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Connaissez-vous tous les avantages dune adhésion à Swiss Dental Hygienists?
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Conny Schwiete
Conny Schwiete, présidente centrale
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Rédaction et mise en page
wamag département communication Bahnhofstrasse 7b, 6210 Sursee Tél. +41 (0)41 926 07 70 dimensions@dentalhygienists.swiss
Traduction
Jaime Calvé
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Hypominéralisation molaires incisives

Univ.-Prof. Dr Katrin Bekes Wien
Comment reconnaître et prendre en charge les patient-e-s souffrant d’une hypominéralisation molaires incisives?
Résumé
L’hypominéralisation des molaires et des incisives (MIH) – également appelée «dents crayeuses» dans le langage populaire – est un défaut qualitatif de l’émail qui apparaît classiquement sur une à quatre premières molaires permanentes, avec ou sans inclusion des incisives permanentes. La maladie se caractérise par des opacités et, le cas échéant, des effondrements postérosupérieurs de l’émail, ainsi que par l’apparition éventuelle d’hypersensibilités dentaires. Le présent article a pour objectif de donner un aperçu de l’aspect clinique, des facteurs étiologiques actuellement discutés, du diagnostic et du diagnostic différentiel ainsi que des options thérapeutiques actuelles.
Définition
Le terme d’«hypominéralisation des molaires et des incisives», en abrégé MIH, existe depuis 2001 [1]. Il décrit une hypominéralisation amélaire d’origine systémique sur une à quatre premières molaires permanentes. De plus, les premières incisives permanentes peuvent être touchées, mais pas nécessairement (Fig. 1, 2).
Prévalence et étiologie
La MIH est une maladie présente dans le monde entier. Actuellement, on estime que sa prévalence moyenne est de 13 à 14 % [2]. L’actuelle cinquième étude allemande sur la santé bucco-dentaire pour l’Allemagne montre que près de 30 % des enfants de 12 ans sont même concernés [3]. Cela signifie que plus d’un enfant sur quatre présente au moins une dent affectée par une MIH. Toutefois, dans 81 % des cas, la gravité était légère. Des effondrements de l’émail à grande échelle n’ont été que rarement enregistrés dans le cadre de l’étude. La question des causes possibles de la MIH occupe les chercheurs en médecine dentaire depuis sa première description. Celles-ci n’ont toutefois toujours pas pu être élucidées de manière définitive [4, 5]. En raison du déroulement simultané de l’amélogénèse des molaires et des incisives, on suppose qu’il existe un trouble du développement dentaire entre le 8e mois de grossesse et la 4e année de vie. Par conséquent, des influences pré-, péri- et postnatales (dans les premières années de vie) sont possibles [6, 7]. Les facteurs discutés sont très divers, notamment des problèmes au cours du dernier mois de grossesse, une naissance prématurée, des maladies fréquentes au cours des quatre premières années de vie, des diarrhées, des états fébriles et des maladies respiratoires ou vésiculaires. Récemment, le bisphénol A ainsi qu’une carence en vitamine D ont été cités comme un autre facteur déclenchant possible [8, 9]. Il s’agit probablement d’un processus multifactoriel. Comme la fenêtre de formation des molaires et des incisives se situe en grande partie après la naissance, les influences postnatales sont considérées comme les plus importantes [10].
