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Filière électrique
FILIÈRE ÉLECTRIQUE Citel reçoit ses distributeurs à Shanghai C haque année, Citel conçoit, fabrique et vend plusieurs millions de parafoudres, grâce à une parfaite maîtrise des processus de normalisation et de réglementation, ainsi qu’un investissement permanent dans la R&D. Durant trois jours, Citel a accueilli dans son usine de Shanghai ses distributeurs venus du monde entier (20 nationalités représentées) afin de leur faire découvrir sa nouvelle gamme de parafoudres modulaires ainsi que tout le processus de fabrication. Entre visites et formation, Citel a montré qu’elle est unique, comme l’est son cap stratégique, qui privilégie la collaboration technique internationale et un engagement individuel fort. •
ÉLECTRICITÉ DOMOTIQUE La filière électrique publie son étude
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«L’ électricité au cœur du bâtiment performant, au service de l’usager : une réponse aux enjeux énergétiques, climatiques et numériques » : c’est par le renforcement du déploiement des systèmes de mesure énergétique, de gestion active et d’équipements électriques performants dans les bâtiments que l’atteinte des objectifs énergétiques et climatiques de la France sera possible. Ce constat est révélé par l’étude qualitative et quantitative menée par le cabinet PwC pour le compte de la filière électrique, qui propose 21 mesures concrètes pour garantir que le bâtiment soit au rendez-vous du monde de demain. Alors que l’efficacité énergétique peine à décoller et que le secteur du bâtiment représente toujours 20 % des émissions de CO 2 en France, 7 fédérations et associations (FFIE, FIEEC, Gimelec, IGNES, Promotelec, Serce, UFE) représentant l’ensemble de la filière électrique font état, à travers cette étude, des leviers
à actionner pour accélérer la rénovation et la transformation des bâtiments, qu’ils soient à usage d’habitation ou tertiaires. •
Pour lutter contre le gaspillage, SONEPAR FRANCE s’associe à STOCKPRO et son application qui œuvre pour lutter contre le gaspillage de matériaux neufs dans le secteur du BTP. Chaque année, c’est 1,5 milliard d’euros de matériaux non utilisés sur les chantiers qui sont jetés.
IMEON ENERGY annonce la compatibilité de ses onduleurs hybrides grâce à une technologie de stockage révolutionnaire. La compatibilité entre les solutions Imeon et les supercondensateurs du fabricant Kilowatt Labs permet à Imeon Energy de proposer à ses clients une alternative aux batteries électrochimiques traditionnelles au plomb ou au lithium.
SAUTER lance son application Mobile Building Services destinée aux résidents et aux gestionnaires immobiliers. Elle offre la possibilité aux occupants d’appartements, de chambres d’hôtels, de salles de réunion et de bureaux de commander individuellement le chauffage, la climatisation, l’éclairage et les stores. Les données, intégrées dans le logiciel Sauter Vision Center offrent aux gestionnaires immobiliers une vue d’ensemble des consommations d’énergie pour une optimisation des coûts et de la maintenance.
ENGIE GREEN ET LE SIGEIF scellent un partenariat pour le financement, la construction et l’exploitation de la future ferme solaire de Marcoussis (Essonne). Sa puissance installée sera de 20,3 MWc pour une production annuelle équivalente à la consommation moyenne de plus de 10 000 personnes. Un terrain dégradé de 46 hectares recevra 57 862 panneaux solaires.
8 - SMARTHOME ELECTRICIEN+ N. 76 - ÉTÉ 20198 - SMARTHOME ELECTRICIEN+ N. 78 - HIVER 2020 À l’avant-garde du plaidoyer en faveur des politiques ambitieuses en matière d’efficacité énergétique dans les bâtiments, LE SYNDICAT ACR et son homologue européen Eu.BAC publient deux nouveaux documents pour la transposition de la nouvelle DPEB : Les « Lignes directrices pour la transposition de la directive 2018/844 » et l’« Étude d’impact Waide Strategy ».
