Gouvernement Bolivarien du Venezuela
Le Ministère du pouvoir populaire pour les affaires étrangères
Les Ambassades de la République Bolivariennedu Venezuela dans le monde Vol. 3: Numéro 39, 26 septembre 2017
Bulletin Hebdomadaire La nouvelle interdiction de voyage Anti-Venezuela de Trump La République bolivarienne du Venezuela, en réaffirmant sa position de principe concernant la condamnation du terrorisme sous toutes ses formes et manifestations, dénonce à la communauté internationale les actions hostiles et hostiles du Gouvernement des États-Unis d'Amérique qui cherchent à stigmatiser notre pays en vertu de le prétexte de la lutte contre le terrorisme, en l'incluant dans une liste établie unilatéralement et accusant d'autres États d'être des promoteurs supposés de ce terrible fléau.
Le président américain D o n a l d Trump a annoncé que le Venezuela et la Corée du Nord seraient ajoutés à la liste des pays interdits de voyager aux États-Unis. L'ordre décrit les différentes restrictions pour chaque pays sur la liste.
Ces types de listes, il convient de souligner, sont incompatibles avec le droit international et constituent en eux-mêmes une forme de terrorisme psychologique et politique. Nos gens sont également punis pour leur vocation pacifiste, ainsi que pour leur tolérance et leur respect pour les différentes religions et croyances professées librement et harmonieusement dans notre pays.
Dans le cas du Venezuela, le nouveau décret vise «certains fonctionnaires du gouvernement vénézuélien et leurs membres de famille immédiats», selon le bureau de presse de la Maison Blanche. La République bolivarienne du Venezuela rejette catégoriquement la décision irrationnelle du Gouvernement des États-Unis d'Amérique de classer à nouveau les nobles gens du Venezuela comme une menace pour leur propre sécurité nationale, cette fois sous de fausses hypothèses qui posent une menace terroriste et un Américain ordre publique.
La République bolivarienne du Venezuela dénonce aux personnes libres du monde que cette action, en plus de faire partie de la campagne déjà dénoncée d'agression systématique contre notre pays, cherche à justifier l'utilisation de problèmes aussi graves que la lutte contre le terrorisme en tant que signifie atteindre des objectifs politiques, tout en cherchant à semer une mauvaise vue de la population américaine et à exercer des pressions sur les institutions de l'État vénézuélien et les prétendus fonctionnaires publics sanctionnés par la mesure qui vient d'être adoptée pour contraindre ou forcer un changement au gouvernement vénézuélien.
La République bolivarienne du Venezuela, en approuvant la Déclaration politique de New York adoptée à l'unanimité le 20 mars 2017 par les 120 ministres des affaires étrangères du Mouvement des Pays Non- Alignés (MNA), réaffirme sa ferme condamnation de la promulgation et de la mise en œuvre de mesures coercitives unilatérales , en violation flagrante des buts et principes énoncés dans la Charte des Nations Unies du droit international et des normes qui devraient régir les relations amicales et la coopération entre les États.
La République bolivarienne du Venezuela, dans l'exercice de ses droits souverains, répudie la conduite impériale du Gouvernement des États-Unis d'Amérique et informe que, conformément au principe de réciprocité, elle examinera toutes les mesures nécessaires pour défendre l'intérêt national et la souveraineté . www.nydailynews.com
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Dans cette édition 1. La nouvelle interdiction de voyage AntiVenezuela de Trump 2. Le Canada impose des sanctions contre le Venezuela 3. la célébration du Jour de l'Unification du Royaume d'Arabie Saoudite 4.Le discours de Trump sur le Venezuela: 5. Le tremblement de terre au Mexique : Le Venezuela délivre 10,4 tonnes d'aide 6. Les Kenyans triomphent au Marathon de Berlin
Le Canada impose des sanctions contre le Venezuela Le Canada imposera des sanctions ciblées contre 40 hauts fonctionnaires vénézuéliens, y compris le président Nicolás Maduro, pour les punir pour un «comportement antidémocratique», a déclaré le ministère des Affaires étrangères le vendredi 22 septembre. Les mesures incluent le gel des biens des fonctionnaires et l'interdiction des Canadiens d'avoir des relations avec eux. La République bolivarienne du Venezuela rejette catégoriquement la décision du gouvernement du Canada d'imposer des sanctions illégales aux hauts fonctionnaires de l'État vénézuélien, en violation flagrante des buts et principes énoncés dans la Charte des Nations Unies, la Charte de l'OEA, le droit international et les règles régissant les relations amicales et la coopération entre les États.
