“Nozksdevons incamer le changement azkpek nozksas-irons dans le monde.� Mahatma
Gandhi
LETTRE
DU
PRÉSIDENT
AU
voici
PREMIER
MINISTRE
le troisième rapport annuel de la Table ronde nationale. j’espère que cela vous convaincru
la Table ronde nationale
o utteint rapidement sa maturité,
qu’elle a défiiri et abordé certaines des
grandes questions de développement durable au Canada comme 0 /‘étronger, plusieurs fronts sont maintenant
tangibles.
Cette année, nous nous sommes
surtout employés
unies sur le développement
durable - le Sommet
que
à la préparation
et que les progrès sur
de la Conférence des Nations
de la Terre - dont le haut lieu fit la rencontre des
chefs d’État 0 Rio de Janeiro en juin.
Le Comité de politique étrangère ans déjà. Cette conférence
de la Table ronde avait prévu /‘importance
de la CNUED
il y a trois
était censée être une grande occasion de faire avancer /a cause du
développement durable dans le monde entier, et nous vous avions d’ailleurs fait part du vifintérêt que nous y portions dans notre premier
rapport
annuel de I990.
La Table ronde vous a soumis des recommandations oflcielles en ma; points de stratégie
autant
dialogue fwctueux
avec le ministre des Afiires
que de questions de fond. Suivant votre suggestion, nous avons eu un
hauts fonctionnaires
qui partkipaient
Marcjohnson
MaciVeill,
etjim
1,992, qui traitaient de
extérieures,
aux préparatifs
le rninistr~ de /‘Environnement
de la CNUED.
qui foisaient partie de la délégation
et de
Deux de nos membres,
Pierre-
canadienne de la CNUED, ont
joué un rôle actif 0 Rio.
Aux lendemains
de ce grand événement
il est manifeste que la délégation
ferme leadership, a exercé une influence marquante tant que premier
signataire
canadienne,
et positive sur les résultats.
de la Conveption sur le biodivenité a été remorquée
entier et fut sans douté déterminante dans le ralliement d’autres signataires. parmi bien d’autres tout aussi importantes,
nous tenons 0 vous fklkiter,
sous votre
Votre initiative en dans le monde
Pour cette intervention,
vous-@me
et votre équipe.
II serait prématuré aujourd’hui de dresser le bilan de /a CNUED. Bon nombre de ceux’qui espéraient I’unonimité mondiale et un financement proportionnel à /‘ampleur des problèmes sont déçus. Les réalistes reconnaîtront pour ieur port que l’adhésion de tous /es pays ou changement révolutionnaire qui devra bien finir pur se réakerne
pourru se foire dujourou
les succès et revers de la CNUED se révéleront si des jalons importants
lendemain
pleinement dons les mois et onnées 0 venir Même
d’une écoiogie et d’une économie mondiales viables ont
sons aucun doute beaucoup d’ingéniosité, d'efforts et d'investissements fixés et se releverdes
Pour-les Canadiens, nousavons
pour atteindre
les objectifs
échecs
le &ultat
le plusimpottont
une occasion remorquoble
sero peut-être
d’influencerde
/a prise de cokcience générale
devienne
réalité. II faudra maintenir
Sommet de lu Terre. II ne nous faudra pas céder 0 lu complaisance,
devrons noùs employer 0 mettre
que
façon décisive le cours des événementsà
l'échelle mondiale, pour foire en sorte que la vision Brundtlond l'élan imprimé parle
été posés, if faudra
mais nous
en oeuvre /es objectifs et les ententes qui on été fixés au Sommet
Lu Table ronde loncerosespropresinitiotivessur
ce plan etnousréagirons
0 vos suggestions de
façons positive.
Ce rapport présente d'outrés retiennent
réussites importantesdelo
Tub/e ronde ainsi que lesquestionsqui
actuellement notre attention et nos ef@ts. j’espère que vous partagerez ma conviaion que
nous continuons 0 répondre
aux attentes qui concernent
I’avoncementdu
développementduroble
que vous ovez exprimées if y a quatre ans et qui ont depuis fors continué d'éclairer
DR GEORGE
CONNELL
notre action.
I
Ze
d
i
3.
ous avons
amorcé
la quatrième
grande
Nous savons que, d’ici à ce que les enfants d’aujourd’hui
révolution
mondiale.
l’information)
Les trois
étaient
d’un
premières
autre
ordre.
(les révolutions
Elles ont
agricole,
réorganisé
industrielle
la société
et celle de
dans le sens de
grands-parents,
de sa production.
Quant
au quatrième
grand bouleversement
social, la révolu-
Terre
population
écologique,
il consistera,
espérons-le,
dans une réorganisation
de la société
qui
de produire
sans détruire.
détournons
la dynamique
de regroupement
Mais ce résultat
ne sera atteint
de sa voie actuelle
que
si nous
être l’occasion
de vie sur cette planète
forme
menacée.
de décider
si nous voulons
révolution
ait lieu. Rien ne peut l’arrêter,
II n’est pas question
porte
que nous allons donner
son compte:
le monde
le potentiel
tion des changements
sur
l’élimination
à cette
commun
de destruc-
la spoliation
des
de la pauvreté.
Mais cela ne
que nous savons
un bien-être
planétaire
qui ne naîtra que d’une vision
d’équilibre,
d’harmonie
dance, de la priorité
et d’interdépen-
que nous accorderons
au partage et à:la coopération, aigu de l’interdépendance d’une détermination un équilibre
d’un sens
economique,
croissante
à trouver
que nous saurons maintenir.
quatre
une
défavorisés,
dans toutes
et d’assurer
les
la survie
et
que nous obser-
remontent
Mais les moyens
à la révolution de les
et de réaliser le développement découleront
l’information, de rassembler, l’information, connaissances
des espèces et la
fait pas bien longtemps
aux
le bien-être
vons aujourd’hui industrielle.
en cours: la défigu-
planète,
de restituer
des espèces.
conjurer
créer
y trouvera
de vie acceptable
de promouvoir
durable Nous connaissons
entrevoir
Les forces destructrices
révolution.
comment
la plus extraordi-
que cette
Le seul choix qui nous est offert
prolifération
ce
ité. Tout
parties du monde
s’en trouvera
gravement
peuples,
si nous
durable,
à I’human-
qualité
si nous ne parvenons
pas à Créer une société viable, toute
de notre
d’y participer,
qui est destructrice,
Si nous échouons,
ration
Si tous
sont capables,
naire qui ait jamais été offerte
on pourra
la forme
accueil-
qui aura doublé.
réussissons le développement pourrait
permettra
pour pouvoir
les peuples du monde économiquement,
tion
à leur tour
il nous faudra construire
une deuxième lir’une
l’efficacité
deviennent
de la révolution
c’est-à-dire de traiter de doter
de notre’capacité et de diffuser les gens de
et de responsabilités,
d’acquérir
des aptitudes
mobiliser
des réactions.
de
à innover
et et à
%E
MOlJVEkNT
IL CHERCHE
CANADIEN
À MOBILISER
AU SEIN
DES
PROFESSIONNELS,
RÉGIONAUX,
AFIN
DES
TOUS
TABLES
LÉS
GOUVERNEMENTS,
SOCIAUX,
CANAUX
EST
POLITIQUES,
VERS
OU DES
SiXXÉTÉ
DE RÉACTION
VIABLE...))
AU MONDE.
QUE
CE SOIT
MILIEUX
ENVIRONNEMENTAUX
LA SOUPLESSE
UNE
UNIQUE
INSTITUTIONNELS,
DES AFFAIRES,
DE PROPAGER
LA TRANSITION
RONDES
Oti
QU’EXIGE
LE
DÉFI
Pourtant,
comme
les institutions autrefois,
dans toute
révolution,
qui fonctionnaient
sont bien souvent
sclérosées,
Comme
si bien
l’énonce
Table ronde catalyseur
devenues
rigides et peu aptes à faire face
le,projet
nationale
“doit jouer
dans la définition,
tion et la promotion,
Dans bien des cas,
secteurs de la société
nos grandes institutions
se sont forgées
même que’ pour toutes
durant
mais la révolution
de l’information ment qu’elles temps
s’est produite n’ont
pas encore
de s’adapter
aujourd’hui,
eu le
complètement.
une nouvelle
nous imposer
si rapide-
des exigences
canadienne
et de la pratique
vient
encore
aux besoins du présent tre les possibilités
différentes.
catégories
verticales
n’importe
du
suit:
faire face à l’effet de vague
des impacts écologiques,
il nous faut aussi
être sensibles aux relations
de répondre
Les structures
sans compromet-
pour les générations
et pour ainsi dire
marquent à
canadien
mobiliser
des tables rondes
Il cherche
à
nos institutions
tous les canaux institutionnels,
que ce soit au sein des gouvernements, des affaires, ou des milieux sociaux, politiques, régionaux, de réaction
professionnels,
environnementaux
afin de propager qu’exige
ou
et, pourtant,
nous savons que, pour réagir avec succès,
la souplesse
la transition
vers une
maintes fois souligné la responsabilité
Pourtant,
action, rang social et autorité. les impacts écologiques
a pris une décision,
cherche
écologiques
des régions lointaines.
ment les voies qui mènent
au développe-
La Table ronde nement ronde
nationale
sur I’environ-
pierre
à dépister,
est sacrosainte
l’Amérique
du Nord.
dant, elle revêt
de
Au Canada, cepen-
une forme
divisée entre le pouvoir
différente,
fédéral
étant
et provin-
ces répercussions,
de renfor-
surtout
à empiéter
de cent tables rondes, voit ce nombre
quelque
autre institution
s’accroître
domaine
ni à traiter
quand cela les
dans la compétence
de
ou dans un
où elles manquent
de la réalité écologique.
Nous appliquons
le système de I’opposi-
tion au parlement, dans les relations les différences.
d’expérience.
dans les tribunaux
progrès
ont engendré
d’énormes
Mais quelle que soit I’lssue,
les deux parties demeurent
sociaux et industriels.
vouloir,atteindre tous les domaines,
de l’éducation
chaînes de production, compétences,
A force de
la normalisation
sus, attirant
aux
des combats
à prévoir
Pourtant,
et la
pour faire
face à la révolution
écologique,
aussi savoir mettre
en valeur la diversité.
il nous faut
perdants.
des adver-
a besoin non pas
mais de bienfaiteurs,
que les décisions
dans
on a acquis des
une aptitude
maîtrise de la qualité.
d’adversaires
et
de travail pour concilier
saires. Or, l’écologie Ces mentalités
qui fait tellement
partie intégrante
ne sont pas bien à évaluer
conduit
chaque année.
de souveraineté
de l’interdépendance
qui s’en trouvent
préparées
déjà plus
submergeant
Ils sont tels une
et une interaction
ces changements
cés. Or, nos institutions
ou territoire,
La notion
une multiplication
n’est qu’une table
qui compte
échelle.
cial, et cet état de choses va à l’encontre
II existe également
par province
plus vaste
depuis bien avant la colonisation
qui, jetée dans l’eau, forme des
et l’économie
une table ronde
le besoin de répartir
à beaucoup
cercles de plus en plus grands, II se produit
parmi d’autres.
et le palier municipal,
insti-
les impacts
se répandent,
’
unies a
débor-
dent de ces canaux. Une fois qu’une tution
plus claire-
ment durable.
