No 226 - AVRIL 1968 - 25'' ANNEE - MENSUEL
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REVUE OFFICIELLE DE LA
FEDERATIONi'l FRANÇAISE
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Simple messieurs : Dragutin SURBEK (Yougoslavie)
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Jacques ASSEMAT Jacques CRISAFULLI Jean DUBOIS Claude DUMET
Simple dames :
liona VOSTOVA (Tchécoslovaquie) Double messieurs :
Anton STIPANCIC et Edvard VECKO
(Yougoslavie)
et Jean MELINE «
Double dames : Marta LUZOVA et Jikka KARLIKOVA
(Tchécoslovaquie)
Prochain numéro en MAI 1968
Revue d'Informations Fédérales paraissant dix fois par an et servie aux 2.200 Associations Sportives de la F.F.T.T., représentant 35.000
Double mixte :
Zoia RUDNOVA et Stanislav GOMOZKOV (U.R.S.S.)
licenciés, ainsi qu'aux Fédérations de Tennis de Table et clubs étrangers.
La R 16 de notre souscription vendue par Rédaction et publicité :
l'A.S.P.T.T. Beauvais
Directeur de Publication et Responsable Fédérai :
Georges DUCLOS, 37. rue Aiexis-Carrei - 69 - BRON Adjoint : Jean DEVYS, 38, rue Léon-Mariot -59 - ROUBAiX
Tous les détails dans notre prochain numéro
Assemblée Générale Annuelle des Associations de la Fédération Française de Tennis de Table A PARIS, LE DIMANCHE 5 MAI 1968 DE 9 H. A 12 H. ET A PARTIR DE 14 H.
INSTITUT NATIONAL DES SPORTS, 11, avsnue du Tremblay - PARIS 12ème ORDRE DU JOUR
RAPPORT DES COMMISSAIRES
1. Vérification des pouvoirs des représentants des asso
SUR LES COMPTES DE L'EXERCICE CLOS LE 31 DECEMBRE 1967
ciations.
2. Adoption du procès-verbal de l'Assemblée du 7 mai 1967 3.
Allocution du Président de la Fédération.
4. Rapport sur la gestion de la Fédération présenté par le
Messieurs,
Secrétaire Général et vote sur le rapport de gestion.
5. Compte rendu financier ayant figuré sur le numéro Avril 1968 de France Tennis de Table).
6. Rapport des Commissaires aux Comptes et vote sur le compte rendu financier.
7. Désignation des Commissaires aux Comptes pour la saison 1968-69.
8.
Modifications des statuts de la Fédération et vote des nouveaux statuts.
9.
Modifications au Règlement Intérieur de la Fédération et vote du nouveau Règlement Intérieur.
10. Vœux présentés par les membres de la Fédération. 11. Questions diverses. L'Assemblée Générale sera suivie de la remise du Mérite
Fédéral (Promotion 1968) et de la Coupe Challenge du
Lors de votre Assemblée Générale tenue à Paris, le 7 mai 1967, vous avez renouvelé notre mission de Commissai
res aux Comptes, et nous avons l'honneur de vous rendre compte de notre mandat.
Nous nous sommes rendus au siège de la Fédération où tous les livres et documents comptables ont été mis à notre disposition par votre Trésorier
Les opérations habituelles en matière de contrôle ont été effectuées, et nous avons vérifié plus particulièrement les comptes des valeurs réalisables, les comptes des valeurs disponibles et les dettes à court terme. Nous nous sommes
assurés que les dotations aux comptes d'amortissements étaient normalement calculées compte-tenu des Immobilisa tions anciennes et des nouvelles acquisitions.
^^ombre).
La régularité des écritures a été constatée ainsi que la conformité du bilan et du compte d'exploitation avec la CONVOCATION DES ASSOCIATIONS
Conformément aux statuts de la Fédération Française de Tennis de Table et en exécution des prescriptions de l'Ar rêté du 4 avril 1963, les associations membres de la F.F.T.T.
comptabilité.
La forme et la présentation du bilan qui se totalise à Francs : 278.289,30 et du compte de résultats qui vous sont soumis n'appellent aucune remarque de notre part.
sont convoquées en Assemblée Générale Ordinaire, le di manche 5 mai 1968 de 9 h. à 12 h. et éventuellement à partir de 14 h. à l'Institut National des Sports.
Chaque association délègue son président ou l'un de ses membres spécialement désigné a cet effet par un pouvoir signé du Président. Chaque association dispose d'un nombre déterminé par
Par rapport au bilan précédent, il convient de signaler particulièrement les différences suivantes :
— Les Provisions pour caution ont augmenté de Francs 3.210 - ce qui fait apparaître au Passif, ce compte pour
Francs : 6.210 - Le complément de provision effectué en 1967 est parfaitement justifié et correspond exactement au
le barème suivant :
total des cautions versées par les participants aux Cham
— — — — —
pionnats de France.
Plus Plus Plus Plus Plus
de de de de de
10 pratiquants licenciés et moins de 21 : 1 voix 20 pratiquants licenciés et moins de 51 : 2 voix 50 pratiquants licenciés et moins de 101 : 3 voix 100 pratiquants licenciés et moins de 151 : 4 voix 150 pratiquants licenciés et moins de 201 : 5 voix
Conformément à l'article 76 du Règlement Intérieur, le nombre des licenciés retenu est celui enregistré au 1er avril 1968. L'Assemblée Générale Ordinaire est composée exclu sivement des délégués des associations disposant au moins
Un nouveau compte de provision a été constitué pour le financement des Championnats d'Europe à LYON. La dota tion sur le compte de résultat de 1967 a été fixée à Francs; 30.000,00 et se retrouve dans les comptes de provisions au passif pour la même somme.
En conclusion de notre examen objet de notre mission, nous avons constaté la sincérité des comptes de votre Fédé ration qui vous sont présentés à la date du 31 décembre
d'une voix d'après le barème ci-dessus. Ces délégués ne disposent que du nombre de voix prévu à ce barème pour
1967, et qui reflètent bien la situation active et passive à cette date-là. En conséquence, ils peuvent recevoir votre
leur seule association.
approbation.
L'attention des associations est attirée sur les articles 16 et 30 à 35 des statuts et plus particulièrement sur le fait
Paris, le 3 Avril 1968
que seuls pourront participer à l'Assemblée Générale les membres du Comité de Direction, les titulaires de la licence de Président d'association ayant au moins 1 voix, où les
membres d'associations titulaires d'un pouvoir en règle. Les membres de la Fédération désirant présenter des vœux doivent adresser ceux-ci au siège avant le 27 avril 1968.
Les Commissaires aux Comptes SUIRE Pierre
ONDELLA Antoine
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LE BILAN FINANCIER AU 31 DECEMBRE 1967 RECETTES DIVERSES
ACTIF VALEURS IMMOBILISEES Mobilier et Matériel bureau.
Matériel sportif, mobilier Documentation et films ....
« France Tennis de Table » ... Balles agréées 15.464,68 11.180,68 8.373,50
1.417,50
STOCKS
Imprimés fédéraux et Insignes.
Caisse
61.144,25
391.737,69
21.057,23
DETAIL DES CHARGES PAR NATURE
190.665,28 19.437,81 2.733,32
DE L'EXERCICE 1967 COMMISSIONS
212.836,41 RESULTATS
278.289,30
PASSIF REPORT A NOUVEAU
104.694,28
PROVISIONS ET AMORTISSEMENTS
Provisian pour cautions Provision pour Championnat d'Europe, Lyon Amortissements matériel de bureau Amortissements matériels sportifs et divers Amortissements films
2,00 1.600,00
Inscriptions tournois, calendriers
7.959,30
VALEURS REALISABLES Sommes à recevoir
VALEURS DISPONIBLES Chèques Postaux Banque
Recettes diverses Droits inscriptions nouvelles ..
Annuaires Cartes C.N.S 35.018,86
Loyer d'avance
Droits d'Auteur
9.938,55 8.361,86 2.163,88 120,00 190,00 1.400,00
Imprimés fédéraux. Insignes ..
CAUTIONNEMENTS
37.367,96
Sportive Statuts et Règlements Comité Technique .., Féminine
6.210,00
Salle et matériel Diffusion
30.000,00 9.471,73
FRAIS ADMINISTRATIFS
60.276,56 DETTES A COURT TERME
32.014,63
Appointements, Solaires Charges sociales Loyers et frais locatifs Impôts Fournitures de Bureau
Affranchissements, Téléphone Frais banque et C.C.P
RESULTATS
Résultat bénéficiaire de l'exercice 1967
1.487,17 333,33 381,00 1.308,83 793,00 1.151,20 290,80 749,00 210,00 2.326,30 100,00 9.135,63
6.221,33 8.373,50
Charges à payer et compte de régularisation
Arbitres Classement Corporative Finances Jeunes
81.303,83
Assurances
Frais de représentation 278.289,30
Frais divers
54.654,74 24.855,20 10.705,09 830,45 4.736,08 13.676,06 33,47 929,47 2.835,10 261,24
113,516,90
COMPTE DE RESULTAT DE L'EXERCICE 1967 AUTORITES ET ORGANES SPORTIFS
CHARGES
Comité Direction, Bureau Fédéral Commissions Assemblée Générale Frais administratifs
Autorités et Organes sportifs Propagande Stage, Action sportive Compétitions sportives Imprimés fédéraux, insignes .. .. Provisions pour pertes et charges Dotation aux comptes d'amortissements ..
9.678,34 9.135,63 1.346.00 113.516,90 3.492,90 55.779,66
21.786,02 53.521,77 6.302,18 33.210,00 2.664,46 310.433,86
Cotisations internationales et Eu
ropéennes Cartes I.N.S. et Cotisations C.N.S. .
3.492,90 PROPAGANDE
Revue « France Tennis de Table » Annuaires
Propagande et Films
81.303,83
55.779,66
Stages Récompenses Subventions accordées
391.737,69
4.036,29 15.511,62 24,30 1.213,79
Echanges culturels Franco-Allemands
PRODUITS
46.271,59 9.343,75 164,32
STAGES, ACTION SPORTIVE Jeunes
BALANCE BENEFICIAIRE
1.128,15 2.364,75
1.000,02 21.786,02
RECETTES LIGUES ET CLUBS
Affiliations et Cotisations Licences
COMPETITIONS SPORTIVES
66.630,00 296.900,00
Chompionn. de France par Equipes Championnats à l'Etranger Epreuves Internationales Coupes Interligues
3637530'^ à déduire :
Ristournes aux Ligues. 150.750,60 212.779,40
^SUBVENTIONS Officielles ! . .. 'Spécial .........
Coupe de France Championnat du Monde Coupes Robert Katz Critérium moins de 15 ans
Championnat de France Individuel
114.594,80 3.219,24
Epreuves corporatives 117.814,04
2.594,71
11.927,39 6.348,78 1.890.45 11.808,10 6.741.46 9.684,30 2.435,10 91,48
53.521.77
4ièm6s Championnats de France Individuels AMIENS, 16-17 MARS ...ou L'HISTOIRE D'UN MAGISTRAL TRIPLE POUR JACOUES SECRETIN ET MARTINE LE BRAS Tout bon lecteur de FRANCE TENNIS DE TABLE, qu'il ait eu ou non la chance de vivre les 4V « Nationaux » d'AMIENS,
a déjà pu se rendre compte mathématiquement (cf. le n° 225 de mars) de la valeur sportive du triplé réalisé par nos cham pions de France confirmés : Jacques SECRETIN et Martine LE BRAS.
Il restait évidemment à parfaire cette impression par cer
taines considérations épistolaires, dut-ce votre chroniqueur de service s'en trouver complexé de devoir les émettre en pleine
fournaise lyonnaise, images des VF Championnats d'Europe
en point de mire et certes pas de nature à l'accréditer dans un objectif retour en arrière ! Dieu merci, les retrouvailles pi
namique secrétaire de la Ligue organisatrice, notre ami Michel LALANDE, avait dévoilé à ses administrés et qui reflète,
mieux que quiconque n'aurait pu le faire à sa place, la phy sionomie de ces 41° <■ Nationaux ». Lesquels furent, incon
testablement, des meilleurs que nous ayons connus. Sans doute aussi, comme l'a si bien présenté le Président (pi card) Jean LEMENAGER, parce qu'AMIENS - promue au rang des grandes métropole provinciales et... pongistes, demeure une ville résolument tournée vers l'avenir, qui ose donc an ticiper et, en corollaire, faire confiance à sa jeunesse. Sans
doute enfin, comme l'a souligné et répété si justement le Président (fédéral) Georges DUCLOS, parce que le tennis
cardes lui ont permis d'extirper de ses archives... ambulantes
de table est et demeure une école de loyauté, de volonté et
un « papier » d'ambiance que, dans le vif de l'action, le dy
d'amitié...
AMIENS - ambiance. par Michel LALANDE Secrétaire de la Ligue (organisatrice) de Picardie
Les 41" Championnats de France à AMIENS ; Une réussite dans l'organisation, dans les conditions ma. térielles et dans la qualité du jeu remarqué tout au long des
qui, officieusement, occupa .la place de second auprès du Juge-arbitre désigné, notre ami sedanais Raymond FERAUGE. Marc BEZIN sut faire comprendre au public - très nom
deux journées I
breux ou moment des finales - et aux joueurs en présence, la
C'est saus trois optiques différentes qu'il convient d'exa miner l'événement national qu'a vécu AMIENS ces 16 et 17
nécessité d'un service bien fait. Il se trouva de parfaits col
mars 1968.
Optique spectateur : tout d'abord, l'impression extraordi naire que donne, dés l'arrivée dans le centre d AMIENS, le complexe sportif Pierre de Coubertin. Quoiqu'inachevé (les 41' Championnats de France étaient en quelque sorte, une manifestation pré-inaugurale), il fait déjà paraître les grandes
laborateurs en ta personne de Messieurs MOYAT, CHADANNE, DERINGERE, POILVE Michel, LEFEBVRE, A. MAN GEZ, SAROCH, DAVIDOVICS, CURALLUCCI, MAZZONNI de la Ligue de Picardie, PAPAVOINE de la Haute-Normandie, DUMOULIN frères, COURSIER et RADFORD des Flandres,
GOBE de la Ligue de l'Ile-de-France. 18 bons arbitres, cela fait tout de même bien partie des données essentielles à la
lignes de confort et de ses installations rationnelles. Le
réussite !
contre-jour créé par l'une des façades vitrées est certes quelque peu gênant pour la vision d'ensemble, il n'en per
qui groupe l'élite masculine et féminine de notre sport - Il
met pas moins toutefois d'admirer la beauté du geste sportif dans les silhouettes ainsi créées...
