Work(s) - Thimothée Ma Mung by Thimothée Ma Mung

THIMOTHﾃ右 MA MUNG ARCHITECTE ADE

WORK(s)

Thimothée MA MUNG

31 décembre 1987 15 bis rue de la chapelle 75018 PARIS +33 (0)1 40 34 18 98 +33 (0)6 80 60 41 58 thimothee.ma.mung@gmail.com

EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES ARCHITECTE INDÉPENDANT - Jan. 2013 - Mission complète (en cours), Rénovation d’appartement, 40m2 SHON, 40.000€HT, commande directe, Paris - Fev.-Déc. 2012 - Mission complète, Rénovation d’appartement, 60m2 SHON, 70.000€HT, commande directe, Saint-Ouen

Compétences acquises, - Développer un projet dans toutes ses phases - Planifier et suivre des travaux - Gérer les relations clients-entrepreneurs-fournisseurs - Gérer les aspects légaux et financiers - Travailler de manière autonome

STAGIAIRE - Sep.-Nov. 2011 - Hérault-Arnod Architectes, Concours d’urbanisme et d’architecture, durée : 2 mois, Paris

Compétences acquises,

- Fev. 2008 - UapS, Urbanism & Architecture Project(S), Projet urbain et fabrication de maquettes, durée : 1 mois, Paris

- Travailler en équipe

- Jul. 2007 - Ecotec-ingénierie, Groupe Patrice Pichet, Suivi et conduite de travaux, durée : 2 sem., Bordeaux

- Parfaire son savoir-faire en projet d’architecture

- S’intégrer à une entreprise - Adopter la méthodologie d’une agence - Répondre à des concours - Apprendre les bases de la conduite de travaux - Être plus productif dans les taches d’éxécution

ACADÉMIQUE - Sep. 2009 - Lycée Victor Duruy, option histoire de l’art, Intervention sur l’évolution des formes urbaines européennes au XIXème et XXème siècle

Compétences acquises, - Approche pédagogique sur l’architecture et l’urbanisme

FORMATION - 2010 - 2011 - PFE mention recherche, École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris La Villette (ENSAPLV), pôle Métropoles de l’Arc Pacifique (MAP) - 2009 - 2010 - Master, ENSAPLV, pôle MAP

- 2008 - 2009 - Erasmus, Echange avec la Escuela Técnica Superior de Arquitectura de Madrid (ETSAM) - 2005 - 2008 - Licence, ENSAPLV (équivalent Bachelor)

LANGUES Espagnol bilingue, Anglais courant, Chinois notions

LOGICIELS Autocad, Illustrator, InDesign, Photoshop, Sketchup,Microsoft Office, V-ray 4 Sketchup, Maxwell Render, 3ds, C4D

RUBAN BASTILLE

LIGNES x (VIVRE+TRAVAILLER)

MACADAM NATURE

SHANGHAI : PAYSAGES INCERTAINS

DES TOURS POUR UN LILONG

Réhabilitation d’un appartement, Paris, France

Réhabilitation d’un appartement, Saint-Ouen, France

Concours ouvert, YUL-MTL Paysages en mouvement, Montréal, Canada

Mémoire de M2, mention recherche, résumé

PFE, mention recherche, Shanghai, République Populaire de Chine

DES PORTAL EN VERTICAL

LES BARRES EN QUESTION

LES NOUVEAUX FAUBOURGS

Immeuble à patio, La Havane, République de Cuba

Logement en zone de rénovation urbaine, Beauvais, France

La question de l’extension et des limites d’une ville, Beauvais, France

SCÉNOGRAPHIE(s)

La théâtralité de l’espace urbain : La nuit, lieu du crime

Scénographie de Vincent, poème de Tim Burton

RUBAN BASTILLE Réhabilitation d’un appartement, Paris, France Le client, vidéaste, n’a pas d’idée préconçue sur ce qu’il désire. Les deux contraintes de base sont qu’il veut intégrer un coin repas ainsi qu’un écran de projection pour regarder des films. L’appartement, ancien, construit dans un système traditionnel poteau-poutre se situe dans un passage près de la Bastille. Il est constitué par un bloc intégrant cuisine et sanitaires et divisant l’appartement en deux espaces : séjour d’un côté, bureau de l’autre. Ce volume s’appuie sur un mur porteur et est logé sous une mezzanine servant d’espace chambre. L’objectif du projet à été de sortir de la logique du bloc et d’essayer de connecter les deux parties du logement afin de donner la sensation de l’agrandir. Dans un premier temps, le bloc assez gourmand en espace est détruit afin de pouvoir ouvrir au maximum l’appartement. Dans un second temps, la nature du mur porteur est mise à profit en retirant le remplissage en chaux d’entre les poteaux. A partir de cette nouvelle structuration on installe un ruban, une grande menuiserie continue, qui fait le tour de l’espace du logement, et qui, au gré de ces pliures intègre les diﬀérentes fonctions de l’habitat. De cuisine, il devient espace pour s’asseoir, rangement pour l’écran de projection, bureau, dressing, couchage d’appoint ou salle de bain. Concentré sur les pourtours de l’appartement, il permet de dégager un vide au centre où prennent place une coin repas et un espace salon séparés du bureau par un système de parois coulissantes en verre sablé contrôlant la vue et la lumière. Site: 35m2 + 7 m2 de Mezzanine Mission : Mission Complète Date : Livraison Eté 2013 Client : Privé Coût : 40 000 euros HT

Etat avant rénovation

A VUE01 VUE02

Coupe AA

B’

Etat projeté

Configuration initiale = 1 Bloc

A’

C’

Destruction du bloc & evidage du mur porteur => + d’espace + lumière naturelle

C’ 0m

B’

Coupe A’A’ Découper un ruban dans le sol

Décollage et pliage

Coupe B’B’

Coupe C’C’

Installation des fonctions

LIGNES x (VIVRE+TRAVAILLER) Réhabilitation d’un appartement, Saint-Ouen, France Comment faire d’un espace de travail un lieu de vie? Comment insérer dans l’habitat et la vie quotidienne le travail?

Cette réalisation tourne autour de ces deux actions, vivre/travailler et explore les manières dont elles peuvent cohabiter. L’intention n‘a pas été de les séparer en mettant d’un côté les espaces liés à l’habitat et de l’autre les espaces dédiés au travail. L’objectif à été, au contraire, de les reunir afin de créer un lieu particulier. Le projet ne cherche donc pas à organiser l’espace et le programme en termes de fonctions. La posture a été, au contraire, de le structurer autour des niveaux d’intimité. Plus précisément on a voulu regrouper en deux ensembles, les espaces intimes d’une part, et les espaces moins intimes d’autre part.

Entre eux, deux lignes de meubles s’interposent. Elles permettent, de séparer les espaces, de regrouper installations techniques et rangements, d’amener par un ensemble de découpes, une sensation de profondeur, et de marquer le vide central par une série d’usages associés aux fonctions et aux objets qu’ils contiennent. Ainsi, face à la cuisine s’installe l’espace pour manger, au centre de la bibliothèque s’insère l’espace de travail et près de la télé et du bar se glisse le salon. Site: 60m2 + 25 m2 de terrasse Mission : Mission Complète Date : Livraison Octobre 2012 Client : Privé Coût : 70 000 euros HT

Ainsi, on trouve au centre, tournant autour de la cour, un grand vide, qui concentre les usages offerts à la vue de tous (recevoir, manger, se réunir, travailler). En périphérie, on retrouve des espaces d’échelle plus réduite regroupant les usages requérant plus d’intimité (dormir, se laver).

