Numéro 231 - 1968

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N° 231 - OCTOBRE 1968 - 25^ ANNEE - MENSUEL

REVUE OFFICIELLE DE LA FEDERATION; FRANÇAISE

L'AMIENS SPORTING CLUB vers un second titre en

championnat de France par équipes ? De gauche à droite : Jean RENAUX, président ; Jacques HELAINE, Jacques Gambier, Danny DHONDT, Albéric LABAUME, directeur sportif.


Toutes les compétitions et rencontres officielles organisées sous l'égide de la Fédération Française par n'importe quelle Association ou n'importe quel organisme régional ou départemental: Ligue ou ses subdivisions, doivent être jouées exclusive ment et uniquement avec des balles agréées par la F.F.T.T:

BALLES AGREEES saison 1968-1969 DU Ter SEPTEMBRE 1968 AU 30 AOUT 1969

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le Journal des Sportifs où vous trouverez

le vendredi des commentaires, sur la Journée à venir du Championnat de

France par équipes et le mardi tous les résultats jusqu à la Sème Division comprise, et des commentaires sur nos grandes

épreuves nationales. « L'EQUIPE »

le Journal des Pongistes


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j

EDITORIAL

E Dimanche 8 décembre ia Fédération Française de Tennis de Tabie tiendra à Paris son Assembiée Générale « nou

veau styie » en vertu des statuts établis conformément aux dispositions de l'arrêté de juin 1967. Ces statuts que nous avons étudiés au sein du Consuitatif à Amiens puis à Paris furent adoptés lors de notre assemblée de mai dernier. Ils donnent à notre réunion de Décembre une importance capitale, vitale dirons-nous, pour l'avenir du ten nis de Table français et il importe que tous nos responsables en soient bien persuadés.

Vous aurez à élire une équipe fédérale et un président fédéral pour une période quatre années, c'est-à-dire, com bien votre choix devra être judicieux et attentif. Il importe également que ceux qui se présenteront à vos suffrages soient réalistes, ce sont les meilleurs d'entre nous, les plus dynamiques qui peuvent prétendre à votre confiance. La fonction de me.nbre du Comité de Direction à l'échelon fédéral se mérite par un apprentissage à l'échelon du club,

du département et de ia ligue mais se justifie ensuite par un labeur encore plus grand. Je supplie, ceux qui sont déjà dépassés ou écrasés par des responsabilités, ceux qui viennent seulement pour « dé fendre » et non pour « donner » ceux qui n'ont pas de temps disponible, de ne pas se présenter. L'élection au Conseil Fédéral est un hommage, un honneur et l'on doit ensuite être certain de s'en montrer digne. A cet échelon, l'on a presque pas le droit de se tromper mais on n'a jamais le droit de décevoir, cela aussi c'est de ia bonne propagande pour notre sport.

M'adressent aux électeurs, je leur demande de ne pas prendre cette assembiée à la légère. Chaque ligue sera représentée par trois délégués se partageant les voix de leurs associations, il est indispensable que ce soient les plus qualifiés qui revendiquent cette mission. M serait souhaitable que chaque délégation soit emmenée par le Prési dent et le Secrétaire général qui sont dans chaque ligue les plus autorisés pour ce faire. De plus, nous avons pris des dispositions financières particulières pour faciliter cette représentation et ne pas créer à nos ligues une charge sup plémentaire.

Avant de mettre vos bulletins dans l'urne et pour vous permettre de vous prononcer en toute connaissance de cause, il appartiendra à notre futur Directeur Technique National, Charles ROESCH, de vous présenter son plan d'ac tion de quatre ans pour la préparation d'un nouvelle élite, de même que le programme de la Fédération, pour le même

laps de temps, sera pour moi un domaine réservé que je me dois de vous faire partager. C'est donc sur un program me d'action établi en commun et sur lequel nous nous engagerons de façon totale que vous pourrez nommer les plus aptes à le remplir.

Revue d'Informations Fédérales paraissant dix fois par an et servie aux 2.200 Associations Sportives de la F.F.T.T., représentant 35.000 licenciés, ainsi qu'aux Fédérations de Tennis de Table et clubs étrangers.

Rédaction et publicité : Directeur de Publication et Responsable Fédéral : Georges DUCLOS, 37, rue Alexis-Carrel - 69 - BRON Adjoint : Jean DEVYS, 38, rue Léon-Marlot -59 - ROUBAIX


Nous mettrons également en place le Conseil Consultatif, son bureau permanent, et à ce sujet, je me dois de vous dire que j'ai sollicité au poste de secrétaire la collaboration de Pierre LECLER, un homme raisonnable, lucide, pondéré mais doté de pensées nouvelles, très au courant des problèmes de nos clubs, qui peut et doit apporter du sang nou veau et du muscle à cet important rouage. Il est donc très important que l'élite de nos dirigeants régionaux prenne part à l'assemblée de décembre, car nous pourrons enfin, je l'espère travailler de concert et en confiance. Il faut éliminer l'irresponsabilité, en chargeant « la Fédération » de tous les maux et de toutes les fautes -Demain, nous devrons pouvoir dire à tous les échelons « je suis la Fédération > ! Ce ne serait pas de la prétention ni le reflet d'un fol orgueil mais simplement pour chacun de nous : « une véritable et sincère prise de conscience ». Georges DUCLOS

LES EFFECTIFS OFFICIELS DE LA F. F. T. T.

pour la Saison 1967 - 1968 SOCIETES

LICENCIES

le chiffre entre parenthèse Indique

le chiffre entre parenthèse indique

le nombre d'associations en 1966-67

le nombre de licenciés en 1966-67

ILE DE FRANCE BRETAGNE FLANDRES BASSE-NORMANDIE HAUTE-NORMANDIE

ATLANTIQUE PICARDIE

267 248

174 150 138 127

LYONNAIS

118 112

LORRAINE

100

_ALPES CHAMPAGNE ORLEANAIS

89 88 84

POITOU-CHARENTES FRANCHE-COMTE

84 64

GUYENNE AUVERGNE

63 52

ALSACE

PROVENCE

52 47

TOURAINE

46

BOURGOGNE

46

(253) (240) (158) (141) (132) (128) (115) (105) (98) (84) (92) (77) (65) (65) (64) (50) (51) (45) (44) (36) (44) (37) (22)

PYRENEES

42

SARTHE DAUPHINE LANGUEDOC ROUSSILLON

36

LIMOUSIN

22

MARTINIQUE

15

COTE D'AZUR

10

(28) (25) (12) (10)

2.326

(2221)

26 26

S

J 868

Total 4.800

667 1044

3.406 3.152 2.200

24

181 136

(4.634) (3.273) (3.012) (2.P32) (1.855) (1.948) (1.887) (1.712) (1.582) (1.277) (1.290) (1.353) (960) (867) (765) (876) (810) (578) (620) (575) (609) (605) (356) (378) (395) (194) (122)

9277

35.835

(34.565)

BASSE-NORMANDIE

3.932 2.739 2.108 1.700

ATLANTIQUE

1.463

500 628

HAUTE-NQRMANDIE

1.543

456

PICARDIE

1.300

605

LYONNAIS

1.312 907 964 937 899

432 607

877

673

875 848

252 229

833

AUVERGNE

668 581 585

202 180

BOURGOGNE

522

173

695

ALSACE SARTHE

473 450

184

657

396

PROVENCE

423

LANGUEDOC-ROUSSILLON

332

DAUPHINE

267 253 142 112

148 170 143 100 117

598

PYRENEES

ILE DE FRANCE BRETAGNE FLANDRES

LORRAINE ORLEANAIS ALPES

CHAMPAGNE POITOU-CHARENTES FRANCHE-COMTE GUYENNE TOURAINE

LIMOUSIN COTE D'AZUR

MARTINIQUE

26.558

2.091

1.999 1.905

351

1.744 1.514 1.342 1.288

370

1.269

323

1.200

378

87 39

814

566 566 432 384 340

les clichés figurant dans cette revue nous ont été'aimablement fournis par le grand quotidien lyonnais

if

Ln..nn.

LE JOURNAL DES SPORTIFS L'AMI DES PONGISTES


Considérations d'actualité... rement.

II est de fait que l'évolution actuelle, les mouvement encore récents en sont la preuve, est appelée à modifier encore plus l'état d'esprit des humains.

Voilà déjà 20 ans que dans les

deux disciplines où je milite sur le pian sportif, j'ai soutenu ce point de vue

qui, pour certains d'entre nous, était seul valable : Voir jeune, travailler partout pour la jeunesse qui attend tout des dirigeants, créer des écoles, des stages, des cours réguliers pour pouvoir encadrer le maximum de ceux qui veulent progresser. Donner à nos clubs les moniteurs et entraîneurs nécessaires pour ces jeunes et sans vouloir abandonner l'élite qui est nécessaire pour

la propagande extérieure et, hélas, pour des raisons bassement ^'^ncieres mais mais surtout parce que c'est encourager un amateurisme plus que mar ieur valeur leur accorde des droits et leur permet des mouvements ou le chan-

pas faire tourner noire sport sur les résultats de quelques vedettes. D abord

ne plus rien lui sacrifier, et surtout ne parce que ce n'est pas rentable pour l'Lenir ron et donner à certains l'illusion que

tage prend le pas sur le sport.

Certes, nous devons à ceux qui ont servi pour nos couleurs fédérales ou

pTrSrde

pour les résultats et les efforts qu'ils ont faits niais cela doit s arrêter la et ne leur donne abs

P

s'ériger en censeur comme ils ont souvent l'occasion de le faire.

U. d,rt,..nu, .d m.ler«é béd.vol.., p.u..n, o.n,,..,» d..

en France que l'élite s'entraîne le moins). Ceux-là devraient se montrer plus discrets.

A propos de l'élite, dernièrement je relisais un article paru dans un « Tennis de Ta^Ie'(N° 47 de S^pt^^br®

1949) intitulé.sport d'abord.et constituant une ntise en

T Ïbition ian^Ta^upaÏ de

ci faisaient à nos meil eurs joueurs dont elles cassaient le jeu. Je cite textue lemei

..-enrit des loueurs

ces cas est condamnable d'abord parce qu'elle atteint rarement le but poursuivi, ensuite elle fausse I esprit des joueurs exécutants, émousse leur combativité >.

Savez-vous quel était le signataire de ces considérations ? Tout simplement le Président de la Fédération, gretté Jean PRULIERE.

Il est exact qu'actuellement les exhibitions sont conliôlées et réglementées

fédéraux Cela ne suffit pas car souvent les dirigeants passent outre et ce sont des eiements simplement classes qui se produisent. Je cite à nouveau l'article :

.La réussite dans de telles rencontres ne trompe pas ceux qui pratiquent sérieusement

f

elle n'est fonction que d'un entraînement approprié au point qu'elle est a la portée de joueurs qui ne sont pas premier plan ».

Revenons à nos problèmes. Il nous faut arriver à grouper autour d'un directeur conseillers techniques régionaux, des entraîneurs valables (pas seulement des joueurs

Tnrieu^s Ipinards sans'avoir suivi un cours ou même appliquer une méthode

q

res en nombre suffisant pour aider nos clubs et leurs dirigeants souvent dépassés, mais j entends bi n q

tl

çtaoiai

mordus qui ne suivront les cours et les stages que dans le but d'oeuvrer pour tous et non uniquement d obtenir plôme pour le monnayer.

Il faut aussi des mordus pour diriger les clubs de piusen plus nombreux car ils doivent

J consentir les

sacrifices nécessaires et se mettre dans le bain des règlements et de la paperasserie, helas, nécessaires. Nos effectifs sont en hausse constante.

La jeunesse vient à nous et si le Secrétariat d'Etat pousse ses efforts (propagande et finances) nous risquas d'être dépassés si un courant d'anciens ne se fait pas pour assurer la relève. Notre sport est ^

payer tout le personnel nécessaire mais c'est surtout les clubs et les comités départementaux ^7 J'®®J dévouements ed ce pour des tâches souvent ingrates et arides. Car si les jeunes veu^nt etre 'e coup pour la vie, nous n'en voyons guère se manifester pour diriger nos dlHérents organismes, et en dehors des critiques et injustifiées, la plupart du temps, ils ne se manifestent guère. JACQUES CRISAFULLI Vice-Président de la F.F.T.T.

Président de la Ligue de l'Ile de France


6en.es CHAMPIONNATS D'EUROPE DE LYON REVECUS A TRAVERS L'AGENDA DE JEAN DEVYS

Avril 1968 n'est pas si lointain qui ne mérite la peine de lemettre en mémoire ce merveilleux moment qu'auront cons titué les Vièmes Championnats d'Europe de LYON et, mieux, d'en concrétiser la chronologie à travers l'agenda qu'a tenu Jean DEVYS du haut de son « perchoir » à !a tribune de presse. Fions-nous en donc à sa plume...

MARDI 16 AVRIL

Il est 19 heures quand, en ligne directe (si l'on peut dire) d'Egletons où vient de se terminer la semaine des jeunes, votre serviteur se pointe à la « permanence » de LYON-

Perrache. Lin peu après la bataille et certainement en pleine veillée d'armes...

L'équipe organisatrice rhodanienne, renforcée par les responsables fédéraux, bourdonne d'activité, la plupart des

délégations sont à pied d'oeuvre même les Polonais que d'aucuns n'aperçurent pas à l'aéroport de Bron (sic) et les

Au fait, il n'y eut pas de surprise digne de ce nom au cours de cette journée inaugurale qui vit les scores nets pleuvoir dru, facilitant d'autant le rodage des préposés au tableau d'affichage, et les favoris n'auront aucune peine à passer le premier cap... Deux indécisions planaient qand même : l'inévitable POLO GNE-YOUGOSLAVIE chez ces dames et, en soirée, un certain HONGRIE-ALLEMAGNE de l'Est en Messieurs...

trailler » par la Presse locale qui leur pronostique une

Même avec une équipe remaniée de fond en comble mais habilement rajeunie et préparée depuis Londres, les Ma gyars ne s'en laisseront pas conter malgré un laborieux

lOéme place... Quant à ces dames, elles semblent obtenir moins de succès. L'électronique tue la galanterie !

passage, (défaites de BORZSEl devant STEIN et de JONYER face à LEMKE). Quant aux Polonaises, force est de recon

membres de l'équipe de France masculine se font « mi

Mais II est d'autres sujets à commentaires pour cette presse locale qui, comme tout un chacun, ne jure que par un double succès russe par équipes et narre déjà, dans son édition du soir, la réception offerte par le « PROGRES » aux

dirigeants de l'Union Européenne, le président Roy EVANS

naître qu'elles devaient autant à un « métier » consommé

qu'à la chance d'avoir conservé leur rang en division 1 féminime tant Mirjana RESSLER (classé n° 10 européenne II est vrai) les fit souffrir avec sa prise porte-plume. Mais la

loi du sport est parfois cruelle : après le succès initial de la bouillante fille de Zagreb sur Danuta CALINSKA, Radmila STOJSIC ne sut profiter de deux balles de match sur

en tête, en présence du Maire de Lyon : M. Louis PRADEL. Les trois coups sont bien donnés... Dans cette fièvre, les premiers contacts sont néanmoins établis qui autorisent à faire connaissance avec les uns (Jean-François AGOGUE de l'EQUIPE et Pierre SALVIAC de rO.R.T.F. entre autres, à renouer les. liens avec d'autres non

de RESSLER parla encore mais, ensuite, les nerfs de sa

revus depuis un certain temps ou tout simplement perdus

compagne craquèrent littéralement..

de vue... C'est bon les retrouvailles et c'est dans ces mo

ments-là que l'on apprécie la grande famille pongiste I Quant au Palais des Sports, sa silhouette majestueuse se détacha bien un moment dans la pénombre d'une nuit qui promettait d'être... courte et ce fut tout pour ce soir-là. MERCREDI 17 AVRIL

Le jour «j»...

Czeslawa NOWORYTA (menée 18-20 à la - belle » I) et les Polonaises recollèrent au double sur un « touch » providen tiel alors qu'elles étaient menées 11-16 au set décisif. Les

Yougoslaves auraient donc pu gagner 3-0 : à 1/2, la classe Voilà pour le plan collectif... Individuellement, rares furent ceux et celles qui commirent des crimes de lèse-majesté, ce qui plaçait d'autant en exergue le camouflet infligé par le très brun Irlandais James LANGAN (déjà pointé à Londres quand même) à cet orgueilleux fils d'Albion qu'est lan HARRISSON et confirmé èloquemment l'après-midi par un hat-

trick aux dépens d'un solide trio polonais au sein duquel un certain KUSINSKI devait pourtant battre Stuart GIBBS.

Autre point de mire : le Suisse Marcel GRIMM, vainqueur de

l'Allemand Mans MICHEILOFF alourdi depuis Ljubljana

A l'heure «H», en tous cas, j'ai pris fonction à la tribune de presse du Palais des Sports où régnait l'animation des grands jours., non exempte d'improvisation. Il n'y avait pas eu de « première » et il n'était certes pas aisé de donner satisfaction à tous en même temps mais les présentations se font vite dans le milieu journalistique dont la franchise et la solidarité sont des entités non négligeables à côté d'un es

jugée inéluctable après le « coche raté » d'Yveline LECLER

prit « étudiant » bien sympathique au demeurant.

expérimentées Hongroises !

Pour le juge-arbitre et les compétiteurs (toutes les délé gations sont là sauf la Turquie qui s'est excusée par télé gramme), l'heure c'est l'heure : à la neuvième, comme prévu,

Sans faire preuve du moindre esprit cocardier. Il serait malséant néanmoins d'oublier la remarquable cérémonie d ouverture orchestrée en soirée par le « 4ème Génie » et qui fit d'ailleurs <■ s'arracher » la sensationnelle reproduction en couleurs du . PRQGRES-SOIR », celle-ci comme celle-là ne devant rien à ce qui se fait à l'étranger en pareille cir

les premiers échanges de balles... officiels sont lancés.

Chacun sait que la journée ne sera pas sportivement fer tile en émotions, de par la loi des « têtes de série .> : à

23 heures, on s'en persuade, la situation sera plus claire ! 6

Chez nos consoeurs, humiliée par les Françaises de René

DEMULDER( qui se rachetaient d'une défaite anglaise sur Maurreen HEPPELL), Karenza SMITH (au nom bien bri tannique Si le prénom ne l'est pas I), les Danoises préférant, elles, le double pour avoir l'honneur sauf face aux pourtant

constance...


Aux traditionnelles joutes oratoires qui virent s'affronter, l'amitié sportive, notre président fédéral Georges puCLOS et le Président de l'Union Européenne Jup SCHLAF, a I amenée des drapeaux français et européen respective^nt par notre SECRETIN national et le champion Kjell

- belle . I) face au n° 3 suédois Bo PERSSON si le pre

JOHANSSON, succédait à nouveau la « valse . des petites boules blanches qui allait retenir l'attention d'un public con quis, même s il manquait de la consistance souhaitée, et qui n eut plus d yeux bientôt que pour l'équipe de France oppo

Plus près de nous, les Russes semblaient partis pour « exécuter » les Anglais mais le blond HARRISSON, qui n'a

sée à la redoutable Tchécoslovaquie après avoir aiguisé

son appétit sur les modestes représentants de Guernesev et de la Grèce...

Une victoire était certes du domaine de l'utopie mais Jac ques SECRETIN sauverait-il l'honneur et combien de fois ?

Opposé en Sème partie à proslav STANEK, notre cham-

pion de France sut ne pas décevoir, malgré un premier set déficitaire, malgré une remontée dangereuse du n° 3 euro péen à la . belle ■ (20 partout après avoir été mené 16-19 et 17-20) mais, ce faisant, il avait opéré en surmultipliée et

quand vint le rapide KUNZ (également prénommé Jaroslav), le défaut de récupération se fit sentir au point que le Tchè que, vainqueur 22-20 au 1er set, distança notre idole 14-1 au

2ème et il fallut un sursaut d'orgueil du Français pour que le score soit ramené à de plus iustes proportions (14-17 puis 14-21).

La France était maintenue en division II. C'était double ment prévu hélas : il lui restait à y viser le brillant accessit.

Un accessit Jugé bien tendu en ce mercredi d'ouverture qui s'était prolongé par la résistance des Allemands de l'Est à la formation hongroise alors que les voisins belges, nos futurs adversaires, avaient laissé sur place les Finlandais I Et comme tout ne semblait pas aller pour le mieux au sein

VITS et Rotislav STEPANEK, ils ne firent pas oublier appa remment le tandem KUNZ-MIKO qui, ia veille, avait mystifié nos Français, le dernier nommé s'inclinant même (6 à la mier poussait Hans ALSER dans ses derniers retranche ments (22-20 à la - belle »). A l'addition finale : 5-1 !

vait été battu que sur le fil par Sarkis SARKHOJAN, rusa le trop confiant GOMOZKOV après avoir été mené 1 à 0 et 17-20 au 2ème, revigorant corrélativement les ardeurs de

Denis NEALE, vainqueur de SARKHOJAN. Mais Anatoliy AMELIN arrêta les frais... 5-2 I

C'est finalement les rencontres HONGRIE-ROUMANIE et

surtout YOUGOSLAVIE-ALLEMAGNE de l'Ouest qui cap tèrent I attention et le... suspense. Dans la première, cha que acteur eut droit à un succès individuel mais, si Radu

NEGULESOU doubla son actif, il fut le seul à y parvenir dans le camp roumain, laissant donc Janos BORZSEl (qui l'usa à la fatidique 7ème partie) et Istvan JONVER (l'homme du match décisif) apporter un avantage précieux aux Magyars... Quant aux Yougoslaves, ils étaient donnés grands favoris devant une équipe allemande dont le seul symbole de rajeu nissement s'appelait Bernt JANSEN que nous connaissions de certaines rencontres « juniors » au cours desquelles il avait

d'ailleurs pris souvent le meilleur sur Jacques SECRETIN Mais qu'aliait-il faire devant les KORPA, SURBEK et autres

STIPANCIC : il fit merveille grâce à sa vitesse d'exécution, à un changement de rythme diaboiique en fin de set et à

un coup droit asséné avec une force et une précision pro digieuses. 3 fois, il égalisa ainsi à la marque, soulevant les

de cette équipe de France... ?

applaudissements du public connaisseur et semant le fris son au sein de la « colonie » yougoslave que l'on retrouve

JEUDI 18 AVRIL

nes. Hélas pour les protégés de Jup SCHLAF, qui se souve nait certainement de Malmoe, Ernst GOMOLLA ne put arra cher jusqu'à un seul set (il fut battu par SURBEK au match de la dernièrec hance !) et Eberhard SCHOLER, à l'anticipa

dans toutes les grandes manifestations, pongistes européen Phoebus s'est mis de la fête, pas toujours au goût des concurrents qui, sur tables, usent un peu plus souvent de la

serviette mais qui, en compensation, ne résisteront pas à l'attrait d'un premier bronzage en bonne et due forme sous les oriflammes du fronton d'entrée I

La matinée avait été... grasse pour les • grands » et les hors-d'œuvre régularisant la compétition pré-finale devaient

d'ailleurs nous laisser sur notre faim, y compris le match

féminin ALLEMAGNE de l'Est-SUEDE remporté 3-0 par les Germaniques après avoir laissé les blondes Scandinaves tirer les premières aux... sets. De quoi laisser le temps d'é plucher les compte rendus de Presse et notamment ceux des journalistes locaux Louis-Georges RIVIERE et François BEAUME, des grands amis de notre sport...

