LA
TABLE
RONDE
NATIONALE
L’ENVIRONNEMENT
ET
SUR
L’ÉCONOMIE
favorise l’adoption
des principes
du développement
durable dans tous les secteurs
de la société canadienne
et des pratiques
et dans toutes les régions
du Canada. PAR DÉVELOPPEMENT ment
qui permet
en péril propres
DURABLE,
de répondre
l’aptitude
aux besoins
des générations
le développe-
présents
futures
sans mettre
à répondre
à leurs
besoins.
RELEVANT
DIRECTEMENT
Table
nationale
ronde
composé milieu
on entend
représente
de représentants des affaires,
universités,
DU PREMIER
influents
des sciences,
des syndicats
un carrefour
et des peuples
DE LA PLUPART
ISMES,
la Table
ronde
intérêts
habituellement
nationale opposés
et prend
du
écologistes,
des
autochtones.
DES réunit
la
indépendant
du gouvernement,
des groupes
À L’ENCONTRE
MINISTRE,
AUTRES
ORGAN-
des personnes des décisions
aux
fondées
sur un consensus.
E
LETTRE
A
LA
PREMIÈRE
MINISTRE
16 juin 1993
Cette quatrième
rétrospective
annuelle
ration
organisée
dans le cadre des travaux
phase,
exécutée conformément
(Projet
lafin
de la première
phase d’élabo-
de la Table ronde nationale. Loi établissant
a la nouvelle
et l’économie
sur l’environnement
marquera
de loi C-72)
La prochaine
la Table ronde nationale
sera mise en oeuvre à I’au-
tomne de 1993.
Nous serons heureux nouveau chapitre
de vous rendre compte, Madame
dans le cheminement
à la Table ronde nous attribue
vernemental.
Cela ne modifie pas radicalement
un statut
defonctionnement,
et de la population ment durable
sera
qui réalisent
d’organisme
Loi gou-
mais nous bénéficions
et toute ambiguïté
relative
aux rap-
est dissipée.
compte de la prise de conscience
canadienne,
de ce
La nouvelle
indépendant
notre mandat,
ports entre la Table ronde et le gouvernement
La Loi rend également
ministre,
de la Table ronde nationale.
qui s’applique
d’une plus grande autonomie
la Première
collective
de nos législateurs
que la route conduisant
au développe-
La Table ronde s’est engagée à servir de guide
longue et difficile.
tout au long de cette route.
Nous tenons à remercier
chaleureusement
ainsi que l’honorablejean le projet
Charest,
qui a conduit à la création
Les réussites
de ces quatre dernières
sion du présidentfondateur,
l’ancien
Premier
ministre,
pour le rôle de premier
Brian
Mulroney,
plan qu’ils ont joué dans
de la Loi sur la Table ronde.
années sont en partie
David johnston,
imputables
et des membres fondateurs,
à la superviqui sont
encore nombreux à servir notre cause aujourd’hui.
Un hommage mérité a été rendu a l’un des membres fondateurs savoir le regretté Roy Aitken,
grace aux stages créés par I’INCO.
tront chaque année à deux étudiants liées au développement protection
durable,
une première
d’acquérir
à lafois
dans l’industrie
Ces stages permet-
expérience
des questions
et dans les organisations
de
de l’environnement.
Un autre membre fondateur,
président fondateur
David Buzzelli,
du President’s
Unis. Ce conseil est très similaire
a récemment
Council on Sustainable
été nommé au poste de coDevelopment
d notre Table ronde nationale,
premier plan qu’il occupe, M. Buzzelli ment.
les plus dévoués, a
veillera
à ce que le conseil
aux États-
et de par le rôle de travaille
efficace-
Margaret
Kerr, qui a été l’une des permières
sur l’environnement
et l’économie,
ronde l’an dernier. son soutien
Jim MacNeill,
néanmoins
spécialistes
bénéjicier
de son expertise
de la Table ronde sur le commerce
et chefs defile
durable.
Il conservera
spiration
pour ses membres.
des liens étroits
Nous avons la chance d’avoir conservé
jours
àfaire
tout au long du processus
les mêmes objecti&
une approche
en matière
Parallèlement,
et de
et la durabilité.
mois, demeure l’un
de développement
avec la Table ronde, et sera une source d’in-
dans nos rangs un grand nombre des membres d’élaboration.
Cela nous a permis de viser tou-
de penser et d’agir dans un esprit de cohérence,
des problèmes
mement établi.
mondiaux
national
a quitté la Table
qui a quitté lui aussi la Table ronde il y a quelques
des principaux
fondateurs
du Groupe de travail
ainsi qu’une membrefondatrice,
Elle continue
le Groupe de travail
membres
les plus épineux basée sur un processus les nouveaux
membres
et d’adopter
consensuel
de la Table ronde ont apporté
un sang nouveau grace à leurs idées, mais aussi à leur énergie.
Lorsque membres
la nouvelle
de la Table ronde seront monnaie
deux prochaines
années aux nouveaux
différentes
public en matière à leurs successeurs
II)
arrivants,
de la société canadienne, d’économie
crucial
céderont
périodiques
des qui
EN FÉVRIER, 1991.
ÉTAIT LE PRÉSIDENT DE
qui représenteront
de nombreuses
les préoccupations
Les membres fondateurs
du
L’UNIVERSITÉ DE TORONTO
Président
DE
1984 À 1990, ET PRÉSIDENT DE
ont légué
et éprouvé qui sert la cause du développe-
L’UNIVERSITÉ WESTERN
ONTARIO
DE 1977 À 1984. M. CONNELL
Rékrospective
annuelle
rend compte de l’état de cet héritage.
DÉTIENT UN DOCTORAT EN BIOCHIMIE.
M. GEORGE
M. CONNELL
leur place au cours des
ment durable.
La présente
GEORGE CONNELL PRÉSIDENT DE LA TABLE RONDE NATIONALE
Les membres principaux
et exprimeront
et d’environnement.
un instrument
les changements
courante.
en poste (ils sont actuellement
demeureront
facettes
loi sera mise en application,
LE PREMIER MINISTRE A NOMMÉ
fer-
E. CONNELL,
FORGER
LESSOCIÉTÉS FRUIT
OCCIDENTALE~
D’UN RECYCLAGE.
beaucoup
plus tôt. II aurait
l’univers.
Une perception
UN
CONSENSUS
NE CROIENT
PAS EN GÉNÉR~LQUE
Si c’était le cas, le concept
du développement
découlé
beaucoup
d’une perception
qui insisterait
LESÊTRESHUMAINS
SONTLE
durable aurait peut-être
prédominé
plus réaliste
moins sur la domination
de la place de l’humanité
et davantage
sur la dépendance.
Les êtres humains
sont le fruit d’un recyclage
Nous parlons
de règles
car, comme
chose,
guerre
l’indigence,
toute
vaste ensemble
d’atomes
tincte.
Cette disposition
l’autre
et d’une espèce
ments
de base,
disposés
à l’autre.
à
sur notre
planète
contre
ne
québécois
istre,
des employés
au front,
de guerre
tions,
Certains
des atomes
politiques.,
de calcium
peuvent
provenir
d’années.
qui composent
de l’herbe
un boeuf
dont a tiré un bifteck
tu manges, toute
broutée
de guerre démolir
d’aloyau.
de vue, le vieil adage
“Dis moi ce que une
signification.
De ce point
de vue, la vie sur la Terre,
vie sur la Terre,
rappelle
Et si ces deux facteurs laire de la pensée aurait
peut-être
la parenté avaient
occidentale, encouragé
toute la
tions,
et le partage.
été la pierre
la pensée
privilège
angu-
un plus grand respect
appareils
et de l’autorité. sont fondés
Il est fascinant imagée, sport former
reflètent
En fait, la plupart
du
de nos
militaires.
dans la langue
du langage
car dans les temps des militaires.
la recherche
sur des modèles
de constater,
l’importance
des troupes,
de sortir
des rangs,
de
de
etc. l’objectif
de décisions
consiste
à
est hiérarchique,
à la compétition,
et l’indépendance est linéaire,
Il s’agit d’un appareil dement
pouvoir
un plan d’attaque,
l’idéal
les décisions
direction
est
des institusont un
et la consultation
se fait sans engagement.
découlent
nos appareils
de la politique
de motivation
de la haute
une
un tir (au hock-
le cadre d’action
de l’interdépendance. En réalité,
de définir
correspond
l’individualisme
du
de faire ses premières
est compétitif,
la prise
le
de ques-
de lancer
l’imagination,
d’armes,
Le mécanisme
dans les contre
de baptême
d’effectuer
ouverte,
l’éthique
rouges,
min-
de tir, de chausse-trappes
un argument,
gagner,
de travail
de bombarder
un projet,
compagnons
du Premier
de marche,
de capturer
de la terre brûlée,
ans par
je te dirai qui tu es” présente
nouvelle
ey), de couler
Les atom-
il y a vingt
d’ordres
(au football),
armes,
un nez proviennent
peut-être
De ce point
d’un.
d’un dinosaure
ayant vécu il y a 70 millions es de carbone
du fémur
froide,
de
de la réces-
dans la bataille
de tirer à boulets
bombe être humain
de victoire
feu, d’être sur la ligne
change.
de victimes
du lieutenant
cancer,
la composi-
du jeu équitables,
sion,
tranchées,
ne changent
pas. Rien ne se perd. Seule
tion des choses
personne
Mais ces élé-
les atomes,
de matière
d’un
de façon dis-
varie dune
à savoir
pas. La quantité change
ils sont composés
dans
anciens
militaire le sport
et l’autorité Elle demeure
militaires.
à
certes
affaires.
Elle peut toutefois
prise
depuis
doit tenir
créer
perti-
pour les longtemps
et au milieu
au développement
de décisions
parfois
pertinente
Elle a été adaptée gouvernemental
qui
axée sur le comman-
et qui demeure
l’appareil redoutables
ou du servait
nente.
et d’un mécanisme
d’une démarche
à
des
des obstacles
durable compte
lorsque
de facteurs
la
UN
FORGER
économiques,
sociaux
leur complexité
et écologiques
dans toute
Le fait qu’environ
ahurissante.
Table
ronde
appliquées Le commandement utiles
et l’autorité
lorsqu’une
une action
coopération
concertée
recherche
fournit
et lorsqu’il
d’une gamme
la
compte
rondes
la foulée
par un mécanisme
et non compétitif,
siste à régler
et non à gagner,
sions
est inclusive
à l’intégration
tion,
est le bien-être
l’idéal
non l’individualisme tutions,
la pensée
les décisions
con-
de déci-
et
sur un consensus
entre
donc que les participants
entre 60
direction
égaux
soient
environ
et ne et la
important
car il est au coeur
de la démarche
d’un
tables
rondes”.
consensus,
les gens doivent
comportement agissant égaux,
d’autorité.
phénomène
À titre
essentiel durable
conseiller
avec
leur
montant
entre
à toute intégration dans la gamme
ronde
lèmes
la prise
de décisions
par plusieurs
de la démarche, complexité sonnes
groupes
c.-à-d.
en entrant
en contact
s’étend l’appareil
accroître
considérablement
des intérêts
été si fructueuse recettes
la portée à pénétrer
la
avec des per-
On peut ainsi
la chance
la Table
recettes
au conseil
de récon-
divergents.
est si important et provinciales sensus
pour les tables que la prise
comprend,
préoccupent
groupes
entre
rondes
de décisions
autres,
ronde
des impôts.
La Table
ronde
au règlement pandage minute
à plusieurs
la gamme
du
durab/e
dans
de nos ucfivités.
à de
au financement En deux
a rendu
municipal
des activ-
ans,
ronde
d’un million
la baisse
de Guelph
de litiges
l’entente
empoche
a des
de dollars.
L’an
une partie
de ses
afin de contribuer
de pesticides,
d’intérêt
demandé
à
nationale
pour la ville.
a contribué
au bruit,
aux emballages
le conseil
à la Table
(Ontario)
relatifs
et à la conservation
L’an dernier, En fait, le recours
grâce
que la Table
dernier,
déve/oppement
le
ferait
ronde.
annuelles
ci toute intégration
essentiel
de sa
de ce que peut
bureaucratique.
consacré
des prob-
exclusive
bien au-delà
atteindre
serait
phénomène
la Table
de la quantité
de la Table
égaux,
a
laquelle
à la ville
sur un con-
d’intérêt,
son aptitude
qui ont une expérience
variabilité,
cilier
fondée
d’un règlement
que
un échunge entre
munici-
Stratford
une réduction déchets
s’accompagne
de
économiser
de nos
selon
d’argent
uvoir
un
(Ontario)
en
agissant ainsi qu’i/ peut y
entre-
le conseil
pal une entente en
ités sensus
d’exemple,
municipal de Stratford
activités. Lorsque
et dans de condi-
d’au-
forifé. Et c’est seulement
à tous
nombre
négocié
abandonner
des
politiques
prenant
Et c’est seulement
abandonner
leur comportement
déjà à
existent
Pour qu’il y ait
ainsi qu’il peut y avoir un échange
du développement
rondes
les niveaux
est le plus
ait consensus,
les gens doivent
et
“mouvement
parler
de la modification
décisionnelle.
four qu’ily
rondes,
On commence
Les tables
respons-
le consensus
au Canada tables
et
le défi
On
40 au Manitoba
un très grand
tous ces facteurs,
de relever
Colombie-Britannique
tions. Parmi
et le
et
décisions.
dans mondiale
Brundtland)
unique
durable.
et 200
seulement.
et exige
tenus
(la Commission
actuellement
en
s’inscrivent
de la Commission
une façon
100
dont
et non linéaire,
de la haute
d’un échange
ables de leurs
compte
des insti-
ne se fait pas sans engagement
fait partie
ron-
et à pénétr-
sur l’environnement
du développement
l’éthique
de la collectivité
est holistique
Unies
représentent
et non à la compéti-
sont fondées
consultation
la prise
et l’indépendance
sont pas un privilège
du mécanisme
canadiennes
des travaux
développement
où l’objectif
et non hiérarchique,
correspond
fédéral
des tables
er sa complexité. Les tables
et d’intérêts.
exploratoire
extraordinaire
la portée
des Nations Il faut les remplacer
de la
être
au sein de l’appareil
l’aptitude
des à étendre
des mesures
ne pourraient
peu de réponses
faut tenir
de problèmes
et
lorsque
ailleurs
souligne
interdisciplinaire
sont nécessaires,
scientifique
incontestables
ne sont pas très
la moitié
nationale
CONSENSUS
ronde
des repas-
des milieux
municipal
à l’éhumides.
de Guelph
d’élaborer
a
un plan vert
par con-
“tous ceux qui se
des résultats”.
5
FORGER
UN
CONSENSUS
À Smithers,
une collectivité
kilomètres
de la limite
une table ronde citadins,
de bûcherons,
de cadres
durable
le bassin
élabore
sise à 450
des manifestations
de l’Alaska,
d’écologistes,
des compagnies
de fonctionnaires ment
de la C.-B.
méridionale
santes
de
forestières
pour l’exploitation
hydrographique
forestière
et
dans
ronde
d’Halifax
relatives
a formulé
Partout
qui orienterait
que tout manifestant
des stratégies
développement
À Souris (Manitoba), que les jeunes travail la Table
provinciales
les emplois
de la rivière
du
Souris
chargée
un plan en vue de garantir
la pérennité
créer
ronde
d’autres
forêts
nationale tables
a elle-même
rondes
qui a convenu
comme
de vingt-six
ifs au développement
durable
contribué
des forêts
à
rondes
relat-
des entreprises,
institutions
ou des organismes
mais plutôt
de créer
de voir au-delà favoriser déclaré
des réseaux
de la complexité
le développement le Premier
créé la Table ronde nement
La prise
ronde
au sujet
Pour adopter
fondée
du mécanisme
viable”.
approuvé
ces principes
plénière
sur le consensus, de la table ronde,
et, dans certaines
des décisions.
d’être la principale Au Canada,
eu sa place dans certaines
accompacollecfaçon
de
elle a toujours
circonstances.