Tableau clinique, diagnostic et diagnostic différentiel
Les dents touchées par une MIH pré-
sentent des opacités délimitées de différentes couleurs, dont les dimensions peuvent être très variées. Ainsi, l’hypominéralisation des molaires peut être limitée à certaines zones ou s’étendre à toute la surface lisse [11]. Pour les incisives, la MIH se trouve généralement sur la surface vestibulaire de la dent. Plus les colorations sont foncées, plus l’émail est poreux et plus le risque d’effondrements postérosupérieurs de l’émail sous l’effet des forces masticatoires est grand. Outre les caractéristiques cliniques bien visibles décrites, l’hypersensibilité de la dent concernée, à des degrés divers, constitue un symptôme associé récurrent. Cela peut entraîner des restrictions au niveau de l’hygiène buccale, de la consommation d’aliments chauds et froids et de la capacité de traitement. Outre le tableau classique de l’atteinte des premières molaires avec/sans incisives, l’hypominéralisation a entre-temps été décrite sur d’autres dents, aussi bien dans la dentition permanente que dans la dentition de lait [12, 13]. Dans la dentition de lait, cela a conduit à une dénomination propre: hypominéralisation des molaires de lait (HML). Pour le diagnostic d’une MIH, le résultat clinique est décisif. Des critères de détection des dents hypominéralisées sont disponibles auprès de l’EAPD [14] et sont définis comme suit: opacités clairement circonscrites (fig. 1, 2), cassures postéro-supérieures de l’émail (fig. 1), restaurations atypiques (fig. 3) et extractions atypiques. Le diagnostic différentiel doit prendre en compte, entre autres, les pathologies suivantes: fluoroses, anomalies structurelles héréditaires (amélogénèse imparfaite) et défauts d’origine exogène (traumatisme, dent de Turner, carie). Les manifestations cliniques d’une MIH peuvent être très variables. La classification selon le «concept de Würzburg» permet de déterminer les degrés de gravité. Outre une graduation au moyen du MIH-TNI (Treatment Need Index), elle propose également des traitements [15, 16]. L’indice différencie quatre degrés de MIH, qui peuvent être appliqués à toutes les dents et à tous les groupes de dents: Indice 1: Pas d’érosion de l’émail, pas d’hypersensibilité Indice 2: Effondrement de l’émail Indice 3: Hypersensibilité Indice 4: Effondrement de l’émail et hypersensibilité
Approches thérapeutiques
Le traitement à privilégier varie en fonction de la gravité de la MIH. En général, les options de traitement des molaires affectées comprennent la prophylaxie intensive, les scellements, les mesures de



Fig. 1: MIH sur les dents 16 et 26. La dent 16 présente déjà un effondrement postéroéruptif de l’émail dans la zone distale, la dent 26 présente des opacités délimitées.
Fig. 2: Patiente de la fig. 1. Les deux incisives centrales supérieures présentent chacune une opacité circonscrite.
Fig. 3: Restauration atypique sur une molaire supérieure affectée par une MIH. Des opacités sont visibles dans la zone marginale de l’obturation.
restauration ou même l’extraction [17]. Cependant, indépendamment de la gravité du défaut, tous les enfants concernés devraient être pris en charge dans le cadre d’un programme de prophylaxie intensive.
Prophylaxie
Les concepts de prophylaxie pour la MIH doivent être considérés de manière un peu plus nuancée. Il n’est pas possible d’éviter l’apparition de la maladie, car les facteurs étiologiques ne sont pas suffisamment élucidés. L’accent est donc mis sur la prévention secondaire, qui comprend le dépistage précoce de la maladie. Elle a pour but d’empêcher, au moins en partie, la progression de la MIH grâce à des traitements ciblés [18]. En outre, la prévention des caries est au centre des préoccupations. Les mesures suivantes sont recommandées à cet effet: des nettoyages réguliers des dents accompagnés d’instructions sur l’hygiène bucco-dentaire, l’application de préparations à base de fluorure, de CHX et de CPP-ACP [19].
Scellement de fissures
Les scellements de fissures peuvent être appliqués sur des molaires hypominéralisées, si celles-ci ne présentent que des degrés de gravité légers, pas d’effondrement post-éruptif de l’émail dans la zone occlusale et pas de cavités carieuses [20]. Il semble avantageux d’utiliser un adhésif avant d’appliquer le matériau de scellement, afin de générer une meilleure liaison avec l’émail défectueux [21, 22, 23]. Si la dent n’est pas encore complètement éruptive et qu’un scellement est tout de même indiqué, un ciment verre ionomère à faible viscosité peut également être utilisé. Des données récemment publiées prouvent que le scellement permet également de traiter efficacement les hypersensibilités [24].
