Commune de FAVERGES - Département de Haute-Savoie
Approche Environnementale de l'Urbanisme (AEU) En vue de l'extension du parc d'activités des Boucheroz et de la requalification de la zone d'activités actuelle Phase 1/ Diagnostic Environnemental, Urbain et Architectural et Enjeux Déplacements Urbanisme Architecture Eau Énergie Déchets Bruit Biodiversité Risques
ENVIRONNEMENT
URBANISME
ARCHITECTURE
SAUNIER & Associés Pôle Environnement
Atelier urba-site Urbanisme, Architecture et Paysage
Parc technologique de la Pardieu
30 place de la ville 42800 GENILAC
9 avenue Léonard de Vinci 63 063 CLERMONT-FERRAND
CEDEX 01 Tél : +33 (0)4 73 26 64 66 Fax : +33 (0)4 73 26 43 23 www.saunier-associes.fr
Tél : +33 (0)4 77 75 32 81 Gsm : +33(0)6 24 52 64 97 urba-site@orange.fr
RSA/ASE/1CE633100022 - Juillet 2010 - Version 1.1
Approche Environnementale de l’Urbanisme pour la requalification et l’extension de la Zone d’Activité des Boucheroz à FAVERGES Phase n°1 : Diagnostic et enjeux
Étude réalisée par le groupement Saunier & Associés / Urba_site :
Romain SARRY Amélie SECHER Loïc GARAIX Frédéric BURELLIER
Chef de projet Environnement urbain Ingénieur d’études Environnement urbain Urbaniste Paysagiste Architecte DPLG
Propriétaire du rapport :
Ville de FAVERGES
Titre général :
Approche Environnementale de l’Urbanisme en vue de l’extension du parc d’activités des Boucheroz et de la requalification de la zone d’activités actuelle
Phase :
Phase n°1 : Diagnostic environnemental, urbain et architectural et enjeux
Numéro d’affaire :
1CE633100022
Statut :
Rapport provisoire
Rapport définitif
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SOMMAIRE Diagnostic et enjeux Elements de cadrage préalables • Offre de services aux entreprises • Aménagement et principes directeurs • Les données qualitatives d’un aménagement urbain à destination économique • Marges d’amélioration environnementale Diagnostic thématique • Déplacement • Urbanisme • Architecture • Eau • Energie • Déchet • Bruit • Biodiversité • Risques Synthèse des atouts et contraintes du site Synthèse des questionnaires envoyés aux entreprises Hiérarchisation des enjeux
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AVANT-PROPOS : de la Zone au Parc d’activité durable
Il s’agit aujourd’hui de développer des projets plus complexes comprenant une classique offre foncière complétée d’une gestion et de véritables services dédiés aux entreprises et usagers. Pour gérer cette complexité, il devient alors nécessaire d’élaborer un véritable projet de gestion sur le long terme. Une politique de gestion durable appliquée à une zone d’activités peut se définir de la manière suivante :
Le triptyque gagnant
Les attentes concernant les zones d’activités ont aujourd’hui évolué. Que ce soit au niveau des entreprises, des employés ou des habitants d’un territoire, la simple logique d’aménager des parcelles et d’assurer leur commercialisation n’est plus suffisante.
5 axes de travail pour la requalification et la conception d’un PAE : • Politique : projet commun dans une logique continue d’amélioration • Gestion : un gestionnaire « chef d’orchestre » qui coordonne les actions des différents partenaires • Animation : développer du lien entre les usagers pour favoriser une culture du collectif
a
• Services : apporter des solutions aux besoins des entreprises et des usagers de manière individuelle ou collective
a
• Aménagement : proposer un cadre de qualité support à une prise en compte de l’environnement
économie : assurer le succès commercial de la zone d’activités et favoriser le développement des activités implantées, environnement : valoriser l’environnement à travers l’aménagement et la gestion du parc d’activités et aider les entreprises à faire de même,
a social : faciliter l’accès à un emploi pour tous, améliorer les conditions de travail et favoriser les retombées positives sur le territoire.
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de la Zone au Parc d’activité durable Offre de services aux entreprises exemples de services aux entreprises
Services au entreprises : • Location de salles de réunions et/ou de bureaux • Sécurité des biens et des personnes • Entretien des espaces verts et/ou des bâtiments • Groupement d’employeurs Transports : • Plan de déplacement d’entreprise (PDE) • Transport collectif • Co-voiturage • Prêt de véhicules pour co-voiturer • Auto-partage et mutualisation de flottes • Mise à disposition d’une flotte de vélos • Mise à disposition d’une flotte mutualisée de véhicules électriques Energie : • Réseau de chaleur • Groupement d’achat d’énergie • Synergie interentreprises Déchets : • Gestion collective des déchets • Déchetterie ou point de collecte • Synergie interentreprises Service aux employés : • Restauration • Crèche • Commerce de proximité • Conciergerie d’entreprise
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Offre de services proposée à l’échelle du parc d’activités économiques « Savoie Technolac »
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de la Zone au Parc d’activité durable
L’aménagement / Principes directeurs •
Rapport au grand paysage - délimitation des aires aménagées a maîtrise du cadre paysager sur le long terme a souplesse programmatique à l’intérieur des ilots (« plateformes »)
Le dispositif de plate-forme empêche d’entourer un bâtiment d’aires de services et de stationnement, localise ces éléments à l’intérieur de la plate-forme, et « présente » l’édifice sur au moins une façade vers l’espace public ou la voie de desserte, sans autre intermédiaire que les plantations paysagères • Un seul paysage a maîtrise de la qualité du cadre paysager sur le long terme par la continuité en espaces paysagés publics et privés Pour donner une amplitude aux intervalles entre les plateformes, les parties paysagées privées comme les parties paysagées publiques sont considérées comme un seul paysage continu. La question de la clôture étant localisée sur la limite de la plateforme, on cherche à gommer la rupture entre les plantations de bord de voie et celles qui, à l’intérieur des parcelles, forment le cadre végétal des plateformes. La nature de la gestion ou de l’investissement des parties de ce paysage unitaire pourra varier, mais les essences plantées, la stratification et la densité des plantations seront homogènes.
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de la Zone au Parc d’activité durable
L’aménagement / Principes directeurs • Economie et continuité des maillages viaires a économie de linéaire de voirie a continuité avec l’existant a cohabitation pacifiée entre les modes de déplacements a hiérarchisation des voiries pour faciliter les déplacements et le repérage des différents secteurs dans le parc d’activités Les voies sont limitées au minimum. En particulier, les voies publiques sont limitées aux axes principaux d’accès et au maillage avec les voies existantes. Le tracé des voies nouvelles constitue un maillage avec les voies et chemins existants, et anticipe sur un maillage futur à l’échelle de tout le secteur. Ce maillage s’entend à certains endroits pour les voies d’accès des véhicules, mais aussi pour les cheminements dédiés aux piétons et aux cycles. La hiérarchie des voies permet une bonne lisibilité du parc d’activités à l’échelle territoriale : comme cela a été le cas depuis l’implantation des voies romaines, toutes les voies ne peuvent être équivalentes si l’on souhaite que le repérage fonctionne bien, que l’économie soit respectée, mais aussi que les capacités de connexion et de croissance soient préservées.
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de la Zone au Parc d’activité durable
L’aménagement / Principes directeurs •
Mixité des usages et qualité de l’environnement de travail a créer des lieux de vie et des espaces publics a limiter les déplacements contraints par une offre de service sur place
Les exigences en matière d’évolution des conditions de travail et celles des plans de Déplacement Urbains imposent une nouvelle conception des services associés aux activités. Ainsi, la zone d’activité n’est pas strictement monofonctionnelle, mais accueille en son sein des équipements et services, limités en importance mais centraux et bien insérés dans le paysage. La nature précise de ces équipements et services doit être définie en concertation avec les entreprises qui vont s’installer.
