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REHABILITATION D’UNE MAISON DE VILLAGE
RESIDENCE SERVICES DE 48 LOGEMENTS ET REHABILITATION D’UN IMMEUBLE
PROJET DE REHABILITATION D’UNE BATISSE AGRICOLE
Maître d’ouvrage : particulier privé
REHABILITATION DE 13 LOGEMENTS ET CONSTRUCTION DE 7 LOGEMENTS ET COMMERCE
D’HABITATION
Maître d’ouvrage : particulier privé
Maître d’oeuvre : Antoine Sillac Architecte
Maître d’ouvrage : promoteur immobilier privé Maître
Maître d’oeuvre : Antoine Sillac Architecte
Site : commune de Grignan (26)
Maître d’ouvrage : promoteur immobilier privé
d’oeuvre : CGM Architectes Associés
Date : nov / déc 2012
Maître d’oeuvre : CGM Architectes Associés
Site : ville d’Oullins (69)
Mission : état des lieux
Site : ville de Lyon (69)
Date : 2010 / en cours
Superficie : 800 m2
Date : 2011 / en cours
Mission : AVP / PRO
MISSION : ESQ / AVP
Superficie : 1673 m2
Superficie : 1800 m2
PROJET D’EXTENSION D’UNE MAISON INDIVIDUELLE
PROJET DE REQUALIFICATION DU REMPART EXISTANT
PROJET DE FERME AGRO-TOURISTIQUE
RELEVE DE DEUX FERMES AGRO-
EN MOYENNE MONTAGNE
PASTORALES DE MOYENNE MONTAGNE
Maître d’ouvrage : particulier privé
PFE (Master L’Architecture comme discipline)
Projet d’étude (Master Architecture-paysage-montagne)
Projet d’étude (Master Architecture-paysage-montagne)
Site : ville de Montélimar
Site : ville de Côme (Italie)
Maître d’ouvrage : particuclier privé
Maître d’ouvrage : particulier privé
Date : 2011-2012
Date : 2010-2011
Site : commune de Boulc (Drôme)
Site : commune de Boulc (Drôme)
Programme : extension habitation
Programme : études urbaines / équipements culturels
Date : 2009-2010
Date : 2009-2010
Superficie : 30 m2
Superficie : 4500 m2
Programme : habitat / logement hôtelier / restauration
Mission : étude paysagère / état des lieux
PROJET D’EXTENSION D’UN HAMEAU DE HAUTE MONTAGNE
PROJET D’EXTENSION D’UN HAMEAU DE HAUTE MONTAGNE
PROJET DE REQUALIFICATION DU REFUGE JEAN COLLET
CONCEPTION ET FABRICATION DE MODULES D’EXPOSITION
Projet d’études (Master Architecture-paysage-montagne)
Projet d’étude (Master Architecture-paysage-montagne)
avec Marilou GUYOMARCH et Rémy BERNARD
Maître d’ouvrage : commune de la Grave
Projet d’étude (Master Architecture-paysage-montagne) Maître d’ouvrage : STD (Société des Touristes du Dauphiné)
Maître d’ouvrage : commune de la Grave
Site : Hameau des Terrasses, La Grave (05)
Site : commune de St-Agnès (38)
Projet de conception avec 5 autres étudiants de l’ENSAG, le CAUE Isère, la Fédération Compagnonnique, CREABOIS Maître d’ouvrage : Collectif Grenoble Equitable
Site : Hameau des Terrasses, La Grave(05)
Date : 2009
Date : 2008
Site : square du Docteur Martin, Grenoble (38)
Date : 2009
Programme : logement
Programme : Refuge de 40 couchages
Date : oct / déc 2008
Superficie : 210 m2
Programme : module d’exposition
Site : commune de Grillon (84) Date : 2009 / 2012 Mission : ESQ / AVP / PRO / Suivi de chantier Superficie : 205 m2
Budget : 50 000 €
Mission : étude paysagère / étude urbaine
Superficie : 180 m2
CONCOURS MINIMAOUSSE Concours étudiant avec Anaïs ROLLET Date : 2008 Programme : jeu pour enfant
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Rehabilitation d’une maison de village Commune de Grignan (26)
C
e projet de réhabilitation se situe en plein cœur du village de Grignan hors les murs au pied du château. Il s’agit d’une maison de village en deux parties dont la construction s’inscrit dans le développement du village au XIXème siècle. C’est pour le cabinet d’architecture d’Antoine SILLAC que j’ai réalisé en indépendant l’état des lieux complet des 800 m2 dont se compose l’ensemble. Le site de réhabilitation se divise en deux parties qui s’articulent en L. La première donne sur la place de Madame de Sévigné où est érigé la fontaine du même nom. On y accède depuis la place ou depuis une cour intérieure. Elle se développe sur trois niveaux et permet la circulation à tous les étages. En arrière, un patio permet à la lumière naturelle de rentrer. La deuxième partie se développe sur trois niveaux également en perpendiculaire de la première. On y accède par la cour commune aux deux parties depuis une deuxième cour en partie nord. Les trois niveaux ne pas distribués. il est nécessaire d’emprunter les escaliers de la première partie. Les distributions des deux parties sont communes. La cour commune est décaissé par rapport au niveau de la place ce qui donne un jeu de deminiveau entre les différents étages des deux parties. D’un point de vue constructif, on retrouve la pierre apparente et l’enduit à la chaux pour les murs. Les rez-de-chaussée sont en voûte de pierre sur lesquelles reposent les dalles de pierre du premier étage. Les sols du deuxième étage sont constitués soit d’un plancher soit de dalles de terre cuite. La charpente est faite de fermes et de poutres qui soutiennent les tuiles canal de la toiture. Un patrimoine bâti rural à préserver Bien que relativement récent, ces bâtiments font parti du patrimoine rural et s’inscrivent dans la ZPPAUP (Zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager). L’état des lieux est le point de départ d’un travail d’études qui se fera en collaboration avec l’Architecte des Bâtiments de France. Il se doit donc de faire état de toute les caractéristiques locales du bâti rural qui font l’authenticité de ce territoire. C’est ainsi que lors de l’état des lieux, une attention particulière a été donnée aux matériaux utilisés, aux techniques de mise en œuvre, aux formes du bâti, et à leur volumétrie.