à la fois:
et le
des Nations
véhiculaient
tout
La Commission
sur l’environnement
développement
ancrées dans la société
société viable. Ce mouvement à définir
mondiale
reflètent
industrielle.qui
tout
particulièrement
la véritable
est qu’elles
des mentalités
informàtion,
d’autorité
nous avons besoin que la masse jouisse
Four tant de nos institutions, pierre d’achoppement
horizontales.
hiérarchiques
d’un plus grand pouvoir. Le mouvement
les
quel autre de ses aspects. Or, si
nous voulons
venir de satisfaire les leurs.”
est unique au monde.
des
en ce qui concerne
gouvernementaux,
professionnelles
loi définit
comme
qui permet
est placée sous le signe
société
les ministères
de
...” Cette
Notre
sciences, les grands services, les spécialités
les régions du
durable
“Développement
un rôle
I’interpréta-
le développement’durable
Et
révolution
pays, des principes développement
la
pour tous les
au défi du changement.
l’ère industrielle,
de loi fédéral,
se prennent
et il faut
par consen-
ainsi des partisans, et non par qui font des gagnants et des
La concurrence
est précieuse
s’agit d’inciter l’acquisition
au perfectionnement de compétences.
éclipse parfois
Si l’on envisage la question
quand il et à
est permis. En conséquence, mentation
criant en matière
logique
central
dans l’action,
donnant
inspirer
la confiance,
Mais les pouvoirs par la multiplicité questions
aborde
écologiques.
des
Ils sont trop
en examinant
plus près les probèmes
et
viabilité
l’époque
pierre de touche siste. En revanche, écologique,
cette pierre
par définition,
parce qu’elle
avantages
non pas à quelques le monde.
entre
mais la
à moins que des cibles marquées.
perçu comme
une
de la société.
En
essentielle
effet, une publication
récente
durable
de soulever
une compréhension
commune. beaucoup
En d’autres
termes,
mieux accorder
il vaudra
plus d’impor-
tance à l’harmonie
par la voie de I’éduca-
tion en définissant
les avantages
de la viabilité
et les mojns
lui a attribué
de nouveaux
le
et
social. Quoi
qu’il en soit, ce dont l’écologie
a besoin
ce n’est pas de
nouveaux
conflits
Autrefois,
la réglementation
mais d’harmonie.
Par
vise à donner
des
individus
était l’un des
principaux
instruments
différends,
Elle a simplement
constitue
un devoir
Mais si l’on compte
conflits
trop
écologique
sur la réglementadu but recherché. regorgera
latents et, si la réglementation
le moyen
fondamental
aura une telle pléthore tives, d’instructions pays s’empêtrera un chemin
de
défin; ce qui
ou une interdiction.
tion, on ira à l’encontre La révolution
de règlement
de est
de les régler, il y de lois, de direc-
et d’évaluations en tentant
que le
de se frayer
dans ce dédale, sans parler du
déluge de litiges qui s’ensuivrait.
économique
en termes national
se mesurait
de quantité
l’exemple
Or, dans la révolution
écologique,
le progrès
difficile à quantifier,
sous toutes
surtout
dont le produit
brut est désormais
excellence.
mesurer.
de
regroupements
source de changement
Enfin, depuis plus de deux siècles, le progrès
de l’économie
sur le
des questions,
de façon pressante,
les droits
collectifs,
mais à tout
sera freinée
dynamique
d’être
collectifs
de touche.
et individuels
est souvent
former
la mise en valeur de la diversité
sous-entend,
des attitudes
des
destructrice.
ou des sociétés.
Le conflit
la
dans la révolution les droits
communs,
communes,
avantages d’une existence
ne soient clairement
est la
Hobbes,
individuels
de la pensée progres-
ce seront
qui seront exemple,
de Thomas
des droits
objectifs
économiques
mutuelles
mérite Depuis
mieux définir
ou à la liberté
pas les tiraillements
collectifs
développement
possibles.
revendication
beaucoup
privés, c’est-à-dire
loin
la décentralisation
la prise de décisions
les solutions
les droits
sont dépassés
et la complexité
des détails. Par contre,
de beaucoup
On n’éliminera
aux
un rôle cohérent.
centraux
des individus
permis et
immédiate-
Il vaudra
qui peut
et permettant
de jouer
aux droits
aux droits à la propriété d’action
ainsi une
image facile à saisir de l’extérieur
subalternes
ment atteinte
et dans les a le souci de la
porte
régle-
écologique
ce qui serait autrement
ce qui, par définition,
affaires, le pouvoir
coutumier
toute
visant à la viabilité
restreint
d’écologie.
Au sein des gouvernements
du droit
au Canada anglais, ce qui n’est pas interdit
Mais elle
le besoin de coopération
qui est pourtant
angle, selon le système
sous un autre
sera beaucoup
par
plus
et ce sera la capacité
à maintenir
ses formes
la qualité
qu’il faudra
de vie
LE
DÉFI
La Table
ronde
nationale
a été créée
en
1988.
Si les institutions
sont
Voici ce que la Table ronde a réalisé l’an
des organes
dernier: internes
du corps politique,
ce sont donc
les interstices
qui les séparent
qui sont la cible
participation
couvrant
un vaste éventail
lancement du mouvement
des tables
rondes.
C’est
dans ces espaces
que s’articulent
les liens, si
à des études
programmes
d’éducation,
nelle que non officielle; souvent
resserrés,
avec les institutions.
C’est en raison même
de l’étroitesse
de questions:
de deux importants tant institutionparticipation
que l’on peut globalement que le corps politique
a réagi avec autant
de laxisme aux avertissements
écologiques
forums
au
d’apprentissage
d’ateliers, cours des trente
dernières
ces liens, de contribuer
années. Les tables
à vivifier
rondes
le corps politique
ont pour
mission
d’aider
à élargir.
parce qu’il lui faudra améliorer
grande-
s’il veut relever
haut la main. le défi de la révolution
de colloques,
de dialogues
entre
ronde
employées
nationale
membres
sont directes:
dans l’ensemble
canadienne et toute
par la Table ses
de la population
afin d’enrichir
relation
recruter
toute
de diversité,
ité et d’un vaste éventail
entre
et les institutions
ces mêmes raisons, mais aussi inciter personnes s’engager
désireuses
de participer
à
dans le développement
et les doter
ses activités
par consensus
de l’appui, favoriser promouvoir
mener
afin de trouver
la coopération
et
d’entreprises,
des militants
scientifiques,
des dirigeants
fédéral
de l’agriculture
à titre
individuel,
,
de la
des représentants
et des pêcheries,
autochtones.
des
des
l’ancien secrétaire
Brundtland,
huit
de publication
à
de divers
élaboration
dont une partie
avait trait à ce qu’on
d’un plan
intégrante
a appelé un “exercice
de table”, série de consultations
régionales
dans l’ensemble
divers groupes
provenant discuter
très différents
de l’orientation adopter
du Canada qui
de personnes
d’horizons
participer
et provinciaux,
qui oeuvrent
Commission
qui a eu lieu en juin
à
et des priorités
la Table ronde
au Canada, la population
des
des chefs syndicaux,
des universitaires,
et
Le fait saillant de l’année est que, partout
d’action
des ministres
gouvernements
stratégique,
invitait
à la Conférence
unies sur l’environnement
à Rio de Janeiro; collaboration
des travaux
,
que
nationale.
comptent
communautaire,
adopter
que devrait
l’harmonie.
Ses membres
écologistes
et, enfin,
la prise de décisions:
le Canada devrait
de tour
durable
de cet-tains pouvoirs
décentraliser
les
au
dans lequel elle fait ses
manuels et rapports: pour
deux ans
par un rapport
quant à la position
dernier
de compétences:
et de coordonnateur
ministre
et du
recommandations
le developpement
d’horizontal-
servir de catalyseur les personnes
les parties intéressées
elle a aussi couronné
des Nations
question
établissement
de la foresterie
de débat et d’analyse Premier
Les techniques
de
de stages et de
de formation:
dans le domaine
écologique.
qualifier
sous la forme
programmes
tourisme; ment ses réflexes
à ce
de ces liens
et des
à la poursuite
.ment durable.
est désireuse du développe-
Et elle connaît
bien les défis
qui nous sont posés. II suffit seulement lui donner
une orientation
l’occasion
d’agir.
de
de
et de lui fournir
%ESTECHNIQUESEMPLOYÉESPARLATABLE
RONDENATIONALE
SONTDIRECTES:RECR~TERSES
DE LAPOPULATION
MEMBRESDANS
CANADIENNE
ETTOUTE
AFIN
RELATION
D'ENRICHIR
DE DIVERSITÉ*
L'ENSEMBLE
TOUTE
QUESTION
I
impéra
stratégiques
‘_ -e tout
favoriseraient
“La nature
le développement
se manifeste
durable.
sous différentes
elle a donc une valeur intrinsèque.
caractéristiques
OBJECTIFS
communes
DE LA TABLE
premier
Elle a déclaré
formes
que ces objectifs
de vie et possède
Tant au sein des sociétés
du développement
RONDE
geste de la Table
essentiellement
de se regénérer
qu’entre
elles, I’équite,
nos capacités d’adaptation
changement
qui relèvent
sociale, de l’économie
Pour le bénéfice des générations
au
et de t’environ-
manière à préserver développement
*Conservation
responsabilité
Nous devons préserver processus écologiques
portagée
protection
La responsabilité
de j’avènement
société viable incombe
d’une
à chacun d’entre
nous. Tous les secteurs doivent vers cet objectif
chacun
assumant la responsabilité
de ses
de pattenariat
biologique
La prévention
et l’adaptation
Nous devons prévoir
et prévenir
problèmes~éventuels
en veillant à ce que
nos programmes,
les
l’environnement,
négative sur
sur l’économie,
ainsi
que sur la vie sociale et culturelle. donné qu’il y aura toujours stances affectant
ons prendre
Étant
des circon-
l’environnement
autres qui sont imprévisibles,
et tes systèmes de
*La
reconquête
et
nous devri-
et l’assainissement
sont les
nous efforcer
de leur redonner
*Les
innovations
recherches
de l’énergie
de reconquérir
et des ressources
l’environnement,
et
utile.
et techniques
les études, les
et le perfectionnement
technologies,
et
détériorés
une vocation
scientifique
\
culturelles
et activ-
à venir, nous
produits
des
et services indis-
pensable à la préservation gestion
de
programmes
Nous devons appuyer
de la qualité de
à nos valeurs sociales et
et à notre essor économiqes.
sorte que notre essor nécessite moins d’énergie
et moins de ressources, nous nos ressources renou-
*La responsabilité
internationales
Nous devons penser globalement
velables de manière viable et utiliser
localement.
intelligemment
dit interdépendance
et effkacement
nos
ressources non renouvelables.
provinces
nos
.décisions et nos activités de développement n’aient pas d’incidence
ta
De façon générale nous devons faire en
et de franche collaboration.
nos politiques,
les
nement ainsi que nos ressources
devons exploiter l
et améliorer fondamentaux,
de la vie de notre environ-
naturelles.
