RÉORGANISATION AGRAIRE, FERME ET VILLAGE RADIEUX, Le Corbusier, 1938, Piacé, France
Proyectos 6 - 2017 - Preindustrial,Industrial, postindustrial Fernando Quesada y Ángel Verdasco Victor Valoteau
portada : cortesia de Fondation Le Corbusier
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Sommaire I - Introduction
p. 4
II - Le village et la ferme radieuse
p. 6
III - La Ferme radieuse
p. 8 p.10 p.14
III - Le village Radieux
p.26 p.30 p.32 p.34 p.36
La ferme La maison
Le Silo La coopĂŠrative Ateliers Le Corps de logis
IV - Epilogue
p.40
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I - Introduction L’appel au secours En 1934, dans deux essais intitulés “la terre aux paysans” et “, La “ferme radieuse” et le “village radieux”, Norbert Bézard, paysan originaire de Piacé (sarthe), lance un appel au secours à Le Corbusier. Pensez vous que nous lisons d’un oeil indifférent les descriptions de votre ville radieuse? Voulez vous un peu vous occuper de nous, regarder nos campagnes, nos fermes, nos villages ? Écrit-il, implorant l’architecte de porter son regard vers le monde rural qui souffre d’un pénible retard technonogique et sanitaire face à celui de la ville : La menace est sur chaque maison, la tuberculose est chez nous, dans les campagnes ! Ainsi, dans ces deux essais, N.B et L.C posent des points, leur servant de base théorique pour le développement du projet : Dans le premier essai, Bézard explique en quoi le modèle de ferme familiale est bénéfique : - Une “lignée de paysans” ( de père en fils ) améliore la conaissance de la terre, et donc sa culture. - Il s’agit d’un travail nécéssitant une flexibilité totale, étant donné qu’il est dépendant de la météo, des saisons, impliquant un rythme irrégulier. - Néanmoins, l’outillage, très onéreux, pourra être partagé entre eux, grace au développement d’une coopérative . - N.B demande les libertés de l’homme de la ville : des radiateurs et des maisons mieux isolées plutôt que des cheminées leur brûlant la face quand l’humidité du logis leur glace le dos. - Les paysans d’aujourdhui veulent un cadre de vie sain : des maisons sur pilotis pour ne plus avoir les pieds dans la boue, et ne pas vivre dans le fumier
La terre aux paysans , La “ferme radieuse” et le “village radieux” : escritos por Norbert Bézard y Le Corbusier en L’Homme réel, 1934 , dan la base teorica del proyecto
Pagina siguiente : Comparacion de tamano entre Piacé y Nuevo Baztan
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escala : 1/50 000
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II - Le village et la ferme radieuse
Pour répondre au problème posé par Norbert Bézard, Le Corbusier propose“l’équation moderne faite de deux termes bien caractérisés : la ferme familliale au centre d’un lot de terres proportionné, et le village copératif, âme de la commune paysanne.” Ainsi, Le Corbusier propose un plan de réorganisation des 41exploitations agricoles de la commune. D’un plan morcelé de parcelles difformes, on passe à un quadrillage régulier d’exploitations de 20 hectares chacunes . Au centre de chaque exploitation on trouve la maison familiale et le hangar : seront alors optimisés les déplacements du travailleur : Avant les parcelles dont un agriculteur était propriétaire pouvaient être disséminées aux quatre coins de la commune. Ces 41 fermes se partagent ainsi les infrastructures et le matériel du village coopératif, lieu de travail et de détente pour les paysans et leurs familles.
