FEMIFREE - Dossier de presse SS15

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L’INCONTINENCE URINAIRE, UN CONTINENT À EXPLORER

BOUGEZ. DANSEZ. COUREZ. SAUTEZ. RIEZ. VIVEZ

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L’incontinence urinaire, un sujet encore tabou Peu de personnes osent dire qu’elles souffrent d’incontinence. Et pourtant, les fuites urinaires touchent une femme sur trois* et impactent leur vie de tous les jours. Il est temps de briser le tabou !

“ Il m’arrive de plus en plus souvent d’avoir des petites pertes d’urine, par exemple quand je pique un fou rire ou que j’éternue ”, lâche Anna, une jeune mère de 32 ans. L’aveu n’est pas facile et seulement glissé derrière l’anonymat. Car ces fuites arrivent fréquemment, parfois plusieurs fois par semaine. Par gêne, cette dynamique trentenaire a longtemps tu, à ses proches et son médecin, ce handicap silencieux. Un cas isolé ? Pas vraiment. L’incontinence, définie comme la perte involontaire d’urine, n’est pas un symptôme réservé au 4è âge, contrairement aux idées reçues. 41% des Français déclarent rencontrer actuellement des problèmes de fuites urinaires, même légères ( 27% d’hommes et 55% de femmes ).** Ce symptôme touche surtout les femmes, dont les muscles du périnée sont mis à rude épreuve au moment des accouchements. Et celles en surpoids, sédentaires et sujettes à l’anxiété sont les plus particulièrement touchées.

* Source : HAS (ex-Anaes), mai 2003, recommandations sur la prise en charge de l’incontinence urinaire de la femme en médecine générale ** Source : Etude IPSOS/FEMIFREE, mars 2015

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Un drame familial et social L’incontinence urinaire ne doit donc pas être prise à la légère. Les femmes qui en sont atteintes vivent un drame familial (de peur d’en parler à leurs proches), social, voire professionnel. Isolement, perte de confiance, troubles de la sexualité... Elle affecte les femmes dans leur vie quotidienne. Pourtant, rares sont celles qui osent en parler à leur médecin, souvent par honte. On estime d’ailleurs à 30 % les personnes souffrant d’incontinence qui ne sont pas prises en charge, selon l’Association d’aide aux personnes incontinentes. Mais l’impossibilité de se retenir d’uriner ou l’existence de fuites n’est jamais normale. Mais ce n’est pas non plus une fatalité, heureusement, il existe des solutions.

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Le « fitness du périnée », la solution durable pour lutter contre l’incontinence urinaire

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Les différentes formes de fuites urinaires Les troubles urinaires peuvent prendre différentes formes. Le point avec le professeur François Haab, urologue.

Contrairement aux idées reçues, l’incontinence urinaire, sous ses différentes formes, peut toucher toutes les femmes, même les plus jeunes. “ Ces symptômes sont souvent associés au troisième et quatrième âge, note le professeur François Haab. Or, la plupart des patientes qu’il faut opérer pour des problèmes d’incontinence n’ont pas plus de cinquante ans ”. Derrière ces troubles, escortés souvent d’un sentiment de honte, se cachent deux principales formes d’incontinence. La première, l’incontinence d’effort : survient dans des gestes simples de la vie courante, comme courir, rire, tousser, ou encore porter des charges lourdes. “ C’est la plus fréquente et la moins gênante ”, commente le professeur François Haab. Les patientes peuvent, en effet, détecter à quels moments les fuites surviendront.

Le sentiment de perdre le contrôle En revanche, la seconde, dite d’urgence, présente un caractère inattendu. “ Elle se caractérise par une envie pressante et incontrôlable d’uriner, à tout moment. Cette forme d’incontinence est ressentie comme un véritable handicap car les patientes ont le sentiment de ne plus contrôler leur corps ”, poursuit le spécialiste. Pire, ces deux troubles peuvent être associés. “ Plus les symptômes sont sévères, plus ces deux formes coexistent ; aboutissant ainsi à une incontinence mixte ”, confirme le professeur François Haab. L’incontinence d’urgence peut être soignée par voie médicamenteuse. Un traitement qui doit être poursuivi toute la vie. “ Il calme la vessie et limite les symptômes. ” Mais la cause des troubles urinaires - le relâchement musculaire dans la plupart des cas - ne pourra être enrayée qu’avec une rééducation adaptée du périnée.

