Numéro 268 - 1972 by Besset Jérôme

llili

29® ANNEE — N° 268 — JUIN-JUILLET 1972 — LE NUMERO : 2 FRANCS

DINAN 7S - 7^""^ titre consécutif pour Jacques SECRETIIM

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MATERIEL AGREE ET RECOMMANDE par la Fédération Française BALLES AGREEES 1971-72

Toutes les compétitions et rencontres officielles organisées sous l'égide de la Fédération Française par n'importe quelle Association ou n'importe quel orga nisme régional ou départemental : Ligue ou ses subdivisions, doivent être jouées exclusivement et uniquement avec des balles agréées par la F.T.T. :

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réditorial de

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Georges DUCLOS !

DIRECTEUR-REDACTEUR

EN CHEF ï

■ ARMENTIERES nous avait donné des raisons d'espérer car

DE LA PUBLICATION :

le spectacle fourni par les plus jeunes était non seulement de

Georges DUCLOS

qualité, vu du côté technique, mais encore fort réconfortant.

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En effet, pour la première fois, l'engagement était total mais la

CONSEILLER TECHNIQUE :

préparation physique se faisait Jour et l'on pouvait voir sur la pelouse du grand stade de petits gars décidés s'échauffaient comme le font les plus sérieux des grands champions du mo

Paul-J. BARDIN •

RESPONSABLES DE RUBRIQUES : Charles ROESCH, Jean DEVYS,

ment.

■ ANNECY nous confirma que même chez les corporatifs, la présence des jeunes apportait un sang nouveau et bénéfique.

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■ DINAN nous donnant la présence de deux ministres, d'un préfet, du Directeur des Sports et de plusieurs maires, notre joie fut complète d'autant plus qu'à cette fierté venait s'ajou ter la révélation de nombreux talents venus des rangs des cadets pour semer la terreur chez les seniors. La voilà bien la vraie réforme I

■ DOLE couronna une grande année qui aura vu 13.304 partici

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■'■H III .g»,

pour les équipements régionaux finan cés par la région et sera, obligatoire ment, consulté par le préfet pour l'uti lisation des crédits d'Etat destinés aux investissements d'intérêt régional ou dé

CJ.O.Si.

partemental.

S'il faut en croire M. Roger Frey, ce n'est là qu'un début, ce n'est là que prémices : aux nouvelles compétences qui, dès à présent, pourront lui être con fiées éventuellement par les collectivi tés locales viendront, dans un second temps, une fois en quelque sorte que

E DECEN TRALISATION NECESSAIRE

les régions auront fait leurs preuves, celles dont l'Etat pourra décider de se dessaisir à leur profit. Ce point capital qui a fait dire du projet de réforme ré gionale qu'il restait ouvert sur l'avenir, figure en bonne place dans la loi. Quel que soit l'avenir d'ailleurs, le présent suffit à lui seul à justifier l'in térêt et l'importance que nous souhai tons voir attacher à cette question par l'ensemble des sportifs. Dès leur instal lation, en effet, les assemblées régiona les pourront non seulement effectuer et financer toutes les études susceptibles d'intéresser le développement régional mais faire toutes les propositions qui leur sembleront bonnes en meilleure

L'Assemblée Nationale a voté, il y a quelques semaines, le projet de réfor me régionale dont les grandes lignes avaient été arrêtées par le Conseil des Ministres fin 1971. L'économie généra

coordination

des

vue

d'une

prioritaires, voire prendre l'initiative de la réalisation de tels équipements. Point n'est besoin de s'étendre : le spoit, ici

n'a pas le droit d'être absent, de lais ser demain comme tel hier fut trop souvent le cas, le soin à d'autres de

parler en son nom. On sait le résultat d'une telle attitude.

Plus, dans cette perspective, les re

présentants du sport (on en comptera entre trois et quatre dans chaque co mité économique, social et culturel ré

gional) pourront, à l'instar des repré sentants économiques et de nombreu ses autres activités socio-culturelles, s'appuyer sur des structures solides, plus ils seront écoutés. Un homme seul, quelle que soit sa valeur, ne parle qu'en son nom et n'est entendu qu'en tant que tel. La création des comités régionaux du CNOSF semble, dès lors, le premier ob

jectif à atteindre. La logique veut que ce soit en leur sein que soient choi sies les personnalités auxquelles sera confiée la tâche de défendre la cause

du sport auprès des assemblées régio nales.

La décentralisation du CNOSF, non seulement renforcera sa représentativi

investisse

té à l'échelon national, mais elle est la

ments réalisés par les collectivités pu

condition première d'une présence réelle du sport dans les instances régionales qui vont être mises en place. Ce n'est qu'à ce prix que ceux qui y siégeront,

bliques. Parallèlement, grâce aux

ressources dont elles disposeront en propre, elles pourront participer au financement des équipements collectifs qu'elles jugeront

demain, en son nom, seront non seule ment entendus mais écoutés.

le de cette réforme dont l'entrée en vi

gueur est prévue pour le 1er juillet 1973 est, aujourd'hui, connue. Elle est

placée sous le signe du bicamérisme. Aux côtés du préfet de région, siége

les onze objectifs des C.R.O.S.

ront, demain, deux assemblées : une as

semblée de décision, le Comité régio nal uniquement composé d'élus et une chambre de réflexion, soeur puinée des CODER, le Comité Economique Social et Culturel. Le sport sera représenté aux côtés des autres activités économi

ques, sociales, familiales, culturelles et scientifiques au sein de cette dernière assemblée.

Reste à savoir, aujourd'hui, qui y re présentera le sport et y parlera en son nom. Pour tous, l'affaire est nette : c'est

au Comité National Olympique et Spor

Onze objectifs sont assignés aux Comités Régionaux Olympiques et Sportifs (C.R.O.S.) par le projet ac tuellement débattu par le C.N.O.S.F. Ces objectifs sont :

1°) grouper les ligues, comités ou unions des organismes membres du CNOSF :

ments nécessaires aux besoins et au

développement des activités physi ques et du sport ; 8°) de participer, éventuellement

à la gestion de tout organisme régionai qui concourt directement ou indirectement au développement du sport et des activités physiques et de plein air ;

2°) représenter le sport régional pour toutes les questions d'intérêt général auprès des pouvoirs publics et des organismes officiels régio

9°) de créer des prix destinés à aider à récompenser des groupe ments, des pratiquants et des diri

tif Français d'en décider. L'affaire est d'importance. A peine créé, le C.N.O. S.F. s'en est saisi. Les décrets d'appli cation de la loi seront, en effet promul gués dans les mois qui viennent, les assemblées régionales mises en place

naux :

geants ;

3°) sauvegarder et développer l'esprit olympique suivant les prin cipes définis par le Baron Pierre de

10°) d'entreprendre toute action susceptible d'apporter aux ligues,

dès le deuxième semestre

Coubertin ;

aide effective dans leur fonctionne

4°) apporter son assistance à la préparation et à l'organisation de

ment sur le plan de la recherche, de la prospective, de la documenta

jeux régionaux ;

tion ,etc. :

5°) de contribuer au développe ment du sport et d'en préserver l'esprit r

faire

l'année

prochaine afin d'être à même de discu ter les premiers budgets régionaux, ceux de 1974. Ce calendrier impose ce lui que les sportifs doivent se fixer. Il faut faire vite.

A qui serait tenté de sous-estimer l'enjeu de la partie qui vient de s'en gager, il suffira de relire le projet que vient d'adopter l'Assemblée. Il prévoit, entre autres, que le conseil régional, éclairé par les avis du Comité Economi que, social et culturel aura, dès son installation, plein pouvoir de décisioni

6°) de favoriser la promotion des sportifs sur Je plan social ; 1°) de promouvoir la réalisation des infrastructures et des équipe

comités ou unions adhérentes, une

11°) d'une

manière

directement ou

générale de indirectement

tout ce qui sera nécessaire au dé

veloppement de l'idée et de la pra tique sportive dans la région. Ils peu vent à cet effet, décider la constitu

tion de commissions spécialisées ou de comités départementaux.

le sport pour tous un corollaire indispensable de la vie moderne Le terme « Sport pour Tous » défini

par DON ANTHONY de l'Université de

fant, l'adolescent a tendance à aban donner sa pratique et à s'en éloigner

« un encouragement

dès qu'il quitte ce lieu de prédilection

prodigué à chacun quel que soit son sexe et spécialement à ceux qui ne sont

où il est donné à tous les hommes la

plus très jeunes en vue de leur faire pratiquer au moins ce minimum d'exer cice physique régulier qui est indispen

et de former leur intelligence. Cette dé saffection qui est une donnée essen

Londres comme

possibilité de s'instruire, de s épanouir

sable à son bien-être », est devenu de

tielle du problème ne manque pas de laisser perplexe. Pourquoi, pour quelles

puis plusieurs années dans un certain

raisons en est-il ainsi ?

nombre de Pays, en Scandinavie, en

Allemagne, au sein de plusieurs orga nismes internatiorvaux tels le Conseil international pour l'Education physique

UN BESOIN INNE

On a constaté, par ailleurs, que I ac

et le Sport patronné par l'U.N.E.S.C.O.

tivité physique augmente dans des pro portions sensibles avec le niveau de vie

le Conseil de l'Europe, comme un vé

et d'éducation.

On remarque d'autre part qu'un pour

ritable « Leitmotiv ».

Si nous nous reportons au premier quart de ce siècle, nous constatons

que depuis cette époque la pratique de l'Education Physique

s'est amplifiée

des

progressive'ment

Sports

dans

^tous les pays industrialisés pour devenir ^de nos jours Jours un véritable fait so cial et même économique.

centage de plus en plus important de la population adulte souhaite se livrer à des activités physiques mais le plus généralement sans aucune contrainte, indépendamment des clubs et des struc tures traditionnelles d'accueil probable

ment d'aspect trop rigide, peuï-être par fois trop repliées sur elles-mêmes.

roger également sur la

pratique du

« sport corporatif » qui constitue indé niablement un des éléments fondamen taux du « Sport pour tous » puisque nous savons bien que sur le plan ma tériel, l'homme doit travailler pour sub sister. Nous devons évoquer la « gym

nastique de pause «, celle que l'on qua lifie de ce charmant euphémisme « d'en tretien ».

Nous devons nous préoccuper des grands rassemblements, des « spartakiades » « des journées nationales » or ganisés dans certains pays, des gran des et rentissantes épreuves de masse qui se déroulent dans des disciplines naturelles telles la marche, le cyclisme, le patin à glace, activités conçues en tant que moyen de locomotion. Ce sont des compétitions particulières, mais el les ont une répercussion indéniable sur

la pratique du sport par le plus grand nombre.