Mais le plat de résistance était annoncé pour 14 heures et, cette fois, personne n'eut assez d'yeux pour tout voir I

Force nous fut donc d'abandonner les divisions 2, 3 et 4 à leur sort avec, de temps à autre, une entorse pour nos re présentants. Lesquels allaient d'ailleurs nous faire subir le

régime de la douche écossaise : notre équipe masculine, après avoir semblé se faire qu'une bouchée de nos amis belges (3-0 I), se faisaient rejoindre à 4-4, Jacques SECRE TIN étant visiblement sous l'effet d'une mauvaise nouvelle. Heureusement pour nos actions que Jean-Paul STREIT fit mieux que remplir son contrat de 3ème homme et que le 3éme joueur dOutre-Quiévrain Franz LANCKMANN était lui aussi, dans un mauvais jour I Cela devait encore moins sou rire à nos féminines battues sévèrement par les Danoises

CHRISTENSEN et HENRIKSEN prêtes physiquement et mo ralement. Brrr I

Ailleurs, les balles fusaient plus vite, catapultées par de véritables athlètes armés techniquement pour ces tâches « au sornmet ». L'esprit serein parce que neutre, il restait à re-

garder et à comparer... Stockholm, Londres, Ljubijana ou Malmoe n étaient pas si loin que diable !

1er round à 14 heures (repos pour ces dames) Dans l'épreuve masculine, nous attendions beaucoup du "'^'^'^^'^OSLOVAQUIE, trop car Jaroslav STA-

coM égaux prendre le moindreQuant set aux ALSER etKOLLAROJOHANS SON, à leur réputation. à Stéphan

tion et au flegme intacts, s'effrita devant le véritable tra

vail de sape des KORPA et SURBEK (celui-ci bien que mené 1 s.et à 0 et 7-13 au 2ème !) alors qu'on le voyait gagnant comme à la parade. Et s il s'adjugea la 7ème partie aux dépens d'Anton STIPANCIC, il est à noter qu'il mena 20-18

et se fit mener 20-21 à la « belle » (score final : 23-21)... 2ème round à 20 heures 30

La propagande de bon aloi réalisée dans la Presse n'avait

pas provoqué de queues aux guichets du Palais des Sports.

Les absents eurent tort assurément mais cela ne dissipait pas les soucis de notre grand argentier féciéral. Cette fois, les dames de la division I entraient en lice... Sans trop d'aléas pour les Allemandes de l'Ouest triom phant 3-0 des Polonaises chez qui Danuta CALINSKA méri

tait cependant un meilleur sort (23-25 à la « belle » au pre mier match face à Edit BUCHHOLZ) et moins encore pour la jeune équipe tchécoslovaque au sein de laquelle les 14 ans et demi d'Illona VOSTOVA ne laissaient pas de sur

prendre jusqu'aux initiés, étonnés d'un tel sens du jeu à pareil âge !

On s attendait également au succès des remuantes Sovié tiques sur une formation roumaine qui ne pouvait être et avoir été. La championne d'Europe sortant. Maria ALEXAN-

DRU, fit néanmoins voir à Sveltlana GRINBERG (sa valeu reuse finaliste à Londres I) qu'elle supportait quand même bien le poids des ans mais, devant Zoia RUDNOVA elle devait être balayée tel un fétu de paille. Une autre championne trop vite enterrée, cétait Eva KOC-

ZIAN et elle le prouva à Mary WRIGHT bien que menée 11-14 à la « belle » alors même que les filles d'Albion avaient pris du champ à 2-1 grâce au double et à une vic toire de notre Anglaise sur Erzébet JURIK. Mais le « métier.

de cette dernière, s'imposent à Karenza SMITH au match décisif, permettait à la HONGRIE de demeurer dans la course au titre...

Le public, apparemment, ne s'en souciait guère, préoccu pe qu il était par le 2ème round de ces Messieurs, un 2ème round passionnant et... capital.


Certains ne donnaient pas cher des chances suédoises face au trio hongrois qui, tout au long de la saison, avait fourni la preuve de son homogénéité à ce niveau ue la compétition. Ceux-ià durent vite déchanter, seul Matyas BELEZNAI sauvant l'honneur sur PERSSON et Kjell JOHANSSON (battu en 2 sets d'ailleurs) mais Hans ALSER demeu rait souverain et il n'est jusqu'à Bo PERSSON qui démontra à Istvan JONYER qu'il n'était pas à prendre pour la 3eme roue du tandem I

nerfs de l'Arménien craqueraient, ce fut paradoxalement ceuxi

de l'expérimenté Germanique qui subirent ce sort funeste. A 18-20, battu pour battu, GCMCLLA risqua deux revers^

qui firent mouche mais commit, aux avantages, deux fautes'

d'appréciation. Sur ce nouveau 4-5, plus tendu encore.' que le premier, l'ALLEMAGNE de l'Cuest n'avait plus yoiX' au chapitre lyonnais... l'U.R.S.S., bien sûr, demeurait dans la ligne de son plan I

Mais qu'il faisait bon aller se coucher.

Voisins des Suédois, les Roumains savaient que leur dernière et mince chance résidait dans un succès sur la

VENDREDI 19 AVRIL

MIKO. Celui-ci ne semblait pas toutefois retrouver sa forme londonienne et Radu NEGULESCU puis le gaucher Dorim GIURGIUCA en avaient profité, ce dernier en 7ème partie alors que les protégés du Président ABRAHAM pouvaient

Tout comme la veille, le degré caniculaire toutefois en hausse notre présence matinale à la Salle des Sports pou vait s'opérer sous le signe d'une certaine décontraction, seu les les divisions inférieures poursuivant leur marathon alors

Tchécoslovaquie, laquelle enregistrait la rentrée de ylado

encore espérer un 5-2 «« L'égalisation assurée par NEGU

que les délégations des différents pays représentés étaient

LESCU sur KUNZ, pris à son propre jeu (rapide), le sort de

reçues par la Municipalité lyonnaise. Cela autorisait à faire le point des dites divisions tout en

héros de Londres était invaincu en cette soirée) et CCVACS

jetant des coups d'oeil furtifs sur les tables, furtifs puis... angoissés là où l'équipe de FRANCE masculine sombrait proqressivement devant les Hollandais, servis par un démarrage

la rencontre était dans la raquette des KCLLARCN^'TS (le (à la recherche, lui, de sa première victoire). Paradoxale

ment, c'est le Roumain qui devait riompher 21-8 à la « belle ». Ah I ce tennis de table moderne I Les vainqueurs

heureux de Frans SCHOOFS sur notre Jacques HELAINE

de la France étaient définitivement out...

(22-20 à la « belle » après avoir été mené constamment et encore 19-20 i) et guère soucieux en apparence du « coup de chapeau » de Jacques SECRETIN, bien remis en selle

Si les plus expéditifs de la soirée devaient être les You goslaves, vainqueur 5-1 des Anglais, avec quelques sets em pochés aux avantages mais sans la moindre « belle • tou

moralement après ses défaillances belges. 3-5 contre nous.

tefois, Denis NEALE évitant le désastre sur le dos de STIPANCIC, c'est à un nouveau 4-5 que les Allemands de rCuest convièrent leurs supporters, assez nombreux entre

Aïe 1

Saône et Rhône.

le cœur serré. Une défaite devant la HOLLANDE que nous avions battue 5-0 en début de saison, était-ce possible... aux

L'adversaire était soviétique cette fois et le capitaine d Cutre-Rhin fut bien inspiré de faire ouvrir les hostilités par le

jeune Bernt JANSEN ; Sarkis SARKHCJAN se retrouva bien à 17-17 à la «belle» mais ne fut pas plus heureux que le trio

yougoslave. C'était le départ rêvé pour les Allemands qui savaient Eberhard SCHCLER plus à l'aise devant les jeux robotisés des Russes, supputant donc valablement 3 nou

Martine LE BRAS et Yveline LECLER eurent beau dominer

les Autrichiennes, nous ne pouvions nous empêcher d avoir Championnats d'Europe ??

L'ALLEMAGNE DE L'EST (5-1 sur la Belgique) et le DA NEMARK (avant de rencontrer la POLOGNE) ne connais saient pas ces tourments...

être la première victime du « mur », SARKHCJAN la deu

Sème round à 14 heures (repos pour les Messieurs) Mais l'heure tournait et n'était plus aux regrets quoiqu'il en soit. Le Sème round des « Grands » nous attendait du

tenta alors le tout pour le tout face à GCMCZKCV qui,

étaient littéralement dominées par les Hongroises plus ex

veaux points dans leur escarcelle. De fait GCMOZKOV a lait xième, mais, AMELIN avait laissé sur place GCMOLLA et du revers pris de vitesse JANSEN. Le « vieux » GCMOLLA mené 1 set à 0 et 15-16, laissa passer l'orage a... temps

pour « se promener » au set décisif, ce qui donnait 3-3 avant SCHCLER-AMELIN !

Le premier set revint nettement à l'Allemand, toujours là où il le fallait renvoyant tout et profitant offensivement de la moindre temporisation. Le deuxième, troublé par deux

coups de réveil intempestifs dont un décrétant I Expedite Ruie 6 minutes avant le temps réglementaire, allait engendrer

le plus magistral incident de ces Championnats ; Eberhard

côté féminin...

Très vite, nous abandonnions les Polonaises parce qu elles

périmentées dans' un jeu identiqe, les Allemandes de I Est parce qu'elles se faisaient étriller par les Soviétiques plus rapides, pour suivre les chos ALLEMAGNE de l'Ouest-ANGLETERRE et TCHECOSLOVAQUIE-ROUMANIE.

Cette fois, le « métier » des championnes de M. DANET devait être battu en brèche par la fougue de Marta LUZOVA et Maria ALEXANDRU,, vainqueur pourtant de la

« petite » VOSTOVA, ne put éviter la chute libre de la ROUMANIE, définitivement éliminée de la course au titre.

SCHCLER avait le match en mains mais, faute de pouvoir

Les Tchèques joueraient donc l'accès de la finale contre les

obtenir une décision à la « table », il fut enjoint au jury inter

Soviétiques...

national de relayer l'arbitre défaillant et au bout de 70 minu tes de palabres et 7 voix contre 2, le set fut jugé à... remettre et Alex AGCPCFF chargé d'appliquer la sentence en tant

que juge-arbitre. Les deux joueurs, eux, étaient demeurés imperturbables de calme !

Si notre sommeil en fut raccourci d'autant, la morale fut sauve qui vit triompher le champion de Dusseldorf 21-19 bien que constamment mené à la marqe jusque 17-18. Tout aussitôt, nous eûmes droit à un premier set étourdis

sant du jeune JANSEN sur GCMCZKCV : les balles fu saient dans tous les sens tels des bolides mais la « révéla

tion » du jour pouvait-elle tenir à ce rythme ; elle ne tint pas ou, plutôt, le n° 1 soviétique sut reprendre le dessus par la vertu de son revers maléfique qui le fit se détacher pro

gressivement à 10-9 au changement de camp.

il était 1 heure du matin et les deux équipes se retrouvaient à 4-4 avec le match GCMCLLA-SARKHCJAN ; chacun prit

son set comme pour accentuer le suspense puis à la « belle »

(la - belle » de... nuit !), le Russe prit un départ de choix : 5-0 sans empêcher toutefois son tentacuiaire et rusé ad versaire de recoller à 9 et même de mener 11-9 puis encore

15-13 et 16-15. Nous étions alors tous persuadés que les S

Quant aux Anglaises, elles donnèrent l'impression d'être moralement atteintes après la défaite de Mary WRIGHT de vant Edit BUCHHOLZ (15 à la « belle »). Elles égalisèrent

pourtant, opiniâtrement car Agnès SIMQN ne s'inclinait que deux fois par la plus petite marge, mais ne purent compter sur Maurreen HEPPELL, dépasée dans ce match au sommet. Ici encore, cela mettait i'ANGLETERRE hors course et main tenait l'étonnante ALLEMAGNE avec, pour mission, l'honneur de rencontrer la HQNGRIE, invaincue comme elle.

Si les ténors de la première division masculine prolon geaient leur repos, les joueurs des 2ème, 3ème et 4ème divisions bouclaient leur boucle.

Et la FRANCE ne le faisait pas, hélas, à son avantage malgré, il faut en convenir, un sursaut d'amour-propre venu trop tard. C'est ainsi que, grâce à deux succès de Jacques SECRETIN et un de Vincent PURKART (sur VATER comme...

prévu), nous nous retrouvions à 3-3 avec les Allemands de l'Est mais Siegfried LEMKE, plus complet, plus résistant que notre champion national, sut justifier sa... légende qui lui valait à ce pour une lOOème sélection et comme les Belges (3 victoires de Norbert VAN DE WALLE) ne se laissaient

pas prendre au piège hollandais, Ils nous soufflaient bel et


bien la deuxième place du groupe, les Bataves étant relé

Le n° 1 soviétique et., européen Stanislav GOMOZKOV

des Polonais qui les avalent pourtant menés 4-2 I! C'est ainsi encore que Christlane DELAUBERT abattait

avait donc la balle de match (à 5-1) sur le n° 3 yougoslave STIPANCIC : vu la condition physique affichée par celui-là, les téléscripteurs pouvaient se tenir prêts à fonctionner... A 4-0 à la « belle » pour GOMOZKOV, c'était effective ment du tout cuit quand le petit Serbe parvint à prendre de

superbement la carte PIRC (classée 14 à l'échelle euro péenne), qu'Yveline LECLER tenait tête 2 sets durant à Mlrjana RESSLER sans toutefois la vaincre, mais la YOUGOS

dès lors, nos Yougoslaves allaient renverser la vapeur ; Dragutln SURBEK, toute énergie déployée, prit AMELIN en

gués à la quatrième par le jeu cruel des quotients I Alors que, dans l'autre groupe, les Danois opéraient un redresse ment rageur et déterminant pour leur avenir aux dépens

LAVIE était la plus forte.

Des deux côté, nous étions voués à disputer la 13ème place : nous espérions mieux, beaucoup mieux... 4ème round à 20 heures 30

vitesse le revers adverse : 12-6, 21-12 II Incroyable... Et

défaut et KORPA humilia un peu plus un GOMOZKOV ner veux à en subir le jeu. Cela donnait 4-4 ; un comble... ! Tout allait dons ce jouer au match SARKHOJAN-STIPAN-

CIC, 2 gauchers : le Russe prit le 1er set, le Yougoslave le

Nous allions enfin en avoir le cœur net...

second. Remis en confiance par maître IVANOV, le noir

Commençons par ces dames, toujours plus expéditives de

Sarkis attaqua la « belle » en bolide : 4-1, 8-2, 13-3, 20-12 ! Rageusement, Anton STIPANCIC rassis les... spectateurs,

par la formule Corblllon qui est leur. Nous aurions voulu applaudir la résistance polonaise de

vant l'Angleterre sauvée une nouvelle fols par Mary WRIGHT mais, sur la table voisine, la rencontre ALLEMAGNE de l'Ouest-HONGRIE était autrement Importante dans son Issue

hiérarchique. Nous nous demandions ce que ferait l'ALLE-

grignota 5 points mais rata le « boulet » qui l'eût encore fait espérer : Il avait sauver ses couleurs de l'Irréparable outrage mais n'avait pu consommer l'Impossible exploit. Pauvre An ton, comme on comprenait son désarroi... L'URSS devait donc prendre part aux deux finales comme

MAGNE de l'Est, éternelle Sème, face à la ROUMANIE,

pronostiqué... et personne ne voyait comme elle pourrait les

longtemps première de ces joutes européennes, mais c é-

perdre I

talt le choc URSS-TCHECOSLOVAQUIE qui devait logique ment avoir notre préférence.

le classement masculin de ces Vlèmes Championnats d'Eu

Avant que d'en rêver. Il nous restait encore à Inaugurer

Cependant, grâce au « tempérament » des joueuses so

rope par l'autre bout de la hiérarchie, la division IV ayant

viétiques, les choses ne traînèrent pas de ce côté-là mais, si les filles de l'entraîneur IVANOV gagnèrent 3-0 le droit

été dominée à un niveau de Ligue française par l'ITALIE, 25ème donc, devant un trio d'îles (JERSEY, MALTE et GUER-

de disputer la finale, le score ne réflétalt aucunement la physionomie de la partie, MARTA LUZOVA perdant 2 fols

NESEY) dont on se demande toujours ce qu'elles figurent en pareille compagnie ! Ceci sans avoir à recourir aux derniers

20-22 des sets qu'elle avait l'un mené 20-18, l'autre égalisé

matches de classement... contrairement à la division III,

à 19, llona VOSTOVA ne s'inclinant que 18 à la « belle •

d'un niveau déjà plus adapté et qui, dès ce vendredi soir,

face à Zoja RUDNOVA.

avait sérié 8 autres délégations.

L'URSS en finale, qui l'y rejoindrait ?

Contre toute attente, ce fut l'ALLEMAGNE de l'Ouest grâ

Nul ne s'étonna en tous cas que James LANGAN, en ne

perdant que deux sets en tout et pour tout, ait conduit

ce à la détermination d'Edit BUCHHOLZ (encore Invaincue),

l'Irlande et la 17ème place en dépit des ambitions finlandai

grâce aussi à une contracture à la jambe chez cette grande championne que fut et demeurait Exa KOCZIAN, ce dont pro

ses, l'ECOSSE (sur l'ESPAGNE), le PAYS DE GALLES (sur le Portugal) et la SUISSE (sur la Grèce) » soufflant » les 19ème, 21ème et 23ème accessits dans des luttes de simple

fita Agnès SIMON à... l'expedite ruie.

C'est également à ce stratagème que Maria ALEXANDRU

prestige national, toutes sanctionnées à 5-3.

avait recouru pour s'imposer aux Allemandes de I Est mais les GEISSLER et HOEVESTADT mirent tout le poids de la bataille sur Eleonora MIHALCA et, le double aidant (en deux sets nets), accentuèrent la décadence roumaine. Les émotions devaient être aussi fortes dans la compéti tion masculine, parvenue à son tour au dernier round. Bo PERSSON battant d'entrée COVACS, nous étions tout de suite fixés sur le sort de la SUEDE ; elle serait en finale comme à Londres, comme à Malmoe et si Dorim GIURGIUCA mena Hans ALSER 19-16 à la « belle », Il ne put cepen

dant rompre l'Invincibilité du Scandinave qui ressortit sa défense en deml-volée au bon moment. Et comme Kjell JOHANSSON avait retrouvé sa superbe. Il restait au Roumain

SAMEDI 20 AVRIL

Du Congrès de l'Union Européenne... En ce samedi de sacre, les choses sérieuses avalent com

mencé au Palais des Congrès, choisi par l'Union Européenne

pour y tenir le sien, traditionnel à l'occasion des Champion nats. Que Jup SCHLAF en restât le Président eut évidem ment moins d'échos que l'annonce des prochaines éditions à Moscou (1970) ou en Hollande (1972), voire, pour nous

Français, la création d'un championnat de 2ème division qui procurerait à notre élite ces contacts internationaux qui

à sauver l'honneur sur PERSSON, ce qu'il fit... avant que

lui avalent tant manqué pour Lyon s'ils ne seraient pas

les Suédois n'arrêtent les frais à 5-1 I!

encore Idéals pour un Jacques SECRETIN par exemple. Mais,

A en décourager les Tchèques qui, à côté, perdirent ra

pidement toutes Illusions et subirent de facto la loi hon groise, celle notamment d'un certain BORZSEl, athlète com plet, sûr en défense et opportuniste en attaque... Une fols encore, c'est donc l'autre groupe qui nous capti vera avec deux rencontres sanctionnées à 5-4.

Aux dépens de l'ALLEMAGNE de l'Ouest d'abord, le jeune JANSEN paraissant émoussé devant un GIBBS à sa portée et ne retrouvant le chemin du succès qu'en 8ème partie face à lan HARRISSON alors que le flegmatique SCHOLER avait scoré 3 fols sans perdre un set. Hélas pour les Allemands, Hans MICHEILOFF ne fit pas mieux que

son ami GOMOLLA au match... décisif, perdu contre GIBBS. Mais ceci était pour la dernière place du groupe... URSS et YOUGOSLAVIE jouaient, elles, pour la première et c'était autrement capital. SI Istvan KORPA sonnait la

charge de son coup droit mais après avoir frisé la défaite en 2 sets devant SARKHOJAN, les Russes se déchaînèrent

de tout ceci, notre secrétaire général Jean MERCIER se promettait d'en reparler... ... aux matches de classement

A 14 heures, de retour au Palais des Sports, d'autres

Impératifs retenaient les délégations qui, en vue de Moscou précisément, avaient Intérêt à grignoter ne serait-ce qu'une place dans la hiérarchie européenne... La division II nous concernait directement et d'ailleurs

doublement : grâce devait bientôt être rendue à nos sé lectionnés qui sauvèrent leur 13ème place. Sans trop de battement de cœur pour le trio SECRETIN

(3 victoires à sa main). PURKART (1 sur THALLINGEFl) et STREIT (1 sur SCHLUETER) face aux Autrichiens mais nos yeux se braquaient souvent, avec une pointe d'amertume, sur les tables voisines où les Danois, littéralement survoltés arrachaient une flatteuse 9ème place aux Allemands de

l'Est, meurtris dans leur amour-propre, et où les Belges s'oc

ensuite au point de mener 4-1 : 2 défaites de SURBEK face

troyaient en... 24 sets (CORNIL soufflant à DOMICZ la « bel

à GOMOZKOV et SARKHOJAN, 2 victoires d'AMLEIN sur

le » du match décIsiO- la llème qe convoitait logiquement

STIPANCIC et KORPA II

la formation polonaise de Janusz KUSINSKI (invaincu). 9


Alors que, derrière nos Français, les Hollandais ne concé daient qu'un seul set aux Luxembourgeois... Chez ces Dames, Yveline LECLER nous apportait une gran

de bouffée d'espoir par sa combativité exemplaire qui eut pour récompense personnelle d'obtenir 2 succès de valeur sur les joueuses Ellen KLATT et surtout Véronique VAN DER LAAN, pour conséquence collective de hisser notre pays

avant la HOLLANDE (14ème) et l'AUTRICHE (15ème pour avoir su écarter la menace écossaise) mais, hélas, derrière le DANEMARK que Brita HENRIKSEN faillit trahir face aux Suissesses et, comme prévu, la YOUGOSLAVIE encore 9ème non pas cette fois grâce à Mirjana RESSLER (battue par la championne suédoise Marita NEIDERT) mais bien grâce à une Cirila PIRC retrouvée au bon moment, c'est-à-dire après

la perte du double. Et que la BLEGIQUE, adversaire malheu reux de notre sélection, ait remporté la division III et donc la 17éme place ne surprit pas plus les initiés, la FINLANDE, la GRECE, le LUXEMBOURG (battu par celle-là 2-3 après avoir mené 2-0 I), l'ESPAGNE et JERSEY, classé dans l'or dre, jouant visiblement un bon ton en-dessous...

Le bon "ton, le ton européen, était donné par contre en division l où, de la Sème à la Sème places, tout se payait chèrement, très chèrement... malgré des scores parfois nets en apparence.

Les finales !

