Express du Midi 06061911

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ENTIHE?

Toulouse, Rue Eoquelaine, 25 ÉDITIONS RÉGIONALES UUTF-GAK0N-1K ET DÉPARTEMENTS LIMITROPHES . DÉPARTEMENTS NON LIMITROPHES

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Lot, Aveyron, Corrèza, Gantai

Tarn, Aude, Hérault, Pyrénées-Orientales

Gers, H ios -Pyrénées, Basses-Pyrénées, Landes

Haute-Garonne Ariège

Tarn-et-Garonne, Lot-et-Garonne

Edition du matin spéciale a Toulouse

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Abonna monts partant dea 1" et 16 de enaquo mois et sont payables d'avance Toute itanaMie «s QjuuieemttU U'aUrute tioit tin noeon&agnte lie 60 centimes.

SPECIAL Les Faits du Jour A Paris, la grève des taxi-autos et des tramways du Nord! a pris fin. VwSrines a remis son départ pour Rome à demain. D'autre part, Vidart, parti d'Ortobello, a atterri à Rome. — •>—

Ors a découvert sur le parcours que doit suivre le sultan, se rendant à Salonique, quarante-deux Kilogrammes de dynamite.

Mardi 6 Juin Mil. - 21* Annés - N» 6,762,

quée au coin du bois ne donne pas aux apaehes le gain qu'ils avaient prévu, donc, c'est la vîcéimo qui est coupable. Pour un peu, c'est elle qui serait taxée de vol. La plaisanterie, est tout de même un peu forte. Les francs-maçons du Bloc, s'imaginaient-ils vraiment que les religieux dépouillés des biens qui leur appartenaient légitimement n'auraient tenté aucun effort pour se défendre contré leurs spoliateurs ? On sait que nos politiciens sectaires ne sont pas d'une intelligence remarquable, mais on leur faisait l'honneur de croire que leur crétinisme n'atteignait pas un tel degré. A moins que ce ne soit qu'une diversion pour tenter de masquer les gabegies des liquidateurs. Mais la tentative se produit trop tard et rien ne saurait sauver les vrais coupables. Leurs noms, d'ailleurs, s'étalent tout au long dams le (rapport de la commission sénatoriale dont l'existence même constitue un aveu, puisqu'elle n'a été créée que pour enquêter sur les dilapidations des liquidateurs. Il faudrait, pour qu'il en fût autrement, rayer de l'histoire de cet acte de brigandage des noms et des -incidents, tels que celui de M. Duez et de magistrats sur lesquels M. Combes lui-même s'est prononcé en termes aucunement équivoques. En tête de ces malfaiteurs, cette histoire placera M. Waideck-Rousseau qui, pour allumer les convoitises des masses populaires, leur promettait, dans son discours de Toulouse, « le partage du milliard des congrégations ». Ce fut le signal de cette chasse aux moines et aux religieuses, de ce pillage de leurs biens qui devaient servir de premiers fonds de caisse pour les retraites ouvrières. Aujourd'hui, on constate que la caisse est vide. Les voleurs ont été volés, autant dire qu'ils, se sont volés eux-mêmes.

L'ÂVIÂTiON MILITAIRE Â TOULOUSE

Coupe de 1 Le Lieutenant Ménard espère arriver mardi matin à Toulouse

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ANNONCES (*• p RÉCLAMES — RÉCLAMES (3« paye) . LOCALES

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UREIOX A PMIS ; 26, RUE FEÏDEM à être le .premier à saluer à son arrivée M. le lieutenant Ménard. Voici, du reste, le règlement de la Coupe de l'Exvress, tel qu'il a été arrêté par l'Aéro-Clnb des Pyrénées et homologué par r Aéro-Club de France : AÉRO-CLUB DES PYRÉNÉES. — COUPE MILITAIRE D'AVIATION.

autrui tout ce que je désire et que je ne peux pas payer. » M. le juge Va dit. Diable ! diable ! Ce nouvel axiome de droit me rend rêveur. Il est vrai que je ne suis qu'un af[reux bourgeois. — Louis.

«I. Le journal l'Express du Midi met à la disposition de r Aéro-Club des Pyrénées une Coupe d'une valeur de cinq cents, francs pour être attribuée au premier officier pilote-aviateur qui, parti d'un point situé à plus de 100 kilomètres de l'octroi de Toulouse, viendra atterrir au Polygone. » II. Ce trajet do plus, de 100 kilomètres devra être effectué sans escale. . III. L'arrivée sera constatée par les commissaires de l'Aéro-Club des Pyrénées nommés par la Commission d'aviation de l'Aéro-Club de France. » IV. Cette Coupe sera courue sous les réglemente de l'Aéro-Club des Pyrénées et de la F. A. I. V. Les officiers qui désireront courir cette Coupe seront tenus de prévenir le Comité de direction de l'Aéro-Club des Pyrénées trois jours avant de tenter l'épreuve. VI. Ils devront en outre télégraphier au plus tard six heures avant leur départ en indiquant l'heure probable de leur arrivée à Toulouse. » Fait à Paris, le 2 juin 1911. a Ed. SlRVEN, s Président de l'Aéro-Club des Pyrénées. »

CHOSES

VUES

Aux gens qui, taquinés par la chaleur d'orage, se î&entent envahis par un désir de campagne, nous signalons avec empressement celle, très réjouissante et très pitto. Le comité de la grève internationale maritiresque, entreprise par Gustave Téry, dans me a commencé à Londres une conférence de l'Œuvre, contre le favoritisme dans l'admitrois jours pour examiner la question. nistration. Souvent, les lutteurs isolés, francs-tireurs de l'opposition, comme Téry et nous, tous On affirme que le chef de cabinet du minisceux qu'aucun© coterie n'a réussi à embritre de la guerre serait le général Delétoiie, commandant la 83° brigade d'infanterie à gader, sont traités d'énergumènes yar;s Tours. qu'ils font, du bruit individuellement au lieu d'opérer collectivement. On met en doute sinon leur sincériv4, du moins l'exactitude de leurs affirmations, comme s'il fallait n'avoir point de passijns pour être véridique. Mais, cette fois, aucune discussion n'est On le voit, l'exploit de M. le lieutenant Ménard, venant d,e Pau à Toulouse par la voie permise, aucune contestation n'est possides aire, n'a rien perdu de £on attrait, même ble. après les sensationnelles arrivées de Morin De même qu'à l'époque des fiches, Guy>t et de Védrines. de Villeneuve accabla ceux qui niai -5 ît N'oublions pas, du reste, que M. le lieutenant Ménard conduit un biplan Farman, et qu'il a l'avancement par les voies maçonniques La commission sénatoriale chargée de à son. bord un passager, M. le lieutenant dans l'armée, de même les optimistes qui ràine une enquête sur la liquidation des croient en la pureté des mœurs administraannamite Do-Huu. de la légion étrangère. Ce sera la première fois qu'un biplan volera tives seront obligés de s'inelLncr devant les congrégations a, comimie nous l'avons dit, vers Toulouse, à travers la région du Sud- documents ci-contre. adopté le rapport de M. Régismainset spr Ouest, et l'appareil do M. le lieutenant Ménard Malheureusement, chez nous, lorsque les sera le premier aéroplane portant deux voya- gens s'inclinent devant les révélations fai•les opérations effectuées jusqu'à la fin geurs qui vienne atterrir dans notre ville. de 1908. Hier, dès la première heure, nous nous som- tes par l'opposition, ils n'offrent qu'une Ce rapport -nous révèle la faillite d'une mes transportés au Polygone d'artillerie qui, cible plus commode aux coups de pied de en attendant la création d'un aérodrome à Tou- nos maîtres. liquidation dont M. Waldeck-Rousseau louse, est l'endroit affecté aux atterrissages et Aucune révolte ne les anime., aucune inavait fait luire les résultats aux yeux de aux envolées des aviateurs. dignation ne les saisit ; on fait : « Ah ! » C'est là, en effet, dans ce vaste champ, que la majorité pour obtenir d'elle la chasse puis, on dépose son journal, on sourit béale vaillant officier nous arrivera, du Sudarax congrégations, Ouest et viendra se poser, avec la rapidité tement et on se rendort. Personne ne se fait le raisonnement que d'un oiseau, vision courte et fugitive, mais Un miiiliard ! dont l'impression demeure inoubliable pour voici : les charges dans l'Etat sont le prix C'est avec ce chiffre fantastique qu'on tous ceux qui ont vu, en de pareilles circons- des services rendus non pas à une faction tances, l'oiseau mécanique d'abord point noir provisoirement au pouvoir, mais à la Nas'est rué sur les biens des religieux, qu'on à l'horizon, puie gigantesque rapace au vol tion entière. Ces charges constituent une a dépouillé des milliers d'hommes et de lourd, en enfin fabuleuse machine fuanante et hiérarchie dont le parcours est soumis à bourdonnante se posant sur le sol avec une femmes, qu'on s'est emparé de leurs resdes règlements définis qui ne relèvent point légèreté d'insecte. sources après les avoir jetés dans la rue Vainement hier, avec quelques curieux, du caprice personnel, mais sont l'honnête condamnés à l'exil et» à la misère. nous avons attendu cette vision dans le Poly- expression d'une juste garantie. Donc, lorsLES LIEUTENANTS MENARD ET DO-HUU gone désert où, il y a quelques mois à peine, que des politiciens profitent de leur passage Un milliard à voler et à se partager, grouillaient et vibraient les foules au spec- aux affaires pour nantir leurs amis et leurs de Toulouse est-il un terrain d'atterrissage fa quelle aubaine ! Ce fut un hallali généA. PAU tacle des hommes oiseaux. Le temps était parents de fonctions, d'emplois administraPECH-DAVID. cite à reconnaître ? splendide, un léger vent d'autan secouait à tifs, ils commettent un vol plus scandaleux De notre envoyé spécial Î ral : liquidateurs, . hommes d'affaires, — Le Polygone a déjà servi à des épreuves peine la cime des arbres, mais le nid est resté Pau, 5 juin. d'aviation. Vous le reconnaîtrez facilement avocats politiciens, dont plusieurs mdnis que celui du pickpocket qui prend la mon. J'ai trouvé, à mon arrivée à Pau, la ville mais prenez garde de ne point le confondre vide. L'oiseau n'est pas venu. tre d'un passant pour l'offrir à sa femme. Notre rédacteur en chef recevait en effet, très qui avaient voté la loi de spoliation, endormie. avec le champ de courses qui se trouve à dans l'après-midi, ce télégramme de M. le lieuCependant, nulle loi n'interdit ce trafic, Après les minutes émotionnantes de l'atter- côté. » se précipitèrent vers le pillage. Et ce fut tenant Ménard : rissage des deux officiers aviateurs, le lieutenulle protestation ne vient entraver l'exerMais déjà le lieutenant. Do-Huu a Tépérô le un. beau pillage, au dire du rapporteur. nant Ménard et son passager le lieutenant* Polygone a Pau, 5 juin. cice de celui-ci : bien mieux, il est entré si sur sa carte. Le consciencieux ob » Arrivé hier soir Pau ; compte repartir avant dans les mœurs que nul ne songe déannamite Do-Huu, du"l" étranger, la populaCARTES POSTALES DU MAROC Du 'milliard il ne reste plus que 37 mil assure qu'il ne se trompera pas. mardi matin pour Toulouse. tion paloise attend paisiblement le 'départ des servateur — Cependant, ajoute le lieutenant Ménard, sormais à s'en étonner. Avez-vo.us reçu une carte postale du Maroc ? deux intrépides voyageurs. ' lions. » MÉNARD. » seriez bien aimable de demander que l'on Il en arrive maintenant tous lee jours, enOn trouve absolument naturel que les déLe temps est beau et favorable. Si aucun vous L'aveu en est fait officiellement cette voyées par nos braves soldats qui sont là-bas m'allume, au milieu du polygone, un feu de Ainsi donc 'C 'est aujourd'hui mardi, aux pre- putés blackboulés, que les filleuls, les nechangement ne se produit, l'envolée du biplan détendant notre drapeau. fois par ceux-mêmes qui avaient coin mières heures d,u jour, que l'intrépide officier veux, les cousins ou les fils de parlemenaura lieu demain mardi, dans les meilleures paille faisant beaucoup de fumée et qu'on l'en La plupart de ces cartes, nous n'avons pas conditions. tretienne jusqu'à mon arrivée. Au reste, si je aviateur s'envolera de l'aérodrome fameuse de taires soient pourvus de grasses sinécures couru par leurs votes à cette œuvre de besoin de le dire, ont été faites à Paris par reste en panne,, je télégraphierai à Toulouse Pau pour , gagner la vallée de la Garonne et aux dépens du peuple français. Le biplan du lieutenant Ménard est un Farconfiscation. des industriels prévoyants. On y retrouve nos man, sans stabilisateur avant et gouvernail dès l'ouverture du télégraphe, à 7 heures. Je enfin Toulouse, point terminus de l'étape. M. Fallières veut marier sa fille ? Il signe braves troupiers à toutes les étapes suivies vous promets de demander que l'on ne néglige Comme c'est la coutume des aviateurs, M. le Ils reconnaissent dans un document par les corps expéditionnaires, mêlés aux in- de profondeur et de direction à l'arrière. 11 pas de vous donner cette indication fort utile. lieutenant Ménard partira aux premières heu- un décret nommant son futur gendre tréso11 mètres d'envergure et 7 mètres de lonpublic que le naufrage de leurs convoi- digènes. Quelques-unes de ces cartes, il est a — Et quelle route comptez-vous suivre pour res du jouir, c'est-à-dire entre 4 et. 5 heures rier-payeur général à Versailles, aux apgueur ; il présente une surface de 24 mètres vrai, ont .un peu vieilli, car elles furent fabri- carrés. Il est muni d'un, moteur Gnome 50 HP. atteindre Toulouse ? d,u matin ; c'est le moment le plus propice pointements de 49,255 francs... tises est absolu. quées à l'époque de la première expédition, Son poids transportable est de 270. kilos. — D'ici à Tarbes, intervient le lieutenant au vol, 1'atniosphère étant relativement calme Ses titres ? A été secrétaire particulier de Les dépouilles ont à peu près disparu mais ceux qui les reçoivent n'y regardent pas Do-Huu, nous suivrons la' grand'rôute, éviau lever du soleil. différents ministres, puis du président de L'appareil occupe à l'aérodrome de Pau le tant de faire avec le chemin de fer le crochet Deux cents kilomètres, environ £éparent Pau la République, c'est-à-dire a été nommé filles se sont f ondues et les dernières miet- de si près, tant ils sont heureux de recevoir hangar n° 1. des nouvelles d'un père, d'un fils, d'un fiancé. En attendant l'heure émouvante du départ sur Lourdes que vous connaissez. A partir de de Toulouse. Il faut compter une moyenne de d'emblée dans l'administration fiscale et se tes « grignotées par les gens de justice » de Pau pour Toulouse, le lieutenant Ménard Tarbes, nous suivrons la ligne de chemin de deux heures de temps pour franchir cette dis- voit octroyer cinquante mille francs de LE PATRIOTISME CHINOIS tance, à supposer que M. le lieutenant Ménard donnent un reliquat dérisoire. .;.. ..•' est allé se promener en automobile dans les fer. rente, du jour au lendemain, passant par— Comptez-vous, mon lieutenant, passer une ne fasse- pas escale en route. Rien n'est plus intéressant à constater que environs de la ville. « Votre commission d'enquête, écrit M Le vaillant officier peut donc arriver au dessus tous les pauvres bougres qui, depuis journée ou deux à Toulouse,' comme vous les progrès de l'esprit militaire et patriotique Il faut ajouter que les bruits les plus conPolygone entre 6 et 7 heures du matin. Régismainset dans son rapport, a pu voir en Chine. Il se fait une évolution lente, qui tradictoires et les plus divertissants ont l'avez fait ici ? vingt ans, peinent, suent, gravissent péniC'est là le minimum de temps prévu, en blement les échelons de la hiérarchie et — Je ne peux pas. Si le temps est favorable, est bien loin encore d'avoir transformé la couru tout aujourd'hui à travers la région, au s'évanouir et s'effriter le milliard des con en une puissance forte comme le Japon, sujet du départ du lieutenant Ménard et de je repartirai le soir même, vers 5 heures, qui tenant compte des meilleures conditions at- s'usent le derrière sur les ronds de cuir des grégations évalué par l'enquête de 1900 Chine est' une heure où le vent, terreur des aviateurs, mosphériques. Mais, en tout cas, à moins de ministères. mais qui ne doit pas être négligée. son passager pour Toulouse. ou d'accident, M. le lieutenant Ménard Un des récents symptômes de cet esprit nouS'acharner à recueillir les débris du nau Des dépèches arrivant d'un peu partout ont se calme toujours un peu. Je voudrais attein- panne Nelson Lanes, frère du gendre, n'éta't, arrivera à Toulouse dans la matinée. veau est le succès des corps de volontaires signalé le passage du biplan des deux offi- ûm N'arbonne demain .soir et y . passer la nuit. fa-âge, rogner de ci de là les frais et hono h'Express sera heureux de lui remettre la avant l'heureux mariage de Jean-Joseph— Cependant, la population toulousaine aucrées à Shanghaï par les marchands de cette ciers à Lourdes et à Tarbes ! «titres exagérés, arracher les dernières ville. Leur apparition date de 1906. Deux riOn voit que rien de tout cela n'était exact, rait le plus grand plaisir à vous conserver une Coupe qu'il a créée pour le premier aviateur Etkriond, que filateur dans le Lj,r-et-Oaroncommerçants chinois, M. Yu Ya Ching puisque le grand oiseau reposé" encore, "à journée ou deux dans ses murs. Ne pourriez- militaire atterrissant dans notre ville et la ne. Comme petit, souvenir des noces il remiettes grignotées par les gens de jus- ches population toulousaine saura acclamer comme et M. Li Pingshu, fondèrent une Société dont actuelle, sous son hangar de l'aéro- vous pas ajourner votre départ de Touloii&e il le mérite M. le lieutenant Ménard, en asso- çoit le titre d'administrateur de ! a Banque tice, à cela presque se réduit le rôle de le but était de développer la santé par des l'heure Ottomane, au traitement de trente mil1*! drome de Pau. Et ce n'est que demain, com- aa moins à mercredi matin ? — Ce serait avec le plus grand plaisir, mais, ciant son, nom à celui des intrépides aviateurs francs par an. vos commissions : sauver quelques mil- exercices physiques. C'était en somme une me nous l'avons dit, qu'il prendra son vol qui portent au loin la renommée et la gloire Société de gymnastique. Mais M. Fallières n'a pas que des genvers Toulouse, qui réserve aux courageux comme jo vousi'ai dit, j'ai à rattraper le temps liers de francs quand ils voient dispaPeu à peu, le caractère militaire de l' asso- officiers qui le montent l'accueil le plus chaud perdu en route. Avec l'aéroplane, on n'est ja- du pays. dres, il a un filleul, M. Cassago--iu. On lui A. C. mais maître d© son temps ; mais je tiendrais raître les millions ». Et ces sommes arra- ciât 1011 s est accentué, et elle a pris le nom et le plus enthousiaste. . , donne, pour ses étrennes, un posk,e de trésoc rps < 6S \ autant que possible à partir de Toulouse dans ,S * volontaires commerçants ». En chées, après avoir été volées une pre- uv). elle rier-payeur général dans l'Oise, c'est-à dire Ce que dit le lieutenant Ménard ne comptait encore que 350 membres Ist soirée. SIMPLES NOTES 33,483 francs de rente, auquel on ; joute le mière fois, à la rapacité d'autres pillards elle en a près de 1.000 aujourd'hui et oii Pau, 5 juin, 6 heures soir. f-ti Les Toulousains le regretteront certaineque bientôt elle aura 3.000 adhérents titre d'administrateur du Crédit Foncier, Le lieutenant Ménard, qui est arrivé ici hier ment. serviront à peine « à fournir des pen- compte Les volontaires reçoivent leur uniforme ils soir, sans être attendu, est enchanté du masoit 20.000 francs par an. Le fils de ce filleul i— Les Toulousains sont trop aimables. sions, secours et hospitalisations aux con- lont 1 exercice à la japonaise et sont instruits gnifique voyage qu'il a effectué de Croix- J— Il ne me reste donc plus, mon lieutenant, était chef de cabinet de M. îrouiliot .. ïl '• gréganlstes infirmes ou âgés laissés aux par des Chinois qui ont été dans des écoles d'Hins à Pau. qu'à vous souhaiter bon voyage. attend son bénéfice. militaires au Japon, Leur éducation militaire Son appareil, qui se ressentait dès fatigues ' j— A demain matin, 3 heures, Monsieur. RcnM. Dupré. Jules, qui n'a jamais, lu f non soins de l'Etat par les congrégations dis- est a peu près complète en six mois d'une longue randonnée et l'avait laissé mal- déz-vous à l'aérodrome. » Si jamais vous allez à Chicago, je vous plus, appartenu à radministr.i;.', m. est On espère fonder des corps analogues dans heureusement en panne à Ambarès, est de nqu- j soutes ». Et le courageux aviateur, qu'entourent de conseille, mes bons amis, de fai^e attention nommé, en 1900, percepteur à NetiUly : il plupart, des villes commerçantes chinoises veau tout à fait au point. Le vaillant officier officiers de la garnison de Pau, à vos parapluies. Car il y a là-Vas un juge Là se bornent les doléances et les flé- ta et organiser ensuite une grande revue de tous compte effectuer d'une seule «traite le trajet nombreux nous dit encore sa joie et son espoir d'être à de paix particulièrement indulgent pour les touche de ce fait, 21,264 francs par an. Ses trissures du rapporteur à l'égard de ceux les corps d,e volontaires. titres ? M. Dupré est le premier mari de la Pau-Toulouse, suivant en cela l'exemple de Toulouse dès la première heure. Il y a quelque temps, une représentation fut Morin et de Védrines. Le lieutenant aviateur filous qui ont la spécialité de faire les ri- première femme de M. Caillaux. ï'.-ur r 1"tequi ont travaillé au naufrage des espé- organisée G. G. a un théâtre chinois de Shanghaï Cheurin, qui convoie ses camarades en autoflards. nir sa bienveillante neutrai'ié, après le di rances des spoliateurs radicaux. au bénéfice des volontaires : la salle était mobile, a passé avec eux la matinée à Pau. Ce magistrat qui, de l'autre côté de Veau, vorce, ne fallait-il pas le désintéresser dans A. TOULOUSE Par contre, M. Régismainset ne déco- pleine, et l'enthousiasme fut tel que les assisL'après-midi, le lieutenant Ménard est allé tants jetaient sur la scène des bijoux et des L'annonce de l'arrivée du premier aviateur joue les Magnaud. vient de nous adminis- une large et convenable nesure .' lère pas contre « les congrégations qui, pièces d'or. Le titre de la pièce jouée est des en automobile reconnaître la route aux envi- militaire Joost Van Vollenhoven est né à Rottera produit à Toulouse l'impression trer la preuve que dans la Libre Amérique rons de Pau ; puis, il s'est rendu à l'aérodrocomme chez nous, la claudicante Thémis s'a- dam, Hollande. Il avait, par conséquent et dit-il, sont parvenues à soustraire leurs &r1afv^ : C°mment Un m °te W me, où le moteur _de son appareil a été'mis en qu'on était en droit d'attendre. Le public, dont l'attention a été un moment muse parfois aux dépens des pauvres bour- de naissance, le goût d'un fromage ; on le pour une dernière mise au point. Tout atetpaite personnes et leurs biens aux lois votées, SUrVCilkr r6volution marche par les gigantesques épreuves inter geois. nomme secrétaire général des colonies, ce est donc prêt pour que le voyage de Toulouse aux liquidations ordonnées ». Que ne s-e taMoffi &t n&tionales Paris-Madrid, Paris-Rome, n'en suit En deux mots, voici l'hisioire. qui lui vaut Une petite prébende de 18,t;U0 s'effectue dans les meilleures conditions. pas moins avec intérêt cette randonnée silensont-elles laissé faire ? On n'a jamais vu t/Jt citoyeji de Chicago, désireux de ne francs par an. J'ai vu le lieutenant Ménard à son retour cfeb&e. modeste et régulière, que M. lo lieuteUN VETERAN de l'aérodrome. C'est un officier à l'allure pas se mouiller un vilain jour de pluie, Emile Merwart, né à Lemberg, Autriche, vraiment des victimes opposer une telle La ville d'Eichstoîtt, en Bavière, vient d'inau- énergique, mais plein du sang-froid qui est la nant Ménard a entreprise en faisant le Tour avait arboré un superbe pépin. L'excellent tant né hors de France, a garié ia vo.ade Frav.ce. résistance aux entreprises des voleurs ! ig^nC7VU'1l, m0 .n 'u ™ e în & ses morte de J a guerre qualité la plus nécessaire à l'aviateur milihomme, pas défiant pour deux sous, n'a tion des voyages au long cours ; rien de 1870-71. Rendons justice aux Bavarois ; les taire. C'est l'ancien adjudant Ménard qui se Le rapporteur n'en revient pas : nullement tenu compte du conseil donné plus facile, il est protégé par M. Méline et vétérans, qui assistaient en corps à eet'o céré- distingua au cours des manœuvres de Picar« Parfois, dit-il, la congrégation irn- monie, se sont souvenus du seul soldat fran- die. Ses exploits d'aviateur lui valurent les gadans toutes les langues par la sagesse des on lo fait aussitôt gouverneur de la Guyane, nations. Heware of pickpockets ! puissante doit subir la liquidation ; s nais çais mort dans cette ville, en 1871, ot ils sont lons de sous-lieutenant à la promotion de janaux appointements do 20,000 francs pa.y an. ailes sur la tombe, au cimetière, pour y dénoSon parapluie a tenlé la coupable convier dernier. cioim,m© il faut que l'actif ddep&rais&e à Les parents de Jean-Edme-Ferni.id GauSon camarade, le lieutenant Do-Huu, est navoitise d'wn de ces pickpockets qui lui non tret se désespéraient. A trente ans. il n'atout prix, 15, 25, 30 comgréganistes enga- r^aTtr^'K turalisé français depuis l'âge de huit ans. Il plus ne voulait pas se mouiller. Un, deux, vait pu encore passer son baccalauréat. gent 15, 25, 30 revendications ; m pre«ni sort do Saint-Cyr et sert dans la légion étrantrois, le parapluie disparait. Qu'ailait-on faire d'un pareil caniro ? Les 1 gère, mais an titre français. mière instance, en appel, en cassation, le colonies excellent à préparer les fruit? %S — Ait voleur ! non plus ne!'»» l'oublie pas i Pierrard. La France — Je suis heureux, ai-je dit au lieutenant On arrête la victime du larcin. L'affaire^- secs : gouverneur de la Guadeloupe Jeanliquidateur a gain de cause, IÏWS les Ménard, de saluer le premier officier qui va est instruite. Les débats ont Hm devant le Edme-Fernond a vécu sans fatigue avec les arriver à Toulouse par la voie des airs, et gaplaideurs congréganistes ont disparu ou I-A CHASSE tribunal de Harrisson-Street. Le vol est vingt mille francs que lui allouait la Répugner ainsi la Coupe créée par YEj-press du M. Fams, ministre de l'agriculture T MAI. U avoué. Le juge rend sou jugement, et, stu- blique. sont insolvables. Les iras ri 2 ces innomMidi. Ua préfets Mais lisez vous-même la liste que nous péfaction, il absout le volé dans le plus one Saîr^ brables procès restent à la chargv de la ŒnAfti £ — Jo suis ravi moi-même ; mais j'ai été, je 1 sans retar magnaudesqua des jugements. Savourez- reproduisons. Tout commentaire en affaiw les d vipJ i^^f^ 0' » lettre avis vous l'avoue, un peu ébahi quand j'ai appris U liquidation dont l'actif fond et se réduit do la chass" rt blirait l'éloquence. 11 faut parcourir t-es ™6 d'ouverture que j'avais cette Coupe à gagner. Comment ! moi ce considérant : an3 lm *»?* On a ™f il ™. dé Partementô. u Un homme a une sorte de droit à voler colonnes pour se rendre compte de ce que h rien. aucun officier aviateur n'est donc encore arun parapluie quand il ne peut le payer et représente, en 1911, la République franà Toulouse 7 KT - Les rivé « Dans cette lutte sourde ajoute-t-il, couvées ont été cette a lôo — Pas encore. Nous avons eu de très beaux qu'il pleut :mais qu'il n'y revienne pas. » 'u"^ çaise. .. tr Wfi vols do Morin et de Védrines, mais la popuBaudelaire en eut la vision aigué lorspartout,TVet;i«on„ v•l'itvo-i.t ! V Chez nous, prud'homme avait dit : « La r i) t ^ les congrégations ont été admirablement eque \tr.ioirrïim; une «abondance lation de Toulouse n'a. encore jamais eu la propriété c'est le vol. » /,< mot a fait son que, prophète comme tous les poètes, il préaux. Quant aux îièservies par un comité do jurisconsultes wesTSto vics, ,iis pu iulient dans nos forêts La B ,vii<>- joie de voir un de nos vaillants officiers pilopetit tour du monde. Les nouvelles couches écrivit ces vers, un peu naturalistes, mais tes. Je serais' heureux de lui 'annoncer dans dévoués et désintéressés ». Le mot fait judiciaires de l'Amérique ne sont pas en combien précis : qu'elles' conditions vous comptez effectuer ce image, rapproché des qualificatifs que le peine pour en. faire la plus rigoureuse apvoyage. ' ll0 <lw tnnm?,.' ï ''écoltes. auxqurlles plication. Pour elles, rien n'est sacré pour Les -numcaie» boaiWSomiaiènt sur re ventre putride — Voilà, je siffa un peu pressé. J'ai perdu rapporteur accole à ceux qui, chargés de K s'itoordonnée la date d'ouverture beaucoup D'ofi sort&taot iUs noirs bataillons de temps en route et j'ai hâte de un voleur, pas même le parapluie. Le paraae la. enasse. Ur, les récoltes s'annoncent bien qui coulaient connut» im Opais liquide défendre l'Etat spoliateur, se sont mis eu- sur la plus grande partie du ternitoire. rallier le camp do Chùlons. Je nompte partir pluie appartient à Vescouade sociale et tout ])o JaiVcs Lo long do cc3 vivants haillons. pour Toulouse demain matin mardi, dès le leIl c^t probalile qu'on pourra faire l'ouverihérnes à gruger cet Etat et à s'enrichir le monde a le droit de le chiper au voisin. ture dans les départements d,u Mtd.i dès la ver du jour, vers 3 h. 1/V probablement. Je Dccid.cmenl les idées de. mon vieil ami Jaur ses dépens. Oui, évidemment, sur tout corps en déh. \ô. )Hiein,ièro quinzaine d'août, soit le dimanche puis arriver à Toulouse à partir de Tout dépend des .vents et du temps que je Vussl commençait-on hier à se préoccupa, rès font des progrès. AujouriVliui on. nous composition il y a des asticots qui le ronMalgré cela, si le vol n'a pas produit 13, soit lo jour de l'Assomption. rencontrerai en route ; mais soUs ce ciel îpor- lies la- première heure, do l'arrivée de 1 avia- prend le parapluie, et. la justice estime que gent. tout ce qu'on en attendait, c'est parce que L'ESPRIT DU JOUR veUleUx de i>au, et, après la, \Gm&6 de .cha- teur militaire. c'est très bien. Demain on nous volera nos Nôug n'a tiendrons pus longtemps la vi— Vous connaissez la nouvelle : On va faire leur, mai-, ,io temps calme que nous- vouons de «*s congrégations oint eu lo mauvais goût i 1,'E.rpress, qui a offert, une Coupe d une va-: habits et notre chemise, et nous n'aui,uis sion dès ossements blanchis. traverser, on peut augurer un temps favora-- leur de fytX) francs an premier aviateur appar de no pas mettre assez de complaisance un* lai contre les mystificateurs. pus le droit de. prolester quand le filou noué GUV DE CASSAGNAC — Serait-ce contre les liquidateurs des hle. On peut donc attendre mon arrivée entre tenant à l 'armée française qui touchera Tou- dira : « J'ai une sorte de droit à prendre à a 96 laisser dépouiller. La victime attacongrégations ? 4 1>. 45 et 6 heures. A ce propos, le polygone louse, en y venant par la voie des airs, tenait Le lieutenant aviateur Bague est parti de Nice pour effectuer le raid Nice-Corse.

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Attention à vos Parapluies

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DÉPÊCHES LE DUC D'ORLÉANS Londres, 5 juin. Mgr le Due d' Orléans a ciuitté Londres hier matin, se rendant à Bruxelles. Au télégramme que lui ont adresse les royalistes qui assistaient samedi à la réunion organisée à Paris par l'Action Française, a l'occasion de la Saint-Philippe, Mgr le Duc d'Orléans a répondu : « Londres, 4 juin. » Très touché de l'adresse envoyée au nom des six mille royalistes réunis salie Wagram; je les remercie tle tout cœur des sentiments exprimés. »

sociale à l'occasion de la grève des cheminots. Il déclare aussi être l'auteur de l'article intitulé ; < A la conquête de la rue », poursuivi pour excitation au meurtre et apologie de faite qualifiés crimes. Hervé dit tenir à revendiquer hautement la responsabilité de ces articles ; il veut, prétend-il. en obligeant la justice à poursuivre un prisonnier, enfermé depuis plus d'un an pour un article de journal, mettre le gouvernement et sa justice dans une posture odieuse ou ridicule. __________

Les Retraites Ouvrières Paris», 5 juin. Dans utié lettre adtpeaeée au Temps, M. Al>ei Ferry député radical des Vosges, se plaint des protestations quo soulève la loi sur les retraites ouvrières. Voici les principaux passages de cette lettre : « Cet accueil méfiant réservé à la loi ne provient pas seulement de ce qu'elle est peu connue, de ce que l'opinion y a été mal préparée, de ce que l'éducation des bénéficiaires de la loi n'a pas été faite ; cet état d'esprit s'explique aussi par une sorte de méfiance à l'égard de l'Etat républicain. Un militant avisé me disait : « La loi n'eût pas, il y a quelques années, rencontré la même mauvaise humeur.» Si c'est vrai, c'est grave, c'est le crédit moral et financier de l'Etat qui est atteint ; cela dénote un manque de confiance, une atoence d 'optimisme ; si l'homme pris au hasard dans la rue hésite à confier ses 9 francs aux caisses publiques, l'une des forces nationales, c'est la foi dans la signature de la France, qui est touchée et c'eet peut-être la, le, châtiment de ceux qui ont eu pour les hommes et les choses si peu de bienveillance... et même si peu de justice que de voir aujourd'hui l'Etat récolter la méfiance ; et cependant, la santé des peuples c'est la confiance en eux-mêmes, urne de nos forces de paix et de guerre, c'est notre crédit ; il n'y faudrait toucher que d'une main légère et faire autour de lui la trêve des partis. »

U DEFENSE DE L'ÉCOLE L4I0UË Le Mans, 5 juin. Les instituteurs et institutrices de la Sarthe, réunis en assemblée générale, après avoir pris connaissance de l'article unique du projet do loi déposé par M. Stoeg, ministre de l'instruction publique, concernant la défense de l'école laïque, et considérant que cette proposition laisse totalement de côté le contrôle des écoles privées, ont émis le vœu que le projet déposé soit modifié et remplacé par un nouveau texte, où l'entrée des écoles publiques de tout ordre serait formellement interdite, sous la sanction des peines portées à l'article 471 du Code pénal, à toutes personnes autres que celles qui sont désignées pa*1 la loi pour l'inspection et la surveillance des établissements d'instruction primaire.

Les Affaires h Maroc La retraite dé la division Toutée Paris, 5 juin. La retraite de la division Toutée suggère au Temps les réflexions suivantes : a Les troupes françaises avaient été mobilisées sur la frontière algéro-marocaine pour attirer à elles une partie au moins des tribus qui assiégeaient Fez. » On espérait ainsi décongestionner la capitale : co résultat n'a pas été atteint. Si l'on cherche pour quelle raison le but que l'on s'était proposé, en portant la division Toutée en avant, n'a pas été atteint, on croit la trouver dans le fait que l 'offensive n'a pas été assez mordante ; le gouvernement avait interdit de franchir la Moulouya ; il avait renorjcô à faire usa,ge du droit de suite qu'il possède incontestablement. » Dans ces conditions, rien de surprenant à ce que les Marocains, occupés à 180 kilo mètres de là, se soient peu souciés du main tien sur la rive droite de la Moulouya d'une force nombreuse mais immobile, bien armée mais impuissante. » L'occupation de Debdou, le bombardement de Guercif, sur la rive gauche de la Moulouya, et quelques engagements aux environs de Merada, tel est le bilan militaire de la division Toutée. » Le moment est-il bien choisi pour ordon nor cette retraite, immobiliser les forces considérables groupées auprès des gués de la Moulouya, dans l'attente d'une hypothèse qui ne s'est pas présentée î » La marche sur Fez n'a pas dû produire sur les tribus environnantes une impression de force désirable ; il est à craindre qu'elles n'attribuent à l'impuissance ce qui a été l'effet d'une prudence «ans doute excessive et que faisant fond sur la faiblesse qu'elles nous supposent, elles essayent par des raids hardis à surprendre nos postes ». L'ACTION DES PUISSANCES L'attitude de l'Espagne Tanger, 5 juin. On signais de Tetouan l'arrivée dans cette ville d'un colonial espagnol de la, garde civile, accompagnée de 2 officiers et do 8 tirailleurs R bains venant de Ceuta. La présence à Tetouan, de ces militaires est vivement commentée par les indigènes.

Le Cabinet du Ministre de la Guerre

Paris, 5 juin. La France militaire confirme que le chef de cabinet du ministre do la guerre sera le général de brigade Delétoile, commandant la 83' brigade d'infanterie à Chàlons-sur-Marne. Au ministère de la guerre, on déclare que la chose est possible, mats que rien n'est encore fait ; aucune décision officielle n'a encore été prise par le ministre de la. guerre, qui a passé la journée d'hier à Chàlons-sur-Marne. On ajoute rue Saint-Dominique qu'il est probable que la désignation du chef de. cabinet ne sera définitive qu'après que le général Go Iran en aura fait, part à ses collègues au cours du conseil do cabinet qui se tiendra mercredi prochain, sous la présidence de M. Monts.

La grève internationale maritime Londres, 5 juin. Le comité de la grève des matelots internaiionaux a commencé hier à Londres la conférence de trois jours pour examiner les questions de la grève universelle. Les délibérations sont privées, mais les secrétaires Havolock et Wilsons annoncent, îiprês leur réunion, que lo comité n'est encore arrivé à aucune décision. Fin de la grève des taxi-outos Paris, 5 juin. La grève des taxi-autos a pris fin ce matin, conformément aux décisions arrêtées par la fhambre syndicale des chauffeurs de la Seine. Toutes les principales voies de la capitale ont repris leur physionomie habituelle. Les cochers de fiacres, qui ont fait pendant ces doux derniers jours des recettes merveilteus.es, cherchaient vainement leurs clients de Va Pentecôte. M. Fiancotte, secrétaire général du syndicat, fi été reçu hier par M. Pc-rrior, ministre de la justice. Le garde des sceaux s'est longuement fait expliquer les causes de la grève ; il a paru frappe de la légitimité des critiques formulées par les chauffeurs et a promis d'examiner, avec la plus large bienveillance, leurs doléances. Le secrétaire général du Syndicat aura inT-cssamment une nouvelle entrevue avec lo ministre de la justice. Ce matin, le Conseil d'administration du Syndicat a tenu une réunion à neuf heures à la Bourse du travail. M. Fiancetto a rendu comtpe des divers inei cents qui ont marqué la grève et s'est félicité ne l'union qui règne règn iparmi tous les membres ne la corporation La grève des tramways du Nord Paris, 5 juin. Le travail a repris co matin sur presque toutes les lignes de la Compagnie dos tramways du Nord. La fin de la grève avait du reste été décidée cette nuit, dans la réunion qui avait eu lieu fc la C. G. T. Le peu d'enthousiasme d'une grande partie fies grévistes avait déterminé ce vote. En effet, dès hier, un fléchissement notable 5'était fait sentir parmi les chômeurs et la Compagnie avait pu réorganiser une partie do ses services. Le découragement, parmi les rouges semble provenir de ce qu'ils n'ont pas pu entraîner dans le mouvement la Fédération nationale des transports en commun qui leur a refusé eon appui moral.

L'IMPOT SUR LES TANTIÈMES ~ ,i , Paris, 5 juin. On sait que la commission sénatoriale des finances a maintenu la taxe votée par la Chambre sur les bénéfices calculés, en vertu de clauses statutaires, sous la* dénomination do tantièmes, à toutes personnes participant à l'administration, à la direction , à la gérance de sociétés visées par cotte loi. Dans le chapitre de son rapport général, où il passe en revue les articles de la loi de finances. M. Gauthier écrit . « Dans notre pensée comme dans celle du gouvernement, il est bien entendu que la taxe de 4 % ne doit s'étendre qu'aux bénéfices distribues aux administrateurs, directeurs ou gérants de ces sociétés et ne s'applique pas par conséquent, aux traitements, jetons de présence et autres participations prélevées sur les frais généraux. » D'autre part, cette disposition nouvelle ne doit pas atteindre, les allocations attribuées aux employés intéressés ; la question reviendra, d'ailleurs, devant lo Sénat ». M. Vallé, ancien ministre du cabinet Combes, a pris une délibération longuement motivée contre ce nouvel impôt. Do son côté, la chambre de commerce de Paris demandera, par voie d'amendement, la suppression de la taxe sur les tantièmes.

A L'ETRANGER Bans les Balkans La frontière Turco-Monténégrin» Cétygne, 5 juin. Le 2 juin, le poste Turc a fait feu contr te poste Monténégrine. Le gouvernement a fait de nouvelles démarches auprès de la Porte, car c'est là le second cas de violation dm territoire Monténégrine par des soldats Turcs dans l'espace de peu de jours, Mirdites contre Turcs Cétygne, 5 juin. La, tribu des Mirdites s'est révoltée et a attaqué la garnison turque d'Alessla. Les Turcs ont envoyé a son secours les garnisons des autres villes. Le Gouvernement provisoire a été formé à Oroshi, capitale de la tribu révoltée et l'autonomie Albanaise y a été proclamée. IJO lieutenant Chevreau qui était resté en panne à Péago-derltousillon, près de Lyon, avant-hier, a atterri au champ de manœuvres. Après s'être ravitaillé en essence, l'aviateur est reparti à 7 h. 40 dans la direction d'Avignon.

Le Cinquantenaire Italien Le monument Victor-Emmanuel . Paris, 5 juin. En réponse à la dépêche que lui avait envoyée le préaident de la République à l'occasion de l'inauguration du monument de Victor-Emmanuel, le roi d'Italie adresse à M. Fallières le télégramme suivant : «M. Fallières, Président de la République, Paris. » L'aimable dépêche que vous avez bien voulu m'adresser à une occasion si solennelle pour l'Italie m'a profondément touché ; très reconnaissant, je vous en exprime, ainsi qu'à la nation française et au gouvernement de la République, mes remerciements les plus chaleureux, en vous assurant que v»s sentiments de vive sympathie sont entièrement partagés .par moi et par le peuple italien. » Je forme à mon tour les vœux les plus cordiaux pour votre bonheur et celui de la France et vous prie d'agréer, Monsieur le président, l'assurance réitérée de mes sentiments les meilleurs. » VITTOEIO-EMMANUELE. g

Il y a quarante blessés dont quclqucsîuns gravement. Co sont pour la plupart des ouvriers.

PETITES NOUVELLES nu 5 Juin. La mairie do Liaiew, près BétJrano, a été détroit» ipar un incendie. Les archives ont été sauvées. — On a arrêté dans la forêt do Remireinont Je nommé. Baillant, auteur do cambriolages commis à ta gare de Kemircmxmt et chez plusieurs négociants. — Le prince Chakraboug, pilneo héritier de Siam, est arrivé a Saint-Pétersbourg. — Selon une dépèche du Cap Haïtien, les insurgés ont fait (te nombreux prisonniers dans la dernière bataille. A quelques-uns. ils coupèrent les oreilles. — Le procureur général do Monastir a tué a coup de revolvern. — L'escadre française a mouillé dans le port de Porto-Bmpêdocle. — On mande de Biarritz a l'A. B. C.que M. KmlJio Obéja, ambassadeur d'iîsuiagne au Vatican, en confié depuis l'interruption des relations entre le cabinet (t«i Madrid et la Ourle romaine est décédé. — Les employés de la ligne Viteutbo-nome n'ayant pas obtenu satisfaction ont décidé de recourir â l'obstruction. — Le Congrès des amis des roses s'est terni h Lyon, au palais du Commerce ; le prochain congrès aura lieu en 1912, à Bordeaux. — On a commencé sur lo champ de manœuvres militaires de Calais, l'installation d'une flèche gigantesque destinée â indiquer aux aviateurs désireux de traverser lo détroit, la direction exacte de Douvres. — Co matin est entré dans le port militaire d'Alger la corvette écolo italienne .Itreorigo Vespuci venant de palma s. — Le gouvernement américain a envoyé h Limoges une commission afin d'arriver à un règlement du différend rètatOf à rentrée en Amérique de la porcetaine limousine. — tin soldat du 155' d'infanterie, frappé de congestion, s'est noyé 6 Villeneavc-Ja-uarenno ; son corps n'a pas été retrouvé. — A Brest, les ossements de sixcenls soldats du vaisseau don guerre Les Droits de l'Homme, qui coula en 1707, viennent d'être mis à découvert par suite de l'effritement des dunes où Us avaient été Inhumés. — Le Razagan, vaisseau de la flotte volontaire russe, s'est échoué près do Nangast—l ; -tous les passagers sont sauvés. — Les obsèques du général Andry, commandant le 1" corps d'armée,- auront lieu mercredi. — L'état du prisme Joachim, tan des fils de l'empereur GuiS-laume, s'est amélioré ; la guéri son paraît suivre son cours normal.

Insmqf, au capitaine Bastide, do 9 d'avili. erm. pair le PTupriétalre ; 3. valeur 75 fr„ jreanJNOT, J M. MK*ama>, médecin -major au 2" génie, par 19 lieutenant Gouz du 50* d'artitlerie ; h. VJIKMIT «*> mss-UXi, a M. le le sonie-Mmitenant Inlz (Uése du 9" chasseur», j>M> le propriétaire. Flots : au capitaine .Dutoch, du l" hussards, pa* » F0" priétatro ; Jovial, au lieutenant Geây, du 9 cluaseeurs, par le lieutenant Fritz Gièse ; »»'ft»o», au lieutenant Pérès, du 3" d'arttHerio. par 3c pro» 'i«t -3 <We ; Aft>er«ne, a M. Audit, vétérinaire au 3* d artilleiredl, par la lieutenant Pérès. Coupe civile offerte par la Ville de Narbonne. . 1000 fr. et un objet d'art offert par la Socié ô •nautique, Rugby, à M. Santolini, monte par M. ne Prunelé • 2. 250 fr., VaiMlon, a M. Eugène Lo ça M. mus, par Maurice Lauth ; 3. 125 fr., Sipolr AagUt, par le propriétaire ; I, fr, ' vinalgreHc, k 50 fr., TAM. Jonquiére d'Oi-iel, par M. Claire , merih, au comte de iVHeneuve, par le propriétaire. Plots : caporal, a M. Joseph Fourcade, par Maurice Lau;lh ; Matrix, a M. Villa, par M. Carrel , Chlw.ur, à M. de Pninelo, par le propriétaire ; Wlsluj, au comte de t'oligny, W^r Vnl7. L.ij^a. Prix do Consolation. - 1, 1» fr., Kej>s«, à M. aiaiurice Lauilh, par le propriétaire ; e. •.» «•. ««nilo, a M. Bastille, pa,v M. de Fomnlongue -, 3. M tr., SégodiUe. A M. JoocfUtôre d'Oriala, par le propTiétalro • 4, 50 fr., Blacli-Slar, à M. Acné Ricard, pat lo propriétaire ; 5. 00 fr., Le Shi, à M. Claire, par le p.ro,nrié;aire. • Flots : Goldem-Dream, a M. Cartes, par M. Uni GirovMte, à M. Jonquifero d'Oriala, par le propriétaire ; Times, a M. Raymond, Gervieix, par le propriétaire ; caporal, a M. Joseph Fotwcade, par M. Maurice Lauth.

Cyclisme LA COURSE DE U HEURES Paris, 5 îuin. A la 11' heure, le classement est le suivant : l. Troussellier, 41 points ; 2. d'Hufct, 50 ; ... Cruppclandt, 63 ; 4. Lafourcado, 7j ; 5. Lambot 85 ; 0. Colsaot, 89 ; 7. Shirley, 100 ; 8. Naedergang, 100 ; 9. Couret, 110. . 18' heure, 582 kilomètres : d'Hulst, 5a points; Trousseiiier, 50 ; Cruppclandt, 84 ; LafouTcade. 85 : Lambot, 113 ; Colsaet, 115 ; Shirley, 135 ; Nialergang, 14G ; Pary, 147. Dès que la 20* heure a sonne, IrousseUer démarre et prend trois tours facilement. A ce moment, le classement donne : 660 h.ooti a d'Hulst ; 2. Trousselier, 63 ; 3. Lafourcade, 91 ; 4. Crupplandt, 98 ; 5 .Lambot ; C. Colsaet, 136 ; 7. Hirtez, 153 ; 8. Niedergan, 157. Rêsziltats définitifs 758 kit 100. L Trouseelier ; 2. d'Hulst ; 3. Lafourcado ; 4. Cruppelandt ; 5. Lambot ; 6. Shirley. Aéronautique DE PAU A PARIS

Courses de chevaux A SAINT-CLOUD Paris, 5 juin. Prix du Manoir, à réclamer, 3.000 francs, 2.200 mètres environ. — 1. Heloup, par Monsieur Gabriel et Hesiono, à M. H. Blom (O'NeU) ; 2. Salvia, à M. M. Marghiloman (Beîlhouse) ; 3. Ben Saïd, à M. le comte Lair (Barat). Non placés : Violette II, North-Poîe, Rising» Fox. Mutuel : gagnant G7 50; placés : Heloup 3L' Salv-ia 46 50. Prix de Yerboise, 5.000 francs, 2.000 mètres environ. — 1. Walbudge, par Perth et Vina, w M. W. Flatman 'Bellhouse) ; 8. Berceuse II, à M. Jean Stern (Ch. Childsl ; 3. W'yoming II,à M. G.-P. EsJjran (G. Bartholomew). Non placés : Rosa Pompona, Eisa IV, Forma» Naza rena, Non a . Mutuel : gagnant 22 ; placés : Walburge 13, Berceuse II 13 50, Wyoming II 19. Prix Plying-Fox, 40.000 francs, 2.-100 mètresenviron. — 1. Badajoz, par Go&t et Gelested à M. Michel Lazard (Barat) ; 2. Rioumajou, à M. Millier (A. Woodland) ; 3. Dor, à M. M. Marghiloman (Beliehouse). Non placés : Tripolette, Moulins-la-Marche, ! Marsa, Ronde-de-Nuit, Seigneurie H, Templier IL Mutuel : gagnant 36 50 ; placés : Badajoz 18, Rioumajou 22, Dor 21. Prix du Vieux-Pont, à réclamer, 3.000 francs, 900 mètres environ. — 1. Donadieu, par Delaunay et Dolorès, à M. André Bérard (Ch Çhilds) ; 2. Batailleur, à M. Edmond Blanc G. Stern) ; 3. Th. Baron, à M.„H. La Montagne (O'Léary). Non placés j White-Boy, Cappa, Franc-Picard, Galiiéenne restée au poteau Mutuel : ganant 23 ; placés : Donadieu 16, Batailleur 17 50, Th. Baron 17 50 Handflicap du Printemps, 10,000 francs, 1 600 anèotres -environ. — 1. Ténor, par Grey-PHwno et Honourdv à M. James Heraiossy (Jonni,n,gs>: 2. Garan-ce-II, à M. L. de Romanet (J. Kellett); 3. Orme-du-Maiiil, à M. M. Calmonn (Sharpe). Non placés : Kiaig-H-enry, Padoue-H, Gobet86, raiubouT -Major-II, Kaiser-H, Sir-Peter, Virage, Sésame, Pacho-H, Belle- Amie Mutuel : gagnant 99 50,; jilaeés : Ténor 30 50, Ga.rance-II 52 50, Oime-du-Mail, 21. Prix de Bue, 5,000 francs, 2,000 mètres environ. — 1. Forio, par Regret et Fortia, à M., Achille FouM (Ch. Childs) ; 2. Koin-Ombô, à M. G. Brossette (J. Bartholomew) ; 3. Cassin, : à M. A. Veil-Pleard (Rovella). Non placés : Ararat, Baiîly-IH, Chanteeler, Quand, Guy, Gounland. Mutuel : gagnant 49 ; placés : Forio 18, KomOmbô 30 50, Cassin 13 50.

Le Voyage du Sultan Monastir, 5 juin. On fait des préparatifs grandioses peur l'arrivée du sultan. Mercredi, on a découvert, dans un village voisin de KupkriAx, sur le parcours que doit suivre lo sultan,, 4a kilos de dynamite avec un nécessaire d 'awmes.

Faits Divers

JUIN mi

VIOLENTS ORAGES Saint-Pétersbourg, 5 juin. De violents orages ont éclaté dans les gouvernements de Kiew et de Kherson. La pluie et la grêle sont tombées en abondance ; des grêlons de la grosseur d'un œuf de pigeon ont détruit les récoltes sur plusieurs milliers d'hectares ; plusieurs moulins à vent ont été démolis. De nombreux incendies ont été allumés par la foudre. Londres, 5 juin. Un épouvantable orage a éclaté hier SUT plusieurs villes d'Angleterre. A Birmingham, lo feu a provoqué la chute d'un bâtiment en construction. Quatre personnes ont été ensevelies. A Nottingham -NomaTC, des maisons ont été lézardées mais les habitants se sont enfuis indemnes. Gharolé, 5 juin Un violent orage s 'est abattu sur le Charoliais. Deux domestiques de Gueuignon, les nommés Philibert Durand et François Jouirnet, ont été frappés par la foudane. Durand a été tué. .h ai met a été blessé. Une autre personne aurait été tuée pair la foudre à Nenoy-Granehamp ; un grand nombre de bœufs et de vaches ont été foudroyés dans les prairies. A Tançon, Saint-Bonnet et Ohan.j_ r, unie trombe d 'eau et de grêle a causé d'importants* dégâts. Tours, 5 juin. On annonce <lc divers côtés que do nombreux orages ont éclates en Touralne ; la, foudire est tombée sur le château d'Avize, qui a subi d'importants dégâts. Dans la région de Chûteau.renault., de nomhreuts poteaux télégraphiques ont été renversés. Les récoltes ont particulièrement souffert.

*. MONTAUBAN Deuxième journée Prix régional 2.00 frames, 3.300 mètres. — 1. Idoméiibée, à M. Bd. Bongrat ; 2. Flambeau, à M. B. Fournié ; 3. FoiUe, à M. Bénecih. Non placés : RéVgal, Directoire. Muteiea : Gagnant, 14 ; placés : Idoménée, 9 50 ; Flambeau, 11 0. Prix des Paviîlons, 1.000 francs, 3.200 mèl«T3. — 1. Issy-des-Mouaineaaix, à M. E. MarclBao. Non placé : Iéna. . Mutuel : Gagnant, 0. Prix du Ctoeanin do fer d'Orléans, 1.2C-0 francs, 2.000 mètres. — 1. Viril, a M. Keynolls ; 2. Galvani, â M. F Bâtes ; 3. Engottoe, a M. J. Vallières. Non placés : Suessula, Bon-Chiba, Salanidaluza. Mutuel : Gagnant 1S ; placés, Vira, 9 ; Galvaai, 8. .Prix du Gouvernemenit, 2.000 francs, 3.000 mètres. — 1. P.égent-Street, a M. Lalitte ; 2. Jockey, à M. Ducourneau. Non placés : Rampola, Max-I>arguin. Mutuel : Gagnant 13 50 ; placés : Itégeat-Street 7 ; Jockey, 9. Prix do l'Administration des Haras, 2.500 francs, 2.400 mètres. — 1. Interview, a M. H. (le Fournos ; 2. Montras», à M. D. Guestior ; 3. Crève-Cosur, a M. -\I.nirice Labroiiche. Non placés : Dtotame, dérobée ; Jokey, tombé : Furet-IH, Isabeau, Comité, Royale-Brioche, MlssLacq, Souloutte-in, Paulette-III. Mutueil : Gagnant, 73 ; placés : Interview, 18' ; Montrose, 9 50 ; Crévof-Coeur, 7 50. Prix de la Société Sportive d'Eneouragement, 2.000 francs 2.000 mètres. — l. Royale-Brioche, à M. Maurice Labrouiche. Non placés : Loulou.tte-III, Monnellita. Mutiteil : Gagnant, 11. MMitary-Officiers, Objet d'Art, 3.000 mètres. — 1 Mestora, à M. de Sanmarieu ; 2. Facile, a M. de Soiwille. Non placée : Trais-Etoiles, dérobée. ! Mutuel : Gagnant, 16. Un temins splendide a favorisé ces très belles e eei5 et l'affluenco a été considérable.

Poitiers, 5 juin. Le lieutenant de Malherbe est arrivé aux Renardières à G h. 35, suivi à quelques minutes d'intervalle par les lieutenants Dueour neau et Princeteau, venant de Liboume. Le voyage a été excellent ; les officiers fie sont maintenue à une altitude moyenne de mille mètres. . , Ils repartiront demain matin pour Orléans BEAU VOL DE DUFOUR

Madrid, 5 juin. L'aviateur Dufour vient d'effectuer un superbe vol avec un passager du camp Cara bancel à Gétafe. Le voyage fut exécuté à une très grande altitude, puis Dufour reprit son vol et s'en fut vers le cap d'Aleo-Cocornc évoluer au-dessus de la campagne et des limites de la montagne, venant atterrir par un vol plané de mille mè très au camp de Carabancel. . Dufour a vivement été félicité par le roL

mais sait» causoT aucun dommage à eon ap- | V l'es ' autorités ont vivement complimenté aviateur et la foule l'a acclame avec cntnouLe 31 mai dernier, une foule élégante <u r, n slasmc. n „r,f Leprtnco déclare qu'il a fait un excellent breuse assistait, en la basilique Sahii i„5*; oyage, bien que le soleil l'ait un peu incom- de Perpignan, au mariage de M. .loso .Vi '^ Gaulejae. fils du baron de Gaulejac et JiVîS la A là suite d'un© contestation avec le comité baronne née de Boisséson, avec Mlle îSai de Blay, dont la famille et si just <-.,V„ '' local, qui ne veut pas le reconnaître comme celle appréciée eu Roussillon. "«wanenf concurrent du raid Parte-Rome, Lopnnçe a Des parents et amis étaient venus de tn télégraphié à Paris et a ajourné son départ côtés taire cortège aux jeunes fiancés et pour Rome. qner leur sympathie à une famille uni <.„"•;',<' La marche tle Level parmi les meilleures et les plus anciennes 5r aU Dijon, 5 juin. pays toulousain. L'avialeur Level, avant réparé son biplan, La charmante mariée, dans une déPciwi est parti co matin, vers huit heures, de Ge- toilette garnie de vieux point d'Angleterre ï vrey-Chambertin avec son passager et a at- été conduite à l'autel par f.on père, M iipV a terri à Dijon à 8 h. 26. de Blay, chevalier de la Légion d'hbnniï? Il déclare abandonner Paris-Rome. M. Joseph de Gaulejac était accompagne ' • l ' a* sa mère, la baronne de Gaulejac. Védrines partira demain M. l'abbé de Liobet, vicaire-général do \i a Bue, 5 juin. Oorsalado, dans une touchante et De «nombreux curieux s' étaient rendus, c* de .allocution, a défini le .mariage chrétien et r v matins à Bue, dans l'espoir d'assister a la revivre les gloires religieuses et militaires $ grande envolée de Védrines pour Rome. deux familles. Védrines no vint pas. La part des pauvres a recueilli On apprit que lo gagnant do Paris-Madrid Mr lagnée d" M '7! avait décidé, très tard, qu'il ne partirait quo Mlle Jane de Blay, accomria J -'!i,, .1^ r. de Gaulejac ; Mlle Mathildc de demain matin mar-tM, en raison de la fermetore, aujourd'hui, de nombreux bureaux télé- M. Robert Hériard ; Mlle Marie de Blav ai graphiques, ce qui l'aurait empêché de pré- lieutenant de Boisséson ; Mlle Germaine dutt venir sa maison au cas où urne paume oii un Boisséson, M, Emmanuel do Blay. On remarque dans l'assistance : baron et ' incident quelconque viendrait Farrôleir au baronne de Gaulejac, M. Henry de Blay M r cours do son raid. Cornet de Bosch le vicomte de Gaulejac ilt'' Le lieutenant Chevreau Cornet de Bosch, Mlle do Blay, le baron iu Blay de Gaix, Mme Niel née de Gaulejac Avignon, 5 juin. Le lieutenant Chovreau sur monoplan a at- capitaine et Mme Compagne, le marquis et u terri au ciiamp d'aviation d'Avignon co matin marquise de Boisséson, M. et Mme Paul. ( „ Gaulejac, M. et Mine Antoine de Blay M à 9 h. 1. Il a voyagé à une altitude de 500 mètres. Il Mme Edmond de Blay, Mme Hériard,' comte ne repartira que mardi matin dans la direc- et comtesse de Boisséson, vicomte et vicoiiv tion de Nice, son moteur ayant besoin do répa- tesse .de Boisséson, baron et baronne de BoiV rations. Lo lieutenant Chevreau a été vivement séson. M. et Mme Pierre de Boisséson, baron de Saint-Julien, M. et Mme de Lavalotte acclamé. Mme de Raymond-Cahuzac, M. et Mme dé Classement définitif Médrano, M. et Mmo Maraval de BonhérV A la suite du magnifique raid Vidarf-, le clas- M. et Mme de Laforost, M. Niel, M. Charles sement définiili Paris-Rome s'établit commo de Saint-Julien, vicomtesse de Marsac, M et suit : Mme de Liobet, M. de Chefdebien, M et 1. Beau-mont, en 82 h. 5 m., a gagné à Nice Mine Estève de Bosch, M. François de Saint. 59.000 fr.; à Rome 50.000 fr. ; total, 109.000 fr. Julien, Mme de Marliave, Mlle d'Ax, M. de 2. Garros, en 106 h. 16 m., a gagné à Nice Rigaud-Mauremont ; M. ek Mmo de Vivie 25.000 fr.; à Rome, 20.000 fr.: total, 45.000 fr. M. de Pousse, M. Jean de Gaulejac, Mlle Ma3. Frey, sur monoplan Morane, en 132 h. 41', a gagné à Nice 13.000 fr.; à Rome, 10.000 fr. thilde de Gaulejac, M. Maurice de Blay Mlles Jane, Mathildc et Marie-Thérèse dé total, 23.000 fr. 4. Vidait, en 170 h. 9 m., a gagné à Nice Blay, Mlle Germaine de Boisséson, M. Emmanuel de Blay, MM. Robert et Pierre, Hériard, 10.000 fr.; à Rome, 10.000 fr.; total, 20.000 fr. M. Arthur de Blay. lieutenant de Boisséson M. Henri de Lavalette, Mlles Hélène- et Henriette do Boisséson, Mlle de Lacroix, Mlles tte Massia, Mlle Denise de Boisséson, M. Guilhotf " de Lagarde, M. Charles de Marliave, M. et Mme de Massia, Mlles de Sagariga, M. de Du 5 juin. La pression barométrique devient très élevée sur Massia, Miles de Liobet, Mlles de Massia, presque toute l'Europe eUe dépasse 770 millimètres Mme d'Heille, M. Leroi, Mlle de Vicie, Mlle dans l'ouest des îles Britanniques, Valontia 773 mil- Compagno. limètres, sur le Danemark et la Russie, Riga 772 Qu'il nous soit permis do joindre nos commililimétres. pliments et nos souhaits de bonheur, à ceux La d-âpression d'Espagne passe sur l'Algérie, ceUe qui ont été déjà adressés à M. et Mme Joseph de l'Islande s'éloigne vers le nord-est. de Gaulejac. Le vent est faible d'entre nord et est sur nos eû-

déiiSr

été

)t

BULLETIN MÉTÉOROLOGIQUE

tes où la mer reste belle. La température a monté sur nos régions ; ce matin le thermomètre m-arqiiaiit 10 à Bordeaux, 13 a Moscou et à Madrid, 10 à Paris, 21 a Alger et la au mont Ventoux. H e«t tombé 1 millimètre d'eau au Pic-tlu-Midi, En France le temps va rester beau et chaud. Bar,

CHUTE DE DEUX AVIATEURS

Madrid, 5 juin. A l'aérodrome de Gétafe un monoplan que pilotait l'aviateur Mauvais avec un passager a heurté des fils télégraphiques et a capoté. L'aviateur .est blessé à la tête et son passager au côté. Londres, 5 juin. An cours d'un vol, à l 'aérodrome do Brock lands, l'aviateur français Latham a fait un chut» ; l'aéroplane est tombé sur lo toit d'un hangar ; cmelques moments après, on voyait Latham oui grimpait sur les débris de l'aero plane et regagnait la terre ; l'aviateur souffre du choc mais il n'est pas blessé.

LA COURSE NICE-CORSE LE DEPART DU LIEUTENANT BAGUE

Nice, 5 juiitn Le lieutenant Bague est parti ce matin 5 heures de raéiiodrome de la Bague pour la Corse. Il y a trois mois, jour pour jour, que le lieufenaihit Bague ae livrait, on le sait, à son audacieuse tentative de traversée : de la Méditerranée, de Nice à Calvi en aéroplane. On se souvient aussi qu'égaré dans la. brume et poussé vers l'est par le vent, il vint atteasrte. dans l'île de Gorgona, à. 86 kilomètres de Calvi, ayant accompli un vol de 300 kilomètres au-dessus do la mer. La distance de Nice à Calvi est de 210 kilomètres à voi d'oiseaui. Ajaccio, 5 juin, midi, On a été prévenu, à Ajaccio, du départ du lieutenant Bague de Nice pouir la Corse. Les populations se sont aussitôt portées sur la côte, ou règne une grande animation. A midi, les sémaphores n'avalent reçu aiucurne nouvelle de l'aviateur. Nice, 5 j union est sans nouvelles du lieutenant Bague, qui devait arriver co matin vers huit heures à Ajaccio. Les contre-torpilleurs à Nice ont reçu l 'ordre d'aller à sa recherche \ Nice, 5 juin. Le contre-torpilleur Arualette, envoyé à la irechenehe du lieutenant Bague, vient de rodiotéHégraphier à la préfeotaie maritime qu'il n'avait pu découvrir l'aéroplane. L'émotion à Nice est extrême. Lo comité d'aviation de Nice fait demander à tous les commandante de navires en partance d'exeocer une surveittaiice très active en mer. Des «rdres viennent d'être donnés aux con> tre-torpiffieurs actuellement à Nice à partir à la reclieirche de l'aviateur. Le lieutenant Bague avait exprimé le désir de n'être pas convoyé. Nice, 5 juin. Le général de division Ducray, gouverneur do Nice, fait connaître qu'il a. reçu le 5 juin, à 4 lieures, le télégramme ci-joint expédié à 2 h. 10 par lo commandant de la marine d'Ajaccio : « Je reçeis do diverses sources des demandes dio -renseignements sur le lieutenant Bague ; je vous serais obligé de faire savoir que toutes les réponses seront adressées par la voie du général gouverneur ; pour le moment, je ne sais rien ; l'.-lr&aleMe est sur le trajet d'Ajaccio à Nice et je suis inquiet. » Depuis 9 heures du matin le gouverneur téléphonera les renseignements au fur et à mesure de, leur rétteption ; VArbalette venant d'Ajaccio était à 4 heures et demie en vue du port do Nice ; le commandant a demandé par télégraphie sans fil au Fantassin, qui est axi port, si on avait des nouvelles de Bague ; sur là réponse négative de celui-ci, l'.4rbaict<c a repris la route corse i>our continuer les recherches.

A SATNT-OUEN i . ) Paris 5 jtun. Demain courses a Saint-Ouen. Partants et montes probables : Prix de la Limagne • Austral (R. Sauvai), Lè-pott-f piot (W. BéMSl, Saint-Rémi (ilollobonne), CBnone * (F. Hardy), Guwsneil (Collier), Alexandre (Herthier). Prix du Gevauxlan : Notable (HoUobone), Castelfranc (P. Salajnajgnoai) , Rhama-II (X), Mieila (r>.' KaUey), Familier (Maisonnave), NMcfacnro (Lovegro -i ve), Lebnan (Thibault), Ugly-Bird (E. Lassos), Tyrc^ liennie-II (X). Prix du Cantal : Floriculture (HOigan), La-Bidassoa (J.-B. Moreau), Saint-I^on (RoMs), Fontenayaux-Rosea (C. HaLsey), Isola-Madre-II (Cottencto). Kama (Oartwrtght), Solo-lV (Langford), Mourlau (Entwist-lei), Lemo-n -Robert (E. Hardy). Course de hai«s annuelle de Saint-Ouen : MerryEnigtit (O'Léary), Saint-Just-II (R. Sauvai), Crossop«yilon (Barre), J-im-Crow (A. V. Ohapman), Blagueur-, Il (G. l'arfrementl, Ohamcerqps (W. Héadl. Fofnloa(Ha,rdy). Coakfleld (C. Halsey), Ovide-II '(J.-B. Moreau), Canpe-Diean ('l'iiibault), Valdadion (Bourdale), Boiéro-ri (F. Hardy), Ca«aJ)lanca-IV (O'Comvor). Prix du Puy-de-Dôme : Journalis-to au Mon -Cliéri. (F. Hardy), Hypnos (R. Saura:I), Montagnard (w. Head), Sieglinde ou Galiax (Parfrem«nt), Monijstir (P. Woodland), Feurde-Bengale (Thibault). Prix de l'Auvergne : Causerie (Defeyeii-), ï;ainont R. Sauvai), aioisy-le-Roi (Gemers), Sunrise (Parfrement), Sinaï (W. Head), Le-Jauno (Barre), Consolation (A. Benson), Dunsaur-II (Thibault), Jolm-Wiliio (Ilogan), Itliaeiue (X), Platine (F. Hardy), Partant douteux : Kama (X). rronoslica Paris-Sport : Austral, Salnt-Romi — Ecurie VcîlPi-card, Castelfranc — La-RidasEoa, Florioultuxa — Ecurio Veil Picard, Saint-Jnst -n — Ecurie Veil PiOaand, Hypnos — Sinaï, ir.préscntant tioucichaux. La Liberté : Austral, (Knone — Castelfranc, rcjprésentant Picard — La-Bidassoa, Florieuilture — FMI. rie VcU Picard, Carpe-Diom — Montagnard, Hypnos — Causerie, Représentant Goudchaux. L'intransigeant -. Austral. Saiint-Reanl — Casteltrane, Représentant Picard -- La-Btdassoa, Floftcuilure — Ecurio Veil Picard, Merry-Knigiit — Ecurie Veil Picard, Hypnos — Sinaï, Le-Jaunc. Les Débats : Austral, Alexandre — Ecurio Veil Picard, CasteiUraoc — La-Uitlassoa, Lemont-Robert — Saint-Just-II, Valdnhon — Fcu-de-Beosal» Mon taguanl — Causerie, Suniiso.