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Femifree ou le fitness du périnée Pour réduire le risque de fuites urinaires, le périnée doit aussi suivre un programme régulier de gymnastique d’entretien. “ Après les accouchements, ou lorsque des fuites urinaires surviennent, les patientes vont faire une rééducation du périnée en dix ou quinze séances ”, explique le professeur François Haab. La méthode est efficace pour éradiquer les symptômes... à court terme. “ C’est exactement comme une gymnastique, note-t-il. Si elle n’est pas pratiquée régulièrement, les patientes en perdront les bénéfices ”. Utilisé à domicile, Femifree permet justement de s’adonner régulièrement à cette gymnastique d’entretien, un peu comme une sorte de “ fitness du périnée ”. “ Il aide au renforcement musculaire, de la même façon qu’on muscle les abdominaux ou les jambes ”. Contrairement à une rééducation classique par une sonde vaginale, Femifree permet une “ stimulation globale et plus diffuse des muscles périnéofessiers ”. D’où une meilleure tonicité qui évite aux troubles urinaires de s’installer.

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Fuites urinaires : les différentes causes Les troubles urinaires ne sont pas une loterie. Accouchements à répétition ou activités sportives intensives peuvent notamment expliquer un relâchement des muscles du plancher pelvien.

L’incontinence urinaire se manifeste par des difficultés à contrôler sa vessie. Comment expliquer ces symptômes ? Après 45ans, la principale cause de fuites urinaires d’effort provient du relâchement des muscles du plancher pelvien. “ Ce manque de tonicité est normal après 50 ans. Il est aggravé avec les accouchements par voie basse qui fragilisent le périnée ”, indique le professeur François Haab. Mais toutes les femmes ne sont pas à égalité devant ce relâchement musculaire. “ Certaines auront des ligaments moins résistants, en particulier si elles ont dû porter des charges lourdes, par exemple dans leur vie professionnelle, ou si elles ont fait du sport à haut niveau. ” Dans les cas où les troubles urinaires ne surviennent pas après un effort, “ on parle de dérèglement de la vessie, qui peut s’expliquer par une pathologie, comme des polypes ”. Des cas heureusement plus rares concernant à peine 10 % des diagnostics. Mais certains facteurs favorisent aussi l’incontinence urinaire. Ainsi, la sédentarité, le tabagisme et, surtout, le surpoids, accentuant la pression sur la vessie, augmentent le risque de troubles urinaires.

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Comprendre le fonctionnement de son périnée Chez la femme, l’incontinence urinaire est liée au périnée. Mais comment fonctionne cet ensemble de muscles méconnu ? On vous dit tout.

Qu’est-ce que c’est ?

Le périnée est un ensemble de muscles situé à l’extrémité inférieure de l’abdomen. Il ferme le petit bassin et s’étire de l’os pubien au coccyx. Il est commandé par des circuits nerveux qui proviennent du cerveau et de la moelle épinière. Par sa position, il joue donc le rôle de hamac. C’est pourquoi les scientifiques parlent de “ plancher pelvien ”.

Quelle est son utilité ?

Il assure son rôle de socle en maintenant les organes situés dans le bas de l’abdomen (vessie, utérus, intestin). Il contrôle également l’ouverture du vagin, de l’anus et de l’urètre. “ Chez la femme, il termine le système reproducteur, urinaire et digestif. Ainsi, le périnée joue un rôle important dans la continence urinaire et fécale, dans la sexualité et dans la reproduction ”, précise Alain Bourcier, physiothérapeute, spécialiste en rééducation pelvi-périnéale.

Pourquoi est-il fragilisé ?

Parce qu’il est situé en bas du bassin, le périnée subit des pressions tout au long de la vie : le poids des viscères, de l’utérus chez la femme enceinte et les soubresauts au moment des exercices physiques (les sauts en particulier) augmentent la pression vers le bas. Quand la femme est encore jeune, le périnée est capable de faire face à ces pressions par un réflexe de contraction. Mais, au fil du temps, quand les muscles se relâchent, le périnée devient plus vulnérable. Lorsqu’il n’est plus capable de se contracter suffisamment - car les muscles sont affaiblis - et de résister aux pressions de la vessie, le risque de fuites urinaires survient. Renforcer les muscles du périnée permet donc de résister aux pressions abdominales. Le périnée, plus tonique, retrouve alors son réflexe de contraction.

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Qui sont les femmes touchĂŠes ?