Optique dirigeant : il faut, avant tout, admirer la parfaite organisation de ces Championnats, tant dans l'accueil, que dans l'organisation matérielle, que dans l'organisation des diverses manifestations extra-sportives. Cette réussite est tout à l'honneur du Président Jean RE
NAUX et de son équipe de l'AMIENS Sporting Club qui dé montrèrent qu'au domaine de l'organisation, il n'y avait pas à leur en apprendre ! Collaborèrent également à cette réussite les membres du comité départemental de la Somme dans leur grande ma
jorité : ils avaient, à leur tête, un magnifique exemple d'en train en la personne de Madame HARDY, tout à la fois prise
par ses responsabilités de Présidente du comité départe mental, de membre du Bureau fédéral, de membre de l'AMIENS S.C. et de... joueuse qualifiée. Citons aussi les membres de la Ligue, rencontrés aux tâches les plus diver ses et les plus ingrates, telles celles de l'arbitrage. Sur ce
point, une mention toute particulière doit être citée à l'ordre de ceux qui, une nouvelle fois, répondirent « présents » et collaborèrent sérieusement (le mot n'est pas trop fort) à la réussite de ces Championnats ; tout d'abord, Marc BEZIN 6
Optique sportive : certes, il faut convenir qu'à ce niveau serait difficile d'être déçu. En fait, nous avons été les té moins de magnifiques rencontres - d'excellentes finales I - et de ces - accrochages » traditionnels qui créent le sus pense et soulèvent les passions. Telle fut donc la physionomie de ces 4 H Championnats de France vue des différents niveaux de ce remarquable cen tre de Coubertin. Ce fut, sans conteste, une réussite et un succès. Le Pré
sident Georges DUCLOS tint à le souligner au cours de ses diverses allocutions. Il le souligna d'autant mieux quand, après avoir remis la plaquette de la reconnaissance fédérale
à Monsieur Yves MERCHER, maire-adoint délégué aux sports il remit une semblable plaquette à Madame HARDY, à Jean RENAUX et à Albéric LABAUME, aussi souriant que mo deste. S'activent dans tous les coins de la salle, ce dernier
méritait bien .un tel hommage : n'avait-il pas présidé, il y a quelque 25 ans, à l'installation du tennis de table à Amiens et n'était-il pas pour beaucoup dans la réalisaion de la ma nifestation printanière de 1968 7 Certes, pour arriver à une telle réussite, il faut un cadre,
il faut une base ; nous avons déjà souligné l'importance de l'aide apportée par la Municipalité d'Amiens, nous avons remarqué l'efficience de l'équipe de dirigeants et de joueurs
groupés autour du Président Sean RENAUX. Il convient de souligner un autre élément capital dans cette réussite : le concours de la Presse. Le journal L'EQUIPE en très gros caractères a annoncé l'événement. Le COURRIER PICARD a consacré, avant et après, des demi-pages au reportage de-
ces Championnats de France, Il a offert son concours à
l'Impression des programmes, des plaquettes de marquage. Il a été le support n° UN de la propagande populaire. C'est sans doute là la raison de l'affluence de plus de 1000 per sonnes venues assister au déroulement des finales qui, entre autres, furent fixées à une heure abordable pour le grand
public. Là aussi, ce fut une éclatante réussite et c'est sur ce point, peut-être, que nous devrions le plus nous réjouir. BRAVO et MERCI AMIENS I
son premier set, ce que seul, après lui, réussira en demifinale Gérard CHERGUI (22-20). Justice soit donc rendue en passant au Roubaisien et à l'Acébébiste qui sauvèrent avec panache, un honneur recherché en vain par les DELASSUS,
LEGRAND et autres YBERT qui ne parvinrent jamais à... 14 dans les tours précédents, pas plus que ne le fera d'ailleurs Vincent PURKART en finale qui se rendit vite compte que son successeur avait à cœur de laver certain et récent ca
mouflet du championnat par équipes, concrétisant la chose sur une démonstration complète de sa technique (puissance exceptée peut-être ) et des envolées spectaculaires (de 10-11 à 18-11 au 2ème set, de 9-11 à 21-13 au 3ème II) qui
figèrent et... ravirent sur place les quelques 1000 spectateurs picards, et autres, du complexe Pierre de Coubertin. L'ex ploit, car c'en est un authentique, méritait effectivement d'être cité le soir même à l'émission télévisée de • Sports-Diman che »...
Michel LALANDE
(extraits de PiCARDIE-Informations du 22 mars 1968)
Mais à glorieux vainqueur, glorieux vaincu... et Monsieur Vincent ne doit pas être jugé sur cette finale qui rappela plus celle de NANCY que celle de MARSEILLE. Car il s'était pré paré consciencieusement à ces 41èmes « Nationaux » et, s'il a admis une fois pour toutes la supériorité du <■ jeune prince », il a su encore, amplement, mériter de s'asseoir dans le fautell de dauphin dont son passé dans l'épreuve - para doxalement régulier aux yeux de certains et non dû, pour tant, au fait du hasard - laissait augurer et que seul, à priori, pouvait lui contester son ami amiénois Jacques HELAINE. Lequel n'est pas, non plus, un tout jeune I Il faut d'ailleurs convenir que celui-ci, devant son public
Considérations Sportives sur les 41èmes « Nationaux d'Amiens par Jean DEVYS
(qui a dépassé le stade de... l'adoption), ne s'est incliné que
Après AMIENS, tout un chacun en France et en Navarre, aura dû se rendre à l'évidence ; le règne de nos « gauchers >
de champions n'est pas là de se terminer ! Jacques SECRETIN, à l'aube de son 20ème printemps, a acquis magistralement son Sème titre consécutif après le couronnement de NANCY (1966), la récidive de MARSEILLE
(1967), et ne l'oublions pas, une place de finaliste obtenue à TOURS en 1965 I Voilà notre Lensois lancé à la poursuite du vieux record de Michel HAGUENAUER (8 titres), un re
de justesse, les armes à la main dont celle, bien redoutable, de l'expedite ruie décrétée à 9-6 en sa faveur au 2ème set
de la demi-finale et qui occupa, spectaculairement, les es prits 75 minutes durant I!
Le 1er set de ce match PURKART-HELAINE avait été en
levé sans histoire par le chef de file du O.S. Union qui avait tenu la gageure de faire attaquer notre Picard. Bien sûr, ce dernier ne retomba pas dans le piège au 2ème set et alors que, sur la table voisine, sonnait l'halali de Gérard CHER-
cord jugé inaccessible en d'autres temps et que n'auront pas réussi à égaler les AMOURETTI (7 titres), VERGER (4), BAROUH (4) et autres ROOTHOOFT (3), seuls champions dignes de son exceptionnel palmarès... Martine LE BRAS, elle, a pris une longueur d'avance sur son ami Jacques puisque son titre amiénois est le 4ème, d'une série qui ne semble pas, non plus, close, dépassant donc, pour la postérité, les triplés d'Yvonne FAYARD et de Monique ALBER, égalant au passage les exploits de Yolande LOGELIN et de Jeanne DELAY, mais restant encore loin du
record absolu de Christianel MATHIEU-WATEL (8 titres éga lement) qui faillit d'ailleurs réussir la remise à... neuf sur les
GUI face à Jacques SECRETIN, la cloche des 15 minutes annonçait à nos 2 antagonistes le spectre du 13ème échan ge : Jacques HELAINE sut, à ce jeu, préserver son avance de 3 points et égaliser même si les points d'attaque (réussis) se comptaient sur les doigts d'une seule main ! Il n'y en eut guère plus au 3ème set mais, dans sa partie Initiale, Vin cent PURKART avait creusé l'écart : 3-0, 8-2... et, si son tenace vis-à-vis revint à 17-18, égalisa même, il rata aussi tôt l'attaque du renversement de vapeur. Dès lors, le jeu se
stabilisa au 4ème set, aucun joueur n'obtenant jamais une différence de plus de deux points qui étaient le plus sou vent marqués, c'est intéressant à noter. Vincent eut la balle
de match à 20-19 sur une attaque croisée mais, modèle d'obstination, Jacques la détruisit sur une amortie que le
bords de la Somme.
Jacques et Martine, associés en mixte, avec la complicité:
filet interdit de sauver. Sur son service, le Picard provoqua
celle-ci d'Allma LAMBERT-MOHKTARI, celui-là de Michel CORDIER ,ont glané à AMIENS une triple couronne qui n'est pas si courante dans nos Championnats. Que, d'autre part, Michel HAGUENAUER et Christlane MATHIEU, leurs glorieux prédécesseurs, fussent encore dé
une faute d'attaque et égalisa de nouveau à la marque sur une offensive « out » de son adversaire. Qui n'en fut pas décontenancé pour autant au départ de la « belle », plus frais apparemment que notre Picard qui semblait désormais manquer de patience, voire de puissance : le Parisien, qui
le tennis de table conserve et conserve même bien si l'a
avait servi en premier, tourna donc à 10-8 mais en n'ayant j eu véritablement que 2 points « marqués » à son actif con-
venir, c'est normal, appartient aux jeunes. Ce n'est pas, en tous cas ■ papa ■ SECRETIN - glorieux vainqueur desa
j'y eut une meilleure concrétisation de la règle d'accélération
nombrés au rang des qualifiés 1968, est une autre preuve que
■tre 1 seul à Jacques HELAINÈ. Au changement de camp, il
« vétérans » aux dépens de notre sélectionneur fédéral -|
; mais, avec 7 points « marqués » contre 5, Vincent PURKART
peu banal en ramenant quatre titres de champion de France ;■
à 13-12, et acquis le droit d'accéder à sa 6ème finale en
dans l'escarcelle familiale I
...6 ans !
qui nous contredira, lui qui a permis d'inaugurer un exploit |s'était t'
Le tout valant bien, série par série, en commençant par la plus cotée : celle du simple Messieurs, une rétrospective
sportive en guise de conclusion...
j t
SIMPLE MESSIEURS
(forfait des joueurs ROUILLARD, remplacé par COUPRY, GUIOT et GENOUD).
Pour Jacques SECRETIN, les choses sérieuses n'auront» véritablement commencé qu'en quart de finale, stade auquel Francis DUBUS (21-19) lui arracha « en boulet de canon »
assuré la marge de sécurité, contestée une seule fois
Ce match PURKART-HELAINE restera donc un des grands moments pathétiques de ces Championnats de France 1968 et mérite d'être placé immédiatement après l'exploit de Jac ques SECRETIN. Mais II serait injuste de ne pas associer aux « médaillés » les héros des quarts qui, tous, furent bien là où ils devaient être : trois espoirs.... confirmés et 1 joueur chevronné.
Jacques LAGER était celui-ci et il faut bien avouer qu'on ne l'attendait pas en si bonne compagnie eu égard à son comportement en championnat par équipes. Pourtant les obstacles rencontrés et vaincus interdisent de minimiser la
performance car battre successivement le Bordelais GOEMAN (toujours aussi accrocheur bien qu'avec une vista di minuée), le Roubaisien DUMOULIN qu'une bonne saison en « Nationale 1 » a aguerri et ne s'avoua d'ailleurs vaincu qu'au Sème set) et surtout Christian ROESCH (qui à défaut de la 1ère série, valait quand même un bon «0») n'est cer tes pas à la portée du premier venu. En quart, le hasard (hum I) du tirage au sort le fit rencontrer son coéquipier
'V/incent PURKART, ce qui eut pour seul avantage d'entraî ner celui-ci à... l'expedite-rule, « entrainer - devant être saisi dans les deux sens du terme I
Dans l'ordre des mérites, nous ferons néanmoins passer avant ses 3 jeunes compères battus en 1/4 et le signataire
i.e réfutera pas l'objectivité de son propos en hissant, en tête du valeureux quatuor, son « poulain » Francis DUBUS que d'aucuns n'avaient jamais vu aussi attentif et concentré qu'à Amiens : avant de prendre un set à Jacques SECRETIN
(alors que, souvent, il n'insiste pas I), il avait littéralement découragé Paul EVRARD puis exécuté proprement Michel CORDIER, deux outsiders de marque avancés très logique ment par les pronostiqueurs, Francis a ainsi rappelé le joueur de classe et à panache qu'il est, rappelé aussi le champion qu'il aurait dû être s'il avait saisi la chance inouïe
qui fut sienne sur la route de Prague à Londres... mais l'heu re n'était pas et n'est plus aux regrets. Car l'avenir sourit toujours aux deux autres héros qui. le 17 mars, répondaient aux doux noms de WEBER (Jean-Paul)
et de DHCNDT. Le néo-picard qui, à son tour, a compris le sérieux de l'entraînement, a eu la déveine d'écoper de son camarade de club (décidément I) et excellent conseiller Jacques HELAINE sans pouvoir confirmer son succès des
• Interrégionaux » d'Armentières mais c'est sur la partie incrojyable de brio, livrée en 1/I6ème au Thionvillois Jean-
Paul STREIT, qu'il doit être jugé car le champion lorrain, vainqueur également des derniers « Interrégionaux », était réellement dans un de ses meilleurs jours, opposant un blocage du revers terriblement rapide et efficace au topspin frappé de l'ex-Halluinois et, à vrai dire, sans ce coup exécuté insolemment en fin de » belle » (23-21 s.v.p, I) il eût remporté ce débat à placer itou dans les tout premiers faits d'armes de ces 41èmes « Nationaux ». Mais il fallait un vainqueur et, dixit les mauvaises langues, un... sélec
tionné, ceci devant compenser cela quelques heures plus tard, non sans quelques remous d'amour-propre... Que DHONDT ait étrillé au préalable Gilbert CHARPIN et
ensuite Jean-Claude TREINEN (le vainqueur d'AMOURh I 1 1 I) que STREIT n'ait permis à Jean-François YSNEL que de faire 36 points en 3 sets, donnent un sens particulièrement à la constatation...
