Journal U3A Contact - Mai - Juin 2015

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Mai - Juin 2015 Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles

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Informations importantes Les inscriptions pour l’année 2015-2016 commenceront le 4 mai.

Dans un premier temps, du 4 mai au 31 mai, il vous faudra remplir un formulaire disponible sur le comptoir et le pousser dans la boite prévue à cet effet, et effectuer un virement de 45€ sur le compte BE19 3400 1501 3012 en indiquant votre nom (de jeune fille pour les dames), votre prénom et les cours auxquels vous souhaitez vous inscrire. Votre carte sera disponible au bureau dans les 3 à 4 jours ouvrables qui suivent.

A partir du 1er juin, vous pourrez aussi payer par bancontact au secrétariat en n’oubliant pas de remplir votre formulaire avant de vous présenter auprès de Christel.

Du 17 au 31 août, il y aura une permanence au secrétariat de 10h00 à 12h00 les jours ouvrables.

Les files sont parfois longues mais pensez bien que Christel fera tout son possible pour vous satisfaire mais qu’elle n’est pas un robot et ne peut pas aller plus vite que le rythme de ses mains.

Et par respect de la vie privée des autres, il est demandé à ce qu’il n’y ait qu’une personne à la fois auprès de Christel.

IMPORTANT : Pour les cours de Promotion Sociale (cours de langue et cours de dessin de Joëlle Broen), il faut impérativement, en plus de votre inscription à l’U3A, vous inscrire auprès de votre professeur. Il sera présent à la journées portes ouvertes et aussi à d’autres moments, voir au secrétariat ou aux valves.

-oOoUne autre petite remarque valable tous les jours.

Le parking gratuit n’est pas extensible, nous vous demandons de respecter le code de la route, de vous mettre dans les emplacements prévus, de ne pas en créer de nouveaux en vous parquant un peu n’importe où avec comme mauvaise excuse : Je ne gêne personne.

Nous sommes sur le site du Marché Couvert et de lourds et longs véhicules y circulent pour le travail.

Vous trouverez un grand parking payant peu après l’entrée. Des jetons sont en vente au secrétariat ou vous avez la possibilité de payer via le monnayeur, 1€50.

Il reste aussi la possibilité de se parquer gratuitement sur l’avenue Joseph Prévers.

-oOoVous pourrez toujours trouver des boissons à prix démocratiques dans notre cafeteria. Il est demandé de ne pas y amener vos propres boissons, mais rien ne vous empêche d’y amener des sandwiches ou autres repas à déguster sur place.

-oOoLes valves sont là pour vous informer, n’hésitez pas à les consulter.

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Editorial Bonjour à toutes et à tous, Je suis ravie de vous rencontrer par l’intermédiaire de notre petit journal.

La semaine passée, je lisais l’éditorial d’un magazine féminin où la rédactrice expliquait qu’elle allait abandonner ses lecteurs pendant un certain temps mais que c’était pour la bonne cause puisqu’elle prenait un congé de maternité. Elle racontait qu’elle allait profiter de ce congé pour s’occuper de son bébé mais aussi pour renouer avec la famille et les amis, que la vie professionnelle l’occupait tellement qu’elle finissait par en oublier l’essentiel.

Pour la plupart d’entre nous, la vie professionnelle est finie et nous avons renoué avec d’autres activités. Nous y rencontrons d’autres personnes, nous nous faisons d’autres amis. Essayons de ne pas en oublier nos anciens amis, ni nos familles.

L’essentiel de la vie, n’est ce pas l’amitié et l’amour ?

Majo

Attention Les horaires sont en cours de réalisation, certains animateurs ont déjà annoncé leurs horaires et salles de cours. Ces renseignements sont à prendre avec prudence et pourraient être sujets à changement. Nous faisons notre maximum pour bouleverser le moins possible la grille horaire qui paraîtra dans le prochain U3A Contact .

Université du 3ème âge de LIEGE ASBL 416.488.603

Avenue Joseph Prévers, 27 - 4020 Liège Tel : 04/370.18.01 - e-mail : u3aliege@skynet.be Site : www.u3a.be - Compte ING-BE19.3400.1501.3012 Edit. responsable D. Vandijck - Av. J. Prévers, 27 - 4020 Liège

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Sommaire 1 Couverture

24 Histoire de la Musique

2 Informations

25 Théâtre

3 Editorial

26 Et pourquoi pas le Yoga

4 Sommaire

27 Cwand dj'esteû Gamin

5 Mot du Secrétariat

28 Peinture a tempera

6 Astronomie

29 Cours de Dessin (exposition)

7 Histoire de Melle de Fontanges

30 Vous avez dit Culture

8 Danses Traditionnelles (spectacle)

34 La Tour des Finances

9 Formatage

38 Danses Traditionnelles

10 BBQ

39 Marche

11 Copie d'Œuvre de Maître

40 Histoire des Femmes

12 Net Volley

41 La Femme voilée

14 L'Art italien, la Douceur d'un Rêve

42 Littérature

15 Histoire

43 Un coup d’œil sur la saison à venir : Histoire des Arts décoratifs, Art floral, Art italien, Fiscalité, Histoire de l'Architecture, Vidéo, Wallon, Conversation allemande, Principauté de Liège, Fiscalité, Arts graphiques, Généalogie, Art moderne, Histoire des Religions, Anthropologie, Pingpong, Histoire de Théâtre, Philosophie & Psychologie.

48 Retrouvailles, Portes ouvertes

16 Histoire originale de la Pensée 18 Rome et le Latium - Bella Vita 20 Sciences et Nature 21 Agenda Philo et Psycho 22 Li Mohone dè Boneûr 23 Géographie

Les articles sont publiés sous la seule responsabilité de leurs auteurs Mise en page, traitement numérique et réception du courrier Marie-José Hulsmans Relecture : Richard Gillon Photo de couverture : Jeanne Medda Secrétariat de l’U3A Av. Joseph Prévers, 24 - 4020 Liège u3aliege@skynet.be

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Petit mot du bureau…

Cela fait plusieurs fois que cela arrive et ce n’est pas bien…

En effet, nous faisons des affiches afin de vous informer au mieux des évènements et certains d’entres vous prennent leur plume pour y noter des réflexions parfois déplacées, des corrections (comme pour l’intitulé des congés scolaires) et ceci :

Vous nous direz que ce n’est pas bien grave, mais nous, nous trouvons que vous manquez de respect par rapport au travail fourni.

Si quelque chose vous dérange ou si vous avez une observation à faire, venez nous trouver au bureau, nous nous ferons un plaisir de corriger si cela est nécessaire.

En plus, on nous rapporte régulièrement que des affiches mises à notre disposition par des membres disparaissent. Si vous avez besoin des informations de l’affiche, n’hésitez pas à venir nous demander une photocopie, mais s’il vous plaît, n’emportez pas l’affiche, pensez un peu aux autres… Et si l’affiche ne vous plaît pas et bien, passez votre chemin et regardez en une autre. Inutile de les enlever….

Nous sommes 3600 ici, imaginez si tout le monde faisait cela….

Merci de votre compréhension.

Les secrétaires

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Cours d’Astronomie 2015-2016 L’astronomie est une des sciences qui ont le plus progressé ces dernières années !

Il est vrai que les découvertes se sont accumulées…

C’est un cours scientifique mais rendu abordable par tous, en évitant les équations et les mathématiques.

En projection powerpoint vous aurez les plus belles images de la NASA et de l’ESA. Des films récents vous y attendent !

Cette année nous poursuivons l’analyse de notre système solaire depuis Mercure jusqu’à Neptune…

L’actualité et les découvertes seront toujours commentées.

Le cours se donne le mercredi matin.

Jean-Claude LEFEBVRE

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L’étrange mort de Mlle de FONTANGES : empoisonnement ou mort par éclampsie ?

Ayant séduit fort rapidement par sa beauté Louis XIV, Marie-Angélique de Scoraille devint très vite la Maîtresse officielle du Roi, ce qui ne pouvait que lui attirer les inimitiés haineuses de Madame de Montespan.

Elle mourut le 28 juin 1681 et fut enterrée à l’Abbaye de Port Royal (1). De nombreuses rumeurs coururent sur son décès : le bruit courut que la Marquise de Montespan avait fait empoisonné Angélique en faisant verser du poison dans son breuvage .La Palatine précise même : « La Montespan était un diable incarné, mais la Fontanges était bonne et simple, toutes deux étaient fort belles. La dernière est morte parce que la première l’a empoisonnée dans du lait . » Si le Roi interdit l’autopsie, celle-ci eut lieu en secret à la demande de la famille : on trouva « une pourriture totale des lobes du poumon droit et de l’eau enveloppant le cœur qui a pour conséquence l’augmentation du volume du foie , ce que l’on appelle foie gras . » (1)

Ces constatations cadrent peu avec la thèse d’un cancer de la membrane fœtale (2) « thèse développée au XXième siècle , voire avec une crise d’éclampsie.

Un empoisonnement par un poison minéral n’est peut-être pas à exclure totalement. « Adhuc sub iudice lis est . . » Dr André NOSSENT , médecin toxicologue diplômé BIBLIGRAPHIE .

1. http// : fr. wikipedia .org/ wiki Marie_Angélique _ de Scorailles 2. http///a little-bit-dramatic . skyrock. Com. Tags

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Rencontres 2014 – 2015 Rappel : Comme chaque année, le groupe de

danses traditionnelles vous invite à participer à la séance récréative du

vendredi 29 Mai 2015 de 14h00 à 17h00 Le programme de cet après-midi festif se déroulera comme suit : A 14h15 : Danses de Wallonie : les petites danses d’Erezée à savoir : La Maclote : L’allemande, et pour finir : L’amoureuse.

De 14h45 à 15h30 : entracte De 16h00 à 16h30 : Danses de différents folklores De 16h30 à 17h00 : Danses d’animation.

ENTRE LES DANSES : GOÛTER AVEC DÉGUSTATION DE TARTES. PORTION DE TARTE : 2€ (TICKETS EN PREVENTE) BOISSONS : TICKETS BOISSONS DE L’U3A À LA CAFETERIA

ENTRÉE (P.A.F.) : 4 €

VENEZ VOUS AMUSER AVEC NOUS !

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Comme vous le savez, sans votre aide, nous ne pourrions organiser cette activité.

C’est pourquoi nous demandons de l’aide, N’importe quel jour du lundi au vendredi ◊ Pour le stand (de 9h30 à 13h30 ou de 12h00 à 16h00) ◊ Pour la cuisine (de 9h30 à 13h30) ◊ Pour la vaisselle (de 12h00 à 16h00) Inscription au secrétariat auprès de Christel.

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Copie d’œuvre de maître Dès septembre 2015, le vendredi matin, de 9h à 12h.

L’art de la copie permet, au-delà du temps, de plonger au plus profond d’une œuvre.

Il s’agit de s’imprégner de la composition, de comprendre la touche, de retrouver la palette, et, dans un immense respect, de tenter de s’approcher de l’œuvre du maître.

Je vous propose de remonter le temps et de vous immerger en plein cœur de l’histoire de l’art.