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1 1 Plan masse du site de réhabilitation 2 Plan R+1 / Etat des lieux 3 Vue de la façade Sud principale (première partie) 4 Façade Sud (Etat des lieux)
FICHE TECHNIQUE Maître d’ouvrage : particulier privé Maître d’oeuvre : Antoine Sillac Architecte Localisation : Grignan (26) Programme : réhabilitaion d’une maison de village Etudes : 2012 - en cours Travaux : Surface : 800 m2 environ Ma mission : réalisation de l’EDL
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Réhabilitation de 13 logements et construction de 7 logements et commerce Ville d’Oullins (69)
C
e projet de logement se situe à Oullins, il s’agit d’une opération de construction de logements neufs et en réhabilitation ainsi que d’un local commercial. Un patrimoine ordinaire à préserver Ce projet pose la question du patrimoine ordinaire et tout l’enjeu de ce projet était d’en révéler les richesses. Il était important que l’extension dans sa forme, sa volumétrie, son traitement s’intégre parfaitement et ne nuise pas à ce patrimoine. On est au cœur du vieux Oullins à proximité de l’église Saint-Martin, il s’agit d’un quartier à dominante résidentielle qui présente des formes vernaculaires denses. L’immeuble sis au cinquante-huit rue Pasteur est daté du XVIIIe siècle et possède des éléments architecturaux remarquables, tels l’escalier à vis et les fenêtres à meneaux. Ce dernier ainsi que les corps d’immeuble au Sud, trente-cinq rue Voltaire font l’objet d’une réhabilitation lourde. En partie Nord, une construction neuve de 7 logements et commerce en cœur d’îlot compléte le projet.
1 1 Plan masse du site 2 Plan du niveau r+3 3 Insertion du projet 4 Détails
Intentions de projet Les intentions architecturales préservent une volumétrie de cœur de quartier et mettent en valeur l’immeuble du XVIII° en créant une césure volontariste qui ouvre la vue depuis la ZAC Bertholey sur les espaces végétalisés du cœur ancien d’Oullins. Mon intervention Pour cette étude je suis intervenu en phase APD et PRO pour dessiner les plans détaillés de l’opération. Cela a donné lieu à des rendez-vous d’ingénierie en concertation avec le maître d’ouvrage pour décider de l’aménagement des appartements et répondre aux différents problèmes techniques rencontrés. Le dossier PRO rendu, il était à mon départ de l’agence en consultation
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FICHE TECHNIQUE
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MaÎtre d’ouvrage : promoteur privÊ MaÎtre d’oeuvre : CGM Architectes AssociÊs Localisation : Oullins (69) Programme : logements et commerces Etudes : 2010-2012 Travaux : Surface : 1673 m2 Budget : 1 600 000 ₏ Ma mission : Intervention sur l’AVP / PRO
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Résidence services de 48 logements et réhabilitation d’un immeuble d’habitation Ville de Lyon (69)
C
e projet de résidence service se trouve au 8-10 rue Béchevelin à Lyon. Il s’agit d’une opération de construction de 48 logements étudiants ainsi que d’une réhabilitation d’un immeuble d’habitation en 4 logements sociaux. On se situe au cœur du 7ème arrondissement de Lyon, la rue Béchevelin est bordée de constructions de tous styles, immeubles récents anguleux, petites bicoques en voie de démolition, immeubles de pierre, ateliers, garages. Les parcelles concernées par notre étude se composent d’un immeuble d’habitation en pierres du 19e siècle saillant et d’une façade pignon en redans derrière laquelle se trouvait auparavant un atelier et qui aujourd’hui a été réinvesti par un garage. Séance d’archi-conseil Bien qu’on ne se situe pas dans le rayon des monuments historiques, nous sommes soumis à la commission d’examen de l’archi-conseil. Pour ce projet, la conservation du patrimoine bâti même ordinaire de la parcelle s’impose comme une évidence. Ill nous était donc demandé de conserver l’immeuble d’habitation ainsi que le mur pignon en redans. Le projet porte donc sur la réhabilitation de l’immeuble d’habitation et la construction d’une résidence service en arrière du mur pignon en lieu et place du garage actuelle.