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de la Zone au Parc d’activité durable
Les données qualitatives d’un aménagement urbain à destination économique, en 12 points : Territoire et qualité 1- la relation avec le site 2- l’impact de la végétation Urbanisme et qualité 3- les implantations du bâti 4- les voies et stationnements 5- les abords et espaces libres Architecture et qualité 6- les gabarits 7- les couleurs et matériaux 8- les formes Détails et qualité 9- l’expression architecturale 10- l’enseigne 11- le mobilier urbain 12- la signalétique
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de la Zone au Parc d’activité durable Les marges d’amélioration environnementale, en 14 points : 1- Relations avec l’environnement urbain et les riverains 2- Relations avec l’environnement naturel et conception des espaces plantés 3- Déplacements urbains et transports 4- Gestion des eaux pluviales 5- Qualité environnementale des projets de construction 6- Gestion de chantier 7- Gestion des approvisionnements en eau 8- Gestion des approvisionnements en énergie 9- Maîtrise des eaux usées et rejets liquides 10- Maîtrise des rejets gazeux des installations fixes 11- Maîtrise des déchets d’activités 12- Maîtrise des déchets industriels 13- Maîtrise des implantations, cohérence et évolution 14 - Mise en place d’un système de management environnemental
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Déplacements
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Situation géographique du site
Contexte local : échelle du bourg Un axe principal: • La D 1508 reliant Annecy à Ugine et Albertville, traversant la commune d’ouest en est et permettant le contournement du centre bourg de Faverges. Trafic routier important permettant une opportunité de développement économique. Deux axes secondaires : • La D 12 traversant la commune depuis le nord (Thônes) vers le sud (Albertville) • La RD 2508 axe traversant du centre bourg reliant historiquement Annecy à Albertville Un maillage dense de voies locales au sein de la commune et desservant les villages limitrophes
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Accessibilité du site d’étude
Contexte local : échelle du site •
Le site est traversé par la route d’Annecy (RD 2508) et donc facilement accessible dans les deux sens en un point. Il serait néanmoins nécessaire de sécuriser l’accès
•
Le site est également bordé au nord par la D 1508, mais aucun accès au site n’est possible depuis cet axe
•
La desserte interne de la zone d’activités est composée d’un seul axe (chemin des Pérouzes) se séparant en deux pour s’achever sur des raquettes de retournement
•
Une seule voie douce dessert le site. Un trottoir relativement étroit qui relie la zone d’activités des Boucheroz à la gendarmerie
•
Le site est bordé en plusieurs points par des chemins
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Déplacements routiers Représentation des déplacements routiers
•
L’ensemble des voies aux abords du site sont à double sens
•
La desserte interne au site (voie tertiaire) est également à double sens
•
Seul le parking d’Intermarché au coeur de la zone d’étude présente une voirie à sens unique
Trafic routier de la rocade de faverges (D 1508) •
9010 véhicules par jour en 2008 pour la portion limitrophe au site
•
Le trafic routier diminue au fur et à mesure que l’on s’approche de Faverges : 14600 véhicules entre Doussard et Faverges et 11900 entre Faverges et Marlens
Parking de l’Intermarché
D 1508
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Déplacement doux •
Plan départemental Haute-Savoie Vélo-Voies vertes avec un itinéraire passant par la commune de Faverges (Vélo route du Sillon Alpin)
•
Présence d’un trottoir entre la zone d’activités et le centre bourg, seul aménagement à destination des piétons à proximité du site. Très peu de piétons circulent car l’accès est peu favorable
•
Présence de plusieurs chemins limitrophes au site mais non reliés
•
Au sein de la zone, présence de trottoirs qui sont par endroit dégradés ou encombrés. Les rochers disposés sur les trottoirs ont un effet de protection des grillages mais gênent de façon importante le cheminement piéton et sont donc peu accessibles
Liaisons douces
1- RD 2508 2- Trottoir longeant la raquette de contournement, ouest du site 3- Vue sur l’entrée du site
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1- D 1508 2- Raquette de retournement 3- Entrée du site 4- Chemin longeant la maison d’habitation limitrophe à la zone d’activités
5- Chemin longeant le site par le sud 6- Chemin longeant l’ancien garage Toyota 7- RD 2508 8- chemin longeant le boisement, limitrophe à la D 1508
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Transports en commun Espaces de stationnements disponibles dans la zone d’étude Une seule ligne dessert Faverges, la ligne LIHSA 51 Annecy - Faverges - Albertville. Elle s’arrète dans les deux sens à côté de la gendarmerie à environ 500 m de l’entrée de la zone d’activités. En plus de cette ligne régulière, un service de ramassage scolaire est également présent dans la commune. Un service de transport à la demande (TAD) existe dans la commune mais il est très peu utilisé. Stationnement •
La majorité des entreprises dispose de parking à destination de leurs employés et de leur clientèle comme Intermarché, la jardinerie Guillot-Dubois ou encore Point-P.
•
Présence de stationnements «sauvages» sur les trottoirs de la zone d’activités
•
Aucun équipement pour le stationnement des deux-roues
Stationnements sauvages
Parking de l’Intermarché
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Urbanisme
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PÉRIMÈTRE D’ÉTUDE
PAE des Boucheroz
1,5
Le site d’étude est situé à l’entrée nord-ouest de Faverges, desservis par la RD 2508 (route d’Annecy), et limité au nord par la déviation 1508 reliant la commune à UgineAlbertville. La ZA des Boucheroz est située à environ 1,5 km du centre-ville.
km
env
.
Centre-ville
Le périmètre de l’actuelle ZAE des Boucheroz se décompose en deux sous-secteurs : • la zone d’activité au nord de la RD 2508 d’une superficie de 47 600 m2 (données cadastrales), dont 3785 m2 d’emprises publiques (8% de la superficie); • La parcelle d’activité au sud de la RD 2508 (ancien garage Toyota) d’une superficie de 9660 m2 (données cadastrales), sans emprises publiques.
Habitation
Le périmètre d’extension de la ZAE des Boucheroz se décompose également en deux sous-secteurs : • L’extension au nord de la RD 2508 d’une superficie de 22 145 m2; • L’extension au sud de la RD 2508 d’une superficie de 11 300 m2.
Habitation
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ANALYSE FONCIÈRE
L’axe de la RD 2508 et la voie de desserte interne de l’actuelle ZAE des Boucheroz sont publiques (propriétés communales). Une bande de terrain au sud de la RD 2508, propriété privée, concerne un emplacement réservé au PLU pour la création d’un mail planté, que la commune devra acquérir. Le tènement foncier de l’ancien garage Toyota est privé (1 seul propriétaire). Il pourrait être intéressant dans le cadre de la requalification de la ZAE des Boucheroz, que la commune puisse maîtriser une bande de ce tènement au contact de la RD 2508 pour assurer la continuité du mail planté à créer, et pour une éventuelle sécurisation de l’entrée de zone. La majorité du foncier destiné à l’extension de la ZA des Boucheroz est maîtrisé par la commune (propriété communale), sauf une bande de la parcelle 5100 qu’il faudra acquérir, et un tènement foncier (parcelles 3327/1146) sur lequel le propriétaire souhaite participer à l’aménagement en réalisant une opération immobilière en cohérence avec le parti d’aménagement et le programme définit par la commune. Le tènement foncier à l’est du tènement foncier de l’ancien garage Toyota, est entièrement privé (plusieurs propriétaires). Certaines acquisitions par la commune peuvent être stratégiques dans le cadre de la programmation d’ensemble du futur PAE des Boucheroz.
foncier privé stratégique pour la requalification de la ZAE ?
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EBC
interfa c zone n e avec Amen a turelle deme nt Du pont (L111 .1
EBC
Emplacement réservé pour mail planté à créer
.4 du
Zone AUx
Am e
CU)
nd
em en Int tD up zo erfa on ne ce t (L ag ave 11 ric c 1.1 ole .4
Zone Ux du
CU
)
Inte zon rface a ea gric vec ole + servitudes grevant l’aire de réflexion (voir thématiques
Zone Ue interface avec zone urbaine (Ud)
Bruit & Eau) : • servitudes liées au classement sonore des infrastructures de transport terrestre • servitudes liées au PPRN (risque inondation)
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CONTRAINTES REGLEMENTAIRES (Zone Ux)
CONTRAINTES REGLEMENTAIRES
La ZA actuelle des Boucheroz est couverte par un zonage en Ux (secteur d’activités économique) au PLU. Elle jouxte une zone naturelle (N) au nord, une zone agricole (A) et une zone urbaine d’équipement public (Ue) au sud, et un secteur d’habitat individuel (zone Ud) à l’est.
(Zone Ux)
Analyse des particularités du règlement de la zone Ux dans la perspective du développement futur de la ZAE : • art.1 : Interdiction d’établissements hôteliers aPertinence d’un équipement hôtelier sur zone à terme ? •
art. 3 : largeur de plateforme de 8 m minimum
aVérifier que la «largeur de plateforme» minimale ne concerne pas la largeur de «chaus-
•
Art.12 : nombre de places de stationnement par type d’activités réglementé + possibilité de mutualisé le stationnement entre plusieurs activités / parcelles + prescriptions de «dissimulations des aires de stationnement par des «écrans de verdure» aPrescription non respectée •
Art.13 : 20% des parcelles doivent être occupées par des espaces verts + prescriptions de plantations aRègle non respectée
sée» qui à 8 m serait surdimensionné par rapport à une requalification • art. 4 : obligation de se raccorder au réseau collectif d’eaux usées aAbsence de réseau d’assainissement collectif / Raccordement au réseau d’assainissement collectif impossible / Gestion autonome actuelle par chaque entreprise : nécessité de mettre le règlement en cohérence avec le fonctionnement actuel et/ou futur de la zone (éventuelle solution autonome mutualisée entre les entreprises dans le cadre de l’extension) •
art.8 : retrait de 5 m minimum par rapport aux limites séparatives
aRègle contraignante pour promouvoir la mitoyenneté sur certains programmes de l’extension •
Art.11 : clôture de 1,6 m maximum de hauteur avec prescriptions de végétalisation aRègle non respectée
(Zone AUx) La zone AUx correspond à la zone d’extension de la zone Ux (à l’ouest le long de la RD2508). Le règlement de la zone Ux s’appliquera. Il s’agit d’une zone d’urbanisation future à vocation d’activités économiques. Elle jouxte une zone naturelle (N) au nord, dont une partie du couvert végétal doit être conservé (EBC) et une zone agricole (A) au sud. Sa position en double façade RD 2508 / D 1508, en entrée de ville, soumet la zone AUx à l’amendement Dupont (art. L111.1.4 du CU). L’inconstructibilité sera à lever dans le cadre d’une étude spécifique, mais sera anticipée dans le cadre de la présente étude.