Ce cours est accessible à tous, débutants et artistes confirmés.

Les modalités pratiques seront expliquées lors du premier cours.

Au plaisir de vous transmettre ma passion.

Professeur :

Aurélie Vetro, restauratrice d’œuvres d’art et artiste peintre.

Diplômée de l’Institut supérieur des Beaux-Arts Saint Luc Liège, du Palazzo Spinelli de Florence et de la Région Toscane.

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NET-VOLLEY Le jeudi 21 mai à partir de 12h, le club de Net-volley de l’Université du troisième âge organise, sous l’égide de l’asbl « Net-volley Seniors », les finales de la coupe provinciale de net-nolley.

Durant une après-midi, 8 équipes mixtes et dames s’aligneront pour atteindre la finale vers 16h. La journée se poursuivra par une remise de trophées et de prix puis se terminera par un souper convivial ouvert à tous.

Il s’agit ni plus ni moins d’une vitrine exceptionnelle promotionnant la pratique d’un sport adapté au public des seniors. Pour notre club, cet événement revêt un caractère particulier puisqu’il coïncide avec les 40 ans de sa fondation. En effet, il fut l’un des premiers à être entré dans le circuit du net-volley seniors en province de Liège.

Pour certains, le net-volley ne signifie pas grand-chose, néanmoins cette discipline sportive est tout particulièrement adaptée à un public âgé. En effet, destiné au départ aux personnes en revalidation après un traumatisme ou une maladie, le net-volley pour seniors est d’abord et avant tout un sport accessible à tous qui ne nécessite pas de prérequis particulier. S’il est dérivé du volley-ball, il s’en distingue essentiellement par le fait qu’il autorise à arrêter le ballon à deux mains lors de la première réception et que le service bas est obligatoire. Cette particularité permet de légèrement ralentir le rythme du jeu et d’obtenir de plus longs échanges. Le net-volley est un sport réservé aux dames à partir de 50 ans et aux messieurs de 55 ans et plus qui aiment les sports d’équipe et souhaitent pratiquer une activité qui a du punch et qui requiert technique, souffle et tonus musculaire.

Il se pratique essentiellement en province de Liège au sein de 19 clubs et compte pas moins de 600 joueuses et joueurs. Le championnat 2014-2015 met en compétition 73 équipes mixtes et 22 équipes de dames.

Le net-volley senior est une discipline reconnue par l’Association Interprovinciale Francophone de Volleyball, organe officiel du volleyball en Communauté française de Belgique.

Pour tout qui souhaite pratiquer un sport d’équipe, cet événement suscitera un intérêt certain et pourquoi pas déclenchera une envie d’y adhérer. Il faut savoir que toutes les régions de la province sont relativement bien couvertes. Il est également à souligner que l’aspect compétitif ne nuit pas à l’amitié car les rencontres se disputent dans le respect absolu du fair-play et l’esprit d’entraide est remarquable. Il est certain que ces équipes issues des sélections auront à cœur de vous réserver un spectacle de premier choix. La présence de spectateurs nombreux et enthousiastes galvanisera évidemment les joueurs.

Avec le soutien de

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Finales de la coupe provinciale de Net-Volley. organisées par le club de Net-Volley seniors de l’U3A Où ?

Salle des sports de Bressoux Rue Ernest Malvoz 4020 LIEGE / BRESSOUX

Quand ?

Le jeudi 21 mai 2015 de 12h à 17h Barbecue géant après les rencontres

Pour tous renseignements

fetsclaude@live.be + 32495991527 http://u3a-liege.clubeo.com

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Cours d'Histoire de l'Art donné par Bernard Sohet, Historien, archéologue et musicologue de l'Université de Liège Stendhal, qui goûtait vivement l'art italien, l'expliquait par l'intensité des sentiments, la vivacité des mœurs, et ces traits, à leur tour, par le sol, le rythme du travail et de la vie, les particularités du climat : « L'homme du Midi vit de peu et dans un pays abondant ; l'homme du Nord consomme beaucoup dans un pays stérile : l'un cherche le repos et l'autre le mouvement.

L'homme du Midi dans son inaction musculaire, se trouve incessamment ramené à la méditation. Une piqûre d'épingle est, pour lui, plus cruelle qu'un coup de sabre pour l'autre. L'expression dans les arts devait naître au Midi » et plus loin « en Italie, le climat met des passions plus fortes, les gouvernements n'y pèsent pas plus lourd sur les passions ; il n'y a pas de capitale. Il y a donc plus d'originalité, plus de génie naturel. » Depuis la plus haute Antiquité, l'Italie a apporté une contribution essentielle à l'art.

L'art italien trouve ses racines dans les traditions esthétiques de la Rome classique, ellesmêmes issues des civilisations pré-romaines de la péninsule italienne, notamment grecque et étrusque. L'art italien célèbre essentiellement la vie et les réalisations humaines, tout en affirmant l'harmonie des relations entre l'homme et la nature. Malgré les divisions politiques que connut la péninsule de la chute de l'Empire romain occidental jusqu'à la formation de la nation italienne, au milieu du XIXe s., l'existence d'un héritage classique commun et l'hégémonie de l'Église catholique romaine ont induit une certaine unité stylistique, technique, fonctionnelle et thématique de la production artistique.

Toutefois, si cette unité permet de distinguer à coup sûr une œuvre italienne d'une œuvre flamande ou espagnole, les divisions de l'Italie en une mosaïque mouvante d'États jouant le rôle de centres culturels, telles la Toscane ou la Lombardie, et de villes, comme Venise ou Rome, ont suscité l'apparition de différentes écoles, à travers lesquelles se sont affirmées des traditions et des tendances artistiques locales.

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Ah l'Italie ! Le pays du raffinement. Berceau de l'art occident.

Ce cours d'histoire de l'art vous emmène à la découverte des arts qui ont fait la gloire de la péninsule italique. Depuis le XVIe s. jusqu'aux portes du XXIe s. A travers l'architecture, la peinture, la sculpture, la musique et les arts décoratifs.

Classe n°11 - de 13h30 à 16h - Prix par séance : 5 € - 1e cours : le lundi 14 sept.

Voyages prévus en 2015-2016 en Italie : Rome, ville éternelle. / Florence et le nord de la Toscane... / Trieste et le Frioul / Les foyers de la Renaissance : Mantoue, Ferrare, Urbino,...

HISTOIRE Cours d’Histoire : lundi de 9h30 à 12h00 Ils/elles ont changé le monde (ou y ont contribué) Cours d’Histoire : mercredi de 14h00 à 16h30 Questions géopolitiques : actualité et histoire Cours d’Histoire : vendredi de 14h00 à 16h30 La France : des origines à nos jours Henri DELEERSNIJDER 0478/273.494

Jardin japonais Maridou (Art floral) vous propose une excursion au jardin japonais de Hasselt le 21 juin prochain.

Plus d’info sur le site www.tresnature.be ou maridou@teledisnet.be

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Histoire Originale de la Pensée Catherine Vankerkhove Présentation générale : Dans une ambiance chaleureuse, venez découvrir l’Histoire « originale » de la Pensée en se basant sur des penseurs moins connus, ignorés ou dont on a souvent une idée préconçue et fausse. Découvrons comment ils ont influencé l’ histoire des idées, voire notre façon actuelle de penser. Chaque penseur sera expliqué simplement, parfois en plusieurs leçons (sous forme de « mini conférences »), à l’aide de schémas réalisés au tableau qui permettent de mieux intégrer et comprendre les concepts caractéristiques.

Des séances de synthèse (à propos de penseurs ou d’une période particulière) seront réalisées sur base de lecture et d’explication de citations, favorisant aussi l’échange, l’interaction entre les participants dans un climat convivial.

1ere année La première année s’échelonne en trois grandes périodes. Chaque période est abordée à partir de penseurs choisis : -Antiquité : influence de Socrate sur Platon, différence entre les écoles de pensée antiques, comment Plotin a-t-il voulu résoudre les problèmes inhérents au platonisme, et ainsi développé sa propre pensée « mystique » et spirituelle ?

-Moyen Age : comment Saint-Augustin opère-t-il la synthèse entre le néoplatonisme païen et le christianisme ? Qui était le Pseudo-Denys, ce penseur qui a usurpé son identité et fondé « la théologie négative » ? Pourquoi la pensée de Maître Eckhart a-telle été condamnée par l’Eglise (mystique « de l’homme pauvre »)et pourquoi fut-il accusé d’être panthéiste ?

-Renaissance : L’accent sera mis sur cette période que nous considérons comme une des périodes les plus riches au niveau de l’Histoire et de l’Histoire de la pensée occidentale.

Qui était Erasme de Rotterdam, ce penseur universaliste, grand admirateur de la paix ?

Pourquoi l’Académie néoplatonicienne de Florence peut-elle être considérée comme le terreau de pensée du phénomène renaissant qui unissait hommes politiques, penseurs et artistes ? Qui était Marsile Ficin que Côme l’ancien de Médicis avait placé à la tête de l’Académie néoplatonicienne de Florence ? Pourquoi son illustre élève Pic de la Mirandole peut-il être considéré comme étant à la base de l’humanisme anthropocentrique renaissant, cependant toujours chrétien ?

Comment certains penseurs (Lorenzo Valla) vont-ils rendre possible une improbable synthèse (hédonisme - chrétien) dont Montaigne fut l’illustre représentant ?

3eme année Le cours de troisième année se réalise en deux parties.

Une première partie nous permet de suivre un fil rouge basé sur l’évolution des idées et la pensée politique au fil des siècles, chaque penseur est replacé dans le contexte historique permettant de comprendre le développement de ses idées.

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Un bref panorama retrace l’évolution des idées politiques de l’Antiquité au début de la Renaissance. L’accent sera ensuite placé sur la Renaissance avec la découverte d’une pensée politique, riche et inattendue chez Montaigne et ses amis (Etienne Pasquier, Michel de l’Hospital) qui tentent de comprendre les causes du massacre de la SaintBarthélemy. Nous envisagerons ensuite le « Discours de la servitude volontaire » d’Etienne de la Boétie.

Les Lumières nous permettront de découvrir la pensée politique de Montesquieu, la différence qu’il opère entre les différents types de régimes politiques, et le principe de séparation des pouvoirs politiques qui sera capital dans l’Histoire de la Pensée.

Ensuite nous découvrirons Condorcet, ce penseur humaniste, girondin, qui vécut la Révolution et fut le premier à souhaiter l’instauration d’une République rationnelle (transcendant les oppositions entre les hommes pour le bien de la nation).

Le 19e siècle nous permettra de découvrir des penseurs qui vont reformuler la pensée dans le cadre nouveau de la révolution industrielle : Saint-Simon pose les fondements de la pensée socialiste, Auguste Comte dont la pensée souvent caricaturée a été qualifiée à tort de scientiste, développe une pensée politique originale et une religion laïque de l’Humanité.

Ensuite nous découvrirons l’utilitarisme avec Bentham et John Stuart Mill qui va cependant se distinguer de son maître en orientant sa pensée vers un « socialisme tempéré ».

Les « socialistes utopistes » seront abordés avec Owen, Fourier, Prouddhon.