Plan actual del pueblo de Piacé, en negro las principales zonas construidas escala : 1/50 000
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Arriba : Plan de reordenación de Piacé segun Le Corbusier Abajo : Plan del “Village radieux” o “Village coopératif”
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III - La Ferme radieuse En 1937, lors du 5e Congrès International de l’Architecture Moderne, L.C et N.B détaillent d’avantage l’organisation de la ferme et du village radieux. Ils proposent deux “types” en réponse aux différents reliefs du territoire fracais. 1 - Dans les plaines, régions propices à la monoculture : une seule ferme commune à tout les paysans, qui vivront dans un seul corps de logis partagé. Solution économique puisque tout est mutualisé : habitat et lieu de travail. Pratique également puisque la solution propose le remembrement intégral des parcelles ainsi, il n’y a plus qu’un terrain que se partagent les paysans. Modèle néanmoins dangereux : ces paysans sont ils prêts à vivre dans une densité similaire à celle d’un logement de ville, sont ils prêts à mutualiser toutes leurs richesses ? 2 - Dans le bocage et régions montagneuses, plus propices à la polycultre, la ferme et le village radieux sont séparés, l’habitat familial, son hangar et sa terre restant individualisés. Les discussions entre N.Bézard et Le Corbusier leurs permettent de mettre au point un organigramme (3) dessinant les contours de la ferme radieuse, dont les plans seront présentés au Pavillon des Temps Nouveaux à l’Exposition Internationale de Paris la même année.
Axonométrie : casa individual y hangar
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3 Dibujos de Le Corbusier en 5e congrès de Paris, “Logis et plaisir” - L’urbanisme rural, 1937
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La ferme
Le programme défini dans L’urbanisme rural questionne la ferme traditionnelle afin de définir les contours de la ferme moderne. Celle-ci se trouvera au centre de la parcelle cultivée par le paysan, ainsi les déplacements à travers champs seront optimisés. Une cour centrale - dont le sol est bétonné, drainé, à l’abri complet de l’humidité et des eaux stagnantes. Ici, jamais de saletés, ni d’eau, ni de fumier. (Le Corbusier) - dessert les trois édifices de la ferme. D’un coté le garage, ou sont stockés les engins et outils de culture. De l’autre, les étables, ou sont nourris et vivent les animaux. La grange familiale ou l’on empile les bottes de pailles et stocke le grain, surplombe les autres édifices, marquant le troisième coté de la cour et l’entrée de la ferme. Le quatrième coté de celle-ci s’ouvre sur le logement du paysan. Cette proposition de ferme moderne est une réponse à une crise actuelle dans l’agriculture. l’agriculture produit des denrées indispensables a la vie de l’homme, pourtant, le monde rural, (là ou ces denrées sont produites) se vide peu à peu, les campagnards migrant vers les villes. De plus, selon Le Corbusier, ceux-ci ne sont pas forcément fait pour la ville et engorgent nos villes, ne se trouvant pas « à leur place ». Un des principaux enjeux de cette ferme est donc l’hygiène. On cherche a éviter les eaux stagnantes, et a écarter la ferme de la maison du paysan sans en rompre la conneion. La coupe p.11 montre comment l’eau est drainée en bordure de parcelle et au niveau de la route traversant le corps de ferme. Aussi, on tire profit des eaux pluviales en végétalisant tous les toits de la ferme, ce qui participe au développement de l’écosystème de la ferme.