Coupe AA

Coupe BB

Coupe CC Phase

Projet

Pour

Titre/Nom

H.O.N* 15bis rue de la Chapelle 75018 Paris 06.80.60.41.58

Adresse du Projet Pour

Phase

Date

04.07.12 Plan-AménagementRPB-Habiter/Travailler

Titre/Nom

Indice

DCE Date

04.07.12 03 22 rue Paul Bert, 93400 Saint-Ouen Plan-Aménagement

H.O.N* Nom du Fichier

We are HONorable Architects 0m 0.5m 15bis rue de la Chapelle 75018 Paris 06.80.60.41.58

Adresse du Projet

Indice

Format

22 rue Paul Bert, 93400 Saint-Ouen A4 RPB-001Plan23.ai

Nom du Fichier 1.5m

Echelle

RPB-001Plan23.ai 1:100

3.5m 0m

0.5m

1.5m

3.5m

03 Format

A4 Echelle

1:100

Deux Deux volumes volumes Deux Deux prennent volumes Deux prennent volumes volumes prennent place place prennent prennent place place Deux volumes enplace périen en périphérie périphérie en périphérie en eten périphérie crée etpériphérie crée des etdes crée et crée etdes crée desdes phérie offrent des esespaces espaces plus espaces plus espaces intimes espaces intimes plusplus intimes plus intimes intimes

paces plus intimes

plans - Le- découpage Le découpage - Le -Découper découpage Le-de Le découpage de plans découpage plans dedes plans dede plans plans et amene amene deamene de la profondeur amene la amene profondeur de ladeprofondeur de la profondeur la profondeur ménager des accès. - Des - Des accès accès - Des au-Créer Des au volumes accès - Des volumes accès au accès au volumes volumes devolumes laau profondeur périphériques périphériques périphériques périphériques sont périphériques sont crée crée sontsont crée sont crée crée

Insertion programme Mise Mise en en Oeuvre Mise Oeuvre Mise en Mise du Oeuvre en du programme en Oeuvre programme Oeuvre dudu programme dudu programme programme

SE REPOSER SE REPOSER SE REPOSER SE SE REPOSER REPOSER S'HABILLER S'HABILLERS'HABILLER S'HABILLER S'HABILLER REGARDER REGARDER TV REGARDER TV REGARDER REGARDER TV TV TV

RECEVOIR SERECEVOIR DETENDRE SERECEVOIR DETENDRE SE DETENDRE RECEVOIR SERECEVOIR DETENDRE SE DETENDRE LIVRES

LIVRES

CHAUFFER

LIRELIRE LIRE LIRELIRE LIVRES LIVRES LIVRES LIVRES LIVRES

CHAUFFER

MANGER MANGER MANGER MANGER MANGER TRAVAILTRAVAILTRAVAILSE TRAVAILSE REUNIR TRAVAILREUNIR SE REUNIR SESE REUNIR REUNIR ENTRER ENTRER ENTRER ENTRER LER LER LERLER LER ENTRER CUISINER CUISINER CUISINER CUISINER CUISINER LIVRES

Deux lignes structurent Deux Deux lignes lignes Deux structurent Deux lignes structurent Deux lignes lignes structurent un structurent un structurent un unun espace espace central espace central espace et espace central continu et continu central central et continu et continu et continu un espace central et continu continu continu continu continu continu

LIVRES

Dégager les vues Dégager Dégager les Dégager les vues Dégager vues Dégager autour lesautour vues lesautour les de vues autour de vues la autour la autour de ladede la la cour cour et favoriser etcour cour favoriser cour etcour l'éclairage favoriser etl'éclairage favoriser et favoriser l'éclairage l'éclairage l'éclairage de la et favoriser l’éclairage

LIVRES

Projet

Thimothée MA MUNG

We are HONorable Architects

DCE

RPB-Habiter/Travailler

Thimothée MA MUNG

SE LAVER SE LAVER SE LAVER SE SE LAVER LAVER

Phase

Projet

Thimothée MA MUNG Pour

RPB-Habiter/Travailler Titre/Nom

DCE Date

Plan-Aménagement 04.07.12

Menuiseries bibliothèque & cuisine, Plan d’exécution

DĂŠtails, systĂ¨me de porte coulissante

0cm

20cm

MACA(DAME) NATURE Concours YUL-MTL Paysages en mouvement, Montréal, Canada Le paysage en mouvement dans l’espace : Le ruban accompagne le parcours de l’aéroport au centre ville (et vice-versa). 4 Séquences rythment le parcours, basés sur le contraste entre artifice (A) et nature (N) : - Aéroport / forêt ( A > N ) : concentration du stationnement dans des parkings silos pour libérer le sol et planter une forêt, premier milieu que l’on traverse en sortant de l’aéroport. - Gare Lachine / mur artistique (AN) : valorisation de la gare et du train, connexion avec le quartier de maisons au sud, le mur support de création. - Parc technologique (AN) : les industries plongées dans la forêt, densification du bâti et requalification des façades sur l’autoroute. Connexion entre les quartiers Lachine et Cote Saint-Luc, proposition de création d’une gare pour le train de banlieue. - L’entrée dans le centre-ville : les tours surgies de la forêt (N > A ). L’entée dans le centre-ville manque de lisibilité. Nous proposons de créer, à la fin de la falaise Saint-Jacques autour de l’échangeur Turcot, un nouveau quartier haut et dense, qui surgit de la forêt et signale l’entrée dans le centre-ville. Le paysage en mouvement dans le temps : Le projet joue sur le contraste nature / densité urbaine. Il est évolutif dans le temps selon 3 phases majeures : - Phase 1 : activation du site par la commande d’installations artistiques ponctuant le parcours. Les œuvres répondront à un cahier des charges spécifique : perception dans la vitesse et le mouvement, développement dans l’espace, sécurité, etc. - Phase 2 : plantation du ruban végétal et de la forêt. - Phase 3 : densification ponctuelle du bâti et création du nouveau quartier Turcot, porte d’entrée du centre-ville. Site: 17km le long de d’autoroute Status : Projet, Date : Septembre 2011 Agence : Hérault-Arnod Architectes Chef de projet : Anarita Lapenna Type de concours : Concours ouvert

Les points d’interêts le long de l’autoroute A20

MACADAM NATURE

LE PAYSA

Idée directrice : Créer un ruban, utiliser la nature pour mettre en relation

MTL

La coulée verte du ruisseau Bertrand

Mont Royal

La falaise Saint-Jacques

YUL

4 Séquences - Aéroport / f l’on traverse - Gare Lachin - Parc techno entre les qua - L’entrée dan à la fin de la le centre-ville

LE PAYSA

temps selon - Phase 1 : ac spécifique : p - Phase 2 : p - Phase 3 : d

Secteu D

Avenue Dorval

ours, basés sur le contraste entre artifice (A) et nature (N) : ncentration du stationnement dans des parkings silos pour libérer le sol et planter une forêt, premier milieu que Chemin roport. Quartier Upper-Lachine(AN) : valorisation de la gare etSt-Henri du train, connexion avec le quartier de maisons au sud, le mur support de création. St -Jacques industries plongées dans la forêt, densification du bâti et requalification des façades sur l’autoroute. Connexion Secteur Verdun Quartier CoteNorman Saint-Luc, proposition de création d’une gare pour le train de banlieue. La falaise St-Pierre es Secteur tours surgies d e la forêt (N > A ). L’entée dans le centre-villeSaint-Jacques manque de lisibilité. Nous proposons de créer, à l’est de uesla autour de l’échangeur Turcot, un nouveau quartier haut et dense, qui surgit de la forêt et signale l’entrée dans 32ème

