La république Bolivarienne du Venezuela
Vol. 5: Numéro 1, 24 janvier, 2019
Bulletin
Le ministère du pouvoir L'ambassade de la populaire pour les affaires République bolivarienne étrangères du Venezuela
Hebdomadaire Dans cette édition Le Venezuela coupe les relations avec les États-Unis après le soutien du coup d'État
Le Venezuela coupe les relations avec les États-Unis après le soutien du coup d'État Maduro a coupé les relations avec les États-Unis et dit que les émissaires des pays qui ont cessé de le reconnaître président élu ont 72 heures pour quitter le pays. Le président Nicolas Maduro a annoncé qu'il coupait toutes ses relations diplomatiques avec les États-Unis après que le président américain Donald Trump ait reconnu le législateur Juan Gauido comme président par intérim, après que le législateur de l'opposition s'était autoproclamé illégalement à la présidence du pays, enfreignant la constitution. "Ils sont allés trop loin. J'ai décidé de rompre toutes relations diplomatiques et politiques avec le gouvernement impérialiste des États-Unis. Out! Ils peuvent tous partir", a déclaré Maduro en prononçant un discours devant le palais présidentiel de Caracas. "Ils visent à gouverner le Venezuela de Washington." Le président Nicolas Maduro a donné un délai de 72 heures aux représentants américains au Venezuela pour quitter la nation souveraine sud-américaine, après que leur président Donald Trump eut soutenu la tentative de coup d'État dirigée par Guaido.
"Le Venezuela est respecté! Ni coup ni l'interventionnisme. Le Venezuela veut la paix, veut le progrès", a déclaré le président Nicolas Maduro, rejetant toute tentative de coup d'Etat et d'interventionnisme dans le pays. Les gouvernements du Mexique, de la Bolivie, de la Turquie et de la Russie ont déclaré reconnaître le président bolivarien Nicolas Maduro Moros en tant que président constitutionnel et élu démocratiquement du Venezuela. "Ne faites pas confiance à l'empire gringo. C'est ce qui motive leur intérêt: le désir de pétrole, de gaz et d'or vénézuéliens. Ceux-ci ne vous appartiennent pas, ils appartiennent au peuple souverain du Venezuela", a averti le président Maduro au peuple vénézuélien. . Les partis de gauche au Chili ont vivement critiqué la décision du président Sebastian Piñeara de reconnaître le "président" illégal autoproclamé, Juan Guaido. Selon Jaime Naranjo, un législateur du Parti socialiste du Chili, la décision de Piñera est comme une tentative "d'éteindre un feu à gaz". "Il me semble que c'est une imprudence diplomatique absolue et absurde. Vous ne pouvez pas 1
Le monde se joint aux Vénézuéliens pour commémorer le soulèvement populaire du 23 janvier La plus haute cour demande l'ouverture d'une enquête sur des illégaux actions de l'Assemblée nationale suspendue Les forces armées vénézuéliennes reconnaissent Maduro à la présidence La Russie accuse les Etats-Unis d'attaquer la souveraineté du Venezuela La Chine exprime son soutien au Venezuela et exige le respect de sa souveraineté
À L'intérieur de L'afrique:
L'Ouganda et la Tanzanie se rencontrent pour finaliser un accord de pipeline
reconnaître un gouvernement quand il l'a dans notre pays, reconnaître un autre gouvernement avec un ambassadeur installé (...) La décision prise par le gouvernement (chilien) n’aide pas du tout le processus démocratique vénézuélien ", a déclaré Naranjo.
enne vient de subir un coup d'État sous la protection du gouvernement américain. Un classique regrettable." Selon lui, cela est en gestation depuis plusieurs années et ce n’est pas le premier coup d’État soutenu par les États-Unis.
"Le vice-président américain appelle ouvertement à un changement de régime à #Venezuela. Le soi-disant" ordre fondé sur des règles "promu par l'Occident n'est rien d'autre qu'une" feuille de vigne "d'ingérence dans les affaires des autres pays. coup d’Etat en Ukraine », a déclaré l’ambassade de Russie au Canada sur son compte Twitter officiel.
