Gouvernement Bolivarien du Venezuela
Le Ministère du pouvoir populaire pour les affaires étrangères
Les Ambassades de la République Bolivariennedu Venezuela dans le monde
Vol. 3: Numéro 42, 16Octobre 2017
Bulletin Hebdomadaire
Les élections régionales 2017 Chavismo était partout au Venezuela Le gouvernement
l'opposition
Dans cette édition
En litige
zone de récupération la participation
les votes scrutés
la participation
Le Conseil national électoral a rapporté dimanche 15 octobre 2017 que le Polo patriotique avait remporté la victoire dans 17 des 23 gouvernorats en litige. La présidente du Conseil national électoral a indiqué qu'il y avait une participation de 61,14%, chiffre supérieur à celui de 2012. Le premier bulletin a été publié par le Conseil national électoral avec 95,8% des suffrages exprimés. Officiellement, les résultats obtenus à Bolivar qui sont restés en litige jusqu'à tard dans la nuit de dimanche, n'étaient pas connus et ont été vus en faveur de l'opposition. 75% des gouvernorats du pays ont été remportés par le Pôle Patriotique, qui reste le bloc politique le plus puissant du Venezuela. Après les résultats des élections de dimanche, 54% des suffrages nationaux ont clairement montré leur soutien aux forces qui soutiennent le gouvernement national dirigé par Nicolás Maduro.
2. Les attentats à la bombe de Mogadiscio : l'attaque la plus meurtrière depuis des décennies 3. La vie de Nyerere devrait inspirer tous nos dirigeants du monde entier
l'abstention
Une victoire éclatante
1. Les élections régionales 2017:Chavismo était partout au Venezuela
Plus de 18 millions de Vénézuéliens ont été appelés à voter dans plus de 13 000 bureaux de vote à travers le pays. Afin de pouvoir assumer leurs fonctions, les gouverneurs élus devront être assermentés devant l'Assemblée nationale constituante. Le président vénézuélien Nicolas Maduro a déclaré que c'était le taux de participation le plus élevé depuis 15 ans - plus de 10 millions de personnes ont voté. Plus tôt, Maduro a déclaré que les élections avaient été menées de manière pacifique et exemplaire : "Il n'y a pas eu un seul incident. Cuba, la Bolivie et le Nicaragua ont tous envoyé leurs félicitations au Venezuela. Le président bolivien, Evo Morales, a posté un tweet qui disait : "La démocratie a gagné sur l'intervention et la conspiration. Le peuple défend sa souveraineté et sa dignité".
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4. Le silence des médias internationaux : Les élections régionales du Venezuela 2017 5. L'adoption massive de véhicules électriques pourrait entraîner une hausse de 10 $ du prix du pétrole 6.Le Mt Kilimanjaro remporte le prix d'attraction de l'Afrique
C'est la deuxième élection cette année dans le pays sud-américain - la première a eu lieu le 30 juillet pour élire les membres de l'Assemblée nationale constituante, l'ANC. S'exprimant lors d'une conférence de presse, la présidente de l'Assemblée nationale constituante Delcy Rodriguez a félicité le peuple vénézuélien d'avoir voté et ratifié son désir de vivre en paix. "Ce fut une élection convoquée par l'Assemblée nationale constituante et nous ne nous sommes pas trompés", a déclaré Rodriguez. "Cette élection nous a permis de consolider la paix et de défendre (notre) souveraineté". Elle a ajouté que le scrutin avait vaincu l'ordre du jour violent de l'opposition et était une leçon du Venezuela aux peuples du monde.
Après les résultats du Conseil National Electoral, Maduro a célébré la victoire du Pôle Patriotique avec une marge supérieure à neuf points de pourcentage.
Les invités internationaux ont fait l'éloge du processus électoral pour sa transparence. Le représentant de l'Argentine, Pedro Bregier, a déclaré que lui et ses collègues n'avaient vu aucune irrégularité dans l'État de Zulia, une observation soutenue par ses collègues à travers le pays.
L'opposition n'a pas accepté les résultats et a appelé à des protestations
Alors que le représentant équatorien du Conseil des experts électoraux d'Amérique latine, CEELA, Alfredo Arevalo a déclaré : "C'est un des meilleurs processus électoraux, vérifié à plusieurs reprises par tous les partis et acteurs politiques". 1,5% des centres de vote, qui avaient été victimes de violences liées aux élections lors du vote de l'ANC, avaient été relocalisés avant le scrutin de dimanche.