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CONTRAINTES RÉGLEMENTAIRES (Zone Ue)
La zone Ue à pour vocation d’accueillir de futurs équipements publics de la commune. Cette vocation reste d’actualité aujourd’hui, notamment pour l’accueil d’un nouveau CIS (Centre d’Intervention et de Secours), avec un besoin exprimé en surface de 5000 m2. Des vocations connexes, en lien avec les activités économiques pourraient présenter un enjeu important pour le secteur, nécessitant un assouplissement de la vocation actuelle, dans le sens d’une plus grande mixité fonctionnelle (révision ou modification du PLU) : équipements publics / pôle de services aux entreprises / pôle de loisirs et de détente de plein air / pôle commercial ciblé en fonction des besoins des entreprises et relation avec les commerces existants et futurs (réflexions sur la mutation de la parcelle en friche - ancien garage Toyota : réflexion d’investisseurs pour l’installation d’un magasin alimentaire discount). Elle jouxte également un secteur résidentiel (zone Ud) à l’Est et une zone agricole au Sud. Analyse des particularités du règlement de la zone Ue dans la perspective du développement futur de la ZAE : • art.1 : Interdiction de commerces, salles de spectacles et cinémas aPertinence d’un commerce, de type restaurant par exemple, à terme sur ce secteur ?
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Co-vis ib
ilité fa ible
OCCUPATIONS BÂTIES OU AMÉNAGÉES ET CONTRAINTES A ANTICIPER
isi
-v Co
for te
ilit é
fai
ble
Insertion paysagère et urbaine de l’extension (art. L111.1.4 du CU)
Co -v
isib
ilit é
isib
Une voie d’accès privative à l’habitation qui pourrait soit être mutualisée dans le cadre de l’extension avec une activité, soit supprimée en aménageant un nouvel accès par le haut de la parcelle
lle
nu
Interface résidentielle / équipements publics (et fonctions urbaines connexes) à gérer en terme de conception urbaine et paysagère
Co -v
Habitation enclavée au sein de terrains destinés à des vocations économiques : des franges peu sensibles à gérer du fait de son implantation en retrait des futures parcelles à aménager, à condition d’un projet qualitatif...
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ENTREPRISES, UNITES FONCIERES ET OCCUPATION DU SOL
Unités foncières Accès / sortie Bâti d’activité Bâti mixte (activité / habitat) Espaces verts - boisements Surfaces grises (stationnement) Surfaces fonctionnelles (accès, voie interne, stockage...)
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•Gédimat matériaux •Jardinerie Guillot Dubois •Locaux d’activités divisées en plusieurs unités (locations - locaux vacants) 4 •Locaux d’activités divisées en plusieurs unités, occupées partiellement : salon de coiffure «Vertigo», préparation/réparation motos «Ozzo Moto», importation d’article «Dani Sarl» 5 •Station de lavage auto 6 •Garage automobile «Garage Malabre» 7 •Point P matériaux 8 •Matériel agricole et jardinage «Gurral Motoculture» 9 •Intermarché et station service 10 •Friche d’activité commerciale (ancien garage Toyota / station service) 2 3
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FONCTIONNEMENT, AMBIANCES ET PERCEPTIONS Au niveau de Point P, un filtre végétal le long de la RD 2508 permet de qualifier la limite privée de l’entreprise tout en donnant un caractère paysagé à la voie. L’automobiliste perçoit néanmoins l’enseigne de l’entreprise, sans pour autant butter visuellement sur un grillage et les stockages de matériaux de construction. Le confort d’usage du piéton qui chemine sur le trottoir le long d’une bande végétalisée, plutôt que le long d’un simple grillage, s’en trouve amélioré.
•
Entrée de ville : arrivée progressive vers la voie d’accès du parc d’activité par la RD 2508. Le massif montagneux en fond de scène attire le regard, caractéristique que la rectitude de la voie accentue. Dans cette séquence d’arrivée, les enseignes marquent le paysage. En arrivant au niveau du parc d’activité, on change d’échelle de perception : la piètre qualité des limites privées, leur transparence complète, l’exposition de matériels et matériaux, l’architecture commerciale standardisée offrant des «façades arrières» renvoie l’image d’un paysage urbain peu engageant pour l’usager, relativement banalisé, dans un cadre paysager restant malgré tout «monumental».
Le filtre végétal installé plus haut, mériterait d’être poursuivi jusqu’à l’entrée de zone, puis reprise au niveau de l’entreprise Gurral et Intermarché, afin de masquer les stockages et arrières de bâtiments, tout en permettant une bonne identification des entreprises (enseignes).
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FONCTIONNEMENT, AMBIANCES ET PERCEPTIONS
use Pér o
Un caractère moins minérale de l’espace public permettrait, outre l’intégration des entreprises dans un écrin paysagé et la qualité d’usage interne, de mettre en scène les derniers plans montagnards qui encadrent le site : la requalification paysagère de la zone d’activité doit chercher à mettre en valeur les perspectives depuis les axes routiers (RD2508 / chemin des Pérouses), en cherchant à valoriser les échappées visuelles vers les reliefs.
es
L’actuel carrefour du parc d’activité devra être ré-aménagé afin d’être sécurisé. Le marquage de l’entrée devra gagner en lisibilité, tout en s’inscrivant dans la re qualification paysagère de l’entrée de ville
s
Entrée du parc d’activité : le décor en fond de scène ferait oublier le paysage immédiat... Le Roc de Viuz et le massif montagneux l’accompagnant domine en effet le site de la zone d’activité. L’ilot central est le seul élément aménagé végétalisé. Les matériaux stockés paraissent débordés sur la rue (chemin des Pérouses). La perception d’entrée de zone est fortement dégradée. C’est encore la qualité des limites publiques/privées qui est en jeu, et qui peut garantir à la fois la valorisation paysagère de l’entrée de zone, la qualité du paysage immédiat, et la mise en scène du dernier plan remarquable.
Ch em in d
•
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FONCTIONNEMENT, AMBIANCES ET PERCEPTIONS
•
L’espace public se réduit à la voirie. Les limites avec l’espace privé des activités sont peu lisibles. Il en résulte un espace peu structuré et peu valorisant. •
L’absence de plantation et la déficience de traitement des abords de l’espace public n’invite pas à «séjourner». La fonctionnalité routière est nettement prioritaire. La chaussée est globalement en bonne état.
Hormis les mats d’éclairage, le mobilier urbain est absent de l’espace public ou bien dégradé.
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FONCTIONNEMENT, AMBIANCES ET PERCEPTIONS
Le traitement des abords de la voie est déficient, tout comme celui des limites privées (clôtures dégradées ou inexistantes). Les stockages de matériaux et/ou de voitures se substituent parfois à la clôture.
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FONCTIONNEMENT, AMBIANCES ET PERCEPTIONS
Le site d’extension du parc d’activité offre une très large façade sur la RD 2508. Les plateformes accueillant les futurs activités, l’architecture des bâtiments, devront s’intégrer harmonieusement au futur profil paysager de la voie d’entrée de ville. En façade de la D 1508, le site s’inscrit en surplomb (+2 m environ) de la voie. Les principes d’insertion paysagère seront différents selon
Le boisement à l’interface entre l’actuel et futur parc d’activité ménage ici une belle clairière. Les lisières sont bien entretenues. Le rapport au grand paysage est remarquable, avec des ouvertures visuelles à 360° lointaines, cadrées par les éléments de relief
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Architecture
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Morphologie Le site présente deux typomorphologies de bâtiments identifiables, tous à vocation de commerce et de service. D’une part de grands bâtiments de type industriel, appartenant le plus souvent à des enseignes de la grande distribution. D’autre part des bâtiments d’échelle plus modeste reprenant un langage architectural plus classique.
Orientation Les bâtiments sont implantés en Nord Sud ou Est Ouest. En aucun cas ces implantations ne correspondent à des impératifs environnementaux puisque la plupart des bâtiment ont des façades aveugles, hormis pour les accès et les zones de manutention.