Activation du lieu par la mise en place d’installations artistiques

- L’entrée dans le centre-ville : les tours surgies d e la forêt (N > A ). L’ent à la fin de la falaise Saint-Jacques autour de l’échangeur Turcot, un nouveau le centre-ville. LE PAYSAGE EN MOUVEMENT DANS LE TEMPS : Le projet temps selon 3 phases majeures : - Phase 1 : activation du site par la commande d’installations artistiques po EMENT DANS LE TEMPS : Le projet joue sur le contraste nature / densité urbaine. Il est évolutif dans le spécifique : perception dans la vitesse et le mouvement, développement d s: Se connecter Phase 2 r la commande d’installations artistiques ponctuant le parcours. Les œuvres répondront à un cahier des charges - Phase 2 : plantation du ruban végétal et de la forêt. evitesse limite et dulepaysage en englobant leset EN Le système et les déplacements doux favorisent:les Plantation végétal YUL mouvement, développement dans l’espace,routier sécurité, etc.voies de Métamorphoser dialoguer Phase 1du ruban LE PAYSAGE MOUVEMENT DANS L’ESPACE Le ruban accompagne le parcours de l’aéroport au centre ville (et vice-versa). ensifier des milieux traversés connexions transversales et le désenclavement des quartiers. - Phase 3 du : densification duartistiques bâti et création du nouveau quartier végétall’identité et de la forêt. Infiltrer la nature dans les tissus urbains Activation lieu par la mise en ponctuelle place d’installations 4 Séquences rythment le parcours, basés sur le contraste entre artifice (A) et nature (N) : de industriel, les quartiers résidentiels, le territoire autour d’uneporte nouvelle figuredu centre-ville. uelle du bâti et Restructurer création du nouveau quartier Turcot, d’entrée marquables, les milieux naturels, les - Aéroport / forêt ( A > N ) : concentration du stationnement dans des parkings silos pour libérer le sol et planter une forêt, premier milieu que es de déplacement. l’on traverse en sortant de l’aéroport. - Gare Lachine / mur artistique (AN) : valorisation de la gare et du train, connexion avec le quartier de maisons au sud, le mur support de création. Chemin Secteur - Parc technologique (AN) : les industries plongées dans la forêt, densification du bâti etIndustriel requalification des façades sur l’autoroute. Connexion Quartier Upper-LachineSecteur Dorval St-Henri St -Jacques entre les quartiers Lachine et Cote Saint-Luc, proposition de création d’une gare pour le train de Industriel banlieue. Lachine - L’entrée dans le centre-ville : les tours surgies d e la forêt (N > A ). L’entée dans le centre-ville manque de lisibilité. Nous proposons de créer, Secteur Verdun Quartier à la fin de la falaise Saint-Jacques autour de l’échangeur Turcot, un nouveau quartier haut et dense, qui surgit Norman de la forêt et signale l’entrée dans St-Pierre Secteur Avenue Secteur Secteur le centre-ville. à l’est de Dorval Résidentiel Résidentiel la 32ème Dorval Lachine / densité Se MOUVEMENT connecter Phase LE PAYSAGE EN DANS LE TEMPS : Le projet joue sur 2le contraste nature Avenue urbaine. Il est évolutif dans le e limite du paysage en englobant les Le système routier et les voies de déplacements doux favorisent les Plantation du ruban végétal temps selon 3 phases majeures : ensifier l’identité des milieux traversés connexions transversales et le désenclavement des quartiers. de industriel, les quartiers résidentiels, - Phase 1 : activation du site par la commande d’installations artistiques ponctuant le parcours. Les œuvres répondront à un cahier des charges marquables, les milieux naturels, les spécifique : perception dans la vitesse et le mouvement, développement dans l’espace, sécurité, etc. es de déplacement. Métamorphoser et dialoguer Raconter EMENT DANS L’ESPACE : Le ruban accompagne le parcours de l’aéroport au centre ville (et vice-versa). Phase 1 - lePhase 2entre : plantation du ruban végétal et de la forêt. Activation du lieu par la mise en place d’installations artistiques ours, basés surLa contraste artifice (A)dans et nature (N)tissu : Raconter Phase nature s’infiltre le urbain par le tracé de l’autoroute Le projet2dessine une nouvelle limite du paysage en englobant les ncentration stationnement des parkings silos pour libérer ledu solau et planter forêt, premier milieu que quartier Turcot, -Créer Phase 3 :dans densification ponctuelle bâti et une création duvice-versa). nouveau porte d’entrée Le rubanduaccompagne parcours de l’aéroport centre ville (et une limite et le englober les espaces adjacents Plantation du Phase ruban végétal1 du centre-ville. A20. La nouvelle figure restructure le territoire et métamorphose le milieux adjacents. Il vise à intensifier l’identité des milieux traversés roport. Intensifier et donner à lire les identités des quartiers Activation du lieu par la mise en place d’installations artistique artifice (A)paysage etdenature (N)train, : (AN) : valorisation la gare par et du connexion avec le quartier de maisons au sud, le mur support de création. la coexistence de plusieurs rythmes. L’automobiliste, et à les rendre lisibles : le monde industriel, les quartiers résidentiels, industries plongées dans la forêt, densification du requalification des façades surpremier l’autoroute. milieu Connexionque s des parkings silos pour libérerle lebâti solet et planter une forêt, le passager du train, cycliste et le piéton parcourent l’espace à le canal Lachine, les sites remarquables, les milieux naturels, les PARC TECHNOLOGIQUE

QUARTIER TURCOT

Verdun

Quartier St-Pierre

MONTREAL

Secteur Norman

Secteur à l’est de la 32ème Avenue

Quartier St-Henri

QUARTIER TURCOT

Chemin Upper-LachineSt -Jacques

MONTREAL

Avenue

GARE LACHINE

Cote Saint-Luc, proposition de création d’une gare pour le train de banlieue. es tours surgies d e la forêtvitesses (N > A ). L’entée dans le centre-ville manque de plans lisibilité. visuels. Nous proposons de créer, plusieurs en percevant différents ues autour de l’échangeur Turcot,le unquartier nouveau quartier haut et dense, surgitle demur la forêtsupport et signale l’entrée dans train, connexion avec de maisons auquisud, de création. Secteur Industriel Dorval

Chemin Upper-Lachine-

Phase 3

Densification ponctuelle bâtisystèmes et mise en relation des zones stratégiques avec le territoire milieux culturels et du les de déplacement.

Quartier

densification bâti et des façades sur l’autoroute. Connexion St-Henri EMENT DANS LEdu TEMPS : Lerequalification projet joueIndustriel sur le contraste nature / densité urbaine. Il est évolutif dans le St -Jacques Secteur

PARC TECHNOLOGIQUE

s: ation d’une gare pour le train de Lachine banlieue. la commande d’installations artistiques ponctuant le parcours. Les œuvres répondront à un cahier des charges Secteur Verdun Quartier >rvitesse A ). L’entée dans le centre-ville manque de lisibilité. Nous proposons de créer, et le mouvement, développement dans l’espace, sécurité,Norman etc. St-Pierre et de la forêt. unvégétal nouveau quartier et dense,Secteur qui surgitSecteur de la forêt et signale l’entrée dans Avenue haut Secteur

uelle du bâti et création du nouveau quartier Turcot, porte d’entrée dude centre-ville. à l’est Dorval Résidentiel Résidentiel Dorval

Lachine

la 32ème Avenue

Le projet joue sur le contraste nature / densité urbaine. Il est évolutif dans le

Se connecter

3 LePhase système routier et les voies de déplacements doux favorisent les Densification Phase 3 ponctuelle du bâti et mise en relation des zones stratégiques avec le territoire connexions transversales et leendésenclavement des quartiers. Densification ponctuelle du bâti et mise relation des zones stratégiques avec le territoire Phase 2

Le système routier et les voies de déplacements doux favorisent les connexions transversales et le désenclavement des quartiers.

MR410

Plantation du ruban végétal

Phase 2

RE LACHINE

t les rsés

connexions transversales et le désenclavement des quartiers.

MONTREAL

ensifier l’identité des milieux traversés de industriel, les quartiers résidentiels, marquables, les milieux naturels, les es de déplacement.

Se connecter

QUARTIER TURCOT

Verdun

QUARTIER TURCOT

Quartier St-Pierre

NOLOGIQUE

GARE LACHINE

Secteur Norman

Secteur à l’est de la 32ème Avenue

MONTREAL

Quartier St-Henri

GIQUE

Chemin Upper-LachineSt -Jacques

stiques ponctuant le parcours. Les œuvres répondront à un cahier des charges Raconter pement dans l’espace, sécurité, etc. oute Le projet dessine une nouvelle limite du paysage en englobant les Se connecter e le adjacents. Il vise à centre-ville. intensifier l’identité des milieux traversés au quartiermilieux Turcot, porte transversal d’entrée Créer des connexion dedu déplacement doux Désenclaver les quartiers ste, et à les rendre lisibles : le monde industriel, les quartiers résidentiels, ce à le canal Lachine, les sites remarquables, les milieux naturels, les Se connecter milieux culturels systèmes e limite du paysage en englobant les et les Le système routier etde lesdéplacement. voies de déplacements doux favorisent les

Plantation du ruban végétal

MR410

installation artistique type : second plan

installation artistique type : linéaire

installation artistique type : ponctuel

Quartier Turcot

1 : 15 000

Quitter la forêt pour entrer dans la ville

EXISTANT PROJET - ART PROJET - NATURE PROJET - BATI

0km

1,2km

YUL aéroport

Sortir de l’aéroport en traversant la forêt

Parc Technologique

Gare Lachine

Relier les quartiers Côte St Luc et Lachine par un pont paysager à travers le quartier industriel

Première ponctuation du parcours

A 20

400m

1 : 5000

créer un nouveau quartier dense et redessiner un skyline pour l’entrée dans le centre-ville dir.