L’une
à Regina.
introduction
mode d’ac-
gné la société
intitulés
“Forger La Table
de la
dont nous
des demandes durable.
mécanisme.
chemin,
rien ne vaut
nationale
et les tables ont donc colde principes
un consensus ronde
pour
nationale
a
lors de sa réunion
Les principes
les pages qui suivent
entre I’environ-
la façon
d’un ensemble
directeurs
a
le problème
et territoriales
un avenir
la Table
Elle a toujours
elle continue
ronde
l’a
mode de
n’est pas une invention. organisée
un nouveau
La Table
à l’élaboration
lorsqu’il
de
ce qui est nouveau.
et de
Comme
La prise
au développement
laboré
en 1989,
aux
peut modifier
dans le labyrinthe
relatives
qui permettent des choses
et du nouveau
de décisions
et, notamment,
provinciales
du nouveau
de la relation
dont nous réglons
rondes
du Canada
nationale
et l’économie
qui est au coeur
6
la façon
une carte.
tion.
prendre
sur le consensus
fondée
public,
durable.
ministre
sera le fer de lance
pensée
tivités,
on n’a rien inventé.
décisions
opposées
des
d’intérêt
à l’industrie
avec des groupes
divergents.
nous orientons
canadi-
n’ont pas pour but de contester
des organismes,
lors de la rédac-
destinées
en collaboration
La
L’Association
l’a utilisée
directrices
a
des
des autochtones.
En conséquence,
Voilà
Les tables
territoriales
du Canada
complexité
ennes.
l’autorité
sur le consensus
de
celle sur les
principes
de la coalipacifiques,
dans la négociation
pétrolière
intérêts
leur collectivité.
La Table
fondée
peut être aussi utile.
pétrolière
d’éla-
l’aptitude
médiation
tion de lignes
de la ville ont créé
de
de la formation.
difficile.
utilisée
revendications
sont si rares
Les quakers
a renforcé
de décisions
été beaucoup
devait
de décisions
des manifestations
en période
La prise
le
la ville pour trouver
Les habitants
ronde
même
rondes
pacifiques.
formation
en
afin que les manifesta-
se sont chargés
tion à organiser
sur leur territoire.
quittent
ailleurs.
demeurent
nucléaire
sur la prise
sur le consensus
Cette
la ville
afin de promouvoir
durable
une formation
des
d’une coali-
à l’énergie
Philadelphie
durable.
au pays, des tables
élaborent
la Table
a eu lieu au début
les dirigeants
décidèrent
fondée
des recommandations
à un plan d’action
vers le développement
borer
municipal,
lorsque
tion qui s’opposait suivre
environnant.
du conseil
1970
les plus intéres-
Ontario
tions
À la demande
de son utilisation
années
un plan de développe-
peut-être
sont repris
et accompagnés
afin de mieux
comprendre
de leur le
dans
FORGER
POUR
PRENDRE
BEAUCOUP
DÉCISIONS,
nous
des points
de vue
des valeurs plutôt gents
et sont
peu
ité des questions
Quand
de durabilité
développement sociaux
durable, complexes
prise
de décisions
nous
savons exigent
prise
des décisions
ment,
eux
Les processus résolution
complexes
tâche
d’une
escient,
à nos
qu’on
problèmes
inventives
quer
Les
mesures
à la
tats
directe-
torité
où ils vivent. encouragent
la
des probà cette et de
Employés bien
à bon le temps
car ils procurent
complexes
des solutions
les étapes
ment
de politiques
généraux,
des terres
durable
et
à long
surveillance
et application.
démarche
nes
touchées
nementales,
les résultats
terme,
par laquelle
sur
entendons
toutes
les personenviron-
et économiques
les mesures
à obtenir
progresser.
de permis,
nous
par des questions
afin
affecta-
résolution
délivrance
consensuel,
sociales
de s’entendre
des déci- établisse-
et des ressources, précises,
une
s’appli-
et de règlements
de querelles
Par processus
peuvent de la prise
planification
pas de leurs
décider
laborer
y consacre,
de développement
se déchargent
sensuels
d’aujourd’hui
davantage
consensuels
à toutes
les faire
que jamais,
de compétences
sions
tion
Plus
et durables.
Les processus
atteint
ces processus,
ou de diriger, les problèmes.
valent
à tous
à accepter
En employant
à forger
regroupées.
différends. les
le consensus ” l’ensem-
est proposé.
résoudre
et novatrice
ces processus
les efforts
que
de vie de demain.
variété
prêts
appelées
par l’application
connaissances
” de ce qui
leurs
ils auront
la
consensuels
lèmes
ils seront
élaborent de maximiser
durable.
qui les touchent
créative
de vue,
quand
et
ou les endroits
afin
pas d’accord
économiques
de participer
processus
de résoudre ne sont
et nécessitent
les décisions
la qualité
gens
s’ils
points ble
et de
intégrées.
que
affecteront
à la complex-
on sous-entend
écologiques,
sont
diver-
aux
un processus
capacité
Même
ont
de développement
on parle
les besoins
face
leur
Nos
les intérêts
efficaces
ensemble
et concilier
classiques
à exclure
Les participants
écouter
différentes.
décisionnels
tendance
FUTURES
pouvoir
contradictoires
profondes
mécanismes
DE NOS
devrons
UN
tentent
à prendre
de les régler
ou ou de
permettent en qualité
de l’un
de
plutôt afin
de
Les processus participants
d’égaux
à la prise
à l’obtention sans
soit
sont
des partenariats aux
que
imposée
ne
responsabilités
mais
acceptables,
convenables,
les autorités
l’opinion à l’autre.
conde colde
de résulou I’au-
CONSENSUS
FORGER
UN
CONSENSUS
LES PROCESSUS
essence.
CONSENSUELS
Il n’existe
circonstances
SONT
pas d’approche
extérieures
tales du consensus.
ÉTABLIS
unique
varient.
ET MENÉS
s’appliquant
L’expérience
Nous les appelons
nous
“principes
PAR CEUX QUI Y PRENNENT
PART, c’est
là leur
les intérêts
et les
à tous les cas, car les enjeux, révèle
l’existence
directeurs”
des caractéristiques
et les décrivons
PRINCIPE #1 - Axé sur les objectifs
PRINCIPE #4 - Taillé sur mesure
Il faut des raisons
Les parties
au processus
pour participer
fondamen-
ci-dessous.
conçoivent
le processus
consensuel.
consensuel. Toutes Tous
doivent
croire
qu’ils
avoir
des problèmes
seront
mieux
sus.
Pour y arriver,
bien
comprendre
avoir
les processus
Si elles
le meilleur
les parties
concluent
et
par le consendoivent
solutions
et
plus portées
de participer
sus.
Il n’existe
tion
à leurs
à s’engager
face
le temps cevoir
prendre
part au processus
Il s’agira
de tous
ceux
de tous
qui sont
sur la question,
ceux
s’ils n’ont
bien
L’intégrité
consensuel.
touchés
de tous
appliquer
qui peuvent
pas participé
par les
ceux
dont
ces décisions
briser
et
le consensus
nant
neutre,
acceptee
de proposer
pour
vient
con-
ce sont les partici-
le contrôle l’ordre
peut
quand
des options mais
qui exercent le mandat,
de tous,
catalyseur
ultime
du jour
concer-
et les enjeux.
consensuel
si les parties
n’ont
pas la possi-
de choisir
elles-mêmes
leurs
représen-
tants,
surtout
intérêts
d’apprendre des problèmes
directs
d’avoir
Au départ,
à régler
per-
à se connaître de taille.
de prendre
du temps
clairement
les problèmes
:
préciser
l
évaluer sensus
sont
du consensus.
il importe
à
résoudre;
être
en danger
leurs
consensuel
avant
l
pourra
d’un processus
met aux participants
pour
bilité
quand
en fonc-
on
à son établissement.
du processus
par l’issue
consensuel
est conçu
particulières.
un important
La conception
mise
touchés
du proces-
par une question
int&essés
devraient
pour
processus
le processus,
pants
a besoin
une chance
pas un processus
de situations
constituer
PRINCIPE #2 - Processus inclusij et non exclusij
décisions
avoir
à la conception
chaque
Une personne
fins,
et à ses résultats.
Tous les grands
doivent
de
que le consensus
d’arriver
les parties
égale
“unique”;
consensuels
de leurs
moyen
seront
au processus
réglés
les intervenants
une idée réaliste
rechange. offre
communs
la pertinence plutôt
sionnels, l
pour
préciser
du recours
qu’à d’autres régler
les rôles
au con-
processus
déci-
ces problèmes;
et responsabilités
de cha-
cun; PRINCIPE #3 - Participation volontaire C’est volontairement
intéressées
que les parties
l
touchées
au processus
doivent participer
établir
les règles
ou
con-
sensuel.
PRINCIPE #5 - Souplesse
La souplesse Les processus la participation appuyer qu’il
tirent
volontaire.
les rendre
équitablement
force
doivent
consacrer
fructueux. tiendra
de tous.
de
doit faire
partie
intégrante
du
processus.
les
le temps Le départ
clé pousse
que le processus des intérêts
leur
Tous
à leur
de tout intervenant
ties à garantir
a
consensuels
et être prêts
faut pour
possible
de base.
On ne peut cadre
prévoir
tout
d’un processus
les par-
processus
d’une
compte
pants
peuvent
mieux
y faire
ce qui arrivera
consensuel.
certaine anticiper
face quand
souplesse,
dans le
En dotant les partici-
les changements ils surviennent.
et
les
FORGER
Le consensus
suppose
qu’on
tous les participants. ment
incorporer
en apprendra
Il faut donc
Les parties
sont responsables
représentent,
dans le
Il est donc
PRINCIPE KO - Égalité d’accès
Tous doivent avoir un accès égal aux données tinentes
de vraiment
et la possibilité
per-
participer
équitable,
n’est pas ouvert,
il se peut
impossible
juste
ou qu’il
ne partent
en temps
ce qui a trait
à l’expérience,
point,
surtout
en
les
On augmente
et le dévouement
évitant
le plus
il se préoccupe
écologiques,
public
des
de surprises
beaucoup
sociales
doit absolument
l’évolution
aux connaissances
l’égalité,
d’assurer
la formation
processus
consensuels
de fournir
un accès
il faut envisager en matière
des ques-
et économiques,
être tenu
et de l’issue
le
au courant
des processus
de
consen-
PRINCIPE #9 - Délais
Des délais réalistes
de
et équitable
à
et connaissances
perti-
Il faut fixer,
à l’atteinte
présentation
de procurer
à tous les ressources
permettront
de participer
qui leur
de façon
tout au long du
sont requis,
processus.
et de négociations; juste
les données
:
nentes; l
en leur
de
renseigner
suels.
promouvoir
toutes
opportun.
la sensibilisation
Comme
et aux ressources.
l
pour
soit
ne dure pas.
pas du même
eux de se doter
groupes
tions
l
qu’elles ont con-
possible.
et
que le consensus
à atteindre
pour
et de ressources
groupes, Si le processus
vital
moyens ainsi
tout au long du processus.
Pour
envers ceux qu’elles
envers le processus
venu d’établir.
processus.
Tous
CONSENSUS
PRINCIPE #8 - Responsabilisation
de
continuelle-
les rétroactions
UN
signi-
ficative.
du consensus
de ses résultats,
raisonnables,
qui permettront
processus,
de canaliser
marquer
les progrès
et à la
des délais de focaliser
les ressources
réalisés
clairs
et
le
clés et de
vers l’atteinte
du
consensus. PRINCIPE #7 - Respect des intkrêts divergents
Il est essentiel
d’accepter
les valeurs,
et les intérêts divergents
sances
les connais-
des parties
au
Les engagements surveillance
consensuel.
processus
PRINCIPE #lO - Mise en oeuvre
ceux
consensuels
qui y participent
les valeurs,
de mieux
les connaissances
divergents
de chacun.
bilisation,
à son tour,
et à la franchise, aideront tions besoins tives
scruter
profonds
qui seront
II arrive
parfois
fondément avant
plus
grande
de posi-
et à faire
des solutions à durer. soient
dans un conflit à un processus
elles
en commun,
doivent malgré
en oeuvre.
discuter
de
d’obtenir
du
de ses résultats.
appuis
et engagements
du suivi.
pour
et régler
Il de
II faut se doter
post-consensus
en oeuvre
que leurs Partant,
des objectifs
et du traitement
tout responsable mise
être convaincues
mises
devraient
processus
mécanisme créa-
d’un
surveiller
tout problème
sa
pouvant
en découler. prointense
consensuel.
se trouver leurs
toutes
doivent
seront
est vital
et leurs
plus portées
que des parties
sensi-
qui les
intérêts
Les parties ententes
à la confiance
de la négociation
engagées
divergentes.
comprendre
précieux
leurs
de participer
Pour s’entendre, intérêts
Cette
et à la
intégrante
à tous
et les intérêts
les incite
outils
à s’éloigner
pour
permettent
font partie
les ententes.
toutes Les processus
à la mise en oeuvre
face
véritable
valeurs
des
CONCLUSION Le consensus pour
régler
a déjà été employé des problèmes
durable.
Nous
régissant
les processus
aideront
à relever
durable
espérons
que les principes consensuels
les défis
dans un esprit
et concertée
avec succès
de développement nous
du développement
de résolution
pratique
des problèmes. 9
INITIATIVES
LA TABLE
RONDE
est un petit
NATIONALE
organisme
doté
personnes
qui participent
secrétariat
comptant
qui définit
ses pouvoirs
les secteurs lumière,
SUR L’ENVIRONNEMENT
d’un vaste
aux
mandat.
travaux
19 personnes,
et ses obligations
de la société
à l’explication
Composée
de ses divers
la Table
canadienne
ronde
:
et à la promotion
de 22 membres,
groupes
de travail
nationale
”. ..de jouer
et dans
ET L’ÉCONOMIE
toutes
a pour
un rôle
de 22 autres
et appuyée
mandat,
du Canada,
et des pratiques
d’un
selon
de catalyseur,
les régions
des principes
(TRNEE)
la loi
dans
tous
à la mise
en
liés au développe-
ment durable.”
Ses membres affaires,
et les personnes
des
autochtones, sionnels
syndicats,
nommées
des
des groupes
à ses groupes
groupes
d’intérêt
écologistes,
de travail
public,
proviennent
des
des gouvernements,
du milieu
universités,
des médias,
des
des
groupes
des groupes
profes-
et des arts.
La Table durable.
Bien
personnes
ronde
nationale
qu’elle
serve
et d’autres
Les
travaux
groupes
groupes
actuels
dont beaucoup
cas, la synergie
conseille
le Premier
de catalyseur,
ministre
elle préfère
dans le cadre de mesures
de la Table d’entre
ronde
eux comportent
peuvent
des projets
initiatives
et projets
précis
À titre d’exemple,
le projet
de société,
mené
du développement
des partenariats
avec
d’autres
pluridisciplinaires.
nationale
entre
au sujet
créer
se subdiviser
distincts.
est évidente.
en treize
Dans bon nombre
Elle est présente
de
dans tous
les cas. naires,
a pour
but de tracer
sur la durabilité, compte que
rendu
L’initiative être
de
travail
à l’échelle
et des travaux
souhaite
le Premier dans
de décisions
chargé fondée
collaboration
exemple
cheminement
et de
responsables avec
de société.
sur la façon
ont été fondés
de collaborateurs
sur la prise
est un autre son
en
Le rapport
de données
des citoyens
du projet
de parte-
au Canada.
de collecte
lancer
ministre
et les recommandations
du Groupe
de travail
durable
améliorés
les possibilités
internationale
avec beaucoup
et le programme
et de la prospérité
officiellement
Les conseils
groupe
et élargiront
de la durabilité
compétitif
durable,
de l’éducation
appuieront
de conseiller
durable.
des systèmes
sur le développement
le groupe
permis
la voie vers un développement
qui recommandera
ParticipACTION,
en collaboration
de synergie.
dont
vers
peut
le développement
sur les résultats
des instruments
Elle a
le Canada
d’un atelier
économiques,
sur un consensus
et de la table
du ronde
sur les forêts. Dans
les pages
sur les travaux ronde
nationale.
ronde
en 1989.
permettent peut
10
de la Table Cinq
de signaler voient
trouvera
de courts
personne
Selon
leurs
sur quelques au moment
a été nommée
important,
de changements.
en sus des documents
profils
eux ont été nommés
un point
les choses.
de changements.
le lecteur
ronde,
d’entre
La sixième
être à l’origine
membres rigine
qui suivent,
à savoir
Il peut propres
modifier
environ
membres
de la Table
de la création
de la Table
un an plus
que le mécanisme la façon
vocations,
d’information
dont
les membres
tard.