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Muscler son périnée, une étape clé après l’accouchement Après un accouchement, pas facile de se motiver pour rééduquer son périnée. Pourtant, cet exercice est crucial pour éviter les fuites urinaires après 50 ans.

La grossesse et un accouchement par voie naturelle mettent le périnée à rude épreuve. D’abord, le bouleversement hormonal de la grossesse rend les muscles moins toniques. Ensuite, “ en sortant du ventre de sa mère, le bébé traverse et écarte le rideau musculaire constitué autour du vagin. Cet ensemble de muscles va donc naturellement subir une véritable distorsion ”, explique le docteur David Elia, gynécologue. Ces tissus distendus vont avoir du mal à retrouver leur tonicité, surtout si la prise de poids est importante ou, encore, lorsque plusieurs grossesses se succèdent. Mais la femme, encore jeune, ne ressentira les effets de ce relâchement des tissus que bien des années plus tard. “ Le traumatisme du plancher pelvien, vécu lors de l’accouchement, va être gardé en mémoire par l’organisme ”, précise le spécialiste. Des troubles urinaires pourront survenir après 50 ans, lorsque les effets de l’âge et le relâchement musculaire s’ajouteront à la distorsion des muscles pelviens vécue lors de la maternité. D’où la nécessité d’une rééducation préventive du périnée. “ Les jeunes mères doivent rééduquer leur périnée pour tonifier les muscles du plancher pelvien afin de réduire le risque de fuites urinaires vers 50 ans ”, conseille le docteur David Elia. Une rééducation quelques semaines après un accouchement va donc permettre de faire travailler les muscles du périnée, fragilisés, pour retrouver de la tonicité.

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Muscler son périnée au moment de la ménopause La ménopause est une étape clé de la vie d’une femme. Pour éviter l’apparition de fuites urinaires, il est conseillé de muscler son périnée.

Pourquoi ?

L’incontinence urinaire touche, en majorité, les femmes après 50 ans. “ À cette étape de la vie de la femme, au moment de la ménopause, le risque d’apparition de l’incontinence d’urgence, se caractérisant par des envies intempestives et incontrôlables d’uriner, survient chez les femmes qui n’ont pas reçu de traitement hormonal substitutif ”, précise le docteur David Elia, gynécologue. En effet, l’absence d’œstrogènes lors de la ménopause entraîne l’amincissement de la muqueuse qui recouvre la vessie, ce qui peut provoquer l’écoulement involontaire de petites quantités d’urine.

Les signes qui doivent alerter

Cette fragilité de la vessie et la moindre tonicité des muscles du périnée – déjà chahutés au moment de l’accouchement - rend une rééducation du périnée particulièrement cruciale et nécessaire lors de la période de la ménopause. “ La rééducation permet de lutter contre l’atrophie des muscles du périnée et pour la reconquête d’un vagin fonctionnel ”, assure le docteur David Elia. Des fuites urinaires, même isolées, et des problèmes de sexualité liés à une sécheresse vaginal, sont des signes qui doivent alerter. Ils rendent nécessaire une rééducation invasive par sonde vaginale, voire le cas échéant une intervention chirurgicale. Alors, plutôt que d’attendre ces signes d’alerte, mieux vaut penser à muscler son périnée à l’arrivée de la ménopause pour éviter que des troubles urinaires apparaissent subitement.

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Fuites urinaires et sport : témoignage Marie, 38 ans, est enseignante et mère de 4 enfants. Adepte de la course à pied, elle a dû arrêter ses séances de sport à cause de fuites urinaires. Elle a accepté de nous en parler.

Comment sont apparus les premiers troubles urinaires ?

Je n’ai jamais été une grande sportive, mais, après mes grossesses, j’ai commencé la course à pied, encouragée par une amie. Même si je ne m’entraînais qu’une heure par semaine, il m’arrivait parfois d’avoir quelques fuites urinaires. Mais je n’y prêtais pas vraiment attention.

À quel moment avez-vous été contrainte d’arrêter le sport ?

L’année dernière, j’ai intensifié le rythme des entraînements pour faire des courses d’une quinzaine de kilomètres. C’est à ce moment-là que les troubles urinaires ont été plus fréquents. J’ai alors commencé à ressentir une vraie gêne. Il m’était impossible de continuer à courir. J’ai fait le lien entre ce sport et l’incontinence d’effort dont je souffrais.

Pour quelle raison ces troubles sont apparus lors de votre pratique sportive ?

