PS : C’est là que la magie de Rémi opère, ☺ En me faisant une bien meilleure bannière !
Mon alcool ou ma drogue à moi, c’est la lecture ! Il y a les petits lecteurs (un livre par mois) et il y a moi qui vais lire jusqu’à trois livres par semaine et je suis même capable d’en lire plusieurs en même temps. Cette sorte d’addictio n semble me rendre accro depuis toujours … Enfin, d’aussi loin que je m’en souvienne, elle remonte à mes premières années de primaire . La Bibliothèque Municipale de mon village se trouva it en effet à l’autre b out de la cours de récréatio n de mo n école et au moins une fois par semaine , nous étions invités à nous y rendre afin d’y choisir un livre à lire. Et rien que le lieu à lui seul suffisait à rendre accro et j’en garde un souvenir nostalgique : les murs, les sols et les bibliothèques étaient de bois fo ncé et se confondaient, pas une once de leurs recoins n’étaient pas recouverts de livres, l’atmosphère y éta it sombre et lourde de poussière mais non moins emprunte de cette a gréable chaleur d’antan propice à l’ évasion. C’est ainsi que depuis je lis (de tout et surtout de n’importe quoi : comme le dos d’un paquet de c éréales si je n’ai rien d’autre sous la ma in) et que je suis également atteint d’ une collectionnite aigue en ce qui concerne les livres biens ouvragés. Mais lire me fai t du bien. Les fadas de lecture le savent : celle -ci peut être un refuge qui aide à supporter un monde difficile, a nxiogène. Pour mo i, la lecture est a ussi un plaisir très intérieur, un espace-temps personnel et il y en est des univer s fa ntastiques " vraisemblables " si richement décrits et étudiés qu’il n’est que trop facile de s’y perdre pendant de longues heures, la issant derrière soi la réalité … C’est le cas avec le Monde des Sorciers de J.K. Rowling™ qui m’a permis et me permet en core de m’évader dans son imaginaire à des périodes de ma vie où les aléas de mon monde ordinaire m’y poussent. J’en ai tellement lu les livres que les pages en so nt cornées et les couvertures abimées. Sans pa rler des films do nt j’ai fini par en co nnaître les répliques par c oeurr. Aussi, je possède l’ensemble des ouvrages dérivés sur la saga Harry Potter , donc ceux annoncés sur le premier volet de Les Animaux Fantastiques étaient plus qu’alléchants. Mais trêve de gobelbabille , place aux apost illes !
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AU CŒUR DE LA MAGIE : LE MAKING-OF
Lorsque j’ai appris au détour d’un article sur le site UniversHarryPotter.com que des livres-compagnons sur le film Les Animaux Fantastiques allaient être édités : tel un enfant, j’ai sauté de joie derrière mon pc (interloquant, au passage, ma compagne qui ne partageant pas ma fanatitude m’a pris pour un hystérique ^^). Ben oui, il était inconcevable que ceux-ci ne viennent pas rejoindre les autres ouvrages sur Harry Potter ! Malheureusement, en ce mois de Novembre 2016 (le mois de leur sortie respective), je venais d’ajouter à ma collection livresque potterienne Le Grimoire des Objets Magiques de Jody Revenson ainsi que deux ou trois romans à ma PAL1… ainsi dire que mon compte bancaire me faisait grise mine… Donc, non sans avoir bataillé ferme avec une pulsion acheteuse, je me résignais alors à attendre le mois suivant afin d’assouvir ladite pulsion avec cette ‘nouvelle’ collection ! Mais le calvaire (n’ayons pas peur des mots) fut bien moins long qu’attendu grâce à la générosité de HarperCollins France. Mon bonheur fut à son comble lorsqu’en allant au courrier un matin, je découvris dans ma boite à lettres un énorme paquet en provenance desdites éditions ! Je n’avais nul besoin de l'ouvrir pour en connaître le contenu, dans la mesure où je savais très précisément de quoi il en retournait. Mais encore une fois, tel un gamin recevant son cadeau à Noël, je suis retourné chez moi souriant jusqu’aux oreilles et sautant d’une joie extatique. Non sans difficulté, j’ai donc freiné cette hystérie afin de m'imposer une ouverture de l'enveloppe matelassée avec le flegme qui incombait et ce, également pour ne pas risquer d’abîmer quoi que ce soit… Accompagné d’une carte de visite de la maison d’édition avec un petit message manuscrit de l’adorable Romy (qui est chargée de la Communication Digitale chez HC France et que je ne remercierai jamais assez), j’avais enfin dans les mains un des livres basés sur le film, Au Cœur de la Magie : Le Making-Of - Les Animaux Fantastiques ! 1.