Dans le but de créer un avenir durable, ABB lance sa « Mission Zéro émission de CO 2 ». En réponse à cette mission, le groupe a équipé le premier site de production au monde neutre en CO 2 et autonome en énergie. Étendue sur 3 500 m 2 et installée sur les parkings situés dans les locaux de l’entreprise, une centrale solaire fournira environ 1 100 MWh d’énergie climatiquement neutre par an, soit environ les besoins annuels de 3 360 ménages privés.
LE TOUT-CONNECTÉ À L'HONNEUR Retour du CES
Le Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas a offert aux visiteurs venus du monde entier son lot d’innovations et de produits. Le grand public les découvrira au cours de l’année dans les magasins spécialisés, de la TV 8K à la voiture autonome, en passant par l’intelligence artificielle et la communication 5G. On notera cependant une présence remarquée de belles entreprises françaises telles que Legrand, Somfy, Delta Dore.
Eisox fabrique des têtes thermostatiques connectées pour les professionnels de l’habitat (photo ci-dessus). Ces objets connectés facilitent la régulation du chauffage des appartements et maisons, en rendant chaque radiateur indépendant. Des détecteurs de présence sont ainsi ajoutés aux radiateurs, qui s’éteignent automatiquement quand personne n’est dans la pièce. Le produit gère de façon autonome la flotte de radiateurs. Eisox a développé ce produit spécifiquement à destination des radiateurs à eau chaude, car ils représentent 60 % du marché en France et 80 % de celui d’Europe. Fabrication 100% made in France. © DR
Smart Home, l’écosystème domotique de Bosch, intègre un thermostat pour le chauffage, un détecteur de fumée, des caméras de sécurité ou encore des contacts pour portes et fenêtres. Tout cet écosystème géré par un pont de connexion relié au routeur sera bientôt compatible avec HomeKit. Bosch avait aussi quelques nouveautés à annoncer pour son écosystème. Le système d’alarme va être aussi amélioré, en envoyant une vidéo aux utilisateurs de caméras connectées. En cas d’alarme incendie, les volets roulants pourront être ouverts automatiquement. En plus des thermostats à installer directement sur les radiateurs sur chaudière, le constructeur va commercialiser un thermostat d’ambiance, à poser au mur. On pourra en installer un dans chaque pièce à contrôler indépendamment.
Somfy a présenté une motorisation de serrure connectée, un portier vidéo, un moteur de stores et une télécommande pour piloter les équipements connectés à la box TaHoma. La serrure connectée embarque la technologie IntelliTag, héritage de MyFox, également intégrée dans l’alarme Somfy, ainsi qu’un détecteur de vibrations. Le portier vidéo connecté Connected Doorphone fonctionne sur le CPL. Le Sonesse Ultra 30 est un moteur de stores intérieurs pilotable qui peut être associé à la box TaHoma via le protocole ZigBee. La télécommande TaHoma switch centralise et pilote tous les équipements en personnalisant les scénarios de 2 des 3 boutons.
Delta Dore dope encore sa solution domotique et propose maintenant la gestion de l’eau chaude sanitaire, le pilotage du chauffage, l’éclairage, la gestion des volets roulants, la climatisation, en créant des scénarios qui vont permettre d’optimiser certaines tâches.
Leroy Merlin a présenté le Smart Display pour la box Enki. Cet écran connecte la maison et est compatible avec Alexa d’Amazon. Pour rappel, cette box est construite conjointement par Leroy Merlin et Boulanger. Le premier s’est chargé de la partie logicielle et le second du matériel. Le Smart Display donne accès à tous les produits de l’écosystème Enki. Enki compte 400 produits issus de 25 marques dans son écosystème.
Après Ezlo Atom, présenté au CEDIA en septembre dernier à Denver, Ezlo PlugHub Energy plus, dévoilé récemment en décembre, Vera a présenté une nouvelle box domotique dénommée Ezlo Plus au CES (photo ci-dessous).
À la suite du rachat des sociétés Fortrezz et Centralite, le fabricant américain a aussi présenté de nouveaux produits. Parmi eux, une vanne d’arrêt d’eau Z-Wave, des caméras Vistacam et des produits ZigBee.
