNE

personnel, l'affaire

était lancée. Il ne restait plus qu'à œuvrer et évoluer.

Eh bien les membres du Comité de Cham

pagne, Faucheron, Soilot, Coulon, Becker, Méline, qui se sont rendus sur place à plu

sieurs reprises, ont pu constoter qu'il régnait Les

Ilcts terminent

une ambiance formidable à ce stage. Cette

invaincus

ambiance

en Chompionnat par équipe.

^fm^acé.ië. La saison 1963-64 n'est pas encore ache

vée. mais un premier bilan peut déjà être établi.

L'Alsace n'aura peut-être pos de repré sentant sur le plan notional la saison pro chaine,

par

suite

de

l'élimination

de

Cronenbourg et du F.C. Mulhouse, qui ter

constatée

Ciermont, sur leur propre table, par un 8-1

heures que nous avons pu passer avec eux.

sons appel.

Et puis il y avait là MM. Jo'y et Gourdin,

Les Postiers Clermontois, perdant leurs 2 derniers matches par 5-4, rejoindront l'E.C. Montiuçon en Honneur l'an prochain. Cusset, descendu cette saison, reprendra sa place en Excellence, accompagné par les P.T.T. Montiuçon, qui y feront leur appa

du

District

de

Montiuçon,

Tournois

d'été.

Cette

année avec

plaisir

l'Auvergne dans

ses

vouB

tournois

— 31 mai, SNPourçoin. — Premier grand — 7 juin, Vorennc-sur-Allicr. — 5® tournoi de l'entente Billy-Varennes. 3 coupes - 4 ta

bleaux - 8 tables. Dernier vainqueur ; Georges Pontille.

— 21

juin, Belierivc. — Tournoi estival

organisé par le Ligue - 4 tableaux.

C.P.

à

un film

souvenir

membres du Comité de Champagne et

était confiée à MM. Caries, Woirin, Chouvet, Jo'y pour les jeux et M. Lecrique, directeur

Le

compartiment technique, partagé

MM.

Loporte,

Artaud, Choinel

et

entre Caries,

fut suivi avec application et ce travail portero bientôt ses fruits en Champagne. D'ail

leurs, depuis, de nombreux tournois de jeunes sont organisés un pulsion

peu

partout, sous l'im

d'instituteurs comme

MM. Martine!

et Jullion, choque dimanche nos jeunes ont

l'occasion de se mesurer dans des compé titions officielles et montrer que ce ne fut pas inutile, n'est-ce pas, Gaspard et Lehoux ?

On

en

nées

—- 5 juillet, Thiers. — Idem.

à

reparlera l'issue

encore

de

ce

longtemps et on

rassemblement.

lettres échangées font foi. Nous avons remarqué au

— 19 juillet, Lczoux. — Idem. Jean BLANCHARD.

cours

de

Des

ces

séonces la présence de MM. Pilloy, directeur

départemental de la Jeunesse et des Sports, Colin, directeur du C.E.T. de Mohon, Becker, chef du district Marne, entouré des mem

bres du comité de Champagne Soilot, Cou lon, Faucheron, Méline, en plus du person nel

d'encadrement.

En HEUREUSE

INITIATIVE DE LA DE CHAMPAGNE

conclusion, de

bonnes

vacances

de

Pâques pour nos jeunes et que souhaiter d'autre ? Mieux faire l'an prochain et en attendant, entretenir ce qui a été réalisé.

LIGUE

C'est une heureuse et profitable initiative

Jean MELINE.

qu'a eue la Ligue de Champagne en orga nisant, du 31 mars au 4 avril, son premier stage en faveur des jeunes de 10 à 14 ans. Dons

le

cadre

enchanteur

du

C.E.T.

de

Mohon, en pleine nature, 45 jeunes garçons venus des quatre coins de la sélectionnés de leur district,

Champagne, ont évolué

pendant 5 jours, qui furent trop courts à leur gré. La Ligue de Champagne, sous l'impulsion de son président P. Lossaux, avait confié l'organisation et la direction techni

que de ce stoge à MM. Laporte et Artaud, moniteurs régionaux F.F.T.T., assistés de M. Caries et M. Férauge (juge-arbitre natio nal) pour les règles en vigueur. Une quin zaine d'instituteurs, fervents adeptes de notre sport, s'étaient offerts pour encadrer tout ce petit monde et profiter des leçons

venus disputer le premier tour du^ Challenge

pour en faire bénéficier leurs élèves. Avant

ses adversaires et confirme ainsi sa brillante

d'entrer dans les détails, il faut dire que l'idée ovait germé depuis fort longtemps en Champagne. M. Laporte se mit en rapport ovec ses^ représentants régionaux et l'affaire fut lancée. Mme Bestel, pongiste très connue, puisque championne de Champagne 196162-63, responsable U.F.O.L.E.P. pour le dépar

saison.

tement, se mit en rapport avec cet orga nisme et grâce à sa persévérance, elle obtint

Quevillois, qui a organisé pendant les vocon-

un appui très confortable. M

ces pascales un stage rassemblant quatorze jeunes sous la direction de Fred GabeL

en grande partie, la Ligue pour le reste et

Bravo et merci au C.P.Q. et o son infa tigable président, Marcel Lecaudé.

jeunes.

chuchote que de nombreuses relations sont

val organisé par la Ligue - 4 tableaux.

imitée en cela par l'équipe IV du même club en Division poule A, l'Auberge de la

du

les

tout cela d'un œil attentif, surtout aux repas.

encore,

d'été. Aussi retenez bien ces dates :

Promotion, où l'équipe III de Brustein a plané au-dessus du lot, terminant invaincue,

initiative

d'onimcr

de l'école de garçons de Mézières, surveillait

resté longtemps indécis. Pas de suspense en

louable

s'agit

leurs amis qui y ont assisté au cours des

Le championnat du District de Mulhouse a également désigné ses lauréats. En Division d'Honneur, un inédit, Waldighoffen, s'est imposé dans un groupe où le résultat est

et

il

On les voyait partout avec la caméra sur le dos, pour fixer à l'improviste quelque' scènes typiques de l'ambiance qui régnait là. Ces séquences rassemblées de moin de

interligues à Charleville. La partie condition physique de nos jeunes

nés à la descente.

Nouvelle

instituteurs de la région et qui s'y connais

sent quand

ainsi que Ris, les Viviers de Vichy et Lempdes opéreront en Honneur l'on prochain, le 4®,

supériorité de l'A.S. Electricité Strasbourg, que seul le P.P.C. Brustlein aurait pu Inquié ter. Cronenbourg II et Rixeim sont condam

STAGE A QUEVILLY

quelque"

maître ont donné lieu

— 28 juin, La Bourboule. — Tournoi esti

Edouard MULLER

nous l'avons les

les

tournoi de la cité du vin blonc.

Jaguar V et Brustlein V (Poule C).

bien

pendant

qui a enchanté, lors de sa projection, tous

La consolation et l'espoir d'un ovcnir meilleur viennent de notre trio de jeunes,

vainqueur de l'Auberge (9-0) et de Brust lein (8-1 ) et lauréat par la même occasion du Challenge de la Ville de Saint-Louis, récompensant chaque année l'équipe de Division la plus homogène. La Promotion d'Honneur devant compter deux poules la saison prochaine, les trois premiers de chaque poule de Division sont promus en catégorie supérieure ; il s'agit de : Brust lein IV, El Jaguar I I I et Vaillance et Joie I (Poule A), Huningue I, A.P.L. I et Altkirch III (Poule B), Auberge Jeunesse il, El

vécue

Enfin, les poules de promotion d'Honneur ont elles aussi désigné leurs promus et c'est

accueillera

Le titre de champion de Division est revenu après une compétition finale à l'A.P.L., net

et

rition, ceci après 4 ans seulement d'exis

adversaires supérieurs, nos voisins lorrains eux-mêmes ayant dû s'incliner devant les représentants de la Ligue des Flandres.