Quant à Jean-Paul WEBER, il n'attendit pas les quarts pour se mettre en évidence, puisque le tirage au sort l'avait au torisé (peut-être pas très logiquement mais ceci est une autre histoire I) à affronter Jacques GAMBIER soi-même dès
le ...premier tour. Un GAMBIER dont la classe de pur-sang eût du lui valoir plusieurs titres de champion de France de puis 15 ans qu'ii participe aux « Nationaux », un GAMBIER
enfant chéri de l'AMIENS Sporting Club dont les supporters attendaient enfin une consécration derrière Jacques SECRETiN à défaut d'être suprême ! Hélas une fois encore pour eux, l'enfant chéri souffrait de l'estomac et, diminué physi quement, il le fut vite moralement, répugnant à prendre des
initiatives offensives qui n'eussent pas été des ■■ risques », opposant dégressivement une résistance que la ténacité de l'élève à Charles ROESCH abattit dramatiquement au 4ème set... Par la suite, l'aîné des WEBER se joua du 'Toulousain Jean-Claude LEFEBVRE (dont le top-spin avait eu raison du « roc » FLQCH) et si tout aussi opiniâtrement, il dut réta
blir une situation compromise en 1/8 par le Dyonisien JeanClaude MOLET (qui, soit dit en passant toujours excellent aux « Nationaux », mena crânement par 2 sets à 0 I), Il ne fut pas loin en 1/4 de détrôner Gérard CHERGUI, que seule, une classe insolente bien que parfois disproportionnée au... moral, sauva après un handicap de 2 sets à 1 en faveur du Messin.
Ces colonnes ne permettent pas de donner en particulier tous les acteurs de ces 41èmes <■ Nationaux », dont le prea.'
mier mérite fut et restera celui que vantait certain baron, mais le chroniqueur peut aider le rapporteur au classement en extrayant l'identité des plus méritants parmi ceux qui n'ont encore pu être cités. Ce furent... — parmi les <■ anciens » : le Sedanais MARKIC qui... re trouvait PURKART et faillit le mener 2 sets à 0 à l'expedite ruie (déjà I), le Havrais CREEE (Sème set sur Christian
RGESCH), l'Halluinois HERMAN (mis en difficultés toutefois par le toujours jeune TARIANT), les Hauts-Normands LEGRAND et YBERT (métronomes-nés), le Parisien CAUSSIN (victime lui aussi de l'ouragan MQLET I) ,voire les BQCQUILLON (1 set pris à CHERGUI) et MALLARD (même s'il ne crut pas à sa chance face à CQRDIER), etc... — parmi les espoirs confirmés ou en voie de confirma tion : tout d'abord, le Roubaisien Dominique GUETIERE qui, à Amiens ,offrit la meilleure facette de son tempérament, celle de l'attaque intelligemment menée, une attaque sans peur et sans reproches qui laissa pantois le « vieux lion » HAGUENAUER et faillit surprendre HELAINE soi-même en
3 sets nets, n'était-ce ment à 23-25 (encore nats 1968), ensuite un l'anonymat du peloton
le premier sauvé on ne sait trop com un grand moment de ces champion certain ABELLO qui avait disparu dans des ■< 2ème série » et qui se rappela
au bon souvenir des VISDELOUP et BERT avant de retrou
ver (encore II) son partenaire acébébiste Gérard CHERGUI... — pour la "" nouvelle vague » : un seul nom, celui de Christian WEBER qui, certes, eut beaucoup de peine à en rayer la mitrailleuse CHARLET (les conseils judicieux de Charles ROESCH aidant... au bon moment) mais sut livrer un 1/8 de bonne facture à Monsieur Vincent. La couleur était annoncée pour Egletons ! Au chapitre des déceptions, nous rangerons tout d'abord
celles d'ordre moral au passif des ROUILLARD (récidiviste ?), GUIQT et autres GENOUD (qui ne semble pas concrétiser les espoirs placés en lui lors de certaine croisade albigeoi se I) et quelques autres d'ordre sportif, dont les plus re marquées auront été le renoncement de Paul EVRARD qui n'avait pas, à l'instar de son aîné Guy AMOURETTI ou d'un
Jacques GAMBIER chancelant, soit le poids des ans, soit ia circonstance médicale atténuante, à invoquer... et, parce que nous attendions beaucoup de son auteur après la campagne marseillaise et les facilités dont il dispose à l'I.N.S... la disparition sans gloire d'un Michel CORDIER,
battu tactiquement par Francis DUBUS, même si ce dernier, comme déjà vu, était étincelant !
Enfin, la prime de la malchance sera dévolue à l'Auchel-
lois Jean-Luc DELASSUS dont la saison régulière méritait un meilleur sort que de tomber en holocauste sur son ami artésien Jacques SECRETIN, celui-là même qui lui barre ia route des succès individuels depuis près de deux lustres ! SIMPLE DAMES
Cn prend les mêmes et on recommence... seralt-on tenté
d'affirmer à l'égard de nos. compagnes I Tant il est vrai qu'à partir des demi-finales, il n'a plus été question que de noms connus et répétés depuis plusieurs saisons avec une
uniformité qui, à Amiens, eût frisé l'ennui n'était-ce la qua
lité technique et spectaculaire de la finale à laquelle Martine LE BRAS classe et jeunesse alliées !) et Christiane MATHIEU-WATEL (le passé glorieux I) nous ont conviés à as
sister, à la plus belle finale féminine sans doute jamais vé cue en France...
Martine,^ on le sait, a confirmé son titre marseillais mais il
a fallu qu'elle soit dans un jour exceptionnel pour venir à
bout de celle qui, chez nous, possède le palmarès le plus envié sur le double plan national et international et qui, 17 ans après son premier titre de Valence, était encore capable d'ajouter un fleuron à sa couronne I
Elle eût probablement tenu cette gageure si, au 1er set de la finale, dans un sursaut d'orgueil offensif s'il ne fut peut-être pas entièrement lucide, notre Martine nationale
n'avait frappé 5 fois victorieusement alors qu'elle était logi
quement menée 17-20. Dès cet instant, en effet, Christiane
MATHIEU a senti le titre lui échapper et certains gestes Inu sités de nervosité, tel le jet répété de la raquette en l'air, ne
trompaient pas à cet égard. Certes, elle enleva le 2ème set qu'elle avait d'ailleurs mené de bout en bout pour avoir su endiguer les assauts, inlassablement dirigés par sa jeune et talentueuse adversaire. Elle pouvait même récidiver au Sème, menant 10-8 après avoir été distancée à 5-8 mais Martine avait retrouvé la plénitude de ses moyens offensifs et, di sons-le tout net, ce complexe de supériorité qui lui manque parfois dans les grandes occasions (internationales notam ment). L'attaque était franche, croisée, intelligemment dosée du coup droit comme du revers et, sur une série de 5 points
(13-11 pour Martine), Mme MATHIEU accusa une longueur de retard qu'elle ne put jamais combler. On crut trop hâtive ment que les jeux étaient consommés au 4ème set quand la tenante, menée 6-10, reprit son forcing pour atteindre 15-12 à la marque. Las, elle confondit alors vitesse et pré cipitation, son expérimentée challengrice prit les risques qui
au sort, hélas, oppose chaque année à une des quatre pre mières têtes de série (cette fois-ci, elle fit pratiquement jeu égal avec Alima LAMBERT, échouant de deux petits points aux 2ème et 3ème sets) et la Lyonnaise Marie-Thérèse HAUTEVELLE qui, très sobrement, conduit efficacement ses par ties, à un doigt qu'elle fut de vaincre Anna VAN RCBAYS en 4 sets, ce qui est quand même une référence.
Ce qui est clair, en tout cas, c'est que notre gent féminine a toujours le sens de la correction sportive (pas un forfait I) et que si, par moments., les nerfs craquent, point n'est ques tion de découragement et de déception provoquée. La chose valait d'être soulignée ! DOUBLE MESSIEURS
décontenancent toujours dans ces cas-là et, soit sur ses attaques-surprises, soit sur les fautes qu'elle provoquait par un judicieux placement de balles, accumula un capital de 8
Dans la recherche du grand chelem, Jacques SECRETIN avoit choisi son compagnon d'études : Michel CCRDIER comme compagnon d'armes, dont il lui fallait guider le coup
points d'affilée et égalisa à nouveau. Rien n'était donc joué mais, visiblement, Mme MATHIEU avait laissé dans la
droit meurtrier.
bataille une bonne dose de sa concentration nerveuse et,
Les associations mixtes HAGUENAUER-DE CONINCK (2 vétérans) et DEVCYE-CCURTClS ne lui posèrent guère de problème à cet effet mais c'est de RCESCH-STREIT que sur
de fait, elle fut incapable de prendre l'avantage moral qu'outorlsait un 3-0 au démarrage de la « belle ». Martine reprit du champ à 5-3 et tourna à 10-7 en sa faveur. Pour elle, l'es sentiel était de tenir un rythme rapide : elle le tint admirable
ment, sans risque inutile, sans faute grossière. A 16-9 puis à 18-12, la cause était entendue... Gloire soit donc rendue à notre Martine nationale, qui,
vint la cote d'alerte, les Lorrains évitant ou contrant le dit
coup droit, ratant une réelle chance de s'imposer dans leur bonne formation au 2ème (22-24) et 4ème sets (19-21) après avoir tiré la salve d'honneur au 3ème (21-17).
Le 3ème set mis à part la chevauchée fantastique se pour
, titrée pour la 4ème fois, avait prouvé en la circonstance qu'elle demeurait notre n° 1 en dépit des sets successivement
suivit sans heurt apparent sur le dos des CHERGUI et AMOURETTI qui en étaient arrivés là sur leurs seules va
lâchés à Françoise BLOND, à Yveline LECLER puis à sa
leurs individuelles associées mais finalement pas tellement faites pour se compléter dans cette dure spécialité qu'est véritablement le double. La meilleure preuve étant que nos
partenaire de double Alima MOHKTARI alors même que sa non moins glorieuse finaliste ne concédait pas la moindre manche à Gisèle DUFOUR (au tempérament toujours trop
généreux), ni même à Christine DELAUBERT (qui fit 34
Parisiens avaient dû recourir préalablement à la « belle » pour « sortir » les Marseillais CASAROTTI-DUPAS et les
points), ni même à Monique ALBER (qui ne l'inquiéta vérita blement qu'au 1er set).
Flandriens CHARLET-GUETIERE, l'exception étant pointée face au tandem fraternel des WEBER, trop attentistes.
Ce faisant, nous avons nommé les héroïnes traditionnel
les des Championnats de France individuels et il est un fait flagrant, sion regrettable, regretté en tous, cas par nos cham pionnes, que la relève tarde à poindre chez ces Dames. Nous aurions toutefois mauvaise grâce à ne pas souligner l'intégration dans l'élite féminine de notre championne ca dettes 1967 : Muriel BURGEVIN qui a accédé au 1/4 de finale après un premier set tactiquement déficitaire face au revers
La finale, Jacques SECRETIN et Michel CORDIER la jouè rent, comme attendu, face aux Amiéois GAMBIER-HELAINE qui furent champions à Nancy et dont le public supputait vi siblement un nouveau titre. Mais là aussi, le problème moral allait se poser chez Jacques GAMBIER après la déconcer tante défaite du simple ! Heureusement qu'à ce stade, nos challengers eussent passé, non sans peine, le cap péril leux présenté par leur coéquipier (ce qui était pour le moins
d'Anna VAN RCBAYS. Il serait surtout injuste de ne pas.
illogique II) Danny DHONDT associé au Roubaisien DUBUS,
mettre en exergue les réels progrès affichés par Yveline LECLER qui, battue avec panache par Martine LE BRAS, avait préalablement déjoué des oppositions aussi dispa rates que pouvaient, seules, lui offrir la Tourangelle Nicole PILLIERE (le trouble-fête de Nancy I) et Chantai LEMAZURIER (avec sa fougue légendaire et pas toujours disci plinée). Yveline a un tempérament de battante qui doit être
opportunément exploité et qui la hissera au sommet dès l'Instant où la guerre des nerfs sera gagnée...
le tout dans un choc de... premier tour qui valait une demifinale bien sonnée ! Le véritable danger fut écarté miracu leusement en 1/8 devant les Pyrénéens BOUZIGUES-LEFEBVRE qui profitant astucieusement de la situation ainsi créée, menèrent 2 sets à 0 et 19-17 au 3ème pour perdre à 28-30 (!) leurs dernières illusions. Les Picards, remis en selle face
au tandem parisien MOLET-YSNEL (battu en 3 sets après avoir infligé le même sort aux CAUSSIN- et CASSAN, com prenne qui pourra I), eurent encore un mal inouï à passer le
Pour le reste, rien de trop nouveau sous le soleil (qui boudait d'ailleurs). Monique ALBER, qui sut profiter d'une nervosité extrême chez Michèle BCITEUX (la finaliste de Marseille I) et Alima LAMBERT demeurent des valeurs sû res. Les jeunes, qu'elles aient noms DRANCCURT, PCNCHART (celle-là bouttant hors celle-là au grand dam des supporters picards I), RCSSERC (perfectible), LALLCUET ou HERVE (cette dernière vainqueur de notre Présidente natio nale accaparée, il est vrai, par d'autres soucis) ont encore beaucoup à apprendre...
stade des demi-finales par la vertu de la science infuse d'un Vincent PURKART alliée à la technique moderne d'un EVRARD top-spinant et frappant inlassablement, qui permi rent aux joueurs du O.S. Union de prendre du champ à 2 sets à 1 avec un avantage de 19-18 au 4éme, avant d'être
Maryse DELASSUS eut le malheur de tomber au 1er tour sur une Christiane MATHIEU souveraine, Marie-Claude
asséner son coup droit favori, nos Picards prirent une avan ce incroyable (14-2 puis 18-6 I) qui les mirent en confiance. Trop peut-être car, recevant les balles de GAMBIER, Jac ques SECRETIN eut tout le loisir de reprendre la direction du mouvement au 2éme set et d'autoriser progressivement son partenaire à retrouver l'idoine assurance offensive. Dès lors, tout complexe envolé, la belle mécanique n'eut plus de raté et le public, très sportif, ne s'y trompa pas qui applaudit les attaques admirablement coordonnées et croisées des favo ris, lesquels ne furent plus désormais inquiétés, n'était-ce
FRANCESCHI ne trouva la faille dans le réseau défensif de
Christiane DELAUBERT qu'un set durant, Jacqueline VIALA ne semble plus avoir la ressource de passer en surmulti pliée même si elle fut plus heureuse (d'un set) que Jeanne GERNCT (dont c'était virtuellement la rentrée) en recon trant une Michèle BCITEUX encore sûre de son affaire. Alors
que chez les moins jeunes qui se targuent, à juste titre, d'en core pouvoir progresser, sortaient de l'anonymat la Calaisienne Edith RENNE qui a du tempérament mais que le tirage
pris à leur propre jeu (ah ! ce retour du top-spin I) et de ne pas s'en remettre à la « belle » (4-10 au changement de camp et de... formation). Que dire de la finale ? Michel CORDIER cherchant obstensiblement et en vain de se mettre en position favorable pour
au milieu du 4ème set. 9
Avec les 4 formations notées en demi-finales -f DHONDT DUBUS, nous avons donné les meilleurs de la catégorie.
