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Nicolaï Greschny, des Fresques aux Icônes
Nicolaï Greschny, des Fresques aux Icônes (extraits)
Éditions Vent Terral
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https://vent-terral.com/greschny
© Photographies : Jean-Paul AZAM - Association des amis de Nicolaï Greschny
Des fresques aux icônes, l’icône n’étant qu’une fresque portative, on ne pouvait que faire le chemin avec Nicolaï Greschny. Né à Tallinn en Estonie et descendant d’une lignée de peintres d’icônes, qui, après un parcours mouvementé dans l’Europe à feu et à sang de la Seconde Guerre mondiale, s’installe dans un hameau en ruines des bords du Tarn.
Ici pas de carrière artistique développée sous les projecteurs. Au contraire, une vie frugale de bâtisseur, presque monacale, une écologie avant la lettre. Et une œuvre dispersée sur une grande partie du territoire national. Les icônes, fresques et objets divers présentés dans ce livre sont la marque d’une profondeur artistique et humaine, magnifiés par une connaissance des techniques des peintres anciens et une profondeur théologique qui font aujourd’hui de Nicolaï Greschny un artiste aux dimensions universelles.
L’icône nous apporte tout ce qui nous manque aujourd’hui : la stabilité au lieu du mouvement, le sens de l’éternité par rapport à l’éphémère, le rappel de l’essentiel face à l’accidentel, la présence du sacré quand tout devient profane.
Portrait
La plus lointaine image : émergeant d’une houppelande arrimée à de hautes épaules, deux jambes nues insensibles aux morsures glacées de la bise. Une silhouette qui se presse. C’est le temps où les loups se vivent de vent et comme eux ce Russe par hasard débarqué à Albi sans sou vaillant, Dieu sait seul par quels chemins embrouillés par la guerre. Dans un français que la confusion des genres et des modes pare d’espièglerie, aux tables compatissantes qui le reçoivent, rien dans les mains, rien dans les poches, il répète qu’il prépare les voies vers une chapelle dédiée à saint Nicolaï, vers une demeure familiale. Ce Jean-Baptiste plus que par la faim est dévoré de projets et de rêves. L’image la plus proche : une chapelle, une maison, une famille exactement partagée en femme (qui, aubaine quand on est soi-même peintre d’icônes, travaille l’émail), un fils (nommé évidemment Michaël), une fille, Annouchka, pour faire signe à sa lointaine patrie, et à faire mesure comble, chargé des réflexions les plus nécessaires, un âne, Socrate ou Pompidou, ainsi nommé par seule pieuse révérence pour des sagesses reconnues.
Nicolaï Greschny – ce qui n’arrive à personne – est entré de plain-pied dans son songe programmé et dans sa légende. Par les détours des chemins de traverse et d’errance. Quelles routes silencieuses sinuant dans l’effervescence désordonnée des collines habillées de chaume pelé et léger, de châtaigneraies trop lourdes, n’a-t-il point parcourues pas à pas ? À une époque où les écologistes d’aujourd’hui jouaient encore au cerceau ou à la poupée –, à flanc perdu de colline, en frange d’un moutonnement de feuillage que le vent ébouriffe et fait inlassablement bruire, en face du Tarn qui, en attendant les molles et mornes marnes de la plaine, avec une patience géologique, y usant sa peau de reptile aux mille éclats remuants, scie, rabote, lime, schistes et grès pour épouser un lit moins incommode. Il a repéré une ferme écroulée, dévorée de ronces, soulevée et minée par les racines de sureaux, de buis, d’églantiers dont il prétend, pierre à pierre assemblée, tirer séjour pour lui et sa famille, saint Nicolaï protecteur, Dieu lui aussi s’il y consent, et un musée pour redonner vie à toutes les épaves récupérées lors de ses incertaines pérégrinations. La Maurinié est un accomplissement ; c’est un foisonnement de constructions : maison ouverte dans l’air limpide, chapelle haussée dans la gloire du Pantocrator * , crypte frontalière des Ombres. Chacun des niveaux assure sa liaison directe avec la terre, parce que l’homme est à la fois nuit et ciel, lumière et sol.
