MACHIA’H N° 312 - CHABBAT PARACHAT BEALOTE’HA CHABBAT 12 SIVAN 5776 - 18/06/2016
VIVE LE ROI
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Après la pluie le beau temps !
Le ‘hassid et photographe Eliau Pia nous donne un aperçu du 770, le QG de Loubavitch à New-York après une averse... De nouveaux cieux et une nouvelle terre ! (GN) Editorial
Elévations suprêmes Alors que le Dvar Mal’hout de cette semaine nous donne une leçon magistrale sur l’éducation en général et sur le comportement face à autrui et face au monde en paticulier, nous passons à la vitesse supérieure en matière des actions d’éclat que chacun doit mener à bien pour révéler la délivrance véritable et complète. Mais une méditation préalable s’impose et il s’agit de réfléchir à ce que nous devons faire alors que la grande date du 3 Tamouz 5776 approche avec au programme ; un phénoménal mouvement de masse qui se dirigera vers la place Rabine à Tel Aviv pour l’opération de « Machia’h Au Kikar » le dimanche 4 Tamouz. Cette manifestation doit entraîner le maximum des membres du Peuple Juif à répondre présent, pour participer à cet énorme Hakel, réunir tout le Peuple, hommes femmes et enfants ce soir-là au cœur de Tel Aviv et transformer la grande cité en ville de la Guéoula. Nous devons nous pencher sur ce sujet et tenter d’aider personnellement, d’y inviter nos amis, notre famille et nos connaissances. Telle est l’assistance concrète que chacun de nous peut apporter à cet extraordinaire événement. Plus le nombre de participants sera grand et plus nous aurons de chances d’y accueillir le roi Machia’h en personne et de terminer cette soirée au troisième Temple ! De plus, nous avons l’opportunité d’organiser un Chabbat de Guéoula le trois Tamouz car il tombe un Chabbat et le but serait de réunir des familles pour un Chabbat qui est tout entier Farbrenguen et où la joie sera la plus éclatante afin d’amener la Guéoula dès maintenant alors que nous sommes en plein préparatifs pour ces grands moments. Hachem verra que chacun se démène malgré le manque de moyen et tous les autres manques que nous comblerons par la joie, la joie et encore la joie de la Guéoula ! (GB)
Plus de 1000 enfants à Har ‘Homa
Les dix Commandements ont été lus pour les enfants de Har ‘Homa dans une vingtaine de Synagogues dans l’après midi de la fête de Chavouot. Témoignage du Rav Shlomo Yossef Tsion, Chalia’h à Har ‘Homa : « Les enfants sont arrivés en nombre dans la Synagogue Tiféret Morde’haï. Après avoir répété les 12 Psoukim et scandé Yé’hi Adoneinou, ils ont pu entendre les dix Commandements lus par le jeune ‘hassid et Chalia’h Benyamin Zerbib. Un discours sur la fête de Chavouot a été prononcé par le Rav Gabriel Beckouche et à la suite de cela, chaque enfant a reçu un bon de loterie, une glace et un gadget. La présence d’un aussi grand nombre d’enfants dans la Synagogue fut une excellente surprise pour nous et nous a encouragé pour les futures activités que le Beit Machia’h d’Har ‘Homa compte bien organiser cet été ». (GN) L’équipe du Beit Machia’h Har ‘Homa lors de Lag Baomer
Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd !
L’Edit Royal Dvar Mal’hout Résumé du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Chabbat Parachat Bealoté’ha - 19 Sivan 5751-1991 Une flamme qui s’élève d’elle-même
Tout enseignement de Torah vient aider le Juif à servir D.ieu. Et plus particulièrement concernant le service du Sanctuaire, qui se retrouve dans le travail de chaque Juif, comme il est dit : « Et ils Me feront un Sanctuaire, et Je résiderai parmi eux (1) », « à l’intérieur de chaque Juif (2) » et plus précisément au sujet de l’allumage de la Ménorah, du Candélabre, dans le Sanctuaire ; ce qui exprime le but et le contenu du travail du Juif qui sert D.ieu.