A 20

1 : 5000 400m

400m

1 : 5000 A 20

0m métamorphose des espaces verts résiduels en trame verte

densification de la végétation au pied de la falaise St Jacques

A 20

exploiter les surfaces potentielles pour créer une forêt

400m

1 : 5000

création d’une gare (train de banlieu) desservant le nouveau quartier

A 20

nal

Regrouper les surfaces de parking existentes en parking silo de 4 niveaux

gare : repère architectural du parcours

la gare de Lachine devient un bâtimentpasserelle au dessus de la A20

A 20

1 : 7500

le mur anti-bruit comme support d’arts visuels

1 : 7500

A 20

la passerelle du parc participe au désenclavement des milieux adjacents

mise en valeur de la zone industrielle : vitrine sur l’autoroute 1 : 7500

ine

Lach

1 : 7500

création d’un nouveau quartier, poreux, en lien avec le canal

MR410

Chemin Upper-LachineSt -Jacques

Secteur Industriel Lachine Secteur Norman

Avenue Dorval

Métamorphoser et dialoguer

Secteur Résidentiel Lachine

Secteur à l’est de la 32ème Avenue

Raconter

Quartier St-Pierre

Verdun

Le projet dessine une nouvelle limite du paysage en englobant les milieux adjacents. Il vise à intensifier l’identité des milieux traversés et à les rendre lisibles : le monde industriel, les quartiers résidentiels, le canal Lachine, les sites remarquables, les milieux naturels, les milieux culturels et les systèmes de déplacement.

Se connecter

Le système routier et les voies de déplacements doux favorisent les connexions transversales et le désenclavement des quartiers.

YUL AEROPORT

GARE LACHINE

PARC TECHNOLOGIQUE

MONTREAL

La nature s’infiltre dans le tissu urbain par le tracé de l’autoroute A20. La nouvelle figure restructure le territoire et métamorphose le paysage par la coexistence de plusieurs rythmes. L’automobiliste, le passager du train, le cycliste et le piéton parcourent l’espace à plusieurs vitesses en percevant différents plans visuels.

Secteur Résidentiel Dorval

Quartier St-Henri

QUARTIER TURCOT

Secteur Industriel Dorval

SHANGHAI, PAYSAGES INCERTAINS, De l’horizontalité vers la verticalité Mémoire de M2, Mention recherche sous la direction de Christian Pédelahore, ENSAPLV, 2010-2011

Depuis 1978, l’ouverture économique de la Chine, et la fin du sysThimothée Ma Mung Sous la direction de : Christian Pedelahore, Mémoire de M.2, MAP S.914, E.N.S.A.P.L.V, 2010-11

tème d’attribution des logements en 2000, l’espace urbain des métropoles côtières a connu de profonds changements. Shanghai, la « tête du dragon », la capitale économique, la « vitrine de la Chine » pour l’exposition universelle de 2010, apparaît comme le terrain de changements de grande intensité et de grande ampleur. À la différence d’autres villes chinoises, soumises elles aussi à des croissances économique et urbaine importantes (Shenzhen, Chongqing), Shanghai reste une métropole à l’histoire urbaine ancienne et abondante. À Puxi, (rive gauche du fleuve Huangpu) les buildings de fer et de verre côtoient les lotissements du début du 20ème siècle. En face des restaurants populaires et des échoppes de vendeurs ambulants, où l’on déjeune traditionnellement de nouilles sautées, les enseignes américaines comme Mc Donald’s et Starbuck’s ouvrent leurs portes et attirent une clientèle importante. Depuis les années 2000, de grands travaux de rénovation urbaine

de l’horizontalité vers la verticalité

ont été engagés dans tout le centre -ville en relation avec les politiques d’aménagement mises en place pour l’exposition universelle 2010 : « better city, better life ». Ces transformations sans précédents affectent fortement la physionomie des quartiers centraux. Des espaces urbains particuliers semblent émerger à travers la juxtaposition de différents éléments architecturaux : l’habitat tradi-

Shanghai : paysages incertains

tionnel shanghaïen en briques, les barres de logement de l’époque Mao, les tours et les anciennes usines réhabilitées, ainsi que les ruines et les zones en statu quo. Les évolutions récentes des paysages de la ville de Shanghai : appréhender le passage d’une organisation traditionnelle des espaces urbains à « l’incertitude ». Jusqu’aux années 1930 il était possible à partir de la saisie d’une partie du paysage, de deviner, voire d’imaginer l’ensemble de la ville, que ce soit par l’observation d’un point de vue vertical ou horizontal. À cette époque, l’homogénéité des formes permettait

d’anticiper ce que le regard ne pouvait pas saisir.

Evolution des formes urbaines de Shanghai

Aujourd’hui, compte tenu de la diversification des formes urbaines et de leur coprésence dans la ville, on note une forte hétérogénéité des éléments constitutifs du tissu urbain. Cette variété est telle qu’il devient impossible d’imaginer les formes de l’espace qui se déploient au-delà de ce qui s’offre à la vue, et c’est premièrement en ce sens qu’il semble possible de parler de paysage incertain : à travers l’impossibilité de saisir le paysage urbain à partir d’une partie qui le constitue. Ceci étant dit, le paysage nous paraît incertain dans un deuxième sens : l’impossibilité d’anticiper, à partir de ses formes actuelles, la forme qu’il prendra dans le futur. Le paysage incertain s’exprime donc dans deux temporalités différentes : dans le moment présent où l’on ne peut anticiper ce qu’est le paysage au-delà de la saisie qu’on en fait hic et nunc ; et dans le futur, parce que l’hétérogénéité des formes urbaines actuelles ne permet pas de prédire où, quand ni comment l’espace sera réorganisé. L’incertitude réside dans l’impossibilité d’anticiper ce qu’est ou ce que sera la ville à partir de ce que son paysage nous donne à voir. Quels sont les phénomènes résultant de la rencontre entre les formes et configurations urbaines, héritées et contemporaines, et leurs dynamiques paysagères spécifiques, et dans quelle mesure ces processus contribuent-ils au caractère incertain des paysages de Shanghai ? Dans le temps, comment peut-on différencier les dynamiques paysagères spécifiques et les formes urbaines qui leur sont associées ? Quels sont les modes de constitution de ces dynamiques qui construisent la ville ? À quelles logiques sont-elles soumises ? On s’intéressera d’abord à la structure et à l’organisation du lotissement lilong, pour ensuite traiter des nouvelles formes urbaines produites par la verticalisation des formes de bâti. Enfin, on tentera de comprendre l’incertitude des paysages produits par la rencontre entre les tours et les formes héritées des périodes précédentes.

DES TOURS POUR UN LILONG PFE - mention recherche, Shanghai, République Populaire de Chine Comment articuler les deux typologies majeurs de Shanghai, Tour et lotissements traditionnels lilong ?

