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é d i t o C’est bien connu, les images en disent souvent plus qu’un long discours. Les photos encadrent un fun instant très bref mais elles peuvent néanmoins rendre avec une force inégalable l’émotion d’un évènement, que celui-ci soit heureux ou dramatique. Voici compilées dans cette brochure quelques-unes des photos qui ont marqués 2013. Alors, comme rien ne nous échappe, que nos yeux d’experts vous montrent des choses surprenantes, découvrez notre sélection maison des images les plus fortes de cette année. Enjoy! éditeur responsable
zalog vladimir
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angela merkel et ses béquilles au Bundestag - 30.01.2014
La chancelière Angela Merkel défendait son projet économique mettant la justice sociale au coeur de ses priorités, mercredi, devant les députés allemands. C’est la première fois que ce discours au Parlement a été prononcé par un chef de gouvernement allemand... assis, note RFI. Arrivée avec des béquilles pour se soutenir, Angela Merkel se remet en effet de son accident de ski, survenu début janvier.
hollande-trierweiler : ce peintre corrézien voulait leur offrir ce double portrait... - 30.01.2014
Jean Viacroze est déçu. Ce peintre corrézien, quasi-centenaire, qui avait rencontré François Hollande en juillet dernier, avait prévu de lui offrir ce tableau, le représentant en compagnie de Valérie Trierweiler. Il comptait le lui offrir le 18 janvier dernier, lors de sa venue à Tulle pour la cérémonie de voeux aux Corréziens. « Trop tard », titre La Montagne qui l’a rencontré. Car c’était sans compter sur les révélations de Closer quelques jours plus tôt. Depuis, le président de la République et sa compagne ont oficiellement rompu.
le pape et son agneau - 07.01.2014
Le pape François pose avec un agneau lors de la célébration de l’Epiphanie dans la paroisse de Sant’Alfonso Maria de Liguori, à Rome, le 6 janvier 2014.
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Goth am Cida de 24 heures en images / BUZZ
Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes. Batman s’installe dans les favelas brésiliennes.
Batman s’installe dans les favelas brésiliennes
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« Tout à coup j’entends une clameur et des applaudissements. Je me précipite vers l’endroit d’où vient le vacarme, et je réalise que Batman est arrivé » Depuis les mouvements sociaux de juin 2013 qui virent un million de personnes descendre dans les rues du pays, les manifestants de Rio de Janeiro ont pris l’habitude de voir se joindre à leurs cortèges un curieux protestataire, vêtu de la cape sombre et des oreilles pointues du célèbre héros de bande dessinée américain. Yasuyoshi Chiba, qui a pu le rencontrer, raconte que sous le mystérieux déguisement se cache en fait un prothésiste dentaire de 32 ans du nom d’Eron Morais de Melo. Pour appuyer les revendications sociales de ses concitoyens, celui-ci s’est confectionné son propre attirail, voyant dans le « Chevalier noir » un « symbole de la lutte contre l’oppression ». Le 9 janvier dernier, l’homme est ainsi allé apporter son soutien aux habitants d’une favela de Rio qui doit être rasée afin d’y installer un centre commercial à l’approche de la Coupe du monde de football 2014. « Sa présence, à chaque fois, semble vraiment ravir et réconforter les gens. Sans doute donne-t-il aux manifestants l’espoir que leur cause sera entendue », raconte le reporter. La 20e édition de la Coupe du monde doit débuter le 12 juin. Depuis plusieurs mois, les voix se sont multipliées pour protester contre les sommes colossales investies dans son organisation. En juin 2013, les mouvements de protestation qui virent la population exprimer sa colère face au coût de la vie, au sousdéveloppement des services publics et à la corruption en politique furent les plus importants depuis 1992 au Brésil. L’engouement autour de Batman au Brésil est impressionnant. A chaque déplacement du héros costumé, la population l’acclame et le salue, lui qui est désormais devenu le symbole
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de la protestation au Brésil. «Parfois, quand il surgit dans la nuit au sommet de l’ancien aqueduc de Lapa ou qu’il serre la main d’un leader indigène, la scène est tellement irréelle que je me demande si, au fond, ce n’est pas le vrai Batman qui s’est échappé du film…». Batman «do Brasil» profite de sa notoriété pour dénoncer les inégalités dans son pays. Le 9 janvier dernier, il se déplaçait dans une favela de Rio qui doit être rasée en vue de la Coupe du monde 2014. Batman est venu rendre visite aux habitants des favelas pour les encourager et « attirer l’attention des médias sur leur sort», explique-t-il. Batman contre les discriminations En effet, certaines favelas ont été rayées de la carte pour laisser place à des stades de football, des parkings pouvant accueillir les spectateurs ou des voies de communications (routes, voies ferrées…). Le but étant également de sécuriser des zones où pourront se réunir des milliers de personnes. Par exemple, juste à côté du fameux stade Maracana, dans la « Favela do Metro », où Batman a été aperçu, les habitations vont être rasées pour laisser la place au camp de base de la FIFA. Autre exemple, pour protester contre la discrimination sociale au Brésil, des milliers d’habitants de quartiers pauvres se sont rendus, dimanche 19 janvier, au centre commercial Leblon, dans un des quartiers les plus huppés le la ville. Batman était bien évidemment là, en tête du cortège. La colère, elle, a pris le nom de « rozelinhos ». Parti de São Paulo ce mouvement grandissant essaime dans les grandes villes du pays. Les manifestants appellent à l’action pour mettre fin au racisme structurel qui sévit au Brésil.
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De Sydney à Paris, la journée sans pantalon
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«Être prêt à prendre le métro sans pantalon et être capable de garder un air sérieux en le faisant» Des voyageurs à Sydney, Hong-kong, Pékin et New Delhi ont donné, dimanche 12 janvier, le coup d’envoi de la 13e journée mondiale « sans pantalon », une manifestation loufoque lancée à New York en 2002. Une soixantaine de grandes villes doivent participer à l’événement « No pants subway ride », destiné à apporter un « grain de folie » dans le quotidien des citadins. A Paris, rendez-vous a été fixé à 15 heures à la station Charles-de-Gaulle-Etoile. Les conditions : « Etre prêt à prendre le métro sans pantalon et être capable de garder un air sérieux en le faisant », écrivent les organisateurs parisiens sur leur page Facebook. Les créateurs de la manifestation, Improv Everywhere, attendent 4 000 participants cette année à New York. Costumes et uniformes, mais aussi vélos, sacs et attaché-cases sont privilégiés pour amplifier le décalage et mettre en valeur la partie du corps située sous la ceinture. Les participants ne doivent sous aucun prétexte se parler, invités au contraire à vaquer à leurs occupations habituelles (lecture papier ou sur tablette, couture, etc.). « Dès que les portes se ferment à l’arrêt avant le vôtre, enlevez votre pantalon (...). Si quelqu’un vous demande pourquoi vous avez retiré votre pantalon, dites-lui qu’il vous gênait ou que vous aviez trop chaud », recommandent les organisateurs. A Sydney, en plein été austral, un petit groupe a enlevé le bas avant de s’aventurer dans le métro du centre-ville sous le regard circonspect de touristes dominicaux. D’autres adeptes ont exhibé leurs jambes à Melbourne, Adélaïde et Brisbane. A Pékin, ils n’étaient qu’une poignée à avoir osé sortir dans leur pantalon. L’idée vient de New-York, où se déroulera cette année la dixième édition de l’événement. A Bruxelles, l’expérience est organisée par Richard Medic, un Australien de 41 ans, originaire de Melbourne. «J’ai remarqué la semaine dernière que personne n’organisait cet événement à Bruxelles, alors j’ai lancé l’idée», explique-t-il. Le rendez-vous est donné à la station de métro Louise, à 15h dimanche, afin que les participants reçoivent toutes les consignes. Ils doivent être
habillés normalement en arrivant. Ce n’est qu’une fois dans le métro qu’ils enlèveront le bas. L’événement durera environ une heure et passera par la station Arts-Loi pour finir à la station SainteCatherine. Il y a actuellement plus de 300 personnes qui ont marqué leur intérêt sur Facebook . «C’est plus que ce que j’imaginais», indique l’organisateur, qui ne sait pas combien de personnes seront effectivement présentes à 15h dimanche à la station Louise. Le «No Pants Subway Ride» de Bruxelles sera retransmis en streaming sur internet. «C’est la seule ville dans laquelle une retransmission en direct sur internet est organisée», conclut Richard Medic. «Soyez normaux. Gardez un visage sérieux, répondez gentiment si on vous dit que vous n’avez pas de pantalon. Dites simplement que vous l’avez oublié, et que oui, il fait froid, et que oui, c’est malheureux», a expliqué Charlie Todd aux participants new-yorkais avant qu’ils ne rentrent dans le métro. Pedro, en caleçon rouge et chaussettes sur un quai, porte chapeau et cartable, jouant à fond le décalage. Il regrette simplement qu’il fasse un peu froid. «Mais c’est drôle», dit-il. Dan, 24 ans, dévoile lui un caleçon avec des têtes de mort, ravi des regards. «C’est juste quelque chose de stupide, on s’amuse», ajoute-t-il. Une fille d’une trentaine d’années est debout dans une rame en petite culotte, concentrée sur son téléphone. Les gens semblent amusés, une vieille dame la regarde perplexe. L’événement avait commencé à Sydney où en plein été austral, un petit groupe a enlevé le bas avant de s’aventurer dans le métro du centre-ville sous le regard circonspect de touristes. D’autres adeptes ont exhibé leurs jambes à Melbourne, Adelaide et Brisbane. A Pékin, ils étaient aussi une poignée. « Je veux montrer que (les Chinois) s’internationalisent», a expliqué Huang Li, 22 ans, en sousvêtement bleu à pois. «Les gens disent que je suis folle». Quelques dizaines de personnes à Hong Kong ont aussi pris le «MTR» sans pantalon. La première édition de la manifestation, organisée par «Improv Everywhere», avait eu lieu en 2002 à New York.