Paris-Rome-Turin La marche de Vidart Borne, 5 juin. L'aviateur Vidart-, parti co matin d'OrtobeUo a 7 h. 52 est arrivé à l'aérodrome de Pariolà à 9 h. 15. Il a atterri lieureusemeut, après un magnifique vol plané. Lorsqu'il est descendu, son frère et sa bellesœur l'ont longuement embrassé ; l'aviateur, qui était très .entouré, a été l'objet d'ovations enthousiastes de la part des commissaires d'aviation, des journalistes et d'une foule nombreuse. Vidart déclare avoir fait un voyage heureux, il se montre visiblement satisfait d'avoir pu, après do nombreuses péripéties, atterrir à Rome par un temps merveilleux. L aipparci ldc Vidart a été remisé dons un hangar et 1 aviateur, après une colJation, est parti en automobile pour Borne, où il a reiohit Beaumout au Grand-Hôtel. La marche de Leprince

Toulouse.... Puy-4»-Dom,8 Pio-dti-Mtdi Perpignan. , Bordeaux. . ,

fii. 9 68.1 63.2

ÉTAT SC CISL

28.6 S. E. f.p. n. li.9 S.E. a. f. b. 6.8 E .M.B. I. D.

iiliË DE TOULO

BÎ.MU. KAXHS

13.1 10.2

0.5

Ho.tf 14.6 6.0

Chancellerie de la Légion d'Honneur Le conseil de l'Ordre national de la Légion d'honneur a arrêté aux chiffres suivants les extinctions notifiées dans la Légion d'honneur et la médaille militaire, ainsi que les vacances produites dans l'Ordre par promotions ou radiations, au cours du semestre expiré le 31 mai : Avec traitement donnant lieu à remplacement : grands-officiers, 10 ; commandeurs, 34 ; officiers, 114 ; chevaliers, 018 ; médailles militâmes, 1,175. Avec traitement ne donnant pas lieu à remplacement : grand-officier, 1 ; officier, 1 ; chevalier. 1. Sans traitement donnant lieu à remplacement : grands-officiers, 2 ; commandeurs, 5 ; officiers, Si ; chevaliers, 187. Sans traitement ne donnant pas lieu à remplacement : commandeur, 1 ; officiers, 13 ; chevaliers, 28 ; médailles militaires, 10.

TIMBRES-RETRAITE Par arrêté du 3 juin, la vente des timbresretraite de toute catégorie sera effectuée par les débitants de tabac, par les receveurs-buralistes et par le personnel des postes et des télégraphes. Une remise de 0 50 pour cemt est attribuée aux préposés de la vente.

Fédération des Société Musicales du Midi Fédération des Sociétés musicales du Midi 3" Fête fédérale à Lézignan (Aude) le dimanche 25 juin 191Î La Fête de la Fédérataon sera clôturée par une audition artistique qui aura lieu lo di manche 25 juin, à 9 heures du soir. Pendant cette audition aura lieu la distribution des prix des divisions d'Excellence Des démarches sont faites auprès des Com pagnies de Chemins de fer afin d'obtenir des trains supplémentaires qui quitteront Lézignan dans la nuit. Gela permetta-a aux étrangers d'assister à 1 audition du soir sans être tenus d'attendre au lendemain pour quitter Lézignan. Ces démarches sont près d'aboutir. L'horaire spécial sera putoMé on temps opportun. Le Comité. Pour tous reoseagneiiienifs. s'adresser à M .IrdesJiiles Alquier, secrétaire général du concours à Lézignan (Aude).

LE CHEVAL DE GUERRE Concours de Saumur 17. 1S et 10 juillet) Nous croyons tstiHo do raipppler quf> tes crarajipmente pour le concoure cernerait do la Société Âu Œwval de guerre, qui doit airair dieu A Saumur lïï H; w et 10 _ Juillet prochain, dereront Mrs adressés au Secrétariat, de la Soctôtft. 43, rue de tStowne 11 3Uta procthain du^lr ^ " . a™*, 0 heures Le momemt approcflia donc où tous les nrorvriétaires et. «eveurs Intéressés devront inscrire-leurs chevaux pour ce concours qui est appelé à avoir cette année, uno importafnce exre,ntionue'Me ' Sans nous «tend*» sur les détails du programme qui sera envoyé à tous ceux qu i en feront w de' S****», f rue d» LiJttwmine, à Parts, notons rapidement les innovations qui signalent le Concours de Saumur en 1911. Tout d'abord, U comporte uno sérieuse augmentation : 55.000 îranes seront distribués en primes coupes, campionnats et épreuves diverses au lieu «le 42.000 francs en 1010 ; une catégorie nouvelle a été fipécialeiinent. réservée, comme on Je sait aux produlis issus d'un étalon de demi-sang et d 'une joment de pur sang ; et ce ne sera pas la moindre attraction du concours que de cojrçparor dans les coupes, les championnats et îles éto-reuves d'obstacles les produits du croisement inverse avec les nrodiiii1 du croisement direct ! Certaines réclamations des éleveurs d'anirlo iri bes ont également reçu satisfaction : le mmimmn de la taille a été abaissé et ramené à 1 m » te modification aux errements antérieurs' nous Lt une garante (pie nous verrons a Saumur es mell aeurs types de cette race si intéressante à laouel e nous devons l'élite de nos chevaux do cavaleSe" lé-

LES ACCIDENTS DE CHEMINS DE FER Un déraillement Madrid, 5 juin. T, . . T . ... Ni&°. 5 Juta, Une dépêche officielle de Jaen annonce que L aviateur Leprince a quitto ce matin Nice le train-poste a déraillé près le Linarès. il 4 heures, se rendant à Gênes. Après avoir Il y a 11 blessés dont 3 sont dans un état roulé une quarantaine de mètres, U a décollé Si,grialons que toutes les primes inférieures mi M graV6 facilement en une superbe envolée ; il a pris, relevées et que «lur n^nbro m a été ^uSnentl ' LE CHOLERA au-dessus de la mer, la d^recUon do Gênes • dans cliacrufl catégorie do façon a «aroottï i Triesto, 5 juin. en quelques instante, il avait disparu à Vhty que possible, tes propriétaire» contre es Awies de déplacement onéreux ; do même aussi m„ En raison de cas do choléra qui se sont rizon. dernier, pour faciliter et provoquer les traïknet produits à Venise, des mesures ont été prises L'arrivée à Cènes mules, la carrière sera réservée ch.a rii'-,,™. çonimerç-i-ales, «n7joùr pa.r le miniistèiro du commerce. i_ . „ Paris, 5 juin. à une he.urw déterminée, jK.i„- la préseni-u i,„, „; Gènes, G juin. Les facilités qu'on- a coutume d'accorder aux Gustave Hervé adresse do la prison de la Leprince, parti do Nico a 4 heures, heure l'essai des chevaux â vendre dont laHtoS sera nfn U 0 ireur ,iïénér -1 unc le «ro par navires non suspects provenant de Venise, ou «te le début du encours. Ainsi d'ameum mi'ori « ii I^? ïM française, est arrivé à Gênes à 0 h. 47, heure «liée point de vue des formalités sont supprimées i!lr 1 wtour pu le constater l'an dernier, lo concours du sàu \ f, ' de l'article jusqu'à nouvel ordre. itelieinno, battant le record de vitesse des pré- amur 90 funel w se trouve être doublé d'un Important m-ii-èlié Î^TÎln™ S^. ? ?i du colonel MoU », cédents avaiteurs. L'heure italienne étant eau de chevaux de selle. Les excursions par bateau de Trieste VeS0CialC 60113 la ?Un stms «isnaturê nise sont suspendues. avaneo die 55 minutes sur celle de France, ltoîupelou» «sufln quo co concours est encadré de l'aviateur n'a donc mis en réalité que 1 h, 42 deux réunions «te courses à Verrie Saumur les 10 Concours hippique de Narbonne ^}Lûfmnnd(b m conséquence, d'être inculpé ACCIDENT DE TRAMWAY et fin juilJet ; ainsi remanié, complété et autsnnenié .minutes pour parcourir les 170 kilomètres qui ÏYoisténie journée séparent les deux villes. le Concours de Saumur •» do lt«,l T>1US enc i"i'i promet iiiouiei pins encLondres, 5 juin. Os Diane. iaW/Uft, handicap. — L Valew core. si possible, que les le» années précédantes un M Hervé ajoute qu'il est également l'auteur L'arrivée de Leprinco a été sple.ndido. Lu" voiture de tramway a déraillé à Stral- lit,Prix 1" spectaic.h' du plus viif tn fra-roes. Dock, a M. T &et, a^us-inteiruWii-t, par le ltérêt auquel ne sauraient B& toi» les articles parus dans la Guerre bridge. En dieseeurimm. d 'environ. <",0 mètres il a t i Hwt«r«m< Py, du 06* d'artlMeirie ; ï. valeur MO (T.. atterri en frôlant légèrement ]* palissade man.qiu-.r rte participer tous ceux <iut, en Franc*, '«X •'Intéressant k l'élevage du <wo oli«y*l d» sell»,

Gustave Hervé et la « Guerre Sociale reSîîii I 1 S ^' ô 5

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

(Ephémérides toulousaines

de la veille

S JUIN Saints du jour : Saint Norbert, Saint Claude. Fêtes à souhaiter : Saint Stanislas, Saint Lié. Lever de la lime, 2 h. S0 soir ; coucher, i h. S3 matin. Lever du soleil, i h. ii ; coucher, 7 h. $0, IL Y A CINQUANTE ANS 0 JUIN 1801. — Procession de la paroisse du Taur. — M. Edmond de Planet est élu membre de l'Académie des sciences, inscriptions et belleslettres.

L'Ancien Grand Séminaire L'ancien grand séminaire de la rue du Taur est un des monuments les plus vénérables de Toulouse par son antiquité, par l'hospitalité qu'il offrit pendant quatre siècles aux jeunes étudiants do la province périgourdmc d'après la fondation du cardinal de Périgord, parla formation sacerdotale- qu'y reçut pendant * le siècle dernier le vaillant clergé du diocèse. Les lois récentes ont changé sa destination. Des constructions nouvelles le transforment. Une assemblée de délégués de l'Université, de membres de la Société archéologique et de la Société du Vieux Toulouse, a arrêté, de concert avec l'architecte de M. Tilhet, les mesures propres à conserver, autant que possible, les tracos de multiples souvenirs que rappellent la maison forte des Maurand et les pieux établissements d'instruction ecclésiasitque. A l'angle de la rue du Taur et de la rue Périgord, s'élève encore la puissante tour carrée des Maurand dont la salle du rez-dechaussée voûtée d'ogives, date dos dernières années du douzième siècle. Les deux petites fenêtres cintrées sur la rue Périgord maintiennent son caractère et sa date. Il est probable que des jours analogues .s'ouvraient sur la GrandTUie, commo on l'appelait au moyen âge depuis lo château Naalionnais, mais devant l'incertitude et la nécessité d'y voir plus clair, la nouvelle fenêtre actuelle ne sera pas changée. Mais la grande fenêtre cintrée de la salle du premier étage, rétablie au quatorzième siècle, sera rouverte sur toute sa largeur sur la irue Périgord. Sur la façade, les belles briques épaisses contemporaines de la tour seront délivrées du crépi, remises au jour, rejointoyées et leurs tons cuivrés par les siècles reparaîtront sans être profanées à nouveau par la peinture rougo, si chère, hélas ! à nos maçons actuels.. On tâchera de conserver au moins les traces de quelques dispositions anciennes, particulièrement do la porte gothique surmontée d'un arc en accolade du quinzième siècle, que l'enlèven lient du crépi a tait réapparaître, avec ses saillies et sculptures rasées au niveau du mur. On ne peut songer à rétablir le, fenestra-ge du douzième siècle dont il reste cependant quelques amorces et dont M. SaintRaymond a présenté à la Société archéologique une élégante et très vaiseniblablc restitution archaïque. La galerie du rez-de-chaussée et de l'étage sur la cour en pans de bois dont l'aspect pittoresque s 'embelllit encore par les cascades des glycines et des vignes-vierges, seul témoin du vieux collège do Périgord sera religieusement conservée. L'Express parlera du monument, avec plus de détails, lorsque les nouvelles dispositions seront terminées. Il peut louer déjà la salle de la bibliothèque universitaire, spacieuse, ajourée, s'offrant à souhait aux studieux. Mais il ne saurait clore ces lignes sans exprimer un douloureux regret devant les bouleversements qui font disparaître un si véii'/rable passé. Les choses elles-mêmes pleurent : sunt lacrymx rcrum. On ne saurait imaginer l'aspect mélancolique et presque lugubre que présentent le jardin, ses arbres sous lesquels personne ne passe plus, et qui n'étant plus taillés, laissent tomber une ombre sinistre sur les allées où se succédèrent tant de pieuses causeries, de saintes méditations et- de prières. Et la chapelle, un des joyaux de l'art toulousain, désormais vide, sans âme, à peine visitée par quelques rares curieux, a perdu son âme et son accent. Certes, les professeurs de l'Université tiendront à honneur do la garantir do tout péril. Mais quo peuvent-ils contre l'abandon, l'élernelle solitude, l'envahissement de la poussière et de l'humidité V Déjà les herbes folles couvrent, comme celles d un cimetière, le préau au-devant de 1 od™!™^', porte, les marches de l'escalier et P^^f?! même dans les couloirs par les vitres cassées des fmêtres. Uno église désaffectée comme ledit l'euphémisme actuel, est un monument perdu Voyez co qu'est devenue celle dos JaAr,W« *•*> "E •'. cobins I

Conférence sur l'A. C. J. F. A L'INSTITUT CATHOLIQUE C'est aujourd'hui, à cinq lieures précisée, qu'auira lieu à l'institut Catholique la réunion organisée par lo Comité diocésain de 1 Association catholique «le la Jeunesse française. M le chanoine. Lassalle, aumônier diocésain et «lu Comité régional, et M 0 Joseph Ducuet avocat à la cour, président «le l'Union régionale du Midi, rendront compte du Confire» national tenu récemment à Paris par l'Association • ils diront, quelle tradition sociale •» suivi i "association depuis vingt-cinq ans et, d« qmlks 1 or ce s elle dispose pour continuer avec succès une tâche «le rcehristinnisation. M. le vicaire général Assdeu présidant réunion et prononcera, 'une allocution. MM. les ecclésiastiques sout spccialerûe»t Vltés.

On entre sans carte.


MARDI 8 JUIN Cau'ioMe ; Jean Subra et Céline Diles ; Jean. Malheureusement, il a mal choisi son charmante qui doubla certainement, aux ECHOVEMENT D'UN CHQISEVK Rouhivhou et Jeanne -Ma rie -Françoise La- heure. de tous, la valeur des mets exquis qui porte. Depuis quelque temps, en effet, U se proLES DERNIÈRES PLACES tarent servis par le grand établissement de la Halifax, 6 juin. LABASTIDE-DE-SEROU. A M. Charles, duit dans la République ce que l'on iiourra.il Le navrire de guerre français d'Estrée*. al, Lee listes d'adhésion pour le voyage que rue de Metz. ippeler une éruption d'affaires véreuses qui conseiller général. — Ecoute Charles, je rotaiit de Boston à Saint-Pierre, s'est échoué hier Un orchestre, dirigé avec autorité par le vgrpn-** orgîuiise en lvspagne, à l'occasion du flïiie mon paletot, je retrousse mes mainches et nous remettent en mémoire d'autres histoires .« l il'' George-HaUfax. K>ngrès Eucharistique international, vont être maestro Bonnemaison et qui groupait quelALAN. — Accident. — Hier matin, a huit jo te tutoie, toi le provocateur dies injures gra- non moins malpropres sur lesquelles la siil s est renfloué a midi, par ses propres forques-uns des meilleurs artistes de Toulouse heures, le nommé Arquier, soldat dans la lécloses. tuites, toi qui restes toujours caché dans l'om- lence s'est fait à l'heure précise où la Républise (lt entendre au cours du repas. Les lecteurs et amis qui formeront cette inté0 e Tmn du liilote étrangère, en convalescence à Alan, vou- bre. U faut en finir avec toi, quand lu devrais que souhaitait qu'il n'en fût plus question. Beaucoup de dames et de charmantes jeu- gion '•hridenT ' * Qui a occasionné Les scandales anciens reparaissent en àêssante caravane ne pourront que ae féliciter lut aller faire un tour à bicyclette En, dea (e cacher sous terre et patiemment attendre la ta L'occasion unique que nous leur offrons de nes filles rehaussèrent de leur grâce le char- dant la route départementale n* 23 (allée des prescription de l'oubli, du pardon ci de la pi- même temps que naissent les scandales noucette exquise réunion. . Visiter Madrid et la Castllle, dans des condi- meA de tié. Qu'as-tu fait ? Grisé, illuminé par le mirage veaux et comme il vicnl presque toujours en Le Vol clvi Toi-pillGXlI» Lh-oure des toasts, M. Decaux, président de Marronniers), il no put arrêter sa machine tions exceptionnelles de confort et de bon Le tournant situé à cent mètres de la ville est do la grande révolution, semblable aux saute- pareil cas, l'opinion publique dépasse Te but la Société, prit le premier la parole En termarché. , , Dunkerquo, 6 juin. presque à angle droit et très dangereux ; aussi, relles, tu t'es abattu un jour, cherchant for- et se défie de toutes gens, de toutes choses. » Sur demande du service de la Sûreté, les La si ciété toulousaine sera brillamment re- mes délicats, il but à la prospérité de la So- par .suite do la vitesse, acquise, le susnommé tune, sur le canton de L,abàstlde-de-Sérou, ciété! et de ses membres. autorités martimes du Havre ont donné l'or. présentée. jraihaiit à ta suite l'orgueil, l'envie et la jalouM. Vedet de Nd-rtigues lui succéda ; avec est-il allé se jeter la tête en avant contre le sie. dre au torpilleur *M, qui se trouvait dans le Pour te rendre moins sinistre, tu t'adjoi- Lis Moiipss du Diocèse oui» V Nos adhérents — parmi lesquels les dames mur du jardin de M. Artigucs. Il s'est grièveil porta la santé des convives. pou, de rallier Dunkerque. font dans vcm notable proportion — appar- esprit Angoulènte, 6 juin. . Puis M. lo député Honoré Lcygue, président, ment blessé à la tète et aux mains ; tout en- gnis quelques esclaves. Tu promenas ta rcdiinle navire est arrivé hier. Bermept à toutes les classes sociales : clergé, d'honneur do la Gontto-d'Or, prononça une sanglanté, il a pu néanmoins se' rendre çnez gue plusieurs fois autour du canton, convaincu Hier a ou lien une magnifique assemblée Lu matelot a été arrêté aussitôt et mis au barreau, finances, industrie, commerce, agri- allocution très applaudie. M. le docteur Carbomicau, qui lui a panse ses Sue cela te ferait une popularité et que tu fe- des catholiques du diocèse, sou» la présidence secret. culture, etc. , rais tomber tes 'ennemis comme tombaient de Mgr l'évêque d'Angoulètnc et de Mgr l'éDo la salle Au banquet on passa dans celle nombreuses blessures. Le -service de la Sûreté verrait dans ce maPour retenir les dernières places — et nom concert. Touir à tour des altistes aimes du MURET. - Soirée musicale. — L'Harmonie autrefois les murailles do Jéricho devant les. voque de Pértgueux. fnn< le« renseignements — s'adresser u M. laa- du originaire d e Saint -Orner, le vrai coupapublic toulousain!, Mines Baby Fernal, Benetti, Dalavrac nous a servi, hier soir, ses airs les trompettes de Josué. Si tu es privé à être élu M. Henri Bazlre a prononcé un discours sur rin, mmisîratéur & ViUvreu. 25. rue Boquetame. Me du vol à bord du 356 ; il aurait eu des comMM. Eonteix, Bamieux, Bélaval et l'excellent plus doux ; elle a voulu se faire pardonner le au conseil général, tout le monde sait com- 1' « Union catholique et l'action sociale » de1 To>i louée. plices. chanteur qu'est M. Bosc de LavareiJle se fi- retard qu'elle a apporté à se faire applaudir ; pënt et quels sont les procédés quo tu as em- vant quinze cents personnes. En effet, le factionnaire se rappelle avoir rent entendre dans des morceaux que le public mais, pour cela, elle n'a rien perdu pour at- ployés. Tu ne reculas devant rien, tu tendis la L'orateur fut acclamé alors qu'il annonça u, le soir du vol, deux individus sur un rasouligna de ses applaudissements. dans tous les coins du département. que les catholiques combattront énorgiqueLes Banquets du Dimanche tendre. Des auditeurs très nombreux se pres- «jUBe eau ; l'un d'entre eux portait une lanterne En résumé, fête des plus brillantes, des plus saient sur nos allées et ont écouté avec une Chez les uns; tu implorais la pitié eu deman- înent la loi scolaire Steeg et lu violeront si sourde. LES 1R0DUCTEURS DE LA VIOLETTE complètes et' des plus variées qui fait lo plus réelle satisfaction les airs variés qui nous ont dant leurs voix ; chez les autres.c'était les pro- elle est votée telle qu'elle est projetée». D'autre part on aurait trouvé les outils qui Hier matin, dimanche, avait lieu, à la salle grand honneur à ceux qui en furent les erga- été donnés ; tous ont apprécié l'ampleur des messes et chez d'autres les menaces. raren* à fracturer la caisse. • Comment feras-tu pour tenir tout .ce que tu gesquières, à Lalande, le banquet annuel do la rjp , r.-urs dévoués. thèmes bien conduits, bien dirigés, la finesse as promis ? Toi. l'homme loyal et juste, tu 4ci, a Dunkerque, l'impression est d'une masociété coopérative des producteurs do la viodes sons, leur élégance, leur expression, leur n'ignore pas quels sont les procédés honteux nière générale qu'on tient le principal coupalette de Lalando. souplesse toute remplie d'une merveilleuse in- gui t'ont servi. Ceux qui furent contre toi, malDispensaire Marin Compiègne 6 juin. \ midi précis, près de 100 convives avaient Consultations gratuites les mercredi et ven- géniosité. Nous avons surtout admiré les son ,sm tout, restant debout ; avant peu tu «auras Hier a ieu lieu à Compiègne, comme nous pris place dans l'immense salle, autour do exécutés par la flûte, qui, en modulations tables abondamment servies. M. Lambertin, dredi de chaque semaine, de 3 à 5 lieures (19, d'une délicatesse infinie, a ravi nos oreilles (jet tu le sais déjà) que quoique élu tu n'es pas l'avions annoncé, la seconde journée des fêtes moins le vaiucu.Le flanc troué par mille bles- de Jeanne d'Arc. •président de la Société, préside, entouré de rue de la Chaîne, Toulouse). Lo sérum de Quioton s'adresse, avec un suc- et ravivé nos sentiments pour le beau. sures, la tête meurtrie et ensanglantée, tu es Comme le 28 mai, le défilé a été superbe et Belgrade, G juin. MM'. Dubois, président de la. Société régionale Un public nombreux, délicat, intelligent, a cès confirmé par de très nombreuses guériçouché à terre comme le guerrier qui meurt ; le tournoi très réussi ; l'afflucnce des spectaD'après une information de source officieurte crédit ; Théron de Monlaugé : Amédée et applaudi nos artistes, qui, nous il ne te reste que tout juste la force de tourner teurs était énorme. se, le conseil des ministres aurait décidé hier, gepy, conseillers municipaux ; Soula, prési- sons opérées dans le dispensaire de Toulouse, chaudement bien, continueront à nous donner ton visage cadavérique du côté de l'ennemi, dent du Syndicat des maraîchers, et des re- à toutes les maladies qui demandent un relè- l'espérons Vers 5 heures, après- la mêlée générale, la pour des raisons d'Etat, d'ajourner à l'automne des soirées artistiques et récréatives qui charqui est toujours là. et, épuisé, tu attends ta distribution solennelle aux vainqueurs a eu le voyage du roi à Paris. présentants do la Société dans les diverses vement de l'état général et à toutes les infec- ment toute notre population. tions trop souvent causées par un affaiblissedernière heure avec un sombre désespoir. Rome, 6 juin. lieu. 1villes où fleurit le commerce do la violette. ment do l'organisme. La foudre. »- On nous apprend que la foudre C'est pour cela que tu fais injurier à plaisir Au ministère des affaires étrangères, on asDurant ce temps.les demoiselles entouraient Les convives ont l'ait honneur à l'excellent On traite, au dispensaire, les entérites, gasserait tombée, vendredi dernier, aux environs dans tes journaux, où l'on trouve tout le .vocamenu, comme des travailleurs heureux de le mai fleuri, gracieuses -sous, leur hennin sure que la formule vague des raisons d'Etat blanc et les dames de la halle ont chanté dé- qui font ajourner le voyage du roi de Serbie ;V fêter les excellents résultats obtenus par leur tro-entérites, diarrhée verte, eczéma, neuras- de Vilate, sans occasionner aucune espèce d'ac- bulaire de la poissarde, des quatre saisons. thénie, chloro-anémie. : C'est toi ij feul responsable des injures que licieusement l'hymne final sur le thème de la Paris, n'est autre que la situation balkanique cident ; les propriétaires de l'immeuble sur travail et leur union. lequel la foudre serait tombée étaient a la tu fais répandre, toi si bien disposé nar tes Symphonie triomphale d'Hector Berlioz. plus grave qu'elle n'a jamais été depuis l'inAu dessert, M. Lambertin a résumé l'œuvre foire d'Auterive et n'auraient, à leur arrivée : amis pour être passé au laminoir, nous t'y Vie la Société et énuméré les récompenses qui Dans celte même journée, à Margy, fau- corporation de la Bosnie-Herzégovine. Accident au Vélodrome passerons. constaté que quelques dégâts matériels. lui ont été décernées, au cours de l'année bourg de Compiègne, la première pierre, d'une Dimanche soir ver6 4 heures 45, au vélodroN'jiis ne sommes iplus au règne do Boudet, église dédiée à la Bienheureuse Jeanne d'Arc dans les diverses expositioni M. Dubois a VILL£MEUVE-DE-Hi VIËBE. — Fête de pre me du Bazecle, pendant la course de demioù tu fus le grand dictateur "du canton, -en assuré les coopéra leurs do la intitiuatlon de a été posée solennellement. mière communion solennelle e! de la Bietiheu son dévoué concours et a an uicé aux con- fond, par suite de la rupture d'une des pièces reuse Jeanne d'Arc. — Dimanche dernier, a ipême temps que le pivot du département Compiègne, réputée h juste titre pour les Constantinople, 6 juin. vives que l'heure est venue oi grâce aux bé- de sa machine, l'entraîneur nipper a fait une été célébrée, à Villenouvede-Rivièro, la dou- Mais aujourd'hui, et quoique conseiller géné honneurs a-eudus -à la Vierge guerrière, aura Lo sultan, accompagné dm grand -vizir et dfe chute entraînant avec lui sou Stayor Saintrai. de nom, tu es obligé d'abdiquer ta puis- le mérite d'avoir reconstruit le premier sancnéflees réalisés, l'appel à la carsse (te prê- Criq ble fête de la première communion et de Jean- sance qui n'est plus qu'un mite, tu es réduit à pliu-deur-s iminiisircs, est parti hier à 5 h. 45 et provoquant celles de Lûmes et Gailvoyance est devenu inutile et où il va falloir tuaire sous son vocable, cela à la place même lard, qui se trouvaient immédiatement der- ne d'Arc. moins que rien ; l'on t'en a donné la preuve, où la sublime vaincue fut faite prisonniète pour Salouique, à bord d'un eultassé. au contraire, répartir des bénéfices. M. Amé Si la foule fut nombreuse l'année dernière, on la- continuera encore. Et comme le Bias Les princes et Djavid Bey, ancien ministre rière lui. Bipper a reçu de fortes contusions dée a apporté lès excuses du maire de Ton des finances, invités spécialement par le sulù la tête et un thorax ; ses trois camarades celle de cette année-ci l'était peut-être encore tu n'as plus pour toi que ta jactance, tes par les Anglais. Jonse et exprimé les sympathies de l'adminis davantage. Sous la direction habile de l'orgatan, ont pris place à bord du yacht impérial. eu que de légères contusions. Ils ont mensonges, ta vanité et tes vengeances. fe'iîk>n municipale pour l'œuvre de la So- n'oni reçu des soins de M. le docteur Frézières, as- nisateur, M. le curé, assisté de M. l'abbé BerMahmoud Cbovket Pacha, qui devait accomEst-ce la France, l'amour de ton pays ou du ciété. M. Tneroii de Montaugé a porté un fsLsté d'une équipe de sauveteurs. La course a nèdo, aumônier du collège de Saint-Gaudens, pagner le sultan, est resté ici en raison du canton qui t'a donné ton hystérie guerrière 1 .toast on enfant du teuroir, journellement été interrompue par suite do cet accident. qui officiait, la jeunesse catholique et la con- Non I il n'y avait qu'un seul mot dans ta boumécontentement des officiers causé par l'aAu 11° cuirassiers mêlé à la vie des producteurs (ie violettes et grégation des Enfants do Marie ont chanté la che : tnornper tout le monde. doption du projet do retraites militaires voté Paris,. G juin. des maraîchers ; M. Délieux a remercié, ad messe do Bey, à deux voix, fort bien réussie'. par la Chambre. Anatole DE B OUZAUD. ^nom des jeunes, les fondateurs et les vétéLes Vols Un nouvel incident s'est produit, dimanche Toutes les' jeunes filles de la paroisse ont On assure à ce propos quo de nombreux rans ; un tic nos collaborateurs a remercié au •matin, à Saint-Germain, entre le capitaine de officiers ont télégraphié au ministre de .la Une enquête M ouverte au commissariat du édifié l'assistance, en accompagnant avec les jpom de la presse. Gail et le capitaine Hochet, du 11' cuirassiers 4 a arrondissement relative ftû vol de sept la- pères et les mères de famille, ainsi que beauguerre, protester contre le projet qui, Et la réunion s'est prolongée bien avant pins et de six poules commis au pï $Jttuî«v dv coup d'autres personnes, les communiants très Le capitaine de Gail ayant rencontré, de- disent-ils.pour CASTRES. — Recensement des chevaux. est inadmissible. 'dans l'après-midi, au milieu de la gaieté et de Mlle liard, demeurant à Croix-Daurade.' vant la gare de Saint-Germain, le capitaine rwvicillis à la Table Sainte. La commission de recensement des chevaux Hochet, a giflé celui-ci, qui a protesté à coups Ajoutons qu'une dépêche de Salon.ique anla plus franche cordialité. — Au cours de 1 nuit de dimanche à lundi, L'église était gracieusement décorée pour la qui seraient affectés aux troupes en temps de de nonce que c'est à Prenitza, dans le district de canne. LA FÊTE DE L'UNION DES SAUVETEURS des malfaiteurs se 'sont introduits dans les circonstance. où doit se rendre le sultan, que l'on guerre, a fonctionné à Castres, dans l'aprôs Des passants sont intervenus pour séparer Kuprulu, a découvert les 42 kilogrammes de dynamita Hier a eu lieu la fête de l'Union des Sociétés magasins de M. Saint-Seroiin, rue Sainte-UrAux vêpres, après le chant du s PalûT », solo midi de samedi. les deux officiers. Le capitaine de Gail a dé- et sule, eu pratiquant, à l'aède d'un ciseau a les instruments nécessaires pour fabriquer 'de sauvetage de la Haute-Garonne à laquelle Les chefs de groupe ont profité de cette oc magnifique, a eu lieu prccessionnelleméi'iï 1* claré qu'il avait giflé son collègue afin de des bombes. ont pris part les Sociétés des: Hospitaliers Sau- froid, une •ouverture de 0 m. 50 dans une cloi- consécration des enfants à la Très Sainte- oasioîl pour effectuer un exercice de réparti l'obliger à accepter une rencontre. veteurs, des Sauveteurs du Sud-Ouest, des son double donnant dans la COÛT . Des ballots Vierge et à la Bienheureuse Jeanne d'Are, de- tion des chéraux qui ont été désignés pour le •IHH certain nombre de Bulgares ont été arrêBappelons que, le 31 mai denâer, un duel Sauveteurs volontaires do France et des Sau- de tissus ont été soustraits, mais on en ignore vant l'autel et la statue, ornés et illuminés avec lieu où ils devraient 86 rendre eh cas de mo l'épéo eut lieu entre les capitaines de Gail et encore la quantité et la valeur. Une enquête éclat. Le chœur des enfants chantait alternati- bilisalion. Conslantinople, G juin. veteurs Volontaires de Gascogne. Fouchet, du 11* cuirassiers. Ge dernier fut lé C'est ù bord du cuirasse Kaircddin que lo A 2 heures, dans la salle du théâtre du Capi- riat 3du 7 e arrondissement contre inconnu, vement avec ceux de la Jeunesse, des cantigèfement bleseé à. l'épaule droite. Ivre-mort. — Un ouvrier peintre de Castres, dissement.. . •sultan s'est embarqué, hier après-midi. tol© brillamment décorée à cette occasion, a ques préparés avec soin. « L'Etendard », ce L 'origine de la querelle était un propos tenu — Procès-verbal a été dressé, au commissa- beau chant populaire, a été merveilleux. Voilà le nommé G. V..., qui avait un peu trop fêté SU lieu la distribution des récompenses. Les princes impériaux, le khédive, le corps la dive bouteille, a été ramassé par la police, par le capitaine fle Gail au sujet de l'inter- diplomatique et les hauts dignitaires étaient La cérémonie était présidée par .M. Gatimel, riat due 7° arrondissement, contre inconnu, un chant que toute la France devrait chanter représentant M. le maire, ayant à ses côtés sur plainte de M. Bascans, demeurant rue de à l'unisson en l'honneur de la sainte héroïne. qui, vu son état, a dû le faire transporter sur vention des troupes d-ans la ense champe- venus saluer le souverain, qu'une foule consiun chariot à la geôle municipale pour y cuver noise, propos qui avait été rapporté au com dérable a salué de ses acclamations. M. Leygue, représentant M. le préfet, le capi- Cugn.aux, 88, peur vol d'une somme de 60 fr., Cette belle îèto s'est clôturée pour ainsi dire mandant Bocher. taine de f régale Adam, M. Méric, officier d'ad- vol ç/jrnmis pendant sou absence dans l'ar- par un beau sermon de M. l'aumônier sur la son vin. Le sultan passera la, revue de l'escadre a," Cette rencontre ne devait pas clore rinc.ixlent moire de sa cuisine, à l 'aidé de, fausses clefs. ministration de 1" classe, M. le capitaine LeKassandra. LAVAUR. — Troupier blessé. — L'artilleur Sainte Communion, qui se Tésume à l'exaltaEn effet, lo capitaine de Gail envoya ensuite rite, M .1: Pendant l'absence du souverain, le corne!! iDointe. .le docteur Gendre, président de tion des vertus du Saint-Père Pic X, de celles blessé samedi matin, en voulant éviter une ses témoins au capitaine Huchet, officier d'orion, MM. if présidents, des Sociétés Unioautomobile, est rentré hier à Toulouse. Il ne donnance du général Garenne, qu'il rendit des ministres sera présidé par le clieik-ul-lsde Jeanne d'Arc et de tout faire dans sa vie A la Gare es et MM. ns délégués des Sociétés cilarn. une prière continuelle, en vue de Dieu, se ressent plus des troubles internes. Son bras nesponsablo de l'indiscrétion commise. Lo nommé Achille Cavalio, sans domicile comrna après, représentées à la fête : et sa main gaucho sont légèrement eontusionpar le travail, la charité, les bonnes œuvres, Mais celui-ci refusa de ee battre parce qu'il Fédération des Sociétés de secours mutuel fixe, a été arrêté hier soir, à la gare, pour in- afin do goûter le bonheur sur la terre et dans nés; •-, ne s'agissait à ses yeux que d'un incident de 'de la Haute-Garonne; Fédération nationale des fraction à la police des chemins de fer. le ciel. / DOURCNE. — Les fêtes de Saint-Stapin. —- service. Sociétés de natation et de sauvetage ; Vétérans A la suite do ces faits, le capitaine de Gail PORTET. — Volière dévalisée. — Dans la Une commission, dans laquelle sont représendes armées de terre et de mer ; Souvenir franConstantinople, G juin. Les Gens violents nuit de jeudi à vendredi, des malfaiteurs se tés tous les partis, a été nommée samedi der- adressa au capitaine Huchet une lettre des çais ; Sauveteurs médaillés de la Gironde ; L'assassin du procureur général de Mona» nier, pour les fêtes de la Saint-Stapin. plus violentes, qu'il communiqua à ses- camaMme L..., artiste lyrique, est allée se plain- sont introduits dans la volière do M. Jules Anciens militaires des corps d'Afrique et des tir serait un Albanais. C'est ce procureur qui Cette commission, chargée d'élaborer un rades. Le capitaine Huchet a néanmoins percolonies de Bordeaux ; Institut do sauvetage dre hier soir à la Permanence d'avoir été vic- Milhau, cantonnier communal, à Portet, ont avait requis contre l'assassin de l'ingénieur programme de fêtés, se réunira aujourd'hui sisté dans sa résolution de refuser au capide la Méditerranée ; Sauveteurs du Midi à time de menaces do la part de M. B..., indus- escaladé le mur et ont fait main basse sur huit Voila nd. mardi, à huit heures du soir, à la mairie, sous taine de GaU toute réparation par les armes, Mar.-eills ; Sauveteurs audois ; Sauveteurs triel à Saint-Mandé, qu'elle a rencontré à poules, d'une valeur de £4 francs environ. Dans l'espace d'un mois, trois vols ont été la présidence do M. Morand, maire de Dourréol.ais ; Sauveteurs marmandais ; Sauve- l'Eldorado-Skating et qui lui a montré un reteurs de la Charente. volver. Une enquête est ouverte. commis de cette nature dans notre commune. gne. Le Millénaire de la Normandie — Hier soir, vers 9 heures, le nommé Julien Addis-Ababa, G juin. Après un vibrant discours prononcé par M. Nous ne saurions trop recommander encore CORDES. — Arrestation. — La gendarmerie Rouen, 6 juin lo docteur Gendre, la parole est dqnnée h M. Mallé, âgé de 62 ans, sans domicile fixe, a été une fois aux habitants do la localité et des a mis en état d'arrestation des nomades inToute la journée do dimanche, Addis-Ababa La première journée de la grande semain E. Boyer, secrétaire de l'Union, chargé d© la déposé au violon pour violences et voies do environs de surveiller et de bien fermer leurs iqulpés du vol d'un chien. a été sous la menace d'un grave conflit aui armes de combat a débuté par un chai lecture du palmarès. locaux. fait sur l'agent cycliste Gayssot. aurait pu d'un moment à l'autre dégénérer en SENOUILLAC. — Crise municipale, — Le des lengo mixte installé dans l'orangerie du Jar bataille. Ce dernier l'ait, tout d'abord, l'historique des Plainte a été portée. bruit court avec persistance que ,M. Jean Sa- diin des Plantes. Sociétés de sauvetage dont l'origine remonte Ce conflit a été provoqué par l'agitation qai bin serait au moment de donner sa démission Enlèvement d'enfant De nombreux professeurs et amateurs étalent s'est manifestée depuis quelques jours entre à 1875. Il remercie l'assistance d'avoir bien do maire. présents. voulu se rendre à la distribution des récomLa dame D..., habitant place Saint-Miche), a les chefs des Choans .pour régler et limiter les Cette information no serait pas dénuée tle L'après-midi, la foule, qui ne craignait pas attributions et les droits de la régence. penses décernées aux sauveteurs qui ont ac- porté plainte hier soir à la police contre son fondement. • de rester exposée pendant plusieurs heures compli des actes de courage pendant l'année, cousin oui lui a enlevé sa fillette au mépris agitation était dirigée notamment conQuelle sera la nouvelle municipalité î II est aux rayons d'un soleil do feu, s'est massée sur treCette *t l'assure du dévouement des membres de de tout droit. Lidj-Jeassu, à la suite do la position acincontestable que M. Gracien, qui occupe del'Union. les poiifs et les berges de la Seine, pour assis- quise auprès de lui par le ras Tassamma.. puis plusieurs années les fonctions d'adjoint, ter à un tournoi de" joutes lyonnaises. U adresse un souvenir ému aux sociétaires Hier, soudainement, le ras Abate, à la tête La Foire aux chevaux est naturellement tout indiqué pour succéder 'Le malade de Rouen e reçu un télégramme de iécédés et lit le palmarès des quatre Sociétés. à M. Sabin. Co choix serait, du reste, accueilli félicitations du Parlement norvégien expri- de nombreux chefs et de forces considérables, Il a été conduit hier, sur le champ de foire Après la lecture des récompenses, a été exéoccupa, avec une attitude de rébellion ouverte, très favorablement. l'Allée de Garonne, 300 chevaux, 150 ânes, mant ses sentiments les plus chauds de pacuté un joli concert dont nous avons donné le do On nous affirme que M. Léon Marty réuni- renté et de sympathie à l'occasion du miiié- l'école où se trouve le ghebi impérial, programme et qui réunissait le concours do 23 vaches. 14 veaux. Très peu d'affaires ont été l'accès en fut empêché par la force. rait à peu près l'unanimité de ses collègues naire normand. sHles Niort et Mode, de Mme Maure! Causse, traitées. Lidj Jeassu, entouré de troupes nombreuses, Achat de la nicotine désireux de lui offrir lo poste d'adjoint. le MM. Klauss, Lyogi, Mass-, Max Beney, avec Fitaurari-Apte-Giorgis, ministre de la Le professeur dlépartemental d'agiicuHure -eroy, Dorval et Niort. Deux pièces, Vince- Syndicat des Mécaniciens guerre, resta en position à l'école, vis-à-vis do «r fait coninaStre .aux intéressés que toutes les forGheri. Mette, drame en 1 acte et en vers, et Beaucoup &i et Chauffeurs malités imposées .par le Ministère des Finanie Bruit pour rien, comédie en un acte, ont été Vers midi, la situation était très 'grave. Chez les mineurs ces pour la livrais cm do 'la nicotine en 1911 TOMBOLA FICEAC. — Orage. — Dans l'après-midi de icprésentées, tandis qu'un excellent orchestre, Heureusement-, des négociations laborieuses,' viennent d'être -supprimées et remplacées par Prades, 6 juin. tous la direction de M. Lacroix, exécutait tout C975 conduites notamment par le métropolite Abu-' 3849 3197 358 3131 1099 8414 les dispositions suivantes qui permettent aux vendredi, vers quatre heures, un véritable cyLes culbuteurs des mines de Fiilols ayant .ui programme artistique. 8465 5841 7547 9917 3366 7018 5485 syndicats de s'apro visionner en prévision des clone- s'est déchaîné sur les cantons de Figeac. été incendiés hier, dans la nuit, la direction a na-Matheos, aboutirent dans la journée à la Pendant plus de deux lieures, les éclairs et les paix, qui fut confirmée hier. Lo soir, les membres die la Fédération se 4479 6998 1861 4281 8213 1049 5543 demandes de leurs adhérents : coups de tonnerre se succédaient avec une fermé la mime où le travail devait reprendre Le danger de complications immédiates ea4. (rouvaie.nt de nouveau réunis en un cordial 4340 2697 1377 1257 9360 4649 1884 « Les syndicats agricoles, viticoles et horti- rapidité effrayante. On aurait dit des déchar- aujourd'hui mardi, après dix jours de grève. maintenant écarté. panquet, de plus de .deux cents couverts, servi 22O0 5700 . 1577 1643 2114 1392 3370 coles recevront les jus titrés de tabac et ex Cet incendie est attribué à la malveillance. d'artillerie. . a l'hôtel d'Orléans. 5464 8777 2242 C130 6141 1188 1248 traits titrés de nicotine à prix réduits, sans ges, La foudre est tombée sur les fils du télégra| A la table d'honneur, nous remarquons MM. 209 autre formalité que celle d'adresser à l'Entrephe, au bureau de poste, et le fluide a fondu g docteur Gendre, président de la Fédération; Les lots non réclamés dans les quinze jours pôt des Contributions Indiirecites de leur ar- un tuyau de gaz et mis le feu. LA COURSE NICE-CORSE patimel, représentant le maire de Toulouse ; seTO-it acquis à l'œuvre. rondissement une demande conforme au moSi ce fait s'était produit pendant la nuit, il sapitaine Lepointe, 'délégué du Souvenir franNice, G juin. Combats en perspective dèle ici-dessouis. -est hors do doute uuo rétablissement aurait / pais, ainsi que tous les délégués des 'Sociétés Le lieutenant Bague avait décidé dimanche ft&ASCHICft DU TBim « Les syndicats 'inscriront au fur et & mesure été incendié. La Presse Nouvelle publie la dépêche sui- après-midi, de partir hier sans prévenir soi» représentées à la fête. VICTOR VAtSSISn sur un tableau îles réceptions et les livraisons A la gare, la foudre est tombée sur un po- vante : Au Champagne, au moment des toasts, M. le mécanicien. on meniloinoant pour chacune d'elles la date, teau télégraphique et a brisé les appareils et « Tanger, G juin. flotteur Gendre se lève ; il constate l'union et Il avait donné l'ordre au chauffeur de taxi la quantité, la nature du produit et, pour les Ix's.ftls conducteurs. Sur certains points, la » On annonce sons réserves tme le général 1 entente qui régnent entre tous les sauveteurs Trouvailles qu'il prend d'habitude, de venir le chercher àlivraisons, le nom et , l'adresse de l'acheteur. grêle. a fait des ravages, notamment à Four, Moinier est parti dans la direction de BoukM u remercie tous ceux auxquels est dû le sucminuit-, à l'hôtel Continental, pour Te con-, Réclamer : A l'Administration des tramways, cès de la Fédération. Le discours do M. le D r un panier à. main, une pièce en or, un para- Un tableau devra être mis seras déplacement et où quelques vignobles ont été fortement en- Sun pour châtier plusieurs tribus, puis U so duire à. Labrague. .sur leur demande à la disposition dés -agents dommagés. Il en. est de même à Gan*urat et rendra à Mequinez. Gendre est chaleureusement applaudi. Arrivé a l'aérodrome. Bague constata qu'on pluie, un paquet de roseaux ; à M. Flourac, à Fourtnagnae. » On entend le bruit du canon vers Idida. » lui avait saboté légèrement l'appareil. On entend ensuite les toasts de MM. Gati- chemin de Fontaine-Lestang, hors barrière, des icanitributions indUrectes. i Jnel, délégué de M. le maire de Toulouse ; le maison Fort, un porte-monnaie contenant une M011ÈI.E DE DEMANDE TUée par la foudre. — Pendant l'orage de Il le remit en -état et envoya le chauffeur & capitaine Lepointe, délégué du Souvenir fran- petite somme ; à Mlle Célestine, rue Montau. « Lo»préfiidient du syndicat agricole, ou viti- vendredi, la dame Marie Labruhie,- veuve Ca- UNE FUSILLADE A MONTMARTRE Antibes avec ordre de l'y attendre. çais ; Philippot, délégué do la 1.750" section dran, 5S bis, une petite somme d'argent. pu», âgée do 59 ans, a été tuée par la foudre. On ignora longtemps le départ de Bague cède, ou liorticole, douit Je siège est situé .„ à... Elle était occupée à des travaux des champs jias Vétérans des armées de terne et de mer ; deux de ses amis y avaient seuls assisté avec Paris, G juin. arronidussoment de..., département do..; de- quand l'orage la surprit. Elle alla s'abriter Braud, délégué des Sauveteurs médaillés de la Hier soir, vers'7 heures, un individu pris do le chauffeur. mande une quantité die... kilog.... grammes d'ins son fournil et c'est là qu'elle fut mortelCe sont ces amis qui prévinrent les autoriprronde : Pradelle, délégué des Sauveteurs du boisson, du nom de Pagès, rentrait cliez lui, Tout le monde dit... Midi de Marseille ; Dousset, délégué des Sau- que; par son goût agréable,' par ses qualités d» nicotine, sous forme de... (indiquer la, for- lement frappée. 11, rue Nicoliet, quand il se prit de querelte tés maritimes et celles d'Ajaccio du départ de me désltaéo : jus o-rdiniairc, renforcé ou exveteurs médaillés de la Charente ; Gardés, digestives et dépurât! vos hors de pair, la sourM. le commissaire de police et ses agents Baguo. . ' son amia, Mlle Fassier. trait) -qu'il s'engage à ne répartir qu'entre les se sont transportés sur les lieux pour procéder avec Quoi qu'il en soit, on ne sait tcu-jours rien Çf-elegué do l 'Institut de sauvetage de la MédiSoudain, des détonât ions retentirent et quelde MONTÉCUT-SÊCLA est comparable aux propriétaires eu cultivateurs "exploitants, aiux - «erranée ; Mullet, président des anciens mili- ce sur le -sort de l'aviateur Baguo. constatations d'usage. ques instants aiprès, Mlle Fassier apparaissait les plus réputées. membres diu syndicat. Il avait emporté des pigeons. Comme aucun taires dea corps d'Afrique et des colonies, de sources dans le vestibule et venait se .réfugier dans la consécration de l'Académie de Médecine « 11 désiré en prendre livraison à... (•indicordeaux ; Chevannes, délégué des Sauveteurs l'aLaa.fit loge des concierges, poursuivie par Pagès. d'eux n'est rentré, il est permis de supposer admettre en tous lieux. quer ici lo magasin,, l'entrepôt ou la gare). pie lo lieutenant. marmandais ; Dubrana, délégué des SauveElle venait d'être frappée par ce dernier do que l'aéroplane a capoté Partout, M centimes seulement la bouteille. ,« H s'engago à envoyer à rétablissement exteurs réolais ; Antoine, délégué des SauveLe plusieurs coups de revolver et de coups de surpris par la chute, n'a pus < Su le temps de les péditeur le ou .les récipients destinés à conteurs audois. lâcher. couteau. Mais à peine était-elle entrée que Patenir les liquides marqués de la façon suiEn atterrissage sur un poi S , Notre collaborateur, M. A. Couiet, remercie ique de* gès, furieux, la frappait do nouveaux coups vante— ou bien encore : il demande que la DANS TOUS L.CS Cip-ÉO Jo. au nom de la presse. Et la fête se continue et la. côte, ici ou on Corse, est j de couteau. livraison soit effectuée dans des fûts fournis ?o termine par un bal de famille très animé et Si l'aviateur avait atterri, j fait saLes concierges, les époux Bareil, ayant voulu par l'étabhssenient expéditeur et dont il rem; dune tenuo parfaite. • interposer, le forcené tira sur eux plusieurs voir. boursera la valeur à l'entrepôt de... (Peur les Le contre-torpilleur Arbalète, est reparti hier FETES DE GYMNASTIQUE balles, qui les blessèrent grièvement. extraits d© nicotine li vrés on bidons, ces deux Attirés par le bruit des détonations, les soir, à onze heures ; il avait ses projecteurs L'Association Fraternelle Uno grande manifestation gymnique est organi- engagements sont inutiles. agents accoururent et, devant l'attitude de Pa- allumés pour éclairer sa route. sé* à Toulouse, par les soins de (ta Société de gvm« Le Président du Syndicat. J> I n paquebot qui a quitté le port de Nice hier des Chemins de Fer nastiqaa de Toulouse : « Le Coquelicot ». ges, durent, pour se rendre maîtres de lui, Des expériences toutes récentes ont démonsoir, à destination de la Corse, a doublé le Ces fêtes, appelées à avoir un grand retentiissetirer leurs revolvers. L'Association fraternelle des chemins de fer tré que les brûlures n'étaient pas à oraimdire Le misérable fut alors conduit en commis- nombre de ses hommes de veille en viie de français, section do Toulouse, donnait hier anent dans la région, auront lieu les 17 et 18 jipin. même avec les jus de tabac du plus faible tisariat de la rue Lambert, au milieu des cris de faire des recherches. sa U- o annuelle, et réunissait la plupart des trage. On peut don» les employer, en tenant mort de la foule. Pendant co temps, les blesmembres de la section, en un banquet de deux compte toutefois qu'il en faut une quantité sés avaient été transportés dams raie pharmacents convives, à l'Hôtel do l'Europe CYCLISME suffisante pour intaioduiire 1.30 grammes de nicie, puis conduits d'urgenice à l'hôpital LariParmi les notabilités nous remarquons MM cotine pure dans un hectolitre do bouillie bor- LUS A TOULOUSE DOUZE HEURES AVANT boisièrie, où leur état fut fugé dos plus graves. LA COURSE PARIS-BRUXELLES J-strade, président de la Société ; Faralico' delaise imeutre. Mlle Fassier est atteinte de trois -balles qui Président du conseil d'administration ; DuLEUR ARRIVÉE Grave accident de route V C re w tl n t ; Be sont logées .dans la tête et dans la poitrine. De FOIX. — Jeunesse catholique. Hi r lundi, THÉÂTRE DES VARIÉTÉS T, r-,i ' i°; p,!a ' ' - , "i'deley, secrétaire géParis, 6 juin. Bruxelles, G juin. plus, elle a reçu de nombreux coups de couteau a eu lieu à Foix, l'assemblée générale dlu Condhoi.n^ , Pâture ; Lafitte, président La course cycliste Paris-BruxeMes a été marLA DERNIÈRE DS LA VeilVC JCHJCUSC sur 'diverses parties du corps. Son état est seil dépiairtenieotal de la Jeunesse catholique, De M. Ch. Dupuy, dans le Soleil ' «fionnett, : Espmasso, président de la chamquée par un tragique accident. diésespéré. Le Théâtre des VarteWs a formé ses nor-tes pour sous la présidence d» M. le vicaire général *m do.comnreree ; Nègre et Bouteloup, ingé« si vous regardez nos gouvernants à l'œu- ugé Au moment du passage à Warenne des cyM. Bareil a reçu une balle, qui a pénétré .3 ei U- de :la voie ; Arnaud, inspecteur princi- la saison en donnant hier soir la dernière représen- Cas-tel, aumônier diocésain de la J. C., assisté vre vous vous convaiitiorez qu'ils n'ont qu'un de la Keure Joyeuse. Une fouie énorme s'en- de MM. Duiguot et (Luge» du comité' régional <lans la région de l'épi gestre. Sert état est éga- clistes engagés dans la course, l'automobile pe ; Mandez, -inspecteur honoraire La- tation -programme et ne poursuivent qu'un but : dédes organisateurs officiels a pénétré dans la tassait dans ta vaste saillo dexo théâtre pour assis- de Toulouse. lement très grave. I, > ftiarvct.-de la commission des fêtes cathol-iciiser là France. ter à lai dernltro qui lut un véritable triomphe Quant à ta concierge, Mme Bareil, elle a le foule des curieux, renversant plusieurs perDivers rapports ont été présentés et apMailel.Bayle, .Saintagué, Chanter, Nrwter ete Ovations, rappels, rieuT.-, genx-s, palmes rien » Le ministère actuel, véritable agrégat do Le menu fut excellent, comme il est dé trasonnes. " poumon droit perforé par doux l>all©s. n'a maiwiui- aux artistes et principailement aux prouvés .par l'assemblée. L'organisation do la Beux enfante ont été tues et un certain nomdition a 1 Hôte! de l'Europe et la gaîlé parfaite <I*«K BeptogontsteB, Mme Mariette Sully et Max •L C. dans te département et Sa Tédaction du maçonnerie, de huguenoteric, de judaïsme, esDes chirurgiens ont été appelés d '.urgen ce î. entre convives. eatpoml, dont 1'int.twprétaitiicn était si soûlée du ini- journal la Jeunesse calliolUiue ariégeolse ont timé, que l'Eglise étant l'«nnemie, la guerre à pour tenter l'extraction des projectiles. bre Messes. I r!? été tes deux questions de l'ordre du joua- sur l'Eglise, est le seul objet digne d'exciter le „ Au Champagne, au moment tics toasts, M. Mic toulousain. zèli> ot. d'enflammer l'éloquence du vénérable La Veuve Joueuse, qui est la plus nrand siuvfls lesquelles omi a lo plus discuté. Nous pouvons EstrtMe se. leva, retraça la marche parfaite de Du-miont, pédagogue vorbo.ux et du pasteur la s:-cii;ui de Toulouse et il remercia tous afllrmer quo la réunion donnera à ce sujet Stecg, Prussien natura.l-isé. » •«eux (ini prêtent leur concours à l'AssociadiVocceltonits reisultats. ' 1 os do l'i n«fM. ïlVdet. dans YEclnir, Le lieutenant Chevreau tion. L'assemblée a, en outre, procédé à la nomi- IK^aàtoation >r-F,mmadu monument . Après lui, M. Faro.liicq paria do la situation Hyères, G juin. nation diu bureau du Conseil départemental. riuel ". , , générale! de l'Association, du bien qu'elle a, Le lieutenant Chevreau ayant télégraphié Ont et» étUS : MM. A. Bousquet, die Saint (li H semble que la terre d Italie et particuliè- qu'il comptait atterrir aujourd'hui a Fréjus, reins, présidieint ; MiillWau, de Macères et Hoyer, Ja d et de celui qu'elle est appelée à faire et il "ut à chacun de ses membres. de Laivelanct, vice-présidents ; Guyiot, do'La- rement l'antique cité, 'romaine aient été choi- les automobiles militaires qui suivaient la HSSDST une pensée internationale moins pour inarolio des lieutenants Lucoa et Hennequin Du G juin peninio, isecrétairo. On entendit encore les toasts do M. Lafitte, i-kïritier la résurrection d'une race historique sont parties pour cette ville. ArOLLO TJlIiVTItK. - A 8 h. 8/1 séance cinéprésident d'honneur; de M. Beurdeley.au nom matoigrapliiqu Etat civil du 27 mal an. 3 juin. — Naissan- UV* 'pour détruire la fui chrétienne. J!." Préfet et de notre confrère, Ariste Passeces : Mario ltejean, 1111e de François domesti» gEe s'acharne pur dessus tout contre le ca iJ-en, au nom de la Presse. que, mua Saiiiit-Vincent ; Virginité. Mut-he, li-Me tholtcisme qui règne souverainement dans la A s h. i, séance cinéanato «lo FramcoM, employé do cominerce, rue Vil- basilique d» Saint-Pierre et s'incarne dans la La. fêle se termina par un bal très suivi et giSuo* lot e. ''p m d'entrain dans la salle du Théâtre du pontificale. , «oŒ* LAFAYETTU. - ReUche. Uemam. vues Publication de mariage : F.ngene Boques, hiérarchie Marseille, 6 juin. Gnpitolo. „ Le metteur en scène passionne de cette ziiuguenr, ù Foix, <'t Mario llouch, à Foix. Le journal l'Indépendance Tonkinoise, arhaineuse machination, Nathan, ne se croit inAMERICAN OOSMCXHiyPH — Décès < Louis DespXos, facteur anixiliaire, Tous les soirs, vesti dé sa mission civique que pour exters h. t& re,j.-!é«n-ta*ioii cinéniatoi La Goutte d'Or tourna »)4iiqu<c. 38 ans, époux de Mairie P-auIy, à l'hospice ; miner les traditions représentées par le vénéJuies Galy, colporteur, 52 oins, célibataire, a La. Gontte-d'Or, Société nationale de secours rable Pie X. )> ,VÇas d'infirmité et d'assurances mutuelles au Voies urlnairaa : Docteur CUILLAUMAT l'hospice. rage. Du Gaulois i "*«ès nui fut fondée à Toulouse on 1900 et qui miement; radical des Rétjéc,iœem«nts. Cystites, Des décès s étant produi ts par suite de cette PAMIERS. -- Etat civil du 27 mai an. 3 juin. Goutte enronicj. par rhlectrolutc.v.v. Rlvals.ïom!ou»» — Naissances : Bobcrt-DeCphin M ont j lois, rue ? groupé depuis des adhérents dont le nom maladie, au Collège royal ce dernier a été a M. Paul Boneour, qui est encore a. l'âge QJJ augmente chaque lotir donnait hier, au de Louniwt ; Georges-Jcan-François Fonte,, rue des illusions, lance dans la circulation un fermé. A L'IDÉAL, Toulouse dEnrouge. Le choléra fauche toujours la population inprojet do retraites civiles où l'on démêle sur'•Miu -Hôtel, une de ses premières fêtes, I/I AI DE COLOGNE est la meilleure Décès : iMarie Soucesse, 4 7ans, ménagère, tout quo l 'Etat ae propose d'encaisser immé- digène avec la môme rigueur. •on),, "lemhrcs se réunirent d'abord en un ban rue de la voefae; Mttrio-Eduitaiyl-^lllâunÙ! Pé- diatement des capitaux en échange desquels La peste bovine s'est aussi déclarée et d'im(^jjj^riifiqiiemenil servi par le Grand-Hotel En vente dans toutes les bonnes épicerie». act, -42 -ans, nue iMtijor, il servira à des époques lointaines d'hypothé- . mensies troupeaux sont déoimés, particulièa'e[ ment les buffles. Miarie-ges ; Jean-Kiaeph Sine* et Jeamine tiques intérêt». . * Y régn* une camaraderie, une bonne hur

£S TOULOUSAINS EN ESPAGNE mat» yeux

Ften]ei)t m-

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LES FÊTES DE JKffiE D'ARC

h Visite du roi de Serbie à Paris

Le Voyage du Sultan

INCIDENTS MILITAIRES

Assassinat du procureur général de Monastir

En Aiyssinie

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ÂEIËCÏE

Les Affaires du Maroc

SAVONduCONGO

APERITIF DES ARTHRITIQUES quart

VICHY- CÈLESTINS

rniviejeure

SoiiFFieF pi&ligiie

Lii Journaus k Paris

Paris =Rome=Turin

Spectack^Coriceît^de Toulon^

La Peste et le Choléra au Siam

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Couronnes mortuaires Lamine 25 r Mmm

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MARDI 6 JUIN 19f l

arènes MARCHE DE LA V1LLETTE Du 5 juin. Amenés 2.135 vendus 2,CC3. 2 1 SS;

Eœusfs. t 70. Vaches. — Amenées 1,021; vendues 970. l 08 1 80; t 5S. Taureaux. — Aimemes 270 vendus 347. 1 68; 1 52; l 40. Veaux. — Amenés 1.088; vendus 1.621. 2 50; 2 iS; 1 M. Moutons. — Amenés 3.082; vendus 0.645. 2 56; î 06 ; 1 90. Moutons. — Amenés 9.982; vendius 9.645. 2 68 ; 2 06 ; 1 90. Porcs. — Amenés 4.49.1 ; venodus 4.407. 1 94; 1 90; 1 88. «eau de monuitons. — 2 50 à 5 50. HAUTE-GARONNE Salnt-Gaudenis. Merouriafle du mancfoe du 1er juin, — Cours ipratlgvués : Froment, Ire (lualitiô 23 fr.; », 23 50 ; 3-, 22 £r.; méteil 20 tr.; seigle, 16 tr. ; avoine, Ire qualité, 12 tr. ; 2% 11 50 ; maïs, 17 fr. ; Haricots, 30 fr. ; pommes ile terre, 6 fr., le tout l'hectolitre. Fourrages. — Foin, Ire qualité, 5 25 ; 2', 5 25 ; paille ire qualité, 6 25 ; 2', 5 75, le tout le quintal. Aniniiiux conduits au marché. — Boeufs, 210; vaches, 350; veaux, 350 ; moutons et créais, 700 ; porc^, 530. Prix moyens. — Bœuï, 0 80 ; veau, l à. 1 15; mouton, 0 85, le tout le Wlo. Volatiles. — Poulets, 3 50; poules, 6 fr. ; dindons, fr.; pintades, 7 fr., le tout la paire. CE/uCs, o 75 la douzaine.