Ces profils
de la table le grand peuvent
ronde
nombre
de
être à l’o-
INITIATIVES
IL EXISTE D'UNE
idée
qu’elle
du monde
siècles
ont
Locke.
anglo-saxon,
où la société
allaient
alimenter
XVIIIe
phénomène Lumières.
qu’Adam
Charest,
de l’Environnement, a décrit la mise en oeu-
vre du projet de société à la Chambre munes en novembre
1992,
Smith
(1762)
de langue
pression:
et
II nous faut un proiet de
étudiera
et leurs
idées
industrielle
des
de Jean-Jacques
société, uvec un idéal, une ambition
c’est sans doute
qui ont rendu Cependant, n’auraient serait
la Révolution
jamais
tellement soldat
au-delà
de société
révolutionnaire. la réunion former
qui cherchent
durable.
nous aurons
caractérisée
vrer en collaboration orientée
les obstacles.
qui suivront
de la société
les
Ce projet de
à la légère, conviendrait durable. de société rejoint absolu-
C’est pour cette raison que ce
concept nous semble être celui qui refkte
le mieux
ce que doivent être les suites de Rio et le concept de développement
durable.
Nous
et constru-
les progrès.
devront
des
Nous devrons
des plans pour l’avenir
ire des systèmes les membres
et cerner
par
d’un langage
et d’une alphabétisation. tracer
ment tout le monde. à
à trans-
Pour réunir
besoin
Le concept de proie,
se rend
en pensant
politiques.
bien au développement
foulée
Un idéal qui transcende
sexes, de /‘âge, des nations, des intérêts partic-
société à ne pas prendre
s’attendre
française
en une société
fixer des objectifs devrons
ne pouvait
qu’un
institutions
étublies en fonction des régions,
uliers, des affiliations
du grade de caporal.
de Canadiens
Canadiens,
ne se
à l’alphabétisation
a été créé dans cette
un développement
les frontières
angu-
On accordait
On peut l’expliquer
le Canada
commun
produite.
L’expression
mal en anglais.
comme des particuliers.
possible.
était la pierre
par exemple,
à être promu Le projet
française
eu lieu et la Révolution
d’importance
illettré,
qui a
/‘esprit
et la créativité,
des grandes
de personnes
Sans elle, les Lumières
jamais
d’initiative
aux
par lettres
écrit en 1761,
l’alphabétisation
peut-être
ait procuré la plus
de millions
laire du changement.
social
son roman
Héloïse,
l’imagination
idéal qui encourage
des
DU contrat
politique
ou la Nouvelle
qui motive et
tous les éléments. Une
ce
au cours
Rousseau
l’expression
capturé
française,
s’est manifesté
énergique,
des com-
il a tenté de définir I’ex-
inspire tous les secteurs et
Bien que le traité
Lumières
frérie
Hobbes
le ministrefédéral
I’honorableJean
à une époque
à se dessiner
la Révolution
de
Lorsque
et XIXe siècles.
Dans la société
Julie
et XVIIIe
par Thomas
de marché,
Au
l’enracinement
ils vécurent
plus tard, commençait
éprise
elle-même.
les XVIIe
par
véhiculé
Écrivains,
DE LA VIE
est tellement
se transforme
été marqués
l’individualisme, John
AU COURS
où celle-ci
SOCIÉTÉ
d’une sein
DES ÉPOQUES
Tous
avant tout oeu-
dans le cadre d’une con-
vers le changement.
11
INITIATIVES
Il importe
de répéter
une fois de plus que le
monde
est à l’aube de sa quatrième
lution.
Il y a eu la révolution
tion industrielle tique. tion,
agricole,
et la révolution
Les écologistes
sion nous avons
encore
le temps
tion si nous sommes malins. attendre
à stopper
nement
et l’économie
de presrévolu-
durable.
de façonner
Nous
le plus important
la Confédération.
développement
durable,
l’environnement
de société
l’dgenda
21, document
de la Conférence
écologistes,
les groupes
communautaires
autochtones,
ont participé
L’Agenda
com-
iser un colloque des groupes
vers le de
de lors
sur l’envi-
(CNUED)
travail
fondée
aux gounationale
de société,
économiques,
la stratégie sociaux
Elle doit avoir comme
tout en conservant l’environnement
Son élaboration
des divers
de garantir
doit reposer
sur une évaluation
approfondie
un et en
traditionnels.
sur la plus
de la situation
pour atteindre
développement
et
l’impulsion
des ministres
cinq organismes initiale
du développement
Canada,
le projet
développement
sur la
pris à Rio, y au
ainsi que de tracer et un mécanisme
vers une société
une
caractérisée
de tran-
par un
durable.
: le Conseil
(IIDD),
ronde
directeur
nationale
au groupe
exécutif
procure
ronde
et notre
En outre,
nationale,
la présidence
des groupes
un soutien
de travail
le préside.
assume
Le deuxième
le prési-
M. George de l’important
col-
d’intérêt.
colloque
national
des groupes
qui s’est tenu les 3 et 4 juin
approuve
les ébauches
de planification
du cadre proposé
d’in-
à Ottawa, durable
ainsi
et a convenu
de se
dans six mois afin de faire le point le nouveau
a
et du mécanisme
du développement
que le plan de travail
gouvernement
de
sens,
stitue
de réseaux
leurs
canadien
(CCME),
un réseau
et d’in-
fédéral.
propres
mécanisme ment
réseaux.
fication
de société
auquel
toutes
qui possèdent
les décisions
ne s’attarde
doivent
notamreposer
la transformation
pas seulement
mais repose
du mécanisme
de ce
stupéfiant,
Cependant,
des choses,
con-
participent
L’organisation
pose un problème
lorsque
recherchée de
le projet
et des organismes
sur un consensus.
international le Centre
Dans un certain
transformation 12
de l’hiver
un rapport
d’un cadre sur le
durable
développement
des personnes
dans le but de
l’Institut
durable
plutôt
hiérarchiques
de l’environnement
Environnement
à des
de consensus
En conséquence,
donner
durable, l’ébauche
de qui
cet objectif
à des réseaux,
sur les systèmes
a réuni
afin de rédiger
et les obstacles
térêt,
Elle doit être fondée
et à la recherche
société
comités
aux engagements
réunir
à avoir recours
que de compter
Le groupe
trois
les lacunes
former
partenariats
1993.
du Canada
loque
actuelles. adoptée
en juin
d’organ-
plus important
aux yeux de
les ressources
possible.
consiste
chargé
encore
compris
Connell,
pour les générations
vaste participation
La démarche
de travail
à son tour,
dent de la Table
les uniformiser.
responsable
protégeant
des mesures
au colloque.
à tous les mois au cours
administratif
et environnemen-
objectif
durable
la société futures.
et les peuples
réponse
sition rel-
doit être
et les plans
taux au pays. Elle doit également développement
publics, féminins,
durable.
sur les orientations
secteurs
d’intérêt
se sont réunis
La Table Pour le projet
dont le milieu
les pouvoirs
les organismes
national
a constitué,
perspective,
à Rio
une stratégie
ative au développement
canadienne,
Ils ont créé un groupe
depuis
21 demandait
d’adopter
national de 40
con-
l’an dernier
Unies
de Janeiro.
de la société
et du printemps
présenté
en novembre
colloque
Les représentants
les groupes
dans la foulée
et le développement
d’intérêt.
pas nous
loin de la dégradation
ronnement
le premier
et les syndicats,
que les Canadiens,
des Nations
se sont réunis
et ont organisé
des affaires
la révolution
s’inscrit
.
1992
des groupes
et du désespoir.
Le projet
sur l’environ-
Les cinq organismes
secteurs
entreprendre
orienter
(TRNEE)
et
Il a pour but de définir
ment nous pouvons
international
nationale
rapides
de société
projet
peuvent
ronde
son orienta-
cependant
que le projet
en tant que société,
vernements
la révolu-
sa marche.
On peut soutenir stitue
et la Table
groupes
suffisamment
Nous ne pouvons
pour le développement
(CRDI)
vers la quatrième
celle du développement
recherches
révo-
de l’informa-
et d’autres
ont poussé
grande
à la modi-
également de réalisation.
sur la
INITIATIVES
LE CONCEPT
DU DÉVELOPPEMENT
d’un contexte cosystème, dominé
au sein
force
les rapports
visent
à appuyer
meilleure
élaboration
décisions
plus éclairées.
puissent
mettre
pied un système
de la majeure
pour
aux questions
partie
du siècle
dre la solution
et à faciliter
mesures
une
et la prise
de
pour
humains
purement
Il s’agit
que pour
économiques
l’é-
qui a
présent.
parfaite,
pouvant
des résultats
les décideurs.
les êtres
mais plutôt
être prises
envisager
et pouvant
des
donner
immédiats.
Pour que les décideurs
durable
leur faire confiance,
étroit
contexte
tant
sur le développe-
des politiques
en oeuvre
développement
au cours
un nouveau marquée,
de l’attachement
des progrès
Dans ce contexte,
fournit
DURABLE
une préoccupation
un élargissement
l’évaluation
ment durable
duquel
des politiques
le Canada
efficace
la Commission
puisse
doit mettre
et crédible
Après avoir discuté
sur le
et que le public
pendant
cinq ans des idées de
Brundtland,
le Canada
t-il vers un développement
sur
pour mesurer
pourquoi
pas?
Sinon,
Si oui, à quel rythme
tion s’effectue-t-elle,
le rendement.
progresse-
durable?
et ce rythme
cette
est-il
transi-
suffisam-
ment rapide? La Table groupe
ronde
nationale
de travail
sur le développement cette
a demandé
sur la production durable
de s’attaquer
à
question.
Le groupe
de travail
a établi
ses travaux
concept
d’un “consensus
naissant
que les idées importantes
découler
En se fondant
groupe
de travail
développement données valuer
chevauchant”,
d’un large éventail
plines.
a conclu
qui évalue
sur le
d’un rapport
chaque
Des documents groupe
région,
(comment
province
à combler
permettant
une bonne
mesure
qualité
mesure
cosystème);
et
3. l’intégrité
ou le bien-être
ils attaquent
spécifiques
et le mandat
corporation; éventuellement ensemble
ment durable.
et ménage;
gouvernement. possible
de travail
de travail
ont également
d’un certain
connexes
lors d’un colloque
nombre
qui feront
de
l’objet
qui aura lieu en
et
travaux
l’é-
ronde
d’un groupe
selon
de travail d’étude
de partager
participe
présidé
de la Colombie-Britannique,
rapports
ensemble
le groupe
aux
par la Table qui a pour
des idées sur la question
sur le développement
des
durable
de
les
de collectivité;
II sera peut-être
d’établir
la liste d’un
d’indicateurs
clés du développe-
Entre
il ne faut pas atten-
temps,
de
1993.
Finalement,
de l’écosystème.
de tout groupe
particuliers
traitant
ont été commandés
actions
ou protègent
de chaque
de travail
de la série de documents
du groupe
d’un examen
de base et à
considérablement
des
les progrès
du développement
de décideurs
techniques
novembre
mandat
varieront
décideurs:
questions
de vie, et comment
dans quelle
Des éléments
leurs
au
de la TRNEE. Les travaux
d’é-
ou nation);
les besoins
a
des
entre ces gens et l’écosystème
et dans quelle
contribuent
destiné
actuelle
et d’évaluer
dans le domaine
de travail
être prêt cette année,
la capacité
de mesurer
et font partie
le
des gens (ou d’une collectivité,
2. l’interrelation
besoins
rapport
le groupe
et devant
mené à la reconnaissance
corporation,
données
ministre
durable.
et de disci-
:
assurer
la préparation
Premier
réalisés
renfermer
et des renseignements
amorcé
recon-
que les rapports
doivent
par ces questions,
Canadiens
doivent
d’intérêts
Motivé
sur le
sur cette approche,
durable
1. le bien-être
petit
à son de rapports
/
13
INITIATIVES
DANS
L’AVANT-PROPOS
développement,
“Àmoins
DU RAPPORT
Gro Brundtland
que nous puissions
comprendre d’apporter
les changemenfs
On remarque
une certaine
le passé,
s’échelonnaient
dans ces
profonds
qu’elle
sur une vie et parfois
à condition
par une révolution
l’environnement
et le
nos propos
dans une Iungue que peuvent
âgées, nous ne serons pas en mesure qui sont nécessaires pour modi-
actuel.”
de peu de temps.
les changements
des siècles
traduire
sociaux importunts
insistance
car nous jouissons
sur
MONDIALE
:
les jeunes et les personnes
fier le développemenf
propos
DE LA COMMISSION
prévenait
même
Par décrit sur
ration
du projet
L’éducation
qui vise à créer
des programmes
tion au développement primaires
au service
de sensibilisa-
durable
et secondaires
de la Terre
dans les écoles
au pays.
de ne pas être emportés
violente.
Le coeur
et l’esprit
Le groupe
de travail
pre personnel Reconnu
possède
et son conseil
ses propres
de travail.
son pro-
d’administration.
par les établissements
il recueille
fonds
scolaires
au pays,
et a dressé
ses plans
Il est donc autonome.
La deuxième
mesure,
axée SUT la sensibilisation
officieuse,
est maintenant
de travail.
Ce dernier
de catalyseur,
cette
ParticipACTION, société
maintenant
fois-ci
les valeurs
du groupe
en collaboration
pour promouvoir draconiens
avec
dans la
et les attitudes
les changements apportés
la priorité
agit une fois de plus à titre
qui appuieront
qui devront
pour que le développement
être
durable
soit
un succès, FORUM
POUR
sont façonnés habitudes
JEUNES
CANADIENS
par le temps
évoluent
et les habitudes,
et les
lentement.
Intitulé
Fostering
Achieve
Sustainable
reposera
Brundtland la façon
la tâche
est monumentale
de persuader
restructurer
presque
sans tenir compte Le groupe ronde
l’autre
parachevee.
: trouver,
du jour
éducatives officieuse.
au lendemain.
de se Et
des habitudes.
à l’appel
référence
“animateurs”
Le groupe stitué
: l’une offi-
a contribué
à l’élabo-
commerciales,
les
les événements
avec
les documents
de
les
ainsi que les associations
et ParticipACTION
consultatif
composé
et ont tracé les grandes exhaustif
ParticipACTION
cibles,
et de bénévoles.
de travail
de l’extérieur
les programmes
à des groupes
régionaux
un comité
programme
est
de prix,
les conférenciers,
s’adressant
to
le programme
la sensibilisation
les promotions
professionnelles~
en prenant
des médias,
la publicité,
la remise
participation,
de la Table
importantes La première
ronde
coalitions,
dit-elle,
entières
sur l’éducation
a répondu
La Table
par Mme
des sociétés
de l’évolution
de travail
nationale
deux mesures cielle,
exposée
Citizenship
Development,
sur l’action
communautaires, des employés,
En conséquence,
Responsible
national.
ont fourni
ont cond’experts lignes
La TRNEE
des capitaux
d’un et
de
INITIATIVES
lancement.