Un mot sur le plan

médical

pour

constater que depuis quelques années

les hommes de science s'interrogent sur

Notre monde, en totale évolution, en

effet, des

la motivation dominante de la participa

Je rôle possible de l'inactivité dans la genèse de certaines afections oardio-

êtres humains qui l'habitent une force

tion aux activités physiques ou de ré

vasculaires.

pleine mutation, exige, en physique accrue. L'homme

doit être

mieux armé moralement, intellectuelle

ment, physiquement pour pouvoir af fronter, avec toutes ses chances la vie quotidienne. Comme l'ont déclaré des experts « la

La plupart du temps, on observe que création est avant tout un besoin inné

de bouger, de courir, de sauter plutôt qu'un besoin personnel d'obtenir des résultats individuels et d'atteindre à des performances. A ce stade de l'analyse, nous cons

conception du Sport pour Tous est liée

tatons qu'un certain nombre de Fédéra

aux transformations que connaît la So

tions régissant un sport en vogue, une

ciété moderne », c'est un corollaire à l'industrialisation, à l'automatisation, à l'urbanisation et à tous les phénomè

discipline traditionnelle, ont cru ^devoir élargir le champ de leur activfté en

nes analogues que subit notre société d'aujo-urd'hui. La notion de « Sport pour Tous » est très différente de l'idée

traditionnelle

mot, en « rajeunissant » leur discipline pour qu'elle soit plus accessible en particulier aux enfants et aux néophy

seulement le sport avec ses règles très précises, le sport de haut niveau, le sport de masse mais et surtout diverses

Nous remarquons aussi le développe ment considérable des sports de plein air : canoë, voile, camping, montagne,

formes d'action physique et de jeux li

ski, etc... Ces sports ont, en effet, le pouvoir de recréer l'homme et, en par ticulier, les habitants des villes qui ont

siques nouveau sans aucun rapport avec l'orthodoxie des règles qui répondent cer tes à une nécessité, mais dont vous sa

vez tous, la complexité dans leur appli cation théorique et pratique.

Une analyse succincte du phénomène sportif permet de constater que dans beaucoup de pays où le sport est prati qué - peu ou prou - dès l'école, mais ne l'oublions pas sous une forme obligatoire,

intégrée dans un système éducatif, l'en4

certains

que le « Sport pour Tous », que les ac tivités physiques appropriées s'intro duisent dans nos habitudes, dans nos moeurs ; nous devons nous y efforcer pour le bien d'autrui.

(suite page 20)

dimensions des surfaces de jeu, en un

tes.

et par ailleurs une foule d'exercices phy

dans

cès provenant de ces maladies (1). Ce fait motive les recherches que l'on en treprend actuellement. Il nécessite aussi

adoptant délibérément des règles plus souples, en modifiant par exemple les

du sport comme nous l'entendons gé néralement. Elle doit comprendre non

bres pratiqués d'une manière spontanée

N'oublions pas que

pays l'on chiffre à 50 % les cas de dé

un impérieux besoin de se dégager de l'environnement des

cités

modernes.

Ces sports meublent des périodes de loisir plus longues et plus profitables que la pratique des sports dits classi ques. Ces nouvelles activités offrent, par ailleurs, dans les régions où elles sont pratiquées, de nouveaux ^ débou chés économiques, facteur qui n'est pas négligeable en certains cas. Peut-être, pourrions-nous nous inter

Mesdames,

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ARMENTIERES - 27-31 mars 1972 COMPLEXE SPORTIF LEO-LAGRANGE, UNE ORGANISATION DE LA LIGUE DES FLANDRES ET DE LA MUNICIPALITE

les

coupes interiigues CHALLENGE PIERRE CECCALDI et les

critériums nationaux . minimes-benjamins

Sur la magnifique façade de la mairie d'Armentières chère à Gérard

HAESE-

BROECK on pouvait lire en lettres lu mineuses :

« BIENVENUE

AUX PONGISTES

L'ILE DE FRANCE

dirigée par Jean-Claude LAFARGUE victorieuse par équipes avec J.C. PATY, Jean-Claude DECRET, René HATEM, Prosper LUGASSY, Dominique HERENT Pascaie POINSARD, Dominique SZALKA Danièie BONFiLS et

Marie

Odile

BRETHEAU.

Photos

Michel TAMISIER

Puis, le défilé démarra en direction de la salle omni-sports. Et là, sur les aires de jeu, les équipes participantes s'immobilisèrent dans un ordre parfait

XlVèmes COUPES INTERLIGUES

Il est parfois bon de cumuler. Le se crétaire de la Commission Fédérale des Jeunes arrive le dimanche en fin d'a

près-midi à la salle d'audience de la Jus tice de Paix. Le délégué fédéral, sans

avoir le temps de réaliser il est admis et fêté parmi les membres du Comité

d'organisation. Il ne lui a pas fallu beauco-up de temps pour que son opinion qu'il s'était fait à l'occasion de sa vi site dans la phase de préparation lui soit confirmée du pays de Flandres en

général et de la plaine de la Lys et

rent diverses danses

Les « Joyeux

dont celle, inédite, des... Joyeux Boys.

aux accents du « P'tit Quinquin », ce fut la cérémonie d'ouverture, la réunion

Dignes et Modernes émules de Guil laume Tell, les - Archers réunis S_t-

de souvenirs aux

Sébastien » d'Armentières nous invitè

capitaines,

l'heure

des discours.

rent à un sport flamand et olympique :

Il revenait au Président de la Com mission Fédérale des Jeunes et, par ri

le tir à Tare.

cochet, au Président de la Ligue des Flandres M. Jean Devys, l'honneur d'ou vrir cette XlVème Semaine Nationale des Jeunes. « Cette manifestation n'est-

étions les hôtes de la Municipalité Armentiéroise. M. Gérard Haesebrock, Maire, les adjoints, les Conseiller mu

elle pas devenue la plus longue des épreuves françaises de Tennis de Table et, pourquoi ne pas le proclamer la plus sympathique, la plus rentable aussi puisque tournée résoiument vers l'ave

civiles et sportives, M. Georges Duclos

En fin de matinée

nicipaux accueillent

les

Jeudi,

nous

personnalités

Président de la F.F.T.T. : M. Jean Me'

cier, vice-président de la F.F.T.T. ; M. le Dr Deplan, médecin fédéral ; M. Jean Devys, président du Comité d'organi sation ; M. Roesch, directeur technique

nir. »

Il méritait bien le titre

premier

Ma.re pongiste de France M. Gérard Haesebroeck, Premier Magistrat de la ville d'Armentières. Sans sa municipa

lité pauvre et fière de toujours, mais aujourd'hui sportive jusqu'au bout des ongles n'aurait pas permis au Comité

national ; M. Gervais, directeur régional de la Jeunesse, des Sports et des Loi sirs. il remercie « pour avoir choisi Armentières

comme

oadre

crité

rium » et. Il est fière d'avoir été dési

gné pour organiser les Coupes Interli gues et de contribuer à son succès. Les Critériums, Benjamines, Benja mins, Minimes garçons s'ouvrirent, ra

d'Armentières. Pauvre et fière en parti

d'organiS'ation que cette semaine des

culier qui justifiaient de son optimisme.

Jeunes existe en 1972.

L'accent des gars du Nord dans la cha

M. Gérard Haesebroeck prit la parole pous souhaiter la bienvenue à ces jeu

à la table.

nes hôtes et à leurs responsables.

leur de l'accueil dont Jean DEVYS, Christian LATOUR, Eugène SECRETIN

;

Boys » apportèrent la note musicale en interprétant de nombreuses marches

pidement ils étaient conviés à se mettre

Dans les phases finales

benjamins,

des Jeunes et Critériums Nationaux.

éléments sportifs prirent tournure dans

notre attention a été retenue par la di rection de Lugassy sur Sevaux à la belle. En benjamines ,1a banlieusarde Poinsard

Déjà, en 1948 à l'occasion des cham pionnats de France individuels, en 1954

la salle omni-sports magnifiquement or

a dû subir la loi de la petite savoyarde

ganisées, par les phases éliminatoires.

Germain.

M. Roesch, Directeur Technique Natio nal, M. Terecick entraîneur national suppervisent dès les premières parties, les jeunes éléments susceptibles de devenir

En minimes garçons la surprise vint du Breton Bezier qui sortit le favori Décret. Autres défaites surprenantes,

se personnalisaient et laissaient augu rer ce que serait les XlVème Interligues

pour les Coupes interligues puis en 1961 pour les - Internationaux de Fran ce ». La Ligue des Flandres avait sû or

ganiser, une nouvelle étape est faite à ARMENTIERES.

Durant huit mois, les Devys, Latour,

Secrétin, Douilly,

Deiassus,

Casteli,

Tréhout, Coussemacker, Baetens et au

tres (nous en passons) ont réservé plu sieurs soirées par mois puis l'échéan ce approchant ils ont doublé la fré quence de celles-ci durant les mois de février et de mars pour

réaliser

une

grandiose organisation. Nous ne dou tons pas qu'ils ont consacré des cen taines d'heures de préparation laborieu se autant que désintéressée ; Certes ils ont bien mérité de notre grande re connaissance.

Jean Douilly, Juge Arbitre se retrou ve dans les territoires de sa ligue en

compagnie de Lucien Casteii, directeur des épreuves ; aussi, ils surent s'assu rer la collaboration combien efficace de Jean-Claude Droiiez.

Dès 14 h. 30, lundi après-midi les

équipes furent rassemblées au comple xe sportif Léo-Lagrange. ARMENTIERES ne pouvait pas faire un meilleur accueil à tous ceux qui disputent le challenge Pierre Ceccaldi. Et noblesse exige, c'est dans la salle d'entraînement que

les XlVèmes Interligues eurent leur pré lude.

Etaient, en effet réunis là, tous les

jeunes garçons et filles des vingt deux

Ligues, où nous pouvions regretter l'ab sence de la Provence, de la Côte d Azur.

Après cette cérémonie d'ouverture, les

l'élite de demain. Au cours des rencon

tres L'Ile de France, la Picardie, le Poitou-Charentes, la Haute-Normandie,

d'une part, d'autre part la Lorraine, L'A quitaine, la Basse-Normandie, les Flan

dres gagnaient leur qualification. L'Ilede-France

dominait

ses

adversaires,

mais la Lorraine vainqueur à Auch en 1971 devait céder sa place à la BesseNormandie pour la finale. Les élèves de Jean-Claude Laffargue s'imposent ra pidement en gagnant les quatre premiè res parties, les Bas-Normand arrachent deux parties, il faudra attendre le dou ble mixte pour que Tlle-de-France soit vainqueur du Challenge Ceccaldi par le score de 5 à 2.

Le Comité d'organisation des Flan dres avait voulu nous faire goûter un

celle de Germot devant Balland chez les filles un match fut sensationnel de

suspens, ce fut celui qui opposait Freulard à Angibaud. Avant que tombe le rideau sur les Critériums Nationaux, nous avons as sisté aux finales où toutes les person

nalités et le public furent émerveillés du spectacle que nous leur avons don né.

La Semaine des Jeunes s'est termi

née, aux mêmes rythmes de Tair ren

du célèbre par la musique du 43ème RI à l'instant des léeompenses. M. Gérard Haesebroeck, M. Georges Duclos, M. Jean Mercier, M. Jean De vys, M. Henri Ridary remirent aux ga

gnant les médailles, les coupes, les pla quettes, les breloques. Les vainqueurs,

Jacques Secrétin, champion de France,

programme culturel avec les hôtesses de la Musique, de l'Harmonie d'Houplines qui exécutèrent diverses parades et danses. Le groupe « Chants et Fol

cacée.

klore » d'Armentières composé de 15

inscrit dans les tablettes.

garçons et filles, s'accompagnant euxmêmes à la guitare ou à la flûte, inter prétèrent quelques chants et présentè

remit sa photo « Grand format » dédi ARMENTIERES est du passé, il est En 1973 ST-DIE vous accueillera. Michel TAMISIER

MINIMES

BENJAMINS

ARMENTIERES 72 Ils Ofit eu l'honneur

du podium !