Jeunesse II et l'A.P. Lerchenberg s'adjugeant la 11"® place dans les deux autres poules.

dires des stagiaires, eh

tence.

n'étant pas encore connu.

Le championnat d'Excellente a consacré lo

part,

sine très soignée, variée et succulente aux

le ^ champion

dirigeait.

animateurs d'une

pour cortonner devant leur second, le G.E.C.

minent aux deux dernières places de leur

Gclli, Martial Boulanger et Gintz, qui a obtenu à Egletons une bel'e 9'' place, ne concédant qu'une seule défaite en poule éliminatoire, face ou Lyonnais. M. Rumelhard peut à juste titre être fier de l'équipe qu'il

aux

blissement et à son directeur, due à la cui

les Mets Montluçonnois ont conservé leur invincibilité, profitant même de l'occasion

groupe. Handicapées par la fréquence et la longueur des déplacements dans le Nord, nos équipes ont dû en outre affronter des

due

leur programme, due au personnel de l'éta

A l'occasion des deux dernières journées,

manquait le

nerf de la guerre, l'U.F.O.L.E.P. y participa le

directeur

disposition

du

des

C.E.T.,

en

stagiaires

mettant

son

centre

à

la

tout

Grand succès ou Tournoi Roger

Besonçon. — Près de 60 pongistes sont des

Vêtements

R.C.F.C. Comme

Roger, il

organisé

par

le

fallait s'y attendre, le

junior du P.S.B. Viennet a triomphé de tous RESULTATS

Quarts de finale. — Viennet (P.S.B.) bat Meunier (R.C.F.C.), 2-1 ; Arthaud (R.C.F.C.) bat Bollet (C.L.B.), 2-0; H. Jeanney (P.S.B.) bat Mathiot (R.C.F.C.), 2-0; Baptizet (Vesoul) bat D. Alber (P.S.B.), 2-1. Demi-finales. — Viennet bat Arthaud, 2-0 ; Jeanney bat Baptizet, 2-1. Pinole. — Viennet bat H. Jeanney, 2-1 (17-21, 21-11. 23-21). ^ La consolante a été remportée par B. Remy

(Vesoui), vainqueur en finale de J.-F. Gachc (P.S.B.), 2 à 0 (21-8, 22-20). 27


Les

La

ieçon

de

classements

1964

cette fois do l'Amicale du

EXCELLENCE. — 1. U.S. Madeleine, 13 I d., 40 pts ; 2. F.S.P. Croix, 8 v., 6 30 pts ; 3. A.S.P.T.T. Arras, S v., 5 d., 1 29 pts ; 4. A.A.E. Bully, 7 v., 6 d., 1 27 pts; 5. A.A.E. Auchel (2), 6 v., 8 26 pts; 6. A.S.J.B. Tourcoing, 5 v., 9 24 pts; 7. S.M. Roubaix (2), 5 v., 9

Chorievilie...

Sans entrer dans le détail de ce qui s'est

v., d., ft, ft, d., d., d.,

24 pts; 8. Amiens S.C. (2), 4 v., 10 d..

passé à Charleville sur tables et... en dehors, 11 faut avoir l'objectivité de reconnaître que

22 pts.

l'expérience flandrienne d'ignorer (de

1. U.S. Madeleine, 7 v., 1 d., 22 pts; 2. F.S.P. Croix, 5 v., 3 d., 18 pts; 3. A.S. P.T.T. Arras, 4 v., 3 d., 1 ft, 15 pts; 4. A.A.E. Bully, 3 v., 4 d., ,1 ft, 13 pts ; 5. A.S.J.B. Tourcoing, I v., 7 d., 10 pts.

ma

nière réfléchie, il faut le prédser) un « î" série » et un club qui aura été à un doigt de s'octroyer le titre de champion de France

par équipes, a provoqué certains remous qui, bon gré, mal gré, ont influé sur le dérou

lement du challenge Palmiéri...

_

Remous accentués d'autont qu'un * nime

*

incorporé

en

roue

Pour

du

PROMOTION

mi

chariot

— dans l'ignorance d'un certain point de règlement, il fout subrepticement l'avouer

en

«

NORD.

Natîonole

1.

». —

C.S.J.

l'Ile-de-Frcnce !

PROMOTION SUD. — 1. U.S.A. Liévin (2), 13 V., 1 d., 40 pts; 2. A.A.E. Auchel (3), II V., 3 d., 36 pts; 3. Car. Billy-Montigny, 10 V., 4 d., 34 pts; 4. Amiens S.C. (3), 7 V., 7 d., 28 pts ; 5. Etoile Oignies, 6 v., 8 d., 26 pts ; 6. U.S.O.A. Albert, 6 v., 7 d., 1 ft, 25 pts; 7. F.L.L. Amiens, 2 v., 12 d., 18 pts; 8. A.C. Abbeville, 1 v., 13 d., 16 pts.

paraison du trio Chergui-Purkart-Evrard, qui est peut-être le plus net vainqueur que nous oyions jamais vu dans nos, Interligues (brovo en passant ou capitaine Bertrand!), mois le tennis de table est une chose, surtout pratiqué avec un tel plaisir de jouer (et de bien jouer !), les obligations scolaires en

HONNEURS. — Le C.L. Fouquières (Ar tois), la M.C.E.M. Anzin (Escaut), Enersports Dunkerque (Maritime), le

F.S.P. Croix (2)

(Nord) et l'A.S.P.T.T. Amiens (Picardie) sont

tives, sportives ou sentimentales, constatons simplement le mérite de cette équipe mascu

Promotion.

champions

des

la tête haute dans la plus pure tradition flandrienne, nonobstant un score final peu Rendons aussi à l'équipe féminine de Mme Hardy ce qui lui appartient : le souci de préparer un avenir plus serein, ce qu'une reconfortante place de 6® a laissé entrevoir...

Dans l'un et l'autre cas, les positions acqui

ses ou consolidées à Lisieux ont été pré

servées ; c'est ce que nous voulions, mais ce n'est qu'une étape. Il reste à faire mieux, beoucoup

groupe

mieux, que

le

sempiternel

tir

Egletons et Evreux avalent déjà

Districts En

line 1964 qui, à l'instar de ses devancières,

flatteur...

et

accèdent

en

vrac...