L'accessit ira aux jeunes Flandriens DELASSUS-GUILBERT qui eurent beaucoup de mérite à se hisser en 1/4 (ils étaient menés 2 sets à 0 par i'association de... fortune BERT-BOU-
RAS I), aux BOUZiGUES-LEFEBVRE héros des 1/8 déjà ci
Charles ROESCH eurent l'heur d'amener encore l'équipe ALBER-DUBUS au 5éme set mais sans réussir la passe de deux, les tenants les distançant à 20-8 puis 21-14. Autres formations remarquées : Chantai LEMAZURIER et Danny DHONDT, capables du meilleur comme du pire mais excellents demi-finalistes après avoir plus tremblé devant le
tés, à cette autre équipe improvisée que formèrent ie Sedanais MARKIC et ie Roubaisien DUMOULiN et qui amena les PURKART et EVRARD au Sème set alors que, demi-finaliste à Marseille, la formation LEGRAND-YBERT était beaucoup moins gâtée par ie.. sort qui la voua d'entrée aux mêmes FURKART-EVRARD (il), Jean-Ciaude CREFF associé à Da niel MALLARD essayant bien de rééditer le coup de la Caebière (finaliste I) à sa place mais échouant en passant par la Lorraine (WEBER frères au Sème set i)... Au rayon des déceptions, rien de trop particulier, le ta bleau étant d'ailleurs et judicieusement complété ou rema nié par M. FERAUGE en fonction des rares forfaits enre gistrés en simple.
tandem fraternel des DELASSUS que face à I équipe « tête de série > DELAUBERT-CHERGUi (qui prit le premier set
DOUBLE DAMES
tour hiérarchiquement logique, les sets enlevés par le Tourquennois CLIQUETEUX au « patron » de la • Sportive » IHenri RIDARD et par « papa » PIOT - le régional de l'é preuve - au Rouennais BROCHET (ancien finaliste) étant les
Même finale, même physionomie qu'à Marseille avec la victoire prévue de Martine LE BRAS et Alima MOHKTARI (LAMBERT) aux dépens de Monique ALBER et Christiane DELAUBERT, une victoire signée pour la 7ème fois consé cutive, qui dit mieux ?
Une droitière, une gauchère de chaque côté, l'une restant fidèle au picot, l'autre utilisant la mousse, pour rétablir l'é quilibre I A vrai dire, la reconduction du titre - qui semblait n'être qu'une formalité à l'issue du 2ème set - fut très dis cutée au Sème et 4ème dès l'instant où le revers de la Bi sontine fut mieux amené. On crut même à la « belle » à 18-15
pour les finalistes mais un revers-surprise d'Aiima, un autre raté de Monique, remirent tout en question, Martine plaçant opportunément un contre-pied à 20-20 qui força la décisision...
Pour les vainqueurs, c'était la répétition de la demi-finale énievée également en 4 sets tendus (le premier excepté) sur les Lorraines Michèle BOITEUX et Yveline LECLER qui nous ont paru encore très perfectibles dans la coordina tion offensive alors que i'association GERNOT-VAN ROBAYS prenait logiquement la 4ème place au classement comme sur tables puisqu'ayant vaincu leurs jeunes rivales pari
siennes DUFOUR-LEMAZURiER en exploitant au mieux les erreurs qui succédaient aux phases brillantes. Quant au 2ème tandem acébébiste BURGEViN-THEVE-
NARD, son mérite est d'avoir également pris un set aux lau réates de la spécialité, les Auvergnates GOGAIN-ViALA et les Flandriennes DELASSUS-RENNE complétant le lot des
quarts de finaliste sans que la logique n'en soit bafouée I DOUBLE MIXTE
Sans accorder une valeur sportive exceptionnelle à cette spécialité qui est toute axée sur le choix d'une partenaire à la technique suffisamment étoffée pour ne pas être cons tamment prise en... point de mire, reconnaissons-lui un effet
de diversion tactique non négligeable et, somme toute, sym pathique.
A ce jeu, la Bisontine Monique ALBER, excellente joueuse de double comme chacun sait, avait été une auxiliaire pré cieuse pour le Roubaisien Francis DUBUS, gaucher de son état et lui aussi très bon spécialiste, ce qui leur avait valu de vaincre à Nancy puis à Marseille, les 2 fois sur Martine LE BRAS et Vincent PURKART associés.
A Amiens, nos deux Parisiens se séparèrent d'un com mun accord. Avec bonheur pour la première nommée à la quelle Jacques SECRETIN insuffla un tel complexe de supé riorité que l'équipe créée ne perdit pas un seul set des
21-6 et en... resta là), Marie-Claude FRANCESCHI et Michel CORDIER, vainqueurs méritoires de Michèle BOITEUX et Christian ROESCH avant de baisser pavillon (comme tout un
chacun I) devant les vainqueurs 1968, Jacqueline VIALA et
Roger TARIANT qui se hissèrent en quart de finale. CRITERIUM VETERANS
Ces « vieilles gloires » sont toujours un exemple à méditer, exemple de combativité et d'intelligence de jeu si la vitesse d'exécution n'y est plus... Tôt levés le dimanche, nos vétérans vécurent un premier
faits notables avec la nette victoire du sélectionneur Robert
PARMENTiER sur Félix DE CONINCK, toujours bien malheu reux dans l'épreuve...
En quarts, 3 anciens tenants étaient présents, deux s'entrebattant même : ie Lorrain Alfred SCHUH et le Parisien
LASKIEWICZ, celui-ci s'inclinant de peu à la « belle ». Quant à Albert BOUZIN, il eut moins de sentiment pour Henri RIDARD qui ne l'en menaça pas de P.V. pour autant I
Papa SECRETIN sur BROCHET, notre sélectionneur sur le pourtant rusé DELACHENAL, passèrent aussi très allègre ment. Et ce furent d'ailleurs eux qui accédèrent à l'ultime stade, celui-ci en accablant en 2 sets nets notre Lorrain qui s'était juré de mourir la raquette à la main, celui-là en infli geant son <■ surchop » au vainqueur de Marseille, laissé sur place à la « belle » au bout de... 14 minutes et quelques secondes (21-11). Ce que d'aucuns appelaient une finale inattendue ne l'était pas pour tout le monde et certainement pas pour ses ...acteurs, le père de notre champion de France ayant mal digéré son éviction du tableau marseillais (et on le com prend), le Parisien désireux avant tout de prêcher d'exem
ple eu égard à ses fonctions officielles i Ce fut, de fait, une explication de prestige, passionnante dans son déroulement, les deux protagonistes ne se faisant
aucun cadeau : évitant le piège du sur-chop par un lift as tucieux, Robert PARMENTIER empocha le premier set et crut à sa chance à 15-15 au 2ème mais, pour rien au monde, « papa » SECRETIN n'aurait voulu lâcher sa proie. Il alla jusqu'à forcer le destin par deux contre-pieds angulaires et, sur sa lancée, tourna à la belle » sur une marge de 10-6 apparemment de sécurité. Fichtre, notre sélectionneur, cal mant le jeu, égalisa à 10 puis à 12 ; à nouveau, le Lensois
« risqua » son contre-pied qu'il doubla même pour faire 17-12, en rata 3 tout aussitôt avec précipitation puis réussit un ...revers à 17-16. Un dernier contre-pied, un blocage et c'était le titre
i
Comme il était heureux et ...ému notre nouveau champion et son fiston ne fut pas le dernier à le féliciter. BREVES CONCLUSIONS
Le travail d'un chroniqueur étant de narrer avec ie maxi mum de sincérité ce qu'il a vu et entendu du-il en « sécher »
de totaliser 34 points !! De là à cataloguer ces deux-là d'in
la réunion du Conseil Consultatif I, il laissera au Comité Technique fédéral, aux entraîneurs et au sélectionneur le soin de tirer les conclusions de ces 41èmes Championnats de France... après LYON !
touchables, il n'y a pas loin... Quant à Monsieur Vincent, bien lui en prit d'élire Chris
tion les deux thèses, qui, traditionnellement, s'affrontent au
championnats, les tenants devant se contenter pour leur part
tiane MATHIEU comme nouvelle partenaire mais sans pour cela l'amener en demi-finale par la faute d'un premier set
lâché 20-22 à la paire lorraine LECLER-STREITT qui, après avoir frisé un catastrophique 3-0, empocha les deux derniers sets sur de spectaculaires attaques croisées. Les protégés de 10
Mais son propos n'est pas usurpé de mettre en opposi
démarrage de l'épreuve quand est dévoilé le... tirage au sort. Que ie procédé soit parfaitement réglementaire de plac;r u.-.o « tête de série » par 8 engagés et d'essaimer
les 7 autres au gré du vent, c'est indiscutable et personne
ne ;Lfutera qu'il est même appliqué jusqu'à une certaine
mesure toutefois) aux Championnats du Monde comme aux Championnats d'Europe. La Vox Populi, toujours pleine de bon sens parce qu'en contact avec la réalité de base, n'en trouvait pas moins à Amiens, comme à Marseille, comme à Nancy, comme à Tours, etc... qu'une répartition hiérarchi que tenant compte des contingences régionales, financières (qui paie les déplacements ?) ou de classement, offrirait moins d'emprise aux récriminations (bien souvent fondées) et surtout aux discussions oiseuses tout en ne demandant
pas plus de travail I
Le signataire ne se cache pas de proclamer à la cantonnade qu'il est farouche partisan de la deuxième formule pour l'avoir appliquée, avec un certain bonheur, des années du rant. Ceci soumis en toute objectivité à la Commission fé
dérale des statuts et règlements par le truchement de la « Sportive » ! La chose mise au point, le juge-arbitre de ces 41ème " Nationaux », notre ami FERAUGE n'en, pouvait mais... tous
les participants d'Amiens approuvant certainement leur chro niqueur en le nommant Monsieur Bons-Offices, tant sa bien veillance compétente aida à alimenter la douce ambiance du week-end passé au centre Pierre de Coubertin. Qu'il soit permis itou, surenchérissant en cela sur le « papier » de Michel LALANDE, de réitérer les remerciements de tous à
la Municipalité amiénoise, à l'AMIENS Sporting Club orga nisateur et à la Ligue de Picardie, ajoutant une pointe de reconnaissance à l'égard de la Radio-Télévision qui, après la Presse, a su » saisir » l'événement pour le plaisir des yeux, ainsi qu'aux services académiques (M. PECQUEUX) et départemental (M. JOSEPH) de la Jeunesse et des Sports, dont l'appui, plus que moral d'ailleurs, fut d'un réel récon fort.
Qui prendra le relais d'AMIENS... ? D'aucuns se plaisent à regretter que les Flandres ne sont pas souvent sur la brè che, cela ne tombera
peut-être pas dans l'oreille d'un
sourd 1
Jean DEVYS
Us ont été sacrés CHAMPIONS DE FRANCE 1968 Simple dames : Martine LE BRAS fA.C.B.B.) Double dames : Martine LE BRAS et Alima LAMBERT
Simple messieurs : Jacques SECRETIN fA.S. Messine)
Double messieurs : Jacques SECRETIN et Michel CORDIER Double mixte : Martine LE BRAS et Jacques SECRETIN
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Les 4'""" Interrégionaux Ligues réunies 1
Alsace, Pranche-Comté, Lorraine
Vainqueurs Messieurs
Places 4
schématisés par Jean DEVYS
Jean-Paul STREIT
Places
Vainqueurs Dames
2
Yveline LECLER
(Sp. Thionville)
(ASEC Nancy)
2
Champagne, Flandres, Picardie
10
Danny DHONDT (Amiens SC)
4
Edith RENNE (AJM Calais)
3
Ile-de-France
13
Jacques SECRETIN (AS Messine)
6
Christiane MATHIEU
Robert PLOCH (ASPTT Brest)
2
4
Atlantique, Bretagne
4
(ACS Pontenay) Anick CHATELAIN
(CPB Rennes ) 5
Alpes, Bourgogne, Dauphiné, Lyonnais
4
Claude BERT
4
6
7
Hélène REVERCHON
(Etoile Montaud St-Etienne)
(US Cheminots Lyon)
Guyenne, Languedoc-Roussillon, Pyrénées
4
Auvergne, Limousin, Orléanais,
5
Roger TARIANT (Mets Montiuçon)
3
Nicole PILLIERE
Jean-Claude LEPEBVRE
1
Poitou-Charentes, Touraine
Mme TREILLES
(IBM Montpellier)
(ASPTT Toulouse)
(ASPO Tours)
8
Côte d'Azur, Provence
4
Jacques DIDIER (USCCA N.cc)
1
Roseline CRIMAUD
9
Basse-Nor.mandie, Haute-Normandie,
5
Daniel MALLARD
2
Marie-Claude PRANCESCHI
(CS Toulon) (Le Havre AC)
Sarthe
(ASRC Caen)
en caractère gras, les Lignes organisatrices.
... et commentés par leurs juges arbitres GROUPE N° 1 (NANCY)
En résumé, nette domination de la sélection lorraine qui
qualifie 7 joueurs sur 8 en quarts de finale, le 8éme étant Jean-Paul STREIT (pour la 3ème fois) et Yveline LECLER étaient bien les meilleurs...
Bauer de Sochaux.
En demi-finales, on retrouve 4 lorrains dont 3 joueurs du PEC Metz.