Recommandation Quel que soit le type de programme, une construction se doit d’être orientée de façon à utiliser les apports passifs et les énergies renouvelables, ainsi qu’ à créer des espaces abrités du soleil, du vent, de la pluie...
Repérage et orientation de l’existant
Bâtiments à toiture terrasse Bâtiments à toiture double pente
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Implantation Sur le site aujourd’hui il n’y a pas de composition cohérente à l’échelle de la zone. Les vides ressemblent davantage à des délaissés qu’ à de l’espace partagé visuellement et fonctionnellement. Pas de dialogue d’un bâtiment à l’autre. Chacun se cotoie en s’ignorant. Recommandation Le plan de composition de l’extension devra mettre en scène le cadre bâti et proposer une hierarchisation des espaces et un rapport du bâti aux vides de qualité. L ‘étude sur la zone existante proposera une requalification des limites et des espaces partagés.
Implantation Nord Sud
Implantation Est Ouest Perception du grand paysage
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Forme L’ensemble des bâtiments est composé d’un volume unique sur un plan rectangulaire ou carré. Il en ressort malgré tout : • •
des disparités dimensionnelles des volumes qui participent au mitage de la zone. des disparité de hauteur de faitage et d’acrotère.
Ouvertures
Signalisation de l’entrée par un volume
Peu d’ouvertures en façade, due à la fonction de stockage des bâtiments et à l’absence de volonté architecturale qualitative. Les façades aveugles devront être traitées avec le même soin que les autres.
Accès / Limites Les accès et les limites ne sont pas clairement identifiables et nécessitent une requallification.
Composition “classique” type habitat
Le stockage sert parfois de limite...
Rapport au grand paysage...
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Toitures • • •
Toiture plate (bâtiment Intermarché) Toiture à double pentes (tous les autres bâtiments) Les lignes de toitures sont très impactantes dans le paysage, ceci est d’autant plus vrai dans un paysage de montagnes.
Recommandation • •
Offrir des surfaces adaptables dans des volumes définis et dimensionnés dans un cahier des charges. Prédéfinir dans celui ci une forme de toiture venant accompagner le paysage.
Maconnerie peinte, toiture double
Bardage type industriel, toiture
Maconnerie enduite, toiture double pentes
Bardage métallique, toiture double pentes
Matériaux et couleurs • • • •
Bardages métalliques type industriel blanc et marron Plaques type fibrociment Maconneries enduites ou peintes de teinte claire. Structure bois
La mise en oeuvre de ces matériaux a été faite avec un objectif puremment fonctionnel . Il en résulte : • •
Une pauvreté du langage architectural Une pauvreté des textures
et donc une Image peu qualitative, qui participe à l’image négative de l’entrée de ville.
Plaques de fibrociment, toiture double pentes
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Il conviendra de proposer dans le cahier des charges, outre l’implanttaion, la volumétrie des bâtiments, une gamme de matériaux et leur mise en oeuvre.
Signalétique Il n’existe pas de signalétique à l’échelle de la zone d’actvités, Chaque enseigne ayant développé “sauvagement” sa propre identité commerciale.
Recommandation
Signalétique et affichage sauvages...
Une signalétique propre à la zone devra être conçue sous la forme d’une charte graphique avec déclinaison des différents types de support. Celle ci sera mise en place sur la nouvelle zone et dans la zone existante dans le cadre de sa requalification.
Fonctionalité, stationnement et stockage Les zones de stockage et de stationnement sont dans l’existant gérées de façon aléatoire et impactent énormément la perception du paysage.
Banderole, manque de lisibilité
Recommandation Le projet s’attachera à proposer et trouver des solutions de manière à ce que les aires dédiées au stockage et au stationnement soient intégrées aux batiments ou du moins organisées de façon à ne pas brouiller la cohérence du site.
Banderoles...
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Eau
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Carte géologique de la commune de Faverges
Géologie Le site d’étude est localisé sur un cône de déjection c’est à dire une accumulation de matériaux transportés par un torrent datant du quaternaire. L’ensemble des cônes observables en surface est postérieur au retrait glaciaire wurmien. La coupe ci-contre représente les sols au niveau de la D 1508, à proximité du site d’étude.
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Topographie du site d’étude
Topographie Relief orienté vers le Lac d’Annecy Pente : sud-est > nord-ouest Le relief demeure faible sur le site détude et est très peu perceptible
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Le réseau hydrographique
Hydrographie •
Le cours d’eau le Saint-Ruph passe à l’est du site
•
Présence de fossés en bordure du site d’étude recueillant les eaux pluviales et une partie des eaux de voirie de la RD 2508
•
Présence d’un milieu humide à proximité de l’ancien garage Toyota
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Risque d’inondation
Risque d’inondation dans la commune dû au cours d’eau du Saint-Ruph. La partie sud du site d’étude est impactée. La zone située au sud de la RD 2508 est classée en zone «bleue» au plan de prévention des risques naturels (PPRN), elle demeure donc constructible sous conditions énoncées dans le réglement. Hydrogéologie • •
Pas de nappe affleurante La nappe se situe à environ 16 m de profondeur (forage à proximité du site)
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Gestion des eaux pluviales
Eaux pluviales
•
Les établissements qui disposent de parkings doivent collecter les eaux de ruissellement et les rejeter via un séparateur d’hydrocarbures (plaquette CAUE)
•
Les entreprises doivent demander une autorisation à la police de l’eau en cas de rejet dans le Saint-Ruph
•
Des fossés traversent la zone d’étude de part et d’autre de la RD 2508
•
Les eaux pluviales liées aux activités (route, ZA) sont en partie traitées par infiltration (fossés)
Assainissement
•
La commune dispose d’un schéma directeur d’assainissement depuis 2008
•
Les eaux usées sont gérées par le syndicat mixte du lac d’Annecy (SILA)
•
La zone des Boucheroz n’est pas reliée au réseau collectif d’assainissement de la commune
•
Chaque entreprise traite de manière autonome les eaux usées (fosses septiques)
•
Aucun raccordement au réseau collectif n’est envisagé
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Réseau d’eau potable
Eau potable •
L’eau potable est distribuée par la commune
•
Veolia a la gestion du réseau
•
L’eau provient du «captage du Nant d’Arcier» situé dans la commune de Saint-Ferréol
•
Les conduites d’eau potable traversent le site d’étude
•
Selon Veolia, le site est idéalement situé avec des réservoirs à proxmité ainsi que des reservoirs de compensation équipés de pompages de secours. Des études complémentaires sont tout de même nécéssaires en cas d’extension
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Energie
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Insertion climatique
Données climatiques •
Faverges est soumis à l’influence du climat des préalpes (climat mixte avec des influences océaniques et une forte tendance continentale)
•
1096 mm de précipitations annuelles moyennes sur les 10 dernières années (station de Chambéry/Aix)
•
1878 h d’insolation annuelle (Chambéry) conduisant à un gisement solaire de 1212 kWh/m² sur une année (source : logiciel CALSOL, Ines Éducation)
•
Vent dominant nord/nord-est descendant du massif de l’Arpettaz mais possibilité d’effet de courant d’air dû à la situation en vallée
•
Les vents sont également le facteur essentiel de la répartition des pluies et de l’enneigement
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Climat
Ensoleillement
Faverges est soumis au climat des préalpes (subcontinental), froid et neigeux en hiver, doux et orageux en été.
Sur une année, la durée moyenne d’insolation à Chambéry atteint les 1878 heures. Le mois le plus ensoleillé est le mois de juillet avec 271,5 heures d’insolation. Le moins ensoleillé est décembre avec 64 heures.
Les intersaisons (avril et octobre) sont en moyenne plus sèches, mais la pluviométrie est globalement l’une des plus élevées de France.
Le gisement solaire à Chambéry et par extension sur la zone d’étude, est égal à environ à 1 212 KWh/m2 sur une année (source : Logiciel CALSOL, Ines Éducation).
Les perturbations d’origine océanique, après leur traversée de la vallée du Rhône, se réactivent au contact des reliefs alpins. Températures L’amplitude thermique annuelle très forte confirme l’importante influence continentale sur un fond de climat océanique. La température moyenne est de 10,9° avec des minimums qui avoisinent –10° en janvier, et des maximums de +32° en Juillet-Août. Il gèle 100 jours par an en moyenne, avec un maximum de jours en janvier. Les températures de saison données à la station météorologique de Chambéry/Aix donne des températures allant de 2,3°C en janvier à 20,5 °C en juillet, avec des extrêmes pouvant atteindre -19°C et +38,3 °C. Aucun mois n’a de normale saisonnière au dessous de zéro et les températures sont tempérées en été. Le nombre de jours de précipitations s’élève en moyenne à 122 jours par an, soit un jour sur trois. Sur les 10 dernières années, la station de Chambéry/Aix enregistre en moyenne 1 096 mm de précipitations répartis de façon relativement homogène suivant les saisons.