Il espère que ce coup d'Etat sera aussi un échec "afin que la paix et le dialogue soient préservés et que les ingérences extérieures conduites par Donald Trump soient rejetées". Comme Guaido a été auto-proclamé président et qu’il a été soutenu presque immédiatement par le gouvernement américain "qui soutient le coup d’État". Il déclare également que ce coup d'Etat en Espagne est soutenu par l'extrême droite, à laquelle Garzon demande: "N'est-ce pas ce représentant? De ce qui se passe au Venezuela?"
Selon Alberto Garzon, coordinateur de la gauche unie et militant du Parti communiste espagnol, "La droite vénézuéli-
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Le monde se joint aux Vénézuéliens pour commémorer le soulèvement populaire du 23 janvier
Des milliers de partisans du président Nicolas Maduro par le biais de messages de solidarité, des Vénézuéliens et certains membres de l'opposition ont organisé des manifestations et défilé pour commémorer les 61 ans de la fin de la dictature de Marcos Perez Jimenez.
"Parce que M. Pence n'a pas de travail, il veut maintenant diriger le Venezuela", a déclaré Rodriguez dans une brève déclaration à la suite du message interventionniste de Pence.
Du Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV), des partisans de Chavista ont été rassemblés dans le but de défendre la souveraineté du pays face aux attaques déstabilisatrices lancées par des groupes de droite aux niveaux national et international. Les partisans ont également qualifié Maduro de président légitimement élu d'un "peuple pacifique":
En outre, le secrétaire à la Campagne de solidarité du Venezuela, Francisco Dominguez, aurait déclaré: "Il s'agit d'une violation scandaleuse du droit international et d'une ingérence inacceptable dans les affaires d'un pays souverain, ainsi que d'une agression grotesque en appelant ouvertement les Vénézuéliens à se lever gouvernement démocratiquement élu du président Nicolas Maduro ".
Un exemple d'attaque domestique est récemment apparu avec l'incendie d'une statue dédiée au défunt président Hugo Chavez à Felix, dans l'État de Bolivar. Le député Juan Guaido a appelé la manifestation. Guaido a activement tenté de délégitimer le gouvernement élu démocratiquement
"Yankee, rentrez chez vous, était le message retentissant envoyé par le ministre des Affaires étrangères aux États-Unis. chef "Nous n'allons pas vous permettre d'intervenir dans les problèmes du pays de Bolivar et du pays de Hugo Chavez."
Le vice-président vénézuélien Delcy Rodriguez a condamné les États-Unis Le vice-président Mike Pence pour "avoir ouvertement appelé à un coup d'État au Venezuela" après un vote en faveur de l'opposition vénézuélienne contre ceux qui protestent contre le président Nicolas Maduro.
Dr. Dominguez 'affirme que les Etats-Unis avait "eu ses empreintes digitales" sur les différents coups d'Etat dans le passé ont été sauvegardés par le Royaume-Uni. Les arguments du député Chris Williamson selon lesquels "le spectacle de Mike Pence pontifiant sur la" liberté "ne mérite que de la dérision. La vérité est que les États-Unis ont constamment réprimé la liberté en Amérique latine et que la rhétorique menaçante du vice-président Pence contre le Venezuela en est la dernière manifestation."
Rodriguez a également rejeté le refus déclaré des États-Unis. soutien au législateur de l'opposition Juan Guaido, président autoproclamé président de l'Assemblée nationale suspendue.
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En outre, l'ancien maire de Londres, Ken Livingstone, sur Twitter: "Il est clair que Trump & co travaille pour un" changement de régime "illégal au Venezuela. L'histoire des coups d'État de droite soutenus par les États-Unis en Amérique latine ne doit pas être oubliée." Les manifestations au Venezuela ont commencé après que les Forces armées bolivariennes du Venezuela ont fait échec à une tentative d'attaque contre leurs installations à Caracas.
