Avec le soutien de la fédération Wallonie - Bruxelles
Octobre, Novembre, Décembre 2013
Université du 3ème âge de LIEGE a.s.b.l. 416.488.603
Avenue Joseph Prévers, 27 - 4020 Liège Tel : 04/370.18.01 - e-mail : u3a@skynet.be Site : www.u3a.be - Compte ING-BE19.3400.1501.3012 Edit. responsable JC. Lefebvre - Av. J. Prévers, 27 - 4020 Liège 1
Le bénévolat, c'est l'art de la gratuité du cœur, du geste et du temps. Le bénévolat ne connaît d'autres lois que le besoin de l'autre, percevoir avec lui et trouver ensemble des solutions. L'engagement bénévole, ne serait-ce pas là une façon d'humaniser une société qui s'individualise de plus en plus ? Le bénévolat, c'est une fleur que l'on s'offre. C'est un cheminement personnel : c'est une fenêtre ouverte sur le monde. Le bénévolat a tellement de valeur qu'il n'a 2 pas de prix.
LE BÉNÉVOLE Le bénévole (activus bénévolus) est un mammifère bipède qu’on rencontre surtout dans les associations où il peut se réunir avec ses congénères. Les bénévoles «convocation».
se
rassemblent
à
un
signal
mystérieux
appelé
On les rencontre aussi en petits groupes dans divers endroits, quelquefois tard le soir, l’œil hagard, le cheveu en bataille et le teint blafard, discutant ferme sur la meilleure façon d’animer une manifestation ou de faire des recettes supplémentaires pour boucler un budget. Le téléphone est un appareil qui est beaucoup utilisé par le bénévole et qui lui prend beaucoup de son temps, mais cet instrument lui permet de régler les petits problèmes qui se posent au jour le jour. L’ennemi héréditaire du bénévole est le «yaqua» (nom populaire) dont les origines n’ont pu être à ce jour déterminées ; le «yaqua» est aussi un mammifère bipède, qui se caractérise surtout par un cerveau très petit qui ne lui permet de connaître que deux mots «ya » « qu’a ». Bien abrité dans la cité anonyme, il attend le moment où le bénévole fera une erreur, un oubli, pour bondir et lancer son venin qui atteindra son adversaire et provoquera chez lui une très grave maladie : le découragement. Les bénévoles décimés par le découragement risquent de disparaître et dans quelques années, on pourrait ne rencontrer cette espèce que dans les zoos où, comme tous ces malheureux animaux enfermés, ils n’arriveront plus à se reproduire. Les «yaqua» viendraient leur lancer des cacahuètes pour tromper l’ennui, ils se rappelleraient avec nostalgie du passé pas si lointain où les bénévoles abondaient et où on pouvait les traquer sans contrainte. Pourtant c’est tout simple : pour la survie du bénévolat, il suffit : - d’abord de savoir dire MERCI - de valoriser le travail accompli - et, sans relâche, de faire la chasse aux « yaqua » ……
Texte proposé par F. Lathouwers
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Travail dans l’ombre à l’U3A
Notre U3A, au niveau logistique, c’est un bâtiment énorme avec de nombreux locaux. Toute cette infrastructure demande énormément de maintenance et d’attention. Qu’il nous soit permis de mettre à l’honneur 2 membres bénévoles de l’U3A dont la tâche est remarquable. Travailleurs de l’ombre acharnés, ils ont à eux deux passé tout leur été sous des chaleurs souvent accablantes à veiller à notre confort à tous : déménager, monter, démonter, arracher, carreler, peindre… tout ça en vissant, dévissant, sciant, forant, soulevant, s’accroupissant, escaladant, tirant, poussant… Durant l’année scolaire, ils continuent d’ailleurs leurs interventions multiples et indispensables. Philippe Mathieu, amateur d’art moderne se déplace le plus souvent à vélo. Il suit le cours d’art moderne et est responsable de l’activité ping-pong. C’est aussi un bricoleur avéré dans tous les domaines. Guy Vincent passionné par le Standard et par les matchs auxquels participent sa fille et sa petite fille, il intervient essentiellement dans le domaine électrique, réseau, sécurité … mais met la main à tous les niveaux.