1 1 Plan masse du site 2 Plan du niveau r+3 3 Insertion du projet 4 Vue actuelle du site de projet
Intentions de projet Les intentions architecturales préservent la volumétrie du pignon à redans. Un travail de composition de façade permet de préserver cette identité lyonnaise tout en changeant la destination du lieu. Un attique est ajouté, en retrait de la façade. Il est construit sur deux niveaux et en brisure sur le schéma des toitures à la lyonnaise. Un traitement particulier est donné à la jonction avec l’immeuble d’habitation du XIXème siècle pour permettre la lecture des deux entités qui compose l’ensemble.
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Mon intervention Pour cette étude j’ai été chargé de reprendre l’ESQ et de proposer une nouvelle réponse architecturale. Le projet a ensuite été soumis aux séances d’archi-conseil, il est aujourd’hui en phase APD et devait déboucher sur le permis de construire à mon départ de l’agence
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NIVEAU R+3 1 résidence service (48 logements) 2 réhabilitation (4 logements + 1 local commercial)
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FICHE TECHNIQUE Maître d’ouvrage : promoteur privé Maître d’oeuvre : CGM Architectes Associés Localisation : Lyon (69) Programme : résidence services et logements Etudes : 2011- en cours Travaux : Surface : 800 m2 Ma mission : réalisation de l’ESQ / AVP Budjet : 2 600 000 €
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Réhabilitation d’une ferme agricole Commune de Grillon (84)
C
e projet et la prise en compte de leurs Ce projet de réhabilitation se situe en plein cœur de vignoble en lisière de forée sur la commune de Grillon. Il s’agit d’une ancienne ferme agricole rachetée par un propriétaire pour en faire un lieu de vie pour 10 personnes. Ce projet a marqué mon passage dans l’agence d’Antoine SILLAC puisque je l’ai suivi depuis 2008 du permis de construire jusqu’à la réalisation des travaux par le suivi de chantier. Un habitat rural C’est une habitation rurale isolée, une ancienne ferme dont les dépendances présentent une architecture riche de la diversité et de l’inventivité de ses formes. Une architecture « tirée du sol », parfaitement intégrée à son environnement, adaptée aux contraintes de climat et qui répond aux exigences de l’économie rurale traditionnelle. Anciennement cet espace d’habitation, la maison paysanne, est à la fois le foyer autour duquel s’organisent la vie domestique et le lieu d’une activité économique et de production agricole. Cette ferme est de type « maison à terre », un volume ramassé, de plan rectangulaire, couvert à deux pentes, divisé en travées horizontales, abritant hommes et bêtes dans des volumes contraints. En partie Est, on trouvait l’habitation, réduite à l’essentiel, une salle commune, unique pièce à vivre, servant de cuisine et de séjour. A l’étage, les chambres auxquelles on accède par un escalier intérieur. En partie Ouest, l’écurie, c’était l’espace réservé aux bêtes et qui servait également de remise, où l’on abritait le matériel agricole. On y accède en partie Nord. La grange se trouvait au-dessus de l’écurie. Avancé, en partie Sud, un cabanon, pigeonnier vient terminer la composition d’ensemble. Intention de projet Pour ce projet, les volumes bâtis sont conservées ainsi que les murs porteurs, seul une pièce supplémentaire est ajoutée en partie Nord. Une véranda s’avance en partie Nord en lieu et place de l’ancienne entrée de l’écurie. A l’intérieur, les murs porteurs dictent l’agencement des pièces avec une succession de travées horizontales qui deviennent le salon, la cuisine, le hall d’entrée et les chambres, la salle de bain à l’étage. Une mezzanine, en lieu et place de ce qui était autrefois le lieu de déchargement du foin de la grange, donne sur la double hauteur créé au niveau de la véranda. Le pigeonnier, indépendant du volume d’habitation devient le studio d’amis
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1 1 Plan masse du site de projet 2 Vue du projet depuis le chemin d’accès 3 Vue sur la Véranda en partie Nord
1 NIVEAU R+1 1 mezzanine 2 salle de bain 3 chambre(s) 4 bureau