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Des mannequins en plastique avec poils pubiens créent la controverse - 19.01.2014 La chaîne de vêtements American Apparel a créé la controverse en présentant dans les vitrines de son magasin de Lower East Side, à New York, des mannequins en plastique avec poils pubiens. Les réactions sont diverses mais tranchées.
La photo d’une famille homoparentale provoque l’ire d’internautes - 20.01.2014 Sur leur compte Instagram, Kordal et Kaleb, couple homosexuel parent de trois filles, ont posté une photo d’une «matinée ordinaire à la maison», selon la légende. Sitôt mis en ligne, le cliché a suscité une pluie d’insultes homophobes et racistes (à cette heure retirées)... avant de recevoir les encouragements de milliers d’inconnus. La réponse des papas a été publiée sur le site du Huffington Post américain.
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Trois lionceaux blancs sont nés le 28 janvier au Zoo Safari Borysew, près de Lodz, en Pologne. Ci-dessus, le trio d’adorables félins photographié le 1er février. (REuTERs/Kacper Pempel)
Cet homme dort dans un rayon de supermarché après s’être retrouvé bloqué par une tempête de neige, à Atlanta, en Géorgie, le 29 janvier. D’autres Etats du sud des EtatsUnis, eux aussi peu coutumiers de ce type d’intempéries, sont également touchés. Dans certains d’entre eux, les autorités ont décrété l’état d’urgence. (Tami chappell / Reuters)
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Un graffiti peint sur un mur de Rome montrant le pape François en superman a été twitté mardi 28 janvier par un compte Twitter du « ministère » des communications sociales du Vatican. Ce tweet reproduit l’image d’un pape en plein vol, tout de blanc vêtu mais dans la célèbre posture de Superman, poing en avant, tenant de l’autre main une serviette en cuir sur laquelle est écrit en espagnol : « valores» (valeurs, au sens de valeurs éthiques).
Que faire des stations de métro abandonnées qui existent dans les souterrains de Paris ? Nathalie Kosciusko-Morizet envisage de les transformer en piscine, en lieu d’exposition, en salle de spectacle ou encore en restaurant. Une idée que la candidate UMP à la mairie de Paris illustre avec plusieurs visuelssur son site de campagne. Ci-dessus, une esquisse de la station Arsenal, située à deux pas de la place de la Bastille, fermée au public depuis 1939. (nkmparis.fr)
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Au jardin d’enfants Mizuho à Tokyo, le 20 janvier, c’est le jour le plus froid de l’année. Cela n’empêche pas les bambins d’y pratiquer des exercices physiques torse nu, comme ils doivent le faire quotidiennement pour être en bonne santé. (YoshIKazu TsuNo/aFP)
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«Mon nom est Catalogne», lit-on sur le carton accroché à cette jeune manifestante, le 16 janvier à Barcelone, alors que les députés du Parlement catalan décidaient de demander à Madrid l’autorisation d’organiser un référendum sur l’indépendance. (JosEP LaGo/aFP)
Contrairement aux apparences, ces deux jeunes filles n’ont pas la tête à l’envers : c’est la maison elle-même qui est sens dessus dessous. Cette œuvre originale se visite au Centre panrusse des expositions à Moscou. La photo, prise le 14 janvier, a elle aussi été renversée. (aFP PhoTo / aLEXaNDER NEMENoV)
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On reste au Kamchatka avec la photo de cette femelle grizzly qui enseigne la pêche au saumon à l’un de ses petits. Une image saisie par Marco Mattiusi. (Marco Mattiussi/ solent News/sIPa)
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Comme suspendu au ciel, Shaun White s’entraîne avant les qualifications pour le half-pipe, lors du Grand Prix américain de snowboard, le 8 janvier, à Breckenridge, au Colorado. (EzRa shaW / GETTY IMaGEs NoRTh aMERIca / aFP)
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Deux spectaculaires éruptions solaires successives ont marqué le passage de 2013 à 2014, et la Nasa en a diffusé les images. Ci-dessus, celle survenue le 1er janvier à 18h52, heure de Paris. (Nasa/sDo)
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«Les photographies, qui ne peuvent rien expliquer par elles-mêmes, sont d’inépuisables incitations à déduire, à spéculer, à fantasmer.» Aujourd’hui, nous vous proposons un Mercredi Pratique pour revoir deux notions de prise de vue qui semblent être connues de tous, mais qui ne sont pourtant pas tant utilisées que cela : la prise de vue en plongée et en contre-plongée. Osez la contre-plongée, ou la prise de vue du retour en enfance La technique du contre-plongée correspond à prendre une photo du bas vers le haut. Dans cette perspective, le sujet principal se trouve en hauteur, et l’on pourrait utiliser l’image d’un enfant regarder un adulte pour l’expliquer. Cette prise de vue est je vous l’accorde assez originale, et c’est sûrement pour cette raison que peu d’entre-nous l’utilisent. D’ailleurs, c’est peut-être parce que bien qu’originale, la contre-plongée est quelque peu difficile à réaliser. En effet, dès que l’on prend une photo en contre plongée, le sujet principal est mis en valeur. Il faut simplement faire attention de ne pas créer des déformations trop fortes avec une perspective trop accentuée. L’objectif du contre plongée est de dynamiser la scène, mais il faut surtout faire attention à bien soigner sa composition. D’ailleurs, petit conseil pratique concernant le climat : attention aux ciels trop clairs lorsque vous effectuez un contre plongée, car vous risqueriez de brûler l’arrière plan de votre photo. Lorsque l’on prend une photo en contre-plongée, il ne faut pas hésiter à viser « à l’aveugle » avec son appareil très proche du sol. Si vous avez un écran orientable, cela vous facilitera la tâche. Il est également possible d’utiliser un miroir au sol afin de prendre, via le miroir, une photo en contre-plongée. Cela permet de ne pas se tordre en deux, mais attention à la mise au point à travers le miroir. Je vous conseillerai également de vous munir d’un objectif grand angle. Au delà de 30 mm, il sera plus difficile de réaliser une photo en contreplongée, à moins de prendre un peu plus de distance. Maintenant que vous connaissez tout de la contreplongée, attardons-nous également sur la prise de vue inverse : la plongée. Ne vous inquiétez pas, vous ne serez pas mouillé car on parle seulement du fait de prendre une photo du haut vers le bas. A tort, on utilise la plongée très souvent lorsque l’on souhaite prendre en photo des enfants en bas âge, ou des animaux. Pour ce type de photo, il est conseillé de se mettre au même niveau que le sujet à photographier, pour rendre la photo plus naturelle. A moins que vous vouliez produire les effets suivants, propre à la photo de plongée : • donner une atmosphère de supériorité, de domination, ou de contemplation, par rapport au sujet photographié • réaliser un tilt-shift.