Les assaillants "se sont rendus à bord de deux véhicules militaires, puis ont pénétré par effraction au siège de l’avant-poste de la sécurité urbaine situé dans la ville de Petare, dans la ville de Sucre, en retirant une cache d’armes de guerre et des enlèvements, menacés de mort, ainsi que deux officiers et deux gardes nationaux de l'avant-poste susmentionné. " www.telesurenglish.net
La plus haute cour demande l'ouverture d'une enquête sur des illégaux actions de l'Assemblée nationale suspendue Mendoza a noté que l'Assemblée nationale "viole expressément l'article 236, chiffres 4 et 15, de l'article 236, car elle semble usurper la compétence du président de la République pour diriger les relations extérieures de l'État". En ce qui concerne la célébration et la ratification des traités, conventions et accords internationaux, ainsi que l’attribution exclusive du pouvoir exécutif de désigner les chefs des missions diplomatiques.
Le président d'opposition de l'Assemblée nationale du Venezuela, Juan Guaido, s'est juré inconstitutionnellement en tant que président de faire pression pour "un conseil de transition". L'agenda du coup d'État de la droite vénézuélienne se poursuit: le législateur de l'opposition, Juan Guido, s'est légalement juré comme président pour renforcer le "conseil de transition". Dans un acte non prévu par la Constitution du Venezuela, Guaido s'est auto-désigné pour usurper les pouvoirs du pouvoir exécutif national. Le chef du pouvoir exécutif correspond au président Nicolas Maduro, qui a été élu avec 67% des suffrages exprimés le 20 mai 2018, pour la période 2019-2025.
"Ces accords impliquent l'exécution d'un acte de force visant à abroger le texte constitutionnel et tous les actes ultérieurs du pouvoir public national", a expliqué le magistrat de la Cour suprême. Le président américain Donald Trump a "reconnu" Guaido en tant que président, matérialisant l'agenda du coup d'État et la déstabilisation alors que l'opposition appelait à des rassemblements dans les rues. La même chose a été faite par le Canada et le secrétaire général de l'Organisation des États américains (OEA), Luis Almagro, qui est à l'origine des attaques contre le Venezuela et le gouvernement bolivarien.
Le magistrat de la Chambre constitutionnelle de la Cour suprême de justice (TSJ), Juan José Mendoza, a exhorté le ministère public (Parquet) à enquêter sur les membres de l'Assemblée nationale (AN), concernant l'usurpation des pouvoirs du pouvoir exécutif au Venezuela. . Le TSJ a également ratifié l'inconstitutionnalité des actes de l'AN, ajoutant que l'assemblée continuait à être un outrage à la justice. Le président de l’opposition s’est autoproclamé président de l’Assemblée nationale vénézuélienne, Guaido, s’est juré constitutionnellement constitutionnel de réclamer la constitution d’un "conseil de transition", mercredi matin.
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Les forces armées vénézuéliennes reconnaissent Maduro à la présidence Dans un événement inconstitutionnel, le président de l'Assemblée nationale, Juan Guaido, s'est insurgé mercredi matin dans un outrage à la justice. Après quoi le président américain Donald Trump a reconnu le président autoproclamé illégal. La même chose a été faite par le secrétaire général de l'Organisation des États américains (OEA), Luis Almagro, qui a lancé des attaques contre le Venezuela et son gouvernement.
Le ministre vénézuélien de la Défense, Vladimir Padrino Lopez, a déclaré que les Forces armées nationales bolivariennes (FANB) refusaient d’accepter le chef de l’opposition Jorge Guaido comme président par intérim du pays d’Amérique latine. "Les soldats de la Patrie n'acceptent pas un président imposé par des intérêts obscurs ou autoproclamés illégalement", a déclaré Padrino Lopez sur son compte Twitter, ajoutant que les forces armées défendraient la constitution et la souveraineté nationales du Venezuela. Lundi dernier, un groupe de soldats, arrêtés et faisant l'objet d'un procès, se sont rendus dans deux véhicules militaires, ont pris d'assaut le siège du détachement de la sécurité urbaine situé à Petare, dans la municipalité de Sucre, volant sur place un lot d'armes et enlevant deux officiers et deux membres du Garde nationale vénézuélienne sous la menace d'un pistolet.