CANADA
VENEZUELA
Le Venezuela dénonce à la communauté internationale ces mesures hostiles qui violent, entre autres, le principe de non-intervention dans les affaires intérieures des Etats et qui visent à saper la paix et la stabilité sociale réalisées dans notre pays après la formation de l'Assemblée nationale constituante, ainsi que les efforts continus déployés par l'exécutif national en faveur du dialogue et de la compréhension politique parmi les différents secteurs qui font la vie dans le pays. Ce sont des sanctions visant à miner les efforts visant à lancer, avec le soutien et le soutien des membres de la communauté internationale, le dialogue entre le gouvernement et l'opposition vénézuélienne. La fin de l'agression consiste à ignorer les institutions de l'État vénézuélien et à continuer de soutenir la violence des groupes extrémistes que le gouvernement du Canada a protégés et promus dans les forums internationaux. Une fois que la paix est atteinte avec la défaite des facteurs violents, les intérêts antinationaux tentent de créer une crise de l'extérieur. Le 5 septembre 2017, le gouvernement du Canada a créé une association aberrante de subordination au gouvernement du président Donald Trump dans le but explicite de renverser le gouvernement constitutionnel du Venezuela en utilisant les sanctions économiques comme arme politique. La République bolivarienne du Venezuela, dans l'exercice de ses droits souverains, répudie la conduite impériale des États qui croient avoir le pouvoir de violer le droit international et dénonce le faux discours du gouvernement canadien qui est associé au porte-parole le plus rétrograde du suprématisme blanc américain, qui attaque la plupart des pays de l'hémisphère. Cette décision du gouvernement canadien endommageait profondément les liens d'amitié et de respect que depuis des années ont guidé les relations entre nos pays et, par conséquent, envisageront toutes les mesures nécessaires pour défendre l'intérêt national et la souveraineté. Caracas, September 22nd, 2017 www.mppre.gob.ve
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la célébration du Jour de l'Unification du Royaume d'Arabie Saoudite
L'unification de l'Arabie saoudite était une campagne militaire et politique, par laquelle les diverses tribus, cheikhdoms, émirats et royaumes de la plupart de la péninsule arabique ont été conquis par la Maison de Saoud ou Al Saud entre 1902 et 1932. L'Arabie saoudite et le Venezuela sont des fondateurs et des membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). Les deux pays ont eu une longue histoire et de bons liens bilatéraux et ont travaillé sur des moyens d'augmenter les prix du pétrole.En tant que tel le président de la République bolivarienne du Venezuela, Nicolas Maduro Moros, au nom du peuple et du gouvernement bolivarien, exprime ses plus sincères félicitations au peuple fraternel saoudien et au gouvernement amical, lors de la célébration de la journée de l'union du Royaume d'Arabie Saoudite . Le peuple bolivarien profite de cette occasion pour transmettre au peuple et au gouvernement du Royaume d'Arabie Saoudite des salutations chaleureuses, amicales et fraternelles et exprime sa volonté de continuer à promouvoir les liens d'amitié et la coopération stratégique entre nos pays. Le gouvernement bolivarien espère sincèrement continuer à construire des ponts qui permettent d'approfondir notre partenariat historique et notre lutte commune pour défendre nos intérêts et nos ressources naturelles, ainsi que pour renforcer notre lutte dans les causes communes du développement humain et de la justice pour nos peuples et régions. La République bolivarienne du Venezuela réaffirme la pleine volonté du gouvernement bolivarien de travailler fort pour le bien-être de notre peuple et de continuer à suivre le chemin vers la paix et un avenir meilleur pour l'humanité. Caracas, le 23 septembre 2017
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Le discours de Trump sur le Venezuela: cadre symbolique, exceptionnalisme et manœuvres pour gâter le dialogue Le président américain Donald Trump, dans son discours inaugural de l'ONU, a qualifié l'Iran, la Corée du Nord et le Venezuela de «déchaîné» et de dictatorial ». Une réponse aussi fâcheuse du ministre iranien des Affaires étrangères Javad Zarif et du président vénézuélien Nicolas Maduro n'a pas pris longtemps, qualifiant ses remarques «sans vergogne», «ignorant» et «agressif».
paiements des importateurs. L’article de l'Examen national déjà mentionné précise également ce que Haley l'ambassadrice américaine à l'ONU joue au sein de l'ONU: «C'est une personne qui est prête à faire pression publiquement sur les organismes des Nations Unies corrompus et inefficaces comme le Conseil des droits de l'homme pour leur hypocrisie et leur antisémitisme tout en réaffirmant l'alliance américaine avec Israël d'une manière qui est normalement l'affaire du secrétaire d'État ".