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Si vous voulez réaliser des prises de vue en plongée, il sera peut-être nécessaire de prendre de la hauteur. Attention donc au support que vous choisissez, et assurez-vous de la stabilité de ce dernier. Un petit escabeau est l’accessoire parfait. Si vous êtes en mobilité, vous pouvez également opter pour un monopode ou une perche. Couplée à un retardateur ou à une télécommande sans fil, cette technique vous permettra de prendre de la hauteur tout en gardant les pieds au sol. Soyons franc, nous sommes inondés de photos. Dans les magazines, sur le Web, dans les publicités, la photo n’a jamais été aussi présente – le vidéo également. Lorsqu’on pratique la photographie et qu’on se prend au jeu, il nous arrive de se questionner sur la façon dont nos photos peuvent être différentes de toutes celles qui abordent les mêmes sujets que nous. Comment peut-on en arriver à soutirer un petit «wow» en présentant nos photos? Le traitement photo peut être une réponse pour ceux et celles qui aiment le travail à l’ordinateur. Vous parviendrez sans doute à donner un traitement photo plus poussé, inhabituel ou encore expert qui vous permettra de vous démarquer de la moyenne. Mais pour les autres, la réponse peut résider dans le choix d’une perspective différente sur votre sujet. La plongée et la contre-plongée sont des outils puissants. Utilisez-les pour amener un regard différent sur un sujet. Amenez-les avec vous dans votre sac photos. Surprenez-vous… Après tout, le plus beau compliment qu’on pourra faire sur vos photos sera peut-être: « Qu’est-ce ? C’est différent ! ». Y’a des sorties photo qui nous permettent de vivre de belles surprises. Au sortir de l’une d’elles au Jardin botanique, je ne m’attendais pas à me retrouver sur les lieux d’une parade. Intéressant, un sujet différent! Mes premières photos de l’événement étaient des plus banales, ordinaires. En me contentant d’un point de vue habituel, position debout, mon cadrage incluait le stade Olympique (youpie!) mais également les spectateurs dans l’arrière-plan. Tout était un fouillis comme dans la photo de gauche. Il fallait trouver autre chose. Puis, je me suis tourné vers une de mes techniques préférées, la contre-plongée à hauteur de la cheville. C’est une technique que j’ai développée depuis quelques années. Je mets mon appareil en mode « live view », priorité ouverture, mets ma lentille à son angle le plus grand, relève mon pied pour appuyer mon boîtier sur celui-ci pour le stabiliser. Un doigt sur le bouton d’auto-focus de mon boîtier et un autre sur mon déclencheur. J’attends le moment opportun. Clic!
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De jeunes balinaises, dans leurs costumes traditionnels, pendant une parade organisée pour célébrer le dernier coucher du soleil de l’année. (Firdia Lisnawati/aP/sIPa)
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À l’occasion de la nouvelle année, cette bijouterie de Nagoya, au Japon, prévoit de mettre en vente cette sculpture de cheval grandeur nature, faite de bronze et d’or. Prix : environ 110.000 euros. De quoi satisfaire les amateurs – fortunés – d’astrologie chinoise, dans laquelle 2014 est l’année du cheval. (AFP PHOTO / JIJI PRESS)
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Des visiteurs déambulent dans les allées illuminées pour les fêtes de Noël du jardin du matin calme à Gapyeong, en Corée du Sud le 20 décembre. (Ahn Young-joon/ AP/SIPA)
Oeufs et farine, sont les armes de dérision massive des habitants de la petite ville d’Ibi en Espagne tous les 28 décembre, durant Els Enfarinats, une fête de 200 ans, grand défouloir durant lequel les participants tentent de prendre le contrôle du village. (JAIME REINA/AFP)
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En avance de cinq jours sur Noël, deux suricates du zoo de Hanovre occupés à ouvrir un cadeau. (HOLGER HOLLEMANN/AFP)
Course poursuite entre un policier et Inna Shevchenko, l’égérie des Femen, près de la place Saint-Pierre au Vatican, le 19 décembre. Les féministes aux seins nus ont entamé un «marathon international» pour protester contre l’opposition de l’Église catholique à l’avortement. (AFP PHOTO / GABRIEL BOUYS)
Ceci n’est pas une chaussure, mais un chocolat décoré de feuilles d’or qui rend au hommage au talon aiguille. Présentée le 16 décembre dans un centre commercial de Tokyo, cette gourmandise sculpturale coûte environ 90 euros. (AFP PHOTO/Toru YAMANAKA)
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Le pape François superstar ! Le chef de l’Église catholique a été nommé personnalité de l’année par le magazine américain «Time», qui lui consacre la une de son édition du 23 décembre 2013. «En neuf mois, il a su se placer au centre des discussions essentielles de notre époque», explique la rédactrice en chef Nancy Gibbs. Il devance Edward Snowden, l’homme qui a révélé au grand jour l’ampleur des surveillances effectuées par la NSA. (Time)
Retour en image sur l’épais brouillard qui a enveloppé le sud-est de l’Angleterre le 11 décembre, et conduit à l’annulation de près de 200 vols à l’aéroport de Londres Heathrow. Ci-dessus, Big Ben voilée par le «fog», dans la capitale britannique. (Ben Cawthra/REX/REX/SIPA)
Non, cet homme n’a pas rapetissé. Il évolue juste dans un appartement au mobilier et aux accessoires surdimensionnés installé dans la gare de Lyon, à Paris, le 11 décembre. Objectif : appréhender son environnement avec les yeux d’un enfant. Une opération de communication d’Ikéa qui, malheureux hasard, alerte au même moment ses clients après la mort d’un bébé qui s’est étranglé avec le cordon d’une de ses lampes, au Royaume-Uni. En France, les acheteurs sont priés de venir en magasin ou d’envoyer un courrier électronique pour obtenir un kit gratuit contenant notamment des fixations pour cette lampe, appelée Smila. (Thomas Padilla/MAXPPP)
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Boule qui roule... détruit une maison - 30.01.2014
Un éboulement impressionnant en Italie à Termeno, dans le nord du pays, a libéré un rocher qui a roulé et ravagé une maison au coeur d’un vignoble, sans faire de victimes. Une société spécialisée a utilisé des drones pour survoler et filmer la scène, le tout diffusé dans une vidéo publiée sur Youtube.
Russie: 1,5 km de queue pour voir les reliques des rois mages - 15.01.2014
Des milliers de croyants orthodoxes ont fait la queue sur 1,5 km ce mercredi à Saint-Pétersbourg, par moins 10 degrés, pour accéder aux Présents des Rois mages, une relique amenée du monastère Saint-Paul du Mont Athos en Grèce. La relique est exposée au monastère Novodevitchi. Les moines du mont Athos affirment que les présents des Rois mages possèdent un grand pouvoir bénéfique et peuvent guérir des personnes malades. Selon la tradition chrétienne, le reliquaire contient les ornements en or, l’encens et la myrrhe offerts par les Rois mages qui s’étaient rendus à Bethléem à l’annonce de la naissance de Jésus.