*La
décisions et de ses actions, dans un esprit
évolution;
et l’autonomie
d’assainir les environnements
tendre
commun,
l’égalité, ta diversité
qui i
suivante:
grâce à sa propre
Dans nos politiques,
de l’environnement.
de la biosphère.
diversité *Une
elle-même
devrons
la capacité de
des objectifs
sur la prise de conscience
ités de développement
actuelles et futures, nous devons gérer de
fut de fixer
I’environnement
de la vie
nement.
nos activités sociales et économiques
après sa création,
durable.”
améliorer
*l’intendance
reposent
la capacité
humaines
ronde,
d’accélérer *La gestion
des déchets
et agir
Qui dit responsabilité écologique
globale entre les
et pays, et nécessité l’harmonisation
environnementaux,
des objectifs
sociaux, culturels et
Nous devons, dans un premier temps,
économiques.
tenter
de
au Canada qu’au palier international
recycler
nous amener à trouver
de réduire
la produrtion
déchets pour ensuite réutiliser, et récupérer résultant
les sous-produits
gaspillés
de nos activités industrielles
globales et équitables
peut
des solutions aux problèmes.
développement
global
Dans l’aide qu’il apporte développement,
l’intention
aux pays en
le Canada doit donner
son appui aux méthodes
dix
tant
et *Le
domestiques.
des mesures visant à
Le travail coopératif
conformes
à
des objectifs susmentionnés.
L’an dernier,
à l’issue d’une série de
consultations
“tour
de table” dans l’ensem-
ble du Canada, la Table ronde adopté
les impératifs
comme
principes
teront
stratégiques
prioritaires
ses activités:
1. reconnaître
nationale
suivants
qui orien-
a également
Durant
défini les types d’activités
qu’elle
demie d’existence,
prendre.
Ces activités
éléments l
-
un besoin de croissance
qui
l
et aux
seront
va entre-
axées sur les
ses deux premières
nationale
outiis de mesure et de promotion
a maintenu
l’assemblée
du
durable;
questions sectoriel/es;
des comités
plénière
. questions intersectorielles;
chargés
de les présenter
en oeuvre.
dernier,
nationale
plénière
à
à des iins d’approba-
tion, puis de les .mettre la Table ronde
de méthode.
humains;
années et
la Table ronde
de lancer des initiatives,
suivants:
développement
suffise 0 répondre aux aspirations besoins
a
La Table ronde nationale
Désormais,
L’an a changé
c’est l’assemblée
qui lance des initiatives
qu’elle
mais aussi: 2. réduire 0 court terme le contenu d’énergie et de ressources
qu’entre
les peuples ainsi
les pays dévkoppés
et les pays
elle se conientr-
d’appliquer.
aspects:
*responsabilité *indices
de développement
décisions
durable
*mesures d’encouragement
élevés de croissance
économique
des initiatives 5. réduire certaines firmes
de consommaAu chapitre
tion;
des “Questions
elle considère 6. conserver et mettre en valeur /a base de ressources;
sectorielles”,
que la gestion
et des ressources
de l’énergie
est des plus critiques
pour le Canada et elle 5e penchera
7. créer des réseaux d’information
pius
donc
sur les aspects suivants:
0uveTts: Gabilité 8. encourager de grands investissements de reconstituer
que l’on tienne compte économiques
*consommation
le capital perdu;
9. modifier ies institutions
des forêts
afin
de sorte 0 assurer
d’énergie viable
lviabilité de i’ogrkulture
des questions
et environnementales
dans
beau douce.
/a prise de décisions Au chapitre rieIl&“,
des “Questions
elle aborde
angle écosystémique, sur des questions conducteur exemple,
pauvreté
sous un
en se concentrant
qui servent
à plusieuB
de fi
secteurs.
la biodiversité,
de la planète,
intersecto-
la planification
Par
le réchauffement
les pluies acides et la
sont des questions
intersecto-
rielles. Et il en est de même des trois questions nationale Premier
sur lesquelles
la Table ronde
a axé ses recommandations ministre
quant à la position
Canada au Sommet
de la Terre à Rio de
Janeiro, parce que ces questions toutes
partie de. la plupart
jour présentés
au du
faisaient
des ordres
à la Conférence.
du
organismes
nationale
de travail qui Prise de
Instruments
Développement
Biodiversité
Table ronde
démographique;
de travail
en ce moment:
par consensus,
prospérité,
*prise de décisions par consensus.
un groupe
Voici les groupes
sont à l’oeuvre
économiques,
en développement; 4. réduire les taux
des “Outils”,
era sur quatre
de /a croissance;
3. amëliorer l’équité entre
Au chapitre
charge ensuite
durable
et Éducation.
et La
prend également
de concert
avec d’autres
i3i2. ~2F~~ t @è! mE,: 5,. y\:; -!S . -; .-‘
t
i
collaborateur,
durable,
ronde
en servant
de chercheur
nationale
i
qu’organisme
mandat
est le suivant: réconcilier
v
qu’elle
de partenaire,
d’échange
multidisciplinaire,
e
s
divergents
sera un facteur
de conseiller,
d’informations,
multijuridictionnel
les intérêts
suivantes
a déclaré
de catalyseur,
et de centre
en tant
elle a pris les initiatives
t
\
a Table
développement
a
de promoteur,
En bref, elle sera et fera tout
et représentant
au profit
de changement
exclusif
des intérêts
le
d’interprète,
de
ce qu’elle
peut
multiples
du développement
pour
dont
durable.
le seul
A cette fin,
l’an dernier.
RAPPORT
AU PREMIER
La Table ronde Premier
nationale
ministre
mandations”
MINISTRE
a présenté
un “Sommaire
au
TRN a fait plusieurs suggestions
de recom-
sur le rôle que le Canada l
pourrait
jouer.à
la Conférence
permettraient
plus facilement
unies sur l’environnement
internationales
de tenir
et le compte
développement
aux
des instïtutions
Nations
qui, si
elles sont appliquées:
des questions
politiques,
à Rio de Janeiro, Le sociales et économiques;
Groupe
de travail de la TRN sur la
Politique
étrangère.a
recherches
et consacré
de réflexion sommaire progrès
commandé
plusieurs
presque
à l’élaboration
l
deux ans
de ce ’
basé sur le principe
suivant: “Le
vers le développement
durable
offriraient
de nouveaux
modes de
coopération
internationale
industrialisés
et les pays moins dévelop-
entre les pays
pés;
n’a l
dans un avenir prévisible,
imputeraient
de sens que si on l’envisage et le met en aux paysindustrialisés oeuvre
à l’échelle
le coût direct du
mondiale.” progrès
à une échelle mondiale
placeraient Les recommandations
ne portaient
le Canada,dans
que chef de file pour mobiliser
sur trois questions
(réforme
financières
en vue de réaliser
coopération le développement
technologique
des
des instituressources
tions internationales,
et
un rôle de
et ressources
durable
ici comme
à
financières), l’étranger.
parce que ce sont celles dont dépendait succès de tous les points à l’ordre
le
du jour Le Premier
et parce que “Tout
progrès
ministre
dans les termes ces points faciliterait
dans d’autres
domaines
une infrastructure,
et des ressources
un ensemble
de
de haut calibre qui
i
des poussent
relations
suivants: “... il est clair que a produit
et recommandations
engendrerait
par lettre
la conclusion la Table ronde
d’ententes
a‘répondu
sensible sur
durables.”
à la réflexion.
Ces recommanda-
La tions seront
d’un secours précieux...”
"...DEs
MESURES
D'INCITATION
BIEN
TOUTENENCOURAGEANTL'INNOVATION
P.RODUITS,ENFAVORISANTLE
CHOISIES
FAVORISERONTUNE
ETLEDÉVELOPPEMENTDES
DÉVELOPPEMENTDURABLEETENAMÉLIORANT
ACTIVITÉ
INITIATIVES
PARTICIPATION
AUX
DIALOGUES
SECTORIELS
Table ronde szr les forêts
Table ronde sur le tourisme
Avec les Tables rondes Saskatchewan,
La Table ronde
nationale
seur dans la création les forêts
a servi de cataly-
d’une table
où sont représentés
ronde sur
des intérêts
principes
créer une vision et des
de développement
les forêts
durable
du Canada; demander
dans
à chaque
d’élaborer
un plan d’action
relatif à la contribution développement mandations
durable;
faire des recom-
aux gouvernements
instances. Cette table ronde participants industriel, Forestry
qui représentent syndical, la National
Association,
élaboré bonne
25
le milieu
pour inaugurer
un Comité
la première
dés 21 intervenants,
qui a eu lieu à
de 199 I et qui rassem-
blait des groupes
tels que les ministres
provinciaux,
l’Association
canadienne
la Fédération
Nations,
ble de directives pratique durable
des groupes Canada
des parcs. Dans le
cadre de la première avait pour objectif
des
canadienne
Héritage
phase, le groupe d’ébaucher
un ensem-
et de codes de bonne
en matière
de développement
qui pourraient
être adoptés
tous les intetvenants
du Secteur
par
du
tourisme.
Dans un rapport D’Amour, Dialogue, d’abord
préparé
par Lou
choisi pour coordonner ces Principes été appliqués
culiers de l’industrie
ce
et Pratiques
ont
à des secteurs partidu tourisme
tels que:
hébergement,
services de restauration,
organisateurs
de voyages, associations
ministères
du tourisme.
Directives
de tourisme
l’assemblée l’industrie 1992.
annuelle touristique
des
Ces Codes et viable ont été
acceptés avec enthousiasme
lors de
de l’Association
et de l’Alberta,
cette initiative, maintenant
deuxième
de
du Canada en février
qui endossent
des pourparlers
sont les
ce qui constituera
phase de ce Dialogue.
espère que cette deuxième financée,
de la
en cours pour appliquer
la
On
phase sera
en partie, par Les partenaires
l’environnement,
Halifax au début
automobilistes,
\ du Manitoba
Codes et Direct-es,
de I’I.P.-E. et de
elle a formé
et le Service canadien
ont
en
sur le développe-
provinciales
la Saskatchewan,
des Premières
a été conclue
plan ou code de
nationale
de la nature, un représentant
Aboriginal
et certains participants
leur propre pratique.
rassemble
la TRN et le Sierra
Club. A ce jour, une entente sur 26 principes
et autres
du
un rôle de chef
dans ce secteur et, avec les
Tables rondes
réùnion
de ladite table au
touristique
de jouer
un dialogue
ment durable
directeur participant
de l’industrie
de_ file avec la Table ronde établissant
plus variés que jamais. Cette table ronde vise trois objectifs:
L’Association
Canada a accepté
provinciales
de l’Île-du-Prince-Édouard,
de
sous les auspices du Plan
vert, pour lequel une proposition cours de préparation,
est en
.PROMOTION
DE L’ÉDUCATION
Intégration du Développement durable aux
Seasibiliser le grand public au dheloppe-
programnaèsscolaires
ment durable
Consultation Afin de mieux définir sa ligne d’action,
Le développement les disciplines
durable
et devrait
les écoles primaires
une discipline
comme
partie intégrante
d’éducation
nationale,
non pas
en pédagogie,
principes
procédé
nement
et l’économie,
directeur, programme,
dans un
et
de plus, on a engagé un
défini l’orientation élaboré
un plan d’action,
et
sont déjà
et du
du grand public. Cette
différentes
pour solliciter
et individuel
pour renforcer
plan d’action.
et initia-
se chargerait
du Manitoba,
du
utile au
de travail qui préparait
alors son
l’Université
des
et des événements de la collecde travail
la TRN recherche
ipation
de ses collègues
rondes
aux paliers provincial
de Shad Valley de
de Colombie-britannique
un cours d’été en technologie
du.
et de motivation
Par la voie de ce Groupe
durable de Shad ïalley Le programme
de la collectivité,
multilatérales
sur l’éducation,
de Colombie-
de
des messages d’intérêt
faisant appel à la participation tivité.
d’éducation et du Conseil
Module didactique de dheloppernent
du
Le programme
d’enseignement
coalitions
1
et de Terre-Neuve.