Le site des Boucheroz est bien orienté par rapport au soleil mais présente des obstacles à la course du soleil avec plusieurs masques solaires dont le boisement central et quelques haies arborées à l’extrême sud du site.
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Vents et pluviometrie Le vent dominant est d’orientation nord/nord-est dont les vitesses moyennes s’échelonnent de la façon suivante : • 43,3% : inférieur à 2 m/s • 50,7% : compris entre 2 et 4 m/s • 6% : supérieur à 5 m/s Néanmoins, par rapport à la situation de la commune dans une vallée, entre les massifs des Bornes et des Bauges, les vents peuvent s’engouffrer et avoir des orientations variables. Le dent de Cons représente un obstacle topographique important et abrite la commune des vents venant du sud-ouest.
A Faverges, l’exposition aux vents est le facteur essentiel de la répartition des pluies et de l’enneigement. Les précipitations sont souvent portées par les vents du SudOuest et du Sud-Est, qui sont canalisés dans les combes et vallées d’orientation Sud-Ouest et Nord-Est. Les vents de neige ont deux directions dominantes : vents du Sud-Ouest, canalisés par les combes et porteurs de neige de redoux, et vents froids souvent d’origine polaire, du Nord-Ouest. (source : rapport de présentation du plan local de l’urbanisme)
Sur les 15,5 jours par an durant lesquels il neige, la station est sous la neige seulement 8 jours dans l’année (neige au sol). La station de Chambéry/Aix subit en moyenne 31 jours par an de gelée blanche répartis de septembre à avril.
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Besoins énergétiques En France, la consommation d’énergie peut être découpée en grands secteurs : le secteur du bâtiment résidentiel & tertiaire (43 % de l’énergie consommée en France en 2002), les transports (31 %), l’industrie (24 %) et l’agriculture (2 %). Le bilan énergétique global des consommations d’énergie générées par une zone d’activités se décompose de la manière suivante : • Les consommations d’énergie pour le transport des personnes et marchandises : les consommations d’énergie pour le transport des marchandises dominent largement le bilan énergétique global des activités à vocation commerciale. Néanmoins, il est difficile d’avoir une prise sur ces consommations, sauf à favoriser éventuellement l’implantation de commerces de produits d’origine régionale et de favoriser des échanges de marchandise par le rail. Par contre, le projet peut limiter l’augmentation des consommations d’énergie pour le transport des personnes par différents moyens directs et indirects qui sont développés dans le chapitre sur les déplacements (transports en commun, modes de déplacement doux…). •
Les consommations d’infrastructure, notamment d’éclairage public. Les dépenses d’énergie représentent en moyenne de 5 à 10 % du budget de fonctionnement des collectivités.
•
Les consommations des bâtiments et de leur fonctionnement spécifique : dans les bâtiments de commerce et de production, les apports internes (froid produits frais et surgelé, chaleur des processus industriels, éclairage et appareillage électronique, nombre de personnes présentes) ont une part importante et très variable dans la consommation globale.
L’évacuation / récupération des apports internes est, avec le rafraîchissement estival, un facteur de consommation largement aussi important que celui du chauffage en hiver. Les consommations des commerces et activités industrielles montrent des variations importantes selon le type d’activité. A titre d’exemple, en ce qui concerne le commerce, les consommations peuvent varier de 100 kWh/an/m2 à 1 000 kWh/an/m2, avec une moyenne de 250 kWh/an/m2, dont 120 kWh/an/m2 pour le chauffage et 45 kWh/an/m2 pour l’éclairage. A noter que le calcul des besoins en énergie de chauffage des bâtiments commerciaux et industriels est plus déterminé par des facteurs dépendant du type d’usage que ceux du logement : Apports internes parfois très importants dans les surfaces de ventes, nuls dans les zones de stockage, processus industriels qui dégagent de la chaleur… Dans des cas d’apports internes importants et/ou des protections solaires insuffisantes, les besoins d’énergie pour le rafraîchissement peuvent dépasser de loin ceux du chauffage.
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Les actions communales en faveur des économies d’énergie et des energies renouvelables Tracé du réseau de chaleur de la commune de Faverges
La commune de Faverges dispose déjà d’un réseau de chaleur alimenté par une chaufferie bois. La chaufferie et le réseau de chaleur : • Puissance totale installée de 9MW (2 chaufferies bois de 2,5 MW et 1 chaufferie gaz GPL de 4 MW assurant le secours) • Consommation de bois: 6500 tonnes • le réseau fait 7,6 km de long • Il alimente 16 sous-stations soit 686 logements et divers bâtiments (Mairie, groupes scolaires...) La réseau de chaleur dessert notamment un parc social qui nécéssite des travaux d’isolation des bâtiments afin d’éviter les déperditions de chaleur. Des études sont actuellement en cours pour le raccordement éventuel d’autres clients. Néanmoins la capacité maximale de la chaufferie en place est atteinte, il faudrait donc envisager de la changer ou d’en rajouter une autre.
Faverges est la première commune de Haute-Savoie a avoir choisi un éclairage public utilisant des LED (diodes électroluminescentes). Actuellement, la commune a uniquement équipée la route de Cons (à l’est de la commune) de ce système. Afin d’accroitre l’économie d’énergie, la municipalité a décidé d’équiper les candélabres de plusieurs rangées de LED et peut donc en couper certaines notamment pendant la nuit pour baisser la luminosité. L’équipement de la zone d’activités des Boucheroz de candélabres avec LED peut être envisagé.
La mise en place de panneaux solaires photovoltaïques sur la toiture de l’école est actuellement en projet.
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Les actions pouvant être mises en place Développer une politique énergétique sur le projet semble délicat, tant les besoins sont fonction des activités en place et la conception des bâtiments répond à d’autres critères liés au mode de production. Néanmoins, des marges de manoeuvre sont possibles, ce au regard des principes d’aménagement (insertion climatique) et en fonction des activités développées sur la zone (création de réseaux mutualisés selon les besoins et production de chaleur et froid). •
Réduire la consommation énergétique :
En définissant et connaissant les différents usages sur la zone d’activités et leur poids sur la consommation énergétique car les usages énergétiques peuvent être différents suivant les activités. En sensibilisant les usagers et les industriels. En régulant certains postes consommateurs et non indispensables suivant les moments de la journée comme l’éclairage public. •
Pratiquer une bonne insertion climatique des bâtiments :
Dans le cadre d’un projet d’aménagement, les enjeux climatiques se déclinent principalement sous deux thématiques : le vent et l’ensoleillement auxquelles s’ajoutent naturellement la température et l’humidité (liée à la présence de l’eau et de la végétation). Pour le vent, ils se traduisent en termes : - De confort des espaces extérieurs selon l’exposition des espaces publics, des cheminements piétonniers,… - De confort des espaces intérieurs par les courants d’air au sein des bâtiments entre la façade exposée et la façade sous le vent, pénalisant lors de grand vent, mais confortables pour l’aération des bâtiments, - Énergétiques : déperdition énergétique sur une façade exposée au vent (du Nord) ou de ventilation des espaces de surchauffe.
- de capacité de dispersion des polluants d’origine automobile, industriel ou des installations de chauffage. Pour l’ensoleillement, ils se traduisent en termes : - de valorisation énergétique, - de confort thermique des espaces de vie (selon la période de la journée et la saison) - de luminosité facteur de valorisation des bâtiments (effet de masque de bâtiments riverains et de la végétation, exposition des façades de vie, définition architecturale de la façade des bâtiments,…). •
Inciter les entreprises à utiliser des énergies renouvelables et alternatives :
Les bâtiments à destination d’activités disposent généralement de grandes surfaces de toitures. L’implantation de panneaux solaires est donc envisageable d’autant plus que les caractéristiques d’ensoleillement du site sont favorables. Le recours à la géothermie très basse énergie ou pompe à chaleur peut également être envisagé au cas par cas. Le recours aux autres formes de géothermie nécessite des études géologiques complémentaires. Pour le moment, aucun projet d’extension du réseau de chaleur jusqu’à la zone des Boucheroz n’est envisagé. La collectivité envisage néanmoins ce raccordement où l’implantation d’une nouvelle chaufferie bois à moyen terme, un emplacement pourrait être réservé à cet effet au sein de la zone des Boucheroz.
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Déchets
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Le site d’étude comporte en majorité des déchets issus de l’activités du fait de la présence de nombreuses entreprises. Néanmoins, quelques habitations sont également implantées ce qui explique notamment la présence de bennes d’ordures ménagères dans la site. Collecte et traitement des déchets (particuliers) •
Gestion et collectes des ordures ménagères est la compétence de la Communauté de Communes du Pays de Faverges. Elle gère les déchets de 10 communes soit 14255 habitants.