Nicolaï ne doit rien à la mode qu’il précède de fort loin. De huit ou dix siècles. Témoin abandonné sur les rives de l’histoire, il n’a pas déserté sa patrie naturelle, « le Moyen Âge énorme et délicat », selon la formule irremplaçable de Verlaine. Il en a les manières directes, la foi qui bouscule les montagnes, toute une prévenance aussi aux gens, aux bêtes, aux choses, qui est celle du Poverello d’Assise, le saint par excellence du Moyen Âge.
Cet homme marche tout seul et à rebroussetemps. Il n’est que de faire quelques pas avec lui autour de La Maurinié pour entendre un contemporain des durées les plus reculées, pour se sentir cerné de toutes les époques. Il va lisant les paysages, à livre ouvert, chacun dans sa langue originale. Interprète-t-il trop audacieusement entre les lignes ? Le sûr, c’est que ses hypothèses affolent l’imagination, jettent la perturbation dans les cases bien rangées de l’intelligence. Ce prophète, dont l’œil est traversé d’innocentes et si improuvées visions, dédaigne les garde-fous, puise à des savoirs perdus et instinctifs, compose au fil de ses propos un Tarn insolite. Il inquiète.
Il ne désire rien tant finalement. La vie n’est pas faite pour être assise. Il aime désarçonner les esprits immobiles, chevauchant leurs chevaux de bois. Cavales insaisissables, se laissant mal apprivoiser, les idées sont faites pour l’air libre et mieux qu’aux carrefours encombrés de la modernité, on a chance de les rencontrer dans les clairières retirées et abandonnées de l’histoire et par la même occasion d’y croiser Nicolaï Greschny. Je le soupçonne d’avoir acheté la bâtisse proche de sa demeure pour juste trois murs, plus précisément pour leurs joints de mortier dont la plus grande minceur – qui peut aller jusqu’à l’absence – témoigne en faveur de la supériorité du maçon du Moyen Âge sur celui de la Renaissance, de ce dernier sur le contemporain des ouvriers de Versailles, et persuade ainsi qu’aller audevant de l’extrême habileté, c’est parfois remonter le temps.
Si à la perfection divine doit correspondre l’image la plus parfaite, celle-ci une fois trouvée, qu’est-il besoin d’inventer ce qui est donné depuis quinze siècles ? Ce qui fait Byzance – ou ce qu’on appelle Byzance –, et qui commence avec la mosaïque de Ravenne, englobant tant de manières diverses, c’est, tandis qu’Alaric, la tête prise dans un casque aux cornes menaçantes de taureau, excite ses barbares à jeter bas Rome (la nullité religieuse de l’Occident, selon Renan) et à la fois la jeune Église chrétienne, la volonté d’être sourd aux fracas que fait Rome en tombant, de profiter une bonne fois de l’occasion pour mettre Dieu définitivement à l’abri des secousses de l’histoire, de prendre ses distances avec elle. « Rome, reconnaissant l’ordre de l’apparence comme ordre du monde, l’apparence était devenue le réel ». Byzance peint la « suggestion d’un monde où les évènements sacrés ont eu lieu, non dans l’apparence, mais dans la Vérité ». L’icône ignore la biographie du Christ et la Vierge y est la Mère de Dieu * . « Représenter une scène sacrée dans le monde de l’apparence, c’est la représenter sans la foi, comme elle apparut aux Gentils (1) ». L’icône peint un lieu séparé de la terre, un espace 1. André Malraux, La Métamorphose des dieux, Le surnaturel, Paris, Gallimard, 1977. surnaturel et invente ses moyens : le refus du pathétique, l’absence de profondeur, l’immobilité des lignes, les couleurs à signification symbolique, selon un code strict. Rien d’autre n’est offert à l’artiste que d’être humble officiant d’un culte d’autant mieux réussi que rien n’en dérange l’ordonnance millénaire. Plus que les flamboyances gothiques et les joliesses renaissantes, les halètements de l’art moderne, ses enquêtes dans les fouillis impénétrables de l’inconscient, ses quêtes vagabondes et perdues y seraient de l’ordre de l’inconvenant. L’icône capte le seul absolu. Elle creuse l’enclos protégé du repos, de la sérénité, de la permanence de Dieu. Comme dans la longue théorie du chœur de la cathédrale d’Albi, les soixante-etonze anges musiciens sont uniformément voués au chant collectif, né à l’orgue céleste sous les doigts de Cécile et apparemment indifférenciés, se séparent toutefois les uns des autres par quelque frémissement personnel que dévoile un pli à peine dérangé de l’aube ou dans la douceur du visage un accent imperceptiblement modulé. De même le peintre d’icônes a d’abord à prendre suite dans un cortège – Nicolaï derrière ses ancêtres depuis le quinzième siècle –, à s’y fondre, quitte, à travers les canons imposés, à signer sa présence d’une réflexion dans la ligne ou la couleur.