Shanghai, une ville polycentrique

La position adoptée s’inscrit dans une démarche d’hybridation des deux systèmes urbains. Plus précisément, l’introduction des caractère de l’un dans l’autre et inversement. La stratégie urbaine c’est construite sur deux axes : - A la périphérie, la mise en place d’une muraille, constituée de tours et de typologies plus horizontales, permet de venir isoler le lilong des nouvelles voies de communications. - Au coeur de l’ilôt, l’installation d’une tour, contenant des équipement destiner au lilong. Une troisième typologie dite Shop-House (activité en RDC, logement à l’étage), permet de traiter ce nouvel entre-deux (venelles très intime, rue au sol très public), en créant un nouveau sol, de nouveaux parcours et de nouveaux espaces. Site: 17 000m2 Status : Projet, sans equipe Date : Printemps 2011 Cour : PFE05, Grandes villes émergentes, Identités urbaines et mondialisation, Pôle MAP (Métropole de l’Arc Pacific) Professeurs : Yong-Hak SHIN, Christian PÉDÉLAHORE, Philippe BLANDIN, Xavier JAUPITRE

Articuler tour et lilong, Plan masse

Lilong Tour Muraille

Parc

200m

ns le site -

Valeures spatiales Valeures spatiales -

Plein -

Valeures spatiales Valeures spatiales -

Plein -

Vide -

Répartition des programmes Lilong -

Lilong -

Répartition des programmes

Compartiments -

Valeures spatiales -

CompartimentsPlein - -

RDC, Mixité de l’offre commer. + service

Valeures spatiales Valeures - spatiales -

Plein -

Valeures spatiales -

Vide -

R+4, Le système hybride s’autonomise

Répartition des programmes Niveau R+1 programatiques comme un entre deux Plan des répartitions -

Echelle : 1/1000

Niveau RDC actif, une mixité de l’offre commerciale et de services

Niveau R+1 comme un ent

Valeures spatiales -

Vide -

R+1, Un entre deux

Répartition des programmes

Répartition des program

Echelle : 1/1000

Niveau RDC actif, une mixité de l’offre commerciale et de services

Typologies présentes dans le site - Typologies présentes dans le site Typologies présentes Typologies dans présentes le site - dans le site - Typologies présentes dans le site Typologies présentes Valeuresdans spatiales le site- -

Coupe Nord-Sud, variances des typologies -

Répartition des programmes

/1000

Répartition des programmes

Echelle : 1/1000

Niveau R+1 comme un entre deux

Echelle : 1/1000

Niveau R+4 Le système hybride s’autonomise

Plan des répartitions programatiques -

Coupe Nord-Sud, variances des typologies Répartition des programmes

Echelle : 1/1000

ces

programmes n des programmes

Répartition des programmes Répartition des programmes

EchelleEchelle : 1/1000: 1/1000

ne mixité l’offre et de services actif, une de mixité decommerciale l’offre commerciale et de services

Répartition des programmes

Echelle : 1/1000

Niveau R+1 comme un entre deux Niveau Niveau R+1 comme un entre R+1 comme undeux entre deux

EchelleEchelle : 1/1000: 1/1000

Niveau Niveau R+4 Le R+4 système hybridehybride s’autonomise Le système s’autonomise

Plan des répartitions programatiques -

Répartition des programmes Coupe Nord-Sud

Coupe Est-Ouest Coupe Nord-Sud, variances des typologies

Répartition des programmes Répartition des programmes Répartition des programmes EchelleRépartition des programmes Répartition des programmes Echelle : 1/1000 Echelle : 1/1000 : 1/1000 Echelle : 1/1000 Niveau RDC actif, une mixité de l’offre commerciale Niveau RDC et actif, de une services mixité de l’offre Niveau commerciale RDC actif, et une demixité services de l’offre commerciale NiveauetR+1 de comme servicesun entre deux Niveau R+1 comme un entre deuxNiveau R+1 comme un entre deux

Répartition des programmes Répartition des programmes Echelle : 1/1000des programmesEchelle Répartition : 1/1000 Echelle : 1/1000 Echelle : 1/1000 Niveau R+4 Le système hybride s’autonomise Niveau R+4 Le système hybride s’autonomise Niveau R+4 Le système hybride s’autonomise

Répartition des programmes

Plan des répartitions programatiques -

Echelle : 1/1000 : 1/1000Echelle : 1/1000 Plan des répartitionsEchelle programatiques -

des Répartition programmes des programmes

omme Niveau un R+1 entrecomme deux un entre deux

Coupe Nord-Sud, variances des typologies -

tions programatiques répartitions programatiques -

Répartition des Répartition programmes des programmes EchelleEchelle : 1/1000: 1/1000

Plan des répartitions programatiques Plan - des répartitions programatiques Plan des- répartitions programatiques -

Plan des répartitions programatiques Plan des répartitions programatiques -

La muraille

Légende : Légende :

EchelleEchelle : 1/1000: 1/1000

Coupe Coupe Est-Ouest, transitions spatiales et imbrication des usages Est-Ouest, transitions spatiales et imbrication des usages

Détruire

Echelle : 1/1000

Isoler

arking

Légende Echelle: : 1/1000

Légende :

Echelle : 1/1000

Coupe Est-Ouest, transitions spatiales et imbrication des usages

100m

arking arking

Plan des répartitions programatiques -

Echelle : 1/1000

arking

Plan des répartitions programatiques - des répartitions programatiques Plan des - répartitions - Echelle Légende : Echelle : 1/1000 programatiques : 1/1000 Echelle : 1/1000 EchellePlan : 1/1000 Coupe Est-Ouest, transitions spatiales etCoupe imbrication Est-Ouest, des usages transitions spatiales Coupe et imbrication Est-Ouest, transitions des usagesspatiales et imbrication des usages

Echelle : 1/1000

Coupe Nord-Sud, variances des typologies Coupe - Nord-Sud, variances des typologies Coupe Nord-Sud, variances des typologies -

Echelle : 1/1000Echelle : 1/1000

Niveau R+4 Le système Niveau R+4 hybride Le système s’autonomise hybride s’autonomise

Niveau R+1 comme un entre deux

arking

Légende :

Echelle : 1/1000

Coupe Est-Ouest, transitions spatiales et imbrication des usages

Echelle : 1/1000

Répartition des programmes

Echelle : 1/1000

Niveau RDC actif, une mixité de l’offre commerciale et de services

variances des typologies rd-Sud, variances des typologies -

Echelle : 1/1000

Niveau R+4 Le système hybride s’autonomise Répartition des programmes Répartition des programmes

EchelleEchelle : 1/1000: 1/1000

Elever

Légende :

arking

Unifier

Plan des répartitions programatiques -

Echelle : 1/1000

Coupe Nord-Sud, variances des typologies -

Echelle : 1/1000Echelle : 1/1000

Plan des répartitions Plan desprogramatiques répartitions programatiques -

Coupe Est-Ouest, Coupe transitions Est-Ouest, spatiales transitions et imbrication spatialesdes et imbrication usages des usages

Echelle : 1/1000Echelle : 1/1000 Légende :

Système schématique de la murailleSystème schématique de la muraille Système - Coupe schématique Est-Ouest de-la muraille Détruire, isoler, élever, unifier

Détruire, isoler, élever, unifier

RDC, Faire entrer la rue dans le lilong

arking

Muraille RDC: 1/500 Echelle

MurailleEchelle R+1 - : 1/500 Muraille EchelleMuraille : 1/500 RDC EchelleR+1 : 1/500 EchelleMuraille : 1/500 R+1 Echelle : 1/500 Faire entrer la rue dans les lilong Faire entrer la rue dans les lilongen contact tour et lilong, créer des Mettre Mettre espaces en contact de voisinage tour et lilong, créer Mettre desen espaces contact detour voisinage et lilong, créer des espaces de voisinage

R+1, Contact tour lilong - Espaces de voisinage

02 unifier 02 Détruire, isoler, élever,

ver, unifier oler, élever, unifier

M.A.P. , PFE05 : GRANDES VILLES EMERGENTES - Identités urbaines et mondialisation M.A.P. , PFE05 : GRANDES VILLES - Identités urbaines et mondialisation Muraille RDC - EMERGENTES

Master.2 - Sem.2, 2010-2011 2010-2011 un double Master.2 niveau de- Sem.2, circulation

Shanghai Shanghai

DesDes tours pourpour un lilong tours un lilong

0202 Echelle : 1/500

Muraille R+1 Echelle : 1/500 Sous la direction de Y-K. SHIN, C. Pédelahore, P. BLANDIN et X. JAUPITRE Echelle : 1/500 République Populaire de Chine Thimothée MA MUNG 0611306113 Sous laFaire direction SHIN,les C. Pédelahore, P. BLANDIN et X. JAUPITRE République Populaire de Chine Thimothée MAespaces MUNG entrerde la Y-K. rue dans lilong Mettre en contact tour et lilong, créer des de voisinage

FE05 : GRANDES VILLES EMERGENTES - Identités urbaines et mondialisation SystèmeShanghai tours pour schématique de Des la muraille - un lilong