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Grange
Silos de stockage
Etable
Garage
escala : 1/1000
Plan del habitat individual y hangar
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La ferme
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Seccion de la granja y detalle sobre el establo, cortesia de Fondation le Corbusier
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La maison
Avant de présenter la maison de la ferme radieuse, il peut être intéressant de voir comment celle ci se place dans une réflexion sur le logement rural et la construction en série qui a pu débuter avec l’ossature Dom-ino, concue pour la reconstruction d’après guerre. Le Corbusier, à ce propos, écrit : Voici en la conception pure et totale de tout un système de construire, envisageant tous les problèmes qui vont naître à la suite de la guerre et que le moment présent a mis à l’actualité. (...) On a donc conçu un système d’ossature, fabriqué a partir d‘ éléments standard et complètement indépendants du plan. Ainsi de cette base on peut construire vite, et de manière personnalisée : le plan est libre , les possibilités d’aménagement infinies. Dans l’esprit de Le corbusier, une autre entreprise se chargerait de tout le second oeuvre du bâtiment afin de répondre aux diverses demandes des clients. C’est en 1929 que se présente finalement la première occasion de mettre en oeuvre le principe de l’ossature domino, à l’occasion de la loi loucheur (1928), qui autorise l’état à intervenir dans la production d’habitations a bon marché. Ce projet de logements ruraux vise à mettre en synergie deux industries. D’une part, l’industrie métallurgique, qui, après guerre, perd toute sa clientèle militaire. D’autre part, les maçons locaux doivent être également sollicités sur le chantier : Ces derniers doivent ériger un mur de refend séparant deux maisons jumelles produites en série ( des ossatures domino). Ce mur sera construit dans le matériau de prédilection du mâcon local, ainsi ainsi, le noir complot de l’entrepreneur local sera déjoué et l’alliance utile sera scellée. 1914 - Ossature Dom-Ino
1929 - Maisons Loucheur
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Comme pour les maisons loucheur, Le Corbusier appliquera évidemment ses « cinq points » dans le dessin du plan de la maison de la ferme radieuse de 1937. Bien que non construits, ces projets continueront de vivre à travers les projets de maisons rurales à Lagny et chessy. Les maisons de Lagny s’inscrivent dans la fabrique de logement social rural français. On constate un lien de parenté flagrant avec les deux plans précédents. Les façades dessinées avec le concours de Jean Prouvé sont optimisées pour la construction métallique : on observe des congés aux angles des percements bien plus simples à obtenir que des angles droits. Celles de chessy sont dessinées à un niveau de détail encore moins important: 27 ans après la conception des maisons Loucheur, ce projet sera également abandonné. Les illustations page suivante montrent comment la composition du plan est identique : un réfectoire commun desservi par un escalier dessert lui même tous les espaces techniques et espaces nuit (voir schéma ci dessous ). réfectoire
Escalera Espaciso técnicos y habitaciones
1950 - Maisons Rurales, Lagny
1956 - Maisons Rurales, Chessy
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1929 - Maisons Loucheur
1956 - Maisons Rurales, Chessy
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1950 - Maisons Rurales, Lagny
La maison
planta baja
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planta primera
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Seccion de la maison radieuse, cortesia de Fondation le Corbusier
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La maison La maison du paysan est en recul par rapport aux bâtiments de la ferme ( cf p.11 ), mais cette position lui permet le controle de ces derniers. Le corps de logis constitue un mirador, offrant une vision panoptique à la fois sur la ferme et toute l’exploitation agricole. Cet emplacement particulier permet à l’agriculteur de suivre l’évolution de ses cultures au fil des saisons. Le corbusier, dans son oeuvre complète, présente la maison et la ferme comme des éléments standardisés, qui pourront être fabriqués dans des quantités industrielles, construits dans les usines qui profitaient avant du marché de la guerre. Néanmoins, il précise que cette ferme n’est pas destinée à un paysan donné mais qu’il s’agit d’un type, c’est a dire que selon la famille et l’emplacement géographique de la ferme, ce type peut varier. Le programme de la maison est concu à partir de l’observation des fonctions domestiques se déroulant dans la maison paysanne : - La famille se nourrit : réfectoire familial et cuisine. - La famille se repose la nuit. - La famille se lave. ( Ce dernier point est très important également, car l’ambition du projet est d’apporter dans les campagnes le même niveau de confort et d’hygiène qu’en ville : c’est ce que réclament les paysans ) A ce programme très rationnel, Le Corbusier conclut L’essentiel, la question capitale, est que le logis du paysan sera l’équivalent du logis citain - commodités, confort, hygiène - pour le reste, la Nature y pouvoit : poésie. La maison se soulève sur des pilotis, la famille ne vit plus les pieds dans la boue. Au rez de chaussée, on trouve alors le garage et la buanderie, l’accès au sous sol ainsi que le récéptacle du vide ordures. La surélévéation du volume habité libère une terasse (dont le sol est en terre battue) servant l’été. L’étage remplit les fonctions définies par le programme établi avec Norbert Bézard: un réfecotirecentral distribue toutes les autres pièces: les chambres d’enfants (l’une des deux est convertie en atelier dans le plan de Le Corbusier) ainsi que la chambre parentale et la cuisine, qui se partagent la même cloison amovible, ainsi quand l’une de ces deux pièces se ferme sur le réfectoire, l’autre s’y ouvre systématiquement. Bien qu’inaccessible, le toit terasse est végétalisé, ainsi la maison se fond dans le paysage rural
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era
Élévations :La maison sur pilotis s’élève, ainsi, les paysans n’ont plus les pieds dans la boue. Les parois extérieures de la maison sont faites de panneaux eternit. Les ouvertures, toute hauteur, sont faites de briques de verre, laissant entrer la lumière, et de vitres, au niveau du regard, formant des fenêtres en bandeau, cadrant le paysage rural.