Le 20e siècle nous permettra de découvrir un penseur italien communiste qui a rédigé la majeure partie de son œuvre en prison, Antonio Gramsci qui, par sa pensée « syncrétique et organique », a critiqué la vision de Marx.

La fin de l’année nous permettra de suivre à nouveau le cours « normal » de l’Histoire de la pensée. Nous aborderons toute la richesse et la diversité de la pensée du 19e siècle avec des penseurs moins abordés tels que Jean-Marie Guyau, le christianisme existentiel de Kierkegaard, la pensée logique, analytique et morale de G.E. Moore.

Renseignements pratiques : -le cours de première année se donnera le jeudi après-midi de 14H à 16H40.

-le cours de troisième année se donnera le jeudi matin de 9H45 à 12H20.

Vankerkhove Catherine : cath.vankerk@hotmail.com Tel: 0497/02/57/98

Voyage à Paris Les voyages Amplitours, organiseront en collaboration avec l’U3A un voyage à Paris du lundi 10 au jeudi 13/8/2015.

Inscription et info au secrétariat.

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Voyage organisé par Bernard Sohet, professeur d'Histoire de l'Art d'U3A Ah ! Rome, un poème, une ville éternelle, la cité antique pétille de merveilles. Tous les chemins y mènent, la cité fut le cœur d’un puissant empire, elle inspira les plus grands artistes et poètes, elle charme depuis toujours les amoureux du monde entier.

Aux sons des eaux de ses fontaines, la cité musicale, fraîche et liquide, au flux tendre et infini irradie la moindre place et la moindre cour intérieure pour plonger la capitale dans une sorte de mélodie continue, hors du temps. Rome , un charme, une aventure sans limite, on l'apprivoise, on l'adore, on devient Rome. Eternelle et ouverte, magique et amoureuse...

Rome est Rome.

Prix : 1 650 € supplément-single : 290 € Comprend : Vol Bruxelles-Rome/ taxes d'aéroport / hôtel****, petits-déjeuners / demi-pension / les transports / les entrées aux monuments et musées / prestations guidées / documents de voyage.

Ne comprend pas : les repas mentionnés libres / boissons / les taxes de séjour.

Lundi 12 octobre : RÊVES DE JARDIN Vol régulier Bruxelles-Rome. Repas de midi inclus. Petite ville perchée, là où la rivière se déverse en cascade dans la campagne romaine, Este-Tivoli fut un lieu de villégiature depuis l’antiquité. La villa Adriana où l'empereur, par amour, perdit son latin tandis que le cardinal d'Este glorifia les magnificences des couleurs des jardins et de la ville renaissante. Diner inclus et logement à Rome.

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Mardi 13 octobre : VILLE ANTIQUE Rome est née il y a près de 3000 ans, histoire fabuleuse, tour à tour royale, républicaine et impériale, le forum est un livre ouvert sur cette époque où la cité était la capitale du Monde. Visite du forum et de son Colisée . Repas de midi inclus. De la place du capitole vers le forum boarium, à l'église Sainte Marie di Cosmedin vers le Panthéon. Diner libre et logement à Rome.

Mercredi 14 octobre: GLOIRE AU BAROQUE Visite de la galerie Borghèse. Rendez-vous dans une superbe villa avec le culte de l'hédonisme : Le Bernin, le Caravage,.. repas de midi libre. Sous forme de promenade pédestre, découverte de la gloire de Rome, église del Gesu, Saint-Ignace, Saint-louis des français et ses caravages, la place d'Espagne et la fontaine de Trévise. Diner compris.

Jeudi 15 octobre: LE VATICAN A l'ombre de la gigantesque basilique, où convergent les pèlerins du monde entier, à côté de Saint-Pierre, le palais papal abrite le musée du Vatican où Michel-Ange et Raphaël ont coloré les murs de fresques magnifiques. Visite du musée et de la basilique de Saint-Pierre. Repas de midi libre. Pour terminer en passant par la rue des antiquaires vers la place Navone. Diner compris. Logement à Rome Vendredi 16 octobre: AU DELÀ DU TIBRE Surplombant le Tibre, sur la rive droite, au Janicule, le richissime banquier Farnèse, fit construire sa « villa de campagne ». C'est ainsi que Petruzzi et Raphaël décorèrent la Farnésine. Fiers et indépendants, les habitants du Transtévère se considèrent comme les Romains les plus authentiques. Visite du quartier le plus pittoresque de Rome. Repas de midi libre. Visite surprise (sous réserve). Diner libre. Logement à Rome.

Samedi 17 octobre: BERCEAU DE L'ART Rome est le berceau de la chrétienté : Saint-Clément, Saint-Pierre-aux-liens et son célèbre Moïse de Michel-Ange. Imitant les salles d'audience des palais impériaux, les premières églises de Rome furent décorées de mosaïques polychromes donnant ainsi aux fidèles un aperçu de royaume céleste. Repas de midi et après-midi libres. Dîner compris. Logement à Rome.

Dimanche 18 octobre : VOIE DE L'ÉTERNITÉ Visite de la ville antique d'Ostie. Etrange, fascinante, bercée par ses nombreux cyprès la ville antique d'Ostie, l'ancien port, renait sous vos yeux. Promenade champêtre, à travers ses ruines en découvrant ses merveilleuses mosaïques et son passé. Pour nous rendre à Rome, visite de Saint-Paul-hors-les-murs. Repas de midi compris. Retour pour reprendre l'avion. Vol Rome – Bruxelles.

Comment s'inscrire ? : Par tél. : 04.252.44.82 ou par e-mail : bernard.sohet@gmail.com

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Sciences et Nature Les objectifs de l’année académique 2015-2016 resteront inchangés par rapport à ceux de l’année qui se termine. Ils présentent une approche pluridisciplinaire où la science tente d’expliquer ce que nous observons dans la nature.

Nous proposons donc d’assister à des présentations d’experts dans des domaines les plus variés qui s’efforceront de vulgariser leurs connaissances et nous feront découvrir les applications les plus diverses dans notre environnement.

Nul besoin de connaissances scientifiques poussées, seuls un intérêt et une curiosité pour ce qui nous entoure suffisent largement.

Une fois par mois, si les conditions le permettent et toujours guidés par des personnes compétentes, nous quitterons le site de l’U3A pour illustrer les exposés et découvrir de nouveaux aspects tant de la nature que des activités industrielles et scientifiques.

A chaque séance, il vous sera demandé une participation de 2,50€ par personne si nous restons à l’U3A. La participation aux activités extérieures se fera exclusivement sur inscription et une participation vous sera demandée pour couvrir les frais d’organisation.

Pour mieux nous connaître, nous vous invitons à parcourir notre site (sciences-nature.be) où vous trouverez les sujets traités les années précédentes.

La plupart des conférenciers exercent encore une activité professionnelle, il leur est impossible de nous fixer une date d’intervention à longue échéance. Nous ne pouvons donc vous proposer un programme annuel mais un programme couvrant les 2 mois sera affiché à l’entrée de la salle 16 et sur le panneau qui nous est réservé dans le hall d’entrée.

Parmi les sujets prévus à partir de septembre 2015, nous pouvons citer : ◊ Les Hautes Fagnes + excursion ◊ Psychologie des animaux de compagnie ◊ Le monde des champignons ◊ Les stations d’épuration ◊ La mort annoncée des abeilles

Le comité

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Agenda pour les cours de philosophie et de psychologie Lundi 10h30-13h – mercredi 14h00- 16h30: Cours de philosophie (salle 16) Mardi 14h-16h30 : Cours de psychologie (salle 11)

Mai 2015 Lundi 4 - mercredi 6 : La phénoménologie : Husserl et Heidegger Mardi 5 : La conscience et l’inconscient 1 : les états modifiés de conscience Lundi 11- mercredi 13: Jean-Paul Sartre Mardi 12 : La conscience et l’inconscient 2 : Les perceptions inconscientes et l’inconscient freudien Lundi 18 - mercredi 20: Merleau-Ponty et la place du corps Mardi 19 : La conscience et l’inconscient 3 : L’inconscient freudien existe-t-il pour la science ?

Pas de cours le 25, 26 et 27 mai

Juin 2015 Lundi 1 - mercredi 3: Michel Foucault Mardi 2 : Le génie et la folie Lundi 8 - mercredi 10 : La philosophie des sciences Mardi 9 : La fratrie Lundi 15 - mercredi 17 : La philosophie du langage Mardi 16 : L’évaluation psychologique 1 Lundi 22 : La société de consommation.

Verre de l’amitié + auberge espagnole après le cours.

Mercredi 24: La société de consommation. Début du cours à 13h30.

Verre de l’amitié offert après le cours.

Mardi 23 : L’évaluation psychologique 2. Début du cours à 13h30. Verre de l’amitié offert après le cours.

Mardi 30 juin : Quiz philosophique de 14h à 16h30 salle 11.

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Li mohone dè boneûr I-n-a quéquès-annêyes, nos-avîs rapwèrté dèl Normandie on p’tit croté mascråwé mègurlèt tchèt. Il aveût télemint fin qu’i magnîve disqu’a dè souwé pan. Lès cis qui l’avît trové l’aminît a l’ SPA. Ci tchèt la , c’èsteût ‘ne tchète. I l’a bin falou fé opèrer po n’nin avu dès ribambèles di djônes tchèts. A m’ îdèye, c’èsteût ‘ne såvadje bièsse qui n’aveût måy kinohou nole mohone èt qu’èsteût-st-afêtèye a viker a l’ouh. Dispôy qu’èlle è-st-amon nos-ôtes, èle dimane tote li djoûrnêye catchèye dizos ‘ne håye ou on bouhon. C’è-st-ine sogne-cou d’ prumîre fwèce èt come nos l’avans bin fôrnoûri, èlle è-st-ossi bodèye qu’on tchènône. Nos l’avans loumé Cracotte.È meûs d’ fèvrîr di ciste annêye, li vî Yorkshire di m’ feume ni poléve pus hope, il èsteût cardiaque èt ‘l aveût d’ l’êwe divins lès poumons.