Renault veut connecter le véhicule à la maison. Le constructeur automobile a annoncé avoir conclu un partenariat avec la start-up Otodo. Le but est de pouvoir contrôler les objets connectés de sa maison depuis le tableau de bord de son véhicule. Sont concernés les véhicules Renault équipés du système Easy Link : la nouvelle ZOE, la nouvelle Clio et le nouveau Captur. La relation entre automobile et habitat ira dans les deux sens : il sera possible de paramétrer certaines choses depuis sa maison et vers son auto, mais aussi de gérer des équipements de son domicile depuis l’habitacle de sa Renault : deux scénarios peuvent être réalisés. Le premier, « leaving home », permet de mettre sa maison en sommeil lorsque la personne quitte son domicile : le thermostat est diminué, les volets se baissent et les lumières s’éteignent. Le second, « arriving home », permet, à l'inverse, de réveiller sa maison. L’utilisateur définit ensuite la distance entre son véhicule et sa maison à partir de laquelle chacun des scénarios doit lui être proposé (photo ci-dessus).
La Home Center 3 est le nouveau contrôleur domotique de Fibaro. Il intègre Z-Wave, ZigBee, Wi-Fi, Bluetooth et est compatible avec les produits Nice ainsi que les assistants vocaux.
Netatmo vise la sécurité en proposant une serrure connectée ! Cette dernière s’installe en place et lieu de votre ancien cylindre, et pourra être pilotée via les clés incluses dans le kit (Clés NFC).
C by GE de GE Lighting propose désormais, en plus des ampoules connectées, des interrupteurs filaires connectés qui ne nécessitent pas le neutre et pas de box domotique. Ils sont pilotables classiquement ou à la voix même si le bouton est off. Pilotables à distance depuis l’application GE.
Emmanuel GRAVIER PRÉSIDENT DE LA FFIE
Emmanuel Gravier est le président élu de la FFIE, Fédération française des intégrateurs électriciens, et dirigeant du groupe Réso Elec qui compte 450 personnes réparties sur plusieurs sites. La FFIE compte environ 5 500 adhérents de petites, moyennes et grandes entreprises de l’installation et de l’intégration électrique, qui représentent un chiffre d’affaires de près de 15 milliards d’euros.
© JLB Photo
Electricien+ - Pourquoi une nouvelle identité visuelle pour la FFIE ? Qu’est-ce que cela traduit ? Emmanuel Gravier - Tout d’abord, il est bien de changer une identité visuelle pour montrer que l’organisation bouge. Il n’est pas concevable que le monde soit en mouvement, que le métier des électriciens évolue et que la fédération qui les représente reste sur les mêmes fondements d’année en année. Car nous entamons un changement drastique de notre environnement technologique. Faire évoluer notre dénomination et renouveler notre identité visuelle s’avéraient indispensables pour accompagner l’évolution de nos métiers. Il souligne également le rôle essentiel des intégrateurs électriciens dans la réalisation de la transition énergétique et numérique dans les bâtiments – tertiaires, résidentiels et industriels. Le « e » de notre nouvelle charte graphique signifie électricité et électronique. Le même « e » que
dans e-commerce qui montre que les installateurs de demain seront en capacité de traiter la donnée, ce quatrième fluide, autant que l’information. Tout ceci dans un monde interconnecté, interopérable afin de réaliser des études et des installations efficaces. Cette efficacité se traduit déjà sur les systèmes intégrant les énergies renouvelables comme le photovoltaïque et les bornes IRVE.
Electricien+ - Quel est pour vous le rôle des membres de la FFIE dans la transition énergétique ? E. G. - Le rôle des membres, qui sont pour la plupart des installateurs intégrateurs, est de concevoir des installations toujours plus « Smart », qui intègrent la production photovoltaïque (par exemple) et surtout, qui prennent en compte les informations précises récoltées notamment par les compteurs Linky.