En notre nom à tous, merci Philippe, merci Guy !! Et surtout, n’hésitez pas, continuez Françoise Lathouwers
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Des nouvelles de la classe informatique et du chantier pharaonique de l’été Tous les 3 ans en moyenne durant l’été, c’est le branle bas de combat dans la classe informatique. Tant au niveau hardware que software, et afin d’évoluer au rythme des nouvelles technologies, le matériel ainsi que les logiciels sont remplacés. Cette évolution constante est possible grâce aux nombreux bénévoles toujours présents pour récolter des fonds, tout démonter, et enfin, tout reconstruire. Cette année a été plus ardue que d’autres car notre projet était très ambitieux : installer un réseau gigabit, tirer des lignes vers certaines classes, démarrer le wifi dans tout le bâtiment, mettre en place un serveur Nas, enlever tous les pc’s devenus obsolète, les remplacer par des puissants serveurs, mettre en place windows 8 et tous les logiciels récents tels office 2013, renforcer la sécurité des lieux, revoir l’installation électrique, aménager les lieux ….. De nombreuses personnes ont participé activement à ce chantier gigantesque durant tout l’été. Il s’agit entre autre de Jean, Stéphane, Josée, Jack, Françoise, Nelis, Guy, Alain, Philippe, Sébastien, Christel, Suzanne, Anne Marie, Micheline, Annette, Elisabeth, Georges, Nicole, Bernadette (2), Francine et bien d’autres trop nombreux pour les citer nommément. Nous sommes fin prêts à redémarrer cette saison avec juste quelques bémols faute de temps, de budget et de stabilité du nouveau système d’exploitation. L’achat de tous les logiciels est rendu possible grâce à l’intervention de socialware, une société qui intercède auprès des firmes de software pour offrir des prix démocratiques à des asbl d’intérêt reconnu. Nous avons également obtenu l’aide précieuse de Tomas Gosselin et de son manager Ben Piquart du Mic (Microsoft Innovation Center - Belgique) 5
Ces spécialistes n’ont pas hésité à décrocher de leurs tâches afin de nous venir en aide à de multiples reprises. Un énorme merci à tous pour le temps et le dynamisme consacrés, et rendez vous l’été prochain pour la finalisation F. Lathouwers
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Créer un compte Belgacom Fon pour surfer sur des hotspots wi-fi
Si vous surfez à la maison ou au bureau avec Belgacom, vous surfez aussi gratuitement via wi-fi sur des milliers de hotspots Belgacom Fon en Belgique et des millions de hotspots Fon dans le monde. Grâce au partenariat de Belgacom avec Fon, vous partagez votre réseau sans fil en sécurité avec d'autres membres de la communauté Fon et en échange vous pouvez utiliser leur réseau quand vous êtes en déplacement. Pour surfer sur ces hotspots wi-fi, vous devez d'abord vous créer un compte Belgacom Fon dans les e-Services. Pour ce faire, regardez la vidéo sur YouTube http://www.youtube.com/watch? feature=player_embedded&v=aNbSjfMXA0o ou suivez la procédure ci-dessous. Connectez-vous gérer votre Belgacom Fon. Une fois connecté, vous arrivez sur la page Mon Belgacom Fon. 1. En haut de l'écran, vous voyez le nom de votre connexion internet. Si vous
avez une seule connexion internet, passez à l'étape suivante. Si vous avez plusieurs connexions internet, sélectionnez-en une dans le menu déroulant en haut de la page. 2. À droite de l'écran, vous voyez si votre modem peut ou non devenir un hots-
pot wi-fi pour d'autres utilisateurs Fon. Sécurité du modem : votre réseau wi-fi doit être sécurisé avec une
clef de réseau. Wi-fi activé : le réseau wi-fi doit être activé sur votre modem.
Compatibilité de mon modem : vous devez avoir un modem à jour.
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4. Á gauche de l'écran, vous voyez le nombre de comptes Belgacom Fon à votre
disposition. Cochez la case indiquant que vous acceptez les conditions générales et cliquez sur le bouton Créer un compte.
Vous verrez apparaître 3 nouveaux champs au bas de la page. Remplissez-les avec les login et mot de passe choisis. Login : Est-ce un compte Fon lié à un abonnement GSM compris dans un Pack ? Alors votre numéro de téléphone (en commençant par le 0) sera votre login. 8
Par exemple, si votre numéro de GSM est 0*********, alors vous utiliserez 0*********@belgacomfon.be pour vous connecter à un réseau Fon. Est-ce un compte Fon lié à un abonnement internet ? Alors choisissez un login (au moins 8 caractères). Les accents et autres caractères spéciaux ne sont pas autorisés. Le login de votre connexion internet (p.ex. fb123456) ne peut pas être choisi comme login. Par exemple, si votre login est votrenom, alors vous utiliserez votrenom@belgacomfon.be pour vous connecter à un réseau Fon. Mot de passe : choisissez un mot de passe de 8 caractères composé de lettres et de chiffres (au moins 1 lettre et au moins 1 chiffre). Les accents et autres caractères spéciaux ne sont pas autorisés. Confirmez le mot de passe : vous devez taper 2 fois le mot de passe pour des raisons de sécurité. Cliquez sur le bouton Sauver. Votre compte est maintenant créé et peut être utilisé immédiatement sur un hotspot Fon. Pour des raisons de sécurité, nous vous conseillons de changer de temps en temps vos mot de passe et login : cliquez sur Modifier au bas de l'écran.
Si vous avez un Pack, vous recevez plusieurs comptes Belgacom Fon : 1 par connexion internet et 1 par GSM compris dans le Pack. Pour le compte lié à votre connexion internet, créez-vous un compte comme expliqué ci-dessus.