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ARIËGE Pamiers. Marché, du samedi 3 juin 100 hect., de 22 50 a 23 fr.; seigle, 30 hect. de H 50 à 15 fr. ; méteil, 25 hect., de 16 50 i 17 fr. ; maïs, 200 hectos, de 16 50 à 1S fr.; avoine, 80 hect. do lit 50 à 12 fr. ; fèves, 10 hect., de 16 50 à 17 fr.; haricots, 50, de 32 50 a 33 fr.; nommes de terre, de 7 à 7 50. Mazêres. Cours .pratiques au marché du 1er juin : M a été vendu 723 hectolitres de blé, de 22 75 à 23 fr. les 80 kilos ; méteiil, de 10 50 à 17 fr.; seigle, de 114 50 à 16 Dr.; mais, de 15 à 16 fr.; avoine, de m a m 75 ; halricote, de 25 a 31 fr.; fèves, de 16 à 10 25 ; ipommes de terre, de 6 à 7 fr., le tout l'hectolitre. Volailles. — Pontes, de 6 à 7 fr. ; beaux poulets, de 5 à 5 50 ; canards, de 5 75 ù 0 f r. ; pigeons, de 2 15 à 2 25 ; poussins, dé 0 50 à 0 60. le tout la paire ; lapins domestiques, dé 2 25 à 2 50, la .pièce. S,es œufs, 0 85 la douzaine. HAU TEiS-PYRËN ÉEiS Bonnefoût. Foiire des domestiques. — Cette foire qui se tiendra dans notre commune lundi 5 juin a pris beaucoup d'extension; elle est te rendez-vous de bea-u«>uia de domestiques et d'estlvandlcrs. Les propriétaires auront à coup sur l'embarras du choix. Lannemezan. Le marché. — Cours pratiqués : Bœufs de travail de 9C0 à 1,000 fr.; vaches de labour, de 700 à 800 fr.; bouvillons, de 600 à 750 fr. ; «•émisées, de 350 à 460 fr. la paire ; braux, pour la uom&herie, de 70 à 110 fr. .pièce. Blé, 23 50 à 24 fr. ; méteil, 21 fr.; seigle, 16 50; maïs, 16 a 17 fr. ; avoine, lu 50 à 12 fr. ; millet, 20 à. 35 tr. ; haricots, de 35 à 40 fr. ; pommes de terre, 7 à 7 75 l'hectolitre. Poules, 5 à 6 fr. ; poulets, 4 fr. ; pintades, 8 fr. ; canards, 5 à 6 fr.; oisons, 3 70 ; canetons, 1 60 la paire ; lapins, 1 50 à 2 fr. pièce. . Œufs, 0 70 la douzaine. ©indous, 14 fr.; dindes, 9 tr.; pigeons, 1 50 la paire. Cochons de liait, 20 à 25 fr.; d'élevage, de 30 à m tr. GERS Plaisance -dUrGe rs. Notre marché de jeudi a été bien favorisé par le beau temps ; aussi U a été assez importent. Les diverses places étaient bien asprarovisioninées en denrées de toutes sortes et bon nomhre d'affaires ont été traitées. Voici les principaux couis pratiqués : Haille aux grains. — Blé, do 22 à 23; avoine,, de lt 50 à 12; maïs, de 15 à 15 50; seigle, de 16 à 16 50-, orge, de 13 à 13 50; fèves, de 17 à 17 50; haricots, de 16 à 50; po-mmes de terre, delO àlit; vesces, 2-4, le tout l'hectolitre. Son, 16; rèzes fines, 1S; ordinaires, 16, le tout le qusintifU méilrique. Yolallfci. — Poules, de 5 à 6; poulardes, de 4 50 a 5 50; poulets, de 3 5) à 4; dindons, de 14 à 16; dindes, de 12 à 13; canards, de 6 à 7; pintades, de 6 50 à 7 50; pigeons, de 1 25 à i 50, le tout la paire; lapins domestiques, de 1 50 à 1 75 la pièce. Oieoins de huit jours, de 1 25 à 1 50; oisons de 15 (ours, de 1 75 à 2; canetons, de 0 CO à 0 75, le tout la pièce. Œufs, 0 80 la dounzaine. Foirai! . — Grands bœufs, 1.0CO à 1,100; bœufs moyens de 800 à 900; bouvillons, de 500 à 600; vaches de travail, de 700 à 800; génisses, de 450 à 500, te tout la paire; veaux pour la boucherie, de 90 à Î10 la pièce. Porcâ. — Prix toujours élevés : porcelets, de 25 à W; cochons de marche, de 50 à 70, le tout la pièce suivant taille .-'et qualité. Il se traite en ce moment peu d'affaires au marché aux vins et eaux-de-vie. Les prix, quoique encore très élevés, semblent faire pressentir une légère haisise. Bois. — Fagots, de 6 à 6 50 le char de vingt; rondi«s, de 6 50 à 7 te stère. Foin, de 2 50 à 3; pafflte, de 2 50 à 2 75, te tout, le quintal usuel. L'Is-le-Jourdalu. Marché du 3 juin. — Cours pratiqués : Marché aux grains. — Bdé supérieur, dé 21 50 à -22 fr. ; blé ordinaire, de 20 75 à 21 fr.; blé mitadln,, de 20 50 à 20 75 ; blé gros, de 19 75 à 20 fr. ; avoine, de 10 75 à lit 25 ; orge, dé 11 à 12 fr. ; maïs, de 17 25 à 18 25 ; haricots, de 40 à 46 fr. ; fèves, de 16 50 a 16 75 ; esparcette, dé lit à 12 fr. ; vesces, de 22 à ?3 fr. te tout l'hectolitre. Graines. — Luzerne, de liiO à 150 fr.; trèfle, de 80 à 90 fr. ; pommes de tetnre, de 13 à 13 50, de tout ta? 100 kilos. Fourrages. — Foin, de 4 50 à- 4 75 ; luzerne, de i 25 à 4 75; sainfoin, dé 3 76 a 4 25 ; paille, de 3 à J 50, le tout les 100 kilos. Marché à la volaille. — Dindons gras, de 18 à 50 fr.; dindons ordinaires, de 15 à 18 fr.; dindes rresses, de 1.4 à 18 fr. ; dindes ordinaires, de 12 à ti fr. ; oies grosses, de 13 à 15 fr.; oies maigres, de 10 à 13 fr.; .poulardes, de 5 50 à 6 25; poules, de '» 75 à 7 25 ; poulets de gratins, de 4 75 à 5 25 ; petits poulets, de 3 75 à 4 76 ; chapons, de 7 a 9 fr.; pintades, de 5 à 6 fr. ; canards ordinaires, de 4 à 5 fr.; Mgeons parisiens, de 2 25 à 2 50 ; pigeons communs, pe 1 25 à l 75, le tout la paire ; lapins de reproduction, dé 2 50 à 3 50 ; lapins domcstiiaues, de 1 75 à 2 25 la pièce ; les œufs, de o 80 à 0 85 la ïouzaine. Marché aux oisons. — Oisons, de 3 50 à 4 50 lancions muteras, de 2 25 à 3 75 ; canetons corn axuns, de l 25 à 2 fr. te tout la paire. RiscJe. Marché. — Voincii tes cours pratiqués : Halle aux grains. — Blé, de 22 à, 23 fr.; avoine .2 fr. ; maïs, de 16 50 à 17 fr. ; seigle, 16 f r. ; orge M fr. ; haricots, de 40 à 50 fr. ; pommes ds terre, de * à. 9 fr., le tout l'hectolitre. Place à la volaille. — Poules, de 5 à 6 f r. ; pou'«ts, de 2 50 à 5 fr. ; dindes, de 9 à 12 fr. ; dnbidons de I/O à U fr.; chapons, de 9 à 11 fr.; pintades, de 6 à 8 fr.; le tout la paire ; pigeons, 1 25 ; lapins, de 1 50 à 2 fr. le tout la pièce ; œufs, o 80 la douzaine. Marché couvert. — Oisillons, de 1 75 à 2 20; canards mulards, de 0 70 à 1 fr. ; canards communs, de o 60 à o 75 te tout la pièce. Nouveau foirail. — Bœufs de, travail, de 900 à

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Feuilletoir! du 6 juin 1911

s Glaneurs d PAR

William Wallace Cook Adaptation de E. Pierre Lugnet CHAPITRE PREMIER X L'INTRIGUE SE NOUE

Il attendit une réponse, mais la réponse ne vmt pas. — Jo or ois pouvoir vous donoaer espoir, Monsieur Honderscin : je désire que Miss Travis sa consacre -presque exclusivement aux travaux du latoaratoire ; quand piûTirrez-voua commencer ? — Tout de suite. — Très bien. Je pense que vous trouverez facilement à vous loger ; pour le reste, M1S3 Travis vous mettra, au cornant mieux que moi. Whipple se leva et se dirigea vers la porte. Au moment de sortir, il se retourna, et s'adressant à Amy : — Je vais, aller chez Miguel pour réparer une sottise que je fis hier, Miss Travis : figurez-vous que j'ai donné le sinaG grimpeur au petit aveugle, et le lapin qui erie au sourd-muet ! Il se mit ù rire et dit en soi tant : — Cela arrive parfois ; nos faveurs sont appréciées beaucoup moins qu'elles ne lo devraient, à cause des bévues que nouâ cKMTMnettons en tas accordant 1

1,050 fr, ; breauBC d© traivaia, die 650 à 900 fr. ; hreaux pour l'élevage, de 300 à 600 tr.; vaiches de travail, de 500 a 660 tr.'; le tout la paire ; veaux de boucheonLe, de 1 à l 10 le kilo, poids vif. TARN-ET GARONNE Molières. La foire du 2 juin, dite de SatnVOlalr, est «ne des plus imipoo-tant^s de l'année; cette lois encore, elle n'a pas démenti sa vieillie réarataUon, hien qu'elle ait té dérangée, dans la soirée, par un violent orage. Uno nombreuse jeunesse se pressait dams les rues et sur nos places, en les affaires traitées ont été très considérables, voici tes cours pratiqués : Marché aux bestiaux, -- Bien garai et vente facile à des prix élevés. Viande de boucherie. — Bœufs, de 40 à 46 fr. ; vaches, de 35 à 40, le tout les 50 kilos; veaiux, l 10; moutons, i fr., le tout te kilo. Animaux ae labour. — Bœufs, dé 1,050 à 1,250 fr. ; vaches, de 000 4 1,1*0; gémisses et tauriilone, de 400 a 660, le tout la paire. Porcs gras, 70 tr. les 50 Mas; porcelets, de 25 à 50 l 'un, suivant grosseur et qualité. Place à la volaille. — Bien garnie et baisse légère. Poulets 1 fr. 10; pintades, 1 fr. 20; poules, 0 fr. 75; camords, 0 fr. 70. le tout le 5 kilo; laiplns, de 1 fr. 25 à 3 fr. l'un. CEute, 0 tr. 85 la douzaine. Fruits. — Cerises, 0 fr. 30 le kilo; fraises, 0 Ir. 25 te /panier. Haille aux gnaims. — Blé, de 21 à 22 fr . les 80 kil . ; •lèves et maïs, 1C; orge, lft; seigle, 15; aivcine, 10 50; sorgho, 11 ; haricots, 35, le tout l'hectolitre. Son, 7 25r reipasses, 8 50, le tout les 50 kilos. Monclar^de-Quercy. Marché helfoctamadkaire dlnu 1" juin. — Voici les princiipaux cours pratiqués : Animaux de boucherie. — Bœufs, de 42 à 4 fr. ; vaches, de 36 à 40j veaux, de 52 à 35; moutons, de 45 a 48, le tout les 50 kilos. poids vif: mourrains. do 50 à 70 fr.:cachons dielait, environ 150 d'amenée, vendus de 35 a 45 francs la pièce. x

TRANSPORT DES BESTIAUX DE LA RÈGIQM DU MIDI SUR PARIS Les départements de" la Haute-Garonne, de l'Ariège, etc., malgré leur éloignement fournissent au marché de Paris un nombre important de bestiaux. . En vue de développer et de faciliter ce trafic, à partir du 1" juillet prochain, quand ces bestiaux seront amenés à Montauban par le train de marchandises Midi 1110, la Compagnie d'Orléans mettra en marche au départ de Montauban, le mardi et le samedi, un train de marchandises correspondant à Brivo avec le train spécial de bestiaux qui a lieu régulièrement ces deux jours de la semaine et arrive a Paris -le mercredi et le dimanche matin. Ainsi les bestiaux partis le lundi et le vendredi des gares de l'Ariège pourront être à Paris dans; la matinée du surlendemain de leur départ; et se refaire dans les écuries en attendant leur présentation au marché de la Vi>llêttë du jeudi ou lundi. Lo tarif P. V. 101 actuel soumis à l'homologation aura en outre pour effet d'abaisser sensiblem.ent 1-e prix de transport des bestiaux de cette région sur Paris. C'est ainsi qu'un wagon chargé de 72 moutons de Foix à Paris-bestiaux qui paie actuellement 217 fr. 05 ne paiera plus que 195 fr. 60.

BlBMOGR/ÎPblE LA BONNE CHANSON Toujours fidèle à son excellent programme d'éclectisme, la revue de Théodore Botrel vient de faire paraître un numéro particulièrement attrayant, dont voici le sommaire : Au Son du' Biniou, La MèïS-au-Pain, Pauv'tit Gâs ! par Théodore Botrel ; Chanson du Champagne, pâr Xavier Privas ; Mes Bœufs, par Yves Le Stanc ; Le Circuit de l'Ouest, par Dominique Bonnaur ; Bonjour, Suzon ! par Marcel Legay, Chanson de printemps, par Louis Tiercelin ; Berceuse, par W.-A. Mozart ; Les Coffrets, par P. du Marchey ; Parabole des blés, par Louis Mercier ; Les Champs, monologue de J. Jouy ; Les Chasses du Président Roosevelt, monologue par René Buzelin; Gratte-Ciel, -par X. Cramer ; Dans la Vallée de la SéPnoy, par Th. Renauld ; La Voulzie, par Hégésippe Moreau ; Soir en Ardenne, par André Fage ; Aimez votre Prochain, comédie, en un acte, pour jeunes filles, par André Chenal ; La Chanson en Champagne, étude par Guillot de Saix. Prix du numéro : 1 franc. En vente partout. Rappelons que la collection complète de La Bonne Chanson, formant trois gros volumes illustrés, • est en souscription avec l'abonnement en cours, au prix de 55 francs, payables 5 francs par mois, où 48 francs au comptant. Cette magnifique collection ne comporte pas moins de 600 chansons, monologues et pièces de théâtre. Pour plus de détails demandez le prospectus spécial à la maison de La Bonne Chanson, 8, rue Saint-Simon, Paris. REVUE DES DEUX MONDES, 15, rue de l'Uni versiié, Paris. — Prix de l'abonnement Paris, un an, 50 fr.; six mois, 26 fr.; troii mois, 14 fr. Départements, un, an, 56 fr.; six mois, 29 fr.; trois mois, 15 fr. Etranger, un an, 62 fr.; six mois, 32 fr.; trois mois, 17 fr — Les abonnements partent du 1 er et du 15 de chaque mois. Livraison du Sommaire du 1 er Juin 1911 L Ma Figure, 2 e partie, par Claude, Fervai. M. La Genèse dm Génie du. Christianisme. — I. Les Origines et la Jeunesse de Cnâteaubrianct, par M. Victor Giraud. III. L'Enfant, par M. Henry Joly, de l'Académie des Sciences morales. IV. La Légende de Zoroastre, par -M.Edouard Schuiré. V. MéniéMfe, par M. Robert de Caix. . VI. Craintes et Espérances pour l'Art aux ' Salons de 1911, par M. Robert de la Sizeranne. VII. Un Salon allemand au temps du Romantisme, par M. A. .Bossert. . VIII. Poésies, par Mme la baronne Antoine de Bïimont. IX. Revue. Musicale : Le Voile du Bonheur, Gwendoline, à l 'Opéra, par M. Camille Bellaigue. X. ChroaWe de la Quinzaine, Histoire Politique, par M. Francis Charmes, de l'Académie. franeaiso. XI. Bulletin Bibliographique.

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« LA REVUE FRANÇAISE », politique et littéraire hebdomadaire illustrée. — Paris 17, rue Cassette. « La Question Marocaine », qui est plus que jamais à l 'ordre cte jour, est ad .nnTablement exposée, dans la « Revue française » du 4 juin, par M. le. lieutenant-colonel "Rousset, ancien député.

Ces abonnements comportent, en outre du Ce numéro contient encore : la magistrale trajet d'aller et retour à ces Côtes avec arrêts conférence faite pair André Beaumietr sur LuIntermédiaires facultatifs, la faculté de circuciiie de CJiattxtnbirtand). — Uno étude littéraire signée Firrnin Roz, sur le nonvoau livre do ler à volonté sur les lignes des Côtes bud et Gabriel Hano-tanx : « Jeanne d'Arc » ; Une pit- Nord de Bretagne ; ils sont valables 33 jours toresque page de H. do Bruguièro sur les « Pi- avec faculté de prolongation d'une ou deux geons patriotes » ; Une étude de François Obp- fois d'un mois moyennant un supplément de ptie. « A la Mémoire de Paul Verlaine », dont 25 % du prix initial pour chaque période, sans on vient d'inaugurer le monument à Paris ; que la validité puisse en aucun cas dépasser , „. Des « Poésies » signées Verlaine ; Une page fe 15 novembre. Le prix des cartes d'abonnement est de 95 de diateaubriianidi sur « Jeanne d'Arc dans e classe et de «0 francs en 1" clasfrancs en 2 l'histoire et ùem& la littérature » ; Un article se lorsque la distance pour les parcours (aller très curieux de Raymond Passillc sur « Le et retour) n'excède pas 1,000 kilomètres en Chien », à l'occasion de l'exposition canine dehors des points do libre circulation. Au-delà qui vient do fermer ses pontes ; la passion- de 1,0(0 kilomètres, le prix est augmente de nante nouvelle. : « Les Yeux do l'Espion J, par 0 fr. 015 et de 0 fr. 065 (en 2» et 1™ classes) par François de Dion, etc. kilomètre en sus. La « Reviue Française » paraît chaque seDes réductions allant jusqu'à 50 % sont conmaine sur 32 pages. Un an, 10 fr. Le numéro, senties en faveur des membres d'une même la25 centimes. — Etranger : un an, 13 fr. 50. milio. Le numéro : 30 centimes. Rédaction et administration : 17, me Cassette, Paris. — Belgique : Un an, 10 francs. Bureaux à Bruxelles, |. 6, rue d'Assaut. (Bibliothèque choisie). CHEMIN DE FER D'ORLEANS Pour 1 franc, la « Revue Française » délivre des abonnements d'essai d'un mois donnant f-Ce qu'on peut visiter en France en empruntant droit à quatre magnifiques numéros de 32 pales lignes du réseau d'Orléans ges illustrées. Le réseau d'Orléans, situé au cœur de la France, Demande spécimen contre 0 £r. 10.-

Le àîner de la Revue HeMomaàaire

dessert la riante Touraine, si riche en monuments fiet en souvenirs historiques (Blois. Chambord, Amboise, Chenonceaux, ix>ches, etc..) Par la ! belle région do la vallée de la Loire, 11 conduit a Angers, Nantes, ot à la Côte Sud d'une Bretagne ancienno aux plages réputées (La Baule, le Pouliguen, Quiberon, BeUe-Ue, Concarneau. D al Au «utre de la France lé réseau d'Orléans permet cte visiter l 'Auvergne aves ses fraîches vallées e. ses stations thermales (La Bourboule, le Mont-Dore, ;Le Liera». . Vic-sur-Cùre. etc...) ou encore les merveilles naturelle» des- Gorges du Tarn et du Quercy (Rocamadour, Gouffre de Padirac. Grottes de La-

Jeudi soir, au Carlkm-Hôteî, aux ChampsElysées, le dîner de la Revue Hebdomadaire a été une véritable lète littéraire. Parmi les deux cents convives qui m pressaient autour de M. Fernand Landet, nous avons noté la présence d.e MM. Paul BOurget, Jutas Lemaitrç, comte d'Haiissonville, Maurice Donnay, G. Hanotaux, R. Poincaré, do l'Académie fran- ' "lu 'delà enfin, par tes grandes lignes de Bordeaux, çaise, professeur Branly, Pierre de la Gorce, d'un cèté Toulouse, de l'autre, qui sont aussi les Henri Joly, Edmond Perrter, Paul Iveroy-Beau- fc-routes d'Espagno et du Portugal, il donne accès à lieu-, de l'Institut, Barthou, . Pierre Baudi.ii, <la région des Pyrénées. Les b-aux paysages.de montagnes ainsi que nomDoumer, anciens -ministres, Henri Goch in, J. bre de stations- thermales (Luchon. Cauterets Les Delafosso, députée ; J. -Charles Roux, majorai • 'Eaux-Bonnes, Lamateu. Amélie et Vernetues-Ua ns du Féliibrige, ancien député ; général ,Bo-nnal, .etc..) et tes grandes stations thermales, balnéaires A. Lichtienbcrgcr, Erncft Daudet, P. die Nolhac, :Ou hivernales tte Pau, Biarritz, Saint-J*an-de-LaA Ch. de Pomairols, Camille Bellaigue, Henry Etc.,., ont consacré depuis longtemps la côlébiite Bordeaux, Paul Aeker, Paul Adam, Mgr Bau- Ltles Pyrénées. drillai't, recteur de l'Institut Catholique de Paris, J.-H. Ro.sny, comte d'Elbée, bâtonnier Chenu, Funclc-Brc.nta.no, Ch. .Le Goffic, R. ValCHEMIN DE FER D'ORLEANS lery-Radot, Marc Saugnier, André Hall-ays, G. Deschamps, de Lanzac do Laborie, Geoffroy La Compagnie des chemins de fer de Paris à de Grandmaisoii, etc., etc. Toulouse était reOrléans a l'honneur de porter à la connaisprésentée -à ce banquet par M. Guy de Montbel sance du public que le Guide illustré de son et notre collaborateur Armand Praviel. réseau pour 1911 est actuellement mis en venAu Champagne, M. Gavoty, président du te au prix de 0 fr. 30 dans les bibliothèques conseil d'administration, a remercié aimable- de' ses gares, dans ses bureaux de ville et dans ment les invités die la Revue Hebdomadaire, les principales agences de voyages de Paris. Puis, M. Feaaiand Laudet s'est adressé à ses Il est également adressé franco à domicile collaborateurs. contre l'envoi préalable de 0 fr. 50 à l'AdmiL'année dernière, dit-il, M. JUles Le-maît-be, nistration Centrale, 1, place Valhubert à Paaprès nous avoir mis dans l'intimité de Rous- ris, Bureau du Trafic-Voyageurs (Publicité). seau et avant de nous faire entrer bientôt dans Ce Guide, de pins de 320 pages, illustré de celle de Chateaubriand, nous avait peint la nombreuses gravures contient, en outre d'un figure du sentimental apôtre dù pur amour. certain, nombre de plans et de cartes, les renCette année, c'est Molière qui a remplacé seigne.nents les plus utiles pour le voyageur Féneîon et c'est M. Maurice Donnay qui a pris (description des sites et des lieux d'excursion la paroie. -en Touraine, en Bretagne, en Auvergne, dans . Quelle bonne fortune. Messieurs, pour une les Pyrénées et Te Centre de la France, horairevue qui croit à la culture classique et qui n'entend être moderne qu'en restant fidèle aux res dès trains, principales combinaisons de tarifs, etc.) Humanités (longs applaudissements), queue bonne fortune que de sertir dans son cadre le beau portrait fait par Donnay de notre CHEMIN DE FER D'ORLEANS plus grand homme de théâtre 1 Lecteurs ou audiite-iaïi?, avec quel intérêt nous avons suivi celui qui a si bien .su confondre la vie et l'œuBILLETS DE LIBRE CIRCULATION vre de son personnage, qui nous l'a montré grandi et meurtri par l'existence, trahi dans Pour tes plages des Côtes Sud de Bretagne son domestique, en butte aux calomnies de ses adversaires, et aux « actions fâcheuses » de Pour répondre au désir des touristes qui se ses amije, mais répondant aux attaques et aux perfidies par des chefs-d'œuvre et nous lais- proposent, soit de faire un voyage d'excursion sant l'exemple d'un formidable labeur et d'un sur les Côtes Sud de Bretagne sans programme arrêté d'avance, soit de s'installer sur une effort incessant vers la vérité, » . Après avoir .parlé de l'Enquête sur les Minis- des plages de la côte et de rayonner de la tères publiée dans la Revue Hebdoma.daire et sur les autres localités de cette région si vade la série de nouvelles intitulées le Banquet riée et si intéressante, la Compagnie d'Oret ouverte par Paul Bourget, . M. Laudet a léans délivre chaque année, du jeudi oui précède la fête des Rameaux, au 31 octobre incluconclu ainsi : sivement, au départ de toute gare du réseau, « La mer est immense », nous disait ici, il y des billets d'abonnement pour bains de mer a quelques années M. Hanotaux,. en nous in- et excursions sur les plages Côtes Sud de Brediquant l'étendue possible de nos .navigations. tagne, dont les prix sont fixés ainsi qu'il suit : Combien il avait raison .de stimuler ainsi nos 1° Au départ de Paris et d3 toute gare du efforts., car ce n'est certes pas pour l'homme réseau située à 500 kilomètres au plus de Saune tristesse, mais une confolation de sentir venay.: P» classe, 100 fr.; 2» classe. 75 fr. sa vie plus courte que sa tâché, et d'être assuré 2° Au départ dé toute gare du réseau située d'avoir toujours un élément à son activité J à plus de 5(J0 kilomètres de Savenay, les prix » C'est sur cette pensée encourageante que ci-dessus augmentés, par chaque kilomètre da j'aime à finir, Messieurs et chers. Collabora- [ distance en plus de 500 kilomètres, de : P» teurs, en levant mon verre en. rhonneur des classe. 0 fr 1344 -,-2» classe. 0 fr 09072. nobles ouvriers de lettres qui.ont bâîila Revue Validité .: 33. jours avec faculté de prolongaHebdomadaire. » tion. " - -, M. Maurice Donnay va répondre à M. LauRéduction pour les. famiites variant de 10 à det : 50 %. M. Donnay détache les mérites de la revue. « C«ii,me Pallas-Athèné, elle se pare des plus belles épithètes : hebdomadaire d'abord (rires) VÉRITABLES traditionnelle, novatrice, hardie, mesurée, disf?5 QS|Ï ciplinée, indépendante, hospitalière, éclectique, et par dessus tout française, allègrement, 1PURCSATIF3 — DEPURATIFS — ANTISEPTIQUES vaillamment, profondément française, et c'est pour cela qu'elle n'est que pessimiste. » Et M. Donnay termine après avoir fait, l'éloge de la brièveté imposée -par le format de la revue, 'et s'être spirituellement moqué de la prolixité. M. Paul Doumer a terminé la série des toasts, au nom des personnaliitéô qui ont pris part à l'Enquête sur Les Ministères-, Et-la soiEmployez , le FORMOSOL de rée s'est prolongée encore assez- ionslemps, préférence à la VRAIE NICOau- son de la musique, autour des tables de TINE TITRÉE : c'est un inseccafé, mêlant, comnie dans les pages, de la ticide plus puissant et bien Revue, les personnalités les plus, diverses moins cher. Ajouter 500 gramréunies par le culte des lettres. ' mes de FORMOSOL par hectol. de bouilliie bordelaise ou bourCHEMIN DE FER D'ORLEANS guignonne, ainsi qu'aux bouillies au verdet. A. SAVÈS, TOULOUSE, seul conoes ro pour Abonnements individuels et de famille pour la France et l'Algérie. En venles côtes Nord et Sud de Bretagne te chez tous les dépositaires de la BOUILLIE C. MARQUÉS. Afin de permettre aux touristes ainsi qu'aux familles de s'installer sur une des plages de Bretagne et de rayonner de là sur les autres locaH*5s de cette région si variée et si intéressante, la Compagnie d'Orléans, d'accord avec les chemins de fer do l'Etat (ancien réseau de l'Ouest) délivre du jeudi qui précède la fête des Rameaux au 31 octobre inclus au départ de toute gare .station ou halte des deux réseaux (lignes de banlieue du réseau de l'Etat, anciennes lignes de banlieue Service d'été- â partir du lundi 3 avril 1311 : de la Compagne de l'Ouest exceptées), des LIGNES DESSERVIES PAR OMNIBUS A CHEVAUX abonnements individuels et de famille de Ire Bla;rnac .(par le Polygone). -— Aller : matin, 11 h.; et 2' classe pour les côtes Sud et Nord de soir, 7 11. — Retour : matin. Midi; soir, 8 h. Bretagne (Gares des lignés du Croisic et de Blagnac (par l'Embouchure). — Aller : matin, Guérande à Brest et de Brest à GranviTle par 611.; soir, 2 h. —' Retour :. matin, 7 h.; soir, 3 h. Lamballe, Dol ot Folligny et des lignes d'emLaJourguette. '— Aller • matin 6 h;; lo h.; soir, 7 h. — Retour : matin. Th.; 11 h.; soir, a h. branchevent vers la mer.

Lorsqu'il eut passé le seuil, Amy s'élança et le suivit des yeux un bon- moment. — H est étrange, sœur, dit Tom Travis, mais bon garçon ; pourquoi ne me félicites-tu pas ? La jeun© fille vint à lui, s'appuya au dossier de sa chaise, et lui passa les bras autour du cou . — Pourquoi as-tu fait cela, Tom. ? Pourquoi ? Et le mécontentement perçait dans sa voix. — Quoi, petite fille, d'avoir obtenu, unie place ici ? — Oui, et donné uim faux nom ? — Il est inutilo de mie bombarder de tes pourquoi, répondit-il avec bonne humeur,, jo n'ai pais rhahitud© d'avoir de seor-ets pour toi, Amy, j© -ne commencerai pas aujourd'hui. — Si notre mère était ici, Tom:, pourrais-tu la regarder sans rougir ? A ces .mots, le jeune homme montra quelques signes d'impatience. — Quelle femme tu es pour voir tout de suite les choses en noir 1 J'ai été très léger, je l'admets, mais je n'ai rien fait qui justifie ce visage chagrin, cet air désolé ! Voyons, sœur, regarde-moi avec gaiet^ ou je regretterai -d'être venu ! Elle vint s© .placer m face die lui, mais garda son air sévère. — H faut m'expliquer ce que tu te piroproses, Tom, en me mettant, dans cette fausse position. Elle se contenait, mais sa voix était ferme et décidée. — Bien, je serai... Et sMirteiTOmpant brusquement : — Ecoute-moi, sœur, je suis venu ici pour cominwneer une nouvel1!© vie : je rejette lo passé, loin d© moi, j© veux devenir tout autre : j'ai pmis La résolution de -ne

Montaudran (Pont-des Demoiselles). — Aller : matin, 8 h.; soir, 6 h. — Retour : matin, 3 h.; soir, o h. Salnt-.Martin-durTouch. — Aller : matin, 0 h.; Il h.; soir. 4 h.; 7 h. — Retour ; matin, a B.i soir, 1 h.; 0 h. ; 8 h. Colomicrs. — Aller : mam, 0 h. ; 11 h. ; soir, 4 h. Retour : malin, 7 h. 1/2; midi 1/2; soir, 5 h. 1/2. Braqucviile — Portot. — Aller : matin, 6 h.; midi; soir, 4 11. — Reloua- : maUn, 7 h. 1/2; soir, 1 h. 1/2; 5 h. 1/2. Tous tes dimanches auront lieu des départs supplémentaires : Tour Blagnac fpar l'Embouchure), à 8 h. matin. — Pour Blagnac (par le Polyg-Hie) à 5 h. soir. — Pour Salnt-Maxtin-du-Touch. à 2 iieuixi. — Pour Lafourguette, à 2 heures. Lieu do départ des omnibus : p,'*ce du Capitole. U0NES ÉLECTRIQUES Semaine

j. E. — Place du Capitole a Oroix-Daurado (pont do l 'Hers), chaque heure dans chaque sens. — Aller : 6 h., 7 h., 8 h., 0 h., 10 h., 11 h., midi. 1 h., 2 h., 3 h., 4 h., 5 h., 6 h., 7 h., 8 h., 9 h. — Retour : 6 h. 30, 7 h. 30, S h. 30, 9 h. 30, 10 h. 30, 11 h. 30. midi 30, 1 h. 30, 2 h. 30, 3 h. 30, 4 h. 30, 5 h. 30, 6 h. 30, 7 h. 30,8 h. 30, 9 h. 30. N. E. — Place du Capitole a Lalande-Aueamvilte. chaque 40 minutes dans chaque sens. — Aller ; 0 h., 6 h. 40, 7 h. 20, 8 11., S 11. 40, 0 h. 20, 10 h., 10 h. 40, 11 h. 20, midi, midi 40, 1 h. 20, 2 h. 2 h. 40, 3 h. 20, 4 h., 4 h. 40, 5 h. 20, 6 h., 6 h. 40, 7 h. 20, 8 h., 8 h. 40. — Retour : 0 h. 40, 7 h. 20, 8 h., 8 h. 40. 8 h. 20, 10 h., 13 h. 40, il h. 20. midi, midi 40. l h. 20, 2 h., 2 h. 40, 3 .11. 20, 4 h. 4 h. 40, 5 h. 20, 0 h., 6 h. 40, 7 h. 20, 8 h., 8 h. 40, 9 h. 20. M' E'. — Place Esquirol a Satm Agne, chaque Heure dans chaquo sens. — Aller : 6 h., 7 h., 8 h., 9 h., 10 h., 11 h., midi, 1 h., 2 h., 3 h., 4 h.. 5 h., 6 h., 7 h., 8 h,, 9 h. — Retour : 6 h. 30, 7 h. 30, 8 h. 30, 9 h. 30, 10 h. 30, 11 h. 30, midi 30, 1 h. 30,

80/*mi<ti, midi ao.

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— Une telle coïncidence paraît trop étrange pour être possible ; je croirais plutôt qu'un des bandits, celui qui avait trouvé le médaillon, l'a laissé ici dans F intention bien arrêtée de faire porter les soupcc-ins sur moi . — Oh ! Tom ! murmura la jeune fille qui voyait pour la première fois l'événement sous un nouveau jour, si tu sa,vais combien la découverte de ce médaillon m'a coûté de nuits blanches ! —• Je m'imagine combien tu as dù te torturer avec cela ! S'arrêtant devant elle, il la regarda avec pitié et posa une main sur son épaule. — Pauvre petite fille, je te plains d'avoir un frère dont le passé autorise, une pareille supposition 1 A ces mots, les lanmes contenues montèrent aux yeux d'Amy. — As-tu parlé à quelqu'un de ta trouvaille ? A .personne, sauf à M. Whipple. — Pourquoi le lui as-tu dit ?... La voix de Tom tremblait visiblement. — Je ne sais pas moi-même pourquoi je le fis : j'avais gardé ce secret trop ïmg. temps, je ne pouvais plus le supporter, et puis j'avais besoin d'un conseil. — Et c'est Whipple que lu as choisi pour cela ? . L'anxiété -était -écrite sur le visage du jeun© homme ,et c'est d'une voix haletante qu'il ajouta : — Que t'a4-il conseillé ? — Il m'a conseillé de ne pas te faire venir à la mine. — H a fait cela ? s'écria Tom, et l'expression avec laquelle ces mots furent prononcés était, aussi bruiale que le regard qui les accompagnait. Pendant un moment, les sentiments violents qui agitaient son âme se refléteront de son aW.i-

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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plus causer de peine à personne, sur'out à toi ; et si j'ai donné un faux nom, c'est que je n© veux devoir ma position qu'à, mon seul mérite ; c'est tout, sur ma pa-(: rôle ! Phfut ! tu fais un© montagne d'uneu| taupinière ! — N'est-ce pas plutôt parce que tu étais ij honteux ou que tu craignais de révéler ' ton véritable nomi ? denianda-t-elle d'une voix pénétrante. — Qu'est-ce que tu vas penser ? dit-il ;{ durement ; qui peut te faire supposer un© ^ pareil'l© chose ? — Ceci ! Amy tira de sa poitrine le médaillon qu'ell e y tenai t caché. — Où as-tu trouvé cela ? s'éoria-t-il au comble d© l'agitation. — Si tu étais à Phœnix, Tom, tu as certainement entendu, parler du vol qui ai] été commis ici ? — Certainemiont ! Mais quel rapport ce médaillon peut-il avoir avec le. vol ? Amy lui dit dans quelles circonstances le médaillon avait été trouvé par elle. Pendant ce temps, Tom. s'était un peu ressaisi. — Par Jupiter ! frappant son genou de son. poing fermé, c'est surprenant comme les chos.es arrivent quelquefois ! J'ai perdu ce médaillon à Phœnix, il y a un mois, j'en étais navré et j'ai tout fait pour le retrouver. Et tu. l'as découveirt ici, dans ce bureau, le lendemain du vol ? — Que pouvais-je penser, Tom ? ' — Tu aurais pu me faire bénéficier d'un doute. — L'homme qui a trouvé ki médaillon, quand tu l'as égaré, doit être un des voleurs ; par une coïneidemee étrange il le perdit ici où j© fus heureusement la seule à le voir. Tom se leva vivement et marcha de long ©in large.

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sera recouvré par les soins de l'administration des Pontes, quelques jours après la souscription. (Signature de l'abonnè.i

Imprimerie spéciale

iude et, par un effort énergique, il se ressaisit i ses traits se détendirent et s' éclairèrent. U prit la main de sa sœur. — Pardonne-moi, dit-il, mais sais-tu pourquoi Whippl© ne voulait pas me laisser venir ici ? Jo no peux 1© comprendre et j'en r éprouve uno grand© amertume. C'est pour cela quo tu tenais à ce que nous quittions la Golden Eagle ? — Oui. — Bien, ce point èolairci, je pense, moi, qu.il vaut mieux rester, dit Tom délibérément. — Mais son-go dams quelle position je vais me trouver ! Jo saurai toujours que tu n'es pas celui quo tu parais être ; et sois sûr que M. Whippl© 1© découvrira avant qu'il soit longtemps. — Laisse-moi faire : Whipple, s'il est rhomm© que je crois, me jugera sur ce qu© j© ferai, et non sur mon passé Un faux nom. mo facilite l'entrée dans la carrière : crois-moi, cela vaut mieux ainsi ! La nature droit© et loyale d'Amy réprouvait tout ce qui ressemblait à de la duplicité ; mais elle craignait m opiwsant une trop longue résistance aux volontés de son frère, d'aggraver encore la situation, et dut-elta en souffrir, elle fermerait les yeux sur cette petite simsachérie qui permettait à Tom de se réhabiliter et facilitait tour réunion. Elle- garda sur elle le médaillon craignant que Whipple ne découvrit la frau de, s il le voyait en la possession do Tom De même, elle no parlerait pas à son frèn'o de la découvert© concernant Jef fries; c© sentiment do réserve instinctif était-il dicté par la crainte d'exciter encore.. 1© jeune homme, ou par lo désir d'en savoir davantage avant de dévoiler et sociel ? Amy ne le savait pas elle-même

Le gérant ? Amédée BESSON

Le vieux Gonzalès n'ayant plus de chambre libre, il fut décidé que Tom coucherait dans un coin du bureau, et prendirait ses repas chez Mrs. Gambel. Amy eût préféré que son frère trouvât pension ailleurs ; mais il sut si bien persuader l'hôtesse qu'elle acquiesça d'assez bonne grâce à sa demande. Dès que ces détails eurent été réglés, 1 instruction du jeune homme commença par le travail routinier d© chaqu© jour. Amy s'aperçut alors, — Tom. ayant dû enlever ses gants, — que sa main droit© était entourée d'un bandage ; il s'était déchiré la main quelques jours avant, expliqua-t-il, mais cela, n'était rien et ne 1 empêcherait nullement de travailler. Alors commença pour la jeun© fille un apprentissage pénible : parier à son frère comme à un étranger, éviter tout c© qui pouvait trahir cette situation exceptionnelle, était très difficile, et le plaisir de l'avoir près d'elle compensait à peine la crainte de se trahir. Elle pensait à tout cela la nuit suivante, ahure que le sommeil la fuyait obstinément, à cela, et à d'autres choses. Whip'plo avait-il donné un double sens aux paroles prononcées par lui en quittant le bureau ? Peut-être la comédie jouée par son frère et par elle-même n'abusait-elle pas lo directeur ? Peut-être avait-il deviné que. Tom était son frère ?... Peutêtre, aussi bien qu'eux, jouait-il un rôle ? Ces pensées lui étaient intolérables, et Dion qu'elle ne pût se convaincre de la clairvoyance do Whipple, le soupçon restait en elle, tenace, inquiétant. {A suivre.i

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RÉDUCTION & ADMINISTRATION : TABB Mardi é Juin 1911.

SPÉCIAL Le lieutenant aviateur Bague est parti de Nice pour effectuer le raid Nice-Corse.

A Paris, la grève des taxi-aulcs et des tramways tiu Nord a pris fin.

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Le comité de la grève internationale maritïme a commencé à Londres une conférence de trois jours pour examiner la question,

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L'AVIATION MILITAIRE A TOULOUSE

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Attention à vos

donne, pour ses étrennes, un pos.o do trésorier-payeur général dans l'Oise, c'est-à dire 33,183 francs de rente, auquel on !«jouto le | titre d'administrateur du Crédit Foncier, soit 20,000 francs par an. Le li!s do ce fille u I était chef de cabinet do M. I rouiitut .. il attend «on bénéfice. M. Dupré. Jules, qui n'a jamais, lu 1 non plus, appartenu à l'administrai,*.»), est nommé, en 1900, percepteur à. Nemlly : il touche de ce fait. 21,264 francs par a». Ses titres ? M. Dupré est le premier mari do la première femme de M. Caillaux. t '.-ur < ttenir sa bienveillante neutrnl'ié, après le divorce, ne fallait-il pas le désintéresser dans une large et convenable mesure .' Joost Van Vollenhoven est né à Rotterdam, Hollande. Il avait, par conséquent et de naissance, le goût d'un fromage ; on le nomme secrétaire général des colonies, ce qui lui vaut une petite prébende -Je 18, (.-bO francs par an. . Emile Merwart, né à Lemberg, Autriche, étant né hors de France, a parlé ia vacation des voyages au long cours ; rien de plus facile, il est protégé par M. Méline et on le fait aussitôt gouverneur de ia Guyane, aux appointements de 20,000 franes par an. Les parents de Jeau-Edme-Fornand Gautret se désespéraient. A trente ans. il n'avait pu encore passer son baccaiauréat. Qu'allait-on faire d'un pareil can:re ? I/dS colonies excellent à préparer les fruits secs : gouverneur do la Guadeloupe JeanEdme-Fernand a vécu sans fatigue avec l'os vingt mille francs crue lui allouait la Repu- « clique. • Mais lisez vous-même la liste que nous reproduisons. Tout commentaire m affaiblirait l'éloquence. 11 faut parcourir ces colonnes pour se rendre compte de ce que représente, en 1911, la République française.. Baudelaire en eut la' vision aiguë lorsque, prophète comme tous les poètes, il écrivit ces vers, un peu naturalistes, mais combien précis :

Si jamais vous allez à Chicago, je vous conseille, mes bons amis, de faire attention Vétlsines a remis son départ pour Rome à à vos parapluies. Car il >j a là-bas un juge on affirme que le chef de cabinet du minisdemain. D'autre part, Vidart, parti d'OrtoDello, de paix particulièrement indulgent pour us tre de la guerre serait le général Delétoile, a atterri à Rome. filous qui ont la spécialité de faire les ricommandant la 83» brigade d'infanterie à *•* Tours. flards. , ,. , , „ On a découvert sur le parcours que doit suiCe magistral qui, de l'autre cote de leau, vre le sultan, se rendant à Salonique, quajoue les Magnaud. vient de nous adminisrante-deux kilogrammes de dynamite. Lire la dernière heure à la 3' page. trer la preuve que dans la Libre Amérique comme chez nous, la claudicante Themis s amusc parfois aux dépens des pauvres bourgeois. En deux mots, voici l'histoire. Un citoyen de Chicago, désireux de ne pas se mouiller un vilain jour de pltûev avait arboré un superbe pépin. L'excellent homme, pas défiant pour deux sous na nullement tenu compte du conseil donne dans toutes les langues par la sagesse des nations. Beware of pipockets ! La commission sénatoriale chargée de tout prix, 15, 25, 30 congrégan-istes engaSon parapluie a tenté la coupable confaine une enquête sur la liquidation des gent 15, 25, 30 revendications ; en pre* voitise d'un de ces pickpockets qui lui non mière instance, en appel, en cassation, 3e coogi égatioiis a, comme nous l'avons dit, plus ne voulait pas se mouiller. Un, deux, trois, le parapluie disparait. adopté le rapport de M. Régismainset sur liquidateur a gain de cause, trws les — Au voleur I . les opérations effectuées . jusqu'à la fin plaideurs congréganistes ont disparu ou On arrête la victime du larcin. L'affaire sont insolvables. Les fras di ces innomde 1908. est instruite. Les débats ont lieu devant le tribunal de Harrisson-Street. Le vol est Ce rapport nous révèle la faillite d'une brables procès restent à ta charge de la avoué. Le juge rend son jugement, et, stuliquidation dont M. Waildeck-Rousseau liquidation dont l'actif fond et se réduit péfaction, U absout le volé dans le plus à rien. avait fait luire les résultats aux yeux de magnaudesque des jugements. Savoure la majorité pour obtenir d'elle la chasse « Dans cette lutte sourde- ajoute-t-il, moi ce considérant : aux congrégations. « Un homme a une sorte de droit à voler les congrégations ont été admirablement un parapluie quand il ne peut le payer et Un milliard ! servies par un comité de juiriscon suites qu'il pleut ; mais qu'il n'y revienne pas. » C'est avec ce chiffre fantastique qu'on dévoués et désintéressés ». Le mot fait Chez nous, Prud'homme avait dit : « La s'est rué sur les biens des religieux, qu'on image, rapproché des qualifie atifs que le propriété c'est le vol. » Le mot a fait son a dépouillé des milliers d'hommes et de rapporteur accole à ceux qui, chargés de petit tour du monde. Les nouvelles couches judiciaires de l'Amérique ne sont pas en femmes, qu'on s'est emparé de leurs res- défendre l'Etat spoliateur, se sent mis eupeine pour en faire la plus rigoureuse apsources après les avoir jetés dans la rue mêmes à gruger cet Etat et à s'enrichir à plication. Pour elles, rien n'est sacré pour condamnés à l'exil et à la misère. ses dépens. un voleur, pas même le parapluie. Le paraLes meuefties ixMiiHïonnaieîit sur ce ventre putride Un milliard à voler et à se partager, pluie appartient à l'escouade sociale et tout Malgré cela, si le vol n'a pas produit D'où portaient des noirs bataillons quelle aubaine ! Ce fut un hallali géné- tout ce qu'on en attendait, c'est parce que le monde a le droit de le chiper au voisin. De larves qui cousaient comme un épais liTuide Le long de ces vivants haillons. Décidément les idées de mon vieil ami Jaural : liquidateurs, hommes d'affaires, les congrégations ont eu le mauvais goût rès font des progrès. Aujourd'hui on nous avocats politiciens, dont plusieurs minis- de ne pas mettre assez de complaisance Oui, évidemment, sur tout corps en dé-, prend le parapluie, et la justice estime que tres qui avaient voté la loi de spoliation, à se laisser dépouiller. La victime attac'est très bien. Demain on nous volera nos composition il y a des asticots qui le ronse précipitèrent vers le pillage. Et ce fut quée au coin du bois ne- donne pas aux habits et notre chemise, et nous n'aurons gent. Nous n'attendrons pas longtemps la vipas le droit de protester quand le filou nous un beau pillage, au dire du rapporteur. apaches le gain qu'ils avaient prévu, dira : « J'ai une sorte de droit à prendre à sion des ossements blanchis. Du milliard il ne reste plus que 37 mil- donc, c'est la victime qui est coupable. autrui tout ce que je désire et que je ne GUY DE CASSAGNAC. lions. Pour un peu, c'est elle qui serait taxée peux pas payer. » LES LIEUTENANTS MENARD ET DO-HUU L'aveu en est fait officiellement cette do vol. M. le juge l'a dit. Diable ! diable ! Ce nou^^r^^Mnfnfn^MaMftff^^n^fl fois pair ceux-mêmes qui avaient con-t vel axiome de droit me rend rêveur. Il est La plaisanterie est tout de même un ISExpress, qui a offert une Coupe d'une vaA. PAU vrai que je ne suis qu'un affreux bouroauru par leurs votes à cette œuvre de peu forte. leur de 500 francs au premier aviateur appar De notre envoyé spécial : geois. — Louis. tenant a l'armée française qui touchera Ton confiscation. Pau, 5 juin. Les francs-maçons du Bloc s'imagilouée, en y venant .par la voie des airs, tenait J'ai trouvé, à mon, arrivée- à Pau, la ville à être le premier à saluer à son arrivée M. le MB reconnaissent dans un document naient-ils vraiment que les religieux délieutenant Ménard. public quo le naufrage de leurs convoi- pouillés des biens qui leur appartenaient endormie. CHOSES VUES Après les. minutes émotionnantes de .l 'atterVoici, du reste, le règlement de la Coupe de tises est absolu. rissage des deux officiers aviateurs, le lieutelégitimement n'auraient tenté aucun ef- nant Ménard et son passager le lieutenant YExpress, tel qu'il a été arrêté par l'Aéro-Club Les dépouilles ont à peu près disparu; fort pour se défendre contre leurs spolia- annamite Do-Huu, du 1" étranger, la popula- des Pyrénées et homologué par l'Aéro-Club de France : elles se sont fondues et les dernières teurs ? On sait que nos politiciens sectai- tion paloise attend paisiblement la départ des. «J. Lo journal. l'Express du Midi met a la deux intrépides voyageurs. tes « grignotées par les gens de justice » res ne sont pas d'une intelligence remarLe temps est beau et favorable: Si aucun disposition de l'Aéro-Club des Pyrénées une donnent un reliquat dérisoire. d'une valeur de cinq centa francs pour quable, mais on leur faisait l'honneur de changement ne se produit, l'envolée du biplan Coupo Aux gens qui, taquinés par la chaleur être attribuée- au premier officier pilote-aviaParis, 5 juin. « Votre commission d'enquête, écrit M. croire que leur orétinisme n'atteignait aura lieu demain mardi, dans les meilleures teur qui, parti d'un, point situé à plus de 100 d'orage, se sentent envahis par un désir de Dans une lettre admeseée au Temps, M. Abel conditions. Régismanset dans son rapport, a pu voir pas un tel degré. kilomètres de l'octroi de Toulouse, viendra Ferry, député radical des Vosges, se plaint campagne, nous signalons avec empresse Le biplan du lieutenant Ménard est un Faratterrir au, Polygone. ' des protestations que soulève la loi sur les s'évanouir et s'effriter le milliard des con. man. sans stabilisateur avant et gouvernail ment celle, très réjouissante et très pittoA moins que ce ne soit qu'une diveru II. Ce trajet de plus de 100 kilomètres devra resque, entreprise par Gustave Téry, dans retraites ouvrières. profondeur et de direction à l'arrière. 11 grégations évalué par l'enquête de 1900. sion pour tenter de masquer les gabegies de Voici les principaux passages de cette lettre : a 11 mètres d'envergure et 7" mètres de lon- être effectué sans escale. • » III. L'arrivée sera constatée par. les com- l'Œuvre, contre le favoritisme dans l'admia Cet accueil méfiant réservé à la loi ne S'achaimer à recueillir les débris du nau- des liquidateurs. Mais la tentative se pro- gueur ; il présente une surface de '24 mètres missaires de l'Aéro-Club des Pyrénées nommés nistration. provient pas seulement de ce qu'elle est peu frage, rogner de ci de là les frais et hono- duit trop tard et rien ne saurait sauyer carrés. Il est muni d'un moteur Gnome 50 HP. par la Commission d'aviation de l'Aéro-Club Souvent, les lutteurs isolés, francs-tireurs connue, de ce que l'opinion y a été mal préSon poids transportable est de 270 kilos. raires exagérés, arracher les dernières les vrais coupables. Leurs noms, d'ail... de l'opposition, comme Téry et nous, tous parée, de ce que l'éducation des bénéficiaires L'appareil occupe à l'aérodrome de Pau. le «te France. » IV. Cette Coupe sera courue sous les règlehangar n' 1. ceux qu'aucune coterie n'a réussi à embri- de la loi n'a pas été faite ; cet état d'esprit miettes grignotées par les gens de jusdo l'Aéro-Club des Pyrénées et de la gader, sont traités d'energumènes par:e s'explique aussi par une sorte de méfiance à leurs, s'étalent tout au long dans le rapJ'ai pu m'entretenir tout à l'heure avec le. ments. tice, à cela presque se réduit le rôle de F. A. I. l'égard de l'Etat républicain. Un militant avisé port de la commission sénatoriale dont lieutenant Ménard. » V. Lies officiers qui déféreront courir cette qu'ils font du bruit individuellement au lieu me disait : « La loi n'eut pas, il y -a quelques vos comani'ssions : sauver quelques milC'est un homme vigoureux, au regard éner-. d'opérer collectivement. l'existence même constitue un aveu, gique, Coupe seront tenus de prévenir le Comité de années, rencontré la mémo mauvaise humeur.» son entrain est merveilleux. Tl passe 1 liers de francs quand ils voient dispaOn met en doute sinon leur sincéri 'é, du Si c'est vrai, c'est grave, c'est le crédit moral puisqu'elle n'a été créée que pour enquê- pour un de nos aviateurs militaires les mieux direction de l'Aéro-Club des PyTénées trois jours avant de tenter l'épreuve. raître les millions ». Et ces sommes arramoins l'exactitude de leurs affirmations, et financier de l'Etat qui est atteint ; cela déter sur les dilapidations des liquidateurs. entraînés. » VI. Ils devront en outre télégraphier au comme s'il fallait n'avoir point de passions note un manque de confiance, une aJxience chées, après avoir été volées une preLe lieutenant Ménard et son passager et plus (and six heures avant leur départ en indid'optimisme ; si l'homme pris au hasard dans Il faudrait, pour qu'il en fût autre- camarade le lieutenant Do-Hun sont pleins do quant l'heure probable de leur arrivée a Tou- pour être véridique. mière fois, à la rapacité d'autres pillards .a rue hésite à confier ses 9 francs aux caisses confiance sur l'issue du magnifique raid qu'ils- louse. Mais, cette fois, aucune discussion n'est ment, rayer de l'histoire de cet acte de serviront à peine « à fournir des penpubliques, l'une des forces nationales, c'est la sont en train d'accomplir. permise, aucune contestation n'est possi- foi dans la signature de la France qui est » Fait à Paris, le 2 juin 1011. « Si le temps le permet, me disent-ils, nous sions, secours et hospitalisations aux con. brigandage des noms et des incidents, » Ed. SlRVEN, ble. . touchée et c'esit peut-être lft le châtiment de Pau demain marri i a u point du g.régainàstes infirmes ou âgés laissés aux tels que celui de M. Duez et de magis- quitterons » Président de l'Aéro-Club des Pyrénées, i De même qu'à l'époque des fiches, Guy «L eux qui ont eu pour les hommes et les choses jour. Nous sommes très heureux de visiter trats sur lesquels M. Combes lui-même do Villeneuve accabla ceux qui niaie it si peu do bienveillance... et même si peu do soins de l'Etat pair les congrégations disToulouse, où nous savons qu'on s'intéresse On le voit, l'exploit de M. le lieutenant Mé avancement par les voies maçonniques Justice que de voir aujourd'hui l'Etat récolter soutes ». s'est prononcé en termes aucunement vivement aux progrès do l'aviation. Notre nas'd, venant de Pau â Toulouse par la voie la méfiance ; et cependant, la santé des peuappareil fonctionne à merveille et nous avons gm aire, n'a «n perdu de eon attra i t, même dans l'armée, de même les optimistes qui Là se bornent les doléances et les flé- équivoques. pleine confiance dans la suite de notre raid ». .aprèts les sensationnelles arrivées iLo Morin croient en la pureté des mœurs administra- ples cV-t.i, la eoiiilaïuvî en .•ii .vitièimv, mi -e de nos forces de paix et de guerre, c'efit notra* En attendant l'heure émouvante «lu départ et de Védtlinas. En tête de ces malfaiteurs, cette histoitrissures du rapporteur à l'égard de ceux tives seront obligés de s'incliner devan,t les crédit ; il n'y faudrait, toin -ln-r i\\m d'une in;' ;!« de Pau pour Toulouse, le lieutenant MétHorçU N'oublions pas, du reste, que M. le lieutenant documents ci-contre. légère et faire autour de lui la trèvo des qui ont travaillé au naufrage des espé- re placera M. Waideck-Rausseau qui, est allô se promener en automobile dans les Vénard coniiutt un biplan Farmain, et qu'il a Malheureusement, chez nous, lorsque les partis, a pour allumer les convoitises des masses environs de la ville. rances des spoliateurs radicaux. à son bord «il passager, M. le lieutenant gens s'inclinent devant, les révélations faiIl faut ajouter que les bruits les plus con- amia.rn.i1e Do-Huu, de la légion étrangère populaires, leur promettait, dans son disPar contre, M. Régismanset ne décotradictoires et les plus divertissants ont Ce ssra ïa première fois -qu'un biplan volera tes par l'opposition, ils n'offrent qu'une lère pas contre « les congrégations qui, cours de Toulouse, « île partage du mil- couru tout aujourd'hui a travers la région, au vers Toulouse, u travers la région, du Sud cible plus commode aux coups de pied de sujet du départ du lieutenant Ménard et de Ouest, et l'appareil do M. le lieutenant Ménard nos maîtres. . Le Mans, 5 juin. dit-iil, sont parvenues à soustraire leurs liard des congrégations. ». Ce fut le si- son passager pour Toulouse. Les instituteurs et institutrices de la Sarsera le premier aôroplano portant deux voyaAucune révolte ne les anime, aucune m gnal de cette chasse aux moines et aux Des dépêches arrivant d'un peu partout ont personnes et leurs biens aux lois votées, the.- réunis en assemblée générale, après geurs qui vienne atterrir dans notre ville. dignation ne les saisit ; on fait : » Ah ! » signalé le passage du biplan des deux offi- 9 Hier, dès la première heure, nous nous som avoir pris connaissance de l'article unique du aux liquidations ordonnées ». Que ne *e religieuses, de ce pillage de leurs biens ciers à Lourdes 1 et à Tarbes ! puis, on dépose son journal, on sourit héa •mes transportés au Polygone d'artillerie qui projet de loi déposé par M. Steeg, ministre On voit que rien de tout cela n'était exact, en attendant ia création d'un aérodrome à Ton itement et on se rendort. sont-elles laissé faire ? On n'a jamais vu qui devaient servir do premiers fonds de de l'instruction publique, concernant la dépuisque le grand oiseau repose encore, à caisse pour les retraites ouvrières. Personne ne se fait le raisonnement que fense de l'école laïque, et considérant que louse, est l'endroit affecté aux atterrissages et vraiment des victimes opposer une telle l'heure actuelle, sous son hangar de l'aérovoici : les charges dans l'Etat, sont le prix cette proposition laisse totalement de côté le Aujourd'hui, on constate que la caisse drome de Pau. Et ce n'est que demain, com- aux envolées des aviateurs. résistaince aux entreprises des voLurrs ! C'est là, en effet, dans ce vaste champ, que des services rendus non pas à une faction contrôle des écoles privées, ont émis le vœu est vide. me nous l'avons dit, qu'il prendra son vol le vai.lla.nt officier nous a-nrivera du Sud Le rapporteur n'en revient pas : que le projet déposé soit modifié et remplacé provisoirement au pouvoir, mais à la NaLes voleurs ont été volés, autant dire vers Toulouse, qui réserve aux courageux Ouest et viendra se poser, avec, la rapidité tion entière. Ces charges constituent une par un nouveau texte, où l'entrée des écoles « Parfois, dit-il, congrégation im officiers qui lo montent l'accueil lo plus ohaud. d'un oiseau, vision courte et fugitive, mais publiques de tout. ordre serait formellement puissante doit subir la liquidation , mais qu'ils se sont volés eux-mêmes. ci le plus enthousiaste. G. G. dont l'impression demeure inoubliable pour hiérarchie dont le parcours est soumis à interdite, sous la sanction des peines portées ' des règlements définis qui ne relèvent point tous ©eux qui ont vù, en de pareilles circons ciorame ù faut que l'actif disparaisse à à l'article 471 du Code pénal, à toutes perdu caprice personnel, mais sont l'honnèto sennes autres que celles qui sont dé«igne«a A. TOULOUSE tamees, l'oiseau mécanique d'abord point noi PECH-DAVID. à l'horizon, puis gigantesque rapace au vo expression d'une juste garantie. Donc, lors par la loi pour l'inspection et la survedlance L'annonce de l'arrivée du premier aviateur que des politiciens profitent de leur passage des établissements d'instruction primaire* militaire a produit a Toulouse l' impression lourd, en enfin fabuleuse machine fumante e bourdomiante se posant sur le sol avec une aux affaires pour nantir leurs amis et leurs qu'on était en droit d'attendre. a Le public, dont l'attention a été un moment légèreté d'insecte. & i -m aujourd'hui, et on parents do fonctions, d'emplois administra m t uc$8* b K3îtot elle am'a 3.000 adhérents, distraite par les gigantesques épreuves interVainement hier, avec quelques curieux T 5 ?^? ( lcm' uniforme : ils nationales Paris-Madrid, Paris-Home, n'en suit nous avons attendu cette vision dans le Poly- tifs, ils commettent un vol plus scandaleux fon M-^ V '>cçoivent gone désert où, il y a quelques mois a peine, que celui du pickpocket qui prend la monA 111 J a 0ll,ai « et sont instruitspas moins avec intérêt celle randonnée silenmi' n, Paris, 5 juin. 1S™,1UI ont. I' cieuse, modeste et régulière, que. M. le lieute- grouillaient et vibraient les foules au spec- tre d'un -passant pour l'offrir à sa femme. nii ;tnfl= n U "° T dans des écoles La France militaire confirme que Le chef de CARTES POSTALES DU MAROC T tacle d«\s hommes oiseaux. Le temps était Cependant, nulle loi n'interdit ce trafic nant Ménard a entreprise en faisant le Tour 2s \ nen £ A location militaire cabinet du ministre de la guerre sera le géAvez-vous reçu une carte postale du Maroc ? est a peu près complète en six moi*. de France. splendlde. un léger vent d'autan secouait a néral de brigade Delétoile, commandant la nulle protestation ne vient entraver l 'exer ro n 11 en a^mve ma^tenant tous les jom-e enR r ^?i J° :^}\^ «or.ps analogue» dans peine la cime des arbres, mais le nid est resté cice de celui-ci : bien mieux, il est entré si 83' brigade d'infanterie à Chàlons-sur-Marne. V[1 voyées ,mr iws bravo* soldats qui sont là-bas et SnïïïïJ** vide. L'oiseau n'est pas venu.' -f* commerçantes chinoises détendant notre drapeau. Au ministère de la guerre, on déclare que la avant dans les mœurs que nul no songe dé• Notre rédacteur en chef recevait en effet La plupart de ces cartes, nous n'avons pas chose est possible, mais que rien n'est encore sormais à s 'en étonner. 1 •dans l'après-midi, ce télégramme de M. le lieubesoin do le dire, ont été faites à Paris par organisée fait ; aucune décision officielle n'a encore-été un &t u '^. ^présentation fut tenant Ménard : On trouve absolument naturel que les dé ueo industriels prévoyants. On y retrouve nos prise par lo ministre de la guerre, qui a passé putés blackboulés, que les filleuls, les ne . . . , . . » Pau, 5 juin. braves troupiers à toutes tes étapes suivies la journée d'hier à Chftlons-sur-Marna. r> Arrive hier soir Pau ,compte revarlir Pleine et l'enthousiasme fut tel «u *?le7 uS£ Par les corps expéditionnaires, mêlés aux mOn ajoute rue Sainl-Doniinuine. qu 'il est veux, les cousins ou les fils do pnrlemen mardi matin pour Toulouse. ingénies. Quelques-unes de ces cartes, il est taires soient pourvus do grasses sinécures probable <|uo. la <li '<sii;un1 ion du c.liet de cnht» MliNAUI). t net- lui i -i-a. dellnit.iv.' qn'api'ès que. le RénéMl tn la Plèc, j,0,lé0 vrai, ont un peu vieilli, car elles furent fabriaux dépens du peuple français. es* des Golran en aura fait part- à. ses collègues an Cmmm un° mriole quées a 1 époque de lu première expédition, Su?d£S£L.MÎiSf : /âS M. Fallières veut marier sa fille 't H signe COUTS Ainsi donc c'est aujourd'hui mardi, aux predoit du conseil de cabinet qui se tiendra SmeffinS? mats ceux «pii les reçoivent n'y regardent pas un décret no-mmant son f utur gendre trésomières heures du jour, «tua l'intrépide officier mercredi prochain, sous la présidence <L> M. <ie si .près, tant ils sont heuneux tle recevoir SUmito aviateur s'envolera de l'aérodrome fameux do rier-payeur général à, Versailles, aux ap- Monts. &is* ^<>™<m ««•s nouvelles d'un père, d'un fils, d'un fiancé. d pau pour gagner la vallée de la Garonne et pointements do 49 .255 franc9... enfin Toulouse, point terminus do l'étape. Ses titres ? A été secrétaire, particulier do LE PATRIOTISME CHINOIS Comme c'est la coutume des aviateurs, M. le différents ministres, puis du président de UN VETERAN V, e6 lieutenant -Ménard- partira aux premières heuï»?ÎSS 2.1 * l' 1 » 8 intéressant à constater que mïïS- Ë? tt'Eichstœtt, en Bavière, vient d'inaures du. joui', c'est-à-dire entre 4 et 5 heures lu, République, c'est-à-dire a été nonnms 868 m PM8TôST dc l'esprit militaire et patriotique 18 ?nV n "Tu -mont la guerre fl), du matin ; c'est le -moment le plus propice d'emblée dans l'administration fiscale et se î..\ V"""-,'! t "ne évolution lente, qui IW0-71. Rendons Jiwtlce aux Bavarois • les _ _ , , Paris, 5 juin. au vol, l'atmosphère j'ilant, relativement calme voit octroyer cinqunnto™nillo francs de .•'t bien loin, encore d.'avoi-r transformé la n »nie'U -<llM a6Silstai,ent « n «orps ù cette céréDu Gaulois : 111 ou lever du soleil. rente, du jour au lendemain, passant par: puissance forte comme le Japon, > Je ne sais .'..mmenf. M. r /'ivn Haurceois le Le vaillant officier pont donc arriver Vn j 'rlV ' 5 e «J>H Pas Olro négligée, dessus tous les pauvres bougres qui, depuis sonnerai» champenois, se t irrira d'une sotte Polygone entre G et 7 heures du matin. un 4«t récents symptômes de cet esprit nouC'est M le minimum de temps prévu, en vingt ans, peinent, suent, gravissent péni- affaire dans laquelle il s'est, mal engagé » Pour uno Pus, il preml purti en faveur do tenant compte des meilleures conditions at- blement les échelons de la hiérarchie et narada }ran moupliéiïquies. Mais, en tout cas, à moins i'-" s'usent le derrière sur les ronds de cuir dea la oiasse supérieure contre la classe in/cl 'ÉtcnZa fV ^' ^ vétérans .panne ou d'accident, M. lo lieutenant Ménarï ministères. rie-lire, pour le riche contre le pauvre fcpplvera a Toulouse dans la matinée ewl pi vin noble . « iitiv l- vin roiui.i<ïr ; il rl*quo Nelson Lanes, frère du gendre, n'éta'r, lo non plus ne l'oublie *pas ! «Mard. La Franco f« n. de L'Express sera heureux de lui remettre H ù dos ceux qu'il protège et avant l'heureux mariage do JdOO-JOMph Conpo qui'l a creéo pour 1,, premier ;,via V- ï, qu'il al '.milit.ai.re atterrissant dans noir,- ville et In Edmond, quo fllaleur dans lo Lj.t-et -Garon L'ESPRIT DU JOUR t-pulation toulousaine saura acclamer comme ne. Comme petit souvenir des no:i.>? il re „~ y»."* connaissez Ja nonvolle : On va faire H.I^ mente M. in lieulenant Ménanl, en ?"lo çoit lo titre d 'administrateur de :;1 itanqt < une loi contre les mystificateurs p' . eiant son nom à celui d«>.s intrépides av 'i en « Ottomane, au traitement do Ircnt et !«• . I" Aussi commençait-on hier à se .priioecunei' tre lut les Soralt-oe contre les liquidateurs des v congrégations ? des la première heure, tk l'arrivée de l'avia- |ul Portent au loin la renommée SÏÏgfojîS francs par an. teur militaire. Mais M. Fallières n'a pas quo rirs M A C. dres, il a un filleul. M. tus«tt«r»*«. On »

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Le Lieutenant Ménard espère arriver mardi matin à Toulouse

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DÉPÊCHES Les Retraites Ouvrières