Jargon utilisé par les lecteurs-addicts signifiant ‘Pile A Lire’ et se rapportant à la pile de livres qu’ils possèdent mais
qu’ils n’ont pas encore lu.
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Pourquoi cet enthousiasme exacerbé ? Dois-je me répéter ? C’est aussi parce que parmi tous les livres entourant la sortie du film, c’est celui qui fascine le plus les adeptes de secrets de tournage et qu’il est toujours bon découvrir l'envers du décor, de pénétrer côté-coulisses de cette immense machinerie magique ! Même si on bénéficie d’un tel résultat une fois devant l'écran, l'occasion est rare de pouvoir en saisir chaque subtilités autrement qu'avec un guide aussi complet. Ce livre-objet permet alors de revenir en détails sur tout ce que le film nous montre dans la globalité mais sur quoi – porté par le rythme de l'histoire – on n'a pas la possibilité de s'attarder (et pourtant, j’ai l’expérience avec la saga Harry Potter, d’être très observateur ;) ). Avant de poursuivre, il convient de dire qu’il s’agit là de ce que j’appelle un bel objet de collection ! Oui, pour moi, c'est un bel objet : grand format, couverture reliée et rigide, pages en papier glacé richement illustrées et émaillé par des ornements art-déco très à propos ! Aussi, après un avant-propos rédigé par l’acteur Eddie Redmayne qui interprète (selon moi) un Newt Scamander et un Poufsouffle avec brio, on poursuit avec un entretien du producteur David Heyman. On cède ensuite la place à une table des matières qui permet d’avoir une vue d’ensemble sur ce qu’il y a à découvrir au travers des pages de ce making-of : c’est appréciable de pouvoir se rendre au chapitre qui nous intéresse le plus (surtout quand on ne sait pas où donner de la tête tellement tout est intéressant). Les illustrations (photos de tournages et dessins préparatoires) qui parsèment l’ensemble des 128 pages et quelques de cet ouvrage sont sublimes et permettent de revenir et surtout s’attarder sur des choses qui passent bien trop rapidement à l’écran : ici on est vraiment dans l’approfondissement méticuleux de cette adaptation cinématographique. En parcourant lesdites pages, on a comme une impression d’être privilégiés, de pouvoir découvrir tous les secrets et les petites anecdotes du tournage. C’est aussi assez immersif : cela procure l’effet d’entrer dans la peau des personnages propulsés dans les fabuleux décors. En parlant de personnages, leurs fiches sont très enrichies en détails : elles introduisent la conception tant biographique qu'esthétique de chacun d’eux (l'accessoiriste Pierre Bohanna a imaginé une baguette au style unique et symbolique, autant que nulle autre que la styliste – attitrée de Tim Burton – Colleen Atwood qui a conçu une ligne de vêtement restituant dans leur mise et leur allure, l'âme du personnage). On y perçoit totalement le trait de caractères de nos héros. Les confessions des acteurs qui viennent les compléter apportent vraiment un avantage indéniable pour comprendre comment ils ont appréhendé leur rôle et la façon dont ils se sont préparés pour les porter à l’écran. 3
Pour revenir à l’équipe technique, celle-ci revient sur la création des décors, des costumes et de l’univers du Magizoologiste. Les curieux et/ou passionnés du Monde des Sorciers de J.K. Rowling™ sont enchantés d'admirer, via les encarts appropriés, le souci du détail effectué sur chaque baguette et qui est malheureusement invisible à l'écran. Par ailleurs, de nombreux chapitres reviennent avec soin sur un aspect primordial de ce premier volet : la reconstitution historique. Cette entreprise est d'autant plus réussie qu’il n’a jamais été associé par le passé, les 20’s au genre Fantastique ! Ainsi, c’est avec de nombreuses photographies d'époque en référence, que l’auteur du présent ouvrage Ian Nathan nous laisse tout le loisir d'observer les décors du New-York de briques