•
La communauté de Communes disposent de 1100 conteneurs collectifs d’ordures ménagères
•
Les ordures ménagères sont collectées 2 fois par semaine
•
La déchetterie située dans la commune de Faverges accèpte : gravats; gerrailles; huiles de vidange; huiles végétales; vêtements; déchets dangereux tels que piles, batteries, peintures, solvants ; matériaux incinérables; encombrants; bois propre. •
37 points d’apport volontaire (PAV) dans le territoire intercommunal collectés 1 à 3 fois par semaine dont 16 dans la commune de Faverges. Ces points d’apport volontaires sont destinés au verre, aux journaux, aux vêtements pour certains d’entre eux et aux emballages propres (canettes, bouteilles, boites en aluminium...)
•
La PAV le plus proche du site est situé à proximité de la gendarmerie, au niveau du pont traversant le Saint-Ruph
•
Sont collectés par les professionnels : gros et petit electro-ménagers (réfrigérateurs, grille pain, fer à repasser...), matériel informatique et téléphonie, pneumatiques, médicaments...
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Localisation de la déchetterie par rapport au site d’étude
Collecte et traitement des déchets (professionnels) •
Les déchets des entreprises ne sont pas de la compétence de la collectivité, néanmoins la Communauté de Communes du Pays de Faverges assurent une partie des collectes
•
Certaines entreprises comme Point P situé dans la zone d’activités des Boucheroz font appelles à des entreprises privées
•
Les professionnels peuvent confier leurs déchets à la Communauté de Communes sous conditions qu’ils soient équivalents, en nature et en quantité, à ceux des ménages
•
Les déchets principalement présents en zone d’activités sont des déchets industriels banals (DIB) correspondant à des résidus non toxique
•
Une collecte des cartons est assurée le mercredi dans les zones d’activées
•
Les professionnels ont accès à la dechetterie (redevance spécifique selon le type de véhicule utilisé) et payent uniquement les déchets qui ne rapportent pas à la collectivité c’est à dire, les déchets que le collectivté ne peut pas recycler. Par exemple, les dépôts de cartons ou de ferrailles sont gratuits
•
Une redevance spéciale à la tonne est prélevée pour le dépôts de déchets verts
•
Plusieurs poubelles sont présentes dans la zone d’activités pour la collecte des ordures ménagères, ce qui peut être expliqué par la présence d’habitations
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Bruit
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Carte des nuisances sonores
•
2 infrastructures impactant la zone des Boucheroz sont classées bruyantes et reportées au PLU : la D 1508 et la RD 2508
•
Certains tronçons de ces voies sont classés catégorie 3 avec une largeur d’affectation de 100m, les autres tronçons sont classés catégorie 4 avec une largeur d’affectation de 30 m
•
Seuls les bâtiments de santé, scolaire et à usage d’habitation sont concernés par un niveau d’isolement acoustique particulier dans les zones de nuisances
•
La zone d’activités des Boucheroz est susceptible d’entraîner des nuisances sonores (bruits liés aux activités et bruits liés au trafic routier notamment des poids-lourds) sur les habitations environnantes
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Approche Environnementale de l’Urbanisme pour la requalification et l’extension de la Zone d’Activité des Boucheroz à FAVERGES Phase n°1 : Diagnostic et enjeux
Biodiversité
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Milieux naturels Zonage d’inventaire à proximité du site : • ZNIEFF (Zone d’intérêt écologique faunistique et floristique) de type 1 «Ensemble des pelouses sèches de la cluse d’Annecy» • ZNIEFF de type 2 «Massif de la Tournette» • ZICO (zone importance pour la conservation des oiseaux) «Les Bauges» Zonage réglementaire à proximité du site : • Zone natura 2000 «Partie orientale du plateau des Bauges L’intégralité de la commune fait partie du parc naturel régional du massif des Bauges
Source : DREAL
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Localisation des boisements, haies et arbres isolés
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Le site d’étude est composé de : •
Végétation prairiale : Taraxacum sp., Vicia sp., Rumex sp., Lamium purpureum, Medicago sativa, Veronica hederifolia, Geranium sp. …
•
Foret et végétation de prés-bois : Fraxinus sp., Populus sp., Corylus sp., Polygonatum multiflorum, Ligustrum vulgare, Carex sylvatica…
•
Milieux humides : Phragmites sp., Salix Caprea, Salix fragilis…
Le site ne présente pas d’éléments remarquables au titre du patrimoine naturel. De manière générale, on constate des alignements d’arbres intéressants associés à une végétation arbustive et herbacée pouvant servir de « guide » à la faune locale pour ses déplacements, la chasse (chauve-souris) et pour le garde-manger.
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Risques
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Localisation des structures à risques
Servitudes d’utilité publique •
Périmètre de protection de captage AEP : site en dehors de tout périmètre
•
Périmètre radioélectrique de protection des centres de réception : site concerné en partie (est/sud-est du site)
Servitudes patrimoniales •
Sites inscrits et classés : site éloigné de toute protection
•
Monuments historiques : site éloigné de tout périmètre de protection
Risques •
Le PPRN recense 4 risques naturels dans la commune, le site est concerné par 2 de ces phénomènes : - le risque de sismicité : classement en zone de sismicité 1b (faible) - Risque faible d’inondation : une partie du site est classé en zone inondable (cf paragraphe sur l’eau)
•
Présence d’une ICPE sur le site : station service intermarché
•
L’analyse des risques résiduels au niveau de l’ancien garage Toyota (amiante, cuves d’hydrocarbures...) après dépollution montre que le site est compatible avec un usage commercial futur.
•
Risques liés au transport de matières dangereuses sur la RD 2508
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Bilan atouts/contraintes
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Analyse du site
Thème
Contraintes
a Configuration et orientation du terrain permettant une optimisation des apports solaires a Certains boisements protègent en partie le site des vents dominants (N/N-E) a Présence d’un réseau de chaleur à proximité du site
a Quelques masques solaires (haies, boisement...) sont présents sur le site d’étude a Réseau de chaleur proche mais interrogation sur la viabilité technique et économique d’un raccordement?
Maîtrise des Déplacements
a Le site est situé à proximité direct d’axes de communication majeurs a La plupart des entreprises disposent d’aires de stationnement
a La fréquence de desserte par les transports en commun est relativement faible a Une seule voie douce (trottoir) existe depuis le centre-ville vers le site a Un seul accès dessert la zone d’activités a Nécessité de sécuriser le carrefour d’entrée dans la zone a Le réseau de chemins en pourtour du site est important mais non continu a Les trottoirs au sein de la ZAE des Boucheroz sont partiellement dégradés et/ou encombrés a Aucun équipement pour les deux-roues a Un boisement sépare physiquement le site en deux
Gestion de la ressource en eau
a Présence d’un réseau de collecte des eaux pluviales a L’intégralité des eaux de pluies sont traitées par infiltration (puits perdus, fossés...) a La réserve d’eau potable semble suffisante pour l’implantation de nouvelles activités
a a
Présence de milieux humides Absence d’assainissement collectif
a a
a
Présence d’un boisement au coeur du site d’étude
Maîtrise de l’énergie et insertion climatique
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Atouts
Présence d’un boisement au coeur du site d’étude Réseau de haies intéressant
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Ambiance sonore
a
Les activités ne sont pas soumises à un seuil d’isolement minimum
Gestion des déchets
a
Proximité de la déchetterie
INSERTION URBAINE ET PAYSAGERE
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a Situation en entrée de ville (facilité d’accès, nuisances limitées par un relatif isolement...) dont la mise en valeur paysagère pourra s’opérer au travers de la requalification et de l’extension a Des sites d’extension en continuité de la zone existante, présentant chacun des potentiels de développement diversifiés (activités pures, équipements publics, voire commerces, bureaux, espaces publics, logements...) a Une parcelle en friche présentant un fort potentiel de redéploiement a La majorité des fonciers stratégiques sont maîtrisés par la commune (sauf tènement stratégique de la «friche Toyota») a Emplacement réservé pour création d’un mail planté a Des interfaces visuelles très valorisante depuis le périmètre d’étude avec l’espace agricole et les reliefs en fonds de scène a L’extrémité Ouest de la zone AUx jouxte une zone N, sans servitudes particulières (pas d’EBC), permettant d’y aménager des fonctions connexes au parc d’activité, compatible au zonage (station de traitement intégré des eaux usées ?) a Axialité de la RD2085 et du chemin des Pérouses intéressante pour valoriser le rapport du site de projet au grand paysage
a 2 infrastructures routières sont classées bruyantes a Les activités peuvent être source de nuisances pour les habitations limitrophes a Pas de collecte spécifique pour les déchets dûs à l’activité, chaque entreprise doit faire appel à un prestataire extérieur a Des tènements fonciers stratégiques non maîtrisés par la commune (friche Toyota, zone Ue) a Des interfaces paysagères à traiter finement pour ne pas dégrader le site et la future entrée de ville a Présence d’une habitation entre la zone actuelle et le futur parc d’activité (franges à gérer) a Bandes de 75 m de part et d’autre des axes de la RD 2508 et D 1508 inconstructibles (art. L111.1.4 du CU) : contrainte à lever a Co-visibilité moyenne entre l’extension du PAE des Boucheroz et le hameau d’Englannaz à gérer (notamment zone de contact en Ue) a Peu de disponibilités foncières (ou de foncier mutable) pour faciliter la requalification de l’actuelle ZAE (aire de stationnement / co-voiturage, espace de détente...) a Façade urbaine de l’actuelle ZAE sur la RD 2508 assez dégradée a Carrefour Chemin des Pérouses / RD 2508 à sécuriser et à intégrer dans une conception plus paysagère de l’entrée de ville (moins routière) a Equipements d’infrastructures de l’actuelle ZAE vieillissants ou plus adaptés aux attentes des entreprises actuelles et futures a Traitement paysager des abords des entreprises dévalorisants pour la zone d’activité
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Questionnaires aux entreprises
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Synthèse des questionnaires (16 envoyés)
a
Un échantillon d’entreprises ayant retourné le questionnaire diversifié mais pas forcément représentatif de tous les points de vue...