— Le championnat des Flandres féminin a vu la victoire... anticipée, mais très méritée, de l'À.Â.E. Auchel (Mlles Louchet

et Delassus sœurs) sur Puzeoux, mois la Picardie a eu sa « revanche » huit jours plus tard à Brie, en remportant pour la 2® fois consécutive le challenge interdistricts, grâce à Mme Hardy et Annie Ponchart. — Après

avoir

brillamment

enlevé

la

Des cumutards, ces Amiénois... — En attendant le résultot final des Coupes des Flandres masculine et féminine

L'U.S. Modeleine, chompionne des Flandres por équipes et... 7® « national » ? M n'est plus besoin de revenir sur le

sont inscrits ou palmarès 1964 les clubs de

(toutes catégories, ce qui est une inno vation î) et après les victoires déjà com mentées du F.S.P. Croix (3® série), du C.S.J. Halluin (4® série) et d'Auchel (cadets), se la S.M. Roubaix ( Brion-Ferez), de l'U.S. Viesly (Chatelier-Leclercq) et de l'A.A.E. Puzeaux (Mlles Laidain et Ponchart), res pectivement vainqueurs des Coupes des Flandres « minimes garçons », « benjamins » et « minimes filles ». Il y en a eu pour tout le

— Les

tournois

sont

une

monnaie

rore

Le 5 ovrij, à Solesmes (régional), Stanis Sobczak a été le roi de la fête en triom phant en finole d'un excellent Carlier. Autres

en c Excellence », seule l'A.S.P.T.T. Arras

héros du jour : les joueurs de Louvroll Staumont et Bourgeois, qui se partagent les « 4® série » et (es « cadets », l'espoir de Viesly Jacques Darras (minimes), l'équipe (anzinoise) do double Corlier-Dejardin et l'éternelle Mlle Joing en dames. Les dirigeants d'Eppeville prirent la balle

sans pour cela

arriver a supplanter le dauphin croisien.

Avant de laisser place aux chiffres, il faut quand meme mettre en exergue le fait que, si deux équipes « réserve » (Amiens et Roubaix) sont relégables, les deux vain queurs des Promotions — appelés, comme 11 se doit, a les remplocer — sont aussi des formations secondes ! L'U.S.A. Liévin souve

ou rebond le 19 avril, à l'occasion de leur

c ossiquG (et réputé) tournoi interrégional qui, tout en confirmant le déclin de Maurice

Bordrez, o mis on vedette le « junior »

comme les Flandres, cela est assez sympto-

roubaisien Francis Dubus, vainqueur de lo serie principole aux dépens de l'ouchellois Mortier. Monniez (série B), Secretin (cadets) et Jeon-Michel Lefebvre (benjamins) furent les autres vainqueurs de la journée.

matique, pour ne pas dire inquiétant. Mois

Autre « classique» (nordiste) : le tournoi

raine oux « retours », et le C.S.J. Halluin

heureux de profiter d'un excès de confiance du favori denaisien à Longuenesse, seront ceux-lc... et, dans une Ligue riche en clubs seul, 1 ovenir jugera...

28

Les classements définitifs des Chompionnots

par équipes Division

d'Honneur

1 . Saint-Moximin, 42 pts; 2. A.S.P.T.T.,

38 pts; 3. Chantereinc, 32 pts; 4. Noyon, 30 pts ; 5. Compiègne, 26 pts ; 6. Meru, 22 pts; 7. A.S. Ponts et Chaussées, 18 pts ; 8.- Formeric, 16 pts. Promotion

1. St-Maximin (B), 38 pts; 2. A.S. P.T.T. (B). 36 pts; 3. Chantereine (B), 30 pts; 4. Compiègne (B), Meru (B), Sailleville, 28 pts ; 7. La ChapelIc-en-Servol, 20 pts; 8. Bornel, 16 pts. Irc

Division

1. A.S. Ponts et Chaussées (B), 40 pts;

6. Sailleville (B), 22 pts; 7. Nampcel, 20 pts; 8. G.S.P.O., 16 pts. District

de

Compiègne -

1. T.T. Compiègne (C), 36 pts; 2. A.S. Noyon (B), 28 pts; 3. A.S. Chantereine (D),

28 pts; 4. T.T. Compiègne (D), 24 pts ; 5. Nampcel (B), 22 pts; 6. Saussoy (B), 18 pts; 7. Chiry Ourscamps, 1 1 pts. A. BOUSSELET.

NOTRE

CARNET

ROSE

Salomon

Sousson

(C.A.

St-Fons)

et

Mo-

dame, née Christiane Jacquemetton, ont la joie de vous annoncer la naissance de leur fille

Béatrice.

Avec nos

meilleurs souhaits de bienvenue

ménage pongiste.

et... prisée

sion, espérances plus que justtfiées par le cavalier seul du trio Anselin-Caron-Serlippens de supériorité madeleinois

lis

et bien sincères félicitations à ce charmant

monde..

esperances nordistes lors du barrage d'acces-

yojeunie) avant su profiter du complexe

^08

masculine contre l'U.S. Madeleine d'abord et,

12 avril, au C.R.E.P.S. de Wottignies, où

Quond ce « popier » sortira, nous saurons en plus si l'U.S. Madeleine, championne des Flondres 1964, ouro concrétisé d'autres

licences

line, avec les deux premiers nommés ? Qua lifié à Metz pour la journée- finale, le club

une poignee de dirigeants de clubs, anima teurs dans l'ârne. ont pris conscience de leurs responsabilités en la matière : la tache d huile ne demande qu'à s'étendre !...

rien...

1 .820

Jeon DEVYS.

cher au^ président Lobaume 'aura, au préa

en cas de victoire, en finale cette fois, contre le gagnant du ,match Roubaix-Fouquières.

petit

ressortir

aussi remporter la Coupe de France mascu

Technique des Flandres... Au fait, celui-ci

magnifique résultat d'ensemble obtenu par

fait

Coupe Nationale Corporative avec le trio Gombier - Lambert - Loperle, Amiens va-t-il

lable, défendu sa coupe des Flandres fémi nine face à Fouquières et participé à la phase terminale de la Coupe des Flandres

les 6 clubs flondriens opérant en « Natio nale », puisque chacun sait aujourd'hui que le grand chelem n'a été raté que d'un tout

avril

2. Ceraboti, 40 pts ; 3. Ribecourt, Chantereine (C), 32 pts; 5. Meru (C), 23 pts ;

decele éloquemment là où le bât blessait ; la^ parole est désormais non plus au c tem pérament . flandrien (qui demeurera ce au il a toujours été!), mois au Comité na-t-il pas amorcé le mouvement les M et

30

• seniors-juniors » (dont 66 féminines), et 974 « jeunes » (dont 63 filles), tous records bottus ! Il paraît que c'est à suivre...

14 pts.

sont une outre, bien plus impérieuse... En dehors de toutes considérations odministra-

sut « souffrir », donner le frisson à son copitaine, briller d'un vif éclat et s'incliner

^— Vers les 200 clubs et les 3.000 licen ciés ?... Un nouveau pas a été franchi cette saison, puisque le recensement officiel opéré

Hal

9 d., 24 pts ; 7. A.L.E. Dunkerque, 4 v., 10 d., 22 pts; 8. Corona Valenciennes, 14 d.,

On peut évidemment regretter aujourd'hui que Jacques Secretin, car c'est de lui qu'il

nique Guetière fut encore le meilleur.

luin (2), 13 V., 1 d., 40 pts; 2. Usinor Denain, 12 v., 2 d., 38 pts; 3. C.S. Odomez, 8 V., 6 d., 30 pts ; 4. A.L. Longuenesse, 8 V., 6 d., 30 pts ; 5. Archimède Roubaix, 6 V., 8 d., 26 pts ; 6. P.P.C. Rouboix, 5 v.,

en prit délibérément les rênes pour amener 10 sélection nordiste à la place qui est sienne, à quelques rares exceptions près, depuis 3 ou 4 lustres : celle de dauphin de

s'agit, n'ait pu finalement soutenir la com

Dhondt (vainqueur du simple messieurs), le second grâce à ses « cadets », dont Domi

le l'accession

Roitelet. Halluin

et Roubaix s'y taillèrent la part du lion, lo premier nommé grâce surtout à Danny

du 1®"" moi organisé à Tourcoing, sous l'égide

Le

Docteur

Henri

Cornut

(Rhône

Spor

tif) et Madame, née Yvette Spitz, laissent à Fronçois la joie de vous annoncer la

nais

sance de son petit frère Bruno. A notre excellent ami Henri et à sa char

mante épouse, nous odressons nos plus vives félicitations

et

à

Bruno

haits de

bienvenue.