Ce serait mentir que d'affirmer que les finales des Vlèmes Championnats d'Europe de tennis de table avaient attiré la

grande foule au Palais des Sports de Gerland mais, à côté du Colonel CRESPIN qui nous faisait le grand honneur d'as sister à cette soirée terminale, et d'autres sommités spor

tives ou locales (dont M. Tony BERTRAND, l'adjoint aux sports de LYON, et POLLIO, directeur régional de la Jeu nesse et Sports), il y avait quand même S.OOO à S.SOO per sonnes disséminées sur les gradins. Rien de comparable avec l'étranger certes mais « on » se consolait en disant que la finale européenne de basket n'avait guère eu, la semaine précédente, plus de succès populaire !

Sur le plan sportif, on se demandait cependant à quelle sauce l'ogre russe allait manger ses deux adversaires en core que le teint blême de Zoja RUDNOVA et la nervosité extrême d'un SARKHOJAN pouvaient être diversement inter prétés, encore que les Allemands se persuadaient déjà qu'el les avaient fait mieux que remplir leur contrat et s'en décon tractaient à croire qu'elles n'avaient assurément plus rien à perdre, encore que les ALSER et JOHANSSON avaient per pétré le rythme sacré de leur préparation avec un sang froid qui dénotait une grande concentration.

Cest ainsi que le 5-1 réussi par la YOUGOSLAVIE (Sème tout comme à Londres) aux dépens de la HONGRIE et l'ANGLETERRE (Sème) sur le dos de la ROUMANIE pouvait laisser penser à une supériorité manifeste des vainqueurs. En fait, Matyas BELEZNAI avait mené KORPA 18-14 puis

A 20 h. SO, notre ami Georges BARTHES, juge-arbitre ad joint de ces Championnats d'Europe, avait convié Zoja RUDNOVA et Edit BUCCHOLZ, les deux seules filles invain cues de la compétition par équipes, à rejoindre l'aire cen

20-18 à la « belle » avant de s'incliner 2S-25 et, surtout, la

Tout de suite, on s'aperçut que la championne soviétique avait reçu mission d'attaquer à outrance. En ligne, à contrepied, la balle catapultée avec une force inouïe et avec cette

défense du grand BORZSEl avait négligé de raser le filet face à STIPANCIC puis SURBEK (celui-ci pourtant battu par le « junior » JONYER I). En fait, les Anglais pouvaient bénir un Stuart GIBBS en état de grâce, triomphateur des NEGULESCU et GIURGIUCA, alors que Tiberiu COVACS ne parvenait pas à concrétiser un avantage de 18-18 à la - bel

le .^sur le blond HARRISSON. La 7ème place revenait à la TCHECOSLOVAQUIE à l'issue du match le plus long qui l'avait opposée à... l'ALLEMAGNE de l'Ouest, encore battue mais S-5 ! C'est Eberhard SCHOLER qui endossait cette fois la responsabilité de la défaite pour s'être incliné devant STANEK puis MIKO, ce dernier en 7ème partie après que Bernt JANSEN eût mysti fié Jaroslav KUNZ 25-2S à la • belle » après avoir sauvé 4 balles de match et avant que le même JANSEN ne ratât devant STANEK, à deux balles près, une nouvelle éga

trale. La finale féminine ALLEMAGNE-URSS était lancée I

vitesse qu'autorise la prise porte-plume, faisait mouche mais l'Allemande tenait bon puis, progressivement, la balle revint plus souvent, mieux placée et plus rasante : 8-10, à partir d'un revers qui décontenança la Russe, elle aligna 6 points d'affilée, récidiva 4 fois à 14-11 en utilisant jusqu'au contre, S fois à 18-12 I

En toute évidence, maître IVANOV avait conseillé à la bouillante Zoja d'assurer la préparation de l'attaque par des balles croisées et amorties : à ce jeu, l'adaptation fut peut-être laborieuse (l'Allemande mena 6-2, 8-4, 10-8) mais ies fautes s'estompèrent et à 12-1 S, tout réussit à notre Soviétique qui mena 19-14 et 20-15, moment choisi de con

lisation qui eût tout remis en question. Car Ernst GOMOLLA avait préalablement défait MIKO et pouvait tout aussi bien

fondre à nouveau vitesse et précipitation. A 19-20, la BUCHHOLZ risqua son coup droit et le mit out. 1 set partout I Chaque protagoniste avait dès lors sa tactique bien tracée

récidiver sur KUNZ ! Mais avec des si...

et gagnerait celle qui aurait conservé l'influx nerveux in

En Dames, il n'y eut qu'un seul succès net : celui de l'ANGLETERIRE pour la Sème place, ce qui était attendu aux

dépens de l'ALLEMAGNE de l'Est qui, par Doris HOVESTADT, rata cependant d'un coup droit l'égalisation sur Karanza SMITH.

Par contre, tant TCHECOSLOVAQUIE-HONGRIE pour la Sème place que ROUMANIE-POLOGNE pour la 7ème de vaient aller à la « belle » du Sème match.

D'un côté, les jeunes Tchèques eurent grand mérite à sauver leur Sème rang londonien puisqu'il leur fallut remon ter un handicap de 0-2 qui eût pu être irrémédiable si les

dirigeants magyars navaient pas, pour le double, mis au repos Eva KOCZIAN (blessée). Mais la championne hon groise, qui avait déjoué Marta LUZOVA en fin de <■ belle » (21-1S en partant de 11-12 I) ne put endiguer jusqu'au bout les frais assauts d'Ilona VOSTOVA.

Quant aux Roumaines, perdant elles aussi le double (mais les CALINSKA-NOWORYTA avaient quand même de sérieu ses références dans la spécialité, rappelez-vous Lujbijana !)

tact. 2-0 pour BUCHHOLZ, S-2 pour RUDNOVA qui s'af fola alors au point de mettre 6 balles dehors et de tourner à 4-10. Une brillante série d'attaques croisées devait la ra mener à 8-10 mais, avec un sang froid extraordinaire, l'Alle mande cassa la cadence par un revers sur amortie et un coup droit sur balle haute sans empêcher la Russe, absolu ment blême dans son maillot rouge, de revenir encore à 12-14. Pour la dernière fois cependant : Edit BUGHHOLZ, comme pour fêter dignement son 27ème printemps, contra un coup droit maléfique, provoqua S fautes successives, eut le culot de placer un contre-pied. Zoja RUDNOVA en rata son service. C'était fini : 21-12 II Incroyable mais vrai...

Le camp russe, déconfit certes, ne semblait pas prendre la chose au tragique : c'était la contre-performance mais il

restait Sveltlana GRINBERG dont la fougue juvénile aurait raison du poids des ans chez Agnès SIMON. Et puis, sur la table voisine, la finale masculine débutait qui détournerait l'attention du public et replongerait l'émotive Soviétique dans un anonymat complice.

d'un sort aussi funeste...

Fichtre I l'ex-championne d'Europe (SI ans) se campa à la table et suivit son adversaire au corps à la faveur de contres rapides, toujours placés : S-S, 10-8, 14-10. Subjuguée, coup droit anéanti, la Soviétique subissait... 19-12, 21-15 I

Il ne restait donc plus, ça et là, que deux cases à rem plir et nous pouvions nous prêter sereinement à la pause-

Sveltlana GRINBERG attaquant enfin au centre pour éviter le contre, prit un départ de choix au 2ème set (5-2) qui eût

café.

dû lui donner confiance. L'Allemande laissa passer l'orage

elles durent leur salut à l'ardeur défensive de Maria ALE-

XANDRU et à un providentiel 22-20 au Sème set d'Eleonora MIHALCA sur la

10

malheureuse NOWORYTA, catastrophée


puis reprit son harcèlement au point de mener 9-5 puis 11-7 et 15-8. Il n'y eut plus qu'elle sur le champ : à 15-20, Sveltlana mit son service dehors comme RUDNOVA 1 2-0 pour les Germaniques...

Bo PERSSON et Anatoly AMELIN en étaient à 1 set par

tout (21-19 chaque fois) dans un jeu qui n'admettait guère de temporisation ; c'est dire que les choses n'avaient pas traîné chez ces dames.

Au double, Edit BUCHHOLZ servit la première sur RUD NOVA, les Soviétiques ayant perdu le toss mais non, sem-

blet-t-il, la • bonne formation » et, de fait, la coordination émoussée après quelques égalisations, Agnès SIMON ne parvint plus à contrer les « boulets » de Zoja. 14-9, 17-11, 18-12 pour le tandem russe qui conclut superbement à 21-14. Sur la table voisine, Anatoliy AMELIN avait, de son revers,

devancé le coup droit de Bo PERSSON (10-,6 15-10, 18-12, 20-13) et donné l'avantage à maître IVANOV en dépit d'une folie remontée du n° 3 suédois (20-18 I) : tout aussitôt,

Kjell JOHANSSON et Sarkis SARKHOJAN avaient pris la re

Cet avantage, les protégés du président ELDH n'allaient toutefois pas le préserver longtemps : sur un rythme inouï qui axait tout sur le revers, Anatoliy AMELIN musela le canonnier JOHANSSON qui, de 5-11, revint bien à 10-12, mena

même (une seuie fois) 17-16 mais en resta là. Même scéna rio au 2ème set mais, en dépit de quelques arrêts intem

pestifs (ah i ie coup de ia serviette i), jamais le champion d'Europe ne put aiier plus vite que ie Russe, lequel piana à 9-4, 12-5, 15-11, pâlit à 16-15 et finit merveilleusement. Cela avait duré à peine 20 minutes mais quelles minutes. 1 Il en fallut 8 de moins pour autoriser Stanisiav GOMOZ KOV à invertir l'ordre mathématique au tableau d'affichage

mais non sans que la « patte gauche » de Bo PERSSON ne

lui pose un épineux problème tactique. Un problème finale

ment résolu sur des « une-deux » incroyables de puissance

et de précision qui engendrèrent les plus spectaculaires

renversements de situation des Championnats : 16-10 pour PERSSON au 1er set, 21-16 pour GOMOZKOV, soit 11 points

d'affilée... 12-5 pour PERSSON au 2ème set, 17-12 pour GOMOZKOV soit encore 12 points, le tout à la... mitrail leuse.

lève...

Svtetlana GRINBERG, elle prenait le service sur Agnès SIMON, amenant les <■ boulets > de Zoja RUDNOVA : 12-8, 13-10 pour les Soviétiques... Tout allait donc bien être re

mis en question alors qu'à côté, JOHANSSON venait d'exé cuter proprement SARKHOJAN sur une série ahurissante de coups droits (13 d'affilée de 3-5 à... 16-5 II). Non cependant car un excès de précipitation amena l'égalisation des Alle mandes à 14, à 15 puis à 17, ensuite aux sets (21-18).

3-2, les actions russes remontaient... Elles s'affermirent

encore quand Sarkis SARKHOJAN qui, de son revers de gaucher, évitait astucieusement la demi-volée meurtrière,

enleva ie premier set 21-15 sur ALSER ! Mais celui-ci sut se

rapprocher de la table et, finissant les points sur la droite, égaliser sur ie même score. Au set décisif, le Suédois eut d'entrée ia situation en mains, allant même jusqu'à repren dre sa défense en demi-volée sur les balles croisées du

Soviétique ; 10-4 au changement de camp puis 13-6, appa

Le premier service d'Edit BUCHHOLZ à la « belle » était à peine remis par Zoja RUDNOVA que déjà, Sarkis SAR

remment c'en était fini. Non pourtant car, sur une série de revers fracassants parce que désespérés, SARKHOJAN

KHOJAN allait se rhabiller, désemparé, sur une nouvelle démonstration de force de Kjeil JOHANSSON qui avait mené successivement 7-3, 11-4, 13-8 et 19-10 I! L'accalmie qui s'en suivit remit toute la lumière sur le double féminin dont le sort tenait dans la raquette de RUDNOVA ou ses

revint à 14-15, égalisa même grâce à la sportivité de son

adversaire (applaudi) qui lui fit accorder un point réfuté par

...nerfs : la loi des séries fit que la n° 1 européenne ne sut

Cependant, JOHANSSON n'allait pas tarder à provoquer le chant du cygne pour les Russes : nous retrouvions soudain le grand Kjell, le héros des Européens de Malmoe et de

pas profiter d'un avantage acquis à 6-4 et les Allemandes

avaient repris l'ascendant (8-7) quand Stanislav GOMOZKOV servit à son tour sur Hans ALSER pour le 3éme match de la finale « messieurs »...

La merveilleuse défense en demi-volée du champion sué

dois, bridant littéralement le revers massacrant du Russe, ne

pouvait estomper le suspense que le service travaillé de Sveitiana GRINBERG (14-11 pour les Soviétiques) et pelui plus provocateur d'Agnès SIMON (amenant l'égalité à 15)

l'arbitre et en fut récompensé sur son service (5 points d'af filée). A 23 heures, la recontre était toujours aussi « ou verte

»...

Londres !

Stanislav GOMOZKOV était pris au service, du revers, du coup droit, en contre... Son seul sursaut dangereux, ex trêmement brillant d'ailleurs, eut lieu au 2ème set qu'il mena 11-9 sur son service après avoir été distancé à 6-9. En 12

minutes (21-13, 21-17, la SUEDE avait â nouveau le vent en poupe et s'en vinrent alors les deux joueurs invaincus de

créaient ; deux fautes de Sveitiana, une remise sensation

cette soirée : Hans ALSER et Anatoliy AMELIN. Le match

nelle d'Edit BUCHHOLZ sur un nouveau « boulet » de la

décisif... I

RUDNOVA, une balle morte d'Agnès SIMON et cela don nait 19-16 pour l'équipe germanique. Le silence était absolu quand Sveltlana GRINBERG reprit son service diabolique: calmement, Edit BUCHHOLZ le remit avec son effet. Balle de match 1 2 fois, Zoja RUDNOVA assura son contre-pied mais au 3ème, contré par Agnès SIMON, Sveltlana GRIN BERG renvoya dehors i...

Les Allemandes remportaient la Coupe de Roumanie sur le score impensable de 3-0.

La surprise était énorme dans le camp des vainqueurs,

sur le banc russe où l'amertume de la défaite se confondait dans les regards et les tapes amicales, sur les gradins tou

jours fébriles quand un pronostic est renversé, à la Tri

bune de Presse où plus d'un parieur était gros Jean comme devant...

Il n'y eut pas de réel suspense : le revers annihilé par la demi-volée, AMELIN dut se fier davantage à son coup droit

et, à ce jeu, se découvrit dangereusement sans parvenir à ruser un ALSER félin comme â ses plus beaux jours et qui, tous muscles bandés, revenait sur tout, y compris les amorties. En 6 minutes, le premier était empoché 21-11

(10-8 I)... Au deuxième, on dénombra 2 points marqués du revers chez le Russe, c'est dire combien le Suédois do

minait la situation : il n'y eut qu'une alerte (AMELIN égali sant à 12 après avoir été mené 6-10 et 7-11), rien ne pouvait ternir l'invincibilité de Hans ALSER.... Les Suédois, en moins de 150 minutes, venaient de rem

porter la Coupe de Hongrie pour la Sème fois consécutive. Et tout comme à Malmoe, tout comme à Londres, c'est le

même tandem, constitué par deux champions hors-ligne qui avait fait triompher une... nation.

Mais la démonstration d'Hans ALSER n'en était pas ter

minée dans ce brouhaha : 15-13 à la fin de la rencontre fé

minine, 21-15 quelques instants pius tard, Stanisiav GO MOZKOV (lui aussi n" 1 européen) visiblement décontenan cé par la « chute » de ses compagnes, ne réagissant que

sporadiquement. S'il se reprit, le deuxième set ne devait rien changer : à une série du Russe, revenu de 3-9 à 8-9, l'imperturbable Scandinave répliqua par 3 séries de 4-1 qui donnèrent un sec 21-11 et un avantage de 2-1 à la SUEDE

alors que la grande horloge du Palais des Sports atteignait les 22 heures.

Un rare triplé en tous cas, qui restera à jamais gravé dans les annales des Championnats d'Europe et comme l'on com

prenait la liesse qui avait envahi la petite colonie Scandinave. Les Soviétiques, eux, avaient tout perdu et, avant tout, la bataille des nerfs...

Il était 23 heures 30... Remise protocolaire des Coupes,

montées sur le podium, acclamations mirent un point final à ce premier acte des Vlèmes Championnats d Europe. Nous avions passé une merveilleuse soirée... 11


JOHANSSON (n° 4) : 2 défaites face à BELEZNAI (6) et

DIMANCHE 21 AVRIL

Le repos du guerrier... mais non du chroniqueur enfoui dans le « désert » surchauffé du Palais des Sports afin que le numéro de FRANCE TENNIS DE TABLE sur les « Natio naux » d'Amiens sorte à temps !

La Presse, elle, commentait sur plusieurs colonnes les résultats de la compétition par équipes et en tirait les con clusions pour mieux supputer les chances des successeurs de Maria ALEXANDRU et Kjell JOHANSSON au palmarès individuel des Championnats d'Europe, les intéressés étant toujours du nombre comme il sied. Revenaient le plus sou vent les noms d'Edit BUCHHOLZ et Hans ALSER, tout na

turellement puisqu'ils étaient les seuls Invaincus du < mara thon » passé, mais aussi ceux des RUDNOVA, WRIGHT, GEISSLER (?), LUZOVA chez ces dames, des SCHOLER, KORPA, AMELIN, STANEK, BELEZNAI et autres GOMOZKOV en Messieurs.

C'était dans le courant d'une certaine logique après tout mais, la lutte individuelle ayant eu de tous temps d'autres impératifs que les joutes coltectives, votre serviteur s'était contenté d'inventorier les... défaites chez les 16 «grands» (hommes et femmes) de l'Union Européenne. Et cela don nait ceci...

AMELIN (10).

MIKO (n° 5) : 5 défaites face à NEGULESCU (ne), GIURGIUCA (12), BORZSEl (16) et BELEZNAI (6). BELEZNAI (n° 6) ; 5 défaites face à NEGULESCU (ne), GIURGIUCA (12), STANEK (3), KORPA (12) et STI PANCIC (ne).

NEALE (n° 7) ; 4 défaites face à AMELIN (10,) GOMOZKOV (1), SURBEK (10) et SOHOLER (1). ALSER (n° 8) : invaincu

KOLLAROVITS (n° 8) : 4 défaites face à ALSER (8,) 00VACS (ne), BORZSEl (16) et BELEZNAI (6).

AMELIN (n" 10) : 3 défaites face à SCHOLER (1), SURBEK (10) et ALSER (8). SURBEK (n° 10) : 4 défaites face à JANSEN (ne,) GOMOZ KOV (1), SARKHOJAN (14), et JONYER (ne). GIURGIUCA (n° 12) ; 5 défaites face à JONYER (ne), BOR ZSEl (16), KOLLAROVITS (8), ALSER (8) et GIBBS (ne) KORPA (n° 12) ; 2 défaites face à JANSEN (ne) et AMELIN (10)

SARKHOJAN (n" 14) : 6 défaites face à NEALE (7), JANSEN (ne), SCHOLER (1), KORPA (12), JOHANSSON (4) et ALSER (8).

ROZSAS (n° 15) : n'a joué que contre la Suède, 2 défaites : EN DAMES

RUDNOVA (n° 1) ; 1 seule défaite face à BUCHHOLZ (11) ALEXANDRU (n° 2) : 2 défaites face à RUDNOVA (1) et LUZOVA (5)

JOHANSSON (4) et ALSER (8).

BORZSEl (n° 16) : 4 défaites face à STEIN (ne), RETHI (ne), STIPANCIC (ne) et SURBEK (10).

et parmi les « non classés » de l'Union Européenne : PERSSON ; 5 défaites face à KOLLAROVITS (8), BELEZNAI

GRINBERG (n° 3) : 2 défaites face à ALEXANDRU (2) et SIMON (8) WRIGHT (n° 3) : 2 défaites face à KOCZIAN (9) et BU CHHOLZ (11)

LUZOVA (n° 5) : 2 défaites face à GRINBERG (3) et KOC ZIAN (9).

(6), GIURGIUCA (12), AMELIN (10) et GOMOZKOV (1). STIPANCIC : 5 défaites face à JANSEN (ne), SCHOLER (1),

NEALE (7), AMELIN (10) et SARKHOJAN (14). JONYER : 8 défaites face à LEMKE (ne), NEGULESCU (ne),

ALSER (8), PERSSON (ne), JOHANSSON (4), KOLLA ROVITS (8), STANEK (3) et KORPA (12). HARRISSON : 7 défaites face à LANGAN (ne), SARKHOJAN

GEISSLER (n° 6) : 4 défaites face à LUZOVA (5), RUDONVA (1), ALEXANDRU (2) et WRIGHT (3) JURIK (n° 7) 2 défaites face à WRIGHT (3) et LUZOVA (5) SIMON (n° 8) : 2 défaites face à WRIGHT (3) et JURIK (7) KOCZIAN (n° 9) ; 3 défaites face à BUCHHOLZ (11), SI MON (8), et VOSTOVA (16)

RESSLER (n° 10) : a disputé la division II (1 défaite face à NEIDERT). BUCHHOLZ (n° 11) ; invaincue.

MIHALCA (n° 11) : 4 défaites face à RUDNOVA (1,) HOVESTADT (15), GEISSLER (6) et CALINSKA (ne) sa remplaçante IVAN perdant LUZOVA (5) KARLIKOVA (n° 13) : non utilisée en simple. PIRC (n° 14) : a disputé la division II (2 défaites face à HENRIKSEN et DELAUBERT) HOVESTADT (n° 15) : 4 défaites face à VOSTOVA (16), GRINBERG (3), ALEXANDRU (2) et SMITH (ne). VOSTOVA n° 16) ; (3 défaites face à ALEXANDRU (2), RUD NOVA (1) et JURIK (7) et parmi les « non classées » de l'Union Européenne : SMITH : 4 défaites face à DETAILLE (ne), KOCZIAN (9), JU RIK (7) et CALINSKA (ne), sa remplaçante HEPPEL per dant SIMON (8) et BUCHHOLZ (11). CALINSKA : 5 défaites face à RESSLER )10), BUCHHOLZ

(11), JURIK (7), WRIGHT (3) et ALEXANDRU (2). NOWORYTA : 5 défaites face à RESSLER (10), SIMON (8), WRIGHT (3), ALEXANDRU (2) et MIHALCA (11), sa remplaçante BUTRYM perdant KOCZIAN (9). NEIDERT : 1 défaite en division I face à GEISSLER (6) et 1 en division II face à PIRC (14).

(14), KORPA (12), STIPANCIC (ne), SCHOLER (1) JAN SEN (ne) et GIURGIUCA (12). GIBBS : 4 défaites face à KUSINSKI (ne), SURBEK (10), KORPA (12) et SCHOLER (1), son remplaçant HYDES

perdant GOMOZKOV (1) et AMELIN (10). NEGULESCU : 6 défaites face à BORZSEl (16), KOLLARO

VITS (8), JOHANSSON (4), ALSER (8), GIBBS (ne) et NEALE (7).

