Portfolio Thomas Combes- Événementiel

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THOMAS COMBES PORTFOLIO CONCOURS ARCHITECTURE ÉVÉNEMENTIEL VOYAGES


SOMMAIRE ÉVÉNEMENTIEL

FINISSANTS

RËVE GENERAL

L’EXÏLE


FINISSANTS

Projet de DESS Design d’événementiel 2014 à Montréal Avec Stéphane Leclerc Encadré par C. Nadeau

Montréal Manifeste 15 designers ont construit des images, identifié des caractéristiques et repoussé les limites de la ville pour créer de véritables utopies urbaines, inspirées par sa situation géographique, son contexte historique, sa culture unique, et surtout les modes de vie spécifiques des Montréalais. Montréal, ville insulaire, nordique ou verte. Montréal ville spectacle, ville des plaisirs, ville de quartiers et de quotidiens. 7 identités possibles pour Montréal, où l’événement devient outil de conscientisation, vecteur de changement, générateur d’initiatives. Autant de projets présents pour rêver d’un Montréal futur. Pour exposer nos travaux nous avons créer, ensemble, une scénographie. Nous avons appris à se gérer en tant qu’équipe de l’idée à sa concrétisation. Avec l’aide de 7 écrans nous avons projeté les vidéos de chaque projet, derrière se cachent les explications.



RÊVE GÉNÉRAL

Projet de DESS Design d’événementiel 2014 à Montréal Encadré par M. Mongiat

C’est un événement qui a eu lieu pendant la nuit blanche 2014 à Montréal. Il rend hommage à la participation citoyenne par le biais de pancartes qui expriment un engagement pour des idéaux. L’objectif a été de rassembler les gens autour d’un rêve commun. Chaque pancarte est un imaginaire qui peut être partagé et combiné avec les autres. Une manifestation sans revendications, éparse et rassembleuse. Ce fut un travail d’équipe, nous étions 15 personnes, nous nous sommes organisés et avons réparti le travail. Je me suis occupé des motifs des pancartes. Il fallait suggérer sans montrer. Mille pancartes ont été fabriquées. Elles étaient réparties sur 2 stands et ont été écoulées en 2h.



L’EXÎLE

Projet de DESS Design d’événementiel 2014 à Montréal Encadré par S. Pratte et G. Sasseville

Montréal est-elle une ville insulaire? On peut se poser la question. Oui physiquement s’en est une. Mais dans l’imaginaire de ses habitants il n’en est rien. Ils ne peuvent profiter de l’eau qui les entoure, et donc ne se rendent pas compte d’être des insulaires. L’insulaire doit traverser un pont, s’exiler, s’il veut avoir accès au fleuve. Ce projet est une intervention poétique qui interroge les rives montréalaises. Il se pose sous le pont Jacques Cartier. Par une musique semblant chaotique et lointaine il attire le passant. Son espace délimite la zone de baignade. Le son provient des bancs. Sous chacun se trouve un mécanisme entraîné par la force du courant, il actionne une bielle qui tape sur une note de xylophone. Chacune est différente. Il a le rôle du révélateur, celui qui pointe du doigt une réalité criante et qui propose une alternative possible pour un futur meilleur.


Souvent, le montréalais ne peut accéder à l’eau depuis chez lui.

Il doit traverser un pont pour s’exiler,

Et ainsi acceder aux rives et à l’eau.

Il entend au loin une musique mystérieuse qui suscite chez lui l’envie s’attarder.


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