Echelle : 1/500

Système schématique de la muraille -

CoupeCoupe Est-Ouest -E.N.S.A.P.L.V Muraille RDC - RDCEMERGENTES M.A.P. E.N.S.A.P.L.V , PFE05 : GRANDES E.N.S.A.P.L.V M.A.P. VILLES , PFE05 M.A.P. , VILLES -PFE05 Identités :EMERGENTES GRANDES urbaines VILLES et-Echelle Identités EMERGENTES urbaines - Identités etMuraille mondialisation urbaines et mondialisation Muraille R+1Shanghai - R+1 Des Shanghai tours pour unEchelle lilong Shanghai Des tours pour un Des lilong tours pour un lilong Est-Ouest Muraille - : GRANDES Echelle : 1/500 Echelle : mondialisation 1/500 : 1/500 Echelle : 1/500 : 1/500 Echelle : 1/500 Créer un double niveau-niveau de circulation Faire entrer la rue dans lesdans lilong Mettre enBLANDIN contact tour lilong, créer des espaces de voisinage Master.2 Sem.2, Sous Master.2 la direction - Sem.2, de2010-2011 Y-K. SHIN, Sous C.lesPédelahore, la directionP.de BLANDIN Y-K. SHIN, Sous etla C. X.direction Pédelahore, JAUPITREde Y-K. P. BLANDIN SHIN, C.et Pédelahore, X. JAUPITRE P.Mettre et X.etJAUPITRE République de et Chine République Thimothée MA deMUNG République Chine06113 Thimothée Populaire deMA Chine MUNG 06113 Thimothée MUNG le 06113 Créer un double de2010-2011 circulation Master.2 - Sem.2, 2010-2011 Faire entrer la rue lilong enPopulaire contact tour lilong, créer desPopulaire espaces de voisinage RDC, Faire entrer la rueMA dans lilong

atique de la muraille chématique de la muraille -

E.N.S.A.P.L.V pe Est-Ouest - E.N.S.A.P.L.V

Coupe Echelle Est-Ouest Coupe Muraille Est-Ouest RDC - - : 1/500 : 1/500 Echelle Détruire,Créer isoler,un élever, double unifier niveau de circulation Créer un double niveau de circulation Créer Faireun entrer double la rue niveau dansde lescirculation lilong

arking

Légende :

Sous laCoupe direction de Y-K. SHIN, C. Pédelahore, P.: BLANDIN et X.Muraille JAUPITRE Est-Ouest RDC Echelle 1/500 Créer un double niveau de circulation

Faire entrer la rue dans les lilong

République Populaire de Chine

Echelle : 1/500 Détruire, isoler, élever, unifier

Thimothée Muraille R+1 - MA MUNG 06113

Mettre en contact tour et lilong, créer des espaces de voisinage

Détruire, isoler, élever, unifier

Sous la direction de Y-K. SHIN, C. Pédelahore, P. BLANDIN et X. JAUPITRE

Muraille RDC -Muraille RDC chelle : 1/500 Echelle : 1/500 ation Faire entrer la rue Faire dans entrer les lilong la rue dans les lilong

Système schématique de la muraille -

Créer un double niveau de circulation

Shanghai

République Populaire de Chine

Des tours pour un lilong Thimothée MA MUNG 06113

Créer un double niveau d

40m Echelle : 1/500

Muraille RDC -

Faire entrer la rue dans les lilong

23 Coupe Est-Ouest - VILLES M.A.P. , PFE05 : GRANDES EMERGENTES - Identités urbaines E.N.S.A.P.L.V M.A.P. , PFE05 : GRAN Echelle : 1/500

E.N.S.A.P.L.V

Echelle : 1/500 Echelle : 1/500 Muraille R+1 -Muraille R+1 Echelle : 1/500 Echelle : 1/500 Master.2 - Sem.2, 2010-2011 Mettre en contact Mettre tour en et lilong, contactcréer tourdes et lilong, espaces créer de voisinage des espaces de voisinage

Détruire, isoler, élever, unifier

Echelle : 1/500

Coupe Est-Ouest 0m -

Système schématique de la muraille -

M.A.P. , PFE05 : GRANDES VILLES EMERGENTES - Identités urbaines et mondialisation

E.N.S.A.P.L.V

Coupe Est-Ouest 02Master.2 - Sem.2, 2010-2011

Créer un double niveau de circulation Master.2 - Sem.2, 2010-2011

Sous la direction de Y-K. SHIN, C. Pédelahore, P. BLANDIN et X. JAUPI

Sous la

UNE TOUR DANS LE LILONG Intérioser et diversifier Une tour dans le lilong

Détruire

UNEMorphogénèse TOUR DANS LE LILONG

Détruire Verticaliser pour libérer l’horizon

Planter

Libérer l’horizon

Planter

Libérer l’horizon

Occuper, équiper, connecter

Verticaliser pour libérer l’horizon, Coupe Est-Ouest

0m Coupe Nord-Sud -

Hybridation et situation d’entre-deux

20m Echelle : 1/200

Libérer l’horizon

Shanghai

Des e type

Plan Echelle : 1/200

Plan d’étage courant -

20m 0m

Des espaces communs structurant l’habitat de la tour type 1/3 Echelle : 1/200

Plan d’étage courant Des espaces communs structurant l’habitat de la tour Echelle : 1/200 type 2/3

Plan d’étage courant Des espaces communs structurant l’habitat de la tour type 1/3 Echelle : 1/200

Plan d’étage courant -

Des espaces communs structurant l’habitat de la tour Echelle : 1/200 type 2/3

Plan d’étage courant Des espaces communs structurant l’habitat de la tour Echelle : 1/200 type 3/3

Thimothée MA MUNG 06113

Des tours pour un lilong

Plan d’étage courant -

Thimothée MA MUNG 06113

Des tours pour un lilong

Des espaces communs structurant l’habitat de la tour Echelle : 1/200 type 3/3

Plan d’étage courant -

Des espaces communs structurant l’habitat de la tour Echelle : 1/200 type 2/3

République Populaire de Chine

Echelle : 1/200

Occuper, équiper, connecter

Sous la direction de Y-K. SHIN, C. Pédelahore, P. BLANDIN et X. JAUPITRE

Shanghai

République Populaire de Chine

Echelle : 1/200

: GRANDES VILLES EMERGENTES - Identités urbaines et mondialisation

Sous la direction de Y-K. SHIN, C. Pédelahore, P. BLANDIN et X. JAUPITRE

Plan d’étage courant -

Des espaces communs structurant l’habitat de la tour Echelle : 1/200 type 3/3

Des tours pour un lilong

M.A.P. , PFE05 : GRANDES VILLES EMERGENTES - Identités urbaines et mondialisation

E.N.S.A.P.L.V

Echelle : 1/200

Plan du rez de chaussée -

20m 0m 20m 0m

Dynamique des flux et rapports entre les niveaux ntre au travers de nouveaux rapports au sol

R+1 Flux et mise en contact des niveaux RDC - Nouveau centre, nouveaux rapports au sol

Type 3 Type 2 Type 1

Plan: du R+1 Echelle 1/200 z de chaussée -

: GRANDES VILLES EMERGENTES - Identités urbaines et mondialisation

Espaces communs structurant l’habitat

Nouveau centre au travers de nouveaux rapports au sol Occuper, équiper, connecter Libérer l’horizon

Plan

Shanghai

diversifier

Planter Détruire

nèse

Echelle : 1/200

: GRANDES VILLES EMERGENTES - Identités urbaines et mondialisation

UR DANS LE LILONG

Des e type

Plans d’étage courant

Occuper, équiper, connecter

Libérer l’horizon Planter

Détruire

Morphogénèse

Plan

Des e type

Plan d’étage courant -

Des espaces communs structurant l’habitat de la tour type 1/3 Echelle : 1/200

DES PORTAL EN VERTICAL Immeuble à patio, La Havane, République de Cuba PROVINCE : VILLE DE LA HAVANE

PROVINCE : VILLE DE LA HAVANE

APPROCHE URBAINE

APPROCHE TERRITORIALE

Comment ré-interprêter l’architecture traditionnelle de Cuba basée sur le patio, le portal (passage couvert) et la manzana? La posture adoptée a été la suivante : - Dé-structurer le modèle de la manzana en rendant perméable l’ilôt. - Faire du patio un espace public, un lieu de rencontre dans et pour la ville. - Utiliser la morphologie du portal non plus seulement comme élément morphologique de l’espace urbain mais comme élément structurant du mode DIFFERENTS QUARTIERS d’habiter.