Pour le compte lié à votre GSM, votre compte a déjà été créé et c'est votre numéro de GSM (en commençant par le 0) qui sert de login. Changez le mot de passe qui vous a été attribué par défaut comme expliqué ci-dessus.
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Se connecter à un hotspot Fon en Belgique ou à l'étranger Après avoir créé un compte, pour surfer en Belgique ou à l'étranger sur un hotspot wi-fi il faut connecter votre GSM, tablette ou ordinateur portable au réseau Fon.
Télécharger l'application Belgacom Fon sur un appareil Android ou iPhone Téléchargez l'application Belgacom Fon et vous serez automatiquement connecté à un hostpot Fon disponible. Afin de télécharger l’application du Google Play Store ou de l’App Store, vous devez disposer d’un compte client.
1. 2 possibilités de téléchargement : - Depuis votre smartphone, via l’icône Google Play Store (Android) ou App Store (iPhone/ iPad) . Cherchez ensuite “Belgacom Fon”. - Depuis votre navigateur internet - pour smartphones Android, surfez vers l’app Belgacom Fon dans le Google Play Store et cliquez sur installer. Attention Vous devrez ré-encoder vos identifiants Belgacom Fon après la mise à jour. Si vous les avez oubliés, vous pouvez les consulter sur www.belgacom.be/fon en sélectionnant “Créer votre compte”. - pour appareils iPhone et iPad, surfez vers l’app Belgacom Fon dans l’App Store et cliquez sur installer 2. Une fois le téléchargement fini, vous voyez un écran résumant les autorisations de Fon (accès à internet, etc.). Cliquez sur OK. 3. Une fois l'installation finie, cliquez sur Home puis sur Apps pour ouvrir la galerie d'applications. Vous remarquerez qu'une application Fon s'est ajoutée à la liste : cliquez sur le logo Fon pour lancer l'application. 4. Introduisez votre login (p.ex. mon-login@belgacomfon.be) et mot de passe. Cliquez sur Sauvegarder si vous voulez ne plus devoir introduire ces données la prochaine fois, puis cliquez sur OK. Vous êtes maintenant connecté.
Utiliser des hotspots Fon avec un autre appareil Pour surfer sur un réseau Fon avec votre GSM, tablette ou ordinateur, vous devez chercher la liste des réseaux sans fil disponibles et sélectionner celui qui contient le nom Fon (p.ex. Fonbelgacom en Belgique, BT-Fon au Royaume-Uni, etc.). 1. Assurez-vous que le wi-fi soit activé sur votre appareil. La manière de procéder dépend de votre appareil, mais les GSM et tablettes ont généralement un menu Connexions où vous 10
pouvez activer ou non les connexions de données comme le 3G, wi-fi, etc. 2. Cherchez les réseaux wi-fi disponibles.
Sur un GSM ou une tablette, la manière de procéder de votre appareil. Sur un ordinateur, cela dépend du système d'exploitation utilisé : voyez comment trouver les réseaux sans fil disponibles avec Windows 7, avec Windows Vista, avec Windows XPou avec Mac OS.
Ouvrez votre navigateur internet et surfez sur n'importe quel site web : la page login des hotspots Fon apparaît. Introduisez votre login (p.ex. monlogin@belgacomfon.be) et mot de passe dans la moitié gauche de l'écran et cliquez sur le bouton Login. Notez que vous pouvez sauvegarder votre login et mot de passe si vous le souhaitez, mais ce n'est pas recommandé. Une page apparaîtra confirmant que vous êtes connecté.
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Marches Jacqueline et Henri Darras U3A
Calendrier 2013-2014 : Prévisions Nos randonnées nous conduiront dans les régions de : 17 septembre 2013
15 octobre 2013
19 novembre 2013
Burg-Reuland – Saint-Vith
Ouffet-WarzéeHamoir
La Roche
J.Jamoulle
M.Jo Spindler
04/263 43 38
04/382 12 84
17 décembre 2013
21 janvier 2014
18 février 2014
La Basse Meuse
Tilff-Mery
Banneux
M. Ghiro
C. Degbomont
O. Dardenne
04/362 17 81
04/368 82 19
04/371 48 14
18 mars 2014
22 avril 2014 (4ème mardi)
20 mai 2014
Les Coteaux de la Wamme
M. Ghiro
Esneux J. Jamoulle 04/263 43 38
M. Julin 04/278 68 43
Pays de Herve 04/362 17 81
M. Julin 04/278 68 43
17 juin 2014
15 juillet 2014
19 août 2014
La Reid
Hestreux (Eupen)
Maaseik-Thorn
M.Jo. Spindler
J. Jamoulle
O. Dardenne
04/382 12 84
04/263 43 38
04/371 48 14
16 septembre 2014 : C. Degbomont : Chevron-Stoumont-La Gleize Départ - de la gare des Guillemins (arrêt bus 9 et 94) à 8h30 - du parking du Marché à 9h.