a
Un trafic routier externe et interne à la zone jugé globalement fluide
a
Les déficiences principales perçues par les entreprises : • La signalétique insuffisante • L’éclairage insuffisant en bout de zone • Manque de sécurité
a
a
Les améliorations souhaitées par les entreprises portent principalement sur : • La qualité de la signalétique • L’aménagement du carrefour principal d’accès / sortie de la zone • L’organisation de zones de stationnement (clients, poids lourds) • L’amélioration de la desserte en transport en commun et le développement du co-voiturage La majorité (60%) des entreprises sont sensibles à la qualité paysagère de la zone. Pour elles, cela passe par : • La plantation d’arbres et la création d’espaces verts • L’entretien des abords des entreprises
a La majorité (60%) des entreprises sont intéressées par le développement de services de restauration et bancaires. Le développement d’une offre de services de proximité intéresse également les entreprises a 60% des entreprises souhaitent être associées à une démarche visant à améliorer la gestion et les services du parc d’activités. Aucune entreprise installé actuellement sur zone exprime des besoins en réhabilitation ou extension. a
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Les entreprises semblent intéressées par la mise en place de services mutualisés en matière de gardiennage et de télésurveillance
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Thème
Difficultés rencontrées et Attentes des entreprises
Sécurité du site
a a a a
Souhait de création d'une surveillance nocturne de la zone Mise en place de télésurveillance Nécessité de sécuriser les accès et de limiter la vitesse Mesures pour faire respecter la signalisation (priorité à droite, stop)
Stationnement
a a
Certaines entreprises ont besoins d’aires de stationnement plus importantes Besoin exprimé de bénéficier d’une aire d’attente et d’arrêt pour les camions
Signalétique
a a
Manque de signalétique concernant les entreprises présentes dans la zone d’activités (noms et logos) Signaler la priorité à droite
Amélioration paysagère
a a a a a
Manque d’espaces verts Manque d’entretien des espaces publics Nécessité d'harmoniser et d’améliorer l’aspect architectural des bâtiments Souhait d’une qualité paysagère en terme d’image, de qualité et de cadre de vie Souhait d’une réduction de la voirie au profit d’espaces verts, de détente...
Gestion de l’eau
deplacement
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a 3 entreprises souhaitent un système de collecte des eaux de ruissellement, une station d’épuration collective, un système de mesure pour contrôler la nature et la quantité des rejets ainsi qu’un réseau d’assainissement séparatif a a a
Amélioration de la desserte par les transports en commun Le SESSAD souhaite la mise en place d’une navette entre le centre-ville et la ZAE Mise en place d'une aire de covoiturage
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a Plus de 60% des entreprises souhaitent être associées à une démarche d’amélioration de la zone Communication a Certaines entreprises souhaitent bénéficier d’informations sur l’environnement et les projets environnementaux communaux (énergie, air...) Activités Annexes
Cas Particulier
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a a a
La plupart des entreprises souhaitent disposer d’un service de restauration et/ou d’hôtellerie La présence de services postaux ou bancaires à proximité du site serait un plus Améliorer l’accès au transport en commun
a L’entreprise «La ronde du bio» propose la mise en place d’un cahier des charges pour la gestion extérieur des bâtiments ainsi qu’un système de gestion collective a L’entreprise «Gédimat» a besoin de 10 places de stationnement supplémentaires a L’entreprise «La ronde du bio» a besoin d’une surface de 300m² ainsi que d’un parking privé ou commun a La jardinerie Guillot Dubois a constaté des micro-coupures d’électricité a La société SESSAD, qui va s’implanter, a besoin de 200m² de locaux en rez-de-chaussée ainsi que des espaces extérieurs a L’ESAT souhaite disposer d’un terrain de 5000 m² dans l’extension de la zone
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Hiérarchisation des enjeux
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LES GRANDES FAMILLES D’ENJEUX A PRIORISER FAMILLES D’ENJEUX DETERMINANTS POUR LE PARTI D’AMENAGEMENT PROGRAMMATION URBAINE
ENERGIE
FAMILLES D’ENJEUX STRUCTURANTS POUR LE PARTI D’AMENAGEMENT PAYSAGE
DEPLACEMENTS
ENVIRONNEMENT SONORE / DECHETS
EAU / BIODIVERSITE
INSERTION CLIMATIQUE
LA DEMARCHE DE PROJET URBAIN - 2 niveaux de positionnement : un premier politique et un deuxième technique • QUELS DETERMINANTS PROGRAMMATIQUES ET PRESCRIPTIFS ? • QUELLE STRUCTURE URBAINE ?
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LES FAMILLES D’ENJEUX DETERMINANTS : programmation urbaine ENJEUX : u Maîtriser la programmation urbaine et paysagère sur les tènements mutables u Promouvoir la mixité fonctionnelle pour les extensions en accompagnement des fonctions existantes sur l’actuelle ZAE u Requalifier la ZAE existante en conciliant attentes des entreprises et mise en valeur de l’entrée de ville
ATOUTS/CONTRAINTES : • Deux secteurs distinct (zone AUx / Ue) à proximité immédiate de l’actuelle ZAE offrant des capacités de développement conséquentes et toutes tournées vers la RD 2508 (entrée de ville) • Parcelle en friche (parcelle « Toyota ») très visible et impactante pour la qualité paysagère de l’entrée de ville, dont la maîtrise foncière n’est pas assurée par la commune • Peu ou pas de disponibilités foncières sur la ZAE existante, hormis l’emprise de la voirie, pour proposer de nouvelles fonctions urbaines dans le cadre de sa requalification (aire de stationnement PL / aire de co-voiturage / espace de détente…)
QUESTIONNEMENTS :
> Quelle mixité des fonctions urbaines peut-on proposer sur les sites d’études ? Quels effets d’accompagnement de l’existant ? : PME, commerces de flux, commerces de proximité, artisanat, activités tertiaires, équipements publics, logements, espaces publics collectifs, stationnement, transports en commun ?... > Quelles priorités d’aménagement pour la requalification de la zone existante ? (sécurité, embellissement, qualité d’usages, signalétique, stationnement ...)
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LES FAMILLES D’ENJEUX DETERMINANTS : l’énergie ENJEUX : u u
Réduire les consommations énergétiques des éclairages publics, des bâtiments et des activités Développer la part des énergies renouvelable
Usages possibles du solaire thermique dans un parc d’activités (source : ARENE IdF, 2006)
ATOUTS/CONTRAINTES : • Efforts importants de la commune pour le développement des ENR (chaufferie-bois, candélabres à LED...) • Actuelle chaufferie-bois sous-dimensionné pour desservir potentiellement le futur PAE
QUESTIONNEMENTS :
> Gestion énergétique des bâtiments existants ? > Quels sont les besoins réels en énergie des bâtiments et des activités (chauffage notamment) ? > Quel niveau de performance énergétique vise-t-on? (niveaux réglementaires, niveaux passifs...) > Quelle implantation optimale pour capter un maximum de rayonnement solaire (solaire photovoltaïque / solaire thermique) ? > L’éclairage public est-t-il nécessaire en permanence (nuit) et avec quelle intensité? > Recours à des sources d’énergie renouvelable possibles pour les besoins des activités ? > Questionnement sur l’opportunité de créer un nouveau réseau de chaleur pour le futur PAE (ou étendre l’existant) en lien avec les besoins réels des entreprises et avec la performance énergétique attendue des nouveaux bâtiments (RT 2012) ?