Dominique HERENT, Marc SALINE Alain BEZIER, Michel HOFFSTETTER

Prosper LUGASSY, Flervé BALLAND Jean-Luc ROQUES, Antoine SEVAUX

Françoise NOWAKOWSKI (St-Dié, Lorraine) en benjamines

le polmorès individuel

BALLAND (St-Dié, Lorraine) en benjamins Brigitte THIRIET (ASEG Nancy, Lorraine) en minimes filles Marc SALINE (A.G. Caen, Basse-Normandie) en minimes garçons

MINIMES FILLES

BENJAMINES

Avec le concours des

Tables « RHODANIA » D.I.F.A.B.

et de la Balle ALESIA ★★★

Martine BANKAERT, Brigitte THIRIET, Patricia LE NY, Annick FREULARD

Photos Michel TAMISIER

Patricia GERMAIN, Françoise NOVAKOWSKI Sophie PLOMBIN, Pascaie POiNSARD

sous LE PATRONAGE DE MARCO-SPORTS.

S'EST TERMINE

APOTHEOSE MASSY

p» f5 n

LMi Jean MERCIER, Viviane JALET, Serge LOISEL et Monsieur le Maire de Massy

Le groupe des participants

et Jean DEVYS, père du Premier Pes Pongiste

Viviane JALET (Lorraine) et Serge LOISEL (Ile-de-France) vainqueurs individuels LA TOURAINE-ORLEANAIS A NOUVEAU GRANDE TRIOMPHATRICE AU CHALLENGE DU NOMBRE 1

Après Dreux en 1971, Mamers en 1970, Salbris en 1969, Compiègne en 1968 et Paris en 1967, « Massy 72 »

aura

donc marqué une étape importante et glorieuse dans l'his

C'est, par rapport à 1971, un bond de plus de 3.000 par ticipants, un mieux de 30 % I

Bien sûr, nous pourrions encore supputer cette année que,

toire de notre belle et unique épreuve de propagande en

si la France pongiste avait, à la proportionnelle, suivi l'e

faveur des «moins de 13 ans», d'ailleurs appelée à encore

xemple de la Touraine-Orléanais (qui a franchi le cap des 2500 I), nous aurions crevé le plafond Jugé utopique en d autres temps des... 50.000. Mais ne faisons pas la fine

se rajeunir de 12 ou 18 mois en 1973 ainsi que le veut l'é volution du tennis de table français.

Disons-le tout net ; le Premier Pas Pongiste 1972 aura été un succès et ce succès, nous le devons essentiellement

aux animateurs (locaux départementaux et régionaux) dont les Ligues, peu à peu, se sont attachés les services et qui ont la véritable foi des pionniers.

bouche et hâtons-nous lentement, c'est-à-dire...

sûrement

pour être en mesure de « travailler » efficacement cette

masse de très Jeunes qui promettent au tennis de table français de sortir, demain, des ...sentiers battus. A cet effort collectif et spectaculaire, il fallait une digne apothéose.

Le résultat final est là puisque, sous réserve de consoli dation des chiffres de l'Ile-de-France (qui ne peuvent qu'ê tre en hausse sur ceux annoncés I), un premier bilan dé voilait au 14 mai que plus de 10.000 garçons et près de

mai le fut en tous points... et grâce doit en être rendue à l'équipe organisatrice du Massy A.C., à sa « cheville ou

3500 filles, nés en 1959 et après, avaient réellement pris part à ce « Premier Pas ».

vrière » Bernard Leiièvre surtout (par ailleurs, secrétaire du comité départemental de l'Essonne), qui n'eurent pour-

La Journée nationale qui s'est déroulée le dimanche 14

tant que 4 semaines pour faire face à toutes les contingen ces matérielles et d'accueil. Admirablement aidés, il est vrai,

LES RESULTATS A PARTIR DES POULES

par la Municipalité très sportive de Massy, déjà vue à l'œu vre à l'occasion d'une « France-Belgique > de Ligue Euro

DEMI-FINALES

péenne.

(disputées entre les premiers des groupes qualificatifs]

Grâce doit aussi en être rendue aux... 64 participants...

Oui, vous avez bien lu, il n'y eut pas un seul forfait à Mas sy ou, plus exactement, comme le prévoit le règlement du • Premier Pas », pas une S'Sule défection non compensée ! Et, sur ce point, la palme est à décerner au finaliste garçon du Poitou-Charentes et à la finaliste fille de Basse-Nor

mandie, repêchés par... télégramme le samedi 13 au matin, à la suite du silence... coupable de la Côte d'Azur et pré sents le dimanche à 9 heures.

Au chapitre des regrets (car tout ne fut quand même pas parfait I), ia Commission des Jeunes évoquera l'absence d'un Juge-arbitre et d'un corps arbitral... désignés. Et ce, i'année où II avait été décidé de faire disputer le même nombre de matches (c'est-à-dire 7) à tous les concurrents

pour établir un classement individuel de 1 à 32 dans cha que catégorie. Ce qui faisait 224 matches à « lancer » en tre 9 h. 30 et 17 heures, nonobstant l'interruption dictée par

le traditionnel et combien sympathique repas en commun. Bien sû, cela ne s'est pas fait sentir mais le président Jean Devys et le secrétaire Michel Tamisier (reporter-pho tographe attitré I) avaient peut-être d'autres rôles à jouer que ceux de juge-arbitre et de directeur d'épreuve ...mê me compte tenu de l'aide remarquable autant que spontanée des acompagnateurs ou parents, jointe à ia discipline exem plaire de tous ces jeunes.

Il est aussi dommage que cette journée nationale du « Premier Pas 1972 » ne serait-ce que par les enseigne ments qu'elle apporte pour l'avenir - ne soit virtuellement déroulée qu'à huit clos si nous exceptons la présence ap préciée de Jean Mercier, vice-président délégué de la F.F. T.T. qui, au nom du Président Duclos, remit les coupes fé dérales aux lauréats... celle du Directeur administratif fé déral Jean Brantschen... et, bien sûr, celle de nos techni ciens nationaux. Charles Roesch et Tomislav Térécik qui, eux, eurent à cœur de superviser la journée de la première à la dernière balle..

Et, comme beaucoup de ces jeunes (exactement 25 gar çons et 26 filles, sur 32 I) n'avaient pas suivis à Armentièpes, nous comprenons que les dits Techniciens n'aient pas perdu leur temps à Màssy. Même si, finalement, ce sont des « Armentiérols » Vi

viane Jalet et Serge Loisel qui triomphèrent, une solide base technique déjà à Teppui, avec cette autre satisfaction col

lective de retrouver à Massy, mais dans une nouvelle gé nération, i'excellent niveau moyen déjà constaté à Armentières. Ce qui prouve que le plan de 10 ans est en mar che...

Le - Premier Pas 1972 - est mort, vive donc le « Pre

FILLES

1ère poule : 1. Viviane Jalet (Lorraine] 3 v. ; 2. MarieChristine Roussarle (Ile-de-France] 2 v. ; 3. Isabelle Dos Santos (Bass.s-Normandie] 1 v. ; 4. Claire Bedonski (P-i cardie] G v. ; Jalet bat Ro^ussarie 18, 13, Bedonski 13, 17 et Dos Santos 14, 12 ; Roussarie bat Dos Santos 15, 15, Be donski 15, 17 ; Dos Santos bat Bedonski 19, -17, 16.

2ème poule : 1. Corinne Seiliier (Flandres] 3 v. ; 2. Anne Landeau (Bretagne] 2 v. ; 3. Sylvie Lacroix (Picardie] 1 v.; 4. Sabine Delachenal (Alpes] G v. — Sellller bat Landeau 18, 19, Lacroix 1G, 19 et Delachenal 1G, 12 ; Landeau bat

Delachenal 15, 19 et Lacroix -19, 9, 16 ; Lacroix bat Delache nal -16, 1G, 18.

Finale : Viviane JALET (AC Blainville, Lorraine] bat Corinne Seiliier (FRJEP Avroult, Flandres] -19, 9, 12. Pour les Sème et 4ème places : Anne Landeau (AL Bruz, Bretagne( bat Marie-Christine Roussarie (ES Viry-Chatillon Ile-de-France] 13, 13.

Pour les Sème et Sème places ; Isabelle Dos Santos (AG Deauville, Basse-Normandie] bat Sylvie Lacroix (AAE Bernaville, Picardie] 13, -19, 12.

Pour les 7ème et Sème places : Sabine Delachenal (AEP Chambéry, Alpes] bat Claire Bedonski (AJM Nogent, Picar die] 15, 19. Suite du classement :

9. Sophie Javerihiac (CP Fouras, Poitou-Charentes] ; 1G. Dominique Brel (AL Croix-Rousse, Lyonnais] ; 11. Sylvie Boursier (école Rions, Aquitaine] ; 12. Marie-Thérèse RobezMasson (FR Longchaumois, Franche-Comté] ; 13. Geneviève De Orestis (CSM Coubron, Ile-de-France) : 14. Martine Malichaud (JL St-Amand, Touraine-Orléanais] ; 15. Martine Daguené (MJC La Ferté-Bernard, Sarthe], 16 Patricia Sarraiih (école Cestas, Aquitaine] ; 17. Sylvie Roussel (AS Salbris, Touraine-Orléanais] ; 18. Catherine Malichaud (JL St-Amand, Touraine-Orléanais] ; 19. Isabelle Ehret (AS Mulhouse, Alsace] ; 2G. Marie Claude Lailement (CSB StDizier, Champagne] ; 21. Béatrice Abgrall (CO St-Brieuc,

Bretagne] ; 22. Marie-José Brocart (CSB St-Dizier, Cham pagne) ; 23. Catherine Loubinou (USPAi Pont-de-i'Arche, Haute-Normandie] ; 24 Catherine Duteil (ASPTT Caen, Bas se-Normandie] ; 25. Michéle Léger (AP Lurcy, Lévis, Au

vergne] ; 26. Marie-Mouiren (USCA St-Auban, Provence] ; 27. Catherine Drouin (AL Montjean s. Loire, Atlantique] ; 28. Elisabeth Giraud (TTC Arles, Languedoc-Roussillon] ; 29. Marie-Luce Stavelot (US Ancy-le-Franc, Bourgogne] ; 3G. Elise Balès (St-Lys Olympique, Pyrénées] ; 31. Chris tine Pasquet (ASPTT Limoges, Limousin] ; 32. Marguerite Constancio (ASPTT Romans, Dauphiné].

mier Pas 1973 », rajeuni certes, mais avec un règlement inchangé ainsi qu'en a décidé l'Assemblée Générale de Dôle

et qui réjouira tous les animateurs de jeunes de France et de Navarre, statisticiens compris. La Commission des Jeunes

La journée nationale du « PREMIER PAS PONGISTE 72 »

s'est diputée sur tables BARNA

et avec les balles BARNA, agréées F.F.T.T. La dotation a été effectuée par les les Ets MARCO-Sports

GARÇONS

1ère poule demi-finale : 1. Serge Loisel (Ile-de-France) 3 V. ; 2. Marc Humpich (Alsace) 1 v. ; 3. Yves Hogrel (Bre tagne) 1 V. : 4. Yves Samouillan (Alpes) 1 v. (départagés à la moyenne des points) — Loisel bat Samouillan 12, 9, Y. Hogrel 15, 19, et Hutripich -14, 12, 16 ; Humpich bat Samouilan 12, 18 ; Y. Hogrel bat Humpich 21, 15 ; Sa mouillan bat Y. Hogrel 14, 19.