Maduro a célébré la victoire historique et a appelé au dialogue
La coalition de l'opposition a ignoré les résultats des élections régionales du dimanche 15 octobre 2017 au Venezuela et a exigé un audit de l'ensemble du processus électoral. L'opposition a déclaré que le processus n'était pas équilibré et reposait sur un système gouvernemental délicat, non transparent, déséquilibré et abusif. Gerardo Blyde, au nom de l'opposition, a annoncé que, à partir du lundi 16 octobre 2017, ils commenceraient des manifestations de rue, même dans les cinq régions gagnées. Plus de 11 millions de Vénézuéliens ont voté dans une situation économique complexe qui traverse le pays. Ce chiffre représente 61,14% du registre électoral permanent.
Le président de la République Nicolas Maduro a appelé l'opposition à respecter les résultats électoraux. Il a annoncé au pays qu'il aura un dialogue immédiat avec les six gouverneurs de l'opposition qui ont gagné.
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Le président Maduro a toutefois prévenu qu'il ne permettrait pas que la violence soit appelée depuis les zones gagnées par l'opposition. Les facteurs conservateurs ont gagné à Táchira et à Zulia, deux États frontaliers avec la Colombie, qui étaient auparavant contollés et au pouvoir de Chavismo.
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Les attentats à la bombe de Mogadiscio : l'attaque la plus meurtrière depuis des décennies
Les dirigeants du monde condamnent les bombardements de la Somalie "dans les termes les plus forts" Les dirigeants mondiaux des États-Unis, de la Grande-Bretagne, du Canada et de la France ont fermement condamné l'attentat-suicide perpétré en Somalie, la pire attaque à ce jour dans le pays avec au moins 137 morts.
Mohamed, a déclaré à l'AFP que le nombre de morts pourrait augmenter davantage « parce qu'il y a plus de 300 blessés, certains sérieux ». Il a qualifié le bombardement comme "l'attaque la plus meurtrière de tous les temps". Le porte-parole du président turc Recep Tayyip Erdogan, Ibrahim Kalin, a indiqué qu'Ankara envoyait des avions "avec des fournitures médicales", ajoutant que les blessés seraient transportés en Turquie et traités là-bas. Il n'a pas spécifié de nombres. La Turquie est un important donateur et investisseur en Somalie.
L'explosion du samedi 14 a eu lieu à une jonction à Hodan, un quartier commercial animé de la capitale Mogadiscio, qui compte de nombreux magasins, hôtels et commerces. Des centaines de personnes avaient été dans la région au moment de l'explosion. Les Etats-Unis ont condamné le bombardement "dans les termes les plus forts" dans une déclaration publiée par le Département d'Etat.
Le gouvernement et les institutions fragiles, y compris son armée nationale, sont soutenus par la force et les pouvoirs de l'AMISOM, forte de 22 000 membres, comme les États-Unis. Mais le retrait progressif des troupes de l'AMISOM devrait commencer en octobre 2018 et des doutes persistent quant à la disponibilité des forces somaliennes à affronter les Shabaab alignés sur Qaïda.
Washington "continuera à soutenir le gouvernement somalien, son peuple et nos alliés internationaux pour combattre le terrorisme et soutenir leurs efforts pour parvenir à la paix, à la sécurité et à la prospérité", a ajouté le communiqué. Le ministre britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson, a déclaré que son pays "condamne avec la plus grande fermeté les attaques lâches à Mogadiscio, qui ont revendiqué tant de vies innocentes. "Le président français Emmanuel Macron a tweeté :" Solidarité avec la Somalie. Soutien à l'Union africaine contre les groupes terroristes islamistes. La France se tient à vos côtés ".
Le président Nicolas Maduro condamne les attaques terroristes en Somalie Au nom du gouvernement et du peuple vénézuélien, le président de la République bolivarienne du Venezuela, Nicolás Maduro Moros, a condamné et totalement répudié les attaques terroristes contre les installations hôtelières et un marché populaire à Mogadiscio, capitale de la République fédérale de Somalie, qui a causé la perte de 230 vies humaines et plus de 350 blessures.