Au sujet de « Bealoté’ha », Rachi donne l’interprétation suivante : « Puisque la flamme montera au moment de l’allumage ; l’Ecriture emploie un terme d’élévation, car il faudra la maintenir allumée jusqu’à ce que la flamme monte d’elle-même ». « Au moment où tu allumeras les lumières », ceci exprime l’ensemble du travail du Juif qui est de servir son Créateur (3). Il s’agit de l’allumage de « La bougie de D.ieu, qui est l’âme de l’homme (4) » par le feu de « La bougie de la Mitsva et l’Enseignement de lumière (5) », il fera briller par sa propre lumière, et illuminera toute son existence, son corps et sa part dans le monde, « tous tes actes seront au nom du Ciel », et « en toutes tes voies connais-Le (6) ». Il éclairera aussi pour les gens alentours jusqu’à éclairer le monde entier et ainsi relier le monde avec son Créateur pour faire du monde une demeure pour Lui, qu’Il soit béni, une lumière qui brûle et éclaire d’une lumière divine.
Une marche vers le haut « La flamme » : avant que la bougie ne soit allumée, il y a la lampe*, le récipient, l’huile et la mèche (7), mais tout cela n’éclaire point. Le travail du Juif est donc d’allumer cette lampe, qui fera monter une flamme, une lampe qui éclaire et resplendit aux alentours, non pas une petite lumière, mais bien une pleine flamme. « Qui monte » : le travail du Juif est d’éclairer comme une flamme, d’une telle façon, qu’il imprime un mouvement permanent de marche en avant, combiné à un mouvement d’élévation. De plus, il possède déjà la qualité de la marche en avant, qui est au-dessus de la simple station sur place. Mais sa marche en avant se fera dans un mouvement de montée vers le haut. Car il existe une marche qui se fait en longueur et en largeur, ce qui permet au « marcheur » de rester sur le même terrain, le même type de travail. Que signifie alors, la marche « vers le haut » ? Qu’il s’élève vers un niveau totalement au-dessus de ce terrain dont il avait l’habitude auparavant, comme une flamme qui a pour nature d’éclairer d’elle-même, sans aucune intervention extérieure.
contraires. Or, ceci a été donné en gage aux enfants d’Israël, lors du don de la Torah, alors qu’a été annulé le décret de séparation entre les mondes supérieurs et les mondes inférieurs (8). Le Saint béni soit-Il a donné au Juif, la force qui fait qu’en accomplissant une Mitsva, avec un objet matériel, l’objet matériel devient un objet de sainteté qui « monte de lui-même », qui n’a (si l’on peut s’exprimer ainsi), plus besoin ni de la force d’en-Haut, ni de la force de l’homme afin d’y faire pénétrer la Kedoucha.
Comme l’exemple le plus simple des bougies, qui ont besoin d’un homme pour les allumer car aucun des éléments, ni le récipient, ni la mèche et ni l’huile ne peuvent s’allumer seul. Mais après qu’on les ait allumé de la bonne manière, elles vont brûler d’elles-mêmes et l’huile et la mèche deviennent alors une source de lumière.
L’exemple de l’enfant On peut le constater au sujet d’un enfant appliquant l’enseignement :« la flamme montera d’ellemême », enseignement qui appartient aussi à tous les enfants Juifs, même aux tout-petits. Alors que l’on a posé dans sa chambre un ‘Houmach, le Pentateuque, un Sidour, son livre de prière et une boîte de Tseddaka avec laquelle il pratique la charité (9). Ces objets et livres doivent être fixés d’une telle manière que l’on aura plus besoin de la personne qui les a fixés, ni même de l’enfant qui se souvient et se sert de ce ‘Houmach etc. Mais lorsqu’il entrera dans sa chambre, le ‘Houmach, luimême, montera comme cette flamme, le réveillera afin qu’il l’utilise et étudie dedans, et de même pour le Sidour et la boîte de Tseddaka posée d’une telle façon, qu’elle appellera l’enfant à y introduire une pièce de charité.