Le gouvernement mexicain, dirigé par le centre-gauche Andres Manuel Lopez Obrador, a maintenu sa position antérieure et réaffirmé la reconnaissance de Nicolas Maduro en tant que président légitime du Venezuela. La Bolivie, l'Uruguay et la Russie ont également décidé de reconnaître Maduro. Le président vénézuélien a qualifié l'effort international de coup d'État organisé par Washington contre la révolution bolivarienne et annoncé que le pays d'Amérique latine mettrait fin aux relations diplomatiques avec les États-Unis. Les forces de l’opposition soutenues par les États-Unis et d’autres gouvernements et organisations de droite de la région poursuivent leur programme de coup d’État contre le gouvernement bolivarien. Pendant ce temps, dans les rues de Caracas, Chavismo se mobilise pour la défense de la paix, de la démocratie et de la souveraineté du pays face aux ingérences et à la déstabilisation de la droite nationale et internationale. www.telesurenglish.net
Rencontre du président Nicolás Maduro avec des représentants politiques et sociaux de 94 nations du monde Dans le cadre des activités qui ont eu lieu après la prestation de serment pour le second mandat présidentiel, le président du Venezuela, Nicolás Maduro Moros, a rencontré des dirigeants politiques et sociaux de toute l'Amérique latine, des Caraïbes et d'autres pays du monde. Dans l’acte, le Président était accompagné du Vice-président exécutif, Delcy Rodríguez, du Ministre des relations extérieures du pouvoir populaire, Jorge Arreaza, et d’autres représentants du Cabinet exécutif. Lors de la réunion, le chef de l'Etat a exhorté le peuple à rester mobilisé avant tout acte visant à générer le chaos et la déstabilisation. «Il est important que les gens restent mobilisés. Les personnes mobilisées sont la garantie de la stabilité, le vaccin contre tout processus de déstabilisation. Pendant que nous travaillons, des esprits fous, improvisés et non mûrs sont à la tête de l’opposition et cherchent quelque chose à inventer. Le peuple mobilisé est désespéré, plein de contradictions, de folie et le meilleur vaccin contre les esprits immatures et fous », a-t-il déclaré à la Maison Jaune de Caracas.
Le président a dénoncé l'existence d'une manifestation de la droite nationale et internationale visant à ignorer le mandat que le peuple avait confié le 20 mai avec plus de 60% des voix. Il a indiqué que les promoteurs de ces actes sont les mêmes qui, en 2014 et en 2017, ont organisé un coup d’État contre la révolution bolivarienne, qui a laissé un bilan de centaines de morts et de blessés. À cet égard, il a souligné que plusieurs gouvernements membres du groupe de Lima autoproclamé avaient rectifié leur position interventionniste adoptée en décembre dernier par une déclaration dans laquelle le président Maduro n'avait pas été inauguré le 10 janvier en tant que président vénézuélien donnant le pouvoir à l'Assemblée nationale. au mépris. En raison de ces événements, le Président Nicolás Maduro a accordé un délai de 48 heures aux gouvernements du Groupe de Lima pour rectifier leur position concernant l’institutionnalité, l’intégrité et la souveraineté territoriale du Venezuela. Jusqu'à présent, les gouvernements de l'Argentine, du Costa Rica, du Guatemala, du Panama et du Chili ont été rectifiés. "Je demanderai une loi constitutionnelle pour le Plan de la Patria, car l'ANC est la seule à disposer de pouvoirs plénipotentiaires", a-t-il déclaré. www.mppre.gob.ve
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L’Équateur devrait mettre fin à la xénophobie contre citoyens du Venezuela Équateur pour des raisons de genre, soit une victime mortelle tous les quatre jours. Ce comportement du président Moreno, en plus d'être porteur de préjugés et de discrimination, porte atteinte aux droits de l'homme et constitue un délit punissable tant dans la législation des deux pays que dans la sphère internationale, pour laquelle le Venezuela tient le citoyen responsable de la République de l'Équateur et l’État qu’il ordonne pour toute infraction contre l’intégrité physique, morale et citoyenne des ressortissants vénézuéliens qui se trouvent dans ce pays. Le Gouvernement de la République bolivarienne du Venezuela a été informé d'un cas de violence criminelle survenu le 19 janvier à Ibarra, en République de l'Équateur, sous les yeux de la communauté et de sa propre force publique, qui serait lié à un Vénézuélien citoyen.