« Les attaques en Somalie sont horribles et le Canada les condamne fermement. Nous pleurons aujourd'hui avec la communauté canadienne somalienne », a déclaré le premier ministre du Canada, Justin Trudeau. Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l'Union africaine, a demandé au gouvernement de « montrer une nouvelle unité en ce moment critique et surmonter les divisions pour reconstruire la cohésion à tous les niveaux des institutions fédérales ».
Le Venezuela réaffirme sa ferme position de rejet de toutes les formes de terrorisme ; et exprime au peuple, au gouvernement et aux familles des victimes son sentiment de regret en cette heure de douleur pour la Somalie. Le Gouvernement bolivarien et le peuple vénézuélien appellent à nouveau à la recherche urgente d'une solution intégrale contre le terrible fléau du terrorisme organisé.
Il a indiqué que l'organisation panafricaine, qui a déployé une mission de maintien de la paix dans le pays d'Afrique de l'Est, "continuera à soutenir le gouvernement somalien et le peuple dans leurs efforts pour parvenir à une paix et une sécurité durables". Le responsable de la police, Ibrahim
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La vie de Nyerere devrait inspirer tous nos dirigeants du monde entier
Nyerere est reconnu par les Tanzaniens et au-delà comme « monsieur propre », l'homme qui a uni les 120 groupes ethniques du pays et a consacré sa vie à servir le pays de façon désintéressée, un phénomène rare en Afrique et dans le monde d'hier et d'aujourd'hui. Il a pris sa retraite de son poste en 1985, mais est resté le personnage le plus influent de la politique tanzanienne jusqu'à sa mort en 1999. Nyerere a construit une nation à partir de zéro, protégeant jalousement ses ressources naturelles et prêchant l'égalité de son peuple. Il n'a toléré aucune exploitation d'aucune sorte dans son pays et au-delà, réunissant les Africains pour lutter contre la domination et l'oppression étrangères. Sous sa direction, la Tanzanie est devenue la maison des citoyens opprimés d'Afrique australe qui luttaient encore pour l'indépendance au Zimbabwe, en Afrique du Sud et au Mozambique. Son objectif était de tirer le meilleur parti du tissu social de l'Afrique. Sous sa politique de socialisme et d'autosuffisance, il a rejeté l'idée qu'un pays africain devrait dépendre d'un pays occidental d'une manière ou d'une autre, et pire, après l'indépendance. À la retraite, il a déclaré : « Nous avons hérité d'un pays dans lequel 85% de la population adulte était analphabète. Les Anglais nous ont gouvernés pendant 43 ans. Quand ils sont partis, nous avons été laissés avec deux ingénieurs et 12 médecins. " Julius Nyerere appartenait à une génération de leaders africains postindépendance, comme le Ghana Kwame Nkrumah et le Zambien Kenneth Kaunda, qui avaient une foi inébranlable dans leur mission de mener leurs pays vers un monde meilleur. Nyerere était une race rare de leader africain qui a mené une vie exemplaire. Il était honnête, juste et intègre. Sans surprise, après plus de 20 ans de mandat, personne n'est venu l'accuser de corruption.
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Il a travaillé pour les pauvres et a vécu une vie humble. Il ne se rendait même pas compte qu'il n'avait pas de pension à vivre lorsqu'il a pris sa retraite en 1985. C'est le Parlement tanzanien qui a rapidement adopté une loi qui lui donnait des revenus pour vivre. Quand il a réalisé que son expérience économique d'Ujamaa était un échec, Nyerere a été prompt à admettre ses erreurs et à s'excuser. Peu de dirigeants sont à la hauteur de leurs erreurs. Pour tous ses péchés, Nyerere a donné à la Tanzanie un sentiment d'unité et de conscience nationale. C'est pourquoi, mis à part quelques problèmes avec Zanzibar, la Tanzanie reste largement pacifique dans la région des Grands Lacs. Nyerere a combiné intelligence profonde et intégrité. Il a tellement sacrifié, mais il détestait être glorifié et remercié pour son travail. Lorsqu'il a estimé que cela suffisait, Nyerere, après avoir été président pendant 23 ans, a simplement remis les règnes du pouvoir à Ali Hassan Mwinyi en 1985. Il a même réprimandé ceux qui lui avaient suggéré d'étendre son pouvoir pour encore cinq ans. Les dirigeants du monde entier ont beaucoup à apprendre de cet homme. Dans un monde où la politique est connue comme un jeu sale, pour quelqu'un de faire de la politique propre pendant 23 ans n'est pas une petite réussite. www.theobserver.ca www.telesurtv.net www.bbc.com www.theeastafrican.co.ke Les vues et opinions exprimées dans cet article sont de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l'ambassade
Le silence des médias internationaux :
Les élections régionales du Venezuela 2017
qu'au Venezuela le 15 octobre, la 22e élection aura lieu dans 18 ans et tous les partis politiques enregistrés pour ces élections par le Assemblée nationale constituante", a déclaré Maduro.