En face de cette manière, nous éloignant de la familiarité qui, dans l’art chrétien occidental, humanise Jésus et Marie, nous sommes malhabiles, tout en en sentant la nécessité quand font défaut les appuis. Quel guide plus autorisé que Greschny pour accéder à un monde qui rompt avec la terre, qui est investi par le surnaturel ? Faut-il encore posséder une adresse à faire parler, tout un savoir-interviewer qui, multipliant les détours, les allers-retours, les contours, conquiert les points de vue d’où s’unifient à l’œil les paysages. Gilbert Assémat fut bien conscient du caractère ardu de l’entreprise, qui, armé d’un magnétophone, s’apprêtait à de longues approches, à de difficiles sièges. L’imprévu heureux qui, de la bande enregistrée se mit à dérouler un livre tout fait dont il restait à numéroter les pages. Y apparaissaient une vie comme un roman d’aventures, une intelligence rebondissant de question en question jusqu’au nœud du problème le moins contournable. Tout était en place : l’interview fournissait le style, garantissant une liberté vivante, offrant au lecteur un chemin tout tracé vers les réponses. Un tel livre est la réussite de qui a mené l’enquête. De Nicolaï Greschny on apprendra ce qu’on ne sait pas : au-delà du pittoresque et de l’anecdote… tout.
Jean Roques
L’icône, visage et connaissance de Dieu
Nicolaï Greschny (conversation avec G. Assémat)
La vénération des icônes, avec la représentation du Seigneur JésusChrist, de la Très Sainte Mère de Dieu * , des anges et des saints, occupe une place importante dans la piété orthodoxe (rapportons-y aussi la Croix et l’Évangile). L’intérieur des églises est abondamment couvert de fresques et d’icônes, tant les murs que l’iconostase * , les images sont généralement portées par des planches ou des surfaces plates.
Du point de vue canonique, la vénération des icônes est fondée sur les dispositions du VII e Concile œcuménique, auquel l’Église reconnaît une valeur indéniable. E lle est aussi justifiée par la psychologie religieuse, et si profondément, que l’icône représente un besoin essentiel pour les orthodoxes. La vénération des icônes, en particulier en Occident, est une chose naturelle. Mais il faut savoir que contre l’iconoclasme, dernière hérésie qui ravagea l’Église d’Orient, le deuxième Concile œcuménique de Nicée, en 787, proclama la légitimité du culte des saintes icônes, en ce sens que la vénération dont elles sont l’objet s’adresse à Dieu ou aux saints qu’elles représentent. La querelle des images avait mis l’Empire à feu et à sang pendant plus d’un siècle et avait occasionné deux schismes avec l’Église romaine d’une durée totale de soixante-dix ans. Un concile, réuni […]
Thèmes Évangéliques
Orfèvrerie et dorure
Passionné par toutes les formes d’art sacré, Nicolaï Greschny s’intéressa aussi à l’art du métal, il fit des dessins de calices, exécuta quelques objets en métal repoussé, mais c’est à partir du milieu des années soixante qu’il entreprit un travail de collaboration avec son épouse Marie-Thérèse. Cette dernière pratiquait l’émail et aussi le métal repoussé. Cette coopération donna naissance à toute une série de réalisations de grande qualité : rizas (1) , évangéliaires, reliquaires, etc.