En conséquence, la République bolivarienne du Venezuela dénonce et rejette la décision du gouvernement équatorien de créer ce qu'elle a appelé des "brigades pour contrôler la situation juridique des Vénézuéliens", mesure qui, de l'aveu, dérive de la criminalisation de la nationalité vénézuélienne, en tant que protecteur de la violation des droits de l'homme, puisqu'il s'agit d'une attaque généralisée et systématique contre une communauté avec sa propre identité, fondée sur des raisons politiques, raciales, nationales, ethniques ou culturelles. C'est pourquoi l'État vénézuélien se réserve la décision de saisir les autorités des organisations internationales cherchant à: déterminer les responsabilités qui correspondent dans le cadre du droit international.
En condamnant cet événement répréhensible de la manière la plus énergique et en exprimant ses condoléances aux membres de sa famille et à ses proches, la République bolivarienne du Venezuela juge nécessaire de se référer au communiqué inexcusable publié par la Présidente de la République de l'Équateur, Lenin Moreno, dans lequel, De manière irresponsable, une corrélation inhabituelle a été établie entre la violence à l'égard des femmes en Équateur et les citoyens de nationalité vénézuélienne.
La déclaration du président Moreno a provoqué une spirale de violence xénophobe à l'encontre de la communauté de migrants vénézuéliens en Équateur, et son gouvernement a le devoir de préserver l'intégrité et la vie des Vénézuéliens et des Vénézuéliens. Pour sa part, le Gouvernement de la République bolivarienne du Venezuela continuera d’honorer son engagement de protéger le peuple vénézuélien victime d’une fraude à l’immigration, en élargissant le champ d’application du Plan de retour au pays et de ses politiques d’inclusion sociale des migrants. Revenu.
En sa qualité de chef de l'Etat, le président Moreno est obligé de savoir que la nationalité n'est pas un critère de criminalisation, ce qui rend particulièrement répugnant l'utilisation de cette astuce pour se soustraire à la responsabilité de son gouvernement dans la reproduction de crimes violents avec lesquels il ne s'est pas rendu. comme le féminicide, qui n'a atteint qu'en 2018 le bilan de quatre-vingt-huit (88) femmes assassinées en
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Attaque terroriste au Kenya catégorique et notre répudiation totale de l'attaque terroriste qui a causé la mort de plus de vingt personnes et des dizaines de blessés , le mardi 15 janvier 2019, à Nairobi. Excellence, le Venezuela répudie énergiquement ce type d’actes brutaux, entérinant son rejet total du terrorisme sous toutes ses formes, ainsi que ceux qui le soutiennent, et réaffirmant que la violence ne prévaudra jamais sur la liberté et la justice. Des hommes armés de fusils et d'explosifs ont fait irruption dans le complexe hôtelier DusitD2 (un groupe de boutiques et d'hôtels de la haute gamme dans la capitale kényane) à Nairobi, tuant au moins 21 personnes dans un attentat de plusieurs heures. Plus de 700 personnes ont été évacuées en toute sécurité lors de l'attaque. Images de surveillance.
Le Gouvernement de la République bolivarienne du Venezuela adresse ses plus sincères condoléances au gouvernement de la République du Kenya, à son peuple et aux familles des victimes, et exprime sa solidarité dans ces moments difficiles avec le peuple frère du Kenya. Jorge Arreaza ministre des Affaires étrangères
Au nom du président vénézuélien Nicolás Maduro Moros, Président de la République bolivarienne du Venezuela, et moi-même, nous exprimons notre condamnation
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Le Venezuela continue de renforcer ses liens de coopération avec des pays du monde entier
Depuis le siège de la vice-présidence de la République bolivarienne du Venezuela à Caracas, une réunion bilatérale de haut niveau a eu lieu avec la délégation de la Banque populaire de Chine, dans le but de renforcer les liens de coopération entre les deux pays.