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« Conservatisme et soumission à l’ordre existant font preuve d’une étonnante résistance au changement » Je crois que si le pouvoir lutte avec autant de férocité contre nous, c’est que nous sommes parmi les plus dérangeants, mais aussi les plus vulnérables des militants, toujours en déplacement loin du cœur de Maïdan. AvtoMaïdan renaîtra sûrement, et de petits groupes sont prêts à mener des actions, mais ce qui est arrivé est arrivé et pour l’heure nous sommes coincés. Le premier coup a été la disparition de Dmytro Boulatov, la figure la plus célèbre de notre organisation. Le 22 janvier, il a posté un dernier message sur Facebook : « Je reçois de plus en plus de menaces. Les ténèbres s’abattent, mais nous vaincrons ». Depuis, nous n’avons aucune nouvelle. On voudrait croire qu’il se cache quelque part, mais c’est impossible de ne pas penser au sort de Iouri Verbitski, un autre militant qui a été enlevé par des inconnus avant d’être retrouvé mort dans une forêt des environs de Kiev. [Dmytro Boulatov a été retrouvé dans la soirée de jeudi 30 janvier, dans le même secteur que celui où le corps de Iouri Verbitsky avait été découvert. On ignore encore les détails de sa captivité et les conditions dans lesquelles il est réapparu, mais deux photos diffusées sur Internet laissent supposer que l’activiste de 35 ans a subi des violences sévères. Dans les jours qui ont suivi, les autres têtes du mouvement, ses organisateurs, ont presque tous été arrêtées, victimes de pièges très sophistiqués élaborés par les autorités. Celui qui a conduit au plus grand nombre d’arrestations et de tabassages a eu lieu le 24 janvier. Ce jour-là, plusieurs de nos voitures se sont fait arrêter par des 4 × 4 sans immatriculation. La police s’est débrouillée pour le faire savoir en utilisant nos canaux de communication. Nous avons formé un cortège et localisé les autobus qui emmenaient les militants. Nous les avons suivis jusque dans le quartier gouvernemental, jusqu’à ce que, dans une rue étroite, nous nous retrouvions bloqués par des véhicules des forces de l’ordre. Seule une petite partie d’entre nous avons pu fuir, mais une dizaine de voitures se sont retrouvées piégées. Leurs occupants ont été battus et arrêtés et les voitures détruites. En tout, il y a eu trente personnes jugées. Certaines ont reçu des peines de prison préventive de deux mois, dont un homme de 72 ans accusé d’avoir frappé les policiers, et un seul a gardé son permis de conduire. D’autres ont fui à l’étranger, comme Sergueï Koba, qui a
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maintenant le projet de faire le tour d’Europe en voiture des propriétés de nos dirigeants. En l’absence de nos chefs, nous avons suspendu nos opérations. Et aujourd’hui la répression continue contre les militants de base. Des listes de plaques d’immatriculation ont été diffusées sur Internet, et plusieurs voitures de nos sympathisants ont été brûlées ces derniers jours à Kiev, ainsi que des voitures simplement immatriculées dans l’ouest de l’Ukraine. L’insurrection ukrainienne vient d’accoster sur ce rivage, toujours incertain, où une révolution doit se dissoudre dans la vie politique ordinaire. La nature ayant horreur du vide, celui laissé par le départ forcé de Viktor Ianoukovitch , c’est le Parlement national, la Rada, qui, en vertu d’une réforme constitutionnelle votée à la hâte, s’est emparée des leviers de l’exécutif. Acquis en moins de quarantehuit heures, le résultat est ébouriffant: mise à la retraite forcée du chef de l’État, organisation d’élections présidentielles le 25 mai, début de nettoyage à la télévision publique, abolition du russe comme seconde langue officielle dans l’Est du pays, traditionnellement russophone, et renvoi de trois piliers de la «famille» Ianoukovitch. Le ministre de l’Intérieur, Vitali Zakhartchenko, le ministre des Impôts, Olexandre Klimenko, et le procureur général, Viktor Pshonka, ont tenté, sans succès, de fuir de l’aéroport de Donetsk, avant de disparaître dans la nature. Dans sa fièvre réformatrice, un député de la nouvelle majorité a proposé de bannir de la vie politique le Parti communiste ainsi que le Parti des régions, formation autrefois acquise aveuglément au président déchu. Dimanche, comme dans la plus pure tradition soviétique, ses députés ont bu le calice jusqu’à la lie en déclarant que «l’Ukraine avait été trompée» par «Ianoukovitch et ses proches associés», devenus «les uniques responsables de la douleur de douzaines de familles ukrainiennes». En fin d’après-midi, les députés de la Rada buttaient néanmoins sur un problème de taille: la formation d’un nouveau gouvernement et la nomination d’un premier ministre, poste pour lequel un ancien oligarque du chocolat, Piotr Porochenko, est pressenti. Leurs travaux reprendront lundi.
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« La Première dame est virée » - 26.01.2014
La Une du Sunday Telegraph réserve une place à la fin du couple présidentiel, officialisé par François Hollande ce samedi. L’ex-Première dame Valérie Trierweiler a été «virée», titre lapidairement le quotidien britannique, alors que la presse internationale a suivi de près les épisodes qui ont marqué les deux dernières semaines, après les révélations de Closer.
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Valerie Trierweiler remercie les journalistes à Bombay - 27.01.2014
« Je remercie les journalistes français d’être venus s’intéresser à la malnutrition », a lancé Valérie Trierweiler, venue à Bombay soutenir une fondation de lutte contre la faim, ce lundi. Elle a déclaré se sentir «très bien» en Inde et bien envisager l’avenir, pour ses premières déclarations deux jours après l’annonce de sa séparation d’avec le président François Hollande.
Valerie Trierweiler scrutée en Inde - 27.01.2014
Valérie Trierweiler a décliné toute question sur sa situation personnelle, à l’occasion de sa première sortie publique depuis sa séparation d’avec le président François Hollande. L’ex-Première dame est apparue quelque peu fatiguée mais souriante lundi matin lors d’une visite dans l’hôpital Sion de Bombay, un établissement de référence à Bombay pour les soins aux bébés prématurés. Une cinquantaine de journalistes étaient présents et une quinzaine de policiers assuraient la sécurité.
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Pour la première fois depuis 65 ans, deux versions des célèbres Tournesols de Van Gogh sont réunies à la National Gallery à Londres, du 25 janvier au 27 avril. (Jonathan Hordle/REX/SIPA)
Une étudiante de la ville d’Amritsar exécute une danse folklorique avec des pots en terre cuite, pendant une répétition de la parade du jour de la république, fêté en Inde tous les 26 janvier. (Munish Sharma/Reuters)
Paul Zizka pratique le selfie de haut niveau. Ce Canadien de 34 ans a pris l’habitude se photographier de nuit dans des endroits superbes et difficiles d’accès, telle cette cascade dans le parc national de Banff, dans la province de l’Alberta. Sur cette photo, l’exposition lente donne à la chute d’eau un aspect onirique. Découvrez d’autres de ses œuvres sur son site web. (Zizka Photography/Caters/SIPA)
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C’est avec Dark Vador, Yoda et des stormtroopers que George Lucas a inauguré le Sandcrawler Building, à Singapour, le 16 janvier 2014. Ce bâtiment de 22.000 mètres carrés, construit sur le modèled’un engin issu de la première trilogie, constitue le nouveau QG régional des studios Lucasfilm. (Wong Maye-E/AP/SIPA)
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Ciel menaçant : voici une image qui illustre bien cette expression. La photo a été prise à Montevideo alors qu’une énorme masse de nuages sombres se dirigeait vers la capitale de l’Uruguay depuis le rio de la Plata, le 7 janvier. (MARIANA SUAREZ / AFP)
Des enfants s’amusent avec la neige tombée sur Times Square à New York, le 2 janvier. 3.000 vols ont dû être annulés dans le nord-est des États-Unis, qui s’attend à de nouvelles chutes de neiges, accompagnées de vents forts et de températures avoisinant les -20°C. (John Minchillo/AP/SIPA)
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au brésil
BallOO
OOOOO OOO OOOOONS !
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Le 30 décembre 2013, le ciel de Sao Paulo au Brésil est couvert de milliers de ballons. L’histoire des ballons à gaz s’inscrit dans la grande histoire des aérostats. Dès 1678, un jésuite Italien, Fransceco Lana, dessine une étonnante machine aérostatique constituée d’une coque de bateau en bois portée par quatre sphères en cuivre. Remplies d’eau au départ, celles-ci se videraient progressivement de manière à créer un vide barométrique qui soulèverait l’étrange engin dans le ciel. Pour diriger sa barque volante, Lana pense à une voile et à des rames que manoeuvrerait un équipage. D’autres ecclésiastiques apportent leur pierre à l’édifice des plus légers que l’air. Le moine Brésilien Bartholomeu Lourenço de Gusmao effectue quelques expériences en présence du roi Jean V du Portugal, à bord d’un vaisseau aérien constitué d’une nacelle ailée supporté dans les airs par une grande voile, ressemblant à un parachute. Les frères Montgolfier, Joseph et Étienne, développe l’industrie familiale papetière en introduisant des techniques nouvelles, telle la fabrication du papier vélin. Leur entreprise prospère reçoit le titre de « manufacture royale ». Le 14 décembre 1782, dans leur usine d’Annonay, ils gonflent avec de l’air chaud une sphère de trois mètres cubes. Le 4 juin 1783, à Annonay, ils font décoller un immense globe d’environ 12 m de diamètre dont le cubage est d’environ 800 à 900 m3. A la demande des deux frères, un procès-verbal officiel est délivré enregistrant l’authenticité de cette extraordinaire expérience. Contrairement aux Frères Montgolfier qui ont orienté leurs recherches sur les aérostats à air chaud, d’autres savants discernent plutôt l’avenir des ballons dans le recours à l’hydrogène, mieux connu sous le non d «air inflammable» en cette fin de XVIIIe siècle. Le premier ballon à gaz, en taffetas, gonflé pendant quatre jours durant au jardin des Tuileries, prend son envol le 27 Août 1783, en fin d’après-midi. Il se posera à Gonesse, semant la panique parmi les habitants. Conçu par un physicien de grand talent Jacques Charles (portrait de droite) et les Frères Robert (Anne-Jean et Nicolas-Louis), il n’a emporté ni passagers ni de fret. Le 21 novembre 1783, Pilâtre de Rozier et le Marquis d’Arlandes montent à bord d’une montgolfière pour le premier vol humain de l’histoire. D’un cubage de 2 200 m3, elle atteindra l’altitude de 1 000 m. Le 1er Décembre 1783, 10 jours après le premier vol habité dans un ballon à air chaud Montgolfier, Jacques Charles et Nicolas-Louis Robert font aussi un vol habité sur leur deuxième ballon rempli de
dihydrogène. Ils décollent depuis le Jardin des Tuileries devant une foule immense de près de 400 000 personnes. Après avoir parcouru quelques 35 km, les aéronautes atterrirent à Nesles-la-Vallée. Dès le premier vol, le ballon à gaz de Jacques Charles dispose de tous les instruments utilisés jusqu’à nos jours sur ce type de machine (enveloppe vernie, filet, panier en osier, soupape, lest et ancre). Les améliorations qui lui seront apportées par la suite seront mineures : guiderope (inventé par l’anglais Charles Green), panneau de déchirure. Il emmena également différents instruments scientifiques. Contrairement à l’invention des frères Montgolfier, le ballon de Charles était fermé et constituait un outil scientifique qui ne devait rien au hasard. 2 mars 1794, (représentation de gauche) le ballon de Jean-Pierre Blanchard au dessus de l’Ecole militaire. L’aéronaute tente de diriger son ballon à gaz. on apperçoit le mécanisme destiné à la direction : rames, gouvernail, parachute de sécurité. Septembre 1784 : D’origine italienne, Vincent Lunadi est le premier aéronaute à voyager dans les airs en Angleterre. Il effectue sa première ascension en ballon sous les yeux de dizaines de milliers de spectateurs ébahis. Le 7 janvier 1785, Jean-Pierre Blanchard et son ami et mécène américain John Jeffries traversent la Manche de Douvres à Guînes en 2 heures 25 minutes, à bord d’un ballon toujours gonflé à l’hydrogène (représentation «un peu libre» à droite). Ces deux voyageurs de l’air obtiendront une gratification de 12 000 livres. Cet exploit eut un retentissement dans toute l’Europe et Blanchard se rendit dans de nombreux pays, jusqu’aux États-Unis, pour effectuer des démonstrations de vol en ballon. Pilâtre de Rozier, déçu par les succès de ses concurrents, ne tarde pas à vouloir prendre sa revanche en devenant le premier à franchir la Manche dans le sens Est-ouest. Son ballon hybride, réunissant les principes de Charles et de Montgolfier est un objet dangereux qui emporte à la fois de l’hydrogène et une source de chaleur. Le 16 juin 1785, accompagné de Pierre-Ange Romain, il s’envole. Alors qu’il atteint une altitude de 1 500 m, l’aérostat est pris dans un violent courant d’ouest, qui le ramène vers les côtres françaises. Le ballon en proie à un incendie s’abîme près de Boulogne, provoquant la mort des deux passagers.