LV DÉFENSE DE L'ÉCOLE UIDIË

fèchos de partout

Le Gabinet du Ministre de la Guerre

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés


MARDI 8 JUIN 1911 tions ou radiations, au cours du semestre. Les ooritie-torpilleurs à Nice ont reçu l'orexpiré le 31 mai dre d'aller à sa recherche. , , ,„ Avec traitemi'iii donnant lieu à -remplace, Nice, 5 juin. de Marrakech ot tes nouveaux caïds ou sud, ment • gT&nrte-offlctert, 10 ; «Homandeurs, partiront aujourd'hui sous la conduite o» Le contre-torpilleur ArhaWte, envoyé Ê ' < 31 ; oriiciors, Ht ; chevaliers, 618 ; médailles irciche relie du Iteutenu'iit Bague, vit-m «e radioM'To-ugui. militai!'-: S, 1,175. ,, La délimitation de la Champagne tôlégraphier a la préfeotrare maritime quu \vee iralUanent ne donnant pas lieu a remLa retraite de la division Toutée Paris, 5 juin. m'avait pu découvrer l»w»pUi-i!c:. plaoemenl : gniiid-ofilci'er, 1 ; officier, 1 ; chc Paris, 5 juin. L'émoi ;-'.n à Nice est extrême. TJC conseil «"Fiat a transmis au gouvernéevalier. L . , Le comité d'aviatioin de Nice fait demander ment le projet de décret rendu samedi soir au La retraite do la division Toutée suggère au Sai traitement donnant lieu à remplace.. tous tes commandante do navires en parsujet do lia délimitation de la Marne et de Temps les réflexions suivantes : menl : BraiMlfroffleiew, 2 ; commandeurs, 5 ; tance d'exea-eer m no ismrvéi'l'ance très active l'Aube. « Les troupes françaises avaient été mo» 1" officiers, 21 ; chevaliers, 187. LES ACCIDENTS DE CHEMINS DE FER Hier, M. Monts a reçu M. Paras, ministre de lisôss sur la frontière algero-marocainc pour •on Tnh°T Sans traitement ne donnant pas lieu a remDes' ordres viennent d'être donnés aux couJ'agrioultuTC, avec qui 11 s'est entretenu de cette attirer à elles une partie au moins des tribus Un déraillement pi leemcnt : commandeur, 1 ; officiers, 13 ; tre-torpiilileurs actuclllement à Nico a partir a Question. qui assiégeaient Fez. , „ Florence, 5 juin. eh vouera, "S ; médailles militaires, 10. la recherche de l'aviateur. . On espérait ainsi décongestionner la captL'express parti de Milan hier mutin a sept Le lieutenant Bague avait exprime le dé&iir Le Millénaire de la Normandie ait) ; ce résultat n'a pas été atteint, bi ton lieures et qui devait arriver à Rome à G h. .50 de n'être pas convoyé. cherche pour quelle raison le but que i on Rcuon, 5 juin. Nice, 5 juin. s'était proposé, en portant la division Toutec de d'après -midi, a déraillé à la gare 'de Cor. Pans la soirée d'hier, la fonte s'est répandue en avant, n'a pas été atteint, on croit la trou- bezzi, avant Pistola. Le général de division Dneray, gouverneur Bans les rues pour admirer les illuminations ver dans le fait que l'offensive n'a pas été Le -train était à peine entré dans un tunnel do Nice, fait connaître qu'il a reçu te o ni.m, électriques di s quartiers et .celles grand îoseii :.issez mordante ; lo gouvernement avait in- que les voyageurs turent secoués brutalement; à 4 heures., lo télégramme. çi-joint èmedî* a Par arrêté du 3 juin, la vente des timbresdo l'église Sai.nt-Ouen, dont l'architecture était terdit do franchir la Moulouya ; il avait re- te convoi s'arrêta instantanément. 2 h. 10 par le commandant de la manne d Aretrait', de toi île catégorie sera, cffi -rluéf par mise en relief par l'éclat de lampes rouges. Les six voitures de «jueuc avaient versé. noncé à faire usage du droit de suite qu u La corvette norvégienne avait toutes ses lilés débitants de tabac, par les receveurs-buraIl y a un moirl et onze blessés. possède incontestablement. « Je reçois de diverses sources des demandes listes et par lo personnel des postes et des gnes et sa mîtturo dessinées par de petites laniL'accident est dû à une fausse manœuvre. > Dans ces conditions, rien de surprenant de renseignements sur le lieutenant Bague ; SË y éteetaïqucs. télégraphes. Madrid, 5 juin. je vous serais obligé de faire savoir quo toutes Au Théâtre des Arts, des artistes de la Corae- à ce que les Marocains, occupés à 180 kiloLue reSrrtse do 0 50 pour cent est attribuée Uno dépêche .officielle de Jaen annonce que les réponses seront adressées par la voie du Hie Française ont joué le 4° acte du comte mètres de là, se soient peu souciés du mainaux préposés des la vente. le frain-posto a déraillé près le Ltnarès. générai gouverneur ; pour te moment- je ne é'Essex, ie Menteur, et le 4' acte de Louis XI. tien sur la rive droite de la Moulouya d une force nombreuse mais immobile, bien armée Il y a 14 blessés dont 3 sont dans un état sais rien yl'Arbalettc est sur le trajet d Ajacgrave. mais impuissante. , cio à Nice et je suis inquiet. » . L'occupation de Dobdou, le bombardeDepuis 9 heures du mutin te gouverneur téfi A? MORT SUBITE D'UN GENERAL ment de Guorcif, sur la rive gauche de la léphonera les renseignements- -au fur et a meFédération des Sociétés musicales du Midi La grève internationale maritime Dijon 5 juin. Moulouya, et quelques engagements aux ensure do leur ré*ptioï ; l'.4r0alc«e venomt dA3° Fête fédérale à Lézignan (Aude) Londres, fj juin. virons de Merada, tel est le bilan militaire Le général Clément d'Eu, âgé de 62 ans, du jaccio était à 4 hscnrcB et demie en vue du port le diinanche 25 juin 1911 I Lo mouvement organisé en vue de la grève de la division Toutée. cadre de réserve, revenant d'Algérie, s'était de Nice ; le .commandant a demandé par téléFootball rugby Internationale- maritime se poursuit active» Le moment est-il bien choisi pour ordonarrêté, samedi soir, à l'Hôtel de la Gare, a graphie sans fil ou Fantassin, qui est au port, ment et prend une certaine importance. LYON CONTRE PARIS ner cette retraite, immobiliser les forces con- Dijon. si on avait des nouvelles de Bague : sur la La Fête de la Fédération sera clôturée par Hier soir, plusieurs meetings ont été tenus sidérables groupées auprès des gués do la Il avait passé la soirée très tranquillement réponse négative de celui-ci, VArbalelte a reVichy, fj juin. une audition artistique qui aura lieu te di.'dans lo quartier des docks auxquels assis- Moulouya, dans l'attente d'une hypothèse qui avec son ami te général Dantello,. et était ren- . Dans lo grand match de foot-baU rugby, lo pris la route corse pour continuer les rechermanche 25 juin, à 9 heures du soir. tré se coucher dans une des chambres voitaient un grand nombre de dockers et de ne s'est pas présentée ? , . Football-Chd) de Lyon a battu le Sport ing- ches. Pendant cette audition aura lien la djstrtmatelots. » La marche sur Fez n'a pas dû produire sines. lxdk.n des pris des divisions d'Excellence A l'un d'eux, Mme Sorgues, la syndicaliste sur les tribus environnantes une impression Dans la nuit, le général Dantello entendit Club Universitaire de Paris. Des démarches sont faites auprès des Comde force désirable ; il est à craindre qu'elles dos soupirs, mais au bout d'un certain temps française, a pris ta parole. Football Association pagnies de Chemins de fer afin d'ohten-'-r des Londres, 5 juin.. n'attribuent à l'impuissance ce qui a été 1 ef- n'entendant plus rien, il ne fit pas attention. trains supplémentaires gui quitteront LU.PARIS CONTRE PRAGUES Le comité de la grève des matelots interna- fet d'une prudence sans doute excessive et Cependant, hier matin, à 9 heuros, le généLa marche de Level U tionaux a commencé hier à Londres la eonifé- que faisant fond sur la faiblesse qu'elles nous ral d'Eu n'étant pas descendu, son ami entra Paris, 5 juin. gl c'kto petntttra ^x étrangers d'assister à •renco de trois jours pour examiner les ques- supposent, elles essayent par des raids hardis dans sa chambre et le trouva mort. Il y avait ' Sur le terrain du Raeirsg-Club do Fiance, à Dijon, 5 juin. vtmJf&Tmit sans être tenus d'attendre au tions de la grève universelle. un peu de sang dans les draps. à surprendre nos postes ». Colombes, s'est joué, hier, un match de .footC'est par suite d'une chute qu'il a faite à lendemain pour quitter Lézignan. Les délibérations sont privées, mais les seLe docteur Hiiehon, mandé en hâte, conclut ball-association entre les équipes de présenlaGevrez-Chambertin que Leyel a interrompu sa Ces démarches sont près d'aboutir. I. horaire crétaires Havolock et Wilsons annoncent, L'ACTION DES PUISSANCES à uno embolio au cœur. course. tien do Paris et de Prague. snéeitd sera publié eu temps opportun. après leur réunion, que le comité n'est encore Son biplan a fait panache et l'aviateur est 1 Le coun d'envoi ne fut donné qu'à 5 h. 15 L'attitude de l'Espagne Le Comité. LE CHOLERA arrivé à aucune décision. les joueurs tchèques, nettement supérieurs, tombé tout près de Gevrez, non loin de la ligne Tanger, 5 juin. Pour tous renseignements, s'adresser à M.. Triestes, 5 juin. curent constamment l'avantage; à la mi-temps, du chemin do fer. Fin de ia grève des taxî-ouîos On sigmaila de Tetouan.:! arrivée dams cette ' Level n'a eu, heureusement, aucun mal ; JulesJolcs Alquter, secrétaire général du couEn raison do cas de choléra qui se sont ils comptaient 2 buts à zéro et gagnaient finaParis, 5 juin. ville d'un colonel -espagnol, de la. gante civile, produits à Venise, des mesures ont mais son appareil a tes ailes du bas .et son cours à Lézisnan (Aude). prises lemcut pair 5 buts à zéro aux Parisiens. La grève des taxi-autos a pris fin ce matin, aceomnagnéo de 2 officiers et de 8 tirailleurs par le ministère du commerce. avant entièrement brisés . conformément aux décisions arrêtées par la Ri-faims venant de Coûta. Cyclisme Les facilités qu'on- a coutume d'accorder aux Les lieutenants Lucca et Hennequin chambre syndicale des chauffeurs de la Seine. La présence à Tetouara de ces militaires est navires non suspecte provenant de Venise, au LE IOUR DE BELGIQUE Toutes les principales voies de la capitale vivement commentée par tes indigènes. CHEMIN DE FER D'ORLEANS Toulon 5 juin. .point do vue des formalités sont supprimées Ont repris leur physionomie habituelle. Bruxelles, 5 juin. On mande d'Hyères que l'état des lieuteuai ts jusqu'à nouvel ordre. Facultés données aux voyageurs pour se renLes cochers de fiacres, qui ont fait pendant Hier s'est terminé le tour de Belgique cy- Lucca et Hennequin commence d'être aussi Los excursions par bateau de Trdleste à Vedre sur l'une des plages de Bretagre desser* ces deux derniers jours des recettes merveilcliste (professionnels). rassurant qu© possible. nise sont suspendues. vies par le réseau d'Orléans. i«uses, cherchaient vainement leurs clients de ' I^es Français Christophe (de Paris), LeturHenneouin a une quintuple cassure, de la àa Pentecôte. 1 Billets d'Aller et Retour individuels. Ces gio (de RoUbaix), Tribouillard (do Paris), jambe droite ; ses -blessures lui causent une fièACCIDENT DE TRAMWAY M. Fiancette, secrétaire général du syndicat, Léonard (de Paris), Petlissier (de Paris), se vre assez vive, mais maintenant on espère billets de toutes classes, valables 33 jours, Londres, 5 juin. a été reçu hier par M. Porrier, ministre de la avec faculté cte prolongation moyennant supsont classés respectivement 1", 3", 7°, 10* et 11' fermement (sauvcr le blessé. Uno voiture de tramway a déraillé à Straljustice. plément, sont délivrés du jeudi qui précède la dans te classement général. brtdge. Le garde des sceaux s'est longuement fait La marche de Vidart fête des Rameaux au 31 octobre à toutes les TRAGIQUE COURSE CYCLISIE expliquer les causes de la grève ; il a paru Il y a quarante blessés dont quolques?uns Borne, 5 juin-. stations du réseau d'Orléans pour les stations Conslamitinopte, 5 juin. frappé de la légitimité des critiques formulées gravement. Berlin, 5 juin. L'aviateur Vida**, parti ce matin d-'OrtolicHo suivantes : par les chauffeurs et a promis d'examiner, Le prince héritier, accompagné de NaoumCe sont pour la plupart des ouvriers. Pendant uno course cycliste do 100 kilomô- a 7 h. 52 est arrivé à l'aérodrome de ParloM Saint-Nazaire , Pornlchet, Escoublac-laavec la plus large bienveillance, leurs doléan Pacha, ambassadeur, est paru pour Parte. Ires avec entraîneur, qui avait lieu, tuer à 9 h. 15. Il a atterri heureusement, après un Bauîe, Le Pouliguen. Batz, Lo Croisic, Guéces. Il a été salué a la gare par des .ministres, les "après-midi, au vélodrome de Zehlcudorff, te magnifique vol plainé. raade, Ouiberon, Saint-Pierrc-Quiberon, PlouLe secrétaire général du syndicat aura in- autorités, et par d© nombreux membres du -Lorsqu'il est descendu, son 'firère et sa belle- harnel-Carnac, Vannes, Lorien t, Qu imperlé, coureur Theile a fait une chute dans un viConcarneau, Quimper. Pont-l'Abbé, Douarne.cessamment une nouvelle entrevue avec le corps diplomatique, (notamment par M. Bomsoeur l'ont longuement embrassé ; l'aviateur, rage, par suite d'une défectuosité de sa rouo Du 5 juin. pard, ambassadeur de France, et le baron uez et Châteaulin. ministre de la justice. qiuii était très «ntouré, a été l'objet d'ovations La mairie do Liiilers, près Béthune, a été détruite d'avant. Réduction do 20 à 40 % suivant la classe et Ce matin, lé Conseil d'administration du Clauzel, secrétaire de l'ambassade. enthousiastes de la part des commissaires d'aÎ La motocyclette du Français Miquel, qui par un incendie. Les arctiinres ont été sauvées. — On a arrêté dans la forêt do Remirc-mout te roulait à côté do Theile, a passé sur le corps viation, des jouinaiistes et d'une foule nomle parcours. syndicat a tenu une réunion à neuf heures nomme naiHant, auteur de cambriolages commis -la Bourse du travail. 2. Billets d'aller ct Retour collectifs do fa-' breuse. de celui-ci, lui écrasant la cage thoracique.. ù, la gara dé ltemireanont et cte plusieurs négomille en Ire, 2° et 3» classes, délivrés, aux M. Fiancette a rendu comtpe des divers in ci Vidart, déclare avoir fait un voyage heureux. Le cycliste a été tué sur te coup. ciants. A la frontière turco-grecque familles d'au moins trois personnes, de toute dents qui ont marqué la grève et s'est félicite Il se montre visiblement satisfait d'avoir pu, LA COURSE DE 24 HEURES — Le prince Ciiakraboug, prince héritier de Siam, do l'union qui Tègne parmi tous les membres après de nombreuses péripéties, atterrir à station du réseau a toute station balnéaire du Athènes, 5 juin. est arrivé à Saint-Pérter.sbcurg. Paris, 5 juin. réseau situé à 60 kilomètres au moins du de la corporation. Borne par «in temps anerveidleux. — Selon une dépêelie du Cap Haïtien, 3es insurgés fSn conflit a eu lieu, à la frontière, entre des L'appareil de Vidart a été remisé dans un han- point do départ. ont (fait die (nombreux prisonniers dans la dernière • Le départ de la Coupe d'endurance a été La grève des tramways du Nord soldats grecs et turcs. donné hier soir, au vélodrome Bulïalo, aux a) Saison de Printemps : du jeudi qui prébataille. A quelques-uns, ils courtérent les oreilles. . gar et l'aviateur, après une: collation!, est parti Trois postes ont échangé une vive fusilParis, 5 juin. . quinze coureurs engagés dans cette épreuve en automobile peur Rome, où. £L a rejoint cède la Fête des Rameaux au 25 juin. lade. Quatre soldats turcs auraient été tués. Le travail a repris ce matin sur presque touqui met aux prises tes meilleurs spécialistes Beaumont au Grand-Hôtel. Validité : 33 jours , 2 prolongations facultaOn manque de détails circonstanciée. actuels, dont Trousselter, Crocco, Shirley, tes les lignes de la 'Compagnie des tramways tives de 15 jours moyennant supplément. Le feu a cessé à la suite de l'intervention La marche de Leprinca Bu Nord. b) Saison d'été ; du 25 juin au 1er octobre. Cornet, Lafoureade» Cruppclandt, Suter. Erdes officiers supérieurs. Kïiiiufr La fin de la grève avait du reste été décidée Validité : jusqu'au 5 novembre. hest-Paul. Mec, 5 juin. La frontière Turco-Monténégrina Réduction des aller et retour pour les trois cette nuit, dans la réunion qui avait eu lieu Pondant deux tours de cadran, c'est-à-dire L'aviateur Loprinse a quitté co matin Nice, là la C. G. T. depuis hier soir jusqu'à ce soir, tes cham Cétvgne, 5 juin. à -i heures, se rendant à Gênes. Après avoir premières personnes, de 50 % pour la quatrièCourses de chevaux me et 75 % pour la cinquième et les suivanLe peu d'enthousiasme d'une grande partie pions du cycle rouleront sans entraîneur sur roulé une quarantaine do mètres, il a ûécoKé Le 2 juin, lo poste Turc a fait feu contre le A SAINT-CLOUD tes. Bes grévistes avait déterminé ce vote. les trois cents mètres du rapide plancher de facilement en une superbe envolée ; il a pris, poste Monténégrine. Arrêts facultatifs à toutes les gares situées En effet, dès hier, un fléchissement notable la piste de Neuilly. Le gouvernement, a fait de nouvelles démaraudessus de la mer, la direction de Gènes ; ^ Paris, 5 juin. .S était fait sentir parmi les chômeurs et la ches auprès de la Porto, car c'est là le second sur l'itinéraire. A minuit, voici te classement" général en quelques instants. 11 avait disparu à rhoPrix du Manoir, à réclamer, 3.000 francs, Faculté pour le chef de famille de rentrer .Compagnie avait pu réorganiser une partie do cas de violation du territoire Monténégrine 8.200 mètres environ. — 1. Heloup, par Mon- pointé : 1. Trousselter, 20 points ; 2. Bicaux rizon. isolément à son point de départ. Délivrance, ces services. L'arrivée à Cènes par des soldats Turcs dans l'espace de peu do sieur Gabriel et Hesione, à M. H. Blum 23 ; 3. Cruppclandt, 24 ; 4. Lambot, 32 : 5 à un ou plusieurs membres de la famille de Le découragement parmi les rouges semble jours, (O'Neil) ; 2. Salvia, à M. -M. 'Marghiloman (Bel- d'Hulst, 41 ; 0. Shirley. 44 ; 7. Cornet, 53 Gênes, 5 juin. cartes d'identité permettant au titulaire de •provenir de ce qu'ils n'ont pas pu entraîner Mirdites contra Turcs lhouse) ; 3. Ben Saïd, à M. le comte Lair S. Lafourcade, 53 ; 9. Colsate, 54 ; 10. Paul, 55. Leprlrrec, parti de Nice à 4 heures, heure voyager isolément à demi-tarif entre te point dans le mouvement la Fédération nationale Paris, 5 juin. (Barat). Cétygne, 5 juin. française, est arrivé à Gênes à 6 h. 47, heure de départ et te lieu de destination mentiondes transports en commun qui leur a refusé A la 14" heure, te classement est te suivant Non placés : Violette II, North-Pole, Rising nés sur te billet itaffienne, battant le record do vitesse des préLa tribu des Mirdites s'est révoltée ot a attason appui moral. 1. TroussaHier, 41 points ; 2. d'Hulst, 50 Fox. Afin de faciliter lo tourisme dans ces riches doqué la garnison turque d'Alessia. cédents avaiteurs. L'heure italiiennie étant en Mutuel : gagnant G7 50; placés : Heloup 31, Cruppclandt, 63 ; 4. Lafourcade, 75 ; 5. Lammaines, la compagnie d'Orléans oflro an public, fle Les Turcs ont envoyé a son secours les garavança d!9 55 minutes sur celle de France, bot, 85 ; 6. Colsaet, 89 ; 7. Shirley, 100 ; 8. NieLïï S71NT0-ESTELL0 » Salvia 46 50. raviateur n"a donc mis en iréailifcé que 1 h. 42 nombreuses combinaisons à prix très réduits,, billets nisons des autres villes. d'aller et retour individuels et de famille, billets Prix de Verboise, 5.000 francs, 2.000 mètres dergang, 100 ; 9. Courot, 110. Le Gouvernement provisoire a été formé à Montpellier, 5 juin. 18* heure, 582 kilomètres : d'Hulst, 55 points; minutes porar parcourir les 170 kilomètres qui circulaires, cartes tle libres circulation,, etc.. environ. -1. \Valbudge,.par Perth ct Vina, à séparent tes denx villes. Les Felitoes du Midi ont fêté hier la Sento- Oroshi, capitale de la tribu révoltée et l'auElle a, en outre, réalisé toutes les commodités cla 'Trousse-Mer, 56 ; Cruppclandt, 84 ; LafourcaM. W. Flatman (Bellhouse) ; 2. Berceuse II, â L'arrivée de Leprince a été splendilde. Estello, puis ont rédigé un nouveau statut du tonomie Albanaise y a été proclamée. voyage afin de rendre les excursions aussi agréables de, 85 ; Lambot, 113- ; Colsaet, 115 ; Sliirtey, féhbrige. Le lieutenant Chevreau qui était resté en M. Jean Stern (Ch. Childs) ; 3. Wvoming II, 135 ; Nicrlergang, liG ; Pary, 147. „En descendant d'environ (50 imètres, il a et rapides que peu fatigantes. Nota. — Pour plus amples détails, consulter le atterri en frôlant légèrement la palissade, La réunion a nommé majorai lo docteur panne à Péage-de-Rousillon, près de Lyon, à M. G.-P. Esbran (G. Bartholomew). Non placés : Bosa Pompona, Eisa IV, Forma, avant-hier, a atterri au champ da manœuvres. mais sans causer aucun dommage a son ap- Lit-rct-Guide officiel do la compagnie d'Orléans, en Fabre, de Béziers et associés : MM. Walter Le classement Nâzarena, No -na • Vente au prix do 0 SO dans ses principales gares et Après s'être ravitaillé en essence, l'aviateur pareil. jFitehier, de Marburg {.-Ulemagne) et de JàfoParis, 5 juinu Mutuel : gagnant 22 ; placés : Walburgo 13, ; Les aut orties ont vi-vem-ent complimenté stations ainsi que dans ses bureaux do ville, et .vanni, de Païenne. est reparti à 7 h. 40 dans la direction d'Aviadressé franco contre l'envoi da 0 DO à l'administraBerceuse II 13 50, Wyoming II 19. 1" Tronss-elier, 2' d'Hulst, l'aviateur et la fouto l'a acclamé avec enthou- tion centrale, l, place Valliubert, a Paris, Kareau gnon. Prix Plying-Fox, 40.000 francs, 2.400 mètres siasme. du Trafic-Voyageurs. [Publicité). LE TOUR CYCLISTE D'ITALIE environ. — 1. Badajoz, par Gost et Gelested LES CONGRÈS Loprince déclara qu'il a fait un excellent à M. Michel Lazard (Barat) ; 2. Rioumajou, à Naples, 5 juin. Le congrès des percepteurs voyage, bien que le soleil Tait un lieu incomLe monument Victor-Emmanuel M. 'Militer (A. Woodland) ; 3.' Dor, à M. M. Voici les premiers résultats de la onzième modé. - Lille, 5 juin. Marghiloman (Bellehouse). Paris, 5 juins. ct dernière étape du tour cycliste d'Italie BariA la suite d'une (contestation avec te comité ._«>«r s est tenu à Lille, sous la présidence Non placés : Tripolette, Moulins-la-Marche, Na,ples (345 kilomètres) : En réponse a la dépêche que lui avait enlocal, qui ne veut pas te reconnaître comme rte M. Deloricr, de Lyon, le congrès annuel de M-ars-a, Ronde-do-Nuit, Seignourio H. Tem- . X". Sivocci (Italien) ; 2", Sala ; 3', Galotti voyée le président de la République à l'occaconcurrent du raid Paris-Bome, Loprince a 1 Association fraternelle des percepteurs et replier II. sion de l'inauguration du monument de Vic4", Rossignoîi ; 5*, Gazberini ; Petit-Breton, té.légraphié à Paris et a ajourné son départ ceveurs spéciaux do Franco. Mutuel : gagnant 38 50 ; placés : Badajoz' 18; •Le 31 mai dernier, une foule -élégante et nomtor-Emmanuel, lo roi d'Italie adressa à M. Falqui se trouvait dans le groupe de tête, est pour Rome. Uss congressistes ont discuté de leurs inté- lières le télégramme suivant : Rioumajou 88, Dor 23. breu&o assistait, on ia basilique Saint-Jean tombé et â cassé sa machine à 10 kilomètres rêts professionnels. Védrines partira demain . Prix du Vieux-Pont, à réclamer, 3.000 francs, de Ponténia. do Perpignan, au mariage do M. Joseph do «M. Fallières, Président de la République, 000 mètres environ. — 1. Donadicu, par DeBue, 5 juin. Gaulejac, fils du baron de Gaulejac et de la Lo grand coureur français a dù abandonner Paris. lauriay et Dolorès, à M. André Bérard (Ch. De nombreux curieux s'é^ajent rendus, ce baronne née de Boisséson, avec Mlle Mar» L'aimable dépêche que vous avez bien Childs) ; 2 Batai-Ueur, à M. Edmond Blanc la course. matini à Bue, dans l'espoir drassister. à la celle de Blay, dont la famille cfet si justement voulu m' adresser à une occasion si solennelle G Stern) ; 3. Th. Baron, à M. H. La Montagne LA COURSE PARIS-TOULOUSE grando envolée de Védrines pour Rome. appréciée en Boussil'lon. . pour l'Italie m'a profondément touché ; très OLeary). r, .. , Paris, 5 juin. Védrines ne vint pas. Des parents et amis étaient venus de tous Limoges, 5 juin. un sait que la commission sénatoriale dos reconnaissant, je vous en exprime, ainsi qu'à Nf PjMfe : White-Boy, Cappa, Franc-PiOn apprit que le gagnant dot Parte-Madrid côtés faire cortèse aux jeunes fiancés et marLes arrivées à Limoges de la course ParisHnances a maintenu la taxe votée par la la nation française, et au gouvernement, de la card, Galilecnne restée au poteauToulouse ont lieu dans l'ordre suivant : 1", avait décidé, 'très tard, qu'il ne partirait que quer leur sympathie à une famille qui compte Chambre sur les bénéfices calculés, en vertu République, mes remerciements les plus chaMutuel : gantant 23 ; placés : Donadicu 10, parmi les meilleures et les plus anciennes du Verdickt, à 5 h. 10 du soir, 361 kilomètres on domain matin mardi, en raison de la fermede clauses statutaires; sous la dénomination leureux, en vous assurant que v»s sentiments Bataulteur 17 50, Th. Baron 17 50. 14 h. 10 ; 2', Figuet ; 3*, Engel ; 4", Valooton ; ture, aujourd'hui, .(te nombreux bureaux télé- .pays toulousain. cte tantiçmes, a toutes personnes 'participant do vivo sympathie sont entièrement partagés Handicap du Printemps, 10,000 francs, 1 G00 La charmante mariée, dans une délicieuse graphiques, ce qui l'aurait empêché do prémoi et par lo peuple italien. ^0 1 n¥ miMSt^ ai!on >. a la direction . à la gé- pair meofcres environ. - ! Ténor, par Grey-Piumo 5*. Gro ; 6", Thys ; 7". Coisol ; 8', Fraissinet ; venir sa maison ou cas oU unie panne où un toilette garnie de vieux point d'Angleterre, a » Je forme à mon tour les vœux les plus et Honourd, u M. James Hennessy (Jennings); 9', Bôtemps ; 10', Chauvière ; 11", Maris ; 12", rance de sociétés visées par cette loi. àncidenit quelconque viendrait l'arrêter au été conduite à l'autel par son père, M. Henry Dans le chapitra do son rapport général, où cordiaux pour votre bonheur et celui de la 2. GaTaniee-lL u M. L. de Romanet J. Kellett!; Luguet, etc. de Blay, chevalier de la Légion, d'honneur. Aujourd'hui, k 5 heures du matin, le départ cours de son "raid. il passe en revue les articles de la loi de France et vous prie d'agréer, .Monsieur lo 3. Orme-du-Maiil, a M. -M. Cadmaun (Sliarpe). ' M, Joseph do Gaulejac était accompagné par président, l'assurance réitérée de mes sentifinances. M. Gauthier écrit . Le lieutenant Chevreau Non places : Bing-Hen^, Padoue-II. Gobet- des concurrents sera donné de notro ville sa mère, la baronne de Gaulejac. c Dans notro pensée comme dans celle du ments tes meilleurs. te. Tambcur-Major-II, Kaiscr-II, Sir-Peter. Vi- pour Toulouse. Avignon, 5 juin. M. l'abbé de Lio-be.t, vicaire-général de Mgr » VlIIOItIO-EMM.«t 'ELE. s gouvernement, il est bien .entendu que la taxe rage, Sesamo, Pacha-II, Balte- Amie Lo lieutenant Chevreau sur monoplan a at- de Carsalade, dans une touchante et délicat» Aéronautique tle 4 % ne doit s'étendre qu'aux bénéfices dis3BΫUïés : Ténor 30 50, ' terri au champ d'aviation d'Avignon ce matin allocution, a défini lo mariage chrétien et fan tribues aux administrateurs, directeurs ou "R L'AÉROPLANE PERDU EN MER Garamce-II 52 50, Orm.edu Ma.il 24 à 9 h. 1. revivre les gloires religieuses et militaires i«* gérants de ces sociétés et ne s'appUque pas Pxtx d» Bue, 5 ,000 francs, S .OOO' moires ea. . MonastAr, 5 Juin. Toulon, 5 juin. Il a voyagé à une altitude de 500 mètres. D par conséquent, aux traitements, jetons de deux familles. f'^ — 1. Forw>, .par -.Regret et ForUa. à M On tait des préparatifs grandioses pour l'arLe contre-torpilleur Pertuisanc, parti en mer no repartira que mardi matin dans la diirecLa part des pauvres a été recueillie par •présence et autres participations prélovées Achiffle Foufld (OLjChildsT ; 2. Kom-Onibô a rivée du sultan. à la recherche de l'aéroplane signalé commo li-ou de Nico. son moteur ayant besoin. Oo répaMlle JaTio Ue niav. «ocompainieo ae M. Jean. sur les frais généraux. ( J - Bartholomew) ; 3. Cassin; «ratiiomrS. Le lieutenant Cnevroa"U a. cte vivomen.t <lc Ga-uJieùac ; -M'ite .MatliiMe |d.e. .Gaulejac, perdu en mer, est, on le sait, rentré au poo-t Mercredi, on a découvert, dans un village » D'autre part, cette disposition nouvelle ne a M. A. VeilrPicard (BovcMa). aciolamé. de Toulon sans avoir abouti à un résultat. M. Robert Hériard ; Mlle Mario de Blay, le voisin de Kupkrulu, sur lo parcours que doit doit pas atteindre les allocations attribuées Non, placés : Arasât, BaiUly-IIl, .Cliantecter, lieutenant de Boisséson ; M*!e Germaine do La Préfecture maritime a décidé que la suivre le sultan., 42 kilos dé dynamite avec aux employés intéressés ; la question revienQuand, Guy, Gouirland. . Boisséson, M. Emmanuel do Blay. Pcrtuisane ne reprendra pas ses recherches. un nécessaire d'armes. dra, d ailleurs, devant te Sénat ». Mutuel : gagnant 49 ; placés : Forte 18, KomLes renseignements signalés en Italie sur On remarque dans l 'assigitgnce : baron et M. Vallé, ancien ministre du cabinet ComOmbo 30 50, Cassin 13 50. baronne do Gauilcjao, M. Henry do Blav, Mmo la perte d'un aéroplane on mer sont définitipas, a pris uno délibération longuement movement considérés commo le résultat d'uno Cornet de Bosch te vicomte do Gaulejac. M. Du 5 Juin. tivée contre ce nouvel impôt. A SAIOT-ODEN méprise. La pression liarométrwTuo devient très élevée sur Cornet de Bosch, Mlle de Blay, te baron de _ . Paris 5 juin. De son côté, la chambre de commerce de r' :'-''_ presq-uc toute d'Europe eUe djéa»!Be 770 millimètres Blay (te Gaix, Mme Niel née de Gaulejac, te Deanaiin couraes à Samt -Ouen. rartante ct montes RENAUX ÉVOLUE A CLERMONT-FERRAND Paris demandera, par voie d'amendement, la proltxaMes : dans l'ouest des îles Britanniques, Valentia 773 mil- capitaine et Mme Compagno, te marquis et la. suppression do la taxe sur les tantièmes.-, Clermont-FcrTand, 5 juin. li-metres, sur le llaniemarlv et la Russie, Riga 772 marquise de Boisséson, M. et Mmo Paul de ^J* toMnume Austral (B. Sauvai), lMM> ATTENTAT CONTRE LE « TIMES » Gaulejac, M. et Mmo Antoine de Blay, M. et L'aviateur Rénaux, vainqueur du raid Pa- miMi.mie-t.re(S. îî,ot T, (W^ M&U), Satn^Rémi (HaUobonneU Œnono La dépression d'Espagne DOS:» sur l'Algérie. coUo Mme Edmond de Blay, Mme Hériard, comte (I. Hardy), Quesndl (Ocfflier), AHexaiittire (Kertlite.rl. :•':•:;'" » New-York, 5 juin. ris-Puy-de-Dôme, a fait, hier soir, à l'occasion Prix du fteTau-d-an : NotaWe (Hotlcibone), CastetOn se souvient do l'explosion de dynamite du Congrès de la Paix, plusieurs ascensions do l'Islande s'éloigne vers le aordest. et comtesse de Boisséson, vicomte et vicomLa vent est faible d'entre nord et est sur nos côsurvenue à Lee-Angeles, dans les bureaux du fnarc (p,, Saïaimagnoul, ltliama -n (X), MteJJa (D. audessus do Ctermont. tesse do Boisséson, baron et baronne do Bois-' Kafljley), l^miher (Malsoajiaw>, NIIJCIUCTO (Lowgrotes où la mor resto Oialile. Times, en octobre dernier. Il a effectué un vol avec pour passager a monté sur nos régions ; ce ma- séson, M. et Mme Pierre, de Boisséson, baron Û«B»nra^a^ 1 t'gly-BM (E. Lasses), Tyro- Mme Gilbert Bernardin, femme do l'aviateur. tinLaletempérature Cotte affaire revient à l'ordre du jour. t'iwiimomètro manquaU 10 à Bordeaux, 13 ;\ de Saint-Julien, M. et Mmo. de Lavalette, En effet, lo syndicaliste Dolany viendrait do L'assista.nco très nombreuse a chaleureuseLes opérations du général Moinier Moscou ci' à MadiriKi, 10 a Paris, ai à Alger et 11 Mme de Raymond-Cahuzac, M. ct Mme, «je Prise du Oamtal ; FioricuHuro (Hogan), La-Bidasreconnaitre qu'un prisonnier l'avait envoyé soa (J .iB. Moreau), Samt-Léon (Items), l'ontenay- ment applaudi Bonaux. Médrano, M. et Mmo Maraval do Bonniui. au mont Ventoux. partout pour examiner les bâtiments en cons- anx-BOBM (C. Hafaey), Ia>la^Vfadre-II (Cottejic.l.n), Il est tam'bô 1 maUlmètro d'eau au Pic-du-Midl. M. et Mmo cte Latorost, M. Niel. M. C"»™-: M<Mnl r a ôs DE PAU A PARIS truction auxquels étaient occupés des ouvriers Kama (Cartwrtglit), Soîo -iv (Laug-rord), Mourlim « i P* unj nuit Passée En France le temps va rester beau et ebaud. de Saint-Julien, vicomtesse de M-avsac, wi VCTft BoukSOUn, 1 Poitiers, 5 juin. rs-eJir ^MM* i 1 "®?. a (iÛ non syndicalistes, afin d'y déposer de la dyna- (EntWiisMe.). Léman-Robert (K. Ilaiidy) Mme do Liobet, M. do Cbcldobieii, M. Benl-Amar, les Cherarda, les mite. Course d» haies annuelle de Satnt-Ouan • Merrylia lieutenant de Malherbe .cet arrivé aùx mnw. UAXM Mme Estève do Bosch, M. François de sa unpuied-Dhm-Ethiainas. De là, il ira à Mequînez. Bar. ruer. 6T.lt on cm de la velUe eitTioaa Renardières à 6 h. 35, suivi à quelques miI)r ", co" rt wi l'i'on aurait entendu la COLLISION EN MER Julien. Mmo do Marliave. Mlle dAx M. < on ,^L nutes d'intervalle par tes lieutenants Ducourcanonnade près do Zdida. RigaudHMaurem-oiit ; M. fit Mme dev^c, . . Iléad) Londres, 5 juin. Toulouse. . .. fii. 9 21.6 S. K. t.p. n. «.1 23 .8 (Hardy), CotfsfteM [C, Haisey). OvIde-II (J -R Mo- neau et Princeteau, venant do Libourme. M. de Pousse, M. Jean do Gaulejac. Mlle A Contre le Roghî On télégraphie do Douvres qu'une collision reau), Gaïuw-lJiem CIîiHia-uM). VaUlailion (Bounlale), Le voyage a été excellent ; tes officiers se Puy -te-Dôme (18.1 H .9 S.E. a. I. b. 10.2 14. (i thildo do Gaulejac, M. Maurice de wa^ a eu lieu, hier après-midi, dans la Manche, (Uoléro-H (P. Hardy), Cas3ibUmoa-Iv (O'Gonmar). 6.3 ÎL.N.IS. I. b. sont maintenue à uno altitude -moyenne de Plc-du-Mldi 03.2 0.5 CO Mlles Jane, Mathiklc et Marte-Jh£èw oe Perpignan. . entre les steamers hollandais Ariadnc et le Prix (la Puy-de-Dcimo : Journaliste ou Mon-Chérl mille mètres. On mande d'El-Ksar. à Blay, Mlle Germaine de M .wmu Bordeaux. . , navire Hercules. (F. Haruy), Jlyirmos (R. SauTO.il), Montagnard (W. Ils repartiront demain matin pour Orléans. nuel do Blav, MM. Robert ct Pierre Heinw» . Ces deux steamers ont subi de grands dom- Head). Sie^iawte ou Gadiax (l'arfrermenrt), MoncsMArmur de Blay. lieutenant de BoisséeOfl, Ur (P. Wo<iidllan,d), FeiMte-Beinigallo (Ttiittault). mages. CHUTE DE DEUX AVIATEURS Prix (Us (l'Auvergne : Cauflorlo (neifeyOT), Talmoat M Henri de, Lavalette, Mlles Hélène^ Le premier a dû être conduit a Douvres par Madrid, 5 juta. Saurait), Gtiai«y-le-Roi (Gomers), Suariso (l'arfroiUA c de Boisséson, Mlle de Lacroix, M) es de un bateau de secours appartenant au même U. raeamt), Sinaï (W. Head), Le-Jarate (Barre), OonsolaA l'aérodrome de Gétafe .un monoplan que MaVsia. Mlle Denise de Boisséson, M. Cmiiioi port. Won (A. Ronaon), namseur-J [ rriilbaiilt). joJm-WIliie pilotait l'aviateur Mauvais avec un passager 3 rie I aaardo. M. Charles do Marliave, M. çt Uno dépêche d'El-Ksar confiée que mé(Hoga-n), Ithaquo (X), Platine (P. Hawlv), Parunt a heurté dos fils télégraphique© et a capoté. VIOLENTS ORAGES de Mâ-ssia. Mlles de Sagariga, M. de fctlla du capitaine Morcau est entoéo en condouteux : Kama (X). Les sonneries civiles Mme L'aviateur est blessé à la tète ct son passager MUce rie Liobet, Mîtes de MassaJ tact avec les Djebala et lo ro-ghi a Tazia ù _ . . Saint-Pétersbourg, 5 juin. Massia, Pron.asllc.i Paris, 5 juin. au côté. ' Leroi, Mlle do Vicie, Mlle quatre heures de marche au sudest d'Fl -lSar Do violents orages ont éclaté dans les gouM. Paris-Sport Austral, SaUit-Rtiml — Kcurie v,.p. Mmo d'Heillo, Te maire d'uno commune du Tarn avait Picard, Oastelfrainio — I.a iHUiaasoa, MorloraUrarc — Los habitants des douars, effrayés, .ont plié vernements do Ktew ot do Kherson. Compagno pris un arrêté portant qu'il aurait lo droit do hagago et sont venus se réfugier à El-Ksar La pluia et la grêle font tombées en abon- Hcurie Veil PiciamJ, Salwt-Just-I(I — licurlo Veil p» «m il nous soit permis ,te J^uiï^ ^ faire sonner tes cloches des églises pour an»vcc leurs troupeaux. dance ; des grêlons de la grosseur d'un œuf catnd, HjTpnos — Sinaï, reiprésentanit Goudchaux. pllmente et nos souha.^ «te "»« josepl* noncer les heures des repas et cette de la La Liberté : Austral. CEnono — Gastelfranc, wipréLE DEPAUT DU LIEUTENANT BAGUE Les mesures avaient été prises pour défends» do pigeon ont détruit les récoltes sur plusieurs reprise dos travaux des champs, la réunion qui ont été déjà adressés a w- «•* sentaut l'icaixl — La-lliâassoa, Horlcuilture — EcuEl-Ksar ; le consul d'Espagne avait envoyé milliers d'hectares ; plusieurs moulins à vent rio Veil Picard, Carpe-Dieim — Montagnard, Hyjt>Nice, 5 juin. du conseil municipal, l'heure d'ouverture et de Gaulejac. Le lieutenant Baguo test parti co mutin à de la clôture du scrutin tes jours d'élection, ont été démolis. nos — Causerie, RfUiftontànt (ïondcliaux. der ï>*°^u Laroche pour demanor ou capitaine Ovilo, instructeur du tabor /.'/ntrniistf/caHt : Aristnal, Saln.t-Rrani — OàstcTj 5 heures d» l'aérodrome de la Bague pour la pour appeler les enfants à l'école, annoncer Do nombreux incendies ont été allumés par d franio, Rejiirésontant Pi-eard — La-Hiiclassoa, PlorL- Corse. par un glas te décès d'un habitant, etc. la foudre. l'ovtrêmo abondance de la En présence don Il y a trois mois, jour pour Jour, que le lieuOUttaN — Kcuirie Veil Picard, MerryaCnlglit — EcuOt arrêté fut déféré au conseil d'Etat, qui Londres, r> juin. HrVIOni U t; JJ u a «i"""< — ; at rie Voil Picard, Hypnos — Sinaï, Le-Jaune. "* tenant Bague se livrait, on te sait, ù son auvient do l'annuler. La peut;.. moliaŒta d'El-Ksar a .ce mat in Un ép ou vantante orage a éclaté hier s ur plunous prions nos correspondants ord najres i. Les Débals : Austral, Alexanidro — Ecurie Veil dacieuse tmniative de traversée de la MéditerL'arrêt dit que les cas prévus par te mairo sieurs villes d'Angleterre. gau. Picard. QastedtrasC — La-Ui.cki.ssoa, Lemont-Uoliert SANS JAMAIS N ^V ^nHMAoiiicl iA .n.kUos ne rentrent pas dans ceux déterminés par te occasionnels, A Birmingham, lo feu a provoqué la chute — Salnt-Just-H, Valil.alion — Fcu-dc-Reasalc, Mon- irauée, de Nice à Calvi en. aéroplane. NOUS ADRESSER LA MOINDRE 'NfORMA On annonce quo On se souvient aussi qu'égaré dans la brudécret du 10 mars 1906, qui stipulo quo tes TION INTERESSANTE, «l'éviter soigneuse* d'un bâtiment en construction. tagnard — Causerio, Sunxlso. Momeou a -auaeii ti-riatemcntTe dSsus'e't me et .poussé vers Test par le vent, lil vînt atcloches peuvent être employées aux sonne- ment l 'rion n«Quatre porsorlBes ont été ensevelies. e ur8 et' développements terrir dans î'il» de Gorgona, à 06 kilomètres ries civiteis seulement dans te cas do péril UM êt «le nous adresser des courrier» A No4.tihigham-Nomare, des maisons ont été Concours hippique de Narbonne Ides. «nmgieant des pertes assez sensi lézardées mais les habitants se sont enfuis indo Calvi, ayant accompli un vol do 300 kïlocommun exigeant un prompt secours, et dans COURTS ot NOMBREUX. Deuxième journée ceux où cet emploi est fixé par des disposiLes comptcs-roiulus de têtes, réunions et cémètres au-dessus de la mer. ^population d'EI-Ksa* ,ost matotonam ras demnes. la distance d«o Nico à Calvi est de 210 kilotions de la loi ou (tes règlements, ou autorisés rémonies religieuses doivent être extrême' Prix dos Veneurs, gentlemen, handicap. ~ par des usages locaux. mMt concis en raison de leur multiplicité. , 1" prix, 300 fr., Bugby, à M. Santolini, par mètres à vol d'oiseaai. , La réorganisation cliérifienne lais" lieux doini'-sliqiws Ajaccio, 5 juin, nïidf, (jais, OUAUBliÂn im. M. do PruTieilô ; 2' prix, 200 fr., Porthos, 4 Nous ne nous trouverons pas ainsi dans I o* ; Les notables dos Çhorarg.a et Ouind-jama ont bliaration d'ajourner pendant un ou plueiMJf*On a été prévenais, il Ajaccio. dl» départ du M . Gaston rourcado, par M. Lauth ; 3" prix, accepte les conditions do Mcwloï-Hafid soS jours l'insertion de leur copie. 100 fr.. Limorick, nu comte cte Villeneuve par lieutenant Bague do Nice pour lu Corso, un versement de 300,000 pesetas comme taidemles populations so sont aussitôt portées le propriétaire ; 4" prix, 50 fr., Espoir, ù M. nilé de guerre et ils se sont engagés en ou tue sur la côte, ou. règne une grande animation. AriKla. par lo propriétaire. MS!î0 ar; & M - Prix-Gièsc, par te proù foiurnir 300 cavaliers au maghzon. A im'tdri, tes L<-ma.phoros n'avaient reçu unn»i2 VERRES DE LUNETTES SPECIAUX Le conseil do l'Ordre national de la Légion Ije sultan a fait remettre en liberté les caïds Villa, par M. c.arne.1; cuu-o .nouvelle de l'aviateur. d'honnrauir a arrêté dux chi-ffres suivants les pour vues affaiblies (P. Déposé), appltaueapa» Nico, 5 juin. A Tençon, Saint-Bomnat et Chanter inruft Oertault i M rife P«î le fropriétaue d© Doiukala et tes autres caïds emprisonnés en .mu.. u M. (.taire, iin.r le uroopiél-itro iT?3} )Si û etm iet "* ff1"51* a <»U»5 d-'i-n^oi-tant» *M.ii extinctions notifiées dans la Légion d'hon- M Rouxll, opticien classé hors concours QX On est sans nouvelle* du lieutenant lhiRue, pair Glaoïii et cl m i! leur ai- Kl Uiaoui icur a rendu TCUHIU leurs icu-is celdatr C 1- n MHltaii». prix'uu r.onm'i général' _ neur et la médaille militaire, ainsi que les France ot à l étranger. l\ue de Met»,, IL f- * «tui (lovait arriver co matin vera huit heures ces caïds, ainsi que le nouveau gouvernant itiegota » prix, valeur 3ô0 franc». FRtetwr. au IteW a Aiacv.io. vacaneos pr'Xluitcs dans l 'Ordre par proiuo- k-usia. Tours, 5 Juin. On anHnionscie de divers côtés que de nombreux orages oint, éclatés on Touraine ; ta l-oudma est tombée sur te château d'Avize, qui a t-ubi d'importants dégâts. Dans la région de Chàteautitiiault, de nombreux poteaux télé graphique* pnt été renverSe jjos récoltes ont particulièrement souffert.

LA CRISE CHAMPENOISE

% GREVES

nant \ngla. du 9" chasseurs, par te propriéfaire : # prix, valeur 200 fr.. Yvonne, au îieutenant dis Lauraacin, du 10' dragons, par lo lieutenant Giéso, du 9 chasseurs ; 3 mix. valeur 100 fr., Miss Lily, au lioutenont. Oiese, du <r chasseurs, par te propriétaire ; 4 OT1X, valeur 50 fr., Oasis, -, M. i -Vrra, médecin i.idc major au V chasseurs, par le lieutenant PrixG Flots : Jovial, au lieutenant Gély, du 9' chasseurs, par lo lieutenant Giôse ; Albertmo, a M Audit, vétérinaire au 3" d'artillerie, par le sous-lioutonant Pérès, du 3' d'artillerie ; Insurgé, au capitaine Bastide, du 3* d artillerie, par le propriétaire ; Dock, au sous-intendant Birot, par la lieutenant Py, du 50' d'artuWie. Prix couplés, mditary. — 1" prix, plus 80 n., Oasis, à M. Ferras, médecin aide-major au 9' chasseurs, par le lieutenant Gièse, et JeanBart. à M. Miécamp, médecin-major au 2 génie. Par te lieutenant Gouy, du 5tv d artillerie, 2' prix, valeur CO fr., plus CO fr., Francom, au capitaine Bastide, du 3* d'artillerie, par le propriétaire, ot Dragon, au lieutenant Pères, du 3" d'artilerie, par te propriétaire ; 3 prix, valeur 40 fr., plus 40 fr., Duchesse, au capitaine Bastide, et Dragon, au lieutenant Pérès. : Flots : Opale, au capitaine Dutecb, du 1 hussards, par te propriétaire, et Ermnence, au capitaine Dulech, par le lieutenant Giôse ; Insurgé, au capitaine Bastide, par lo propriétaire, et Filister, au lieuteiiant Angla, par le propriétaire

TIMBRES-RETAITRE

Fédération des Société) Musicales du Midi

Paris-Rome-Turin

A L'ETRANGER Le Prince héritier de Turquie en France

PETITES NOUVELLES

Bans les Balkans

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25^£^3?

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Le Cinquantenaire Italien

L'IMPOT SUR LES TANTIÈMES

Le Voyage du Sultan

^^^' elVvf^al^ 99 50>; ^I^P'.BlB's?ftte

BULLETIN MÉTÉOROLOGIQUE

Faits Divers

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AU CONSEIL D'ETAT

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LA COURSE NICE-CORSE

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Cîiancellerie de la Légion d'Homeur