COVACS : 6 défaites face à MIKO (5), KUNZ (ne), PERS

SON (ne), JOHANSSON (4), NEALE (7) et HARRIS SON (ne), son remplaçant RETHI perdant BELEZNAI (6) et JONYER (ne)

STEPANEK : 2 défaites face è JOHANSSON (4) et PERS SON (ne). KUNZ : 4 défaites face à GIURGIUCA (12), NEGULESCU

(ne), SCHOLER (1) et JANSEN (ne). JANSEN : 6 défaites face à AMELIN (10), GOMOZKOV (1),

GIBBS (ne), NEALE (7), MIKO (5) et STANEK (3). GOMOLLA : 7 défaites face à STIPANCIS (ne), KORPA (12),

SURBEK (10), AMELIN (10), GOMOZKOV (1), SARKHO JAN (14) et STANEK (3). MICHEILOFF : 4 défaites face à GRIMM (ne), NEALE (7), HARRISSON (ne) et GIBBS (ne). SECRETIN : 4 défaites face à KUNZ (division I), CORNIL, VAN DE WALLE et LEMKE (division II).

Après quoi, faites vos jeux H Ce qui n'avait pas empêché le beaujolais de couler en douceur dans certains gosiers en quête de... récupération, ce qui n'empêchera pas certaine interview à « Sports-Di manche » de faire couler un peu d'encre et beaucoup de salive...

Lundi matin, au Palais des Sports, il s'agira de vaincre EN MESSIEURS

ou mourir !

Jean DEVYS

GOMOZKOV (n° 1) 6 défaites face à HARRISSON (ne), SCHOLER (1), STIPANCIC (ne), KORPA (12), ALSER (8) et JOHANSSON (4). SCHOLER (n° 1): 4 défaites face à KORPA (12), SURBEK (10), STANEK (3) et MIKO (5). 12

(à suivre)

N.D.L.R. — La suite de cet « agenda », avec la narration

des épreuves individuelles, paraîtra dans un prochain nu méro.


Suite des Impressions lyonnaises la jeune Tchèque VOSTOVA, âgée seu

sport permet, tout le monde a chanté, bu, mangé, dansé au son d'un excellent

lement de 14 ans et demi, possédant un

orchestre en se promettant tous de se

tel sens du jeu qu'elle sera d'ici quel

revoir bientôt, à MUNICH en 1969. Je venais de vivre des moments inou bliables dans ma carrière de pongiste.

Chez les femmes, victoire étonnante de

ques années imbattable. Notons encore la Russe RUDNOVA à

la prise porte-plume, l'Allemande de l'Ouest SIMON, la Hongroise Eva KOC-

ALLO ! LYON 1968

par Jean-Pierre AUBUSSON C'est dans le magnifique cadre du Palais des Sports de Lyon que se sont déroulés les 6èmes Championnats d'Eu

rope du 17 au 24 avril 1968, où j'ai eu la chance de participer en tant qu'arbi tre.

Affecté à la table 11 pendant toute la durée de ces Championnats au sein de l'équipe du lyonnais, j'ai pu apprécier en connaisseur i'élite européenne.

Je dois dire que, pendant ces dix jours j'ai ouvert grand les yeux car un spec

tacle permanent de 9 h. du matin à 24 h. le soir avec, comme acteurs, les meil

leurs pongistes européens, n'est pas monnaie courante.

J.P.A.

ZIAN, etc...

Chez les Français, rares ont été les occasions où jai vibré, à l'exception de SECRETIN, vainqueur du Tchèque STANEK, qui n'est pas un premier venu et de GOMOLLA (Allemagne de l'Ouest), après 2 parties de grande classe. Quant aux autres Français, dépassés par le jeu, ils ont fait ce qu'ils ont pu. Je me suis demandé pourquoi, nous Français, nous ne réussissons pas.

Je crois que cela provient d'une ques tion d'entraînement, de discipline, et de condition physique (même SECRETIN n'a pas tenu les 10 jours), l'incapacité notoire de se surpasser au moment vou

lu, et peut-être aussi, l'absence d'un

de la revue officielle de TAthletic-Club de

Boulogne-Billancourt CHAMPIONNATS D'EUROPE A LYON

Ce furent pour ies Français et Fran çaises une grosse déception. Hommes

entraîneur de classe internationale.

et femmes, ciasses I3èmes avant ces

championnats, n'ont réussi qu'à mainte nir - assez péniblement - leur classe

le jeu, les joueurs et le côté extra-spor-

Quelques exemples, les seuls joueurs à « rouspéter » après la table, l'éclai rage, l'arbitrage, etc... étaient les Fran

tif.

çais.

mis l'accent sur la faiblesse des joueurs

Au point de vue arbitrage, nous étions 4 par table, 1 arbitre, 1 chronométreur,

Un manque de discipline, en voyant

et joueuses français et aussi sur la né

par exemple les Russes arriver 2 heures

cessité d'avoir enfin en France un en traîneur valable. Bien I

Afin de vous donner une vue d'en

semble aussi complète que possible, nous verrons successivement l'arbitrage,

2 marqueurs.

Dans l'ensemble, tout s'est fort bien

passé, hormis un incident de chrono, au cours du match URSS - ALLEMAGNE de l'Ouest où le chronométreur a oublié de remonter sa pendule et ce, au cours du 7ème match, obligeant le jury internatio nal à se réunir pendant plus d'une heure. Je dois dire qu'il est beaucoup plus fa cile d'arbitrer à ce

niveau,

car

les

joueurs ne contestent pas les décisions de l'arbitre, sauf erreur flagrante, l'im

portant étant dep ouvoir suivre le ry thme du jeu, car après 3 ou 4 heures de table, on est fatigué à cause de la ten sion nerveuse que l'on est obligé de soutenir.

Si, au point de vu jeu, j'ai souvent vi

avant de disputer un match, faire 4 tours de salle, en plus de la culture physique et, ensuite jouer jusqu'au moment de ieur match.

SURBEK également, avant son match contre ALSEH, s'est entraîné pendant 4 heures, devant un joueur lui renvoyant toutes les balles en demi-volée. J'ai vu aussi une joueuse Française

jouer un match difficiie, gagner le 1er set, se retourner pour demander des conseils à son capitaine, ne voir per sonne et reste à 10 points des 2 autres sets.

En dehors de l'arbitrage, j'ai participé, dans une sélection française, à un match

triangulaire entre arbitres, opposant la

ment. Bien sur, la presse spécialisée a

Mais si les défaites imprévues des

joueurs sont à mettre en grande partie sur la grave mésentente qui régnait en tre joueurs et dirigeants, celle des Fran çais sont — à mon avis — dues à une mauvaise utilisation des joueuses par le

capitaine français qui ne pouvait faire mieux en l'occurrence puisqu'il ne con naissait ni ia valeur de leur jeu, ni leur résistance à l'effort, ni leur caractère, ne les ayant, pour la plupart, jamais tant

vues qu'en cette circonstance. Il avait pourtant à sa disposition une équipe sou dée, celle de l'A.C.B.B. dont les 2 pre

mières joueuses sont, jusqu'à plus am ple Informé et sur les résultats de toute la salson( les numéros 1 et 2 français.

bré en voyant le jeu de jambes de l'Al

Suède, l'Angleterre et la France.

lemand de l'Ouest SCHOLER, ou la dé fense d'un BORZIE (Hongrie) véritabie

Nous avons gagné nos 2 matches, grâce à Jacqueline VIALA, ex-champion

qu'une seule fois, contre la Belgique qui perdit 1-0. En dehors de cela, toutes les

« mur », j'ai surtout admiré le coup droit

ne de France Juniors, le Sème joueur

formations furent utiiisées... sans beau

du Suédois JOHANSSON, l'ex-champion

étant LACROZE, un -30» du Lyonnais.

devaient

coup de succès contrairement aux équi pes étrangères qui présentent pratique

droit et un excellent top-spin, a battu

prendre une excellente revanche au... Beaujolais, au cours de la sortie du di manche, organisée à notre intention dans

simple. Même si Martine avait momenta nément perdu confiance, il fallait persis

tout le monde.

le Maçonnais.

ter, son moral serait revenu avec sa

d'Europe, qui frise presque la perfection ou celui du nouveau champion le You

goslave SURBEK, qui, avec un seul coup Victoire d'un joueur appliqué, joutant toutes ies balles dans une condition phy

sique remarquable, démontrant que le

Mais nos amis étrangers

Mais elles ne furent utilisées ensemble

Quelle rude journée pour tout le mon de, mais combien d'amitiés

se

sont

J'ai noté aussi que le jeu en demi-vo lée du Suédois ALSER qui, au cours de

noués autour d'un verre de Juliénas ou de Morgon I Pour terminer ces championnats, nous

cette compétition, n'a perdu qu'un seul match, face à SURBEK en demi-finale ; le revers du gaucher SARKHOJAN dont la » patate » ne laisse aucune chance à

diose du Palais des Congrès, et, là en

tennis de table est vraiment un sport.

l'adversaire.

étions tous invités, (Joueurs, dirigeants, arbitres, accompagnateurs) à une soirée

d'adieu organisée dans le cadre gran core, dans une ambiance que seul le

ment toujours les 2 mêmes joueuses en

partenaire habituelle.

Quant à celle-ci, il fallait comme l'an née dernière lui faire et lui donner con fiance. Au lieu de cela, on lui a fait faire 3 simples en tout et pour tout au cours

desquels elle a battu la championne de Belgique 68, la Yougoslave Pire (deuxiè me joueuse de son pays classée 14ème Européenne) et enfin la championne de Hollande qu'elle perdit, les petites vexa13


tions dues « à son jeu défensif, sa ra quette pourrie et sa place dans l'équi pe » ayant fini par saper son moral et sa forme.

En fait, je

crois

qu'en

France

les

joueurs de grande classe manquent peutêtre, mais il est indéniable qe les diri geants qualifiés sont inexistants. Il est inadmissible qu'un entraîneur na tional et un capitaine d'équipe ne con

EXTRAIT DU JOURNAL « L'EQUIPE » du 13-9-68 ^

j■■"■ "■

étant là pour le prouver, l'autre ayant à travailler beaucoup plus sur la table pour acquérir la bonne touche de balle. Or elles ont été toutes deux soumises

au même régime, ce qui fait que Martine avait dépassé le cap de la forme et a craqué nerveusement, alors que Christiane avait atteint la forme optimum au bon moment et c'est pourquoi on ne l'a pas fait jouer. Dame ! Une défenseuse I Comment concevoir aussi, qu'après ces championnats, tous les Français,

joueurs et dirigeants soient rentrés les uns après les autres., à la sauvette, sans même pour beaucoup, assister à la ré ception finale. Une équipe où quelques individualités réunies pour la circons tance ? Qe vont maintenant faire, nos deux joueuses en cette fin de saison ? Pourront-elles surmonter leurs décep tions pour enlever la Coupe Interligue et

Tennis de table : l'U.R.S.S.

Certains de nos lecteurs vont peutêtre s'étonner de l'insertion de cet ar ticle extrait de la revue officielle de

l'A.C.B.B. qui est particulièrement « mordant > pour l'ensemble des diri

geants français. Dans les précédents numéros, nous avons inséré des articles extraits de la

presse pongiste régionale que l'on est en droit de considérer comme dignes de foi, car écrits par des spectateurs at tentifs et intéressés, mais en dehors du fameux « différend entre joueurs et

dirigeants > évoqué au nom de ses amis par Vincent PURKART devant les caméras de « Sport Dimanche ». Dans leur grande majorité, ils ont critiqué vertement le comportement de nos in devant et autour des ta

avril dernier, se sont déroulés les si

xièmes Championnats d'Europe. Ce grand rendez-vous de l'année a tenu ses promesses et a au moins

prouvé définitivement que le tennis de table était devenu un sport à part entière exigeant des athlètes (c'est le terme qui convient) une prépara tion physique, morale et psychologi que de premier ordre.

Lyon fut aussi placé sous le signe de la jeunesse. En effet on trouve au palmarès le Yougoslave Surbek (21 ans), la Tchécoslovaque llona Vostova (à peine 15 ans), Stipancic et Vecko (18 ans), Jitka Karlikova et Marta Luzova (respectivement 16 et 17 ans).

Cet article, le seul du genre, nous devions l'insérer au même titre que les autres. 1! présente pour nous un argument de poids, il est le reflet crue! du moral de l'Equipe de France de ces derniers mois et dès lors, nous pou vons bénir le ciel de nous avoir ac

corder une très honorable 13° place. G. D.

à Alser et à johansson. Au-dessus

du lot les premiers jours, les deux

Suédois — trop confiants — se firent mystifier dans l'épreuve individuelle par le Hongrois Borzsei et par le Yougoslave Surbek, deux jeunes aux dents longues et surtout plus com batifs. Le double fut une nouvelle dé

sillusion pour les « professionnels » suédois.

Naturellement, la Yougoslavie et la Tchécoslovaquie suivent de très près et peuvent — si leur politique de jeunesse est poursuivie — dépasser l'U.R.S.S. et la Suède (Alser doit prendre sa retraite) très prochaine ment.

La cinquième place échoit à la Hongrie, quatrième nation de l'Est de ce classement I Malgré la régression de sa vedette féminine Koczian (le

Lyon fut enfin placé sous le signe de la révolution. Partout on attendait

poids des ans ne pardonne plus), les Magyars tinrent un rôle plus qu'hono rable avec trois garçons de réelle valeur ; Jonyer, Beleznai et Borzsei.

De ces cinq grands, l'Angleterre (très homogène), l'Allemagne de l'Ouest (dont on attendait mieux) et

ils

la Roumanie ne sont guère éloignées.

avaient eu auparavant plus qu'une

Ce qui n'est pas le cas de la Fran ce, à qui — au mieux — on ne pour rait accorder que la douzième place. Il est grand temps qu'un véritable technicien s'occupe de nos pongistes.

Mais

consolation. Alser et Johansson s'é-

tant imposés dans l'épreuve par équi pes.

Les deux grandes révélations de ces joutes européennes — parfaite ment organisées dans la capitale rho danienne — furent sans conteste, la

Yougoslavie (chez les messieurs : deux titres en simple et en double, une troisième place en équipes) et la Tchécoslovaqie grâce à sa jeune triplette féminine. ses

résultats

(elle est présente partout), l'URSS occupe néanmoins le premier rang en Europe. Il n'empêche que les poulains au célèbre coach Ivanov ont déçu les observateurs. Tous pensaient que 1968

serait

une

TENNIS DE TABLE 1.

U.R.S.S

5 pts

2. 3. 4.

Suède Yougoslavie Tchécoslovaquie

4 pts 3 pts 2 pts

5.

Hongrie 1 pt CLASSEMENT GENERAL (1) 1'. U.R.S.S., 44 pts : 2. Tchécoslova-

Sur l'ensemble de

année

qu'aux derniers tours,

bles.

14

Le critère unique, au moment d'é tablir le classement européen 1968 en tennis de table, c'est Lyon où en

éliminés en demi-finales.

N.D.L.R.

ternationaux

quand même...

les Soviétiques et les Suédois. Les premiers n'obtinrent qu'un titre de consolation ; le mixte. Les seconds, archifavoris pour les titres du sim ple et du double messieurs, furent

la Coupe de France. ?

—MM

I :&] Podium Intemations bercer

naissent ni les résultats antérieurs ni

surtout le degré de préparation et les possibilités physiques de leurs joueurs. De plus, on na pas su préparer les deux joueuses qui nous intéressent. Si toutes deux étaient en excellente condition phy sique, l'une Martine était beaucoup plus en avance au point de vue technique, sa super-forme championnat de France

a——

russe.

Jus

les garçons

(surtout Amelin) et les filles (Rudnova paraissait intouchable) firent gran

de impression, mais toutes les fina les tournèrent à leur confusion. A ces

champions, il manquait des nerfs d'a cier.

La Suède, inexistante chez les fé minines, a rempli son contrat grâce

qui, 23 pts ; 3. Allemagne de l'Ouest,

Yougoslavie, 22 pts ; 5. Italie, 2 Opts ; 6. France, 19 pts ; 7. Grande-Bretagne, 17 pts ; 8. Allemagne de l'Est, Autri che, 16 pts ; 10. Suède. 13 pts ; 11. Roumanie. 12 pts ; 12. Norvège, Hol lande, 10 pts ; 14. Espagne, Pologne, 9 pts : 14. Espagne, Pologne 9 pts ; 16. Hongrie, 7 pts ; 17. Bulgare. 6 pts : 18. Suisse, 5 pts ; 19. Portugal, Finlande. 4 pts ; 21. Belgique, 3 pts. (1) Après quatorze sports : rugby, football, judo, ski, alpin, ski nordique, patinage de vitesse et artistique, luge,

bobsleigh, hockey sur glace, handball, hockey sur gazon, basket, ces deux derniers sports sous réserves de modi fications après Mexico) et tennis de table.


LE CRITERIUM NATIONAL DES MOINS DE 15 ANS UNE ORGANISATION

F.F.T.T.

UN PATRONAGE DES

Ets DONNAY AUX ORGANISATEURS DES ELIMINATOIRES LOCALES

DU 25 OCTOBRE 1968 AU 15 JANVIER 1969

Sur le succès encourageant remporté ces trois dernières saisons et faisant fi des. soucis de dernière heure dus aux événements de l'année, la FEDERATION FRANÇAISE DE TENNIS DE TABLE et son président Georges DUCLOS ont décidé de reprendre à leur compte l'organisation du CRITERIUM DE FRANCE DES MOINS DE 15 ANS pour

1968-69, sous le patronage reconduit des Ets DONNAY et avec le concours renouvelé sans réserve de i'A.S.S.U.. de la F.S.C.F., de la F.S.G.T., de l'U.F.O.L.E.P., de l'U.G.S.E.L et de i'U.S.T. Vous recevrez le règlement de l'épreuve, des affiches et tableaux qui vous permettront d'organiser vous-même les éliminatoires locales, premier stade de l'organisation, le plus important aussi ! Lisez attentivement tous ces documents et tout particulièrement l'article 6 du règlement, le seul qui compte dans l'immédiat si les autres prévoient ce qui se passera après jusque et y compris l'apothéose nationale déjà fixée le dimanche 18 mai à SALBRiS, dans le Loir-et-Cher (lieu centrai et facilement accessible par S.N.C.F. ou la route). Le Critérium de France des moins de 15 ans, s'il s'est allégé de quelques servitudes (réinscription et bulletin col

lectif supprimés, etc...) est demeuré fidèle à son Idéal de propagande, donc de MASSE. Et s'il ne porte aucune ex clusive à rencontre de quiconque né en 1954 et après, il continue de donner à chacun sa chance par le jeu des inté

grations successives qui interdit notamment aux joueurs classés (y compris des Fédérations affinitaires) ou ayant déjà été qualifiés à un stade déterminé des éditions précédentes, fut-il simplement départemental, de participer aux élimina toires locales.

Fidèle à son idéal, le Critérium de France des moins de 15 ans continue de ne requérir ni licence, ni certificat

médical, ni assurance particulière (une assurance collective est souscrite par la F.F.T.T.), ni spécialisation ou valeur sportive précise...

,

Il Ignore l'élimination directe (cette hantise des débutants !)... par ses éliminatoires locales. Il s'adresse à des concurrents n'ayant ni classement ni antériorité dans l'épreuve... Il demeure la MANIFESTATION-TYPE DE PROPAGANDE qui ne s'attache pas à une élite mais à la MASSE des

garçons et filles nés en 1954 et après, de quelque société, groupement ou école que ce soit. Individuellement même libres de s'engager n'Importe où et à n'Importe quel moment de la période d'Inscription fixée cette année du 25 oc tobre au 31 décembre.

Parlez-en autour de vous, jouez le jeu crânement avec et par les jeunes, VOUS NE LE REGRETTEREZ PAS...

sans oublier que le responsable fédéral Jean DEVYS tout comme les responsables des Ligues de la F.F.T.T.

(adresses au dos des feuilles de matches) restent à votre disposition pour tous renseignements dont vous pourriez avoir besoin, et, bien sûr, tout envoi complémentaire de feuilles de matches... Pour le Comité Organisateur Jean DEVYS

OU

COURENT-ILS ? Faites comme eux

Ils vont s'engager au CRITERIUM DES MOINS DE 15 ANS

15

nfliillhli I


Elles devront adresser pour le 20 No vembre dernier délai, la liste de leurs

DIRIGEANTS

délégués au collège électoral avec en regard du nom de chaque titulaire celui de son suppléant. IV - Conseil consultatif

Il est prévu le 8 décembre à partir de

programme envisagé pour ies 4 années

à venir. L'assemblée générale doit pro céder, aussi en application de l'article 16 des statuts, à l'élection des 2 mem

bres qui assistent le Président de la li gue pour former le collège électoral de la fédération, ainsi qu'à celle de leurs 3 supplétants respectifs.

14 h. 30, au même lieu que l'assemblée

générale de la Fédération, une réunion

III.

du nouveau conseil consultatif, dans les

Votes

CIRCULAIRE A MESSIEURS LES

pour objet principal l'élection du secré

Les associations disposant (aux jours des élections de leur ligue et de la Fé dération) des voix correspondant au nombre de leurs pratiquants licenciés

PRESIDENTS, SECRETAIRES ET

taire et des deux autres membres du

au 30 juin 1968.

bureau permanent et la fixation des prin cipaux problèmes à étudier. Les ligues voudront bien adresser, pour le 20 No

Pour les élections de l'échelon ligue, les associations seront représentées par

vembre au plus tard les noms de leurs

conformément aux articles 84 à 87 du présentant par pouvoir ou procuration

conditions des articles 9 à 11 du règle ment intérieur de la Fédération, avec

TRESORIERS DES LIGUES REGIONALES N° 5

élections pour l'application des disposi tions de l'arrêté du 19 juin 1967 du Mi

deux délégués (un titulaire, un suppléant) qui seront à élire dans les conditions fi xées à l'article 52 du règlement inté

nistre de la Jeunesse et des Sports.

rieur de la fédération.

Les ligues régionales ont reçu avant les vacances, copies des nouveaux sta tuts et du règlement intérieurs de la Fé

V — Nouveau Comité de Direction de

Tenue des Assemblées Générales et

dération ainsi que les modèles de sta tuts de ligues régionales et de comités départementaux, appuyés de notes d'o rientation à l'intention des Pré.sidents de

ligues. Le but de la présente circulaire est de préciser certains détails pratiqués pour l'organisation des prochaines as

la Fédération.

Celui-ci se réunira au cours de l'as

semblée générale immédiatement après les élections de ses 24 membres en vue

de proposer le nom de son candidat à la présidence de la fédération. De plus il se réunira à l'issue de la séance du conseil consultatif de l'après-midi en vue

leur Président en exercice ou son re-

règlement intérieur de la Fédération. IV — Nouveau comité de direction de

la ligue. Celui-ci se réunira au cours de l'as

semblée général en vue de désigner les membres du bureau de la ligue, les res ponsables des commissions et les deux délégués de la ligue (un titulaire et un suppléant) au conseil consultatif de la Fédération, ces derniers selon ies dis

positions de l'article 52 du règlement in térieur de la Fédération.

de désigner les membres du bureau et TITRE III

les responsables des commissions.

semblées générales des ligues et de la

Autres dispositions

VI. — Remboursement des frais.

Fédération. TITRE I

^Assemblée générale do la Fédération I. - Conformément aux statuts approuvés

le 5 Mai 1968, l'assemblée générale de la fédération aura lieu le dimanche 8 dé cembre 1968 à Paris à 8 h. 45 (lieu à

préciser). En application de l'article 35 des statuts, les candidatures devront être adressées par écrit au Président de

la F.F.T.T. au siège de celle-ci au plus tard le 16 Novembre à minuit.