2ème poule demi-finale : 1. Charles Misrahi (Ile-de-France) 3 V. ; 2. Eric Hanonge (Haute-Normandie) 2 v. 3. Gérard Perrier (Basse-Normandie) 1 v. ; 4. Bernard Poinsteeu (Poitou-Charentes) 0 v. — Misrahi bat Hanonge -12, 17, 16, Poinsteau 14, 13 et Perrier 19, 22 ; Hanonge bat Perrier 19, 15 et Poinsteau 19, 17 ; Perrier bat Poinsteau 19, 13.

Finale : Serge LOISEL (ACBB, Ile-de-France) bat Charles Misrahi (ATT Villepreux, Ile-de-France) 16, 17. Pour les 3ème et 4ème places ; Marc Humpich (AS Mu

lhouse, Alsace) bat Eric Hanonge (EC Evreux, Haute-Nor mandie) -12, 19, 14.

Pour les Sème et Sème places : Yves Hogrel (AL Bruz,

Bretagne) bat Gérard Perrier (AS Parigny, Basse-Normandie) 19, 19.

Pour les 7ème et Sème places : Yves Samouillan (US

St-Egrève, Alpes) bat Bernard Poinsteau (FJ Mauzé-Thouarsais, Poitou-Charentes) -16, 16, 19. Suite du classement :

9. Bernard Hogrel (AL Bruz, Bretagne) ; 10. Denis Rossi

sélection

(ASPTT Dijon, Bourgogne) ; 11. Alain Davinroy (SR St-Dié, Lorraine) 12. Christian Lapeyre (St-Lys Olympic, Pyrénées) 13. Taoufik Tazerouaiti (CM Orléans, Touraine-Orléanais) ;

14. Daniel Pluchon (TT Requeil, Sarthe) ; 15. Philippe Pe-

bayle (école Rions,-Aquitaine)) ; 16. Eric Lermite (AL Longchamps Nantes, Atlantique) ; 17. Guy Perrin (TTC Arles, Langu-edoc-Roussillon) ; 18. François Buys (GC Voiteur, Franche-Comté) ; 19. Patrick Trouvilliez (FJEP N..ux-lesMines, Flandes) ; 20. Pierre Farout (AAE Brie, Picardie) : 21. Bruno Bettan (Union Orgères, Touraine-Orléanais) ; 22. Francis Droubant (école Cestas, Aquitaine) 23. Jean-Luc Ceyssat (ESE Limoges, Limousin) ; 24. Philippe Perrin (Etoi le Montaud, Lyonnais) 25. Patrick Renversé (PPC Suippes, Champagne) ; 26. Frédéric Mazur (CM Orléans, TouraineOrléanais ; 27. Bruno Lecointre (ASRG Caen, Basse-Nor mandie) ; 28. Jeen-Bernard Féraud (ASPTT Marseille, Pro vence) : 29. Bertrand Daudré (AAE Brie, Picardie) ; 30. Jean

Balles officielles agréées FFTT Nos balles agréées sont collées et sélectionnées à la main Nous mettons

l'expérience de la plus ancienne

Marie Verdeil (USC Valence, Dauphiné) ! 31. Michel Dé

manufacture de balles de tennis

bordes (FJ Mauzé-Thouarsais, Poitou-Charentes) ; 32. Phi lippe Blanchard (ASPTT Clermont-Ferrand, Auvergne) .

de table (fondée en 1930) au service de la compétition

N.B. — La Commission des Jeunes a fait imprimer le.s résultats complets et détaillés des 224 matches disputés au cours de cette journée nationale du « Premier Pas Pon giste 72 ». S'adresser à M. Jean-Devys, 38, rue Léon Marlot 59 ROUBAIX.

La Ligue de Touraine-Orléanais, première au challenge du Nombre (plus de 2.500 partici pants I), remporte la table BARNA offerte par les Ets MARCO-Sports Les trois autres lauréats seront dévoilés ul térieurement.

DONIER et Cie

01 - IZERNORE

L'INITIATION AU TENNIS DE TABLE présentée par Charles ROESCH - Directeur Technique National Dessins de Jacques POULAIN - C.T.R. Académie de Caen

Sème LEÇON OU PASSAGE A L'ENTRAINEMENT DE TENNIS DE TABLE CI H. ENVIRON)

Cette leçon est la dernière du cycle des leçons de familiarisation ou de préinitiation au ten nis de table. Elle est en même temps une amorce de l'entraînement au tennis de table propre ment dit. Mais il ne faut jamais oublier que s'il est indispensable de commencer à jouer très tôt au tennis de table pour espérer atteindre un jour un très haut niveau, ce serait néanmoins une erreur fondamentale d'axer l'entraînement sur une spécialisation précoce au tennis de table. Il

faut en effet éviter l'écueil de cette spécialisation précoce et parler plutôt de pratique précoce d'un sport. Pour notre sport cette pratique doit impérieusement être précoce si l'on veut at teindre de brillants résultats. Mais il faut cependant veiller à une éducation complète qui dé veloppe le maximum de capacités de l'enfant. C'est un peu ce à quoi s'efforce d'arriver la pré

sente leçon qui ne veut nullement être un modèle parfait, mais tient à montrer la place du ten nis de table dans l'entraînement des jeunes enfants.

Mise en train - Comme au cours des leçons précédentes

II. — Théorie — Questions sur la prise de la raquette - positon des doigts - de la main, etc... III. — Gestes à vide - Jeux à blanc

Dans le cadre des rencontres comptant pour le championnat de Première Division de la Ligue Européenne nous devons recevoir la TCHECOSLOVAQUE (Octobre), la HONGRIE (Novembre) et la SUEDE (Février). Les candidats éventuels intéressés par ces organisations sont priés de prendre contact d'urgence avec le secrétariat de la Fédération. 11

POUSSETTE - COMMENTAIRES - PRISE DE CONSCIENCE DES MOUVEMENTS

Tenue du bras avec une main pour activer le travail de i'avant-bras idem attaque du coup droit

idem attaque du revers

Combinaison des deux éléments - position et déplacement des jambes

IV. — Jeux - L'attrape — Sauter en avant, en arrière

■i

— Sauts latéraux, en avant, en arrière — Petites foulées — Cercles avec les bras

— Combat de coq — Petite foulée

— Circumduction des bras en croisant les bras

devant le corps puis en les décroisant — Polichinelle

— Flexion latérale du tronc

— Flexion en avant, en arrière du tronc

— Balancement des bras dans le plan antéropostérieur — Station écartée flexion du tronc

avant,

aller toucher le sol de plus en plus loin en arrière

— Sautillement sur place — Circumduction du tronc — Assis - ciseaux

— Assis - croiser les jambes soulevées du sol — Flexion du tronc sur jambes écartées 12

VI. — Exercices de jonglage - raquette - balle 1) la balle est frappée fort et amortie alternati vement - 1 mn sur face coup droit 2) idem sur face revers

3) idem en alternant revers et coup droit

V. — Acrobatie élémentaire — culbute avant

— culbute arrière — Roue

— Equilbre sur la nuque et les coudes — Poirier

— Petite foulée

VII. — Sur la table

a) Apprentissage du coup droit. La raquette est mise dans la position de départ, la balle est maintenue en place sur la raquette avec l'in dex de la main libre. - Exécution du geste, le partenaire attrape la balle avec la main et fait de même 20 à 30 répétitions.

— veiller au passage du poids du corps de la jambe arrière sur la jambe avant a') idem avec revers

b) Idem, mais on laisse tomber la balle sur la table et on la frappe après le 2ème rebond 10 à 20 fois.

c) Attaque du coup droit - record à battre c') idem revers au revers. 13

X. — Condition physique

— grimper et descendre en progression latéra VIII. — Condition physique

le à l'espalier

— Sauts à cloche pied sans raquette — Sautiller sur 2 pieds - se recevoir accroupi — Sauts latéraux

— Espalier - abdominaux - couché dorsal pieds sous l'espalier - flexion du tronc en avant

— grimper à l'espalier et redescendre

IX. — Tennis de table

— Contre-attaque coup droit au coup droit

— Attaque du coup droit sur le revers de con tre-attaque

XI. — Retour au calme — Trottinement en décontraction

— Exercices de relâchement

puis couché. 14

musculaire assis

DINAN une étape de marque dans les annales de

l'histoire de la F.F.T.T. L'HOTEL DE VILLE

M. J.oseph COMITI coupe le ruban tricolore pour l'inauguration de la salle omnisports en présence de M. PLEVEN Ministre de ia Justice et de

M. BLANCHOT Maire de Dinan

A l'Hôtel-de-Ville pendant l'allocution de M. le Maire

Photos Michel TAMISIER 15

Après »rès Dinan:

£<4

Ào) ^ufxei. c^t-cdc e^UctU/^L.

Attendue idue depuis plus d'une décen décennie, toujours ijours retardée, remise en cause, cause. cette percée des jeunes effectuée à Dlnan, est-elle un gage de promesse pour

l'avenir ou bien n'est-elle qu'un épiso de de notre tennis de table, c'est ce que nous allons essayer d'analyser. Un changement de génération de joueurs devraient normalement s'opérer tous les 4 à 5 ans. Bien entendu un cer

tain nombre d'entre eux parviendront à se maintenir dans le lot de tête plus

longtemps, mais c'est toujours un signe de stagnation, si les jeunes ne sont pas en mesure d'effectuer régulièrement leur percée parmi l'élite seniors.

autres et les les découragean. découragean. Là Là encore, autres et encore. Il nous nous faudrait des compétitions

Thirlet, Clément), Clément), 3 3 jeunes jeunes en en dem den i-fi Thirlet,

qui favorisent la concurence entre tous

leurs adversaires. En demi-finale, il en

Evidemment on pourrait mettre cette percée sur le compte du hasard. Sans verser dans un optimisme exagéré, on peut néanmoins considérer que quelque chose bouge en France. Nous avons réussi à créer une forte génération de jeunes autour du noyau des cadets, el le comprend les garçons et filles nés pendant les années 1955 et 1956 et en globe également les classes 1954 et

reste encore deux : Martin et cheau.

tivement nombreuse la concurrence est

les clubs d'une ligue. DInan a permis la percée des jeunes. En effet, en 1/8 de finale, nous retrou vons pour la première fols dans les an

nales du Tennis de Table français, 4 cadets : BIrocheau, Martin, Molodzoff, Constant Jean-Denis. Deux succombent, mais après avoir

durement

accroché BIro

De même dans le tabeau féminin nous trouvons 5 cadettes et 2 minimes en

1/8 de finale (Bergeret, Bankaert, Folet,

nale fir nale et et 11 cadette cadette et et 11 minime minime en en finale.

1956, au sein de cette génération rela grande, les joueurs s'entrebattent assez régulièrement, et, à un moment donné,

quelques uns émergent et c'est d'une

SI par malheur cette percée tarde trop il y a rupture de génération et quel que soit le niveau actuel du tennis de Table

dans le pays tôt ou tard II y aura ré gression et II faudra de longues années et un travail acharné pour retrouver le

contact d'une part et la continuité d'au tre part.

Mâàtsus,*» -j-.