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MARDI « JUIN mi PJVJHMP OOLAVRAC-SAINT-CIRCQ. - Elecllone muonfants. Qui détend. — l'ai bien dit — car ces communale, soit classé, le plus prompterAient Association des Médecins jours passés autour du Patronage l 'orage- a possible, vu son intérêt aroliéologique et pit- nlninales. — Voici les lé^uitUvts <lio l'élociion nuidiolpale qui a eu Hou dlmn.i«ohe 4 juin rewrue, comme monument historique grondé. Des nuuiOHivxes iruiualifiables, des de Toulouse dans la commnno do Colu.yrac-Saiint-(-lrq : menaces insidieuses, des imputations rnécluunPh. L. CONSULTATIONS OMTORII tn-acrits, 400 : votants, 297. tos ont été mises en ordre de bataille ct D JUIN MM. Edmond Bellot .adjoint sortant, £00 A RROND1SSEMENT D'AGEN Lê mardi et lo MMil, aiaolenne caserne de 1* contre lui on s'est ligué. Et savea-voue pourSaintê du jour: Saint Norbert. Saint Claude, v-oix ; llnncwt Badin» ni, --'-r,;! voix ; L'»uis Ha- M' . Ion, placo de la Daurade, a l lioure. quoi ï Seulement parce que le programme pétei a souhaiter : Saint StanUtas, Samt ACEN. — Surveillance a-, voles do commu- nado, oonselilUor sortnurt, 187 voix ; leriuuwl MéiM-cins eoiisultaiiUi iiivndont lo mois do juin : comportait la représentation do Monsieur nication. — Sous les cendres du capitaine Boui'« .semaine. M. Uamot; T, M. Bonneau; S", M. Dul'Inspecteur, la comédie spirituelle et venge- dil, du 120" territorial, un certaiin nombre de ltelard, 247 ; Paul Jeanson, consoiïter SOttaïM, pin; '• .M. (ieiuli.-. .M. M.jJan-l, sem'»tali-<>, îKMidanl fti i tr de la lune, 2 h. 20 soir : coucher, resse do Julien Richer. réclamant à l'école terri toaiimuix oint effectué, do jeudi à samedi 349 ; Samuel Joffri-ou, "04 ; l .m'.win I animi i u. ita matin, sortant, 347 ; Emilie Mathieu, tout lo mois. Chez les Triangulaire* laïque lo respect de la foi catholiirue. Mais soir, dos expériences relatives à la surveil- roux, conisoil'ler lever du toleil, f, h. a .- coucher. 7 n .10. sortant, 251 ; Clovift PandMé, conc 'est trop en demander à des Primaires ! lis lance, en cas do mobilisation, des votes do conseiltar seillM' sortant, 258 ; Osmiu Pebernz, conseilUn journal sérieux de Paris insérait cette pourraient, eux, bafouer l'Eglise et le Christ, IL Y A CINQUANTE ANS communication. • ler sortant, 237 ; MarcoUlta Sercau, conseiller semaine la note suivante : dénigrer notre loi, dénaturer notre Histoire, • Trois postes avaient été établis : 1. Passage sortant, 240. Tous élus. C JUIN 1W>L — Procession de la îmroissc du « Sur la demande de la famille de M. Bcr- et il nous faudrait n'avoir que des sourires à, niveau de l'abattoir ; 2. Pcnt-eanal ; 3. à l'aur. teaux un messe hisse a été célébrée hier à pour Monsieur l'Inspecteur Y Non, non, qu'il ARRONDISSEMENT DE YH.LENEVVE-S'-LOT — M. Edmond de Vianet est élu membre de onze heures, & l'église de Saint-Pierre de Chail- paraisse sur les planches, qu'on le juge a Vnlc,nccd"Agcn. .Los territoriaux affectés à la surveillance ï' Académie des sciences, inscriptions cl belles- lot, pour le repos de l'àmo de l'ancien minis- son reuvre, et s'il, agit dans le diocèse comme du passage à uiveau précité se sont plaints VII.LENEUVE-SUR-LOT. — Encore le kioslettres. au théâtre, que le théâtre lui poH -un pilori. du mauvais état des locaux mis à leur dlspo- que à musique. — 11 y a des gens qui sont tre de la guerre. Nous vous respecterons, instituteurs, si vous sceptiques par tempérament, comme d'autres biliDn pur la municipalité agenaiise. Après la messe, l'abbé Louiil, second vicaire êtes fidèles à votre mission, sinon nous reNous croyons savoir qu'un rapport a été fait sont cordonniers, cuisiniers ou aviateurs. de la ixiroisse, a dit le « De Profundis ». dresserons vos écarte, noue fustigerons vos a, ice sujet. Un grand nombre d 'amis personnels de. M. M 6n ami Hermès est de co nombre. Berteoux y assistaient. Après la messe, ils ridicules, nous ferons le bon peuple de France Ainsi, malgré l'évidence, qui lui crève les Exposition canine. — Cette exposition, très juge de vos prétentions. Ce m'est pas à genoux Londres, 5 juin. ont déhlé à la sacristie devant la famille » que nous implorons la liberté. La Liberté, mes- totéressanite, u attiré, dimanche soir et hier, yeux, il se refuse à croire que noire niiuiiMgr le Duc d'Orléans a quitté Londres hier eipalité fasse construire un kiosque à musijoua do la foire, une roule de visiteurs. — La Dépêche qui sait tout n 'en a rien dit sieurs ne se demande -pas, elle ai prend 1 matin, se rendant à Bruxelles. L'excellente société des trompes de chasse, que. ot nous no serions nullement surpris que M. Au télégramme que lui ont adressé les Il y eut donc pendant ces derniers jours Voyons, ami Hermès, raisonnons un peu et François Thore dos métaux ne fut allé a Pa- émotion à Plaisance. Tous parlaient de Mon- la Salnl-Hubert Agenai.se, si habitonent dtni- procédons royalistes qui assistaient samedi a la réunion par ordre. i»é0 pair M. Grenier, a exécuté, dans l'enceinte rtis, la semaine dernière, quo pour assister a organisée à l'ans par l'Action Française; a sieur l'Inspecteur. Et le résultat — Dieu soit de l'exposition les morceaux de son Avons-nous, oui ou non, une commission béni — a été une splondide réunion, groupant, municipale des beaux-arts ï Oui, n'est-ce pas, ^occasion do la Saint-Philippe. Mgr le Duc ;Lo jury a fonctionné dimanche matin, Accident à un passage à niveau. — Dans la cette messe. Tous les mômes, ces gens-là 1 otl M-:éans a répondu ; • dans la vaste salle Quériaud, une assistance i Voici le palmarès dont nous donnerons- la puisque cette commission est composée do matinée de dimanche, vers 7 h. 30, le sieur Chemin de fer d'Auze à Castéra-Verduzan « Londres, 4 juin. que Monse.ign.eur lui-même évaluait à plus de suite demain : trois grands artistes : Bandoulière, Mérinot Louis Victi, âgé de 60 ans, essayait de traver» Très touché de l'adresse envoyée au nom moitié de Plaisance, autant dire un millier et Amondieii ! Premier grouipe. — Oiiiens de garde et d 'utilité. Samedi 3 juin a eu lieu, à la préfecture du la ser le passage à niveau do la Toute de Vie au des six mille royalistes réunis Wagramj Lo programme était très court : tous les hors- — Première dkvisian {etaiens de garde). — 1er prix : Cette commission ne s'est-elle pa6 démenée je les remercie de tout cœur des salin moment oïi uno machine, se dirigeant sur Gers, l'adjudication pour ia construction des d'œuvre sentiments exsupprimés. Il n 'y avait place que Dk*. danois, à M. l'aats ; 2\ Urtllawt, danois, à pour trouver un emplacement convenable V maisons de gardes, entre Eauze et Castéra- pour les morceaux de choix, entre lesquels tou- M. Rues ; Prix spécial : Curai, dogue de IJordeaux Toumay, arrivait sur ledit passage. N'a-t-elle pas lutté contre le bouillant Achille, primé.-. » Viou fut renversé entre les deux rails ct le Verchizan. triomphante et applaudie la Chorale à M. Manret. qui ne voulait do kiosque à aucun prix ? M Sainte-Marie, entrepreneur à Vic-Fezen- jours cendrier de la machine le traîna sur une lonneuxloniiî division (Chiens do montagne). — 1er tes Indépendants de Valence, dirigée avec une sac, a été déclaré adjudicataire, moyennant maestria incontestable et remarquée, a apporté mrix : Ralph, Saint-Bernard, à M. le lieutenant Amondieu n'eet -H pas allé jusqu'à Tombqucgueur île sept à huit métrés. Olaverio ; 'J?, ïho, Saint-iBernard, ;i M. Pouyssé- tou, d'où, il a rapporté des plants de palmiers Les blessures reçues par Vieil sont heureu- mi rabais de un pour cent. les plus harmonieux de ses chants. «iii' -, prix d'ea-*«mi>lo, ;\ M. lo lieutenant Cuiverle ; pour embellir nos boulevards et nos princisement sans gravité. Il a été transporté à son Paris, 5 juin. Certe», Monsieur l'Inspecteur était vivement pales places ? Ce sont des vérités incontestaEaux et forêts 1er prix, l'ataii, ctiion des Pyrénées ; 2" prix, Domdomicile, rue Faidherbe, maison Larrieu. Gustave Hervé adresse de la prison de la attendu. On lui avait fait de part et d'autre tolas, chien des Pyrénées, à M. Dmriair ; 3" prix. bles, cela. Santé au procureur général une lettre par Par arrêté préfectoral du 12 mai, M. Elie- tant de réclame I Quelque magister de village Atlios, chien des Pyrénées, ;i M. Bonnet ; M. T. H. Et puis, si tu doutes encore, chausse tes laquelle il déclare être l'auteur de l'article Attentat criminel. — Dans lu nuit do samedi Jules Martres est nommé garde communal des tait, dit-on, aux. aguets pour apprécier l'in- Pastou, à M. Trille ; prix de coiiii'le, Doublas et jambières, prends ta lorgnette ; je vais te iiiiilulé : « Oraison lunèbre du colonel Moll », dimanche, un individu a pénétré dans l'en- eaux et forêts. convenance du scandale. Mais il n'y eut ni Pastourotte, à M. Diiplair ; prix d'ensemble à M. mener en face de la grille cte l'hospice, et tu paru dans la Guerre sociale sous la signature scandale ni inconvenance. Il y eut une page Duiplair ; 3' prix. Pastourette. à M. Buiplair. iéeinte du chemin de fer, au pont de l'Adour, Troisième division (Chiens do berger). — 1er prix verras do tes yeux ! « Un sans patrie ». et, au moyen d'une lime, il a tranché les ills d'histoire trop souvent vécue, dont le ridicule ARRONDISSEMENT D'AVCII Ne vois-tu pas, outre les arbres, quoique ex-oequo, ïamhcvur, chien de Brie à M. Aunac ; 1er Il demande, en conséquence, d'être Inculpé actionnant les appareils Ballhaehe et Block. t l'odieux, comiquement présentés, enlevait lirix cx-oaiTuio, Tambour, chien de Brie à M. Saint- chose d'insolite ? Une barrière en planches dans le procès qui doit commencer demain Pour faire ressortir les conséquences crue AUCH. — A l'instruction. — M. le juge d'ins- les bravos de la salle tout entière. U faut Avit ; 2" prix, Farouche, chienne de Brie, à M. Et; toutes neuves ? Eh bien ! derrière ces planpropos de cet article. pouvait entraîner un acte aussi criminel, nous truction a interrogé, hier matin, les nommés ajouter d'ailleurs que les jeunes acteurs, mi- imounet ; M. H. Tuiia, chien do berger, à M. Xérac; Al. Hervé ajoute qu'il est également l'auteur nutieusement, préparés, étaient admirables do 1er prix ex-caquo, Marco, berge-r-allemainid, a Mlle ches, on a creusé un fossé en forme do expliquerons sommairement l'utilité pratique Vincent et Chevalier, arrêtés à Muret. circonférence. Ce sont les fondations du kiovsde tous les ' articles parus dans la Guerre de ces deux appareils. Ces deux individus ont nié ônergiquement naturel et d'entrain. Ils étaient vraiment dans Ailquler-Bouffart ; 1er prix ex-œquo. Snob, bergerque. beige, à M. Barrai ; 3", l'iorine, cnlenme do bersociale à l'occasion de la grève des chejniLorsqu'un train s'engage sur le pont de toute participation au vol commis au préju- leur rôle d'écoliers chrétiens, respectueux Donc, plus de doute, le kiosque va être bâti. nots. ger, à Mme Bernade. , „ il'Adour, se dirigeant sur Toulouse, il actionne dice de M. Saint-Ague, de Pavie. Ils déclarent quand on les respecte. Colleys. — 1er prix ex -oaquo, I.inda, a M. MarMais, me dis-tu, à quoi servira-t-il, puisque Il déclare aussi être l'autour de l'article On attendait aussi avec quelque impatience tane pédale et aussitôt le poste d'aiguilleurs n'avoir pas quitté Cazères dans le courant d'a; 1er prix ex-eequ». Polo, il M. Aillet ; pnx dans quelques années nous n'aurons plus de intitulé : « A la conquête de la rue », pourlo rapport sur le Patronage. M. l'abbé Buste raqsl die la bifurcation de Sarrouiltes, averti par vril dernier. de eoinpHe, à M. Aille*. musiciens ? Puisque, au lieu d'apprendre à a présenté devant eon magnifique auditoire, ane sonnerie, se prépare à recevoir ce train. Le vol de Pavie. — Los sieurs Vincent et Deuxième groupe (chiens courants). — Bores con- jouer du cornet à piston ou de la clarinette, suivi pour excitation au meurtre et apologie Voilà. In fonction de l'appareil Bailhache. Chevallier, dont nous avons annoncé l'arres- .1 l 'a présenté avec tact et délicatesse, avec cours, ra,pipe/l du Prix d'Honneur, lot de 10 ga»- nos jeunes gens ne veulent entendre parler de faits qualifiés Crime». Hervé dit tenir à revendiquer hautement la Quant a l'appareil Block; il a pour but d'éta- tation à Muret,, sous l'inculpation de vol d 'un distinction et à-propos. Il l'a présenté brave- con«-saintongeots, à M. de Lacaze. — 1er prix, Carque du tambour, du clairon ou du fifre t illon, chien porcelaine, a M. de Ooste ; 2", Cyraresponsabilité de ces articles ; il veut, préblir un système de protection sur certaines cheval commis en avril dernier, au préjudice ment et fièrement, appelant les choses par Cela est vrai, ami Hermès ; mais un kiosno, basset, à M. Ghlrol ; prix d'ensemble, à M. Dutend-il. en obligeant la justice à poursuivie .leur nom, ouvrant toutes grandes ses portes parties de" la ligne, de manière à maintenir de M. Saint-Agne, boulanger à Pavie, ont été ; 1er prix, Cora, bea.ylo, à M. Groussït ; M. que peut servir à bien des choses ; le notre mi prisonnier, enfermé depuis plus d'un an ratio les trains la distance réglementaire. transférés à Auch dans la soirée d'avant-hier devant les curiosités du public. Et c'était plai- prray H. Diane, beayie, à M, Grouseet; 1er prix, Lolotte. servira, d'abord, le jour où il sera inauguré, pour un article de journal, mettre le gouversir de le voir au milieu de ees chers petits, L'auteur de ce sabotage connaissait certai- samedi. TcOcel, '2", Belle-Œttinag, TekcJ, M. H. LUI, Tekel, a Ils ont été éc.roués à la maison d'arrêt et mis tous parés do l'uniforme blanc-bleu qu'ils M. Baiiangue ; prix u'eoseroMe, à M. liarlangus. à ileurir quelques boutonnières avides de nement ot sa justice dans mie posture odicus* nement ces détails et il n'en est que plus couétren-naient avec tant de grâce ; c'était plaisir à ln. disposition de M. JauPert, juge d 'instrucpable. Troisième grouipe (chiens d 'arrêt). — ire division. rubans. Si quelque orateur en mal de dis- ou ridicule. de savourer les détails émouvants, les précition, chargé de l 'affaifc. La justice a ouvert une enquête. «tiens d'arrêt do race eontinentailo. — Chiens cours éprouve le besoin de faire notre sions d'une oeuvre dont on ne connaissait que a • arrêt bonlieur, le kiosque sera là pour lui servir Arrestation d'un escroc. — Nous avons brièfrançais à poils ras. — 1er prix, Fock, bleu la surface et dont le fond est fait de tant d'abà M. Terrad» ; 2". Black, bleu d'auver- d'estrade. Notre conseil pourrait, au besoin, Congrès des Caisses d'épargne. — Dimanche vement relaté dans notre numéro do dimauelie négation, de dévouement et do vertu ! 11 fau- d'Auvepgme, gne, à M. Duinouy ; M. H. Divk, bleu d'auvergne, y jouer ses comédies, politiques et économia été ouvert, à Nantes, le congrès annuel des l'arrestation pour escroquerie d'un individu drait tout citer et les citations, si précises â M. Mathieu.; M. H. Sfédor, bleu d'A.uvorgno, à M. ques. Et enfin, par les beUes soirées d'été, le bien connu à Auch dans le inonde hippique, La marche de Level Caisses d'épargne do France. soient-elles, ne traduiraient pas l'émotion /Uqttier Bouffawt -, 2', Dix, braque d'Ariftge, à- M. bouillant, Achille lui-même pourrait nous y la caisse- de Tarbes est représentée à ce con- le nommé Ferna.nd Palais, cinquante-trois ans, co.mmun-icatiye de cette parole de prêtre qui Dapouy; 2", Fansta, Sai-Mt-G-eimain, à M. Phénix ; donner un aperçu de ses talents sur la flûte Dijon, 5 juin. II. Fox, Saioiot-Germain, à M. Amg.tade ; M. IL grès par MM. Lacoste et Lagarde, conseillers se disant marchand de chevaux, originaire nous rappelait en ce moment la définition M. L'aviateur Lovel, ayant réparé son biplan, de Pan. Gains, braque du bouifoonnais, à M. Baradat. municipaux, membres du conseil des direc- de Bordeaux. 'Persuade-toi donc, ami Hermès, que tout est. parti ce matin, vers huit heures, de GeDeuxième dhdsion (chien d'arrêt français a poil L'année dernière, Palats assignait la Compa- qu'on a donnée du sacerdoce. « Le prêtre, c'est teurs, délégués par leurs collègues. «mg. — M. H. MOWa, chien de. concarneau, a M. va pour le mieux dans lo meilleur des mon- vrey-ChambeYtin avec son passager et a atgnie du Midi devant le tribunal de commerce un père, — plus encore, c'esit une mère. » le docteur Rouilles ; 2\ Oléo de Salini-HUairc, opa- des. Et là-dessus, bois de l'eau. Et si tes terri à Dijon à 8 h. 2*i. Sous les bravos qui faisaient crouler la d'Aueh et lui demandait de forts dommagesU déclaré abandonner Parts-Rome. A l'Eldo. — La troupe d'opérette donnera, intérêts pour la perte de différents objets de salle, le rideau est tombé, mais pour se relever gneul français, à M. Marraud ; 1er prix. Alpha, souhaits no sont pas réalisés, tu seras bien griffon Rouîe.t, à M. Garrautd ; prix de couple, a un des premiers à t'en apercevoir. cotte semaine les représentations suivantes : harnachement, qui avaient été égarés, disait- aussitôt car M. Paul de Cassagnac allait par- M. Classement définitif Garreaud ; 1er prix, Dick, Saugosse, griffon J. P. mercredi, « Miss Helyett »; vendredi, « les Sal- il, sur le parcours de Perpignan à Auch. Il ler. On sait ce que cela veut dire. Tous, plus korthals, à M. Péfliader Hermitto ; M. H. Fly A la suite du magnifiqtre raid Vidart, le clasfois, nous avons vibré aux accents éner- griffon kojthal, à M. Dussaux. timbanques ». . Marché aux primeurs du 4 juin. — Petits prétendait, en outre, que la perte de ces ob- d'une de cette grande intelligence, de cette sement définit-if Paris-Rome s'établit comme Troisième division (chien d'arrêt anglais a poui l'avait empêché de prendre part à des giquesâme française sonnant le rappel de notre ras). — 1er prix ex sequo, Tyip, pointer, à M. l-illol, pois, 13 fr. les 50 kilos ; fèves, 5 fr.; pommes suit : Etat civil. — Naissances : Alexandre Magen- jets courses pour lesquelles il avait des engage- belle de terre nouvelles, 10 fr.; cerises, de 10 à 1. Beaumont, en 82 h. 5 m., a gagné à Nice die, rite du Cimetière de la Lède. ments. Malheureusement pour Palats, la Com- foi, montant a l'assaut de nos revendications ct Drake, pointer, à M. Bariangue; 2e prix, Luvcla fr.; asperges, do 0 40 à 0 45 le kilo : arti- 59.000 fr.; à Borne 50.000 fr. ; total, 109.000 fr. Décès : Jean Martin, chaudronnier, 37 ans, pagnie, qui avait été condamnée à 500 fr. de et secouant de ses hères indignations l'assou- pointer, à M. Pardieu; 2e prix, Fart, pointer a M. 35 chauts du pays, de 0 50 à 1 25 la douzaine ; Bayssèr^s3e prix, Toc, pointer, à M. Gouoin; 3e pissement de tant de cœurs blasés. Barement Garros, en 106 h. 16 m., a gagné à Nie» rue du Foulon, 40 ; Marie Poumarède, veuve dommages-intérêts par nos magistrats consu Griffe de la Haute Lande, à M. le docteur fraises, de 0 30 à 0 40 l'assiette. 25.000 fr.; à Borne, 20.000 fr.; total, 45.000 fr. ï-'réehou, ménagère, 72 ans, rue de l'Aygue- ladres, ouvrit mie enquête discrète, et bientôt notre vaillant conseiller -général fut mieux prix, ïVjuipouîe, pointer, à M. :Uk7— — — -. — ~ inspiré ; rarement sa diction fut plus fine ot Etat civil du 28 mai au 4 juin. — Naissan3. Frey, sur monoplan Morane, en 132 h. 41', fote. acquit la preuve que les objets de harnache- son éloquence plus émouvante. Il a eu des Gayral; 3e prix, Diane, pointer, à M. Félix. Me-n ces : 4 filles. a gagné à Nice 13.000 fr.; à Borne, 10.000 fr. Publications de mariages : Jean Campagne ment, objet du litige, étaient toujours en la paroles délicieuses pour l 'œuvre qui doit tout lion uenocable : Pouipouibe. pointer, à M. Badimon Décès : Thérèse-Anne-Marie-Félicité-Josoph total, 23.000 fr. ébéniste, et Anna Alagenties, sans profession; possession de Palats. Deasy. pointer, à M. Alquier Bouffard. à l 'abbé Buste. Il en a eu pour la Liberté, 4. Vidart, en 170 h. 9 m., a gagné à N>^* Quatrième division (chien d'arrêt anglais a pou Le Fer de Bonnaban, SI ans, avenue de PuEdmond Lacaze, menuisier, et Marie Brau, Immédiatement, plainte fut portée par elle cyniquement violée — trop souvent à l 'école — loaw). — 1er prix, BaJiph, setter goixlon. à M. Vays- jols ; François-Victor Bouy9sou, 05 ans, à 10.000 fr.; à Borne, 10.000 fr.; total, 20.000 fr. sans profession ; Jean-Eugène Cauhère, em à la justice, qui délivra un mandat d'amener par des mécréants sières; ïe prix, Dick, setter gonton, à M. Duffour; sans pudeur. l'hospice Saint-Cyr ; Antoinette Lalaurie, ployé du Midi, et Alice Cazaubon, sans profes- contre l'indélicat marchand de chevaux. Ce3e prix, Dick, setteT gordon, a. M. Dagan-, 3e prix Religion et Patrie lui inspiraient tour à tour veuve Deguillem, 78 ans, à Sainte-Badegonde; sion ; Jean-Baptiste Domec, sous-chef de gaTe lui-ci a été écroué après un interrogatoire de des ex-aequo Suitan, setter gordon, à M. le capitaine envolées superbes, scandées par d'unaniLoui6 Vazcllo, 52 ans, rue Arnaud-Daubasse ; et Marie-Louise Viau, sans profession. M. le Juge d'instruction. Méric. Mentions honorables : Padiscibah, setter gormes applaudissements. C'était le Cassagnac Marie Pouzet, épouse Bascaulc, G9 ans, à Ajoutons que Palats avait été aussi inculpe des grands jours, Cassagnac dont la parole don, à M. Paats ; Suitan. setter gordr.u, a M. GasteJ A MONTAI,' B.VN Monautous ; Françoise Cayroux, épouse BaVoies urinaires : Docteur CUILLAUMAT du délit d'usurpation d'état civil, car, récidi- défie tous les comptes rendus et qui laisse dans 1er prix. Fileuirette-Naidine, setter Laiverack, a M. lès, Pctirtime ioiiméc 44 ans, à Montrose. Guithot. Mentions honoraMes : Kiss, setter laverack viste passible de la rélégation, il aVait em- les âmes gasconnes frémissantes d'intraduisiSïalîomenî radical dea Rétrécissements. Cystltas, Trix régional 5.00 francs. 3.2O0 métTfs. — 1. Idoà M. Alazarot; Agen-Rlc, setter laverack à M Publications do mariage : Léopold Verdier, Gc-utle cliroalQ. par l'Electrolyse,9,v. RiYals.Toulouss prunté les nom, prénoms, etc., d'un de ses bles impressions. Tridle. cultivateur, et Marle-Gabrielle-Albanie De- menée, à M. Ed. Bongrat ; 2. Flamheau, à M. B. cousins pour pouvoir commettre ses escroqueOoclsers Spaniels. — 1er prix. Frégoli, CCCKOI ; 3. Folio, à M. BémecSi. Monseigneur l'archevêque tout de suite a lage, sans profession ; Pierre Bodôs, layetier, Fournie A L'IDÉAL, Toulouse ries plus à l'aise. M Niel- 2e prix, Olga, cocker, à M. Laurent. MenKon placés : RéVgal. Directoire. daigné prendre la parole ct ce nous a été un et Blanche Colliard, sans profession. l'EAl KE COLOGNE tions honorables : Duc de Tansonvi*tc.. cocker, a M. est la meilleure Mutuel : Gagnant, 14 ; placés : Idoménée, 9 M ;' bonheur véritable d'entendre Sa Grandeur traARRONDISSEMENT DE CONDOM Prix de Couple, Datiing et Sita, a M. 19 0. duire à M. de Cassagnac l 'expression de son Campaane. LACAPELLE-BIRON. — Conseil municipal. Flrvmheau, Baradat. Prix ijpécial, Flic, à M. de Luceaay. Prix des Pavillons, l.coo francs, 3.200 mèiers. — CONDOM. — Bulletin commercial. — Peu admiration, de sa reconnaissance, de la re — Le conseil municipal s'est réuni dimanche 1. Issy4es-Moulineaux, à M. E. Marciltac. (A suivre.) de changement dans la situation. Le temps connaissance aussi du diocèse, de la France mai, à deux heures du soir, sous la préNon placé : Iéna. Exposition du comice. — A côté de l'expo- 28 reste très orageux et défavorable pour la vi- chrétienne et même (Elle -Fa dit formellement) sidence de M. Mercier, maire. Mutuel : Gagnant, 0. gne. U faut procéder avec ardeur au sulfatage do l'Eglise entière dont il est le champion si sition -canine se trouve l 'exposition de mwiiiPrise du t%«min d<> fer d'Orléans, 1.2W francs. En première délibération, le conseil décide mes agricoles organteée par le Comice de l'ar- de vendre le jardin de l'école. Ensuite il passe 2.000 mètres. — 1. Viril, à M. Reynotls ; 2. GaJvani. brillant et si dévoué. et ne pas économiser les bouillies. M. F Bâtes ; 3. Engotinc, à M. .T. Vatltèren. Monseigneur, se tournant vers l 'abbé Buste, rondissement d'Agen qui reçoit aussi de nom- en revue les divers budgets, bureau de bienLe vin à vendre est de plus en plus rare. Non placés : Stieesuta, Boni-Chilia, Satomdahiza. visiteurs. faisance, communaux et vicinaux ; il approu'Statistique. — Du 1er janvier au 31 mai on lui a dit ses encouragements et ses éloges avec breux Mutuel : Gannant 18 ; placés, Viriii, 9 ; GaraToutes ces machines, charrues, défonceuses, une cordialité touchante. Sur ses lèvres les a enregistré, à l'état civil, 20 naissances et fr! ve le compte de gestion du maire ct il vote nt, 8. paroles les plus aimables et les plus gracieu- faneuses, faucheuses, lieuses, dépiqueuees of- le décès. budget de 1912. Prix du Gouvernement. 2.000 francs, 3.C00 mètres. frent le plus vif intérêt pour nos agriculteurs. ses mettaient en évidence avec des louanges Pendant la période correspondante de l'anLa question du nouveau chemin du Cime- — 1. Règent-Streot, à M. Laûtte ; î. Jockey, à M. On les verra d 'ailleurs à l'œuvre sur le ARRONDISSEMENT DE BAGNERES née dernière, il s'est produit 34 naissances et bien méritées le dévouement du jeune et sym- champ Duooumetiu. du Mestro dans la journée d'aujour- tière est revenue. lia été décidé d'envoyer une pathique vicaire qui, ayant été à la peine do Non placés : rtampola, Max Dargtrin. B ACNÉ RES-DE-B IGOR RE. — Affaires muni- 71 décès. d'hui, et les expériences seront suivies par do délégation auprès du vendeur pour lui provait être ù l 'honneur, et trouver en ses supé Mutuel : Gagnant 13 OO ; placés : Régent-Street poser de faire une sorte de clôture en fil de CAZAUBON. — La foudre. — Vendredi der rieurs les plus éminents l'appui réconiortant nombreux spectateur». pales. — Le tribunal de Bagnères a Tendu sa; Jockey, 9. et ceci sans changement du prix de medi son jugement dans l'affaire intentée par nier, au cours d'un orage comme il s'en pro (pli doublerait ses forces. Théâtre d'Agen. — La représentation cl' « lié- fer. Prix de l'Administration des Haras, 2.5C0 francs, vente. certains entrepreneurs Bagnérais pour tra- duit d'ailleurs à peu près tous les jours dan •lia mètres. — 1. Interview, à M. H. (le Fonrnas ; Faisant à Monsieur l'inspecteur et à lacam rodiade » a été dimanche soir l'occasion d'un Montrose, à M. D. Ouest ter ; 3. Cieve -Coeur, il M. Vauv faits au Casino et aux Thermes- et. que la notre région, la foudre est tombée à Cucasse pagne méchante de ces jours passés une allunouveau triomphe pour les artistes do la vaARRONDISSEMENT DE NERAC Maurice Lanrouc.he. Ville prétendait no point payer. Un supplé- Mauléon-d''Armagna.c, au lieu dit Capdevave sion très franche et, très nette, il a protesté d leur de Mme Kute-Cambon de MM. Bouard, Non placés : Dictame, dérobée : Jokey, tomlié ; ment ou plutôt un complément d'expertise Une femme qui portait une fillette sur les bras, son désir de vouloir éviter toute attaque per- DuJiau 'et Aumônier. Nous devons aussi noter NERAC. — Comice agricole. — Le comte Isabeau, Comblé, Royale-Brioche, Mtssr et sa servante, jeune fille d'une vingtaine d'an- sonnelle inutile et violente ; mais aussi de la le succès, dans un rôle secondaire, do M. Colt- agricole de l'arrondissement die Nérac orga- Furet-lll, est ordonné. Lacq. Soulontte -in, Paulette-III. nise cotte année un concours de culture de Mutuel : Gaignant, 73 ; placés : Interview, 10 Charivari. — Pourquoi vouloir empêcher nées, furent atteintes par le fluide et violem- parfaite indépendance du catholique qui doit inerais. ment projetées contre le sol. Lorsqu'on les savoir attaquer le mal où il est, à l'école comLa direction nous prie d'annoncer que la propriétés dans le canton de Fraucescas, en Montrose, 9 50 : Crève-Cœur, 7 50. de vonvoler ceux qui en ont le désir ? Une Prix de la Société Sportive d'Encouragement, bande do jeûnes gens au quartier du pont releva, la jeune servante n'avait pas grand me ailleurs, plaignant ceux qui s'y reconnais- locat ion pour Sigurd et la Tosca est ouverte ce sus des doux autres concours. Il sera divisé mal, mais il n'en était malheureusement pas coco francs 3.000 mètres. — l. RoyateiBrioche, à NL sent et les stigmatisant du « tant pis pour matin chez le concierge du théâtre. Pour .en deux catégories d'Arras s'en donnent à cœur joie de faire un Maurice Lanrouc.he. ainsi de la petite fille et de sa grand'mère. eux ». Et les bravos enthousiastes disaient à Sigurd, la direction s'est procurée des décors Première catégorie : Propriétés de dix heccharivari monstre a une veuve qui a trouvé Non placés : Louloutte-III, Monnellita. l'occasion de faire un nouveau placement de Celle-ci est paralysée, la fillette aurait un côté Sa Grandeur qu'elle avait gagné le coeur des nouveaux, entre . autres lo décor de la Wal- tares et au-dessus. MW-uefl : Gagnant, 14. paraiysé elle aussi. Plaisantins et dit le mot heureux qu'on attenkyric. Deuxième catégorie : Propriétés de dix hecses charmes. Dimanche soir, la police lasse, a MMitary-Ofticlers, Objet d'Art, 3.000 mètres. — I. dait de son âme épiscopale. tares ot au dessous. Fête de quartier. — Les liabiiants du quarCueilli quatre des plus bruyants faiseurs de Mestmira, à M. de Sattnarieu ; 2. Facile, à M. de ARRONDISSEMENT DE LECTOVRS Un dernier chœur : ce sont les Martyrs aux tier Montesquieu sont, priés de se rendre à la Le jury chargé de procéder H la visite des Soureille. charivari et las a menés au poste. Il est cerArènes que nous chante l'Orphéon des IndéNon placée : Trois-Fjtolles, dérobée. ! tain que l'on a toutes raisons de s'opposer à LECTOURE. — Enquête de commode et in- pendants. Ils vont, mourir, condamnés par féconde réunion qui aura lieu demain mer- propriétés se livrera à eatte oiiération à par MutueH : Gagnant, !* ceutie coutume quelque peu sauvage. commodo. — Une enquête est ouverte à la César. Us le saluent, ils prient, ils meurent... credi, à 0 honres du soir, dans une 6alle de tir du 15 jusm prochain. DD temps «ipteiiulicln a favorisé «es très belles courLes personnes qui voudraient prendde part LANNEMEZAN. — Adjudication. — L'adju- mairie pour le projet d'acquisition, par l'hû- Non, c'est un réveil. !... Condamnés nous aussi la 'marri?. ses et l'aflïuenco a été consldéraBie. Ordre, du jour : formation du bureau défi- à ce concours ont à se faire inscrire immédication des caches de la place aux cochons pital-hospico, d'une prairie située à « Cané- par les Césars de l 'heure actuelle, nous aussi diatement chez M. G. Dupln, secrétaire adnitif. qui avai tlieu hier, à 10 heures, n'a pas donron », et destinée à l'agrandissement de la sachons prier ; mais., plus heureux que ces iié de résultats. propriété de « las Baumes ». Au S" de ligne. — Le nombre des soldats iotat, ou chez M. Vautrier, trésorier du comtei du Cirque, .sachons nous défendre. Par arrêté de M. le sous-préfet, M. le doc- vaillants La mise à prix de 200 francs par n'a pas été isolés dons les bâtiments de l'ancien grand a Nérac BE4U VOL DE DTTOI 'n Et si la mort, grâce au Dieu des Francs, ne A ce concours, il sora attribué une somme •couverte. teur Darroux, maire de Lagarde, a été désigné doit, pas nous courber, -triomphons de notre séminaire était do près de 180, au moment où de 500 francs sur celte do 1,140 francs mise Madrid, 5 juin. CAZAVE, — Noyé. -~ Dans la soirée, le comme commissaire enquêteur. apathie ct vive le réveil de notre foi et de l'ordre d 'accorder las permissions est arrivé. la disposition du comice par M. le mànistre L'aviateur Dufour vient d'effectuer un s* Ad 'heuro octueHe, le vaste établissement est FLEURANCE. — Fête de la Vignette. — La notre liberté. sieur Eugène Bazerque, âgé de 81 ans, prode l'agriculture Elle sera distribuée comme perbe vol avec un passager du camp Gar%r priétaire, coupait une branche de tilleul au société philharmonique « L'Indépendante la I-a Foi, la Liberté, dans son spiendide rap- presque vide. suit : bancol à Gétafe. bord du ruisseau la Gadave. Il tomba acciden Fleiuraiitinc » prêtera son concours aux fêtes port M. l'abbé Buste les saluait tout à l'heure. Procès-verbal. — Un procès-verbal a été Première catégorie : 200 freines. 1er prix, 100 Le voyage fut exécuté à une très ^rn.ncte .tellement dans ce cours d'eau, grossi par les de la Vignette. Elle y exécutera lo programme Qu'elles soient le dernier mot de ces lignes iceso contre le sieur D..., logeur en garni, f raines ; S' 60»fr.; 3" -40 fr. altitude, puis Dufour reprit son vol et s en fut du concours de Pans. dernières pluies, et fut emporté par le cou qui, parlent du Patronage de Plaisance, le labo- pour défaut d 'inscription sur sou registre de Deuxième catégorie : 200 fr. 1er prix, 100 fr.; vers le cap d'Ateo-Cocorrie évoluer au-dessus rant; son corps a été retrouvé quelques insLa Fleurantîne. — On nous télégraphie de rieux et vaillant ouvrier de ces deux grand*? pdiee. 2« 60 fr.: 3° 40 fr. de la campagne et don limites de la montagne, tants après. et saintes choses. Paris : Une somme de 1.00 francs est. réservée à l'avenant atterrir par un vol plané cte mille ma AlCUILLON. Regards rétrospectifs. — La gendarmerie de Hèches-et le juge de « liât de médailles, qui seront décernées aux très mi camp de Carabancel. « La fanfare « La Fleurantîne » a obtenu le Dons notre numéro de mardi dernier, nous L'abbé E. SEMIES, curé de Prêchac. .paix de la Barthe, prévenus, ont fait procéder deuxième prix à vue, le premier prix d'exécuDufour a vivement été félicité par le roi. propriétaires cultivant leurs ternes avec des avop.s eu la primeur povu' donner non seuleaux constatations d'usage. tion, prix d'honneur, prime de 300 francs, et ment le compte-rendu de la fête des rieurs, metayeis ou domestiques, CHUTE D'tJW AViATF.vr, Quant aux primes on airgent cidessu-s, elles mais encore lo palmarès des récompenses. ARREAU. — Accident. — Pendant que le un diplôme do direction, Morihain Londres, 5 juin. Toutes nos félicitations. Depuis, nos confrères do la pressée régio- rto pourront être attribuées qu'à des métayers, ; Au cours d'un vol, à l'aérodrome de Brooknommé Barnagi Ramon, ouvrier mineur, Société des sciences, lettres et arts d'Agsn jiate ct départementale ont dit leur mot sur fermiers, <tomesti(pies ou petits propriétaires laiwls, l'aviateur français 1/itham a fait une Pièces fausses. — 11 circule en ce moment d origine espagnole, travaillait avec son pic la fête, et U en est un qui, sous la plume d'un travaillant eux-mêmes leurs terres. uans un des tunnels du canal, une pierre des pièces fausses de un franc, assez bien imi Le président (tu cornice se réserve, comme <;hute ; l'aéroplane est tombé sur lo toit d'un Séance du i" juin correspondant occasionnel, formule quelques s est détachée de la voûte et lui est tombée tées. Avis à nos compatriotes. hangar ; quelques moments après, on voyait d'habitude, le droit de modifier ces primer, critiques contre les décisions du jury. Présidence de M. Calvet eur ie pied droit, lui occasionnant de graves Lamam oui grimpait sur les débris de l'aéroAVEZAN. — Status de Jeanne d'Arc. — Notre fractures. Vraiment, nous nous demandons quel est frvuivaut ie mérite et le nombre des concur plane et regagnai! la terre ; l'aviateur souffr» petite paroisse avec l'esprit chrétien qui l'aniM. Fernond Mauroux, do Villeneuve sur-Lot, cet homme chagrin qui, dans les décisions du rents. Après avoir reçp les premiers soins de M. me ne veut pas rester en arrière, quand il s'aAbattoir municipal. — 11 a été abattu pan du. choc mais il n'est pas blessé, vice-consul à Malagua, est nommé membre jury, « a vu » quelques injustices, et cela if docteur Auluban, le blessé a été dirigé sur git d'heureuses innovations. U est vrai que la correspondant. nous amène tout naturellement à poser une dont le mois de mai, 375 têtes d'animaux do il hôpital de Tarbes. Providence semble veiller sur elle. Ainsi, M. le comte de Disnne soumet à la Société simple question au principal organisateur de bouolierie ainsi réparties : Boeufs, 11 ; veaux CYCLISME NESTIER. — Electricité. — Le courant élec- grâce à la charité d'un cœur généreux, mais tin méreau en étain, fort curieux, provenant la- fête : Est -il vrai qu 'une garniture de che- 96 ; moutons, 38 ; agneaux, 207 ; parcs, 23. e 0uTOi les LA COURSE DE 24 HEURES resté inconnu, par modestie, le 14 mai, fête pav V',W T* "sines de la Compagnie d'une des églises protestantes de l'Agenais. niinéo -avait été choisie par une des concur- produisant ensemble du trésor municipal une de la Baroussc nous a été donné samedi soir. de la première communion, on y bénissait Ce méreau est rond, d'un diamètre de 30 mil- rentes des voitures fleuries et qu 'elle avait été somme do ,322 fr. 75. Dès que la 90' heure a sonné, Troufitol.er LABASSÈRE. — Fête de Jeanne d'Arc — I a vêpres une belle statue de Jeanne d'Arc, co limètres, d'un poids de 11 grammes. Il repré- mise en réserve, pour être donnée à cette Démographie. Il a été enregistré, pendant démarre et, prend trois tours facitermui.!. qui nous valut la bonne fortune d'entendre un sente : à l'avers, le Christ, sons forme de ber- demoiselle, n'importe quel prix qu 'elle eût ? .- e de Jeanne d'Arc a été mag," Uquem'ent A ce moment, lo classement donne :660 k. 000 & -le mois do mai : 8 naissances, dont G filles lebrec a Labassère. L'é<dise ét^it A/.^i." panégyrique bien intéressant du prédicateur, ger, tenant do sa main droite une croix d'où d'Hulst ; 2. Trousselicr, 63 ; 3. Lafourcade. 91 ; M. Andriou, qui se fait encenser, pourrait ct 2 garçons ot 7 décès. me aux jours de grandes fltef nSES? Con\ M. l'uubé Caues. i. Crupplandt, 06 ; 5 .Lambot ; 6. Colsaet 130 i se détache une oriflamme ; de sa gauche, un répondre à cette question. que. do très l^eaux ehàms v ont « A Tout d'ahard, en semblait craindre qu'onEtat civil de la semaine. — Naissance : *naft- 7. Ririez. 153 ; 8. Niedergan, 157. jje plus, M. Andcieu nous avait promis un qu'il approche do ses lèvres ; autour de fit peut-être trop do bruit autour de cette sur- cor n» Capot, route d'Espicns. lui, sept brebis et deux arbres. Au revers, le superbe feu d 'artifice japonais, à cinq heures Résultats définitifs prise si gracieusement faite, ; mais co ne pou- soleil entre six étoiles, et, au-dessous, une du soir, avec des véglione ct autres pièces Publications de mariage : Emile lofllte, culvait être là que l'effet d'un trop grand enthou- bible ouverte, avec quelques lettres de l'ms 758 kil. 100, 1. Tro-usfolkr ; 2. d'Hulst • mirifiques ! Qu'est -il devenu, ce feu d'arti- tivateur à Batrbaste, et Claire Daries, ménasiasme, inspiré par la pensée que, même à Ave3. Lafourcade ; 4. Cruppclandt ; 5. Lambot ; fice ? La poudre devait être mouillée, proba- gère spéciale à l'Amenais : Mes Brebis en zan, et contre toute attente, on allait posséder cription Décès : Jeanne Figues, veuve Daubas, 74 an», 6. Shirtoy. blement ; et quant aux promesses, elles se tendent ma voix et me suivent. Consulté à -H fSXZSSS ~ V»»; - Dans la nuit de samedi aussi la statue de Jeanne d'Arc. A cette occaplace Saint-Maire ;' Hapheelte Pérat veuve Nadimanche mi malfaiteur s 'est introduitTans sion., les chantres et chanteuses d'Avezan, son sujet, M. WeisS, directeur de ta Société soin envolées ; c 'est une constatation que da.l, 71 ans, rue du Bartas. le moulin de M . Raqué, où il a éte volé un~o sous l'habile direction de M. le. curé de Tour- d'histoire du protestantisme frtuiçais, répond nous ne faisons que noter. somme de ISo francs au domestique de la i v, que ce méreau est une variante du type du Enfin, cette tète des fleurs, nous le constanecoupe, nous ont fait entendre des cantiques a son. ' " Du 5 hdn. ^ . , d'un entrain et d'une exécution remarquables. berger, bien connu, qu'on trouve générale- tons, n 'a. pas bien enrichi lo commerce ai— T.e procureur ««wrat do Monastir a tué a cou» Aussi, rien de plus vrai que cotte réflexion en- ment dans tout le sud-ouest de la France, le guillonnais, car à part les limonadiers et de revolteorn. De Toulouse : ARRONDISSEMENT D'ARGELES tendue le soir de là fête au sujet de réalise si Montalhanais offrant au-dessus du berger une cafetiers, aucun commerçant n 'a eu à res— L'escadre française a, mouillé dans le port de Le Feu richement ornée et des l>ellcs cérémonies : colombe, tandis que l'Agenais présente une sentir les heureux effets de cette fête. Les réPorto Eroiiyxloclc. sur laquelle flotte un drapeau CAUTERETS. — La saison thermale. — La « Quel dommage si jamais on était obligé par croix compenses elles-mêmes viennent des Nouvel— On mande de Biarritz à l'A. li. r. que M Emilie Hier matin, vers U heures, un incendie s'fSt M. Henry •y "Iropajner, avocat près la cour les Galeries de Bordeaux et ont été achetées la force des choses de supprimer le prêtre saison thermale officielle est commencée de déclaré dans l'immeuble occupé par M. Ber- OWda.. Mnteiisad«'ir d'Espagne au Vatican, en rond appel do Bordeaux, offre à la Société sn à Avezuo ! Que deviendraient toutes ces belles -purs le in juin. Il fait un temps splendidc de uii jour de réclame. trand Bahutl, au 7' kilomètre, sur la route do «é d<ipnls l'interruption des relations entre h- cabt net de Madrid et la Ourle romaine GM Mcédt, puis quelques jours, les hôtels sont ouverts et choses ? Plus de ces cérémonies intéressan- thèse de doctorat, brillamment soutenue naIM. le maire, M. Sicard, M. Pasquet avaient Lalandc. guère, et qui a pour sujet : La Coutume donné employés do la n .triH- Vltenbc Roma ii 'nymw. ml dcs tes ! » Ce qu'il y a de certain, c'est qu'une pades prix ; quant au prix offert par M. 1 .0 fou n. détruit, une meulo de 400 quintaux Mfl !...ia.. -nu „J\? ?ï°, Angers est plus grand qu'il roisse qui sait s'entendre pour fournir la co- d A tien. .-ja-tittroctiou ont <McUt6 o-- recourir Andrieu. on le ch .ere.lin.il en vain ; il aurait de paille placés s-nns on ha.nj'ar, ainsi cpw' roMintctton, no l était les années précédentes, à pareille Dans un compte-rendu détaillé, M. Lanzun bien pu donner les bouteilles de vin vieux !i0 quintaux do foin, une charrette et deux époque. — )> Conffn'-s ili\s ami-* (1er* r>v>. s R'O^ tc-nn ft tisation imposée aura toujours un prêtre à Lyon, nu pMèls du Ooaanacë ; le prociiain i -.mlouilM -rciux. (pie la pénurie des sujets en devînt trop signale l'importance do ce travail, tant au non débouchées le soir de la Sainte -Cécile ! BER$, aiiKi lle-u en l»ia, à Bordeaux. Incendie. - Samedi matin, vers moins Voilà les à -côtés de la question 1 Voilà les Les pompiers de la caserne Boussy te sont ",i<—i On grande. C'est du moins ce que l'ai cru com- point de. vue historique local qu'au point do a commencé sur le rliaaip d» manœuvre» 'Cinq lieures, un incendie s'est déclaré dans vue Juridique. Outre que l'auteur donne pour détail* rétrospectifs de cette fête I transportés sur les lieux commandée par lo mlflUalivs prendre. ( filais, l 'Inslatlatton d'une MSCM gtr mu grange sise au quartier Saint-Justin, près la. première fois la traduction du texte roman M. de R. lieutenant Mauco, <-l oui mis une pompe en Sfairte«(no U.' destinée à iiidlqu<-r aux aviateurs ilésfom Un Témoin. unc d0 do la coutume agonnise, il résume tout ce qui PORT SAINTE-MARIE. Orages. - Same- batterie ; ils se soin rapiilemeiil rendus inai- jeux (le traveiM -r le détroit, la di'.. ti.ui ,. i lo d* ï ?i £ ï?rami>ettcSers, appartenant au BÎeur Na DullVTO*. A ï' <le c<!tt0 commune. PLAISANCE-DU-CERS. Une séance du pa- a été écrit précédemment sur elle ; et, com- di, vers quatre heures du soir, un orage d 'une tres du fou. Les pertes sont couvertes par une son texte original avec celui des cou- grande violence a éclate sur notre ville et les assurance. ' — Ce matin est, entré dans le port mlliturc i'Mk 1Avertis par d'épais nuages de fumée qui tronage. — le 30 mai a, marqué sa place dans parant dos villes circonvoisirics, il en fait res- «ipvirons. " ; mappaient do la toiture do l'immeuble, les K«r la corvotte w .J-< iialu -jine Amont/o \ eimtri vel.-s annales du Patronage des garçon* de Plai- tumes nant. <ie padma s. 'Cet oxago a, été suivi d'une trombe d'aan qui , 1,1, fiuf" 98 voisins prévinrent aussitôt la sance. Eu l'honneur de la visite que Mgr l'ar- sortir les particularités cl la considère comme Accident de tramway ^prietairo et accoururent avec lui sur les chevêque faisait ce jour-là dans la paroisse, une coutume-mère, uno coutume-type, un mo- ai transforme en quelques minutes nos places — I.o «ouivemcancnt aanéricaln a eirrvové à Utt 8lnIstre dèle non-souleinent imité, niais même simpleet nos iruettes en véritables misseaiux. Hier matin, vers neuf heures et demie sur nioM'.'s tm- i-,>min,.*i„ii .uiii danlver .. in, rèjrla ces braves petits jeunn-s gens ont organisé, le feu °ù iJ s réussirent à maîtriser ment copié par beaucoup d'autres. U en étudie Un deuxième orage, pas aussi violent que sous la direction de leur si sympathique fonla place Bouaix, une collision s'est produite ment du dlfférond relatif a lVntréo en Aine rira* dateur, uno soirée récréative qui n'aura ja- ensuite séparément chaque chapitre, d'abord le prée. dont, a. do nouveau éclate vers sept entre la motrice n" 3(1 de la. Compagnie dos .!.. l-i i>.ri'«bUiii. iiiv.ii. ine. CM i*2£t£t&? en conjectures sur -les causes de pur «les notions générales, puis au point de Heures ; la philo s'est continuée Jusqu'à neuf car ,;i i ' id M .lu uv ,i mifantor;,., frapr* ,ie ton mais su pareille. Monseigneur était là, ot il a Tien <]\nt ni?-' ««-ange habitée seulement ramways, et uno voiture automobile om vi wr •"•' ' •' »'•>•• •' VUS. a, -n |.i (..IMiui.- • *m parie. M. Paul de Cassagnac était .là aussi et vue des personnes, des. biens, de la compé- Heures du soir. heu ré ni rV" duire par son propriétaire, M. (irabias-Ba0,lrr: . no contenait point à cette >•> 1 1 « n'a pas m l el.nnw*. ' tence, do la procédure civile ot criminelle, Nos agriculteurs SCfU consternés de la fré.« "il ig« ni bétail nous avons entendu les accents vibrants de les liii» ">>" "taau. demeurant place Saint-Ettenne '; -- A UreSl. les niiinmHii O,,.,„,I. ...,..„,„ A. son patriotisme et do sa foi. L'Orphéon tant enfin du Code pénal, dont les applications ijuem -e de ces orages qui abinienl tentes les gnêriti, vertes par mr n matérielles, sont '_ "no assurance. de fois vainqueur dans les concours nous a étaient Souvent si originales. Une très com- récoltes. Jusqu 'ici, noms n'avons pas eu île lout s'est borné ù dos dégâts matériels. ' grêle ,fort heurausemcnit pour lo vignoble charmés de plusieurs cantates d'une impec- plète bibliographie termine w, remarquable : iule 1 .ftiii. OKU* des itiuiftl ou |l.s aval, nt «H* A la Gare volume qui semble avoir épuisé ,\ tout jamais (teint la. végétation est des plus beïles. cable harmonie. N ACHETEZ" 1 mont «EB, NL BIJOU X IrtliumiA». lo sillet. M l'abbé Buste, dans un rapport séduisant Lo iiiûminé (termain Fjutraygncs Acre Èm "s Réglementation des marchés. Le reaW* stM.oen8ultiïi«^ ^' onrÊVREKiE - t.e Sur la proposition de MM. B. Bonnat archiet délicat, est venu nous faire connaître le lyt-Samte-MMio vient d.. prendre , n mêlé ans .i tlé arrête her ,... !!r LeuUti've do volt a re,..' Patronage qu'il a fondé -et qu'il dirige • et ses viste départemental et Ph. Iauzun. secrétaire au la tire a la gare Mmibuw u OrJx l«i 7riW'^ AUn:, ^ ''^S*NC0 (ll&,sCl sujet de ki réglementation des foires et !iwi(' accents, c'était bien le «ri du cœur, la parole porpétiiel, la Société émet île vœu que À tix-MV'-tes de notre vil'e. l -'spe.ivn, ,,„,. i,^ y*] — le n é die lo —1' Le émue et touchante du père «ni détend MU , aiI 1!) ans, sm r. leurs et achrtoim s'y conforruêront, ^ *e, ;i i *» « Tour dea PeuUents MM*», propriété irrèie i l >eiae de ppxee vertwu. irikcttoo a h p des CIMUU» de fer. I i

Ephémérides toulousaines

LE DUC D'ORLÉANS

répertoire.

GustaveHervé et la« Guerre Sociale »

à

Paris-Rame-Turin

COURSES DE CHEVAUX

Couronnes mortaalrjes Lalnùie 25 r Rêmusat

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PETITES NOUVELLES


MARDI 6 JUIN 19H

1,050 fr. ; breaux de traivall, de 650 a 900 fr. ; lircaux pour l'élevage, dio 300 a 500 tr.; vtaiches de travail, de 500 à. 600 fr.; le tout la paire ; veaux do boucherie, de 1 à 1 10 le kilo, poids vif. MARCHE DE LA V1LLETTE Du 5 juin

.Ë<X!UlfS. - Amenés 2.195 : vendus 2,003. 2

t 70. V;uches, Amenées 1,02-1; vendues 976. 1 98 t 58. Taureaux, Amenés 270 ; vendus 247. 1 6S t M. Veaux. — Amenés 1,668; vkndns 1.021. 2 50 1 90. Moutons. — Amenés 9.98-2; vendus 9.045. 3 0(i ; 1 90. Moutons. — Amenés 9.9S2; vendras 9.045 2 2 00 ; 1 90. Porcs. — Amenés 4.49-1 ; venodus 4.407. 1 94; 1 88. ^^aau de monutons. — 2 00 i 5 50.

Mei

quéa

1 88; 1 80; 1 52; 2 18; ! 56; 58 ; 1 90;

HAUTE-GARONNE saint-Gan dems. irialle du marché du le? juin. — Cours prati-

qualité 23 fr.; 2", 22 50; 3", 22 fr.; seigle, 10 f r. ; avoine, ire qualité, ; maïs, 17 fr. ; haricots, 30 fr. ; pomfr., le tout l'hectolitre, latges. — Foin, ire qualité, 5 25 ; 2", 5 25 ; paille, ire JUalité, 6 25 ; 2", 5 75, le tout le quintal, Animaux conduits au marché. — Bœufs, 210; vaveaux, 350 ; moutons et brebis, 700 ; pores, 530. Prix moyens. — Boeuf, 0 80 veau, l à 1 15; mouton, 0 85, le tout le Jcilo. Volailles. — Poulets, 3 50; poules, 0 fr dindons, IS fr. ; pintades, 7 fr., le tout la pai>re. oamis, o 70 la douzaine. Fro ent, Ire méteii 20 fr. ; 12 fr. 2", il 50 mes c terre, fi

ARIECE Pamiers. Marché du samedi 3 juin : BQé, 100 hect:, de 22 50 a 23 fr. ; seigle, 30 hect. de S4 50 à 15 fr. ; méiteil, 2ô hect., de 16 50 à 17 fr. ; maïs, 200 hefctos, de 15 50 à 16 fr.; avoine, 80 hect. de M. 50 à 12 fr. ; fèives, 10 hect., de 16 50 à 17 fr.; haricots, 50, de 32 50 à 33 fr.; {pommes de terre, de 7 à 7 50. Mazères. Cours pratiqués au marché du 1er juin : 11 a été vendu 723 hectolitres de blé. de 22 75 à 23 fr. les 80 kilos ; méteil, de lfi 50 à 17 fr. ; seigle, de w 5o à 15 Dr.; maïs, de 15 à 16 tr.; avoine, de 11 à M. 75 ; halricotis, 'de 25 à 31 fr.; fèves, de 10 à 16 25 ; ipommes de terre, de 6 à 7 fr., le tout l'heo toliiire. VolaiiiHes. — Poules, de 6 à 7 fr. ; beaux poulets, de 5 à 5 50 ; canards, de 5 75 à 6 fr. ; pigeons, de 2 15 à 2 28 ,;. poussins, (te O 60 à 0 60. le tout la paire ; IWiBS domestiques, de 2 26 à 2 50, la .pièce. : ï«es œufs, o 85 la douzaine.

TARN-ET-GARONNE Molières. La foire du 2 juin, dite do Saint-Clair, est unie des plus Imprimantes de l'année; cette fois encore, elle n'a pas démenti sa vieillie réputation, bien queue ait té dérangée, dans la soirée, par un violent orage. Une nombreuse jeunesse se pressait dams ks rues et sur nos places, at les aJfalrcs traitées ont été très con.sidéraMcs. Voici les coure pratiqués : Marché aux bestiaux. — Bien garni et vente facile a, des prix élevés. Viande, de toucher*?. — Bœufs, de 40 à 46 fr. ; vaches, die 35 à 40, le tout les 50 kilos; veaux,. 1 10; moutons, 1 fr., le tout il» kilo. Animauix de labour. — Bœufs, de 1,050 à 1,250 fr. ; vaches, de 900 à 1,100; génisses et taurillons, de 400 A 660, lo tout la paire. Porcs gras, 70 fr. les 50 kilos; porcelets, de 25 à 50 l'un, suivant grosseur et qualité. Place à la volaille. — Bien garnie et baisse légère. Poulets, 1 fr. 10; pintades, 1 fr. 20; poules, 0 fr. 75; caméras, o fr. 70, lo tout lo i kilo; lapins, de t fr. 25 à 3 fr. l'un. œuifs, 0 Ir. 85 la douzaine. Fruits. — Cerises, o f r. 30 le kilo ; fraises, 0 f r. 25 le panier. Hailile aux grains. — Blé, dte 21 à 22 fr. les SO kil.; lèves et maïs, 16; orge, 14; seigle, 15; asvodne, 10 50; sorgho, 11 ; haricots, 35, le tout l'hectolitre. Soin, 7 25; repasses, 8 50, le tout les 50 kilos. Monclair-de-Quiercy. Marché hebdomadaire dhu 1" juin. -— Voici les princifpaux cours pratiqués : Animaux de boucherie. — Bœufs, dé 42 à 4 fr. ; vaches, de 30 à 4Qj veaux, de 52 à 55; moutons, de 45 à 48, le tout les 50 kilos. poids vif: nourrains. de 50 à 70 fr .:COChon .s dieiait, environ 150 d'amenés, vendus de 35 à 45 francs la éce.

HAUTES-PYRENEES Bonnefont. Rj-toe des domestiques. — Cette foire qui se tiendra dans notre commune lundi 5 juin a pris .beaucoup d'extension; este est le rendez-vous de beaucoup de domestiques et d 'estivaudiers. Les propriétaiires aiuront à corap sûr l'embarras du choix: ; Lannemezan. Le marché. — Cours pratiqués : Basilics de traivall de 900 à l.OOO fr. ; vaches de labour, de 700 à 800 fr.; bourvillons, ds 600 à 750 fr. ; génisses, de 350 a 460 fr. la. paire ; braux, pour la UtHucherte, de 70 à 116 fa", pièce. B*é, 23 50 à 24 fr. ; méteil, 21 fr.; seigle, 16 50; maïs, 16 a 117 fr. ; avoine, lit 50 à 12 ST.; millet, 20 à 96 f r. ; haricots, de 35 à 40 fr. ; pommes de terre, 7 à 7 75 l 'hectolitre. Poules, 5 à 6 f r. ; poulets, 4 fr. ; pintades, S fr. ; canards, 5 à 6 fr. ; oisons, 3 70 ; canetons, l 60 la paire ; la;pins, 1 50 à 2 fr. pièce. OEuts, 0 70 la douzaine. ©indons, 14 tr.; dindes, 9 fr. ; pigeons, 1 50 la paire. Cochons de lait, 20 à 25 fr.; d'élevage, de 30 à «6 tg. GERS Plaisance- du-Ge rs. Notre marché de jeudi a été bien favorisé par le beau temps ; aussi M a été assez important. Les diverses places étaient bien approvisionnées en denrées de toutes sortes -et bon nomibre d'affaires on4 ité traitées. Voici les principaux cours pratiqués : Halle aux grains. — Blé, de 22 à 23; avoine, de il 50 à 10; maïs, de 15 à 15 50; seigle, de 16 à 16 50; orge, de 13 à 13 50; fèves, de 17 à 17 50; haricots, de 48 à 50; pommes de terre, ddO àli; vesces, 24, le tout l'hectolitre. . Son, 16; rèzes fines, 18; ordinaires, 16, le tout le quintal métrique. yolalldiei. — Poules, de 5 à 6; poulardes, de 4 50 à 5 50; poulets,. de 3 50 à 4; dindons, die 14 à 16; dindes, de 12 à 13; canards, ds 6 à 7; pintades, de 6 50 à 7 50; pigeons, de 1 25 à l 50, le tout la paire; lapins domestiques, de l 50 à l 75 la pièce. Oisons de huit jours, de l 25 à 1 50; oisons de 15 jours, de 1 75 à 2; canetons, de 0 60 à 0 75, le tout la pièce. CEUfs, 0 80 la dounzalne. Foirail. — Grands bœufs, 1,000 à 1,100; bœufs moyens de SttO à 900; bouvilllons, de 500 à 600; vaches de trairait, de 700 à 800; génisses, de 450 à Sû-0, le tout la paire; veaux pour la boucherie, de 90 à 110 la^pièce. -, . Porcs. — Prix toujours élevés : porcelets, de 25 à 40; cochons de marché,, de 50 à 70, le tout la pièce suivant taille, et qualité. Il se traite en ce moment peu d'affaires au marché aux vins et eaux-de-vie. Les prix, quoique encore très éîevés, semWent faire pressentir une légère baisse. Bois. — Fagots, de 6 à 6 50 le char de vingt ; rondins, de 6 50 à 7 le stère. Foin, de 2 50 à 3; paiite, de 2 50 à 2 75, le tout le quintal usuel. L'Isle-Jourdaiai, Marché du 3 juin. — Cours pratiqués : Marché aux grains. — Blé supérieur, de 21 50 à 22 fr. ; blé ordinaire, dé 20 75 à 21 fr.; blé mitadin,, de 20 50 à 20 75 ; blé gros, de 19 75 à 20 fr. ; avoine, de 10 75 à 11 25 ; orge, die U à 12 fr. ; maïs, de 17 25 à 18 25 ; haricots, de 40 à 45 fr. ; fèves, de 16 50 à 16 75 ; esparcette, de m à 12 fr. ; vesces, de 22 à 23 Ir. le tout l'hectolitre. Graine?. — Luzerne, de 140 à 150 fr.; trèfle, de S0 à 99 fr. ; pommes de terre, de 13 à 13 50, le tout les 100 kilos. Fourrages. — Foin, de 4 50 à 4 75 ; luzerne, de i 25 à 4 75; sainfoin, de 3 75 à 4 25 ; paille, de 3 à J 50, le tout les 100 kilos. Marché à la volatile. — Dindons gros, de 18 à W fr.; dindons ordinaires, de 15 à 18 fr.; dindes grosses, de 14 à 18 fr. ; dindes ordinaires, de 12 à 14 fr.; oies grosses, de 1:3 à 15 fr.; oies maigres, de 10 à 13 fr. ; poulardes, de 5 50 à 6 25; poules, de i 75 à 7 25 ; poulets do grains, de 4 75 à 5 25 ; petits poulets, de 3 75 à 4 75 ; chapons, de 7 à 9 fr.; pintades, de 5 à 6 fr.;. canards ordinaires, de 4 à 5 fr.; pigeons parisiens, do 2 25 a 2 50 ; pigeons communs lie 1 25 à 1 75, le tout la paire ; lapins de rep.ro «iwetion, de 2 50 à 3 50 ; lapins domestiquas, de 1 75 à 2 25 la pièce ; les œufs, de 0 80 à 0 85 la iouzatne. Marché aux oisons. — Oisons, de 3 50 à 4 50 saaetons muilarûs, de 2 25 à 3 75 ; canetons corn «ans, de 1 25 à 2 fr. le tout la paire. Risole. Marché. — Voincit les cours pratiqués : Halle aux grains. — Blé, de 93 à 23 fr.; avoine, ,;2 fr. ; maïs, de 16 50 à 17 fr. ; seigle, 16 fr. ; orge, )S fr.; haricots, de 40 à 50 fr. ; pommes de terre, de 8 à 9 fr., le tout l'hectolitre. Place à la volaille. — Poules, de 5 a 6 fr. ; pou !ets, de 2 50 à 5 fr. ; dindes, do 9 à 12 fr. ; dnlndons de 10 à 14 fr.; chaipoms, de 9 à Ut fr.; pintades, de 6 à 8 fr.; le tout la paire ; pigeons, 1 25 ; lapins île 1 50 à 2 fr. le tout la pièce ; œufs, o 80 la dou. zaine. Marché couvert. — Oisillons, de 1 75 à 2 20; canards roulants, de o 70 à 1 fr. ; canards communs de o 60 à 0 75 le tout la pièce. Nouveau foirail. — Bœufs die travail, de 900 à

TRANSPORT DES BESTIAUX DE LA RÈCI0H DU MIDI SUR PARIS Les départements de la Haute-Garonne, de l'Ariège, etc., malgré leur éloignement fournissent au marché de Paris un nombre important de bestiaux. En vue de développer et de faciliter ce trafic, à partir du 1" juillet prochain, quand ces bestiaux seront amenés à Montauban par le train de marchandises Midi 1116, la Compagnie d'Orléans mettra en marche au départ de Montauiban, le mardi et le samedi, un train de marchandises correspondant à Brive avec le train, spécial de bestiaux qui a lieu régulièrement ces deux jours de la semaine et arrive à Paris le 'mercredi' et le dimanche matin. Ainsi les bestiaux partis le lundi et le vendredi des gares de l'Ariège pourront être à Paris dans la matinée du surlendemain de leur départ et se refaire dans les écuries en attendant leur présentation au marché de la Vit! ette du jeudi, ou lundi. Le tarif P. V. 101 actuel soumis à l'homologation aura en outre pour effet d'abaisser sensiblement le prix de transport des bestiaux de cette région sur Paris. C'est ainsi qu'un wagon chargé de 72 moutons do Foix à Patis-bestiaux qui paie actuellement 317 fr. 05 ne paiera plus que 195 fr,. 60.

Ce numéro contient encore : la magistrale conférence faute par André iïe&uimor sur Ltfoito de Cliatcttulwiiiandi. — Une étude littéraire signée Pirmin Roz, sur le nouveau livre-: do Galuiiol Hanotaux : « Jeanne d'Arc » ; Une pittoresque page de H. do Brug-UièPe snir les « Pigeons patriotes » ; Une étude do François Goppée, « A la Mémoire de Paul Verlaine », dont on vient d'inaugura- le monument à Paris ; Des « Poésies • signées Verlaine ; Une page do Ohateauibriandi sur « Jeanne d'Arc dons l'histoire et dons la littéirature » ; Un article: très curieux de Raymond Passillo sur « Le Chien, n, à l'occasion de l'exposition canin© qiui vient de fermer ses portes ; la passionnante nouvelle : « Les Yeux de l'Espion », par François de Dion-, etc; 1 La « Revue Française » paraît chaquo semaine sur 32 pages. Un an, 10 fr. Le numéro, 25 centimes. — Etranger : un an, 13 fr. 60. Le numéro : 30 .centimes. Rédaction et administration : 17, rue Cassette, Paris. — Belgique : Un an, 10 francs. Bureaux à Bruxelles, 6, ruo d'Assaut. (Bibliothèque choisie). Pour 1 franc, la « Revue Française > délivra des abonnements d'essai d'un mois donnant droit à quatre magnifiques numéros do 32 pages illustrées. Demande spécimen contre 0 fr. 10.

Ces abonnements comportent, en outre du trajet d'aller et retour à ces côtes avec arrêts intermédiaires facultatifs, la faculté «lo circuler à volonté sur les lignes des Cotes »WMji Nord do Bretagne ; ils sont valables Jô jours avec faculté de prolongation d'une ou deux fois d'un mois moyennant un supplément de 25 % du prix Initial pour chaque période, sans quo la validité puisse en aucun cas dépassor le 15 novembre. . . nr Le prix des cartes d'abonnement est do 9J francs on 2» classe ot de KO francs on lr° classe, lorsque la distance pour les parcours (aller et retour) n'excède pas 1,000 kilomètres en dehors des points de libre circulation. Au-delà de 1,000 kilomètres, lo prix est augmenté de 0 fr. 015 ct de 0 fr. 065 (en 2° et 1" classes) par kilomètre en sus. Des réductions allant jusqu'à 50 % sont consenties en faveur des membres d'une môme famille. CHEMIN DE FER D'ORLEANS Ce qu'on peut visiter en France en empruntant les lignes du réseau d'Orléans

Le réseau d'Orléans, situé au cœur de la France, dessert la rlanto Touraine, si riche en monumenis et en souvenirs historiques (Blois, Chambord, Amboise, Chenonceaux, Loches, etc..) Par la belle région de la vallée de la Loire, u conduit à Angers, Nantes, et à la Côte Sud d'une Bretagne ancienne aux plages réputées (La Baule, le Pouliguen, Quiberon, Belle-Ile, Concarneau. Jeudi soir, au Carlton-Hôtel, aux Champs- Douarnez). Au centre de la France le réseau d'Orléans perElysées, le cfâner de la Bévue Hebdomadaire a été une véritable fête littéraire. Parmi les met do visiter l'Auvergne aves ses fraîches vallées e„ deux cents convives qui fie pressaient autour ses stations thermales (La Bourboule, le Mont-Dore, Lioran, Vic-surCère. etc..) ou encore les merde M. Fernand Laudet, nous avons noté la Le veilles naturelles des Gorges du Tarn et du Querprésence do MM. Paul Bourget, Jules Lemaitre, cy (Rocamadour, Gouffre do Padirac, Grottes de Lacomte d'Haussonville, Maurice Donnay, G. cave). Hanotaux, H. Poincaré, de l'Académie franAu delà enfin, par les grandes lignes de Bordeaux, çaise, professeur Branly, Pierre de Ta Gorce, d'un côté Toulouse, de l'autre, qui sont aussi les Henri Joly, Edmond Perrier, Paul Leroy-Bea-u- routes d'Espagne ot du Portugal, il donne accès à lieu, de l'Institut, Barthou, Pierre Boudin, la région des Pyrénées. Les beaux paysages de montagnes ainsi que nomDoumer, anciens ministres, Henri Coehin, J.. de stations thermales (Luchon, Cauterets, Les Delaiosse, députés ; J.-Charles Roux, majorai bre Eaux-Bonnes, Lamatou, Amélie et Vernet-les-Bams, du Félibrige, ancien député ; général Bonna), etc..) et les grandes stations thermales, balnéaires A. Licihtenberger, Ernest Daudet. P. de Nolliac, ou hivernales do Pau, Biarritz, Saint-Jean-de-Luz, Ch. de Pomairols, Camille Bellaigue, Henry etc., ont consacré depuis longtemps la célébrité Bordeaux, Paul Acker, Paul Adam, Mgr Bau- des Pyrénées.

Le flîner de la Revus HoMomadaire;

Montaudran (Pout des Demoiselles). — Aller : matin e h.; soir, 0 h. — Retour : mutin, 9 h.; son-, 6 11. Sahit-Murtiii-durToucli. — Aller i matin, o li. ; Il n.; soir, 4 h.; 7 li. - Retour : matin, 8 H.; soir, 1 11.; 0 11. ; 8 II. CoJomlors. — Aller : main, 6 h. ; n h.; soir, 4 h. Retour : matin, 7 h. l/J; midi 1/2; soir, 5 h. 1/2. nraqucviJlo — l'orlet. — Aller : matin, o h, j midi; soir 4 h. — Retour : matin, 7 h. 1/2; soir, 1 h. 1/2; 6 h-' !/*• . „ . Tous Jes dimanches auront lieu des déparus sup pjéonentalres : Pour Blagnac (par l'Embcuoliurc). i 8 h. matin. — Pour Blaguai; (par lo Polyg 'Mio! 15u. soir. — Pour Salnt-Martin-du-Touch, à 2 acttiHii. — l'ouï Lafonrguette, a 2 heures. ' \ ." „. Lieu do déniait des omnibus : p'*ce du Capitole. LIGNES ÉLECTItlqUES

Semaine JE— Place du Capitole à Croix-Daurade (pont de l'Hers), chaque heure dans chaque sens. — Aller : 6 h , 7 h., 8 h., 0. h., 10 h., il h., midi, l h., 2 h., 3 h., 4 h., 5 h., 6 h., 7 h., 8 h., 9 h. - Retour : C h. 30, 7 h. 30, 8 h. 30, 9 h. 30, 10 h. 30, 11 h. 30. midi 30, 1 h. 30, 2 b, 30, 3 II. 30. 4 h. 30, 5 11. 30, 6 h. 30, 7 h. 30,8 11. 30, 9 h. 30. NE. — Place du Capitole à Lalando-Aucaanville, chaque M minutes dans cliaque sens. — Aller : 6 h., 6 h 40 7 h 20, S 11.. 8 h. 40, 9 h. 20, 10 h., 10 h. 40, 11 h 20 midi, midi 40, 1 h. 20, 2 H. 2 h. 40, 3 h. 20. 4 h ' 4 h 40 5 h. 20, 6 h., 6 h. 40, 7 h. 20, 8 h., 8 h" 40. — Retour : 6 h. 40, 7 h. 20, 8 h., 8 h. 40, 0 h. 20 10 h., 10 h. 40, 11 h. 20, midi, midi 40, 1 h. 20, 2 h., 2 h. 40, 3 h. 20, i h. 4 h. 40, 5 h. 20, 6 h., G 11. 40. 7 h. 20, S h., 8 h. 40. 9 h. 20. M' E'. — Placo Esquirol a Sain\ Agne, chaque heure dans chaque sens. — Ailer : 6 h., 7 h., 8 h., 9 h., 10 h., 11 h., midi, 1 h., 2 h., 3 h., 4 h., 5 h., 6 n., 7 h., 8 h., 9 h. — Retour ; 6 h. 30, 7 h. 30, 8 h. 30, 9 h. 30, 10 h. 30, 11 h. 30, midi 30, 1 h. 30,

5 h. 30 3 II. 30, 4 il. 30, 5 11. 30. 0 il. 30, 7 II. 30. 3 H. 39 I U n, 30, 'f ' li\ — Placo Esquirol C ardenne, chaiiue demi, heiii'i! dans cliaqii'i sens. Aller : 6 :m. 7 a. 7 h. 30. 8 11., 8 11. 30. 9 11., D II- !I0. 10 tl., 10 li ;)o, U n„ 11 11. 30, midi, midi 3-). 1 h.. 1 11. 80, -1 m il 11. 90 3 11., 3 11. 30, 4 II., -i II- ^. r> "• '• !l :! ". 0 H.. 6 h. 30, 7 ii., 7 n. 30, ti u.. s h. 30, o h. - - Retour : 0 h. 30,7 11,, 7 h. 30, 8 11.. 8 11. 80, 9 h. 9 a. 30, 10 li„ 10 h. .30, 11 11., 11 h. 30, mlilt. midi :!0, 1 h.. I h S£ 2 h., 2 H. 30, 3 11., 3 h. 30, 4 11., 4 U tlO. 6 11., •* Il 30, « II., 6 h. 30, 7 il., 7 h. 30. 8 11., 8 11. 30. 9 II.. 0 H. 30 Z. E. — i'iace Esquirol à Saint-Simon, cliaque 45 minutes dans cliaque .v.ms. Aller : 0 II-, *'' h H 7 1). 30. 8 h. 15, 9 h., 9 h. 45, 10 11. 31), 11 11" M >. midi 45, 1 11. 30, 2 h. 15, 3 h., .'I b, 44, 4 11. 30, 5 11. 15. fi h., 6 h. 45. 7 11. 30, 9. II. — Retour :l» 11. ''». 1 II »>. 8 h. 15. 9 h., 9 h. 45. 10 11. 30, 11 II. 15, midi, pjiul 45, 1 h. 30, 2 h. 15, 3 h., 3 h. 45, 4 11. 30, 5 h. 15. 6 II., fi h. 45, 7 h. 30, 8 h. 15. 9 11., 9 h. 45. Services supplémentaires pour les dimanches et fêtes : J. E. — A partir de 1 heure après-midi, dans cliaque sens, départ cjjaijue 15 in.uutes, N. E. — A partir de t heure après-midi, dans ••la. que .sens, départ chaque 20 minutes. M' E'. — A partir do 1 heure après-midi, dans cliaque sens, départ chaque 15 minutes. i" E'. — A partir de 1 heure après-midi, dans cliaque sens, départ chaque 15 minutes. Z. E. — A partir de 1 heure après midi, dans chaque sens, départ chaque 22 minutes 30". Le dernier départ aura lieu J. E. — De la placo du Capitole, 9 h. 30; du pont do l'ilcrs, 10 h. soir. JM. E. — De la place du Capitole. 9 h. 20; d'Aucamville, 10 heures soir. M' E'. — De la place Esquirol, 9 h. 30; do SaintAgne, 10 heures soir. T' E'. — De la place Esquirol, 9 h. 30; do Lardeime, 10 heures soir, , . - , Z. E. — Do la placo Esquirol, 9 heures; de Saint Simon, 9 h. 45 soir.

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Etude de M° DULME, docteur guéison radicale, et en dro t. avoué à Toulouse, jours, par le Vin Mil rue Clémenee-isauro, ir° 7. de PONS DES HERMISSENS. Dans toutes Pharmacies, ou directement, et pour tous renseignements : Pharmacie A. t0 A VENDRE PONS DES HERMISSENS, Colomiers, près To-ulouso (H -G°). Au tribunal civil Le jeudi 29 juin 1911, à une A VENDRE jolie petite àniesheure se, très douce, irait pour enMétairie de Castillon, située fants. Breack de campagne à â Toulouse, quartier des Miniun cheval. Ecrire V. D., « Exmes. press du Midi », Toulouse. Mise à prix . . 5.000 fr. Pour extrait : A VENDRE, pour cause de déDULME, avoué, signé. cès ,un atelier d© chaudronnerie, ferblanterie et zinguerie, bonne clientèle, situé à Lavit, iPeur les soins de la bouche A VENDRE Victoria et harnais, et des donts chef-lieu de canton, pays comen bon état. Prendre l'adresse à merçant. S'adresser à M. CAEnfants et grandes personnes 1' « Express du Midi », TouPUS, à Auvillar (T.-et-Gne). louse. doivent l'adopter

di'illart, recteur de l'Institut Catholique de Paris, J.-H. Bosny, comte d'Elbée, bâtonnier Chenu, Funck-Brentano, Ch. Le Goffio, R. ValCHEMIN DE FER D'ORLÉANS lery-Badot, Marc Sangnier, André Hallays, G. Beseiliamps, de Lanzae de -Lah.or.ic, Geoffroy La Compagnie des chemins de fer de Paris à de Gra.ndimaison, etc., etc. Toul-ouse était re- Orléans a l'honneur de porter à la connaisprésentée à ce banquet par M. Guy de Montbel sance du publie que le Gwtde Illustré de son ©t notre collaborateur Armand. Praviel. réseau pour 1911 est actuellement mis en venAu Champagne, M. G.avoty, président du te, au prix de 0 fr. 30 dans les bibliothèques conseil d'administration, a remercié aimable- de ses gares, dans ses bureaux de ville et dans ment les invités die la Bévue Hebdomadaire. ON DEMANDE, près Auch, doles principales agences de voyages de Paris. 1 fr. 25 et 2 fr. le Flacon Puis, M. Fernand Laudet s'est adressé à ses IWA fr. par mois. Travail fac. Il est également adressé franco à domicile mestique agricole sérieux, pour collaborateurs. contre l'envoi préalable de 0 fr. 50 à l'Admi- bétail et tous travaux. S'adres- E. BOURDES, chirurgien- S 3W chez soi t" l'an., assuré « L'année dernière, dit-il, M. Jules Lemaître, par contrat, s. apprentissage, Centrale, 1, place Valhubert à Pa- ser « Voix du Peuple », Auch. dentiste après nous avoir mis- dans l'intimité de Rous- nistration sur nos tricoteuses brevetées. Bureau du Trafic -Voyageurs (Publicité). seau et avant de nous faire entrer bientôt dans ris, Pharmacien, 4, rue de Metz Tiaite directement avec ses Ce Guide, de plus de 320 pages, illustré de Toulouse A CÉDER fonds de commerce, celle de Chateaubriand, nous avait peint la nombreuses gravures contient, en outre d'un clients. C'° La Prévoyante. Bufigure du sentimental apôtre dù pur amour- certain nombre de plans et de cartes, les ren- neutre, plantes, couronnes, arPrix de gros pour tous reau H, 11, Rue Lacharrière, Cette année, c'est Molière qui a" "remplacé seignements les plus utiles pour le voyageur ticles de mariée ©t l re commumédicaiments Paris. Fénelon et c'est M. Maurice Donnay qui a pris: (description des sites et des lieux d'excursion nion. Maison Grand, la plus la parole . en Touraine, en Bretagne, en Auvergne, dans ancienne de Castres. Excellen» Quelle bonne fortune. Messieurs, pour une- les Pyrénées et le Centre de la France, horai- te affaire, bonnes conditions. revue qui croit à la culture classique et qui res dés trains, principales combinaisons de S'adresser à M. Denat, à Cassur successions, tres. n'entend être moderne qu'en restant fidèle aux tarifs, etc.) Fomïée à Toulouse en 1823 nues propriétés, Humanités (longs applaudissements), quelle usufruits, titres dotaux et tou- Bureaux situés rue Saint-Jean, bonne fortune que de sertir dans son cad-neLA BONNE CHANSON A VENDRE tes garanties. Dupac, 53, rue 3 (près la place des Carmes), le beau portrait fait par Donnay de notre CHEMIN DE FER D'ORLEANS ouverts les lundi, mercredi, Toujours fidèle à son excellent programme -plus grand homme de théâtre ! Lecteurs ou au1» Auto Peugeot 6 1/2 H. P., Alsace-Lorraine, Toulouse. d'éclectisme, la revue rie Théodore, Botrel diteurs, avec quel intérêt nous avons suivi vendredi, de neuf heures du marche garantie ; 2° Un Omnivient de faire paraître un numéro particuliè- celui qui a si bien su conf ondiie la vie et l'œumatin à midi. bus à 9 places, ©n bon état ; ON LOUERAIT même à l'anBILLETS DE LIBRE CIRCULATION rement attrayant, dont voici le sommaire : vre de oon personnage, qui nous l'a montré 3° Charrette anglaise, état de née piano ; écrire A. I., « ExAu Son du Biniou, La Mère-au-Pain, Pau- grandi et meurtri par l'existence, trahi dans Pour les plages des Côtes Sud de Bretagne neuf ; 4° Un Break 4 places, press du Midi », Toulouse. v'tit Gâs ! par Théodore Botrel ; Chanson du son domestique, en butte aux calomnies de confortables, à l'intérieur riPROPRIÉTÉ à vendre, conChampagne, par Xavier Privas ; Mes Bœufs, ses adversaires, et aux « actions fâcheuses » de deaux et à l'avant une grande tenance 100 hect,, entre Fanpar Yves Le Stanc ; Le Circuit de l'Ouest, ses amis, mais répondant aux attaques et aux | Pour répondre au désir des touristes qui se glace brise-vent. S'adresser au A VENDRE cuisinière pour jeoux (Aude) et Mdrepoix (Arièpar Dominique Bonnaur ; Bonjour, Suzon ! perfidies par des chefs-d'œuvre et nous lais-"' proposent, soit de faire un voyage d'excursion bureau de 1' « Express du Mi- ménage ; écrire V. D., « Ex- ge) ; chasse, pèche, élevage,-les Côtes Sud de Bretagne sans programpar Marcel Legay, Chanson de printemps, saut l'exemple d'un formidable labeur et d'un sur press du Midi », Toulouse. bonne terre, bois sur la route me arrêté d'avance, soit do s'installer sur une di », Toulouse. par Louis Tiercelin ; Berceuse, par W.-A. Mo- effort incessant, vers la vérité. » nationale. Adres. aux bureaux des plages de la côte et de rayonner de là zart ; Les Coffrets, par P. du Marehey ; ParaAprès' avoir parlé de l'Enquête sur les M-inis-, sur les autres localités de cette région si vaA LOUER, à 12 kilomètres de de 1' « Express du Midi », Toubole des blés, pat- Louis Mercier ; Les Champs, tères publiée dans la Bévue Hebdomadaire et riée et si intéressante, la Compagnie d'OrToulouse, desservie par deux louse. monologue de J. Jouy ; Les Chasses du Prési- de la série die nouvelles intitulées la Banquet- léans délivre chaque année, du jeudi oui prédent Roosevelt, monologue par René Buzelin; et ouverte par Paul Bourget, M. Laudet a cède la fête des Rameaux, au 31 octobre inclu- dre commerce, industrie, mal- gares, grande villa meublée son, propriété ou pour location avec parc ; pour renseigneGratte-Ciel, ' par X. Granier ; Dans la Vallée conclu ain si : sivement, au départ de toute gare du réseau, Imprimerie spéciale. de la Semoy, par Th. Benauld ; La Voulzie, « La. mer est immense », nous-. disait ici, il y des billets d'abonnement pour bains de mer S'adresser à la Rapide Agence, ments, s'adresser bureau de par Hégésippe Moreau ; Soir en Ardenne, a quelques années M. Hanptaux, en nous in- et excursions sur les plages Côtes Sud de Bre- 9. rue de la Poste. Toulouse l'Urbaine, 5, rue St-Panitaléon. Le gérant : Amédée BESS08par André Fage ; Aimez votre Prochain, co- diquant l'étendu© possible de nos navigations:) tagne, dont les prix sont fixés ainsi qu'il suit : médie en un acte, pour jeunes filles, par An- Combien il avait raison de stimuler ainsi nos 1° Au départ de Paris et da toute gare du dré Chenal ; La Chanson en Champagne, efforts!, -car ce m'est certes pas pour l'homme: réseau située à 500 kilomètres au plus de Saétude par G.uillot de Saix. •un© tristesse-, mais une consolation de sentir venay : 1" classe, 100 fr.; 29 classe, 75 fr. Prix du numéro : 1 franc. En vente par- sa vie plus courte: que sa tâche, et d'être assuré-., 2° Au départ de toute gare du réseau située d'avoir toujours un élément à son activité- ! tout. à plus de 5C0 kilomètres de Savenay, les prix Rappelons que la collection complète de La » C'est sur cette pensée encourageante que ci-dessus augmentés, par chaque kilomètre de Bonne Chanson, formant trois gros volumes j'aime à finir, Messieurs et chera Collabora-- distance en plus do 500 kilomètres, de : l ra illustrés, est en souscription avec l'abonne- leurs, en lavant mon verre en l'honneur des classe, 0 fr. 1344 ; 2 S classe. 0 fr. 09073. Validité :: 33 jours avec faculté de prolongament en, cours, au prix de 55 francs, payables nobles ouvriers de lettres qui ont- bâti la Revue • 5 francs par mois, ou 48 francs au comptant. Hebdomadaire. » tion. Cette magnifique collection ne comporte pas Réduction pour les familles variant de 10 à M. Maurice Donnay va répondre à M. 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Départements, un an, 56 fr.; six ., , -, , -„:-:-, mois, 29 fr.; trois. mois, 15 fr. Etranger, un loge de la brièveté, imposée paaMè format de la: ..•.:•..•'..'••...' an, 62 fr.; six mois, 32 fr.; trois mois, 17 fr, revue, et s'être spirituellemcnf uioqué de la — Les abonnieineints partent du 1 er et du "15 prolixité. M. Paul Doumer a terminé la série .des de chaque mois. toasts, au nom des personnalités qui ont pris Livraison du Sommaire du 1 er Juin 1911 Employez le FORMOSOL de part à l'Enquête sur les Ministères,. Et la soiI. Ma Figure, 2° partie, par Claude Fetrvai. Pharmacien de 1" c/asse, Lauréat de /a Faculté de Médecine IL La Genèse du Génie du, Christianisme. — rée s'est prolongée encore assez ion«tesnaps;: préférence à la VRAIE NICOet de Pharmacie de Toulouse, SUCCESSEURS. au son de la musique, autour des tables de I. Les Origines et la Jeunesse de ChâteauTINE TITRÉE : c'est un insecDépôt pour le GERS : Pharmacie Nougarède-Seissan, AUCH café, mêlant, comme dans les pages de la brianid, par M. Victor Giraud. ticide plus puissant et bien III. L'Enfant, par M. Henry Joly, de l'Aca- Revue, les personnalités les plus diverses, moins cher. Ajouter 500 gramréunies par le culte des lettres. démie des Sciences morales. mes de FORMOSOL par hectol. IV. La Légende de Zoroastre, par M.Edouard Schuiré. d© bouillie bordelaise ou bourV. Méniélik, par M. Robert de Caix. CHEMIN DE FER D'ORLEANS guignonne, ainsi qu'aux bouilVI. Craintes et Espérances pour l'Art aux 1 lies au verdet. A. SAVÉS, Salons de 1911, par M. Robert de la Sizeranne. TOULOUSE, seul conoes" pour VII. Un Salon allemand au temps du Ro- Abonnements individuels et de famille pour mantisme, par M. A. Bossert. la France et l'Algérie. En venles côtes Nord et Sud de Bretagne Pour faciliter les souscriptions aux abonnements an journal dans les localités VIII. Poésies, par Mme la baronne Antoine te chez tous les dépositaires de où Lions n'avons pas de vendeur, nous établissons ce bulletin, qu'il suffira de détade Bïimont. la BOUILLIE G. MARQUÉS. cher — après l'avoir complété et signé —- et d'envoyer a, l'administration du jour« IX. Revue Musicale : Lo Voile du Bonheur, Afin de permettre aux touristes ainsi qu'aux Gwendoline, à l'Opéra, par M. Camille Bellai- familles de s'installer sur une des plages nal, sous enveloppe affranchie. gue. de Bretagne et de rayonner de là sur les auX. Cbroml—>e de la Quinzaine, Histoire Poli- tres localités de cette région si variée et si M tique, par M. Francis Charmes, de l'Académie intéressante, la Compagnie d'Orléans, d'acfrançaise. cord avec les chemins de 1er de l'Etat (ancienXL Bulletin Bibliographique. réseau de l'Ouest), délivre du jeudi oui prédemeurant à..... •••> cède la fête des Rameaux au 31 octobre indéclare souscrire un abonnement de - â dater du clus au départ de toute gare .station ou halteOmnibus-Tramways de Toulouse Le soussigné s'engage à payer la somme de contre un mandat, qui « LA REVUE FRANÇAISE », politique et litté- des deux réseaux (lignes de banlieue du ré-: Service d'été à partir du lundi 3 avril 1911 : raire hebdomadaire illustrée. — Paris, 17, seau de l'Etat, anciennes lignes de banlieue de la Compagne de l'Ouest exceptées), des sera recouvré par les soins de l'administration des Postes, quelques jours après la LIGNES DESSERVIÊS PAR OMNIBUS A CHEVAUX rue Cassette. abonnements individuels et de famille de lre Blagniac (par le Polygone). — Aller : matin, 11 h.; « La Question Marocaine », qui est plus que et 2' classe pour les côtes Sud et Nord de : souscription. (Sianàture de l'abonné.l 7 h. — Retour : matin. Midi; soir, $ h. jamais à l'ordre du jour, est admirablement Bretagne (Gares des lignes du Ci'oisic et de soir, Blagnac ' (par l'Em-bouchu-re). — 'Aller : matin, exposée, dans la « Revue française » du 4 juin, Guérande à Brest et de Brest à C-ranville par 6 h.; soir, 2 h. — Retour : matin, 7 h.; soir, 3 h. par M. le lieutenant-colonel Ro-usset, ancien Lamballe, Dol et Folligny et des lignes d'emLafouvguette. — Aller : matin G h. ; lo h. ; soir, député. 7 h. — Retour : matin, 7 h.; 11 h. ; soir, s h. Imprimerie spéciale branchevent vers la mer. Le gérant : Amédée BESSON

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Feuilleton du 6 juin 1911

PAR

William Wallacc Cooî* Adaptation de E. Pierre Luguct CHAPITRE PREMIER

.. X L'INTRIGUE SE NOUE

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yus u-o tner espoir, rc que Miss >q-ut exclusiivG-

travaux du lataratoiro ; quand ous commencer ? . de suite. bien. Je pense que vous troulement à vous loger ; pour lo Mif s Travis vous mettra au coin an), niu iix que moi. VV11111. 1 «Lo so le va et se di-ri gea vers la i" > te. Au moment, do sortir, il se retourna., et s adrcssiiiait à Amy : - Je vais, ailler chez M iguel pour réparer une sottise que jo fis hier, Miss Travis : figurez-vous que j'ai dominé le si-ngo grimpeur au petit aveugle, et le lapin qui prie au sourd -muet ! Il se- mit à rire et dit en sortant : Cela arrive parfois ; nos faveurs •0 v' appréciées beaucoup moins qu elles i,-

devraient, à cause des bévues qu* • i mettons an les. accordant 1

Lorsqu'il eut passé le seuil, Amy s'élança, et Je suivit des yeux un bon- moment. — Il est étrange, soeur, dit Tom Travis, mail bon garçon ; pourquoi aie me félicites-tu pas ? La jeune fille vint à lui, s'appuya au dossier de sa chaise, et lui passa les bras autour du cou. — Pourquoi as-tu fait, cela, Tom ? Pourquoi ? Et le mécontentement perçait dams sa voix. — Quoi, petite- -fille, d'avoir obtenu une place i ci ? — Oui, et donné uni faux nom ? — Il est inutile de me 1 bombarder de tes pourquoi, -répondit-il avec bonne bu•mour„ je n'ai pas l'habitude d'avoir de secrets ponnr toi, Amy, jenecomimeincerai pas aujourd'hui. — Si notre mère était ici, Tom, pourrais-tu la regarder sans rougir ? A ces mots, le jeune homme montra quelques signes d'impatience. — Quelle femme tu es pour voir tout de suite les choses en noir 1 J'ai été très léger, je l'admets, mais je n'ai rien fait qui justifie ce visage ehagrin, cet air désolé ! Voyons, sœur, regarde -moi avec gaieté, ou je regretterai d'être venu 1 Elle- vint, se placer en face de lui, mais garda son air sévère. — Il f aut m'expliquer co que tu te proproses, Tom, en me niellant- dans celte fausse, position. Elle se, contenait, mais sa voix était terme et deoidé>e. — Bien, je serai...

plus causer de peine à personne, surtout à toi ; et si j'ai donné un, faux nom, c'est que je ne veux devoir ma position • qu'à j mon seul mérite ; c'est tout, sur ma pa-, i rôle ! Phfut ! tu fais une mon tagne d'une taupinière ! — N'est-ce pas plutôt parce que tu étais; honteux ou que tu craignais de révéler ton véritable nonn ? demanda-t-elle d'une voix pénétrante. — Qu'est-ce que tu vas penser ? dit-il durement ; qui peut te faire supposer une pareille chose ? — Ceci ! Amy tira de sa; poitrine le médaillon qu'elle y tenait caché. —• Où as-tu trot vé cela ? s'éeria-t-il au comble dé l'agitât on. — Si tu étais à I hœnix, Tom., tu as certainement entendu parler du vol qui a été commis ici ? — Certainement ! Mais quel rapport ce médaillon' peut-il avoir avec le vol ? Amy lui dit, dans quelles circonstances le -médaillon avait été trouvé par eHe. -<\ Pendant ce temps, Tom s'était un peu ressaisi . — Par Jupiter ! frappant son genou de son, poing formé, c'est surprenan t comuie les choses arrivent quelquefois ! -J'ai perdu co médaillon à Phœnix, il y a un mois, j'en étais navré ot j'ai tout, fait pour le retrouver. Et tu l'as découvert ici, dans ce bureau, le lendemain du vol ? — Que pouvais-je penser, Tom ? — Tu aurais pu me faire bénéficier d'un doute. — L'homme qui a trouvé le médaillon, ïuand tu l'as égaré, doit être un des voEt s'interrompant bi'usqueniiotnt t u-ne coïncidence étrange il lo — Eco-ute-moi, Sonia-, je suis venu ici leurs ; lar ou io fus heinreuisemen t la seule pour cotnimencer une nouvelto vie : je re- ù.perdit le VOIT. jette le passé loin de rmai, je. veux devenir vivement ot maieha de tout autre : j'ai pnis la résolution de ne ic»n,glarge.

