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Présentation du projet
Présentation des spectacles
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Les metteurs en scène
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Production : Tropiques Atrium Scène nationale Co-production 4 heures du matin : Tropiques Atrium Scène nationale et Cie Deux Temps Trois Mouvements
Tropiques Atrium est un Établissement Public de Coopération Culturelle, né en 2014 de la fusion du Centre Martiniquais d’Action Culturelle et de l’Atrium. Tropiques Atrium bénéficie du label Scène nationale du ministère de la Culture et de la Communication. Tropiques Atrium Scène nationale, dirigée par le metteur en scène Hassane Kassi Kouyaté, propose une programmation pluridisciplinaire portant l’accent sur la création, la jeunesse, l’accompagnement des équipes artistiques martiniquaises et les collaborations artistiques caribéennes et internationales. Tropiques Atrium a vocation à produire et soutenir des projets artistiques mettant en lumière la diversité de la création contemporaine auprès d’un public le plus large possible. Des temps forts et festivals rythment toute la saison à l’instar du Martinique Jazz Festival, du Festival des Petites Formes, de la Biennale de DWanse de Martinique ou encore des Rencontres Cinémas Martinique. Les actions de formations (pour les artistes professionnels, les médiateurs, les techniciens, les amateurs) et les actions de diffusion en décentralisation sur l’ensemble du territoire sont des éléments phares du projet, faisant de Tropiques Atrium l’outil artistique et culturel structurant du territoire martiniquais. Tropiques Atrium Scène nationale vous présente quatre créations et productions de la saison 2015/2016 au Festival d’Avignon 2016.
Hassane Kassi Kouyaté Directeur, Tropiques Atrium Scène nationale
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Suzanne Cesaire, Fontaine solaire Adaptation théâtrale : Daniel Maximin Mise en scène & scénographie : Hassane Kassi Kouyaté Avec : Astrid Bayiha, Nicole Dogué & Martine Maximin
D’après Les écrits de Dissidence de Suzanne Césaire (Éd. du Seuil 2009, 2015) publiés dans la revue Tropiques à la Martinique (1941-1945)
Lumière : Cyril Mulon Univers sonore : Serge Béraud & Ludovic Laure Costumes : Anuncia Blas Décor : William Vahala © crédit photo : Philippe Bourgade
P R É S E N TAT I O N « Trois femmes, sans chaperon, figures d’un féminisme assurément assumé, devisent, parlent, en toute liberté. Trois pour une seule voix. Cette voix à l’entendre, nul ne restera intact. Cette voix c’est celle de Suzanne Roussi Césaire » :
« Il est maintenant urgent d’oser se connaître soi-même, d’oser s’avouer ce qu’on est, d’oser se demander ce qu’on veut être. » Portés à la scène pour la première fois, ces écrits de l’intellectuelle et écrivaine martiniquaise, grande figure de la dissidence contre le Régime de Vichy, jouèrent un rôle majeur dans l’émergence des Antilles contemporaines. À travers eux, s’affirme une identité littéraire, culturelle et politique propre mais profondément ouverte. Dans un univers de boîte de jazz, cette création fait revivre la pensée et tout l’humour de Suzanne Césaire. Son écriture poétique, engagée, presque révolutionnaire, révélée par la mise en scène d’Hassane Kassi Kouyaté, trouve ici une résonance profondément actuelle et universelle. EXTRAIT DE TEXTE
Où que nous regardions, l’ombre gagne. L’un après l’autre les foyers s’éteignent. Le cercle d’ombre se resserre, parmi des cris d’hommes et des hurlements de fauves. Pourtant nous sommes de ceux qui disent non à l’ombre. Nous savons que le salut du monde dépend de nous aussi… Que la terre a besoin de n’importe lesquels d’entre ses fils. Les plus humbles.