Les sports comme la course, la danse ou le tennis augmentent la gravité et la pression des organes vers le périnée. Pourtant, ma pratique sportive était loin d’être intensive. J’ai été particulièrement étonnée car, au cours de mes quatre grossesses en six ans, j’ai toujours pris soin de faire une rééducation du périnée. Ces troubles urinaires se sont déclenchés brutalement au moment où je courrais, mais ils sont aussi liés à des grossesses trop rapprochées et à de mauvaises habitudes. Comme trop attendre avant d’aller aux toilettes. Aujourd’hui, malgré une rééducation du périnée, mes problèmes d’incontinence ne sont pas résolus. Je regrette de ne pas avoir été vigilante plus tôt.

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Périnée et sexualité : l’avis du sexologue Les fuites urinaires influent sur les relations sexuelles. Marc Geraud, urologue et sexologue à Compiègne, nous donne son avis en la matière.

L’incontinence urinaire a-t-elle un impact sur la sexualité ? Oui, c’est certain. L’impact n’est pas physique, mais psychologique. Une femme qui souffre d’incontinence urinaire ne se sent pas à l’aise avec son corps, elle est bien moins impliquée au moment du rapport sexuel. Dans ce cas, la notion de plaisir disparaît. La simple pensée, pour ces femmes, de risquer une fuite urinaire dans ce moment d’intimité avec leur partenaire change leur rapport au plaisir.

Comment ces patientes vivent-elles leur sexualité ?

Elles vont être dans une stratégie d’évitement. Elles préféreront ne pas avoir de rapport sexuel que prendre le risque de faire face à une situation humiliante et handicapante. Le sujet est très rarement abordé avec le conjoint. Ces fuites urinaires, quand elles ne sont pas traitées, peuvent créer un éloignement dans un couple, voire des crises conjugales. Lorsque l’incontinence a été soignée, les femmes retrouvent confiance en elles. En consultation, elles avouent retrouver enfin une vraie vie.

Votre double casquette d’urologue et de sexologue permetelle de détecter les problèmes de sexualité liés à une incontinence ?

En consultation d’urologie, la patiente peut aborder plus librement les problèmes de sexualité, qui sont souvent inavouables chez un médecin généraliste ou même le gynécologue. La confession sera plus simple dans mon cabinet, puisque je suis aussi sexologue. Une femme se sentira plus confiante. Pourtant, le sujet est encore tabou : seulement 10 % de mes patients souffrant d’incontinence ont osé aborder le problème de la sexualité.

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Traitements existants / importance de la prĂŠvention

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Comment traite-t-on l’incontinence aujourd’hui ? Souvent cachée, l’incontinence urinaire peut se soigner chez une sage-femme ou un kinésithérapeute en rééduquant le périnée. Si cette méthode se révèle inefficace, le recours à la chirurgie sera nécessaire.

Cacher n’est pas soigner. Combien de femmes, pourtant gênées dans leur vie quotidienne par des fuites urinaires fréquentes, se contentent de porter discrètement des couches de protection ? Une solution de facilité qui n’est pas anodine pour le porte-monnaie et représente un budget moyen pouvant aller de 120 à 300 € par mois. Et surtout, les troubles persistent. “ S’il n’existe pas vraiment de médicaments pour traiter l’incontinence, la principale option thérapeutique est la rééducation, qui repose sur l’apprentissage du verrouillage périnéal ”, explique Alain Bourcier, physiothérapeute, spécialiste en rééducation pelvipérinéale.

Muscler le périnée par électrostimulation Cette rééducation, qui se pratique dans un cabinet de kinésithérapie ou chez une sage-femme, se fait par électrostimulation. “ C’est certainement la technique la plus efficace pour traiter tous les types d’incontinence urinaire ”. Le principe ? Stimuler les muscles du périnée par de légers courants électriques inoffensifs et indolores. “ L’appareil est composé d’un neurostimulateur pelvien, équipé d’une sonde qui doit être introduite dans le vagin ”, précise Alain Bourcier. Souvent, cette rééducation doit être effectuée pendant environ 6 à 8 semaines, à raison au minimum d’une fois par semaine. Au cours des séances, la patiente devra apprendre à réaliser des contractions du périnée sans solliciter ses abdominaux. Si la plupart des rééducations classiques sont rarement efficaces, l’électrostimulation musculaire reste la plus reconnue. Toujours utilisée par sonde vaginale, elle est en revanche désagréable pour la patiente. Sans compter qu’il faut se rendre chez son kinésithérapeute à chaque séance.