et d'acier du début du XXème siècle. Ensuite, l’ouvrage nous transporte doucement vers les créations qui m'enthousiasment énormément et qui procure tout l'ambiance "Année folles" au film : les créations des comparses Eduardo Lima et Miraphora Mina, que l'on trouve disséminées partout dans ce livre. Ils avaient déjà magnifiquement œuvré pour l'univers Harry Potter et je vénère leur travail (je suis un fan immodéré atteint de collectionite aigüe lorsque cela concerne les nombreux fac-similés officiels de leur travail ^^) ! Ce sont des graphistes hors-pairs qui excellent dans la re-création de tout l'ensemble sérigraphico-visuel nécessaire dans ce film (journaux, fausses publicités, papiers personnels et officiels, enseignes…). Et c'est dire s'il y en a ! Mais pour Les Animaux Fantastiques, le travail est à plus forte raison admirable puisqu'en plus de recréer un visuel propre au Monde des Sorciers de J.K. Rowling™, il a fallu le faire cohabiter avec le style artdéco inhérent aux 20’s. Le rendu final est franchement magnifique : les affiches du groupuscule anti-sorcier, la publicité élégante à l'entrée du bar clandestin ou encore les encarts de publicité pour balais volants... tout respire l'authenticité en dépit de l'accent fantastique des créations ! Enfin, j’ai cœur à revenir sur un aspect important dans cet univers et qui n’est pas exempt dans ce film : la traduction française ! C’est un aspect qui m’est et m’a toujours été cher. Il n’est pas aisé de transposer dans une autre langue l’univers de l’auteure sans en dénaturer la richesse historico-sémantique (ce qui, à l’instar des célèbres "mots-valises Carroliens", est appelé "Potterspeak" ou encore "rowlinguismes"2 avec ses allitérations, ses assonances, ses contrepèteries et autres jeux de mots qui lui sont chers), mais Mr Ménard s’en fort admirablement sorti ! Autant vous l’avouer de suite, l’équipe d’adaptation en version française du film a fait saigner mes oreilles lorsque je suis allé voir le film au cinéma : mention honorable à PorpentinE pour PorpentinA, Croyance pour Credence, Fidèles de Salem pour Seconds Salemers (que vous, vous reprenez fort bien en Seconds de Salem) ou encore la traduction malheureuse de la référence au Quidditch lors du passage où notre héros est interpellé par Mary Lou Bellebosse… 2.
Néologisme inventé par Walter Galadriel, qu’il explique dans son livre : The Ultimate Unofficial Guide to the
Mysteries of Harry Potter, Niles, Illinois : Wizarding Wolrd Press, 2003
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Or, dans cet ouvrage, à défaut de ne pas reprendre les francisations du film (ce dont je vous remercie), vous créez une certaine incohérence pour certains lecteurs. Pour autant, je vous remercie d’apporter une traduction française absente du film pour des rowlinguismes tels que « The Blind Pig » (qui devient « Le Cochon Aveugle ») ou encore « The New Salem Philantropic Society » (« La Fondation Philantropique pour du Nouveau Salem ») et « The New York Ghost » (« Le Fantôme de New York »)… Toutefois, je regrette dans le présent ouvrage que le « Transfiguration Today » devienne le « Métamorphose Aujourd’hui » alors que le traducteur français officiel pour les éditions Gallimard Jeunesse, Mr Jean-François Ménard, était parvenu à trouver le parfait « Mensuel de la Métamorphose » (même si cette traduction lui prête une périodicité qui n’a pas lieu en vo, elle a le mérite de conserver l’allitération) ! En bref, je recommande cet ouvrage à tous les fans de l’univers de Miss Rowling ! A tous ceux qui veulent pousser l’expérience plus loin en découvrant tous les secrets et les anecdotes du tournage du film Les Animaux Fantastiques. Pour tous les amoureux de beaux livres, celui-ci vous plongera dans un univers empli de magie et vous fera découvrir l’envers du décor de cette superbe production cinématographique.