Une telle coïncidence paraît trop tude et, par un effort énergique, il se resétrange pour être possible ; je croirais saisit ; ses traits se détendirent et s'éclaiplutôt qu'un des bandits, celui qui avait rèrent. Il prit la main de sa sœur. trouvé le 'médaillon, l'a laissé ici dans — Pardonnerinoi, dit-il, mais sais-tu l'intention. bien arrêtée de, faire porter les pourquoi Whipple ne voulait pas me laissoupecins sur moi. ser venir ici ? —: Oh ! Toim ! murmura la jeune fille — Je ne peux le comprendre et j'en qui voyait potur la première fois l'événe- éprouve une grande amertume. ment sous un nouveau jour, si tu savais —: C'est pour cela que tu tenais ;t ce •combien la découverte de ce médaillon que nous quittions la Golden Eagle ? ni' a coûté de nuits blanches !. — Oui. —• Je m'imagine combien tu as dû te — Bien, ce point éolairoi, je pense, torturai" avec cela ! moi, qu'il vaut mieux rester, dit Tom S'arrêtant devant elle, il la regarda délibérément. avec pitié et posa une main sur son — Mais songe dans quelle position je épaule. —- Pauvre petite fille, je te plains d'a- vais me trouver ! Je saurai toujours que voir un frère dont le passé autorise une tu n'es pas celui que tu parais être ; et sois sûr que M. Whipple le déeeuvrira pareille supposition 1 A ces mots, les lanmes con> i mon- avant qu'il soit lciingtemps. — Laiisse-mio'i faire : Whipple, s'il est tèrent aux yeux d'Amy. — As-tu parlé à quelqu'un d ta trou- l'homme que je crois, me jugera sur ce que je ferai, et non sur mon passé. Un vaille ? faux nom, me facilite l'entrée- dams la car— A personne, sauf à M. Whipple. — Pourquoi le lui as-tu dit La voix rière : orois-moi, cela vaut mieux ainsi I de Tom tremblait visiblement. La nature droite et loyale d'Amy ré— Je ne sais pas moi-même pourquoi prouvait tout co qui ressemblait ù de la je le fis : j 'avais gardé ce secret trop long, duplicité ; mais elle •craignait, en oppotemips, je ne pouvais plus le supporter, sant une trop longue' résistance aux voet puis j'avais besoin d'un conseil. lontés de son frère, d'aggraver cncoire la -— Et c'est Whipple que tu as choisi situation, et dût-ctle en souffrir, elle ferpour cela ? merait les yeux sur cette petite superL'anxiété était écrite sur le visage du cherie qui permettait à Tom de se réhajeune homme ,et c'est d'une voix hale- biliter et facilitait leur réunion . tante qu'il ajouta, : Elle garda sur elle le médaillon, crai— Que t'a-t-il conseillé ? gnant, que Whipple ne découvrît lu frau— Il m'a conseillé de ne pas te faire de, s'il le voyait en la possession de Tom. venir h la mine. De môme, elle ne parlerait pas à son — H a fait cela ? s'écria Tom, et l'ex- frère de la découverte concernant Jefpression avec laquelle ces mots furent fries; ce sentiment de réserve instinctif prononcés était aussi brutale que le re- était-il dicté par la crainte d 'exciter engard qui les accompagnait. Pendant un OCHIM, le jeune homme, ou par le désir d'en mnHit-enit , Les sentiments viol, nta qui agisavoir davantage avant de dévoiler ce taUsnt son Snam se neflétèrei * SOS) OÀ/tÀriooret ? Amy ne le savait pas elle-inême.

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Le vieux Gonzalès n'ayant plus de chambre libre, il fut décidé que Tomcoucheraitt dans un coin du bureau, et prenduait ses repas chez Mrs. Gambel. Amy eût préféré que son frère trouvât pension ailleurs ; mais il sut si bien persuader l'hôtesse qu'elle acquiesça d'asses bonne grâce à sa demande. Des que ces détails eurent été réglés, 1 instruction du jeune homme commença par le travail routinier de chaque jour. Amy s'aperçut alors, — Tarn ayant dû enlever ses gants, — que sa main droite était entourée d'un bandage ; il s'était déchiré la main quelques jours avant, expliqua-t-il, mais cela, n'était rien et ne l'empêcherait nullement de travailler. Alors commença pour la, jeune lill0 un apprentissage pénible : iiatler h s#» frère comme à un étranger, éviter tout co qui pouvait trahir cette situation i tionuelle, était très difficile, e* *o PlaJ. !, de l'avoir près d'elle compensait à peine la crainte de se trahir. Elle pensait à tout cela la, nuit suivante, alors que le sommeil la fuyait obstinement, à cela, et à d'autres choses. WmP" pie avait-il donné un double sens aux paroles prononcées par lui en quittant ï| bureau ? Peut-être la comédie jouée par soin frère et par elle-même n'abusa i-l -i m pas le directeur ? Peut-être avait-il deviné que Tom était son frère ?•• Peutêtre, aussi bien qu'eux, jouait-il un rôle? Ces pensées lui étaient intolérable-, g bien qu'elle ne pût se convaincre do la clairvoyance do Whi|»>i t ., le soupçon restait en elle, tenace, inquiétant. (A suivre.l

PARFUMERIE FI0RAIE :

rno rte Metz. TOULOUSJi


Organe quotidien de DéSeuse Sociale et Religieuse

LE NUMERO 5 CENTIMES

RÉDACTION ET ADMINISTRATION : Toulouse, Rue Roquelaine, ÉDITIONS Trois mois

JlOTE-GAHOMNK ET DÉPARTEMENTS LIMITROPHES DEPARTEMENTS NON UMll'llOl'IlKS . . . . ÉTRANOEn lUnion postale)

6''7 -IO -

Six mois

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Tarn-et-Garonne, Lot-et-Garonne

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R Paris, la c 'ève des taxi-autos et des tramways ciu Nord a pris fin.

Le lieutenant aviateur Bague est parti «te Nice peur effectuer le raid Nice-Corse.

On a découvert sur le parcours que doit suivre le sultan, se rendant à Salonique, quarante-deux kilogrammes de dynamite.

Ariège

Edition du matin spéciale a Toulouse

DOS

Attention à ))

Le Lieutenant Ménard espère arriver mardi matin à Toulouse

lire la dernière heure à la 3« page.

Videurs ¥o!és La commission sénatoriale chargé© de tout -prix, 153 25, 30 oongréganistes engafaire une enquête sur la liquidation des gent 15, 25, 30 revendications ; t» precongrégations a, comme no«us l'avons dit, mièr© instance, en appel, en cassation, 3© adopté le rapport de M. Régismanset sur liquidateur a gain de cause, mvs, les les opérations effectuées jusqu'à la fin plaideurs congréganistes ont disparu ou sont insolvables. Les fras cU ces innomde 1908. Ce rapport nous révèle la f aillite d'une brables procès restent à ia charge de. la liquidation, dont M. Waldeck-Rousseau liquidation dont l'actif fond et se réduit avait fait luire les résultats aux yeux d© à rien. la majorité pour obtenir d'elle la chasse « Dans cette lutte sourde- ajoute-t-il, aiux congrégations. les congrégations ont été admirablement Un milliard 1 servies par un comité de jurisconsultes C'est, avec ce chiffre fantastique qu'on dévoués et désintéressés ». Le mot fait s'est rué sur les biens des religieux, qu'on image, rapproché des qualificatifs que le a dépouillé des milliers d'hommes et de rapporteur accole: à ceux qui, chargés d© femmes, qu'on s'est emparé de leurs res- défendre l'Etat spoliateur, se sont mis eusources après les avoir jetés dans la rue mêrrves à gruger cet Etat et àVenrichir à condamnés à l'exil et à la misère. ses.dép©ns. Un milliard à voler et à se partager, Malgré cela, si le vol n'a pas produit quelle aubaine ! Ce fut un hallali géné- tout ce qu'on en attendait, c'est parce que ral : liquidateurs, hommes d'affaires, les congrégations ont eu le mauvais goût avocats politiciens, dont plusieurs minis- de ne pas mettre assez de complaisance tres qui avaient voté la loi de spoliation, à se laisser dépouiller. La victime attas© précipitèrent vers le pillage. Et ce fut quée au coin du bois ne donne; pas aux un beau pillage, au dire: du rapporteur apaches le gain qu'ils avaient prévu, Du milliard il ne reste plus que 37 mil- donc, c'est la victime: qui est coupable. lions. Pour un peu, c'est elle qui serait taxée L'aveu en est fait officiellement cette de. vol. ._ "fois par çeux-mèmes qui avaient conLa plaisanterie est tout de même un couru par leurs votes à cette œuvre de peu forte. confiscation. Les francs-maçons du Bloc s'imagiIls reeoTinaissent dans un document naient-ils vraiment que les religieux dépublic que le naufrage, de leurs convoi- pouillés des biens qui leur appartenaient tises est absolu. légitimement n'auraient tenté aucun efLes dépouilles ont à peu près disparu; fort pour se défendre contre; leurs spoliaelles se sont fondues et les dernières miet- teurs ? On sait que nos politiciens sectaites « grignotées par les gens de justice » res n© sont pas d'une intelligence remardonnent un-reliquat dérisoire. quable, mais on leur faisait l'honneur de « Votre commission d'enquête, écrit M. croire que leur orétinisme n'atteignait Régismanset dans son rapport, a pu voir pas un tel degré. s'évanouir et s'eff riter le milliard des co®. A moins que ce ne soit qu'une divergrégations évalué par l'enquête de 1900. sion pour tenter de masquer les gabegies S'acharmeir à recueillir les débris du nau- des liquidateurs. Mais la tentative se profrage, rogner de ci de là les frais et honotrop tard et rien ne saurait sauver raires exagères, arracher les dernières duit' lès vrais coupables. Leurs noms, d'ailmiettes grignotées par les gens de jusleurs, s'étalent tout au long dans le raptice, à cela presque se réduit le rôle d© port de la commission sénatoriale dont vos oomimissions : sauver quelques mill'existence même constitue un aveu, liers de francs quand ils voient dispapuisqu'elle n'a été créée que pour enquêraître les millions ». Et ces sommes arrater sur les dilapidations des liquidateurs. chées, après avoir été volées une preIl faudrait, pour qu'il en fût autremière fois, à la rapacité d'autres pillards serviront à peine « à fournir des pen- ment, rayer de l'histoire de cet acte de sions, secours et hospitalisations aux eon- brigandage des noms ct des incidents, g.réganistes infirmes ou âgés laissés aux tels que celui de M. Duez et de magissoins d© l'Etat par les congrégations dis- trats sur lesquels M. Combes lui-même soutes ». s'est prononcé en termes aucunement Là se bornent les doléances et les flé- équivoques. En tète de ces malfaiteurs, cette histoitrissures du rapporteur à l'égard de ceux qui ont travaillé au naufrage des espé- re placera M. Waldeck-Rousseau qui, pour allumer les convoitises, des masses rances des spoliateurs radicaux. Par contre, M. Régismanset ne déco- populaires, leur promiettait, dans son dislère pas contre « les congrégations qui, cours de Toulouse, « te partage du mildtt-ii], sont parvenues à soustraire leurs liard des congrégations ». Ce fut le siPersonnes et leurs biens aux lois votées», gnal do cette chasse aux moines et aux a«x liquidations ordonnées ». Que ne so religieuses, de ce pillage d© leurs biens sont-elles laissé faire ? On n'a jamais vu qui devaient servir de premiers fonds de vraiment des victimes opposer une telle caisse pour les retraites ouvrières. Aujourd'hui, on constate que la caisse résistance aux entreprises des voleurs ! est vide. Le rapporteur n'en revient pas • Les voleurs ont été volés, autant dire « Parfois, dit-il, la, congrégation impuissante doit subir la liquidation • u, ai s qu'ils se sent volés eux-mêmes. flamme il faut que l'actif disparaiss.e à PECH-DAVID.

chos de Martout CARTES POSTALES DU MAROC Avez-vous reçu une carte postale du Maroc ? 11 en an-ave maintenant tous les jours envoyées par nos braves soldats qui sont là-bas défendant notre drapeau. La plupart de ces cartes, nous n'avons pas besoin de le dire, ont été faites à Paris par dea industriels prévoyante. On y retrouve nos braves troupiers à toutes les étapes suivies par les corps expéditionnaires, mêlés aux in'tigenes. Quelques-unes de ces cartes, il est vrai, ont un peu vieilli, car elles furent fabriww* " 1 époque de la première expédition, mais ceux qui le* reçoivent n'y regardent pas «e «4 près:, tant ils sont heureux de recevoir «es nouvelles d'un père, d'un fils, d'un fiancé. LE PATRIOTISME CHINOIS

*«HS2 n '.C6t plus intéressant à constater que fl ! ««Tes de l'esprit militaire et patriotique T

l -n| ;oe. Il se fait une évolution lente, qui wsi mon loin, encore d'avoir transformé ' la . wime en une puissance forte ccomme Le Jupon, 11 1 ne doit )afi et ii'n r ' i ™ négligée, vea M r16conts symptômes de cet esprit honSl ',lccte des corps de volontaires orées V «i nRhat viMe ^f, i,ar 163 marchands de cette il ion date de 11)00. Deux riet M '"tT 'î^'can ts chinois, M. Yu Ya Ching k» fondèrent une Société dont le M but.-Vii™«shu, .i exorcieo,1< R(> îi développer la santé par d os 1 " Physiques. '"'.<«:• ~- -une C'était — en somme Société d* P*iï'V*« >Us «y^astique. to cai'aoière militaire de l'asso*i-ition ..• lie i accentué, et elle a pris le nom wrjs des w<* cl],, ne co vc ontairea commerçants • En nrptait encore que 50 membres.

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LES LIEUTENANTS MENARD ET DO-HUU

A.

PAU

De notre envoyé spécial :

; . Pau, 5 juin. J'ai trouvé, à mon arrivée- à Pau, la ville endormie. s ; Après les minutes émotionna.ntes de_ï varterrissage des deux officiers aviateurs, le lieutenant Ménard et son passager îè lieutenant annamite Do-Huu, du 1" étranger, la population paloise attend paisiblement lc.départ-des deux intrépides voyageurs. Le temps est beau et favorable. Si aucun changement ne se produit, l'envolée du biplan aura lieu demain mardi, dans les meilleures conditions. Le biplan du lieutenant Ménard est un Farman; sans stabilisateur avant et gouvernail de profondeur et de direction à i'arxierë. 11 a 11 mètres d'envergure et 7 mètres de longueur ; il présente une surface de '24 mètres carrés. Il est muni d'un, moteur Gnome 50 HP. Son poids transport able est de 370 kilos. L'appareil occupe à l'aérodrome de, Pau, le hangar n° 1. J'ai pu m'entretenir tout à l'heure avec le lieutenant Ménard. • C'est un homme vigoureux, au regard énergique, son entrain est merveilleux. -11 passe pour un de nos aviateurs militaires les mieux entraînés. - • Le lieutenant Ménard et son passager et camarade le lieutenant Do-Huu sont pleins de confiance sur l'issue du magnifique raid qu'ils sont en train d'accomplir. « Si le mnps le permet, me disent-ils, nous quitterons ' Pau demain mardi -'«rn point du jour. "Nous sommes très heureux île visiter Toulouse, où nous savons qu'on s'intéresse vivement aux progrès de l'aviation. No'tnO appareil fonctionne à merveille ot nous avons pleine confiance dans la suite de notre raid .. En attendant l'heure émouvante du départ de Paii pour Toulouse, le lieutenant MVn.u <l est allé se promener en automobile dans les environs de la ville. ll.faut ajouter que les bruits les plus contradictoires et les plus divertissants ont couru tout aujourd'hui à travers la région, au StJlét du départ du lieutenant Ménarâ et de so'n' passager pour Toulouse. Des dépêches arrivant d'un peu partout ont signalé le passage du biiplan des deux officiers à Lourde» et à Tarbes ! On voit quo rien de tout cela n'était exact, puisque le grand oiseau repose encore, à l'heure actuelle, sous son hangar de l'aérodrome de Pau. Et ce n'est que demain, comme nous l'avons dit, qu'il prendra son vol vers Toulouse,, qui réserve aux courageux officiers, qui lo montent l'accueil le plus chaud et le plus enthousiaste. G. G.

A. TOULOUSE

L'annonce de l'arrivée du premier aviateur militaire a produit à Toulouse l'iittprieS?AOn qu'on était en droit d'attendre. elle de 1.000 aujourd'hui et on Le publie, dont l'attention a été un moment w en a près hi emôt 0110 distraite par «iee gigantesques éprouves inter»« ' « «'Mate" fo m r ™! ^ all *s,reçoivent leur uniforme : ils nationales Paris-Madrid, Paris-nome, n'en suit m - VP CI ru: lsG 11 la J.apowaiee et sont instruits pas moins avec intérêt cette rniulonnée silencieuse, .modeste et régulière, que M. le lieutemfi ».??oc ""°t ,ont L"u:> da "« des écoles nant Ménard a entreprise en faisant le Tour est a peu près complète en six mois do Fr arjce. 1 C01'P S analogues dans la , iSrtiiiî ?^ "** >] et v ™™I^IJ f* commerçantes Cntootee»

S1 amto Mvue de tous î^S ^TiS&fiSS ' 1 lu

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u'iïi .rrV'" -' es Wioux et des Le titre de la pièce jouée est des Plus significatifs Comment un patriote d

UN VETERAN La yiWe d'Eichstccft, en. Bavière, vient d'inauS^ m mommient à ses morts de la guerre. 8 • . U ; H "'"".l"»"s juMi .w aux llavarois ; les n, il '„'" U a«*"»t-a1 «U on corps à relie v'.roëa s mort ^ nt so !'v>''ins dû seul soldat franV IrVin, i ™ 1871, et ils sont a i ,s sut la tombe, au cimetière, pour v déno-

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)ÏOP0 av 1,lfi«r.iptio.n suivante : a ' ^0 l'frani:ais vâdMmtt f ™ - les vétérans ,

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non" non, nin plue^n'^i^^'J-" no. l oublie pas ! f**™*' La France L 'ESPRIT DU JOUR „,7Z Y°- m °onnaisse7. la nouvelle : On va faire une lo,i contre kes mystifleatews

COn U e ks !i a^evfgmem i ' ' 'i'"dateurs des

s Fait à Paris, le 2 juin 1311. » Ed. SlRVEN, Président de VAéro-Club des Pyrénées, J On lo voit, l'exploit de M. le lienitéjVant Mon^jrd, venànt de Pau a Toulouae par la voie «les aire.- n'a rien perdu do ton attra it, même aprêB le,s wensationnelles tu'rivées do Morin et de Védriiies. . ... : N'oubl ions pas, du.reste, que M. le lieutenant Mviuu'd conduit un biplan Farman, et qu'il a k son bord un passager, M. le lieutenant annamite Do -Huu. de 'la légion étrangère Ce ee.ra.la. première fois qu'un biplan, volera MÉra Toulouse, à travers la région du Sud. Ovi-esit,, et l'appareil de M. le lieutenant Ménard sera le preni.ier aéroplane portant deux voyageurs qui vienne atterrir dans notre ville. Hier, dès la première heure, nous nous sommes transportés au Polygone d'artillerie qui. en attendant 'la création d'un aérodrome à Tou tou-se, est l'endroit affecté aux atterrissages et aux envolées des aviateurs. C'est là, en effet, dans ce vaste champ, que le vaillant officier nous arrivera du Sud ouest et viendra se poser, avec la rapidité d'un oiseau, vision, courte et fugitive mais «tout l'impression demeure inoubliable pour tous oeu-x qui ont vu. en de pareilles circonstwœa, 1 oiseau .mécanique d'abord point noir à l'horuon, puis gigantesque ra.pace au vol lourd, en enfin fabuleuse machine fumante et bourdonnante se posant sur le sol avec une Mjgeretê d'insecte. . Vainement hier, avec quelques curieux nous avons attendu cette vision dans le Poly gène défciert où, il. y a quelques moi» à. peine, L ; roui Liaient ct vibraient les foules1 au spoc tsfcilo des hommes oiseaux. Le temps était ailendide. un léger vent d'autan secouait à piine la cime des arbres, mais le nid est reeté vkle. L oiseau n'est pas vomi. Noire rédacteur on chef recevait en effet dans L après-midi, oc lélégranimc de M. le lieu-

Ménard

Pau, r, juin, compte repartir »

Ainsi donc c'est aujourd'hui mardi, aux pre aiiè-res heures du jour, que l'tottiéplde O-fftçler aviateur s'envolera, de !'aerod,r <Mii«- fain -eus ,1e Piau pour gagner la vallée de la Garonne et cuti i > Toulouse, point terminus do l'étape. pomme c'est la coutume des aviateurs, M. le lieutenant. -Menant partira aux premières lieures du joui', c'est-à-dire entre 4 et 5 heures du matin ; c'est le moment le plus propice au \ul, l'atmosphère étant relativement calme a» lever du soleil.. Le vaillant officier pont donc arriver au l'otvr.one, entre 0 et 7 lieures du malin. C'est la. \f minimum de temps prévu, en tenant .compte des meilleures conditions atmoi-i|.ihériques. Mais, en tout cas, à moins de panne on d'areidetit, M. le lieutenant Méiiar-l arrivera a Toulouse dans la. matinée L'Express sera heureux do lui remettre la Coupe qu'il a créée pour le pivi,i,,, T a ' millilitre atterrissant dans noir,- ville tt Population toulousaine saura acciai r comme " lértto M l,o lieutenant. Menard e 's

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Aussi commençait-on hier a se .pi'euouuner

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m Parapluies

Si jamais' vous allez à Chicago, je vous conseille, mes bons amis, de {aire attention à vos parapluies. Car il y a là-las un Jttfle de paix particulièrement indulgent pour les filous qui ont la spécialité de [aire les riflards. ' , , „ Ce magistral gui, de l'autre cote de l eau, joue les Magnaud. vient de nous administrer la preuve que dans la Libre Amérique comme chez nous, la claudicante Themts s amuse parfois aux dépens des pauvres bourgeois. En deux mots, voici l'hisioire. Un citoyen de Chicago, désireux de ne pas se mouiller un vilain jour de pîutç, avait arboré un superbe pépin. L'excellent homme, pas défiant pour deux sous na nullement tenu compte du conseil donne dans toutes les langues par la sagesse des nations. Reware of pipockets ! Son parapluie a tenté la coupable con oitise d'un de ces pickpockets qui lui non plus ne voulait pas se mouiller. Un, deux, trois, le parapluie, disparait. — Ait voleur / On arrête la victime du larcin. L'affaire est instruite. Les débats ont lieu devant le tribunal de Harrisson-Sirect. Le vol est avoué. Le juge rend son jugement, et, stupéfaction, il absout le volé dans le plus magnaudesque des jugements. Savourez moi ce considérant : » Un homme a une sorte de droit à voler un parapluie quand il ne peut le payer et qu'il pleut ; mais qu'il n'y revie.ine pas. » Chez nous, Prud'homme avait dit : « La propriété, c'est le vol. » Le mot a fait son petit tour du monde. Les nouvelles couches judiciaires de l'Amérique ne sont pas en peine pour en faire la plus rigoureuse ap plication. Pour elles, rien n'est sacré pour un voleur, pas même le parapluie. Le para pluie appartient à l'escouade sociale ct tout le monde a le droit de le chiper au voisin. Décidément les idées de mon vieil ami Jau rès font des progrès. Aujourd'hui on nous prend le parapluie, et la justice estime que c'est très bien. Demain on nous volera nos habits et notre chemise, et nous n'aurons pas le droit de protester quand le filou nous dira : « J'ai une sorte de droit à prendre à autrui tout ce que je désire et que je ne peux pas payer, n M. le juge l'a dit. Diable ! diable ! Ce nou vel axiome de droit me rend rêveur. Il est vrai que je ne suis qu'un affreux bour geois. — Louis.

louse.

MlîNAM).

aimer son pm/s.

fe.^ii'M.^

tenant à l'armée française qui touchera TouRWtei en y venant .par la voie des airs, tenait à être le premier à saluer à son arrivée M. le lieutenant Ménard. . x Voici, du reste, le règlement de la Coupe de l E.rpress, tel qu'il a été arrêté par l'Aéro-Club des Pyrénées et homologué par l'Aéro-Club de Fronces j «L Le journal i'E .rpre .ss du Midi met à la disposition de l'Aéro-Club des. Pyrénées une Conpe d 'une valeur de cinq cents francs pour être attribuée au premier officier pilote -aviateur qui, parti d'un, point situé à plus de 100 kilomètres de Vootroi de Toulouse, viendra atterrir. àu-Polygone. . » H. Ce trajet de plus- de 100 kilomètres devra être effectué sans escale.' i III. L'arrivée sera constatée par. les commissaires de l'Aéro-Club des Pyrénées nommés pur la Commission- d'aviation - de 'l'Aéro-Club do France. «•IV.-Gette Coupe sera courue aous les Tèglements.de l'Aéro-Club des Pyrénées et <Je la F. À. L • ; * »y. Les nfftciei» qui désireront courir cette QMjpe seront. tenus de prévenir le Comité de rdljpêç.tion de l'Aéro-Club «KM Pyrénées trois jours avant de tenter l'épreuve. » VI. Ils devront en' outre télégraphier au Pins tard six heures avant leur départ en indiquant l'heure probable de leur arrivée à Tou-

•> Arrivé hier soir Pau mardi malin pour Toulouse.

Pièces d10 'mL,^™^ .^

du .patnoitonie clii'noi*

' L'E.rpress, qni a offert une Coupe d'une va

bSuv de 500 francs au premier aviateur appar

tenant

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Les Annonces et Réclames sont reçues dans Bureaux, rue Koquelaino, 25, à Toulouse, et chez tous nos Corrospoudirtii3«

SIMPLES NOTES

de l'« Ezpress

On affirme que le chef de cabinet du ministre de la guerre serait le général Delétoile, commandant la 83° brigade d'infanterie à Tours.

1» ligne -

BUREAUX A PUIS: 26.

L'AVIATION MILITAIRE A TOULOUSE

Le comité de la grève internationale maritime a commencé à Londres une conférence de trois jours pour examiner la question.

Védrines a remis son départ peur Rome à demain. D'autre pari, Vidart, parti d'Ortobello, a atterri à Rome.

Haute-Garonne

ANNONCES {*• pajl») , RÉCLAMES — RÉCLAMES (3« page) . LOCALES

Mardi é Juin I9U. - 2l a Année - N° 6,762,

L TÉLÉGRAPHIQUE SPÉCIAL Les

Tarn, Aude, Hérault, Pyrénées-Orientales

Gers, H tcs -Pyrénéos, Basses-Pyrénées, Landes

Los Abonnements partent dos 1" et 16 de chaque mois ot sont payables d'Avance 'Toute UemMUe de changement d'adresse Uoil être accompagnée de 50 centl.-ies.

iEreEn.TT.orjs

RÉGIONALES

Lof, Aveyron, Corrèzc, Cantal

LE NUMÉRO DCENTIKM

25

CHOSES

RUE

FEYDEM

donne, pour ses étrennes, un pos^o rît' trésorier-payeur général dans l'Oise, c'est-à dire, 33,483 francs de rente, auquel on .•- ;>iuî.» lo titre d'administrateur du Crédit Foncier, soit 20,000 francs par an. Lo fils de ce filleul était chef de cal>inet # tlo M. 1 rouillut . il attend son bénéfice. M. Dupré. Jules, qui n'a jamais, lu' non plus, appartenu à l'administrât,'- m, est. nommé, en 1900, percepteur à N'eiully : il touche- de ce fait. 21,264 francs par an. Ses titres ? M. Dupré est le premi-ir mari de ht première femme do M. Caillatix. t'.-ur (Ctenir sa bienveillante neutral ié, après le -li vorce, ne fallait-il pas le désintéresser dans une largo et convenable mesure .' Joost Van Voltenhoven est né à Rotterdam, Hollande. Il avait, par conséquent ct de naissance, le goût d'un fromage ; on lo nommo secrétaire général des colonies, ce. qui lui vaut une petite prébende de 18 ,(.u0 francs par an. Emile Merwart, né ù Lemborg. Autriche, étant né hors de France, a parlé ia vo.ation des voyages au long cours ; rien de plus facile, il est protégé par M. Mélinc et on le fait aussitôt gouverneur de la Guyane, aux appointements de 20,000 francs p-Tr an. Les parents de Jean-Ednie-Ferna:id Gautret se désespéraient! A trente ans. il n'avait pu encore passer son baccalauréat. Qu'allait-on faire d'un pareil can;ro ? Les colonies excellent à préparer les fruits secs : gouverneur de la Guadeloupe JeanEdme-Fernand a vécu sans fatigue avec ies vingt mille francs que lui allouait la République. Mais lisez vous-même la liste que nous reproduisons. Tout commentaire en affaiblirait l'éloquence. Il faut parcourir ces colonnes pour se rendre compte le ce que représente, en 1911, la République française. Baudelaire en eut la vision aiguë lorsque, prophète comme tous les poètes, il écrivit ces vers, un peu naturalistes, mais combien précis :

VUES

Les Embusqués

Les motitflies ko-ur-ttomiaieiit sur ce ventre putride D'où rortaieait des Hoirs baUHlons De larves qui coudaient comme un épais li-piide De long de cea vivants basions.

Oui, évidemment, sur tout corps en décomposition il y a des asticots qui le rongent. Nous n'attendrons pas longtemps la vision des ossements blanchis. GUY DE CASSAGNAC. c

par Fi! Spécial

ÉPÊCHES Les Retraites Ouvrières

Aux gens qui, taquinés par la chaleur d'orage, se sentent envahis par un désir de campagne, nous signalons avec empressement celle, très réjouissante et très pittoresque, entreprise par Gustave Téry, dans l'Œuvre, contre le favoritisme dans l'administration. Souvent, les lutteurs isolés, francs-tireurs de l'opposition, comme, Téry et nous, tous ceux qu'aucune coterie n'a réussi à embrigader, sont traités d'énergumènes par:e qu'ils font du bruit, individuellement au lieu d'opérer collectivement. On met en doute sinon leur sincéri'é, du moins l'exactitude de leurs affirmations, comme s'il fallait n'avoir point do passion? pour être véridique. Mais, cette fois, aucune discussion n'est permise, aucune contestation n'est possible. De même qu'à l'époque des fiches?, Guy .»!, de Villeneuve accabla ceux qui niaient l'avancement par les voies maçonniques dans l'armée, de même, les optimistes qui croient en la pureté des mœurs administratives seront obligés de s'incliner devant les documents ci- contre. Malheureusement, chez nous, lorsque les gens s'inclinent devant, tes révélations faites par l'opposition, ils n'offrent, qu'une cible plus commode aux coups de pied de nos maîtres. Aucune révolte ne les anime, aucune indignation ne' les saisit ; on fait : « Ah ! » puis, on dépose son journal, on sourit béa itement et on se rendort. Personne ne se fait le raisonnement que voici : les charges dans l'Etat, sont le prix des services rendus non pas à une faction provisoirement au pouvoir, mais à la Nation entière. Ces charges constituent une hiérarchie dont le parcours est soumis à dos règlements définis qui ne relèvent, point du caprice personnel, mais sont, l'honnête expression d'une juste garantie. Donc, lorsque- dés politiciens profitent de leur passage aux affaires pour nantir leurs amis et leurs parents de fonctions, d'emplois administratifs, ils commettent un vol plus scandaleux que celui du pickpocket qui prend la montre d'un passant pour l'offrir a, sa femme. Cependant, nulle- loi n'interdit ce trafi nulle protestation ne vient entraver l'cxer cico de celui-ci : bien mieux, il est entré si avant dans les mœurs que nul ne songe désormais à s'en étonner. On trouve absolument naturel que lés, députés blackboulés, que les filleuls, les ne veux, les cousins ou les fils de parlementaires soient, .pourvus de grasses sinécures aux dépens du. peuple français. M. Fallières veut mo-rier sa. fille ? Il signe un décret nommant son f utur gendre tTMO rier-payeur général a, Versailles, aux appointements de 49,255 francs... Ses titres ? A été secrétaire particulier do différents ministres, puis du 'président de la République, c'est-à-dire a été nommé d'emblée dans l'administration fiscale et se voit octroyer cinquante mille francs de rente, du jour au lendemain, -passant par dessus tous les pauvres bougres qui, députa vingt ans, peinent, suent, gravissent pén btement les échelons do la hiérarchie et s'usent lo derrière sur les ronds de cuir des ministères. Nelson I.ancs, frère du gendre n'éta't avaul l'hminmx niaiiaV de Jean JoM 'phEdmonil. que, lilateur dans le ! >,' e! Garoiine. Comme petit souvenir des no^o- il reçoit le titre d 'administrateur de '-.i Hanqim Oltomnim, nu traitement de Iront' mil'fraiios par an. Mais M. Fallières n'a pas quo rto* r- " dres, il a un fllloul. M. CM*»""'" °" LUL

Paris, 5 juin. Dans une lettre adirestée au Temps, M. Abeî Ferry, député radical des Vosges, se plaint des protestations que soulève la lof sur les retraites ouvrières-. Voiei les principaux passages de cel te lettre : « Cet accueil méfiant réservé à la loi rte provient pas seulement de ce qu'e-Ke est. peu connue, de ce que l'opinion y a été mal préparée, de ce que l'éducation des i . néficiain s de la loi n'a pas été faite ; cet état d'esprit s'explique aussi par une sorte de méfiance H l'égard de l'Etat républicain. Un militant avisé me disait : « La loi n'eût pas, il y n. que-lques années, rencontré la même mauvais.-! humeur.» Si c'est vrai, c'est grave, c'est le crédit moral et financier de l'Etat qui est atteint ; o„Ma dénote un manque de confiance, mie abraico d'optimisme ; si l'homme pris au ha.-,ml aans la rue hésite à confier ses 9 francs aux caisses publiques, l'une des forces nationale'eet la. foi dans la signature de la France qui est touchée et c'est peut-être lfi le châtiment de ceux qui ont eu pour les hommes et les choses si peu de bienveillance... et mémo si pou rî <i justice que de voir aujourd'hui l'F.1,-,1 re ni la méfiance ; et cependant, la s«inlé des |«MIples c'est la confiance en eux-mêmes-, unie <*o nos forces do paix et de guerre, c'est notre crédit ; il n'y faudrait toucher que, d'ui initn léKèrc et faire autour de lui la trêve des partis. »

L\ DÉFENDE L'ÉCOLE LUOIE Le Mans, 5 Juiùs Les instituteurs ct institutrices dû la. Sarthe,- réunis en assemblée générale, après avoir pris connaissance de l'article unique du projet de, loi déposé par M. ,St.«g, ministre, de l'instruction publique, concernant la défense de l'école laïque, et considérant, que cette proposition laisse totalement de côté le contrôle des écoles privées, ont émis le vœu que le projet déposé soit modifié et" remplacé par un nouveau texte, où l'entrée des écoles* publiques de tout ordre serait formellement interdite, sous la sanction des peines portées à l'article- 471 du Code pénal, à tontes personnes autres quo celles qui sont désigné^ par la loi pour l'inspection et la surveillance des établissements d'instruction primaire. .

Le Cabinet du Ministre de la Guerre Paris, 5 juin. La France militaire confirme que le chef du cabinet du ministre de la guerre sera le général' de brigade Delétoile. commandant la 83* brigade d'infanterie à Châlons-sur Marne. Au ministère do la guerre, on déclare que la chose est possible, mais que rien n'est encore fait : aucune décision officielle n'a encore été prise par le ministre de la iruorre, qui a passe la journée d'hier à Chàloni sur Marne. On ajoute rue Snliit-Dominiquo qu'il probable que la désignation du chef de cabinet ne sera définitive qu'après une le général Ooiran en. aura tait part, à ses collègues ancours du conseil de cabinet qui se tiendra, mercredi prochain, sous la pré, • ilence il-- M. Monis.

t.

, . Du „Gaulois

Paris, :> juin. : « Je ne sais comment M. Lcon Bourgeola ia si,invendu champenois, se lit, s ,'| tP affaire dans luqiMIe il s'est mal v'ngafjé, » Pour une fois, u pi -ni (miil rn 1 ivciw du jauftMM gfupértMirfl contre la cia—v i-nv rii'tp'e, pour le relie ,-on!re le n ,,. ,' ,.„. le vin noble contre lo vin rotiu-U-r : il 'M quo f' l'| de se llli'ltie à dos : e.: v qu'il 'PI otèiro et qu'il Abat] » On n oôlé " liât de i rob. h lie lui le:


MARDI Ô JUIN 19ii lions nu radiations, au cours du semestre Les contre-torpilleur.» à Voe ont re.;u l'ornant Angla, du !f chasseurs, par Je proprié- dre d 'aller ù sa recherche. expiré le 31 mai : Tours, 5 juin. ... „ . ' taire ; t prix, valeur 200 fr., Yvonne, au Avec traitement donnant, lieu à remplace* . Nice, 5 Julu. de Marrakech ot les nouveaux caïdfl ! On airimioinee de divers côtés que de nomLe contre-torpilleur ArbsMte. ,«woyé à la ment : grandaofflclerR, 10 ; commandeur», partiront aujourd'hui sons la conduite ee breux orages ont éclatés en Touraine ; la îou- lieutenant de Laiirari'Cin, du lu' dragons, par le lieutenant Gièae, du 9* chasseurs ; 8 jorlx, «eheitche du lleuteindnl »•••;." M\ viwit de ratho- 31 ; officiers, 114 ; chevaliers, filM ; médailles dre est tombée sur le château d'Avize. qui a valeur 100 fr., Misa OUy, au lieutenant Gleee, M'Tongui. militaires, 1,175. La délimitation de la Champagne la'iéfffaphier à la pi '•:•• «u;> rit une qu'il SuM d'importants dégâts. du 'J' chasseurs, par le propriétaire ; 4 prix, Avec traitement, ne donnant pas lieu a r art. La retraita de la division Toutée n'avait pu'décctrvirir l'aéroplane. Dans la région de .Cliàteaii.renault, de nom* Paris, 5 juin, valeur 50 fr., Oasis, à M. Ferra, médecin aide, placi ment : giaud-officier, 1 ; officier, 1 ; cheParis, S juin. L'émotion à Nice est extrême. bxeux '[lou-aux télégraphiât** .mit cte renverlie conseil d'Etat a transmis au gouvernemajor au V chasseurs, par le lieutenant Prixvalier, i. Le comité d'aviation de Nice lait demander La retraite de la division Toutée suggère au fiés hiont le projet die d,écret rendu samedi soir au Sans traitement donnant lieu à remplaceà Ions les commanda ni» de navires eu parLes (récoltes ont raiticuKè renient souffert. sujet, do la délimitation de la Marne et de Temps les' réflexions suivantes, : Flots : Jovial, au lieutenant Gôly. du 9' chas- tance d'exercer wnw sorvciManco très active ment, : i rands-ofQciêrs, 2 ; commandeurs, 5 ; « Les troupes françaises, avaient éb; mobil'Aube. seurs, par 1" lieutenant Gièse ; Alberlmo, à Offleiprâ, 21 ; chevaliers, 187. LES ACCIDENTS DE CHEMINS DE FER en mer. . ' , Hier, M. Munis a reçu M. Paras, ministre de lisées sur la frontière oigero-maroc une jjour M -\ndit, vétérinaire au 3' d'artillerie, par le Sans trait.'nicn, rte donnant pas lieu à remDésordres viennent d'être donnes air, COt> | l'agriculture, avec qui il s'est entretenu de cette attirer à elles une partie au moins des ttibus Un déraillement sous-lieutenant Pérès, du ;V d'artillerie ; In- 'tre-torpiiiilcurs actucltemeint ù Nice a partir ai placement : commandeur, 1 ; oflieiers, 13 ; question. qui assiégeaient Fez. . surgé, au capitaine Bastide, du 3" d artillerie, . Florence, 5 juin. chevaliers, 28 ; médailles militaires, 10. la recherche d.e l'aviatewr. . . , ,. . . On espérait, ainsi décongestionner la capiL'express parti de Milan hier matin, à sept par le propriétaire ; Dock, au sous-intendant IJO lieutenant Baguo avait (exprimé le o -'.r tale ; ce résultat n'a pas été atteint. Si ion Le Millénaire de la Normandie cherche Birot, par Je lieutenant, Py du 56' il arttUjrtr. de u'êtae pas convoyé. • heures et qui devait arriver à Rome à C h. 58 pour quelle raison le but que- t on Prix couplés, military. — 1 prix, plus 80 Ir., Rouen, 5 juin. Nice, 5 juin. s'était proposé, en portant la division routa, de d'après-midi, a déraillé à la gare 'de CorOasis, à M. Ferras, médecin aide-major au Dans la soirée d'hier, la foule s'est répandue en avant, n'a pas été atteint, on croit la trou- bezzi, avant Pistolu. Le général de division Ducray, gou*efri m Le train était à peine entré dans un turineL <)• chasseurs, par le lieutenant Giese, et Jean- de Nice, fait connaître qu'il a reçu le • juin, dans les rues pour admirer les illuminations ver dans le fait que l'offensive n'a pas cte Bart à M. Miécamp, médecin-major au 2 géélectriques des quartiers et celles grandioses assez mordante ; le gouvernement avait in- que les voyageurs furent secoués brutalement; à 4 lieures, le télégramme ci-joint lexgêdie » Par arrêté du 3 juin, la vente des timbresnie par le lieutenant Gouy, du 66' d'artillerie; de l'éiit: -e s::, .; Ouen, dont l'architecture euut terdit de franchir la Moulouya ; il avait re- lo convoi s'arrêta 'instantanément. 2 h. 10 par le commaiidant do ia marine d'.V mise en relief par l'éclat de' lampes rouges. reti'aile do toute catégorie sera effectuée par Les six voitures de queue a vaient versé. 2' prix, valeur 00 Ir., plus 60 fr., Fraueoni, au noncé à faire usage du droit de suite qu u jaccio : ' , .% . La corvette norvégienne avait toutes ses li- possédé incontestablement. 11 y q un mort et onze blessés. capitaine Bastide, du 3' d'artillerie, par lo « Je reçois de diverses sources des demandec les débitants de tabac, parles reoevours-buntgnes et sa. mâture dessinées pair de petites lamL'accident est dù à une fausse manœuvre. propriétaire, et Dragon, au lieutenant Pérès, liçtes et par le personnel des postes ct des » Dans ces conditions, rien de surprenant de rensc igriemenls si* le lieutenant Bague ; jpes électriques. -Madrid, 5 juin.. d i 3* d'art i'ierie, par le propriétaire ; <>' prix, a ce quo les Marocains, occupés à ISO kiloje vous serais obligé d'e faire savoir que toutes télégraphes. Au Théâtre dos Arts, des artistes de la ÇOTOéEue remise de 0 50 pour cent est attribuée Une dépêche officielle de Jaen annonce, que valeur 40 fr., plus 40 fr., Duchesse, au capi- les réponses r-eroiit'lWrossées par la voie du mètres de là, se soient peu souciés du mainifliie Françoise ont joué le 4« acte du comte taine Bastide, ot Dragon, au lieutenant Pérès. général gouverneur ; pour le moment, je ire aux préposés de la vente. lien sur la rive droite de la Moulouya d'une lo train-poste a déraillé près le Linarès. ft'Essex, le Menteur, ct le 4" acto de Louis XL Flots : Opale, au capitaine, Duteoh, du V Il y a 14 blessés dont 3 sont dans un . état force nombreuse mais immobile, bien armée sais rien ; VArbalette est, sur le trajet d' A jacgrave. ; hussards, par lo propriétaire, et Km inonce, cio à Nice et je suis inquiet, » mais impuissante. au capitaine Duteoh, par le lieutenant Giôse; » L'occupation de Debdou, le bombardeDepuis 9 heures du matin le gouverneur téMORT SUBITE D'UN GENERAL Insurgé, au capitaine Bastide, par Je propriément de Guercif, sur la rive gauche do la léphonera les renseignements au fur et à .meFédération des Sociétés musicales du Midi taire, et Filisïer, au lieutenant Angla, par le La grève internationale maritime . * Dijon 5 juin. Moulouya, et quelques engagements aux ensure de leur rédftption ; VArbalette venant d'A3" Fèîs fédérale à Lézignan (AudSj Londres, 5 juin. virons de Merada, tel est le bilan militaire Le général Clément d'Eu, âgé de 62 ans, du, propriétaire, jaccio était à 4 heures et demie en vue du port le dimanche 25 juin 1911 cache de réserve, revenant d'Algérie, s était ! Le mouvement organisé en vue de la grève de la division Toutée. de Nice ; le. commandant a demandé par téléFootball rugby » Le moment est-il bien choisi pour ordonarrêté;, samedi soir, à l'Hôtel de la Gare, a, intemiationaio maritime se poursuit activegraphie sans fil au Fantassin, qui est au port, ner cette retraite, immobiliser les forces con- Dijon. LYON CONTRE TARIS ment et prend une certaine importance. , .„ ' si on avait des nouvelles de, Bague ; sur la La Fête de la Fédération sera clôturée par Il avait passé la soirée très tranquillement, Hier soir, plusieurs meetings ont été tenus sidérables groupées auprès des gués de la Vichy, 5 juin. réponse négative de celui-ci, VArbalette a re- une audition artistique qui aura lieu le drMoulouya, dans l'attente, d'une hypothèse qui avec son ami le général Dantelle, et était rendans le quartier des docks auxquels assisDons le grand match de foot-batl rugby, lo pris la route corse pour continuer les rechermahene 25 juin, à 9 heures du soir. tré se coucher dans une des chambres voi-, taient un grand nombre de dockers et de ne s'est pas présentée ? Football-Club do Lyon a battu le Sporting- ches. Pendant celle audition aura lieu la di.d li» La marche sur Fez n'a pas dû produire sines. 0 matelots. Club Universitaire de Paris. bation des prix des divisions d'Excellent; . Dans la nuit, le général Dantelle entendit A l'un d'eux, Mme Sorgues, la syndicaliste sur les tribus environnantes une impression Des démarches sont- faites auprès des Comde forée désirable ; il est à craindre qu'elles des soupirs, mais au bout d'un certain temps française, a pris ta parole. Football Association pagnies de Chemins de fer afin tl'oblen'r des n'attribuent ù l'impuissance ce qui a été l'ef- n'entendant plus rien, il ne fit pas attention., Londres, 5 juin. J# trains .supplémentaires qui quitteront LéziPARIS CONTRE PRAGUES , Cependant, hier matin, à 9 heures, le généfet d'une prudence sans doute excessive et Le comité de la grève des matelots interna, La marche tle Level gnan dans la nuit. ,, . , , que faisant fond sur la faiblesse qu'elles nous ral d'Eu n'étant pas descendu, son ami entra' tionau.v ;t commencé hier, à Londres la conféF>aris, 5 juin. Cela permettra ' aux étrangers d assister a supposent, elles «essayent par des raids hardis dans sa chambre et le trouva mort. Il y avait Dijon, 5 juin. rence de trois jours pour examiner les ques Sur le terrain du Raoîug-Club de France, à l'audition du soir sans être tenus d'attendre au un peu de sang dans les draps. tions de la grève universelle. à surprendre nos postes ». C'est par suite d'une chute qu'il a faite à Colombes, s'est, joué, hier, un match de foot_ . Les délibérations sont privées, mais les seLe docteur Huchon, mandé en hâte, conclut hall-assocdaiion entre les équipes de présenta- Gevrez-Charnbertin que Level a interrompu sa lendemain pour quitter Lézignan. _ Ces démarches sont près d'aboutir. Lncraire L'ACTION DES PUISSANCES crétaires Havolock et Wilsons annoncent à une embolie au cœur. tion do Paris et d» Prague. course. après leur réunion, que le comité n'est encore Son biplan a fait panache et, l'aviateur est spécial sera publié en temps opportun. Lo couo d'envoi ne fut donné qu'à 5 h. 15 ; L'attitude de l'Espagne Le Comité. LE CHOLERA arrivé, à aucune décision. les joueurs tchèques, nettement supérieurs, tombé tout près do Gevrez, non loin de la ligne Tanger, 5 juin. Triieste, 5- juin, j eurent constamment l'avantage; à la mi-temps, Pour tous renseignements, s'adresser S \L du chemin de fer.' Fin de la grève tles taxi-outos On, signala de Tetcuan ^arrivée dans cette Level n'a eu, heureusement, aucun mal ; JulesJuics Alquier, secrétaire général du couEn raison do cas de choléra qui se sont ils comptaient 2 buts à zéro et gagnaient finaFaris, 5 juin. ville d'un colonel -espagnol de la, garde civile, mais son appareil a les ailes du bas et son cours il Lézignan (Aude). ; La grève des taxi-autos a pris fin co matin, aocomnagnéo de 2 officiers et do 8 tirailleurs produits ù Venise, des mesures ont é<6 prises: lement par 5 buts à zéro aux Parisiens. par le ministère du commerce. avant entièrement brisés . Conformément; aux décisions arrêtées par la RHatos venant de ,Cauta7 Cyclisme Les facilités qu'on- a coutume d'accorder aux Les lieutenants Lucca et Hennequin La présence à Tetouani de ces militaires est navires non suspecte provenant de Venise, àiu lehambro syndicale des chauffeurs de la Seine IE IOCR DE BELGIQUE Toutes les principales voies de la capitale vivement commentée par tes indigènes. CHEMIN DE FER D'ORLEANS Toulon 5 juin. point do vue des loaroaMtés sont supprimées Bruxelles, 5 juin, iont repris leur physionomie habituelle. On mande d'Hyêros que l'état des fieutenai ts jusqu'à nouvel ordre. Facultés données aux voyageurs pour se renLes cochers de fiacres, qui ont fait pendant s'est terminé le tour de Belgique cyHier Lucca et Ileunèquin commence d'être am-si Les excursions par bateau de Trieste à Vedre sur l'une des plages de Bretagne desser©es deux derniers jours des recettes merveil cliste (professionnels. rassurant que possible. nise sont suspendues. vies par le réseau d'Orléans. Attises, cherchaient vainement leurs .clients de Les Français Christophe (de Paris), LeturHennequin a une quintuple .cassure de la 1 Billets d'Aller et Retour individuels. Ces ia Pentecôte. gie (de Roubaix), Tribouiilard (de Paris), jambo droite ; ses blessures lui causent une fièACCIDENT DE TRAMWAY M. Fiancette, secrétaire général du syndicat, biliets de toutes classes, valables 33 jours, Léonard (de Paris), Pollissier (de. Paris), se vre assez vive, mais maintentunt on espère Londres, 5 juin. a été reçu hier par M. Panier, ministre de la avec faculté do prolongation moyennant supsont classés respectivement 1", 3", 7', 10' et 11' fermement sauver le blessé. Uno voiture do tramway a déraillé à Stral- dans le classement général. justice. plément, sont délivrés du jeudi qui procède la La marche de Vidart bridgo. Le garde des sceaux s'est longuement fait fête tles Rameaux au 31 octobre à toutes les TRAGIQUE COURSE CYCLISTE Il y a quarante blessés dont qnelquesîuns ., . -. Rome, 5 juin. stations du réseau d'Orléans pour les stations .expliquer les causes de la grève ; il a paru Constamitiinople, 5 juin. Berlin, 5 juin. gravement. L'aviateur Vidart, parti, ce matind'Ortobeiio •frappé de la légitimité des critiques formulées suivantes : Pendant uno course cycliste de 100' kilomè- à 7 li. 52 est arrivé à l'aérodrome de PariOJii Le prince, héritier, accompagné de Na.oumSaint-N'azaire , Pcrnichet, Eseonblac-IaCo sont pour la plupart des ouvriers. par las chauffeurs ci a promis d'examiner, tres avec entraîneur, qui avait lieu, hier à 9 h. 15. Il a atterri heureusement, après un Bauie, Le Pouliguen. Batz, Le Crotale, Guéavec la plus large bienveillance, leurs doléan Pacha, ambassadeur, est parti peur Paris. après-midi, au vélodrome de Zehlcudorff, le magnifique vol' plainé. rande, Quiberon, Saint-Pierre-Ouiberon, Plou. Il a été salué à la gare par las ministres, les ces. coureur Theile a fait une chute dans un viLorsqu'il isst descendu, son trere et sa belle- harnel-Carnac, Vannes, Lorient, Quimperlé. Le secrétaire général du syndicat aura 4a- autorités, et par de nombreux membres du corps diplomatique, (notamment par M. Bomrage, par suite d'une défectuosité de sa roue Concarneau, Quimper, Pont -l'Abbé, Douarnesœur l'ont longuement embrassé ; l'aviateur, .ftessamment une nouvelle entrevue avec le Du 0 juin. pard, ambassadeur die Franco, et le baron qui était très lèntoufré, a été l'objet d'ovations nez et Châtea'ulin. . ...... ministre de la justice. La mairie tte LiMers, près Béttnme, a été détruite d'avant. La motocyclette du Français Miq.uel, qui enthousiastes de la part des commissaires d'aRéduction de 20 à 40 % suivant la classe et apar un inceadie. 1*3 areliiR'es ont été sauyéss. . Ce matin, le Conseil d'administration du ciauzel, secrétaire de l'ambassade. — On a arrêté dans la forêt do Rfiroiremoat le roulait à côté de Theile, a passé sur le corps viation, des jeurna listes et d'une foule nom- le parcours. syndicat a tenu une réunion à neuf heures à nommé HaMlant, auteur de caml>.rtolases commis de celui-ci, lui écrasant la cage thoracique. 2. Billets d'aller et Retour collectifs de fa- ' breuse. •la Bourse du travail. (i la gare (te Eemiremont et cliez plusieurs négomille en lre, 2e et 3" classes, délivrés, aux Le cycliste a été tué sur lo coup. . Vidart. déclare avoir fait un voyage heureux. M. Fiancette a rendu comtpe des dffvers inciciants. A la frontière turco-grecque familles d'au moins trois personnes, de toute Il se montre visiblement satisfait d'avoir pu, dents qui ont marqué la grève et s'est félicité LK COURSE DE 24 HEURES — La prince Clialtratoottg, prince héritier de Sians, station du réseau a toute station balnéaire du do lXinion qui règne parmi tous les membres après de nombreuses 'Péripéties, atterrir à Athènes, 5 juin. est arrivé à Saint jPéterabairrg. Paris, 5 juin. réseau situé à 60 kilomètres au moins du ïla la corporation:. Rome par un temps merveilleux. — Selon uno déipsclio dm Cap Haïtien, les Insurgés T?n conflit a eu lieu, à la frontière, entre des Le départ de la Coupe d'endurance a été L'appareil de Vidart a été remisé dans un han- point do départ. ont fait fie nembreux prisonniers dans la derni-'," soldats grecs et turcs. La grève des tramways du Nord donné hier soir, au vélodrome Buffalo, aux a) Saison de Printemps : du jeudi qui prébataille. A cpteîques-tuis, ils couipérent Jcs oreilles. gar et l'aviateur, après une collation, est parti Trois postes ont échangé une vive fusilquinze coureurs engagés dans cette épreuve, en automobile pour Rome, où il a rejoint cède la Fête des Rameaux au 25 juin. Paris, 5 juin. lade. Quatre soldats turcs auraient été tués. qui met aux prises les meilleurs Sipécialistes Beaumout au Grand-Hôtel. Validité : 33 jours , 2 prolongations facultaLe travail a repris ce matin sur presque touOn manque de détails circonstanciés. actuels, dont Trousselier, Crocco, Shirley, tives de 15 jours moyennant supplément tes les lignes de la Compagnie des tramways Le feu a cessé à la suite de l'intervention La marche de Leprince Cornet, Lafourcade,, Cruppelandt, Suter, Erb) Saison d'été : du 25 juin au 1er octobra du Nord. des officiers supérieurs. IB ^F Validité : jusqu'au 5 novembre. nest-Paul. La fin de la grève avait du reste été décidée Nice, 5 juin. La frontière Turco-Monténégrine Réduction des aller et retour pour les trois Pendant deux tours de cadran, c'est-à-dire cette nuit, dans la réunion qui avait eu lieu L'aviateur Lcprlnee a quitté ce matin Nice, depuis hier soir jusqu'à ce soir, les cham- à 4 heures, se Tendant à Gênes. Après avoir premières personnes, de 50 % pour la quatrièa la C. G. T. Cétygne, 5 juin. Courses de chevaux me et 75 % pour la cinquième et les suivanpions du cycle rouleront sans entraîneur sur roulé une quarantaine de mètres, il a déeciié Le peu d'enthousiasme d'une grande partie Le 2 juin, le poste Turc a fait feu contre le A SAINT-CLOUD des grévistes avait déterminé ce vote. les trois cents mètres du rapide plancher de facilement en une superbe, envolée ; il a pris, tes. poste Monténégrine. Arrêts facultatifs à toutes les gares situées En effet, dès hier, un fléchissement notable la piste de Neuilly. au-dessus do la mer, la diireetion de Gênes ; Le gouvernement a fait de nouvelles démarParis, ô juin. sur l'itinéraire. A minuit, voici le classement général en quelques instants, il avait disparu à l'ho.s'était fait sentir parmi les chômeurs et la ches auprès de la Porte, car c'est, là le second Prix du Manoir, à réclamer, 3.000 francs Faculté pour le chef do famille de rentrer .Compagnie avait pu réorganiser une partie de cas de violation du territoire Monténégrine 2.200 mètres 'environ. — L Heloup, par Monpointé : 1. Trousselier, 20 points ; 2. Ricaux, rizon. isolément à son point de départ. Délivrance ises services. L'arrivés à Gênes par des soldats Turcs dans l'espace de peu de sieur Gabriel et Hesio.no, à M. H. Blum 23 ; 3. Cruppelandt, 24 ; 4. Lambot, 32 : 5. à un ou plusieurs membres de la famille de d'Hulst, . 41 .; 6. Shirley, 44 ; 7. Cornet, 53 ; Le découragement parmi les rouges semble jours, (O'Neil) ; 2, Salvia, à M. M. 'Marghiloman (Bel Gênes, 5 juin. cartes d'identité permettant au titulaire de provenir de ce qu'ils n'ont pas pu entraîner 8. Lafourcade, 53 ; 9. Colsate, 54 ; 10. Paul, 55. Mirdites contre Turcs ihouse ) ; 3. Ben Saïd, à M. le comte r La :r voyager isolément à demi-tarif entre le point Leprince, parti' die Nice à « lieures, heure dans lo mouvement la Fédération nationale Paris, 5 juin. (Barat). Cétygne. 5 juin. française, lest arrivé à Gênes à & h. 47, heure de départ et le lieu de destination mentiondes transports en commun qui leur a refusé A la 14' heure, îe classement est le suivant : Non placés : .Violette II, Ncrth-Polc, Bising italienne, battant le record de vitesse des prénés sur le billet La tribu des Mirdites s'est révoltée et a attagon appui moral. . 1. Troussellier, 41' points ; 2. d'Hulst, 50 ; 3. Fox. Afin de faciliter lo tourisme dans ces riches doqué la garnison turque d'Alessia. Cruppelandt, 03 ; 4. Lafourcade, 75 ; 5. Lam- cédents avaiteurs. L'heure italienne étant en maines, la compagnie d'Orléans offre au public Mutuel : gagnant 67 50; placés : Heloup '31, avance die 55 minutes sur celle de Franco, Les Turcs ont envoyé a son secours les garbot. 85 ; 0. Colsaet; 89 ; 7. .Shirley, 100 ; 8. NieSalvia 40 50. ; « 13 S71NT0-ESTELL0 » l'aviateur n'a donc irais cm iréailité que 1 h. 42 nombreuses combinaisons à prix très réduits,, billeis nisons des autres villes. d'aller ©t retour individuels ct do famille, billets Prix do Verboise, 5.000 francs, 2.000 mètres derscang, 100 ; 9. Couret, 110. Lo Gouvernement, provisoire a été formé à Montpellier, 5 juin. 18*. heure. 582 kilomètres f-d'Hnlsï, 55 points; minutes pour Tiarcoorîr les .170 kilomètres qui circulaires, cartes de libres circulation, etc.. . environ.-— 1. Walbudge, par.Per.th et Vina.-ilséparent îles dieux villes. Les Felibres du Midi ont fêté hier ia Sento- Oroshi, capitale de la tribu révoltée et l'auTroussellier,, -5# -, Cruppelandt, 84 ; LafourcaElle a, en outre, réalisé toutes les coramoditls rt» M. W. Flatman (Bellhouse) ; 2. Berceuse II, à L'arrivée de Leprince a ôté spîendide. voyage- afin do rendre les excursions aussi agréables Es-tello, puis ont rédigé un nouveau statut du tonomie Albanaise y a été proclamée.' de. 85 ; Lambot, 113 ; Colsaet, 115 ; Shirley. M. Jean Stern (Ch. Chiidsj ; 3. Wyoming II,' En descendant d'environ i50 imètres, n a et rapides que peu fatigantes. Célibrige. Le lieutenant Chevreau" qui était resté en 13b ; Niedergang, 110 ; Pary, 147. à M. G.-P. Esbran (G. Bartholomew). atterri en frôlant légèrement la palissade, Nota. — Pour plus amples détails, consulter 1* La réunion a nommé majorai lo docteur panne à Péage-de-Rousrllon, -près de Lyon, Non placés : Rosa Pompona, Etea IV, Forma, mais sans causer aucun, dommage à son ap- Livret-Guide olfieiel do la compagnie d'Orléans, en Faire, de Bôziers et associés : MM. Walter, avant-hier, a atterri au champ de manœuvre?. Le classement vente au prix do 0 30 dans ses principales gares ot pareil. Après s'être ravitaillé en essence, l'aviateur Nazarena, Nona , fFitchier, de Marburg -(Allemagne) et de JJnParis, stations ainsi que dans ses bureaux de ville, et jukï. Mutuel : gagnant 22 ; placés : Walbur-ge 13, Les autorités ont vivement complimenté est reparti à 7 h. 40 dans la direction d'Aviyanni, de Païenne. adressé franco contre l'envoi de 0 M à l'administraBerceuse II 13 50, Wyoming II 13. 1" Trousseîîer, 2' d'Hulst. l'aviateur et la foule l'a acclamé avec enthou- tion centrale, l, place Yalhubert, â Taris, bureau gnon. Prix Plying-Fox, 40.000 francs, 2.400 mètres siasme. du ïrafic-Voyae«urs. (Publicité). tE TOUR CYCLISTE D'ITALIE environ. — }. Badajoz, par Gost et Gelested LES CONGRÈS Lopriaice déclare qu'iSi a fait un excellent à M. Michel Lazard (Barat) ; 2. Rioumajou. à Naples, 5 juin. voyage, bien que le soleil l'ait un •peu incom> Le congrès des percepteurs Le monument Vicier-Emmanuel M. Mnlier (A. Woodland) ; 3. Dor, à M. M. Voici les premiers résultats de la onzième modé, Lille, 5 juin. Marghiloman (Belieh ouse) . Paris, 5 juin. et dernière étape du tour cycliste d'Italie BariA la •suite d'une contestation avec le comité • Hier s'est tenu à Lille; sous la présidence Non placés : Tiipolette, Mouiins-la-Marche, Naples (345 kilomètres) : En réponse à la dépêche que. lui. avait enlocal, qui no veut pas le ireconnaître comme de M. Delorier, de Lyon, le congrès annuel do .1". Sivocci (Italien) ; 2*. Sala ; 3", Galettî ; concurrent du «raid Paris-Rome, Leprinice a voyée le président de ia République a l'occa- Marsa. Ronde-de-Xuit, Seigneurie II, Tem-1 Association fraternelle des percepteurs ot re- sion de l'inauguration du monument de Vic- plier II. 4°, Rossignoii ; 5', Gazberini ; Petit-Breton, télégraphié à Paris et a ajourné son départ ceveurs spéciaux de France. 'Mutuel : gagnant 33 50 ; placés : Badajoz 18, Le 31 mai dernier, une foule élégante et nomtor-Emmanuel, le roi d'Italie adresse à M. Falqui se trouvait dans le groupe de tête, ost pour Rome. .Les congressistes ont discuté de leurs inté- lières le télégramme suivant : Rioumajou 22, Dor 21. breuse assistait, en la basilique -Saint -Jean tombé et a cassé sa machine à 10 kilomètres Védrines partira demain rêts professionnels. IPrfX d-u Vieux-Pont, à réclamer. 3.000 francs, de Perpignan, au mariage de M. Joseph de de Ponténla. sM. Fallières, Président de la République, !)00 mètres environ. — 1. Doiiadiou, par DeBue, 5 juin. Ganta) ac, fils du baron de Gaulejac et de la Le grand coureur français a dû abandonner Paris. launay et Colorés, à M. André Bérard (Ch. De (nombreux curieux s' étalent rendus, ce baronne née de Boisséson, avec Mlle Mar» L'aimablo dépêche que vous avez bien Childs) ; 2. Batailleur, à. M. Edmond Blanc la course. matiui, à Bue, 'dams l'espoir d'assister à la cello de Blay, dont la famille cet si justement voulu m'adresser à une occasion si solennelle G Stern) ; 3. Th. Baron, à M. H. La Montagne LA COURSE PARIS-TOULOUSE appréciée en Roussiitlon. grandie envolée de Védrines pour Rome. pour l'Italie m'a profondément touché ; très (O Leary). • ,-, ., , Paris, 5 juin. Des parents et amis étaient venus de tous Védrines ne vint pas. Limoges, 5 juin. On sait que la commission sénatoriale des reconnaissant, je vous en exprime, ainsi qu'à Ntnr. p^ s : White-Boy, Cap.pa, Franc-Pi-' On apprit que ie gagnant de Paris-Madrid côtés faire cortège aux jeunes fiancés et marLes arrivées à Limoges de la course Paristmancos a maintenu la taxe votée par la la nation française et au gouvernement de la card, Galileenne restée au ixiteau. quer leur sympathie à une famille qui compte avait décidé, 'très tard, qu'il o© 'partirait quo Toulouse ont lieu dans l'ordre suivant : 1", République, mes remerciements les plus chaChambre sur les bénéfices calculés, en vertu Mutuel : gênant 23 ; plaças : Donadicu 10, Verdickt, à. 5 h. 10 du soir, 361 kilomètres en demain matin .mardi, en oraison de la ferme- parmi les meilleures ct les plus anciennes du leureux, en vous assurant que vt« sentiments de clauses statutaires, sous la dénomination BatadleSr 17 50, Th. Baron 17 50 14 h. 10 ; 2", Figuet ; 3", Engel ; 4", Valooton ; ture, aujourd'hui, de nombreux bureaux télé- pays" toulousain. uo tantièmes, a toutes personnes participant de vive sympathie sont entièrement partagés Handwcap du Printemps, 10,000 francs 1 600 La charmante mariée, dans une délicieuse 5*. Gro : 6', Tliys ; 7'. Coisel ; 8*, Fraissdnet ; graphiques, ce qui l'aurait empêché de prépar moi et par le peuple italien. al administration, à la direction . à la gémeotres environ. — % Ténor, par Grey-Plume venir sa maison au cas' où unie panne où un toilette garnie de vieux point d'Ansleterre, a Je forme à mon tour les vœux les plus et Hc.no.urd, a M. James Heinnessy (Jennings); 9", Bétempe ; 10*. Chauviôre ; 11", Maris ; 12*, rance de sociétés visées par cette loi. iincident quelconque viendrait ïarrèter au été conduite à l'autel par ron père, M. Henry Lu guet, etc. Dans le chapitre de son rapport général, oii cordiaux pour votre bonheur et celui de la 2. Garanoe-H, tl M. L. de Romanet (J. Kcllltt) de Blay, chevalier de la Légion d'honneur. Aujourd'hui, à 5 heures du matin, le départ cours de son Tald. il passe en revue les articles de la loi de France ot vous prie d'agréer, Monsieur le 3 Orme-du-Maiil, à 'M. M. Caîmann (Sharpe). M. Joseph de Gaulejac était accompagne penprésident, l'assurance réitérée de mes sentiLe lieutenant Chevreau finances. M. Gauthier écrit . Non places : Ring-Henry, Padoiïe-II, Gobet- des concurrents sera donné de notre ville sa mère, la baronne d:? Gaulejac. pour. Toulouse. : « Dans notre pensée comme dans celle du ments les meilleurs. te. 1a,mbou,r-Ma.jor-lI, Kaiser-II, Sir-Pèier, Vi-' Avignon, 5 juin. M. l'abbé de Liobe.t, vicaire-général de Mgr » VlHORlO-EMMANUIXE. S gouvernement, il est bien entendu que la taxe i-age, Késamo, Pacha-IL Belle- 'Vraie • Le lieutenant Chevreau sur monoplan a at- de Carsalade, dans une touchante et délicat» Aéronautique de; 4 % ne don s'étendre qu'aux bénéfices disMutuel : gagnant 09 5ti ; .placés : Ténor 30 50,: terri au champ d'aviation d'Avignon ce matin allocution, a défini le mariage chrétien et lait tribués aux administrateurs, directeurs ou L'AÉROPLANE PERDU EX MER Le Voyage du Sultan Garainoe-ll 52 00, Orme-du-MaS] 2i à 9 h. 1. revivre les gloires religieuses et militaires 0«F Béraints de ces sociétés et ne s'applique pats, P.rix d» Bue, 5,000 ftraaios, 8,000' mtitee» m Momast-ir, 5 Juin. Toulon, 5 juin. Il a voyagé à une altitude de 500 mètres. Il deux familles. rIî0,n; - L Forio,- par '«egret et Foartia -, VI " par conséquent, aux traitements, jetons do Y On fait des préparatifs grandioses pour l'ar- AchilIl'O Fould' (Ch. jChS'lds) ; 2. Kom-Ombô a Le contre-torpilleur Pertuisanc, parti en mer ne repartira que nmnli matin dans la diirecLa part des pauvres a été reciueillie par -présence et autres participations prélevées rivée du sultan. a la recherche de l'aéroplane signalé commo tion de Nice, son moteur OijârtA )>eKo-iiii <io répa- Mlle Jano -de Blay. uccompannûft clo M. Jean, M. G. Brossette (J. Bartholomew) ; 3. CasS'in, sur les frais généraux. de GauJieyac ; Mlle .Mathiïde (de iGan'eiae, craliiioms. Le Ueutenamt' Chevreau a été vivement perdu en mer, est, on le sait, rentré au port Mercredi, on a découvert, dans un Village » D'autre part, cette disposition nouvelle ne voisin de Kupkrulû, sur le 'parcours que doit u M. A. VeU-Picard (Rovella). de Toulon sans avoir abouti à un résultat. acclamé. M. Robert Hériard ; Mlle Mario de Blay, te. Non placés 1 Ararat, BaHly-HI, Chaaitecler, doit pas atteindre les allocations attribuées La Préfecture maritime a décidé que la lieutenant de Boisséson ; Mm Germaine de suivre le. sultain, 42 kilos de dynamite avec Quand, Guy, Gouiiland. aux employés intéressés ; la question revien- un nécessaire d'armes. Pcrtuisane ne reprendra pas ses recherches. Boisséson, M. Emmanuel de Blay. dra, d'ailleurs, devant le Sénat ». Mutuel : gagnant 49 .; placés : Forio 18, KomLes renseignements signalés on Italie sur On remarque dans l'assistance : baron et Ombô 30 50, Cassin 13 50. M. Voilé, ancien ministre du cabinet Comla perte d'un aéroplane on mer sont définitibaronne de Gaulejac, M. Henrv de Blav, Mme bes, a pris une délibération longuement movement considérés commo le résultat d'une Cornet de Bosch le vicomte de Gaulejac, M. nu 5 jun. A SAINT-OUEX tivée contre ce nouvel impôt. Cornet, de Bosch, Mlle do Blay, le bà'run de méprise. La pression barométriijue devient très élevée sur . „ . , „ Paris ô Juia. De son côté, la chambre de commerce de Blay de Gaix, Mme Niel née de Gaulejac', le iweaqptff toute il "Eu rope elle dépasse 770 jntU4mè*rea Demain courses a Saint-Ouon. rarta,ats et moules REXAUX ÉVOLUE A CLERMONT-FERRAND Paris demandera, par voie d'amendement, la capitaine et Mme Compagno, le marquis et la. dams l'ouest des lies Britanniques, Valentia 773 mllprolUalMes : suppression de la taxe sur les tantièmes. Clermont-Ferrand, 5 juin. marquise dé Boisséson, M. et Mme Paul de llmtaxes, stur te Hamcimark et la Russie, Riga 772 Prix de la Llmagae : Austral IR. .SawvaP, Le T.ouATTENTAT CONTRE LE c TIMES J> L'aviateur Rénaux, vainqueur du raid Pa- milUmètres. Gaidejac, M. ct Mme Antoine de Blav, M. et. piot (W. Héfâtt), Saint-Rémi (IloUotonne), Oînooe La déipresislon d'ICSpa-gme ipassJ sur l'AUgétrle, celle New-York, 5 juin (F. Hardy), Qwssn<a (Octlier), AlexBmdire (Bentltlet-;. ris-Puy-de-Dôme, a fait, hier soir, à l'occasion Mme Edmond de Blay, Mme Hérinni, comte- : do l'IMaraîe s'éloigne vers le nord-est. rrax ctu Gevaiiïlan : XotaMa (HoUofoone), castpl- du Congrès do la Paix, plusieurs ascensions On se souvient de l'explosion do dynamite et comtesse de Boisséson, vicomte et vicoraLe vent est îai'We d'entre mord ct est SUT nos côfranc (P. Salamagnoo), tuiama-n (X), Mieilia (D. survenue à Los-Angeles, daus les bureaux diu au-dessus de Clermont. tesse de. Boisséson, baron et baronne de Buis-' tes où la mer reste ibetle. Kail'le.y), Familier (JStalsonôaveV, NiMievo (LovsgroTimes, en octobre dernier. Il a effectué un vol avec pour passager séson. M: et, Mme Pierre de Boisséson, baron La temipàratiire a monté sur nos régions ; co mave), Lefcrifln (-riiiljaul't), Vg:ly-,Iiir.u !Ji. La'ssu's) ïyro- i Cette affaire revient à l'ordre du jour. de Saint-Julien, M. et Mme de Lava !." tin le t'iieiranomètre manquait 10 à Bordeaux, 13 à lieninie'It (X). ' f Mme Gilbert Bernardin, femme de l'aviateur. En effet, lo syndicaliste Delany viendrait de L'assistance très nombreuse a chaleureuseMoscou et à MaidirM, 10 à Paris, 21 a Alger ot U Mme tle Raymond-Cahuzao, M. et Mme de 'Prix du (Ja.nl.al : Floriculturo (tlogàn), La-BidasLes opérations du général Moinier 1 reconnaître qu'un prisonnier l'avait envoyé soa (J.-B. Moreau), Saini-Lôon (R«ils), Fonteûay- ment applaudi Rénaux. au mont Ventoux.' Médrano. M. el Mme Maraval <l -\ ,! ^" ; ?' • - , Fez, 5 juin. II est tombé l miEimètre d'esm au Pic-du Midl. partout pour examiner les bâtiments en cons- a-ux-Rci»»s (C. Hateey), Isola-^raidre-ll (OoMcncm*. T, M. et Mme de Laforcst, M. Niel. M. Charles DE PAU A TARIS LC gênerai Moinier, après uno nuit passée truction auxquels étalent occupés des ouvriers Kama (Cartwright). Solo-lV (Lang-ford), Jlourlaa En France lo tenrTxs va rester ibeau et chaud. de Saint-Julien, vicomtesse de Marsac, M. ' sur leued Miqnez a dû aller vers Bouksoun, non syndicalistes, afin d'y déposer de la dyna- {lintwjiSt'le), LemoTi-Rotoert. (E. ltardy). Poit-iere, 5 juin. Mme de Liobet, M. de CheJdebien, M-Jv pour châtier les Benl-Amar, les Cherarda, les mite. Course d» liâtes AiumiieHe de Saint-Oucn : Mea'ryLe lieutenant de Malherbe est arrivé aux Mme Estève de Bosch, M. François de Sam nar. raer. ETAt DU cm iimm, KAXUI tsinoai Kmgîït (O'r^a.ry), Saint-Jast-H (R. Sauvai), Crossop- Renardières à 6 h. '35, suivi à quelques mijJu.leiPl>hin-Ethianas. De là, il ira à Mequiitcz. de de la veilla Julien, Mme de Marliave, Mlle d 'Ax, M. COLLISION EN MER it'yllim (itlaT-re), Jiim-iCrmv (A. V. ptiapman). Bla,gueui'Le nruit court ici qu'on aurait entendu la nutes d'intervalle par les lieutenants Ducourlit (G. ParfrenK-.nt), Oliamoerops (w. Héadj FornicuRigaudiMaureniont ; M. et Mme dÇ \ n •' • canonnade près de Zdida. neau et Princeteau, venant de Libérai». Londres, 5 juin. Toutous-;.... lit.!) 21.0 S. K. t.p a. 13.1 3.1.5 M. de Pousse, M. Jean de Gaulejac, Mlle Ma<-H«Hdy), Oooisflelid (O. HaJ.«ey). Ovidn-11 (J.-B. MoLe voyage a été excellent ; les officiers se Puy-Js-Dôine fiS .l 11.9 s.K. a. f b. 10.2 11 .11 On télégraphie de Douvres qu'une collision r,catt), Caiipe-biem CBitoanM). VaHlailic-n (BoiÏMaJe . Contre le Roghî li .8 E .N .li. L b. 0.5 sont maintenus à une altitude moyenne de Plc-du-Mldt (13.2 CO thiïde de Gaulejac, M. •Maurice de l.n>. a eu lieu, hier après-midi, dans la Manche, ®oW;ro-l,l (F. Hardy), Casaiblanca-lV (O'Ooninoï). Mlles Jane, Mathiïde et Marie-Thérèse _tie Tanger, 5 juin, Perpignan. . mille mètres. entre les steamers hollandais Ariadnc et le Prix du Puy -de -nome : JcnirnaTlsfe ou Mon -Cliéil On mande d'El-Ksar, à la date du 3 juin &lav. Mile Germaine de Boisséson, M. fcinmnavire Hercules. !F. Hardy), Ilramos (R. Sauvât), Montagnard' (W. Ils repartiront demain matin pour Orléans. Bordeaux, ., nu ! d • Blav. MM. l'.oberi ,-, Pi .-ri'i' Henal . Ces deux steamers ont subi de grands dom- Head). .Sip?liin4e ou Ualiax (l'aiifremeirt), MoneslM. Arthur de Blay. lieutenant de Boisseeon, tir il". WoadJaiid), Fcn»«teHBeins (atb> (Tlitbault). CHUTE DE DEUX AVIATEURS mages. Prix <l<î il 'Auiveixjie : Galisarle (Defeyar), T.awent M. Henri do Laval aie. Mil -s Hélène et HenLe premier a dû être conduit à Douvres par par I'O Roghi Tazfâ, leur infligSànTde "fortes Madrid, 5 juin. R. Sauvall), Cîliaisy-lo-Roi (Gùmers), Suarlse (i'arii'eriette de Boisséson, Mlle de Lacroix. Mlles <»un bateau de secours appartenant au même mentl. Si^maJ (W. Head), Lf-Jaune (Barre), Oobsbla|A Ta 'rod.rome de Gétafe un monoplan que Massia, Mlle Denise de Boisséson, M. GUlinoi port. tion (A. Rfmaon), Dernseur-ïr (Thlijauit), jolin-Wlllib pilotait l'aviateur Mauvais avec un passager de Lagarde, M. Charles do Marliave, M. ™ (Uogaii), Itliaquo (X), Platine (F. Hardy), partant Une dépêche d'El-Ksar coinfiat^a^é a heurté des fils télégraphkjnies et a. capoté. Mme de Massia, Mlles de Sagariga, M. m Les sonneries civiles VIOLENTS ORAGES douiteux : Kama (X). palla du capitaine Moreaiu est entrée an com L'aviateur e»t ble;asisager Massia.- MUès .de Liobet, : 1MUg ^jjf^ tact avec les Djebala et le roghi à Tazia, à Sàint-Pétorsbourg, S juin. Pronostics Paris, lî juin. au côté. • M I" Do violents orages ont éclaté dans lés gouParis-Sport • AUiStrat, Saint-Rtmit — Bcmjfe Veil. quatre heures de marche au sud -est d'El-Ksar. Le maire d'une commune du Tarn avait Mrôe d'Ileille, M. Leroi, Picard, Oasteiif.ra.nis — La-Bidas»a, Florlcu1tiiTe'*4. vernements de, Kiew et de Kherson. nos romLes habitants des douars, effrayés, ont plié gn pris un arrêté portant qu'il aurait le droit do no soit penuis de,,,,joindre LA COURSE NICE-CORSE bonheur à ceux La pluie et la grêle sont tombées en abon- Ecuiù'O V-edi Piciand, Saint-Just-m — lOcurle Voil «I bagage et sent venus se réfugier à El-Ksar latro sonner les cloches Ooa églises pour ancatad, Hypnos — Sinaï, représentant GOIHICIKUIV. ipliments et nos souhaits , M . et Mme Joseph dance ; des grêlons de ia grosseur d'un œuf ;ivec leurs troupeaux. noncer les heures des repas ct colin do la La LiberU : Attirail. Œnone — Gastetifranc. reœa*. IX DEPART PU LIEUTENANT iBÀOtJB reprise des travaux des champs, la réimion qui ont été déjà adressés Les mesures avaient été prises pour défendre de pigeon ont détruit les récoltes sur plusieurs sentant Picard — La-Bldassca, Floricuiltura — KctiNico, 5 juta,' du conseil municipal, l'heure, d'ouverture et de. Gaulejac Bl-Rsar ; le consul d'Espagne avait envoyé milliers d'hectares ; plusieurs moulins à vent rie Veil l 'icard, Caxpe-Diem — Montagnard, IlypLe lieutenant Bague est parti ee mutin à de la clôture du scrutin les jours d'élection, des pigeons voyageurs à Laroche pour deman- ont été démolis. noH — Causerie, Reïirésewtant GoiHl<^haux. pour appeler les enfants à. l'école, annoncer /,' intransigeant : Austral. Saint-Rémi — Castèl. 5 heures de l'aérodiromo de la Bague peur Ja < < »' -'"i eapiliiHic Ovilo, inslrneli 11 r du SEoé De nombreux incendies ont été allumés par par un glas le, décès d'un habitant, rie. Corso. Ira no, RoiimSsontaat Picard — La-Hldassoa, Florldo po ,ce, d'envoyer à El-Ksar les liomm.es la foudre. l«| présence '±*gg2gi Cet arrêté fut déféré au conseil d'Etat, qui - U y a trois mois, jour -pour jour, que le lieuoolture — l 'iciM'ie Veil l 'icard, Merry-Knigbt — Heu <tont .il disposait. Londres, 5 Juin. copie qui nous Parvient atpu^ P ' j e, rie Veil Picard, Hypnos — Sinaï. Le -Jaune. tenant Bague se livrait, on le sait, à son a» vient de l'annuler. l il,r ,ll, 1]:i;11 1 1 Un épouvantable orage a éclate hier sur plunous prions nos correspondants or I nair in nnf , ''' , '' ' ' d'El-Ksar a fait ce mail Les Débats : Austral, Alexandre — Ecurie Veil L'arrêt dit que les cas prévus par le maire dâeiéuse tentative de traversée de la Mcditer1110 H 'coimaissanoe au-dielà de la rive gau sieurs villes d'Angleterre. occasionnels, SANS JAMAIS N^^PORMAPicard, Oastalfrane — L.vBi.ilawa, Leanont -Robert araruée, de Nice à Calvi cm, aéroplane. ne rentrent pas dans ceux déterminés par le ebo de l'oued Lonkkoa. A Birmingham, Le feu a provoqué la chute — Saint Jc-il. 11. Valilalion — Fcu-Uc •Bengale, ttw décret du 10 mars 1900, qui stipule que les NOUS ADRESSER LA MO NDRE Jl ^?n gJ|jaOn se souvient aussi qu'égaré dans la, bnu(m •oHi .onc-e que la mélialla du capitaine d'un bâtiment en construction. TION INTERESSANTE, $VMtW WW" •••J taguard — Causerie, Swrtrlsa cloches peuvent être employées aux sonne- nient les longueurs et développements m; U wx lenu nt le ,w^„ s .,,(, ^ renous Men eau a une et poiussé vers l'est par le vent, lit vint atuuai.n' piM'si unies ont été ensevelies. i ries civiles seulement, dans lo cas do péril tlles et do noii6 adresser des 00Urri»i terrir dans l'île de Gorgona., à 00 kilomètres A No,Unughafln.-Nomairo, des maisons ont été :;,K : pi ''A:-v ,:r Concours hippique de Narbonne ('(iiuniuii exilteanl un prompt secours, et dans de Calvi, ayant accompli uu vol do 300 kiloblés. *»wugieont <Ves pertes assez sensi- lézardées niais les habitants se sont enfuis inCOURTS ot NOMBREUX. , C6 . ceux où cet emploi est fixe par des dispos iDeuxième journée mèl'ivs uu-diessus de la mer. Les comptes-rendus de fôtos, réunions «J^J demnes. l lions do la loi ou des règlements, ou autorisés la diisitanice de Nice à Golvi est de 210 kllorémonles reliRiouscs doivent être ftirei» e La ?po ,nlat.,on d'El-Ksax est malmena,,, 1; . SPrix dos Veneurs, gentlemen, handicap. — par dos usages locaux. ment concis on raison do leur multiplicité1" prix, 300 fr., Bugby, à M. Santohnl, par mètres à vol d'oiseau. La réorganisation chérifienne Nous ne nous trouverons pas ainsi dans i *T Ajaccio, 5 juin ml df. M. de Prunelé ; 2* prix, 200 fr., Porthos, à. bligation d'ajourner pendant un ou p\v *i*vr* On a été prévenu, à Ajaccio, du départ du Les notables, des Cberarga et Ouiud-Ja.ma ont M. ciuston Foui'cude, par M. Lauth ; 3" prix. Jours l'insortion de leur copie. accepté las conditions dio Mowtoï-iiatid- soit 100 fr.. Limerick, au comte dm Villeneuve, par lieuiteinant Uaguo «le Nice pour la Corse. un versement do aOO.tlOO pesetas comme indemLes pupirtttUwss te si vi ut ar 'sitôt pciiiées Une lo propriétaire ; V prix. 50 fr., Espoir, ù M. nité de guerre et ils se sont engagés en outre KudirAngle., par le propriétaire. sur la côte, oti .règne une grande animation. bre d A imidit, les evmaplioivs n'avaient reçu auù fournir 300 cavaliers au maglizen. rlots : Maboul, à M. Prix-Gièse nav le nvn. VERRES DE LUNETTES SPECIAUX T e conseil de l'Ordre national de la. Légion U % M ' Vilh^-'M t 'ai'uV ; cune 'nouvelle de l'aviateur. IJO sultan a fait remettre ©n liberté les caïds dous les^r .i^ i 'i,eoi>h-uA ' ^' VV' d'hoaitmtur a arrêté aux ichiffres suivants les cour vues affaiblies (P. Déposé), appliqué* P"»*; M C : au-c A Tannoii, SainUtcmmo* et dm,M» m» oShSut^ i 'i. ;., Nice, 5 juin. de DoAiUata et les autres caïds empriscTines ' " "' " m opriôtaire M RouzU. opticien classé hors concoursIP extinctions notifiées dans la Légion d'bouOn est »;ans nouvelles du lieutenant Uaitue, tromba d 'eau et <•« «re* a causé d 'htSett-anS Coi.ii vin .' , llll''> rmr le propriétaire, par El-Giaoui et il leur a Tendu leurs ceidats r à'tâ. neiir et la médaille militaire, ainsi que les Franco et <% I ctranijer. Rue de Metï, U» \9* lprix du Conseil général — oui devait arriver ce matin ver* huit heunes dié, cec coïiis. ainsi que le nouveau gouverneur » IWtX. valeur 350 francs, Filister, au Heuto- a AjuiCciQ. vacances pr 'Almues dans lOidre par promu- louse.