On élabore
gramme
de collecte
actuellement
un pro-
l
Il a publié
une brochure,
Nouveaux
de fonds.
des de la jeunesse Le groupe d’autres
l
de travail
mesures
sur l’éducation
durable
En collaboration
avec l’Institut
du développement de travail Groupe
durable
a contribué
La mesure
la TRNEE,
de l’IIDD,
le développement les priorités partager
rondes
écologistes
au Canada. objectif
leurs propres
pour
de transmettre
l’horizon
cas.
ainsi que
en les invitant
de travail canadien
nication
relatives
à par-
l
À
ressources sation
des activités
du Réseau, corps
on compte
éducatif,
du Forum
organisme
gistes,
(EECOM)
gouvernements, provinciaux
ondaires
les
Ottawa.
les tables
usines
écolo-
des ONG et des organismes
trouvé
à I’environ-
rondes
sur les ren-
qui portait
a déclaré
à
des rôles
de création
sur les effluents Le directeur
des
exécu-
que les étudiants
que cet exercice
pour
se sont tenues
ont dû adopter
de pâtes et papiers.
tif du Forum
des
ron-
sec-
de la table ronde
lors d’une séance
d’un consensus
au
des tables
d’écoles
Fondées
Les étudiants
con-
gouvernemental
a simulé
du Modèle
d’intervenants
du
à l’université, des jeunes,
de sensibilisation
au Canada.
les jeunes,
de sensibililes partenaires
des groupes
autochtones,
de l’appareil
la table ronde
seignements
des représentants
des syndicats,
des peuples
de
pour jeunes
sans but lucratif
Canada,
soit de la garderie
de l’industrie,
des
et des études
des avec plus de 500 élèves
et les idées en matière Parmi
sur le
le mécanisme
à la création
de faire partager
à l’environnement.
Nouveaux liens à
durable,
la demande
Canadiens,
à l’environnement
qui a pour mandat
Le guide
des renseignements
et de commu-
a contribué d’éducation
à créer
rondes.
la brochure
rondes,
destiné
à mieux
de renseignements.
Le groupe
de
Modèle
les jeunes
et fournit
développement
et de
durable
de subventions
intitulé
tables
accompagne
Le
d’améliorer
au développement
du Réseau
locales,
et aux animateurs
pour qu’ils aident
d’en-
sacré à l’étude l
et les utiliser
et d’individus.
un guide,
aux enseignants
tables
à l’échange
des tables
Il a publié
sur les questions
les situations
ticiper
créer
de la façon peuvent
de la table ronde pour les jeunes,
de
et des centres
de recherche,
les conseils
prévoir
l
par un ate-
des établissements
durable
Canadiens
les renseignements
relatives d’aider
et à le
des représentants
s’est fixé comme
un aperçu
dont les jeunes
pour le
(GCCDD)
postsecondaire
qui décrit
du développement
et donne
groupes
au
: Tables ron-
canadienne,
avec l’aide d’entreprises
le groupe
l’impulsion
a été amorcée
ont participé
GCCDD
(IIDD),
des centres
durable
lier auquel seignement
international
à donner
consultatif
développement financer.
les principes
a pris
:
intitulée
liens à l’horizon
ont
a été “l’un des faits
marquants
de leur semaine”.
Le groupe
de travail
nement. l
Le groupe
de travail
ment parachevé additionnelles
l
le point,
nombre
dans les domaines
et du développement ont discuté
développement
de mesures
sciences
à
desquelles
l
des
de l’environdurable
de ce qu’il reste
de l’aide de la TRNEE
prix du développement
officieuses
au cours
a parrainé
a égale-
de l’année.
deux réunions
et à Ottawa
éducateurs nement
un certain au cours
Il a organisé Winnipeg
sur l’éducation
à faire et
à la sensibilisation
pancanadienne,
Fondation
sciences
Le groupe
de travail
la création
d’un cours
tiné aux étudiants
ont fait
supérieures Western
durable
en mai un lors de l’Expo-
organisée
par la
jeunesse.
a également
contribué
sur l’environnement
de l’école
en journalisme
à des-
des études de l’université
Ontario.
au
durable.
15
PROFIL
JACK MACLEOD discours
A UN CÔTÉ ASCÈTE.
et dans un calme serein
On
le retrouve
lorsqu’il
dans
son
écoute une question
et cogite avant de répondre.
“Si je n’avais pas été membre de la Table ronde nationale”, déclare-t-il, “Shell aurait un plan de gestion de I’environnement
et
non un plan en
faveur- du développement dwable. If II a assumé les fonctions
de Pdg de Shell Canada ttée. pen-
dant huit ans avant de prendre 1993.
sa retraite
à la fin de janvier
II est membre de la Table ronde nationale depuis sa créa-
tion en juin 1989. Issu des services
de génie et de gestion
de la société où il
participait à la constitution de réserves pétrolières
et gazières,
rappelle bien les querelles
sur l’environnement
des années
et 1970.
étaient inévitables”,
précise-t-il,
“tes affrontements
il se 1960
INITIATIVES
LA TABLE RONDE NATIONALE
jouer
en matière de création
l’échelle
de la collectivité
développement En réponse
un rôle à
a-t-elle
de partenariats
à
afin de promouvoir
le
durable?
à cette question,
une réunion
exploratoire
des membres
d’environ
la TRNEE
a organisé
en mars 1993 en conviant 40 tables rondes locales.
Des travaux supplémentaires
seront nécessaires
cours de la prochaine
année.
Cependant,
mesures
particulières
qui pourraient
trouvera
fort probablement
activités
communautaires
aux travaux entrepris
la Table ronde nationale
et d’autres participants
au
en sus des
être prises, on
des façons de relier les par au
projet de société. La Table ronde nationale document centres
intitulé
l’été dernier
Le développement
urbains de Mark Roseland,
de la recherche
du groupe
sur les changements
cherchent principes
qui
appliquer durable
précisait
les dans leur col-
ce qui suit dans
:
‘La rédaction
de cet ouvrage
lèmes d’environnement sphérique
Le document
les personnes
du développement M. Roseland
directeur
de travail de Vancouver
à savoir comment
son introduction
le
durable des ancien
atmosphériques.
a pour but de renseigner
lectivité.
a publié
les plus critiques à l’échelle planétaire
et le changement
d’un avanfuge
climatique
pofenfiels)
c.-QI-d. emcombrement
locaux et quotidiens, ment du territoire).
a été mofivée par le fuit qu’un grand
prennent
de /a circulafion
nombre
de nos prob-
(c.-ci-d. /e changement
leur source dans des problèmes et mauvais
plans d’aménage-
I/ s’ensuit que des décisions locoles éclairées sur ces questions
mondial
seront
aussi bien que local.”
Le livre de M. Roseland
a été l’un des ouvrages
publiés par la Table ronde nationale porté
ofmo-
le plus
qui a rem-
de succès.
17
PROFIL
SUSAN
HOLTZ SEMBLE PRÊTER I’OREIILE D’UNE AUTRE FAÇON COMME
SI ELLE ÉCOUTAIT
LES PULSATIONS
DERRIÈRE LES MOTS,
recherchant
leur lieu d’origine. Cette tendance provient peut-être de 25 ans de vie parmi les quakers
et de leur tradition
par consensus.
tricentenaire
de prendre les décisions
Après tout, pour arriver à un consensus,
compte des préoccupations
il faut tenir
d’autrui.
C’est peut-être ce qui l’a amenée chez les quakers au départ, puis
l’a incitée
presque 20
à militer
en faveur
de l’environnement
ans au sein de I’Ecology
il y a
Action Centre en Nouvelle-
Écosse. Quelle que soit la raison,
son travail d’écologiste
a été si effi-
cace qu’elle a été nommée au Groupe de travail national sur I’environnement
et l’économie
en 1986.
Le Groupe
de travail
avait
recommandé la création de la Table ronde nationale et lorsque la TRNEE
important TRNEE.
qu’il
membre
y eût un lien entre
“Peu de membres de la TRNEE
nette de ce qu’elle devait accomplir. ce que les grandes entreprises
de la TRNEE
le Groupe
car il était
de travail
et la
avaient une idée claire et On ne pouvait s’attendre à
et les écologistes
sautent sur I’occa-
Elle décrit cette conception en un seul mot : le travail colléElle avait
participé
à certaines
organisées
par le gouvernement
elle croyait
“que ce vpe
discussions
fédéral
de réunions
de règlement de questions complexes”.
résistera
clés
aux change-
ments.’
Institute
de réunir
des personnes
“subversives”
aux points
doivent être examinées.
nent convaincus orientations,
de vue opposés. Et lorsque
Ainsi,
les idées
des membres devien-
qu’une idée en vaut la peine, ils peuvent réaliser
mettre en train des réseaux
concepts parce qu’ils occupent simplement
et manipuler
rapidement
des fonctions
des des
si importantes
“La Table ronde est un endroit où le débat intellectuel n’a pas été paralysé
plurilatérales
au Niagara
offrait
plus leurs personnes
et plus l’organisme
dans la société.”
sion et partagent leur conception des choses dès le départ.”
gial.
“Pius leur engagement est important,
Par contre, ajoute-t-elle, la Table ronde a pour avantage principal
a été constituée, elle y a été nommée.
Elle accepta de devenir
intérêts.
seront entourées de partisans
et
un énormê potentiel
par
la polarisation
des
Reagan, Bush, Thatcher et Mulroney”,
idées
qui a marqué
déclare-telle.
les années
INITIATIVES
LIEDlÉVlElLOPPlEMJENT DURABILE iET LA PRosPlÉRITlÉ : PremHermJnhlisllm3 R QcQmlÏrMl’alrn dEnkiams aallll "LA PROSPÉRITÉ
de la vie.”
DÉCOULE
C’est
ainsi
D'UNE
du développement
Le document
a été présenté
suite
d’une demande
la Semaine ment
la conclusion
d’un document
durable
en mars
du Premier
nombre
ronde
à la
Parmi
lors de
tions,
1993
en 1992.
est fondé sur un certain ronde
que la Table
ministre
de l’environnement
tives de la Table
ÉCONOMIQUE
que débute
économiques
mais
COMPÉTITIVITÉ
Le docu-
géré
les
politiques,
la TRNEE
novembre
1991
développement prospère, qualité
durable
une compétitivité
principal
ses
l’honorable
Donald
I’IRP. Le comité documents
a commandé
qui ont été soumis
lier qui a réuni milieu
cinquante
des affaires,
écologistes,
représentants
des universités
comme
avec
de
principes
et de la gestion
le milieu
à la cri-
secteur,
contribue
du prêteur financiers
du
cupations
travaux
d’autres
du groupe
instruments
tables
rondes,
y compris
de collaborateurs
économiques,
sur la prise
de décisions
table ronde
sur les forêts.
sur des
chargé
du groupe par consensus
des
favorise
de manière
intègre
La Table
ronde
a formulé
tions au Premier
ministre.
vers le développement tâche
facile,
a démontré
précisent
quatorze
recommanda-
ne soit pas une
les auteurs
que les orientations
du rapport, visant
voir le développement
durable
sont à la fois possibles
et nécessaires
ensemble, raient
les recommandations
apporter
l’élaboration durable
qui pourrait
plus compétitif garantir
d’une stratégie
. . Dans leur pour-
considérable
de développement
aider le Canada
à l’échelle
un avenir
et la prospérité du rapport
une contribution
on
à promou-
internationale
pour nos enfants.”
à devenir et
à
des risques
la réforme
d’expansion agressive
impor-
mette
notam-
de produits
de formation
et et
les
à un développement
et durable.
à
des exportations
de l’environnement,
dans les programmes nécessaires
les préocveille
les marchés
à l’étranger,
pour
du système
afin d’atténuer
respectueux
la fois compétitif
“Bien que la transition
durable
un rôle de premier
sur la présentation
connaissances
des risques
environnementale,
tants qui apparaissent de services
et de la
davantage
de nature
de ce
la question
dans l’évaluation
ce que les stratégies visent
les
les établissements
multilatéral
ment l’accent
de travail
à régler
à jouer
l’environnement,
également
oeuvre
en vue d’intégrer
quotidiennes
et encourage
plan et efficace
et des gouverne-
des ressources,
des affaires
du développement
commercial
les travaux
environ-
dans les tâches
des groupes
reposaient
essentiels
durable
ments. Les recommandations
à la col-
et au consensus éléments
et
lors d’un ate-
des syndicats,
durable,
de dix
la rédaction
de le
le recours
nementale
par
président
puis étudiés
renforce
de l’évaluation
de la TRNEE,
S. MacDonald,
de travail
et une
et
afin
favoriser
laboration
consultatif
était coprésidé
président
de spécialistes,
du
pro-
de subventions
développement
en
internationale Le comité
de ce partenariat Connell,
entrepris
de la “compatibilité
avec une économie
de la vie accrue”.
M. George
tique
a d’abord
une étude
ministre.
ont sug-
remanie
mieux
de recherches
sur les possibilités
au Premier
le gouvernement
grammes
avec l’Institut
de la qualité
recommanda-
les auteurs que
l’idée
pages
a remis
d’encouragement En collaboration
aussi
de dix-sept
nationale
fédéral
d’initia-
nationale.
englobe
à
INITIATIVES
LORSQUE
profit
LES ENTREPRISES
sans polluer,
un
EFFECTUERONT
elles feront
Chacun
des merveilles.
des groupes
recommandations a convenu
L’adoption
de la comptabilité
protection
de l’environnement
plus en plus une priorité
analytique
et de la
deviendront
départ
que ces résultats
de discussions
C’est dans le but de donner
une impulsion
propositions
de collaborateurs
des instruments
au début
de l’hiver
économiques
1992.
tard, soit au printemps présenté l
d’ajouter spond
le groupe
détaillées
des entreprises,
financièrement
réduire
émissions
d’acheter
avait
totales.
une seule
correspondrait
au coût
mis qui se rapporteraient
ce qui corre-
pourraient
pourraient
Le groupe
est composé écologistes,
d’entre
et pétrochimique),
des permis
d’émission.
compte
a chargé
d’étudier pencher
dix observateurs
plénière
un petit
en profondeur
nationale
trois types d’émissions le plus important sulfureux responsable
(NO,)
organiques
volatils
lumière
solaire
posphérique,
Selon des
20
pour former
dont elles
des permis
sup-
des parts addi-
cette période,
progressivement
le groupe
le gouverne-
la limite
imposée
permises.
l’anhydride et les oxy-
aux composés de la
de collaborateurs,
comporte
le système
des avantages
On encouragerait
fortement
façons
les émissions
de réduire soient
Toutes
importants.
la découverte
en mesure
les entreprises
Elles
se surveilleraient
ait aucune l
Elles
auraient
dans l’intégrité
les données
(CO,),
tro-
même
totales
elles
de
pour que les de vendre
des
parts et des permis. l
sur
principalement
de l’ozone
acheter
financier
qui portent
sous l’action
émissions,
si elles polluent
et peut-être
entreprises
et de se
acides,
Par contre,
Pendant
d’échange
de ses membres
: le gaz carbonique
qui s’unissent
ou smog.
non
qui
de la TRNEE.
de travail
(COV)
des permis
leurs
elles devront
ment réduira
en mai, la Table
des précipitations
des d’azote
Les entre-
ou pour les vendre.
les parts et les permis
l
les propositions
le composé
Les parts
être échangés.
alors accumuler
vendre
aux émissions
et
canadien
gaz à effet de serre,
(SOZ),
des per-
parts.
pourront
l
On a créé des groupes
à leurs
réduisent
tionnelles. et
Il
officiels fédéral
groupe
sur le rôle éventuel
année
Si les entreprises
davantage,
de l’environnement.