CARNET

BLANC

Monsieur

et

Madame

nos

Félix

meilleurs sou

Most (Nor

mandie) sont heureux de vous faire part du mariage de leur fils Didier avec Edith Legros. Les jeunes époux ont reçu la bénédiction nuotiale le somedi 18 avril en l'Eglise StJulicn de Caen.

<• France Tennis de Table » présente au nouveau couple ses meilleurs vœux de bon

heur et à nos amis Mast, ses bien èincères compliments.


Classés. — Quarts de finale : Fuentès b. Homel, 2-0 ; Lainey b. Chariot, 2-0 ; Belho cine b. Médan, 2-0 ; Parmentier b. Walkowitz, 2-1.

Demi-finales : Lainey

b.

Fuentès, 2-0 ;

Belhocine b. Parmentier, 2-0.

Charenton disputcro les barrages La première phase des championnats d'Ile

—•

Demi-finales :

Mlle

Dufour

b. Mme Schmitt, 2-1 ; Mlle Lemazurier b.

prétendants de seconde et première Division

Mlle Boudringhin. 2-0. Finale : Mlle Lemazurier b. Mlle Dufour,

devront

3-2.

de Fronce est maintenant terminée et si les

attendre

les

poules

finales

pour

disputer lo couronne, la Saint-Charles Chorenton a déjà acquis officiellement le titre de champion d'Honneur 1964. Elle réalise oinsi une remarquable perfor

mance, puisque, participant à l'épreuve pour la première fois en 1962, elle a enlevé consé cutivement les trois titres : 2®

Double. — Demi-finales : Denizot-Piconeou b. Nalès-Deverse, 2-0 ; ParmentierFuentès b. Médan-Bommer, 2-0. Finale :

Parmentier-Fuentès

de

1

Il reste aux coéquipiers de Paul Evrard^ à

Résultats

Denizot-

Paris

1. Charenton, 40 pts ; 2. Saint-Léon, 36; 3. U.S.E.G., 32 ; 4. Puteaux, 28 ; 5. Creté, 28; 6. Champigny, 26; 7. Clamart, 18;

Division

Dernière journée Poule A. — Francomex bat Stein Roubaix,

44-26; Banque de France b. Shell, 41-29; B.P. Courbevoie b. Cap Nord, 70-0 ; Messine Classement. — 1. Francomex, 39 pts ; 2. Banque de France, 37 pts ; 3. B.P. Cour

8. Versailles, 16.

bevoie, 28 pts ; 4. Cap Nord, 28 pts ; 5. Stein Roubaix, 25 pts ; 6. Sénat, 24 pts ; 7. Messine, 22 pts ; 8. Shell, 20 pts.

Prcnticre

Poule B. — Thomson et E.D.F., 35-35 ; I.B.M. France bat U.S.E.G., 39-31 ; St-Gobain

Division.

Poule A. — 1. Viroflay, 34 pts ; 2. Courbevoie, 32 ; 3. Rambouillet, 32 ; 4. Poissy, 30 ; 5. Mantes, 27 ; 6. Châtillon, 26 ; 7. StGermain, 26; 8. La Garenne, 15. Poule B. — 1. St-Maur, 38 pts; 2. Ban que de France, 34; 3. Essonnes I.B.M., 32; 4. Finances, 30 ; 5. Antony, 26 ; 6. Choisy, 24; 7. Marougis, 24; 8. Fontainebleau, 16. Poule C. — 1. Enghien, 42 pts ; 2. Gagny, 36; 3. Chelles, 31 ; 4. Glaciers, 28; 5. Sar celles, 28; 6. Stains, 24; 7. Chambly, 18; 8. C.S.C. Paris, 16.

bat

R.T.F.,

37-33 ;

Air-Fronce

bat

Caso

Courbevoie, 39-31. Classement. — 1. E.D.F., 41 pts; 2. Thom son, 35 pts; 3. U.S.E.G., 30 pts; 4. l.B.M. France, 28 pts ; 5. St-Gobain, 28 pts ; 6. Air-France, 22 pts ; 7. R.T.F., 20 pts ; 8. Caso Courbevoie, 20 pts. Francomex et E.D.F. se disputeront le titre

de champion de Paris 1963-1964. Messine et R.T.F. feront le barrage ; quant

à Shell et Caso Courbevoie, ils nous quitte ront pour un nouveau séjour en 2® Division, en

leur souhoitont de

venir nous retrouver

bientôt.

Vainqueurs des poules éliminatoires de 2® Division.

Poule 2 : S.S. Vol

taire ; Poule 3 : Bondy ; Poule 4 : Cllchy ; Poule 5 : Moisselles ; Poule 6 : Epinav ; Poule 7 : Reuilly Poule 8 : Verres ; Poule 9: Bouroy. Choltengc C.E.P.N.O.

Vainqueurs des poules éliminatoires : C.S.

Union, S.S. Creté, C.S.P.S.E., Gagny, A.C.B.B. Guy BERTRAND.

devant

27 pts ; 5. Frouard, 24 pts ; 6. Dombasle, 21 pts; 7. Ramberviliers, 15 pts.

8. Stenay, 13 pts. Promotion

20 pts. Promotion

tournoi

de

l'U.M.O.

Beaumont

s'est

salle Léo-Lagrange, et a remporté un très bon succès sportif, puisque 180 joueurs et joueuses représentant 22 clubs ont parti cipé aux épreuves. Le Challenge du Conseil Municipal a été remporté par les Gaziers de Paris, après une lutte serrée avec Champigny et SaintMédard d'Epinay. Le * Challenge

Grirot

a

vu

la

victoire

d'Enghien pour la deuxième année consé cutive, mais Champigny et la Saint-Médard d'Epinay avec tous leurs jeunes ont bien

l'E.D.F. n'est pas à contester.

M.J.C. Nancy, 9 pt. Promotion

on

a

4. A.L.R.N. Epinal (B), 29 pts ; 5. Thiavillesur-Meurthe. 27 pts ; 6. C.S. Epinal, 23 pts ; 7 Saint-Dié (B), 21 pts; S. Ramberviliers (B), 15 pts. Excellence

adversaire, défaite, il

mais est

après

normal

une que

saisan le

titre

meilleur.

Francomex ; Leblanc, 2 v. ; Leaney, 2 v. ; Malet, 0 V. E.D.F. (M) bot Francomex (II), 8-2.

E.D.F. : Evrard (père), 3 v. ; Herent, 3 v.; Tauziède, 2 v.

Francomex : Paon, 0 v. ; Prodhomme, 1 v. ; Galland, 0 v., plus le double. Voilà la saison terminée avec un nouveau sacrement et félicitations à tous les clubs pour leur bonne tenue dons les trois divi J. MOI RAT.

les classés, le jeune Belhocine, après avoir battu Parmentier en demi-finale, s'est fait battre par Lalney (U.S.E.G.). Dans tes non

Résultats techniques. Cadets. — Demi-finales ;

bt.

Thiébouit, 2-0 ; Belhocine bat Kerjean. Finale : Belhocine bat Rouillard, 3-1. Non classés. Quarts de finale : Malinconi b. Talamoni, 2-1 ; Kerjean b. Fournier, 2-0; Bao-Hung b. Denizot, 2-1 ; Bourqeois b. Jacquier, 2-0.

Demi-finales : Kerjean b. Bourgeois, 2-1 ; Bao-Hung b. Malinconi, 2-0.