Vous ne le regardez pas à la télévision, vous ne le lisez pas dans les journaux ou n'entendez pas les brillants analystes de la radio, mais le Venezuela est en paix depuis deux mois et demi. Non seulement cela, mais le dimanche 15 octobre 2017, les élections des gouverneurs ont eu lieu dans les 23 États qui composent le pays et il y avait 226 candidats présents de tous les partis.
Cette élection a deux éléments clés: 1) la participation de l'opposition avec ses propres candidats dans tous les états; 2) la reconnaissance des décisions de l'assemblée nationale constituante impliquant la participation à cette élection par le parti d'opposition MUD.
Les médias se taisent donc parce que la réalité du Venezuela n'est pas fonctionnelle à leurs intérêts car il ne sert à rien de dire que la stratégie du gouvernement vénézuélien menée par Nicolás Maduro a été couronnée de succès parce qu'ils ne veulent pas dire que l'Assemblée nationale constituante (ANC dans son acronyme espagnol) a ramené la paix dans le pays.
En fait, l'élection des gouverneurs était prévue pour décembre prochain, mais l'Assemblée nationale constituante a décidé de les faire progresser afin de contribuer à ramener la paix dans le pays. La participation du parti MUD aux élections implique donc la reconnaissance de l'ANC et de ses décisions, ainsi que la reconnaissance du Conseil Electoral National (CNE pour son acronyme en espagnol).
Le président Nicolás Maduro a dénoncé mercredi soir le 11 juillet le silence de cet événement électoral par les médias internationaux. Le même silence a également été observé lors des élections de l'Assemblée nationale constituante du 30 juillet.
La schizophrénie politique
Les élections ont été au nombre de 22 au cours des 18 années de la révolution bolivarienne qui a commencé précisément par des moyens électoraux en décembre 1998 et a lieu moins de trois mois après les élections qui ont désigné les 545 électeurs qui composent l'Assemblée nationale constituante.
L'opposition n'a pas seulement une double position par rapport au Conseil électoral national et aux élections, mais aussi le dialogue avec le gouvernement, la reconnaissance de l'état de droit et le travail parlementaire, sans parler de la position que la droite a sur la paix et la démocratie.
Plus de huit millions de Vénézuéliens ont participé aux dernières élections, en dépit du fait que le groupe d'opposition de droite (MUD) n'a pas présenté de candidats et a appelé leurs partisans à ne pas y participer.
Le dialogue avec le gouvernement, que l'opposition nie mais qui participe en même temps, est peut-être l'un des exemples les plus clairs de cette situation. Malgré la violence, la guerre économique contre le peuple, malgré les tentatives successives de coup d'État, malgré les chants infructueux des sirènes militaires malgré la trahison du pays en soutenant les sanctions étrangères qui touchent leur propre peuple, malgré tout cela, Le Venezuela a besoin de paix et nécessite aussi un dialogue.