Lors de sa réunion
aux émissions
chaque
à des fins ultérieures
plémentaires
pétrolier
au doctorat.
ainsi que du Conseil
ministres
ronde
ronde
des gouvernements
provinciaux
de
(la plupart
dans les secteurs
universitaire
également
proviennent
de 26 représentants
de la Table
d’un programme
de parts qui
les entreprises’à
d’entreprises
elles oeuvrent
émis une lim-
Les entreprises
recevraient
et les permis prises
de polluants
à leur contribution
Elles
n’ont plus besoin. groupes
de
un sys-
imposerait
fois un nombre
totales.
en leur permettant
et de vendre
des quantités
dans le but :
utilisés
d’encourager
le point
sur le SO, a proposé
le gouvernement
recevraient
complète;
leurs
tème d’échange ite des émissions
à un pas de géant vers une comptabilité
analytique
formeront
plus vastes.
de travail
dans lequel
mois plus
un coût de la pollution
d’exploitation
l
1993,
des propositions
à ces
a été créé
Quatorze
des
de collaborateurs
SO2
Le groupe
chargé
a formulé
de
des entreprises.
que le groupe
de travail
et le groupe
ne soient tricherie
surveilleraient
être certaines
pour veiller pas truquées,
limite
des émissions.
qu’il n’y déformée.
les gouvernements
de recevoir réduisent
à ce que
ni présentation
mis qui leur reviendraient vernements
un intérêt
du système.
les parts
pour
et les per-
et pour que les gou-
méthodiquement
la
INITIATIVES
l
Quiconque
pourrait
y compris pourrait
acheter
des permis,
les gouvernements, acheter
des parts,
gouvernements.
L’achat
mis augmenterait les entreprises
et quiconque à l’exclusion
les pressions
exercées
leurs
proportionnel
disponible
émissions l
En étant gardées
ou de payer davantage en mesure
des permis,
de vendre et d’acheter
le gouvernement
la fluctuation
des prix,
des prix qui empêcherait
Une réduction émissions
inciterait leurs
permis
supplémentaires
émissions
émissions
plutôt
qui pourrait
des
concentration être légalement
dans l’atmosphère.
En rai-
son de l’importance
cruciale
de l’émission
vale de précurseurs
d’ozone,
le groupe
a convenu
d’étudier
la possibilité
des coupons
selon
esti-
de travail
de varier
la
les saisons.
le glas CO2
des
Le groupe
les entreprises qu’à acheter compte
la nouvelle
des groupes
à une importante
de NO,
du
de
que “l’accumulation”
ultérieurement
valeur
entreprises.
pour tenir
dépassant
ainsi la créa-
de la limite
davantage
réduire leurs
On éviterait
ou sonnerait
progressive
atténuer
de la Banque
d’émission
les représentants
aboutisse
rejetée
pourrait
des petites
permis
et l’Ontario
pour la démonstration
des permis
craignent
une
Il a également
de Vancouver
choix
Cependant,
écologistes
à celui sur le
d’accorder
aux régions.
d’échange
d’émissions
à l’instar
entreprises
que la région
et de vendre
pour le dollar.
expansion
importance
des parts
du Canada
tion de petites
grande
et les COV a
semblable
la nécessité
précisé
NO,.
leurs
pour polluer.
une hausse de toute l
Les entre-
sur les NO,
en soulignant
système
de réduire
de travail
un programme
sont d’excellents
au nombre
alors forcées
en réserve
sur
serait
de parts et de permis.
seraient
SO,,
émissions.
Le coût d’une part ou d’un permis
prises
proposé
des parts ou des per-
pour réduire
inversement
Le groupe
des
à des
carbonique
de
naires
limite
abaissée.
de travail
ment prélève
a proposé
un montant
par d’importantes
et par de petites
et les chaudières
bustibles
fossiles).
Pour compenser de travail
en échange le CO,
tien de forêts). montant
prélevé,
des mesures du système
prélevé,
de puits
(à com-
le groupe des émis-
de carbone
qui
et l’entre-
pourraient
ou utilisés
être
pour abaisser
ce qui aurait
le
pour effet de créer
d’encouragement d’échange
reçoivent
la plantation
Ces crédits
et vendus
les
d’une réduction
(comme
achetés
station-
comme
que les entreprises
ou d’une création
absorbent
de gaz
domestiques
ce montant
a proposé
des crédits
sources
sources
véhicules
sions
que le gouverne-
sur l’émission
semblables
de permis
à celles
d’émission
de
SO,. Pour éviter soient
que des entreprises
placées
pays possèdent groupe
en position
des systèmes
de collaborateurs
recommandations Le groupe
de travail
recommande
train une démonstration des émissions pourrait
de SO,.
être retenue
de mettre
du système On a proposé
en
Le groupe
que les recettes
que l’Alberta
devraient
nettes
pas augmenter
progressiveles résultats.
estimait
également
du gouvernement grâce
le
que les
appliquées
constamment
de collaborateurs
d’échange
si d’autres
semblables,
a suggéré
soient
ment afin d’évaluer
canadiennes
défavorable
au montant
ne perçu.
pour cette démonstration.
21
PROFIL
_‘ _‘
i
i
i
i
__ __
.;_,
II s’est rendu cornpie rapidement
que la T&e
&~de
&sente
“laa seule
et unique’ acca occasion que possèdent ses membres de se re.untr $m@ et d’avoir <:‘; I une ~‘$ct@;réotproque personnefie. et personneffe. tes membres ont des rôles . opposes .‘ ‘._ “dans tous les autres carrefours.” itf&&.je “Tous.les Pdg se connaissent. II en va de même pour les universii:<,: *_ J.‘ ;“ _‘. ONG. La Table ronde leur procure un réseau à l’extérieur ‘, l$&! ‘_ ; ‘:.-t~$&s’~ei$& “de leurs réseaux courants. ‘de le rencontrer.
Si
Elle leur donne une véritable occasion de se
nous ne lions
pas en”mësure
pas des liens personnels,
rons donc pas régler les problèmes
il “cherche constamment
prendre des décisions. villageois
et nous ne pour-
prioritaires.”
;.
M. Stuart a apporté avec lui une fascination laquelle
nous ne serons
de le faire à l’échelle des organismes
à trouver
des mécanismes
une meilleure
En Papouasie-Nouvelle-Guinée,
par
façon’
de
la façon dont les
réglaient
leurs probfémes en s’assoyant.en, rond:et en discu1 tant de la question l’a intrigué. il.contribuait à I’édificotïon’d’un système ‘_ judiciaire pour les villages et a remarqué très ra$de.tient que les “principes
de la médiation étaient des éléments essent&
efficaces,
exhaustives
et perman&tes.
tes problèmes
de décisions étaient
réglés.
beaucoup plus rapidement lorsque chacun pouvait s’exprimer.” II y a un an et demie au Yukon,‘il
commenta
ments fondés sur une prise de décisions LORSQU’ON NATIONALE, fesseur
LUI A DEMANDÉ Barry
DE SIÉGER
À LA TABLE
Stuart avait déjà vécu deux ou trois vies : pro
de droit qui a lancé l’un des premiers
l’environnement
RONDE
au Canada,
Guinée où, pendant trois pareils administratifs
conseiller
dateurs de l’Association
à l’édification
de l’indépendance,
canadienne du droit de l’environnement,
l’un des fondateurs du théâtre Tarragon
et négociateur
en chef pour
les revendications
à Toronto,
territoriales
au
Yukon.
parties
et de prendre
Son arrivée à la Table ronde nationale s’inscrit
et dans
départ, la TRN
de la nature de la peine et lorsqu’il
férences
de trouver
des solutions.
Au
ne semblait pas être une solution valable. je ne voulais
car je croyais inutile”,
qu’elle
déclare-t-il.
pas participer
tiative fonctionne
ne serait Cependant,
qu’une
société
son opinion
de la
de con-
a changé
dès la première réunion.
ticipé au consensus, particulièrement
d’exprimer
à la décision et, ce qui est
important pour le contrevenant et la victime, ont probaEn conséquence,
Au sein de la Table
ronde,
il a siégé au comite‘exécutif,
rédigé‘
l’ébauche de la loi fédérale qui procure à la Table ronde son indépen-‘
1993)
l’étape de la troisième
et a coprésidé
encouragements. fonctions
le comité chargé
Au cours des deux dernières
de coprésident
lecture au Sénat en juin
des indices
soctaux
et des
années, if.& assumé les
du groupe de travail sur la prise de décision
par consensus.
dre les intérêts des autres groupes”. aptitude à prendre des décisions
volonté des membres de déborder du vous avez tort”.”
chacun
cherche également à veiller à ce que le jugement soit respecté.
ta Table ronde et tout organisme
cadre de la quevelle “j’ai raison et
I’ini-
leur point de vue, ont par-
ne sont pas indifférents
fondé sur le consensus
grande valeur, dit-il, ils “vous permettent de beaucoup.mieux
‘y’ai été simplement ébloui par- la
: le
bien car tous ceux qui ont pris place dans un cercle
de ce genre ont eu l’occasion
dance (elle a franchi
aux travaux
il
y avait consen-
sus, la décision devenait la peine adoptée. Selon les témoignages,
de techniques diverses de règlement des
une envie ardente
“À l’origine, TRNEE
donc dans un
Plutôt que d’éune décision,
en cercle avec tous les intéressés
blement jugé que la peine était équitable.
contexte culturel différent, litiges
des deux
descendit de l’estrade et s’assit
Ils discutèrent
d’ap-
l’un des fon-
juge au Yukon,
les avocats
contrevenant, la victime, les familles et les membres de la collectivité.
en Papouasie-Nouvelle-
ans, il a contribué
en prévision
cours de droit de
couter
à rendre des,iuge-
par consensus.
II était penché en avant, laisse
maintenant
nation Kwanlin
Sans
réalisables
cette compréhension,
votre
esf l&tée.
les coudes appuyés
aller en arrière,
ont une compren-
savourant
sur la table.
le moment à venir.
II se “La
Dun du Yukon vient juste de me donner un nom indien”,
dit-il. LequeiO “Mentatha.” _: -. Et que signi%t-if?
_ “Le hibou.”
Son sourire est presque aussi large que le fleuve Yukon.
“
INITIATIVES
PRENDRE
beauté
DE~ DÉCISION~
PAR CONSENSUS
Esr
UN EXERCICE
À l’encontre
de la règle de la majorité,
minoritaire
découle
de ce qu’il n’y a pas de perdant,
qu’un
terrain
n’est répudiée.
d’entente
sa
qu’ils
ont contribué
ont décidé
échanges,
ou encore
lementaire
de Beauchesne.
peut être adapté tions
qui détermi-
et non un juge,
le Précis de procédure Les participants
cas ce qu’il sera. aux aspects
déci-
Et parce
complexes
et aux préoccupations
une forte incidence
par-
Il n’y a pas de défini-
du consensus.
dent dans chaque
qu’ils
d’y parvenir.
eux-mêmes
de leurs
un arbitre, tion unique
parce
et parce
de la façon
Ce sont les intervenants nent la nature
du fait
et de ce que
d’une solution
à la trouver
au départ
La force
a été établi
les gens sont en faveur
qu’il
des ques-
des intervenants,
sur l’allégeance
il a
des partici-
pants.
DES MEMBRES
La Table
ronde
damentales
nationale
durable. faisant
a établi
pour ses propres
mière veut qu’elle
favorise
La seconde
prises
fon-
La pre-
le développement
qu’elle
prévoit
trois règles
opérations. y parvienne
appel à un large éventail
Et la troisième
en
L’Association manifesté
DU GROUPE
canadienne
un intérêt
DE TRAVAIL
de normalisation
envers
a
ce guide et envisage
de le certifier
en tant que processus
recommande
pour résoudre
qu’elle
les conflits.
d’intervenants.
que les décisions
soient
par voie de consensus.
Au début jointe
de 1992,
aux tables
ales pour établir préparer
la Table rondes
Forger
il énonce
en arriver
approuvé réunion
de principes
plénière
vient
de
d’être terminé. pour un avenir viable,
clés qui doivent ronde
organisée
chargé
directeurs
par voie de consensus.
à un consensus.
par la Table
s’est
et territori-
de travail
un consensus
les mesures
nationale
provinciales
de décisions
Le guide en question Intitulé
ronde
un groupe
un ensemble
pour la prise
1993,
là que réside
aucune
opinion
pour
C’est
DE COMPROMIS.
et sa force.
être prises
Ce guide a été
nationale au milieu
lors de sa de mai
et à la fin du mois de mai, des représen-
tants de toutes en ont ratifié
les tables le texte
rondes
se sont réunis
et
définitif.
23
INITIATIVES
SIÈCLE et certes
AU COURS DE LA MAJEURE PARTIE DE NOTRE
tion
s’est querellée
l’affrontement
au sujet
a remplacé
des méthodes
la rhétorique.
En conséquence, ordinaire
La défensive
soit des
l
nies forestières,
des usines
pâtes et papiers,
des peuples des campeurs
et des randonneurs,
des pro-
de petits
des syndicats, forestières, ments,
boisés,
des organismes
tants des groupes en juin
1991.
de la faune
églises
et les responsabilités
a réuni
sur les
de modes équilibre
abilités,
favorisent
une bonne
gestion,
imisent
le caractère
durable
de diverses
des terres
de la Table
ont maintenant
en vue du développement
représentés
avaient
fin du printemps
convenu
Tous
fois
ronde
sur
durable
des
les deux premiers tégrité l
des écosystèmes
Toutes
les activités
doivent
respecter
sèques
du milieu
importe
Voici,
par leur équilià titre d’exemple,
qui portent
sur les terres les valeurs
de protéger
étapes
et le respect
L’étape
suivante
naturelles
et reconnaître
l’intégrité
La biodiversité l’écosystème conservée.
24
qui caractérise local et la région
du processus,
à l’approbation
des
représentés,
la con-
ont peu à peu régné.
consistait,
à préparer
intrinqu’il
des écosystèmes à la fois doit être
pour chaque
groupe
un plan de mise en oeuvre
À la fin du printemps
ron les deux tiers des groupes
1993,
avaient
envi-
parachevé
leurs plans. décida
1992,
la Table
de s’attaquer
proposé,
age les tables
locales
pourrait
inclure
de la région,
des sous-traitants,
représentants groupes
La version
d’une coupe
d’intérêt
terminée.
public.
rase
définiOn a encour-
à appliquer
les idées
rase proposée.
Une
parmi
ses membres
des travailleurs des écologistes,
des compagnies
de tra-
coupe
que le document
rondes
dans la région
forêt,
lorsqu’une
est presque
autres,
sur les forêts le plus épineux:
un document
à régler
ou commencée.
entre
des habitants
ronde
au problème
rase. Elle rédigea
vail sur les points
table ronde
forestières
forestiers. l
sur l’in-
et la biodiversité.
forestier
ainsi qu’a
Cependant,
et demie
par les organismes
est proposée
principes
valeurs
à l’existence
n’a pas été une sinécure.
soit des premières
la coupe à la
1993.
bre et leur perspicacité.
max-
et permanents
des deux années
À l’automne
de 26
les principes
sont remarquables
et les respons-
prospères.
tive du document Les principes
en
qui établissent
les droits
et contribuent
équitables
des principes.
les organismes
approuvé
d’occupation entre
forestières
de marchés
fiance
canadiennes.
pour la première
principes
canadiennes.