Le travail amorcé dans les stages, dans les clubs, dans la formation des cadres, dans la réforme des compéti tions (et, dans ce domaine, je tiens à souligner plus particulièrement les tour nois de classement) ont Incontestable ment favorisé un bond en avant de no

tre tennis de table chez les jeunes. Armentières a

montré avec éclat le

travail qu'avait effectué les clubs, les entraîneurs et les ligues et cela pour la grande majorité des ligues. Il n'y a pratiquement plus de ligues très fai bles. SI les clubs pouvaient maintenant être en mesure de révéler des équipes aussi fortes que les ligues, alors II n'y aurait plus guère de souci à se faire pour l'avenir. D'ailleurs un certain nom bre d'équipes de ligue sont l'émanation directe du travail d'un ou deux clubs, mais là II y a un grave danger c'est que ce soit ce seul club qui travaille dans la ligue, écrasant la personnalité des

Jacques SECRETIN recevant des mains de M. le

Coupe du Président de la République - Sur le MARTIN, 'WALZACK et BIROCHEAU

Ministre

podium,

René PLEVEN la

masqué Christian ■ (Photo Tamisier)

telle génération que surgissent quelques Individualités de valeur.

TABLES MARTINEAU Rémy en muitiplis plaqué bouleau de Finlande 22 mm. et 25 mm.

TABLES AGREEES PAR LA F.F.T.T.

Alors que depuis 1967 environ nous n'avons guère eu de forte génération de jeunes, depuis 2 ans une telle gé nération a montré le bout de l'oreille. D'abord au sein d'elle-même la lutte

est âpre depuis deux ans pour la dé signation ou la consécration d'un leader ce qui amène forcément une améliora tion du niveau d'ensemble.

Documentation gratuite sur demande à MARTINEAU Rémy 85 - BELLEVILLE-SUR-VIE — Tél. 38 16

Il convient également de signaler que la génération desanciens est en régres sion. Ils n'ont pas pu (raisons profes sionnelles ou familiales) ou pas voulu faire les efforts d'un entraînemënt plus

poussé, plus rationnel. Le poids des ans pèse également. Donc d'une part la ve nue d'une forte génération de jeunes où

la concurrence est âpre, d'autre parV;Un certain relâchement chez les anciens, font que brusquement s'effectue une percée des premiers.

Toutes les conditions ne sont pas for cément réunies pour un renouveau de notre sport, disons cependant qu'un cer

tain nombre d'éléments sont en place. La présence à Roterdam de BIrocheau, équipler à part entière du Club Fran ce a montré qu'il était en mesure da

faire aussi bien que ses camarades plus anciens.

(Il lui reste à prouver maintenant qu'il est capable de mieux faire que ces der

niers. Il reste à prouver aux autres jeu nes, dans leur ardeur au travail, par leur combativité dans les

rencontres

Internationales qu'ils méritent leur placeau sein de l'équipe seniors. Nous avons déjà vu depuis 1955, une fols au moins une forte génération de jeunes (Evrard, Roesch, Dubus, Dhondt, GaraffI, Nalès, Secrétin (mais mis à part Jacques Secrétin elle na pas tenu les promesses qu'on était en droit d'espérer.

La génération des cadets de DInan fera-t-elle mieux que la précédente ? Il est encore trop tôt pour en tirer des conclusions.

La situation est un peu différente chez les filles, là aussi pour des rai

sons diverses les anciennes sont quel que peu déserté la compétition, cepen dant les jeunes sont parvenues à per cer plus vite et cette année a vu la

confirmation des meilleures jeunes tant

sur le plan International que sur le plan national. Il semble là, que le change ment de génération soit effectif.

jeunes titulaires de l'équipe de France : Bergeret et Thirlet, les cadettes et mi une

place

enviable

dan sla hiérarchie féminine.

Donc quelque chose bouge en France, ou semble se mettre au traval,l c'est un

signe encourageant, DInan

vient

L'inauguration officielle

d'une

omnisport est toujours un

salle

lier, sous Préfet de Dinan ; M. Georges

événement.

Hervé, Conseiller général des Côtes du Nord, maire de Léhon ; M. de Salins, Conseiller général ; M. Yves Sabouret,

Quand, de surcroit, elie est faite en présence de deux Ministres et à i'occasion d'un championnat de France de Tennis de Table, cela devient pour nous

Personnic, directeur égional de la J. et

Grâce à un fléchage très méticuleux qui donrfait aux visiteurs l'heureuse im pression de connaître Dinan « comme leurs poches », il était facile de sortir de la ville pour rallier la très belle et

S., etc...

très sobre salle omnisport construite à

proximité de la route Dinan-Dinard par le Conseil du District Urbain.

Ainsi donc, le Dimanche 7 Mai à onze heures précises. M. René PLEVEN ministre de la Justice et M. Joseph CO-

MITI, secrétaire d'Etat chargé de la Jeu nesse, des Sports et des Loisirs pou vaient admirer un complexe fort bien

Du côté F.F.T.T., il serait plus facile de nommer les absents que les présents, soit au titre Comité-Directeur fédéral et

encore plus à celui de la Ligue de Bre tagne. Disons simplement que les Pré sidents Duclos et Tirel ne pouvaient pas mieux être encadrés. Alphonse Deiarose qui a fait une remarquable dé

commandement ».

rière un rideau compact de participants

Après les discours d'usage, tous les participants à cette première partie du programme (officiels et joueurs) se re

particulièrement attentifs.

trouvaient à l'Hôtel de Ville de Dinan vin d'honneur.

Autour du sympathique et dynamique maire M. Yves Bianchot, avaient pris place notamment M. René Pléven, Gar des Sceaux, conseiller général des Cô tes du Nord et Madame : M. Joseph COMITI, secrétaire d'Etat et Madame, M. le Colonel Crespin, M. Claude Oail-

LISTE DES NUMEROS GAGNANTS A LA SOUSCRIPTION

DU CHAMPIONNAT DE FRANCE N° 44729 : Téléviseur couleur 42729 — 52750 — 06991 — 22583 50574 — 00240 — 19963 — 52653 49371 — 31787 — 29061 — 42788

Encore une fols, la jeunese vient de nous montrer qu'on peut lui faire con

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fiance.

26008 — 00509 — 18025 — 25527

montrer dignes

Urbain, mais ils étaient si nombreux que nous hésitons à les citer de peur d'en oublier un seul. Que tous soient ici remerciés pour l'intérêt évident qu'ils portent à notre sport.

néral trouvait le moyen d'avoir l'oeil partout en se cachant discrètement der

veau de notre tennis de table.

Saurons-nous, nous

Il y avait encore beaucoup de conseil lers municipaux de Dinan et du District

conçu par l'architecte Alain BLANCHOT qui a su édifier un ensemble à la fois harmonieux, fonctionnel, remarquable par son éclairage et son acoustique et la judicieuse position du « poste de

confirmer un premier pas vers le renou Un espoir est né. Il est encore bien fragile. Il nous faut maintenant faire en sorte que le mouvement soit Irrésisti ble, que le torrent s'engouffre dans la brèche, l'élargisse et crée les condi tions pour une progression en avant dans tous les domaines de notre sport.

directeur du Cabinet de M. le Ministre

du Travail, maire de Saint-Gast ; M. Le

« l'Evénement ».

où la Municipalité offrait le traditionnel

D'autres jeunes comme Bankaert et Folet se rapprochent sensiblement des

nimes occupent

Inaugurations et réceptions

26087 — 07102 — 43033 — 23688

de cette confiance ? Saurons-nous lui

monstration du rôle de Commissaire Gé

Dans la salle, les meilleurs pongistes français étaient présents et notamment Jacques Sécretin qui allait, quelques heures plus tard battre le record du

grand Michel Haguenauer en rempor tant le titre de Champion de France pour la 7ème fois consécutive.

M. Y. BLANCHQT fut très applaudi au cours de son allocution pleine d'humour, mais aussi de réalisme « Votre minis

tère, put-il dire à M. CQMITI, n'est pas généreusement servi. Il devrait avoir

un budget énorme... Les sports consti tuant .une espèce d«anti-drogue »... etc. Et surtout sa péroraison fut très re marquée : Les allocutions, c'est com« me une partie de ping-pong - La balle « que je vous envoie est toute blan« che ; j'espère que lorsque vous me « la retournerez, elle sera un peu ar« gentée I ». Après la remise des médailles de la Jeunesse et des Sports et de celles de

la Ligue de Bretagne, le président Du clos eut le plaisir, de remettre à M. Bianchot le fanion fédéral commémo rant Je souvenir de ces inoubliables journées.

donner les moyens de se réaliser plei nement et sans restriction ?

Saurons-nous garder sans défaillance une ligne directrice clairement définie? Charles ROESCH

Directeur Technique National

En raison de l'importance des ma tières nous sommes obligés de re porter à notre prochain numéro les comentaires

sportifs

Nationaux Individuels.

des

45èmes

Après quoi, un excellent déjeuner fut offert par la Municipalité aux principaux dirigeants et organisateurs dens la ma gnifique salle du Théâtre des Jacobins. Jean BRQSSEAU 17

■ Les Dinanais ont bien fait les cho ses. Mais arriver dans une ville et s'a

percevoir que l'on avait (pour l'occa sion, bien sûr) donné le nom de notre

président à la place principale, ça vous fait un choc ! Et qui fera mieux la pro chaine fois ? Renseignements pris, ce

Duclos-ià n'était pas le nôtre. Maire et académicien vivant il y a deux siècles, il ne se prénommait pas même Geor ges... Dommage I ■ Des arbitres, des marqueurs, du personnel, rien ne manquait. Pas mê me la délicate attention d'adresser dix

IC SDH En DINAN...

sur la route de DOLje)

H Patrick Birocheau a obtenu la Coupe de l'EXPLOIT des championnats offer te par l'A.S. des Handicapés physiques

Jours plus tard à chaque arbitre une très

Après le coup du double-mixte, pas

aimable et amicale lettre de remercie

étonnant /

ment signée des responsables Bertin et Troussier. Peu de chose, peut-être, mais a fallait y penser. ■ Notre grand confrère • Ouest-Fran ce » ne ménagea pas ses colonnes, ni Ses photos pendant plusieurs jours. Et

■ La Télévision honora notre sport com me peut-être Jamais elle ne le fit Jus

DINA»^

qu'alors. En couleurs (2ème chaîne) et aux Informations (1ère chaîne - Bravo

Df trinr

et merci. Ce fut un grand Jour de pro Alphonse DELAROSE en grande

pagande pour le Tennis de Table.

conversation avec M. Yves BLANCHOT Maire de Dinan

H Interwievé par « Ouest-France » MSugliani a déclaré : « Il n'y a véritable ment de bonnes organisations de cham pionnats de France qu'en Loraine, dans les Flandres et en Bretagne » On en connaît quelques-uns qui ont du tiquer en lisant cela.

■ Le trésorier de la Ligue de Bretagne, notre ami Repessé, a appris de la bou che même de M. Comiti qu'il recevait la médaille de la Jeunesse et des sports en tant qu'arbitre international. Il y a des fréquentations instructives... ■ Oui l'organisation des Championnats de Dinan fut une très grande réussite. Et s'il fallait faire un classement des

Le groupe des arbitres

cette lecture était fort enrichissante. On y apprenait entre autre chose Que Birocheau-Thiriet avaient gagné le-., double dames (Bibi, tu nous avais

caché cela I)

Que Serge Moriceau était le meil leur 'régional » ; Que le- rackett » de Secretin pren dra fin dans les années qui suivent II! Et que Ehriich était (un peu) respon

sable de « Texpedite ruie ». Sacré Alex va I

H Certains tourangeaux espéraient un peu mieux de Nicole Piilière. Mais une

vieille connaissance, Michèle Leroy rui na leurs espoirs. Ils se consolèrent en voyant le soir, à la Télé, une autre

tourangelle apparaître en gros plan et en finale des dames, s'il vous plait...