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Dennis Rodman est de retour en Corée du Nord. L’ex-vedette de la NBA, ici vue le 20 décembre à Pyongyang, a fait le déplacement pour préparer la sélection nationale nord-coréenne en vue d’un match de gala avec d’anciens joueurs américains. L’événement, prévu le 8 janvier 2014, doit célébrer l’anniversaire de Kim Jong-un. (AP Photo/David Guttenfelder)
L’ESA (Agence spatiale européenne) a mis en ligne le 13 décembre cette spectaculaire image de lanébuleuse du Crabe l’un des rémanents de supernova les plus connus, autrement dit les restes de l’explosion d’une étoile en supernova. L’image recèle des surprises pour les astronomes : des poussières plus importantes qu’ils ne l’avaient supposé, et la présence de molécules d’argon, une première dans l’espace. (ESA)
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Un enfant participe aux célébrations de Notre-Dame de Guadalupe dans la ville de Guatemala, le 12 décembre. Il arbore un déguisement de Juan Diego, l’homme qui a eu l’apparition de la patronne catholique des Amériques au XVIe siècle. (AFP PHOTO Johan ORDONEZ)
Un train de marchandises au niveau de la célèbre « Courbe de Morant », le long de la rivière Bow – gelée – dans le Parc national Banff, près du Lac Louise, au Canada. Une photo prise le 6 décembre, date à laquelle la température dans la région atteignait -36°C. (AFP PHOTO/JOE KLAMAR)
La nouvelle présidente de transition de Centrafrique, Catherine Samba-Panza, juste avant son investiture à Bangui, le 23 janvier 2014.
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Paris rend hommage à Nelson Mandela avec une Tour Eiffel éclairée aux couleurs du drapeau de l’Afrique du Sud, le 15 décembre 2013. SEVGI/SIPA
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On a beaucoup dit de Nelson Mandela, depuis sa mort, qu’il était l’un des derniers géants du XXe siècle. Cette statue de bronze haute de neuf mètres, inaugurée le 16 décembre par le président Jacob Zuma, semble souligner elle aussi cette idée. L’évé-
nement n’est cependant pas lié à la mort de «Madiba» : prévu de longue date, il s’inscrit dans le cadre du Jour de la réconciliation, qui est férié en Afrique du Sud, mais aussi du centenaire de l’Union Buildings, qui abrite le siège du gouvernement à Pretoria. (AP Photo/Matt Dunham)
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Nuage de cendres en Indonésie - 13/01/2014
Les éruptions du volcan Sinabung, dans l’ouest de l’Indonésie, se sont intensifiées, provoquant des coulées de lave qui ont fait passer le nombre des évacués à plus de 25.000. Situé sur l’île de Sumatra, le Sinabung, a craché des roches incandescentes et des cendres jusqu’à une hauteur de cinq km samedi. De la lave, qui a commencé à couler du volcan il y a deux semaines, s’est à nouveau répandu dans les vallées environnantes. Les habitants vivant dans un rayon de cinq km ont été contraints de quitter la zone, ainsi que ceux résidant dans les sept km du cratère, sur le flanc sud-est.
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Les ampoules de Nadal - 24/01/2014
L’Espagnol Rafael Nadal est gêné par sa main gauche abîmée par de grosses ampoules. Ce qui ne l’a pas empêché de s’imposer le 22 janvier contre le bulgare Dimitrov.
Le «mur» israélien menace le patrimoine palestinien - 28/01/2014
Le sort du village de Battir, célèbre pour son antique système d’irrigation, et de la pittoresque vallée de Crémisan, sont suspendus aux décisions de la justice israélienne sur le mur de séparation en Cisjordanie. La Haute Cour de Justice doit examiner mercredi un recours contre le passage de cette barrière à Battir, dont les terrasses agricoles de l’époque romaine sont considérées comme un prétendant sérieux au classement par l’Unesco au Patrimoine mondial de l’humanité. Le même jour, la Cour suprême se penchera sur le recours des habitants de la vallée de Crémisan, couverte de citronniers et d’oliviers, connue pour son vignoble --qui produit le vin de messe de Terre sainte-- contre le tracé de la barrière.
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A Balladen, dans le comté anglais du Lancashire, les incivilités sont commises par des moutons. C’est du moins ce dont se plaignent les riverains. Selon eux, lors de leurs traversées fréquentes du bourg, les ruminants en profiteraient pour saccager les platesbandes et joncher les voies d’excréments. En photo en tout cas, l’effet de ce troupeau déambulant sur le trottoir est du plus bel effet. (GUZELIAN NEWS AGENCY/SIPA)
Cabaye, numéro 4 du PSG - 29/01/2014
C’est fait: le milieu international français Yohan Cabaye s’est officiellement engagé avec le PSG pour une durée de trois ans et demi. L’ancien joueur de Newcastle, âgé de 28 ans, portera le numéro 4. Il s’est déjà dit «pressé de débuter» et «prêt» à jouer dès vendredi, contre Bordeaux en Ligue 1.