être exploitées
fonction
principes
les représen-
les forêts forêts
doivent
s’entendent
des forêts
d’intérêt
et
des ressources”
un juste
au cours
et d’un
de travail
Les membres
à la “gestion
forestières
S’entendre
de
groupe
nationale
la popula-
chronique
aux négociations.
relatif
Les terres
d’intérêt, ronde
1950,
est devenu
des écoles
des entreprises,
La Table
les années
ce qui suit :
des collectivités
des gouverne-
protection
de s’occuper
de
des trappeurs,
des écologistes,
priétaires
depuis
Le conflit
peu de place
précise
des compag-
autochtones,
a laissé
Le principe
d’intérêt
clés au Canada, représentants
surtout
forestière.
il est extra-
que 25 représen-
tants de groupes
sur la façon
d’exploitation
forestières
de la des et des
INITIATIVES
te année, la Table ronde nationale sur l’environnement et a créé le Programme de stages en développement ‘y Aitken, en collaboration avec la société INCO Ial Nickel Company) et d’autres commanditaires du (6. Ce programme vise à stimuler la créativité des adiens en matière d’intégration de l’environnement w>mie. 1 permet à un étudiant d’université et à un e communautaire de participer à la Table i, contre rémunération,
avant sa dernière
3 de bourses rend hommage à Roy Aitken, Jappement 1992. La proposition veillerait
développement forêts adaptés
un avantage
durable
s’adapteraient
graphiques lieux
présente
à ce que les principes
de la Table
particulières.
par des personnes locales
et tentant
ie selon laquelle les décideurs doivent associer I’ensur les
\tet l’économie dans leurs activités de planification.
géo-
Les principes
ilement à sa contribution à I’INCO,
seraient
qui connaissent ignorant
d’interpréter
qui est décédé en
, M. Aitken était l’un des plus efficaces défenseurs
au
ronde
aux conditions
et non par une personne
ditions
: elle
relatifs
durable,
À titre d’ancien vice-président exécutif de
M. Aitken a
nt au Groupe de travail sur l’environnement
les
Ji a produit
les con-
un rapport
nission Brundtland.
des
constituant
une
Ce rapport a été recon-
tde comme l’un des plans stratégiques les
normes.
1 vue de régler
les problèmes
liés au
rable. II a conduit à la création de la Table De toute duction forêts
façon,
est au premier
bien-être
futur
sont fortement durable
l’observation
des principes
faite dans l’intro-
de la Table
ronde
plan des négociations
des Canadiens tributaires
de nos ressources
et même
ur l’environnement et l’économie,
sur les
dont
M.
BS membres fondateurs.
: “Le
de la Table ronde nationale sont heureux
la planète
s stages de 1993 ont été attribués à Sarah
de l’exploitation forestières.”
mesure les principes durable
on
du développement
It été intégrés à l’Accord de libre-échange nord-
américain. Mmë Amyottc4 étudie la technologie du génie chimique au Collège Cambri ion. Au cours de son stage, elle doit mettre au poinf un pmgrc lmme de réduction des déchets à l’intention des entreprises.
Elle effectuera une grande partie de ses
recherchésdans la région de Sudbury. Roy A,itken.a déclaré un iour l’avenir de nos enfants.”
: “N’hypothéquez
pas
Il faut espérer que le Programme de
stages en dévelop pement durable Roy Aitken permettra aux .I . . m I II jeunes Canadiens de contribuer à un avenir plus durable.
25
PROFIL
puis est devenu membr&d& &oupe de collaborateurs chargé des instru“. ment5 économique~.‘II cop&ide maintenant le groupe‘de travail sur ,la _‘ prise de décision par consensus. “
::
‘_ _‘ “ : i :. ie; Négociateurs d&‘éntrepris~,$
propositions
du sy ndicafs’entendent
d’un contrat. C’est ~&ms+
membres du syndicat. Lorsqu’il parle de participation
À L’AUTOMNE vailleurs bres,
économiques. d’émission
nationale. J’a~$a~$$
Reg Basken
a organisé
férence”,
dit-il,
“grâce aux connaissances
Maintenant
(40
000
membres)
(55
entreprises
Au sein du SCEP,
il en organisera
il occupe des fonctions
exécutif et il s’est assuré
que le développement
demande-t-il.
“Leur emploi,
milieu dans lequel ils vivent et travaillent,
le rôle des travailleurs.
“Si‘~ous
avez un travailleur
qui refuse de polluer, de faire sauter
nelle, la productivité d’exploitation
et la compétitivité
durable des ressources
préoccupent. Toutes ces questions
le
profession-
et la création
de modes
: voilà des questions
“ .{:‘%stuce
: lf’décrit
qui les
la riviére St. Clair.
“en raison
plaindre.
ajoute-t-il.
ne sont pas “branchés”.
II rit. “Et ils ont alors découvert qu’il étqit plus &ér&u~
et se
II a dirigé le Comité de la gestion des déchets de la TRNEE,
de déverser
du mercure qv& de le récupérer.”
Le mouvement syndical
Ils ne font que se réunir
mais sans sticcès. ta haute
direction savait que tous les employés feraient la gr&ve.”
“*
“Beaucoup trop de syndi-
Ils ont besoin de participer et d’apprendre.”
un représentant syndical chez
II souligne que cela se passait il y a vingt ans et
compagnie a tout fait pour le renvoyer,
II s’est joint à
soit un an après sa création,
de ma politique de l’inclusion.
est beaucoup trop exclusif”,
d’un général qui a gagné une
dans lesquelles
“que les choses ont beaucoup évolué depuis. Mais à cette époque, la
pendant 30 ans mais qui n’hésite
la Table ronde nationale en 1990,
calistes
alors avec l’enthousiasme
Dow Chemical a signalé que la compagnie déversait du mercure dans
Reg Basken a un côté combatif. Pas étonnant pour quelqu’un syndical
qui dénoncent ce
ne craignent pas de perdre leur emploi.
bataille les circonstances
se rattachent au développement
pas à le faire sentir même au mouvement syndical.
un
affirme que c’est mal d’agir de
consiste à faire en sorte que les travailleurs
génr~2~&tivités
durable.”
qui a été représentant
d’ignorer
: ,l~ sorte, vous avez alors un puissant défenseur de l’environnement.”
durable
leur santé,
Inutile. Un peu plus tôt,
une cheminée la nuit lorsque personne ne le remarquera,
en octo-
la formation
et que les entre
leur rôle clé dans toute stratégie de l’environnement.
déversement et qui est sûr de lui lorsqu’il
que les travailleurs?“,
pour
pas qu’il a été convaincu.
: .li &~@tfi&m~pas “. ‘il So&gt%t
bre. “Qui d’autre peut se préoccuper du développement
économiques
6 moins polluer constitue “la meilleure solu-
économiques soient correctement dirigés
pri$esj$6~;&us~nt
durable sera un
thème clé de la conférence annuelle du SCEP à Hamilton,
ta
C’est oprès avoir conclu qu’il existe des façons de veiller à ce que
une nouvelle. de vice-président
à la Table ronde
simplement en raison du fait que la
: le mouvement dél’arg&”
lés~$&&nts‘< “
000
membres) pour former le Syndicat canadien des communications, de l’énergie et du papier (SCEP),
aux permis
tion cor elle est fondée sur le.seul principe que respectent toujours les
avec les travailleurs
et du papier
grâce à ma participation
d$pinion
encourager les entreprises
sur le développement
que son syndicat a fusionné
instinctivement
Mon instinct me dicte maintenant de les
er.” II est convaincu que le recours aux instruments
cette con-
durable que j’ai acquises au sein de la Table ronde nationale.”
des communications
‘i~mentian~e les
chargé des Inst&nents
nécessité d’avoir une opinion force vraiment le cerveau à se concentr-
mem-
une conférence nationale sur I’envi“J’ai organisé
sur les
au vote des
Table Tond& &~&~e~~hc&tre de formation si approfondie.” “:T’ Y_ “J’ai a$& enc&e ‘datiuntagesur les instruments économiques.
1991, LORSQU’IL ÉTAIT PRÉSIDENT du Syndicat des tra-
ronnement pour les membres du syndicat.
est‘+&&
et d’oppren%$age,
“Au début, je m’opposais
échangeables.
appuyer. J’ai changé.d’avis
de l’énergie et de la chimie, qui comptait 35 000
EAJ$,r$i
<‘_
travaux du groupe de collaborateurs
EN
_‘
i
“
&&r
Re$Basken,
les~entr+risés
la morale,r$e cette histoire est évidente. Pour ‘que
respectent les règles du jeu, il faut que les em$+scon-
nciissent léspriticipes du dév&ppement durable et jouissent _‘ “ &cu$é~d’empL& ils se c&r&+t du reste,
d’une
INITIATIVES
LE CANADA
EST COUSU
autre,
emploient
elles
sistance
de 350
habitants. dollars
D’USINES
DE PÂTES ET PAPIERS.
7 p. 100 de la main-d’oeuvre
collectivités
et sont
au pays, dont la moitié
comptent
de produits
s’élèvent
Les exportations
et l’industrie
D’une
forestière
forestiers
accapare
façon
ou d’une
la source moins
de sub-
de 10 000
à 23 milliards
26 p. 100 de la demande
de
mondiale
de
papier journal.
En conséquence,
lorsqu’on
de pâtes et papiers, ment
étudie
sur le tissu social
Préoccupée
automatique-
et économique
pays ainsi que sur la question la pollution
la fabrication
on se penche
de notre
des effluents
par
équation,
la nationale
ronde
et de
atmosphérique.
entrepris, avec
avantage
est assiégée
: voilà le problème.
concurrentiel
s’est érodé,
tions à la productivité au niveau
d’autres
l’Institut
à ceux des industries nécessité
notre
dans les régions
part de la production
journal
a chuté
ment.
de l’apparition,
Même ment
réduit
principaux
la
les effluents
et
d’usines
en raison
La Table
de recyclage
l’industrie
ont considérable-
et les émissions
des trente
généralement
nement
: une hausse
dernières
draconienne
en matière
une innovation de l’étude
envi-
la compétitiv-
et une amélioran’ont pas été conclu-
des pâtes
et papiers
est tellement
surtout
de réglementa-
mal orienté
et laissé
de nouvelles était réceptive.
de vingt décidé
de leurs
tants
aspects
des produits chutera
groupes
: la source
des dépens-
pour déterminer
solutions
d’intérêt
de s’entendre
des fibres,
velle fois au début
points
et papiers
plus
et ont
impor-
les mécanismes
ainsi que les aspects sur les pâtes
1993,
se sont réunis
sur quatre
si
chargée
à ce dilemme.
En février
la commercialisation
à
de
et la consom-
juridiques. se réunira
La Table une nou-
de l’été.
de la qualité
beaucoup des pro-
Sans une amélioration et de la productivité,
et les efforts
d’environnement
ronde
s’est alors adressée
à créer une table ronde
de trouver
atmo-
est
nationale
de l’environ-
pas de consacrer
duits et de la productivité.
compétitivité
augmenterait
L’industrie
années,
à la traîne
économique
dans la protection
de fonds à d’autres
de la qualité
M. Michael
des pâtes et papiers prête
fabrication,
l’équation
ne permettrait
ronde
elle serait
mation
es engagées
avancée
une réglementation
du fait que le système
tion au Canada
la thèse
au petit bonheur.
concurrents.
En conséquence, implacable
sévère
Les résultats
en raison
à l’essai
de Harvard,
laquelle
ants pour l’industrie
agglomérations.
canadiennes
au cours
elles demeurent
tion.
de papier
de chuter
à l’étranger,
des grandes
si les usines
sphériques
mettre
de 21 p. 100 en dix ans seule-
Cette part continuera
à proximité
éloignées,
selon
ité en suscitant
les travailleurs
mondiale
pour
ronnementale
certains
comme
davantage
étude
Porter,
sont supérieurs
concurrentes,
de rémunérer
pour les attirer
importantes,
de production
de
politiques,
par un économiste
pays clés, la réces-
des pertes
des facteurs
les améliora-
ne se sont pas maintenues
de celles
sion a provoqué coûts
une
Son
a
de concert
recherches L’industrie
cette Table
seront
la
de l’industrie limités.
27
PROFIL
. .:
tout cea . .syp“la d $?$3@$Q$sion
nouvèlhj
“un nouvel ensemble
un &$$;~$&$$&e
de concepts,
de règles,
dè de
%&e\s sur lesquels nous pouvons ‘<.:h’:‘“:&: s- CO -eren%e: aux actes.” Les actes dont il .-. __..<:g,.:. t I~~~&$@@aCions relatives à la gestion ress&c&
sani -la prise ‘;: _. pr$$!:..: ; ;:,:..
de décisions
rre ~c&&<b$ectif. DANS
UNE CUISINE
Johnson
serait
OU L’ON MITONNE
l’un des chefs.
DES IDÉES,
légèrement
Pierre
corpulent
Marc
peut-être,
d’une focon qui donne une idée à la fois d’autorité et de jovialité, bouillonnant
d’idées, goûtant et mettant à l’essai,
niture, une anecdote, une épice, une douzaine
ajoutant une gar-
de casseroles
sur le
feu, savourant le rythme et aimant la chaleur. II est à la fois docteur et avocat. II enseigne droit de McGill,
travaille
du centre de Montréal, Médecine, conseil
d’Éthique
effectue des recherches
et de Droit de l’Université
d’administration
occupé les fonctions
à la faculté de
à titre d’avocat dans un grand cabinet
de plusieurs de conseiller général
grandes
spécial
au Centre
McGill,
entreprises,
de Maurice
du Sommet de la Terre
de
siège au a
Strong
lorsqu’il
était secrétaire
Janiero,
a été récemment admis à la Société royale du Canada et
à Rio de
est membre de la Table ronde nationale et de son comité exécutif depuis le début. Pendant une courte période ovant la défaite du Parti québécois en 1985,
il a été Premier ministre du Québec. Avant cela, il a
été à la tête de plusieurs financières,
Affaires
général et Affaires
ministères
sociales
: Main-d’oeuvre,
et Développement,
Institutions
Justice, Procureur
intergouvernementales.
Malgré toute cette expérience, nationale m’a transformé
il déclare que “la Table ronde
de certaines facons.”
“J’ai été un juriste pendant treize ans et, à mes yeux, les gouvernements
servaient
à promulguer
des lois.
démontré de façon précise et solide, des règles rigoureuses er l’environnement plurisectoriel tionnel.”
du gouvernement,
et l’économie.
afin de définir
La Table
ronde m’a
en marge des directives
et
comment on peut intégr-
Elle fait appel à un mécanisme
des orientations.
C’est assez
excep-
&I !%e
M. Johnson
dél&&$canadienne la politic&
extérieure
0 Rio. de la
x
/.
INITIATIVES
POUR LA PREMIÈRE
FOIS DEPUIS QUE LA DÉRÉGLEMENTATION
NORD A COMMENCÉ
pour protéger
et améliorer
la plus énergique
La création
la plus optimiste,
nord-américaine
sur l’environnement
Canada,
les k-U. et le Mexique de libre-échange
(ALENA).
Par le truchement
chargé
ronde
recommandations mission
ministre
que devrait
et du
prépare
tique,
les
ont
distances
Groupe
une CNAE réglera
environnementale
1’ALENA et des litiges est le seul accord problèmes bule,
qui découleront
international
I’ALENA
reconnaît
développement
de les
Dans son préam-
que la promotion
durable
précise
lé entrera
du
tionaux
sur l’environnement
sanctions
commerciales,
Convention espèces
d’extinction,
mouvements
relatifs
engagements,
à I’ALENA
on convient
CNAE encouragera formiser
caine
en traitant
nentale, trices,
également comme
la gestion
à d’o-
la coopération
de problèmes la protection
chargé
1992
d’une,
34 groupes
Un deuxième
D.C. le 6 avril des points et mexicains.
la Table
séance
plénière
MEMBRE
DU GROUPE
DE TRAVAIL
d’intérêt
atelier
1993
a eu lieu
afin
de vue avec des groupes Le Groupe
de travail
le 28 avril pour examiner
Enfin,
BOB PAGE,
qui s’est tenu le 7
d’échanger
texte
a commencé
en prévision
et auquel
été invités.
du
et du commerce
nationale
américains
ronde
une ébauche
au Premier nationale
ministre.
s’est réunie
le 13 mai afin d’approuver
qui a été par la suite
en le
transmis
au Premier
depuis
le mois de
ministre.
des
de travail
mai à conseiller
oeuvre
le plus grand nombre
possible
et effectuera
Pendant
ce temps,
conclusion (GATT), ciations étudie
cette
compte année
tenu de l’éventuelle
de l’Uruguay
qui, prévoit-on, sur l’environnement,
ouvrira
de l’Amérique
Round
la voie de négo-
le groupe
une fois de plus des questions
dent au-delà
de groupes
un suivi s’il y a lieu.
de travail
qui s’éten-
du Nord.
ses
qu’une
de l’Accord
leurs normes.
avaient
des
de respecter
ronde
décembre
dan-
l’emportera.
en général
les parties
à la hausse
favorisera
le libellé
à l’environnement
Afin de permettre
relatif
la couche
de déchets
et de leur élimination,
accords
des
de Bâle sur le contrôle
transfrontières
travail
lors d’un atelier
Le groupe
menacées
de Montréal
de
des
la
international
qui appauvrissent
zone et la Convention
interna-
qui prévoient
et de flore sauvages
le Protocole
son libel-
d’accords
notamment
sur le commerce
de faune
des substances
gereux
que lorsque
avec celui
qui sur
et à long terme.
de ses recommandations
est l’un de ses objectifs
également
en conflit
clima-
et littoraux
délétères
des idées
s’est réuni
fondamentaux. L’accord
le rende-
commerciales
durable
à Washington
L’ALENA
à reconnaître
environnementaux.