Finale : Bao-Hung b. Kerjean, 3-1.

poule

Roismont,

Merlebach,

Vandœuvre,

E.G.

Epinal en Honneur. Les

descentes :

Bleus de Bar et P.E.C. Metz en Honneur.

Labry, Verdun, Rambervi'Iers en Promotion. Mars-la-Tour, Stenay, Dieuze, Montigny-

les-Metz, Saint-Dié (B), Ramberviliers (B), en Première Division.

Championnat du

District

Meuse

Codets Minimes Classements

Groupe Sud. — 1. Thionville (A), 22 pts; 2. Bar-le-Duc, 20; 3. Thionville (B), 18; 4. Loisey, 12; 5. Longchamps, 10. Groupe Nord. — 1. Reville, 34 ( -h 6) ; 2. Clermont, 34 (—• 6) ; 3. Petit-Cléry, 28; 4. Domvillers (A), 24; 5. Damvillers (B),

18; 6. Verdun, 13; 7. Stenay, 12. Guy HENRION. Première

Division :

Groupe 1. — 1 • Godbrange, 24 2. Gorcy, 18 pts; 3. Montigny, 16 4. Neufchef, 9 pts ; 5. Villerupt, 9 6. Viviers, 0 pt. .. . Groupe 2. — 1 . Friouville, Moutiers

pts ; pts; pts ; (I),

Tour, 9 pts. Deuxième division :

Le point final des Chompionnats de Lorroine

par Jacques DEFFAUX. Les quelques résultats qui ne nous sont pas connus ne risquent pos de perturber les classements. A l'issue de cette saison 1963-

Rouillard

la

28 pts; 3. Moutiers (1 1), 22 pts; 4. Labry, 18 pts; 5. Droitaumont, 14 pts; 6. Mars-lo-

classés, Bao-Hung, d'Enghien, l'emporte sur

Picoreau (A.C.B.B.).

dispute

Les clossements du District Meurthe Nord

sions.

remarqué les cadets Belhocine et Rouillard,

double, victoire de Pard'Enghien, sur Denizot-

Nancy

d'accession en Championnat de France. Saint-Avold et Lunéville en Excellence.

E.D.F. : Eyrard Paul, 3 v. ; Gatignol, 1 v ; Fessier, 1 v., plus le double.

qui ont disputé une très belle finale. Chez

four. Enfin, en mentier-Fuentès,

Féminine :

1 . Lunéville, 18 pts; 2. Frouard, 11 pts; 3. Moutiers, 9 pts; 4. Ent. Mirecourt-Con

Leblanc n'ont pu tenir en respect leur redou

particulièrement

Kerjeon, des Gaziers. Chez les dames, vic toire attendue: de Mlle Lemazurier, de Cham pigny, surv sa camarade de club, Mlle Du-

IV :

1. E.G. Epinal, 41 pts; 2. Gerardmer, 35 pts; 3. Saint-Laurent Epinal, 32 pts ;

Dommage que les hommes de notre ami

failli l'emporter.

Individuellement,

III :

1. Vandœuvre, 33 pts ; 2. Rambucourt,

25 pts ; 3. Pagny-sur-MoselIc, 23 pts ; 4. Commercy, 21 pts ; 5. Loxou, Bleus de Bar (B), 16 pts; 7. E.G. Nancy (C), R.C.

E.D.F. (I) bat Francomex (1), 6-4.

Le

II :

1. Merlebach, 40 pts ; 2. Thionville, 37 pts ; 3 Bouloy, 28 pts ; 4. Forebersviller, Chemi nots Metz, 26 pts ; 6. Hagondange, 24 pts ; 7. Dieuze, 22 pts ; 8. Montigny-les-Metz,

L'Electro-Gaz

Gatignol s'est déroulée la phase finale du Championnat 1963-1964 et de suite, nous vovons par le résultat que la victoire de

table

I:

Los montées :

Dans la nouvelle salle de notre confrère

échoue au

déroulé dimanche 12 avril, dans la très belle

II :

1. Lunéville, 32 pts; 2. Sarreguemines et A.L.G.M. Nancy, 30 pts; 4. E.G. Nancy IB),

Francomex.

E.D.F. bat Froncomex, 6-4, 8-2, 48-22.

sans Tournoi de l'U.M.O. Beaumont

Honneur

trexéville, 6 pts.

E.D.F. brillent champion de Poris

Poule 1 ; A.S. Simca

dun, 14 pts.

1. Boismont, 41 pts; 2. Neufchef, 38 pts ; 3. Montmédy, A.C.S. Herserange (B), 30 pts ; 5. Ent. Villerupt-Audun, 29 pts ; 6. Saulnes (B), 20 pts; 7.. Mars-la-Tou, 19 pts;

Corporatif

b. Sénat, 41-29.

Division d'Honneur.

1. Saint-Avold, 39 pts ; 2. Moutiers, 34 pts ; 3. Briey, 31 pts; 4. Pctite-Rosselle, 28 pts; 5. Montigny-sur-Chiers, 27 pts ; 6. Droitaumont, 25 pts ; 7. Labry, 24 pts ; 8. Ver

Promotion

Championnat

1962, iro Division en 1963, Honneur en 1964. vaincre en barrage pour être à leur véri table place : le Chompionnat de France par

b.

Piconeau, 2-0.

Division en

équipes.

Mirecourt-Contrexéville, 25 pts; 7. Bleus de Bar. 20 pts; 8. P.E.C. Metz, 17 pts. Honneur I :

Finale : Lainey b. Belhocine, 3-0. Dames.

6 joueurs : 1. E.G. Noncy, 36 pts ; 2. Her serange, 32 pts; 3. Soulnes, 31 pts; 4. A.L. R.N. Epinal, Saint-Dié, 29 pts ; 6. Ent.

64, nous constatons que l'Electro-Gaz Nancy se pare une nouvelle fois du titre de cham pion. Classements

Excellence (3 joueurs) : 1 . A.S.E.G. Nancy, 39 pts (un match en

moins) ; 2. Herserange, 34 pts; 3. A.L.R.N.

Epinal. 28 pts ; 4. Ent. Mirecourt-Contrexéville, 27 pts (un match en moins) ; 5. Saulnes, Saint-Dié, 26 pts; 7. Bleus de Bar, 21 pts; 8. P.E.C. Metz, 18 pts.

1. Mont-St-Martin, 4 pts ; 2. Boismont, 4 pts ; 3. Viviers, 0 pt. Cadets Minimes:

Groupe

1. —

1•

n..

Montigny, o4

*

pts,

2. Boismont, 27 pts; 3. Villerupt, 30 pts ;

4 Herserange, 23 pts; 5. Saulnes, 23 Pts / 6. Godbrange (1 ), 16 pts; 7. Godbrange (2), 14 pts; 8. Viviers, 0 pt. Groupe 2. — 1. Moutiers, 30 pts ; 2.

Friouville, 26 pts; 3. Droitaumont, 16 pts; 4. Briey (2), 13 pts; 5. Briey (1), 11 pts ; 6

Labry, 6 pts.