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Perspectiva : Entrada de la granja, travesĂa del hangar llegando al centro de la propriedad : la casa.
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III - Le Village radieux
Si l’idée du village radieux est apparue avec celle de la ferme, elle fut développée dans un second temps. Le village est une réponse à la crise actuelle du monde rural. Dans cette région, les fermes sont disparates et forment de petites exploitations. Les paysans souffrent d’un grave retard technologique face aux autres nations, et la coopération entre ceux-ci semble undispensable pour pouvoir faire face à la concurrence. En se rassemblant en une coopérative, on mututalisera le matériel, donc chacun ne se sert que pour une coutre durée. Il n’y aura qu’un lieu pour l’entretien de ce matériel. De plus, on collectera toute la production de céréales du village, ainsi, on aura plus d’influence dans la négociation des prix de vente. On retrouve aussi dans ce village tous les édifices publics du village : école, poste, mairie et club : lieu de sociabilisation des habitants du village. On distingue aussi un terrain de sport sur la perspective du porjet ( voir couverture ). Une tour de logements a bon marché s’impante aussi dans le village, ou seront logés voyageurs , travailleurs, vieillards ... Le corbusier parle du village coopératif comme d’un corps humain, dont le silo est le ventre ( nourrir les hommes ) et le club et la mairie en sont la tête ( les cultiver ).
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Programa del “village” ( pueblo)
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Devant être construit en série (avec des variations ), un seul dessin a défini toute l’architecture du village. Le toit de tous les édifices sera toujours le même, seule sa hauteur , son orientation pourra varier, et ainsi apporter de la variété dans l’unité architecturale qu’il définit. Cette toiture est constituée d’une ossature métallique supportant une mince coque de béton ( dont un moule unique permet sa reproduction rapide.) couverte de terre. Ainsi, comme pour la ferme radieuse, les batiments au toit végétal tenteront de se marier au paysage environnant grâce à leur coiffure.
Detalle : seccion del techo, utilizado por cada edificio del “village”
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Le Silo
Porte d’entrée du village, le silo est l’édifice qui doit être construit en premier. Dans L’urbanisme rural, on peut lire que les habitants souhaitent ensuite l’édification du club et des chemins vicinaux. Ensuite viendrait la reconstruction des édifices du village et de la ferme. Le silo permettra de stocker tout le grain de la commune, réguler la vente face a la spéculation, stocker c’est aussi attendre que les prix remontent avant de vendre, ce qui est impossible pour un agriculteur seul ne disposant pas des lieux de stockage suffisants. Sa place est prépondérante au sein de la vie du village mais son fonctionnement reste très simple. 1 - d’un coté les agriculteurs apportent leur récolte, vidant leur remorque dans un hangar couvert. Le grain est vidé dans une trémie, au fond de laquelle une vis sans fin déplace la récolte vers les silos. 2 - De l’autre coté, le grain stocké dans les silos verticaux sera ensuite expédié en camion. L’intérêt du silo réside dans le fait qu’il permet de verser un débit rapide et constant de grain. Ainsi, il est très simple de déterminer le poids que l’on verse selon le temps de versement. De plus, le stockage vertical permet une grande économie de surface, comparée a celle qu’occupe un tas de grain.