Tickets (12 €) en vente au secrétariat. 12
Marches Jacqueline et Henri Darras
Notre voyage du 1 au 8 juin 2013
Au vent de la côte d’Opale Bravo à notre équipe d’avoir choisi de nous emmener à la côte d’Opale, toute proche et si dépaysante. Chemin faisant, nous irons à la découverte des paysages les plus variés : bords de mer et sable blond ou galets, rochers, dunes, blanches falaises avec des caps surplombant la mer : cap Blanc Nez, cap Gris Nez d’où l’on distingue les côtes anglaises. Il y aura aussi des chemins campagnards, de vastes panoramas où se dessinent sagement les damiers jaunes et verts des cultures que le vent ondule et qu’un ciel éclaire ou assombrit au gré des nuages qui passent. Nul n’oubliera les rives de la Canche qui sinue à sa fantaisie en nous offrant des paysages de rêve. Il y aura aussi le Bois d’Ecault et ses frais ombrages, la réserve naturelle du Platier d’Oye où font escales les oiseaux migrateurs. Le soleil fut généreux mais aussi nous nous sommes sentis sous le pouvoir impitoyable du vent. Et pourtant, providentiellement, au moment du pique-nique, une petite crique protégée, un bloc de rochers ou un massif d’argousiers nous auront fourni l’abri souhaité. Quant aux villes, elles s’honorent d’un étonnant patrimoine. C’est Aire-Sur-La-Lys avec son beffroi, ses maisons remarquables, qui semble rêver encore à son glorieux passé. C’est Gravelines, fière de ses bastions Vauban et de ses jardins voués à la sculpture. C’est Wimereux et ses souvenirs de la Belle Epoque. Nez en l’air, nous prendrons plaisir à contempler ses jolies maisons ornées de balcons aux tons frais qui hébergèrent 13
jadis une bourgeoisie aisée en villégiature. Il y a aussi Wissant et ses boutiques colorées et surtout Montreuil ceinte de ses remparts Vauban d’où se découvre en contrebas une ville si jolie que Victor Hugo, cédant à son charme, s’y arrêta pour écrire un épisode des « Misérables ». A Hardelot, on gagne la plage immortalisée par Blériot après avoir traversé le quartier chic des maisons bourgeoises nichées dans des jardins soignés. Il y a bien sûr Calais dont nous ne manquerons pas le fameux bronze de Rodin « Les Bourgeois de Calais », l’étonnant hôtel de ville en pierres et briques rouges dans un style flamand du XIVème siècle et la statue contemporaine en l’honneur du sousmarin Pluviose. A Boulogne, nous aurons tout le loisir de découvrir le château musée, la basilique avec coupole et les remparts. Mais cette région où nous avons marché avec insouciance a connu des heures sombres. Les cicatrices de la dernière guerre sont toujours présentes sur les plages. Un tobruk isolé, quelques ruines de blockhaus, un bunker battu par le vent et les intempéries, rappellent que nous sommes sur le Mur de l’Atlantique. On sait que, face à l’Angleterre, les deux caps célèbres furent des endroits stratégiques d’importance. Aussi, c’est avec beaucoup d’émotion que nous avons visité le blockhaus d’Eperlecques construit par les nazis en 1943 comme base de lancement des missiles V2 destinés – on en frémit encore - à raser Londres. On n’ose imaginer la vie des 35 mille travailleurs forcés appelés à fabriquer ce monstrueux ouvrage de mort et qui d’ailleurs y périrent lors de sa destruction partielle par les anglais. Une autre visite s’imposait dans la région côtière : celle du musée de la pêche industrielle. Au musée « Maréis » à Etaples, le guide, un ancien marin pêcheur qui parle d’expérience nous dira tout sur le travail exténuant à bord d’un chalutier, le type de poissons pêchés, les filets, la cabine de pilotage, la formation du jeune mousse qui doit savoir tout faire sur un bateau. Un monde inconnu s’ouvre à nous de manière fascinante et concrète. Nous sommes plus d’un à avoir pu toucher la tête rugueuse d’une raie et nous être attendris sur la frimousse d’un bébé raie. Après cet univers d’homme, place à celui de la délicatesse avec le musée de la dentelle à Calais. Nous y voyons fonctionner un métier ancien toujours opérationnel et suivons chaque étape de la fabrication de la dentelle de la fin du XIXème siècle à nos jours, où, modernité exige, fils synthétiques et ordinateurs 14
ont fait leur apparition. Et pour ravir le public férentes réalisations et les modes.