Leur avis fut extrêmement
un engagement
déjâ dans l’ensemble
pour les dirigeants
d’Alberta,
aux
ainsi que ceux des
provinciales
Nouveau-Brunswick
Groupe
public, des émissions télévisées, matériel
durable
des, ministres,
20 initiatives
les programmes
la mise en oeuvre.
et des écologistes, à se joindre
du Programme
britannique,
et
qui étaient
et, en même temps,
Canada. ParticipACTION
comprendrait
canadien
et
à Winnipeg
l’invitation
tables rondes
de vastes
les parties
participants,
en développement
à une
leur point de vue
des éducateurs
ont accepté représentants
sur I’environ-
de sensibilisation,
recommande
collectif
surtout
ainsi que de la
proposition
à présenter
proposition
révisée. Ils réclament
tives qui existent
du
et la recherche
récemment
en invitant
intéressées
Vingt-six
de la
a procédé
consultation
Ottawa.
de la conservation
débats et campagnes
nationale
au cours d’audiences
aux recommandations
mondiale
la participation
de 23 membres,
a été associé au Conference
les consultations en cours.
Stratégie
et
durable
directement
de travail sur l’éducation
Table ronde
plus avant le
Cette
Brundtland
Board du Canada à des fins de gestion d’administration;
durable.
national
à une levée de fonds, et le
programme
développement
de travail
scolaires. On a formé
conseil d’administration
pour pousser
de la Commission
des direc-
social
le sens des respons-
abilités civiques
Groupe
à
Groupe et’
ont
de marketing
et des étudiants
des notions
de développement
de l’Environnement
une stratégie
qui vise à inculquer
la
ParticipACTION
répond
et pour élaborer
les programmes
le ministère
nationale,
a
durable
été lancé pour créer des programmes
tives visant à intégrer
des
de la
un Programme
des éducateurs
A l’issue d’un travail de collaboration, Table ronde
proposé
de la plupart
en développement
l’intention
dans
séparée mais
scolaires. Sur l’instigation
Table ronde
toutes
et secondaires
comme
matières
touche
être enseigné
le
la partic-
des autres tables et territorial.
prenariat deuxième
cycle secondaire nationale
programme
des pratiques
intéressés.
a intégré
un module
qui présente
technologiques. inciter
et entre-
qui s’adresse aux élèves de
Table ronde
durable
est
La
à ce
de développement
une analyse critique
scientifiques L’objectif
et est double:
les élèves à exercer
un entrepre-
nariat plus viable dans les secteurs de la science, de la technologie commerce;
d’enseignement durable
et du
créer un modèle
opérationnel
du développement
qui puisse servir à d’autres
programmes
éducatifs.
INITIATIVES
~~. - ~~~ CRÉATlON
D’OUTILS
DE DÉVELOPPEMENT
II a été décidé de publier
un livre sur les
outils de développement
durable
DURABLE
_
économiques
Instruments
La Table ronde constituera
une introduction
/Indices de dheloppement durable
qui nationale
est convaincue
que des mesures d’incitation techniques
de mise en oeuvre durable.
sur les quatre
une achvité
les impératifs
stratégiques
en encourageant
l’innovation
des produits,
décisions
par consensus,
durable
et en amélio-
concurrentielle
du Canada
instruments
durable.
Pour élaborer
sa réflexion
le matériel
nationale
nécessaire,
elle insistera tout
sur l’air, l’eau et la terre.
La TRN a amorcé coalition
Prise de décisionspar conseasus la Table ronde
de projets
l’objectif
premier
voir le développemént de la prise de décisions
mouvement
Elle se concentre
écologiste.
climatiques,
Outre
tions, la coalition
consiste à promou-
les pluies
au moyen
ses recommanda-
produira
destiné aux Canadiens.
Eau La TRN a amorcé
des pourparlers
avec
des partenaires former un manuel pratique, et concis qui
énoncera
les principes,
critères
une coalition
initiative
qui étudiera
questions
suivantes:
l’impact
du Groupe
méthode
de calcul et de tarification
de rentable
et les
un livre plus créneaux
substantiel
de la
d’eau selon le coût global,
le progrès technologique à préparer
les
d’une
et direcconsommation
travail consistera
en vue de
collec-
tivement
tives. La deuxième
éventuels
les Tables
du Canada pour élaborer
commerciaux.
qui décrira de façon plus détail-
lée les théories
l’historique
d’énergie.
de la
un atelier et publié un les indices de rendement
la production
et la consomma-
La recherche
et applications
pratiques.
Le Groupe
de travail rédigera
également
un chapitre
sur la PDC qui fera partie du
Terre On a commencé
à explorer
possibles en insistant tout
livre sur les outils de développement
sur le renouvellement
durable.
ture viable; sur l’intégrité paysages ruraux biologiqùe. inventaire
particulièrement
urbain, sur I’agriculdes
et sur la diversité
On dressera également des problèmes
ments économiques employés.
les options
écologique
un
et des instru-
qui pourraient
moyens
être
nationale
de renouveler
de décisions
se poursuit.
-proposera
amener
les décideurs
compte
de l’impact
des
le cadre de prise
dans le secteur
l’environnement.
un rapport
par consensus
rassemble toutes
analysant
concernant
La Table ronde
ainsi que du
au Canada. A cette fin, le Groupe
de travail
rapport
retraçant organisé
indus-
triel et gouvernemental
stratosphérique.
de travail
durable
des milieux
acides, le smog urbain et l’ozone
et de formation.
Elle a ensuite créé un Groupe
question,
durable.
des
Responsabilité
un travail avec une
de partenaires
sur les changements
a mené plusieurs ateliers de
planification
des indices sociaux,
vers un développement
documents
est
que possi-
Air
suivantes:
nationale
_
nationale
et sanitaires afin de mesurer
A cette fin, elle a commandé
tien
la Table
a pris les initiatives
En guise de préparation,
partic-
et ulièrement
préparer
de ses
et indices de développement recommandations,
rondes
le progrès
en favorisant
en général. Dans la formulation économiques
(PDC)
et le
prise de rant la position
dont
économiques
de la Table
responsabilité,
de La Table ronde
de créer un cadre aussi propice ble à l’intégration
efficace, concurrentielle,
le développement nationale:
ronde
qui
aux outils qui ont été fixées par développement
ronde
économique
cibles tout
relatives
’
Ce livre portera soit non polluante,
essentiellement
bien choisies
du favoriseront
développement
L’objectif
aux
à tenir
public pour davantage
de leurs décisions SUI
“SI
TOUS
LES PEUPLES
ÉCONOMIQUEMENT,
DU MONDE
D’Y PARTICIPER,
LE DÉVELOPPEMENT
CE POURRAIT
ETRE
QUI AIT JAMAIS
L’OCCASION
SONT
SI NOUS
CAPABLES,
RÉUSSISSONS
DURABLE,
LA -PLUS
ÉTÉ OFFERTE
EXTRAORDINAIRE
À L’HUMANIi’É..?
INITIATIVES
PARTIcIpATIoN
A DES ETUDES ET RAPPORTS
_
Rapport de gestion des déchets
Cro22pede traoail sur la protectioz des
Bureau du Vér+cateur général du Canada:
terres humides au Canada
étude coq’oin te Une étude sur les “Répercussions
En 1990, la Table ronde d’autres
participants
nationale
Forum sur la protection humides décrit
qui a produit
comme
complet
un rapport
un document
Groupe
de travail sur la protection humides
tions du rapport, ’ protection
rapports
suivi. Ce Groupe ronde
humides
canadienne
de travail
canadien
Cette
formuler
des
rassemble
nationale
initiative
écologique
nationale,
l’agriculture
de pâtes et
tion progressive
Canards
a
tionaux
de la partdu
confiées:
d’être
et l’inventaire
toujours
secteur
Table ronde particulier
nationale
à jouer
de biodiver-
par d’autres
si la
a un rôle tout
à fait
dans la défense de la
cause de la biodiversité
du
dans les services
agro-alimentaire,
au Canada.
dix-huit
la Table ronde
consultatif
superviser
la recherche
politiques
international
,
durable
durable,
de
la
humain, ainsi
que le est un atout
pour
du Canada sur le marché et pour la qualité de vie en
Le haut lieu de cette
la tenue
d’un symposium
1992 sur le thème
XXIe
ont créé
davantage
général.
ment durable:
et
sur les relations
à la population
la compétitivité
nationale
supérieur’chargé
et le bien-être
développement
des
interna-
durable etprospérité
de recherches
conscience
de
plus concurrentiel.
d’informations
qui existe déjà, pour déterminer
la situation
un Comité
compétitivité
et du paysage chez les produc-
sité ne soient jamais laissées pour compte:
organismes,
à la rédaction
durable
que pour faire prendre
dans les régions rurales,
prises par la Table
le travail effectué
dudit
sur la responsabil-
entre le développement
du
en instance et du désir grandissant,
été créé et deux missions lui ont été 1) veiller à ce que, dans toutes
hors du
en raison de l’urgence
teurs, des accords d’échanges de travail sur.la biodiversité
l’Institut
en une revitalisa-
d’une autre forme
ressources
En novembre,
du Canada rural. Cette
étude fut devancée croissante
faunique
Groupe de travail sur la bion’i-uersité
2) examiner
d’étude
Développement
de
viable, des
viables, l’écologie
paysage et la biodiversité
de la faune,
publics.
quant aux
il existe un potentiel d’allier
communautés
l’Association
les questions
pour participer
et
Selon la Table ronde
d’un sens aigu de l’intendance
nationale,
du Canada, un directeur
développement
qui s’y opposent.
des recommandations
commun
officiels avec les
du Bureau du Vérificateur
les possi-
consiste à recueillir
mesures à prendre. la
étudie
à partir de laquelle on pourra
développement
les autres initiatives
général
eut
des zones rurales du Canada
l’information
Canàda.