Le dialogue politique commencé en République dominicaine à la suite de l'Assemblée constituante nationale a provoqué une série d'actions pour le déstabiliser. L’objectif principal du diner de New York était les audiences fausses de Luis Almagro de l'OEA avec des ONG et des vénézuéliens corrompus protégés par les États-Unis, en coordination avec Zeid Al Hussein, Haut-commissaire aux droits de l'homme de l'ONU, visant à envoyer la voie à Nicolas Maduro à la Cour pénale internationale pour "crimes contre l'humanité".
L'Assemblée générale des Nations Unies a ouvert ses portes avec un discours hyper-guerrier de Donald Trump et une réunion des ministres des Affaires étrangères du groupe de la Déclaration de Lima et constitue une occasion en or de prendre de nouvelles mesures pour promouvoir l'agenda interventionnel, ouvrant la voie à la " Problème vénézuélien "au plus haut niveau de l'ONU, le Conseil de sécurité, comme cela a été le cas en Libye et en Syrie avant.
Quelques jours auparavant, ils ont resserré les vis du blocage financier contre CITGO, la filiale de PDVSA aux États-Unis, en réduisant ses marges de crédit afin de réduire ses bénéfices et le rapatriement des dividendes au Venezuela, même en interdisant les licences du Département du Trésor après L'ordre exécutif de Trump. De même, des tonnes de nourriture et de médicaments ne peuvent pas entrer au Venezuela parce que les banques américaines, comme Citibank, ne traiteront pas les
Bien que des mesures criminelles coercitives parallèles soient activées contre la direction chavista, cette route est encore semée d'obstacles, de même que le placement du Venezuela comme question permanente devant le Conseil de sécurité de l'ONU. Les pièces en place sur l'échiquier suggèrent que l'option la plus réalisable à court terme est de consolider l'affaire en faisant valoir que 4
le Venezuela est un État défaillant, en utilisant les médias d'entreprise, les agences des Nations Unies et le Congrès des États-Unis pour justifier un caractère unilatéral plus agressif action dans le domaine économique et financier. Au-delà de ce que suggèrent les apparences et de la rhétorique publique, l'étalonnage des objectifs contre le Venezuela exige que les États- Unis pour contourner les barrières des institutions multilatérales traditionnelles, ou du moins les combiner avec des structures informelles comme le groupe de la Déclaration de Lima afin de se libérer des restrictions du droit international et finalement de prendre la loi entre elles. Le cas de la Syrie sert d'exemple de la façon dont, même après avoir ignoré le droit international pour envahir un pays par des moyens non conventionnels, les futures guerres hybrides ont besoin d'institutions internationales encore plus flexibles, dérégulées, rapides, dépouillées de contrôle par les États-nations, effaçant les forces militaires, diplomatiques et politiques frontières dans un théâtre d'opérations donné. Sans que cet état de choses soit encore pleinement développé et, bien que l'ONU soit une institution qui a très bien servi les intérêts géostratégiques américains, rien ne pourrait empêcher les autorités syriennes d'utiliser l'ONU pour préparer les discussions et les négociations à Astana. À travers l'Atlantique, le Venezuela a reçu le soutien du Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, et du Conseil des droits de l'homme. Cela explique la raison pour laquelle les «recommandations» de Nikki Haley l'ambassadrice américaine à l'ONU pour réformer l'ONU ont été abordées à l'approche de l'Assemblée générale de cette année, à savoir démanteler les agences qui bloquent ou critiquent l'agenda exceptionnel des États-Unis, en accordant une attention particulière aux organes des Nations Unies où le Venezuela, la Russie, la Chine, l'Iran et la Syrie exercent une influence clé.