« précédents », l'équipe du commissai re général Delarose prendrait une tou te première place, sinon la première. Il faudrait tout citer : un remarquable fléchage d'accueil, un programme digne d'un grand éditeur, des réceptions gran dioses, une salle magnifique, tout était minutieusement rodé. La grande foule des sportifs bretons vint apporter pen dant deux Jours, la récompense de tant d'efforts.

Mais seulement comme arbitre. On fait

M Et Tan prochain, le Congrès Fédéral

ce qu'on peut I On ignorait que Jeannine Miquet s'intéressait à la publicité clandesti-

à Perros-Guirec, qui sera, n'en doutons pas DE LA (même) ROSE... Pourra-t t-on encore organiser en France après cela ?

TOCHE

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Anjou NEUFCHATEAU 88 >. Vllème Grand Tournoi International

de Tennis de Table » organisé par l'A-S. P.T.T. Cannes Le Cannet, le Dimanche

16 juillet 1972 au Palais des Sports de Cannes.

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La Ligue du Languedoc-Rousslllon, re cherche pour 'la période du 23 juillet au 13 août, 2 joueurs (classement national) pour participer à un stage de longue durée avec des jeunes de 8 à 12 ans ef de 13 à 18 ans. Conditions : Connaissances Robot souhaitables - Moralité et connaissances

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qui enverra la documentaion

LES PONGISTES A L'HONNEUR

Lu dans la • Nouvelle République du Centre • du 8-6-72.

« La médaille d'or du concours de la « meilleure andouille » a été attribuée à M. André BEAULIER charcutier à Des-

« cartes (37). Ce concours a réuni plu« sieurs centaines de compétiteurs ».

Soulignons que André BEAULIER est depuis de longuesannées président et animateur du Ping-Pong-Club Cartésien. Ce n'est pas permis à tout le monde de faire France

A travers...

meilleure

andouille

».

TOCHE 12ème TOURNOI INTERNATIONAL DES SREG - MULHOUSE LE

Une chronique de JACK PROUST

détaillée

du Tournoi. »

SEPTEMBRE 72

Tableau :

A - International (Messieurs) France jusqu'à 35 inclus B - International (Dames - Messieurs) France classé 20 - 25 - 30 - 35 -

lî m'arrive parfois de me poser des questions. Rassurez-vous, ce n'est ni de mes cas de conscience, ni de mes états d'âme que je veux vous entretenir.

0 - International (Dames - Messieurs)

Mais de questions auxquelles les règles de jeu du Tennis de Table ne répondent que d'une façon... dont vous allez juger vous-mêmes.

D - International Dames E - International Jeunes

• Quelle peut-être la durée de la suspension de jeu en cas d'incapacité temporaire de jouer ? — La plus courte possible...

• Quelle est la durée de la « consultation » entre le joueur et son capitaine ou conseiller, au changement de côté, en fin de set ? — Elle doit être brève...

• Le serveur a la balle posée sur la paume de la main. De combien de temps dispose-t-il alors pour exécuter son service ? (Car, dans l'absolu - ou l'absurde - sans délai fixé, il peut rester dans cette position jusqu'à la fin des 15 mn... ou indéfiniment si la régie d'accélération est en cours d'appli

40 - Dames classées

France

classé 30 - 35 - 40 - non

classés - dames classées 10. etc.

Nés après le 30 juin 1954 F - International Doubles

G - Interrégional (Messieurs - Dames) ouvert aux joueurs classés 40 etc. et aux joueuses classées 30 etc.

H - Interrégional (Messieurs - Dames) ouvert aux joueurs non classés et dames 40 etc.

Horaire

Série E 8 h. 30 — B 9 h. — H 9 h. —

A-D 11 h. 30 — G 11 h. 30 — C 14 h — F 13 h.

Le Tournoi se jouera sans interruption.

cation).

Sur 20 tables agréées FFTT.

— Il doit mettre rapidement la balle en jeu... Tout cela ne vous fait-il pas penser un peu à l'histoire du talentueux Fernand Raynaud où il est question du temps mis par un canon pour re

nir pour le 5 septembre à Monsieur Ro ger FUCHS, 28, rue Brustlein 68 Mùl-

froidir ?

IVous savez bien ; un certain temps...

Les engagements sont à faire parve

Ihouse 02 France. Le tirage au sort pu blic aura lieu le jeudi 7 septembre à

20 heures, salle Don Bosco, 71, rue de Sausheim.

...les Mailles du Filet

De nombreux prix d'une valeur totale de 3000 Francs récompenseront les 8 meilleurs joueurs dans toutes les sé ries sauf double.

4vee (e Le Sport pour tous

Sans aucune Dol...éance

suite de la page 4

• La Maison des Jeunes et de la Cultu

UNE PARTIE INTEGRANTE DE LA CULTURE

M est certain

que

pratique du

« Sport pour Tous » impliquerait rapi

re de POLE a mis toutes ses installa tions au service de la Fédération [go

dant deux grandes journées. Et même bien avant si l'on en croit programmes,

dement une diversification de la forma menus, guide touristique, excursions, tion des animateurs et des cadres tech majorettes et groupe folklorique. niques et c'est pourquoi nous aurions à nous pencher sur cet aspect du pro • Le directeur en est M. LENOIR Dy blème. A ce propos nous devrions nous namique, sympathique et barbe magnifi

persuader que les cadres techniques sportifs doivent pouvoir participer à I en seignement d'activités dites intellectuel

nombre de jeunes l'occasion d'enten dre parler de certains anciens assez oubliés. Jacques SECRETIN, notamment s'étonna de la remise d'une médaille à un certain FUNFS-CHI-LING. Habitué qu'il est des patronymes asiatiques, no

tre champion demanda quel était ce chinois qui recevait, notre plus haute distinction fédérale. Il fallut lui expli

quer sa méprise.. Cest jaune et ça ne

que (c'est pour la rime !). Avoir une sait pas I barbe pareille quand le président d hon • Le premier oar de l'excursion avait neur de la Ligue de Franche-Comté est un remarquable cicérone en la person

les et aussi à l'.animation culturelle car un... BARBIER, c'est de la provocation 1 nous sommes tous conscients que le • Le déjeuner du dimanche réunit un

sport est un des aspects importants de

très grand nombre de convives. Tous

la culture.

les officiels fédéraux, régionaux, locaux, tous les conseillers, bien des champions anciens et nouveaux avaient tenu à par

ne du Commissaire-général, l'érudit François DAVID. Il sait tout, cet hom me, sur son pays d'adoption. Ce fut un régal de l'oreille de voyager avec lui. C'en fut un autre (des yeux) d'avoir dans ce même véhicule la « capitaine »

ticiper à cette agape. Aussi, l'on remar qua fort la présence d'un trio particu

Tout un programme I

L'équipement retiendrait par aiileurs notre attention. 11 ne serait pas néces saire d'avoir à notre disposition des installations somptuaires. Des locaux

simples, propres,

hyglnénlques, fonc

lièrement valeureux formé de

des «

Pastourelles du

Val d'Amour ».

Valentln

• En alternant avec le réperotire des gentes pastourelles, on apprit que MOU né DOMINGO. Pour les jeunes ça ne CHARD était la patrie du vice-président dit peut-être rien. Pour les anciens, CHOBEL. Un impertinent, osa de puis 'la nature nous offre encore hor c'est tout le « ping-pong » de sa créa André mandé comment s'appelaient les habi mis dans les grandes cités urbanisées, tion à... 1959, une belle brochette 1 tants du pays... d'immenses possibilités qu il nous fau • Faisant la liaison entre deux époques • On apprit encore que le grand ingé drait alors saisir. nieur Gustave EIFFEL qui est né à DI Encourager la pratique du sport et de Maurice THORET-LE DUC, tout heu l'éducation physique par le plus grand reux, comme tellement d'autres, de se JON, avait construit la tour qui porte nombre, voilà l'objectif essentiel qui retremper dans un milieu si riche en son nom avec du fer du JURA. Fallait

tionnels, des plaines de jeu sommaire ment aménagées suffiraient certainement aux activités sportives appropriées et

BOURQUIN, Jacques WEIL et Jean-Re

le « fer »... devrait préoccuper nos fédérations, nos souvenirs. ligues, nos clubs et associations spor • Un autre ancien, encore en activité, • Nous n'arrêterions pas de rapporter tives en particulier ceux à vocation mul- (dont nous tairons le nom) assez athée ici tous les enseignements recueillis en

tisports.

sur les bords se réjouissait, disait-il, de

cette journée.

Ce devrait être aussi l'un des pre miers soucis de toutes les collectivi

rencontrer - enfin JESUS. En effet, un

Résumons 1

Jésus de Morteau, que

tés locales.

gastronome ne connaissait

Certes, la plupart d'entre

elles sont

conscientes de l'importance du dévelop

pement des activités physiques mais chacune l'envisage à sa manière et plus souvent sous

une

forme

empirique.

Nous ne pouvons leur en faire le grief car dans notre pays en particulier cela découle en partie de nos structures sportives qui n'ont généralement pas va rié depuis le début du siècle.

En supposant tous les problèmes du « Sport pour Tous » résolus, nous n'a vons fait qu'effleurer ceux qui

appa

raissent essentiels, les organisations traditionnelles, nos Fédérations, nos

clubs peuvent-ils en l'état, répondre aux exigences du sport de masse ? Nous nous devons d'y réfléchir, mais de toutes façon nous devons être im prégnés du fait que nos associations de base doivent devenir des cellules

prétendu

pas, était

inscrit au menu 1 II fut, sinon le seul, au moins l'un des rares convives à n'en

point goûter. C'est ainsi que la foi se perd 1 0 A ce même repas, le dessert était constitué par un délicieux gâteaux an noncé au menu par le terme < Table de pin-pong » Mais allez-donc conten ter tout le monde ! Jacques SECRETIN, qui était invité avec sa charmante épou se, prétendait, à juste titre sans doute, que le rebond était mauvais. Et il fal lait voir Jean VAILLANT et Robert AVENEL, mètre en mains s'insurger. Pen sez donc, cette « table » ne faisait que 160 centimètres sur 85. Un scandale..

Mais une magnifique pièce montée I • Le conseil de l'Ordre du Mérite Fé déral remit en « ordre » les distinc

tions 'anciennes, ce qui fut, pour bon

Que les « Présidents » en forêt do maniale de LAJOUX sont choisis par Je Conseil Municipal parmi plusieurs can didats. Ni Jean-Yves LABROT, président de ce remarquable comité d'organisa tion, ni Georges DUCLOS n'ont appré cié cette mesure. Ils ont fait savoir que ce n'était pas conforme aux statuts. — Que les présidents trop vieux étaient abattus, même s'ils ont 300 ans, ce qui n'est pas conforme... au fameux décret HERZOG...