ronde
des pourparlers
représentants
d’un document
ainsi que les obstacles
et donné
des urbanistes,
illimités Canada et Habitat
Un Groupe
amorcé
Rénwation rurale
économique
II prépare
des producteurs
papiers, le Service canadien l’Institut
à
nationale
Bureau fut détaché à la Table ronde
bilités de rénovation
la
la Fédération
de l’agriculture,
canadienne
des
ité visant à exposer
sur des mesures de
nationale,
de gestion et‘ présentée
Canada à des fins d’exa-
La Table ronde
des
qui contiendront
recommandations
a été entreprise,
Depuis, le
révisé les mesures de
des avis relatifs au rapport. d’autres
sur les méthodes
déchets”
que la Table ronde
,nationale de ce
des 73 recommanda-
des terres
fédérales
Environnement
Après
et législation
men et d’application.
au Canada a supervisé
mise en application
programmes
des terres
Plus de 6 000 exemplaires ont été distribués.
iable
souvent
de base
rapport
terres
politiques,
le
des terres
sur la protection
humides.
et
ont convoqué
des
initiative
sera
en automne
suivant: “Le développe-
la clé de la compétitivité
siècle”. Plusieurs documents
cours de préparation:
au
sont en
Rapport secteur
sur le développement des services
Ce rapport
financiers
présentera
ce secteur
et sur le
durable
l’information
dont son
mandera
des directives
améliorer
l’évaluation
concurrentielles
potentielle fait l’objet projets
sur l’infrastructure,
Cette
la responsabilité et prêteurs
valables d’attirer
étudiera
dans le contexte
définir
des lieux
multilatéral,
climat de l’investissement
dans la planifkation afin qu’on
société viable et prospère
Rapport
le
Ce rapport
souvent
environnementale
rassemblant
aux intérêts
des
de récentes
Ce groupe
axe son étude sur l’industrie
la concurrence.
des pâtes et papiers dans une tentative mieux comprendre
et la compétitivité.
des études de cas dans ce
secteur aux États-Unis,
en Finlande, en
Suède, au Japon et au Canada.
présente
un survol des
qui se manifestent
aborde
de souligner
et
de I’environ-
dans l’indus-
canadienne.
également
Ce
le rôie du potentiel
environnementale
comment
en vue
il peut atteindre
ces
objectifs.
sur le plan
durable
en relief les liens entre gouvernementales durable.
perçue comme
L’agriculture,
un secteur
mesures d’incitation
entravent
vers des méthodes
économiques
où le5
le progrès viables,
Rapport
sur I’emploi,
Ce rapport de
I’emp!oi,
soulèvent
durable,
et la compétitivité
Ce rapport
examinera
sur la compétitivité des normes d’autres
environnementales
de libre-échange n’ont
les répercussions
du niveau moins élevé dans
pays. Les négociations
de l’Accord
en Amérique
fait qu’aiguiser
du Nord
l’inquiétude
que
suscite cette question.
de I’évaluation
la formation
et de lu compétitivité
durable
La prolifération
durable,
ainsi que les questions
ces liens.
la
ment l’objet
que
les conséquences compétitivité Cette
environnementale
des processus
environnementale
analysera les liens entre
le développement
compétitivité,
sur le développement
le commerce
de cas.
et le développement
le lien entre la protec-
tion environnementale II mènera
de
Examen
environ-
peut favoriser
ce rapport
dans l’industrie
déclarations
nementale
procédés
de protection
Canada en tant que concurrent
des
d’une
et Je développement
mettra
sert d’étude
divers a été formé
selon lesquelles la réglementation
de nouveaux
document
d’incitation
sur les mesures
gouvernementales
et de la compétitivité
pour examiner
de
puisse tenter
dans la recherche
les mesures d’incitation
membres
premier
clés et les tensions
et le développement
d’études
conception
Rapport
recomman-
rence.
Un .groupe
d’équipement
au point de rejet et de
économique.
et de la concur-
de /a réglementation
aux entreprises
d’épuration
tendances
et, par la voie d’un
de travail
relief les occasions
trie environnementale
les problèmes
les résoudre
donc la
le développement
étude a pour objectif
infrastructures
les capitaux
dera des mesures qui amélioreront
Examen
et l’efficacité.
et la prospérité
qui s’iniiltrent
rend difficile pour certains
nécessaires. Ce rapport
groupe
efficaces favoriseront durable
offertes
technologies Étude
du prêteur
des investisseurs
jugés dangereux
Afin de mettre’en
environnementales
sur les industries
nement,
du risque.
actuelle dont
responsabilité
les situations
de gestion visant à
sur la responsabilité
L’incertitude
Rapport
dans lesquelles des instru-
le développement
durable Rapport
présentera
ments économiques
du risque. Il recom-
économiques
sur les instruments
Ce document
a besoin pour apporter
aide dans la gestion
Document
d’évaluation
au Canada fait actuelle-
d’une étude visant à définir de ce phénomène
internationale
sur la
du Canada.
étude vise entre autres à définir
possibilités
de rationalisation
sation des diverses
les
et d’harmoni-
instances. Cet examen
comprend
également
une étude
processus
dans d’autres
pays.
de ces
INITIATIVES
CRÉATION
DE FORUMS
D’APPRENTISSAGE
Prix de dédopprment la 7k-hologir La Table ronde de commerce parrainer
et la Chambre
des ateliers de gestion
nementale
matériel
entreprises. didactique
A la demande de
environ-
pour les chefs de petites
moyennes
quatre
nationale
du Canada ont entrepris
et
On a conçu du
et pédagogique
et’
ateliers pilotes ont déjà eu lieu. Au
sensibilisera
souligne
d’environ
entreprises
l’importance
au Canada
de cette initiative..
représentant
gestion,
un représentant
nationale
siège comme
consultatif
du Centre
programmes
durable.
membre
entre
service de la fonction
de
fédéral
aux auteurs
durable.
Voici la
liste des gagnants de l’an dernier:
Junior-Secondaty
(C.-B.)
(C.-B.)
3. Laure Ralph James A. Magee Community (Ont.)
de
des
School
l’Environnement. 4. Erika Manders Not-th Island Secondary
School
(C.-B.)
5. Mark Kirchhof Bat-rie Central
Collegiate
(Ont.)
professionnel En association fédéral
des chefs de publique
niveau des sous-ministres..
nationale.
le plus grand souci
2. Anthony Howe Sea View Junior Secondary
du proto-
de la Science et de la et le ministere
qui manifestent
I. Sody Geddes Booth Memorial
du Min&&e.
le ministére
une valeur de 2 500$
pour le développement
de
qui est chargé des
est l’organisme
chargé de la formation
projets
offre des services de consulta-
tion pour la mise en application
au total
et la Table
cinq prix
de l’Expo-sciences
Ces prix ont eté décernés
Un
directeur
à l’occasion
ont parrainé
du comité
du développement
Le Centre
d l’Rxpo-
sciences jeunesse
nationale
représentant
qui
de la Table ronde
de recyclage
dans le domaine
de
du comité
environnementale
Ce Comité
l’Industrie,
canadien
de formation
de la TRN siégera egalement
Technologie du Centre
la
a la mise
environnementale.
de conseiller
cole d’entente
A l’invitation
ronde
les 700 agents de commerce
chargés de gestion
protection
L’existence
participe
sur pied d’un programme
seront
offerts.
nationale
La Fondation
de l’Industrie,
de la Science et de la Technologie,
a titre
900 000 petites
du ministère
Table ronde
cours de l’année à venir, cinq a dix ateliers
durable
srienres nationafe
jusqu’au
avec Environnement
Canada, le ministere
de l’Industrie,
Science et de la Technologie, du développement
Table ronde
nationale
nement
axé sur les liens entre
le commerce
éventuellement été l’occasion l’attitude
le Mexique. d’étudier
des producteurs
événement
donnera
où sont représennationales,
L’ACSTR
provinse réunit
de l’évolution
du developpement
En 199 1, la réunion
durable.
de I’ACSTR
à Vancouver
a eu lieu
(Colombie-
Les seances comprenaient
des ateliers sur les Instruments économiques a
sur
durables.
et le Développement
II y eut aussi une. séance spéciale
sur la CNUED
de l’éveil
des consommateurs.
des secré-
une fois par an pour discuter
Britannique).
et
l’influence
des
officiellement
en novembre,
le
Ce colloque
écologique
a l’issue de laquelle fut
rédigé un communiqué
Cet
transmis
au Premier
D’autres
reunions
collectif
qui fut
ministre.
lieu a la publication
d’un livre qui fera également situation.
régissant
ainsi que dans le libre-échange
entre le Canada et les Etats-Unis
est un regroupement
ciales et territoriales.
et
I’OCDE,
L’ACSTR
tCes les tables rondes
telles que la
européenne,
des srr.rétariats
rondes (ACSTK)
tariats de tables rondes
des questions
dans des associations
les echanges commerciaux
GATT,
un
Le debat etait
l’écologie et sur l’intégration
Communauté
la
I’environ-
et la compétitivité”.
écologiques
durable,
a organise
sur “Le commerce,
tahk
et l’Institut
international
colloque
3 ssociatio71 iunadiennr
de la
le point
sur la
on eu lieu tout
de l’année pour permettre rondes
de se tenir
travaux
respectifs.
au long
aux Tables
au courant
de leurs
&...UN PROGRAMME
D'ÉDuCA'I'IONEN DEVELOPPEWXI-
LANCÉ POIJR CRÉER DES PROGRAMMES~~
L'INTENTION DES ÉDUCATEURS
DES ÉT~JDIANTS EN PÉDAGOGIE,ETPOLIR VISANTÀ INTÉGRER DESNOTIONS
DURABLE A ÉTÉ
ÉLABORER DES DIRECTIVES
ETPRINCIPES DE DÉVELOPPEMENT
DURABLE DANS LES PROGRA.ZIMES SCOLAIRES.*
ET
INITJATIVES
~.
PUBLICATION
DE LIVRES,
Série “L)és?eloppenzent
10 000 coffrets
sur le développement distribués coffrets
de la TRN
de cinq man’uels durable
ET DE VIDÉOS
On the Road to Brazil: Jhe Earth Summit (En
Le commerce, I’enciiwmement
et la compé-
route vers le Brésil: le Sommet de la Terre);-
&ité:
du Canada
publication
se proposant
Canadiens
à comprendre
présentées
et les a
à un public ciblé. Chacun de ces
d’aider
les
à la Conférence
Sommet Waste Reduction Hondbook
et le développe-
qui ont été rédigés par
l’Association
-
canadienne’
pour les Nations
unies, assortis d’une version
révisée de
analyse des nouvelles
deux rapports
que la TRN
gestion des déchets canadiennes.