féminin, nous verrons les difportées à travers les époques
Au retour, une dernière halte à Saint-Omer terminera un voyage qui nous aura comblés sur tous les plans : marches, nature, visites et lieu d’hébergement. A ce titre, le VVF « Les Argousiers » à BlériotPlage nous a donné pleine satisfaction : piqueniques copieux, pavillons confortables chauffés, animations appréciées. Les dernières émanèrent de nos rangs : la chanson de Jean dont nous entonnons le refrain, le conte du bédouin de Jo, le numéro de Marie-Thérèse en Anne Roumanov sans oublier le mot de François au nom de tous. Tous ces artistes d’un soir nous réservèrent des moments bien joyeux. Un grand merci à nos merveilleux guides Marcel et Nicole, Jean-Claude et Anne, Christiane, Jacqueline pour les informations reçues, la parfaite guidance sur le terrain et les qualités humaines. Merci à Jo pour le travail administratif et un tout spécial merci à notre chère Odette. Tact, savoir-faire et savoir dire : elle a tout. Denise
Blériot - reconstitution
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Les promenades architecturales De l’u3a Les Promenades architecturales sont des itinéraires accompagnés, organisés tout au long de l’année, afin de faire découvrir en vrai les ressorts de la création architecturale. Chaque bâtiment est ainsi soumis à une série de clés d’analyse, permettant d’en mieux saisir les valeurs d’espace, de composition, d’originalité. Destinées en priorité aux élèves du cours d’histoire de l’architecture, ces promenades sont aussi accessibles à toute personne intéressée par l’architecture. Chaque visite est précédée d’une conférence au cours de laquelle les différents éléments de la visite seront explicités.
Programme 2013-2014 Du 23 au 26 octobre 2013 Paris Années 20 : Le Corbusier et ses contemporains Le 29 novembre 2013
Maastricht : Architecture contemporaine
Du 11 au 15 mars 2014
Londres victorien et Arts and Crafts
Les 25 et 26 avril 2014
Darmstadt : La Mathildenhöhe Francfort : Le musée des arts décoratifs
En préparation Le 23 mai 2014
Hagen Jugendstil : Van de Velde, Behrens, …
Le 13 juin 2014
Essen, architecture industrielle : Le Zollverein, la Villa Hügel, la cité-jardin de la Margarethenhöhe
Pour tout renseignement : jean-pierre.rouge@base.be ; 04 388 35 51 ; 0477 65 96 86
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Paris annÉes 20 : Le corbusier et ses contemporains Du mercredi 23 au samedi 26 octobre 2013 C’est en France, où il choisit de vivre dès 1917, que Le Corbusier va réaliser plus de la moitié de son œuvre bâti, principalement à Paris ou dans sa proche banlieue. Sur la petite vingtaine d’immeubles qu’il a construits dans la région, et qui sont toujours en bon état, nous en visiterons un peu moins de la moitié, ceux qui sont aisément visibles ou dont l’intérieur est accessible. Cet ensemble permettra d’établir une sorte d’inventaire des formes architecturales et des expériences spatiales que l’architecte n’a cessé, au fil des ans, de renouveler. Nous pourrons ensuite le confronter avec ses contemporains : Perret, Lurçat, Mallet-Stevens, Roux -Spitz, Elkouken, … avant de visiter l’exposition que la Cité de l’architecture consacre à l’Art Déco, tant décrié par Corbu ! Mercredi 23 Départ de Liège-Droixhe à 6h30. Arrivée à Paris v.11h30. Repas. 14h00 Cité universitaire Visite (int. et ext.) des Pavillons de la Suisse et du Brésil, dus à Le Corbusier. Promenade aux environs du Parc Montsouris, avec des immeubles de Roux-Spitz, Lurçat, Perret, Fischer, … et la maison Ozenfant, 1ère construction de Le Corbusier à Paris. (1921). Nous achevons la balade à la Cité Seurat, cité d’artistes peuplée d’immeubles modernistes et Art Déco. Installation à l’hôtel. Jeudi 24 Quartier d’Auteuil Visite de la rue Mallet-Stevens (1926-34) et d’immeubles par Pierre Patout, Pol Abraham, … 12h00 et 12h45 Visite (int.et ext.) de la Villa La Roche (Le Corbusier 1923-25). Repas. Au square Vergennes, visite (int.et ext.) de l’hôtel Barillet par Rob Mallet-Stevens. Quartier de Montparnasse : immeuble « à degrés » de Sauvage et ateliers d’artistes par Roux-Spitz, Elkouken, Astruc, … Vue rapide sur la Cité–refuge de l’Armée du Salut (Le Corbusier) actuellement en rénovation. Vendredi 25 Déplacement à Poissy pour la visite (int. et ext.) de la Villa Savoye (Le Corbusier 1928-31). Retour à Paris et repas. 14h30 Visite guidée du Palais d’Iena, ex musée des Travaux Publics, œuvre d’Auguste Perret (1936-46) 16h Visite libre de l’exposition Art Déco Le style made in France au Palais de Chaillot
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Samedi 26 10h00 et 10h45 Visite de l’appartement de Le Corbusier dans l’immeuble construit par lui rue Nungesser et Coli. Repas. Transfert à Boulogne-Billancourt et visite de quatre immeubles de Le Corbusier ainsi que de constructions modernistes et Art Déco par, e.a, Raymond Fischer, Georges-Henri Pingusson, Pierre Patout, Emilio Terry, … 16h00 Départ pour Liège Vers 21h00 Arrivée à Liège-Droixhe Logement : Hôtel Ibis Montmartre, 5, rue Caulaincourt, 18e Tél. 33 1 55 30 18 18 Prix : 434 € (supplément single par nuit 65 €) à verser sur le compte BE39 9796 3793 1619. Ce prix inclut les déplacements en car, le logement avec petit déjeuner, les entrées dans les bâtiments visités, le pourboire du chauffeur, la conférence préparatoire. Assurance annulation 20 €
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Maastricht Architecture contemporaine Le vendredi 29 novembre 2013 Ville ancienne, au patrimoine architectural prestigieux, Maastricht présente également un visage tout à fait contemporain, grâce à une série de réalisations de très grande qualité, dues à des architectes comme Aldo Rossi, Mario Botta, Wiel Arets, Charles Vandenhove, … Le déplacement depuis Liège se fera en car au départ de Liège Droixhe. Sur place, la visite de Maastricht se fera entièrement à pied Prix : 25 €, comprenant le trajet en car, le pourboire du chauffeur, la conférence préparatoire.