Mi feume l’a fêt piquer tot djurant qu’èl ni r’prind’reût nol ôte. Fin mås’, èle riv’néve avou ‘ne sôre di chihuahua. Ci-chal, qui m’ feume a noumé Podcol ( li Yorkshire si louméve Mèltout) – aveût a hipe deûs meûs èt come tos lès djônes tchins, il èst sot. Cracotte, qui n’inteûre qui po magnî èt dwèrmi cwand èlle a freûd, a-st-avu bin dès rûses avou lu. I potche dissus, i lî sint s’ cou, i såye di magnî s’ pårt. Èle ni s’ disfind nin, èle si catche, gripe so lès meûbes ou coûrt èvôye. Dès côps qu’i-n-a, i cwîrt après è corti po l’aler fé arèdjî.È meûs d’awous’, dji troûve èl coûr di mi ovreû, on nozé djône tchèt avou dès poyèdjes tot r’lûhants èt tot bin mètous. On tchèt qui s’a pièrdou, ou dè tins dès condjîs, pus sûremint, ine bièsse qu’on a-st-aban’né. I tchoûle fi fin, dji va vite è botike cwèri d’ l’amagnî. I loftèye li bwète qui dj’a stu atch’té reût-a-bale èt contint, s’èdwème so ‘ne tåve di l’ovreû. Li lèd’dimin, dj’èl ritroûve al minme plèce. Come li djoû di d’vant, il a fin ; èt dji va r’cwèri ‘ne bwète qu’i magne ossi rade qui l’ cisse d’îr. Li treûzinme djoû, i m’ rawåde po magnî. Li cwatrinme djoû, dj’èl mèt’ èl vwètûre. Il èst måva, såye di cori èvôye èt gripe so tot po grèter ås cwårês. Arivé al mohone, dj’èl mèt’ so l’ tèrasse. Podcol èl vint sinti. Li tchèt s’ disfind, såye di grèter, sofèle di colére èt coûrt si catchî dizos on banc. Dji va cwèri Cracotte po lî mostrer s’ novê camaråde. Èle n’èst nin continne èt groûle di s’ pus fwért. Après quéques djoûs, lès-afêres s’arindjèt a pô près. Rebelote, c’èst co ‘ne fèye ine frumèle : 120 € po l’ovarectomie. Èle si lome Tchipète.Mi fi ènn’ aléve ås lons payis dè tins d’ sès condjîs ossi nos-aveût-i d’mandé qu’on wårdasse si tchin, on bichon di cwatre ans qui hawe po tot èt po rin èt qui n’ supwète nin lès tchèts.

Vos vèyes l’afêre di d’chal : lès tchèts n’ wèzèt moussî foû dès håyes, nos-èstans oblidjîs d’èlzî pwèrter l’amagnî. Lès tchins s’ gripèt onk so l’ôte tote li djoûrnêye po vèyî lisqué sèrè mêsse. Co bin qu’i fêt bê, èt qu’ nos polans lèyî l’ pwète dè djårdin å lådje djoû èt nut’. Come lès tchins dwèrmèt so l’ plantchî, lès tchèts polèt rintrer dèl nut’. Après deûs djoûs, Podcol divint mêsse dèl hiyède, i magne li prumî èt cwand Twiggy, li tchin di m’ fi, vout fé ‘ne sacwè qui n’ lî ahåye nin, èl ramonne è s’ banstê. Tot côp qu’on-z-ôt dè brut, Tiggy coûrt hawer è djårdin sûvou d’ Podcol.Asteûre, Twiggy èst rèvôye, avou lès prumîs freûds, li pwète èst sèrêye. Podcol èt Tchipète minèt todi triquebale. Cracotte inteûre po magnî cwand èlle èst sûre qui lès deûs-ôtes ni sont nin la. Èt nos-ôtes, mi feume èt mi, nos corans d’on costé a l’ôte po drovi èt sèrer lès pwètes èt d’ner a magnî.Come di qwè, li ci qui n’a nou må d’ tièsse s’ènnè cwîrt. Po l’ dîre tot coûrt : c’èst l’mohone dè boneûr.

FRANCIS DRUGMANT.

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Cours de Géographie 2015-2016 Le succès de la géographie ne se dément pas : elle permet de mieux appréhender notre planète, la Terre.

Pour la prochaine saison, quelques pays qui pensent diriger le monde seront analysés sous tous les angles. L’aspect humain qui est primordial, l’aspect économique et surtout l’aspect géopolitique sans oublier la découverte par le tourisme.

Les moyens technologiques modernes sont mis en œuvre : diaporamas Powerpoint par projecteur multimédias, films récents…

Nous commencerons par le Mexique et l’Amérique centrale et en profiterons pour un détour par les Antilles.

Le gros morceau concernera la Russie, 25 ans après l’éclatement de l’URSS. Le cours serrera de près l’actualité dans tous les domaines mais s’intéressera aussi aux progrès des sciences de la Terre, géologie et paléontologie.

Jean Claude LEFEBVRE. Mardis et jeudis après-midis

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Histoire de la musique Programme pour les cours de l’U3A Année 2015/16 I. Cours du lundi de 14H à 16H45 Histoire chronologique de la musique et correspondance des arts L’Histoire de la musique s’étend des origines de l’homme à nos jours. Envisager systématiquement et chronologiquement son parcours à travers les âges, c’est retracer l’évolution de la pensée humaine. Je vous propose de poursuivre ou d’intégrer cette formidable aventure musicale et artistique. Nous voyagerons, cette année, à travers l’époque romantique à la recherche des trésors de la musique.

Et puisqu’une œuvre artistique est toujours le reflet de ce qu’un artiste a vécu et du monde dans lequel il évolue, il est utile de compléter ces écoutes par un réseau d’idées qui touche aussi bien à l’art en général qu’aux disciplines humaines comme l’Histoire, la Philosophie, l’Histoire de la Pensée,…

Ce cours ne fait aucunement double emploi avec ceux du mercredi et du vendredi qui abordent et approfondissent ponctuellement, une œuvre ou un aspect de la musique.

Cette activité s’adresse donc à tous ceux qui veulent découvrir la musique et/ou en approfondir la connaissance de manière attrayante et active. J’espère vous y retrouver nombreux.

Le cours est parfaitement accessible à ceux qui ne l'ont pas suivi les deux premières années.

Reprise des cours : Lundi 14 septembre à 14H II. Cours du mercredi de 14H à 16H45 La pensée musicale.

Comprendre la pensée des compositeurs à travers les siècles, c’est entrer au cœur de la musique. C’est chercher le pourquoi et le comment d’une œuvre. L’homme et l’œuvre s’unissent dans un discours commun, témoin des idées de leur époque. L’étude de la pensée musicale, c’est aussi réfléchir sur la notion de temps, élément primordial de la musique.

Je vous invite à un fantastique voyage à travers le temps et les œuvres musicales.

Illustrées de nombreux exemples musicaux décortiqués tant à travers leur contexte historique, sociologique et philosophiques que leur aspect formel, chaque séance vise l’acquisition d’une écoute plus fine des chefs-d’œuvre de la musique.

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Le cours abordera de manière analytique, historique et philosophique une trentaine d’œuvres issues de compositeurs européens et américains.

Reprise des cours : Mercredi 16 septembre à 14 H III. Cours du vendredi de 9H15 à 11H45 Histoire et analyse de la musique Ecouter la musique, c’est aussi tenter de la comprendre. Le message des compositeurs est là à portée de notre sensibilité. Il nous faut le décrypter pour en profiter pleinement. Les séances d’histoire de la musique se basent sur une écoute active qui analyse les œuvres en les replaçant tant dans leur contexte historique et philosophique. Elles proposent de découvrir leur structure interne (thématique, rythmique, harmonique et instrumentale) et donc d’envisager les mécanismes de pensée et d’expression des compositeurs. Le cours de cette année est axé essentiellement sur la fin du XIXème siècle et le début du XXème, tout en faisant de régulières incursions dans les époques baroque, classique et contemporaine.

Les cours d’histoire de la musique s’adressent à toute personne désirant découvrir ou approfondir sa connaissance de la musique et la manière de l’aborder.

Reprise des cours : Vendredi 18 septembre à 9H15

Jean-Marc ONKELINX

Représentation théâtrale Le cours d "Atelier Théâtre" : LE TEMPS Professeur: M. Roland LANGEVIN présente son spectacle de fin d'année le

19 juin à 14H. Venez nombreux!

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Et pourquoi pas le Yoga ?

Le yoga n'est pas réservé à une élite : la seule ‘exigence’ est l'envie de mener une vie plus saine et plus équilibrée.

Au moyen de postures et d'un travail sur la respiration, l'objectif du yoga est d'arriver à une harmonie entre le physique et le mental qui conduit à une plus grande stabilité émotionnelle. Ce qui fait sa singularité c'est l'association, au sein d'une même discipline, d'un contrôle simultané du corps, du souffle et de l'esprit.

Un travail sur le physique, parce que le corps se renforce et s'assouplit au fil de la pratique. La respiration devient consciente (PRANAYAMA) et guide la dynamique des postures.

Un travail sur le mental, parce que tous les mouvements sont conscients et réfléchis. Le yoga amène à une meilleure perception de soi-même et de son mode de fonctionnement avec, au bout du compte, une plus grande confiance en soi, davantage de force mentale et de stabilité psychique pour aborder et résoudre les difficultés du quotidien.

C'est pour qui ?

Parce qu'il s'adapte à vous et non le contraire, le yoga s'adresse à tous. Nul besoin d'être un athlète, d'étudier longuement ou d'investir dans de coûteux équipements.

Votre professeur Marianne Chardome enseigne le yoga depuis 1984. Elle est professeur d’éducation physique et titulaire d'un certificat d'aptitude à l'enseignement du yoga homologué par l'ADEPS. INFOS PRATIQUES Rencontrez M. Chardome au week-end Retrouvailles (5 et 6/09/2015) et aux journées portes ouvertes de l'U.3.A (08/09 dès 14h – Local 13).

Vendredi 11 septembre 2015 : démonstration et informations pratiques à l'U.3.A. (10h15 – Local 13).

Reprise des cours : les 14 et 18/09 2014 (10h15 – Local 13).

Contact Marianne CHARDOME TEL: 04/227.83.15 – GSM: 0497/45.45.30 MAIL: marianne_yoga@hotmail.com Site Internet: www.yogaliege.com

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Cwand dj’èsteû gamin.

C’èsteût dè tins qu’i n’aveût dès grands botiques qui d’vins lès vèyes.

C’èsteût dè tins qu’on-z-aléve ås coûses cåzî tos lès djoûs. I måquéve todi ‘ne sacwè, seûye-t-i dè pan, seûye-t-i dèl tchår, seûye-t-i dès lègumes.

C’èsteût dè tins qu’on-z-aléve è scole li mérkidi èt l’ sèm’di totes li djoûrnêye. Li djûdi, c’èsteût barète.

Mi mame ènnè profitéve po nos-èvoyî, li pus vîle di mès soûrs, qu’èst treûs-ans pus djône qui mi èt mi, cwèri l’ lècê, li boûre èt lès-oûs. Nos-alîs è fond dè viyèdje bin lon, bin trop lon a noste îdèye, èn-on ham’tê wice qu’i-n-aveût co quéquès cinses. Li dreût cuzin di m’ grand-mére tinéve la ine tote pitite cinse, treûs vatches, in‑ågne èt quéquès poyes å coron d’ine rouwale la qu’ lès djins n’avît nin minme l’êwe è leû mohone. I n’avît qu’on robinèt divins ‘ne sôr di guèrite por zèls turtos. L’iviér, po qu’ li robinèt n’ djalasse nin, on l’ lèyîve cori tot doûcètemint. Li horê èsteût vite èdjalé èt l’êwe riguinéve al valêye dèl rouwale.

Quéne atèlêye, ine si fête ridåde qui nos-î-avans sovint måqué di nos r’trover so nosse cou.

Divant l’ guére, li cuzin vikéve avou lès cwate èfants qu’il aveût ac’lèvé divins ‘ne bråmint pus grosse cinse, qu’on V1 a distrût è 1943, a çou qu’on m’a raconté.