Cette
commanditée
pour les municipalités publication
et
avait commandés
Develoement
de développe-
guide pratique
sur la façon
les décisions
Report (Protégons
difficiles que doivent
prendre
les entre-
prises, syndicats, gouvernements, ismes non gouvernementaux ismes professionnels. été commanditée
par Procter
Inc. et comprend la Table ronde ronde
des textes du Manitoba
Development:
Handbook
(Développement
gestionnaires
à évaluer
leurs organismes durable,
la performance
environnementale
publication
de
“maison”.
a été commanditée
la Banque royale du Canada.
une
la corrïpétitiv-
(le 4 novembre
par le Comité
de la Table ronde rassemblait
de politique nationale.
les principaux
du Canada et du monde
issus du milieu gouvernmental, nemental,
universitaire
le commerce
paru en 1990 et qui faisait partie publié sous le parrainage
et villégiatures , _
Guide
destiné
aux
Canadien
autorités
de
Pacifique.
locaLes et
nationale
de “Toward
Communities:
a amorcé
Book for
locales et municipales), dans l’ensemble portera
atmosphériques,
qui sera du
sut-tout sur
les outils nécessaires pour tenter des problèmes
(Vers
viables: guide des
publié et distribué
création
la
Sustainable
A,Resource
des municipalités autorités
Mark Roseland,
and Local Governments”
Canada. Cet ouvrage par
sur “Le commerce,
de
Ce
intere&ier
environ-
et du monde
des
leurs points
Municipal
quant au développement
et à les aider à entreprendre
vériiication Cette
à aider les
venants
révisée de 2 I
faites au colloque
que unissent
préparation
durable: manuel du
manuel‘visant
ayant
à compren-
du manuel de Warne
En association avec l’auteur
A Managei’s
étrangère
Ce livre, dont la
pour l’automne,
affaires. Ils ont pu y échangef
Réédition
la Table ronde Sustainabfe
publication
les Canadiens
0
municipales
et la Table
durable.
est prévue
les préceptes
de vue sur les liens multiples
Hôtels
par
Toronto
d’échanges
qui respectent
communications
colloque
Brundtland
& Gamble présentés
des’accords
dre ce que signiiie le développement
a
de Colombie-britannique.
gestionnaire):
Guide to the
notre planète:
du rapport
du consommateur):
du coffret
publication
négociations
du développment
et
durable. Troyer
organ-
et organ-
Cette
I’intentiy
pour but d’aider
environnementales
en jeu dans les
199 1) organisé
Guide d’interprétation
- (Examen des modes
entrant
ité et l’environnement”
Brundtland
d’aborder
au Premier
Preserving Our World: A Consumer’s
de prise de décisions en matière
des questions
perspectives
s’inspire de la version
la formula-
Browning-Ferris
Discussions on Decision Making Practices for
ment durable):
pour éclairer
de
offre un
aperçu très àpropos
publication
ministre.
canadi-
Ltée..
Sustainable
de recherche
tion de ses recommandations
a été
par la Fédération
enne des municipalités Industries
de
publié sous la direction
commerciaux
(Guide national de réduction des déchets): méthodes
la prospérité
John Kit-ton et Sara Richardson,
des Nations
unies sur l’environnement
maintenir
Cet ouvrage,
les questions
ment à Rio de Janeiro. Série d’essais sur le
comprenait:
The National
_
DE BULLETINS
duradk”
Le Service des communications a publié
-~~
DE GUIDES,
de régler
tels que les changements la qualité
de l’air, la
de villes vertes, les politiques
d’approvisionnement,
et l’animation
Ce sera une publication
tous les manuels déjà publiés.
oing,t-deax
sociale.
plus complète
que
et l’environnement.
Livre
sur le développement
l’intention
Guide d’action jeunesse pour le développe-
durable à
ment durable
de la main-d’oeuvre
Avec le Congrès Table ronde
du travail du Canada, la
nationale
a parrainé
la publi-
Dans le cadre de ses efforts
Afin de présenter
aux et de leur interdépendance,
d’achever
ronde
travailleurs
à mieux comprendre
questions durable, concerne
qui vise à aider les
publication
les
particulièrement
prépare
jeunesse
en ce qui
d’un “Youth
la Table
Action
proposera
d’action durable).
de ces questions
des orientations
Trousse didactique: modèle de table ronde
durable.
trousse
qui montre
problème
a publié une
II présentera
et constituera
aux jeunes comment
simuler une table ronde écologique
en choisissant
et solutions
également
le
rôle des parties intéressées telles que chefs d’entreprises, caux,, écologistes, gouvernement
responsables représentants
et responsables
de citoyens,
Cette trousse
utile aux enseignants,
tout
jeunes qui se réunissent en groupes
divers
tences de communication
sus, résolution
internationale
( Association
des étudiants
économiques
musical mettant
d’autres
la Table ronde 1992 un
en vedette
le
les Infidels par-m
invités speciaux,
la musique
de
au
pour l’automne
gagnant du Juno Award,
qui exécutent
de
avec paroles commandée
problèmes
par la TRN pour illustrer écologiques
les
urgents.
Disquette animée et interactive pour ordinateur Pour mieux expliquer
produit
une disquette
technique
Bulletin trimestriel
interactifs
bulletin
des compéet de négocial’objet
dans le cadre scolaire par consen-
national
emps dernier publication
dont
contient
de protection
nement,
établissements
supérieur,
organismes
municipalités, provinciales
de I’environd’enseignement gouvernementaux,
médias, tables rondes et municipales,
Elle a pour but d’offrir des nouvelles développement
et particuliers.
à un public national
et des analyses ayant trait au durable.
oingt-trois
qui fait appel à la
et qui permet
et au
de choisir ce qu’il veut voir et dont
il veut connaître
la
réponse.
A4essage.s d’intérêt public
qui est distribuée
à plus de 12 000 entreprises,
groupes
a
du print-
28 pages, est une
trimestrielle
gratuitement
nationale,
le numéro
de la
nationale
du dessin animé, du texte
les questions
La Revue de la Table ronde
aux
le processus
table ronde, la Table ronde
d’éléments
comme
de différends).
en sciences,
et commerciales).
sera également
(ex.: débat, prise de décisions
vidéo
durable,
prépare
“spectateur”
de comités
tion qui ne font pas nécessairement d’un apprentissage
de I’AIESEC
Theme
syndi-
dans des clubs ou
d’acquérir
Conference
entier.
du
non officiels, et elle permettra
aux participants
nationale
constants
canadienne
un suivi de la Global
Seminar Series et de la World un
local et en jouant
développement
spécialement
et
points de vue des jeunes du monde nationale
la jeunesse
visant à réaliser un développement
pour les jeunes La Table ronde
la
Guide for
(Guide
pour le développement
Ce guide traitera
leur lieu de travail.
mondi-
actuellement
SustainableeDevelopmént”
ayant trait au développement tout
nationale
sensibiliser
aux jeunes un aperçu
simple et accessible des problèmes
cation d’un livre, dont elle est en train la rédaction,
Vidéo musical
Tout
au long de l’année, quatre
de 30 secondes ment durable
messages
chacun sur le développe-
ont été diffusés en anglais et
en français sur les ondes de RadioQuébec,
de CFCP 12 Montréal,
Rivière-du-Loup,
de TVA
de NTV Newfoundland,
et STV à Regina et Saskatoon.
TÉMOIGNAGES
i> “Personne ne croyait &ve fzozbsirions si loins” ,,z;:,, 1< i“,.
i la @lus =:
mais c’est aussi
Cependant,
au bout d’un an et
de six teunions, la Table ronde
II est un exemple vivant de ce que la Table ronde nationale
sur les forêts a déjà accepté
tente de réaliser en cherchant à
vingt-six ‘Principes de
surmonter
développement
tionnels qui entravent
durable”, les
participants sont en train de
les obstacles institu-
développement
le
durable, comme
mettre la touche finale à des
il fut le premier à le reconnaître
plans d’action
au cours d’un entretien
individuels visant à
appliquer ces principes, et une ologrste& étaient dans une tel 38,
i ‘1
dans son
bureau de Sainte-Catherine.
septième réunion est prévue \Pour discuter des méthodes de 6, @colte et de deboisement. Et, “ose la plus importante, règne a ysormais un remarquable esprit & $!e corps au sein de cette Table ;;z àronde.
:g
&Canadienne, l’Institut d
‘le suis très fier de tout cela”, dit Houghton,
II a changé, avoue-t-il, tant sur le plan professionnel Comme
bien des dirigeants de
l’industrie forestière,
villages qui étaient le siège des entreprises où, dit-il, les défis
mettaient
semble partagé par un grand
Houghton
s’est f-ayé un chemin dans les
communautaires
et ce sentiment
que personnel.
à relever
rarement ses convic-
tions à l’épreuve. Si vous consid-
nombre.
érez une grande société de pâtes Houghton
et papiers -- la cinquième au
est président du
conseil de Quebec and Ontario
Canada -- comme une institution
Paper Company
au sein d’un microcosme, vous
Ltd., ancien
voyez très bien comment,
président de l’Association ‘trouver #es
ite$&Wmi&üx
*,Z;#& .._-
I’unanim-
représentait
un
d@kYIe à imaginer,
vingt-quatre
1 canadienne des producteurs
de
d’une
manière au moins, les institutions
pâtes et papiers, ét membre de
peuvent
la Table ronde nationale.
extérieures.
résister aux influences Les gens qui ont suivi
“Quand je suis entré à la Table
était comment
ronde nationale il y a un an et
forêt jusqu’à la scierie le plus
demi, j’ai découvert
efficacement
une
échelle de valeurs entièrement nouvelle”, dit Houghton.
“Que
les amener de la
possible.”
Maintenant,
il dit que nous nous
soucions beaucoup plus que
cela me plût ou non, je devais
jamais de protéger
reconnaître
végétale et les diverses espèces
qu’elles étaient
la terre
réelles.” Et, après un an à la
qui poussent dans une région, de
Table ronde sur les forêts, “ma
prévenir le ruissellement et I’éro-
vision des forêts canadiennes
sion, d’assurer la regénét-ation,
n’est plus la même.”
de conserver
la faune et de tenir
compte des aspects esthétiques II constate également que les
et récreatifs.
_ participants de la Table ronde qui sont issus d’un milieu autre
II qualifie ces éléments de
que celui des affaires
‘valeurs” et, à l’écouter
“commencent
à accepter qu’il y
a un aspect économique”
des
forêts canadiennes qui est
parler, on
se rend compte que ce sont.plus que des considérations
profes-
sionnelles. Ces valeurs occupent
d’une importance cruciale pour le pays et qu’il est extrêmement difficile de bien doser
face à la
concurrence
intema-
tionale. ‘ye suis sûr que cela est vrai;, dit Elizabeth May, représentante nationale du Sierra Club of Canada, qui est aussi la personne à qui l’on attribue le mérite la même voie gué lui pourraient
ressent lorsqu’on
siège à la table d’avoir presque à elle seule mis
écartés de la ligne de feu de
de la salle du conseil pour
l’opinion
essayer de justifier la dépense
publique et finir par
réagir instinctivement‘à
fin à la pulvérisation
cides en Nouvelle-Écosse. supplémentaire
la
critique qui accusait les critiques
détournement
de l’extérieur
d’exploitation
d’être mal infor-
més. “Ils ne comprennent
rién”,
de petii-
qu’entraîne
“Nous
le économique
découvert
avant, dit-elle, mais
l’interaction
soutenue avec les
zone sensible, pendant que le représentants directeur général, qui a pour
ajoute Houghton.
fonction
nelle, “d’une part, dit-il, parce que j’ai appris beaucoup et, d’autre part,’ parce que j’ai
une
telle était la réaction courante,
dans sa vie person-
étions conscients de l’aspect d’un chemin afin d’éviter
une place de plus en plus primordiale
de l’industrie nous
a aidés. à élargir notre perception
que ces valeurs ont
plus d’importance
que je voulais
bien leur en accorder auparavant.”
première de veiller à ce de la complexité
des rouages Houghton
que la société demeure solvable
n’a demandé qu’une
économiques.”