THÉÂTRE DU BALCON - 12h10 Du 6 au 27 juillet, relâches les lundis Réservation : 04 90 85 00 80
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L ’ A U T E U R _ Daniel Maximin « L’écriture poétique est à l’origine de toute ma création littéraire (…) par le souci de privilégier la musique et les rythmes qui dans notre Caraïbe, associent les mots du poème à la danse et au chant. (…) Je m’attache à dépeindre la genèse des nouveaux mondes, sans ici ni là-bas, avec l’exil et le naufrage au départ des sentiers. » Daniel Maximin, né en Guadeloupe, est poète, romancier et essayiste. Professeur de Lettres et d’Anthropologie puis producteur-animateur de programmes francophones à Radio France, il a été ensuite Directeur des Affaires Culturelles
de la Guadeloupe de 1989 à 1997 avant de rejoindre le ministère de la Culture à Paris de 1997 à 2012, notamment comme Commissaire Général du Cent-cinquantenaire de l’abolition de l’esclavage, de l’Année de la Francophonie ou de l’Année des Outre-mer. En 2009, il édite une anthologie illustrée des poèmes d’Aimé Césaire ainsi qu’un recueil de l’œuvre de Suzanne Césaire. L’un de ses derniers ouvrages publiés, Aimé Césaire, frère-volcan, fait le récit de ses 40 ans de dialogue avec le poète. © crédit photo : Hermance Triay
L A P R ES S E E N PA R L E « Trois comédiennes de feu, incarnations physiques du verbe de Suzanne Césaire » _ FRANCE ANTILLES « Critique cinglante, ironique et drôle » | « Mise en scène remarquable » | « L’émotion submerge et laisse sans voix » MADININ’ART
L’ORCHIDeE VIOLeE
De Bernard G. Lagier Mise en scène & scénographie : Hassane Kassi Kouyaté Avec : Astrid Mercier Lumières : Marc-Olivier René Costumes : Anuncia Blas © crédit photo : blind
P R É S E N TAT I O N Quelque part, dans une cité populaire, une femme est seule, enfermée dans son appartement face à un miroir. En ce jour du quinzième anniversaire de son fils, elle s’interroge.
« Incapable de lui apprendre le bonheur, quand, on n’a que le néant en vie ». « Il est né l’état d’âme généreusement avide de sang au lieu d’une âme avide de sens ». « C’est ainsi, tu dois l’accueillir… - M’a-t-on dit. » Comment supporter ce fils fruit d’un lourd passé et d’un sombre présent ? En être le bourreau ? Le tuer ? Le livrer à la guerre ? Car Président compte sur nous ! « Le Président VONVON, a dit ! « Faites des fils ! » Notre patrie doit en fabriquer. » Sur le chemin qui lie les questions de l’intime aux problématiques sociétales, la comédienne porte ce texte corrosif, subversif, ouvrant le champ des mots et des maux indicibles d’une femme, mère malgré tout. EXTRAIT DE TEXTE Je déteste la rue. C’est sale et plein d’incertitudes. Mais en même temps c’est accueillant pour qui, ne connaît pas ailleurs, le là où aller. Alors de la rue j’en ai fait une toiture. L’abribus d’un sentier, un sentier tortueux qui mène un jour au « tu verras bien ». Des sentiers, il n’en manque point au départ de la rue.
ESPACE ROSEAU - 14h10 JOURS IMPAIRS - En alternance avec LE BEL INDIFFÉRENT Du 7 au 29 juillet, relâches les lundis
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Réservation : 04 90 25 96 05
L ’ A U T E U R _ Bernard G. Lagier En 2005, Bernard G. Lagier nous livre son premier texte théâtral : Moi chien créole. Il sera joué en Martinique, en Guadeloupe, au TNT à Toulouse, au Studio-Théâtre de la Comédie-Française, à l’Espace Libre de Montréal et au théâtre du CNA (Centre National des Arts) à Ottawa, dans la mise en scène de Sylvain Bélanger. En 2007 il écrit un diptyque : Paroles de sang. Avec les deux textes qui le composent, Mon père tout puissant et L’Orchidée violée, il aborde de manière singulière le traitement de la violence dans la famille. En 2010 et 2014 viendront La Carte, mis en lecture par Dine Alougbine au Festival International du Théâtre du Bénin (FITHEB) et Lang nou sé pa nou ! cosigné avec Frantz Succad et Évelyne Trouillot, présenté au festival du Jamais lu au Théâtre des Écuries de Montréal. Militant associatif et culturel dès le lycée, Bernard G. Lagier préside l’association Etc_Caraïbe depuis 2007. Elle regroupe près de 200 auteurs des différents pays de la Caraïbe. © crédit photo : DR
L A P R ES S E E N PA R L E « Superbe texte. Une vraie recherche qui mérite d’être saluée » _ « Expérience sensible » _ MADININ’ART
S. LANDER
LE BEL INDIFFERENT
De Jean Cocteau Mise en scène : Aliou Cissé Avec : Astrid Mercier & Aliou Cissé Lumières : Marc-Olivier René Costumes & décors : Sarah Desanges © crédit photo : blind
P R É S E N TAT I O N Une chambre d’hôtel. Il est tard. Sur le qui-vive, elle attend. Elle, une chanteuse de caf’ conc’ de retour de son tour de chant, guette impatiemment le retour de son homme. Il arrive. Enfin ! Et... lit son journal, sans un mot.