DIFFERE

RESEAUX PRINCIPAUX

L’ile de Cuba

Tâche urbaine de La Havane

LA HAVANE

Ciudad Libertad

Playa Baracoa

TOPOGRAPHIE

VUE DE LA HABANA VIEJA

Quartier d’intervention : Centro Habana

L’architecture du bâtiment reprend les proportions monumentales du malécon. Le système de brise-soleils tantôt cache et tantôt donne à voir des morceaux de la façade historique à conserver. Le modèle tradtionnel est conservé tout en étant altéré.

Site : 1000m2 (24 Logements) Status : Projet, sans equipe - Etude urbaine, en équipe Perspectives avec Ana Rosa MAROTO GOMEZ Date : Printemps 2010 Cour : M1, P805 Villes d’Amérique Latine, Pôle MAP (Métropole de l’Arc Pacific) Professeurs : Virgnia LAGUIA, Juan Luis MORALES, Vangle Malecon et San Nicolas, Vue générale rinha TABOADA, Christian PÉDÉLAHORE

SITUATION

SITUATION GENERALE

Pinar del Rio

Jose Marti Internacional

Munic. : Prov. Ville de La Havane Pays : République de Cuba Date de fond. : 1519 Superf. : 723,92 Km² Pop. : 2 188 404 Hbt. Densité de pop.E.N.S.A.P.L.V : 3023 Hbt/Km² Master1, Sem.2, 2009/2010

E.N.S.A.P.L.V

Master1, Sem.2, 2009/2010

LEGEND Managua

LEGENDES Réseau routier :

Atr. Infrastr. transp. :

Niv. Nationale

Aeroport

Réseau hydrographique

Niv. régional

Gare

Tâche urbaine

Niv. sub-urbain

Voie ferrée

PROJET, METROPOLES DE L'ARC PACIFIQUE : P805 . V

Virginia LAGUIA - Juan Luis MORALES, Varinia TABOADA - Christian

PROJET, METROPOLES DE L'ARC PACIFIQUE : P805 . VILLES D'AMERIQUE LATINE Virginia LAGUIA - Juan Luis MORALES, Varinia TABOADA - Christian PEDELAHORE

La Havane

République de Cuba

DU PORTAL AU VERTICAL

Angle Malecon et San Nicolas, Vue depuis le Malecon

Principa

1km

Atelier Cub

Ana Rosa MAROTO G Thimothée MA MUNG

Créer une mini-tour

Ajouter un Etage

Jouer avec la façade existante

La place du projet dans la structuration de la façade du Malecon

20m

C/San Lazaro

nio Maceo Ave. Anto (Malecon)

C/San Nicolas

Créer une traversée nord-sud, structurer le coeur d’ilôt avec 3 bâtiments

40m

Alt. +10.50m

Alt. +7.10m

Alt. +1.00m

Création du passage, coupe AA

Coeur d’ilôt, plan Alt.+1.00m

10m

Malecon

San Lazaro

Espace des portales dâ&#x20AC;&#x2122;habitation, plan Alt.+7.10m

Etage de SupĂŠrieur, plan Alt.+10.50m

10m

2 pièces 48m²

4 pièces 105m² Etage d'accès

5 pièces 120m²

Ar.

Fregad. A2

76.8m²

Evac.

Fregad.

Cocina

Frig.

2hb

3 pièces 66m²

Salon-Comedor

Bano 01

Evac. Frig.

Evac.

Détail des appartements duplex

echelle 1:100

Etage Supérieur

Virginia LAGUIA - Juan Luis Etage MORALES, Varinia TABOADA - Christian PEDELAHORE Supérieur

Détail des appartements Simplex

Bano

Fregad.

Cocina

Bano

DU PORTAL AU VERTICAL

Frig. Ar.

Evac.

Habit.

E.N.S.A.P.L.V

Master1, Sem.2, 2009/2010

echelle 1:100

E.N.S.A.P.L.V

Fregad.

Cocina

5 pièces 120m²

echelle 1:100

Etage d'accès

Virginia LAGUIA - Juan Luis MORALES, Varinia TABOADA - Christian PE

Etage Supérieur

Etage Supérieur Etage d'accès

echelle 1:100

2m 4m 0 1m 2m 4m PROJET, METROPOLES DE L'ARC PACIFIQUE : P805 . VILLES D'AMERIQUE LATINE Etage Supérieur

La Havana

Virginia LAGUIA - Juan Luis MORALES, Varinia TABOADA - Christian PEDELAHORE

Immeu

Etage République de Supérieur Cuba

Virginia LAGUIA - Juan Luis MORALES, Varinia TABOADA - Christian PEDELAHORE echelle 1:100

PROJET, METROPOLES DE L'ARC PACIFIQUE : P805 . VILLES D'AMERIQUE LATINE

Master1, Sem.2, 2009/2010

Studio 35m²

Bano

Ar. Frig.

Détail des appartements duplex echelle 1:100

4 pièces 105m²

Immeuble Patio

echelle 1:100

2 pièces 48m²

Evac.

Etage d'accès

Etage Supérieur

Ar. Ar.

E.N.S.A.P.L.V

Master1, Sem.2, 2009/2010

Salon-Comedor

PROJET, METROPOLES DE L'ARC PACIFIQUE : P805 . VIL

DU PORTAL AU VERTICAL

La Havana

République Cuba EtagedeSupérieur Etage d'accèsThimothée MA MUNG 06113

47.7m² Ar.

1hb

47.7m²

5 pièces 120m²

Etage Supérieur Etage d'accès

Etage d'accès

E.N.S.A.P.L.V

Master1, Sem.2, 2009/2010

echelle 1:100

3 pièces 70m²

PROJET, METROPOLES DE L'ARC PACIFIQUE : P805 . VILLES D'AMERIQUE LATINE Ar.

4m 2m 1m

echelle 1:100

Bano

Habit.

1hb

Salon-Comedor

4 pièces 105m²

des appartements duplex

4 pièces 105m²

Etage d'accès

Ar.

Cocina

Salon-Comedor Salon-Comedor

Frig.

Fregad.

Evac.

Fregad.

Salon-Comedor

Habit.03 Despacho

Ar.

Bano 02

Ar. Evac. Frig.

Estant. Cocina

76.8m²

Habit.022hb

Evac.

Cocina

Studio 35m²

Etage d'accès

DU PORTAL AU VERTICAL 3 pièces 70m²

DU PORTAL AU VERTICAL

Etage Supérieur Détail Etage d'accès

3 pièces 70m²

Ar. Frig.

2hb A2 Ar. 76.8m²

Ar.

Salon-Comedor

Habit.03 Despacho

Salon-Comedor

Bano

Habit.

Evac.

Frig.

Bano.03

Bano 02 Habit.03 Despacho

Evac. Estant.

La Havana

Thimothée M

Immeuble P

République de Cuba

Ar.

Frig.

Bano

Cocina

Habit.01

Fregad.

4m 2m 1m

echelle 1:100

0 Fregad.

Virginia LAGUIA - Juan Luis MORALES, Varinia TABOADA - Christian PEDELAHORE

Salon-Comedor

PROJET, METROPOLES DE L'ARC PACIFIQUE : P805 . VILLES D'AMERIQUE LATINE

Bano.02

Frig. Ar.

Bano 01

Cocina

Bano 02

Cocina

Habit.02

Evac.

Fregad.

Habit.02 Estant.

Ar.

E1 2hb

La Havana

République de Cuba

66.2m²

Habit.01

Mono orienté

Ar.

Evac. Evac. Ar.

Cocina Evac. Ar. Evac.

Estant. Habit.04

Fregad.

Habit.01

Frig.

Estant.

Habit.02 Ar.2hb

76.8m² Ar.

Evac.

Ar.

Salon-Comedor

ents duplex

4m 2m 1m

echelle 1:100

Immeuble Patio

Cocina Salon-Comedor

Habit.01 Despacho

G1 4hb

111.7m²

Bano 01 Habit.02

Habit.03

Estant.

Salon-Comedor

Fregad.

Habit.01 Ar.

Evac.

Ar.

Salon-Comedor

Cocina Habit.01 Ar.

Bano.02 Bano.03

07 Frig.

Thimothée MA MUNG 06113 Cocina

Evac. Fregad.

Bano.01

Fregad.

Frig.

Cocina

Evac.