De même, poursuit-il, les écolo-
et concurrentielle,
gistes se rendent rarement
férocement
compte
meilleur rendement.possible
regardions des arbres et la seule
les forêts. II fallait qu’ils recon-
dans la gestion de l’entreprise.
idée que nous avions en tête
naissent l’existence d’un lien
du malaise -- et c’est là
un euphémisme
-- que l’on
chose aux gens qu’il a invités à
se débat
pour atteindre
le
“Autrefois,
dit Houghton,
nous
faire partie de la Table ronde sur
TÉMOIGNAGES
pendant une heure, en plein milieu de la forêt, et s’en tint tout simplement
à ce sujet mais,
à la fin de cette discussion, on vit les deux parties à bouger un peu. C’est alors que j’ai décidé de rester avec le groupe.” ‘le crois que ce fut la réunion qui souda le groupe”, dit Houghton. Si Hinton a cimenté les liens, la consolidation
se frt à la réunion
suivante, qui eut lieu dans la vieille forêt surplombant
la vallée
de Carmanah sur la côte ouest de t’île de Vancouver.
Tout le
monde état très ému, dit Houghton.
Le respect mutuel
était né, de même que la crédibilité individuelle. Carmanah fut la source d’inspiration.
Les gens
se sentirent engagés à réussir, et ils y sont parvenus. A la fin de leur sixième réunion à entre l’économie
et I’environ-
problèmes épineux tels que le
Timmins, en Ontario,
ils avaient
Ce fut lors de la troisième déjà leurs vingt-six principes. “Ils \
nement.
déboisement
intégral, l’emploi
réunion à Hinton, en Alberta, à
’ ont découvert
de pesticides et la biodiversité,
un,e tréntaine
qu’ils pouvaient
de kilomètres de s’entendre
L’une des premières
sur 75 à 80 pour 100
l’entrée du parc national des points sur lesquels ils
choses que le groupe a Jasper,. que le déclic s’est
croyaient ne jamais pouvoir
faites fut de former un produit
dans iè groupe. s’entendre”,
comité directeur, et l’une
ajouta Houghton.
Nous étions dans la forêt, “Quant au reste, soit 25 pour
des premières choses qu’a dit Joe O’Neill, vice-prési-
100, il se peut qu’ils ne trouvent
fait le comité fut d’inviter dent des terrains boisés
jamais un terrain d’entente.
le professeur Hamish de la compagnie
le fait qu’ils aient pu s’entendre
Kimmins, du département Pulp and Paper, et “la d’écologie forestière
de discussion aboutit à une
l’Université
de Colombiebataille à tous crins sur les
britannique,
et de lui herbicides -- probable-
confier le rôle de modérament le meilleur échange
teur dans les réunions.
de points de vue sur le La première t-&nion
Mais
Miramichi aussi facilement sur autant de points leur a fait prendre conscience que, le moment de prendre
venu
une décision, ils
,
avaient pris une position commune
à leur insu.”
sujet auquel j’aie jamais
eut
lieu en juin 199 I et son grand
les participants ont décidé
assisté. Tout le monde a laissé
“Ce fut une expérience
de liens”, selon May, “et nous
créatrice.
d’essayer de définir une série de
tomber
“ne pas voler en éclats”. Au lieu
principes pour orienter
à son tour, et chacun écoutait à
avons abouti à une bonne série
d’attaquer
d’action.
son tour. Personne ne bougea
de principes. Personne ne croyait
exploit, selon Houghton,
d’emblée
les
fut de
leur ligne
ses gants. Chacun parlait
que nous irions si loin. Ce fut
avions quelque chose à
Brunswick, pour y discuter d’une
II ne se prononcera
l’une de mes plus belles expéri-
enseigner. Je crois que nous
question cruciale, le déboise-
chances de réussite, mais il dira
ences de groupes multi-
savons désormais que nous
ment intégral. Ce sera alors,
que, jusqu’à présent, le proces-
latéraux.”
avions quelque chose à appren-
comme Houghton
sus “renforce
dre. La plupart des gens se sont
la minute de vérité. II ne s’agita
si vous vous entourez
apergus qu’il faut apprendre
pas, dit-il, de décider si le
honnêtes et dévoués, vous
déboisement
pouvez réaliser des choses.”
j
Claire Danser-eau, planificatrice des forêts
et de l’environnement
pour I’IWA, fait le même bilan. “Nous avons commencé aborder
par
le sujet de façon très
générale et nous sommes
à
écouter mais, maintenant, nous devons apprendre
à apprendre
se plaît a dire,
intégral est bien ou
mal,.mais de définir un processus
aussi. Nous ne pouvons tout
selon lequel on pourra prendre
simplement
des décisions quant à la façon de
pas espérer changer
la mentalité des autres, mais nous devons laisser le processus dans lequel nous sommes enclenchés changer notre propre mentalité.” Mais Timmins ne
que,
de gens
Quant à la Table ronde sur les
façons de trouver d’entente.
certains cas, le déboisement,
d’autres
un terrain
Mais ce moyen
j s’avère bon sans aucun doute.
intégra conviendra, dans d’autres, évaluez-vous
ma conviction
forets, “il y a peut-être
déboiser un endroit. “Dans
non. Comment
pas sur les
les
Vous pouvez trouver
un consen-
sus. C’est un compromis,
mais il
choses, en tenant compte des
est cent fois meilleur que la
aspects esthétiques et des autres
situation d’où nous sommes
valeurs dont j’ai parlé, pour être
partis. Et pour une entreprise,
sûr de prendre
cette solution est beaucoup plus
la bonne
décision?
efficace qu’un climat de confrontation.”
marqua pas l’étape finale. La question qui se
MEMBRES DE LA TABLE RONDE
SUR LES FORETS
posait à chacun était: “Et après?
Modérateur, Hamish Kimmins
Quelqu’un
Fédération canadienne des associations de forestiers professionnels*, Chris Lee
proposa que l’on compile les maintenant très spécifiques et fermes, et c’est le rkultat
de la
confiance qui s’est établie dans la salle. Je me suis longtemps demandé pourquoi
cette confi-
ance existait, et c’est une confiance I-éelle, ce n’est pas un masque qui ne tient que le
recommandations
Féderation canadienne des proprietaires de boises, Peter DeMarsh Association forestière canadienne, Gien Blouin Fédetation canadienne de la nature, Paul Griss
et l’un des
participants demanda à un membre du secrétariat de la Table ronde nationale qui apportait son aide à la Table ronde sur
Syndicatcanadien des travailleurs du papier, Keith Newman Société pour la protection des parcs et des sites naturels du Canada, Diana Keith Association canadienne des producteurs de pâtes et papiers*, David Barron Association canadienne de sylviculture, Dirk Brinkman Fedération canadienne de la faune, Gary Blundell Service canadien de la faune, Gerry Lee Conseil des industries forestières de Colombie-britannique,
les for&s de faire un commen-
Corn&e du Caucus sr les for&
taire.
Direbion
générale des industries forestières, Bruce Gouriay
Forêts Canada*, Tom Lee
“A vous d’agir, dit-il. Peu importe
Institut de la fourmre du Canada, Geny Wilde IWA Canada*, Claire Dansereau
temps de la rencontre. Je crois
à qui vous formulez vos recom-
que, dans cette situation, la
mandations, c’est vous qui
National Aboriginal Forestty Association, Hany Bombay
‘confiance est née du fait que
devrez les mettre en oeuvre.
Ontario Forest Industries Association, Marie Rauter
nous devions avoir un Plan
Vous êtes l’âme de cette entre-
d’action. Les plans d’action ont
prise.”
rapidement.
Miramichi Pulp and Paper Inc., Joe O’Neill
Sierra Club of Canada, Elizabeth May Groupe de travail des églises sur les responsabilites des sociétés, Peter Chapman Écoles de foresterie universitaires, Rod Carrow Weldwood
permis d’axer le processus qui s’est ainsi amorcé beaucoup plus
Tony Shebbeare
- Réseau canadien de l’environnement, Lois Corbett
Outre
la formulation
des recom-
of Canada Ltée, Don Laishley
Habitat faunique Canada*, David Neave
mandations, les membres
Table ronde nationale sur l’environnement et l’economie*, John Houghton
décidèrent
Secrétariat de la TRNEE, Steve Thompson
de tenir une
“Chacun d’entre nous était venu
septième réunion en automne
à la table en se disant que nous
1992 à Miramichi, au Nouveau-
vingt-sept
Un Comité directeur (*) a éte formé en regroupant les dirigeants des groupes mukilatéraux susmentionnés, et la Table ronde nationale sur l’environnement et I’economie.
PARTICIPANTS
De nombreux
bénévoles
Le président nationale
ont participé
et les membres
sur l’environnement
remercier
et organismes
suwants,
bénévole
car la Table
bénéficié
travaux
Husky
désirent
nationale
a
et de leurs compé-
Newfoundland
Oil Operations
Centre
les particuliers
ronde
de leurtëmps
Hospitality
ronde
et l’économie
de leur participation
grandement
à nos
de la Table
canadien
DE LA TRN
Btian Kohler,
de recherche
pour
le développement
Heolth,
Sofety ond lndustriol
Relations Trarnlng Fund
international international
Institut Imperial
du développement
durable Conodion
Oil
Infometnca
tences:
PERSONNES-RESSOURCES
and Labrador Llmited
Ltée
Toby
Council ofMinlsters
Ptice, Environment
ofthe
Enwronment
(CCMEJ
Canada
Inca limitée Toutes
les tables
rondes
Gouvernements Alberta
Environmental
Tourisme Agence
provinciales
provinciaux
et terntorlales
Centre
Alberta de promotion
Banff Centre
économique
tourisme
de Colombie-britannique
Canada
du Canada atlantique
for Management
du développement,
du commerce
Ferris Industries
et du
Centre Chambre
de recherche
Institut
international
de la paix par la voie du tourisme
Jane Hawkrigg
Lever
canadien
canadiens
du Canada de l’environnement
l’avancement
consultatif
de l’écologie
canadien
de l’emploi
gration Energ;
Colton
Research
* Temple
Réseau
Barry iowater,
Institut
de l’environnement
canadtenne
canadien
Congrès
Régionales
Associées
du
Company
Inc.
de l’Industrie,
canadien
École nationale
Mlke Robinson,
et du Tourisme
McGill
Association
pétrolière
canadien
Association
publique
(ENAP)
McMaster
Ministère
Research
du Tourisme,
Associates
des Loisirs
et du Patrimoine
du Canada
South
des produits
canadienne
pétrolien
des producteurs
de pâtes et
papier5
Ministère
de l’Environnement
F%s$re
du Tourisme
Service
canadien
de la faune
Centre
d’études
internationales
Local
Ministère
de I’Énergie,
de
Ministère
de l’industrie,
Initiatives
du Tourisme
Pembina
lnstltute
illimit&s
des Mines
et des Ressources
de la Science
et de la
Canada
Enquête
énergétique
Environnement
Pollution
et des Loisirs
environnementales
environnementales
d’Ontario
Sobeco
lnc.