Electricien+ - Le thème Rencontres FFIE 2020 était « l’impact des mutations technologiques dans les métiers de l’intégration électrique ». Quel est-il justement ? E. G. - Dorénavant, nous nous devons d’avoir des compétences dans le domaine des télécoms. La grande mutation d’aujourd’hui porte sur le digital et il est indispensable de migrer nos talents et nos compétences vers l’intelligence augmentée et intégrée à nos systèmes, et ce, de manière industrielle. L’un des enjeux majeurs de la FFIE est de réussir à faire évoluer les compétences des dirigeants et des futurs collaborateurs. Cela passe également par une évolution des référentiels de diplômes de mise en application. Par exemple, nous participons aux commissions de l’Éducation nationale sur les référentiels du Bac Pro MELEC (Métiers de l’électricité et de ses environnements connectés) qui comporte 30 % de notions de télécom, d’automatisme,
d’électronique, de la captation et du traitement des données en complément de connaissances d’électricité.
Electricien+ - Quelles différences faites-vous entre installateur électricien et intégrateur de solutions innovantes ? E. G. - Les intégrateurs de solutions innovantes sont les électriciens « augmentés ». Aujourd’hui, et pour être capable de répondre à l’évolution et aux besoins du marché, l’électricien se doit de développer ses compétences et son champ d’action. Il intègre donc plus de notions en automatisme, en électronique et domotique, par exemple. Nous évoluons pour être à même de répondre à une demande et surtout à un besoin de nos partenaires. On le voit bien, nos grands industriels comme Legrand, Hager, Delta Dore, ABB, Eaton ou encore Schneider voient l’avenir des installateurs dans un rôle d’intégrateurs.
Electricien+ - Se pose alors le besoin en formation pour intégrer une nouvelle approche du métier. E. G. - Il y a un besoin colossal en formation, tant pour les professionnels travaillant, qu’en formation initiale pour les apprentis et les futurs bacheliers. Nous sommes continuellement poussés par le marché, par les fournisseurs et par les constructeurs vers l’IoT, vers la 5G, vers l’automatisme. Nous nous devons d’être toujours « à jour » de nos compétences et qualifications. Sur ces bases, nous avons une haute ambition pour notre métier. La FFIE accompagne et apporte des réponses à l’évolution des besoins.
Electricien+ - Lors des rencontres de la FFIE 2020, vous avez parlé du marketing de l’offre, comment le définissez-vous ? E. G. - Le marketing est un point important pour savoir se vendre, et l’aspect commercial n’est malheureusement pas le point le plus développé chez les électriciens. La notion de marketing et d’offre marketing envers le client n’est pas innée. Nous les motivons à être proactif, à aller au-devant des besoins et des demandes du client plutôt que d’attendre qu’il les exprime. Il faut proposer l’innovation, convaincre de la valeur ajoutée du nouvel équipement qu’il installera. La diversité des situations et des besoins des entreprises d’installations et d’intégrations électriques, le marché hyperconcurrentiel, les offres de plus en plus complexes, demandent aux chefs d’entreprise de bien distinguer leurs marchés, leurs cibles et les problématiques auxquelles ils sont confrontés. Nous accompagnons main dans la main les installateurs qui souhaitent comprendre le marketing et pour cela, nous avons développé le Guide, outil méthodologique et boîte à outils, conçu pour aider nos entreprises adhérentes à définir leur offre, à être en mesure de la présenter clairement et à développer des actions pour améliorer leurs performances commerciales. Nous avons fait tout un travail de mise en place d’une stratégie d’entreprise mais aussi d’actes commerciaux, de plaquettes pour les dirigeants d’entreprises. Les 16 problématiques sont présentées au fil des étapes à suivre, de 26 fiches pratiques à utiliser, d’exemples de contextes et d’anecdotes de terrain. Bien sûr, il existe une version numérique de ce guide.