1. La riza* ou oklad désigne la protection métallique destinée à couvrir ou protéger les icônes.
Dans son ouvrage Les Femmes d’artistes, Alphonse Daudet écrivait : « à cet être nerveux, exigeant, impressionnable, à cet homme-enfant qu’on appelle un artiste, il faut un type de femme spéciale, presque introuvable ». Que pense Marie-Thérèse Greschny d’une telle affirmation ? Gageons qu’elle pourrait lui convenir ! Elle fut vingt-huit ans aux côtés de Nicolaï, ce genre de femme « rare », mais surtout une épouse et une mère attentive et prévenante, une intendante efficace et avisée. E lle fut aussi une artiste dont on ne parle pas suffisamment. Sa collaboration avec Nicolaï, puis son parcours personnel, donnèrent naissance à de fort belles créations : icônes, rizas * , reliquaires, évangéliaires, calices, croix, portes de tabernacles, pendentifs, etc. Marie-Thérèse a dit « oui » à Nicolaï en 1957, un an après qu’il ait achevé, lors d’un hiver mémorable, la fresque de l’église Sainte-Anne, à Châtel-Guyon. « C’est sans doute la fresque la plus personnelle et la plus aboutie de l’œuvre de Nicolaï », signale-telle, toujours admirative, soixante ans plus tard. Ceux qui connaissent bien son parcours, savent que Marie-Thérèse avait depuis longtemps des prédispositions pour les activités artistiques. En effet, après avoir suivi l’enseignement d’une école […]
Céramiques et travail de la cire
Dans les années qui suivirent la dernière guerre, Nicolaï Greschny se lia d’amitié avec plusieurs personnes de la poterie Défos à Albi aujourd’hui disparue. Il eut ainsi la possibilité de réaliser une quantité assez importante de céramiques de toute beauté : des poteries à usage quotidien, de grands plats décoratifs à thèmes profanes ou religieux mais aussi des objets à usage liturgique.
Travail de la cire Quelques cierges pascals ont été demandés à Nicolaï Greschny. Il s’agissait de pièces somptueuses et pleines de charme qui ont hélas disparu en raison de la fragilité du matériau qu’est la cire. Il reste aujourd’hui quelques rares cierges qui nous montrent combien cet artiste était animé par l’envie de rendre beau l’objet le plus ordinaire.
La chapelle de La Maurinié
Quand Nicolaï Greschny me demanda, en 1949, de bien vouloir être son porte-parole pour l’achat de « son domaine de La Maurinié », je fus bien amusé par cette fantaisie d’artiste. À la réflexion, je crus comprendre que cet apatride sortant des vicissitudes de la guerre aspirait à une sécurité, même inconfortable, que seule l’acquisition d’un coin de terre lui paraissait pouvoir garantir. Il cherchait donc un coin discret, sans valeur marchande, où il pourrait se retrancher des misères de ce monde et donner forme poétique à la sienne.
Par sa structure géographique, la commune de Marsal répondait parfaitement à ses aspirations. Située dans une large boucle du Tarn entre deux tunnels, alors impraticables, il n’y a pas de commune plus fermée, plus silencieuse, plus démunie ; une véritable île verte, une sorte de terre avant l’homme et qui remplit Greschny d’admiration biblique. C’est là que vivra sa postérité nombreuse dans la contemplation de la nature, la méditation sur la coexistence pacifique des hommes et la louange de Dieu. Le domaine de La Maurinié ? Quelques ares de ronciers d’où émergent les ruines assez importantes d’une ancienne ferme. La pierre, certes, est de bonne qualité, un schiste dur, d’un bleu presque […]
La richesse de l’héritage
Iconographe, fresquiste, bijoutier, orfèvre, peintre et dessinateur, Michaël Greschny est un artiste complet. On ne peut évoquer son talent et son inclinaison pour la création artistique sans utiliser des mots tels que prédisposition mais aussi transmission et héritage. Cependant, c’est dans le mûrissement, la liberté et l’affirmation de son identité qu’il s’est fait un prénom, aujourd’hui connu et reconnu.