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Basée sur le même principe d’électrostimulation mais cette fois sans sonde, Femifree permet de muscler les muscles pelviens en toute tranquillité chez soi. La patiente porte deux cuissières qui, munies d’électrodes, stimulent toute la zone du périnée.

Les + de Femifree + Innovation : appareil d’électrostimulation externe + A uto-rééducation périnéale à domicile, sans prise de rendez-vous dans un cabinet + U n produit remboursé par la Sécurité sociale, obtenu sur prescription médicale + U ne technologie innovante qui sollicite l’ensemble des muscles du plancher pelvien + E conomique et écologique sur la durée – utilisation réduite des couches absorbantes + E fficacité cliniquement prouvée sur les fuites urinaires

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La technologie Multipath™, une véritable innovation ! Femifree repose sur une technologie innovante, baptisée multipath™. Celle-ci permet de muscler tous les muscles du périnée à domicile.

Pour permettre une rééducation sans sonde vaginale, la société BMR Health a travaillé pendant trois ans sur une technologie innovante : Multipath™. “ C’est le seul produit actuellement sur le marché capable de stimuler la zone du périnée de manière externe ”, explique Maud Balayé, de BMR Health. Comment ? “ Cette technologie repose sur huit électrodes placées à l’intérieur de deux cuissières. Chacune d’elles cible les muscles du plancher pelvien en envoyant un courant multidirectionnel. Ce procédé permet alors de créer des impulsions croisées qui contractent les muscles du périnée ”, précise Christian Monod, de BMR Health. L’appareil agit donc sur le périnée en contractant, puis en relâchant les muscles. “ Quand l’intensité du courant augmente, la patiente ressent une forte contraction, comme si les muscles se soulevaient ”, note Christian Monod.

Une révolution pour traiter les fuites urinaires L’appareil va même plus loin que la rééducation classique par sonde. “ Quand la sonde ne sollicite qu’une petite partie du plancher pelvien, Femifree et ses 8 électrodes permettent une stimulation de l’ensemble des muscles. ”, détaille Christian Monod. Utilisé pour traiter l’incontinence urinaire, l’appareil peut aussi être utilisé en prévention, et à tout âge, pour tonifier ces muscles qui ont tendance à se relâcher après 45 ans.

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L’appareil Femifree : utilisation et résultats Il utilise la technologie unique et brevetée recommandée par les professionnels de la santé.

Véritable innovation sur le marché de l’incontinence urinaire, c’est le seul traitement totalement externe. Sans sonde, il est très facile à utiliser dans le confort et l’intimité de son domicile en prévention ou en rééducation pour traiter les incontinences d’effort, d’urgence et mixte.

Mode d’emploi

01_ P ositionner les cuissières munies des 8 électrodes (4 de chaque côté). Ces dernières seront positionnées sur les fesses et le haut des cuisses. 02_ C onnecter l’unité de contrôle aux cuissières. Elle permet de choisir entre les 2 pro-grammes disponibles pour traiter tous les types d’incontinence et de régler le niveau de l’intensité entre 0 et 120. Le niveau idéal étant compris entre 70 et 75. 03_ Sélectionner le programme. > Programme 1 : Incontinence d’effort et de prévention > Programme 2 : Incontinence d’urgence > Programmes 1 et 2 en alternance : Incontinence mixte 04_ U ne séance de traitement dure 30 minutes et peut être divisée en séances plus courtes de 10 à 15 minutes.

Fréquence

Pour obtenir des résultats optimaux, il est recommandé de faire 1 séance par jour 5 jours sur 7 pendant 12 semaines.

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Contre-indications

Les porteurs d’un dispositif électronique implanté (stimulateur cardiaque ou intrautérin par exemple), les femmes enceintes, en cas d’épilepsie ou si les cuissières sont placées sur des zones d’injections de médicaments. Il s’utilise au moins six semaines après un accouchement, trois mois après une césarienne et à la fin du pic de menstruation.

Composition du produit Femifree

2 cuissières, 1 unité de contrôle, 1 chargeur de batterie, 2 jeux de 4 électrodes (1 jeu par cuissière), 1 tour de cou (pour l’utiliser librement sans le tenir l’unité de contrôle à la main), 1 manuel et 1 guide d’utilisation.