Asteûre, i vikèt, si feume, lu èt l’ dièrinne di leûs-èfants qu’è-st-on pô boubièsse, divins ‘ne mohinète. Il èsteût fwért crwèyant. Ossi, li dîmègne, aléve-t-i a tos lès sints dè payis.

On dîmègne a Tchîvrimont, on å Bouhê, in-åte a Vå-Diè èt l’ cwatrinme, i s’ rispwèzéve.

Cwand on lî d’héve qui c’èsteût cori bin lon po priyî, i rèspondéve a tot côp : « C’è-stine pihêye lon ».

Adon, nos-alîs d’lé lu cwèri l’ lècê (5-6 lites chake saminne) èt quéquefèye, è l’osté, dès cèlîhes ou dès preunes.

Adon-pwis, nos r’prindîs nosse porminåde. On bokèt d’ rouwale å mitan dès wêdes – ènn’aveût co todi di ç’ tins la – èt Vo-nos-la al Noûvèye, in-ôte ham’tê pus modèrne qui l’ prumî. Nos-intrîs èl prumîre mohone, ine pitite cinse la qui l’ cinserèsse èsteût soûrdôde. Èle si måv’léve so nos-ôtes tot d’hant qu’on l’ féve èsprès dè djåzer po qu’èle ni nos comprindasse nin. Nos lî atch’tîs chake saminne deûs kilos d’ boûre èt ‘ne trintinne d’oûs, cwand c’èsteût possibe, come di djusse.

Avou l’îdèye d’aler djouwer, nos rintrîs å pus-abèye, tot prindant bin astème ås‑oûs èt å lècê po n’nin nos fé akêmer tot rintrant. Èt çoula, tos lès djûdîs. C’èsteût a Binne, åtoû di 1955.

FRANCIS DRUGMANT.

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Cours de peinture à la manière des primitifs italiens dite aussi peinture « a tempera » et enluminure.

Dès septembre 2015, le vendredi après-midi, de 13h à 16h.

Nous remonterons le temps au travers de ces deux techniques ancestrales.

La tempera : Botticelli, Giotto ou encore Lorenzo di Monaco sont autant de noms qui ont fait les plus belles heures de Florence. Au travers de ce cours, je vous propose de partir à la rencontre de ces grands maîtres du passé, de découvrir leur technique, leur langage et cette passion exceptionnelle de la couleur qui était la leur.

Nous apprendrons à préparer nous-même nos supports, nos couleurs et nos vernis avec les matériaux et techniques d’autrefois. Ainsi, après avoir transféré nos dessins sur nos planches nous pourrons nous immerger dans cette fabuleuse technique de juxtaposition et de superposition de petits traits de couleur.

La peinture « a tempera » est une technique picturale à base d’œufs et de pigments qui ne nécessite pas beaucoup de matériel mais qui requiert calme et patience.

L’enluminure : Noix de Galles, eau de miel, essence de girofle, je vous propose une véritable immersion pigmentée au cœur du moyen-âge et des miniatures orientales.

Nous apprendrons à manipuler ces produits ancestraux et à reconstituer, sur la base de textes historiques, cette magnifique technique picturale, véritable témoignage du mode de vie de l’époque.

La première partie de l’année sera consacrée à l’élaboration du dessin et, à la peinture proprement dite. La seconde partie de l’année, pour ceux qui le désirent, pourra être agrémentée d’un cours de dorure.

Ce cours est accessible à tous, débutants et artistes confirmés.

Les modalités pratiques seront expliquées lors du premier cours.

Au plaisir de vous transmettre ma passion.

Professeur :

Aurélie Vetro, restauratrice d’œuvres d’art et artiste peintre.

Diplômée de l’Institut supérieur des Beaux-Arts Saint Luc Liège, du Palazzo Spinelli de Florence et de la Région Toscane.

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Les artistes de l’U3A vous invitent au vernissage de leur exposition

eegard Le 9 mai 2015 de 14h à 18h

Inauguration surprise Exposition les 11,12,13 mai 2015 à la cafétéria de l’U3A de 9h à 17h

Dessin : Jean-Claude DAMMEL

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Vous avez dit culture ? « L’ignorance mène à la peur, la peur mène à la haine et la haine conduit à la violence, voilà l’équation » (Michael Moore).

Ce qui me semble important ici n’est pas le constat d’une inévitable violence, mais le pourquoi de tant d’ignorance… Et d’abord que signifie « l’ignorance » ? Je ne prétends pas donner de réponse ici à un problème si fondamental de notre société, mais je voulais exprimer, en toute simplicité, quelques réflexions qui s’inscrivent dans le prolongement de commentaires, à juste titre alarmés, de beaucoup d’entre-nous. Elles se veulent aussi des réflexions personnelles et, je crois, humanistes fidèles à la manière dont je conçois l’enseignement de la musique et de l’art pour tous les publics que je rencontre en n’écartant jamais les disciplines artistiques du fait culturel dont elles sont issues. Car les enjeux de la Culture dépassent, et de loin, les questions financières si souvent avancées pour justifier les coupes drastiques en matière de financement. Ils touchent à l’existence même de l’humanité et l’annihiler ou en minimiser l’importance, pour quelque raison que ce soit, relève d’un crime contre l’humanité.

Ce billet, qui est en grande partie issu d’un texte que j’avais écrit en 2011 sur mon blog, dans d’autres circonstances, n’est pas orienté politiquement et ne possède aucun but polémique. Pour comprendre le raisonnement, il est impératif de le lire jusqu’au bout et de n’isoler aucune partie de son contexte.

Dans son livre Beast and Man publié en 1978, la philosophe britannique Mary Midgley (née en 1919) évalue l’impact des sciences naturelles sur notre compréhension de la nature humaine. Et il est fort probable que les découvertes de la paléontologie et de la biologie évolutionniste ont ébranlé nos idées sur la nature humaine. Notre nature animale ne fait d’ailleurs aucun doute et Midgley souligne à la fois ce qui nous rapproche des animaux et ce qui nous en sépare.

Dans l’antiquité, Aristote (384 ACN - 322 ACN) définissait déjà l’être humain comme un « animal politique » en suggérant que nous sommes des êtres chez qui la culture fait partie de notre « nature ». Les philosophes ont bien voulu voir dans l’homme un animal un peu particulier. Ainsi, le poète romain Lucrèce (98 ACN - 55 ACN), dans son De Natura Rerum, explore justement la différence majeure entre l’homme et l’animal, la culture. Il est d’ailleurs fort probable que dans le processus de sélection naturelle mis en évidence par Charles Darwin (1809-1882), si l’être humain a continué d’exister, c’est, entre autres, grâce au fait qu’il a développé une culture qui lui est propre et qui lui permet de tirer les leçons de son passé pour « évoluer » et subsister.

Ce que Mary Midgley exprime, c’est la relation entre la nature et la culture. Elle interroge l’idée courante selon laquelle la nature et la culture s’opposent comme si la culture était quelque chose de non naturel qui venait s’ajouter à notre nature animale. Mais elle arrive à réfuter l’idée que la culture puisse relever d’un ordre différent de la nature. Elle montre au contraire que la culture est un phénomène de la nature humaine. En d’autres termes, nous avons évolué pour devenir des individus dotés de culture. Nous tissons donc de la culture aussi naturellement qu’une araignée tisse sa toile. S’il en est ainsi, alors, nous ne pouvons pas plus nous passer de culture que l’araignée de sa toile. Notre besoin

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de culture est à la fois inné et naturel. C’est ainsi qu’elle parvient à justifier l’exception humaine et nous replace dans le contexte plus large de notre passé évolutionniste.

Nous aurions donc besoin de la culture pour évoluer et subsister. Lorsqu'on parle de culture, on évoque évidemment l'ensemble des connaissances, des traditions et du passé qui nous procure une identité et un comportement appliqué aux situations de la vie. L’art sous toutes ses formes et la musique en font évidemment partie, mais ne sont pas les seuls éléments de la culture. Donc, la culture est transmise par les parents, par l'enseignement, par l'expérience de la vie, ... C'est dire qu'il faut faire ici la différence entre l'érudition, purement théorique et la culture, assimilée, sentie et intégrée. Nos ancêtres les moins érudits avaient assimilé une culture qui leur procurait une identité et conditionnait une bonne part de leurs comportements.

Si, avec Raimon Panikkar (1918-2010), nous acceptons l’idée qu’une civilisation est « ce qui se souvient », la culture est projetée au premier rang de notre idée de civilisation.

Sans elle, pas de civilisation ! Comment alors ne pas citer Voltaire (1694-1778) qui affirmait que sans les sens, il n’y a pas de mémoire possible ? Car l’érudition n’est rien quand elle n’est pas sentie. C’est l’alliage de la mémoire et des sens qui lui offre sa pertinence et ce subtil mélange se réalise dans les arts. L’émotion des artistes du passé, comme de ceux du présent, est aussi essentielle à la civilisation que l’eau à la vie.

La culture, le meilleur moyen que possède l'homme pour le respect et la tolérance.

Avec l'ère postmoderne, pour reprendre l'expression de Jean-François Lyotard (La Condition postmoderne: rapport sur le savoir, 1979), la culture s'est progressivement diluée et la mondialisation ainsi que la communication entre les cultures ont enlevé bien des barrières. Tout cela serait humainement magnifique si d'autres barrières, que dis-je, des remparts bien plus élevés encore ne pointaient le bout de leur nez. Car le savoir, en ce XXIème siècle, et avec lui une bonne part de la culture diluée, pourraient bien être devenus de simples produits de consommation. En observant, par exemple, les manières dont communiquent les médias, on se dit parfois que le but n'est peut-être plus tant de dire la vérité d'un fait que de l'enrober pour attirer de l'audience.

L'usage du mot « postmoderne » dans le titre est lourd de sens. Car même si l'auteur n'est pas l'inventeur du mot l'application qu'il lui donne cerne à merveille l'époque dans laquelle nous évoluons. Le terme était apparu dans la critique d'art vers 1870 pour désigner ironiquement ce qui ne relevait plus de la modernité. Le concept avait ensuite été repris dans le XXème siècle pour désigner une esthétique de l'architecture formulée par Charles Jencks (né en 1939). Le terme, employé couramment aujourd'hui, peut être défini comme ceci: « La postmodernité est un concept de sociologie historique qui désigne selon plusieurs auteurs la dissolution, survenue dans les sociétés contemporaines occidentales à la fin du XXe siècle, de la référence à la raison comme

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totalité transcendante. De cette fin de la transcendance résulte un rapport au temps centré sur le présent, un mode inédit de régulation de la pratique sociale, et une fragilisation des identités collectives et individuelles. » Wikipédia.

Quand on lit cette définition, on comprend que la postmodernité rompt avec l'idée traditionnelle de la culture et de la diversité des savoirs et des affects qu'elle contient.

Ceci semble paradoxal, mais lorsqu'on examine notre mode de fonctionnement, on peut affirmer que nous sommes en surabondance de savoirs de toutes sortes. Trop est l'ennemi bien. Nous constatons tous les jours la complexité du monde, nous le comprenons de moins en moins, nous y perdons donc nos repères. Si on ajoute à cela la forte évolution technologique et l'ère informatique, on comprendra que les savoirs se sont transformés en informations ("information" et "informatique" voilà d'ailleurs deux mots très proches).