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NIVEAU RDC 1 hall d’entrée 2 cuisine 3 séjour 4 salon 5 chambre parentale
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FICHE TECHNIQUE Maître d’ouvrage : particulier privé Maître d’oeuvre : Antoine Sillac Architecte Localisation : Grillon (84) Programme : réhabilitation d’une ferme agricole Etudes : 2009 / 2010 Travaux : 2011 / 2012 Surface : 205 m2 Ma mission : intervention en phase ESQ/ AVP/ PRO et Suivi de chantier
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Extension d’une maison individuelle Ville de Montélimar (26)
C
e projet se situe en plein coeur de quartier résidentiel dans la ville de Montélimar. Les maisons individuelles avec jardin compose l’ensemble. Ce sont des parents d’amis qui pour l’aménagement de leur cuisine m’ont demandé de leur faire une proposition. Si le point de départ de ce projet est le réaménagement de leur cuisine, le véritable enjeu qui fixe par la suite le programme est celui de la lumière. En effet le souhait des clients est de faire de leur cuisine un véritable lieu de vie en lien directe avec le jardin extérieur. Intention de projet La cuisine était initialement placé en partie nord de la maison et ne s’ouvrait sur l’extérieur que par une fenêtre au Nord et une porte vitrée. La proposition a été de déplacer la cuisine en partie Ouest et de l’ouvrir sur le jardin en créant un volume qui s’ouvrirait largement sur l’extérieur. Ce volume se retournerait ensuite en partie sud pour venir s’aligner à la façade principal et permettre une libre circulation dans toute la maison. La cuisine actuelle devient un espace tampon situé à proximité de la porte d’entrée. C’est un sas qui permet de séparer la cuisine du hall d’entrée et qui dispose désormais d’un dressing fermé. Une porte coulissante vitrée sépare physiquement le sas de la cuisine. La cuisine se développe ensuite dans ce qui était le cellier auparavant et communique directement avec le volume créé autour d’un îlot central. Le nouveau volume devient la pièce à vivre, le lieu principal des repas. Il s’ouvre largement sur l’extérieur et permet à la cuisine de bénéficier de beaucoup de lumière naturelle. Une terrasse vient prolonger l’espace et créé le lien avec le jardin.
1 1 Plan masse du site du Pré-Martal (Commune de Boulc) 2 Plan d’Etat des lieux 3 Vue des deux bâtisses existantes 4 Croquis de la grange (Etat des lieux)
NIVEAU RDC 1 hall d’entrée 2 cuisine
Mon intervention Pour ce projet, j’ai réalisé l’esquisse et le dossier de déclaration préalable. Les clients ont ensuite fait réaliser les travaux d’après les plans remis
NIVEAU RDC 1 hall d’entrée 2 cuisine
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FICHE TECHNIQUE Maître d’ouvrage : particulier privé Localisation : Montélimar (26) Programme : extension d’une maison individuelle Etudes : oct / déc 2011 Travaux : janv / juin 2012 Surface : 25 m2 Ma mission : ESQ / AVP / DP
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Requalification du rempart de la ville de Côme Ville de Côme (Italie)
E
n redessinant le tracé du rempart médiéval d’après les plans historiques, en jouant sur le négatif comme révélateur du tissu urbain qui exprime le vide du plein, on met en exergue la situation ambiguë de certains bâtiments qu’il faudrait repenser pour clarifier la limite entre ville ancienne et ville périphérique. Le projet consiste à reconstruire le rempart en lui donnant une épaisseur, pour l’habiter et pour recréer le chemin de ronde qui devient un lieu de promenade. Le rempart a pour fonction première la défense des habitations situées à l’intérieur de l’enceinte fortifiée. Aujourd’hui, il fixe la limite entre la ville ancienne et la ville périphérique mais créé également un lien entre les deux de part les équipements qu’il offre, administratifs, culturels ou encore scolaires. Le programme développé dans le projet s’inscrit dans cette logique et se greffe aux équipements actuellement en place. Il regroupe : une extension du « museo civico » avec une galerie d’exposition mais aussi une bibliothèque, des archives départementales et un théâtre extérieur. Les toitures ou chemin de ronde sont une promenade haute qui se développe de la « Torre San Vitale » jusqu’au « Duomo».