Réunion bilatérale avec des représentants de la République islamique d'Iran
Afin de renforcer les liens d'amitié et de coopération entre la République bolivarienne du Venezuela et la République islamique d'Iran, le ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Jorge Arreza, et le ministre de la Défense et de la Logistique des forces armées iraniennes, Amir Hatami, ont tenu une réunion bilatérale.
Cette activité était dirigée par la vice-présidente exécutive, Delcy Rodríguez, en collaboration avec le directeur général adjoint du département de la recherche de la Banque, Wang Yu, ainsi que par Li Wenzhe, directeur adjoint du département de la politique monétaire, Ma Zhiyang, chef du département de la politique monétaire. et Xiao Lin, chef de section du département des relations internationales.
Au cours de la réunion, les deux représentants diplomatiques ont examiné l'avancement du programme de travail bilatéral et exprimé leur soutien et leur solidarité entre les deux pays frères.
Dans le cadre du programme de relance économique, de croissance et de prospérité promu par le gouvernement national, le Président Nicolás Maduro a encouragé le renforcement de la coopération avec la République populaire de Chine et le renforcement des relations économiques, commerciales, financières et multidimensionnelles nouées. pendant des années de coopération binational.
L’Iran et le Venezuela ont resserré leurs liens d’intégration, de fraternité et de coopération mutuelle depuis l’arrivée du commandant éternel Hugo Chávez, qui, avec sa vision du développement multipolaire, a réussi à créer une relation dans laquelle les deux pays ont développé des zones différentes afin de bénéficier leurs peuples.
Rodríguez a également tenu une réunion avec des représentants du gouvernement de la Fédération de Russie dans le but de renforcer les alliances et les accords bilatéraux avec le pays eurasien et l'un des principaux alliés économiques et commerciaux du Venezuela. Auparavant, le vice-président exécutif avait présidé une réunion avec la délégation de la République islamique d'Iran, dirigée par le ministre de la Défense et de la Logistique des Forces armées iraniennes, Amir Hatami, dans le but de renforcer la coopération pour la sauvegarde et le développement mutuel. Ces actions font partie de la diplomatie de la paix promue par le chef de l'État vénézuélien, pour un monde pluripolaire et multicentrique. www.mppre.gob.ve
À cet égard, après avoir assisté, au nom du gouvernement iranien, à l’inauguration de Nicolás Maduro Moros en tant que président de la République bolivarienne du Venezuela, le ministre Hatami a déclaré que «l’État de l’Iran célèbre le jour des élections et a ensuite inauguré le Président vénézuélien ».
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Coopération avec la République d'Abkhazie Le vice-président exécutif Delcy Rodríguez et le ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Jorge Arreaza, ont rencontré le président de la République d'Abkhazie, Raul Dzhumkovich Jadyimba. Au cours de la réunion, les hauts représentants de l’État ont exprimé le souhait de renforcer les liens de coopération et d’amitié entre les deux pays pour le bien commun des deux pays frères. Ces réunions font partie de l'agenda de la diplomatie de paix bolivarienne que le président Nicolás Maduro promeut et continuera de renforcer au cours de son nouveau mandat présidentiel 2019-2025. Il convient de noter que le peuple de la République d'Abkhazie a déclaré son indépendance en 1992 devant la République de Géorgie. www.mppre.gob.ve
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Réunion de haut niveau avec le président de l'Ossétie du Sud Du siège de la vice-présidence de la République bolivarienne du Venezuela, située à Caracas, une réunion de haut niveau s'est tenue avec le président de l'Ossétie du Sud, Anatoly Bibilov, afin de consolider les alliances stratégiques existant entre les deux pays.