Écrit pour Édith Piaf en 1940, rarement repris depuis, Le Bel indifférent est une tragédie de l’attente. De l’attente de l’autre, de l’amour de l’autre, de l’amour inconditionnel jusqu’à la folie ? Le titre, dans toute son ironie, laisse entendre la force de la pièce. Face à ce mur de silence qui s’élève devant elle, son flot de paroles tantôt empreint de jalousie, d’inquiétude, tantôt marqué par la froideur, la distance, nous surprend et nous saisit. Cette création est née d’une rencontre d’acteurs voulant s’investir dans une démarche d’adaptation de l’œuvre de Cocteau sous l’angle de l’imaginaire créole. Se dévoile alors, dans la mise en scène d’Aliou Cissé, Premier Prix de Comédie au Théâtre Sorano, une démarche humble et habitée, au service d’un texte plein d’épices. EXTRAIT DE TEXTE Je donnerais cher pour voir ta figure derrière ce journal. Ta figure de diable. Une figure que j’adore et qui me donne envie de prendre un revolver et de te tirer dessus.
Écoute, Émile, j’ai bien réfléchi. Cette nuit, j’ai décidé de tout te dire. Tu es habitué que je souffre en silence. À ce que je la boucle. Eh bien, non, non, non et non, je refuse d’être une victime et de me laisser cuire à petit feu. Je vivrai. Je lutterai.
ESPACE ROSEAU - 14h10 JOURS PAIRS - En alternance avec L’ORCHIDÉE VIOLÉE Du 8 au 30 juillet, relâches les lundis
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Réservation : 04 90 25 96 05
L ’ A U T E U R _ Jean Cocteau Écrivain et cinéaste français (1889-1963). Un moment lié aux dadaïstes, il est de toutes les avantgardes et de toutes les évasions. Du feu d’artifice de la prime jeunesse (Plain-Chant, 1923) aux interrogations de la maturité (Requiem, 1962), c’est une même « difficulté d’être » qui est au centre de son œuvre. Ses romans (Le Potomak, Thomas l’Imposteur, Les Enfants terribles), aussi bien que son théâtre (La Machine infernale, Les Parents terribles)
sont marqués par la poésie. Cinéaste (Le Sang d’un poète, L’Éternel Retour, La Belle et la Bête, Orphée, Le Testament d’Orphée), dessinateur, peintre, ses créations sont autant de « projections » qui éclairent une époque et la transforment, en lui donnant l’occasion de regarder sans cesse « ailleurs ». Source : Larousse.fr
L A P R ES S E E N PA R L E « Nulle esbroufe, chapeau bas » _
MADININ’ART
« Rencontre avec la génération montante du théâtre martiniquais » « La jeune femme est douée ! » _ FRANCE ANTILLES
© crédit photo : DR
4 HEURES DU MATIN
De Ernest J. Gaines Mise en scène & scénographie : Hassane Kassi Kouyaté Avec : Abdon Fortuné Koumbha Lumières : Cathy Gracia Costumes : Anuncia Blas © crédit photo : blind
P R É S E N TAT I O N
Une boîte de nuit, une jolie fille. C’est la castagne, un gars est planté... Classique, sauf qu’ici, le personnage, un Noir de 19 ans, se rend. Il se retrouve au trou avec Munford, un abonné des lieux et Hattie, un transsexuel manipulateur. Le vieux taulard l’exhorte à ne pas se vendre au Blanc qui le fera sortir non sans contrepartie, à purger sa peine pour être autrement libre, autrement digne. Là, réside le véritable enjeu de sa captivité. Là, commence la prise de conscience. Là, naît le dilemme, face auquel le comédien, impressionnant, fait jaillir toute la puissance du texte. Ernest J. Gaines traite sans complaisance des difficultés du personnage à se rendre compte des mécanismes de l’aliénation.