1 1 Plan masse du site de Côme 2 Plan masse projet 3 Modélisation du projet de rempart 4 Détail rempart du projet (musée / salle d’exposition)
Un mur habité Selon le principe, le mur du rempart s’épaissit pour contenir les services internes (circulations / locaux techniques / sanitaires) puis, sur l’arrière se développe les salles d’exposition, les bureaux ou encore les salles de lectures suivant le programme. Le devant, correspond à la limite que créé le rempart entre la ville ancienne et la ville périphérique. Elle est traitée de la même manière qu’en partie sud de la ville, une grande esplanade ou vient s’installer les commerçants le jour du marché. Elle retrouve sa qualité grâce à la reconversion de la voie ferrée en ligne de tramway. L’arrière est un jardin public qui se développe le long des salles d’exposition en limite des cours privées existantes. Il est un lieu de promenade privilégié. Il offre une promenade différente et complémentaire du chemin de ronde depuis lequel on accède
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FICHE TECHNIQUE PROJET DE FIN D’ETUDES (MASTER 2) Localisation : Côme (Italie) Programme : équipements culturels mixtes Musée / bibliothèque / archives / théâtre Année : 2010-2011 Surface : 4500 m2
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Relevé de deux fermes agro-pastorales de moyenne montagne Commune de Boulc (26)
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ré-Martal est l’un douze hameaux qui composent la commune de Boulc (26). Situé sur le versant ouest du vallon de Boulc entre sommet et vallon à 820 m d’altitude, il regroupe trois bâtiments dont l’usage d’origine était de type agro-pastoral. L’analyse de l’environnement naturel et bâti de ce site est le point de départ de ce travail de Master que j’ai mené in situ. Il démarre d’une demande concrète de propriétaires rencontré qui souhaitaient donner un avenir à ce lieu. Le projet consistait en la reconversion d’une ferme agropastorale en ferme agro-touristique. Il se compose d’une partie en réhabilitation et d’une autre en construction neuve. Un site Le paysage est typique de celui forgé par l’élevage ovin et caprin, dont les besoins en fourrage ont conduit à prélever sur les pentes les moins fortes, des espaces dur la forêt pour les transformer en prés. Elle constitue aujourd’hui la prairie ouverte du Pré-Martal. En ce qui concerne l’environnement bâti, les deux fermes sont d’origine ancienne antérieur à 1826 si l’on se réfère au cadastre napoléonien. Il n’y a pas d’amorce de structure urbaine, les deux fermes rapprochées constituaient la ferme du lieu. On retrouve la logique d’urbanisation de la commune à savoir libérer au maximum les terrains plats pour l’agriculture et construire l’habitation dans la pente. Etat des lieux L’analyse faite, un état des lieux des deux fermes existantes s’est imposé. Les deux fermes sont construites sur le même principe, une construction en soubassement dans la pente pour accéder de plein pied à tous les niveaux. La structure en voûte de pierre ne permettant pas une distribution verticale du bâtiment. La concentration des fonctions sous un même toit est typique des maisons rurales du Diois. Ecurie, logis, grange, cave s’organisent dans le bâtiment. Seul le séchoir à noix et le four sont construits en amont de la route de desserte. Le logis est isolé des parties en soubassement qui sont humides et froides et se trouvent au rez-de-terrasse. L’épaisseur des murs, les rares ouvertures, l’enterrement partiel des constructions assurent une relative isolation thermique
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1 Plan masse du site du Pré-Martal (Commune de Boulc) 2 Plan d’Etat des lieux 3 Vue des deux bâtisses existantes 4 Croquis de la grange (Etat des lieux)
FICHE TECHNIQUE PROJET D’ETUDES (MASTER) Localisation : Hameau du Pré-Martal, Boulc (26) Programme : ferme agro-touristique Année : 2010 Surface : m2
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Projet de ferme agro-touristique en moyenne montagne Commune de Boulc (26)
P
our répondre à la problématique d’allier activités agricoles, accueil pédagogique d’un public et habitation permanente, la réponse est un équipement de ferme agro-touristique. La volonté est de pouvoir valoriser la production par la vente directe par l’accueil de gens venant visiter l’exploitation. Le programme Il fallait dès lors fixer un programme. Ici l’exploitation agricole garderait sa fonction initiale de production et accueillerait de façon régulière des gens dans le cadre scolaire ou extra-scolaire. Le programme se divise en quatre parties, l’accueil, l’hébergement des visiteurs, l’exploitation et l’habitation des gens du lieu. Dès lors un scénario d’aménagement est mis en place. Il y a dans ce projet de ferme pédagogique deux intentions et deux gestes architecturaux différents qui vont se compléter l’un et l’autre, la réhabilitation et la conception d’un nouveau bâtiment.