Londres victorien et
Arts and crafts Du mardi 11 au samedi 15 mars 2014 En fixant plus particulièrement notre attention sur le XIXe siècle « victorien », nous tenterons de tirer les principaux traits d’une ville à la fois complexe, contradictoire et ambiguë. Quelques circuits accompagnés permettront de situer les principaux repères urbains, tandis que nous entrerons un peu dans l’intimité du siècle en visitant l’intérieur de quelques demeures privées, dont la Red House, véritable icône de la pré-modernité, édifiée en 1859 par Philip Webb pour le réformateur William Morris. Mardi 11 : Départ de Liège-Droixhe à 6h00. Traversée en ferry depuis Calais. Arrivée à Londres vers 14h00. Du 12 au 15, répartition par demi-journées : Quartier de Saint-James, du Mall jusqu’à Piccadilly, transfert via Regent Street jusqu’à Regent Park. Quartier des Inns La City : Saint-Paul, le Gherkin, l’immeuble de la Lloyds, … Le West Bank et les anciens Docks reconvertis Chelsea, depuis Sloane Square jusqu’à Chelsea Hospital Le Sloane’s Museum ; Red House (Bexleyheath) Linley Sambourne House Logement : Hôtel Thistle City Barbican Prix : 475 € (supplément single 230 €) à verser sur le compte BE39 9796 3793 1619. Ce prix inclut les déplacements en car, le logement avec petit déjeuner anglais, les entrées dans les bâtiments visités, le pourboire du chauffeur, la conférence préparatoire. Assurance annulation 20 € 19
Darmstadt Mathildenhöhe Francfort le musée des arts décoratifs Les 25 et 26 avril 2014 La Mathildenhöhe, petite colline un peu à l’écart de Darmstadt, a vu se dérouler une des plus fascinantes tentatives de fusion entre l’art et la vie. A partir de 1899 en effet, une colonie d’artistes s’y est installée, se donnant pour objectif d’inventer de nouvelles formes artistiques pour tous les objets qui font l’environnement humain, de la maison à la cuiller à café. L’aménagement de la colline fut conçu sous la conduite d’un architecte viennois, Josef Maria Olbrich : les ateliers de création, les villas pour artistes, les bâtiments pour expositions, … et jusqu’au moindre objet quotidien. Le Musée des Arts décoratifs de Francfort, un des plus riches d’Europe, est installé dans un superbe bâtiment dû à l’architecte américain Richard Meier (1985). Longtemps inaccessible, le musée a été réouvert en 2013 dans une toute nouvelle présentation, non plus chronologique mais thématique. La collection va de l’Orient à l’Occident et du Moyen Âge à nos jours. Vendredi 25 : Matin trajet Liège/Droixhe-Darmstadt. Après midi visite de la Mathildenhöhe, du musée de la colonie, des villas. Installation à l’hôtel. Samedi 26 : Transfert à Francfort. Visite du Musée des Arts décoratifs. Petit parcours pédestre dans la ville : Römer, musée d’art moderne, les gratte-ciels. Retour à Liège/Droixhe vers 21h00 Logement : Hôtel Best Western Plus ; Grafenstraße 31 Darmstadt Prix : 150 € (Supplément single 30€, assurance annulation 8€) comprenant trajets en car, entrées dans les bâtiments visités, chambre avec petit déjeuner, pourboire du chauffeur, conférence préparatoire
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UN JOUR Á LENS 13 décembre 2013
LOUVRE et Faculté des Sciences Le matin : Visite guidée de l’exposition : « Les Etrusques et la méditerranée » L’exposition présente la civilisation étrusque à travers l’histoire d’une de ses plus grandes métropoles : Cerveteri dont on peut retracer l’évolution des origines à la conquête romaine et proposer tous les aspects : la cité des vivants et des morts, l’organisation politique, les relations avec l’Orient, la Grèce et Rome. A midi : Le musée propose 2 choix :
La cafétéria self-service avec mini restauration (entre 8 & 10€) Un bel espace pour les pique-niqueurs, plus gourmands de nourritures artistiques que de nourriture terrestre !