Rapport
sur l’état
Mark Wedge,
et des Parcs de I’I.-P.-E
John Kirton,
Paper
Company
d’examen
des évaluations
environ-
nementales
André
des Finances
Canada
Ford du Canada
Limitée
Forintek
Corp.
Canada
de la Terre
Tourisme
Tim de l’environnement
Gouvernement ministère
Economie
Diversification
and Trade
Limitée
- Ministère
de l’Industrie.
de la
de l’industrie
touristique
du Canada
Association
of PEI
Tourism
lndustry
Association
of Saskatchewan
Bob Westbury,
pour
les Nations
de Colombie-britannique,
Université
de Washington
des T.N.O.,
Universlte
Développement
et Tourisme
de Waterloo,
Research
Programme
(Gerty
faculté
Fondation Harold UniveBlté Héritage
Harmonie
Corrigan, Harvard Canada
C.A.
Bablcki
de droit Doucet
Cormick)
Sustainable
& Consultlng
Society
de divenification Environmental
du Canada
Habitat
faunique
Working
with
de l’économie
& Social Trends
Fonds York Yukon
mondial
Canada
Canadian pour
International, Tourism
Youth
la nature Université
Beavis
Project Chad
Nelson
Edwin
Smith
Inc. de l’Ouest
(Canada) York
Webb
(WEST) Desiree
Haldor-Topsoe
Howkngg
Enterprises Ltd.
pour l’été et employés
unies (UNAC)
Allison Western
Dofosco Inc.
Corporation
canadienne
Université
VHB
Utikks
Baker, Pt%y Council Oflce
Kathenne et du Labrador,
Youth AIllance
Ernst and Young Consulting
Jane Hawtigg,Jone
Carla
Ltée
lnco ilmited
Royal Bonk ofCanada
TronsAlto
Locklngon.
Fraser Wilson,
Dominica
du Développement
économique
Utllities
Ferguson,
Delamere,
Norman
lndustty
Ontario
& Dettwiler
of Alberta
Tourism
TransAlta
(Charlie)
D’Arcy
Jeff Gibbs, Envronmental
Association
Tourisme
MocDonoid
Univerxity
Trust
et de la Technologie lnbustty
irinrty
Egan
Étudiants
de Terre-Neuve
Gouvernement
Science ond Technology
au Canada W.C.
Canada
Science
Association
(CANNET)
Economie
Corporation
Saurnier, SaurnIer Frères Conseil
David
Min&re
Yukon Indian Development
Ltd.
du Canada
Waterfront
Association Lambert)
fédéral
Smith
de l’Ontario
inc.
& Ontario royale
Tourism
Ernst & Young Esso (Gardon
E Cox Associates
Dr. John S. MacDonald,
Banque
Shell Canada
Hydre
Global
sur
Canada
de ressources
Bureau
de I’OntarioiCaucus
Probe
Saskatchewan
des évaluations
FInonce Canada
John E. Cox,,lohn
Jim Ramsay, lndustry,
and Gambie
Toronto Commission
F~nonce Canada
du Canada
SUE Répotilng
Canards
Sharon Andrews,
Moore
Quebec
and Resorts
Technologie
Centre
de Nouvelle-
Cameron
MInistère
Jelecom lnc.
Lafond
de Nouvelle-Écosse
et de la Culture
du Tourisme
Univenky
Petro-Canada de l’université
Environmental
Pacifïc Hotels
BeaulIeu. McGill Univenlfv
George
du Vérificateurgénéral
Proctor
Canadian
André
Michael Jenkins, lndustry, Science ond ï’echnology
Toronto for
Limitée
de l’énergie
Sciences
BOI~S&, McGiii Un~venr~
Btian Kelly, Nordiem
Telecom
Perkins
Council
Institute
Commission
ofAquotic
Annick
Dr. John G. Drake, McMoster
Northern
Ministère
(CPA)
ofcalgary
du
I’enwonnement
de la nature
Nature Federation
Univekity
Jhe Rowson Acodemy
Economie
Bureau
d’admlnistratlon
Pomeroy & Neil Consulting Inc.
François Bregha, Tetiault
Université
Ron Edwards,
du travail
canadienne
Pomeroy,
Paul Gtiss, Canodun
du Commerce
des urbanistes
Fédération
Institut
de I’agriculture
Associates inc.
Energy, Mines ond Resovrces
Peter Fisher, Energy, Mmes and Resources Touristiques
McCarthy,
North
Design
canadien
Fédération
Institu?e
Hayles. Pot Delbridge
Ltd.
Ltd.
Nouveau-Brunswick
Canadian
Amis
Charles
ond the Economy
& Associates
National
et de I’lmmi
Canada
Round Table on the Enwronment
Kathleen
Univenlté
Conseil
Monltoba
du Manitoba
des ministres
pour
poiltique
Brothers
Ministère
(CCME) Canadiens
Enterprises
Enterprises
Envrronment
Bob So&
international
Lowe-Martin
de gestion
de commerce
Conseil
-
Institut
MacNeil
canadien
Intérieures
Quebec
Ltée
des banquiers
des eaux
Canada
Les Associations
Trust
Association
générale
Lafond
Ministère
Browning
Direction
Environnement
et territoriaux
Len Good,
McGraw
temporaires
SECRÉTARIAT
SOUS-COMITÉ PERMANENT DE L’ÉDUCATION
INSTRUMENTS ÉCONOMIQUES
TRNEE
Participants
Ann
LA
TRNEE
DIRECTEUR GÉNÉRAL Ronald L. Doering
josetïna Leone
DE
Gonzalez.
membre
Ontario
Pippard, membre
Dale, secrétariat
Cameron
Tax Commission
Denise Murphy
E.B. Eddy Forest Products
Smith, penonne-ressovrce/TRNEE
Industrie,
Associates
Tables rondes provinciales
Shell Canada
Limitée
J. Shenr>ld
Ron Edwards
(Politique
Darlene
Alberta
Collins, Colombie-bntannique
TransAlta
Ontario
Jennie Hillard,
Monitobo
Louis Lapierre, Dorothy
énergétique
SECRÉTAIRE PRINCIPALE
et de
Hélène
Utlities
General Amis
Nouveau-Brunswkk
Inglis, Terre-Neuve
DIRECTRICE DE L’EXPLOITATION Ann Dale
Inc.
l’environnement)
Bill Elliott, Manitoba Rick Findlay,
Ltd.
Science et Technologie
Pst Delbndge
Moore,
ASSISTANTE PRINCIPAL
Husky Oil.
Corporation
Motors
du Canada
CONSEILLER EN COMMUNICATIONS/ CONSEILLER POLITIQUE
Limitée
Dan Donovan
de la Terre
Mike Kelly (Impacts
et Lobrodor
socio-économiques)
(Groupe de travail sur les changements
Sue Kirby
Conseil
des ministres
Association Association Fondation Comité
de l’Éducation
canadienne
pour
du Canada
les Nations
unies
des collèges communautaires Harmonie
MAB/Canada
Fédération
du Canada
des associations
foyer-école
et
Sewce
canadien
Programme Pembina
des parcs
Pralties et régions
Éco-recherche
instltute
Development
Education
de Ttansfonnation
gouvernement
DIRECTRICE DU BUREAU Cathy
Kupfer Canada
Society of Alberta
du Globe
PRINCIPAL ASSOCIÉ
Institute
Enquête
énergétique
Impetial
Oil
Steve Thompson
CONSEILLERS POLITIQUES
de I’Enwronnement
LaFarge Canada
de Colombie-britannique
Inc
and Regional
Univenité
de Colombie-britannique
Fondation
Richard
Mlke
Environmental
Resource
Centre
Thompson,
Dorfman
Fédération
canadienne
CONFÉRENCIERS DU COLLOQUE “LE COMMERCE,
ASSISTANTS EN COMMUNICATIONS
L’ENVIRONNEMENT
Pal3
Association
des universités
et coltèges du
et enseignants
Canada
du Manitoba
SECRÉTAIRES DES COMITÉS Patricia
Connell
Dr. Arthur
Hanson
Jlm MacNeill Thomas
Mr. Gardon
Hanison
David
Esttin
Adam
Zimmermar
Environmental
d’éducation
Outdoor
Education
scolaire de Calgary
Centre
canadien
Synerglstics
de gestion
Consultlng
Ltd.
Intergroup
d’Aquino
Rosematie Tearr
Michelle Harry
Kuptana Swenarchuk
Larkin
Liza Campbell
GESTION DES DOSSIERS Mae Clifford SECRÉTAIRES Julie Martin& Louise
Coulombe
Sara Shadforth
Rogen
Good
Dr. Len
Hon. Ftank Oberle Joseph Greenwald
YM-YWCA
Dr. Gustave
Dr. David Suzuki Common
et de communication
et développement
Conse
Baslaw
Dr. George
for Management
intemalional
Bacon
Dr. John MacDonald
Banff Centre
en environnement
ET LA COMPÉTITIVITÉ”
Orateurs
des enseignantes
Board du Canada
Congrès
McGrath
David
Conference
Université
Kelly
Peter
AGENT DE FINANCE Pierrette Guitard
Planning
and Sweatman
Clément Foulllard
Energy Mines and Resources
Societé royale
Ivey
Philippe Anne
du Canada School of Commun$
Héroux
Lt&
P&ro-Canada
- CRSH
for Appropriate
Fnends of Environmental Programme
nordiques
des normes
George
Ministère
parents-maîtres
(Dlrectlon
du Canada);
Pembina
de I’UNESCO
canadienne
Kowalskl
Esso Resources
du Canada
CHEF, SERVICES GÉNÉRAUX Sam McLean
climatiques) George
Massie
Heritage
Vega-Canevas
Reg Basken Progtam
Dr. Ut- Schetbak Dr. Murray
Smith
Dr. JuanjaN Ajanant Prof. Makiiaro Alan
Hotta
Dean
Candice
S%ens
Dr. Piritta Sorsa Peter Manson Dr. Nurul
Islam * Nous
PARTICIPANTS INDIVIDUELS
tenons 0 remerckr toutparticulièrement
Dowd L ]ohnston, créotionlusqu’ewl991
qui fut préadent
de la TRN depuis SO
et qu en est demeuré
membre
Peter Jacobs jusqu’en Yvon Michel
1992, ainsi que Dorothy Richardson, drrectnce
Charbonneau Desbiens
générale de la TRN depuis S(I créotionlusqu’à
juillet
199 1.
Ketth Newman Michel
Provost
* Nous remercions égolementjohn
Leefe, Roy Ai&“,
Jean Pasquero
Guy Bertrand, Hélène Connor-lajombe
William
qui ont LIU cours de l’année, qurtté la TRN dont ils éhent
Ptickett
membres.
et Lac Ouellette
four tout renseignement la Table ronde nationale:
supplémentaire
sur
Té/.(613)992-7189
Jéléc. (6 I3)992-7385 Secrétariat de 10 Table ronde nationale i, rue Nich~/as, bureau 1500 Ottawa (Ontko) KIN 7R7
Le présent roport est impr/mé sur papier recyclé
0 /‘encre
végétale