1 1 Plan masse du site du Pré-Martal (Commune de Boulc) 2 Façade état des lieux et projet 3 Insertion du projet 4 Organigramme du projet suivant les trois bâtisses
Rehabiliter En réhabilitant deux corps de ferme, on touche à une structure bâtie particulière. Il s’agit d’espaces non habités et aujourd’hui plus utilisés (grange, cave, stockage) en des lieux de vie destinés à de nouveaux usages. Reinterpréter A travers sa volumétrie et son implanatation dans le terrain, le bâti neuf vient s’inscrire dans la même configuration que les deux anciennes fermes. Mais en proposant une construction neuve pour loger les personnes travaillant sur le lieu, le but est d’offrir de façon plus directe à ces logements une qualité d’usage et une qualité de vie adapté aux besoins d’aujourd’hui. Cela doit se traduire surtout par de plus grands apports en lumière naturelle et un plus grand dialogue avec le grand paysage. La proposition s’est donc traduit par une prise en compte du site dans ses atouts mais également dans ses contraintes. Ce territoire d’altitude, isolé et dépendant de l’activité saisonnière devait être pris en compte dans la proposition. Ce projet interroge sur le devenir du bâti agropastoral et sur la forme architecturale à donner aux constructions neuves dans ce paysage
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FICHE TECHNIQUE PROJET D’ETUDES (MASTER) Localisation : Hameau du Pré-Martal, Boulc (26) Programme : ferme agro-touristique Année : 2010 Surface : m2
HABITATION PERMANENTE + PARKING
SALLE DE VENTE EN DIRECT + PARKING
CHAMBRES D’HÔTES
HABITATION PERMANENTE
CUISINE + SALLE COMMUNE
CHAMBRES D’HÔTES + PARKING
SALLE COMMUNE + ATELIER
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SALLE COMMUNE
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POTAGER + AIRE DE JEUX + AIRE DE PIC-NIC + HEBERGEMENT EN TOILE
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Projet d’extension d’un hameau de haute montagne Commune de La Grave (05)
S
itué à 1 500 m d’altitude sur un promontoire rocheux qui domine la vallée, le village de La Grave se dresse au pied de la Meije. Quatre hameaux dits des « Traverses » surplombent le village à 1800m d’altitude: les Hières, Ventelon, les Terrasses et le Chazelet. Ils recèlent de nombreuses caractéristiques patrimoniales : maisons traditionnelles avec leurs galarias, églises, fours banals ou encore greniers en bois sont autant de motifs de promenades. Notre travail d’étude s’est porté sur un de ces hameaux en particulier, celui des Terrasses avec comme problématique de répondre à la demande croissante de logement qu’ils soient touristiques, saisonniers ou permanents. Hypothèse de projet Très vite deux hypothèses se sont détachées. Si répondre à une demande de logement nécessite de construire de nouvelles habitations on peut soit réfléchir en terme extension raisonnée du village ou des hameaux soit se poser la question de créer un nouveau hameau. Notre positionnement s’est porté sur la première hypothèse, à savoir de réfléchir à court et moyen terme à une extension raisonnée du village en prenant pour site d’études le hameau des terrasses. Le point de départ de ce travail est l’analyse du site d’études. Analyse du site Depuis leur installation définitive dans ce haut pays, les hommes ont dû s’adapter aux contraintes d’un environnement de haute montagne. Les conditions climatiques et physiques du site, la rareté du bois et les incendies au cours des siècles ont dicté les modes de construction. On est dans un pays de pierre, les blocs de tuf ou de schiste utilisés pour la construction des murs des maisons sont liés par un mortier à base de terre. Les toits à deux pans sont recouverts d’ardoises ou «lauzes». Les maisons, bâties sur le roc, sont disposées en gradins face à la montagne. Les nombreuses ruelles à l’ancienne, les «trabucs», tissent un étroit réseau entre les habitations où il nous arrive de s’égarer
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1 1 Plan masse du village et de l’extension 2 Analyse des typologies 3 Panoramique depuis le hameau des Terrasses 4 Le hameau des Terrasses (Commune de La Grave) 5 Coupe perspective du hameau
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FICHE TECHNIQUE PROJET D’ETUDES (MASTER) Localisation : Hameau des Terrasse, La Grave (05) Programme : extension du hameau Année : 2009 Surface : m2
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Projet d’extension d’un hameau de haute montagne Commune de La Grave (05)