LA CRISE CHAMPENOISE

TIMBRES-RETAITRE

Fédération des Sociétés Musicales du Midi

Paris-Roms-Turin

A

L 'ETRANGER

Le Prince héritier de. Turquie en France

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Bans les Balkans

lEEiai aJ^F^

C ^ aE

^tiI?

Le Cinquantenaire Italien

L'IMPOT SUR LES TANTIÈMES

BULLETIN MÉTÉOROLOGIQUE

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Les Affaires to Maroc

AU CONSEIL D'ETAT

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Cliancellerie de la Légion d'Honneur

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MARDI 6 JUIN Ml

Uns Grande Menée fauromeMpe

bhi, coups et blessures volontaires au sieur Vlguié, 50 iranos d'amende. - Jean-Joseph Turl.au, 50 ans, propriétaire, a Firmi, outrages à la i;oudani»erie. 4 Jours de prison. — M. R. A..., femme. L..., 30 ans. ménagère a Cran-soc, mise on vente de lait falsifié, ot) fr. d'amende. — M. M..., femme L'..., 43 ans, ménegéne à Cransac, mise en vente do lait lalsillé, iîO fr. d'amende, — Louis-Achille A..., 19 ans, manœuvre a Viviez, infraction à la police des chemins do fer. 1 fr. d'amende. — Gabriel Furbeyre, 58 ans, et Emmanuel Cambeiort, 33 ans, propriétaire, à Lacomhe, commune de Villeneuve, citasse en temps prohibé, 00 francs d'amende. CRANSAC. - Noyée. — Jeudi matin, des ouvriers travaillant sur le plateau de Campagnac, découvrirent dans lo bassin tles ('.lois, lo .corps de Mme veuve (lannao, âgée de 75 ans environ, «lomiciliée. fi Ruslbc, exerçant la profession de revendeuse; la veille, cette dame était, venue à Cransac revendre des pies. Elle tenait encore dans ses mains crispées un panier contenant trois de ces oiseaux. Elle avait dans ses poches la somme de 3 tr. GO, produit sans doute de sa vente. Vers 11 heure* du soir, on l'avait vu se diriger vers les Clots pour regagner son domicile. C'est donc en reprenant le chemin de sa maison que, trompée sans doute par l'obscurité, elle est tombée accidentellement dans le bassin en voulant suivre un aaccauaxi. MONTS.». LÈS. - Cambriolage. — Un tant cambriolage a été commis le 39 mai, entre 2 et 0 heures du soir au préjudice de M. Antoine Souilé, du Pech du Lhom. Tandis qu'il travaillait dans les champs, à 1,200 mètres de chez lui, un malfaiteur allait prendre dans le coin le plus obscur d'une grange, une échelle, l'appliquait au mur de la maison et, par une fenêtre, s'introduisait dans une chambre. Tout droit, le malfaiteur se dirigea vers une armoire non' fermée à clef qui se trouvait dans une autre pièce. A l'aide d'un hachette trouvée dans la maison, il força un tiroir et s'empara d'une somme de 730 fr. qui y était renfermée. Toutes les circonstances de ce vol monttrenit qu'il n'a pu être accompli que par quelqu'un parfaitement au courant des habitudes do la maison. CAPDENAC. — Association civile. — L' « Officiel » d'il 3 juin publie l'extrait d'unie décàaration faite le ,9 mai par la société « Les Fervents de la gante », dont le but est d'acclimater, dans le Lot, de nouvelles espèces de poissons utiles, détruiwo les espèces nuisibles ot la répression du •maxaudrjpe, avec siège social à, Cap'dena'C.

Dubois, 96 «me, né à Viviez fKcÉdiy, knCBlpé «le

Rappels de miVlaille6 d'or grand module. — FERRALS. — Rémi et Anatole. — C'était les reliquee de saint Saturnin ; suivait le long vi ^atHniiihij -e. Conduit a Calmis samedi, D11- MM. 11 Maine, a Suisse»: et à Canaswjsi*»e; après (pn'hiue» jounnées de mauvais temps défilé di s reliques : notre petite Germaine bois a été éc.roué À la niaiecin d'arrêt en atten- Gleyzes et Tallavignos, ù Paulignan (Traûsae). que Rémi ct Anatole allèrent a lu forël la Pi non., souriait du haut de son baldaquin ; la dioant «1 comparution «levant 'h» trtbutnal corMédaillée d'or grand module. -- Mme veuve nède taire une coup*- «le bois de chauffage. Sa inle-Epine, portée par quatre écoles iastlCe matin rUinanche tenu, dâQfi lo gramreotionnel, qui infligera une nouvelle 'condam- Guyonnet, a Lamlxii, tst -l'olycarpc) ; Armand Après avoir travail lé quelques lieures, Remi «111 < ' en dalmatique ; la Vraie Croix, sur les ôo salie de l'Athénée, on meeting dé protesla. nation -pouir orner aneoro son casier jiniiciaite , ;i B:utlii', SI l'iono «-t Ma«lone (Vrdit a son compagnon : i -piiiile- de quatre diacres eu ètoh-, saluée par itoo oohtoe le projet die UA Brolon boudant a pas.sablenient clwir^. zoiis) ; docteur Jean CiiavaiMiles, à Turban ; — Allons casser la croûte. les orfruea au onant du Cruxave, la suppression des corridas en France. Kl ie Faueetè, .1 CeueseUes-Baases (Mussoulens) Co lut ;it>rès le repas qtu: commença le diaViolent orage. — Un orage d'une violence La inan.iie a. continué, solennelle, pendant Un 'millier de Bordelais, auxquels s'étaient ou alternaient, les chants, les tambours, le* rare éclata vendredi dernier, a. .ipunbro heures Boniain VMK, ;i (ia.spa.rets (Bouleuacj ; doe- kMrUe suivant : j.sims de niiinl>reiix aficionados venus <le Rémi. — Sals-tu ce qui se pa£se au bureau clairons el les or;;ues ; elle a regatiné le sancdu soir, dans la région sud; die commu- tevjs Gullhem, à Kmpérie (St-Michcl-de-Ianés); tous les points die la France Bayonne, Dax, Louis Buscall à Pradelles-Cabartlès et à laure. de bienfaisance ? tuaire el le climiir u salué les \p0ttvs d 'une ne. Une véritable Tromlm <-i:ii tomba mwla: Moiilde-Mnrrn-.i, Toulouse, Nîmes, garnissont Rappel de médaille «l'or. — M. Adolphe AmiAnatole. -- Non. Que se passe-t il ? uivoc-ilioii redoublée, ce qui donne le sens de nemrent sur to. contrée et nnvlna les champs les gradins de la vaste enceinte. la cérémonie. gués h la Bourdasse (Monze). , , Rémi. — Il y a que le Marquis el compagnie fraiclienanit travaiiilés, arrachant, arbres et viA 9 h. I, pieiwient place à la tribun* MM. T.at ,c moqueiil pas mal de nous, « les indif ,*'i )l -i ». Médaille «l'or. — MM. Albert Huguet, a MoLes Apôtres, à pareil jour, ont été touché» gnes et wiitra.îiiii'jjiit les terres et les (rochers lapio. sénateur des Landes, président, SébllAnatole. — Raconte-moJ ça ! reau (Careassonne) ; docoiir Osmln LailiH-e, a par la flamme d'en haut ; ils ont été des dans U va'l'liée. îean, adjoint an maire «le Bardieaiux, docteur Rémi. — Tu sais que M. le Maire 1 a-end l'in- hommes nouveaux et ils ont prêché les paLes lieux diuts RoublgnoliS, lamit, GuiKou- chalalire ; André Nougarot. a Malvezy (NarLierre, adjoint an mairo do Toulouse, Sarintbonne) ; Henri lî.-ni.L-l. à P.izo ; Hermès et térêt de tous et surtout des indigents. roles qui ont fait bs suiuls ; voilà pourquoi, anet et Pèlis ont été particulièrement éprouGerrnàâas, Bayles, Duthil, J.ainé, président du (ialon Bonnes, à Gléon (villesèque «lies CoibièAnatole. — Après !... en ce jour do la Pentecôte el durant l 'octave, vés. ros) Toro-Sport Bordelais, cte. . Enimanuel Roque, à Jouonres (Azlllc; ; Rénal.— Toutes les fois que vient, à Ferrais, ceux qui ont triomphé pour avoir eu leur via la grftle, do grofiseur exceptionnelle, proM. Latapie présente les différents orateurs. une attraction quelconque il ne manque pas pénétrée du divin Esprit sont, à Saint-Sernin, duisit de grands «l<-«als dans tes vlgnieiWe*, st- Marcel Talinvigne, à 'St-Jean-dc-Barrou Médailles d'argent grand module. — MM. d'y envoyer Arthur percevoir le droit des pau- solennellement exposés devant les fidèles, Sucoeéslveiaenit, MM. vietôr Meunier, sébiltu:(':s «sur les plateaux. leau et le docteur Lierre, prennent la parole. Les prairies de la Cotmlie,, de RoublgnoS fu- Marcel Julien, il Vilb 'i'anilK 'it (Cannes -Miner- vres. auxquels Ils disent : « Si vous voulez vaincre Ce dernier dédtane que ta •municipalité de vis) ; Huebrt Roche, à Algies ; Joseph Vignes, Anatole. —• Je le sais si bien qu'un jour JoreuA ,en <nwt «iûcs imstanit», recouvertes d'unie la Haine par l'Amour, écoutez Celui que nous Toulouse est toute acquise aux corridas, -véri9 Rocfaogrlse (NiiThonnc) ; Idlonu-nl Nicol, a épaisse couche «le vase et de gravier. séphine était folle contre lui, disant ; « Tant avons écouté et faites ce qu'il nous a dit ct table écolo de courage ct d'abnégation quoi i a Louy'ière (Salles-sur-l'Hers ; Mlle veuvo que M. Louis fera mairo nous n'aurons La coupe do fourrage c&t pendue, ce qu 'il vous dira de faire. — II. do R. qu'on en dise. L la fontaiiine qui aAimewie la. ville fut r#M- Léonie Podajarios, a Go.uderc (Nuxboawie) ; M. mals de théâtre, parce qu'il exige quo l'on Le président de la Fédération des Sociétés verse une cotisation au bureau «le btenfaisanoe. môme envahie par un amas «xxniandéffabtie dm Pierre GÉU, a. Salitt-Jean (Mu -'-s -'iiirtu-;. Médailles d'argent-.- — Mme veuve Gaston de France, qui comprend 13,000 membres, Réird, - - A la dernière réunion, ils ont voté, Le Feu terre et do sable. Lo tuyau (ramenée des eaux Bouanet, aux Loubats (Castelnaudary) ; MM. le maire, un nouveau règlement. prend à son tour la parole. Hier matin, vers II heures, un incendie s'est étant «jbstrué, la îiopuiatien se trouva suJ>i- le docteur Azaibert, à GauneaMinervots: Geor- malgré Anatole. — Eli ! bien, après ! 11 cite les noms des parlementaires qui ont déclaré dan- l'immeuble i -ccupé par M. Bertemeuit privée d'eau jiotabilie. Rémi. — Dans ce nouveau règlement, il <.st trand Balard, au 7* kilomètre, sur la rouie do Loger, à d'Annay (Puicliéri-.'j ; f.oui* AJ-Jdonné leur adhésion ari mouvement. On espère que les n: parafions nécessaires ne ges !>i-i t, à La. Salle (eau iisseune) ; Pierre Sedit qu'une salle sera louée pour y installer Le Lalande. Bans la Gironde, il y en a trois : Ballor.de, prendïurit guère plus d'une jaunné*. guiar, ù Péxîora, ViUasavary et Villesiscle ; bureau, d'Elissaga.ray et Bordarie. Le feu a détruit une meule de 400 quintaux De longtemps, on n'avait vu dans le pays docteur Grousset, a Veideaiac-Cabaules ; NaAnatole. — Ce que tu ine dis là n'est pas pos- de paille placés sous un hangar, ainsi que M. Baylet, délégué de la municipalité de semblable trombe d'eau. Ce tsoint encoie 'de poléon Branca, tV Ste-Eutolie ; Guillaume BoNîmes, déclare à son tour qu'il est heureux ; ils ont une salle, à la mairie. :so quintaux de foin, une charrette et doux nouvel'iea 'pentes très importantes les oui- dos, au Pinié (Castetoaudary) ; André Redon, sible d'apporter le sa lut des Nimois qui ont toujours Rémi. —Tu sais qu'à la mairie ils ne sont tombereaux. tivateurs. à Salnt-Pierre -de -Trapel (Villehioustaussou) ; pas a leur aise ; que leur importe que les Incombattu avec tant d'ardeur pour la défense de Les pompiers de la caserne Roussy se sont la liberté. Pierre Mouree», à Lespinassi&re ; Louis DC; digents aient 60 ou H0 fràncé en moins. transportée suc les lieux commandés par la ARRONDISSEMENT DE FIGEAC Au '11001 de Bayonne, le délégué de cette ville Anatole. — C'est absurde ! Dépenser notro lieutenant Mauco, <-t ont mis une pompe en paule, à Bordeneuve (Montirat) ; Baptiste tonvient' assurer les Bordelais de leur esprit do batterie ; ils se sont rapidement rendus maîF1CEAC. — Orage. — Dans l'après midi «le tanel à Conques ; Jean Rey, à Pbuaoites (ron- argent pour une salle quand on en a une grasolidarité et invite les aficionados à venir astres du feu. Les pertes sont couvertes par une veiadrecH, vers qualro lieures, v.n vérltabls cy- ters-du-Razès) ; Proeper GolibeH, à la Provi- tis. sister au meeting do protestation qui se tienRémi. — Ils m veulent pas ,y aller tant assurance. clone s'est d'écliaînié sur les cantons «le Figeae. dence (Careassonne). . „. , . dra a Bayonne le 84 septembre. Médaille «le bronze. — M. Paul Rivais, a St- qu'ils -ne seront pas les maîtres. Pontlant pfcs de deux lieures, les éclairs et les A l'issue do la réunion, un ordre du jour de Anatole. — Alors, ils attendront longtemps. coups de t-oniierre se succédaient avec une Murtin (Cancassonno). Accident de tramway mandant, la liberté des corridas est voté à l'uDiplômes d'objet d'art : Communes Darqucs rapidité effrayante. On aurait dit dos décharnanimité, Hier matin, vers neuf heures et demie, sur ARRONDISSEMENT DE CASTEI, NA UDARY et de Lespioaeeiere. ges d'artillerie. > Cet ordre du jour demande que la Chambre la place Rouaix, une collision s'est produite Diplômes de médaille d'or grand module. — La foudre est tombée sur les fils du .télégraajoute a tout texte de loi relatif aux animaux CASTELNAUDARY. La Caissa d'Epargne entre la motrice n" 36 de la Compagnie des Coopôialive de vinification et«le vente «ie* phe, au bureau «le 'poste, et le fluide a fondu domestiques et à leur traitement qu'en aucun Tramways, et uno voiture automobile, couvignerons «le la région do Lézignan ; Coopé- — Opérations du '1 juin 1911 : un tuyau «le gaz et mis le feu. eas les dispositions de cette loi ne pourront duire par son propriétaire, M. Grabtus-BaVersements 4 ,488 »» rativo de distillation « Los Vignerons de Biza'Si co luit s'était prexioU pendant la nuit, il s appliquer aux courses de taureaux et que ces gnérie, demeurant place Saint-Etienne, 4. Rcmboiursomt-nt* 4,571 »» est hors «le doute que l'étubliissemient aurait net » ; communes de Barbafera et de Bize. courses pourront dans l'avertir, comme par Tout s'est borné à des dégâts matériels. Diplôme de médaille d'or ; Commune «le été iincendrié. le passe, être données sous ces doubles condiExcédents de remboursements. . 83 »» Lézignan. A kl gare, la foudre est tombée sur un po tions : 1° Que les villes où elles se donneront Aviation. — Henri Laffargue se prépare à ÏMplOme de médatile d'argent grand module. team télégraphique et a brisé les appareils et posséderont, au jour de la promulgation de la A la Gare aller gioûter au fameux cassoulet, et les heules fils condiucteuirs. Sw certains points, la — Communes de lagrassc et de Capendu. loi, un cirque où une arène, destinée à ce Lo nommé Germain Entraygues, âgé de 25 reux habitants de CasteJnaaidary attendent Diplôme de médaille d'argent : Coimnimc de grêle a lait «les ravages, ibotammeut à Four, genre de spectacle ; 2« Qu'efles seront autoavec irnpatienco cet intrépide aviateur pour ans, a été arrêté hier pour tentative de vol a '• où «judlques v.;g.no.bles ont. été fortement en- Boulonai:. risées et réglementées par la municipalité. la tire à la gare Matabiuu. Diplôme de médaille de bronze. — Société le 11 juin A midi, un grand banquet de cent couverts «lomimigés. Il wn .est cte même 5 Camburat et — Le nommé Cuadrada Dicnisio, Agé de BRAM. — Solennité de la Pentecôte. — Le de pisciculture et de pèclicurs à la ligne de réunissait les congressistes. à Foiiiiriiiagnac. saint jour de la Pentecôte a été dignement, re- 19 ans, sujet espagnol, sans domicile fixe, a . . , Enfin, l'après-midi, à 4 heures, une grande Tuée par la foudre. — Pendant l'orage «te Lézignan. Prix spécial de* écoles pratiques d agricul- ligieusement et grandioeement fêté par notre été arrêté également pour infraction à la polàojt corrida a été donnée -aux arènes de Labenate, vendredi, la dame Marie Labwihio, veuve Cades chemins de fer. vaillante et chrétienne paroisse. an cours desquelles six tores ont été estoqués puis, âgée de 59 ans, u été tuéc< par la foudre. ture et des f<îrmes-écoles. — Ferme-écolo du tûiujours Notre superbe et vaste église était, pour la i-iar les matadores Antonio Bolo, Regatcri-n et Bosc, à Mayreville. Elle était occupée à des travaux «Les champs Rodolfo Ca.cna. Irrigations, — Rappel de prix d'irrigation : circonstance, parée «le ses plus beaux orne uuarul l'orage la surpjriit. Elle aiUa s'abiiier Association des Médecins daine son, -feuimU. et «'est là qu'elle fu* moitet- MM. Lucien Roux, à Villalier ; Hubert Roche, ments. A la première messe de 7 heures, tous les lement frappée. ARRONDISSEMENT DE MILLA0 à Arqrn^s. de Toulouse enifanUs «le la première commuiiiicn s'appro Prix d'irrigation avec médoiilie de bronze noM. lo commissaire de police et ses nseuts CONSULTATIONS CRATU1TES MILLAU. -- Bijouterie cambriolée. — Pen- se sont transportés sur les lieux pour procéder minative. —- Association syndicale du canal chèrent, pour la de-uxièroe fois, de la Sainte T.e mardi et le samedi, anci«\nne caserne de la d'Ecouloubrc. médaille et iOO francs ; des ca- Table- ; égalemeat beaucoup de fidèles aecomdant la nuit du jeudi 1er juin, au vendredi aux coïisia/tatioTis d'usage. StisskMi, plase« de la Daurade, à 1 liciiTe. naux de La Doux à Soulatgé, médaille et 400 plirent leur devoir religieux. des valeurs se sont introduit* par escalade Slédeeins consultants peaidant le mois de juin : De très beaux motets et cantiques furent exé francs ; du canal de Paza à Soulatgé, médaille Le concours de chevaux ds selle, hongres et pou- dans le magasin de M. Charles Château, bijou ARRONDISSEMENT DE GOVRDON 1'» semaine, M. Basset ; V, M. Bonneau ; 3*. M. Daliiies de trois ans présentés montés a été ouvert et 330 francs ; du canal du I-oe à Sigean, mé- entés à es sairw. office par le ehoMU des jeu tier. lioulevard de PAyrolle, 25 (en face le ColV SI. Gendre. SI. Slalarett, secrétaire, pendant samedi matin, an dépôt de remonte de Tarbes. nos filles, morceaux ravissants qui certaine- pau; dbttîe et 200 francs ; MM. Jules Albert, à. Pui!. ASA-S TIOE-MUfiAT. Cheval BRlbalU, tout le mois. lège). , Les principaux éleveurs des Hautes et des Basses. chéric, médaiUe et 130 francs ; François Rives, ment firent impression sur les nombieux fidèVendiredi 2 juin, vers cinq fleure» du soir, M. lis ont scié un des barreaux en fer d'une pePyrénées, des Landes, du Gers et de la Uaute-Gales réunis. tite baie carrée, ouvrant sur la ruelle, toujours Arène, proprlétaixe à Beuumat, s'arrêtait, avec à Montolieu, médaille et 30 frimes ; Jacques ronne s'y étalent itamié rendez-vous. VICTOR VAISOIKIV La grarjd'messo de Bordères, en « ut » ma su vatturo .devant le restaurant de M. Lacaze, Barrière, à Caunes-Minervois, médaille ; AnLe lot de chevaux, environ 70, était remarquable. déserte, qu'on appelle « la Bouolto dé Pain dré Nougaret à Malviesy (eferrboime), médail- jour, fut oxceliemeiH exécutée par le chœur de Voici les résultats : till'ado », et avec une telle dextérité que per- maire ù» Iomothe-fiassel. 1»', 1.000 francs, Arcizac, par Glacier et Anida, A peine avait-il pénétré à l'intérieur, qpe le ; Mme veuve Paul Gely, à Saissac, médaille. ciiaïit paroissial. sonne n'a entendu le moindre bruit, pas même Trouvailles par Taisier. à SI. Bourgade, à Aucli (Gers). A cet office également furent <hai>tés do Récompenses aux agents «le M. Barrié, lauchoral s'était débridé et partait subitement Réclamer ; A M. Jean Dusel, demeurant nlaca g-, eoo francs. Ignace, par Domezain et de Colibri, au premier étage où l'on veillait un malade le 1 éat du prix cultural de la lre catégorie et de très beaux monceaux de circonstance. Savant au gradissime galop. Un -malheur était imTous les bijoux en or, montres, bagues, Bradai, un pardessus ; a St. Lapone, rue du Canona M. Alfred I.aréo, à Castelnau-Barbarens (Gers). ment enlevés par le lutrin et les jeunes filles «l'Arrule. 25, un pigeon la prime d'honneur. voyagwur ; à M. Jean chaînes, et autres objets d'orfèvrerie facile minieriit. 3', roo francs, Isabelle, par Ctiène-Royal et f. de pendant l'Elévation et après la Communion. A ce momient précis arrivait à bicyclette, sur - Médailles d'argent. — M. Pierre Baurès, réGros, impasse Calnizac, un réticule contentant une Fez, à SI. Aponey, à Ilerrère (Basses-Pyrénées). ment transportables de ce riche ct beau maUn salut solennel du Très Saint Socfoment gisseur (250 fr.) ; Mme veuve Marie Montserpaire de lunetlos -, à l'administration des tramways, la route «le Saulornès, lo faetieur Faugèire. Ce£00 francs, Iris, par Kraken et f. de Koba, à. gasin ont été enlevés. M. Baudon.net, à Laftitte (Tarn-et-Garonne). des omtoreiBes. une grande ctole notre ct un pa«iti*» Les pertes s'élèvent à plus de 6,000 fr., plus lui-ci, à la vue de l'animal emballé, redoubla rat, ménagère. (115 fr.) ; M. Antonio Baurès, clôtura ce sait office, suivi par le chant end-a papier pour êplceirie. &', ',50 francs, Bergère, pitr Sauteur et Bérengeretraînaut ùu « Laudotc Dominum », parfaite do vitesse, rnais ne fut pas assez heureux pour jardinier fS3 fr.). II, par Tantale, à M. Sloura, à Aureilhan (Hatites- de 110 fr. contenus dans le tiroir-caisse. On le rejoindre. Trois bioyc-'Asiies alors se lancêMétlaillu de bronze : M. Michel Iannes, maî- ment exécuté. croit que le vol n'a pu être commis que par Ty rénées). Très belles vêpres à D lieures du soir, en trc-yalct (50 fr.). «>', 460 francs, Aristo, par Pocco-SIaierte et f. de de tous petiiis jeunes gens, le corps d'un hom- reut à sa poursuite, mats sans plus dé succès. Tout le monde dit... Petite culture. — Rappel de prime d'hon- faux'-bourdons. clxurttées simultanément par le Vicq-d'Azyr, à SI. Baudonnar, â Laffltte ('l'arn-etme fait ne pouvant passer par l'ouverture jUrivés à rendroit dit les « Cinq Pierre* >, quo, par son goût agréable, par ses qualiléa lutrin et les jeunes filles réunis. Caromte). neur : M. Michel Lacaze, à Arzens. quelle ne fut pais leur surpri.se> de voir le fils •très étroite dont nous avons parlé. digestives et dèpiarativcs hors «le pair, la sour7% ',00 francs. Indigo, par Kall et f. de SlonsieurPrimo d'honneur : Un objet d'art de 300 fr. D'excellents morceaux de choix furent, riian 1 /0 bruit court que les malfaiteurs seraient du propriétaire du cheval se diriger vers LaBetsy, à Sf. Dii-périn, à. Sigoufielle (Gers). ce de MONTÉQUT-SÉCLA est eompaiablc aux bastide à toute allure. et une somme de 900 francs : M. Alois Com- tés savamment et impeccablement, accompa allés hier matin prendre le train à la halte de S", 400 francs, lnca, par Burou ot f. de Bracelet, gnés sur l'iiarmonium, excellemment tenu par sources les plus répuitées. bettes, à Sallèles-d'AïKie. L'explication en était facile Peyre. â M. Duipérin à Ségoulielle (Gers). La c«œsécrat.iou de l'Académie de Médecin» Médailles de bronze nominatives : MM. Lau- Mlle Marie-Thérèse Seguier. M. Arène fils, qui, ù l'aide d'un gros bâton, Tout le monde parle avec sympathie de l'ho 9", 4-00 francs. Boyard, par Simotm et Bathilde, Notre église resplendisait de myriade* de lu- l'a afit admettre en tous lieux. norable famille universellement estimée, qui avait iréiissi à arrêter l'an.iuial, pressentait un rent Petit, ù Saùtf-Nazaire (300 fr.) ; Antoine par Fils-de-ltoi, à SI. Esquerré, à Montferrand Partout, 20 centimes -o.uement la bouteille. (Gers). . . est victime de ce vol audacieux et d'autant malheur. Heureusement, il n'en était rien. Bougé, à Mnynard (Limoux), WO fr.; Antoine mières, chapelles latérales, transept et nef 10*, 400 francs, Rose-Bonheur, par Gnslistan et étaient vraiment rayonnants et majestueux ù plus cruellement éprouvée qu'elle est encore Les cyclistes lui apprenaient (pie M. Arène Alquié, à Carcaseomie. Rêveuse, par siakscrade ou Monrgadek, a SI. La- aux débuts de sa profession et de son com- était bien portant au restaura-nit Lacaa;. la fois. Horticulture. — Prime d'henneur : Objet Voies urlnaires : Docteur CU1LLAUMAT porte, à Sarniguet (Hautes-Pyrénées). A l'issue des vêpres eut lieu une imposante Trallement radical des rtêtréeiasoineots. CystltM, Après cette folle randonnée, qui «uirait pu d'art de 300 francs et GOO francs : M. Jacques merce. 11\ 350 francs, Arablelte, par Hamlet et Arabia, coûter la vie à quelque passant paisible, tout Barrère, à Caunes-Mi nervois. procession peur la clôture de l'exercice du Ooutto cbroniQ. parl'Kectrotuse.g.r. RlvaisTouitou»» par Camipéador, à SI. Bladé, à Slirepelx (BassesAccident mortel. — M. Eugène Dupont, jourMédaille tic Irron'Ze r.ominatives : M. Albert mois de Marie, à l'extérieur. Py rénées). nalier à Millau, qui conduisait, hier matin, se borne à doux brebis, qiii furent eéideqèe12", 850 francs, L'Adour, par Kerlaz et f. d'Alco- une vache à La Cavalerie, fut culbuté par une inent endommagéee à la descente de Crouza- Pouget, jardinier à Careassonne (300 francs) ; A la rentrée de cette procession solennelle, A L'IDÉAL, Tculouae ran. à M. Lhoste, à Marestaiog (Gers). vai, Mme veuve Jean-Baptiste Gayda ; Gayda et divers motets et cantiques furent chantés : automobile. est la meilleure 13', 350 francs, Clara, par Hetman et Ccwruelte, fils, à Laprade (Careassonne), 300 ir.; MM. Mi« Vent Creator », « Hymne du Soir •, de Kunc; THECftA. — Le double crime. — T.'enquête Belevô dons un état pitoyable, le malheupar Herr-Bél)é, à SI. Jean-SIarie Barrère, â Iliis 1 reux a été transporté à l'hospice, où il a suc- sua le so,mbrc «lramie «le Thégro s'est poucsaii- chel Boyer. à Laebonles (200 fr.) : Dominique morceaux réellement ravissants, adirrirable(Hautes- Pyrénées). APERITIF DES ARTHRITIQUES J&mmes, jardinier à Careassonne (100 francs) ; ment bien exécutés. vlc vendTcdi et ;a.medi, par îes soins de M. 14*. 350 Irancs, ibérique, par Sourire et f. de Mancombé dans la soirée à, la suite des graves Charles BeTthonrieu, à la Doniëque (Canetttarin, à St. Buzy-Cazeaux, à An-gais (Basses-PyréUn salut solennel et bénédiction du Très blessures qu'il avait reçues. Danbiiae, juge de -paix à Graaùat, assiste des nées). d'Audet. 100 fr.; Jean-Iiaptiste Vj5ca.rgueil, jar- Saint Sacrement clôtura cette belle solennité Etat civil. — Naissances : Boudil Roger, fils ageaits «le la brigade mobile. 15". 30O francs, Jol;a, par MeîcUlor et f. d'Edhen, à 'La piste qui avait été -annoncée comme de- dirriei- à Ca-rcassonne (100 £r.) ; Bartliélemy de la Pentecôte, après toutefois un cantique de de Joseph, entrepreneur de maçonnerie, et de M. Baudonnel, à Lalfitte (Tarn-et-Gavonne). DANS TOUS LS» Besombes Eulalie, rue de Strasbourg ; Julien vant ou ^pouvant flcmmer un 'résultat, s'est Jamme. jardinier il Careassonne (100 fr.) ; circonstance très bien rendu. 1C", 3-00 francs. Tarlarin, par Avallon et Nicole, Nous adressons à notre chœur de chant patrouvée, malheureusement, fausse, et après Jean-Jules Gaisset, à Luc-sur-Orlieu. p;.:r Halab, à M. -Destleux-Jimca, à Sorbets (Gers). Marcel, fils de Louis, cultivateur, et de Bar•Arboriculture. — Prime d'honneur : Un ob17*, 300 francs, Itodilard, par Sauteur et Casilda, roiasiiil nos metteurs remerciements ct nos tho Louise, aux Aumières, commune de Mil- une série d 'interrogaitoiTes et tle pe.refuisiticms, par Clément, à SI. Dticlos, à Tarties- (Hautcs-Pyre- lau ; Arlabosse Odette, 11 lie de Joseph, com- la justMie est obligée d'orienter ses r-jolieiches jet d'art «le 300 francs et une somoie de 600 fr. plus sincères félicitations et tout particulièrenées). M. Edouard Lassalle, horticudteur fleuriste à «tans uouvoile direction. ment a M. Jean Guilhem, lntriuiste, qui s'est merçant, et de Froment Georgette, avenue de IS", 300 francs. Image, par Hamlet et f. d'In-Foadmnrablement bien conduit dans le chant de D'antre part-, nous appremons que deux hom- Ca:rcassomie. Paris ; Massol Raymonde, fille do Ixmise, lio, à SI. Bernet, à Balgts (Basses-Pyrénées). Médaiilles de bronze nominatives : MM. Jean l' « Hymne du Soir a, en qualité de soliste. — comptable, et de Raymond Maria, rue des mes die smearvass» mime eut «scorpé, mardi adr, Gélis, 19", 300 francs, Clora, par Sinaï et Cassolette, pépiniérfestie à (arcassoirfne (iOO fr.) ; LuNos remeiviemonts s'adressent aussi à notre •ù Gramat, ù l'auberge De-lpeyrot. Cordcliers. par Castillan, a SI. Cazaux-Hftrret, à Slontgalll-ard cien lX>ux, à Villalier ; Barthélémy Raynaud, vaillante population, qui ne craint point de Vers les 9 lieures et demie, ils passaient à (Hautefi-Pyrénées). Mariages : Marques Albert, employé de comà Careassonne. faire sen devoir de «ratholique et do prati90», 3oo francs, Idéaliste, par Witness et f. de Lavergue, où personne me voulant les recevoir. NOS PETITS ÉLÉGANTS sont conduits par merce, et Got Lucie, s. p., à Millau : Gausse! Nous donnerons, dans on prochain numéro, quante à chaque manifestation et solennité du leurs mamans au PETIT MARIN (Mile Bas> Kars, à M. C'aisédat, à Pardies (Basses-Pyrénées). Ils sont activement recherchés par la police. •Louis, domestique et Parguel Maria, s. p., à 21", 250 franc, lalla-Marnia , j»ar Uj liant et Gola liste des récempenses aux agents, contreculte, et cela, malgrS les temps néfastes et tter), rue des Lois, 2Î, Toulouse, près le CaLe coupabledemeure toujours introuvable verness, par I.ove-Wisely. à SI. le comte B. de Millau ; Ginesty Louis, gantier, et Mamy Pal- et l'affaire de Thégra, autant pair Je mystèsro maîtres et ouvriers agricoles des lauréats des odieux que nous subissons de la part des secpitale. Spécialité de costumes de petits garmyre, s. p., à Millau ; Fraisse Eugène, boulJ ias, à Bagncres-de-Blgorre (Hautes-Pyrénées). prix de spécialités, ainsi que celles accordées taire* au pouvoir. çons. — Economie. V2", ïso francs. Turinome. par Bigoimlan et f. de langer, et Carrière Maria, s. p. à Millau ; qui ITen&eàoppe que par les ciieionstaoces par- aux serviteurs à gages. Honneur à Bram î A. A. K<-ba, à SI. Mallet. ;\ Benquet (Landes). Aragon Paul, employé à la Cie du Midi, et ticulièrement horrible* du drame, passionna i^S', 250 francs, lvan-11, par Barvterne et f. de Jade plus en plus la curiosité publique dans noPoujol Françoise, s. p., ù Millau. ARRONDISSEMENT DE CARCASSONNB 60n, à SI. Durpérin, à Ségoufielle (Gers). Décès : Carrière Lucien, 58 ans, corroyeur, tre région du Q.ucncy. 24', 250 francs, Souptoit, par Malchior et f. d'OuLES MAMANS ont ont la coquetterie de voir Une oatgoisso se mêle à cette coraoaité. époux de André Joséphine, boulevard de'l'AyCARCASSONNE. — Association des Anciens leurs rai. a M. Baudonnet, à Laïlitte (Taxn-et-Gai>onne). chers petits exquisement habillés et à Dans un pays aussi fréqueiinmenf éprouvé 25', 250 francs, Léonard, par Va-Bon-Train et f. rolies ; Martial Marie, 72 ans. veuve de Canaélèves du petit séminaire et de l'Ecole Saint- bon marché les conduisant au Petit Marin 'fle Nelson, à SI. Jean Duflati, à llorgues (Hautesguier Victoria, boulevard de l'Ayrolles : Bciu- par le* assassins, chacun se demande, en effet, Stanislas. — Cette association tiendra son asCYCLISME (Mlle Bastier, spécialité de costumes de petits Pyrénées). gou BenjamciU, 61 ans. corroyeur, époux de ai demat'n sa vie ne sera pas menacée. semblée générale et célébrera sa fête annuelle garçons façon, 22, rue des I^ois. Toulouse. IA BÉl'MOS DU veiODROME DU BAZACCT 20', 250 francs. Lianeourt, par Le-Lys et f. de Fez. Nous continuerons à tenir nos lecteurs au le mardi 13 juin courant.. . André Joséphine, boulevard Richard ; iayaud â SI. Penent. à Saramon (Gers). courant «le cette passionnante affaire. Favorisée par un temps splamtide, la réunion TOt L'horaire de la journée est celui-ci : ST, 200 francs, Ivry, par Marat et Indiigotiine, par Ma-rceUin, 25 ans, scieur de long, célibataire, la 1 erreur rèyue dans tente ia région et l'ars'est déroulée hier au Yétaàrome du Bazacle a obboulevard Richard ; Bouisset Adolphe 45 ans A 9 heures et demie, messe basse avec Fils-de-Roi, a SI. Fossat, à Saint-Vincent (Bassesteniu un g-raïul et légritlme succès. Toutes-les épreurestation du coupable peut seule 'ramener le chants, célébrée par M. le vicaire général Canl'yiénées). fabricant «e gants, époux de Bénézoon Hélène ves ont été chaudement dtepirtées et le punlir s 'es-'. calme. 28', 200 francs, Vit-Argent, par Botlia et f. do rue du Rajol. tegiil, directeur de l'Ecole Saint-Stanislas. retiré enchanté, après avoir tortament applaurtt Kraketn, à SI. Duiperiu, à Ségoulielle (Gers). A .10 lieures et. demie, assemblée générale. tous les vainmieu.re. 20', 200 francs. Gourtnandisc, par Valérien et 4IÎ7îO.VD7SSEME.vr D'ESrALION A midi, banquet. La course des abonnés est revenue au toulousain r.alathée. par Oacoblte, a. M. Paul Labat, à Pojo SutbcrvlUe (llautes-Py rénées) . A 2 heures, séance récréative. LE NAYRAC. —- Effets bizarres de la foudre. La course (lo vitesse avait réuni : Amlaux, de rter30*, 200 francs, Blgourdan, par Botlia et f. fl© Pour faire droit aux réclamations d'un cerLes permissionnaires Mourgadelt, à SI. Jean Fotrrca.de, à Bordères (Hau- —Au cours d'un violent orage qui s'est déchaîdeaux ; StiMox, de Bayonne, et Bo.litvlf.r, de Toues; nombre de camarades, tout en satisfaisant Fédération des Patronages ne sur la commune du Nayrac. lia foudre est M. Sauzède, député, avait demandé par voie tain tes- Pyrénées). elle est revimue au jemne Beillivier, ii« Toars, (loGiues-ton de do question écrite au ministre de la guerre : aux exigences d'un menu soigné, le Bureau a 31', 200 trames, Ormondan, par IVmane:f et Or-an- tombée sur la maison do M. Millox, Amiaux, dans l'ordre. de Jeunes Ouvrières vant décidé d'abaisser à i francs la cotisation du Pueehmu.Tols. «eade. par Kl-Hassa.n. a M. SubervieUe. a SaintIA coursa poursuite Bordeaux contre Toulouse 1° Si une permission succédant a une per. banquet. AMt (Tt.-,pses-Pyj:énéesl. Voici le programme de la matinée que nous a été enlevée de haute lutte par les ToiUousai ILS. Le fluide pénètre par la. cheminée dans la mission accordée pour cause do maladie à un •32", 2CO francs. Incertaine, par Prince-Collhrl et Envoyer les adhésions soit à M. P. «le Fosse, annoncions jeudi dernier, séance récréative IA ' cours* à l'amértailae, ïj kilomètres. iK^nc au il traverse sans faire do mal à per- militaire tombé malade, chez bu, accomplisf. d'IleCmann. à SI. Cazeaux, a Lesipiteau (Hante- cuisine (résarier, 19, boulevard Marcon, soit à M. A. donnée le 5 juin 1911 ( à 2 heures, dans la (Yiureinre ?n reUvant. a été jraffnée par (;arolp Il^tlsonne, mais arrachant un outil d'un jeune Lia.ronne). sant la durée légale du service, doit compter d'E.-pezel, vice-trésorier, 15, placo Carnet, soit salle du Ja.rdimBoyal, sous Ja présidence do vler , 2*. Arniaux-Fauetict, Laval I^onard, L.ipj,rlhomme et lui emportant un sabot. Le fluide se dans les trente jours prévus par l'article 38 de 33", 2C0 francs, thàoil, par IndTa et Vigoureuse, à M. l'économe de l'Ecolo Saiitt-StanisJas. M. le chanoine Ballard, curé-doyen de Saint- .\raai"d«slt. fl '^ee ensuite vers l'écurie où, sur les sept ou la loi «lu 21 mars 1905 ; iPar SIelchior, à SI. Acliille Cénac, à Laloubère, Le maich OalllarU. 7b lilkflnèlrM derrière tnnMichel : Délégués à l'assistance. --la cemmission (Haaites- Pyrénées) . nuit, bêtes a cornas qui s'y trouvaient, il tue contre Itewinl-uit,'/. Salnt-Crlni, C-wines, T «iii2° Dans le cas de l'affirmative, quels sont Première \partic. — Le beau Danube bleu, l^uirs, 3V, 200 francs, Nelsonnctte, par Nelson et f. d« zert^. a ét«. ma .ruiîé> par un léyr accident, s&nct grala première, la seconde et la dernière de la les textes applicables. L'article 183 du service d'assistance de Careassonne ;i élu <x>minie décheenr ; Un Cœur héroïque, épisode de la vité rteuTeiuficmcirit. et a «10 être arrêté. 1^ claaMI.oto, à SI. Bernard Gadan, à Pointis-de-Riviêre rangée, sans toucher aux autres légués du Bureau d'assistance ù la commisintérieur et la circulaire du 1" août 1906 ne (Haute-Garonne). cantonale chargée «te juger les réclama- Kiierre de 1S70, par le Patronage Saint-Fran- ment tle celte dernière a été pris a l 'anvt. (inlllartf. contenant aucune disposition visaut ce cas sion 35', 150 francs, Indigo, par Le-Veinard et f. fle tions touchant l'assistance aux vieillards, infir- cois d'Assises ; C'eut ma fille ! cri du cœur et I .aTiin «t, SalrrtCrkxi, Lauzerte. I.n Ia.vori DeapluntaK Spécial. la Chanteuse incomparable et incomprise, étant son» entraîneur» tmo honn« partie a« l'é. .Sue-ae-Granoux, à SL Sfourouzan, à Andoins mes et. incurables. Voici la réponse du ministre : (Ilaissc5-Pyi'énéesi. 5". Pour le canton Ouest, M. Lavergne. Tour le chansonnettes comiques ; Les Bijoux de la dé- prmuve « La question ci-dessus est explicitement Té- canton La course tle taml»m avait réuni trois équipe». livrance (Coppée) ; Paris-Marche, mouveEst, M. Ferroro. .Vmiau.x-Fa-unhet. ont enlevé la nrrmiie.ie place de-' glée par l'article 183 du décret du 23 mai 1910 Nos députés Au caîe où cette double élection serait consi- ments (l'ensemble avec accompagnement, de vant Oaralp-Su'berville, tout de justesse. sur le service intérieur des corps de troupe. la Chambre des députés a procédé, le 39 Cet article dispose quo les prolongations do dérée par l'autorité supérieure commo ne réu- mandolines, par le Patronage de, Saint-Pierre. Kn rfesnmé. lionne Journée rwur la f.poH et pour Deuxième partie. — Sita, op*ra-comique en lu direction du vélodrome. mal, au tirage au sort des bureaux. M. Bécays permission, accordées pour cause tle convales- nissant pas les conditions de validité rerruise. fait partie du 3" bureau, M. de Monzie du 7°, cence, entrent dans le décompte des trente iï y aurait lieu rte procéder à un nouveau .1 actes, par les Patronages de. Saint-Sernin et JîésWpils techniques de Saint-Nicolas. — Intermèdes : Le* Cancans et M. Malvy «lu 12«. V Course. Pour les abonnés ; v Stiberville,' jours légaux. Ces dispositions sont toujours scrutin Jo 15 courant. de Mme Bombée, chansonnette comique ; Les Proiui, L' « Intérêt général de l'Aude ». — Sommaire Amai'dell. applicables, que le militaire soit tombé malade du dernier numéro : Prés fleuris, chansonnette ; La Brouette (EdAu ministère S" Course. Vitesse tadépendants : T.és «éries sont au corps ou dans ses foyers. R est fait excepLe Congrès de Narbonne (G. Gombeléran) • mond Rostand) ; Le Tour du monde en trente, gag-n^**s par ï'auichet, Lapart, A.mlaux, CaraHK M. Dosmann, procureur de la République à tion à cette règle pour les prolongations de Outfour, SiibervUle, liunrues. Millox, Pronzl, Narël minutes, danses nationales, par les PatronaGourdou, ancien substitut à Cahors, a été permission accordées par suite d'un eas nou- Variai ions esthétiques (Juliette D...) ; L'Emeu- ges rte Saint-Sernin et do Saint-Nicolas. Apo- et Tou«a-v, Rainent le repécllage.. te, du 17 août 1792 à Careassonne (commandant nommé chef «ie cabinet du sous-secrétaire veau do maladie survenu au cours de la per- de Finale : 1" BeUlvIer, 2* MillOX, a' Amiaux. l 'aursi» théose. Gain) ; Mou Pays (J.-L. Lagarde) : Nécrod'Etat à la justice et chargé «le la direction mission. Ces prolongations n'entrent pas dans poursuite Toulowe contre llontleaux : ToukJttW Et logie ('• G.) ; Syndicat d'Initiative : Nouvelles. i Cartos gratuites. Tombola. ARRONDISSEMENT DE RODEZ des services pénitenteaires. M. Dosman rem- le décompte des trente jours légaux. » sne. rattrairpunt l'équipe boroelatse au bout do Feuilleton : (Envro des Enfants à la Mone minutes. place M. Jaubert, ancien «ous-préfet de Gourtagne et à la Mer (campagne 1910). ,, R0DE ,Z - - Cou,r ««'appel. - Da ns son au . don, qui est iiiommé chef d!e cabinet du gou25 KUmnètres derrière moteurs : t" Gaillard : S* Chemins de fer du Midi A l'Institut Catholique dience du S jutu la Cour d'appel a confirmé la Laa&es ; 3" Saint-Crlcq ; r I.au/erte ; Deaplanté* Nous rappelons que demain mardi, à 5 heu- a i-reté. Mutations survenues dans le personnel : eon<tamna.t,»on «le un mois di Mlftoï^F vrâ •vsameur général de l'Indo-Ghine. ARRONDISSEMENT DE NARBONSS Cette course a été arrêtée à la suite d'un accires, l'Association catholique de la Jeunesse nfligee par le tribunal correct\on«eJt do ViileMM. Teulet, pointeur a Perpignan, est nomCompatriote lrunehe, au nommé Marty. NARBONNE. — Statistique sanitaire. — Il a française donnera une réunion publique à dent. me [acteur a. Narbonne ; Cathary, homme d'éyâ kilomètres à l'aanéric.aine par .deux COttNRMa Notre compatriote, M. Bonhomme .ancien l'Institut catholique, dans la salle Dospre?.. été' enregistré durant le mois de mai, 45 décès quipe à Monx, est nommé facteur à Cette ; LaConseil de guerre du XVM corps. — Sêanem se relayant : 1" équipe, CaraJ-p-BellIvier ont SMguH chef de oahieuat «t. seert-iaire «le M. Klotz an- Caze, facteur-comptable à Narbonne, est nom- Uns aux causes suivantes : M. le vicaire général Assieu, M. le chunoine uni sur Unit le lot : 2" A rmai ix Fauc lier; 3' L6onon, du 56' <l a-rtillerie, commissaire du gou- iciien ministre «lies ifinances, est atonimé peraep- mé comptable intérimaire à Lourdes. Fièvre typhoïde, 1 ; tuberculose des pou- Lassalle et M. Joseph Duguet parleront du uaixltonri Narail ! 4" I ^vpa rt-AmiiixU'.ll. t.enir à Cahors ,en rcnipl a cernent de M. Marvernement Congrès national que l'Association vient mons. 0 ; autres tuberculoses, 1 ; cancers et. de Cours* de tandoms : 1" Amiaiix-Fancliet ; S* Cltf chef d'eseatlron en tun, nommé ii Arras. Concours agricole retraite, et MM le rritlon autres tumeurs malignes, 3 ; hémorragie ct tenir à Paris. ralp-S-uSiervitUi il un pneu : Touory-X. substitut Andrillon, lieuteM. Bonhomme est originaire de la comAujourd'tuil, deuxième réunion do gain, m liionnant au 53" d'artUleiie ; greffier : M î*edlu- mune de Saint-Sauveuii--la-Vallôo, canton de Hier, h 3 heures do l'après-midi, a eu Hou, ramollissement du cerveau, 3 ; maladies orga«hint Bernard, Réuni, cet après-midi le con- Labastide-Murat. near de la course Paris-Toulouso Iniltiiwndants. Le» an théâtre, sous la .présidence do M. Battan- niques «lu coeur, 4 ; bronchite aiguë, l ; pneuNouvelles Religieuses coureurs, cuvant partir de Limoges vers r, iieuwt seil do guerre du Jff corps d'année, siégeant ebon, taflpeotoiiT «le l'agriculliira, eulourè <|e monie, 3 ; autres affections de l'appareil resdu matin, arriveront vraisemblablement vers t a Montpellier, a statue sur l'affaire suivante • A L 'iNSIGm: RAS1LIQUE notabilKt^s «lu nK.«nde audois «le l'agricultUTe et ' prratoire, 3 : diarrhée et entérite au-dessous Le transport de l'ortolan heures mu vékwlroaio du Bazacle. André Camille, âgé de 23 ans, né à Blayac do la vitioulture, la «lnsiiibution des récompen «Je 2 ans, 1 ; hernie, obstruction intestinale, 1 ; Le transport et 3a vente «le l'ortolan «ras Notre Insigne, Basûiquo célébrait hier sa 0 la prns'ratnine de cette réunion est des mieux .(Aveyron), soldat au i'ii régiment d'infanterie seront toléiés, à titre exceptionnel, pendant ses «lu concours «le primes «l'honneur de nriv cirrhose du foie, 2 ; néphrite aiguë ct. mal de fête titulaire ; les riches tapis, les bandcrol- conapoae ; nous aurons encoie du beau aimrt aucuJturaux et de spécialités. u Rodez, est, prévenu do vol d'un mandat- les mois do juin ict «le juii-Ket 1011. Bright, 2 ; Tumeurs non eancéreusèe et autres les, les oriflammes ornaient ia nef ; les somp- joiird'tmi an llnzacb». poste de dix francs, au préjudice d'un do ses La société lyrique Sainte-Cécile prêtait son iflections des organes génitaux de la femme, reliquaires, au milieu de draperies et concours a la cérémonie. camarades du mémo régiment. 1 ; sénilité, 1 ; marte violentes, suicide ex- tueux ARRONDISSEMENT DE CAHORS de lieues, sont rangés sur une double ligne ; cepté, 7 ; autres maladies, S ; maladie in. -on Voici la liste des récompenses décernées • Après plaidoirie de M« Gely, le conseil conle trône maunillquo (le la Vierge, mj8 domine Prix eulturaux. — lre catégorie : Rappel de IUJO ou mal définie, l. damne Camille à un an de prison avec sursis. MONTCUQ. — La pelade. — L'école enfanune croix fleurie, se drossait au-dessus du . Au point de vue «te l'âge, les décès se réparprime «l'honneur : M. Gaston Gautier, propriémal.lre-:i.uicl. ta» de Montouq a été Maenteiée ces jours derainsi : ARRONDISSEMENT DE VILLEFRANCIIS Aux vèprus, les cinq nefs étaient combles, niers a eaniso d'une épidémie de pelade qui taire vitienlie.ur au (.il aod-Civ.ibvii.tey, commu- tissent li de 1 & 19 ans ; 8 de 20 ù. "39 ans ; 1G de la foule débordai: I par la. grande porte. chez les enfants. Sur l'ordre «le M Pen- ne «le Narbonne. i0 à 30 uns, et 15 de GO ans et nu-delii. VILLEFR ANCHE. — Tribunal correctionnel. sévit Dans un très substantiel, st rrtton, M. l'abbé Prix cultural. — Un objet d 'art, do 300 francs darie, maire, les salle- de Té -col,, ct ie ma'téon remorquera qu'il ne s'est produit aucun Aloys dit la signification de la fête de la Pen»— Audience du 1er juin. — François-Jules Sas- rwl «les classes vont être désinfectés. et une somme «le 2,000 francs : M. JuU's Barrié, ôéoès «l'entant de moins d'un an. siiTd, 53 ans sans profession et sans domicile au ivi robinier, «•omnt.tuie de Viilasàvaty. tecôte. Société hippique. M . le ministre de l'agriSAINT-LAURENT. - Service télégraphique. uxo, vagabondage, H jours «le prison. 2» Catégorie. — Rappel de pirfît cultural : M A l'esprit divin répondent et la Haine el T Rose Cheyssal, femme Médine, 42 ans, — M. M. l'idin- Forgeas, inspecteur des postes Achille Pons, à Moutnuau r. Prix cultuial : Noii culture a. bien voulu accorder, pour le con- l'Amour, les deux témoins irrécusables de la éludes uvlnt .ives décerné; cours hippique <ie Naorbonne médaillée en divinité de l'Egltee. •ménagère à Combes, commune d'Aubin, vols est venu procéder, jeudi. < argent et 2 médailles de bronze, qui seront ù ,i'in«5ial;liUiou d'un aeirvice télégraphitrue nnudo- charbon- au ]iréjudiee «le la dame Sanvensa 3° catégorie. — Prix oultural : Non décerné La. Haine est faite, d'ignorance, de remords vol de bois un préjudice de la dame Davy, 15 uicipal. 4» catégorie. -- Rappel de prix cultural ; M' frappées à la Monnaie. de lâcheté ; mais cette haine a. aussi sa. Ces médaiHicis «iront affectées : deux a. la. et L«i ligne projetée sera, reliée au bureau de jour de prison avec sursis. Vidal-Laugré, domaine «le Peyrouliès. comdoctrine, sa. discipline, ses agents ; elle s'orCoupe militaire ot «toux à. des prix pour geat-*T Mame -Sophio Couti -ès, femme C.ampredion, Mou.te.nq .en. empt^aïAsuit lo fil déjà existant nione «l'Ahi. ganise, elle est agissante, elle, chasse Dieu de Saint-Cypi-icri. à Moîwoaq. leioén. i 'nv ciliural : Non décerné. 25,*™.ménagère à la Boué de Brunei, comTrouvailles. — M. Lamur, eue de Strasbourg, des lois, des tribunaux, de l'école. Le bu.na .,1. muniolipa'J .sera installé «'.liez W Prix d 'honneur : Objet d'art de 3,300 francs : îii^ i d ? Noalhac. vol de volailles, au préjuA la. Haine, il faut répondre par l'Vuiour a trouvé unie < lé. aam<> (il' iff ouIièrcs, un mois de pri- Co'uuillac, .Teceveivr linraliste à Cdlmlie aud M Jules Bartie, au Pençhtrder, son eu aura Ja gérance et sera rétiibué de la'comla «lame Roger, rue Rouget -de-l 'fsk, a trou- qui sallirmo, KO fait apôtre, se défend se Prix de SpéciaiUéS. — Rappels d 'objets d'art, mune. dévoue, obéit à la voix de l'Eglise, relie voix .MM. Eugène Mir, aux Chemin ières (CeMOl- vé une ceinture avec boucle. rinX Prompt, femme Ganmnc, H k"«s, ^'«-Rosalie ménagère... à' Villefranehe, vol «le charbon qui. pariant par Pic X, n éle la. lumière el le na.iida.ry) ; lUimuiiiuel Boipie, jèuiincs VIRE. Conseil municipal. (Jane B ' in Etat civil du 3 juin. — Naissances : Antoine sa.hn de i t, [lise de France. înojuibeo la Compagnie d'Orléans, G ce «le jeudi, le conseil municipal approuve les (Azille). Eugène Dumas. l! m.yle prison avec sursis. Objets <l'a.rt. : MM. AlboTt Granel, ft in FonC'.inpb -> budgétaires sains 'observations L'Amour sera, vainqueur de la. Haine • la Mariages. — Barthélémy Nivc-oas, compta i n somme «lie 100 francs est votée pour delon (Sallèles d'Aude) ; Chartes Iti "es anx bit-, et Marie-Marguerite Favi 'o, sa,,-, ,„.„*,-* •viviM i :U(1, îl! Cûuderc, m ans, manreuvre A voix de l'orateur Minait, il dépensait son :.V de cWtUre ei ivresse, manifeste. 8 achat de fusées paragrêVlio. Hscoi usante (Cuxac Cabanlès) ; Achille Pom \ AovrX Un , emur, et ce emur est de flamme sitm ; Guitlaiinie Sir,*, tojutelior .et \iinm i* l "" i,S(,n et 2 francs d'amende. LUZËCH. - Arrestation. -— Verudiraid ta. Mouitmaur ; Augustin Marty, .1 ('abe?.ar (Bizei- buuie, maqpeuae. Après le sermon, a ru ivu la proee --!,,n orj i amy, 27 ans, mameuvre * A«M gemiaruiexie do Luzech a arrête le 'nommé EmHe Carrère, « Vllleneuve-ie-ComiitAj, ti a Les tambours ct les clairons du Pairona '-o Bécèa — Marthe Evclton.ne, W moie • Caii»e Lumiea. ouvraient le cortège ; cinq membres du r rinc Friwicuaee Eintli» Caly, ^ JBQ, ' ; : »'•" ' ' ' ". '•«' h al. t. porUent .» bai n tn et

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MA liCHË DE LA V1LL1ÎTTE Du 5 juin. ' .Boeuife. — Amenés 2.195 VCiiîidus 2.C03. 2 ; t S 70. Vaches. — Amenées 1,021 ; vendues 976. 1 98; 1 80; 56. Ta tireaux. — Amenés 27ù ; vendus 247. 1 68; 1,02; 40. Veaiux. — Amenés 1,088 vendus 1.021. 2 50; 2 18 i 90. Moutons. — Amenés 9.982 vendus 9.043. 2 58; (Xi ; 1 90. Moutons. — Amenés 9.982; vendus 9.645. 2 58 ; 06 ; 1 80. Porcs. — Amenés 4.494 ; venod-UB 4.407. 1 94; 1 90; 88. ''eau de monuitons. — 2 50 1 5 50.