EXTRAIT DE TEXTE - Alors, tu crois que tu l’as blessé, hein ? T.J. a demandé en levant de nouveau les yeux vers moi. Je lui ai rien répondu. C’était un salaud, une ordure. Il était grand et rouge et il traînait pas pour vous botter le cul si vous lui faisiez les mauvaises réponses. Il fallait peser chaque mot qu’il vous disait. Des fois vous répondiez, d’autres fois vous la fermiez. Cette fois, j’ai passé ma langue sur mes lèvres et j’ai rien dit. Il était à peu près quatre heures du matin, mais il devait faire 25 degrés là-dedans.
ESPACE ROSEAU TEINTURIERS - 16h30 Du 7 au 30 juillet, relâches les lundis 11 Réservation : 04 90 03 28 75
L ’ A U T E U R _ Ernest J. Gaines Ernest J. Gaines est un des rares écrivains américains à peindre un Sud en évolution, où les Noirs de la nouvelle génération s’opposent aux anciens dans une quête de dignité. Né en 1933 dans une plantation de Louisiane, il rejoint la Californie à quinze ans et commence à lire avec passion, en regrettant que « son monde » ne figure pas dans les livres. Il décide d’écrire pour le mettre en scène et s’affirme vite comme l’une des figures majeures du roman du Sud des États-Unis. Son roman Dites-leur que je suis un homme, est nommé au Prix Pulitzer et se voit décerné le National Book Award en 1994. En 2004, sa nomination pour le Prix Nobel de Littérature vient récompenser l’ensemble d’une œuvre magistrale.
« Ses romans font entendre la voix de ceux qui n’ont pas d’histoire. » _ LIBÉRATION « Une portée miraculeusement universelle. Comme toute œuvre majeure. »_ LIRE © crédit photo : Joseph Sanford
L A P R ES S E E N PA R L E « Conte truculent » _
S. LANDER
« Riche de découvertes et d’émotions » | « Comme toujours chez Kouyaté on retrouve ce minimalisme au service du texte qui le porte et le magnifie » _ MADININ’ART
Les metteurs en scène
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Aliou Cisse Pilier des planches, Aliou Cissé se lance, avec Le Bel indifférent, dans la mise en scène. Premier Prix de Comédie en 1972 au Théâtre Sorano, Aliou Cissé y devient pensionnaire jusqu’en 1989. Cette même année, il s’installe en Martinique. Au théâtre, ses grands rôles sont dans Gouverneurs de la Rosée de Jacques Roumain (Prix Albert Husson, 1979, Théâtre des Célestins, Lyon),
Tête d’or de Paul Claudel, Les Bouts de bois des Dieux de Ousmane Sembène, Toussaint Louverture ou la révolte d’un esclave africain de Jean-Louis Sagot-Duvauroux dans une mise en scène de Claude Moreau pour le Bicentenaire de la Révolution Française et Phèdre de Racine (Théâtre de la Tempête, Paris) où il incarne Thésée en 2006. © crédit photo : OFF Théâtre Martinique
Hassane Kassi Kouyate Né au Burkina Faso, Hassane Kassi Kouyaté est à la fois un griot, un conteur, un comédien, un musicien, un danseur et un metteur en scène de renommée mondiale. Son apprentissage est traditionnel. Il joue d’abord dans plusieurs compagnies africaines puis aborde le théâtre européen. Il a travaillé avec Peter Brook pendant près de 20 ans, aux côtés de son père, Sotigui Kouyaté. Directeur Artistique de la compagnie Deux Temps Trois Mouvements et de Yeleen, Festival international de contes au Burkina Faso, il a mis en scène une vingtaine de spectacles dont Kouta, The Island, L’Affaire de l’esclave Furcy,
Sony Congo ou la chouette petite vie bien osée de Sony Labou Tansi, ou encore Le Papalagui, avec Habib Dembélé, joué des centaines de fois notamment au Théâtre La Condition des Soies en Avignon. Personnalité qualifiée du Collège de la Diversité, il fait partie du comité de lecture des Francophonies en Limousin et donne des stages de formation sur les quatre continents. En janvier 2015 il s’installe en Martinique où il prend la tête de la nouvelle Scène nationale, Tropiques Atrium. © crédit photo : DR
Les COMÉDIENS