La fédération octroiera aux délégués des ligues participant à l'assemblée gé nérale du 8 décembre une indemnité

La clôture des engagements pour le critérium national féminin (équipes de 2

correspondant à la valeur S.N.C.F. 1ère classe du lieu du siège de leur ligue à

joueuses) est irrévocablement fixée au bien en aviser les associations intéres

VII — Disposition diverses. Il est envisagé d'organiser le 8 dé cembre à 12 h. 30 un déjeuner amical en commun à proximité du lieu de la réunion. Des précisions seront données lors de la circulaire de convocation.

sées.

L'ordre du jour de l'assemblée géné

TITRE II

Assemblée Générale des Ligues

exposé du Président de la Fédération suivi d'un exposé du Directeur National

I. — Calendrier

Technique du Tennis de Table et des élections pour 4 ans des 24 membres

à l'adoption de leurs nouveaux statuts.

du Comité de Direction et du Président de la Fédération.

La plupart des ligues ont déjà procédé

Les ligues n'ayant pas encore rempli cette obligation devront prévoir une as

III — Votes

semblée générale à cet effet qui devra

Les associations disposant (aux jours des élections de leur ligue et de la fédération) des voix correspondant au

se tenir obligatoirement avant l'assem blée générale au cours de laquelle sera

nombre de leurs pratiquants licenciés au 30 juin 1968.

rection de la ligue.

Pour les élections au Comité de la Fé

dération, les 3 délégués de chaque ligue disposeront chacun du tiers des voix. Les voix supplémentaires éventuelles se ront attribuées la première au Président de la Ligue (ou à son suppléant), la se conde au plus âgé des délégués pré sents.

Pour permettre le contrôle des voix attribuées aux différentes ligues, cellesci devront adresser au plus tard pour

15 octobre 1968. Les ligues voudront

PARIS.

II .. Ordre du jour

rale de la Fédération comprendra : un

I. — Commission Fédérale Féminine.

élu pour 4 ans le nouveau comité de di Cette dernière assemblée devra se tenir au plus tard le 17 novembre 1968.

En application de l'article 64 du règle ment intérieur de la fédération les can

didatures doivent être adressées au Pré sident de la ligue trois semaines avant

la date prévue par l'assemblée générale. II. — Ordre du jour. L'ordre du jour de l'assemblée géné rale des ligues doit comprendre obliga

II. — Nouveaux statuts des associations

Il est rappelé que

les

associations

sportives doivent elles aussi mettre leurs statuts en conformité avec les disposi tions de l'arrêté du Ministre des Sports.

Il est adressé, ci-joint, à titre de docu mentation, aux secréaires des ligues deux exemplaires des nouveaux statuts types que les associations peuvent se procurer aux services régionaux ou dé

partementaux de la Jeunesse et des Sports. Paris, le 10 septembre 1968. Le Secrétaire Général Jean MERCIER

L'équipe nationale de la Fédération Péruvienne qui doit prendre part aux prochains Championnats du Monde qui auront lieu à Munich du 17 au 27 avril 1969 serait heureuse de se pro duire en France avant ou après les épreuves mondiales.

L'équipe du PEROU comprend en tre autres Luis LEGARDA, triple champion sud-américain et Gladis

MORIYAMA, championne d'Amérique du Sud.

le 15 Novembre au secrétariat fédéral la liste de leurs associations avec mention

toirement les élections pour 4 ans de la totalité des membres du comité de di rection et de celle du Président de la

priés de prendre contact le plus ra pidement possible avec le secréta

du nombre de leurs licenciés, au 30 Juin

ligue. Il serait souhaitable qu'il com

riat fédéral.

1968.

prenne un exposé du Président sur le

16

Les organisateurs éventuels sont


Pas d'Elite Sportive sans développement de la Masse Pour qui sort des limites du club, du district, voire môme de la Ligue et abor

çant dans certains cas. le « coup de pouce » familial). Deux heures par jour

de les rencontres à l'échelon national et international, un problème se pose :

consacrées à l'entraînement sportif, deux

l'entraînement de la masse qui force l'é

tion au travail scolaire et l'emploi du

heures par semaine pour une coopéra

lite à lutter.

temps officiel du professeur se trouvait

On a souri devant la dénomination des « étudiants » américains, ou des «sol

général donnés à sa classe (ou à d'au

complété par des cours d'enseignement

dats-gradés ■> des pays de l'Est, mais dans ces dénominations n'aurait-il pas fallut y voir uniquement un regroupement

des sportifs et essayer en France de lancer une politique semblable pour nos

jeunes, ? Pour les étudiants, un effort est consenti avec l'ouverture du Lycée

climatique de Font-Romeu, pour les gens ne disposant que de courtes vacances,

le Centre International de Vichy accueille les stagiaires, enfin pour tous existe l'Institut National des Sports à Paris. Mais actuellement ces trois centres ne

son': ouverts qu'aux sportifs confirmés, à notre élite. Il y a donc déjà là un im mense progrès et, en particulier, à TINS, reconnaissons que les sportifs admis peuvent se préparer pour les grandes compétitions tout en assurant leur avenir (et ils sont libérés de tout souci matériel). I! sera d'ailleurs fort In téressant de revenir sur la carrière non-

sportive de ces athlètes.

Mais revenons plutôt au problème de la masse qui nous permettra de sortir d'ici quelques années, des sportifs à

tres). Voilà pour le maître.

mise en place de ce projet, seuls les élèves de sixième (garçons et filles) se mission en sixièmes des enfants feraient

des demandes pour le Lycée (le plus

vraient conserver l'initiative du mouve

proche) avec internat affecté à leur sport. Les élèves suivraient l'enseigne ment général normal de leur section, les deux heures quotid'ennes réservées à

ment et surtout ne crions pas à l'impos sible. Reconnaissons qu'actuellement le

leur discipline sportive seraient prises

tain égoïsme. Les responsables de clubs

sur des heures affectées au dessin, tra

hésitent à discuter des méthodes possi bles d'entraînement, celles qui ont por té leurs fruits, aussi de grâce, mettons tout en commun et c'est le sport en gé néral qui en sera le bénéficiaire. Jacques MORICEAU

les USER, les clubs au moment de l'ad

vail manuel, musique, histoire et géogra

phie (sans pour autant rayer totalement ces matières de l'enseignement des spor tifs). Les deux heures dites de coopéra tion scolaire pourraient être prises sur le nombre d'élèves admis sera limité. Mais ce n'est pas un inconvénient, étant

donné le peu de frais, les classes pour raient être multipliées dans une région. Dans certains établissements. Il n'y au

raient absorbés en enseignement géné

ral par les classes existantes, le chef

teurs. l.e Lycée climatique de Font-Romeu s'adresse, malgré tout, à une élite et surtout ne peut absorber tous les pos tulants. De plus pour certains, la situa tion géographique peut être un empêche

temps permettant de libérer quotidienne ment les jeunes de la section sportive.

Par région, ligue (même district) sui

Les années

suivantes,

En gros, ce proiet reviendrait à un supplément de 10 heures de cours par semaine à supporter sur le budget « per sonnel enseignant = et à l'octroi de bour ses d'internat (là où des bourses d'ex

couleurs. Fini, le temps, où chaque res

ces élèves.

ponsable, accomode on secret sa petite

de

moniteurs

et

d'entraîneurs

donné que ce projet ne veut entraîner qu'un supplément budgétaire minime, il serait donc préférable que la création de ce poste fou sa translation sur la carte scolaire) apporte l'emploi à temps com

plet d'un maître. Enfin cet enseignant chargé d'un sport pourrait surveiller le travail scolaire de ces élèves (rempla

obligations

I Ecrire avec références à :

militaires.

Gérard

, URBAIN BP 39 - 03-MOULINS.

PONGISTES

J

la terminale).

chargerait do la formation sportive de

nationaux non enseignants ne sont pas encore assez nombreux ; ensuite étant

I ptable libéré

l'enseignement

suivrait le cycle normal (Sème jusqu'à

ternat auraient été attribuées). Maïs qve

nombre

Club 3ème Division offre emploi

[ à classé 2 ème série profession com-

d'établissement prévovant un omplo: du

mandes, ne serait-il pas possible d'affec ter un lycée à un sport, en tenant com pte des installations sportives existan tes en cette ville. Un professeur de l'établissement (en place ou ayant pos tulé) possédant les qualités techniques d'entraîneur pour le sport implanté se

Pourquoi choisir un enseignant ? Les raisons en sont multiples, la première, le

tain isolement, disons même d'un cer

qu'une telle expérience réussisse que

national. Dans ces propos, nous ne pen serons, évidemment, qu'aux sports ama

vant le nombre de licenciés et de de

sport en France souffre trop d'un cer

les heures d'étude. Il va de soi pour

plus fournie obligée de lutter sur le plan

n'est pas suffisant.

matérielle qu'ils peuvent apporter. Con tact direct danc avec ces services, mais aussi avec les Chefs des Etablissements

possibles. Dans cette hypothèse d'action « loca lisée >, les districts, les Ligues de

raient intéressés. Les écoles primaires,

l'échelon international, d'avoir une élite

raisons d'exister, mais pour la masse ce

rait le feu vert. Mais dans l'immédiat, ne serait-il pas plus rapide aux sports intéressés et à leurs représentants de s'adresser aux services départementaux de la Jeunesse et des Sports, dont on

ignore trop souvent l'aide technique et

LES ELEVES ? La première année de

rait même pas de création de classe supplémentaire, les élèves-sportifs se

ment. Font Romeu a ses nombreuses

Comment réaliser un tel projet ? Les

fédérations pourraient formuler une de mande près du Ministère de la Jeunesse et des Sports qui après enquête donne

de porfits pourrait-on en titrer ? LA VIE DES CLUBS - Les clubs en

seraient les grands bénéficiaires. Leurs

jeunes joueurs, utilisés auraient la fa culté de jouer le dimanche sous leurs recette pour l'entraînement. Cet entraî nement pourrait être planifié, les ensei

gnants ont chaque année des conféren ces pédagogiques et s'abonnent à une documentation pédagogique.

JOUER ? Le Dimanche 1er décembre 1968, l'U nion Sportive de Ménival (Lyon) organi se au gymnase de Ménival, sur 11 ta bles, son quatrième tournoi national avec de nombreux prix et coupes d'une va

leur de 2.000 francs (1 réfrigérateur en messieurs nationaux) 16 prix dans cha que série. Tableaux : A. Messieurs non classés ; B. Messieurs quatrième série ; C. Da mes non classées et 4ème série ; D. Dames toutes séries ; E. Messieurs

tou

tre sous presse une documentation oui

tes séries ; F. Jeunes (Garçons et filles nés après le 30-6-51) Quatre challenges à remettre en jeu et 6 coupes individuelles définitives se ront en compétition. Pour tous renseignements et inscrip

fait encore défaut ou qui manque d'unlfi-

tions sadresser à :

Les « maîtres sportifs » pourraient être convoqués à des réunions oédago-

giques et leur fédération n'hésiteraient pas pour un meilleur rendement à met fication, parce que trop soumise à une question commerciale).

M. Pierre NIETO, 10, avenue de Mé nival - Bt 4B, Lyon 5L 17


enfin la Table T.A.

1

SUPER-COMPETITION

CMz

Attendiez

RAPIDE, PRÉCISE. SOLIDE, STABLE, MANIABLE, tous les éléments interchangeables

— ALEX **• Le cliché ci-dessus. Plateau de 21 m/m et ceintures sont en Lamellé 17 Plis en Bouleau de Finlande TRIPLEX. Gousset d'angle de renforcement en multiplie de 10 mm. — Empiétement 8 Pieds Acajou de 70 x 70

— Console rigide Acajou de 50 x 28 en triangulation donnant quatre points fixes supplémentaires au centre du plateau, assurant une meilleure uniformité du rebond de la balle. L'articulation des pieds et des consoles

est assuré par axes de diamètre 8 mm et entretoise tabulaire. — Fermeture automatique des pieds repliés. — Emplacements Inférieurs des poteaux de filet renforcé par des pla quettes en fibre de verre encastrées de 2 mm. d'épaisseur. Peinture, fonds spéciaux Incraquelables, Anti-choc. Voir détails de montage sur schéma -y

T.

Après les Championnats de France à Tours 1965, la Nouvelle Table T.A.S. a joué les Championnats de France 1966 des Cheminots à Nice, les Championnats de France F.S.F. 1966 à Evreux, et enfin les champion nats de France INTERNATIONAUX à COUBERTIN.

A.

ALEX" Plateau de 19 mm et ceintures sont en lamellé 17 plis, en Bouleau de Finlande TRIPLEX. Gousset d'angle de renforcement multiplls de 10 mm. Empiétement 8 pieds métalliques en tube carré de 30 x 30. Peinture, fonds spéciaux Incraquelables, Antl-Choo. Même montage que la table Alex *** ALEX *

Plateau de 16 mm. et ceintures sont en lamellé 17 plis, en bouleau de Finlande TRIPLEX. Gousset d'angle de renforcement en multiplls de 10 mm Même montage que la table Alex ** mais 4 consoles au lieu de 8. Cette

table est conçue spécialement pour jouer en extérieur car le panneau a subi un traitement qui lui permet de supporter les intempéries. Peinture, fonds spéciaux incraquelables, Antl-Choc.

S. S

98,

rue

J.-M.

Na u dl n

92 - BAGNEUX 1253-34-35 - R. G. Seine 60 A 582


ENCOMBREMENT —/S2JL,

Schéma détaillé

du montage de la Table

T.A.S.

B)lcLiJ:ohU. 125 kg

TOUS l£S POINTS CRITIQUE5

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2,5 cm

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jd^ns i-ube <Je 53$ 9^U

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illes

dtSi.

de

pThre de Verre c/es St/ûaorAr ■ A/e/

Importante ôurPàce oEâ^rpu)


A. S. MESSINE PARIS, A.S.P.T.T. TOULOUSE ET LE STADE FRANÇAIS ELIMINES EN COUPE D'EUROPE DES VILLES DE FOIRE

MEIDERICHER T.T.C. 47 DUlSBURG bat as messine paris PAR 5 A 4 SCHATER bal AMOURETT!, 9. 12 ;

bat CAUSSIN 12, 15 ; perd SECRETIN

signer le meilleur parmi SCHAEFFER POLL et SCHOLLS, bien qu'officielle

temental.

Fédérale.

Monsieur le Maire du Sème nous avait fait i'honneur de se faire représenter et Monsieur le Maire de Rueii avait tenu à

8, 13.

Nous restons persuadés qu'AMOU-

POLL bat CAUSSIN, -24, 22, 18 ; bat

RETTI et CAUSSIN ne leur cédaient en'

AMOURETII, 15. 17 ; perd SECRETIN',

rien mais ils nous ont paru moins volon-?

14, 18.

taires et surtout moins concentrés. En

SCHOLZ bat CAUSSIN, 16, 17 : perd AMOURETTI, -15, 12, 20 ; perd SECRE TIN, -19, 10, 14.

Vers 6 h. 30 ce samedi 7 septembre, débarquait à la gare du Nord. Messieurs Antony MAGNE et

tendons par là que nos joueurs nous pa-» raissaient attacher de l'Importance à des éléments extérieurs que les allemands semblaient ignorer.

I équipe de Duisbourg Medericher TTC VAULTIER

l'atten

daient de pied ferme.' C'était le prélude, à une très belle

journée pongiste. Petite surprise désa gréable pour les supporters de l'A.S. Messine, l'équipe allemande avait profité du recul de la rencontre pour se renfor cer utilement. Les dirigeants de Messine décidèrent de ne poser aucune réclama tion ainsi le veut la tradition A.S.M. Et

dire que la veille le président de la li gue de l'Ile de France s'inquiétait de no tre qualification I

Une matinée touristiquement bien rem plie, après-midi consacré au bain et au repas tandis que le personnel du stade

du ^ Vert-Bois mettait la dernière main à l'installation de la salle.

Tribunes, dispositifs de marque, panl'A.S. Messine n'avait jamais été à pareil neaux d'encadrement, etc... l'équipe de

fête. Des spécialistes éclairagistes véri fiaient le dispositif d'éclairage expéri

Il y aurait peut-être là matière à ré

flexion. Une autre remarque. Pourquoi les joueurs de l'A.S. Messine ne voulu rent-ils pas essayer la table du match avant la rencontre et se contentèrent-ils de la table annexe ? Par politesses à l'égard des Allemands certes. Mais c'est

un

hasard si les trois joueurs de

Messine eurent un départ » encatastrophe » ? Jacques lui-même nétait-il pas mené 10-2 ?

Jacques SECRETIN devait se repren dre très vite et dominer les joueurs al et ne devrait pas être loin des meilleurs européens pour peu que l'occasion de les cotoyer lui soit donnée plus sou vent.

Guy AMOURETTI fut constamment la

La question était de savoir

si

un

éclairage d'appoint était nécessaire. La réponse ? C'est Jacques SECRETIN, le champion de France qui devait la don

ner. « Tel que, l'éclairage est parfait : aucun trou de lumière, aucun reflet pa rasite, aucun éblouissement et une puis sance largement suffisante. La perfection si elle existe ».

La bataille technique était gagnée. La bataille sportive ne le fût pas. Composée de 3 joueurs dits de classe A, l'équipe allemande était d'une homo

généité parfaite. Il est impossible de dé20

que l'ancien champion de France Char les Dubouillé.

Ils étaient presque 150 sur la petite estrade et ils déclarèrent avoir assister

à un spectacle trop court. Pourtant il y avait 9 matches. li est vrai qu'il y eu de

bien belles phases de jeu et aussi... du suspense.

En résumé, une très bonne soirée pour le tennis de table.

Un marqueur

En

1/16° de finale

de

la

Coupe

c Europe des Villes de Foire TA.S.P.T.T. Toulouse recevait l'O.M.V. Wien. Après avoir donné une leçon de haute qualité

que nous avons tant admiré que lorsau'il

raison de la résistance toulousaine, qui

se résigne à jouer... à la AMOURETTI.

manquait d'entraînement. Et c'est dom mage, car LEFEBVRE, AZAIS, PHUNG

Sa victoire sur le n" 1 de l'équipe al lemande en fut la récompense. Héritant

du match décisif (4-4) il manaua de pa

tres sportifs.

rable (mais officielle) trop proche des vacances. Beaucoup de joueurs avalent tenu à nous apporter leurs encourage ments. Citons Mademoiselle Le Bras l'actuelle championne de France, ainsi

aux jeunes espoirs de la région MidiPyrénées, les valeureux Viennois ont eu

tience notamment au cours du second-

pongistes sont évidemment plus diffi ciles encore sur la qualité de l'éclaira ge et son intensité que beaucoup d'au

coup plus nombreux que Ton pouvait craindre en raison de la date peu favo

provoque lui-même et ne redevient celui

victime des accélérations de Jeu qu'ili

mental dont on présente les caractéris

ficile à travers cette rencontre car les

nous faire part de son empêchement d'ê tre des nôtres. Et le public ? Il vint beau

lemands dont on a dit la qualité. Le champion de France est impressionnant

tiques par ailleurs.

Ce dispositif passait un examen dif

internationale pour notre comité dépar

ment POLL soit numéro 9 en Allemagne

set. Profitons de l'occasion pour nous élever contre cette absurde publicité faite autour de l'attaque à outrance. Cela tend à « complexer » les malheureux dé fenseurs qui d'aucun voudrait faire hon

te. Un shop bien exécuté (et Guyestorfèvre en la matière) est encore le meil leur antidote du too spin qu'ont ait trou

vé et défendre n'a jamais déshonoré per

valaient mieux que les résultats ne le laissent paraître. Mais la loi du sport est là. Bravo donc pour les Autrichiens que les Toulousains remercient de leur gentillesse et de leur sportivité. J. DURAND

Les résultats : OM Wien bat ASPTT

Toulouse par 5 à 0 — Zinke bat Azais 8, 14 ; Tupy bat Phung 18, 11 ; Eckel bat Lefebvre -10, 13, 11 ; Tupy bat

Azais 10, 1» : Zinke bat Lefebvre 15, 15.

sonne.

Guv CAUSSIN ne fut lui-même que lors de son match. Hélas, il se laisse dé concentrer par les moindres péripéties du ieu, c'est peut-être là le secret de ce joueur doué jusqu'à l'insolence.

La rencontre fut dirigée par Monsieur GATIGNOL qui trouva sans peine les. bonnes volontés nécessaires fMerci Ma

dame FAGNON. Monsieur COGUERET) et présidée par Monsieur GUIARD prési dent du comité de Paris. Une première

DOUNAF ROUSSE BAT

STADE FRANÇAIS par 5 à 1

NIKOVA bal CHEREAU, 4, 20 ; bat NAV ROBAYS, 13, 16.

KRISTOVA bat BONNETON, 8, 11 j bat CHEREAU 12, 8.

DAMIANOVA bat BONNETON, -21 11 14, perd VAN ROBAYS, 17, 14.


OiSpqS/l/oit . nnstàiistion

Principe du lumineire 1B.SO

g.,-.

FICHE TECHNIQUE RELATIVE AUX INSTALLATIONS D'ECLAIRAGE DU COURT COUVERT DE TENNIS AU STADE DU « VERT BOIS » A RUEIL Lampes fluorescentes à double flux dr 1,'50 m, 120 watts, à starter,

RêLEVÈ CES éCCA/nSMEf^rS {Mftho<it des t3 points j

S là mise \ température de couleur 4500° K. Flux lumineux unitaire 7500 lumens. 5*rv»c« ) Luminaire en tôle d'acier émailiée blanc comprenant 6 lampes fluo*0 fi-Se J rescentes. réflecteure en aluminium traité, vasque de fermeture en

('V

méthacrylate.

Appareillage d'alimentation, situés à l'extérieur du luminaire afin

—I

d'alléger ceux-ci et faciliter la ventilation des ballasts. Nombre total de luminaires : 40 Puissance totale Installée : 36 Kw.

^3^

(i3|

Nombre d'allumages : deux circuits permettent le fonctionnement, soit à pleine puissance, soit à demi-puissance. La répartition des

lampes sur les circuits est telle que celles qui sont en service, for ment toujours une ligne continue de lumière. Cette disposition permet

}lO20|

d'éviter l'alternance d'ombre et de lumière au niveau des luminaires

qui se serait produite si l'éclairage réduit consistait à éteindre un

Hoool/

luminaire sur deux.

(3ù lîogol

Faux plafond, en matériau blanc, in sonore et réfléchissant la lumière Murs, de teinte ivoire. Toutefois. sur une hauteur de 4.00 m, au fond des courts sur une hauteur de 3,00, m sur les murs latéraux

\

qI

une teinte vert moyen

permet d'assurer un bon contraste pour la vision des balles

rapidesl

Eclairement moyo.i : 103/ Lux.

nota - Pour supprimer l'effet stroboscopique. les lampes voisines sont alimentées successivement par les 3 phases du réseau. 21


LE r FESTIVAL MONDIAL DE LA JEUNESSE " .jt

ET DES ETUDIANTS... (28 JUILLET AU 6 AOUT 1968)

^iSliii vu par J. SECRETIN sent la soirée, jusqu'à une heure avan

attend à Pleven, à 150 km de Sofia. En

les Françaises, grâce à leur élimination au premier tour par l'équipe russe (ga gnante finale) montent sur le podium, à la 5ème place... sur 8 équipes. En Dou

gare de Pieven, nouvelles fleurs, nou velles embrassades. Douze pays sont

ble-Messieurs, Cordier at moi termi nons 7ème sur 16 équipes, après avoir

cée de la nuit.