CNAE
auront
les questions
commerciaux.
marins
de
développement de la Table
été parachevées, de nature
milieux
que les pratiques
grandes
Le
sur les
avoir la com-
les négociations
comme
le changement
des répercussions
à étudier que lorsque
à la création
des
proposée.
On prévoit
dans son expression
relatives
et planétaire
énergétique,
ainsi
durable
nationale
au Premier
et la forme
frontière,
de
DU
agir
(CNAE).
ment
de son Groupe
où elle pourra
l’occasion,
les discussions
le
nord-américain
DE L’AMÉRIQUE
d’un carrefour
C’est-à-dire
clé de
et qui s’ajoutera
du développement
la Table
fonctions
l’élément
que négocient
à l’Accord
commerce,
ENVIRONNEMENTALE
peut-être
que présentent
de l’environnement
de la CNAE constitue
l’accord
travail
jouira
ce qui reste de l’environnement.
et peut-être
d’une commission
la population
SÉRIEUSEMENT,
à uni-
L’ALENA nord-améri-
d’envergure des espèces
des eaux et la pollution
contimigratrans-
29
PROFILE
charlgement.
BRIDGE
meilleur
Elle ne parle pas d’idéologie,
ni reconstruire
ment d’ordre
pratique
la société. :
Ses
ne veut ni bâtir un monde
préoccupations
“Je cherche simplement
fonctionnent un peu mieux.
sont exclusive-
à ce que les choses
C’est juste une question de bon sens.”
C’est ce bon sens qui a conduit la jeune fille issue ouvrière de la banlieue de Londres, mariée à 17 et a eu trois
de la classe
qui a quitté l’école à 16 ans, s‘est
enfants avant l’âge de 2 1 ans au poste de
directrice d’une société qui emploie faires dépasse le million de dollars
12 personnes,
premier plan au Canada, aux États-Unies, Au cours de sa carrière,
dont le chiffre d’af-
annuel et qui compte des clients de en Angleterre
elle a dirigé
et en France.
un centre de prévention du
suicide à Ottawa (pendant sept ans), créé et dirigé pendant trois ans la filiale canadienne d’un organisme pays de développement, associatives tres ans).
d’aide aux personnes
pour la Consumer5
Association
1989-1-990,
nationale,
au moment
de la création
on lui a demandé d’apporter
avais assez
de travailler
bénévolement
intéressantes
était tout aussi intéressant SE SITUE
QUELQUE
entre les grandes
DALES,
PART
ENTRE
entreprises
LE TAILLEUR
transnationales
ET LES SAN-
Tout d’abord,
et le mouve-
ment environnementaliste. Certaines problèmes
sociétés
camps; prises
La Prise
afin d’éviter les
travaillé
Ceci est la ges-
Premier
Elle atteint ses objectifs en regroupant tous les
Janeiro.
les représentants
publique.
communautaires,
et les environnementalistes.
les dirigeants
d’entre-
Elle propose ce qu’offre
ministre
n’im-
Ce groupe économiques
s’attirant les faveurs du public.
duraient
Elle admet que les objectifs varient
mais la démarche commune doit être entreprise. Parmi les directeurs
identifier
d’entreprises
la confiance
et orienter
les préoccupations
parce qu’elle n’a pas peur d’innover. ayant participer
au processus
ceci les rend nerveux;
- confiance
qu’elle
Les cadres se voient comme
décisionnel
avec des étrangers s’inquiètent
et de
savoir si les cadres vont prêter attention à leur message ou si ceci
la politique
étrangère,
Elle a ensuite
qui a soumis
en vue du Sommet de la Terre
le Groupe
de collaborateurs
au
de Rio de
chargé des instruments
trois
de faire jours
a examiné
ses
et demi.
97
Selon
c’était une
mais “gratifiante”.
ce que lui a apporté
sa participation
préoccupée par les problèmes environnementaux, en moins
apparaissaient
Les réunions
Pot Delbridge,
“Cela m’a permis de voir les choses différemment.
moins
types d’instruments
recommandations.
à l’aise
à ma place,
à la Table
ronde
:
Je suis extrêmement mais je me sentais de
parce que des antagonismes
entre les gens, qui se voyaient attribuer des étiquettes, et
que ie ne trouvais pas le moyen de mettre fin à ce processus.” La dé du problème était la méthode instaurée
par la Table ronde.
tout, les sociétés continuent de faire appel à ses ser-
ent de participer. préoccupations
Les entreprises
modifient
du public sont prises
ance dans le processus
continu-
leurs activités
en consideration.
et les
La confi-
Elle a l’allure
de la personne
camps - vêtements sobres,
jamais
leurs valeurs pour tlenwwer soliduires, trouve?-desmotivons
qui se situe
aucun accessoire
entre les deux
qui cherche à impres-
coupe de cheveux étudiée, légèrement ébouriffée,
attitude menaçante.
“Les geris n’ont pas besoin Cies(LcTifieT
demeure même si les changements ne sont
pas effectués aussi efficacement qu’on le voudrait.
n’invoquant
sur
qui a
durable, l’une des
publiques.
vices à cause de son efficacité et les environnementalistes
sionner,
pour le comité de la TRNEE
et le développement
de collaborateurs
parfois
Voici
sait
du public et l’incertitude
les environnementalistes
deviendra un exercice de relotions Malgré
elle a travaillé
avant
tâche exigeante,
et les environnementalistes
et l’incertitude
étaient
économiques a été constitué, elle y a participé.
porte quel bon guide : comment atteindre les obiectifs fixés tout en
elle inspire
que les participants
J’en Mais
(sic).
ses conseils
Lorsque
Elle déclare :
et que le travail qu’ils allaient entreprendre
de décision
pour le Comité
ronde
de refuser.
livres sur le développement durable publié par la TRNEE. font appel à ses services
qui génèrent et l’opposition
tion des problèmes.
produit
l’intention
pour le gouvernement.”
elle a changé d’avis quand elle a réalisé des personnes
de la Table
son concours.
“Je n’ai rien dit sur le moment, mais j’avais
DELBRIDGE
des affaires
OF Canada (pendant qua-
Elle a créé sa propre société en 1980.
En
PAT
âgées dans les
et occupé le poste de directrice
Elle s’exprime de raisons
également
philosophiques
aucune
en conséquence, pour
de l’avant.”
justifier
le
II suffit de faire preuve de bon sens.
conl~unes et aller
INITIATIVES
’ -- r(ts&&b&s’&é-la -:. ._
LA PÊCHE À LA MORUE côtes
de Terre-Neuve
grand
laboratoire
durable.
DU NORD au large a été
canadien
De nombreuses
quer
l’effondrement
mais
aucune
toujours
qualifiée
du développement
théories
populations
aussi abondantes
tentent
des populations
n’a été reconnue.
si les
des
de plus
d’expli-
de morues,
On se demande de morues
seront
qu’autrefois.
Ce qui est certain, pêchée
de façon
lations.
Est-ce
la raison
on.dateu& de la Table ronde nationale et avaient i.: .,:;+ uxmFrn.,,_s.;.yb2.. il_f =._-y .-.. ; $&~~rn& @r le premier ministre en mars 1989. i Keyr a été l’urie des premières membres du $aii;&r l’environneme@ et l’économie, qui a servi ..““‘rr ..>:;: ., i~e:@Wtr~ iables fondes et à plusieurs autres 6’ d&loi;&menf-durable
au Canada.
A titre de
$icede la Table ronde, Dr Kerr a siégé au Comité tiZt&%ur les-retombéessocio-économiqueset a par__ 1’ __.: E”:;:L;“~; ;. -. - ” L-.;i-$ tic’pe;sl!!aitgni~~=beIcl-bilrobilité et de la prospérité.
c’est que la morue à garantir
fable. ronde tiennent à remercier les membres
.. .4ortanfs Ma+et -Kerr et Jim MacNeill pour la contribution .g i i&cëptioim~l~. qüFl5ont apport& à leurs travaux. Ils étaient tous . ;;:. -.-- . . :. L
n’a pas été
la pérennité
des popu-
de l’effondrement
des
&$%&ttt~ y L:. %du < Comité sur les retombées socio%~~&&Q-j~ué un-rôle clé en préparant des indico‘..-::r.;. -1:s.: 1 foe$-dtizd&eloppement durable, en publiant des ~&%-&t&& --:-.rr ;._--; t
m&fes relatives aux instruments de ,arr
&&j~&&r
lu recherchedu consensus. Elle con-
tiCi$&~~ Grcjupe de travail sur le commerceet la :,.; ._.r . .. j&l~&it profiter la Table ronde nationale de I’ex, :-:: : . -..,-:r.:.~.;:-- .;,‘r. I.q.~c3q~!~~ en s’engageant très activement aux ;i:j.~~~“~~~jatlon~l~et.;jn~rnational dans les mowements en faveur populations tribué
ou simplement
à ce phénomène
dans quelle
mesure?
un facteur
qui a con-
et, dans l’affirmative, Nul ne le sait vraiment.
A
_Im~~t:~~tdy +v~lo&ement. titre d’ex-participant :; _Lb-.“-‘..<-_. .’ .‘I ~1ICi-~~n~~é~cce’d~.Stoc~holmen 1972 et de Secrétaire général $p~~inondial~ ae l’environnement et du développe.. . .-...! ___ - r-. ..lis,àla TRNEE de créer de très nombreux liens avec
À sa réunion Neuve),
plénière
fin juillet,
er la possibilité des pêcheries
de St. John’s
la TRNEE
de jouer de l’Est.
(Terre
envisage
d’examin-
un rôle dans la question
Noël-a~tSinteniafipna. ‘;*;:‘.,y.-!_. .*: :;:La”. 1” ~-:ittrer:be-inembreilu $J &mi&
Comité sur les retombées socio-
sur la politique étrangère et du Comité
@je@q.jou&un
rôle important dans l’élaboration
Ejës. +i&fations
stratégiques de la Table ronde
..:“l.““‘_ ‘na e~-dprant-:ses;~~emières années d’activité. -. -!e$$&&sur k&x~a~
Grâce à sa
la politique étrangère, il a donné des Premier ministre sur la façon de définir la
~C~I+ !a fRNËlj ’reIaf Ivement au Sommet de le Terre, organ;:;:--3_-:_: = I.. $952 bRio.de Janeiro; En outre, M. MocNeill représentait MES-au &in de $ délégation officielle du Canada qui s’est .: k$F~siatta~hé
supérieur de recherches dans le
;=$;&@&qmme sur le développementdurable à l’Institut de -_- .i _: ._. $ij?+~‘@litiq~eL : . ::_ “.‘:..i :f L. ._:i s. _,< -.:
31
I
a
l N
T
I ATI
VE
s
PARMI L'ENSEMBLE
sité est peut-être les organismes peuvent
DES PROBLÈMES
le plus difficile vivants,
Herity
à régler
on le retrouve
être extrêmement
selon John
DE NATURE
pour la simple
partout
complexes
Canada,
raison
et dans tout.
et subtiles.
d’Environnement
celui
ENVIRONNEMENTALE,
Malgré
que représente
qu’il est si complexe.
La biodiversité
tout,
“il s’agit vraiment
En ce qui concerne
présente
son importance
la biodiver-
des interactions
qui
ne peut être exagérée
car,
de la vie sur Terre”.
tions réciproques de la flore, doivent
doivent
de la faune
englober
accordée
Pour assurer
toute
étude
développement
au-delà
et de la biosphère.
la valeur
des collectivités. lectivités,
être étendues
la survie
doit se pencher
économique
Elles
au maintien des colsur le
permanent
des col-
lectivités.
Dans les Prairies, Saskatchewan,
C’est dans les Prairies versité
est probablement
ment dans les régions agé les agriculteurs aux dépens humides.
agricoles
les terres
et des milieux
À titre d’exemple,
d’une
les deux tiers des
ont disparu,
plus
des deux tiers des milieux
humides
du sud de
l’Ontario
la moitié
des
ont été labourés,
marécages perdus
et des cuvettes
des Prairies
et 70 p. 100 des marais
toral Pacifique
ont disparu
plupart
eux (85 p. 100)
d’entre
estuariens
ronde
question
nationale
de la biodiversité sur les Prairies
de 25 des espèces
La Table
La
ont été drainés
à
sur la
en concentrant
où l’on retrouve
menacées
ses
pas moins
ou menacées
d’ex-
nationale
a d’abord
commandé
une étude qui a souligné
que toute
étude traitant
de la conservation ment porter conomie
32
s’est penchée
au Canada.
ronde
biodiversité
de la biodiversité
sur l’infrastructure
régionale.
En d’autres
doit égale-
sociale
et l’é-
termes,
les rela-
“pieds du tabouret”
les facteurs
sociaux
rapidement.
est en voie d’être supprimée. agricoles
s’écroulent
cole est en sérieux
déclin.
Lors de sa réunion
plénière
ronde
de la Table
écologiques,
se dégradent
nationale
a décidé
son étude
d’intérêt
recommandations. “Canada’s Implications Biodiversity,”
for Rural
étude,
Renewal
de travail
à grande puis
avec les des éventuelles
intitulée
and Trade
est maintenant
agri-
un débat,
un atelier
afin de discuter
Agricultural
Les col-
en mai, la Table
afin d’amorcer
Cette
La
et l’économie
de diffuser
à l’automne
série de documents
La Table
tinction
à savoir
en
d’un membre
et économiques,
groupes
des fins agricoles.
efforts
ronde),
échelle
du lit-
ou sont dégradés.
l’expression
d’organiser
ont été
les trois
(selon
lectivités
cultivées
se pose cependant
Atlantique
notam-
où on a encour-
marginales
Le problème
du littoral
que la biodi-
la plus menacée,
à étendre
des terres
mer à l’autre. marais
canadiennes
et notamment
Policies:
and un élément
de la
de la TRNEE.
INITIATIVES
ADOPTER
LES PRINCIPES
ité et à organiser
DU DÉVELOPPEMENT
DURABLE,
c’est apprendre
les activités
de façon
à protéger
les milliards
de la vie à cette
échelle
peut être
Canada
d’une con-
syndicats
à tenir
d’interactions
compte
de la complex-
sur lesquels
repose
la vie
sur la planète. La complexité intimidante.
Elle peut être à l’origine
fusion,
de conflits,
même
de paralysie.
important
de situations
Voilà pourquoi
de démystifier
durable
en étudiant la transition.
La Table
ronde
atteint
letin
trimestriel,
cet objectif
en collaboration
de travail,
distribué
soit un
publié
de guides, interactif
Western
Ontario,
intitulé
Reportages
nement, utiles
collaboration
avec d’autres
La revue ment,
avec d’autres
ont été publiés
organismes
en
ou ont été
par une entreprise.