30 Semi-Traversant Frig. Frig.

Duplex en angle

Duplex Traversant

Thimothée MA MUN

Vue depuis le coeur d'îlot vers le Malecon

Angle Malecon et San Nicolas, Vue depuis le Malecon

ILLES D'AMERIQUE LATINE

PEDELAHORE

La Havana

République de Cuba

Immeuble Patio

Thimothée MA MUNG 06113

Vue depuis le coeur d'îlot vers le Malecon

LES BARRES EN QUESTION Logement en zone de rénovation urbaine, Beauvais, France Comment s’inserer dans un tissus urbain de grands ensembles? Que faire du modèle tant décrié de la barre?

Stratégie d’aménagement de l’ilôt

Le projet se base sur une ré-interprétation de la typologie de la barre, caractérisée par le corridor et la monotonie de ses façades, sa dimension d’objet abstrait posé sur un espace vert. Le parti pris au niveau urbain est de créer un front urbain relativement continu et de considérer la barre non pas comme un objet déconnecter de son contexte mais comme l’excroissance d’autres bâtiments. Au niveau de l’architecture, la volonté est de créer une différenciation des façades : - Sur rue, ou prédomine le monde des cubes - Sur cour, ou se déploie la structure en acier du corridor à l’air libre, qui permet de contempler le coeur d’ilôt.

Côté rue : la barre - Côté cour la traversée

Site : 750m2 (30 logements) Status : Projet, sans équipe, Aménagement urbain, avec Marwen FERRIANI, Baptiste FLEURY, Boris LESOUEF Date : Automne 2008 Cour : L3, Architecture du logement collectif, PA09, Architecture de l’édifice Professeurs : Maxime KETOFF, Dominique CARRIL

40m

Animer la rue et créer des traversés visuelles, Plan RDC

COMMERCE

10m

COMMERCE

RUE BINET

Installer des activités de bureau, plan de l’entresol

BUREAU BUREAU

BUREAU

Deployer les logements, Plan d’étage courant

Créer un rythme sur la barre, Coupe AA

10m

C么t茅 rue

C么t茅 cour

LES NOUVEAUX FAUBOURGS Extension et limites d’une ville, Beauvais, France Comment limiter l’extension péri-urbaine des petites et moyennes ville? Comment traiter les limites entre villes et campagnes? Le projet s’inscrit comme la finalisation d’une planification pour Beauvais, imaginée en 3 phases. - La phase I traite de l’articulation entre tissus pavillonaire et grandes emprises d’équipement. - La phase II questionne l’aménagement de lotissements au bord de la rivière. - La phase III, interroge le développement faubourien de la partie la moins urbanisée et la plus enclavée. L’intention est de proposer une alternative à l’extension tentaculaire et au grignotage progressif des terres agricoles, en ré-utilisant certaines caractéristiques de la forme urbaine du faubourg tel que : - La continuité d’un front bâti et la création d’une urbanité - Une emprise au sol peu importante permettant la création d’espaces verts privés - Une densisté intermédiaire Ce mode de croissance est modifié pour poursuivre un développement non plus dans une direction centre-périphérie, sinon le long d’une direction concentrique. Le nouveau faubourg permet d’occuper les espaces interstitiels résultant des développements antérieurs de la ville tout en limitant son extension. Site : --Status : Etude urbaine, en équipe avec Marwen FERRIANI, Baptiste FLEURY, Boris LESOUEF, Ségolène MERLIN-RAYNAUD, Charlotte PINI, Clémence WAMBERG, Projet urbain, en équipe avec Marwen FERRIANI Date : Printemps 2008 Cour : L3, PA08, Ville, analyse urbaine et edification Professeurs : Jean HARARI, Harold KLINGER

3 Phases pour le développement de Beauvais

Etat actuel

Une topographie accidentée

Diviser et relier

Articuler les tissus

Phase I

Phase II

Extension tentaculaire, pas de limite Un tissus mêlant faubourg et grands ensembles Pas de liaisons entre les différents quartiers

Offir une direction à l’extension Créer un axe periphérique limitant l’extension Connecter les quartiers

Densification de l’espace intersticiel des faubourgs existants Extension limitée au niveau du grand axe

difficultés de franchissement dues à la topographie

Retourner la ville vers le centre Recoudre les différents tissus Créer une maille

Retourner la ville sur un mouvement périphérique Integrer les grands ensembles

Phase III : DerniĂ¨re extension de Beauvais RĂŠglementation

b a

a - Typologie sur le grand axe

b - Contact avec le faubourg existant

c - Développement d’une centralité

SCÉNOGRAPHIE(s) La théâtralité de l’espace urbain : La nuit, lieu du crime

A partir d’un titre : la nuit, on recherche un lieu dans la ville, on le transpose, on le transforme, pour en faire ressortir la théâtralité. Un coin de rue devient une scène dont les bâtiments sont les acteurs. Les petites rues ensoleillées de Montmartre deviennent au regard de « la nuit » un lieu inquiétant, la scène d’une lutte féroce d’ architectures. Quatre images sont produites, la photo, l’image de film, la miniature, le noir et blanc, la peinture grand format. Chacune d’entre elles font ressortir des caractères théâtraux différents. La peinture grand format résulte d’une étude sur le peintre Yan Pei Ming. Chacun de ses portraits révèle un crime. Ici on fait le portrait d’un espace, qui sous ses airs de tranquillité transfigure sa violence..

Status : Dessin, peintures, sans équipe. Date : Automne 2008 Cour : L3, Démarches plastiques Professeurs : Jean Desmier

SCÉNOGRAPHIE(s) Scénographie pour Vincent, poème de Tim Burton

VINCENT

Mettre en tension le monde des rêves et celui de la réalité. L’horreur du poème est répétitive, en profusion et devient presque stéréotypée. On répond à la multiplicité par la simplicité. Le choix est fait de strucurer l’espace de la scène autour de trois boites différentes. Les passerelles créer des liens et des parcours. Status : Scénographie, avec Marwen FERRIANI. Date : Automne 2008 Cour : L3, Démarches plastiques Professeurs : Jean Desmier

Voici Vincent Dupont, il vient d’avoir sept ans,

Sa très belle femme est enterrée vivante.

Il est toujours poli c’est un garçon charmant.

Il creusa pour s’assurer qu’elle était bien morte,

Vincent est affectueux d’une grande gentillesse.

En détruisant des fleurs de toutes sortes.

Mais il veut faire des films d’horreur comme Vincent Price.

Sa mère l’envoya méditer dans sa chambre,

Sa soeur, son chien, son chat lui tiennent compagnie,

Il sut que de ce monde il ne serait plus membre,

Mais il serait bien mieux avec les chauves-souries.

Et qu’il devrait passer le restant de ses jours,

Là il ferait marcher ses inventions terribles,

Seul avec le portrait de son défunt amour.

Et promènerait seul son tourment indicible.

Vincent se morfondait, souffrait mille tourments,

Quand sa tante vient le voir, Vincent est tout sourire,

Lorsque sa mère ouvrit la porte brusquement.

Il veut pour son musée la plonger dans la cire.

Elle dit : « Si tu veux, tu peux sortir jouer,

Il fait des expériences sur son chien Aimable,

Il y a du soleil, il faut en profiter. ».

Dans l’espoir de créer un monstre épouvantable

Vincent voulut parler, aucun son ne sortit.

Et de trouver avec ce sinistre vaut rien,

Son long isolement l’avait fort affaiblit.

Des proies faciles dans le brouillard londonien.

Il prit donc une plume et griffonnât très vite :

Mais il ne pense pas qu’à des crimes lugubres,

« Possédé par ce lieu jamais je ne le quitte. ».

Il aime peindre et lire ce qui est très salubre.

« Tu n’es pas possédé, tu n’es pas presque mort.

Seulement ce qu’il lit n’est pas de tout repos,

Ce n’est que dans ta tête tous ces mauvais sorts.

Vincent a pour auteur favori Edgar Allan Poe.

Tu n’es pas Vincent Price, tu es Vincent Dupont,

Un soir dans une horrible histoire d’élixir,

Tu n’es pas un timbré, mais un petit garçon.

Il lut un paragraphe qui le fît pâlir.

Tu viens d’avoir sept ans et même tu es mon fils,

La nouvelle qu’il lut le glaça d’épouvante,

Alors tu va sortir et prendre de l’exercice. »

Tim Burton