Il convient de noter que le ministre Abdallah a également rencontré le ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Jorge Arreaza, et saisi l'occasion pour envoyer un message de solidarité au Venezuela au nom du gouvernement syrien et de son peuple. Comme il convient de le rappeler, avec l’arrivée de la révolution bolivarienne menée par le commandant Hugo Chávez, les liens d’union et de fraternité entre le Venezuela et la Syrie se sont consolidés et la visite du Commandant éternel à Damas, en 2006, a commencé à signer d'accords pour l'échange technologique, culturel, commercial, éducatif et énergétique, entre autres. Le ministre d'État syrien est actuellement membre du commandement de Damas du parti de l'Union socialiste arabe. après avoir assumé les fonctions de ministre d'État aux Affaires de l'administration locale en 2016; De 2006 à 2014, elle a été présidente de la commission scientifique de l'Association médicale syrienne et membre fondateur de l'Association des diplômés des universités russes et de l'Union soviétique.
La réunion avait pour objectif d'évaluer les accords de coopération dans l'intérêt des peuples et de continuer à renforcer le programme de relance économique, de croissance et de prospérité mis en œuvre par le président Nicolás Maduro. Ces actions font partie de la diplomatie de paix bolovarienne menée par le gouvernement bolivarien avec les pays du monde, renforçant ainsi les liens de fraternité et la coopération bilatérale pour un avenir meilleur.
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La Russie accuse les Etats-Unis d'atRencontre avec une délégation syrienne taquer la souveraineté du Venezuela pour renforcer les liens d'amitié www.mppre.gob.ve
Le vice-président de l'Espace économique, Tareck El Aissami, a rencontré le ministre d'État aux Affaires des organisations et des fédérations de la République arabe syrienne, Salwa Abdallah, et l'ambassadeur de la République arabe syrienne, Khalil Bitar, afin de renforcer les liens d'amitié et de coopération entre les deux nations.
La Russie a accusé les États-Unis d'avoir ouvertement attaqué la souveraineté du Venezuela en promouvant la création de «structures gouvernementales alternatives» dans ce pays d'Amérique latine, et a réitéré son soutien au président vénézuélien Nicolás Maduro.
La réunion bilatérale a eu lieu au siège de la vice-présidence économique, à Caracas, à l'occasion de la visite de différentes nations qui ont participé à l'inauguration et à la prestation de serment du président de la République bolivarienne du Venezuela, Nicolás Maduro Moros, qui s'est tenue à le siège de la Cour suprême de justice.
À cet égard, le ministre des Affaires étrangères de la République bolivarienne du Venezuela, Jorge Arreaza, a souligné, via son compte Twitter, @jaarreaza, la position officielle du gouvernement russe. Ce qui "laisse en évidence l'agression sans précédent de l'Occident contre le Venezuela", a déclaré le ministre vénézuélien des Affaires étrangères. www.mppre.gob.ve
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La Chine exprime son soutien au Venezuela et exige le respect de sa souveraineté Elle a réaffirmé son soutien au gouvernement bolivarien sur son modèle de progrès et a insisté sur la non-ingérence dans les affaires intérieures. Enfin, Hua a déclaré que la Chine était prête à travailler avec toutes les parties afin de trouver des moyens de gérer la situation interne du Venezuela toujours par le biais d'un dialogue politique et pacifique. Ainsi, la porte-parole a clarifié la position du géant asiatique avant les tentatives des gouvernements étrangers d’ignorer le nouveau mandat de Nicolás Maduro Moros, réélu en mai dernier avec 67% des suffrages exprimés lors des élections présidentielles.
La Chine a réitéré son soutien au gouvernement vénézuélien et a appelé les forces internes et externes à respecter les décisions souveraines du peuple de choisir ses dirigeants et son propre chemin de développement. La porte-parole de la chancellerie chinoise, Hua Chunying, a salué l'annonce du président du pays caribéen, Nicolás Maduro, de promouvoir la reprise économique du Venezuela et a estimé que cette initiative améliorerait le bien-être de la population.