Toutes les informations sont stockées dans des bases de données, le savoir n'est plus l'objet de la pensée et il peut donc rapidement devenir la propriété de grandes sociétés commerciales et être évalué en fonction de sa valeur commerciale et non pas en fonction de sa vérité.

Le savoir serait donc aujourd’hui un produit qui doit être vendu. Il faut donc cibler la clientèle d'information potentielle. Et de fait, les médias définissent leur ligne éditoriale en fonction du public auquel ils s'adressent. Les chaînes de radio ou de télévision, en fonction de leur spécificité, ciblent des publics bien différents. L'information et les sujets dispensés de même que leur mise en forme seront donc très différents.

Vous saisissez bien mon propos. Toute la démarche critique que doit adopter un être humain qui communique se résume à mesurer le profit qui résulte de la diffusion de l'information. On est loin des grands principes de la critique historique dont le but n’est pas le profit, mais l’approche de l’objectivité. Cela ouvre la voie à tous les abus, à toutes les rumeurs, les suspicions, à tous les sensationnalismes. Montrer à outrance les taches de sang, filmer la mort des hommes, interroger les victimes sans décence, repasser ces images en boucle indéfiniment, cela génère… la peur.

Mais ce n'est pas tout. Lorsqu'on déverse des flots d'informations à un public malléable chez qui on a créé ce besoin de sensationnel, il réagit au quart de tour. Il s'échauffe l'esprit et profère des idées simplistes, réductrices et intolérantes... racistes, les commentaires violents des individus qui se déchaînent sur les réseaux sociaux en témoignent largement. L’homme se replie sur lui-même, il se referme sur une culture, sur une identité qu'il croit encore posséder. Il fait, de ce qu’il croit être sa culture, un objet de rejet de celle de l’autre. Les extrémismes terrifiants qui sévissent actuellement en sont l’affreuse démonstration. Et la réponse qu’on croit leur donner avec nos belles formules du « vivre ensemble » sont absolument inutiles car celui qui est enfermé, même malgré lui, dans sa peur et son ignorance ne peut plus l’entendre, surtout venant de ceux qui ont eux-mêmes perdus leur véritable culture.

C'est heureusement là le fait des plus manipulables d'entre nous, ceux qui vivent dans la peur. Il suffit d’observer les réactions épidermiques de ceux qui « marchent » dans les fausses informations distillées par les faux sites d’information (Le Gorafi ou Nord Presse, par exemple)... Ne l’oublions cependant pas, la grande majorité des hommes possède encore cette culture du respect de son semblable et son esprit critique. L'homme reste capable d'empathie, je veux absolument le croire… ! Pour combien de temps

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encore ?

Mais si l'information ne touche pas, parce que les faits annoncés se déroulent trop loin de son quotidien ou durent trop longtemps et se « banalisent » (le temps et l'espace), alors l'homme est capable d'une grande indifférence. Comment justement expliquer cette banalisation des guerres, des tueries qui se déroulent tous les jours et que nous percevons comme de simples faits divers? Comment rester indifférent devant les victimes des catastrophes naturelles? Comment admettre que des milliers d’être humains soient fauchés par le virus ébola… et que cela ne nous inquiète que parce qu’il pourrait nous menacer bientôt ? Comment oublier toutes les victimes de toutes les inégalités de ce monde? Des gens qui meurent de faim, de soif, de tortures, de bombes, de maladies de toutes sortes, de viols, d’injustices et de discriminations de toutes sortes… ? C'est pourtant le lot de tous les jours du monde. Comment, enfin, admettre qu’au nom de l’économie et du profit, on sacrifie les plus faibles d’entre-nous… phénomène qui touche nos sociétés de plus en plus fort en y créant des inégalités de plus en plus criantes et honteuses Qu'on me comprenne bien, il est impossible de pleurer tout le temps sur le sort de notre monde. Nous devons agir. Et nous le faisons bien souvent car affirmer que nous ne nous impliquons en rien est aussi caricatural que son contraire. Il faut vivre et aider à vivre car la vie est le meilleur symbole de victoire sur la mort et la souffrance qu'on puisse transmettre. Mais vivre en retrouvant une vraie identité, une vraie richesse intérieure, vivre en transmettant la culture, celle qui nous offre un passé, un présent et nous permettra de construire un futur. C’est la clé du respect de l'autre. Sortir de l'ignorance dans laquelle nous enferme une information détournée de son essence, de sa substance, annihiler cette peur qu'on nous transmet à grand renfort d'images, c'est éviter la haine. La haine de l'autre n'est rien qu'une peur et la réaction d'un animal quand il a peur... c'est la violence et l'étrange sentiment d'une légitime défense.

Veiller à cultiver les gens, c'est leur offrir la chance de vivre dans la vraie tolérance sans la peur au ventre, sans la haine et donc sans la violence. La culture et tout ce qu'elle représente est donc bien une question essentielle d'utilité publique, n’en déplaise à ceux qui n’y voient qu’une subversion dangereuse pour leur idéologie. La culture et la connaissance qu'elle sous-entend est l'affaire de tous, certes, mais aussi de nos politiciens qui doivent, au lieu de trembler devant les agences de notation, mettre en place un autre système social moins tourné • vers la consommation à outrance à court terme et plus orienté vers l’épanouissement de tous les hommes.

Investissons dans la culture, dans l’art, dans la recherche scientifique, dans l’enseignement, dans l’éducation… et cessons surtout bien vite cette attitude qui consiste à faire croire que ces disciplines sont superflues et qu’elles ruinent l’économie et ne sont l’apanage que d’une soi-disant élite ! Nous voyons bien, tous les jours à l’U3A la formidable diversité des membres. Apprenons tout simplement à vivre ensemble, soyons curieux de tout ! C’est là notre seul salut ! J'ai bien conscience que tout cela est très ardu et demande une révision totale et interculturelle du monde… que ce n’est, hélas, qu'une utopie... ! Comment, diable, en est-on arrivés là ?

Jean-Marc Onkelinx

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Liège tient (enfin ?) son gratte-ciel Ils dirent encore : « Allons, construisons-nous une ville et une tour dont le sommet touche le ciel. » Genèse, 11,2 Marqueur de la modernité, à l’image de ces villes américaines au skyline hérissé de tours, le gratte-ciel est sensé manifester l’audace, l’esprit d’entreprise, l’engagement dans son époque d’une cité.

Il n’existe aucune définition de ce qu’est un gratte-ciel. On considère généralement qu’il s’agit d’une construction haute de plus de 100 mètres. En-dessous, il s’agirait d’un « immeuble de grande hauteur ». Un gratte-ciel doit aussi être habitable (logement ou, plus souvent, bureaux) : la Tour Eiffel, par exemple, n’est pas un gratte-ciel. Si on se réfère à ce double critère, la nouvelle tour dite « des Finances » que l’on vient d’ériger dans le quartier des Guillemins (118 mètres, 28 étages 1) est actuellement le seul gratteciel liégeois, suivi de loin par la tour Atlas qui ne fait « que » 87 mètres.

Proche de la Meuse, comme les tours Atlas, Kennedy ou Cité administrative, elle bénéficie du recul forcé qui permet de l’apercevoir, de la rive opposée ou d’un pont, à plus de trois fois sa hauteur, soit selon un angle d’au moins 18°, ce qui, selon les meilleurs traités d’urbanisme, est la distance nécessaire au piéton pour apprécier un monument élevé.

Liège entre ainsi dans le grand ballet des villes « tourées » qui, depuis peu, s’ouvre aux agglomérations de moyenne importance. Longtemps réservées en effet aux grandes métropoles (New York, Hong Kong, Singapour, Londres, …), les tours envahissent peu à peu les ensembles urbains plus modestes : Lyon (Tour Eva 240 m., Tour Incity 200 m., toutes deux en construction, Tour Part-Dieu 165 m.), Nantes (Tour Bretagne 144 m.)

Lille (Tour Lille 116 m.) Casablanca (Twin Center 115 m.) Cologne (Colonia Haus 147 m., logements), Manchester (Beetham Tower 168 m.), Ostende (Europacentrum 100 m.), …2 L’immeuble liégeois a été conçu par le cabinet d’architecture Jaspers-Eyers associé à Greisch. Sa structure, faite d’éléments préfabriqués en béton armé, est enveloppée dans un vaste mur-rideau brillant de tous ses feux par grand soleil. Son profil offre un jeu de courbes : la section générale est un triangle isocèle dont les deux longs côtés sont courbés, tandis que la façade arrière forme une voilure sur plan contraire. Le triangle voyage dans l’espace et se penche vers l’avant. Le bas de l’angle est coupé.

Stylistiquement, cette tour se rattache plutôt aux tendances les plus récentes en la matière, qui rejettent les « boîtes » orthogonales pour des formes plus sculpturales, facilitant une perception globale plutôt que détaillée. L’allure générale reste toutefois sobre, assez éloignée des audaces actuellement à la mode : formes torsadée, en sablier, …

—————————Il s’agit de la hauteur « structurelle », qui ne reprend pas les antennes ou autres éléments ajoutés. Dans le cas de la Tour des Finances, on atteindrait 136 mètres avec les ajouts.

2 Le plus haut gratte-ciel de Belgique est la Tour du Midi à Bruxelles (165 m.)

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Inventé à Chicago à la fin du XIXe siècle, le gratte-ciel a toujours suscité la controverse : c’est, de tous les types architecturaux créés au cours des siècles, le plus récent et le plus discuté. Frank Lloyd Wright, déjà, le récusait : « Le gratte-ciel n’a pas de vie propre (…)

L’enveloppe est sans morale, sans beauté, sans permanence. C’est une prouesse commerciale ou un simple expédient ». Pour l’architecte français Bernard Huet, « Le gratte-ciel est devenu un objet anti-économique et absurde (…) D’abord support du signe publicitaire, il s’est transformé en signe vide par excellence de l’espace moderne euclidien, isotrope, homogène (…) Le cinéma commercial ne s’y trompe pas qui associe le gratte-ciel aux terreurs primitives de l’humanité : l’incendie, l’inondation, le tremblement de terre (L’architecture d’aujourd’hui mars 1975). Thierry Paquot, critique et historien, condamne le gratte-ciel « à la fois comme architecture dispendieuse, et surtout comme anti-ville, lieu d’enfermement, de repli sur soi, de contrôle excessif (La Folie des Hauteurs Paris, Bourin, 2008). A l’opposé, Manuelle Gautrand déclarait au Monde du 12 août 2006 : « La verticalité s’impose de plus en plus et nous sommes en retard. C’est une évidence, c’est inéluctable (…) L’architecte doit aider la société à se dépasser ».

