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Coûts globaux des stratégies d'atténuation du changement climatique
Coût de la réduction des gaz à effet de serre d'ici 2030
Euros par tonne de CO equivalent CSC", nouvelles évitée chaque année centralesà charbon Systèmes de moteurs industriels
CSC* appliquées aux centrales à charbon existantes
Passage du charbon au gaz naturel Déchets
100- Eolien (faible pénétration)
Remplacement de certaines matières premières industrielles
50 centrales
Hydroélectricité à charbon Reboisement (petite échelle) Efficacité
Biodiesel
CSC* dans l'industrie
Déforestation évitée
Cogénération à partir de la biomasse Déforestation évitée sur Bétail / sols * un CSC* EOR*"*, Ethanol issu 6 ae en Asie Nucléaire nouvelles de la cellulose american Coûts plus élevés
Réductions d'ici 2030 (supérieures au scénario business as usual )
Diminution des pertes liées au mode veille
Millards de tonnes de CO, equivalent par an
Agrocarburants Issu dela canheiésuers Stratégies triées selon leur rentabilité
Véhicules à basse consommation de carburant
BE Savings
Eau chaude sanitaire II Costs
L'intérêt de ce graphique est son approche globale il représente les Systèmes d'éclairage différentes stratégies de réduction des gaz à effet de serre en évaluant à la fois la réduction possible et les coûts engendrés.
Climatisation
Véhicules commerciaux Lu de droite à gauche, il fournit l'éventail complet des solutions à basse co ion de ibles, des opportunités les plus faciles (en vert) comme l'isolation des bâtiments - qui s'accompagne d'économies financièresaux opportunités les plus coûteuses (en rouge), comme le reboisement ou l'énergie éolienne.
Amélioration de l'isolation du bâti nents scientifiques pensent que la température moyenne de la Terre ne devrait pas L'Union européenne de plus de 2°C par rapport à l'ère préindustrielle.
* Technologies de capture et de stockage du carbone. ** Récupération assistée du pétrole.
Source McKinsey Climate Change Special Initiative, 2007.
L'Union européenne, entre autres, a indiqué qu'il était essentiel de limiter les risques de ce que la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques qualifie de dangereux changement climatique, et de veiller à ce que les coûts engendrés par l'adaptation à un monde plus chaud restent supportables. Les scientifiques affirment qu'il existe 50% de chances de rester à 2°C si la concentration totale de GES ne dépasse pas 450 ppm.
La deuxième : préserver nos ressources naturelles
Le développement d'une autre menace tout à fait différente se confirme de plus en plus : nous pourrions bientôt nous retrouver à court de combustibles fossiles (gaz naturel et pétrole) qui permettent le fonctionnement de la société moderne. Ils ne nous apportent pas seulement le chauffage, la lumière et l'électricité. L'agriculture, les médicaments, les moyens de communication et la plupart des autres éléments de notre vie que nous considérons comme acquis dépendent des réserves des combustibles fossiles, directement (par exemple pour produire du plastique) ou indirectement. L'association pour l étude des pics de production de pétrole et de gaz naturel (ASPO) déclare : " Le monde est à l'aube de la seconde moitié de l'âge du pétrole : ce produit crucial, qui tient une place si fondamentale dans l'économie moderne, est sur son déclin du fait de l'épuisement naturel. " Certains économistes pensent que plus un produit devient rare et cher, plus les efforts mobilisés pour se le procurer sont importants et que le marché assurera l'approvisionnement en abondance des combustibles fossiles pour bon nombre d'années à venir. Mais il existe de bonnes raisons de penser que nous risquons l'épuisement des réserves récupérables de pétrole et de gaz naturel ainsi que le réchauffement imprévisible de la Terre si nous ne nous défaisons pas de notre dépendance au CO:. D'après les prévisions, d'ici à 2030, l'utilisation de l'énergie mondiale aura probablement augmenté de plus de 50%. Nous ne pourrons atteindre la sécurité énergétique que si nous passons des combustibles fossiles à des alternatives non fossiles.
À ce sujet, un autre argument consiste à dire que l'augmentation de la population mondiale met de plus en plus la Terre à rude épreuve, et qu'il est de l'intérêt de tous d'essayer de réduire la pression que nous lui faisons subir. La population mondiale s'élevait à plus de 6,6 milliards au début de l'année 2008, et le fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) s'attend à ce qu elle atteigne les 9 milliards vers 2050, avant de commencer à décliner. Ajoutons à cela un appétit mondial grandissant pour les biens de consommation et il devient évident qu'à moins de distinguer consommation et meilleure qualité de vie, nous serons bientôt à court de ressources essentielles (l'uranium, le cuivre ou l'or par exemple).
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