Le président vénézuélien a ajouté que cette information est cachée afin de poursuivre la campagne de diffamation qui prétend affirmer qu'au Venezuela il y a une dictature et créer ainsi les conditions d'une intervention militaire étrangère. “Les agences de presse anglaises AP, Reuters, AFP, EFE, CNN et Fox News sont silencieuses et ne couvrent pas le fait
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Pour cette raison, à la demande de l'ancien président José Luis Rodríguez Zapatero et du président dominicain Danilo Medina, une délégation de Chavismo composée du maire de Caracas Jorge Rodriguez, du présidente de l'Assemblée nationale constituante Delcy Rodriguez et du vétéran diplomate Roy Chaderton et au nom du MUD, une délégation dirigée par Julio Borges, président de l'Assemblée nationale majoritairement d'opposition et l'ex-gouverneur de l'État de Zulia, Manuel Rosales, la participation de l'opposition à cette réunion a eu lieu en dépit du fait que le parti d'opposition du MUD a publié le 12 septembre une déclaration affirmant qu'un tel dialogue n'existait pas vraiment .
finançant le terrorisme international et a annoncé à la République de Cuba qu'elle rétablirait les sanctions dont les deux pays négocient depuis un certain temps déjà depuis près de trois ans maintenant. Pas satisfait de cela, il a dit qu'il renforçait le pouvoir guerrier de son pays, défendait le protectionnisme commercial dans son pays, gardait le silence sur le changement climatique et menaçait sans trop de subtilité l'ONU elle-même en réduisant le budget s'il n'assumait pas les priorités qui sont importantes pour les États-Unis. Cela s'ajoute au blocus et à la guerre économique internationale qui ont causé au peuple vénézuélien de grandes difficultés, des sanctions contre les fonctionnaires, des restrictions de voyage des citoyens vénézuéliens, entre autres mesures de l'impérialisme qu'il a lancé contre la révolution bolivarienne.
Le 26 septembre dernier, le MUD a annoncé qu'il ne participerait plus à ce dialogue auquel il avait déjà déclaré qu'il ne participait pas, même si c'était le cas, mais le président Nicolás Maduro lui-même a révélé que les dialogues se poursuivent en arrière-plan et que les dialogues seront maintenus malgré les déclarations publiques des secteurs de l'opposition.
Et pourtant, le Venezuela continue et son peuple défie son droit de construire son destin. Dimanche dernier, nous avons vu de longues files d'électeurs avec des visages souriants. Eh bien, peut-être que vous avez vu, peut-être que la télévision ne l'a pas montré, peut-être dans votre journal qui n'est pas nouvelles, il vaut mieux que vous sachiez que l'expression du peuple sera la voie de la République bolivarienne du Venezuela.
La démocratie va triompher L'élection du week-end dernier était une démonstration évidente que le Venezuela règne sur une large démocratie. Quel que soit le résultat, il a démontré que le peuple vénézuélien aspire à résoudre ses problèmes en paix et de manière souveraine.
En démocratie, en paix, avec la justice sociale, mais aussi avec la dignité et la joie dont seuls les simples peuples latino-américains sont capables.
Quel que soit le nom des gouverneurs élus, le nombre d'électeurs sera ce qui compte vraiment, puisque, comme Nicolás Maduro l'a souligné, chaque vote sera un vote pour la paix et contre l'impérialisme.
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Cet acteur, le gouvernement impérialiste des États-Unis, ainsi que ses alliés dans certaines organisations internationales telles que le secrétaire général de l'Organisation des États américains (OEA), Luis Almagro, et certains gouvernements qui ‘’soutiennent’’ Donald Trump, ont été le fer de lance dans l'attaque contre la révolution bolivarienne. Le mardi 19 septembre, dans un épisode sans précédent de l'histoire des relations entre les nations, le président Donald Trump a menacé la République bolivarienne du Venezuela de sanctions supplémentaires. Dans un geste presque surréaliste, le président Trump a fait ces déclarations au siège des Nations Unies à New York, le plus haut forum que l'humanité ait donné pour la préservation de la paix et la construction d'une légalité internationale qui nous éloigne de la guerre. Il a également menacé la République populaire démocratique de Corée de la faire disparaître, a accusé la République islamique d'Iran d'un régime corrompu
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L'adoption massive de véhicules électriques pourrait entraîner une hausse de 10 $ du prix du pétrole
Chris Watling, PDG et stratège de marché en chef chez Longview Economics, a déclaré à CNBC vendredi que l'adoption de véhicules électriques pourrait conduire à un pic de demande mondiale de pétrole dès 2023, entraînant une chute des prix du pétrole à 10 dollars.
Pour l'année prochaine, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) s'attend à ce que les gains de production en cours des pays non-OPEP servent probablement de «le plafond aux aspirations de hausse du prix du pétrole », alors que tout le monde reconnaît que le marché mondial du pétrole continue pour progresser vers le rééquilibrage.