Thérapie de restauration
Si les molaires affectées par la MIH présentent déjà des effondrements postéruptifs de l’émail, il existe différentes possibilités pour leur restauration, qui dépendent de différents facteurs: l’âge du patient ou de la patiente, la compliance, l’étendue et la qualité (dureté) des tissus dentaires durs ainsi que la gravité de la MIH [25]. Les ciments verre ionomère sont idéaux pour la restauration initiale et provisoire de molaires MIH fraîchement éruptées, afin de prévenir une perte supplémentaire de substance dentaire dure. Leur manipulation simple en raison de l’absence d’étapes de conditionnement nécessaires facilite leur utilisation, notamment lorsque la coopération du patient ou de la patiente est limitée (Fig. 4, 5). L’inconvénient provient de la faible résistance à la flexion et de la stabilité minimale à l’abrasion du matériau. Le moment venu, ces restaurations provisoires doivent toutefois être remplacées par des restaurations définitives [19]. Les composites sont alors un bon choix pour les défauts légers à moyens. Ils présentent un bon taux de survie lorsqu’ils sont mis en œuvre de manière adéquate [26]. Il convient de noter ici que l’adhésion des adhésifs à l’émail hypominéralisé est inférieure à celle de l’émail sain. L’une des difficultés lors de la pose de l’obturation consiste donc à déterminer l’étendue exacte de la restauration prévue. L’idéal serait donc d’avoir un bord d’obturation dans l’émail sain [27]. Cependant, cela n’est pas toujours praticable sur le plan clinique. Dans le cas d’un petit effondrement de l’émail et d’une opacité s’étendant sur plusieurs surfaces, il n’est pas souhaitable, dans l’optique d’une invasivité minimale, d’éliminer complètement l’hypominéralisation chez un-e jeune patient-e et de transformer une cavité monoface en une cavité multifaces. Dans ce cas, les parents doivent être informés d’une éventuelle réparation ultérieure de l’obturation. En cas de perte de substance importante, il est également possible d’opter pour la pose d’une couronne en acier confectionnée comme provisoire à long terme afin de préserver les molaires concernées [28]. Une autre option thérapeutique définitive est la pose de restaurations indirectes en composite, céramique ou matériaux hybrides [29]. Il convient toutefois de souligner que cette forme de traitement s’accompagne d’un travail clinique et de laboratoire considérable, qui dépend toujours de la coopération de l’enfant.

Fig. 4: Molaire MIH hypersensible chez un patient présentant une compliance réduite. Le choix d’une obturation en ciment verre ionomère
a été fait en première intention. Fig. 5: Obturation en ciment verre ionomère pour la protection contre une perte de substance supplémentaire et pour le traitement de l’hypersensibilité.

découle peut varier. Elle va du scellement à l’extraction en passant par les restaurations.
Extraction
En cas de destruction importante et carieuse de la dent MIH ainsi que de pertes de substance marquées de toute la couronne dentaire et/ou de problèmes endodontiques, l’extraction des molaires atteintes peut également être envisagée comme option thérapeutique [30, 31]. Cette question concernant l’intérêt de la conservation et le pronostic de la dent devrait toutefois être clarifiée dans tous les cas avec un-e orthodontiste avant le début du traitement. D’un point de vue orthodontique, le moment optimal pour l’extraction des premières molaires permanentes se situe entre 8 et 11 ans pour le maxillaire inférieur et avant 10,5 ans pour le maxillaire supérieur [30].