L’après-midi : Visite de la galerie du Temps (avec un audio guide) Celle-ci expose des chefs-d’œuvre du Louvre, depuis la naissance de l’écriture vers 3500 avant J-C jusqu’au milieu du 19è siècle. La présentation sur 120 mètres de long permet de faire voisiner des œuvres produites par des civilisations et des cultures différentes mais conçues à un même moment historique et de les laisser dialoguer.
Rem : 1/5 des œuvres de la galerie du Temps viendra d’être renouvelé depuis ce 5 décembre. Visite guidée de la Faculté des Sciences dont le bâtiment administratif occupe l’ancien siège administratif de la grande compagnie des mines de Lens. Que de surprises ! Un jardin à la française nous conduit à une façade néo-renaissance flamande qui cache un intérieur art déco. La décoration des espaces de réception est prestigieuse, elle est l’œuvre d’artistes de renom : Majorelle, Daum,… 21
Renseignements pratiques : Inscription : Au secrétariat de l’U3A avec la précision du lieu d’embarquement. En effet, pour « désencombrer » le parking de l’U3A, 3 possibilités : 7h00 : Parking de chez Léonard à Barchon 7h20 : Parking U3A 7h45 : Parking de Villers le Bouillet Prix : 47,00€ lors de l’inscription + 5,00€ dans le car Le prix comprend le voyage en car, y compris le pourboire du chauffeur, l’entrée et la visite guidée de l’exposition, la visite guidée de la Faculté des Sciences. Organisateurs : Nicole CARPIAUX, professeur d’histoire des Arts décoratifs : 04/2670320 ou 0497/508035 Jean-Pierre ROUGE : professeur d’histoire de l’Architecture : 04/3883551 ou 0477/659686
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Pourquoi j'ai fait de la généalogie et établi un livre de généalogie.
J'avais 2 ans quand mon grand-père paternel est décédé. Ma grand-mère paternelle est décédée 9 ans avant ma naissance. Mon grand-père maternel est décédé quand j'avais 10 ans, je ne l'ai jamais connu. Ma grand-mère maternelle est décédée le 2 novembre 1918, lorsque ma mère avait 14 ans. Je n'aurais donc pas pu la connaître Veuf mon grand-père maternel s'est remarié, d’où une mésentente familiale. Ce qui arrivait fréquemment anciennement.
Sans avoir connu mes grands-parents, je me trouvais un peu orphelin. Ils n'ont pas su me raconter leur histoire ni celle de leurs ancêtres. On comprend pourquoi les enfants nés sous x ou adoptés recherchent leurs parents biologiques. Moi j'ai voulu savoir. J'ai donc fait de la généalogie. Aussi l'Histoire est-elle liée à la généalogie et vice versa. Ma grand-mère décédée en novembre 1918, la veille de l'armistice, à l'âge de 38 ans …. c'est curieux, cela m'intriguait. En cherchant, j'ai trouvé. C'était la grippe espagnole, qui a fait un ravage immense. Plus de morts que la grande guerre.
Mon grand-père quel était son métier? Où habitaient mes ancêtres ? L'aïeul Zacharie à quelle époque vivait-il ? Quelles sont les calamités qu'il a traversées ?
Tant de questions que je me posais. C'est ainsi que j'ai démarré mes recherches. Après avoir recherché les actes concernés, j'ai construit un tableau généalogique et établi une ligne du temps. Ensuite j'ai écrit un livre de généalogie. Jules Peremans
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Danses traditionnelles Nous voici au cœur de notre 11ème année de danses traditionnelles. Les ateliers du mercredi ont bien repris et tournent correctement. Vous pouvez, à tout moment, encore nous rejoindre . L'atelier du jeudi matin, destiné aux débutants, est momentanément arrêté, faute d'un nombre suffisant de participants, mais il peut reprendre dès qu'il y aura suffisamment de personnes intéressées. Si vous êtes partie prenante, n'hésitez pas à me contacter pour m'en informer. Bonnes fêtes de fin d'année à tous.