Informations pratiques > 3 tailles disponibles : S, M, L

> Prix : 399€ (prise en charge par la sécurité sociale) > Jeu d’électrodes de remplacement Femifree : 39,99€ Hypoallergéniques, les électrodes Femifree ont une durée de vie moyenne de 50 à 60 utilisations en fonction de leur entretien et du type de peau (en cas de peau très sèche, les électrodes s’usent plus rapidement).

Des résultats cliniquement prouvés Après 4 semaines d’utilisation1

>9 3% déclarent une « amélioration significative » dans la diminution de leurs fuites urinaires. > 60% se disent « sèches* ». Après 12 semaines d’utilisation1 > 74% de réduction en moyenne des fuites urinaires sur une période de 24h. > 86% des utilisatrices se déclarent « sèches* » ou « quasi sèches** » >L es utilisatrices déclarent une qualité de vie améliorée et ce toujours 3 mois après la fin du traitement.

* « Sèches » = <2g de fuite urinaire **« Quasi sèches » = >2g et <10g de fuite urinaire 1 Étude clinique réalisée sur le traitement de l’incontinence à l’effort. Soeder, S, Tunn, R – Berlin – 2013

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Étude I-QOL ( Qualité de vie liée à l’incontinence ) sur 26 semaines2

IQOL (Qualité de vie liée à l‘incontinence)

100 90 80 Patientes

70 60 50 40 30 20 10 0

0

4

8

12

16

20

24 28 Semaines

14 semaines post-traitement Femifree, le score moyen de qualité de vie des utilisatrices augmente de 34 points.

Satisfaction des patients et des médecins

76%

76 % des patients sont satisfaits.

98%

90%

98 % des professionnels recommanderaient cette technologie (N= 60).

90% des patients recommanderaient cette technologie (N = 86).

2 Étude clinique réalisée sur 104 patients dans 25 centres de thérapie Allemands.

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“ Je ressens déjà une amélioration ” Céline B., 45 ans, souffrait d’une incontinence urinaire d’effort. Elle est l’une des premières patientes à avoir utilisé Femifree. Retour d’expérience.

Depuis quelques semaines, je commençais à avoir des fuites urinaires quand je toussais ou faisais du sport. Le diagnostic de l’incontinence a été posé après un test d’urologie. Pourtant, après mes trois grossesses – la dernière a eu lieu il y a douze ans -, j’avais fait les rééducations du périnée. Mais de nouvelles séances chez un kinésithérapeute se sont avérées indispensables pour tonifier le périnée et soigner mes troubles urinaires. Le médecin m’a proposé de tester Femifree. J’ai tout de suite accepté car je pouvais pratiquer les séances chez moi. Il me suffit d’enfiler deux cuissières et d’accrocher des électrodes – qui ressemblent à des patchs - sur les jambes. La séance dure 30 minutes, à raison de trois fois par semaine. Les électrodes produisent des contractions musculaires indolores. Souvent, je reste allongée pendant les séances pour plus de confort. S’il me reste encore deux semaines de rééducation, je ressens déjà une amélioration. Dans mes gestes quotidiens, je n’ai plus aucune fuite. Facile à utiliser, cet appareil représente un vrai gain de temps et de confort, puisque je reste chez moi. Si j’avais dû suivre des séances chez un kinésithérapeute, je n’aurais jamais été jusqu’au bout de la cure car c’était trop contraignant. ”

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À propos de BMR : Femifree est une innovation développée par BMR Health, la division santé féminine et urologie du groupe Bio-Medical Reserach ltd. (BMR). BMR est pionnier en rééducation et électrostimulation musculaires depuis plus de 50 ans. Slendertone en est la marque la plus connue en France. Femifree est un dispositif médical disponible en pharmacies et sur www.femifree.com

À propos d’Alain Bourcier : Physiothérapeute et spécialiste en rééducation pelvi-périnéale Docteur David Elia : Gynécologue et Directeur de plusieurs centres de traitement de la ménopause. Rédacteur en chef de la revue « Génésis » Professeur François Haab : Chirurgien urologue à l’hôpital des Diaconesses

ZMIROV COMMUNICATION 64, rue Jean-Jacques Rousseau | 75001 Paris | 01.55.34.37.60 | www.zmirov.com Caroline Caille | T. 01 55 34 37 87 | caroline.caille@zmirov.com Pauline Meunier | T. 01 55 34 37 60 | pauline.meunier@zmirov.com

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