Finale. — Montigny bat Moutiers, 7 a 2. En Première Division, Godbrange et Fnauville, qui l'emporte grâce à un petit set devant Moutiers, joueront la saison pro chaine en Promotion. Mars-lo-Tour et Viviers regagneront la 2® Division. 29


O^cyAthH -feeiHtw à NARBONNE rmvM

LE PREMIER STAGE REGIONAL S'EST DEROULE AVEC SUCCES DANS LA BONNE VILLE DE NARBONNE

Qui aurait pu dire que la ville de Narbonne, fief du rugby, accueillerait un jour 36 bons hommes amateurs de la plus petite balle

sportive connue, celle du tennis de table ? Quel n'est pas le Narbonnais qui, en se rendant à son

travail, et apercevant

ensemble de survêtements

demandait s'il s'agissait in des futures vedet

il s'agissait de quelques jeunes garçons ama teurs de plein air, oméliorant leur condition physique en vue de posséder tous leurs moyens pour perfectionner leur technique dans un sport hélas encore trop peu connu dans la région : le tennis de table. Encadrés par quatre moniteurs diplômés, en l'occurrence Avesque (responsable), Clo-

mon, Vignal et Grenier, et aidés par trois Bonnal, Grenier,

Maintenant que le retour est effectue, que chacun est rentré chez soi avec un immense

permis une manifestation si intéressante, je

Il n'est pas de stage sans l'habituel petit chahut de la première journée, le soir dans

veux parler ici de tout le personnel de la

la chambre, mois dès le lendemain matin,

une complète réussite, MM. Sala et Faure,

un petit laïus bien « taillé » permit à chacun

M.J., les

jeunes

de

Dans un outre ordre d'idée, tous les diri

saisirent

geants de clubs, les amis et les porents qui

n'est pas une partie de

ont fait confiance au responsable du stage

Depuis les rudiments élémentoires pour le

et sont prêts, je crois, à recommencer, et aussi à la Fédération qui soutient tous les stages et sur laquelle repose souvent, avant ou après, la continuité do l'œuvre des

rent

vite

leur

erreur,

vite qu'un stage

les

autres

plaisir.

2" groupe, jusqu'au terrible To-Spin pour le 1 groupe, tous les gestes et coups furent étudiés, et à la lueur de ce premier ensei gnement, on devinait déjà l'intérêt de la plupart

pour

des

méthodes

d'entraînement

rationnelles et régulières. Nous

ne

proprement

pourrons parler,

parler

mais

des

de

progrès à

modifications

très profondes apportées dans la manière de jouer de la plupart des garçons, et je "crois que celo a été l'essentiel.

et saufs à lo Maison

contentèrent, avec les mensurations, les constatations physiologiques et la morpho

dirigeants.

tout cœur le responsable du stage pour sa

sympathie, et tous les moniteurs qui ont

apporté leur temps et leur savoir à tous ces jeunes.

logie de chacun, de classer chaque stogiaire dons une catégorie, à vérifier lors du pro des suffrages pour le spectacle, et la veillée, menée tambour battant par les 40 personnes présentes, déclencha les rires et les cris de

semble assez ieunes, notre benjamin n'avaitil pas encore 10 ons et l'âge moyen oscillait

sur le dernier jeu, peut-être un peu trop

outour des 13 ans, autant dire que l'âge des culottes courtes faisait presque autorité.

lurent pas le prendre à pleine main.

tous, malgré toutefois un léger malentendu

«

psychologique »

pour ceux qui ne vou

,

Enfin, pour finir, je ne citerai que la lettre envoyée por les jeunes de Sète ou Secrétariat de la Ligue, et remerciant de

chain stage. Le film sur les Championnats du Monde de Pékin remporta l'unanimité

pas encore, prenait le dessus. Il fout dire que les stagiaires présents étoient dans l'en

30

la

à la piscine.

Tout fut fait, même la visite médicale de

amitiés naissaient spontanément et la vie en collectivité, que certains ne connaissaient

de

la bonne humeur que pour le travail, et si

les quelques tire-ou-flanc habituels compri

contrôle passée par les responsables, qui se

des Jeunes de Nor-

responsables

Narbonne, qui avaient préparé la salle du Palais du Travail, le Député-Maire de Narbonne, qui avait autorisé les baignades

Valentin,

bonne. Dans ce cadre ancien, mais parfai

Maison des Jeunes, qui s'est dévoué pour

de comprendre que cela suffisait. Les Sétois, venus en nombre appréciable, du plus jeune au plus vieux donnaient le ton, autant pour

nos 36 jeunes gens étaient tous arrivés sains tement confortable et accueillant, les pre miers contacts étaient pris sous les yeux bienveillants et attentifs des moniteurs, des

regret et l'espoir d'une nouvelle organi sation, il faut penser à tous ceux qui ont

ni endormi ni excité.

cet

multicolores, se

tes du rugby de demain. Renseignements pris,

aides-moniteurs,

Le Midi est, dit-on, le pays où l'on ne

vo pas trop vite le matin et doucement le soir, ici à Narbonne, le rythme était régulier, sans à-coup, juste ce qu'il faut pour être

2h


En

Deuxième

Division, Mont-Saint-Martîn

MARTtNIpUE

accédera à la Première Série.

En Cadets Minimes, Montigny et Mouticrs, vainqueurs de leurs groupes respectifs, se disputèrent le ti.tre et ce fut Montigny qui

Bardol (Club

l'emporta

Star) por 3 sets à 2.

par l

o i, malgré une

bonne

résistance des Moustériens.

Belle

sotisfaction

pour

championnats individuels

13

octobre

1963

-

Colonial)

Coupe

Monville :

bat Bonnet (Golden

11 novembre 1963 - Coupe de l'Armistice : le

dos

district

aux

Minimes-ben

jamins, poussins, avec 9 titres sur les

11

en compétition.

Félicitations aux clubs de Montigny, Moutiers et Boismont pour ces brillants résultats.

Bardol (Club

Colonial)

bat

Bonnin ( Indivi

duel) par 3 sets à 0.

Octobre 1963 à janvier 1964 - Championnet par équipes (formule Coupe Sevaithling). DIVISION D'EXCELLENCE :

l»-'r Golden Star I (Lanuqueitte, Pendant, Coulon, Bonnet) — 2« Club Colonial (Bardol, Louisy, Dufer, Bessard, Vilo). DIVISION D'HONNEUR :

A

Golden Star II (Certain, Jean-Marie,

SIGNALER

Alfred, Jobello) — 2'- Jeunesse Ariésienne I (Dorival, Baldor, Bourg).

5 janvier et 2 février 1964 - Coupe de la Martinique (formule Coupe Corbillon) : Gol Tournoi de

l'A.C.E.L. COUZON

den Star II I (Lanuqueitte, Coulon, Bonnet) bat Club

Organisé pour la première fols par l'A.C.t.L. Couzon, le tournoi de la Vallée de la Saône o remporté un succès sans précédent avec près de 200 engogés. Il convient de remercier les organisateurs,

qui sont M. Chatain, président de la Section, bien secondé par ses fils Bernard et Maurice et aussi par les toujours dévoués Bordi, Bousquet, Torrès, Rozier, etc..., ainsi que les nombreux anonymes qui ont participé au succès de ce tournoi.

Colonial

I

(Bardol, Bessard)

26 janvier

1964 - Coupe

Jeon-Marie (Golden Star) bat Larcher (Jeu

prions de prendre connaissance du

nesse Ariésienne) par 3 sets à 0.

rectificatif.

Coupe des Dames: Mlle Dély Liliane (Gol den Star) bat Mme Maneim Solange (Golden

Star) par 2 sets à 0. Coupe des Vétérans :

Mercredi 10 Juin: LYON.

Jeudi 11 Juin: MONTMARAULT. Bellemare

Victor

(Individuel) bat Coma ( Individuel) par 3 sets

Vendredi 12 Juin: COURS.

à 2.

Samedi 13 Juin: LA VOULTE.