Usages possibles de l’électricité photovoltaïque dans un parc d’activités (source : ARENE IdF, 2006)
Remarques : Pour les bâtiments de logistique et les entrepôts, les consommations d’énergie peuvent se résumer aux consommations d’éclairage si l’ambiance intérieure n’est soumise à aucun traitement. En revanche, dès qu’il y a chauffage et/ou rafraîchissement pour la pérennité des produits stockés, les consommations varient significativement selon les exigences en température et en humidité. Il n’est pas possible de déterminer des ratios représentatifs pour ce secteur. La réglementation thermique fixe, en moyenne, une consommation d’énergie primaire inférieure à 50 kWh/ m²/an. Elle s’applique à partir du 1er juillet 2011 - plan Grenelle 2 - pour les bâtiments publics et les bâtiments tertiaires privés (bureaux, commerces, entrepôts, etc.)
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LES FAMILLES D’ENJEUX DETERMINANTS : l’énergie Usages possibles de l’énergie éolienne dans un parc d’activités (source : ARENE IdF, 2006)
Usages possibles de la géothermie dans un parc d’activités (source : ARENE IdF, 2006)
Usages possibles de la biomasse dans un parc d’activités (source : ARENE IdF, 2006)
Usages possibles de l’architecture bioclimatique dans un parc d’activités (source : ARENE IdF, 2006)
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LES FAMILLES D’ENJEUX STRUCTURANTS : biodiversité
et paysage
ENJEUX : u u u u u
Maintenir des continuités végétales Mettre en valeur le paysage d’entrée de vile Maîtriser l’insertion architecturale du bâti Valoriser le rapport au grand paysage Préserver la zone humide et sa végétation associée
ATOUTS/CONTRAINTES : • Présence d’un boisement au cœur du site • Réseau de haie intéressant • Présence d’une zone humide et de sa végétation caractéristique • Situation en entrée de ville (L111.1.4 CU) • 2 sites offrant une façade sur la RD2508 • 1 parcelle (friche toyota) très perçue depuis l’axe de la RD2508 • report au PLU d’une intention de création d’un mail planté au sud de la RD2508 • co-visibilités limitées, sauf pour la façade sud de la zone Ue du PLU (hameau d’Englannaz) • larges échappées visuelles sur les versants adrets et ubacs de la vallée / belles perspectives sur les fonds de scène accentuées par la rectitude de la RD2508
QUESTIONNEMENTS :
> Quels éléments de végétation sont essentiels à conserver ? > Quel avenir pour le boisement situé au cœur de la zone d’étude ? > Sur quelles «valeurs paysagères» peut-on s’appuyer pour la composition urbaine des sites d’étude ? > Opportunité de mise en place d’une charte urbaine, paysagère et architecturale entre la collectivité, les opérateurs et les entreprises > «Ménager» les interfaces des sites d’étude
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Les effets de l’urbanisation sur la biodiversité •Fragmentation des écosystèmes •Erosion inéluctable de la diversité floristique et faunistique •Banalisation des espaces qui deviennent de plus en plus imperméables, réfléchissants... •Perte des rôles épurateurs joués par les espaces naturels : •Dépollution de l’eau et de l’air •Rôle tampon sur le climat (vent, température, hydrométrie...)
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LES FAMILLES D’ENJEUX STRUCTURANTS : déplacements ENJEUX :
Renforcer le maillage piétons/cycles entre le centre-ville et le site u Gérer le stationnement au sein du futur PAE (PL, VL, cycles) u Veiller à la bonne cohabitation entre l’ensemble des modes de déplacements u Sécuriser l’accès au PAE depuis la RD 2508 u Accroître la sécurité sur les voiries de la zone d’étude u
ATOUTS/CONTRAINTES : • Réseau de voie douce à proximité du site mais discontinu • Présence d’un trottoir reliant le site au centre ville mais très peu utilisé car peu confortable et sécurisé • Une seule ligne de transport en commun avec un arrêt à environ 500m de l’entrée de la zone d’activités • Vitesses élevées sur la RD2508 • Carrefour d’accès au site peu sécurisé
QUESTIONNEMENTS :
> Création de voies douces reliant le site au centre-ville ? > Situation idéale pour le développement du co-voiturage (voir l’auto-partage) ? > Création d’une aire de stationnement collective aux entreprises de la zone (PL, VL, deux-roues) ? > Développement de la communication autour du service de TAD ? > Création ou déplacement de l’arrêt de la ligne de bus existante pour qu’il soit plus proche du site d’étude ? > Création d’un deuxième accès sur la RD 2508 pour la desserte interne de la zone d’activités ? > Quels moyens possibles pour réduire la vitesse de circulation dans la zone et faire respecter le code de la route (priorité à droite) ?
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LES FAMILLES D’ENJEUX STRUCTURANTS : environnement sonore, gestion des déchets et pollution ENJEUX : u u
sélectif u
Préserver l’ambiance sonore actuelle Faciliter la gestion des déchets et développer le tri Gérer l’existence de surfaces potentiellement polluées
ATOUTS/CONTRAINTES : • Deux infrastructures sont classées bruyantes • Les entreprises font appel à des prestataires extérieurs pour gérer leur déchet • La déchetterie est située à proximité du site • Présence de sols potentiellement pollués (ancien garage Toyota)
QUESTIONNEMENTS : > Création / Amélioration d’un point d’apport volontaire interne
au site ? Autres PAV à prévoir ? > Opportunité de mise en place d’une gestion collective des déchets des entreprises pour l’ensemble de la zone ? > Gérer l’implantation des activités bruyantes loin des secteurs résidentiels ? > Aménager une zone tampon entre activité et habitat (espaces publics, parc, placette, services…) ? > Garantir la dépollution des sols potentiellement pollués de l’ancien garage Toyota, avant tout opération d’aménagement du tènement
Bacs semi-enterrés (PAV tri-flux)
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LES FAMILLES D’ENJEUX STRUCTURANTS : la gestion de l’eau
ENJEUX : u u u u
Gérer les eaux usées collectivement Limiter l’imperméabilisation des sols Limiter la charge polluante des eaux pluviales (voirie, toitures…) Privilégier les techniques alternatives pour la gestion des eaux de pluie
sur le site u Protéger les constructions du risque d’inondation
ATOUTS/CONTRAINTES : • Le site est traversé par le réseau d’eau potable • Aucun réseau d’assainissement collectif • Le site est traversé par des fossés • Présence d’un risque d’inondation dans la partie sud du site (zone Ue)
QUESTIONNEMENTS : > Création d’une structure d’assainissement des eaux usées pour l’ensemble des
entreprises ?
> Création d’un bassin de rétention des eaux de pluie ? > Mise en place de techniques alternatives pour la gestion des eaux pluviales
sur l’existant et les extensions ?
Principe schématique de gestion alternative des eaux pluviales (à ciel ouvert)
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Effets des projets d’urbanisme sur l’eau
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LES FAMILLES D’ENJEUX STRUCTURANTS : l’insertion bioclimatique ENJEUX : u « Tirer parti » du climat pour valoriser le «potentiel énergétique» des bâtiments et activités
ATOUTS/CONTRAINTES : • Sites favorablement orientés par rapport au soleil • Présence de quelques obstacles à la course du soleil dont le plus conséquent est le boisement au nord-ouest de l’actuelle ZAE • Effets de vallées importants avec des vents d’orientations multiples
QUESTIONNEMENTS : > Comment « tirer parti » de la direction et de la vitesse des vents,
de la végétation et des bâtiments voisins, de la configuration des terrains tout en maintenant des vues sur le grand paysage ?
> Quels sont les besoins en énergie des bâtiments et des activités ? > Comment « capter » les apports solaires d’hiver et de mi-saison
pour participer au mieux à la couverture des besoins de chauffage et d’éclairage ?
> Comment « capter » les apports solaires pour apporter un maximum de lumière du jour et limiter les besoins en éclairage dans les bâtiments ?
> Comment assurer une bonne ventilation naturelle, la qualité de l’air à l’intérieur des logements et le confort thermique en hiver comme en été ?
Le simulateur d’ensoleillement de «Google Earth» ne signal aucun effets de masques sur les sites d’étudeliés à l’orographie
> Comment réguler les micro-climats à l’échelle du site par le paysage végétal ?
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SYNTHESE DES REFLEXIONS PREFIGURANT LE PARTI D’AMENAGEMENT
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RESULTAT DE L’ATELIER DE HIERARCHISATION COLLABORATIVE DES ENJEUX - vision communale
Enjeux majeurs
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Enjeux forts
Enjeux secondaires
Enjeux complementaires
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Juin 2010 SAUNIER & Associés Pôle Environnement Parc technologique de la Pardieu 9 avenue Léonard de Vinci 63 063 CLERMONT-FERRAND CEDEX 01 Tél : +33 (0)4 73 26 64 66 Fax : +33 (0)4 73 26 43 23 www.saunier-associes.fr
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