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’est l’analyse du site, du grand paysage aux modes de constructions de l’habitat qui nous a permis de réfléchir à l’extension raisonnée et respectueuse du patrimoine rural bâti du hameau des Terrasses sur la commune de La Grave Intention de projet Premièrement, il fallait répondre au problème de la route qui divise le hameau par le passage fréquent des voitures et de bus qui se rendent à la station du Chazelet un peu plus loin. La réponse choisie et de dévier la route principale par l’arrière du hameau, en hauteur pour ne privilégier que le piéton dans le hameau. Ensuite, il fallait fixer les limites de cette nouvelle extension. C’est l’étude du parcellaire et de la géométrie d’ensemble qui nous définisse l’implantation des futures habitations. L’extension se fera en partie Ouest du hameau et s’inscrira dans la pente comme l’est le bâti existant. Enfin les modes d’accès. Ici les voitures ne se garent pas au côté des habitations, les ruelles formaient autrefois ne permettent pas de s’y engager. On accède le plus souvent à son habitation à pied après avoir garé sa voiture un peu plus loin. Cela permet des modes de déplacement doux dans le hameau et évite des travaux supplémentaires de déneigement en hiver. L’extension se dessine de cette manière. On accède aux habitations à pied après avoir garé sa voiture aux parking. Deux entrées permettent l’accès aux habitations par un chemin, une entrée haute et une entrée basse. Typologie du bâti Pour terminer, il faut donner une forme et une typologie au bâti que l’on construit. C’est la clé d’une intégration réussi de cette extension. La forme du bâti reprend les gabarits des habitations du hameau et se place en parallèle des courbes de niveau. Bien souvent, un mur de soutènement prolonge la façade principale et créé une terrasse pour l’habitation. On y accède par une entrée au rez-de-terrasse ou en rez-de-chaussée comment l’on s’inscrit dans la pente. Enfin la ligne de faîtage est décalée sur l’arrière pour permettre en hiver à la neige de glisser en partie Nord pour protéger les piétons et le cheminement en partie Sud
1 1 Plan masse du village et de l’extension 2 Insertion du projet 3 Coupe du projet
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NIVEAU COMBLE 1 coin bureau 2 coin bibliothèque
NIVEAU REZ-DE-JARDIN 1 sas d’entrée 2 sanitaire 3 salon 4 cuisine
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NIVEAU REZ-DE-CHAUSSEE 1 sas d’entrée 2 chambre des parents 3 chambre des enfants
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FICHE TECHNIQUE PROJET D’ETUDES (MASTER) Localisation : Hameau des Terrasse, La Grave (05) Programme : logement permanent Année : 2009
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Requalification du refuge Jean Collet Commune de Sainte-Agnès (38)
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onstruit en 1910 par la STD, club de montagne grenoblois, le refuge Jean Collet est une étape sur le chemin du Grand Pic de Belledonne. Il se trouve en effet à mi-chemin entre Sainte-Agnès, le village et le sommet. Il est situé sur un promontoire d’où l’on peut voir une grande partie du Grésivaudan, du massif de la Chartreuse, du Vercors et de Grenoble. Reconstruit en 1927, le refuge assure toujours le confort des randonneurs. Cependant, au regard du gardien, beaucoup de choses ne sont plus adaptées. C’est pourquoi, dans une perspective à long terme, la STD souhaiterais le moderniser. C’est dans cette démarche que la STD, l’école d’architecture de Grenoble et le studio architecture, paysage, montagne nous ont permis de réfléchir à cette question. Un travail sur la contrainte Travailler sur la question d’un refuge sous-entend un travaille sur la contrainte, contrainte de climat, de relief, de mode de construction, d’autonomie et de fonctionnement. C’est après un travail d’analyse sur les usages, le fonctionnement du refuge et l’assimilation de toutes ces contraintes qu’une réponse pouvait être faite. Intention de projet Le choix est fait de ne pas conserver le refuge actuelle, qui bien que reconstruit ne devait qu’être que provisoire et ne dispose pas de grande qualités. Pour l’implantation, je fais le choix de me placer dans la pente en arrière de l’implantation actuelle du refuge. Le volume est poser en équilibre sur ce promontoire, il symbolise la bascule entre deux mondes, celui de la vallée et de l’empreinte laissé par l’homme et celui du grand paysage et de la haute montagne. Le refuge en lui-même est inscrit dans la pente. Il se compose de deux marches. La première renferme la salle de vie commune et la cuisine des gardiens, la deuxième, les dortoirs. Enfin, entre les deux, une zone fonctionnelle contient le sas d’entrée, le coin cuisine pour le refuge en hiver, les toilettes sèches la réserve et les locaux techniques
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NIVEAU REZ-DE-TERRASSE 1 sas d’entrée 5 cuisine d’été 2 réfectoire 6 sanitaire 3 cuisine gardien 7 local technique 4 terrasse gardien 8 réserve gardien
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NIVEAU R+1 1 appartement gardien 2 dortoir collectif