Juniors : Cabrisseau

Larcher

plus grande satisfaction de tous les pongistes. Le simple Messieur Nationaux a vu la

(Golden Star) par 3 sets à 2.

victoire d'Alain Bardet (P.P.C. Roanne) devant son camarade de club Nardy, par

3-0 En demi-finales. Gaillard (P.P.C.R.) et Omeira (Rhône Sportif), qui succomba d'ex trême justesse devant le futur vainqueur. Le Dames Nationales a vu Mme Hauteville (ASS.L.D.) prendre so revanche du Challenge Pelletier devant Mlle Coavoux

battent

et

continuent dans les années à venir, pour la

Ariésienne)

Dames: Mme

Dély

Liliane

Jean-Marie

Maneim

(Golden

(Jeunesse et

Mirande

Solange

Star),

et

n'ayant

Mlle

pas

d'odversaires, sont championnes 1964.

Vétérans : Non disputés. Seniors : Lonuqueitte et Pendant (Golden

Star) battent Bardol et Louisy-Dufer (Club Colonial) 3 sets à 2.

Mixtes : Bonnet et Dély L. (Golden Star) battent Coulon et Maneim (Golden Stor) par

nouvelle

victoire

d'Alain

Bardet devant son associé en Coupe de France Cadets Gaillard Henri. La 4® série voit la victoire de Chapeaux

(T.C. Villefranche), champion du Rhône 6364, devant un non classé, Jubal, de l'A.S. P.T.T. Lyon, en demi-finale. Gaillard Louis (P.P.C.R.) et Beauquis (U.S.C.L.). Enfin, en non classés, Lesbros, de l'A.S. P.T.T. Lyon, l'emporte devant Philippe Lesongeur (T.C. Villefranche). La Coupe du nombre a été remportée par le T.C. Villefranche, devant le P.P.C. Roanne, et un tournoi de double ne comptant

pas pour l'attribution de cette coupe a été remporté par Bardet-Nardy (P.P.C. Roonne), devant Coovoux-Gaillard, du même club. Jean PORCHERET.

LUXEMBOURG

Le

CAPiP

1937-Luxembourg

vous

an

nonce ses prochaines organisations qui ouront lieu dans le Hall d'Exposition de Luxembourg-Limpertsberg avec des prix d'une valeur de 2.500 F. environ pour les

mieux classés de chaque catégorie. Samedi 18 juillet : 13 h. 30 : 3" Grand Prix

2 sets à 1.

(P.P.C.R.), par 3-2.

Cadets,

des Juniors :

Une erreur s'étant glissée dans la transmission des iieux et dates ou joueront Aiser et Johanson, nous vous

29 mars 1964 - Championnats de Double

Souhaitons que ces dévoués organisateurs

En

par

3 victoires à 2.

Internationol du

CAPIP

pour

Jeunes.

Lanuqueitte (Golden Star) bat Pendant (Gol

- 20 h. ; Luxembourg-Flandres (Seniors, Espoirs, Dames) ou Tournoi international par

den Star) par 3 sets à 0.

équipes.

5

avril

1964

-

Coupe

de

l'U.S.M.S.A. ;

12 avril 1964 - Chompionnats individuels -

Dimanche 19 juillet : 8 h. : 3®® Cham

Juniors : Jean-Marie (Golden Star) bat Lar

pionnats

cher (Jeunesse Ariésienne) par 3 sets à 0.

Luxembourg.

Dômes: Mlle Dély Liliane (Golden Star) bat Mlle Colombe Jeanne (Jeunesse Arié

sienne) par 2 sets à 0. Vétérans :

Louisy-Dufer

(Club

Colonial)

internationaux

de

la

Ville

de

Tous renseignements : M. Lucien Reinert, 11, avenue de l'Arsenol, Luxembourg. Tél. n« 405.80.

bat Bessard (Club Colonial) par 3 sets à 0. Seniors : Pendant (Golden Star) bat LouisyDufer (Club Colonial) par 3 sets à 0. 19 avril 1964 - Coupe Marson (formule

Coupe Corbillon) : Lanuqueitte et Pendant (Golden

Star)

battent

Coulon

et

Bonnet

(Golden Star) par 4 victoires à 1.

Christian LANUQUEITTE

PHILATELIE PONGISTE Extrait de la lettre de M. Bernard Juillet, 42, avenue des Barattes, Annecy ( HauteSavoie).

« Cher Monsieur,

»

« {S

a-w «US

M'intéressent depuis trois ons ou Tennis de Table, je suis, depuis octobre, sociétoire de la M.J. Annecy (2® Division, Poule II) et licencié de la F.F.T.T. (31-6). J'ai reçu, à roccosion d'un tournoi local, le troisième prix : un abonnement d'un an à « France Tennis

de

Table

». J'ai

été

conquis

par

cette revue, dont auparavant je ne soup çonnais même pas l'existence. Je vous féli cite et vous reimercie de consacrer un journal aux pongistes ». Bernard JUILLET.

Le mal national dont nous souffrons nous est confirmé, une fois encore, peu

Deux .nouveaux timbres émis par la CHINE consacrant les succès de ses champions aux « mondiaux » de Prague

connaissent

notre revue

et encore

moins,

cherchent o la foire connaitrc. G. D.

31


A Stephen CAFIERO et Gérard CHAILLOUX le titre en double messieurs

Gérard CHERGUI (an haut), Christiane MATHIEU (en bas), recevant les félicitations des Présidents

CECCALDI et VIGIER

Une vue des nombreux congressistes à l'assemblée générale


de PARIS 63 à EVREUX 64

M

EVREUX 1964. — Durant toute la compétition, les tribunes étaient copieusement garnies, particulièrement pour

Dans quelques heures, Martine LEBRAS étrennera sa première grande victoire dans le simple dames seniors

la soirée finale

DIMANCHE 24 MAI 1964 à PARIS SALLE DES INGENIEURS CIVILS

19, RUE BLANCHE - PARIS 9= de 9 h. 30 à 12 h. et à partir de 14 h. 30

ASSEMBLEE GENERALE ANNUELLE DE LA FEDERATION

Demi-finales du double messieurs dans quelques instants HELAlkE-PURKART (au premier plan), retrouveront FLOChl-ODEYE pour la grande finale

FRANÇAISE de TENNIS de TABLE

les clichés figurant dans cette revue nous ont été aimablement fournis par le grand quotidien lyonnais

L

©GRE LE JOURNAL DES SPORTIFS L'AMI DES PONGISTES U


partie des frais de séjour, Sôrônt notifiées oux

intéressés

sous

le

couvert

des

services

qui auront reçu

les demandes. Les subven

tions

seront

par

accordées

groupements Je

versées

les soins de l'Office vous

aux

directement

comptes des

bénéficiaires. serais

obligé

de

bien

IMPRIMES FEDERAUX KN VENTE AU

SECRETARIAT

DE LA T. r. T. T.

vouloir

assurer la plus large diffusion de cette cir

culaire qui

Le Saviez-vous ?

doit apporter une aide supplé

mentaire

appréciable

elles

préoccupent

se

prendre

à

vos

dès

les contacts

utiles

associotions

si

maintenant avec

leurs

de ho

mologues allemands.

Je vous prie d'agréer. Monsieur le Pré sident, l'assurance de .ma considération très

TARIF au 1«r Juillet 19f1 Emballage, taxas comprit port dû

distinguée. Pour

à

MINISTERE

la

DE L'EDUCATION NATIONALE SECRETARIAT D'ETAT A LA JEUNESSE ET

le

Secrétaire

Jeunesse

et

d'Etat

aux

Sports,

Le Directeur du Cobinet O.