Mais la petite baile de celluloïd nous

représentés en Tennis de Table : Alle magne de l'Est, Bulgarie, Corée, France

Grèce, Honrie, Italie Japon Roumanie,

Tchécoslovaquie, U.R.S.S., Yougoslavie. Que dire des joueurs ? Borzsei, Ameline, Giurgiuca me confient qu'iis sont saturés de compétition. Mais les Co

réens ne s en laissent pas conter et, après la cérémonie d'ouverture et les

C'est en compagnie de G. Dufour, C. Lemazuriei', J.C. Mollet et M. Baumer, tous représentant !a F.S.G.T., que M. Cordier et mol-même, représentant la F.F.T.T., ainsi qu'une cinquantaine d'au tres jeunes sportifs, décollons du Bourget. Après trois heures et demie de vo yage sans histoire, nous atterrissons par un merveilleux soleil à l'aéroport de So fia, capitale de la Bulgarie. Dès la sortie, des fleurs et des embrassades nous ac

me j'élimine un jeune Bulgare, au grand

cueillent, assorties d'un petit discours de bienvenue bulgare, traduit ensuite en français.

regret des nombreux spectateurs. En huitième de finale. Mollet se « casse la

Nous sommes logés au « Village Fes tival », prévu pour recevoir les 20.000 jeunes des 138 pays participants. 700 Français débarquent le lendemain de leur train spécial... arrivée très remar quée. L'après-midi, une impressionnan te file da cars nous emmène dans le

discours, nous les trouvons les premiers sur ies tables.

la fermeture du Festival. Nous assistons

dier, manquant de confiance et de jam bes, se fait éliminer r3-0) par un Bulgare

cette fois à de nombreux discours, sui vis de danses folkloriques et pour cou

inconnu, mais plein da fougue. Moi-mê

ronner le tout, à un merveilleux feu d'ar tifice.

tête » sur le Champion de Bulgarie. Quant à moi, je me « casse ie bras »

sur un Borzsei nonchalent que je sur

prends au 2ème set (21-10), mais qui me bat néanmoins par 3-1, me barrant ainsi la route des Quarts de finale. Ah I si j'avais un peu plus confiance en mon

coup droit... ou plutôt, gauche ! Les quarts de finale se déroulent en deux poules de quatre. Dans l'une nous trouvons Amelin, Beleznai et deux Co

sous les acclamations d'une foule dense

réens ; dans l'autre Borzsei, Giurgiuca,

et amicale. Il faut dire que nous. Fran çais, sommes particulièrement applaudis, au grand émoi de Rc'jin, Champion du

deux défaites honorables (2-1) devant les Coréens, au grand dam du public

Nous arrivons dans un stade affichant

• complet >, parmi quelque 80.000 per sonnes. Un silence presque insupporta ble suit l'arrivée du porteur du Flam beau, Champion olympique de lutte. Lorsque la flamme s'élève de la vasque, c'est comme une bombe humaine qui éclate dans le Stade : le Sème Festival Mondial de la Jeunesse est ouvert. Ce sont alors des mouvements d'ensemble

d'une indescriptible beauté qui compo22

A part les Coréens, qui firent une fi nale passable, les meilleures joueurs en présence accusaient une certaine fatigue et jouaient plus « décontractés > que d'habitude. Pendant ies jours de compé tition, les matinées étaient consacrées aux visites touristiques et cuiturelles.

Nous sommes 32 joueurs au total. Les premiers tours éliminatoires sont sans surprises... une pourtant : Mollet bat un Japonais, à sa grande confusion I Cor

centre de Sofia pour le défilé. Après une mise en place un peu longue, nous commençons une marche triomphale

Monde de lutte, de Fouletier, Champion de France d'haltérophilie, des gymnas tes, volleyeurs ot volleyeuses de l'ENSEP... et des pongistes naturellement.

manqué de peu la 3ème place. En effet, nous perdons en quart de finale devant le Champion de Bulgarie associé au 2ème Coréen, après avoir mené 2-0, nos adversaires perdant ensuite devant les vainqueurs de la finale ; Giurgiuca-Réti.

Nous retournons ensuite à Sofia pour

Le voyage de retour par avion fut un peu pius mouvementé qu'à l'aller et, en arrivant à Paris où le ciel était gris, nous éprouvions un peu de nostalgie après ces belles journées d'amitié Inter nationale.

Merci à la Fédération Française de

Tennis de Table de nous avoir permis de les vivre, car nous ne sommes pas prêts d'oublier le 9èmeFestival Mondial de la Jeunesse.

un Bulgare et un Coréen. Amelin subit

dont il est « l'enfant chéri ». Borzsei ne se bat pas, sauf à la fin devant Amelin qu'il bat 3-2.

Les deux premières places sont rem portées par les Coréens.

Quant aux dames, elles sont 16. C. Lemazurier et G. Dufour sont éliminées au

premier

tour

respectivement

par

la

Championne de Bulgarie et... Rudnova, plus forte que jamais ! Celle-ci se pro mène littéralement malgré

les

efforts

PRENEZ NOTE

Les prochains championnats du Monde seront organisés par l'Allemagne de l'Ouest et auront lieu à MUNICH du 17 au 27 Avril 1969.

Ils seront suivis des Championnats d'Europe les VMèmes du nom et auront pour cadre MOSCOU du 17 au 24 Avril 1970.

Pour ceux qui aiment les beaux voya ges et aiment suivre les grandes com pétitions, nous recommandons un dépla cement au Japon où se tiendront du 25

d'Eva la Roumaine. Le Double-mixte et le Double-Messieurs reviennent aux

Championnats du Monde.

Roumains qui, une fois de plus se trou vent sur le podium. En Double-Dames,

pour les protégés de Charles ROESCH.

mars au 3 avrii 1971 à NAGOYA les

De beaux

voyages

en

perspective


LENINCRaO, RENDEZ-VOUS DES JEUNES POUR LE llème TOURNOI EUROPEEN Par équipes, la TCHECOSLOVAQUIE remporte les deux titres Le Tchèque TURAY et la Roumaine CRISAN, vainqueurs en simples par Jean MERCIER Pour la première grande épreuve Européenne qu elle orga nisait sur son territoire, la Fédération de I U.R.S.S. avait choisi le cadre du nouveau stade couvert de LENINGRAD.

Avec ses 4000 places assises et ses 8 tables, il se prétait bien au déroulement de ce lléme tournoi Européen des

Jeunes. Sur le plan sportif tout se passa donc très correcte ment d'autant que l'arbitrage fut bon. Ce fut encore une fois l'éloignement des hôtels restau rants, situés à 10 kms du stade, qui gêna le plus les prati

quants, obligés à plusieurs reprises de se contenter de repas froids. Nul doute qu'en 1970 à Moscou, pour les 7émes Championnats d'Europe seniors, les dirigeants russes auront tiré les enseignements de ce premier essai.

18 équipes masculines et 16 équipes féminines se dispu taient les titres par équipes les 12 et 13 août.

Chez les garçons, les 4 têtes de série se qualifièrent pour les demi-finales. Celles-ci opposaient I équipe I d U.R.S.S. à la SUEDE et la HONGRIE à la TCHECOSLOVAQUIE. Mal

gré BENCTSSON, les soviétiques l'emportèrent par 5 à 2. Les tchèques de leur côté laissaient peu de chance aux hon grois TIMAR, KLAMPAR et JONYER battus par le score sé vère de 5 à 1. En finale, malgré les efforts d ECLITIS et de PILOSYAN, les soviétiques durent s'incliner devant une équipe tchécoslovaque bien emmenée par TURAY I empor

maine, plus rapide, l'emporta par un double 21-18 sur la championne d'Europe senior, qui ratait pour la seconde fois le titre chez les jeunes. En double garçons, les soviétiques ECLITIS - ZLENKO remportèrent le seul titre pour leur pays en battant facile ment les hongrois JONYER, TIMAR. Chez les jeunes filles, les allemandes de l'Est STEPHANLOFFLER battirent en finale les soviétiques CEDRAITITE AVETISYAN, qui avaient eu le mérite d'éliminer les favori tes tchèques VOSTOVA-CROFOVA. Enfin en mixte les tchèques TURAI-VOSTOVA remportè rent le 4ème titre pour leur pays en battant les allemands de l'Est DRESCHER-STEPHAN. Deux tableaux réservés aux moins de 14 ans, mais sans

grande signification en raison du petit nombre de partici pants étrangers, virent la victoire de la hongroise ZSENDI et du soviétique SARKISYAN. La coupe de BUCAREST, attribuée par classement par points sur l'ensemble des épreuves, revint pour la première fois à la TCHECOLOVAQUIE devant l'U.R.S.S., qui la déte nait sans interruption depuis 1961. Comme quoi personne n'est prophète en son pays. La journée de repos du 14 août fut consacrée le matin à la visite du palais d'été des tsars à PETRODVORKS après une promenade sur la NEVA en hydroglisseur et l'après-

tant sur le score de 5 à 3.

midi à la découverte de LENINGRAD où se cotoient avec une

Chez les jeunes filles, si les tchécoslovaques, les rou maines et les yougoslaves se qualifièrent sans histoire, par

certaine harmonie les souvenirs de l'ancienne Saint PETERSBOURC des Tsars et ceux de la révolution d'Octobre 1917.

contre dans la poule 2 les soviétiques, battues 3-1 par les allemandes de l'Est, se retrouvaient à égalité avec ces der

nières et les bulgares, qui avaient causé la surprise en bat tant les allemandes par le même score de 3 à 1. Il fallut recourir au nombre de sets pour déterminer, le classement

de cette poule qui qualifia l'équipe I d U.R.S.S. devant I AL LEMAGNE DE L'EST.

Les tchèques battirent difficilement les roumaines par 3 à 2. La championne d'Europe seniors VOSTOVA, sem blant saturée de jeu pendant ses 2 matches, I U.R.S.S. éli mina de son côté la YOUGOSLAVE par 3 à 1, RESLER sau vant l'honneur.

En finale, la Tchécoslovaquie battait l'U.R.S.S. par 3 à 0. Les épreuves individuelles confirmèrent dans l'ensemble les résultats des rencontres par équipes.

Chez les garçons, où WEBER était parvenu en huitième de finale, 3 soviétiques, 3 hongrois, 1 suédois et 1 tchèque

se qualifièrent pour les quarts de finale. Le soviétique ECLITIS, le hongrois KLAMPAR, le suédois BENCTSSON et le tchèque TURAI, vainqueur de JONYER s'affrontèrent en demi-finales. Le hongrois KLAMPAR par le score serré de 20, 17 et 19 l'emporta sur ECLITIS pour se faire battre nettement en finale par le tchèque TURAI vainqueur facile de BENCTSSON au tour précédent.

Chez les jeunes filles, si les deux premières têtes de sé rie la tchèque VOSTOVA et la yougoslave RESLER se qua lifièrent assez facilement pour les demi-finales, le 2ème tableau vit l'inattendue soviétique KASPAROVA, non retenue

dans les équipes, parvenir en demi-finale après avoir éli miné la hongroise IZLO, puis sa compatriote LUBIMOVA en quart de finale. Dans le 3ème tableau, la roumaine CRIASN battit 25-23 à la belle la soviétique CEDRAITITE, qui avait eu le mérite d'éliminer la redoutable allemande de l'Est STEPHAN.

VOSTOVA disposant facilement de KASPAROVA et CRI SAN battant à l'arrachée 21-19 à la belle la yougoslave

RESLER, disputèrent la plus belle finale de la soirée. La rou

LES RESULTATS JEUNES GENS

Poule 1 : 1. URSS (1J, 2. Yougoslavie, 3. Pologne, 4. Fin lande - Poule II : 1. Hongrie, 2 . Roumanie, 3. France, 4. Danemark - Poule III : 1. Tchécoslovaquie, 2. Angleterre, 3.

Allemagne Ouest, 4. URSS (2), 5. Norvège - Poule IV : 1. Suède, 2. Allemagne de l'Est, 3. Belgique, 4. Bulgarie. Classement final :

1. TCHECOLSOVAQUIE, 2. URSS, 3, Hongrie et Suède. JEUNES FILLES

Poule 1 : 1. Tchécoslovaquie, 2. Angleterre, 3. France, 4.

Pologne - Poule II : 1. URSS (1), 2. Allemagne de l'Est, 3. Bulgarie, 4. Finlande - Poule III : 1. Yougoslavie, 2. URSS (2), 3. Suère, 4. Autriche - Poule IV : 1. Roumanie, 2. Allemagne de l'Ouest, 3. Hongrie, 4. Danemark. Classement final :

1. TCHECOSLOVAQUIE, 2. URSS, 3. Yougoslavie et Rou manie.

LES RESULTATS INDIVIDUELS

Simple garçons : Quarts de finale : Eglitis (URSS) -Timar (H) 2-0 ; Klampar (H) - Andersson (Suède) 2-1 ; Bengtsson (Suède) - Pilosjan (URSS) 2-1 ; Demi-finales : Klam

par - Eglitis 2-1 ; Turai - Bengtsson 2-0 ; Finale : TURAI (Tchécoslovaquie) bat Klampar (Hongrie) 21-11, 21-16. Double garçons : Demi-finales : Eglitis-Zienko (URSS) Klampar-Ckikan (H) 2-0 ; Jonyer-Timar (H) - Pilosjan-Ostrov-

ky (URSS) 2-0 - Finale : ECLITIS-ZIENKO (URSS) battent Jonyer-Timar (Hongrie) 21-17, 21-11. Simple filles : Quarts de finale : Vostova (Tch.) - Avetis-

jan (URSS) 2-0 ; Kasparova (URSS) - Lubinova (URSS) 2-1 ; Crisan (Roum.) - Cedraitite (URSS) 2-1 ; Resler (Youg.) Shirley) 2-0 - Demi-finales : "Vostova - Kasparova 2-0 ; Cri san - Resler 2-1 - Finale : CRISAN (Roumanie) bat Vostqva (Tchécoslovaquie) 21-18, 21-18. 23


Double filles : Demi-finales ; Stephan-Loffler (Ali. Est) Resler-Srbec (Youg.) 2-1 ; Avetisjan-Gedraitite (URSS) Vostova-Grofova (Tch.) 2-1 ; Finale : STEPHAN-COFFLER

.Allemagne de l'Est) battent Avetijan-Gedraitite (URSS) 25-23 21-18.

Coupe de Bucarest : 1. TCHECOSLOVAQUIE, 40 pts ; 2. URSS, 31 pts ; 3. Hongrie, 14 pts ; 4. Allemagne de l'Est 11 pts : 5. Roumanie, 11 pts ; 6. Yougoslavie, 8 pts ; 7. Suède, 6 pts ; 8. Allemagne de l'Ouest, 2 pts '

Double mixte : Demi-finales : Turai-Vostova (Tchéc.) Schmittinger-Scharmacher (AH. Ouest) 2-1 ; Drescher - Ste-

Epreuves pour moins de 14 ans.

phan (Ali. Est) - Ustinov-Ustinova (URSS) 2-1 - Finale : TURAI-VOSTOVA (Tchécoslovaquie) battent Drescher-Stephan (Aii. Est) 21-13- 26-24.

Jeunes gens : En finale, SARKISYAN (URSS) bat Clemenov (URSS) 10, 15 — Jeunes filles ; En finale ; ZENDI (Hongrie) bat Pavlux (URSS) -8, 19, 19.

LE COMPORTEMENT DES JEUNES

DE L'EQUIPE DE FRANCE vu par Charles ROESCH Le timbre officiel

LA COMPETITION GARÇONS Le tirage au sort nous avait placé dans le groupe 2 avec la Hongrie, ia Rouma

Second set Weber un peu trop passif

LEFEBVRE - SEERUP 10-21, 14-21 :

est un moment en difficulté, se ressaisir et gagne 21-19.

Jeu trop passif de ia part de Jean Michel qui est beaucoup trop timoré dans ses

nie, ie Danemark.

FRANCE-ROUMANIE 2-3

actions.

Si ce tirage au sort sembiait nous met tre en mauvaise posture, ia suite de l'histoire nous montra une fois encore que les années se suivent et ne se res semblent pas, toutes les nations, sur tout dans ces compétitions, passent par

LEFEBVRE - STELIAN — Mené 2-10,

WEBER - THEILADE, 21-12, 21-11 : L'adversaire n'apprécie guère la varia

Jean Michel se reprend attaque, refait une partie de son retard, mais perd

tion de coupe de Christian et ninsiste

15-21.

pas.

Au second, il démarre en trombe, atta que et top spine, mène 11-6, temporise et déjà est mené 15-17 et 16-21. Jean Mi

progrès.

DUPAS - PETERSEN, 19-21, 16-21 : Encore un match où Michel joue en des sous de sa valeur, tant il est paralysé par la peur. WEBER - SEERUP, 21-15, 21-16 : Dé but assez laborieux d'un Wéber qui conscient de l'improtance de la rencon tre (nous sommes à partout) a du mal à

FRANCE-ROUMANIE 2-4

trouver la cadence. Mais cela ne dure

tractés et accumulent les fautes, néan moins ils font jeu égal puisqu'ils se tien-

WEBER - DOBOSi : Un premier set perdu 21-18 à cause d'une attitude trop

guère et Kiki empoche ses deux sets.

tient jusqu'à 10-12, et c'est le départ du Roumain qui a pris confiance contre un Dupas qui continue à accumuler les er reurs et perd 10-21. Pourquoi vouloir faire le point si vite

négative devant un çarçon qui ne prenait que des risques calculés.

Nous avons souffert au cours de ce

des hauts et des bas.

Au premier

tour

nous

rencontrons

donc la Roumanie qui aligne cette an née une équipe très jeune. La première rencontre oppose DUPAS Michel (France) à GHEORGE (Roumanie). Les deux joueurs débutent assez con

et sans construire ? Héias, on cherche à se débarrasser de ia balle, parce qu'on a peur et que les jambes, les bras tout est contracté et paralysé : 12-21 au se cond.

LEFEBVRE Jean-Michel - DOBOSI Ser

ge. Le Roumain ie plus fort de son équi pe à tôt fait de trouver ie poin faible de Jean Michel (ah ce revers de poussette I) 12-21 au premier set et jeu axé sur ie centre de la table et une meilleure utili

sation du coup droit et du top-spin per mettent à Jean Michel de faire 16 points au 2ème set.

WEBER Christian - STELiAN. Le jeune Roumain s'empêtre dans ia défense de Kiki qui empoche sans coup férir ses 2 sets 21-12, 21-14. FRANCE-ROUMANIE 1-2 DUPAS - DOBOSi - Contre le meil

leur Roumain Michel ne peut rien faire et s'incline 8-21, 10-21, il n'y a pas eu de bagarre. FRANCE ROUMANIE 1-3

'WEBER - GHEORGE — Jeu défensif de

Weber qui cherche à attaquer dès que son adversaire ralentit son action 21-14. 24

chel a eu par instants d'excellents passa ges, mais ils n'ont duré qu'un éclair. Le jour où il pourra mener toute une partie tambour battant( il pourra faire de grands

LEFEBVRE - PETERSEN, 21-18, 21-17;

Un second set très mal engagé, où les fautes s'accumulent dès le départ du set : 0-5, bref un mauvais set perdu

match, car il s'en est fallu de peu par fois pour faire pencher la balance de l'autre côté. Cependant se faisant vio lence Jean Michel, avec force top spins,

13-21.

arrache ses deux sets nous battons le

FRANCE-ROUMANIE 2-5

Et pourtant, je ie dis sans forfanterie, ce match était à notre portés La deuxième rencontre opposait ie

Danemark. FRANCE - HONGRIE 1-5

LEFEBVRE - THEILADE 21-16, 21-17 : L'adversaire de Jean Michel éprouve d'entrée des difficultés avec le top-spin, si bien que chaque fois qu'il utilise son arme favorite il n'a aucune peine à do

LEFEBVRE - VANCSURA : 22-20, 1721, 9-21 : Match bien caractéristique où Jean Michel, qui possède tout de même une certaine technique et jouant un jeu offensif résolu au premier set, le gagne. Son adversaire, rusé au possible lui distille des balles molles qu'il ne sait pas dicerner et lui posent un difficile problème qu'il ne parvient pas à résou

miner son adversaire.

dre.

Danemark à la France. FRANCE - DANEMARK 5-3

DUPAS - SEERUP, 9-21, 16-21 : Mi chel cherche à faire ie point tout de suite et se débarrasse de ia balle, c'est une catastrophe au premier set. Axant ie

jeu davantage sur le coup droit de son adversaire Michel mène 4-1, puis 10-4 pour temporiser et 11-11, 17-21 I! WEBER-PETERSEN : 21-18, 21-15 ;

Son adversaire possède un bon jeu d'at taque et de top- spin, mais après un pre mier set assez serré, Wéber se détache d'entrée au second set, mène 6-2, 9-6, se laisse remonter 14-14, se détache à nouveau et gagne 21-15.

CANOR - JONYER : 11-21, 15-21 — Contre le titulaire de l'équipe seniors, le jeune Canor a le grand mérite de se battre et de ne pas baisser les bras. WEBER - TIMAR : 21-13, 19-21, 14-21. A très bien joué au premier set et à at tiré son adversaire dans l'attaque en lui offrant des balles apparemment faciles.

Au second set, menant 17-13, n'a pas su déceler le changement de tactique de son adversaire quand il a ralenti son ac tion, à ce moment il fallait résolument

prendre l'offensive. Pour n'avoir pas su

le faire il a perdu ce set et le 3ème en core plus nettement.


LEFEBVRE - JONYER : 18-21. 18-21 :

Match courageux de Jean Michel. WEBER - VANCSURA, 21-14, 23-21 : Deux défenseurs se rencontrant et s'ob-

servant, aucun des deux ne voulant ou n'osant prendre des risques après un premier set empoché par Weber 21-17,

le second nous apporte l'exprdlt ruie à 12-11 ; et avec son cortège d'émotions, une petite victoire 23-21. CANOR - TIMAR : 18-21, 21-23 : Régis résiste crânement à son adversaire qui le domine très nettement sur le plan

technique, mais la partie est tout de même inégale. Avec davantage de tra vail, plus de sérieux et d'application, qui

Dans la 2ème rencontre de ce match

Sonia Moriceau devant Knelp (R.F.A.)

Yveline après avoir perdu le 1er set

3ème joueuse allemande fit sa meilleure prestation des championnats 16-21,

21-17 contre Shirley se bat et arrache le second 21-16, elle s'incline cependant par 21-10 à la belle. Le double où s'affrontaient Lecler-

toire (21-16, 21-12) pourtant nous étions encore à 8-8 au 2eme set mais les fran çaises laissant l'initiative à leurs adver saires nous perdons cette rencontre 3-0 TCHECOSLOVAQUIE - FRANCE 3-0. Dans cette équipe joue la championne d'Europe senior Vostova et il serait pré

subit la loi de Kasparanova 17-21, 11-21. En scolaire enfin Claude Bergeret

somptueux de dire que nous avions des chances, cette équipe remportant d'ail leurs la finale, mais ce n'est pas une tion.

de plus au moins et là l'Inexpérience et le manque de rencontres internationales

tova 21-7, 21-12.

raison pour jouer sans aucune convic

Claude perd le 1er match face à Vos Yveline s'incline devant Grofova 21-14,^ 21-17.

la llème place sur 17 nations participan tes. Est-ce bien, est-ce mal ? Que faut-il

Yveline et Sonia en double n'Inquiété' rent jamais leurs adversaires, mais ac cumulèrent les fautes et c'est sur le

répondre ?

score de 21-11 et 21-13 que nous per

Soyons objectifs, cette poule 2 était relativement faible, chaque pays possé

dons cette rencontre.

te équipe, Yveline en mauvaise condi

mais c'était tout. La Hongrie

tion suite certainement à son immobilisa

1ère parce que son 2ème joueur possé dait lui aussi une certaine classe.