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pendant ce temps là en russie…
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Cette photo n’est pas tirée du film «Le Hobbit : la Désolation de Smaug», 2e film de la trilogie «Le Hobbit» de Peter Jackson récemment sorti sur les écrans, mais montre de la lave bien réelle, bouillonnant dans le volcan Plosky Tolbatchik, dans le Kamtchatka, en Russie. Un volcan est un ensemble géologique terrestre, sous-marin ou extra-terrestre qui résulte de la montée d’un magma puis de l’éruption d’une partie de ce magma. Le magma provient de la fusion partielle du manteau et exceptionnellement de la croûte terrestre. L’éruption peut se manifester, de manière plus ou moins combinée, par des émissions de lave, par des émanations ou des explosions de gaz, par des projections de tephras, par des phénomènes hydromagmatiques, etc. Les laves refroidies et les retombées de tephras constituent des roches éruptives qui peuvent s’accumuler et atteindre des milliers de mètres d’épaisseur formant ainsi des montagnes ou des îles. Selon la nature des matériaux, le type d’éruption, la fréquence d’éruption et l’orogenèse, les volcans prennent des formes variées, la plus typique étant celle d’une montagne conique couronnée par un cratère ou une caldeira. La définition de ce qu’est un volcan a évolué au cours des derniers siècles en fonction de la connaissance que les géologues en avaient et de la représentation qu’ils pouvaient en donner1. Les volcans sont souvent des édifices complexes qui ont été construits par une succession d’éruptions et qui, dans la même période, ont été partiellement démolis par des phénomènes d’explosion, d’érosion ou d’effondrement. Il est ainsi fréquent d’observer diverses structures superposées ou emboitées. Au cours de l’histoire d’un volcan, les types d’éruptions peuvent aussi varier. Néanmoins, il est d’usage, dans le cadre de la vulgarisation scientifique2, de considérer qu’il existe au monde deux types généraux3 : • les volcans effusifs, ou « volcans rouges », aux éruptions relativement calmes qui émettent des laves fluides sous la forme de coulées. Ce sont les volcans de « point chaud », et les volcans d’« accrétion » principalement représentés par les volcans sous-marins des dorsales océaniques ; • les volcans explosifs, ou « volcans gris », aux éruptions explosives qui émettent des laves pâteuses et des cendres sous la forme de nuées ardentes ou coulées pyroclastiques et de panaches volcaniques. Ils sont principalement associés au phénomène de subduction comme les volcans de la « ceinture de feu du Pacifique ». On compte environ 1 500 volcans terrestres actifs dont une soixantaine en éruption par an4. Les volcans sous-marins sont bien plus nombreux. Le « volcanisme » est l’ensemble des phénomènes associés aux volcans et à la présence de magma. La « volcanologie » ou (beaucoup plus rarement) « vulcanologie » est la science de l’étude, de l’observation et de la prévention des risques des volcans. Le terme « volcan » tire son origine de Vulcano, une des Îles Éoliennes nommée en l’honneur de Vulcain, le dieu romain du feu dont l’équivalent dans le panthéon grec est Héphaïstos.
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Un homme lance un poisson rouge dans le lac Hoan Kiem, dans le centre ville de Hanoï, en guise de célébration du traditionnel jour du dieu de la cuisine, le 23 janvier. Au Vietnam, selon cette croyance, juste avant le début d’une nouvelle année lunaire, le dieu de la cuisine retourne au ciel en chevauchant une carpe pour faire un rapport à l’empereur de Jade sur les activités de la maisonnée pendant l’année écoulée. Celui-ci récompense ou punit la famille en fonction de ses dires. (HOANG DINH Nam/AFP)
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Une grenouille posée sur une feuille à la surface de l’eau, un escargot sous la feuille, telle est l’étrange vision qui a retenu l’attention d’un ancien professeur d’art au Vietnam, le 16 janvier. (Duong Quoc Dinh/Solent/SIPA)
Pour la première fois depuis 100 ans, une nouvelle espèce de dauphin de rivière vient d’être découverte par une équipe de scientifiques qui ont mis en ligne leur étude le 22 janvier sur leur site Plos One . Évoluant dans la rivière brésilienne Araguaia, ce dauphin serait l’un des 1.000 spécimens de son espèce, baptisée Inia araguaiaensis. (Nicole Dupra/plosone.org)
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Un conducteur traverse une rivière lors d’une épreuve de « Mekepung », sport traditionnel indonésien consistant en des courses de taureaux, dans le village de Kaliakah (île de Bali), le 12 janvier. (AFP PHOTO/SONNY TUMBELAKA )
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Trois dépouilles de baleines sur le pont du navire-usine japonais Nisshin Maru, dans l’océan Austral, sur une photo prise le 5 janvier par l’association écologiste Sea Shepherd. Ces cétacés, ainsi qu’un quatrième n’apparaissant pas sur l’image car en train d’être découpé, ont été chassés dans un «sanctuaire», accuse Sea Shepherd.
Pour fêter la nouvelle année, les Suisses se baignent dans le lac de Genève. On a froid pour eux. (FABRICE COFFRINI / AFP)
(Tim Watters/AP/SIPA)
Instantané saisi au Festival international de cerfs-volants de Bombay, le 8 janvier. (REUTERS/Danish Siddiqui)
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Ah, quand Lady Gaga déballe sa magie de Noël... À Londres depuis quelques jours, Lady Gaga ne déçoit pas. Chacune de ses apparitions est évidemment prétexte à un nouveau look, excentrique ou faussement sage, mais toujours surprenant. Ce week-end n’a pas dérogé à la règle... et de toutes ses sorties, notre préférée reste celle de dimanche 8 décembre à l’issue de sa prestation lors du Jingle Bell Ball organisé par Capital FM à l’O2 Arena : Lady Gaga semblait comme submergée par l’esprit des fêtes de fin d’année, pire que ça, Noël s’était emparée d’elle ! Les tenues de Lady Gaga sont souvent choisies en fonction de ses inspirations du moment et de sa musique, en témoignent ses récentes robes tableaux De Vinci et Picasso, comme un rappel au concept de son album ARTPOP. Ce sont aussi des clins d’oeil à la pop culture en général, comme lorsqu’elle se réapproprie (toujours ces derniers jours) les dreadlocks de Boy George ou de Cyndi Lauper. Parfois, mieux vaut ne pas chercher midi à 14h et les looks de Gaga sont tout simplement fun, délirants pour être délirants, légers... C’était le cas dimanche soir donc à la sortie de l’O2 Arena où venait de se dérouler le Jingle Bell Ball. Lady Gaga portait une combinaison courte d’un magnifique rouge, accessoirisée d’un véritable sapin de Noël, boules et étoiles au sommet comprises, sur la tête ! Dans cette tenue d’une discrétion relative, Lady Gaga a rejoint le Langham Hotel où l’attendait ses fans. Comme à l’accoutumée, malgré la fatigue, la star a pris le temps de signer de nombreux autographes et d’embrasser quelques chanceux en prenant les plus grandes précautions : cela aurait été dommage d’éborgner un little monster avec une branche. Ce lundi, retour à un semblant de sobriété. Gaga est réapparue devant son hôtel en fourreau bouton d’or aux manches velues dont l’aspect rappelle celui des guirlandes synthétiques de notre enfance. Direction l’aéroport pour la star qui vient d’annoncer sa nouvelle tournée. Quant à son prochain clip, pour l’excellent Do What U Want en duo avec R. Kelly, il devrait sortir très prochainement. Derrière la
caméra ? Le très cochon Terry Richardson. Lady Gaga s’est fait enguirlander ce week-end. La chanteuse polymorphe est cette fois passée au vert en se déguisant en arbre de Noël. C’était dimanche soir et elle nous a confirmé qu’elle était vraiment complètement allumée. C’est ainsi que l’on a pu croiser Angelina Germanotta, 27 ans, coiffée d’une étoile sur une perruque verte, bardée de guirlandes électriques et de boules colorées avec une robe rouge façon paquet-cadeau. Sous-entendu, le présent, c’était elle. Lady Gaga se trouvait en effet dans la capitale anglaise pour chanter lors du Capital FM Jingle Bell Ball où, cette fois, elle portait un soutien-gorge en coquilles saint-jacques argentées, ce qui fait un sein (voire 2) menu(s) de réveillon. En revanche, le collant transparent par-dessus un string est une tenue à déconseiller en présence des enfants, même s’ils n’ont théoriquement d’yeux que pour la cheminée... Âtre au coin duquel Lady Gaga chantait en 2008, dans «Christmas tree»: «Le seul endroit où tu veux être c’est sous mon arbre de Noël. Allume-moi, mets moi au top, fa la la la la la la la la. Oh-oh-oh, sous le gui, tout le monde sait que nous allons enlever nos vêtements... « Ah, quand Lady Gaga déballe sa magie de Noël...
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À Philadelphie, trente centimètres de neige n’ont pas arrêté les joueurs de football américain des Lions de Détroit opposés aux Eagles de Philadelphie. Les Eagles l’ont emporté 34 contre 20. (Hunter Martin/Getty Images/AFP)
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En Chine, les nouilles constituent le met traditionnel des anniversaires. Une distribution gratuite a donc eu lieu le 26 décembre 2013 à Shaoshan, ville natale de Mao, pour célébrer le 120e anniversaire de la naissance du fondateur de la Chine communiste. (AFP PHOTO / WANG ZHAO)
Les employés de la RATP ont eu la surprise de découvrir, vendredi 20 décembre, une rame de métro relookée aux couleurs de Noël. Une déco éphémère, puisque la rame a été immédiatement retirée de la circulation. L’œuvre a été réalisée par la société de production Sisaprod (photo), qui a posté une série de photos sur Facebook. Hasard de l’actualité, le métro parisien est également concerné aujourd’hui par une alerte à l’amiante. (Sisaprod)
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Un lémurien compte les points - 07/01/2014
Un lémurien étudie de près un abaque, compteur à boules chinois, au cours d’une séance photo dans le zoo de Whipsnade, au nord de Londres.