Les organisations internationales ont approuvé ces élections dans le respect des lois et des garanties de tous les partis, candidats et électeurs. www.mppre.gob.ve
Le Venezuela et l'Afrique du Sud renforcent leurs relations de coopération à l'ONU
Lors de sa visite de travail aux Nations Unies, le ministre des Affaires étrangères de la République bolivarienne du Venezuela, Jorge Arreaza, a tenu une réunion bilatérale avec Jerry Matjila, ambassadeur d'Afrique du Sud auprès de l'organisation multilatérale. La réunion qui a eu lieu à New York avait pour objectif de renforcer les relations de coopération Sud-Sud, mécanisme fondé sur le développement des pays confrontés à des problèmes communs par le biais d’échanges commerciaux, de leurs expériences et de l’inclusion. Compte tenu du contexte politique que traverse actuellement le Venezuela, motivé par les actions interventionnistes promues par les gouvernements des États-Unis et de l'Union européenne, le diplomate sud-africain a souligné l'importance de respecter la Constitution et la souveraineté du Venezuela. Le Venezuela et l’Afrique du Sud ont signé des accords pour le développement de zones stratégiques des deux pays, renforçant ainsi les relations amicales et la coopération grâce à la mise en œuvre de nouveaux projets développés conjointement par la nation des Caraïbes, l’Alliance bolivarienne des peuples de notre Amérique (ALBA) et le pays de l'Union africaine. www.mppre.gob.ve
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À L'intérieur de L'afrique:
L'Ouganda et la Tanzanie se rencontrent pour finaliser un accord de pipeline
Les responsables ougandais et tanzaniens prévoient de se réunir cette semaine pour mettre la dernière main au projet de pipeline conjoint de Hoima à Tanga.
Selon Mme Muloni, le modèle financier semble être l'une des principales raisons pour lesquelles les entreprises cédées n'ont pas encore pris la décision d'investissement finale. Cela remet en cause l’objectif de transport du pétrole d’ici 2020.
Depuis l’inauguration du projet en août 2017, une série de réunions techniques ont eu lieu entre les gouvernements des deux pays, mais les analystes affirment qu’elles n’ont pas fait beaucoup de chemin.
Les trois sociétés impliquées dans le projet sont Total Oil of France, China National Offshore Oil Corporation et Tullow Oil du Royaume-Uni. Si le projet avait démarré comme prévu, il aurait été achevé en 2020.
Le coordinateur national du projet pour la Tanzanie du ministère de l'Énergie, Salum Mnuna, espère que la réunion ministérielle de cinq jours - qui débutera le 21 janvier - finalisera la manière de gérer, d'exécuter et de superviser le projet, compte tenu des lois différentes des des pays.
Le projet appelé pipeline de pétrole brut entre l’Ouganda et la Tanzanie est également appelé pipeline de pétrole brut pour l’Afrique de l’Est et devrait coûter 4 milliards de dollars. L'oléoduc devrait avoir la capacité de transporter 216 000 barils de pétrole brut chaque jour. Il aura 24 pouces de diamètre et l'Ouganda paiera à la Tanzanie 12,20 USD pour chaque baril de pétrole qui passe dans l'oléoduc.
Parmi les autres questions en suspens figurent l’enregistrement des entreprises qui participeront au projet, la répartition des recettes, les questions liées à la défense et à la sécurité des deux pays et la participation des citoyens à la mise en œuvre du projet.
Il sera également construit de manière à lui permettre de chauffer le pétrole brut.
L'exécution de l'oléoduc souterrain de pétrole brut de 1 445 km allant de Hoima (Ouganda) à Tanga (Tanzanie) est en suspens depuis son inauguration, ce qui a suscité l'inquiétude des parties prenantes.
www.theeastafrican.co.ke Les opinions exprimées dans ces articles sont de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l'ambas-
Lors d'une réunion ministérielle tenue à Dar es Salaam, Irene Muloni, ministre ougandaise de l'Énergie et du Développement minier, a déclaré: "Rien n'est encore en place, bien que les études de faisabilité aient été terminées pour les deux pays." 9