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LES ARCHITECTES DE L’ILLUSION
ART BOOK Avant de commencer, je tenais à vous faire savoir que contrairement au bonheur ressenti à la réception du colis contenant le livre Au Cœur de la Magie : Le Making-Of - Les Animaux Fantastiques… Il m’est arrivé bien des péripéties avant de pouvoir récupérer le colis qui renfermé celui-ci à la Poste et autant vous dire qu’il aurait dû s’appeler « Désiré »… mais il en vaut bien la chandelle ☺ ! Cela étant dit, une fois la grande et lourde enveloppe matelassée ouverte avec ce flegme qui s’impose – il va sans dire – j’en ai sorti délicatement le livre. Il était une fois encore accompagné par la carte de visite estampillée HarperCollins France et de ce petit message manuscrit de l’adorable Romy. Il n’y a pas à dire, déjà au regard de la couverture, Les Architectes de l’Illusion : Les Animaux Fantastiques – Art Book est un plaisir pour les yeux ! Aussi, son grand format, sa couverture reliée et rigide et ses pages en papier glacé abondamment illustrées font également de ce livre un bel objet de collection qui ravira les fans comme les amateurs d’art en ouvrant les portes des ateliers des artistes qui ont œuvré à magnifier et rendre crédible la faune et les environnements imaginés par Miss Rowling pour le film, Les Animaux Fantastiques ! Ce livre donne, à raison, l’impression d’avoir été convié à une sorte de vernissage. Si on bénéficie de ce très bel aspect visuel et esthétique une fois devant l'écran, c’est aussi par le biais de ces différents étapes – qu’elles aient été avortées ou non – qui autrement qu'avec un art book, ne nous auraient pas interpellé. Comment extirper de la description textuelle, un visuel en trois dimensions ? Comment rendre crédible le Monde des Sorciers de J.K. Rowling™ ? Comment rendre vraisemblable l’invraisemblable ? C’est à toutes ces questions que prétend répondre ce livre, mais qui nous apprend aussi qu’il faut sans doute être un peu sorcier pour proposer ce rendu à la fois réaliste et grandiose ! 6
Aussi, grâce à ce livre, les curieux et/ou passionnés de cinéma seront enchantés d’en apprendre d’avantage sur ce processus créatif fascinant depuis les toutes premières confrontations entre artistes, concepteurs et réalisateurs, jusqu’à la phase cruciale de la post-production au sein des Studios Leavesden. Cet ouvrage s’ouvre sur un avant-propos signé par celui qui a su – peut-être – se représenter le mieux ce Monde des Sorciers de J.K. Rowling™, le Directeur Artistique Stuart Craig. Il se poursuit par une introduction du concept-artiste qui a compilé ce recueil, Dermot Power. S’ensuit un sommaire qui, divisé en 6 chapitres, nous permet tour à tour d’arpenter les rue du New York des 20’s, de passer à travers la barrière secrète du siège du pouvoir magique américain, de descendre dans la valise de Norbert Dragonneau, d’y observer la plupart des animaux magiques qu’elle renferme, d’aller se désaltérer au bar clandestin et enfin, d’éclaircir les zones d’ombre sur l’Obscurus. Ce livre-objet cède alors la place au vif du sujet : il est composé à quatre-vingt-dix pour cents de centaines d’esquisses, de peintures, de storyboards, de dessins, de plans détaillés et croquis numériques, et dont certains sont présentés en double page. Ceux-ci nous permettent de comprendre les subtilités et les étapes (parfois nombreuses) que représentent ce travail pour des artistes qui « avec seulement un crayon et du papier, de la lumière et des formes […] sont capables de dessiner comme Raphaël et de façonner la lumière comme le