AUX SPORTS

Messieurs

DELEGATION GENERALE AUX SPORTS

les

AFFICHES DE PROPAQANDE i

:

€ Jouaa au Tennie de

PHILIP.

par 10 minimum par 50 minimum

dos Fédérations Sportives.

ET A LA PREPATION OLYMPIQUE D.G.S - P.O./S no 202 OBJET : ECHANGES FRANCO-

AFFICHES

ALLEMANDS.

DEMANDES

DE

SUBVENTIONS. Paris, le 29 jonvler 1964.

3 couleurs, 1/2 col., 40 x 60

par 10 minimum par 50 minimum

Les rencontres sportives auxquelles i'Ofifce Fronco-AHemand a l'intention d'appor

Grand modèle pour 32 Joueurs :

o) des matches ollers et retours combi

nés avec des activités culturelles (specta cles, concerts, visites de meusées, d'usines,

LES AMATEURS BELGES

etc.) d'une durée minimum de 3 jours, voya-

COUVERTS PAR LA SECURITE SOCIALE

d'athlètes, d'une durée minimum d'une se maine, soit 6 jours pleins, voyages non com

pris. Pour ces stages, il sero tenu compte des effectifs qui devront atteindre au moins une dizoine d'éducateurs (5 Allemonds et

5 Fronçais) ou une vingtaine d'athlètes (10 Allemands et 10 Français). Pour les stages d'athlètes, une préférence sera don

née à ceux qui auront pour but le perfec tionnement d'éléments « cadets » et « ju niors » de valeur nationale ou régionole. Les demandes de subventions des groupe ments sportifs intéressés devront comprendre, outre le programme des manifestations, un certain nombre de renseignements et no tamment un

par 10 minimum par 50 minimum

rité Sociale belge. Telle est la nouvelle qui vient d'être officiellement confirmée par M. Max Wasterlain, secrétoire général de l'Ins titut des Sports.

Cette mesure,

par 10 minimum 0,11 F pièce par 50 minimum 0,10 F pièce CARNETS DE 60 FICHES D'AR BITRAGE

qui

prend

place dans

le

cadre d'une réforme de l'assurance-maladieinvalidité, qui suscite, par ailleurs de norn-

breux remous, notamment dans le corps mé-

dicol, a évidemment été accueillie avec faveur par les fédérations sportives qui, pour la plupart, n'auront plus besoin de souscrire, désormais, d'assurance accident pour leurs pratiquants, et également pour les sportifs individuels.

:

par 6 minimum

21 X 27, pour équipes de 2 et da 3 joueurs ;

par

50 minimum

JOUEURS I

si le demondeur est une association locale

de la Jeunesse et des Sports si le deman

REGIME

COMPLEMENTAIRE

de retraite pour le personnel non codre des fédérations, ligues, comités et clubs

Sports (Délégation Générale aux Sports et à la Préporotion Olympique) si la demande émane de votre Fédération elle-même. Le dossier présenté par une association lo cale ou départementale devra contenir l'avis de la ligue ou du comité régional dont elle

avec les Centrales Syndicales pour que les dispositions de l'accord du 8 décembre 1961 deviennent applicables à la branche profes

dépend.

sionnelle des sports. demandes

s'effec

tuera por la voie hiérarchique des services

La Commission Paritaire du Conseil^ Na tional du Patronat Français, dons so séance du 2 octobre

ovis,

portant extension du chomp d'application des

à

l'Office

Franco-Allemand. Celui-ci

dossiers environ deux mois à l'avance.

des

1963

Confédérations

o soumis à

Notionales

salariés,

dispositions dudit accord à la branche pro des

sports.

Cet avenant a été ratifié et son agrément

cos de jumeloges de villes, pourront faire

a été demandé au Ministre du Travail.

''objet de demandes directement transmises

□ar les comités de iumelages à la section Française de l'Office Franco-Allemand,

Désormais, le personnel non cadre des Fédé rations sportives. Ligues ou Comités régio naux et Clubs, pourront bénéficier du régime

41, rue Bronly, Paris (VII®).

complémentaire de retraite.

Pour gagner du ('Office

qui

temps,

pourront

aller

les

décisions de

jusqu'à

la

prise

en charge des frais de transport et d'une 34

formai

Les 10 Les 100

0,90 F 8,50 F

Sous peu

des instructions seront données

aux Fédérations pour nouvelles dispositions.

BIBUOTHEQUE REGLE DE JEU Edition BORNEMANN : 2 F

la signature

de

un avenant à l'accord du 18 décernbre 1961, fessionnelle

Par exceptions aux règles de cette pro cédure, les manifestations prévues dons le

papier,

Le C.N.S. vient de signer une Convention

du Secrétariat d'Etat qui transmettra luimême les dossiers correspondants, avec son

Q émis le vœu d'être en possession de ces

sur

21 X 13,5 :

ou départementale, ou Service Acodémique

des

DE

PERFORMANCES POUR

reteto-verso

transmission

0,06 pièce

INDIVIDUELLES

Départemental de la Jeunesse et des Sports

La

0,75 F pièce

FEUILLES DE MATCHES !

FICHES

projet de budget suivant le

au Secrétariat d'Etat à la Jeunesse et aux

0,10 F pièce 0,09 F pièce

Petit modèle pour 16 Joueure :

A partir du l'"'" janvier 1964, les acci dents du sport seront couverts por la Sécu

modèle joint à la présente circulaire. Ces demandes seront déposées au Service

deur est urne ligue ou un comité régional,

:

0,20 F pièce 0,17 F pièce

TABLEAUX DE TOURNOIS i

ter son aide, sont de deux sortes :

d'éducateurs, soit

PASSE - PARTOUT

AFFICHES PASSE - PARTOUT avec RESERVE pour TEXTE i

d'échangés franco-allemands.

stages, soit

:

par 10 minimum 0,18 F pièce par 50 minimum 0,15 F pièce

sportives locales) pour favoriser les proje1«

b) des

80

0,18 F pièce 0,15 F pièce

avec RESERVE pour TEXTE i 3 coule^irs, 1/4 col., 80 z 40 :

Monsieur le Président, J'ai l'honneur d'attirer votre attention sur les possibilités de subventions qui sont of fertes aux groupements sportifs de tous échelons ifederotions, ligues ou comités ré gionaux et départementaux, associotions

^ges non compris;

Tabla »

2 couleurs, 1/4 col. 40 x

Présidents

l'application

de

ces

Indispensable aux Arbitres a AIDE-MEMOIRE »

QUESTIONNAIRE OFFICIEL SUR LES REGLES DU T. T. i 1 F 50 A

LE CHEMIN DU SUCCES de Victor BARNA

4,60 Franco


PROPAGANDE

Ce magnifique char fleuri a été exécuté par l'Entente Pongiste d'Ambiily

(Haute-Savoie) et a pris part au défilé local.

Un grand bravo aux joueurs, supporters et dirigeants de l'E.P.A.

SaiLEf

ttCRË£E9

ALESIA ★★★

AMOURETTI ★★★ BARNA

BAUER

★★★

COMET

ERHLICH INTERNATIONAL ERHLICH COMPETITION MONTANA SELECTION REINA

Toutes les compétitions organisées sous

l'égide de la Fédération par n'importe quelle Association ou n importe quel orgauiisme ré gional : Ligue ou ses subdivisions sur le ter

ritoire de la France et de l'Union hrançeuse, doivent être jouées exclusivement avec des

balles agréées par le Comité de Direction.


directement

du fruit à votre verre

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