Disputés à Nancy, dans la salle des sports de la rue Poincaré, les Championnats interrégionaux du groupe 1 ont été favorisés par le temps propice qui a permis aux concur
Weber.
rents de se présenter à l'heure et à l'horaire d'être respecté
des Lorraines.
très largement du fait aussi des forfaits signalés ci-dessous. Il est à regretter les absences des joueurs et joueuses de Pontarlier, Herserange, Jussey, Cronenbourg dont les noms
En demi-finales, Mlle Lecler Yveline gagne facilement de vant Mme Breton et Mlle Pano (Lunéville), après une très
suivent :
Messieurs : Pernet (Pontarlier), Bossi, Trichot (Herseran ge), Cavagnac (Jussey), Wurtz, Laengle (Cronenbourg). Dames : Mlle Girard, Mme Salomez (Pontarlier) tous régulièrement engagés par leur ligue . Six tables étaient à la disposition des joueurs pour une aire de jeu totale de 16 m x 30 m sur parquet. La salle était chauffée malgré une température clémente il a même fallu interrompre le chauffage dés le début des compétitions. L'éclairage (lumière du jour) venant du plafond était parfait Un regret cependant, le peu de spectateurs présents, la majorité de la galerie étant composée de joueurs de la région, des participants et de leurs accompa gnateurs.
La Presse régionale, Est-Républicain, Républicain-Lorrain et l'ORTF étaient présents, et tout au long de l'aprés-midi ont suivi, par le flash ou la caméra, toutes les phases finale de ce championnat. Au cours de cette journée nous avons remarqué la pré
sence de M. le Docteur Jeanclaude, président de la Ligue de Lorraine, entouré de la majorité des membres de son comité de M. Andréanshy de Szentendras, président de la Ligue d'Alsace.
Sur le plan sportif : il n'y eut guère de surprise à signaler, la hiérarchie du classement étant respectée souvent. Seules quelques performances prévues de : — Mercy (25) sur Lacomme (20) au 1er tour et A. Schuh (15) en huitième de finale, — Walk (30) sur Nocq (20) au 1er tour. — Boulanger (25) sur Nadulek (15) au 1er tour. , 12
Victoire très nette de STREIT (Thionville) en finale sur JP Chez les féminines : dés le 2éme tour, il ne reste plus que
belle partie devant Mlle Muller (10), se qualifie pour la finale. La finale confirme la forme actuelle de la Nancéienne Yve
line Lecler récente vainqueur de Mlle Le Bras en coupe Katz qui, malgré une belle résistance de S. Pano gagne par 3-0.
Jean MELINE
1/16 : Weber J.P. (SPEC Metz) bat Pernet (Pontarlier) w-o; Boulanger (25 - AS Mulhouse) bat Nadulek (15 - ASPTT Nan cy) 3-2 ; A. Schuh (15 - Thionville) bat Pêcher (15 - PC Mu lhouse )3-1 ; Mercy (25 - Lunéville) bat Lacomme (20 - RC PC Besançon) 3-1 ; Helm (20 - PC Mulhouse) bat Trichot (AC S Herserange) w-o ; Bouras (15 - PEC Metz) bat Cavagnac (ES Jussey) w-o ; Mougeot (20 - Prouard) - Wurtz (AC Cro nenbourg) w-o ; Bauer (15 - PC Sochaux) bat Schuh René (20 Thionville) 3-0 ; Weber Christian (15 - PECBetz) bat Ri chard (20 - Sochaux) 3-0 ; Capard (25 - PC Mulhouse) bat Runnebourger (25 - Epinal) 3-0 ; Molard (25 - PS Besançon) bat Bossi (ACS Herserange) w-o ; Clément (25 - St-Avold) bat Landhauser (35 - AS Mulhouse) 3-0 ; Walk (30 - PEC Metz) bat Nocq (20 - RCPC Besançon) 3-2 ; Pavre (40 Briey) bat Laengle (15 - Cronenbourg w-o ; Choby (20 Mouchard) bat Henry (30 - Lunéville) 3-2 ; Streit (0 - Thion ville) bat Memheld (30 - AS Mulhouse) 3-0.
1/8 : Weber J.P. bat Boulanger 3-0 ; Mercy bat Schuh Alfred 3-1 ; Bouras bat Helm 3-0 ; Bauer bat Mougeot 3-0; Weber Ch. bat Capard 3-0 ; Clément bat Molard 3-0 ; Walk bat Pavre 3-0 ; Streit bat Choby 3-1 ;
1/4 (qualificatifs) : Weber J.P. mat Mercy 3-0 ; Bouras bat Bauer 3-1 ; Weber Ch. bat Clément 3-0 ; Streit bat Walk 3-0.
Demi-finales : Weber J.P. bat Bouras 3-0 ; Streit bat Weber Ch. 3-1.
Finale : STREIT bat Weber J.-P. 21-14, 21-8, 21-9.
aient sur les nouvelles tables • T.A.S. » récemment acquises par la Ligue des Flandres. Ge qui plut au public connaisseur mais hélas trop restreint pour une épreuve de cette impor tance.
TABLEAU DAMES
1er tour : Glus (20 - St-Avold) bat Burger (35 - Stras bourg) 3-1 ; Mme Breton (20 - Epinal) bat Bûcher (35 - FC Mulhouse) 3-2 ; Aubry (25 - Epinal) bat Girard (Pontarlier) w-o.
1/4 : Lecler (10 - EG Nancy) bat Glus 3-0 ; Mme Breton bat Salomez (Pontarlier) w-o ; Muller (10 - Algrange) bat Peiffert (Thionville) 3-0 ; Pano (10 - Lunéville) bat Aubry (Epinal) 3-0. Demi-finales (qualificatives) : Lecler bat Mme Breton 3-0 ;
Le dernier mot sera pour saluer la présence des secré taires des Ligues amies : Gharles Artaud (Ghampagne) et Michel Lalande (Picardie), libérés pour une fois des soucis de leur charge et remercier a palange dont l'inusable M. Har dy était encore des responsables de groupes qui permit d'assurer le déroulement parfait des Ghampionnats en rendant aphones à la fois gosiers (les leurs I) et... micro. Et comme la » consolation » plut beaucoup aux « sansgrade », Armentières restera pour tous un très agréable sou venir !
Jean DEVYS
Pano bat Muller 3-1
Final e: Yveline LECLER bat Pano 21-5, 21-16, 21-16.
LES RESULTATS
*
DAMES
**
• GROUPE N° 2 (ARMENTIERES) Danny DHONDT inaugure la « succession » de SECRETIN, Edite RENNE confirme Charleville...
Grâce à l'appui sans réserve de sa municipalité sportive
et de son maire pongiste Gérard Haesebroeck, la pauvre mais fière Armentières aura bien mérité des « Interrégio naux 1968 », l'ami Baëtens apportant la petite note maté rielle qu'il fallait pour parachever l'œuvre et les. concurrents cette indispensable discipline qui confère à une épreuve qualificative son maximum de régularité. Car, remarquable fut de constater qu'en dépit des distances (parfois plus de 300 kms I), seuls 3 forfaits - tous d'ailleurs valablement ex cusés, ont été enregistrés sur 92 convocations lancées aux élus champenois, picards et flandriens, la Lilloise Josette Fouace et le Sédanais Michel Nicolle étant les absents de
marque à leur corps défendant. Avant toutefois que d'en arriver à la distribution des « nieulles », les places, amiénoises devaient être chèrement
disputées bien que sans véritable pied-de-nez à la hiérarchie. Chez ces dames, il n'y eut pas de problème pour le tan dem flandrien Delassus-Renne mais, si Madame HARDY
profitait sentimentalement de l'absence de Josette Fouace, sa jeune protégée picarde Annie Ponchart eut beaucoup
plus de mal à déjouer de ...sang-froid la volonté farouche de » maman » Secrétin qui l'a menée 2 sets à 1 et 18-15 au 4ème I
Qualification assurée, on pensa au titre et ce titre Edith Renne le désirait ardemment ne serait-ce que pour asseoir son succès régional et dissiper certaine équivoque caro-
(19 qualifiées - 18 présentes) Avant-tour : Ramart (ne - ASPTT Lille) bat Tricot (50 - SM Roubaix) 3-0 ; Mich. Thomas (ne - ASLVM Nogent) bat Vandaele (45 - SM Roubaix 3-1 ; Bezin (40 - Usinor Montataire) bat Petit (40 - SM Roubaix) 3-1. fer tour : Ramart bat Degardin (30 - Amiens SG) 3-1 ; J. Waëlkens (35 - GSJ Halluin) bat Mich. Thomas 3-2 ; Servier (25 - FJEP Auchei) bat Bezin 3-0 ; Gluytens (40 - ASP TT Lille) bat Salomez (45 - LG Laon) 3-1. 2ème tour : Gollot (15 - AS Romilly) bat Ramart 21-18, 21-14, 21-19 ; Hardy (15 - Amiens SG) bat Waëlkens 21-15, 21-17, 21-13 ; A. Secrétin (15 - GA Fosse 4 Lens) bat Servier 12-21, 21-16, 23-21, 21-18 ; M.D. Thomas (20 - ASLVM Nogent) bat Gluytens 21-9, 21-19, 21-13..
1/4 qualificatifs : Delassus (10 - FJEP Auchel) bat Gollot
21-17, 21-15, 21-10 ; Hardy bat Fouace (10 - ASPTT Lille) par w-o ; Ponchardt (15 - AAE Puzeaux) bat Secrétin 20-22, 19-21, 21-14, 21-19, 21-14 ; Renne (10, AJM Galais) bat Tho mas 21-19, 21-17, 22-0. Demi-finales : Delassus bat Hardy 21-13, 21-14, 21-18 ; Renne bat Ponchart 19-21, 21-12, 21-14, 21-18. 21-9, 21-15.
Finale : RENNE (AJM Galais) bat Delassus 16-21, 21-12, Repêchage : Thomas bat Secrétin 21-16, 21-14, 21-19. puis Gollot bat Thomas 21-19, 21-14, 17-21, 21-14. Consolation (10 participantes) Demi-finales : Servier bat Petit 21-14, 21-14 ; Degardin bat Waëlkens 16-21, 21-15, 22-20.
finale : Servier bat Degardin 21-17, 21-14. MESSIEURS
(73 qualifiés - 70 présents)
politaine I Sur tables, ce devait être de la belle ouvrage
Phase qualificative
malgré l'opposition jamais démentie d'Annie Ponchart et de Maryse Delassus ; quel tempérament chez la Galaisienne.
Tableau 1
Bravo 1
En messieurs, la Ligue des Flandres allait, comme prévu, se tailler la part du ...lion avec une réussite à 7/10, l'Auchellois Jean-Luc Delassus, l'Oigninois Alain Guilbert et l'Halluinois Germain Herman n'éprouvant pas de sérieuses difficultés à rejoindre le trio roubaisien Dubus-DumoulinGuetière sur la route... d'Amiens alors que le Groisien JeanPierre Gharlet atteignait le même objectif au « repêchage ». Personne ne s'étonna non plus de voir apparaître sur la liste des qualifiés. l'Amiénois Sanny Dhondt et le Sedanais Ro bert Markic encore que celui-ci ait dû également recourir au repêchage. La seule surprise vint finalement du » pos tier » amiénois Serge Devoye qui abattit les cartes Lernouet et Markic (après avoir été mené 2 sets à 0 et 14-19 au 3=1!) avec un dyanmisme offensif exemplaire qui fera trembler Dubus soi-même quelques instants plus tard. Les matches en 5 sets ayant été légion et l'expedite-rule à l'honneur ça et là, c'est avec un petit décalage horaire que devait débuter le tableau final auquel s'intégrait d'office le » 1ère série » et grand favori Jacques Hélaine. Lequel, pour tant, ne réussit pas à succéder à Jacques Secrétin, au cours d'une finale amiénoise jouée dans un esprit de... famille à l'avantage d'un Danny Dhondt explosif et qui eut pu tout aussi bien être roubaisienne. Le tandem picard s'en sortant in extrémis des assauts livrés par un trio de la S.M.R. qui pouvait extérioriser toutes les facettes offensives de son
Avant-tour ; Delory (20 - Etoile Oignies) bat Poilvé (40 PPG Méru) 3-0 ; Garlier (25 - LG Laon) bat Provou (30 AFAB Rosenoaël) 3-2.
1/4 : Dhondt (0 - Amiens SG) d'office ; Brulliard (20 UJB St-Dizier) bat Delory 3-2 ; Guérin (35 - FJEPW Reims) bat Brion (20 - SM Roubaix) 3-2 ; E. Secrétin (15 - GA Fosse 4 Lens) bat Garlier 3-1. 1/2 : Dhondt bat Brulliard 2-11, 21-15, 23-21 ; Secrétin bat Guérin 21-18, 21-16, 21-13.
Pour la qualification : DHONDT bat Secrétin 21-17, 21-19 21-14. Tableau 2
Avant-tour : Augustinek (40 - Etoile Oignies) bat Keldenich (25 - ASG Thourotte 3-1) ; Morency (30 - PPGA Somain) 1/4 : Augustinek bat Nicolle (15 - PPC Sedan( par w-o ; bat Haxaire (25 - CSG Montier-en-Der) 3-0. Monniez (20 - SM Roubaix) bat Mangez (30 - LG Laon) 3-0 ; Morency (30 - PPGA Somain) bat Elizagoien (20 - ASPTT Amiens) 3-2 ; Delassus (15 - FJEP Auchel) d'office. 1/2 ; Monniez bat Augustinek 2-12, 21-16, 21-13 ; Delas sus bat Morency 22-20, 15-21, 21-15, 21-18. 21-18.
Pour la qualification : DELASSUS bat Monniez 21-13, 21-17 Tableau 3
Avant-tour : Marotte (25 - ASPTT Amiens) bat Boulinguier (45 - ASPTT Tourcoing) ; Ruffier (25 - IBM Reims) bat Guelton (35 - AAE Bully) 3-0. 13
1/4 ; D. Guetière (10 - SM Roubalx^ d'office ; Marotte bat Guillaume (IR 20 - US RocroO 3-2 ; Potier (20 - FJEP Auchel)
TABLEAU FINAL MESSIEURS Avant-tour : Guilbert bat Delassus 21-16, 19-21, 21-8, 21-18.
bat Nouveau (30 - ASLVM Nogent) 3-2 ; Ruffier bat R. Pontiiie (15 - LC Laon) par w-o. 1/2 : Guetière bat Marotte 23-25, 21-15, 21-17, 16-21, 21-13
1/4 : Dubus bat Devoye 21-14, 17-21, 17-21, 21-8, 26-24 (19-20 !) : Dhondt bat Guetière 21-19, 16-21, 19-21, 21-13,
Ruffier bat Potier 19-21, 21-15, 16-21, 21-12, 21-11.