En fait, le gratte-ciel pose trois problèmes : la densité, la mixité, l’énergie. A son époque héroïque, Le Corbusier vantait l’urbanisme de hauteur, capable de libérer 80% du sol, qu’il consacrait aux jardins publics et aux terrains de sport. Un double bémol à cet optimisme : le renforcement de la densité d’occupation dans un quartier entraîne des problèmes de mobilité (une tour multiplie occupants, employés, visiteurs) et ignore les exigences du prospect3 qui exige des dégagements et des mises en perspective autour de l’édifice. De telles considérations risquent de faire perdre une grande partie des terrains « récupérés ».

La tour compromet aussi la mixité sociale. On a calculé que les charges de fonctionnement et d’entretien d’une tour sont du tiers ou de moitié supérieur au coût d’une habitation « normale ». A la construction, le surcoût est déjà de 20 à 30%. Tout cela influençant le prix d’achat ou de location, vivre dans une tour est réservé aux populations favorisées. Quant aux tours de bureaux, elles provoquent la gentrification du quartier où elles s’installent en attirant cadres ou catégories sociales privilégiées, plus aisés que les résidents locaux. Enfin, une tour est énergétivore, à la fois à la construction et à l’utilisation. C’est pour cela que des moyens sophistiqués sont mis en œuvre ces dernières années pour tenter de réduire la consommation interne et de produire une énergie propre (capteurs solaires, cogénération, récupération de chaleur, réutilisation des eaux de pluie, …). Mais la tâche est ample, autant que le coût, et on ne peut pas encore citer, aujourd’hui, un immeuble modèle à ce point de vue.

A ces critiques, les partisans des tours répliquent qu’elles apportent un relief urbain et créent des lieux emblématiques, des « repères ». Fortement extraverties, elles ont un impact indiscutable sur l’environnement. Pour François Schreuer (lechainonmanquant.be), « la tour est un totem. Ce que fabriquent - et souvent vendent les concepteurs de tours, c’est de la visibilité ».

En réalité, la tour – et le terme est pris ici dans sa plus grande extension – a toujours été associée à une idée de pouvoir ou d’affirmation de puissance : son aspect phallique n’est pas étranger à ce sentiment. Après les tours aristocratiques de San Gimignano, où chaque ———————3 Prospect : Organisation et distribution des volumes dans une ville

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noble s’élevait plus haut que l’autre, après les tours des églises romanes, symboles de l’Axis Mundi, après les flèches gothiques ou néo-gothiques, outils d’affirmation de la caste sacerdotale, la tour va devenir, dans le monde moderne, le signal du capitalisme triomphant et dominateur. Les premiers gratte-ciel de Chicago étaient commandités par des banques ou des compagnies d’assurance. Actuellement, ils sont trustés par les multinationales ou les administrations publiques souveraines. Dans tous les cas, leur rôle est toujours le même : se faire voir, se donner en spectacle, créer un repère signifiant 4.

Mais leur insertion dans un paysage urbain préexistant ne se fait pas toujours sans peine : on ne reviendra pas sur les polémiques qui ont accompagné la mise en œuvre de la Tour des Finances à Liège, ni sur le débat acharné autour de la Tour Triangle à Paris ou la Tour Signal à la Défense, toutes deux en panne de construction pour cause de contestation.

C’est que le gratte-ciel, outre d’incarner la mégalomanie de ses commanditaires, s’oppose, par le vide qui l’entoure, à la nécessaire continuité du tissu urbain. Toute la question est donc de se demander s’il faut trouver un compromis et où doit se situer le point d’équilibre. A Liège, la présence de la Tour des Finances va provoquer la démolition de quasi tous les immeubles voisins. L’un est de Georges Dedoyard, un des pères du modernisme local. L‘autre renferme un décor intérieur remarquable. Le jeu en vaut-il la chandelle ?

Jean-Pierre Rouge Titulaire du cours d’histoire de l’architecture U3A ———————4

Burj Khalifa, cette tour de 800 m. au milieu du désert, est visible, paraît-il, dans un rayon de 95 km.

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Les U3 Arèdjîs

Danses traditionnelles L’année scolaire 2015 – 2016 est à nos portes.

Il va falloir prendre des dispositions pour la survivance du cours de «danses traditionnelles », car la fin de l’année 2014 – 2015 fut très chahutée en ce sens que les élèves du cours n’étaient que 5 ou 6, beaucoup trop peu pour faire un quadrille par exemple. Pour certaines danses, il fallait danser avec un fantôme, ce qui a eu comme conséquence la déconcentration des danseurs.

Pour ceux qui désireraient venir nous rejoindre, il faut savoir que la danse en général est un moyen de bouger, car elle fait intervenir pratiquement tous les nerfs de notre corps, ainsi que notre mémoire et notre équilibre, et savoir se mouvoir dans l’espace Dans ce cours, vous apprendrez, dans une ambiance festive, les pas de danse des différents folklores de notre Belgique ainsi que ceux des pays étrangers. Folklores, qui à tous les niveaux, font partie de nos racines.

Il faudrait, au minimum ,16 élèves, qui seraient pleins de bonne volonté pour réaliser cette performance.

Les cours, s’il y a assez d’élèves, se donnent tous les mercredis matin , de 9h30 à 12h00, ainsi que l’après-midi de 14h00 à 16h30’.

Venez tous le plus possible pour vous distraire tout en vous amusant.

Jacques Prignon Rue des Fossettes, 24 4032 – Chênée Tél. : 04/ 365.83.41.

G.S.M. : 0496/55.83.41.

E mail : jp472200@euphonynet.be

Roger Hourant Rue Sylvain Gouverneur, 8/2 4550 – Nandrin Tél. : 085/82.55.36.

G.S.M. : 0473/72.96.88.

E mail : roger.hourant@lebutch.org

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Marches Jacqueline et Henri Darras U3A

Du 30 mai au 6 juin 2015, les marcheurs séjourneront à Saint-Cast-Le-Guildo, pied à terre de charme idéal pour explorer la Côte d'Emeraude en Bretagne.

Le séjour est prévu dans le village VVF « La Corbière » à la Plage de la Mare

Programme Départ – A 8h30 Place de Bronckart (devant la mutuelle) ou du parking de l’U3A à 9h.

- Liège – Saint-Cast-le-Guildo.

Installation au VVF de Saint-Cast-le-Guildo Plage de la Mare.

- La pointe de Saint-Cast et la baie de la Fresnaie.

- Le Val d’Arguenon et la cité médiévale de Dinan.

- Erquy, capitale de la coquille St Jacques - Pleneur Val André.

- Visite de l’usine marémotrice de la Rance – A pied St Malo et le petit Bê.

- La pointe du Grouin – Cancale : visite de la ferme aquacole et dégustation d’huîtres ou de rillettes de poissons.

- Fort La Latte – Cap Fréhel. ◊ Retour à Liège. ◊ Le prix fixé à 620 euros comprend : L’hébergement à raison de 2 personnes par logement, soit une personne par chambre avec salle d’eau à partager (WC indépendant).

Linge de toilette, draps et couvertures fournis, lits faits à l’arrivée.

La pension complète, vin inclus aux repas, café non inclus, du dîner du premier jour au déjeuner du dernier jour.

Les animations des soirées au village.

Les trajets en car.

Les pourboires du chauffeur et du personnel de salle.

L’adhésion au village de vacances et la taxe de séjour.

La quote-part que nous devons verser à l’U3A. Les prix des entrées dans les sites à visiter.

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Calendrier 2014-2015 suite Nos randonnées nous conduiront dans les régions de : 21 avril 2015

19 mai 2015

23 juin 2015

Borgloon

Baclain - Rencheux

Lierneux

M. Jo. Spindler 04/382 12 84

J. Jamoulle 04/263 43 38

M. Julin 04/278 68 43

28 juillet 2015

18 août 2015

Eupen – La Gileppe

Vallée de la Ruhr

M. Ghiro 04/362 17 81

C. Degbomont 04/368 82 19

15 septembre 2015 (départ avancé : 8h et 8h30) Lasne M.Jo Spindler 04/382 12 84

Histoire des femmes Elles sont femmes et rien de ce qui est humain ne leur est étranger…

Les femmes ont fait et font l’Histoire avec les hommes, dans l’ombre ou dans la lumière.

Dans ce cours – ouvert aux hommes comme aux femmes –, nous allons à la recherche des femmes à travers les siècles, afin de mettre en valeur leur vécu, leur rapport avec les hommes, leur contribution à la société… et de mieux comprendre d’où nous venons.

Le principe est de travailler différentes thématiques en combinant deux approches : - partir de questions actuelles et les éclairer en étudiant leurs « racines » dans les années et les siècles passés ; - partir d’une personnalité (par exemple une femme artiste, ou une femme qui s’est illustrée dans un certain domaine) en la situant dans son époque et en explorant les thématiques qu’elle a traitées.

Avec Liège comme point d’attention, nous élargissons le propos à la Wallonie, à la Belgique et à l’Europe, voire au-delà si le sujet nous y invite.

30 mercredis de 9H15 à 12H à partir du 16 septembre.

Première séance gratuite : introduction et choix des thématiques et des personnalités à étudier.

P.A.F. : 5 € par séance ou 40€ par trimestre.

Professeure : Marie-Rose Clinet, licenciée en philologie romane.

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LA SCIENCE VOILÉE : SCIENCE ET ISLAM Compte-rendu de M. Tondeur du livre de Faouzia Farida Charfi, Odile Jacob, 2013.

Faouzia Farida Charfi enseigne la physique à l'université de Tunis depuis les années '70. Elle a pu ainsi constater l'évolution préoccupante de l'attitude de ses étudiants face à la science.

La Tunisie est en plein bouleversement depuis la révolution de jasmin qui a mis fin à la dictature de Ben Ali. Le pays apparaît aujourd'hui comme le plus progressiste parmi les pays de culture arabo-musulmane, et pourtant les salafistes (salafiya signifie « tradition des ancêtres ») qui exigent un retour à l'islam des origines y sont très actifs, notamment en milieu universitaire. Ils exigent la non-mixité, la création de salles de prières et veulent révoquer l'interdiction du port du foulard dans les auditoires (vu depuis l'indépendance du pays moins comme un signe religieux que comme une manifestation de conservatisme politique). L'offensive de l'islam politique est contenue à dure peine pour l'instant, au prix d'une vigilance de tous les instants.