Le rôle d’Aharon, le Grand-prêtre Et l’on comprendra aussi pourquoi cet ordre : « Lorsque tu feras monter les lampes » a été dit à Aharon, le Grand-prêtre (10). Alors que le rôle d’Aharon a été décrit dans la Michna (11), il aimait les créatures et les rapprochait de la Torah. Il possède de l’amour même pour ceux qui sont « éloignés L’élévation de la matière de la Torah de D.ieu et de son service, ainsi ils ont La nature, pour sa part, n’a aucun rapport avec la été appelés ‘Créatures dans le monde’ (12) ». Il les Kedoucha, la Sainteté, et pour qu’un objet matériel rapproche de la Torah, il rapproche les « créadevienne Kadoch, saint, il faut accéder au pouvoir tures », qui sont du niveau le plus bas, de la Torah du Saint béni soit-Il, qui est capable de relier les
qui est du niveau le plus élevé, et les rapproche d’une telle façon, qu’ils deviennent « une flamme qui s’élève d’elle-même ».
Notre génération Nous pouvons enfin constater le point central des dernières générations qui sont le talon, et même le « talon du talon » du Machia’h, et plus particulièrement la génération actuelle, la dernière génération de la Galout, de l’exil : S’agit-il d’une « génération méritante (13) » ? et plus précisément dans le talon du talon du Machia’h, comme il est décrit à la conclusion du traité Sotta, et les qualités de cette génération ne viennent qu’en continuation des générations précédentes, et nous recevons toutes les forces et le travail de Torah et de Mitsvot des générations précédentes. Au point que l’allumage des lampes de cette génération ne vient qu’en résultat du travail et des directives reçues par la génération précédentes. Et pourtant nous avons la force, d’arriver au niveau de cette « flamme qui monte d’elle-même ». Et c’est justement le talon qui se trouve dans le pied, car c’est la dernière génération qui possède la force de « s’élever d’elle-même » et ainsi, de faire monter toutes les générations précédentes, par le fait que la dernière génération de la Galout (l’exil), devient la première de la Guéoula, la délivrance de tous les enfants d’Israël, de toutes les générations. Pour la simple raison que le berger, le « Aharon HaCohen » de notre génération n’est autre que mon beau-père, le saint Rabbi, prince de notre génération qui a déjà montré de manière claire, son amour pour tous les enfants d’Israël, y compris les créatures les plus simples, et il les rapproche de la Torah par ses nombreuses actions, la propagation de la Torah, du Judaïsme et la diffusion des sources vers l’extérieur.
Notre rôle, dans l’immédiat Par l’intervention de son appel pressant, « Une Techouva (repentance) immédiate entraîne une Guéoula (délivrance) immédiate (14) », suivie de l’annonce qu’il ne reste « qu’à faire briller les boutons de l’uniforme (15) », elle-même suivie de l’annonce que cela a déjà été accompli. Et qu’il ne reste finalement qu’à « se tenir tous prêts » afin d’aller à la rencontre de notre juste Machia’h, lors de la délivrance véritable et complète. Ainsi, tout ceci, devrait rajouter et intensifier force, vitalité et joie afin de terminer le travail de se préparer soi-même à la délivrance et d’éclairer depuis son environnement proche jusqu’au monde entier. Et immédiatement véritablement, Mamach, nous allons tous en Terre Sainte, à Jérusalem, ville sainte, sur la montagne Sainte, dans le troisième Temple Saint et dans le Saint des saints, avec « nos jeunes et nos vieux… nos fils et nos filles (16) ».
Notes : 1/ Trouma 25.8 - 2/ voir Réchit Ho’hma, Chaar Ahava ch.6 - 3/ fin Kiddouchin - 4/ Prov. 20.27 - 5/ Prov. 6.23 - 6/ Avot 2.12, Prov. 3.6 - 7/ voir Likoutei Torah Bealoté’ha, 33.3 - 8/ Tan’houma Vaéra 15, voir Likoutei Si’hot vol. 3 - 9/ voir Likoutei Si’hot vol.26 p.420 - 10/ Torah Or, Bérechit 4.1 - 11/ Avot 1.12 - 12/ Tanya Ch.32 - 13/ Yebamot 39b - 14/ Igueroth Hakodech du Rabbi Rayats vol.5 p.361 - 15/ Discours du Rayats Sim’hat Torah 5689 - 16/ Bo 10.9
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En vie, envers et contre tout !
Buenos Aires, 12 Adar II 5752. Isser Kirchenberg, directeur de la division « Culture et Médias » à l’ambassade israélienne d’Argentine, installé à son bureau s’occupait des tâches quotidiennes. Un attaché de presse entra dans le bureau et demanda à utiliser la photocopieuse. Ou plus exactement, il laissa la pile de documents à Isser afin qu’il en fasse les photocopies lui-même. Il était sûr qu’Isser serait d’accord. Ce n’était pas la première fois qu’Isser lui rendait de tels services.