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Une conclusion en développement
Rien de tout cela ne figure dans le discours de Trump aux Nations Unies. Les trois chefs militaires, qui sont les véritables gouvernements des États-Unis, sont en train de faire pression sur les pays partenaires et les pays neutres parmi les nations du monde à accompagner leur programme de lutte contre la violence politique contre le Venezuela. Ils le font dans tous les organismes multilatéraux où ils ont une influence. Entre eux, le refus de reconnaître l'État vénézuélien et de le rompre, sont devenus des points d'honneur. Aucun mécanisme de négociation et de stabilisation politique, que ce soit par voie d'élection ou de dialogue, ne modifie leur position, à moins que cela ne signifie une défaite pour le le gouvernement du Venezuela. Ce n'est pas seulement en raison de la guerre qu'ils veulent infliger au Venezuela en raison de leur propre besoin économique de base, mais aussi parce que le principe à partir duquel leur blocus financier et le siège diplomatique commence est basé sur l'illégitimité d'un scénario politique qui reconnaît le chavismo comme le gouvernement du Venezuela. www.telesurtv.net www.washingtonpost.com
Le tremblement de terre au Mexique : Le Venezuela délivre 10,4 tonnes d'aide
Le Venezuela a livré plus de 10 tonnes d'aide humanitaire à la ville de Mexico ravagée par le tremblement de terre, qui est arrivée tôt le matin de dimanche. L'ambassadeur vénézuélien au Mexique, Maria Urbaneja, qui a coordonné l'aide humanitaire, a déclaré à TeleSUR que le geste a souligné l'engagement du Venezuela envers les relations extérieures, en ajoutant qu'il reflète l'importance de «l'amitié, la solidarité et l'intégration». Le ministre des Relations intérieures, de la Justice et de la paix, Néstor Reverol, a fait écho au sentiment, qui a déclaré que le peuple vénézuélien sympathisait avec la douleur et le chagrin actuels des Mexicains. Les forces armées nationales du Venezuela sont arrivées avec des matelas, des couvertures, des tentes, des aliments périssables et
non périssables, ainsi que d'autres objets pour soulager la douleur de la population dévastée jusqu'à la reconstruction des zones touchées. Hugo Morales, spécialiste des affaires internationales mexicaines, a exprimé sa gratitude au nom du peuple mexicain en remerciant également l'État bolivarien de la «manifestation de solidarité». Le personnel de la protection civile et de la gestion des catastrophes a également été chargé d'évaluer l'ampleur des dommages et d'aider les partis de recherche et de sauvetage dans le pays d'Amérique centrale. Le Mexique a subi une série de tremblements de terre et répliques au cours des trois dernières semaines, allant de 5,0 à 8,2 sur l'échelle de Richter, laissant plusieurs centaines de personnes mortes et des milliers de déplacés. www.telesurtv.net www.creedpolitico.com
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Les Kenyans triomphent au Marathon de Berlin
Gladys Cherono du Kenya a réclamé le titre du Marathon de Berlin en 2 heures, 20 minutes et 23 secondes le dimanche 24 septembre.
Le temps gagnant de deux heures, trois minutes et 32 secondes du Kenyan de 32 ans était en dehors du record du monde prévu, mais il l'a vu réaffirmer son statut comme le meilleur coureur de marathon de tous les temps. De façon intéressante, la course de dimanche s'est déroulée dans le contexte des élections législatives allemandes qui ont vu les scrutins s'ouvrir simultanément avec le début du marathon.
Cherono a éclaté dans les 10 derniers kilomètres, frappant la marque de 30km en 1:38:52 et 40km en 2:12:46 pour gagner en battant Ruti Aga (2:20:41) de l'Éthiopie à la deuxième place alors qu'un autre Kenyane Valerie Ayabei est venu troisième en 2:20:53.
Et tandis que Schulz avait du mal à rattraper Merkel, Kipchoge faisait face à un énorme défi de la part des concurrents les plus dérangeants, le débile éthiopien Guye Adola, âgé de 26 ans, qui avait l'air libre et qui a osé le roi jusqu'à la marque de 40 kilomètres avant de succomber à l'inexpérience pour terminer deuxième dans un temps incroyable de 2:03:46, le temps le plus rapide pour un premier chronomètre dans le marathon.
Elle a déclaré qu'elle était heureuse de faire un retour après deux ans, après avoir lutté contre une blessure à la hanche qui l'a vu défendre son titre de marathon de Berlin l'année dernière. «J'aurais mieux amélioré ou même cassé le record du parcours», a déclaré Cherono, caporal des forces de défense du Kenya. Le japonais Mizuki Noguchi détient le record du temps de 2:19:12 en 2005. Elle est la deuxième femme kenyane à avoir gagné à Berlin Marathon deux fois après Florence Kiplagat en 2011 et 2013. Le seul autre gagnant kenyan à Berlin est Tegla Loroupe en 1999.
"Ce fut mon marathon le plus difficile depuis que le temps n'était pas propice à un record du monde", a déclaré Kipchoge. "Les terrains étaient glissants en raison des pluies".
Eliud Kipchoge a prouvé pourquoi son cocktail unique de force physique et mentale est un atout majeur lorsqu'il a remporté sa huitième victoire dans neuf marathons en obtenant la victoire dans un 44ème Marathon de Berlin, dimanche.
Kipchoge a déclaré que le défi d'Adola dans les 10 derniers kilomètres l'a surpris mais il a dû se concentrer pour gagner la course. www.nation.co.ke
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