Hélaine bat Guilbert 21-11, 14-21, 21-19, 22-20.
Pour la qualification : GUETIERE bat Ruffier 21-15, 21-13, 21-13. Tableau 4
Avant-tour : Coursier (25 - SM Roubaix) bat Collot (40 USM Romilly) 3-1 ; Cotton (25 - PPCA Somain) bat Saulnier (30 - ES Rosières) 3-0. 1/4 : Artaud (15 - Olympique Reims) bat Coursier 3-1 ; Charlet (20 - FSP Croix) bat Serry (30 - ASPTT Amiens) 3-0; Blavin (20 - LC Laon) bat Cotton 3-0 ; Herman (5 - CSJ Halluin) d'office. 1/2 : Charlet bat Artaud 21-11, 21-15, 21-18 ; Herman bat
21-16 ; Dumoulin bat Herman 18-21, 21-16, 21-17, 21-19 ; 1/2 : Dhondt bat Dubus 21-6, 12-21, 21-17, 19-21, 21-19 ; Hélaine bat Dumoulin 18-21, 23-21, 22-20, 21-9 Finale : DHONDT bat Hélaine 21-19, 14-21, 21-19, 21-15. Consolation Messieurs
1/4 : Delory bat A. Guetière 21-16, 14-21, 21-15 ; Cotton bat Guillaume 21-15, 21-15 ; Ranson bat Tison 18-21, 21-14, 21-10 ; Loisement bat Brion 21-17, 17-21, 21-17.
1/2 : Cotton bat Delory 21-13, 21-18 ; Ranson bat Loise mant 21-18, 21-12 ; Finale : COTTON bat Ranson 21-18, 21-14.
Blavin 21-11, 26-24, 21-6.
*
Pour la qualification ; HERMAN bat Charlet, 19-21, 21-19, 21-12, 21-18.
• GROUPE N" 3 (KREMLIN-BICETRE)
Tableau 5
Avant-tour : Salomez (25 - LC Laon) bat Morelle (35 - SM Roubaix) 3-0 ; Vautrin (25 - CSC Montier-en-Der) bat Frétel (30 - AM Noyon) 3-2. 1/4 : Markic 00 " PPC Sedan) d'office ; Hélin (IP 20 -
Jacques SECRETIN, bien sûr... mais aussi Christiane MATHIEU, inusable championne I
Disputés dans la salle des sports du Kremlln-Bicétre mise à notre disposition par la Municipalité de cette ville, les Championnats de l'Ile-de-France ont connu un magnifique
Etoile Oignies) bat Salomez 3-1 ; Devoye (20 - ASPTT Amiens) bat Dethoor (30 - ASC Heilemmes) 3-0 ; Lernout (iP 15 - CSJ Halluin) bat Vatrin 3-0. 1/2 : Markic bat Hélin 21-12, 21-10, 21-13 ; Dévoyé bat
teurs du es Union que nous félicitons et remercions sans
Lernout 21-19, 19-21, 21-17, 22-20.
réserves.
Pour la qualification : DEVOYE bat Markic 16-21, 12-21, 21-19, (14-19), 21-14, 21-10. Tableau 6 :
Avant-tour : Boverie (30 - AFAB Rosendraël) bat A. Gue tière (25 - SM Roubaix 3-2 ; Ranson (25 - ASPTT Amiens) bat Vigneron (35 - IBM Reims) par w-o ; 1/4 : Protat (15 - AS Romilly) bat Boverie 3-0 ; R. Piot (20 - US Autreville) bat Cossu (50 - PPC Vitry-le-François)
~'3-0 ; Baran (IP 20 - FJEP Auchel) bat Ranson 3-1 ; Dumou lin (10 - SM Roubaix) d'office. 1/2 : Piot bat Protat 21-14, 21-16, 19-21, 21-13 : Dumou lin bat Baran 21-18, 21-14, 21-14.
Pour ia qualification : DUMOULIN bat Piot 23-21, 15-21, 21-18, 21-18. Tableau 7
Avant-tour : Danglot (30 - PPCA Somain) bat Richard (IR 25 - PPC Sedan) 3-1 ; Loisemant (25 - ASPTT Amiens) bat Cliqueteux (35 - ASPTT Tourcoing) 3-2. 1/4 : Thomas (15 - ASLVM Nogent-l'Artaud) d'office ; Dailly (IP 20 - SM Roubaix bat Danglot 3-2 ; Juilly (20 - Jeu nes Joinville) bat Violette (40 - US Autreville) 3-0 ; Guilbert (IR 20 - Etoile Oignies) bat Loiseman (25 - ASPTT Amiens)
succès attribuable en grande partie aux dévoués anima Et, si le soleil fut quelque fois gênant, cela n'enleva rien aux excellentes conditions
matérieiies obtenues par les
Unionistes.
Sur le plan sportif, résultats conformes à la logique, pas de surprise de taille ,les meilleurs joueurs se qualifièrent pour ies « nationaux » et quelques Jeunes confirmèrent des progrés entrevus au cours des épreuves régionales par équipes.
Ainsi, Molet, Sébille, Rogez, Walzack, trois jeunes qui pro mettent pour l'avenir. Pour les épreuves finales, nos meil leurs éléments se retrouvèrent en quarts de finale où Amouretti s'inclina devant un Paui Evrard en regain de forme mais devant abandonner en demi-finale contre Vincent Pur-
kart (son mouvement d'exécution du top-spin le désaxe réel lement par trop). Jacques Secrétin très facile, après avoir
battu un Haguenauer toujours aussi coriace mais digérant fort mal le service de l'ex-nordiste, dominait Gérard Chergui
un peu enveloppé et rhumatisant et venait à bout en finaie, d'un excellent Purkart et ce, au cours d'une fort belle partie
1/2 : Dailiy bat Thomas 15-21, 21-17, 21-18, 20-22, 21-9 ; Guilbert bat Juilly 21-8, 21-12, 21-10. Pour la qualification ; GUILBERT bat Dailly 21-9, 21-13,
où les deux joueurs firent preuve de leurs qalités particu lières indéniables. Regrettons simplement l'incident qui pré céda cette rencontre qui fut grossi d'une façon excessive et gêna surtout Vincent Purkart qui s'était cependant dépensé au maximum pour la réussite de cette journée. Chez nos gentes dames, saluons un nouveau retour de Christiane Mathieu-Vatel qui enleva un niéme titre aux dé pens de la Championne de France Martine Le Bras qui
21-14.
s'enferra littéralement sur sa défense et ne joua jamais
Tableau 8
assez rapidement pour prendre le dessus. Signalons que Christiane Deiaubert gênée par son bras, s'était également
3-0.
Avant-tour : Tison r25 - PPCA Somain) bat B. Piot (30 US Autreville) 3-1 ; De Coninck (20 - AAE Bully) bat Diot (40 - USM Romilly) 3-0. 1/4 : Baroni (20 - ES Rosières) bat Tison 3-0 ; Sureaud (35 - TTV Aniche) bat Pignon (20 - FJEP Auchel) 3-0 ; De Coninck bat Bompy (20 - LC Laon) 3-2 ; Dubus (O - SM Roubaix) d'office. 1/2 ; Baroni bat Sureaud 21-11, 21-13, 21-15 ; Dubus bat De Coninck 21-17, 20-22, 21-17, 21-8. Pour ia qualification : DUBUS bat Baroni 21-9, 21-15, 21-18 Repêchage pour les 2 dernières places qualificatives 1er tour : Monniez bat E. Secrétin 21-15, 22-20, 21-12 ; Charlet bat Ruffier 21-16, 21-19, 9-21, 21-8 ; Markic bat Piot w-o ; Dailly bat Baroni 21-15, 18-21, 11-21, 21-15, 22-20. 2ème tour (qualificatif) : Charlet bat Monniez 12-21, lJ-21, 21-14, 21-18, 21-11 ; Markic bat Dailly 12-21, 21-15, 21-11, 21-17 ; pour une llème place éventuelle ; Monniez bat Dailly 3-0. 14
inclinée devant Mme Mathieu et qu'Alima Lambert-Mohktari, manquant de compétition, n'avait pu que résister timide ment à Martine.
Les doubies firent voir quelques belles possibilités en équipes, ce qui, sauf changement, était de bon augure avant Amiens.
Enfin les épreuves finales régionales des non classés et « 4éme série ■> confirmèrent les jeunes déjà cités et Wal zack
-Thiebault - Collela entre autres.
Jacques CRISAFULLI LES RESULTATS MESSIEURS
Pour la qualification : Tableau 1 : Evrard (Union) bat Chariot (Métro) 3-0 : 14,
19, 16 ; Tableau 2 : Amouretti (Messine) bat Thomas (AC BB) : 9, 11, 18 ; Tableau 3 : Lager (Union) bat Zindy (Charenton) 3-0 : 9, 17, 21 ; Tableau 4 : Caussin (Messine) bat
Jacques (Charentes) 3-0 : 8, 10, 11 : Tableau S : Cassan
DAMES (13 qualifiées)
(Union) bat Morin M. (Ciichy) 3-0 : 17, 15, 19 ; Tableau 6 : Molet (St-Denis) bat Dequirez (VGA St-M.) 3-0 :13, 13, 10 ;
1/2 (quaiificatives) : Châtelain (Rennes, 15) bat Drancourt (CP Paimbœuf, 15) 7, 18, -19, 19 ; Alexandre (Mayenne, 15)
Tableau 7 : Abello (ACBB) bat Gatignol (Mantes) 3-0, 17,
19, 17 ; Tableau 8 : Roulllard (ACBB) bat Taupin (CSPSE)
3-1 : lï, 19, -17, 17 ; Tableau 9 : Charpin (Crété) bat Bour
bat Gaiien (St-Brevin, 35) 12, 5, 18. Finale : CHATELAIN bat Alexandre 11, 11, 19.
geois (ÙSEG) 3-0 : 18, 11, 18 ; Tableau 10 : Sebille (VGA St-Maur) bat Walzack (Maiak) 3-1 : 15, 10, -19, 19 ; Tableau 11 : Rogez (Enghien) bat Olivier (Messine( 3-1 : -12, 16, 10, 15 ; Tableau 12 : Ysnel (CSPSE) bat Drouet (Massy) 3-2 :
• GROUPE N° 5 (LYON)
19 'l8 -12,-15, 14 ; Tableau 13 : Haguenauer (Métro) bat Béguin (ACBB) 3-0 : 12, 8, 20. Tableau Final
1/8 : Secrétin (1ère série) b. Haguenauer (10) 3-0 ; Caus-
sin(O) bat Molet (15) 3-0 ; Lager (iP 0) bat Abello (5) 3-0 ; Chergui le S bat Roulllard (10) 3-1 ; Evrard (0) bat Charpin (15) 3-0 ; Amouretti (0) bat Roger (30) 3-2 ; Cassan (5) bat Sébille (25) 3-2 ; Purkart V. le S bat Ysnel 00) 3-1. 1/4 : Secrétin (Messine) bat Caussin 3-0 ; Chergui (AC
Claude BERT : de l'inattendu...
Hélène REVERCHON : un espoir confirmé !
C'est finalement 26 joueurs et 15 joueuses des Ligues des Alpes, de Bourgogne, du Dauphiné et du Lyonnais qui étaient rassemblée à Lyon pour disputer les « Interrégio naux » en vue d'une qualification difficile, mais très convoi tée, pour les individuels Nationaux d'Amiens des 16 et 17 Mars.
BB) bat Lager 3-2 ; Evrard bat Amouretti 3-0 ;Purkart( Union)
En Messieurs :
bat Cassan 3-2.
on devait, dès les quarts de finale, enregistrer la défaite de trois « têtes de série » I En effet, Bocquillon (10) devait
1/2 : Secrétin bat Chergui 3-0 : 13, 17, 17 ; Purkart bat Evrard abandon.
Finale : SECRETIN bat Purkart 3-1 : 8, -19, 23, 17. DAMES
Pour la qualification
Si les deux premiers tours n'apportaient pas de surprises,
céder le pas à Berthenet (15) en grande forme. Genoud (10) ne faisait pas mieux devant Collet (15) et, plus surprenant encore, Michel Cordier (0) s'inclinait fort régulièrement de vant Gaillard (15), cette dernière défaite étant la plus com
mentée parce que la plus inattendue. Précisons que nous avons trouvé là, matière à rappeler à tous les pongistes
Tableau 1 : Van Robays (St-Franç.) bat llliet (Aulnay) 3-0 ; Tableau 2 : Blond (USEG bat Lagrange (Viry-Ch.) 3-0 ; Ta bleau 3 : Dufour (Champigny) bat Rebattet (BDF) 3-1 ; Ta bleau 4 : Burgevin (ACBB) bat Bougier (Louveciennes) 3-0 ; Tableau 5 : Thévenard (ACBB) bat Chéreau (St-Franç.) 3-1 ;
ajoutant à sa technique la forme physique et le désir de vaincre, un joueur peut toujours se surpasser, Henri Gail
Tableau 6 : Lemazurier (Champ.) bat Beunon (Taverny) 3-0.
lard nous l'a démontré.
Tableau Final
1/8 : Mathieu (Fontenay) ; Lemazurier bat Burgevin 3-2 ; Blond : Delaubert (ACBB) ; Lambert (Fontenay) ; Van Ro
bays ; Dubour bat Thévenard 3-0 ; Lebras (ACBB). 1/4 : Mathieu bat Lemazurier 3-0 ; Delaubert bat Blond 3-1 ; Lambert bat Van Robays 3-1 ; Lebras bat Dufour 3-1. 1/2 : Mathieu bat Delaubert 3-0 ; Lebras bat Lambert 3-0. Finale : MATHIEU bat Lebras 3-1 : 22, 15, -21, 13. VETERANS
1/2 : Parmentier bat Ridard 2-0 ; Bouzin bat Evrard M. 2-0 Finale : BOUZIN bat Parmentier 2-1 : -14, 10, 14.
Finale Double Messieurs : SECRETiN-CAFIERO bat LagerRouiilard 2-0 : 14, 11. Finale Double Dames : LEBRAS-LAMBERT bat LemazurierDufour 2-0. Finale Double Mixte : LEBRAS-SECRETiN bat Delaubert-
Chergui 2-0. Résultats pour les Titres Régionaux Finale N.C. : WALZACK (Malakoff) bat Collela (Aulnay) 2-0, 19, 14.