— Que l'actuel président a été élu le

17 juin 1964 - C'est qui est notoirement inexact I

— Que LA FURIEUSE fabrique une poterie de réputation nationale. Y man quent pas de pots I — Et enfin que le JURA est le pays des Narcisses... Sans commentaires. -

Et mille regrets pour les jurassiennes !.. (à suivre)

ouvertes aux jeunes, aux moins jeunes, à ceux qui sont doués, qui peuvent es

pérer, leurs qualités physiques aidant, atteindre les sommets, les hautes per formances, mais aussi à tous les autres, à l'ensemble de nos proches, en un mot

au plus grand nombre car c'est là fina lement l'essentiel et ce qui devrait gui der notre démarche. 20

Jacques BARBEREAU a terminé Major de l'examen natio nal des Conseillers Sportifs (2ème partie) - Gérard LE ROY est également admissible et parmi les meilleurs Conseillers Sportifs de France.

organisées à tour de rôle par Amo^ureiti Ehriich, Jean Belot (Secrétaire de la F.F.T.T. de l'époque) et moi-tnême, avaient lieu régulièrement en période creuse de la saison (Mai, Juin, Juillet)

Sous le potronage du GROUPEMENT DE SOUTIEN

propos

concernant les Inumées Du 24 au 27 avril

dernier,

avec le

concours du Groupement de Soutien, nous avons reçu au retour des Cham pionnats d'Europe de ROTTERDAM, la visite de trois équipes étrangères. Nous les avons présentées à Paris, et dans plusieurs localités limitrophes de la ré gion parisienne.

Ces forrryations comprenaient : — Téquipe nationae de YOUGOSLA VIE : SèTne nation

mondiale avec sa

meilleure formation, Surbek, Sème joueur mondial, cham pion d'Europe 1968, Stipancik, Sème Joueur européen, vainqueur du Tournoi de classement des meilleures européens de Zagreb.

— l'équipe natoinale de TCHECOS LOVAQUIE ; classée 1ère du Cham pionnat de la Ligue Européenne de 1ère division, avec

Orlowski, llème joueur européen et 20ème mondial

Kunz, ISème 17ème

joueur

européen

mondial

— l'équipe de METTMAN, Champion d'Allemagne Fédérale par équipes 1972, avec les joueurs internationaux Leiss et Jager. Le lundi 25 avril, les Yougoslaves ont matché à Amiens contre Jacques Secrétin et Jean-Louis Walzack, et les Allemands à Epernay contre Danny Dhondt et Jean-Paul Weber.

Le mardi 25 avril, tous. Yougoslaves, Tchécoslovaques, Allemands, Secrétin et Walzack ont disputé avec acharne ment le 7ème Tournoi des Champions

qui s'est déroulé à Paris au Stade de Coubertin et que commente J.-P. Dequirez.

Les mercredi 26 et jeudi 27 avril, les Tchécoslovaques ont joué au Havre et à Béthune contre Secrétin et Walzack.

Ces mêmes jours les Allemands ont joué à Verneuil-sur-Seine et à Cher bourg, contre Dhondt et Weber. Sept manifestations en quatre jours.

à travers toute la France. Nous nous étions faits une chaîne d'amis-organisa

teurs qui, sachant l'importance de pré senter chez eux un Tennis de Table de qualité, profitaient de ces visites pour organiser soit leur tournoi annuel, soit de belles manifestations en plubic. Je suis certain que toutes ces organisations d'alors ont énormément contribué à la relance du Tennis de Table d après guerre. Période d'où nous sommes pas sés de 8.500 à 25.000 licenciés en Frarice.

La Fédération de l'époque a suppri mé toutes ces initiatives personnelles,

sans prévoir de remplacement. Résul tat. depuis ce temps aucune manifesta tion spécialement préparée n'a été orga nisée et prévue pour présenter le Ten nis de Table à un public néophyte. La propagande du Tennis de Table est vitale pour tous. Dirigeans. nous n'ignorons pas qu'en sortant de la ges

Un grand bravo à tous ces organisa teurs qui ont fourni un effort important

tion

en présentant à tous, notre discipline

lançant sur une nouvelle forme de pro

sous son aspect sportif, spectaculaire,

normale de votre club,

en vous

pagande, Il y a des risques à prendre,

intéressant tout le monde, et lès jeunes

mais nous sommes persuadés que ces

en particulier, car nous savons tous que

risques seront payants à la longue. Il

les intéresser est le meilleur moyen de les retenir et d'en faire des adeptes. Ces

vous faut persévérer, et ce noyau de public, que vous finirez par convain cre, se cristallisera autour de vos or

organisateurs que nous félicitons, sont les pionniers de cette nouvelle forme de propagande. **•

ganisations. Ces risques sont nécessai res et indispensables, si vous voulez que notre sport progresse sur le plan local et national.

Dans ce même esprit, toujours avec le concours du Groupement de Soutien,

nous avons organisé pour la 2ème quin zaine de juin, une Tournée en province avec exclusivement des joueurs inter nationaux français. Caractéristique de

cette Tournée : une partie de l'après-midi est consacrée à l'entraînement des joueurs locaux, par les champions. Le soir, démonstration en public. Se sont inscrits pour cette Tournée :

Pontarlier (Doubs),

Voiteur

(Jura),

Dieulefit (Drôme), Montpellier (Hérault), Pau (Pyrénées Atlantique), Bayonne (Py rénées Atlantiques), et Quintin (Côtes du Nord). Nous tenons è rendre hommage à ces sept organisateurs pour leur esprit d'initiative et de coopération. C'est un exemple à suivre, car seulement sept candidats sur plus de 2.500 clubs, c'est trop peu pour une campagne lancée pour toute la France. Pour aider ces organisateurs, dans leur effort, dirigeants de clubs des alen

tours battez le rappel de vos joueurs, faites leur comprendre que leur présen ce à ces manifestations est capitale. Rappelez-leur aussi qu'ils ont tout à gagner à venir regarder l'élite du Ten nis de Table, ils en tireront un ensei

gnement inégalable. Les anciens du Tennis de Table doi

vent se souvenir qu'il y a une vingtaine d'années, des tournées de propagande

Là, où ont réussi les anciens, aujour d'hui tous ensemble nous devons réus

sir, mais si notre effort n'est pas con

jugué. il ne sera pas efficace. Dirigeants, prévoyez de recevoir une de nos prochaines tournées, prévoyez

pour que nos visites soient réalisables, plusieurs manifestations groupées dans la région (distantes de 100 à 150 kms). Dors et déjà, nous vous informons que des équipes étrangères disputeront quelques matches en province, fin no vembre début décembre.

Si cela vous intéresse, faites-nous le savoir à la F.F.T.T. sans engagement

de votre part, nous vous adresserons tous les renseignements sur ces orga nisations.

Aujourd'hui, par manque d'habitude, il y a encore peu de candidats pour re cevoir nos tournées. Nous avons l'inten tion de les continuer, surtout en pério de hors saison sportive, car dans le contexte actuel, elles sont nécessaires.

Il nous faut donner un grand essor à la propagande. Car c'est par la progande que vous.

Dirigeants, obtiendrez plus des

pou

voirs publics. Car c'est par la progande que les jeunes seront attirés par notre sport,

Car c'est par la propagande que notre nous nous imposerons...

Car c'est par la progande que notre Tennis de Table deviendra un sport po pulaire. Alex AGOPOFF 21

Au Yougoslave Dragutin Surbek le 7'"' Tournoi des Champions PARTICIPANTS :

ALLEMAGNE : LEISS et JAGER internationaux, champion d'AI lemagne double Messieurs 1971 TCHECOSLOVAQUIE : ORLOWSKI, 11® loueur Européen et 20® Mondial

KUNZ, 13® joueur Européen et 17® Mondial YOUGOSLAVIE : SURBEK, 3® joueur mondial, champion d'Eu rope 1968

STIPANCIK, 3® joueur Européen FRANCE : SECRETIN, champion de France, 7® joueur Européen WALCZAK, champion de France militaire 1971

COUBERTIN LE 25 AVRIL 1972

des loisirs. Monsieur Pringarbe, secré taire général du Comité National Olym pique et sportif Français, dont la pré sence appréciée fût favorablement com

Tchécoslovaque fit un forcing specta culaire dans le second set qu'il rem porta 22-20, frisant un sec 2-0 qui eut

mentée.

cession de coups de boutoir d'OrloWski qui avait sû se gagner la faveur du pu blic par son excellent comportement. Stipancik, débordé et semblant privé

Le Président Belletre représentait le groupement de soutien à la F.F.T.T., avec quelques uns de ses collègues. Monsieur Pierre Loctin, autre champion de France (des Journalistes), était-il ve nu pour l'O.R.T.F. ou pour son perfec tionnement personnel ? L'institut Natio nal des sports était présent, grâce à Monsieur Leroy. Enfin, Monsieur Mer cier, vice-président délégué ; Monsieur

Crisafulli, vice-président et président de la Ligue Ile-de-France et Monsieur Rochmann, trésorier, représentaient la Fédé ration.

Dès le premier tour de ce tournoi à élimination directe, JAGER et LEISS ne

pesèrent pas bien lourd devant respec tivement : Surbek (17 et 11) et Orlowski (16 et 17), J. Secrétin disposait difficilement de Kunz (19, -16, 19), les deux hommes faisant preuve d'une évi dente fatigue. Photo Roger MARTIN

L'illustre salle parisienne fleurant bon, par endroits, le saucisson à Tail et le pâ té de campagne. Il était vingt heures et quelques ...balles 11! Le public habituel de connaisseurs meublait

confortable

ment les gradins. En bas, dans l'arè ne : « Les gladiateurs » échangaient en diagonale, des coups prometteurs. Dans la tribune de « César », l'ab sence de casse-croûte, n'empêchait pas les arrivées successives de Personna lités de choix. Messieurs GROSPEILLET

et LAFOSSE-MONTABRU, du secréta riat d'état de la Jeunesse, des Sports et 22

Pour J.L. Walczak, la tâche était rude

face à Stipancik, aussi dût-il s'incliner 15 et 18 après avoir offert quelques « belles rafales », que davantage de confrontations lidentiques rendaient moins précaires.

Le deuxième tour opposait Surbek à Sécretin et Orlowski à Stipancik. Mal

gré un match courageux, car il désirait visiblement mieux faire : Jacques fût battu 17 et 18 sans donner l'impression de pouvoir s'imposer. Le duel « OrloStip » connut davantage de suspense. Très combatif et sans doute plus « frais» Orlowski s'attaqua résolument à la classe un peu lymphatique du n° 3 Eu ropéen, qui empocha néanmoins le pre mier set en concédant 18 points. Le

été bien sévère. La belle fût une suc

du désir de vaincre 21-12.

Mais Orlowski n'avait pas fini de faire du spectacle de qualité. Dès le premier set de la finale Surbek dût s'em ployer sérieusement pour contenir la fougue de son rival, stimulé par son match précédent. Surbek l'emporta de justesse 22-20. Durant tout le second set, Orlowski continua de se battre avec

vaillance. Bien des spectateurs souhai taient, â ce moment, qu'une belle vint récompenser ses efforts ; Cependant, le grand champion Yougoslave, Jouant avec une grande maîtrise le laissa à 17. Certes, la fatigue accumulée pendant le Championnat d'Europe, a joué un rôle important dans le comportement de certains joueurs. Malgré cela, à la sor tie, personne n'était déçu de cette soi rée dont l'organisation signée Agopoff, fût excellente.