Astrid Bayiha Sort diplômée du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris en 2010. Depuis, elle a travaillé avec le performer newyorkais Eric Wallach, avec les metteurs en scène Catherine Riboli, Irène Bonnaud, Eva Doumbia, Paul Desveaux et Ayouba Ali. En octobre 2014 elle joue dans Les Nègres de Jean Genet mis en scène par Bob Wilson au Théâtre de l’Odéon. Habituée du Festival d’Avignon, elle a joué en 2015 dans Haine des femmes, mis en scène par Mounya Boudiaf, à Présence Pasteur. © crédit photo : Philippe Bourgade
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Nicole Dogue D’origine martiniquaise, elle a été formée à l’ENSATT de la rue Blanche et au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique où elle a eu comme professeur Claude Régy. Au théâtre, elle a travaillé avec Pascal Rambert, Dido Likoudis, Antoine Caubet, Brigitte Foray, Brigitte Jacques, Hammou Graia, Clotilde Ramondou, Jean-René Lemoine, Matthias Langhoff ou encore Alain Ollivier. Elle est aussi au générique de courts, de moyens et de longs-métrages, dont 35 rhums de Claire Denis ou Moloch Tropical de Raoul Peck. © crédit photo : Philippe Bourgade
Martine Maximin Est d’origine guadeloupéenne. Après des débuts dans la troupe amateur du Lycée Voltaire, à Paris, elle commence sa carrière professionnelle en 1980. Depuis, elle a régulièrement travaillé avec Bernard Betremieux, Philippe Ogouz, Claude Régy, Moïse Touré, Sarah Sanders, Laurence Février. En 2004, elle adapte Le Cœur à rire et à pleurer de l’auteure guadeloupéenne Maryse Condé et joue dans Cannibales, de José Pliya, au Théâtre National de Chaillot. On la retrouve également dans de nombreux téléfilms français. © crédit photo : DR
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ASTRID MERCIER En 1997, après des Études supérieures de Psychologie, elle s’installe à la Martinique. Elle y intègre très vite une compagnie de Théâtre Amateur. Et en 2005 joue dans « Phèdre » de Philippe Adrien. Elle a également travaillé avec Yoshvani Medina, José Exélis, Ruddy Sylaire, Ricardo Miranda, Éric Delor, Aurélie Dalmat, Jean-Hugues Miredin, Aliou Cissé et Hassane Kassi Kouyaté. Comédienne, assistante à la mise en scène, elle se définit comme une artiste autodidacte, toujours en quête d’exploration et d’échanges artistiques. Après l’accompagnement et la co-direction de compagnies, en 2015 elle fonde et dirige DIMWAZELL’ Cie. © crédit photo : blind
Abdon Fortune Koumbha Né à Pointe-Noire, il est conteur, comédien, metteur en scène et formateur. Il a travaillé avec les metteurs en scène Mwambayi Kalangayi, Nzey Van Musala, Daniel Simon, Laurent Dilandwa, Tstati-Tsatou, Jean Jules Koukou, Philippe Adrien… En juillet 2013, il joue au Festival d’Avignon dans Shéda, écrit et mis en scène par Dieudonné Niangouna, artiste associé du Festival. Il est le Directeur Artistique des Rencontres Itinérantes des Arts de la Parole et du Langage de Brazzaville depuis 2005. En 2012, il est nommé Expert Afrique Centrale de la Commission Internationale du Théâtre Francophone. © crédit photo : blind
Informations pratiques
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Suzanne Cesaire, Fontaine solaire THÉÂTRE DU BALCON - 12h10 Du 6 au 27 juillet, relâches les lundis 38 rue Guillaume Puy www.theatredubalcon.org Réservation : 04 90 85 00 80
L’ORCHIDeE VIOLeE ESPACE ROSEAU - 14h10 > jours impairs En alternance avec Le Bel Indifférent Du 7 au 29 juillet, relâches les lundis 8 rue Pétramale www.roseautheatre.org Réservation : 04 90 25 96 05
LE BEL INDIFFeRENT ESPACE ROSEAU - 14h10 > jours pairs En alternance avec L’Orchidée violée Du 8 au 30 juillet, relâches les lundis 8 rue Pétramale www.roseautheatre.org Réservation : 04 90 25 96 05
4 HEURES DU MATIN ESPACE ROSEAU TEINTURIERS - 16h30 Du 7 au 30 juillet, relâches les lundis 45 rue des Teinturiers www.roseautheatre.org Réservation : 04 90 03 28 75 CONTACT PROFESSIONNEL Julie Abalain - 06 96 43 15 55 jabalain@tropiques-atrium.fr www.tropiques-atrium.fr
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