Mais Isser, aujourd’hui, le surprit. « Si tu quittes cette pièce, je ne ferais aucune photocopie. Reste-là jusqu’à ce que j’en termine ». L’attaché de presse leva un sourcil en entendant ces propos, et plus particulièrement vu le ton sur lequel ces propos avaient été prononcés. Sans autre choix, il resta aux côtés d’Isser alors qu’il finissait les photocopies… Il était près de 15h00. Soudain, une gigantesque explosion d’une violence sans précédent saisit tout le bâtiment de l’ambassade. Isser ne comprit pas ce qu’il se passait. Il pensait que peutêtre la photocopieuse avait explosé ou alors était-ce la climatisation ? Il n’en vint pas à penser, ni d’ailleurs les autres employés de l’ambassade, qu’il s’agissait en fait d’un acte de terrorisme délibéré. En une minute, la pièce s’emplit de poussière et d’une fumée asphyxiante. Un autre effet de l’explosion fut que l’un des murs de la pièce s’effondra totalement. Il était à présent clair qu’il ne s’agissait point d’un simple problème technique. Un camion piégé, conduit par un terroriste du ‘Hezbollah avait explosé devant le bâtiment de l’ambassade et en avait soufflé toute la façade. Trente Juifs avaient perdu la vie et quatre cents autres furent blessés. Par l’ampleur de l’explosion, des morceaux du camion furent retrouvés sur les toits des immeubles alentours, l’enquête de police prouva que le camion contenait deux cents kilos d’explosifs. Poussé par l’instinct, Isser se leva rapidement pour constater de l’état de son collègue resté dans la pièce. En effet, il était sain et sauf, grâce à Isser. Si ce n’est par son entêtement bizarre mais providentiel, à l’heure qu’il est, il ne serait plus en vie car le bureau de l’attaché de presse s’était transformé en un immense brasier… Les deux collègues sortirent de la pièce et là, ils furent témoin d’une vision d’horreur ; la moitié du bâtiment s’était effondré. Le bureau d’Isser était au deuxième étage, alors que le premier s’était presque totalement écrasé ainsi qu’une grande partie du second étage. Il y avait danger à rester dans
le bâtiment. Les deux hommes étaient en état de choc, mais ils recouvrèrent l’esprit assez rapidement et se mirent à la recherche d’une issue de secours entre les débris.
Isser se revoit sortant des décombres et de la poussière, sain et sauf à la stupéfaction de l’équipe de journalistes déléguée en urgence sur les lieux de l’événement. Entretemps, il compris qu’il avait encore assez de force pour venir en aide à l’équipe de sauveteurs et il revint sur ses pas pour leur prêter main forte. Les images qui lui sautèrent aux yeux étaient d’une horreur indicible ; des dizaines de gens étaient pris entre les débris et d’immenses morceaux de verre, blessés à différents degrés et attendant les secours. Petit à petit en sa conscience se fit jour l’immensité du miracle qui s’était produit à son intention. A très peu de chose près, il aurait, lui aussi bien pu se trouver dans la situation de tous ceux qui attendaient les secours. « Comment est-ce possible ? Quel est donc mon mérite ?! » se disait-il. Alors, un éclair vint traverser son esprit ; un souvenir d’il y a deux semaines se fit jour en lui. Il faisait un séjour à NewYork et était aller visiter le Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita, le dimanche 26 Adar I. Il était passé prendre un dollar de bénédiction. Puis alors que vint son tour, il annonça au Rabbi qu’il devait retourner en Argentine ces prochains jours. Le Rabbi lui tendit un dollar en lui souhaitant :