Finale 4ème Série : THIEBAULT (Enghien) bat Walzack
qu'une partie n'est jamais perdue à l'avance
et
qu'en
En demi-finale, Henri Gaillard payait ses efforts précé dents et n'inquiétait jamais Claude Bert (15) alors que le néo-Bourguignon Collet, révélation intéressante pour le pu blic lyonnais, se qualifiait difficilement, 3 à 2, devant un Berthenet qui s'améliore constamment et qui, malgré cela, a laissé passer sa chance au 3ème set où il ne manquait pas moins de 5 balles de match I!
La finale, très serrée, revint finalement au plus frais, après une très bonne partie. Nous devons féliciter sans ré serve les deux joueurs pour leur bonne prestation. En Féminines :
Pas de grosses surprises, mais nous devons mettre en
évidence une jeune joueuse des Alpes, Mile Rossero (20) qui s'est retrouvée en finale, après avoir éliminé deux « 2ème série » lyonnaises. Mile Demirdjian et Mme Hautevelle. Il
fallut le métier plus grand de Mlle Reverchon (15) pour l'em pêcher de remporter la victoire finale. Score 3 à 1.
En résumé, bonne performance d'ensemble des Lyonnais qui s'assurèrent 6 des 8 places en jeu pour Amiens, la Bourgogne et les Alpes s'octroyant les deux dernières. Un seul point sombre, la présence de 2 joueurs seulement du Dauphiné qui disposait pourtant de 6 et 8 places, res pectivement en Messieurs et Dames.
(Malakoff) 2-1 : -18, 18, 12.
Nous nous garderons d'oublier de signaler le plaisir ex *
• GROUPE N° 4 (ANGERS)
trême que nous avons eu en accueillant à cette occasion M.
le Docteur Deplan et M. Raynaud, présidents des Ligues des Alpes et de Bourgogne .ainsi que MM. Tamisier, Decroix (Alpes) et Fauvée (Bourgogne).
précis à partir duquel le rédacteur de <■ France Tennis de
Le Président Ducios, malgré ses très lourdes tâches du moment, nous a fait le plaisir d'être parmi nous et de re mettre lui-même les récompenses aux vainqueurs et finalis tes, après avoir adressé ses remerciements à tous les pré sents, dont les représentants de la Télévision, Radio et
Table » a extirpé les résultats marquants en laissant à ses
Presse locales.
Robert FLOCH récidive... Annick CHATELAIN réapparaît !
Des « Interrégionaux » du groupe 4, la principale pièce à conviction restera un programme-tableau aussi concis que
lecteurs le soin de commenter...
MESSIEURS (32 qualifiés) 1/4 (qualificatifs) : Burgiard (CP Rennes, 25) bat Greffion (ASSS Nantes, 15) 18, 14, -12, 18 iBartholomées (GEC An-
gers,15) bat Coio (GEC Angers, 20) 20, -20, 11, 17 ; Clabau (ALM Nantes, 20) bat Moutel (USB Laval, 15) 12, -15, 19, -20, 19 : Floch (ASPTT Brest, 15) bat Perroton (ASSS Nantes, 15) 16, 12, 16.
1/2 : Bartholomées bat Burgiard 16, -10, 16, 18 ; Floch bat Clabau 11, 12, 11. Finale : FLOCH bat Batholomées 19, 15, 9.
Jean DUBOIS MESSIEURS
1/8 : Bocquillon (Alpes) bat Mortier (Lyonnais) 3-0 : 4, 12, 17 ; Berthenet (Lyonnais) bat Fauvée (Bourgogne) 3-0 : 20, 13, 9 ; Collet (Bourgogne) bat Mas Gabriel (Lyonnais) 3-1 :
-12, 11, 15, 16 ; Genoud (Alpes) bat Bouchet (Alpes) 3-2 ; 18, -11, 20, -16, 16 ; Bert (Lyonnais) bat Jouve (Lyonnais) 3-0 : 19, 15, 9 : Fléchon (Lyonnais) bat Quiniou (Lyonnais) 3-2 : -12, -18, 11, 10, 19 ; Gaillard Lyonnais) bat Saporta (Alpes) 3-0 : 18, 18, 17 ; Cordier (Bourgogne) bat Mas D. (Lyonnais) 3-0 : 15, 14, 12. 16
1/4 (qualificatifs) : Berthenet bat Bocquillon 3-2 : 16, -13, -12, 15, 17 ; Collet bat Genoud 3-0 : 11, 17, 19 ; Bert bat Fléchon 3-0 : 16, 15, 17 ; Gaillard bat Cordier 3-2 ; 15, 16, -10, -12, 16.
1/2 : Collet bat Berthenet 3-2 ; -21, -12, 27, 19, 18 ; Bert bat Gaillard 3-0 : 17, 14, 11. Finale : BERT bat Collet : 3-2 : 16-21, 23-21, 19-21, 21-19,
Ces Interrégionaux groupant les meilleures raquettes des Ligues du Poitou-Charentes, Auvergne, Touralne, Orléanais et Limousin ont été organisés d'une manière remarquable par la sympathique équipe de l'Etoile Moulinoise, bien amené par Urbain. M. Dumet, juge-arbitre national, officiait toute la journée et se devait de reconnaître la sportivité et la bonne tenue de tous les concurrents. En effet, au cours de cette
journée, aucune réclamation, ni aucun mouvement de mau
21-12.
DAMES
1/4 (qualificatifs) : Reverchon (Lyonnais) bat Meunier (Al pes) 3-0 : 12, 15, 18 ; Couavoux (Lyonnais) bat Lisrin (Lyon nais) 3-0 : 8, 14, 14 ; Rosséro (Alpes.) bat Demerdjian (Lyon nais) 3-0 : 9, 14, 11 ; Hautevelle (Lyonnais) bat David (Lyon nais) 3-0 : 21, 20, 9. 1/2 : Reverchon bat Couavoux 3-0 : 16,17, 19 ; Rosséro bat Hautevelle 3-0 : 19, 11, 19. Finale : REVERCHON bat Rosséro 3-1 : 21-7, 18-21, 21-16 21-11.
• GROUPE N" 6 (TOULOUSE) Jean-Claude LEFEBVRE sans perdre un set... Mme TREILLES sur du velours !
Les Championnats interrégionaux individuels de tennis de table se sont déroulés le 18 février 1968 a Palais des Sports à Toulouse.
Ils groupaient les joueurs et joueuses de sligues de Guyenne, du Languedoc-Roussillon et des Pyrénées. Trente joueurs participaient au simple Messieurs et onze joueuses au simple Dames.
Le Simple Dames vit la victoire Indiscutable de Mme Treilles (IBM Montpellier) qui ne perdit pas un seul set du rant toute la compétition, devant la jeune et excellente Mlle Giraud (J. de l'Epinette Libourne) qui vaut un classement supérieur à celui qu'elle occupe actuellement. A noter également la bonne tenue de Mlles Vieu et Hellier de l'ASPTT Auch qui sont en progrès.
En simple Messieurs, la victoire est revenue à JeanClaude Lefebvre (ASPTT Toulouse) plus fort que jamais sur Bernard Goeman (CS Gazelec Bordeaux) qui parut fatigué par le match très dur qu'il dut soutenir devant Tolosa (TO AC) qui manqua d'un rien l'exploit. Barthès (ASPTT Béziers), Agullo (Croisés Bayonne), Bentué et Dupeyroux (Castors Tarbes), excellents quarts de finalistes, animèrent l'épreuve.
Ces championnats interrégionaux se sont déroulés sans aucune fausse note dans une ambiance extrêmement cor diale.
Les contacts qui ont été établis à l'occasion de cette im portante épreuve entre les dirigeants des trois ligues parti cipantes ne peuvent qu'être fructueux pour l'avenir, il est très souhaitable de les multiplier et ce, pour le plus grand bien de notre sport. Jacques ASSEMAT SIMPLE DAMES
1/2 : Mlle Giraud (Guyenne) bat Mlle Vieu (Pyrénées) 3-2,Mme Treilles (Languedoc-Roussillon) bat Mlle Hellier (Pyré nées) 3-0.
Finale (qualificative) : Mme TREILLES bat Mlle Giraud 3-0. SIMPLE MESSIEURS
1/4 (qallficatifs) : Bouzigues (Pyrénées) bat Agulo (Gu yenne) 3-2 ; Lefebvre (Pyrénées) bat Barthès (Languedoc Roussillon) 3-0 ; Tolosa (Pyrénées) bat Dupeyroux (Pyré nées) 3-1 ; Goeman (Guyenne) bat Bentué (Pyrénées) 3-1. 1/2 : Lefebvre bat Bouzigues 3-0 ; Goeman bat Tolosa 3-2. Finale : LEFEBVRE bat Goeman 3-0.
vaise humeur ne fut à déplorer, ce qui montre bien le tra vail en profondeur fait dans les ligues pour que les pon gistes soient à la hauteur de leur sport. Nous attendions une surprise du côté des hommes ,ce fut du côté des dames qu'elle nous vint I Jacqueline Viala, gran de favorite, et de plus sur son terrain ,devait endiguer les assauts de Nicole Pilllère, avant de succomber sous les
coups, par 3 sets à 1. Dire que le match fut beau, nous paraîtrait un peu osé. Mais il y eu de belles balles, et le suspense aidant (entre deux des meilleures « seconde sé rie » françaises, ce match fut malgré tout d'un très haut in térêt. Nous reverrons avec plaisir ces deux sympathiques joueuses à Amiens. Elles seront rejointes par la troisième sélectionnée, en l'occurence Mlle Condamin (d'Auvergne) qui créa une surprise en se débarrassant, par 3 sets à 0, d'une "35-> Mme Rivoire, faisant d'une pierre deux coups, une performance de plus. Chez les Messieurs, les 5 tableaux furent des plus dis
putés. Mais hélas, nous devions bien nous rendre rapidement à l'évidence, les sélections opérées au cours des cham
pionnats de Ligue laissent quelquefois bien à désirer. Ainsi, il n'y eut qu'un seul champion des 5 ligues à la fin des pou les de 8, et tout en son honneur. Monceaux (Orléanais). Pour les autres, la journée ne fut pas tellement longue. Aubusson du Limousin (30) après un « trois-deux » heureux face à Urbain (30, Auvergne) devait laisser sa place à un tout jeune et remarquable «45» Santamaria (Poitou-Charen
te) et ce par 3 à 0. Chaubin (20, Poitou-Charentes) se dé barrassait facilement de Pradeau (15, Limousin) 3 à 0, puis de Palem (25, Limousin) non moins facilement, pour suc
comber sous les attaques foudroyantes de Guiot (20 de Touraine), excellent qualifié. Mintrot (Champion d'Auvergne -
15) bien parti le matin ne laissait aucune chance à Soury (25 Limousin) mais Monceaux devait mettre fin à ses espé rances après une partie terriblement acharnée 3 à 2. Enfin, Joyau (20, Touralne) après être facilement passé sur Vlala de Touralne malgré un 3 à 2, devait faire les frais de Nourrissat toujours là, ce même Nourrissat qui gagnait sa qua
lification après un match sensationnel sur le jeune Mar chand de Touraine.
Ce qui nous amène tout naturellement à parler des joueurs qui ont fait impression sur cette journée.
Chez les Dames, Mlle Besse sortant Lucienne Viala, Con damin se qualifiant aux dépens de RIvoIre. NIcolle Pilllère et Jacqueline Vlala sortirent d'un lot encore très faible par rapport au lot national. Carrouée, Carll, Boutelller, Goguin sont encore à citer bien que leur niveau soit assez au-des sous du quatuor de tête.
Chez les Messieurs, et parmi les jeunes, c'est là qu'il faut chercher la satisfaction : Boucher et Marchand de Touraine,
Santamaria de Poitou-Charentes, Eangemann du Limousin,
sont les. seuls joeurs de la « uovelle vague » de ces « Inter régionaux » à avoir voulu quelque chose - Bien sûr. Il y a les Guiot (Touraine), Mintrot (Auvergne), Desbiaches (Or léanais) mais ce sont déjà des « vieux » sur lesquels les espoirs sont très fondés. En un mot, peu de satisfaction du côté des jeunes dans cette journée, à part quelques exceptions. DAMES (3 places)
• GROUPE N° 7 (MOULINS) Roger TARIANT et Nicole PILLIERE : la « vieille garde » ne désarme pas !
Les Interrégionaux 1968, qualificatifs pour les Champion nats de France Individuels d'Amiens, ont connu leur jour née le Dimanche 18 février 1968, à Moulins (Allier).
1/8 : Besse (35 - Orléanais) bat Viala L. (10, Auvergne) 3-2 ; Pilllère (2° S. - Touraine) bat Jacob (35, Orléanais) 3-0; Carll (20, Orléanais) bat Carrouée (35, Auvergne) 3-2 ; Con damin (40, Auvergne) bat Lefèvre (40, Orléanais) 3-1 ; Ri
voire (35, Auvergne) bat Nozière (35, Limousin) 3-2 ; Bouteiller (40, Poitou-Ch.) bat Jamet (30, Touraine) w-o ; Gogun (30, Auvergne) bat Cardinaud (30, Touraine) w-o ; Vialla J. (10 Auvergne) bat Massaloux (25 Touraine) 3-0.
16
«IW I
1/4 : Pillière bat Basse 7,10, 16 ; Condamin bat Carmi 10, -14, 15, 10 ; Rivoire bat Bouteiller 10, 11, 6 ; Viala J. bat Goguin 6, 12, 8. 1/2 : Pillière bat Condamin 8, 12, 8 ; Viala J. bat Rivoire
GROUPE N° 8 (CANNES) Jacques DIDIER et Rosellne GRIMAUD ...ou le triomphe de la Côte d'Azur
C'est sur les six tables de la salle Omni-Sports du Lycée
9. 9, 7.
Finale : Nicole PILLIERE (ASPO Tours) bat Jacqueline Viala (Gazélec Clermont-Ferrand) 21-15, 21-14, 17-21, 13-21, 21-16.
Carnot de Cannes que se sont déroulés ces « Interrégio naux » du Sud-Est, exceilemment organisés par la Ligue de la Côte d'Azur, avec à sa tète son Président Monsieur
Michel, qui occupait, pour la circonstance ,1e siège du juge-
MESSIEURS (5 places)
arbitre.