Electricien+ - Pour que les bâtiments deviennent Bepos et réussir la RE2020, le photovoltaïque va devenir un marché porteur. La filière ne semble pourtant pas être prête… E. G. - Le terme intégration ne se limite pas uniquement à savoir faire de la GTB spécialisée, alors oui, en effet, le photovoltaïque va devenir un marché incontournable et tout le monde n’est pas encore au point. Pour nous donner les moyens d’être des acteurs majeurs de cette évolution, nous avons créé une commission « Énergie ». Nous travaillons le sujet avec le Groupement des métiers du photovoltaïque GMPV - FFB (dont la FFIE est membre fondateur), avec Enerplan et nous participons à toutes les formations possibles. Sur cette même logique, l’IRVE englobe des installations beaucoup plus complexes que les intégrations d’antan, avec
des notions moins évidentes, surtout couplées avec du numérique. Depuis le 21 novembre 2019, un arrêté fixe le critère de proximité géographique et étend l’autoconsommation collective en précisant que la distance séparant les deux participants les plus éloignés ne doit pas dépasser deux kilomètres.
Electricien+ - La mobilité est-elle un enjeu majeur pour l’intégrateur électricien ? E. G. - L’énergie utilisée pour se déplacer notamment en ville change avec les impératifs de ville respirable. L’intégrateur électricien a toute sa place pour être le moteur de cette transition. La loi orientation et mobilité n° 2019- 1428 du 26 décembre 2019 réforme en profondeur le cadre général des politiques de mobilités, en intégrant les enjeux environnementaux. Un des quatre objectifs porte sur la possibilité de recharger partout son véhicule électrique, en multipliant par 5 d’ici à 2022 les points de recharge (équipement obligatoire dans certains parkings, création d’un droit à la prise, division par plus de 2 du coût d’installation…). La FFIE reste très impliquée dans l’élaboration de ce cadre réglementaire, les textes d’application restant à être élaborés. Et ce, d’autant plus que nos entreprises adhérentes installent des bornes IRVE intelligentes et
proposent des systèmes de mesures de la consommation énergétique.
Electricien+ - Quand on parle du bâtiment DC et le PoE qui se développe, quelle place a l’électricien ? E. G. - Clairement, le métier évolue et on se rapproche d’une approche d’un métier plus numérique, plus proche des télécoms que du courant fort. Pour répondre à ce défi, la FFIE propose un référentiel complet sur la technologie Power over Ethernet (PoE), élaboré pour tous les intégrateurs électriciens de la FFIE. Le guide « Installations électriques nouvelle génération » présente en 10 chapitres l’essentiel pour bien réaliser une installation PoE mais aussi ses domaines d’application, ses avantages, le choix du matériel, la mise en service et la maintenance, le contrôle et la fiche d’autocontrôle ainsi que les références réglementaires et normatives. Téléchargeable sur le site de la FFIE, en page d’accueil de votre partie Adhérents (dossier à la une), le référentiel PoE est le seul document conçu pour des professionnels existant à ce jour.
Electricien+ - Est-ce que cela signifie que le bâtiment doit être smart ? E. G. - C'est par le renforcement du déploiement des systèmes de mesures énergétiques, de gestion active et
d’équipements électriques performants dans les bâtiments que l’atteinte des objectifs énergétiques et climatiques de la France sera possible. Ainsi, nous avons signé un partenariat régional en Auvergne-Rhône-Alpes avec la Smart Buildings Alliance SBA. Par cet accord, nos deux organisations vont travailler sur la mise en place concrète du R2S Résidentiel lancé en septembre 2019 par SBA afin de bâtir une infrastructure IP unique pour faire fonctionner la copropriété, définir ses impacts sur les systèmes installés et intégrés, et accompagner l’évolution du métier d’installateur vers celui d’intégrateur électricien.
Electricien+ - Souhaitez-vous ajouter quelque chose ? E. G. - Oui. Nous avons développé Le Lab by FFIE, au siège de la FFIE. Il s’agit d’un showroom évolutif, où nous rassemblons dans un seul et même lieu 30 partenaires de la filière, des entreprises de toutes tailles y compris des start-up, afin de montrer un exemple de bâtiment moderne équipé des innovations technologiques qu’un électricien peut mettre en œuvre. Il n’est pas seulement destiné aux électriciens et aux entreprises BtoB mais également pour le monde politique et toute la filière. Cet outil s’adaptera aux évolutions du marché. •