L’ouvrage
de la table ronde,
est le bulletin
développement s’adresse
durable
des livres
intitulé
des centres
aux décideurs
Le
urbains,
municipaux.
de la TRNEE
emps
durable.
ONG de l’environnement
qui a remporté
Richardson Canada Table
et parrainé
Inc.,
présentés
environnement de John
réunit
provenant d’intérêt
la publication
durable,
sur les activités
et compétitiv-
en novembre
des
contenait
général
au
sur le
fait le
de la TRNEE.
Série de documents de travail
durable,
la Table
de documents
Du Pont
gamme
de documents
sources,
organisée
par la
des renseignements
ronde
distribue
de travail
de sujets
les ébauches
qui portent
et proviennent
La série compte
ments
et de
un débat sur le développement
et Sarah
par la société
lors d’une conférence
ronde
du print-
de partout
développement point
le plus de
Kirton
un ensemble
Le numéro
au Canada,
inédits
sur
numéro
pays. En sus des articles
promouvoir Commerce,
canadien
sur les problèmes
Dans le but d’échanger
ité, sous la direction
trimestrielle-
Chaque
thème.
qui portait
articles
public
Il est l’un
succès. L’ouvrage
de l’environet des conseils
d’information
un différent
1993,
dix-neuf
de Mark Roseland,
Keating, Guide à
aux journalistes.
présente de l’an dernier
du secteur
des renseignements
le développement
les livres
de Michael
sur l’environnement:
La revue de la Table ronde nationale
et
de rapports
organismes.
parrainés
l’ouvrage
des journalistes donne
des études
de l’Université
un bul-
un vidéo musical
à la production
et d’un jeu électronique
Tous
du
avec l’école
en journalisme
l’intention
Au
cinq livres,
en deux ans. Elle a aussi dis-
19 documents
contribué
Publié
comment
de communication.
elle a publié
total de dix livres
la cause
au sein de leur organ-
isme.
supérieures
grâce à son programme
tribué
durable
et les
le développement
nationale
de l’année,
les travailleurs
à faire progresser
développement
et
il est si
et en démontrant
effectuer
cours
désespérées
dans le but d’aider
sur une
d’un éventail
actuellement
de
19 docu-
de travail.
1991. Autres réalisations
Produit
en collaboration
collèges
communautaires
par Nissan
Canada
Inc.,
avec l’Association du Canada
durable pour
décrit
des instruments
ment
durable
d’application collèges
et présente
Produit
et parrainé
le Guide Vert - Manuel
développement certains
des
les collèges
du
canadiens
du développe-
des études
du développement
de méthodes
durable
dans les
communautaires.
L’ouvrage collaboration
durable,
Comment parvenir est un guide produit
avec le Congrès
du travail
du
nationale
Frito-Lay
et parrainé
Inc. et la
de la Baie d’Hudson,
le vidéo musical
COURAGE
a été lancé
au Musée
en janvier
cana-
dien des civilisations.
Le vidéo met en vedette
groupe
Infidels
rock canadien
poétesse partie
en
ronde
Hostess
Compagnie
Meryn
Gzowski.
de Ted Schrecker,
au développement
par la Table
par la société
jeunes
Cadell,
présentés
Le vidéo et la chanson
d’une campagne Canadiens
développement
visant
à intégrer durable
le
et la chansonnièrepar Peter “Courage”
à encourager les principes
dans leur vie.
font les du
REPORTAGES L’ENVIRONNEMENT
SUR
INITIATIVES
Le jeu et quiz électronique Environment l’énergie.
II a été produit
nationale
en collaboration
Ressources
Canada.
Le rapport
Ce n’est
écosensibles travail
MODÈLE RONDE
DE LA TABLE
POUR
LES JEUNES
est distribué
ronde
lation
fiscale
ciaux
et territoriaux
un cadeau: rédigé
Mines
avec la
fédéral,
à perpétuité,
Disquette Multi-Média avec Macintosh)
lorsqu’ils
COMMERCE, ENVIRONNEMENT COMPÉTITIVITÉ
de la TRNEE
(compatible
sur l’énergie
(com-
1.
Prosperity and Sustainable Development Canada: Advice to the Prime Minister
font don
2.
The Financial Services lndustry and Sustainable Development: Managing Change, Information and Risk
3.
Lender Liability for Contaminated Issues for Lenders and lnvestors
4.
Market Correction: Economie Sustainable Development
5.
Environmental Regulations and the Canadian Pulp and Paper Industry: An Examination of the Porter Strategy
6.
Environmentally lncentives
7.
Environmental Impact Assessment Competitiveness
8.
Emerging Trends and Issues in Canada’s Environmental Industry
à des fins de con-
DE LA TRNEE
Le développement durable: Guide à l’usage des ges tionnaires de réduction des déchets
2.
Le Guide national
3.
Propos sur la prise de décision et le développe ment durable
4.
La préservation
de notre monde
5.
En route vers le Brésil
6.
Le développement durable des centres urbains
Perverse
for
Sites:
lncentives
for
Government and
7.
Commerce, environnement
9.
8.
Guide Vert : Manuel du développement durable pour les collèges canadiens
A Report on Jobs, Training Development
10.
9.
Comment parvenir au développement durable (Guide pour les syndicats et les travailleurs)
Trade, Competitiveness Environment
11.
10.
Reportages sur l’environnement
Sustainability Infrastructure
12.
Measuring Production
13.
Exploring lncentives: An Introduction lncentives and Economie Instruments Sustainable Development
14.
Canadian Round Tables on the Environment and the Economy: Their History, Form and Function
Rapport sur la gestion des déchets pour l’industrie de la construction
15.
Reporting on Sustainable Development Support of National Decision-Makers
Ce n’est pas un cadeau: Les terres écosensibles fiscalité
16.
Reporting Municipal
on Sustainable Development: and Household Level
Modèle de la table ronde pour les jeunes
17.
Nouveaux liens à l’horizon jeunesse canadienne
Corporate Reporting
Sustainable in Canada
18.
Aperçu Nationale sur la Planification Stratégique du Développement Durable dans les Provinces et les Territoires du Canada
19.
Canada’s Agricultural and Trade Policies: Implications for Rural Renewal and Biodiversity
ET
tion des journalistes nment
et compétitivité
: Guide d I’inten du secteur de l’environ
Autres publications, rapports et produits de la TRNEE Vers un partenariat
avec le monde des affaires
Objectif 2000: La gestion guide pour la PME
environnementale
- un
et la
: Tables ronde de la
L’accord nord-américain de libre-échange et la commission nord-américaine de l’environnement (rapport de l’atelier du 7 décembre 1992, à Ottawa). Shaping Consensus: The North American Commission on the Environment and NAFTA (rapport de l’atelier du 7 avril 1993, à Washington D.C.) 34
du développe-
Série de documents de travail de la TRNEE
Série sur le développement durable 1.
Les objectifs
Vidéo musical “COURAGE” sur le développement durable (mettant en vedette les Infidels, Meryn Cadell et Peter Gzowski)
à quoi peu-
servation.
PUBLICATIONS
Affiche de la TRNEE: ment durable
la légisprovin-
sur la conservation
et explique
les donateurs
parfois
de
des terres
des gouvernements
Table ronde sur le développement durable des forêts: Rapport d’étape, mars 1993
Jeu électronique interactif/Quiz patible avec Macintosh)
par le Groupe
comment
influe
et
Les terres
Il décrit
écosensibles
de
ronde
avec Énergie,
en collaboration
nationale.
vent s’attendre de terres,
par la Table
de conservation
Table
des terres
pQS
Energy,
sur la conservation
et lafiscalité,
canadien
humides,
interactif
and Me porte
and Sustainable
and the
and Prosperity:
The Role of
Sustainable Development: and Use in Canada
Energy to for
in The
Development
PARTICIPANTS
PERSONNES
RESSOURCES
GROUPE DE TRAVAIL
DE LA TRNEE
DÉCISION Auger,
Catherine
Environnement André
Cabinet
de droit
de l’université
Charles
Brassard,
Environnement François
de médecine,
d’éthique
et
McGill
Affaires
et consultations,
Vice-président Reg Basken,
membre de la TRNEE
Président
Vice-président: Barry
membre de la TRNEE
TRNEE
Jerry
Canada Rawson
pour les sci-
Lee Daney, conomie
R. Douglas
Pau/
John
G. Drake,
Université
Ron Edwards, Friend,
Deug
Paul Griss, Charles
Mines
et Ressources
Canada
Pat Delbridge
Énergie,
Mines
Health,
Associates
et Ressources
Sofety
Relation
Kathleen
Finances
Pomeroy
Industrie,
& Neil
Sciences
Conseil
l’environnement Bob Sopuck, conomie
Consulting
Inc.
Centre
Smith,
canadien
des ministres
Conseil
du Yukon
Industrie,
Sciences
et I’é
Corporation
SECRÉTARIAT
et Technologie
du développement
of Environmental
Driscoll
SUR LA PRODUCTION
SUR LE DÉVELOPPEMENT
des
Susan
H&z,
Ian Mugridge, John Robinson,
ronde
nationale
de TerreNeuve Université Learning
Université
Clément
Commissaire
Université
de Calgary Pomeroy
canadienne de 10 faune
nationale
inc.
Canadion University
de foresterie
Groupe
L’honorable
Caro/ Carson,
municipales,
Saskatchewan
Wilfrid
& Neil
Ken Cox, Conseil
laurier
des terres Huberf
membre de la TRNEE Ministre
nord-américain
des Affaires
de conservation
humides Western
Esquirol,
Bob Sopuck, conomie
Consulting
Forest
Canards Table
Canada illimités
Wheat
Growers
Dansereau,
DE LA TRNEE:
des Églises
Canodian
Environmentol
et I’é-
IWA
Canada
Fédération
canadienne
des proprié
Direction
Paul Griss,
Fédération
Keifh,
Société
naturels
canadienne
des industries
de la nature
pour la protection
des parcs et
du Canada
Welwood
lee, Service
of Canada
canadien
Lee, Fédération
de forestiers
fédérale
Ltd.
de la faune
canadienne
des associations
professionnels
Jom Lee, Forêts
Canada
Elizabeth
Sierra
May,
David
Neave,
Habitat
Keifh
Newman,
Club of Canada faunique
Syndicat
Canada
canadien
des travailleurs
du papier
Marie
Raufer,
Miromichi Ontario
Tony Shebbeare,
Pulp and Paper Forest
Conseil
Inc.
Industries
Association
des industries
forestières
de la Colombie-Britannique
Inc. SECRÉTARIAT
DE LA TRNEE:
sur la
de boisés
Joe O’Neill,
Canada
ronde sur l’environnement
du Manitoba
de travail
Caucus
ISTC
Chris
membre de la TRNEE
et du Lobradol
Association
Schools
des entreprises
forestières,
Geny
Cummings,
Silviculture Forestry
Gerry
Wilde,
Institut
de la fourrure
Steve Jhompson SECRÉTARIAT
des produc-
canadienne
Association
Brinkman,
Rod Carrow,
des sites
MEMBRES
sur I’environ-
à l’information
Pomeroy,
Ideolity
Dirk
Diana
RURAL
Gien
de la Colombie-
Bill Ross,
Smith,
SUR LE
L’honorable
Agency
Kathleen Cameron
Bombay,
forestière
Fédération
Bruce Gouday,
DE TRAVAIL
Jim Potierson,
Robson,
Harry
toires
DE L4 TRNEE:
Président: Diane Grifin,
Britannique Barbara
Association
Don Laishley,
membre de la TRNEE
membre de la TRNEE
Open
Blundell,
Peter DeMarsh,
membre de la TRNEE
Doug McKenzieMohr,
Blouin,
Gary
Claire
membre de la TRNEE
Cummings,
Table
canadienne
Network
Cox, John E. Cox‘Associotes
RENOUVELLEMENT
Inglis,
Gien
Lois Corbeft,
membre de la TRNEE
membre de la TRNEE
SUR L’ÉDUCATION
Président Leone Pippard,
Dorothy
DURABLE
Design,
MEMBRES
nement et l’économie
Kimmins
Association
responsabilité
GROUPE
Gonzalez,
DE
MEMBRES
SECRÉTARIAT
DE TRAVAIL
Jack Macleod,
Barron,
teurs de pâtes et papiers
Thompson
Philippe
Josefina
et Technologie
DE LA TRNEE:
GROUPE DE TRAVAIL
John
Gien
DE LA TRNEE:
Richardson
Peter Chapman,
Sciences
de Calgary
L’honoroble
limitée
sur l’environnement
Inc.
du Yukon
GROUPE
Sarah
Studies
Animateur, Hamish
Président: Tony Hodge,
Université
SECRÉTARIAT
for International
Telecom de Toronto
TABLE RONDE SUR LES FORÊTS
Whitby,
RAPPORTS
Industrie,
Faculty
Université
Ltd.
de
Conoda Wedge,
Northern
Kerr,
autochtone
ronde sur l’environnement
Ideolity
Watkins,
Me/ Wilson,
Enterprises
Blaikie
(CCME)
Table
membre de la TRNEE
Margaret
Sigurdson Wedge,
Steve
et Technologie
du Manitoba
Cameron
Indiens
Ruth Schneider,
Cathy
Eva Rosinger,
Mark
Heenan
Leslie
membre de la TRNEE
David Morton,
David
Canada
Sharon
Jane Hawkrigg
Caro/ Reordon,
membre de la
membre de la TRNEE
Holtz,
John Kirton,
Canada
Pomeroy,
Jim Ramsay,
de la Colombie-Britannique
Canada
Fund
Jeff Parker,
et I’é
et l’économie
Canada
ond Industrial
sur l’environnement
Jane Hawkrigg,
Mark
Inc.
ronde
Susan
du Canada
Emond
Glenn
Toronto
Kohler,
Training
McMaster Canada
Énergie,
Hayles,
Ute Islam, Brian
Finances
Table
Royale
Marc Johnson,
Pierre
Bob Page, Banque
Delamere,
ences aquatiques Eiurch, Calgary
Stuart,
Cormick
D’Arcy
L’académie
Bregha,
SUR LE COMMERCE ET LA
MEMBRES
MEMBRES
Centre
DE TRAVAIL
DURABILITÉ
du ministre,
Canada
Beaulieu,
GROUPE
SUR LA PRISE DE
PAR CONSENSUS
SECRÉTARIAT
DE LE TRNEE:
Ann Dale
Steve
Jhompson,
Coda Doucet
Cathy
Driscoll
du Canada
PARTICIPANTS
TABLE RONDE SUR LES PÂTES ET PAPIERS
Lee Doney, conomie
David
Association
Barron,
canadienne
des produc-
teurs de pâtes et papiers Gary
Fédération
Blundell,
Harry
canadienne
Association
Bombay,
de 10 faune
nationale
Claire
Environnement
Rocco Delvecchio, industries André
ISTC,
forestières
des industries
Julie Gelfand,
Fédération
Hamilton,
des munici-
Agence
canadienne
de développe
Institut
internationol
du développe-
Victoria
Hanson/Ji//
Recycling
McWhinnie,
Council
of
Lewchuck,
Affaires
McLeod,
Conseil
Canada
extérieures
Roy Hickman
& Peter Joff, Santé et Bienêtre
canadien
Association
des ministres
de
Ann Hi//yer,
West
Coost
Environmental
international
Conseil
canadien
Keith Jackson,
Stora
Forest
Paul Muldoon,
Pollution
John Mullinder,
Conseil
papier
Atu/ Nanda,
de
of Municipal
Consumers’
Prem Nanda,
Keufh Newman,
du développe
pour la coopéra-
Association
Comm.,
Energy
of Canada
and Paperworkers
John Rowsome,
CDNA,
Toronto
Université
Schindler,
Simon,
Robert
Peter Wrist,
canadien
sur I’envi-
des ministres
circumpolaire
Environnement
Sonntag,
Institut
de l’en-
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