Michaël Greschny a longtemps été sollicité pour parler de son père Nicolaï et de ses œuvres. Il est resté pendant longtemps une ombre discrète sur la palette des Greschny, collaborant à la mise en lumière de l’œuvre de Nicolaï dont l’obsession était que la tradition familiale ne se perde pas.
Mais Michaël ne voulait pas d’une voie toute tracée. Prendre place dans une lignée, se sentir lié, l’idée même lui pesait. Pourtant tout semblait l’y prédisposer. Il peint ses premières icônes à quatre ans, s’initie tout jeune à la préparation des couleurs, imite son père en train de peindre et sait pertinemment que dans la famille Greschny « prendre un pinceau et peindre, fait partie de la normalité ». « Faire autre chose c’est perdre son temps » […]
Nicolaï Greschny, des Fresquesaux Icônes
© Photographies : Jean-Paul AZAM - Association des amis de Nicolaï Greschny
978-2-85927-125-1 ISBN 24 €
https://vent-terral.com/greschny
Index : lieux peints par Nicolaï Greschny
• ALPES-MARITIMES - CANNES, Centre scolaire Stanislas (Chapelle) • ARIÈGE - ASTON, Église Saint-Pierre et Saint-Paul (chœur et fond de l’église) - LES ISSARDS, Église - SAINTE-CROIX-VOLVESTRE, Église de la Sainte-Face (panneau arrière) • AUDE - LIMOUX, Notre-Dame de l’Assomption • AVEYRON - CANNAC, Église Saint-Pierre-aux-Liens - COUPIAC, Notre-Dame du Saint-Voile (chapelle) - ESPLAS (Rébourguil), Notre-Dame de la Lauzière - GABRIAC, Église - LA FOUILLADE, Clercs de Saint-Viateur (chapelle) - LAGARDE, près La Selve, Église Saint-Martial - LAGUIOLE, Église (panneaux peints) - MILLAU, Couvent des Clarisses - ROQUEFORT-SUR-SOULZON, Hall de la Mairie * - SAINT-JULIEN DE RODELLE, Église Saint-Julien (chœur), Salle paroissiale - SAINT-ROME DE CERNON, Église Sainte-Foi et Saint-Romain - SAINT-VICTOR-ET-MELVIEU, Église de Saint-Victor - SALLES-LA-SOURCE, Chapelle du Couvent (vestiges de fresques sauvées après démolition), Église (vestiges de fresques) - VILLEFRANCHE-DE-ROUERGUE, Chapelle de Treize-Pierres • BOUCHES-DU-RHÔNE - MARSEILLE, Ancienne École de la Tour Sainte (très mauvais état), Abbaye Saint-Victor, panneau saint Antoine de Padoue • CANTAL - YTRAC, Église Saint-Julien • CHARENTE-MARITIME - SAINT-GEORGES-DE-DIDONNE près Royan, Centre de Vacances Les Buissonnets (chapelle) - SAINT-PIERRE D’OLERON, Église Saint-Pierre • CREUSE - AUZANCES, Église Saint-Jacques et Sainte-Anne • (HAUTE)-GARONNE - ENCAUSSE-LES-THERMES, Église (baptistère), Thermes * (extérieur et intérieur) - GOUAUX DE LARBOUST, Chapelle Notre-Dame d’Escalère - LE CUING, Église Saint-Pierre - LES GRANGES D’ASTAU, Chapelle Saint-Aventin - LOUDET, Maison particulière * (entrée) - MIRAMONT-DE-COMMINGES, Église (baptistère), Chapelle Notre-Dame des sept douleurs - PONLAT-TAILLEBOURG, Chapelle Saint-Jean (chœur) - SAINT-PLANCARD, École de garçons (entrée), Église (baptistère) • GERS - EAUZE, Église Saint-Luperc (panneaux aluminium peints) • HÉRAULT - AGDE, Baldy (chapelle du centre d’accueil) - BEZIERS (Sauvian), Notre-Dame de Consolation - CAZEDARNES, Église Saint-Amand (église fermée pour sécurité) - CORNEILHAN, Église Saint-Léonce - MONTPELLIER, Église du Saint-Esprit (triptyque peint) - PAILHÈS, Église Saint-Étienne - PUIMISSON, Église Saint-Martin - SAINT-DRÉZÉRY, Église Saint-Didier - SAINT-JEAN DE MINERVOIS, Église Saint-Jean • ISÈRE - CROLLES près Grenoble , Église Saint-Pierre et Saint-Paul • LANDES - DAX, Couvent des Lazaristes (tribune) • LOIRE - SAINT-GENEST LERPT, Notre-Dame de la Pitié • LOZÈRE - CHIRAC, Chapelle du Sacré-Cœur (ancien collège) • PUY-DE-DÔME - CHATEL-GUYON, Église Sainte-Anne - MIREFLEURS, Maison particulière * - RIOM, Église Notre-Dame du Marthuret • (HAUTES)-PYRÉNÉES - FERRÈRE, Église Saint-Michel (chœur) - MAULÉON-BAROUSSE, Église Saint-Philippe (baptistère) • SARTHE - LE MANS, Église Saint-Lazare • SAVOIE - BASSENS près Chambéry, Église Sainte-Thérèse • (HAUTE)-SAVOIE - CRANVES-SALES, Église Saint-Jean-Baptiste • TARN - ALBAN, Notre-Dame de l’Assomption - ALBI, Archevêché (chapelle) , Hôpital (chapelle) - BLAYE LES MINES, Église Saint-Louis - BRIATEXTE, Église de Notre-Dame de l’Assomption - CADALEN, Église Notre-Dame de l’Assomption - CAGNAC-LES-MINES, Église Sainte-Barbe - CAHUZAC-SUR-VÈRE, Église Saint-Thomas de Cantorbery - CAMALIÈRES près Monestiés, Église Saint-Jacques - CASTANET, Église Saint-André - CASTRES, Église Saint-Jacques (baptistère) - FONLABOUR près Albi, Église Notre-Dame - FRÉJEVILLE, Église Saint-Hilaire - JONQUIÈRES, Église Saint-Jean-Baptiste - LACABARÈDE, Église de Notre-Dame de la Nativité - LACAUNE, Église Notre-Dame de l’Assomption (panneaux peints) - LACROUZETTE, Notre-Dame de l’Assomption - LAGARDIOLE, Église Saint-Martin - LAPARROUQUIAL, Salle paroissiale * - LE SÉGUR, Église Saint-Pierre-Aux-liens - LE VERDIER, Église Saint-Pierre et Saint-Paul - LESCURE-D’ALBIGEOIS, Église Saint-Pierre - LINTIN près Cahuzac-sur-Vère, Église de Notre-Dame - LISLE-SUR-TARN, Saint-Gérard d’Admissards - MARSAL, Église Saint-Pierre (chœur), Demeure du peintre (chapelle, chœur), Restaurant « À la bonne auberge » (entrée) - MARSSAC-SUR-TARN, Église Saint-Orens - MOULIN-MAGE, Église Nativité de Notre-Dame (panneaux peints) - ROSIERES, Église Saint-Eugène - ROUSSAYROLLES, Église Notre-Dame - SAINT-BENOIT DE CARMAUX, Église Saint-Benoit - SAINT-HIPPOLYTE près Monestiés, Église castrale (sacristie) - SAINT-SULPICE, Collège Saint-Jean (chapelle) - SAINT-URCISSE, Église Saint-Urcisse - SALVAGNAC, Notre-Dame de l’Assomption - VABRE (Lacaze), Église Saint-Jean de Camalières Centre Jeunesse et Lumière de Pratlong, Chapelle Saint-Louis, Chapelle Sainte-Thérèse - VAOUR, Notre-Dame de l’Assomption - VILLENEUVE-SUR-VÈRE, Notre-Dame de La Gardelle • TARN-ET-GARONNE - ARDUS, Église - CASTELSARRASIN, Église de Saint-Sauveur (tapisseries d’après des cartons de Nicolaï) - MIRAMONT DE QUERCY, Saint-Pierre de Najac - MONTAUBAN, Institution Saint-Théodard (chapelle) • HAUTE-VIENNE - LIMOGES, Église Sainte-Jeanne d’Arc - ROCHECHOUART, Église Saint-Julien de Brioude
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