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Un mannequin reçoit une lentille de contact bleue Léonard de Vinci est souvent crédité de l’idée des lentilles de contact dans son Codex de l’œil (1508), manuel D, où il a décrit une méthode pour modifier directement le pouvoir de la cornée de l’œil en la submergeant d’eau. Léonard, cependant, ne suggère pas que son idée pouvait être utilisée pour corriger la vision mais était plus intéressé par l’étude des mécanismes d’accommodation de l’œil6.René Descartes a proposé, en 1636, une autre idée, dans laquelle un tube de verre rempli de liquide était placé en contact direct avec la cornée. L’extrémité saillante devait être composée de verre transparent, de façon à corriger la vision, mais l’idée n’était pas réalisable car il aurait été impossible de fermer les paupières. En 1801, tout en menant des expériences concernant les mécanismes d’accommodation, le scientifique Thomas Young a construit un « œilleton » rempli de liquide qui pourrait être considéré comme un précurseur de la lentille de contact. Sur la base de l’œilleton, Young avait monté un oculaire de microscope. Cependant, comme pour Léonard de Vinci, le dispositif de Young n’avait pas pour but de corriger les erreurs de réfraction. Sir John Herschel, dans une note de l’édition de 1845 de L’Encyclopædia Metropolitana, a posé deux idées pour la correction visuelle: la première d’« une capsule sphérique de verre remplie de gelée animale », et la seconde d’« un moule de la cornée » qui pourrait être impressionné sur « une sorte de médium transparent7 » Bien que Herschel n’ait jamais mis ses idées à l’épreuve, elles ont toutes deux été avancées plus tard par plusieurs inventeurs indépendants comme le docteur hongrois Dallos (1929), qui a perfectionné un procédé de fabrication de moules d’yeux vivants. Cela a permis la fabrication de lentilles qui, pour la première fois, se sont conformées à la forme réelle de l’œil. Ce n’est qu’en 1887 qu’un souffleur de verre allemand, FE Muller, a produit le premier couvreur d’œil destiné à voir au travers et à être toléré8. En 1888, l’ophtalmologiste allemand Adolf Eugene Fick construit et monte la première lentille de contact réussie. Tout en travaillant à Zurich, il a décrit la fabrication de la lentille sclérale afocale, dont le contour reposait sur les tissus moins sensibles autour de la cornée, et expérimenta leur adaptation : d’abord sur des lapins, puis sur lui-même, et enfin sur un petit groupe de bénévoles. Ces lentilles, fabriquées à partir de verre soufflé et lourd, étaient de 18 à 21 mm de diamètre. Fick remplit l’espace vide entre la cornée et le verre avec une solution de dextrose. Il a publié son travail, Contact-
brille, dans la revue Archiv für Augenheilkunde en mars 1888. Les lentilles de Fick étaient grandes, lourdes, et ne pouvaient être portées que pendant quelques heures de suite. August Müller à Kiel, en Allemagne, a corrigé sa propre myopie sévère avec des lentilles de contact sclérales, plus commodes, en verre soufflé de sa propre fabrication en 18889. En 1887, Louis J. Girard a également inventé une forme sclérale similaire aux lentilles de contact10. La lentille sclérale en verre soufflé est restée la seule forme de lentille de contact avant les années 1930 où le polyméthacrylate de méthyle (PMMA ou Perspex/Plexiglas) a été inventé, permettant la première fabrication de lentilles sclérales en plastique. En 1936, l’optométriste William Feinbloom inventa les lentilles en plastique, les rendant plus légères et plus pratiques11. Ces lentilles sont un mélange de verre et de plastique. En 1949, les premiers verres « cornéens » ont été mis au point 12,13,14,15. Ceux-ci étaient beaucoup plus petits que les verres originaux scléraux et posés seulement sur la cornée plutôt que sur l’ensemble de la surface oculaire visible. Ils pouvaient être portés jusqu’à seize heures par jour. Les lentilles de contact cornéennes PMMA ont été les premières à être diffusées massivement dans les années 1960. Les modèles en verres sont devenus plus sophistiqués avec l’amélioration de la technologie de fabrication. Un inconvénient important des lentilles PMMA est que l’oxygène n’est pas transmis à travers la lentille au tissu conjonctif et à la cornée, ce qui peut causer un certain nombre d’effets indésirables d’ordre clinique. À la fin des années 1970, et durant les années 1980 et 1990, une gamme de matériaux rigides, perméables à l’oxygène, ont été mis au point afin de surmonter ce problème. Ces polymères sont appelés matériaux ou lentilles « rigides perméables au gaz » ou « RGP ». Bien que tous ces types de lentilles (sclérales, PMMA et PRSG) pourraient être correctement considérées comme étant « dures » ou « rigides », le terme dur est maintenant utilisé pour désigner les verres originaux PMMA qui sont encore parfois montés et portés, le terme rigide étant un terme générique pouvant être utilisé pour ces deux types de lentilles. Parfois, le terme « perméable au gaz » est utilisé pour désigner les lentilles rigides mais cela est potentiellement trompeur car les lentilles souples modernes sont également perméables aux gaz et permettent à l’oxygène de se déplacer à travers la lentille vers la surface oculaire.
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Du fumier déversé devant l’Assemblée Nationale - 16/01/2014
Un camion, sur lequel était inscrit le slogan « Hollande et toute la classe politique dehors ! », a déversé jeudi matin un gros tas de fumier devant l’Assemblée nationale. Le conducteur, qui a déchargé sa cargaison odorante quai d’Orsay, devant les colonnes du Palais Bourbon, a été interpellé et conduit au commissariat du VIIe arrondissement.
Les vagues géantes de l’Atlantique font des heureux - 07/01/2014
Un surfeur profite des énormes vagues qui touchent la côte atlantique de la France. Ici, à deux kilomètres de de Belharra, dans les Pyrénées-Altantiques, le 7 janvier 2014.
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Trop guindé, Bill de Blasio? 11/01/2014
Blasphème! Bill de Blasio, le nouveau maire de New York, a été filmé vendredi en train de manger une pizza dans un restaurant de Staten Island avec une fourchette et un couteau. Une façon de faire «tout à fait inappropriée pour la plupart des New-Yorkais», estime Radio Canada. L’élu a été contraint de se justifier et d’y aller avec les mains.
L’affaire Hollande Gayet remixée par des animateurs taïwanais - 13/01/2014
L’équipe d’animateurs taïwanais de TomoNews publie chaque jour une vingtaine d’histoires animées couvrant certaines actualités, mais à leur manière... L’affaire HollandeGayet ne leur a pas échappé. Résultat: un film déjanté d’une trentaine de secondes, «starring» François Hollande affublé d’un étrange TGV, de Julie Gayet, et d’anciens présidents de la République... A prendre au douzième degré.
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Il y a un lapin dans l’oreille de Mandela - 22.01.2014
Approchez-vous, il y a un lapin dans l’oreille de Mandela. Mais plus pour longtemps. Le gouvernement sud-africain va enlever ce mercredi cette marque de fabrique des deux sculpteurs, André Prinsloo et Ruhan Janse van Vuuren, qui avaient interdiction de signer leur oeuvre.
La pollution fait suffoquer Pékin - 16.01.2014
Pékin subit un nouveau pic redoutable de pollution atmosphérique ces derniers jours. La densité de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2,5), les plus nocives, a atteint dans la nuit à Pékin le seuil de 671 microgrammes par mètre cube, selon l’ambassade américaine. Ce niveau est 27 fois plus élevé que le plafond préconisé par l’Organisation mondiale de la santé pour une exposition de 24 heures. De telles situations sont désormais surnommées «airpocalypses» en Chine.
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Les Hommen prêts à se battre contre Hollande, pas contre la pluie - 27.01.2014
Des Hommen se protègent de la pluie lors de la manifestation «Jour de colère» à Paris, le dimanche 26 janvier 2014. Celle-ci rassemblait des dizaines de collectifs hétéroclites, dont les Hommen, groupuscule issu de La Manif’ pour tous, le mouvement antimariage pour tous. Ils demandaient la démission de François Hollande.