Tableau 1 :
1/4 : Urbain (20, Auvergne) bat Chaumeil (35, Limousin) 3-0 ; Brugier (25, Limousin) bat Langlois (35, Orléanais) 3-1; Viala (25, Auvergne) bat Gledel (30, Orléanais) 3-0 ; Desblaches (15, Orléanais) bat Menier (30, Touraine) 3-0
1/2 : Brugier bat Urbain 3-1 ; Desbiaches bat Viala 3-1. Finale : DESBLACHES (Gazelec Orléans) bat Brugier (Cercle St-Pierre Lgs) : 9, 16, 9. Tableau 2 :
1/4 : Guiot (20, Touraine) bat Tiersonnier (25, Auvergne)
D'entrée, deux grosses surprises : les éliminations après cinq sets très disputés des azuréens Meunier et Beitrame
respectivement par les Marseillais Dupas et Charmensat. Le ton était donné... la passion allait suivre II
En huitième de finale. Courtois livrait un match de longue haleine face à son camarade de club Sanchez, lui distillait des balles « pourries », pour l'emporter en cinq sets tan dis que l'espoir Niçois Jean Sebah éliminait Robert Bonet
en renversant une situation bien compromise pendant deux sets.
3-1 ; Thireau (20, Orléanais) bat Pager (30, Poitou-Char.) w-o: Palem (25, Limousin) bat Geczy (30 Touraine) 3-0 ; Chaubin (20 Poitou-Char.) bat Pradeau (15 Limousin) 3-0. 1/2 : Guiot bat Thireau 3-0 ; Chaubin bat Palem 3-1. Finale : GUIOT (RS St-Cyr sur Loire) bat Chaubin (Sain
Les quarts de finale voyaient Casarotti exécuter Charmen sat avec une facilité qui en disait long sur sa forme alors que Sebah ne pouvait résoudre le problème. Courtois s'a vérait au fii des tours de plus en plus difficile à jouer. Si
tes) 18, -16, -16, 16, 13.
Caverzaghi, pourtant en bonne forme ne parvenait à endi guer l'attaque top-spinée du- jeune Dupas, qui livrait un match de toute beauté et réalisait la •> performance ■ »"de la
Tableau 3 :
1/4 : Aubusson (30, Limousin) bat Urbain (30, Auvergne) 3-2 ; Santamaria (45 Poitou-Char.) bat Maibo (30. Orléanais) 3-2 ; Hatab (25, Auvergne) bat Vezin (30, Poitou-Char.) w-o; Tariant (15, Auvergne) bat Jamet (20 Touraine) w-o. 1/2 : Santamaria bat Aubusson 3-0 ; Tariant bat Hatab 3-1. Finale : TARIANT (Mets de Montiuçon) bat Santamaria (Saintes) 12, 7, 7. Tableau 4 :
1/4 : Gavotto (25 Auvergne) bat Fangemann (45, Limou sin) 3-2 ; Boucher (30, Touraine) bat Michaud (20, Poitou
Char.) w-o ; Monceaux (15, Orléanais) bat Lagrange (25, sin) 3-1.
Touraine) 3-0 ; Mintrot (15, Auvergne) bat Soury (25, Limou1/2 : Boucher bat Gavotto 3-1 ; Monceaux bat Mintrot 3-2. Finale : MONCEAUX (Chartres TT) bat Boucher (US Jouéles Tours) 10, 20, 18. Tableau 5 :
1/4 : Nourrissat (15, Auvergne) bat Mineau (35, Poitou-
Char.) 3-0 ; Joyau (20, Touraine) bat Viala (20, Orléanais) Maigne (15, Limousin) bat Nicole (30, Orléanais) w-o. 3-2 ; Marchand (20, Touraine) bat Medan (30, Orléanais) 3-0; 1/2 : Nourrisat bat Joyau 3-2 ; Marchand bat Maigne 3-2.
Finale : NOURRISSAT (lllets Montiuçon) bat
Marchand
Tableau final :
(RS St-Cyr) -16, 18, 13, 22. Avant-tour : Monceaux (Orléanais) bat Desbiaches (Or léanais) 3-0. 1/2 : Tariant bat Guiot 13, 19, -20, -19, 11 ; Nourrissat bat Monceaux 16, 9, abandon.
Finale : TARIANT (Mets de Montiuçon) bat Nourrissat (Nets Montiuçon) 21-19, 10,21 21-10, 19-21, 21-10. Match sélection (Sème dame) : CONDAMIN (AL Chateaudun) bat Rivoire (Lezoux) 12, 8, 16..
A noter qu'à la fin de la rencontre, les champions et cham pionnes des Interrégionaux 1968 de Moulins ainsi que leurs Dauphins ont été présentés aux autorités présentes, à sa voir :
Monsieur le Directeur du Cabinet du Préfet de Moulins, représentant Monsieur le Préfet ;
Monsieur le Premier adjoint au Maire de Moulins, repré sentant Monsieur le Maire ;
Monsier le Directeur de la Jeunesse et des sports du département de l'Allier, qui remit aux vainqueurs et à leurs vaincus, une médaille offerte par le Ministère de la Jeunesse et des sports. Pour terminer, félicitations aux organisateurs pour leur
parfait travail, à tous les arbitres bénévoles, en espérant que dans les autres centres de ces interrégionaux 1968, tout se soit aussi bien passé qu'à Moulins. Claude DUMET
Didier se qualifiait aisément, par contre, le tenant Roger
journée.
Didier, Casarotti, Courtois et Dupas avaient leurs billets pour Amiens... restait à désigner le vainqueur de ces Inter régionaux.
La première demi-finale fut catastrophique pour Dupas rapidement mené 2 sets à 0 par un Courtois tout heureux de l'aubaine qui en excellent technicien qu'il est, ne manqua pas
de faire la décision au quatrième set ; pendant ce temps, Casarotti déclenchait sa mitrailleuse et remportait le pre mier set devant Didier, mais le Niçois déréglait la machine Marseillaise .l'entraînait à « l'accélération » et alignait trois sets. Deux Azuréens étaient en finale pour la première fois depuis la création de cette épreuve. Cette finale fut telle qu'on l'attendait Didier en excellente condition physique et plus complet que son adversaire l'a mena à l'accélération (16-9 au premier set) et l'emporta en trois sets.
Le triomphe de la Côte d'Azur devait être encore plus complet avec la victoire inattendue - ô combien ! - en sim
ple dames, de Rosellne GRIMAUD (CS Toulon) sur Domini que Vaillant qui remporta pourtant l'épreuve ces trois der nières années.
Le président Michel avait le sourire aux lèvres... on le comprend.
SIMPLE MESSIEURS (4 places)
1/8 : Didier (Côte d'Azur) bat Desfour (Provence) 3-0 ; Fayard (Côte d'Azur) bat Viet (Côte d'Azur) 3-1 ; Charmen sat (Provence) bat Iche (Provence) 3-0 ; Casarotti (Pro vence )bat Rousset (Provence) 3-0 ; Courtois (Côte d'Azur) bat Sanchez (Côte d'Azur) 3-2 ; Sebah (Côte d'Azur) bat Bonet (Côte d'Azur) 3-1 ; Dupas (Provence) bat Ramos (Côte d'Azur) 3-0 ; Caverzaghi (Provence) bat Canals (Provence) 3-0.
1/4 : Didier bat Fayard 3-0 ; Casarotti bat Charmensat 3-0 ; Courtois bat Sebah 3-2 ; Dupas bat Caverzaghi 3-1. 1/2 : Didier bat Casarotti 3-1 ; Courtois bat Dupas 3-1. Finale : DIDIER (Nice) bat Courtois (ASPTT Cannes) 3-0 (12, 12, 15). SIMPLE DAMES (1 place)
1/2 : Grimaud (Côte d'Azur) bat Iché (Provence) 3-1 ; Vaillant (Provence) bat Castano (Côte d'Azur) 3-1. Finale : GRIMAUD (CS Toulon) bat Vaillant (AND Mar seille) 3-0. *
•GROUPE N° 9(MAMERS) Daniel MALLARD et Marie-Claude FRANCESCHI 1968 a confirmé 1967 I
C'est dans la splendide salle omnisports de la ville de Mamers que se sont disputés les « Interrégionaux 1968 » 17
groupant les 50 messieurs et 10 dames qualifiés lors des championnats individuels des ligues de Basse-Normandie, Haute-Normandie et Sarthe.
Et les nombreux spectateurs (parmi lesquels M. Chevallier sénateur-maire ; M. Amirault, maire adjoint de la ville ; M. Papin, président de l'office local des sports, ont pu applau dir tout au long de la Journée ces champions de la petite raquette.
M. Bordier (président de la Ligue de la Sarthe) aidé des membres du Comité Directeur, dirigeait cette épreuve. Les finales masculines et féminines se sont déroulées sous
l'oeil attentif de M. Binet (responsable des arbitres du grou pe )et de Mme Pelloquin.
Daniel Mallad (HN) a pris le meilleur sur Visdeloup (BN) 23-21, 21-11 et 21-13 en masculin et Marie-Claude Franceschi (BN) sur Nelly Hervet (S) 15-21, 21-16, 21-17, 21-13 en féminines.
Pas de surprises à enregistrer dans les résultats, à si
gnaler toutefois ia bonne tenue de Digard, champion de la Sarthe (15), devant Creff (HN) (5) en huitière de finale. En finale du repêchage qualificatif pour la 5ème place Le-
grand (BN) a pris le meilleur sur Treinen (HN). En résumé, sont qualifiés pour le championnat de France individuel d'Amiens 1968.
Hommes : Mailard Daniel (5), Le Havre ; Visdeloup (10) Alençon ; Urban J.C. (10) Le Havre ; Creff (5) Le Havre ; Legrand (10) HN. Dames ; M.C. Franceschi (0) Caen ; Nelly Hervé (25) Mamers.
Cette épreuve a permis à M. Binet, de procéder à un examen d'arbitre et c'est ainsi qu'une dizaine de candidats ont postulé, suivant leurs possibilités au titre d'arbitre dé partemental, régional ou national. Robert, etc...) et Joueurs pour leur excellente organisation. Nous remercions particulièrement le Club Sportif Mamertin de l'activité de ses dirigeants (MM. Moriceau, Chauvin, A. BROSSARD
Signification des sigles : Haute Normandie (HN) - BasseNormandie (BN) - Sarthe (S) 1er Tour
Demoy (S) bat Lemonier (BN) w-o ; Vasiet (S) bat Roze (HN) w-o ; Levasseur J. (HN) bat Brielles (S) 3-0 ; Raoult (BN) bat Lecorvec (HN) w-o ; Gaspari (BN) bat Lepage Di
(HN) 3-1 ; Olivier (BN) zat Lefrançois (HN) 3-2 ; Saymard (BN) bat Levasseur D. (HN) 3-1 ; Papavoine (HN) bat Marand (BN) 3-1 ; Bouchard (S) bat Potfer (HN) l-o ; Rouault (S) bat Guillon (BN) 3-2 ; Josset (BN) bat Duclos (HN) 3-0 ; Folet(HN) bat Noslières (S) 3-1 ; Tardy (HN) bat Chauvellier (S) 3-0 ; Prin (BN) bat Farrères (HN) w-o ; Digard (S) bat Boussignac (BN) 3-1 ; Lecourt (BN) bat Cardin (BN) 3-2. 1/16 : Maliard (HN) bat Raoult (BN) 3-0 ; Alexandre (BN) bat Olivier (BN) 3-2 ;■ Treinen (HN) bat Saymard (BN) 3-2 ;
Lepage. No (BN) bat Papavoine (HN) 3-0 ; Coupry (BN) bat Bouchard (S) 3-0 ; Ybert (HN) bat Josset (BN) 3-0 ; Creus-
son (HN) bat Vasiet (S) 3-0 ; Ensuit (BN) bat Tardy (HN) 3-0 ; Digard (S) bat Gauthier (S) 3-1 ; Creff (HN) bat Le court (BN) 3-0 ; Visdeloup (BN) bat Piolet (HN) 3-1 ; Le
grand (HN) bat Demoy (S) 3-0 ; Jalley (BN) bat Gaspari (BN) 3-2 ; Urban (HN) bat Rouault (S) 3-1 ; Levasseur J. (HN) bat Rousseau (S) 3-2 ; Lepage Da (BN) bat Prin (BN) 3-0.
1/8 : Mallard (HN) bat Jalley (BN) 3-1 ; Treinen (HN) bat
Alexandre (BN) 3-2 ; Urban (HN) bat Lepage. No (BN) 3-0 ; Ybert (HN) bat Josset (BN) 3-0 ; Legrand (HN) bat Creusson (HN) 3-0 ; Visdeloup (BN) bat Levasseur (HN) 3-0 ; Snault (BN) bat Lepage. Da (BN) 3-2 ; Creff (HN) bat Digard (S) 3-2.
1/4 (qualificatifs) : Visdeloup (BN) bat Legrand (HN) 17, 12, 19 ; Mallard (HN) bat Treinen (HN) 18, 13,14 ; Urban (H
N) bat Ybert(HN) 17, -15, 12, -12, 15 ; Creff (HN) bat Enault (BN) -17, 22, 10, 10. 1/2 : Visdeloup (BN) bat Creff (HN) 17, -8, 18, 19, 15 ; Mallard (HN) bat Urban (HN) 19, 19, -20, 18. Finale : MALLARD (HN) bat Visdeloup (BN) 21, 11, 13.
Repêchage Qualificatif : Treinen (HN) bat Ybert (HN) 8, 12, 15 ; Legrand (BN) bat Ensuit (BN) 17, 11, -16, 16. Final qualificative : LEGRAND (BN) bat Treinen (HN) 12, -18, 7, 18. DAMES
1/4 : Franceschi (BN )bat Coquerel (BN) 14, 18, 18 ; Her vé N. (S) bat Rodriguez (HN) 12, 22, 16 ; Rouat (HN) bat Hervé Ch. (S) -17, 17, 9, -18, 10 ; Franceschi MC (BN) bat Lallouet (S) 16, 13, 19. Franceschi MC (BN) bat Rouat (HN) 9, 10, 11. 1/2 : Hervé N. (S) bat Franceschi M. (BN) 12, 18, -10, 15; Finale : FRANCESCHI M.C. (BN) bat Hervé N. (S) -15, 16, 17, 13.
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