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entrĂŠes
sorties
vis sans fin
fachada oeste, plan y perspectiva del silo de colecciĂłn y distribuciĂłn
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escala : 1/1000
La cooperativa, cortesia de Fondation le Corbusier
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Los talleres, cortesia de Fondation le Corbusier
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Le Corps de logis La vie du village de piacé ne se résumant pasqu’a 41 familles de paysans, il s’agit aussi de loger tous les travailleurs et retraités du village coopératif. A l’opposé de la ferme radieuse, le corbusier propose un modèle d’habitat dense, une barre de 42 logements. Comme la ferme radieuse, l’édifice est surélevé par des pilotis, dégageant un espace pour un parking semi enterré, ainsi qu’une salle de restaurant ou pourront manger les habitants de la tour. Hormis pour le dernier niveau, tous les logements sont en duplex, ce qui permet de ne désservir qu’un plancher sur deux, et économiser des dégagements. Au rez de chaussée on trouve les espaces “jour”, la coursive extérieure donne sur les cuisines, le séjour est orienté sud, et donne accès à une terasse en double hauteur ou l’on pourra placer un grand arbre. On peut voir dans cet édifice un embryon de ce que sera la cité radieuse.
a : Perspectiva sobre “le corps de logis” fachada norte Pagina siguiente : Planta baja del “corps de logis” : espacios comunes
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escala : 1/500
Conserje
Hall
Parking
comedor
Hall
dormitorio
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cocinas
guarderĂa
Le Corps de logis
escala : 1/200
Viviendas : plantas tipo
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escala : 1/500
Viviendas : plantas tipo
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IV - Epilogue
Dans la version exhaustive de l’oeuvre complète, dans les esquisses pour le projet de la ferme radieuse, on trouve des plans évoquant d’autant plus ce que seront ceux de la cité radieuse. Les dégagements sont réduits à leur minimum, un couloir central servant pour trois étages de simplex ou duplex. Ce projet est resté au stade d’utopie, d’un modèle proposé. Cette proposition de Norbert Bézard et Le Corbusier est d’une grande radicalité : on veut transposer un modèle d’ordre urbain dans les campagnes : plaquant une grille sur les terres rurales. Le projet propose de « remettre de l’ordre » dans les campagnes : ici, c’est déplacer toute la population du village pour que sa répartition soit homogène sur le territoire, et ainsi effacer « les erreurs de l’histoire » qui a mal réparti la population dans la campagne. Mettre de l’ordre dans la forme construite pour mettre de l’ordre dans la société c’est aussi cela la volonté du Corbusier. Sans nul doute, le projet s’il avait été construit se serait heurté à la réalité du terrain. Comme le dit D. Le Couédic dans sa conférence Le projet de Bézard et Le Corbusier et sa filiation avec les utopies du 19ème siècle, toutes les utopies sont totalitaires, mais ces idées n’avaient aucune chance d’advenir : il n’était pas question de déplacer tous le village, mais en se heurtant à la réalité, qui est critiquable, ces utopies instaurent une relation dialectique, font naître un moyen terme. Par exemple, aujourd’hui, le modèle de coopérative existe et est bien implanté dans certaines régions de France, et permet à de petites exploitations d’exister, grace à la force de l’association.
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Nivel 3
Nivel 2
Nivel 1 viviendas colectivas, esquema abandonado
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escala : 1/400
Bibliographie
LIVRES -N.Bézard, Le Corbusier La terre aux paysans , La “ferme radieuse” et le “village radieux” in L’Homme réel, 1934 - Norbert Bézard CIAM, 1937 / L’urbanisme rural - Le Corbusier - Oeuvre complète : volumes 2 et 3 Birkhäuser Basel, 2006
SITES WEB - www.fondationlecorbusier.fr - www.piaceleradieux.com
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Resumen