Sur le plan technique, certaines cho ses ont pu attirer l'attention des obser vateurs. L'exécution gestuel des coups droits, top spin, bloc-revers, ainsi que les appuis : sont très personnalisées et souvent peu orthodoxes. Concentration, anticipation et mobilité constituent les bases de la virtuosité de ces Seigneurs

plus ou moins combatifs, dont la maî trise en relance des balles à

rotation

constitue l'atout complémentaire. Cela aboutit à un système de peu < très re lativement » monocorde, qui peut laisser augurer de nouvelles évolutions assez faciles à prévoir. J.-P. DEQUIREZ

Avec le concours de GILLETTE-SPORTS et du COMITE

DEPARTEMENTAL

emes

Les XXI

DE HAUTE-SAVOIE

Critériums Nationaux

Corporatifs

'ii / .•«4

Réception à j'Hôtel-de-VllIe par Monsieur BARRAT, Maire-adjoint

ANNECY, baignée par les eaux clai res de son lac, entourée de ses belles

des temps records. Accueil et suivi de cet accueil irréprochables. Que M. GAR-

montagnes et inondée des chauds ra

NIER, son Président, veuille bien être notre interprête auprès de MM. BERGERET, CHADENAT, CHEDAL, LOUVAT,

yons d'un soleil inattendu, prétait son cadre aux Championnats Nationaux Corparatifs en ce week-end du 1er mai 1972.

HUIN et PERRIN pour leur dire la satis faction des responsables corporatifs Fé déraux.

page.

mis en relief une fois encore la remar

Avant de parler compétitions, il con vient de rendre un témoignage sincère de gratitude à tous ceux qui par leur action et leur présence ont permis ce

quable maîtrise de notre ami AlbertNelio DECROIX, Commissaire-général et

tant le patronage de cette épreuve na tionale a réussi à satisfaire les plus dif ficiles. Des échos très sérieux et très

nombreux nous ont appris qu'il s'agit d'une « très bonne rrvaison » sur le plan professionnel. Il a été démontré aux pongistes corpo de toute la France que ces échos n'étaient ni faux, ni surfaits.

Que

les

Dirigeants

GILLETTE-

SPORTS, M. MAGNIN et toute l'équi pe qu'il anime si bien, trouvent dans

ces lignes le témoignage de notre re connaissance.

COMITE

Le déroulement des

DEPARTEMENTAL

HTE-SAVOIE, qui a fourni d'actifs et

très sympathiques dirigeants dont l'ac tion a débouché sur une organisation excellente : grande salle bien aména gée qui n'a eu à lutter que contre les rayons du soleil dont il est fait état par ailleurs. Diffusion des résultats dans

compétitions a

Juge-arbitre irréprochable. Les corpora tifs lui doivent beaucoup et, en leur nom, nous lui

A GILLETTE-SPORTS, qui en accep

sans peine, devant ACIEROiD de PariS

(à la présentation vestimentaire sporti

Disons-le tout de suite, notre livre d'or s'est ainsi enrichi d'une très belle

beau succès :

La première nous a présenté les 4 équipes rescapées de l'important pelo ton qui avait pris le départ (plus de 100 engagements). Les demi-finales dispu tées le samedi soir ont permis aux Mu nicipaux d'Amiens de s'imposer, non

renouvelons

les

remercie

ments auxquels il a bien droit.

ve impeccable que nous avons appré ciée) et eux PONTS ET CHAUSSEES de Rouen d'en faire autant au détriment

des PTT d'Amiens (bravo AMIENS pour ce beau tir groupé, présence en demifinales de deux équipes). La Finale disputée le dimanche soir a permis d'assister à quelques empoigna des de bonne facture, notamment les ren

Je tiens à exprimer, pour terminer ce chapitre, la reconnaissance que nous avons tous éprouvée pour notre Prési dent Fédérai Georges DUCLOS. En leur consacrant deux Jours pleins de son temps, que nous savons si précieux, il

doute permis à son équipe de pousser ies inamovibles tenants (9ème titre consé

a démontré qu'aucune catégorie de pon

cutif) dans leurs derniers retranchements.

contres Gambier-Creusson

Hélaine-

Creusson, le Rouennais ayant passé bien près dun coup double qui aurait sans

gistes ne le laissait indifférent. De leur

Qua-t-il manqué à Creusson pour con

côté, les « corpo » lui auront laissé. Je l'espère, le souvenir de vrais sportifs,

clure victorieusement

soucieux avant tout de se livrer au ma

ximum sans pour autant se départir de leur grande gentillesse. Si le Président a apprécié leurs efforts, nous en serons flattés et ravis.

devant

Hélaine

toujours aussi régulier, aussi maître de lui ? Peu de chose I un peu de réussi te, un peu de calme devant l'adversité? Mais quel beau match I qui nous a per mis de digérer plus facilement certaines rencontres déséquilibrées compte tenu des valeurs en présence.

Reste le côté purement sportif par tagé en deux pôles d'atraction : la

Coupe Nationale Corporative par équi pes de 3 Joueurs et les Critériums Indi viduels Simples et Doubles.

Les CRITERIUMS ont tenu leurs pro fesses. Après la liquidation normale des poules, nous avons assisté à des luttes serrées, voire même spectaculaires. 23

En Simple Messieurs, Gambler

peinait déjà devant

Assandri

qui

devait

v;iàfi£risaaE^.'»iM>2B

nales : Creusson bat Surre 3-0 ; Hé laine bat Merlot 3-0 — Finale : Hélaine

succomber devant Surre dans les demi-

bat Creusson : 3-0.

finales. Creusson frisait la catastropFie devant le Lyonais Haitayan. Molet s'in

SIMPLE DAMES

clinait devant

Merlot et

1/4 de finale : Noblet S. (Kuhimann) bat Germain (ASPTT St-Jean) 3-0 ; Ber geret C. (ASPTT Annecy) bat Lacroix P. ASSLD) 3-0 : Lambersend (AC Blainville) bat Courtier M.A. (Creusot) 3-0 ; Thiriet (ASEG Nancy) bat Grégoire (AS

Hélaine com

plétait le quatuor des demi-finallistes. Creusson et Hélaine se retrouvaient

en finale pour une revanche très atten due. Hélas, Creusson ne réussissait rien sinon de valable mais surtout de dura

CEL) 3-0 — 1/2 finales : Bergeret C. bat

ble. Fatigue ou trac ? Nous [jenchons pour cette dernière hypothèse. Et Hé laine s'emparait d'un nouveau titre qui

Noblet S. 3-0 : Thiriet bat Lambersend 3-0 — Finale : Claude Bergeret bat B.

récompensait justement son calme légendaire.

SIMPLE JEUNES GENS

Thiriet 3-0.

classe et

1/4 de finale : Sobczak (Usinor) bat

En Simple Dames, les quatre plus

Nagy (Cerabati Pont) 2-0 ; Perrin C.

fortes se retrouvaient au premier pian

(CAPO) bat Hérent (EDF Paris) 2-1 ; Méline J. (AC Biainviile) Perrin S. (CA PO) 2-0 : Guiliery (CSF St-Egrève) bat

et les pronostics ne furent jamais pris en défaut, ce qui nous permit de me surer la

différence qui existe encore

Mescam (Giilette Sports) 2-0

entre la championne de France. Claude Bergeret, et la nouvelle venue au fir

Méline bat Guiliery 2-1 — Finale : J.-L.

mament des vedettes féminines, Brigit

Sobczak bat Méline 2-0.

te Thiriet, qui a tout pour réussir une

grande carrière mais qu'il iui faut en core parfaire par un travail acharné. En jeunes Garçons, des scores nets

ont S'anctionné les quarts de finale à l'exception du jeune Hérent battu de peu par Perrin. Mais pourquoi courir deux

Remise de la Coupe aux vainqueurs HELAINE, COTERET, GAMBIER par M. PINARD représentant la direction de GILLETTE-FRANCE

lièvres à la fois ? Les demi-finales vo

yaient déjà une qualification difficile de Méline signe avant-coureur d'une dé faite en finale devant Sobczak bel ath

lète qui devrait faire parler de lui sous peu.

Les Jeunes Filles ont qualifié facile

FINALE COUPE NATIONALE

1/4 de finale : Freulard A. (Esso Le Trait) bat Andrieux M. (CAPO) 2-0 ; Freulard S. (Esso Le Trait) bat Letellier A. (APPEN Oise) 2-0 ; Courtier M. A. (Creusot Loire) bat Germain P. (AS PTT St-Jean) 2-0 ; Thiriet (ASEG Nan cy) bat Freulard M. (Esso Le Trait) 2-0 — 1/2 finales : Courtier M.A. bat lard S. 2-1 — Finale : Brigitte Thiriet bat M.A. Courtier : 2-0.

Hélaine - Creusson

2-1

Hélaine - Peau

2-0

Hélaine - Tougard

2-0

Gambier - Creusson

1-2

geste a évité le découragement aux jeu

Gambier - Tougard

2-0

nes filles qui se seraient trouvées sur sa route. Les demi-finales ont permis à

Gambier-Hélaine - Creusson-Peau

2-0

Coteret - Peau

0-2

Courtier et Thiriet d'évincer les soeurs

Coteret - Creusson

0-2

Freulard qui en se battant crânement ont obligé les deux finalistes à leur con

Gambier - Peau

2-0

était l'apanage de Brigitte Thiriet com me on pouvait s'y attendre. Les Doubles n'ont pas été moins va lables que les simples. En Messieurs, les quarts rie finale permettaient à Haitayan-Garrivet de suc

SIMPLE JEUNES FILLES

Freulard A. 2-1 ; Thiriet B. bat Freu MUNICIPAUX D'AMIENS bat P.C. ROUEN : 6-3

ment les soeurs Freulard, Courtier et Thiriet. A noter le renoncement volon taire de Claude Bergeret qui par son

céder un set l'une et l'autre. La finale

1/2

finales : Sobczak bat Perrin C. 2-0 ;

SIMPLE MESSIEURS

DOUBLE MIXTE

Bergeret C. - Louvat battent Noblet Molet : 2-0.

DOUBLE DAMES :

Bergeret C. - Bergeret L. battent Van Robays - Noblet 2-0. DOUBLE MESSIEURS : Molet - Assandri bâtent Hélaine - Gam bier 2-0.

1/4 de finale : Surre (EDF) bat Gam bier (Muni, Amiens) 3-0 ; Creusson (PC Rouen) bat Haitayan (ASPTT Lyon) 3-2; Merlot (ASEGF Arras) bat Molet (Acie-

rold) 3-1 : Hélaine (Muni. Amiens) bat

Seymard (ASPTT Rouen) 3-0 — 1/2 fi

comber pavillon haut en mettant en cause jusqu'au bout le succès de leurs adversaires, alors que les trois aut.'es quarts se passaient sans douleur pour leurs vainqueurs. En demi-finales, Hélaine-Gambier

Molet-Assandri

fai

saient la loi, mais les favoris devaient laisser le titre aux deux Parisiens.

En Dames, Van Robays-Noblet et Bergeret < Mère et Fille - sortaient res pectivement Lambersend-Biget et Grégoire-Mitharian avant de disputer une finale qui donnait à Claude Bergeret son deuxième titre.

Le Double Mixte enfin lui apportait une troisième médaille qu'elle enlevait de haute lutte avec son compère savoyard Louvat au détriment des parisiens No-

Troisième succès des anneciens : Cl. BERGERET et A. LOUVAT

blet et Molet.

Les Corpos 1972 ont vécu. Vive es Corpos 1973 1 24

Victoire annéclenne avec la famille BERGERET en double dames

remportent le double mixte et sont félicités par le président CHATENAT (Gillette-Sports)

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