Caravage. C’est de la magie qui doit être simple, et c’est ça, le plus dur », le plus dur de faire illusion à l’écran. Après tout, le livre a bien pour titre les architectes de l’illusion ! En soi, c’est là que l’on se rend compte de l’intérêt que peut avoir un artbook ! En effet, on découvre dans ce livre des projets qui n’ont jamais été validés ou qui furent tout simplement coupés au montage final : c’est le cas d’une scène d’emprisonnement au MACUSA où dans une des cellules jouxtant celle de nos héros, devait s’y trouver enfermé un Sasquatch et un Elfe de Maison, après qu’ils se soient bagarrés. On découvre aussi, les noms de certaines créatures qui apparaissant à l’écran sans qu’elles soient nommées : c’est le cas de la créature tentaculaire à laquelle Newt semble donner un biberon, elle porte le nom de « Créature Crevette ». Il y a aussi une créature appelée « Ver Luisant », dont l’apparence reprend celle d’un insecte vraisemblable pourvu d’un abdomen en forme d’ampoule avec des filaments de tungstène3 incandescents ! On apprend également au sein de cet ouvrage qu’il existe un dimorphisme sexuel4 extrême chez certaines créatures : le mâle Eruptif est « une petite bestiole d’aspect fragile » contrairement à sa femelle (et ce n’est Jacob qui vous dira le contraire ^^). 3.
Métal très dur et très stable à haute température qui était utilisé comme filament dans les ampoules à incandescence.
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Ensemble des différences morphologiques plus ou moins marquées entre les individus mâle et femelle d’une même
espèces.
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On découvre enfin aussi jusqu’où le détail est poussé parfois et surtout, à quel étrange et palpitant défi les artistes doivent se mesurer : les crottes de Veaudelune ont également eu le droit à leur conceptualisation ! Cet ensemble est émaillé d’anecdotes et de commentaires de pas moins de 35 artistes qui révèlent qu’il s’agit là d’un exercice très technique dont « un seul trait de pinceau peut revêtir une importance des plus cruciales ». C’est en effet tout un art de transposer l’imaginaire de Miss Rowling. Mais aussi « qu’il s’agisse d’un croquis ou d’une modélisation, et quelle que soit [cette] complexité technique, le résultat demeure une œuvre d’art ». L’avis qui suit n’engage que moi, mais j’ai été quelque peu mitigé par cet émaillage de commentaires. A l’instar d’autres artbooks et peut-être avais-je trop d’aspirations, je m’attendais à ce que les textes soient plus développés, qu’ils apportent d’avantages de détails. Là, alourdissant quelque peu la lecture, il est souvent plus question de l’amusement qu’ont éprouvé les artistes ou du peu de temps qu’ils ont eu pour réaliser tel ou tel projet ; même si certaines remarques sont bien plus constructives. Enfin, à défaut de goodies (oui, vous connaissez mon goût démesuré pour les fac-similés ^^) et de manière assez discrète, on trouve à la fin du livre, une enveloppe contenant trois illustrations originales imprimées sur papier épais. En résumé, si vous aviez pu être un Billywig voletant autour de la voute de la Chapelle Sixtine sur laquelle Michel-Ange peignait sa célèbre fresque illustrant le Jugement Dernier,
n'auriez-vous pas sauté sur l'occasion ? Les Animaux Fantastiques n'est peut-être pas un chefd'œuvre de la Renaissance, mais pour tous les amoureux de beaux livres, Les Architectes de
l’Illusion : Les Animaux Fantastiques – Art Book vous révèlera que ledit film est tout de même un véritable festin visuel !
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