M. Watling a déclaré qu'il ne voyait pas de pétrole s'écraser "dans les semaines ou les mois à venir, ou peut-être même les trimestres, mais je pense que les perspectives à long terme pour le pétrole - à cause de ce qui se passe en termes de véhicules électriques" pour le transport, l'huile dégringole à 10 dollars vers 2023-2025.
Bien sûr, il y a d'autres points de vue parmi les experts et les analystes, Citi, par exemple, s'attendant à un approvisionnement plus serré l'année prochaine, peu importe ce que fait l'OPEP. Plusieurs grands membres de l'OPEP pompent déjà à pleine capacité, et même si certains ont l'intention d'augmenter leur production, ils pourraient ne pas avoir plus de place, selon Ed Morse, directeur de la recherche sur les produits de base de Citi.
"Nous avions l'habitude de parler du pic pétrolier en termes d'offre, nous devons maintenant parler du pic pétrolier en termes de demande", a ajouté Watling. L'analyste pense que « souvent les nouvelles économies, les économies émergentes, adoptent les nouvelles technologies d'abord parce qu'elles n'ont pas l'ancienne infrastructure dont elles ont besoin pour entretenir leurs services ».
Trafigura demande également à différer du troupeau s'attendant à "plus bas pour plus longtemps" pour continuer plus longtemps, ou même pour toujours. Ben Luckock, co-responsable du risque de marché du groupe chez Trafigura, a déclaré lors d'une présentation à la conférence, telle que présentée par le Financial Times:
Le principal catalyseur pour le marché du pétrole l'année prochaine serait le projet de Saudi AramcoIPO - la plus grande offre publique initiale Watling a accepté, et a ajouté : « Eh bien, je pense qu'ils ont besoin de s'en sortir rapidement avant que le pétrole ne passe à 10 dollars.
"Nous approchons de la fin de" plus bas pour plus longtemps ". www.oilprice.com www.gilmermirror.com Les vues et opinions exprimées dans cet article sont de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l'ambassade
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Le Mt Kilimanjaro remporte le prix d'attraction de l'Afrique Le Mont Kilimandjaro, le plus haut sommet d'Afrique, a raflé le titre d'attraction touristique majeure de l'Afrique dans les récents Prix du tourisme mondial (WTA). La montagne située Moshi était l'une des trois entrées de la Tanzanie qui a remporté dans la catégorie africaine de la 24ème tranche de la prestigieuse WTA dont le gala a eu lieu au Centre de Convention de Kigali au Rwanda mardi soir. Le directeur général des Parcs Nationaux de la Tanzanie (TANAPA), Allan Kijazi, a reçu le trophée tant convoité. Le parc national du Kilimandjaro, sous lequel la montagne est gérée, est l'un des 16 parcs nationaux du pays sous TANAPA. Le Mont Kilimanjaro a conservé le titre pour la quatrième fois, après l'avoir remporté consécutivement en 2016 et 2015. La montagne a remporté le prix en 2013.Le titre de premier hôtel privé en Afrique a été attribué au 'And Beyond Mnemba Island Lodge'. Tanzanie, a également raflé l'un des Prix de la compagnie de tourisme avec Arushabased Abercrombie and Kent a été couronné « Meilleur tour opérateur de luxe en Afrique ». Parmi les autres lauréats tanzaniens figurent «And Beyond», opérateur de lodges de luxe, vainqueur de la principale société de conservation d'Afrique 2017frique, Singita Game Reserves a été couronné meilleur marque de chasse en Afrique. Kenya Airways a remporté la première compagnie aérienne de classe affaires en Afrique, tandis qu'Ethiopian Airways, le plus grand transporteur du continent, a remporté la première place de la classe économique en Afrique. «Fast Jet» a été couronné «Meilleure compagnie aérienne à bas prix en Afrique». Le Rwanda, qui a accueilli le Gala 2017 pour la version WTA de l'Afrique, a été nommé «Destination principale en Afrique», tandis que l'aéroport international de Cape Town en Afrique du Sud a été déclaré premier aéroport du continent en 2017. www.dailynews.co.tz www.tanzaniatourism.go.tz
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