Charfi fait d'abord l'historique de la science dans le monde arabe depuis l'avènement de l'islam au VIIème siècle. Et rappelle opportunément qu'au moyen-âge quand l'Europe chrétienne croupissait dans l'obscurantisme, les mathématiques, la géométrie, la philosophie et la médecine naissaient en Orient ; les bibliothèques contenaient des milliers d'ouvrages et la langue des sciences était l'arabe, parallèlement au latin. Mais, comme l'a écrit Régis Debray, « L'islam a eu sa Renaissance d'abord, et son moyen-âge ensuite ». Si la science occidentale a peu à peu eu raison de l'obscurantisme chrétien, le chemin a été inverse pour l'islam qui s'est refermé sur luimême. Aujourd'hui il n'est pas question pour un scientifique occidental de mélanger science et religion. Pour la plupart des musulmans d'aujourd'hui au contraire la Vérité est tout entière contenue dans le Coran et la Sunna (qui reprend les « dits » du Prophète). Il s'agit alors de démontrer que les découvertes scientifiques ont été anticipées par le Coran, qu'elles concordent avec le texte sacré. Au prix de contorsions dans l'exégèse de telle ou telle sourate, on voudrait convaincre les étudiants que le Big Bang avait été annoncé, ou que la nidation d'un embryon dans la muqueuse utérine a été décrite déjà au VIIème siècle. C'est le concordisme . Parfois aussi on falsifie la science. C'est ainsi qu'il est affirmé que la vitesse de la lumière n'est pas finie (300 000 km/s), mais infinie. Les étudiants de Charfi admettent deux vérités distinctes, d'inégale valeur : celle de leur professeur, et celle découlant de la religion . La lumière étant un attribut divin, il ne saurait être question d'en fixer une limite. C'est-à-dire que la science n'a pas de domaine autonome, elle est soumise (islam signifie « soumission à la volonté de Dieu ») à des dogmes véhiculés par des textes « révélés » il y a 1400 ans. Pire encore, la science est suspecte, dangereuse, elle éloigne de la foi. La raison doit être subordonnée à la foi, et ne doit surtout pas instiller le doute. Le prophète à qui les « révélations » ont été dictées est source de tout le savoir, et le témoignage de ses compagnons (repris dans la Sunna) n'est pas non plus contestable.

Le langage de la science est pourtant universel. Les scientifiques du monde entier, hommes, femmes, africains, européens, athées et bouddhistes utilisent partout un raisonnement cartésien ne laissant aucune place aux dogmes, au surnaturel ou à une quelconque autorité supérieure, un dieu ou un livre. La science ne peut se développer si elle est soumise; Galilée en a fait l'amère expérience. Voilà pourquoi, nous dit Charfi, le monde arabo-musulman est surtout consommateur de science, mais non producteur de science. Le savoir ne doit pas être conçu comme un produit « utile », mais comme l'aventure d'un esprit libre et critique. C'est autre chose que de bricoler des bouts de science repris, déformés, mis en avant pour donner un vernis de modernisme.

Ces bouts de science subordonnés ne peuvent être générateurs de connaissance.

Charfi conclut en exprimant sa conviction qu'un jour les pays arabes contribueront à nouveau au savoir universel. Mais le ciel d'aujourd'hui est obscur et on sent Charfi amère. Les intellectuels éclairés arabo-musulmans sont bien seuls ...

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Littérature Au moment de rédiger cet article, il m’est impossible de savoir précisément avec quels sujets nous reprendrons en septembre prochain. Voici néanmoins un aperçu des cours pour l’année 2015-2016.

Le MARDI MATIN de 9h 30 à 12 h, dès le 15 septembre :

LITTÉRATURE FRANÇAISE

Le début du XXe siècle avec la Belle Epoque, la Première Guerre mondiale, l’entre-deuxguerres, …

Le MERCREDI MATIN de 9 h 30 à 12 h, dès le 16 septembre :

LITTÉRATURE FRANÇAISE

La première moitié du XIXe siècle : l’émergence et la domination du Romantisme.

Le MERCREDI APRÈS-MIDI de 14 h à 16 h 30,

LITTÉRATURE INTERNATIONALE

dès le 16 septembre :

1 semaine, 1 livre ! Le programme de cette année sera disponible fin juin au secrétariat.

Le VENDREDI APRÈS-MIDI de 13 h 45 à 16 h 15, dès le 18 septembre :

LITTÉRATURE ANGLAISE

Les grands auteurs du XXe siècle.

Plus de précisions dans le prochain numéro Jacques PALMAERS : 0499/62.40.26 - j.palmaers@laposte.net

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Histoire des arts décoratifs Ce cours, qui pourrait aussi s’intituler « Initiation au monde des Antiquités », démêle « les arcanes » des principaux « Arts Décoratifs ».

Il comprend 4 années : Histoire du bijou, de l’orfèvrerie et du mobilier régional français.

Histoire du verre suivie de l’histoire du mobilier régional wallon, c’est-à-dire namurois et surtout liégeois.

Histoire générale du mobilier.

Histoire de la céramique.

Les cours théoriques sont complétés par des visites de musées et d’expositions.

Ils se donnent à l’U3A tous les mercredis de 13 h 45 à 16 h 15.

Au programme de cette année : L’HISTOIRE du BIJOU, de L’ORFEVRERIE et du MOBILIER REGIONAL FRANÇAIS Professeur : Nicole Carpiaux, Contact : 04/267.03.20 ou 0497/50.80.35 -oOo-

Art floral Comme chaque année, Maridou vous proposera un cours d’art floral 2x par mois, le lundi matin.

Une ambiance sympa et le plaisir de réaliser soi-même de jolies compositions forales…

Lors de chaque cours, vous apprendrez des techniques de bonne conservation de vos fleurs, ainsi que des idées nouvelles pour décorer et ouvrir votre esprit créatif.

Vous pouvez avoir un aperçu des montages réalisés en classe sur le site www.tresnature.be, rubrique « agenda » ou encore toutes les infos concernant le cours dans la rubrique « cours art floral ». A partir du mois de juillet, vous pourrez découvrir notre programme de l’an prochain dans la rubrique « composition 2015-2016 » Pour vous inscrire : maridou@teledisnet.be ou 0477/595761 -oOo-

L’art italien, la douceur d’un rêve.

Stendhal, qui goûtait vivement l’art italien, l’expliquait par l’intensité des sentiments, la vivacité des mœurs, et ces traits, à leur tour, par le sol, le rythme du travail et de la vie, les particularités du climat…

Bernard Sohet -oOo-

Droit Fiscal Actualités fiscales / fiscalité et la famille Droit des sociétés et ASBL Christian Grimmonprez

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Histoire de l’architecture Le cours de l’année 2015-2016 suivra de près les évolutions et soubresauts de l’architecture entre 1950 et aujourd’hui.

Le mercredi sera consacré aux années 50-70, au cours desquelles le « Modernisme », né au début du siècle, va se voir affirmé, contesté ou détourné.

Le cours du jeudi questionnera l’architecture en train de se faire, celle de la fin XXe et du début XXIe siècle, à la recherche de ses multiples significations.

Au cours de l’année, des excursions, sous forme de promenades architecturales, seront organisées afin de faire apprécier, in vivo, les ressorts de la création architecturale.

Professeur : Jean-Pierre Rouge, Licencié en Histoire de l’Art, Diplômé de l’Ecole du Louvre.

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Vidéo Nos activités se poursuivent encore la saison prochaine… et les suivantes.

Notre horaire n’a pas changé : 2x par mois, le jeudi soir dans la salle 11 et 2x par mois le samedi matin, toujours dans la salle 11.

Léon Orban -oOo-

Wallon Cours de langues et de littératures wallonnes, Le vendredi matin, local N° 5..

Anne Delporte -oOo-

Conversation Allemande Les cours de conversation allemande continueront bien la saison prochaine.

René Horlay

Histoire de la Principauté de Liège 2ème année La suite de l’incontournable cours de première année vous fera découvrir Liège au travers des 19ème, 20ème et 21ème siècles, en une longue suite d’aventures aussi passionnantes les unes que les autres.Michèle Gosselin

Toujours bon à savoir Notre U3A possède une infirmerie avec un défibrillateur, plusieurs personnes ont été formées à son maniement. L’infirmerie se trouve en face du secrétariat.

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ARTS GRAPHIQUES Les cours d’arts graphiques offrent de larges possibilités d’initiation et de formation. Ils sont accessibles à tous.

Aux techniques sèches : dessin, perspective, création harmonieuse de l’espace., aux techniques fluides : aquarelle, peinture à l’huile, acrylique, gouache et techniques mixtes.

Ils s’adressent à tous ceux qui souhaitent découvrir les arcanes de la création artistique.

Si développer vos capacités d’expression créative, si élargir votre regard sur l’univers culturel en vous délassant vous intéresse, n’hésitez donc pas à nous rejoindre dans une ambiance sereine et conviviale.

Inscriptions dès le mardi 1er septembre auprès de Joëlle BROEN dans les locaux de l’U3A. Aquarelle débutant Aquarelle 1 Aquarelle 2 Acrylique 1+2 Techniques mixtes - gouache Dessin création 1 Peinture à l’huile 1 Peinture à l’huile 2 Joëlle Broen -oOo-

GENEALOGIE A l'U3A d'éminents professeurs vous racontent l'histoire de l'art, des civilisations, de la musique, des religions ….

Mais la vôtre, celle de votre famille, de vos ancêtres vous pouvez la faire.

Le lundi et le jeudi après-midi, si le cœur vous en dit, vous trouverez toujours quelqu'un pour vous aider à consulter les archives, à lire les textes anciens, en français, en néerlandais, en latin. Nous vous attendons.

J.Peremans 04 342 18 41 jules.peremans@scarlet.be

Micheline Housset 04 362 91 87 m.demars-housset@skynet.be

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Fiscalité Jeudi matin de 9h00 à 12h00, salle N° 1. Je confirme que les participants souhaitent que le cours puisse se poursuivre la saison prochaine, j’en assurerai dès lors l’animation.

Marcel Soors

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Histoire de l’Art moderne et contemporain (Anne Gersten) Le cours est basé sur l’analyse esthétique des œuvres d’art mises en relation avec le contexte historique, social, politique et idéologique de l’époque. Sont également abordés les grands sujets de l’actualité artistique.

Deux cours : 1- le jeudi (9h30-12 h.) : L’art abstrait d’après-guerre (40-45) :l’Ecole de New York – La Nouvelle Ecole de Paris – Cobra – Art brut…

2- le vendredi (9h30-12 h.) : Remise en question de l’art abstrait – Pop’art – Néodadaïsme – Op’ Art et cinétisme – Art minimal – Art conceptuel…

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Histoire des Religions Lundi de 9h30 à 12, local 11 Mardi de 9h30 à 12, local 7 Marcel Rainkin

Anthropologie Sociale Jeudi de 9h30 à 12h00, local 11 Vendredi de 9h30 à 12h00, local 16 Marcel Rainkin -oOo-

Ping-Pong Le cours de ping-pong continuera bien selon le même horaire, à savoir les lundis et jeudis matin.

Philippe Mathieu -oOo-

Histoire du Théâtre Monsieur Roland Langevin donnera histoire du théâtre niveau 1 et niveau 3, ainsi que l’atelier Théâtre.

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Philosophie et Psychologie "Le cours de philosophie 1er cycle vous propose de découvrir la philosophie et ses penseurs durant 2 années. Cette année, nous aborderons la philosophie par ses grandes questions. Sommes-nous libres ou déterminés ? Que faut-il pour être heureux ? A quoi sert une œuvre d’art ? Qu’est-ce que le temps, la vérité, le mal ? La société peut-elle se passer de Dieu ? Quels rapports devrions-nous entretenir avec la nature ? Comment penser la mort ? L’amitié désintéressée existe-t-elle ? "

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Les 5 et 6 septembre 2015 au parc d'Avroy à Liège

Le 8 septembre 2015 dès 14h00 en nos locaux Rue Joseph prévers, 27 à Jupille Dans le site du marché couvert