Conclusion pour la pratique professionnelle
Le traitement des patient-e-s atteints de MIH joue un rôle de plus en plus important dans la pratique dentaire. Les patient-e-s concernés doivent être identifiés le plus tôt possible et intégrés dans un programme de rappel étroit. En raison de l’étendue variable de l’hypominéralisation, la nécessité de traitement qui en
Bibliographie sur www.swissdentalhygienists.swiss
L’auteure
Prof. univ. Dr Katrin Bekes, MME
1997–2002 Études de médecine dentaire à luniversité Martin-Luther de Halle-Wittenberg 2003 Doctorat en médecine dentaire (Dr méd. dent.) 2003–2010 Collaboratrice scientifique de la polyclinique universitaire de conservation des dents et de parodontologie et de la section de dentisterie préventive et de pédodontie de luniversité Martin-Luther de HalleWittenberg 2010–2015 Médecin-cheffe à la polyclinique universitaire de conservation des dents et de parodontologie et de la section de dentisterie préventive et de pédodontie de luniversité Martin-Luther de Halle-Wittenberg 2012 Habilitation au titre de Dr méd. dent. habil. 2015 Master of Medical Education (MME) Depuis avril 2015 Prof. univ. de dentisterie, médecine buccale et maxillofaciale de lenfant à lUniversité de médecine de Vienne, directrice du département de pédodontie de la Clinique dentaire universitaire de Vienne Depuis 2017, vice-présidente de la Société autrichienne de dentisterie pédiatrique (ÖGKiZ) 2008–2019 Secrétaire générale de la Société allemande de pédodontie (DGKiZ) Depuis 2019, présidente de la Société allemande de dentisterie pédiatrique (DGKiZ)
Correspondance:
Univ.-Prof. Dr. Katrin Bekes, MME Medizinische Universität Wien, Universitätszahnklinik Direktorin der Universitätsklinik für Kinderzahnheilkunde Sensengasse 2a, 1090 Wien, Österreich katrin.bekes@meduniwien.ac.at
Résumé d’étude Prise d’acides gras oméga-3

Dr méd. dent. Petra Hofmänner Berne
Par régime ou par complément alimentaire pour le traitement de la parodontite: une méta-analyse
Les acides gras oméga-3 sont des acides gras essentiels qui doivent être ingérés et ne peuvent pas être synthétisés par le métabolisme humain. Ils sont les précurseurs de l’acide eicosapentaénoïque (EPA) et de l’acide docosahexaénoïque (DHA). On attribue à ces deux acides une fonction anti-inflammatoire active, ce qui a conduit plusieurs pays et institutions à publier des recommandations sur la consommation d’oméga-3. Il reste toutefois à déterminer quelle est la dose quotidienne optimale pour mieux contrôler la réponse de l’hôte. L’objectif de cette méta-analyse était d’évaluer l’effet des acides gras oméga-3 sur les paramètres parodontaux. Pour cela, les études publiées en anglais entre 2010 et 2020 et trouvées dans la Cochrane Library, EMBASE ou sur PubMed ont été prises en compte. Les 13 études retenues étaient exclusivement des études d’intervention contrôlées et randomisées. Dans deux études, les participant-e-s, suivant des régimes riches en acides gras oméga-3 ont été comparés; les onze études restantes ont été menées avec des compléments alimentaires. Toutes les études ont rapporté les profondeurs de sondage, les niveaux d’attachement clinique et les changements de saignement au sondage. Un détartrage n’a pas été effectué dans toutes les études, qui ont duré entre deux et six mois, et les groupes de sujets souffraient de gingivite ou de parodontite à différents stades. Malgré cette hétérogénéité, les résultats étaient clairs et statistiquement significatifs. Les groupes test composés de sujets ayant reçu des acides gras oméga-3 saignaient moins en moyenne, avaient une plus grande réduction des profondeurs de sondage et un plus grand gain d’attachement à la fin de l’étude. Malgré la conclusion des auteurs selon laquelle les acides gras oméga-3 peuvent avoir une influence positive sur la parodontite, ils appellent à d’autres études pour promouvoir le traitement de la parodontite par la réponse de l’hôte en tant qu’approche intéressante.
Bibliographie:
Heo, H., Bae, J.-H., Amano, A., Park, T., & Choi, Y.-H. (2022). Supplemental or dietary intake of omega-3 fatty acids for the treatment of periodontitis: A meta-analysis. Journal of Clinical Periodontology, 49(4), 362–377. https://doi.org/10.1111/jcpe.13603
Résumé d’étude:
Dr méd. dent. Petra Hofmänner, spécialiste de parodontologie medi Berne