Roger Hourant 8/2 rue Sylvain Gouverneur 4550 Nandrin roger.hourant22@gmail.com 0473/72 96 88
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Métier : laveur des pieds Texte de Radio Okapi transmis par notre correspondante à Lubum (Sous les Palmes) Un nouveau métier a vu le jour à Kinshasa depuis quelques années. Les jours des pluies, des jeunes s'adonnent au lavage des pieds. Ce gagne-pain saisonnier est surtout exercé autour des marchés. Au grand marché de Kinshasa, la paire de pieds sales ne coûte que 100 francs congolais (0,1 $ américain). La pluie est devenue une aubaine pour de nombreux jeunes laveurs et laveuses des pieds à Kinshasa. Ils s'installent non loin des arrêts des bus dans les différents points de sortie du marché central de Kinshasa ou devant le jardin botanique. De nombreuses rues non asphaltées du grand marché deviennent boueuses après la moindre pluie. Dans ces conditions, les personnes qui le fréquentent en sortent dans le meilleur des cas avec des chaussures abîmées. Ceux qui portent sandales et babouches en revanche ont des pieds tellement sales qu'ils n'ont d'autres choix que de recourir aux laveurs des pieds. « Venez-vous faire laver le pieds ici à 100 FC (0,1 $ américain). Il y a un frottoir, du savon, la serviette et le lait de beauté gratuits. Faites-vous laver les pieds à 100 FC », crient en lingala les laveurs pour attirer leur clientèle. Ngando Likokolo, 30 ans, exerce plusieurs petits boulots selon les saisons. Mais lorsqu'il pleut, il place le lavage des pieds en tête de ses priorités et il affirme : « Quand les clients viennent, je leur lave les pieds comme il se doit à 100 FC et à la fin de la journée je peux me retrouver avec 20.000 FC (21 $ américains) ou 30.000 FC (32 $ américains) ». Le lavage des pieds n'est pas seulement une affaire d'homme. Des femmes exercent aussi cette activité. Députée est une laveuse qui arpente le mur de clôture du jardin botanique de Kinshasa. Les jours des pluies, ses recettes journalières varient entre 16 et 22 $ américains elle déclare : « Jusqu'au soir je peux réunir 15.000 ou 20.000 FC. Je ne lave pas seulement les pieds. Si par exemple vos chaussures se sont salies, je peux les nettoyer mais à 500 FC [0,55 $]. J'apprécie ce service parce que quand il pleut, on arrive ici le matin tout propre. Mais on ne peut pas rentrer avec des pieds ou des chaussures sales. Et puis, avec des pieds sales on peut soit salir le taxi qu'on prend soit salir d'autres passagers dans un taxi-bus », explique Bahiche, changeur de monnaie au grand marché de Kinshasa qui recourt systématiquement au service des laveurs des pieds. 25
Les laveurs des pieds s'attirent la sympathie des personnes qui se rendent au marché central de Kinshasa. Beaucoup répondent spontanément à leur offre de service. Ils préfèrent ces jeunes ainsi occupés au lieu de les voir commettre des petits larcins dont ils sont les principales victimes. « Ce n'est pas un sot métier. Si on pense qu'on peut gagner quelque chose pour la survie, au lieu de voler, on peut faire ce service, en tout cas pour moi, il n'y a aucun mal ». tranche un commerçant. Les laveurs des pieds eux ne formulent qu'un vœu : celui de voir la pluie tomber tous les jours. (Texte proposé par :F. Georges)
Kinshasa au bord du Zaïre
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Sommaire Le bénévole
p. 02
Créer un compte Belgacom Fon
p. 07
Marches Darras
p. 12
Les promenades architecturales
p. 16
Excursion à LENS
p. 21
Pourquoi j’ai fait de la généalogie
p. 23
Danses traditionnelles
p.24
Laveurs de pieds
p. 25
Les articles sont publiés sous la seule responsabilité de leurs auteurs
Mise en page, traitement numérique et réception du courrier F. Georges Secrétariat de l’U3A Av. Joseph Prévers, 27 - 4020 Liège u3a@skynet.be 27
A VENDRE HUILE D’OLIVE EXTRA VIERGE PREMIERE PRESSION A FROID PRODUCTION PERSONNELLE NOUVELLE RECOLTE OCTOBRE/NOVEMBRE 2013. L’huile d’olive est produite exclusivement avec des olives de notre oliveraie de type Moraiolo qui est située au cœur de la zone DOP Ombrie dans les collines Assise/Spoleto en Italie Centrale. Tout le travail est fait ou suivi par nous, sans pesticides, sans colorants et sans produits chimiques. Nous nous occupons personnellement de la cueillette et de tout le processus d’extraction de l’huile jusqu’à la mise en bidons. Les olives sont cueillies à la main. Elles sont pressées très rapidement à l’aide de techniques qui permettent un travail rigoureusement à froid. L’huile extra vierge ainsi obtenue uniquement à partir du fruit de l’olivier est de qualité supérieure avec une acidité limitée à 0,8 %. Elle peut être utilisée crue ou cuite. Elle résiste à une chaleur de 210 degrés. Cette huile est riche en arômes typiques. Etant donné qu’il s’agit d’une production personnelle, le stock est limité.
Bouteille de 0,75 cl :
14 €
Bidon de 3 litres :
35 €
Bidon de 5 litres :
50 €
SI VOUS ETES INTERESSES, CONTACTEZ-NOUS: Capocci Nazzareno, GSM 0495591918 ou ncapocci@lepiatte.com PS : les bouteilles d’huile d’olive Monte Serano de 0,75 l sont vendues via la société V&T. Les olives proviennent de la même région et est produite exclusivement d’olives de type Moraiolo, Frantoio et Leccino. L’huile Monte Serano est cette année encore, sélectionnée parmi les meilleures huiles au monde par le guide de référence FLOS OLEI. 28