Un spectacle impressionnant... mais prévu et contrôlé : il s’agit des derniers instants de l’AfE-Turm, une tour construite en 1970 au sein de l’université Goethe de Francfort, en Allemagne, et démolie ce 2 février. (REUTERS/Ralph Orlowski)
Un homme lance un poisson rouge dans le lac Hoan Kiem, dans le centre ville de Hanoï, en guise de célébration du traditionnel jour du dieu de la cuisine, le 23 janvier. Au Vietnam, selon cette croyance, juste avant le début d’une nouvelle année lunaire, le dieu de la cuisine retourne au ciel en chevauchant une carpe pour faire un rapport à l’empereur de Jade sur les activités de la maisonnée pendant l’année écoulée. Celui-ci récompense ou punit la famille en fonction de ses dires. (HOANG DINH Nam/AFP)
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La main d’un homme greffée temporairement à sa cheville, en attendant de pouvoir être replacée sur son bras Les patients greffés d’organe sont de plus en plus nombreux, avec des greffes de plus en plus anciennes, souvent d’une durée de vie supérieure à 20 ans, allant jusqu’à 28 ans en greffe cardiaque et hépatique et 42 ans en greffe rénale. Le bon fonctionnement du greffon nécessite la prise d’un traitement immunosuppresseur à vie responsable de manifestations dermatologiques. Il est logique de séparer les effets spécifiques dermatologiques indésirables des immunosuppresseurs et les conséquences cutanées de l’immunodépression chronique. Le problème majeur reste la survenue de cancers cutanés multiples compromettant gravement la qualité de vie à long terme. Un grand nombre de ces cancers pourrait être évité par une prévention adaptée. La majorité des effets indésirables dermatologiques des immunosuppresseurs sont doses dépendants ; cependant à doses comparables, de grandes variations de sensibilité sont observées entre les individus. La plupart des schémas immunosuppresseurs comporte un traitement d’attaque, immédiatement après la greffe, avec de fortes doses de corticoïdes et éventuellement des anticorps dirigés contre les lymphocytes et un traitement d’entretien au long cours avec 2 à 3 drogues différentes, à doses progressivement dégressives. Les combinaisons les plus fréquentes étaient corticoïdes, azathioprine et anticalcineurines (ciclosporine ou tacrolimus). Depuis une dizaine d’années, le mycophénolate mofétil remplace l’azathioprine et sirolimus et évérolimus sont donnés chez certains patients. Les rejets aigus sont traités par intensification du traitement voire par une reprise du traitement d’attaque. Les drogues qui ont le plus d’effets cutanés sont les corticoïdes, la ciclosporine, le sirolimus et l’évérolimus. La plupart sont réversibles à l’arrêt ou en cas de réduction de doses. Les corticoïdes induisent fréquemment dès les premières semaines une acné monomorphe de type papulo-pustuleux, du tronc et du visage, qui s’améliore spontanément dans la première année. Des traitements locaux à base de peroxyde de benzoyl ou antibiotiques topiques permettent de l’atténuer
quand elle est esthétiquement gênante. La ciclosporine est associée dans les 2 à 4 mois suivant son introduction à une hypertrichose particulièrement gênante chez les femmes, et parfois à une hypertrophie gingivale. Dans les cas sévères, un remplacement par le tacrolimus peut être proposé. Le sirolimus et l’évérolimus sont responsables d’aphtes, d’oedèmes et de folliculites. Ces manifestations sont beaucoup plus fréquentes lorsque ce médicament est introduit secondairement par rapport à une prescription initiale dès le début de la greffe. D’autres complications sont par contre irréversibles avec les corticoïdes (vergetures, couperose, fragilité cutanée et purpura de Bateman) ou la ciclosporine (hyperplasie sébacée). Les infections du groupe herpès, fréquentes, correspondent le plus souvent à des réactivations. Elles seront traitées en fonction de leur gravité potentielle, dépendant du degré d’immunosuppression. En cas d’immunosuppression sévère, des complications viscérales, à type de pneumopathie, de méningoencéphalite, ou d’hépatite, sont en effet à craindre. L’herpes simplex survenant dans les suites de la transplantation ou après traitement antirejet est le plus souvent de localisation faciale comportant de larges ulcérations peribuccales souvent associées à des lésions endobuccales, plus rarement de localisation génitale ou anale. Le diagnostic est avant tout clinique. Le traitement repose sur la prise orale de valacyclovir dont les doses doivent être adaptées à la fonction rénale. En cas de lésions très extensives, un traitement par acyclovir parentéral est préférable. Les herpès survenant au cours d’une 4 infection à Cytomegalovirus (CMV) répondent généralement aux traitements anti-CMV tels le ganciclovir ou le foscarnet. La fréquence de l’herpès dans les premiers mois dépend de l’existence ou non d’un traitement prophylactique spécifique de l’herpès ou du CMV. Les habitudes restent très variables selon les centres de transplantation. L’herpès récurrent banal n’apparaît pas plus fréquent chez les anciens greffés avec un traitement immunosuppresseur d’entretien que dans une population contrôle ; il obéit dans ces cas aux mêmes règles de prise en charge.
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Drôle de rencontre ! «Mon ami est allé plonger en Australie et a ramené cette photo unique», a déclaré Sick_Nerd_ Baller en partageant l’image sur le site communautaire Reddit. Pour info, ce poisson à l’œil très expressif est un napoléon. (Sick_Nerd_Baller/Reddit)
On le dirait tout droit sorti du Crétacé, pourtant cet oiseau, dénommé Bec-en-sabot du Nil, vit bel et bien de nos jours. Cet échassier, photographié par Martin Hale dans les marais du Mabamba, en Ouganda, est considéré comme vulnérable par l’Union internationale pour la conservation de la nature. (Martin Hale/FLPA/REX/SIPA)
Une gigantesque nappe de brouillard a recouvert la ville de New York, mercredi 15 janvier. Vu du ciel, le phénomène a pris une teinte onirique, comme le montre cette photo partagée sur Instagram par@amtraver. Découvrez d’autres témoignages dans cette compilation concoctée par le «Guardian».
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Comment montrer que les requins ne sont pas que les tueurs nés de nos pires cauchemars ? En nageant à leurs côtés, en apnée, comme l’expérimentent les plongeurs Carlos Estrabeau, et Ocean Ramsey, qui parviennent même à s’accrocher à leur nageoire, lors d’une séance photo aux Bahamas le 9 janvier. (SOLENT NEWS/RAUL BOESEL/SIPA)
En dépit de sa ressemblance avec une tête d’ours polaire, c’est bien une môle que l’on voit ici. Elle a été photographiée par Amos Nachoum au large de l’Afrique du Sud. Egalement appelé poisson lune, l’animal peut peser jusqu’à une tonne. (AMOS NACHOUM/ CATERS NEWS/SIPA)
Une quinzaine de bébés chauvesouris, rescapées de l’intense vague de chaleur qui affecte l’Australie depuis Noël, sont nourries dans une clinique spécialisée, le 9 janvier. Selon la présidente du groupe écologiste «Bat Conservation and Rescue», 50.000 chauve-souris ont succombé aux températures dépassant les 50°C dans la région de Brisbane, au nord-est du pays. (Trish Wimberley/AP/SIPA)
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Non, cette photo ne montre pas le pape François en train de subir une lobotomie, mais le directeur du musée de cire de Rome en train d’apporter la touche finale à la statue du souverain pontife. Présentation au public le 8 décembre. (AFP PHOTO / GABRIEL BOUYS)
Kim Jong-un ne semble guère souffrir de la perte de son oncle Jang Songtaek, exécuté vendredi 13 décembre pour trahison. Le jeune dirigeant est ainsi apparu tout sourire lors de cette visite d’une base militaire, dans une photo diffusée lundi 16 décembre par les autorités nord-coréennes. (KNS/KCNA/AFP)
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Le champion polonais de saut à ski, Kamil Stoch, domine la ville de Garmisch-Partenkirchen en Allemagne, où se tiennent les qualifications de la Tournée des QuatreTremplins, le 31 décembre. (Kerstin Joensson/AP/SIPA)
Nathan et Amanda Gibbs s’aiment beaucoup. Et ils aiment beaucoup la saga «Shrek». Alors ils se sont mariés avec des déguisements du célèbre ogre vert et de sa compagne Fiona, il y a quelques jours à Dudley, en Angleterre. L’initiative avait pour but de rassembler des fonds pour la recherche contre le cancer. (DAN ROWLANDS / CATERS NEW/SIPA)
En liberté, les suricates vivent dans les plaines arides du sud-ouest de l’Afrique. Autant dire que l’automne dans le comté anglais du Hertfordshire n’est pas pour leur plaire. Heureusement que les soigneurs du Paradise Wildlife Park ont installé une lampe chauffante, semble se dire ce représentant de l’espèce, suspendu au plus près de la source de chaleur. (Nick Povey/Caters News/SIPA)
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