Les Roumains, qui alignaient une équi pe très jeune, terminèrent seconds, mais si nos gars avaient joué sur leur valeur la victoire était à notre portée. Il est vrai

qu'avec des si, on soulèverait des mon tagnes, on en ferait des choses. Alors ? Alors II faut travailler, travailler encore, la réussite n'est qu'à ce prix.

tion de 3 semaines pour une fracture au

Nous sommes dans le groupe I avec la

Pologne, l'Angleterre et la Tchécoslova quie.

Première encontre contre la Pologne :

Claude Bergeret rencontre Grzenkowicz et gagne par 2-0 (21-15, 21-17) sans avoir jamais été inquiétée si ce n'est au 2ème set après avoir mené 9-6, une éga lisation à 10-10, mais Claude reprend une distance de 4 points qu'elle gardera

jusqu'à la fin du match (21-17). Yveline Lecler remporte de la même

façon le 2ème match par 21-11 et 21-17, en dominant tout au long.

RENCONTRES INDIVIDUELLES

Elles furent brèves et bien décevan tes mais en somme ne firent que confir

mer de façon éclatante et sans appel cé les rencontres par équipes. Au 1er tour Dupas succombait sans

gloire devant l'Autrichien SUDA 11-21 et 12-21.

Lefèbvre à son tour d'une passivité

sans pareilles s'Inclinait 21-13 et 15-21' après un bien mauvais match devant le Soviétique Lindmae qui n'avait rien d un foudre de guerre.

Canor lutte crânement contre le Hon

grois Chikan, mais il y avait au moins 2 classes d'écart entre les deux joueurs en présence ; 10-21, 17-21.

Weber après avoir battu l'Autrichien Pûchner 21-12, 21-12, puis le 3ème So viétique ZIenko 21-14, 21-19, puis au

un bon début de set, 6-1, puis 10-5, nos joueuses temporisent, se font remonter

de l'épreuve.

après avoir résisté jusqu'à 9-9. Nous battons la Pologne 3-0.

Malgré un championnat assez bien dé buté nos joueuses se présentent face à l'Angleterre avec beaucoup de pessi misme.

Après un 1er set valable contre Mathews-Smlt (21-16) Sonia Moriceau s'in cline au second set 21-6 par excès de précipitation.

-

Gustavson-Person

Double filles

Bergeret-Paw/elczyk (Pologne) - Gedraitite-Avetisyan : 12-21, 16-21 ; Lecler-Moriceau - Smit-Shirley (Angle terre) 21-16, 9-21, 21-13 ; Ce fut une bonne prestation de nos joueuses. 2ème tour : Lecler-Moriceau - Pola-

kova-Kettnerova (Tchéc.) 14-21, 8-21. Double mixte

Lecler-Weber - Ustinox-Ustinova (U.R. S.S.) 24-22, 17-21, 18-21. ♦

9ème sur 15 nations participantes.

3ème tour le Bulgare Mitof 21-11, 21-11

à 12 et manquant d'initiative perdent ce

Lefebvre-Canor

(Suède) 12-21, 15-21 ; Weber-Dupas - Hatlebakk-Haggenlund (Norvège) 21-11, 21-17 ; 2ème tour : Weber-Dupas - PilosyanOstrowsky 12-21, 18-21.

Nous terminons 2ème de la poule et

Après ce 2-0 net nos benjamines, Clau de et Sonia pouvaient se permettre de jouer décontractées en doubles. Après

set 21-17. Le 2ème set est perdu 21-15

Citons encore les doubles pour mé moire :

pied ne pouvait jouer ce rôle.

qui était déjà clairement visible pendant LA COMPETITION FILLES

passant un tour par w-o était éliminée sans discussion par la Soviétique Pavluk (finaliste) 10-21, 18-21.

Il nous manquait un leader dans cet

dait parmi ses 3 joueurs un bon leader, termine

Yveline Lecler après avoir battu la

soviétique Rodionova 18-21, 21-16, 21-16,

Au cours de cette rencontre perdue 1-5 nous aurions dû arracher 2 matchs

poule et obtient au classement général

ne facture.

Bergeret et Shirley-Heaps fut sans his

sait Canor I

a joué un rôle assez Important. La France termine donc 3ème de sa

21-13 et 18-21. Ce fut un match de bon

accédait en Sème de finale et était op

posé au Hongrois Jonyer un des favoris

Son jeu passif ne faisait pas le poids devant le titulaire de l'équipe senior qui par 21-7 et 21-12 expédiait Kiki au tapis.

Il est juste de dire qu'après ce tour il ne restait en course que des garçons des pays de l'Est. Chez les filles, Claude Bergeret avait vraiment affaire à trop forte partie puisqu'au premier tour elle rencontrait la Championne d'Europe sortant la Yougos lave Ressie, un petit galop au premier set : 7-21, puis sans trop forcer au se cond set 18-21 et les jeux sont faits.

Que dire de nos jeunes ? De leurs possibilités ? De leur prestation à ces rencontres européennes ? Il est certainement facile d'exprimer des critiques tant sur le plan technique que condition physique et psychologique. Il n'en reste pas moins vrai que si cer tains de nos éléments possèdent une certaine technique, le temps qu'ils con sacrent à leur entraînement est tragique ment Insuffisant.

Quand on s'entraine 3 heures par se maine on n'a pas à avoir la prétention de figurer dans l'équipe de France, même si sur le plan national on arrive à un certain niveau.

La perspective d'un voyage en Russie n'est pas une fin en soi, il y a autre cho se, nous devons exiger des joueurs qui veulent défendre nos couleurs la pro messe de s'entraîner valablement 8 à 10

heures par semaine.

Evidemment cela exigera de la part de nos jeunes des sacrifices, de lourds

sacrifices. La masse des pratiquants n'en est sans doute pas capable, mais nous recherchons précisément une élite, c'est à cette élite.que nous nous adres sons.

DUPAS Michel : N'a jamais été en mesure de dominer sa peur, a joué bien en-dessous de sa valeur. Sur 5 rencon

tres disputées en a perdu 5. CANOR Régis ; Son degré d'émotivité a été bien moindre. Mais niveau techni

que encore bien faible. 3 rencontres dis putées 3 défaites. LEFEBVRE Jean-Michel : A eu bien du mal à se débarrasser du trac. A fait de

bonnes choses par instants. Devra pra25


tiquer un tennis de table de combat et secouer son apathie. 8 rencontres dis

Lors d'un vin d'honneur, M. FUCHS

Roger, Président de la section de Tennis de Table, salue les personnalités pré sentes et surtout notre champion de France SECRETIN qui n'a pas craint ce

putées 2 victoires. WEBER Christian : Le meilleur élé

ment et le plus efficace et pourtant en forme

assez

long déplacement pour venir chez nous. Il remercie M. ANDREANSZKY, prési

médiocre. 12 rencontres

disputées 9 victoires. BERGERET Claude : Technique de jeu encore embryonnaise. Mais élément sus

ceptible de faire d'énormes progrès si elle parvient à dominer son émotivité tant en match qu'à l'entrainement. 1 vic toire sur 4 matchs joués. MORICEAU Sonia : Mauvais placement et mauvais jeu de jambes, de bons ré flexes et excellente combativité. 0 vic toire sur 2 matchs.

LECLER : Bon niveau technique. A ce pendant joué en-dessous de sa valeur, par suite du handicap d'une fracture du métatarse qui l'a immobilisée pendant plus de 3 semaines avant les champion nats. 6 matchs - 2 victoires.

Le SavIez-vous ?

JACQUES SECRETIN, VAINQUEUR AU TOUQUET (18 août) Les résultats des séries individuelles...

Série «A» (Messieurs)

1/2 : Dubus (SM Roubaix) bat Dhénin (ASPTT Arras) 2,0 ; Secrétin J. (AS Messine) bat Dhondt (Amiens SC) 2-0 Finale : SECRETIN bat Dubus 3-1. Série B

bat

Dhénin

PAQUE (CP Boulogne) bat Bailleul (Alfortville) 3-0.

MESSIEURS

1. 2. 3. 4. 5.

SURBEK (Yougoslavie) BORZEl (Hongrie) ALSER (Suède) JOHANSSON (Suède) GOMOZKOV (URSS) KORPA (Yougoslavie) SCHOLER (All.-Ouest) S. BELEZNAI (Hongrie) 9. STANEK (Tchécoslovaquie) 1C. 11.

NEALE (Angleterre) AMELIN (URSS) GIURGIUCA (Roumanie) 13. KOLLAROVITS (Tchécoslovaquie) 14. SARKHOJAN (URSS) 15. MlKO (Tchécoslovaquie) 16. JONYER (Hongrie) DAMES 1. 3.

5. 6. 7. 8. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16.

VOSTOVA (Tchécoslovaquie) RUDNOVA (URSS) GRINBERG (URSS) LUZOVA (Tchécoslovaquie) WRIGHT (Angleterre) BUCHHOLZ (Ali. Ouest) ALEXANDRU (Roumanie) GEISSLER (AIL Est). SIMON (Ail. Est). MIHALCA (Roumanie) RESLER (Yougoslavie) JURIK (Hongrie) KOCZIAN (Hongrie) HOVESTADT (Ail. Est) POGOSOVA (URSS) NEIDERT (Suède)

ble des SREG, mais du Tennis de Table tout entier et du sport en général.

Série A : Quart de finale : Secrétin (AS Messine) bat Bourras (Metz) 2-0 ; Weber (Metz) bat Richard (SREG) 2-0 ; Brosda (Stuttgart) bat Capard (FCM) 2-0 Weber Ch. (Metz) bat Schatgle (Fri bourg) 2-0 - Demi-finales : Secrétin bat Ch. Weber 2-1 ; Weber bat Brosda 2-1 Finale ; Secrétin bat Weber 3-0 — Sé

rie B : Demi-finales ; Dubois (Paris) bat Schoen (Munich) 2-0 ; Neumann (Fri bourg) bat Richard (oSchaux) 2-0 - Fina le : Neumann bat Dubois 3-0 - Série C:

Série C

POUR LA SAISON 1968-69

Non classés :

WILLIATTE (CP Lomme) bat Courselle (SM Roubaix) 2-0. Vétérans :

SECRETIN E. (CA-4 Lens) bat Potier (FJEP Auchel) 2-0.

Cadets : MORVILLIER (AL Longuenesse) bat Dominguez (CA-4 Lens) 2-0. Minimes :

MORVILLIER (AL Longuenesse) bat Ferdinande (SM Roubaix) 2-0. Dames :

Mlle SERVIER (FJEP Auchel) bat Mlle Canteloup (Beaumont) 2-1.

Demi-finales : Schaztle (Fribourg bat Neumann (Dusseldorf) 2-0 ; Pecher (Ma yenne) bat Becker (Village neuf) 2-1 ; Finale : Schatzie bat Pecher 3-0 — Sé

rie G : Finale : Wodey (Sochaux) bat Schneider (Cernay) 2-1 — Jeunes : Demi-finales ; Perre (Arles) bat Valentin (Nimes) 2-0 ; Blecher (Fribourg) bat Pecher (Bretagne) 2-0 - Finale : Blecher bat Perre 2-1 — Dames : Demi-finales:

Heidel (Fribourg) bat Thisse (Metz) 2-0 Boiteux (Metz) bat Kohier (Fribourg 2-0 Finale : Boiteux bat Heidel 3-1. — Dou

ble : Demi-finales : Brosda-Muller (Stutt gart) battent Weber-Weber (Metz) 2-1 ; Secretin-Morency (Paris) battent Scholz-

Piffl (Stuttgart) 2-0 - Finale : SecrétinMorency battent Brosda-Muller 3-0.

...et des challenges 1ère série : AS Messine Paris 3ème série : ASPTT Arras

4ème série : CP Boulogne Cadets : AL Longuenesse Minimes : SM Roubaix Féminines : ASPTT Arras «

Mihiite

LE CHAMPION DE FRANCE

JACQUES SECRETIN DOMINE LE TOURNOI INTERNATIONAL DES S.R.E.G. MULHOUSE Le Sème tournoi international de Ten

nis de Table, organisé par main de maî tre par les dirigeants des SREG, dans le

Aux Jeux Méditerranéens

à ALEXANDRIE

cadre du lOème anniversaire de la sec

tion a vu cette année la participation du Champion de France Jacques SECRE

l'Equipe de France vainqueur sur tous les tableaux

TIN.

28

d'Alsace, juge arbitre la gentillesse de bien diriger les opérations, non pas seulement en

l'honneur de la section de Tennis de Ta

CHARLET (FSP Croix) (ASPTT Arras) 3-0. LE CLASSEMENT EUROPEEN

dent de la Ligue national qui a eu vouloir lui-même et lève son verre

Affluence record à la salle des sports en ce qui concerne engagés et specta teurs. 180 joueurs et joueuses venant d'Allemagne (Kirchzarten, Fribourg, Dusseldorf, Munich, etc.) Suisse (Bâie) et de nombreuses villes de notre pays (Ar les, Nimes, Tours, Paris, Metz, etc...) ont disputé avec acharnement des ren

ITN, Evelyne LECLER, SECRETIN DHONDT, LE BRAS-LECLER et LE BRAS

contres d'un bon niveau.

SECRETIN.

Doublé par équipes en Messieurs et en dames.

Individuellement les titres à SECRE

TIN,

Evelyne

LECLER,

SECRETIN -


MUTATIONS ■ SAISON 1968-1969 NOMS ET PRENOMS

CLUB ACTUEL

LIGUE ACTUELLE

e

DATE

CLAS SEMENT

Validation

ANCIEN CLUB

1

1 1

GUEVARA Ange

AL IZIEUX

Lyonnais

2

BRIFFEUIL Christian BELLOUARD Christian

AEP CHAMBETY ESSP CHOLET

Alpes Atlantique

SYMONEAUX

PPC PERROS GUIREC

3 4 5 6 7 8 9 ÎO 11 12 1S 14 15 16 17

Yves

ODEYSE Michel BAPTIZET Alain ECOSSE Fernand

PYNSAN Raiph PONTILLE Georges

IJSEB LAVAL EM VESOUL

Bretagne Bretagne

COR BELFNRT

Franche-Com-é Franche-Comté

AUVR RILLIEU

Lyonnais

PPC ROANME:

Lyonnais

ROME Robert

SP PARIGNY

FOISNET Joseph

ASRG CAEN

MARTIN Paul SAYMARD Jack AMBACHER Claude BRILLARD Jean-Pierre

AS COPRIhl EVREIJX ASPC flOUi£N

Basse-Normandie Basse-Normandie Haute-Normandie Haute-Norma-^dle

ASCEA

Provence

MIHAMAS

PLLF TOURS

Touraine Orl.

COGNET Anne-Marie

ASPO TOURS USEG PARIS

18

DEMILLY Michel

CSM ARNOLIViLLE L.G.

Tcuraine OrL Ile de France Ile de France

19 20 21 22

BAZIRE Philippe

RAMBOU ".^T

SP

Ile de France

VIEU

ASPTT PARîS ATT VILLEPREUâ US METRO PARIS

Ile de France

COULON S mone

Pierre

LEPOT

Jean

FORTIER Roger

Ile de France le

de

France

23

IZAUTE Jean-Claude

KUHLMANN SP PARIS

Ile de France

24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34

BARON

CHARENTON SCASO

Ile de

SAUTEREAU Jacques

STADE FRANÇAIS PARIS

N'GUYEN TRUNG HIeu DROUET Michel

ACBB

Ile de France Ile de France le de France

CHERGUI Gérard

SCSO CHARENTON USEG PARIS

le

ES DA'MMARIE

Ile de France

Ile de France

Maurice

ATT VILLEPlIuUX

BAROUH -Marcel BOUZIN Albert ROUILLARD Jean PENAUD Bernard TOUGARD Claude

ATT VILLFPREUX CC CAMBRAI ASPC ROUEN ASPC ROUEN

35

GODARD Jean-Louis

CN

36 37 38

OLYMPIC REIMS

39

LEPATRE Jean-Claude ALEXANDRE Ariette MINAUD Michel FOURNIER Gérard

40

BARRIER

TOUGARD Serge

LOUVFRS

CPB RENNES US METRO PARIS PPC GRENOBLE SA VERDUN

Christian

de

France

France

lie de France

Fandres Haute-Normandie Haute-Normandie Haute-Normandie

10-7-68 10-8-68

IP 35 25 45 50 15 25

10-8-68 20-8-68 20-8-68 20-8-68 10-8-68 30-7-68 10-8-68 10-8-68 20-8-68 10-7-68 10-8-68 10-8-68 10-8-68 î 0-7-68 10-7-68 10-8-63 20-8-68 10-8-68 10-7-68 20-8-68 10-8-68 10-8-68 10-8-68 10-8-68 10-7-68 10-7-68 20-7-68 20-7-68

10-7-68i 10-8-6B,

ASiA TERRENOIRE SM ROUBAIX

ST CLEMENÏIN C.OSF 'IHUMESNIL

ASPTT BREST ASEG NANCY

CTT PORiTENTRLIR (Suisse) PPC ANNAPPES

5 30

LC 1-AON

LiSO LOUVICNE AMO MER

40 15

NC 40 15 5

IP 15

RTS CHARTRES JA COUTANCES A.Ch. BLAINVILLE DAMEL.

LSL VIBRAYE PLLF TOURS ACS FONTENAY US METRO PARIS

NC

AAEE EPERNON

30 50 15 45 40

CSF CHARTRES AS MESSINE PARIS B. se BORDEAUX

IP 15 15 15

1ère série 1ère ^^érie 5 IP 10

ASPTT Al.ICH

AiRACO

ORLEANS

ACS FONTENAY s. BOIS ACS FONTENAY s. BOIS MASSY AC ACBB ACS FONTENAY s. BOIS AS MESSINE PARIS A.C.B.B.

ACBB LE LOOLE (Suisse)

10-9-68,

IP 30

10-9-681 10-7-68

35 05

M.J. LISIEUX Ml LISIEUX PPC EU

Champagne

10-8-68;

NC

es NANGIS

Bretagne

10-7-68

15

lie de France

10-8-68

35

US SAINTES

Alpes

20-7-68 20-8-68

NC

PA

40

AC CLERMONT-FERRAND

i Lorraine

LES M ARQUES

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DE QUALITE

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27


Calendrier

des leres ec e^mes

divisions

CHAMPIONNAT MASCULIN DATES (sur les tables du premier nommé pour l'Aller, du second pour le Retour)

DIVISION 1ère DIVISION Poule I

Poule II

A - 29 septembre R • 5 janvier

Fontenay - Yvetot (1) Marseille • Nice

Hallutn • Strasbourg

* es Union - Le Havre

* Messine - Roubaix ACBB - Charenton

Roanne - Bordeaux * eSPSE - ♦ Métro

Angers • Enghien

Amiens - Crété

(1) ASEG - * = Paris

* = Paris

A • 13 octobre

R'19 janvier

A - 27 octobre

R • 2 février

A - '0 novembre R - 16 février

A - 24 novembre R - 2 mars

A • 8 décembre fî - 16 mars

A - 22 décembre R • 30 mars

Metz - Auchel

eSdan - Thionville

Le Havre* - Amiens

Nice - Fontaney

Roubaix - es Union eharenton - Messine

Bordeaux • Marseille

Enghien - Metz

Métro

Thionville - Angers

erété - AeBB

Yvetot - eSPSE

Amiens • Roubaix

Fontenay - Bordeaux

es Union - eharenton Messine - AeBB erété - Le Havre

Marseille - Métro

Metz • Thionville

Roanne - CSPSE Yvetot - Nice

Angers • Sedan

-

Auchel • Halluin

Roanne

eharenton - Amiens

Fétro - Fontenay

ÂeBB • es Union

eSPSE -

Messine - erété Roubaix • Le Havre

Roanne - Yvetot Bordeaux - Nice

Strasbourg - Sedan

Halluin - Enghien Strasbourg - Auchel

Thionville - Halluin Sedan • Metz

Marseille

Angers - Strasbourg Enghien - Auchel

Fontenay - CSPSE

Amiens - AeBB es Union - Messine Le Havre - eharenton erété - Roubaix

Marseille - Roanne

Metz • Angers

Nice • Métro Yvetot - Bordeaux

Auchel - Thionville

Messine • Amiens

Roanne - Fontaney

es Union - erété

Marseille - Yvetot CSPSE - Nice Métro - Bordeaux

ÂeBB - Le Havre eharenton

- Roubaix

Halluin - Sedan

Strasbourg - Enghien

Angers • Halluin Metz - Strasbourg Sedan - Auchel

Thionville • Enghien

Amiens - eS Union Le Havre - Messine Roubaix - ACBB

Fontenay - Marseille

Halluin - Metz

Nice • Roanne Bordeaux - CSPSE

Auchel • Angers Enghien - Çedan

erété - eharenton

Yvetot - Métro

Strasbourg - Thionville

CALENDRIER SAISON 1968-69 1er Juin au 31 juillet : Période des transferts libres EPREUVES FEDERALES

AUTRES EPREUVES

JUILLET 68

8 au 13 — Stage de formation de cadres à j'i.N.S. 8 au 27 — Stage d'accès aux responsabilités BAGNOL-S.CEZE

Stage franco-allemand en Allemagne AOUT 9 au 13 —

TOURNOI DES JEUNES A LENINGRAD (URSS)

SEPTEMBRE

9 au 14 — Stage de formation de cadres à ri.N.S. 20 au 27 —

PREMIERS JEUX MEDITERRANEENS A ALEXANDRIE

(R.A.U.) 29 — Championnats par Equipes - 1ère Journée OCTOBRE

6 13 20 27 28

— — — —

Coupe de France - 1ère journée (ligues) Championnats par Equipes - 2ème journée COUPE R. KATZ (1ère épreuve) Championnats par Equipes - Sème journée

Internationaux de Hollande - HAARLEM

Affinitaires - F.S.F. Coupe Nationale M. et D (régional)


1

nationales présenté par Jean Devys CHAMPIONNAT FEMININ T DIVISION 1ère DIVISION

ACBB - Champigny ♦Stade - •USEG Fontenay - Ppzeaux

Ô) Caan - Famers ♦ = Paris - (1) ASRG

USEG - ACBB Puzeaux - Stade Marnera - Fontenay

Champigny - Caen

ACBB - Puzeaux

Stade - Marnera

Fontenay - Caen

Annecy - Digne

AND Marseille • Lezoux ASEG Marseille - Cours La Vouite - Lyon (1) (1) ASSLD

SS Tours - ASPO Tours

Lyon - ASEG Marseille

AND Marseille - Lyon ASEG Marseille - La Vouite

Mamers - ACBB Caen - Stade Fontenay - Champigny Puezaux - USEG

Lyon - Annecy

Paris

Carignan • Nancy

Mondevilie - Arras

Algrange - Evreux

L'Hay - Auchel

Nancy - Colombes Amiens - Le

Havre

SS Tours - Le Mans

Mondevilie - Lille

Algrange - Carignan

Caen - L'Hay

Le Havre - Nancy

Arras - Condé Deauville - Mondevilie

Messine • Algrange

Deauville - Arras

Rennes - Mantes

SS tours • Le Mans - Chateauroux

ASEG Marseille - Digne

ASPO Tours -

Cours - Lezoux

Auchel - Lille

L'Hay - Arras Condé - Deauville

Digne - Cours

Fontenay - ACBB Stade - Champigny

ASEG Marseille - Annecy AND Marseille • Digne

SS Tours - Mantes

Mamers - Puzeaux

La Vouite - Lezoux Lyon - Cours

Rennes - ASPO Tours

ACBB - Stade

Annecy - AND 'Marseille

-

Rennes

- ASPO Tours

Le Mans -

Lezoux - ASEG Marseille

•■ ■

Chateauroux

. SS Tours

ASPO tours - Le Mans

Cours - La Vouite

- Rennes

Digne * Lyon

Messine - Evreux

Evreux - Amiens

Colombes • Carignan

Nancy - Evreux Amiens - Messine

Lille - Caen

Mondevilie - Auchel

Carignan - Le Havre Algrange - Colombes

Deauville - L'Hay

Messine - Nancy Amiens - Algrange

Condé - Mondevilie Àrras - Lille

Chateauroux -

Mantes

Caen

Le Havre - "Messine

Condé

La Vouite - AND Marseille

-

Colombes - Amiens

Chateauroux - Rennes

Champigny - Puzeaux

Puzeaux • Caen Chamolony - Mamers

=

- Le Mans

^;iLezoux D'i31a;se^?e' 'ASEG Marseil e Chatlu^îi^ - Lyon

USEG - Fontenay

* Messine - Colombes Evreux - Le Havre

LiMe - L'Hay

ACBB - Caen Stade 1 Fontenay IISEG - Mamers

Caen - USEG

Amiens - Carignan

- Mantes

Mantes - ASPO Tours

Annecy - Cours

Nancy - Algrange

*

- Condé ÂSPO Tours - Chateauroux Auchel Caen - Deauviiie Rennes - SS Tours

Digne - La Vouite

Digne - Lezoux

Condé - Lille (1) Deauville - Auchel Arras - Caen EC

(1) Le Mans - Rennes (2) (1) ASPTT (1) GSOS - C2) CPB

Cours - AND Marse le

Champigny - USEG

L'Hay - MondevUle

Mantes Chateauroux

Lezoux - Annecy

Poule IV

Poule 111

Poule II

Poule

Caen - Auchel

Evreux - Carignan

Le Havre - Colombes

L'Hay - Condé

Nancy - Amiens

Lille - Deauville

Colombes - Evreux

Auchel - Arras

Mondevilie - Caen

Carignan - Fessine Algrange - Le Havre

novembre

1 — Coupe de France - 2ènie journée (ligues)

Internationaux Autriche à INNSBRUCK

^3^ CHAMPIONNATS DEPARTEMENTAUX ADULTES 7 au 9 —

Affinitaires Jeunes

.