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FICHE TECHNIQUE PROJET D’ETUDES (MASTER) Localisation : Refuge Jean Collet, Sainte-Agnès (38) Programme : refuge Année : 2008 Surface : 210 m2
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1 Entrée donnant sur la cour intérieure 2 Façade donnant sur la place de Mme de Sévigné 3 Cour intérieure
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Conception et réalisation de modules d’exposition Ville de Grenoble (38)
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’est à l’occasion de la 3ème édition du marché de Noël équitable que le collectif Grenoble équitable a fait appel au CAUE de l’Isère et à une équipe de 6 étudiants de l’ENSAG pour concevoir le plan d’ensemble et les modules d’exposition de leur marché. La partie en atelier étant confiée à la fédération compagnonnique d’Echirolles, c’est un véritable travail d’équipe qui s’est mis en place pour réaliser ce projet. La volonté du collectif était de réfléchir à un projet éthique cohérent dont le mode de construction corresponde aux critères sociaux et environnementaux que défend le collectif. Ainsi, le bois utilisé provient de la filière locale, en partie mobilisé par Créabois (association de promotion de la filière locale). Intégration du lieu Le square Docteur Martin fait parti des espaces en projet de la ville de Grenoble. L’événement « Un Baobab au Village » est l’occasion de réfléchir à un aménagement temporaire de qualité de l’espace public et d’expérimenter une forme de valorisation de cette place à l’identité forte (composition symétrique, bassin, ceinture d’arbres), très investie à toute heure de la journée, au carrefour du centre piéton, des arrêts de bus, du grand parking de la place Vaucanson et du lycée Champollion. Le marché de Noël occupera pleinement le square, en composant avec la symétrie existante, en travaillant la liaison avec les tissus existant (parcours, accès, seuils) et en installant un éclairage de qualité. Intentions de projet Le marché équitable est conçu comme un village avec son centre animé, où sera matérialisé le baobab, et ses constructions périphériques : - quatre modules, de 30m2 chacun, accueillent les espaces de vente. - un module de 60m2 abrite le point chaud/ buvette ainsi qu’un espace dédié aux actions de sensibilisation
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1 1 Plan masse d’implantation des modules d’exposition (square Docteur Martin) 2 Vue d’un module d’exposition réalisé 3 Affiche du Marché de Noël Equitable
2 FICHE TECHNIQUE Maître d’ouvrage : Collectif Grenoble Equitable Localisation : Square Docteur Martin, Grenoble (38) Programme : module d’exposition
Etudes : oct / nov 2008 Travaux : déc 2008 Surface : 180 m2 Ma mission : conception des modules
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Concours Minimaousse 2009/2010 ORI [GAME]
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e concours étudiant lancé par la cité et les Grands Ateliers de l’Isle-d’Abeau avec le soutien de la Direction de l’architecture et du patrimoine et de la Délégation aux arts plastiques du ministère de la Culture et de la Communication, a été lancé pour la première fois en 2003. Ce concours de microarchitecture a pour objectif de prouver par l’exemple que la petite échelle peut se décliner en architecture à travers de multiples projets et objets rivalisant d’inventivité et de poésie. C’est à l’occasion de la quatrième édition que j’ai pris part à ce concours en binôme avec Anaïs ROLLET, une étudiante de l’ENSAG aussi. Cette quatrième cession portait sur l’architecture et l’enfance et s’intitulait « Construire XXS pour les + petits » .
1 1 Plan de découpe 2 Configurations de jeu 3 Appropriation par les enfants 4 Différents modes de configuration
Le programme L’idée était de concevoir pour des petits de moins de 8 ans (ne dépassant pas 1,20 m) un espace dont l’usage reste à imaginer, mais avant tout un espace à partager : pour lire, jouer, bouder, rêver, chuchoter, se déguiser, patauger... un théâtre, une maison, une « baby-disco », un manège, un atelier, une école à roulettes, mais surtout pas un cocon, ni une cabane ! Tout cela en intégrant les enjeux environnementaux de toute production architecturale aujourd’hui, en utilisant le carton, le papier, le bois, et en laissant bien sûr à l’enfant la possibilité d’intervenir, d’individualiser son espace. Notre réponse est un module qui se déplie de différentes manières et qui offre à l’enfant une multitude de configurations pour jouer. Réalisé en bois à l’échelle 1:1, il se veut pratique et facilement déplaçable
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FICHE TECHNIQUE CONCOURS ETUDIANT Programme : jeu pour enfant Année : 2008
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