« Bon voyage ! ». Il était déjà passé devant le Rabbi à plusieurs reprises, mais cette fois-ci, il ressentit une forte émotion. Le Rabbi le regarda avec insistance, lui tendit un second dollar et lui dit : « Vous annoncerez de bonnes nouvelles ». Isser fit mine de reprendre son chemin, mais lui vint l’idée de dire au Rabbi qu’il fêterait son anniversaire le 22 Adar II, le Rabbi lui offrit un autre dollar et lui souhaita une longue vie. La dernière bénédiction lui parut tout à fait étrange. Il était encore un jeune homme, pourquoi devrait-il recevoir une bénédiction de longue vie ? Ses amis aussi en furent étonnés et lui demandèrent s’il avait bien entendu les paroles du Rabbi. Parfois, avec l’émotion, il est possible que l’on ait pas bien compris les mots du Rabbi. Mais Isser était sûr d’avoir bien entendu, tels étaient bien les mots que le Rabbi avait prononcé. Et maintenant tout était clair, et il avait fait le lien avec ces mots inattendus
car les événement leur avait donné toute leur signification : « Une longue vie » ! Le lendemain, les noms des victimes, blessées ou décédées furent publiés et un fait extraordinaire lui apparut : Tous ceux qui avaient demandé à Isser de transmettre leurs noms lors de son voyage chez le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h étaient sains et saufs juste peut être quelques égratignures mais c’était tout. Une autre évidence sauta aux yeux de tous : Le bureau d’Isser fut le seul à rester intact ! Il y avait sur sa table un livre du ‘Hitat (‘Houmach, Tehilim et Tanya) ainsi qu’une boîte de Tseddaka selon les directives du Rabbi. Un portrait du Méle’h HaMachia’h était aussi accrochée au mur et n’avait subit aucun dommage.
L’histoire d’Isser a été publiée dans de nombreux médias et a permis à de nombreux Juifs de se renforcer dans la Torah et les Mitsvot. (HaGuéoula)
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Au Festival de Chicago
Rav Yossi Kleïman : « A Chicago est organisé un festival portant sur des thèmes Juifs qui a lieu tous les deux ans. Nous y avons un stand dans lequel nous pouvons faire les Mivtsaïm et distribuer de nombreux flyers, aider nos frères Juifs à mettre les Téfilines etc. Des jeunes étudiants du 770 sont venus prêter main forte à toute l’équipe du Beit Machia’h de Chicago. Nous avons, grâce à D.ieu, cette année rencontré une immense réussite et n’attendons plus que le dévoilement du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h ! (HaG)
Gan Israël à Petersbourg
Cela fait déjà plusieurs années que le Gan Israël à Rapina, un village aux alentours de Petersbourg. Le camp de vacances Loubavitch, fonctionne à plein régime, et permet un complément d’éducation pour de nombreux enfants venus de tous bords. Un moyen de passer de bonnes vacances dans une ambiance ‘hassidique de Torah, de Mitsvot et de joie permanente. La semaine dernière, le Gan Israël a ouvert ses portes pour l’année 5776. (CI)
Miracles en série au Kibboutz Afikim
Le Rav Inon HaCohen a ouvert, depuis trois ans déjà, un Beit ‘Habad au Kibboutz Afikim à proximité de la ville de Tibériade. Ce Kibboutz est un petit paradis sur terre, il offre de nombreuses possibilités touristiques et le Rav Inon s’est concentré sur la pose des Téfilines aux touristes, personnes âgées ou handicapées, et s’est spécialisé dans le domaine des Igueroth Kodech autrement dit dans les miracles et merveilles de la Guéoula. A son actif, le renforcement du Kibboutz dans la pratique de la Torah et des Mitsvot comme par exemple l’installation d’un Mikvé, d’un Erouv, un Sefer Torah a été donné à la Synagogue et tous ces miracles se produisirent immédiatement à la suite des Igueroth Kodech. Une personne handicapée qui, condamnée par les médecins lui prédisant qu’il ne pourrait plus jamais marcher ; après une bénédiction, cet homme s’est levé et a marché seul, une dizaine de pas. Depuis cet homme a recouvré la marche et encore bien d’autres miracles. Pour contacter le Rav Inon HaCohen : 054-3228784 (GN)
A’hnassat Sefer Torah à Ramat Gan
Rassemblement Hakel pour Roch ‘Hodech Sivan 5776. Le centre ‘Habad « Modaout » dans la ville de Ramat Gan a fêté l’entrée d’un nouveau Sefer Torah pour sa Synagogue. Une joie de Guéoula a accompagné toute cette magnifique soirée. Un repas de Mitsva a été servi en compagnie de l’adjoint au maire M. Avihou Ben Moché et a clôturé cette merveilleuse soirée. (CI)
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