F.S.F. Sélection Inter Union Cadets et Minimes F.S.G.T. Championnats Départementaux Jeunes Internationaux de Yougoslavie à BELGRADE

10 — Championnats par Equipes - 4eme journee

17 — CHAMPIONNATS DEPARTEMENTAUX JEUNES COUPE R. KATZ - 2ème épreuve

Affinitaires Adultes

_

F.S.F. Coupe Nationale M. et D. (élim. 3eme et 4eme (tours)

F.S.G.T. Championnats Départementaux Adultes

24 — Championnats par Equipes - Sème journée DECEMBRE

,

1 — Coupe de France - 3ème journee (ligues) 8 _ ASSEMBLEE GENERALE F.F.T.T. Championnats par Equipes - Sème journée

.|3

^5

Clôture des envois des qualifiés des ligues pour les Coupes de France Messieurs, Dames, Jeunes et de la Coupe Nationale Corporative

CHAMPIONNATS REGIONAUX ADULTES

Affinitaires Jeunes

F.S.F. Coupe Inter Union Cadets Minimes

F.S.G.T. Championnats Régional Jeunes (ou 9 Février) 22

Championnats par Equipes - 7ème journée

29


Le calendrier de la DATES (sur es tablesd "u premier nommé pour l'Aller, du second

B

pour le Retour)

(1) Marseille • Martigues A > 29 eSptembre R • 5 janvier

Béziers - Montpellier Cannes - La Trinité Toulon - Arles

(1) AND

Toulouse (1) - Toulouse (2) Tarbes - Pessac

Bayonne - Cenon

Rive - TOAC (3)

Montîuçon - Paimbœuf Saintes - Poitiers

Moulins - Limoges Nantes • Gesté

(1) ASPTT Toulouse (2) ECM Toulouse

(3) Toulouse OAC A - 13 octobre

Montpellier - Marseille La Trinité - Béziers

R - 19 janvier

Cenon - Tarbes

Arles - Cannes

TOAC - Bayonne Toulouse (2) - Brive

Martigues - Toulon

Pessac - Toulouse (1)

Poitiers - Montîuçon Limoges - Saintes Gesté - Moulins Paimbœuf - Nantes

A - 27 octobre

Marseille • La Trinité

Toulouse (1) - Cenon

Béziers - Arles

R • 2 février

Tarbes - TOAC

Cannes - Toulon

Saintes - Gesté

Bayonne - Brive

Moulins

A - 10 novembre

-

Nantes

Martigues - Montpellier

Toulouse (2) ► Pessac

Paimbœuf - Poitiers

Arles - Marseille

TOAC - Toulouse (1)

Gesté - Montîuçon

Toulon - Béziers

R • 16 février

Montîuçon • Limoges

Cannes - Martigues La Trinité - Montpellier

Brive - Tarbes

Nantes

-

Saintes

Bayonne - Toulouse (2)

Moulins - Paimbœuf

Cenon - Pessac

Limoges - Poitiers

A - 24 novembre

Marseille - Toulon

Toulouse (1) - Brive

Montîuçon - Nantes

Béziers • Cannes

R - 2 mars

Tarbes - Bayonne

Montpellier • Arles

Pessac - TOAC

Saintes - Moulins Poitiers - Gesté

Martigues - La Trinité

Toulouse (2) - Cenon

Paimbœuf - Limoges

A • 8 décembre

Cannes - Marseille

Bayonne - Toulouse (1)

Moulins - 'Montîuçon

R • lOmars

Béziers - Martigues

Tarbes - Toulouse (2)

Saintes

Toulon - Montpellier

Brive - Pessac

Nantes

Arles - La Trinité

TOAC - Cenon

Gesté - Limoges

A • 22 décembre R - 30 mars

Tarbes

Paimbœuf Poitiers

Montîuçon - Saintes

Marseille - Béziers

Toulouse

Montpellier - Cannes

Pessac - Bayonne

Poitiers

La Trinité - Toulon

Cenon

Brive

Limoges - Nantes

Martigues • Arles

Toulouse

(2) - TOAC

Paimbœuf -

-

(1)

• -

-

Moulins Gesté

JANVIER 69

5

1

Championnats par Equipes - Sème journée

12 — CHAMPIONNATS REGIONAUX JEUNES

COUPE NATIONALE CORPORATIVE 1/32 et 1/16 Championnats par Equipes - 9ème journée

Affinitaires Adultes

F.S.G.T. Championnat Régional Adultes

Coupe de France Messieurs, Dames et Jeunes - 1er tour national FEVRIER

2 ^

Championnats par Equipes - lOème journée Clôture des engagements Interligues et Critérium Na

1-2 : Internationaux de Tchécoslovaquie à PRAGUE

tionaux Jeunes 5 au 8 —

8 — CONSEIL CONSULTATIF

®

COUPE R. KATZ - Sème épreuve

Internationaux de l'Allemagne de l'Est à POSTDAM Affinité Ires

F.S.F. Championnats Départementaux Individuels Juniors

— Championnats par Equipes - llème journée Tirage au sort des Interligues et Championnats Indi

F.S.G.T. Championnat Régional Jeunes

viduels Jeunes

23 — INTERREGIONAUX ADULTES

CRITERIUM NATIONAL DES MOINS DE 15 ANS FINALES DEPARTEMENTALES 27 au 2 Mars —

28 — Clôture des engagements Championnats de France Individuels 30

Internationaux d'Angleterre à BRIGTHON

ri


3ëme division

masculine H ■i

Nancy - Sochaux Thonon - Ambilly Mulhouse (1) • Mulhouse (2) Maçon - (1) Clermont Herserange - Lunéville La Voulte • Valaurie Dijon - Rosières

(1) FC Mulhouse (2) SREG Mulhouse

RS Lyon • USC Lyon

Coutances Brest

TA

-

-

Parigny

Vassy - Chartres (1) St-Denis - Quevilly

Lannion

Rennes - SS Tours

Chartres (1) - Le Mans (2)

(1) ASPTT Clermont-Ferrand (1) TT Chartres (2) US Le Mens

Rouen (1) • Amiens (2) Croix

-

USEG

Paris

Le Mans (2) - Le Mans (3) La Orléans

- Caen

EC

Madeleine - Autreville ASRG Caen - Le Trait

(1) ASEG Chartres

(1) ASPC

(2) COP Le Mans

(2) ASPTT

(3) ASTM

Le

Mans

Mulhouse (2) • Nancy

Clermont - Thonon

Lannion • Coutances

Lunéville - Mulhouse (1)

Valaurie

USC Lyon - La Voulte Ambilly - Lyon RS

Quevilly - Vassy Le Mans (3) - St-Denis Caen - Le Mans (2)

AutrevUie - Croix

Rosières - Herserange

Tours - Brest Le Mans • Rennes

Parigny • Chartres

Chartres

Amiens • Caen

Thonon - Valaurie Maçon - USC Lyon

Coutances - Tours

Vassy • Le Mans (3)

Brest - Le Mans

St-Denis

La Voulte • Lyon RS Ambilly - Clermont

Rennes - Chartres

Le Mans (2) - Orléans

La Madeleine - Caen

Parigny - Lannion

Chartres - Quevilly

Amiens

Le Trait - Rouen

Sochaux - Dijon

Nancy - Lunéville

Mulhouse (t) - Rosières Herserange • Dijon Sochaux • Mulhouse (2)

Rosières - Nancy

-

Maçon

USC Lyon - Thonon

-

-

Orléans

Caen

USEG -

Rouen

Le Trait - La Madeleine

Rouen

-

Croix -

Autreville

Le Trait -

USEG

Lyon RS - Maçon

Le Mans • Coutances Chartres - Brest

Caen - Vassy

Dijon - Mulhouse (1) Herserange - Sochaux

La Voulte - Ambilly

Rennes - Parigny

Le Mans (2) • Chartres

La Madeleine - Amiens

Lunéville - 'Mulhouse (2)

Valaurie • Clermont

Tours

Le Mans (3) - Quevilly

Autreville • USEG

-

Orléans - St-Denis

Lannion

Caen

-

Croix

Nancy - Dijon

Thonon - Lyon RS

Coutances

Mulhouse (1) - Herserange

Maçon - La Voulte

Brest -

Mulhouse (2) - Rosières

Clermont - USC Lyon

Lannion - Le Mans

Quevilly - Caen

USEG - Le Trait

Sochaux • Lunéville

Ambilly - Valaurie

Parigny - Tours

Chartres - Le Mans (3)

Amiens - Autreville

Herserange - Nancy

La Voulte - Thonon

-

Chartres

Rennes

Vassy - Orléans

Rouen - Caen

St-Denis - Le Mans (2)

Croix - La Madeleine

Rennes - Coutances

Le Mans (2) - Vassy

La Madeleine - Rouen

Mulhouse (1) - Sochaux

Maçon - Ambilly

Brest - Parigny

St-Denis - Chartres

Croix - Amiens

Dijon - Mulhouse (2)

Lyon RS - Clermont Clermont - La Voulte

Orléans - Quevilly Caen - Le Mans (3)

Caen - USEG

Rosières - Lunéville

Chartres - Lannion Le Mans - Tours

Nancy - Mulhouse (t) USC Lyon • Valaurie Mulhouse (2) - Herserange Thonon - 'Maçon Valaurie - Lyon RS Lunéville • Dijon Sochaux - Rosières

Ambilly - USC Lyon

Coutances - Brest

Vassy - St-DenIs

Lannion - Rennes Tours - Chartres

Quevilly - Le Mans (2) Le 'Mans (3) - Orléans

Parigny - Le Mans

Chartres - Caen

Le Trait - Autreville

Rouen - Croix USEG - La Madeleine

Autreville - Caen Amiens - Le Trait

MARS

1 — Tirage au sort Championnats de France Individuels 2 — Championnats par Equipes - 12 journée a - 9 —

Internationaux du Pays de Galles à CARDIFF

9 — Coupe de France Messieurs, Dames et Jeunes 1/16 et 1/a 16 — Championnats par Equipes - 13ème journée 23 — CHAMPIONNATS DE FRANCE INDIVIDUELS AU HAVRE

Affinitaires Régionaux

F.S.F. Championnats Départementaux Individuels Seniors

F.S.G.T. Coupe Fédérale 30 —

Championnats par Equipes - Même journée

31

COUPES INTERLIGUES ET CRITERIUM NATIONAUX JEUNES - 31 Mars au 4 Avril

AVRIL 2 —

Clôture des engagements Interligues Seniors

5 - 7 ■ 7 au 1

6 — Stage préparatoire aux Championnats du Monde

12 —

Tirage au sort des Interligues Seniors

13 —

Coupe Nationale Corporative 1/8 et 1/4 de finale CRITERIUM NATIONAL DES MOINS DE 15 ANS -

F.S.G.T. Championnats Fédéraux Individuels

FINALES REGIONALES 17 au 27 —

CHAMPIONNATS DU MONDE A MUNICH

20 —

Affinitaires Nationaux

F.S.F. 19-20 : Coupes Nationale M. et D. finales F.S.G.T. Coupe Fédérale 27 — JOURNEE RESERVEE AUX LIGUES 31


MAI

1 au 4 — INTERLIGUES SENIORS

LISEZ...

10-11 — FINALES COUPE DE FRANCE MESSIEURS, DAMES ET JEUNES

17-18 — FINALES COUPE NATIONALE CORPORATIVE CRITERIUM NATIONAL CORPORATIF FINALE CRITERIUM NATIONAL DES MOINS DE 15 ANS

23 — Dernier délai pour l'envoi des propositions de classe ment national au Rapporteur Fédéral 24 au 26 —

Affinitaires Nationaux

F.S.F. Championnats Fédéraux Individuels Coupes Inter Union Cadets - Minimes F.S.G.T. Coupes Fédérales Jeunes et Championnat in dividuel Jeunes JUIN

1er au 20 — PERIODE DES TRANSFERTS LIBRES 22 — ASSEMBLEE GENERALE F.F.T.T. JUILLET 14 au 19 —

TOURNOI DES JEUNES A OBERTRAUM ^Autriche)

mm.

STAGE DE FORMATION DE

MONITEURS STAGIAIRES REGIONAUX A L'hN.S. du 8 au 13 JULLET

La photo de famille Ce stage réunissait une trentaine de participants (dont J. Secrétin, D. Dhonrt, M. Cordier) sous la direction de M. Roesch assisté de Messieurs Barbereau et Constant.

M. Berruex le supervisait pour le compte de la fédération suisse, la nôtre étant représentée par la souriante et dé vouée Mme Hardy. Disons de suite que ce fut une réussite à 100 %. Tout s'est déroulé dans une excellente ambiance. Nous formions

tous un groupe uni où les clans n'eurent pas cours. Et le travail ? bien que parfois pénible (chaleur, éducation physique) nous le fimes toujours tant sur le plan pratique que théorique avec goût et attention parce que bien ensei gné. Les techniques montrées par M. Roesch et ses adjoints nous convainquirent tous (étude des gestes, travail du jeu

de jambes, entraînement). Pour qu'elles portent leurs fruits, il faudrait, pour bien faire, qu'elles soient appliquées unifor mément à tous les échelons, dans tous les clubs (d'où recy

clage des anciens moniteurs). 32

Les méthodes variées d'entraînement de M. Roesch péda gogue et psychologue averti, permettront, à plus ou moins brève échéance, de combler le handicat qui nous sépare d'un bon nombre de fédérations européennes et de préparer la relève.

Ajoutons aussi que nos fûmes initiés au yoga. Espérons que nos meilleurs joueurs, et les autres, en seront des prati quants car cela se révéla extrêmement efficace. La veille du départ ; cérémonie simple mais très touchan te : les stagiaires offrirent à Mme Hardy, MM. Roesch, Barbe reau, Constant, tous émus, un petit cadeau, signe de notre reconnaissance pour leur travail consciencieux.

Formulons une suggestion ; le programme pratique et théo rique étant assez long à assimiler, ne serait-il pas possible de prolonger la durée du stage de 2 ou 3 jours ? Cela ne pourrait être que bénéfique. Il ne reste plus qu'aux stagiaires (reçus et non reçus) à mettre en application l'enseignement acquis.

Quelle belle tâche Ile ont devant eux I

D. LEROY


TROIS GRANDS AMIS DU TENNIS DE TABLE A L'HONNEUR Il est bon de revenir sur une cérémonie qui eut lieu le 10 avril à EGLETONS aussitôt après la remise par notre se

crétaire générai du Challenge Pierre CECCALDI à 1 équipe cadette de la ligue de Picardie.

Après avoir excusé le Président DUCLOS, retenu a LYON'

par la préparation des championnats d Europe et qui lui avait demandé de le représenter spécialement, M. MERCIER

tient à dire à son jeune auditoire tout ce que le Tennis de Table devait depuis 1961 au Directeur de l'Ecole d'appren tissage des travaux publics d'ECLETONS et à son équipe et notamment l'organisation de 3 coupes interligues des jeu

;

nes et d'une coupe interligue seniors.

Il remit ensuite à M. DERCHE la grande plaquette de a Fédération. MM BLUM et VIALLE reçurent à leur tour la

plaquette de la Fédération, juste récompense de leur devouement.

, .

M DERCHE, visiblement ému, tient à remercier chaleu

reusement le Président DUCLOS et la Fédération de l'hon

neur qui lui avait été fait ainsi qu'à ses collaborateurs. Il

se félicita de l'excellente tenue de nos jeunes et se d^lara

prêt à recevoir de nouveau le Tennis de Table à ECLETONS.

Un vin d'honneur, offert par l'école, clôtura cette réunion

de chaleureuse amitié sportive.

MM..VIALLE, BLUM, DERCHE

En Minimes, la cuvée est prometteuse

Les filles, elles, bénéficiaient d'un tan

et beaucoup de noms sont à retenir : en premier lieu la grande révélation ie mar

dem volontaire et particulièrement aguer

seillais COUFFIGNAL qui sort contre toute attente le favori N° 1 Jean-Michel Lefebvre d'Amiens. Avec ces deux

joueurs, de nombreux espoirs talen tueux jouant déjà sur une bonne valeur de Sème série : Thierry Roesch en gros progrès, ie bordelais Canor, Corniile d'Evreux, mais il serait injuste de ne pas citer les Leriche, Morvilliers, Menant et

}

ri qui sut s'imposer au Sème match face aux Alpes de manière indiscutable. Mlle Ponchart et Mlle Thomas offraient ainsi

à leur dévouée capitaine Mme HARDY le challenge CECCALDI si convoité. R. DELASSUS

surtout un certain lorrain Constant battu

d'extrême justesse par le vainqueur du jour et qui pourrait bien être la grandr* vedette de demain.

IMPRESSIONS APRES LES INTERLIGUES DES JEUNES

Chez les filles, les progrès sont beau coup plus marqués et nous disposons désormais d'une équipe très valable. Si

D'ECLETONS

Mlles MORICEAU et BERGERET se sont

Une fois encore nous avons vécu dans

la gentille cité corrézienne une semaine pongiste très agréable d'autant que les organisateurs de l'endroit sont des hô tes impeccables qui savent recevoir de façon parfaite. Qu'ils en soient remer ciés... Le gite et le couvert furent sans reproche et les conditions sportives of fertes aux jeunes pongistes furent ex cellentes.

Sur le plan sportif, les rencontres fu rent ardemment disputées, les équipes étant souvent très près l'une de l'au

tre. Chez les garçons, un nivellement certain s'est opéré, encore qu'en Ca

partagées les titres - ces deux jeunes sont les plus complètes - la lorraine Thisse en nets progrès et Mlles Drancourt, Rosséro et autres Thomas possè

dent également un jeu moderne et effi cace qui leur a permis de rivaliser bien souvent avec les lauréates de ces Cham pionnats.

Sur le plan des Interligues, elles ont vu le triomphe complet de la petite Li

gue de PICARDIE qui a connu à Egletons son heure de gloire.

La victoire des garçons a été longue à se dessiner - les jeunes poulains de M. Lefebvre furent terriblement accro

dets, le grand espoir messin Christian

chés par les Flandres et la Champagne

WEBER domine assez nettement le lot.

au cours de la poule de demi-finale avant de remporter une victoire aisée en finale devant une équipe de Provence qui

N'oublions pas que le jeune poulain de M. Roesch après s'être attribué le titre dans l'épreuve ASSU est sorti invain cu des 4 journées d'Egletons I ce qu'il

Claude BERGERET

n'y croyait guère.

fallait faire... Avec lui, un lot de bons

joueurs sérieux, bien aguerris emmenés par le flandrien Claude Fournier et le Morseillais Dupas.

(Photos Michel TAMISIER)

L'équipe de Picardie chère, à Emillenne HARDY

S3


STAGE DES PRESELECTIONNES POUR LENINGRAD A VICHY — De gauche à droite : J.-P. CORNILLE, M. Ch. ROESCH, Régis CANOR, Christian WEBER, Claude BERGERET, Michel DUPAS, Bernard COUFFIGNAL, Thierry ROESCH, Sonia MORICEAU, J.-Michel LEFEBVRE, Mme M. ROESCH.

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Conseil Consultatif à 15 heures. Comité de Direction vers 16 h. 30

nos futurs sélectionnés avant de pren dre la direction d'Alexandrie en compa

DE LA

TECHNIQUE avec

closes le 16 Novembre 1968 à minuit. .34

gnie de l'Equipe de France. Vers Ambérieu pour une cause Incon nue, mais la route était mouillée, ce fut le dérapage puis la collision. - Nos deux amis furent emmenés sur Lyon où Mada me DEPLAN

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Les candidatures comme membres du

Comité de Direction sont reçues à la F.F.T.T. uniquement par écrit et seront

Le Docteur DEPLAN en compagnie de

Madame avait pris la route de Nancy pour effectuer un contrôle médical de

une traduction de Charles ROESCH

devait décéder

au

bout

d'une huitaine de Jours. L'état de santé de notre médecin s'est

amélioré mais il devra observer un long repos suite à plusieurs fractures. A Roger DEPLAN, à ses enfants, cruel lement frappés dans leur affection la plus chère nous adressons de fraternel les condoléances.


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