HAUTE-GARONNE SaLnt-Gaudens. Merottrtalle du marché du lo? juin. — Cours pratiqués : Froment, lre (ruaJlfô 23 fr.; 2*. 22 50-, 3", 22 fr.; méteiil, 20 fr.; seigle, 16 fr. ; avoine, lre qualité, 12 fr. ; 2", 11 50 ; maïs, 17 fr.; haricots, 30 fr.; pommes de terre, 6 fr., le tout, l 'iieetolitre. Fourrages. — Foin, lre qualité, 5 25 ; 2*, 5 25 ; paille, lre qualité, 6 2ô ; 2", 5 75, le tout le quintal. Animaux coniduils au mairché. — Bœufs, 210; vaches, 350; veaux, 350 ; moutons et brehis, 700 ;. pores, 530. Prix moyens. — Bœuf, 0 80 ; veau, 1 à 1 15; mouton, o SS, le tout le Itilo. Volailles. — Poulets, 3 50; poules, 6 fr. ; dindons, t& fr. ; pintades, J fr., lo tout la patte. ûiujîs, o 75 la douzaine. ARIÊGE

pamiers. Marché du samedi 3 juin : Blé, 100 lieet., de 23 50 à 23 fr. ; seigle, 30 hect. <te r-l 50 a 15 fr. ; méteil, 25 hect., do 16 50 à 17 fr. ; mats, 200 liëctas, de 15 50 à 16 fr.; avoine, 80 hect. do la 50 ii 12 tr. -, fèves, 10 hect, de 16 50 il 17 fr. ; haricots, 50, de 32 50 à 33 fr.; nommes de terre, de 7 à 7 50. Mazcres. Cours pratiqués au marché du 1er juin : M a été vendu 723 hectolitres de blé, de 22 75 à 23 fr. les 80 kilos ; métcii, de 16 50 il 17 fr. ; seigle, de 114 50 à 15 Dr.; maïs, de 15 il 16 fr. ; avoine, de lit il ill 75 ; haï-icots, do 25 il 31 fr.; fèves, de 16 il 1*3 25 ; pommes de terre, do fi à 7 fr., le tout l'hectolitre. Volatiles. — Boules, de 6 à 7 fr. ; beaux poulets, de 5 à 5 50 ; canards, de 5 75 il 6 fr.; pigeons, de 2 15 ,ii 2 25 ; poussins, de 0 60 il 0 60. le tout la paire ; lapins domestiques, do 2 25 à. 2 50, la .pièce. a*es œufs, 0 85 la douzaine. ,1 •HAUTES-PYRENEES ' Bonnefont. Foiii'e des domestiques. — Cette foire qui se tiendm dans notre commune lundi 5 juin a pris béaucouip d'extension; elle est le rendez-vous de beaucoup de domestiques et d'estivandiei's. Les propriétaires aluront à coup sùr l'embarras d,u choix. Lannemezan. Le Marché. — Cours pratiqués : Boeufs de traiva.U de 9CO à 1,000 fr.; vaches de labour, de 700 il SCO fr.; boiwiltons, de 600 il 750 fr. ; génisses, de 350 à 450 fr: la paiii'o ; braux, pour la boucherie, de 70 à 110 Ir. pièce. Blé, 23 50 il 24 fr. ; méteil, 21 fr.; seigle, 16 5»; maïs, 16 à 17 fr. ; avoine, lil 50 il 12 fr. ; millet, 20 à 25 fr.; haricots, de 35 à 40 fr. ; pommes de terre, 7 à 7 75 l'hectolitre. Poules, 5 à 6 fr. ; poulets, 4 fr. ; pintades, S fr. ; canards, 5 il 6 fr.; oisons, 3 70 ; canetons, 1 60 la paire ; lapins, 1 50 à 2 fr. pièce. Œuts, 0 70 la douzaine. ©bidons, 14 ir.; dindes, 9 fr. ; pigeons, 1 50 la paire. Codions de lait, 20 à 25 fr.; d'élevage, de 30 à >» tr.

1,050 fr. j breauLX de travail, do- 050 à 900 fr.; breaux pour l'éJéva*ë de. 300 à 600 fr.; vaiches de travail, de 500 à 660 fr.; lo tout la paire ; veaux do boucherie, de l à l 10 le kilo, poids vif. • TAUN-ET-GARONNE

Mol i ères. La foire du 2 juin, dite de Salnt-Glair, est urne des plus importantes de l'année; cette fois encore, «u* n'a pas démenti, sa vieille réputation, bien queue ait té dérangée, dans la .soirée, par un violent orage. Une nombreuse Jeunesse se pressait dans les rues et sur nos places, et les affaires traitées ont été très considérables, voici les cours pratiqués : Marché aux bestiaux. — Bien garni et vente facile ii des prix élevés. Viandie de boucherie. — Bœufs, d'e 40 à 46 fr. ; vaches, de 35 il 40, le tout les 50 kilos; veaux, l 10; moulons, l fr., 1© tout le ktlo. Animauix de labour. — Bœufs, de 1,050 i 1,250 f r. ; vaches, de 900 il 1,1.00; génisses et taurillons, de 400 à 660, lo tout la paire. Porcs gras, 70 fr. les 50 kilos; porcelets, lie 25 à 50 l 'un, suivant grosseur et qualité. Place a, la volaille. — Bien garnie et baisse légère. Poulets, 1 fr. 10; pintades, 1 fr. 20; poules, 0 fr. 75; canards, o fr. 70, de tout le i kilo; lapins, de t fr. 25 à 3 fr. l 'un. Œiiifs, 0 tr, 85 la douzaine. Fruits. — Cerises, d fr. 30 le kilo; fraises, 0 fr. 25 le panier. lla :Me aux grains. — Blé, de 21 il 22 fr. les 80 kll.; fèves et maïs, 16; orge, 14; seigle, 15; awoine, 10 50; sorgho, 11 ; haricots, 35, le tout l'hectolitre. Son, 7 25; repasses, 8 50, le tout les 50 kilos. Monclar-de-Quercy. .Marché hebdomadaire d,hu 1" juin. — Voici les .principaux cours pratiqués : I Animaux de boucherie. — Bœufs, do 42 à 4 fr. ; vaches, de 36 à it7: veaux, de 52 à 55; moutons, de 45 a 48, le tout les 50 kilos. poids vif: nomrralns. de 50 i 70 fr.tcochons deilait, environ 150 d'amenés, vendus de 35 à 45 francs la pièce. TRANSPORT DES BESTIAUX DE LA RÉGION DU MIDI SUR PARIS

(Les départements de la Haute-Garonne, de l'Ariège, etc., malgré leur élo.ignement fournissent au marché de Paris un nombre important de bestiaux. En vue de développer et de faciliter ce trafic, à partir du 1" juillet prochain, quand ces bestiaux seront amenés à Montauban par le train de marchandises Midi 1116, la Compagnie d'Orléans mettra en marche au départ da Montauban, le mardi et le samedi, un train de marchandises correspondant à Brive avec lo train Spécial de bestiaux qui a lieu régulièrement ces deux jours de Ja semaine et. arrive ù. Paris le mercredi et le dimanche matin. Ainsi les bestiaux part-là le lundi et le vendredi des gares de l'Ariège pourront être à Paris dans la matinée du surlendemain de leur départ et so refaire dans les écuries en attendant leur présentation au marché de la Vîîlette du jeudi ou lundi. Le tarif P. V. 101 actuel soumis à l'homologation aura en outre pour effet d'abaisser sensiblement le prix de transport des bestiaux de cette -véjgion sur Paris. C'est ai-fîsi qu'un wagon chargé de 72 moutons de Foix à Paris-bestiaux qui paie actuellement 217 fr. 05 ne paiera plus que 195 fr. 60.

LA BONNE CHANSON Toujours fidèle à son excellent programme d'éclectisme, la revue de Théodore Botrel GERS vient de faire paraître un numéro particulièPlaisance-divGers. rement attrayant, dont voici le sommaire : Notre marché de jeudi a été bien favorisé par le Au Son du Biniou, La Mète-au-Pain, Paùbeau temps ; aussi il a été assez importent. Les div'tit Gds ! par Théodore Botrel ; Chanson du verses iflaces étaient bien approvisionnées en denChampagne, par Xavier Privas ; Mes Bœufs, rées de toutes sortes et bon nombre d'affaires ont «té traitées. Voici les principaux" cours pratiqués : par Yves Le Stanc ; Le Circuit de l'Ouest, Baille aux grains. — Blé, de 22 il 23; avoine, de par Dominique Bonnaur ;. Bonjour, Suzon ! 11 50 à 12; maïs, de 15 à 15 50; seigle, de 16 à 16 50; par Marcel Legay, Chanson de printemps, onge, de 13 à 13 50; fèves, de 17 à 17 50; haricots, de par Louis Tiercelin ; Berceuse, par W.-A. Mo43 à 50; pommes de terre, delO àilt; vesces, 24, le tout zart : Les Coffrets, par P. du Marchey ; Parat'hectolitre. . .. bole des blés, par Louis Mercier ; Les Champs, Son, 16; rèzes fines, IS; ordinaires, 16, le tout le monologue de J. Jouy ; Les Chasses du PrésiqudintKl métrique. Volaillel. — Poules, de 5 à 0; poulardes, de 4 50 â. dent Boosevelt, monologue par René Buzelin; 5 50; poulets, de 3 50 il 4; dindons, die 14 à 16; dinGratte-Ciel, par X. Grailler ; Bans la Vallée des, de 12 à 13; eanands, de 6 à 7; pintades, de 6 50 de la Semoy, par Th. Renauld ; La Voulzie, a 7 50-, pigeons, de 1 25 il 1 50, le tout la paire; la- par Hôgésippe Moreau ; Soir en Ardcnne, pins doraestiqties, de l 50 à l 75 la pièce. par André Fage ; Aimez votre Prochain, coOisons de huit jouTS, de l 25 à 1 50; oisons de 15 (ours, de 1 75 à 2; canetons, de 0 60 â 0 75, le, tout médie en un acte, nour jeunes filles, par André Chenal ; La Chanson en Champagne, la pièce. étude par G.uillot de Saix. Œufs, 0 SO la dounzaine. Foirail. — Grands bœufs, 1.0CO â 1,100; bœufs Prix du numéro : 1 franc. En vente pary 1 moyens de 800 à 900; bousillons, de 506 à 600; va- tout. • '• . , . ches de travail, de 700 il 800; génisses, da 450 il 500, Rappelons que la collection complète de La te tout la paire; veaux pour la boucherie, de 90 à Bonne Chanson, formant trois gros volumes 110 la nièce, .'Porcs! — Prix toujours élevés : porcelets, de 25 à illustrés, est en souscription avec l'abonneCD; cochons de marche, de 50 à 70, l'e tout la pièce ment eh cours,' au prix -de 55 francs, payables 5 francs par mois, ou 48 francs au comptant. suivant taille .et qualité. ' Il se traite en ce marnent peu d'affaires au mar- Cette magnifique collection ne comporte pas ché aux vins et eaux-de-vie. Les prix, quoique en- moins de 600 chansons, monologues ct pièces core très éïevés, semblent faire pressentir une léde théâtre. Pour plus de détails demandez le gère -naisse. Bois. — Fagots, de 6 à 6 50 le char de vingt; ron- prospectus epéciaî à la maison de La Bonne Chanson, 8, rue Saint-Simon, Paris. dins, de 6 50 à 7 le stère.

£e. Bpsére contient eiiicoiîe : la magistrale OOmféreiWB toi te par Andin'' Bcaumior sur LucdJe de < jiaiea-rjtoiiaiidi. — Uno étude littéraire signée Firmin Roz, sur le nouveau livre <lo Gabriel Hanotaux : « Jeanne d'Are » ; Une pittoresque page de H. de Brafrùièlie sur les « Pigeons patriotes » ; Une étude do François Go.ppée, « A la Mémoire de Paul Verlaine-», dont on vient d'inaugurer le nronunient à Paris ; Des « Poésies » signées Verlaine ; Une page de Cliiatcaubriandi sur « Jeanne d'Arc dans l'histoire et dans Ja littérature Y ; Un, article très curieux de Raymond Passillé sur « Le Chien », à l'occasion de Texposition canine Gui vient do fermer ses portes ; ta, passionnante nouvelle : « Les Yeux de 'l'Espion », par François de Dion, etc. La « Revue Française » parait chaque semaine sur 32 pages. Un an, 10 fr. Le nuinénîo, 25 centimes. — Etranger : un an, 13 fr. 50. Le numéro : 30 centimes. Rédaction et administration : 17, rue Cassette, Paris. — Belgique ; Un an, 10 francs. Bureaux à Bruxelles, 6, me d'Assaut. (Bibliothèque choisie). Pour i franc, la « Revue Française » délivre des abonnements d'essai d'un mois donnant droit à quatre magnifiques numéros de 32 pages illustrées. Demande spécimen contre 0 fr. 10.

Le dîner de la Revue Hebdomadaire

Ceë aJjonnomcmts comportent, en outre vu trajet d'aller et retour à ces cotes avec arrêts intermédiaires facultatifs, la faculté de circuler à volonté sur les lignes des Cotes Sud et Nord de BreLagne ; ils sont valables JJ jouis avec faculté de prolongation d'une ou deux fois d'un mois moyennant un supplément no 25 % du prix initial pour chaque période, sans que la validité puisse en aucun eas dépasser le 15 novembre. . , . — Le prix des cartes d'abonnement est de JJ francs en 2° classe ct de KO francs en p" classe, lorsque la distance pour les parcours (aller et retour) n'excède pas 1,000 Kilomètres en dehors des points de libre circulation. Au-de a de 1,000 kilomètres, le prix est augmente de 0 fr. 045 et de 0 fr. 065 (en 26 et 1" classes) par kilomètre en sus. „. , Des réductions allant jusqu'à 50 % sont consenties en faveur des membres d'une meme tamille.

CHEMIN DE FER D'ORLEANS Ce qu'on peut visiter en France en empruntant les lignes du réseau d'Orléans Le réseau d'Orléans, situé au cœur de la France, dessert la riante Touraine, si riche en monuments et en souvenirs historiques (Blois, Chambord, Araboisé, Chcnonceaux, lâches, etc..) Par la hello région de la vallée (le la Loire, il conduit à Angers, Nantes, et il la Cote Sud d'une Bretagne ancienne aux plages réputées (La Baulo. le Pouliguen. Quiberon, llollc-Ile, Concarneau. f Douarnez). I Au centre de la France lo réseau d'Orléans perl met do visiter l'Auvergne aves ses fraîches vallées et ses stations thermales (La Bourboule, le Mont-Doie, Le Lioran, Vic-sur-Côre. etc..) ou encore les merveilles naturelles des Gorges du Tarn et du Quércy irtocamadûur, Gouffre do Padirac, Grottes de La> cave). Au delii enfin, par les grandes lignes de Bordeaux, d'un côté Toulouse, de l'autre, qui sont aussi les routes d'Espagne et du Portugal, il donne accès il la région des Pyrénées. Les beaux paysages de montagnes ainsi quo norak'bre de stations thermales (Ludion, Cauterets, Les Eaux-Bonnes, Lamalou, Amélie et Vernet-les-Bains. etc..) et les grandes stations thermales, balnéaires l'on hivernales do Pau, Biarritz, Saint-Jean-de-Luz, ff 'etfc..., ont consacré depuis longtemps la célébrité des Pyrénées.

Jeudi soir, au Carl-ton-Hotel, aux ChampsElysées», le dîner de la Revue Hebdomadaire a été une véritable fétc littéraire. Parmi les deux cents convives qui ge pressaient autour de M. Fernand Lauitet, nous avons noté la présence de MM. Paul Bourget, juâes Lemaitre, oomte d'HaussoHville, Maurice Donnay, G. Hanotaux, R. Poinearé, do l'Académie française, professeur Branly, Pierre delà Gerce, Henri Joly, Edmond Perri'er, Paul Leroy-Beaulieu-, de l'Institut, Barthou, Pierre Boudin, Doumer, anciens ministres, Henri- Cochin, J. Dela-fosse, députée ; J. -Charles Rovix, majorai du Féllbrige, ancien député ; général Bonnal, A. Liohtenberger, Erneet Daudet. P. de Nolhac, Ch. de Poniairols, Camille Beliaigue, Henry Bordeaux, Paul Acker, Paul Adam, Mgr Baudrillart, recteur de l'Institut catholique de Paris, J.-H. Rosuy, comte d'Elbée, bâtonnier Chenu, Funcik-Br-eota.no, Ch. Le Goffio, R. Vallery-Radot, Marc Sangnier, André Hall&ys, G. Deschamps, de La.nzac de Laborie, Geoffro'y de Grandmaison, etc., etc. Ton-louee .était représentée à ce banquet par M. Guy de Mont.bel et notre collaborateur Armand Prayiol. , Au Champagne, M. Gavoty, président du conseil d'administration, a remercié aimablement les invités de la Revue Hebdomadaire Puis, M. Fernand Laudet s'est Adressé â"f collaborateurs. '.. , « L'année dernière, dit-il, M. Jules Le-maitre, après nous avoir mis dans l'intimité de 'Rousseau et avant de nous faire entrer bientôt dajns celle de Chateaubriand, nous avait peint-iJa figure du sentimental apôtre du pur amour. Cette année, c'est Molière, qui a remplacé Féirelon et c'est M. Maurice Donnay qui a pris la parole. ' » Quelle bonne fortune. Messieurs, pour une revue qui croit à la culture classique et qui n'entend être moderne qu'en restant fidèle aux Humanités (longs appla-udissements), quelle bonne fortune que de sertir clans son cadre le beau portrait fait par Donnay de notre plus grand homme de théâtre ! Lecteurs ou ^uclitenre, avec quel intérêt nous avons suivi celui qui a si bien su confondre la vie et l'oeuvre tle ton personnage, qui nous Ta montré grandi et meurtri par l'existence, trahi dans son domestique, en butte aux calomnies de ses adversaires, et aux « actions fâcheuses » de ses arn-s, mais répondant, aiicx attaques et aux perfidies par des chefs-d'œuvre, et nous lais6ant l'exemple d'un formidable labeur et d'un effort incessant vers la vérité. » ; j Après avoir parlé de l'Enquête sur les Ministères publiée dans Ja Revue Hebdomadaire et de la série de nouvelles intitulées le Banquet et ouverte par Paul Bourget, M. Laudet a conclu ainsi :. . . « La. nier e£* immense », noue, disait ici, il y a quelques années M. -Hanotaux, en nq^ls indiquant rétendue possible de nos navigatiops. Combien il avait raison de stimuler ainsi ri os -efforte, car ce n'est certes pas pour l'homhie une tristesse, mais une coufolatlon de rentir sa vie. plus courte que sa tâche, et d'être assuré d'avoir toujours un élément à son activité 1 » -C'est sur cette , pensée encourageante que j'aime à finir, 'Messieurs et chère- Coilaborateurs. en levant mon verre en l'honneur des nobles ouvivers de lettrée -ttui ont bâti la Revxt e Hebdomadaire. » M. Maurice Donnay va répondre à M. Laudet : M. Donnay détache les mérites de la revue. « Comme Pallas-Athèné, elle se pare des plus belles épithètes : hebdomadaire d'abord (rires) traditionnelle, novatrice, hardie, mesurée, disciplinée, indépendante, hospitalière, éclectique, et par dessus tout françaifie, allègrement, vaillamment, profondément française, et c'est pour cela qu'elle n'est que pessimiste. » Et M. Donnay termine après avoir fait, l'éloge de la brièveté imposée par le format de la revue, et s'être spirituellement moqué de' la prolixité. M. Paul Doumer a terminé la série Ses toasts, an nom des personnalités, qui ont pris part à l'Enquête sur les. Ministères. Et la Soirée s'est prolongée encore a&sez longtemps, au son de la musique, autour des tables de café, mêlant, comme dans le& pages, de la Revue, les personnalités les plu- divorces, réunies par le culte des lettrée.

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CHEMIN DE FER D'ORLÉANS La Compagnie des chemins de fer de Paris à Orléans a l'honneur de porter ù la connaissance du public que le Guide Illustré de son réseau pour 1911 est actuellement mis en vente, au prix de 0 fr. 30 dans les bibliothèques dé ses gares, dans ses bureaux de ville et dans les principales agences de voyages de Paris. Il est également adressé franco ù domicile contre l'envoi préalable de 0 fr. 50 a l'Administration Centrale, 1, place Valhubert à Paris, Bureau du Trafic-Voyageurs (Publicité). Ce Guide, de plus de 320 pages, illustré cîo nombreuses gravures contient, en outre d'un certain nombre de plans et de cartes, les renseignements les plus utiles pour le voyageur (description des sites et des lieux d'excursion en Touraine, en Bretagne, en Auvergne, dans les Pyrénées et le Centre de la France, horaires des trains, principales combinaisons de tarifs, etc.)

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FeuiiletO'n

du 6

juin 1911

PAR

William Wallacc Cook Ada-ptation da E. Pierre Luguet

CHAPITRE PREMIER X L'INTRIGUE SE NOUE

Lorsqu'il eut passé le seuil, Amy s'élança et le suivit des yeux un bon moment. — H est étrange, sœur, dit Tom Travis, mais bon garçon ; pourquoi aie me félicites-tu pas ? La jeune fille vint, à lui, s'appuya au dossier de sa chaise, et lui passa les bras autour du cou. — Pourquoi as-tu fai t cela, Tom ? Pourquoi ? Et lo mécontentement perçait dans sa voix. — Quoi, petite fille, "d'avoir obtenu mmo place ici ? — Oui, et donné um faux nom ? — Il est inutile de me bombarder de tes pourquoi, répondit-il avec bonne hu•meuT,, je n'ai pas l'habitude d'avoir de seemets pour loi, Amy, je aie connmencerai pas aujourd'hui. — Si 'notre mère était ici, TORT, pourrais-tu la regarder sans rougir ? A ces mots, le jeune homme montra quelques signes d'impatience. — Quelle femme tu es pour voir tou t de suite les choses en noir ! J'ai été très léger, je l'admets, mais je n'ai rien l'ait qui justifie ce visage 1 chagrin, cet air désolé Voyons, sœur, regarde-moi avec gaieté, OUI je regretterai d'être venu ! l'Ile vint, se placer en face de lui, mats garda son air sévère. — Il faut m 'expliquer ce que tu te pro pro S,es, Tom., en me mettant et tant dans dans éetfa ce tte fausse position. Elle se, contenait, mais sa voix était terme et décidée.

Il attendît vm>& réponse, mais la réponse ne vint pas. — Je or ois pouvoir vous donner espoir, Monsieur Henderso» : je désire que Miss Tiavis se consacre .presque exclusivemeai aux travaux du laboratoire ; quand pournez -vousi comniencei' î — Tout de suite. — Très h i cri. Jo pense qu© vous trouverez facilement ù vous loger ; pour J-e marte, Mi©3 Travis vous mettra au comi ant mit nx que moi. Whipple se -leva et se dirigea vers la ponte. Au momem-t de sortir, il se rctotirÉ», (-t s ,'ult essa :u-t, à Amy • — Je vais, aller chez Ktiffuel pour réparer une sottise que je fis hier, Miss Travis : figurez-vous que j'ai donné le singo grimpeur au petit aveugle,- cl- le lapin qui crie au sourd-muot ! — Bien, je sverai... 11 se mit à rire et dit en sortant : El ^interrompant brusquement : — Cela arrive parfois ; nos faveurs — Ecoule -mo], soeur, je suis, venu ici sont, appréciétos beaucoup moins qu elles pour commencer une nouvelle vie • je, re no le devraient, à cause des bévutis que jette le passé loin de moi, je veux devenir ! tout autre : j 'ai pris la résolution de ne nous commotions on 1«6 accordant l

kide et, par un effort énergique, il se resLe vieux Gonzalès n'ayant plus de saisit ; ses traits se détendirent et s'éclai- chambre libre, il fut décidé, que Tom rèrent. H prit la main de sa sœur. coucherait dans un coin du bureau, et — Pardonne-moi, dit-il, mais sais-tu prendrait ses repas chez Mrs. Oambel. pourquoi Whipple ne voulait pas me lais- Amy eût préféré que son frèie trouvât ser venir ici ? pension ailleurs ; niais il sut si bien per— Je ne peux le comprendre et çu suader riiôlesse qu'elle acquiesça d'assez bonne grâce' â sa demande. éprouve usure grande amertume. Dès que ces. détails eurent été réglés, — C'est pour cela que tu tenais ce 1 instruction du jeune homme commença que nous quittions la Golden Eagle '.' — Oui. par. le liavaàl routinier de chaque jour. — Bien, ce peint éola-irci, je pense, Amy s aperçut alors, — Tom ayant dû moi, qu'il vaut mieux rester, dit Tom enlever «es gants, — que sa main droite était _entourée d'un bandage ; il s'était délibérément. déchiré la main quelques jours avant, — Mais songe dans quelle position je expliqua.-l-il, mais cela n'était rien et ne vais me trouver ! Jo saurai toujours que rompêche-iait nullement de travailler. tu n'es pas celui que tu parais être ; et Alors commença, pour la jeune fille sois sûr que M. Wliipple le décoiiviini un appii'eii'is- i!ï|. pénible : parler à son avant qu'il soit longlemps. frère comme à un étranger, éviter tout co — Laisse-moi faire : Whippio, s'il est qui pouvait trahir cetin situation excepl'homme que je crois, me jugera, sur ce tionnelle, était très difficile, et le plaisir que je ferai, et non sur mon passé. Un d" ravoir près d'elle compensait a peine faux nom me faci-HIe rentrée dans ta car- la. crainte de se: trahir. rière : orois-nioi, cela vaut mieux ainsi ! Kl le peusaii ;i tout cela, la nuit suivante, La nature droite et loyale d'Amy ré- alors que le sommeil la. fuyait obsfinéprouvait tout CM » qui i : --.i nil !;iii, à. de lu ment, it cela, et h d'au très, choses. Whipduplicité ; mais elle cvaignail., t i oppo- ple avait-il donné un double sens aux sant une trop longue, résistance aux vu- | pais 1rs ptrononoét s par lui eu (initiant le lom.ités. de son frère, d'aggraver emfeore la bureau ? Pettt-êtne fa comédie jouée par situation, et dût-elle eu souffrir, t lie ter* son frère et par elle-même n'abusai t-elle merail les yeux sur cette petite super- pas k directeur ? Peut-être avait-il decherie qui permettait à Tom de se L 'ha- viné que Tom était son frère Peutj biliter et facililn.it -leur réunion. Être, au. -si bien pju\ ux, jouaii-il un rôle? Elle guida, sur elle le médaillon, nui- Ces pensées lui étaient intolérables, et gnant que Whipple ne découvrît la li nu bien qu'elle, ne pût se convaincre de 1* de, s'il le voyait en la possession de Tom. el«JrVoyance de whlpiptle, le soupçon resDe même, elle ne parlerait pas à son tait en elle, tenace, inquiétant. frère, de la. dt'vnu vivi'le concernn-vi!. Jef(A si:ivre.\ fi i: Ce sentiment de réser ve instinctif était-il dicté par la. crainte d'exciter enga.r>d qui les accompagnait. Pendant un core lo -jeune homme, ou par le désir d'en marcha ctel moi meurt, les sentiments violents q.u i nui- savoir* davantage avant de dévoiler co w ruo de Meu, 9> PARFUMERIE FLORALE ÏOUI.OUSJ» I tai-ent soin aune se roflétOronit do soai a A is-oorot ? Amy a« le savai t pas eliemème.

Une telle coïncidence paraît trop plus causer de peine à personne, surtout : à toi ; et si j'ai donné un faux nom, c'est ' étrange pour être possible ; je croirais que je ne veux devoir ma position qu'à plutôt qu'un des bandits, celui qui avait mon seul méd ite ; c'est tout, sur ma pu- j trouvé le médaillon, l'a laissé ici dans rôle ! Phfut ! tu fais une montagne d'une t l'intention bien^rrètée de faire porter les taupinière. 1 upocnss 'Ur moi. — Oh I Tom ! mu rmura la. jeune fille — N'est-ce pas plutôt parce, que tu étais, honteux ou que tu craignais de îévéler qui voyait- pour la. première fois l'événeton véritable nonu? demanda-t-elle d'une ment sous un- nouveau jour, si tu savais voix pénétrante. combien la découverte de ce médaillon — Qu'est-ce que tu vas penser '? dit-il m'a. coûté de nuits blanches ! — Je -m'imagine' combien tu as dû te durement. ; qui -peut te faire supposer une toiitui er avec cela ! panerlle chose ? S'arrêtant devant elle, il la regarda — C eci ! Amy lia a de sa poitrine le 'médaillon- avec pitié et posa une main sur son épaule. qu'elle y tenait caché. — Où as-tu trouvé cela ? s'écria-t-il au " — Pauvre petite fille, je te plains d'avoir un frère dont le passé' autorise une comble do l'agitation. •— Si tn étais à Phoahix, Tom-, tu as cer- pareille supposition ! tainement entendu parler du vol qui a A ces mots, les larmes contenues; mtenété commis ici ? tèrent aux yeux d'Amy. — Certainement ! Mais quel rapport ce .— As-tu parlé ù quelqu'un de ta trouvai lie '? médaillon peut- il avoir avec le vol ? — A personne, sauf à M. Whipple. Amy lui dit dans queMes circonstances — Pourquoi le lui as-tu dit ?... La voix le médaillon avait été trouvé par Hte. Pendant ce temips, Tom s'était un peu de Tom tremblait visiblement. — Je ne sais pas moi-mêmie. pourquoi ressaisi. — Pair Jupiter ! f l'apparat son genoii de je le fis : j'avais gardé ce secret trop longson poing formé, c'est surprenant comme temps, je ne pouvais plus le supporter, les choses arrivent ' quelquefois ! J'ai et puis j'avais besoin d'un conseil. — Et c'est- Whipple que tu as choisi perdit ce médaillcin h Phœnix, il y a un mois, j'en étais navré et, j'ai -tout fait pour pour cela V le i e trouver. Et tu l'as découvert ici, dans L'anxiété était écrite SUIT le visage du ce bureau, le lendemain, du vol î jeune homme ,et c'est d'une voix hale— Que pou vais-je penser, Tom ? tante qu'il ajouta : — Tu a mais pu me faire bénéficier — Que t'a-t-il conseillé 7 d'un doute, — Il m'a conseillé de ne pas te faire L'homme qui n. trouivé le médaillon. venir ù la mine. truand | ai ym égaré, doi t être un des vo. —; Il a f ait cela '? s'écria. Tom , et l'exlouns. ; pa.v uno ooïncideuco étrange il to pression avec, laquelle ces mots furent où rcllLT' i*''"*»"* - "H -d la seule p*HWW>neés était aussi brutale que le re;t - voir. IT

Tom se j ova viveniowl «t long eai lau-ge.

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LE NUMÉRO 0 CENTIMES

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LE NUIV1ER0 Û CENTIME?

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LOF Annonces et Réclames sont reçues dan3

Edition du matin spéciale a Toulouse

nos Bureaux, rue Roqup.ln.ine, 25, à Toulouse, ot chez tous nos Correspondantg.

Mardi é Juin 1911. - 21° Année - N° 6,762. Les Faits du Jour A Paris, la grève des taxi-autos et des tramways du Nord a pris fin. Védrines a remis son départ pour Rome à demain. D'autre part, Vidart, parti d'Ortohello, a atterri à Rome.

Le lieutenant aviateur Bague est parti de Nico pour effectuer le raid Nice-Corse. Le comité de la grève internationale maritime a commencé à Londres une conférence de trois jours pour examiner la question.

On affirme que le chef de cabinet du ministre de la guerre serait le général Delétoile, commandant la 83° brigade d'infanterie à Tours.

On a découvert sur le parcours que doit suivre le sultan, se rendant à Sale-nique, quarante-deux kilogrammes de dynamite.

Coupe de l'« Eipress » Le Lieutenant Ménard espère arriver mardi matin à Toulouse

Lire la dernière heure à la 3" page.

oleurs volés La commission, sénatoriale chargée de tout prix, 15, 25, 30 congréganistes engafaire une enquête sur la liquidation des gent 15, 25, 30 revendications ; m piecongrégations a, comme nous l'avons dit, mière instance, en appel, en cassation, le adopté le rapport de M. Régismainset sur liquidateur a gain de cause, ira ;s les les opérations effectuées jusqu'à, la fin plaideurs congréganistes ont disparu ou sont insolvables. Les fra'S ri 2 ces innomde 1908. Ce rapport nous révèle la faillite d'une brables procès restent à ia chargé de ta liquidation dont M. Waildeck-Rousseaiu liquidation dont l'actif loud et se réduit avait fait luire les résultats aux yeux do à rien. la majorité pour obtenir d'elle la chasse « Dans cette lutte sourde- ajoute-t-il, aux congrégations. les congrégations ont été admirablement Un milliaiid ! servies* par un comité de jurisconsultes C'est avec co chiffre fantastique qu'on dévoués et désintéressés ». Le mot fait s'est rué sur l'es biens des religieux, qu'on image, rapproché des qualificatifs que le a dépouillé des milliers d'hommes et de rapporteur accole à ceux qui, chargés de i'emimes, qu'on s'est emparé de leurs res- défendre l'Etat spoliateur, se sont mis eusources après les avoir jetés dans la rue mêmes à gruge r cet Etat et à s'enrichir à condamnés à l'exil et à la misère. ses dépens. Un milliard à voler et à s© partager, Malgré cela, si le vol n'a pas produit quelle aubaine ! Ce fut un hallali géné- tout ce qu'on en attendai t, c'est parce que rai : liquidateurs, hommes d'affaires, les congrégations ont eu le mauvais goût avocats politiciens, dont plusieurs minis- de ne pas mettre assez de complaisance tres qui avaient voté la loi de spoliation, à se laisser dépouiller. La victime attase précipitèrent vers le pillage. Et ce fut quée au coin du bois ne donne pas aux un, beau pillage, au dire du rapporteur. apaches le gain qu'ils avaient prévu, Du milliard il ne reste plus que 37 mil- donc, c'est la victime qui est coupable. lions. Pour un peu, c'est elle qui serait taxée L'aveu en est .fait officiellement cette de vol. fois par oeux-mèmes qui avaient conLa plaisanterie est tout de même un couru- par leurs votes à cette œuvre do peu forte. confiscation. Les francs-maçons du Bloc s'imagiIls reconnaissent dans un document naient-lls vraiment que les religieux dépublic que le naufrage de leurs convoi- pouillés des biens qui leur appartenaient tises est absolu. légitimement n'auraient tenté aucun efLes dépouilles ont à peu près disparu; fort pour se défendre contrôleurs spolia©lies se sont fendues et les dernières miet- teurs ? On, sait que nos politiciens sectaites « grignotées pair les gens de justice » res ne sont pas d'une intelligence remardonnent un reliquat dérisoire. quable, mais on leur faisait l'honneur dé « Votre commission d'enquête, écrit M. croire que leur crôtinisime n'atteignait Régismanset dans son rapport, a pu voir pas un tel degré. s 'évanouir et s'eff riter le milliard des conA moins que ce ne soit qu'une divergrégations évalué par l 'enquête de 1900. sion pour tenter de masquer les gabegiesS'acharner à recueillir les débris du naudes liquidateurs. Mais la tentative se profrage, rogner de ci de là les frais et honoduit trop tard et rien ne saurait sauver raires exagérés, arracher les dernières les vrais coupables. Leurs noms, d'ailmiettes grignotées par les .gens de jusleurs, s'étalent tout au long dans le rap- tice, à cela presque se réduit le rôle de port do la commissiion sénatoriale dont vos oomimissions : sauver quelques mill'existence même constitue 'un aveu, liers do francs quand ils voient dispapuisqu'elle n'a été créée que pour enquêraître îles millions ». Et ces sommes arrater -sur les dilapidations des liquidateurs. chées, après avoir été volées une preIl faudrait, pour qu'il en fût autremière fois, à la rapacité d'autres pillards serviront à peine « à fournir des pen- ment, rayer de l'histoire de cet acte de sions, secoursi et hospitalisations aux con- brigandage des noms et des incidents, g,régain,istes infirmes oui âgés laissés aux tels que celui de M. Duez et de magissoins de l'Etat par les congrégations dis- trats sur lesquels M. Combes lui-même soutes ». s'est prononcé en termes aucunement Là se bornent les doléances et les flé- équivoques. En tôte de ces malfaiteur s, cette histoitrissures du rapporteur à l'égard de ceux qui ont travaillé au naufrage des espé- re placera M. Waldcck-Rcusseau qui, pour allumer les convoitises des masses rances des spoliateurs radicaux. Par contre, M. Régismanset ne déco- populaires, leur promettait, dans son dislore pas contre « les congrégations qui, cours de Toulouse, « le partage du milditriù, sont parvenues à soustraire leurs liar'd des congrégations ». Ce fut le sipersonnes et leurs biens aux lois votées, gnal de cette chasse aux moines et aux aux liquidations ordonnées ». Que ne se religieuses, de co pillage d© leurs biens sont-elles laissé faine ? On n'a jamais" vu qui devaient servir de premiers fonds de vraiment des victimes opposer" une telle caisse pour les retraites ouvrières. Aujourd'hui, on constate que la caisse résistance aux entreprises des voburs i est vide. Le 'rapporteur n'en revient pas : '< Parfois, dit-il, la, congrégation ira Les voleurs ont été volés, autant dire puissante doit subir la liquidation ; icais qu'ils se sont volés eux-mêmes. flamme il faut que l'actif dispia -aWe à PECH-DAVID.

$chos de partout

ShP&î ?Z V? 00 a''i°urd'hu,i. et on ^ VJ^ b^nm eI 0 au4 3 000 inhérents.

comnln

CARTES POSTALES DU MAROC Avez-voos reçu une Carte postale du Maroc "> 11 en .arrive .maintenant tous les jours envoyées par nos braves «oldats qui sont là-bas défendant notre drapeau. La plupart de ces cartes, nous n'avons pas besoin de le dire, ont été faites à Paris p aidée industriels prévoyants. On y retrouve nos braves U'oopiers à toutes les étapes suivies par les corps -expéditionnaires, mêlés aux in•trgenes. Quelques-unes de ces cartes, il est vrai, ont un peu vieilli, car elles furent fabriquées à l'époque de la première expédition, mais ceux qui les reçoivent n'y regardent pas no si près, tant us «ont heuneus de recevoir oes nouvelles d'un père, d'un fils, d'un fiancé.

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Pau, 5 juin. J'ai trouvé, à mon arrivée à Pau, la ville endormie." Après les minutes éinotionnantes de l'atterrissage des deux officiers aviateurs, leTIieûtenant Ménard et son passager, le lieutenant annamite Do-Huu, du 1" étranger, la population paloise attend paisiblement le départ des deux intrépides voyageurs. . Le temps est beau et favorable. Si aucun changement .ne se produit, l'ehVolée du biplan aura lieu domain mardi, dans les meilleures conditions. Le biplan du lieutenant Ménard est un Farman. sans stabilisateur avant et gouvernS.il de profondeur et de direction it l'arrière.. Il a 11 mètres d'envergua'e et 7 mètres de longueur ; il présenté une surface de '24 mètres carrés. Il est muni d'un, moteur Gnome 30 HP. Son poids transportable est dé 27ÎJ Kilos. L'appareil occupe à l'aérodrome de Pau. le ; ., hangar n' 1. J'ai pu m'entretenir tout à l'heure avec le lieutenant Ménard. C'est un homme vigoureux, au regard énergique, son entrain est merveilleux. Il passe pour un de nos aviateurs militaires les mieux entraînés. . ..... Le lieutenant Ménard et son passager et camarade le lieutenant Do-Hun sont pleins de confiance sur l'issue du magnifique raid qu'ils sont en train d'accomplir. • ; « Si le temps le permet, me disent-ils, nous quitterons ' Pau, demain mardi au point dji jour. "Nous sommes très heureux de Visiter Toulouse, où nous savons qu'on 9' intéresse vivement aux progrès de l'aviation. Notre appareil fonctionne a merveille et non* avons pleine confiance dans la suite de notre raid ». En attendant l'heure émouvante du départ ils Pau pour Toulouse, le lieutenant Ménard est allé se promener en automobile dans les environs de la v.ilfe. 11 faut ajouter que les bruits les plus contradictoires et les plus divertissants ont oôurvi tout aujourd'hui a travers la. région, au sujet du départ du lieutenant Ménard et do son iKL-wagcr pour Toulouse. Des dépêches arrivant d'un peu partout ont signalé le passage, du biplan des deux officiers à Lourdes' et à Tarbes ! On voit que rien de tout cela n'était exact, puisque le grand oiseau repose encore, a l'heure actuelle, sous son hangar do l'aérodrome de Pau. Et ce n'est que demain, comme nous l'avons dit, qu'il prendra son vol vers Toulouse, qui réserve aux courageux officiers, qui le montent l'accueil le plus chaud et le pliis enthousiaste. G. G.

A TOULOUSE L.'aniitonce de l'arrivée du, premier aviateur milita-ire a produit à Toulouse l'impression <ju',on était en droit d'attendre. Le public, dont l'attention a été un moment distraite par lo» gigantesques épreuves internationales Paris-Madrid, Paris-Home, n'en suit lias moins avec intérêt cette randonnée siîenGteaiêe, .modeste et régulière, que M. le lieutenant, Ménard a entreprise en faisant le Tour de France.

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«I. Le journal i'E.rprm du Midi met à la disposition de l'Aéro-Club des Pyrénées une t'onpe d'une valeur de cinq cents, francs pour être- attribuée au premier officier pilote-aviatour qui, parti d'un point situé à plus de 100 kilomètres de l'octroi de Toulouse, viendra atterrir au Polygone. . » II. Ce trajet de plus de 100 Kilomètres devra être effectué sans- escale. » III. -L'arrivée sera constatée par. les commissaires de l'Aéro-Club des Pyrénées nommés par la Commission d'aviation -de l'Aéro-Club de France. , . ........... » IV. Cette Coupe sera courue sous les règlements, de l'Aéro-Club des Pyrénées et de la

F: A.-I.*-..

» V. Les officiers qui déféreront courir cette Coupe -seront tenus de prévenir le Comité de direction de l'Aéro-Club des Pyrénées trois jours avant de tenter l'épreuve. » VI. Ils devront en outre télégraphier au plus tard six heures avant leur départ en indiquant l'heure probable do leur arrivée à Tou-lou*e. a Fait à Paris, le 2 juin 1911. » Ed. SIRVEN, , » Président de i. Aéro-Club des Pyrénées. » On le voit, l'exploit rte M. le lieutenant Ménaa'd, venant de Pau à Toulouse par la voie des airsj n'a rien perdu do ton attra.it, même aiprès les sensationnelles arrivées de Morin et rte Védrines. .N'onh! ions .pas, du reste, que M. le lieutenant Ifoeuard condutt un biplan Farman, et qu'il a it son bord un. passager, M. le lien tenant annamite Do-Huu. de Ou légion étrangère. Co eera la première fois qu'un biplan, volera .Mers Toulouse, à travers la région du SudOuest, et l'appareil de M. lo lieutenant Ménard ;sjara le premier aéroplane portant deux voyaige-nrs qui vienne atterrir dans notre ville. ' J Hier, dès la première heure, nous nous som •ifwa transportés au Polygone d'artillerie qui, en, attendant la création d'un aérodrome a Toulouse, est l'endroit affecté aux atterrissages et tjiux envolées des aviateurs. ; C'est la, en effet, dans ce vaste champ, que le vaillant officier nous arrivera du Sud Ouest et viendra se poser, avec la rapidité d'un oiseau, vision courte et fugitive, mais dont 1 impression demeure inoubliable pour tous ceux qui ont vu, en de pareillee circonstances, l'oiseau mécanique d'abord point noir à l'horizon, puis gigantesque ropace au vol lourd, en enfin fabuleuse machine fumante et bourdonnante se posant sur lo sol avec une légèreté d'insecte. , , Vainement hier, avec quelques curieux nous avons attendu cette vision dans le Polyaorte détiert où, il y a quelques mois à peine, grouillaient et (vibra,ient les foules au speclaelo des hommes oiseaux. Le temps était splendide, un léger vent d'autan secouait à peine la cime des arbres, -mais le nid est resté vide. L'oiseau n'est pas venu. Notre rédacteur en chef recevait en effet dans l'apres-midi, ce télégramme de M. le lieutenant Ménard :

»

de surv rciller l'évolution du patriotistmo chinois.

7A$2L 2^ nl

. L'Express, qui a offert une Coupe d'une valeur de 500 francs au premier aviateur appar tenant à l'armée française qui touchera Toulouœ, eu y venant pai- La vole des airs, tenait à être le premier à saluer à son arrivée M. le lieutenant Ménard. Voici, du reste, le règlement de la Coupe de l 'Express, tel qu'il a été arrêté par l'Aéro-Club des Pyrénées et homologué par l'Aéro-Club d, France :

. . , • '•• . » Pau, 5 juin. . » Arrive hier soir Pou ; compte repartir mardi malin pour Toulouse.

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LE PATRIOTISME CHINOIS UN VETERAN n pln s 11 c&t La ville d'Eiehstoett, en Un [ère vient, d'inau1P ?™3, ffrts \, , i Pressant à constater 'quo u n mo n,m u l en î ^ mo1 ' '• 'I'" 1" Kuerre T de l'esprit militaire et patriotique « f7n7i ' ' r. < , f s °! «u urine. .11 sa fait une évolution lente, qui |i: ' li' "' " '" '"" .Bavarois " les *t nien loin, encore d'avoir transformé la assistaient en corps celte èéré011 mx mil» '° Pûtesancé forte comme le Japon, SOUVVIM .* <b» ^.il soldai frai n<î tk)it w,,fl vil1 tin Pas être négligée, allés su . '' « ns sont r ;,co ls voan , "' symptômes de cet esprit nou6 de >u ne , «réés Vhnn ^h^' ? corils tte volontaires ^ ï ,iT9 iawtoa ornée d'un « «naiiRliai par les marchand de cette .i.nn ii .ieolwe, a\K» rni-cripUnn suivante • v-<< 1 14e l 'vtir apparition date de 1906. Deux riCh<M «ommeivonts chinois M. Vu Va Chili g Je bût'' LEi?*?1" 1) fondèrent une Société dont 1 exerciPer \ d,ft- tWyetopper la santé par Aee> lhyfi Socié i n en "'" w - C'était en somme une Peu V gymnastique. L'ESPRIT DU JOUR Giatien fî • •* «façtèire militaire -le rassoVoua ôOnflaièsez la nouvelle : On va f rre. ÏM Corne 1,, i 1Sn'c,M i"ué. et elOe a pris te nom une lo i ÇIÇ-IUBÔ les mystilieateu.i'a. 19 m ,:..'.",' : ' voisina ir,.» commerça il- ». Kir M-ait-ce . ne comptait encore quo 350 membres. COlr. d'al ions contre les liquidateurs des

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A.

De notre envoyé spécial : .

organisée m? représentation fut î? M théâtre chinois de Shanghaï a i bénéfice des volontaires : salie était 1 pleine et l'enthousiasme fut tel » f., tants jetaient sur la scène des o, S: C

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Attention à vos Parapluies

LES LIEUTENANTS MENARD ET DO-HUU

»3 ^rhinC a 10 '. a l' 0Mi « et «Mit instruits par dea Chinois gui ont été dans des écoles militaires au Japon. Leur éducat. on nv t ire r est à peu près complète en six m.". cori ' s analogues dans 1 <»«s vi les co,m.inereah.te8 chinotoes ; S S

donne, pour ses étrennes, un pos„o rte trésorier -payeur général dans l'Oise, c 'est-à. -lire, 33,483 francs de rente, auquel on .•ijoui-î le titre d'administrateur du Crédit Foncier, soit 20,000 francs par an. Le lils do ce filleul était chef de cabinet de M. Trouiilut .. il attend son bénéfice. Si jamais! vous allez à Chicago, je vous M. Dupré. Jules, qui n'a jamais, lu ; non conseille, mes bons amis, de faire attention plus, appartenu à • l'administrai,'. MI . est à vos parapluies. Car il y a là-bas un juge de paix particulièrement indulgent pour les nommé, en 1900, percepteur ù N'eu'lly : i) touche de ce fait. 21,261 francs par an. Ses filous qui ont la spécialité de [aire les rititres ? M. Dupré est le premier mari de la flards. ... , „ Ce magistrat qui, de l'autre cote de l eau, première femme do M. Caillaux. ï' uu- (btcjoue les Magnaud, vient de nous adminis- nir sa bienveillante ncutrai'ié, après le ditrer la preuve que dans la Libre Amérique vorce, no faliait -il pas le désintéresser dans comme chez nous, la claudicante Themis s a- une large ot convenable mesure ? Joost Van Vollenhoveii est né h Rotiermuse parfois aux dépens des pauvres bourdam, Hollande. 11 avait, par conséquent et geois. de naissance, le goût d'un fromage ; on le En deux mots, voici l'histoire. Un citoyen de Chicago, désireux de ne nomme secrétaire général des colonies, co pas se mouiller un vilain jour de pluie, qui lui vaut une petite prébende de 18,(iijQ avait arboré un superbe pépin. L'excellent francs par an. Emile Merwart, né à Lemberg. Autriche, homme, pas défiant pour deux sous, na nullement tenu compte du conseil donne étant né hors de France, a gir Jé ia vacadans toutes les langues par la sagesse des tion des voyages au long cours ; rien de plus facile, il est protégé par M. Méli-ne et nations. Bewaro of pipockets ! Son parapluie a tenté la coupable con- on le fait aussitôt gouverneur de ia Guyane, voitise d'un de ces pickpockets qui lui non aux appointements de 20,000 francs par an. Les parents de Jcan-Edme-Femand Gauplus ne voulait pas se mouiller. Un. deux, tret se désespéraient. A trente ans. il n'atrois, le parapluie disparait. vait pu encore passer son bac lauréat. — Au voleur I On arrête la victime du larcin. L'affaire Qu'allait-on faire d'un pareil can;re ? Les est instruite. Les débats ont lieu devant le colonies excellent à préparer les fruits tribunal de Harrisson-Street. Le vol est secs : gouverneur de la Guadeloupe. JeanEdme-Fernand a vécu sans fatigue avec lea avoué. Le juge rend son jugement, et, s tu péfaction, il absout le volé dans le plus vingt mille francs que lui allouait la République. magnaudesque des jugements. Savoure Mais lisez vous-même la liste que nous moi ce considérant : « Un homme a une sorte de droit à voler reproduisons. Tout commentaire on affaiun parapluie quand il ne peut le payer et blirait l 'éloquence. Il faut parcourir ces colonnes pour se rendre compte ie ce que qu'il pleut ; mais qu'il n'y revienne pas. » Chez nous, Prud'homme avait dit : « La représente, en 1911, la République franpropriété, c'est le vol. » Le mot a fait son çaise. Baudelaire en eut la vision aiguë lorspetit tour du monde. Les nouvelles couches judiciaires de l'Amérique ne sont pas en que, prophète comme tous les poètes, il écrivit ces vers, un peu naturalistes, mais peine pour en faire la plus rigoureuse ap plication. Pour elles, rien n'est sacré pour combien précis :

SIMPLES NOTES

L'AVIATION MILITAIRE A TOULOUSE

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MliNAIU).

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Ainsi, donc c'est aujourd'hui mardi, aux premières lieures du jour, que l'intrépide officier aviateur s'envolera de l'aérodrome fameux de Pau pour gasmer la vallée de la Garonne et ontln Toulouse, point terminus de l'étape. Comme c'est, la coutume dés aviateurs, M. le lieutenant Ménard partira aux premières heures du jour, c'est- a,-dire .entre 4 et 5 heures du matin ; c'est le moment le plus propice au vol, l'atmosphère .niant relativement calme au lover du soleil. I» vaillant officier peut donc arriver au Polygone, entre li et 7 heures du matin. C'est là le minimum de temps prévu, en tenant, compte des meilleures conditions atBoaphérlquiefi. Mais, en tout cas, moins de panne ou d'accident, M. le lieutenant Ménard arrivera. à Toulouse dans la matinée iyBtpress sera heureux de lui remettre la Bôiirie qu'il a créée pour lo premier militaire atterrissant dans notre ville M population toulousaine saura arc'-amer m , il le morue M. le lioutenant, Mcnai oiant s„n nom a celui des uilrepn les aviateur quM^ent au loin la renommée et *

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Aussi eoni îenç.n it on mer a so jnvufvuper, dès la promu iKuiv, de l 'arrivée de l'aviateur niiiiUiu*

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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un voleur, pas même le parapluie. Le parapluie appartient à l'escouade sociale ct tout le monde a le droit de le chiper au voisin. Décidément les idées de mon vieil ami Jaurès font des progrès. Aujourd'hui on nous prend le parapluie, el la justice estime que c'est très bien. Demain on nous volera nos habits et notre chemise, et nous n'aurons pas le droit de protester quand le filou nous dira : « J'ai une sorte de droit à prendre à autrui tout ce que je désire et que je ne peux pas payer. » M. le juge l'a dit. Diable ! diable ! Ce nou vel axiome de droit me rend rêveur. Il est vrai que je ne suis qu'un affreux bour geois. — Louis.

Lea mourthes IxvurdlonnaleTit sur ce ventre putride D'où partaieiat cka noirs bataillons De larves qui coulaient comme ira épais llTuitle Le long de cea vivants lia,'',!oiis. Oui, évidemment, sur tout corps en décomposition il y a des asticots qui le rongent. Nous n'attendrons pas longtemps la vision des ossements blanchis.

CHOSES VUES

mbusques

GUY DE CASSAGNAC,.

par Y\i Spécial

DÉPÊCHES Les Retraites Ouvrières

Aux gens qui, taquinés par la chaleur d'orage, se sentent envahis par un désir de campagne, nous signalons avec empressement celle, très réjouissante et très pittoresque, entreprise par Gustave Téry, dans l'Œuvre, contre le favoritisme dans l'administration. Souvent, les lutteurs isolés, francs-tireurs do l'opposition, comme Téry et nous, tous ceux qu'aucune coterie n'a réussi à embrigader, sont traités d'énergumène9 par;e qu'ils font du bruit individuellement au heu d'opérer collectivement. On met en doute sinon leur sincérité, du moins l'exactitude de leurs affirmations, comme s'il fallait n'avoir point de passion^ pour être véridique. Mais, cette fois, aucune discussion n'est permise, aucune contestation n'est possible. . De même qu'à l 'époque des. fiches, Guy >t de Villeneuve accabla ceux qui niaient l'avancement par les voies maçonniques dans l'armée, de même les optimistes^qui croient en la pureté des mœurs administratives seront obligés de s'incliner devant les documents ci-contre. Malheureusement, chez nous, lorsque les gens s'inclinent, devant, les révélations faites par l 'opposition, ils n'offrent qu'une cible plus commode aux coups de pied de nos maîtres. Aucune Tévolto ne les anime, aucune Indignation ne les saisit ; on fait : « Ah ! » puis, on dépose son journal, on sourit béaitem ent. et on se rendort. Personne ne se fait le raisonnement que voici : les charges dans l'Etat sont le prix des services rendus non pas à une faction provisoirement au pouvoir, mais à la Nation entière. Ces charges constituent une hiérarchie dont le parcours est soumis à des règlements définis qui ne relèvent point du caprice personnel, mais sont l'honnête expression d'une juste garantie. Donc, lorsque des politiciens profitent de leur passage aux affaires pour nantir leurs amis et leurs parents do fonctions, d'emplois administratifs, ils commettent un vol plus scandaleux que celui du pickpocket qui prend la montre d'un passant pour l'offrir à sa femme. Cependant, nulle loi n'interdit ce trafic, nulle protestation no vient entraver l'exercreo de celui-ci : bien mieux, il est entré si avant dans les mœurs que nul ne songe désormais ù s'en étonner. On trouve absolument naturel que les députés blackboulés, que les filleuls, les neveux, les cousins ou les fils de parlcmen1 aires soient, pourvus do grasses sinécures n UN dépens dit peuple français. M. Fallières, veut mo,rier sa llllo ? Il signe un décret nommant son futur gendre, trésorier-payeur général à Versailles, aux appointements de 49,255 francs... Ses titres ? A été secrétaire particulier do différents ministres, puis du président de la République, c'ost-à-diro a été nommé d 'emblée dans l'administration fiscale ct se voit octroyer cinquanto mille francs de rente, du jour au lendemain, passant pardessus tous les pauvres bougres qui, -depuis vingt ans, peinent, suent, gravissent péniblement les échelons do la hiérarchie et s'usent le derrière sur les ronds do cuir dea ministères. Nelson Lanes, frère du Rendre, n'éta't avant, l'heureux mariage de Jean .JosopliEdmond, que fllateur dans le I,j,t et-Garonne. Comme polit souvenir des no-os il reçu'! lo titre d'administrateur do 'A Hanqim Ottomane, au traitement do tient: mil 1[faaoi par an. Mais M. Fallières n'a pas q m Hos gendres, il a un filleul, M. Ca*»«Mf»*u. ° n ,ul

Paris, 5 juin. Dans une lettre adressée au Temps, M. Abel Ferry, député radical ffes Vosges, se plaint des protestations que soulève la loi sur les retraites ouvrièras. Voici les principaux passages de cette lettre : « Cet accueil méfiant réservé à la loi ne provient pas feulement de ce qu'elle est peu connue, de ce que l'opinion y a été mal préparée, de ce que l'éducation des bénéficiaires de la loi n'a pas été faite ; cet état d'esprit s'explique aussi par une sorte de méfiance à l'égard de l'Etat républicain. Un militant avisé me disait : « La loi n'eût pas, il y a quelques années, rencontré la mémo mauvaise humeur.» Si c'est vrai, c'est grave, c'est le crédit moral et financier de l'Etat qui est atteint ; cela dénote un manque de confiance, une alifence d'optimisme ; si l'homme pris au hasard dans la rue hésite à confier ses 9 francs aux caisses publiques, l'une des forces nationales,, c'est la foi dans la signature de la France qui est touchée efcc'eft peut-être ià ie châtiment de ceux qui oit eu pour les hommes et les choses si lieu de bienveillance.. . et même si peu de justice que de voir aujourd'hui l'Etat récolter la méfiance ; et cependant, la santé des peuples c'est la confiance on eux-mêmes, une de nos IOK^S de paix et do guerre, c'efit notre crédit, ; il n'y faudrait loucher que d'une mail légère et faire autour de lui la trêve des partie, a

LV DÉFENSE DE L'ÉCOLE LVIOLE Le Mans, 5 juin. Les instituteurs et institutrices de la Sarthe- réunis en assemblée générale, après avoir pris connaissance de l'article unique du projet de .loi déposé par M. Steqg, niinist.ro do l'instruction publique, concernant da défense de l'école laïque, et considérant que cette proposition laisse totalement rte côté le contrôle des écoles privées, ont émis le vœu que lo projet déposé soit modifié et remplacé par un nouveau texte, où l'entrée des écoles publiques de tout ordre serait, formellement interdite, sous la sanction des peines portées à l'article 471 du Code, pénal, à tontes personnes- autres que celles qui sont désignées pa- la loi pour l'inspection et la surveillance des établissements d'instruction primaire.

Le Cabinet du ministre de la Guerre Paris, 5 juin. La France militaire confirme quo le chef de cabinet du ministre do la guerre sera le général de brigade Delétoile. commandant la 83' brigade d'infanterie à Chàlons-sur-Marne. Au ministère de lu guerre, on déclare que la chose est possible, mais que rien n'est encore fait ; aucune décision officielle n'a encore cte prise par lo ministre de la tnterre, qui a pa *À la journée d'hier à Chàlons-sur-Marne. On ajouto ruo Saint -Dominique qu'il «st nrolialile que la ilesieinil ion ,lu clief île cattt* net, no sera définitive qu 'après que le mènerai ('oiran en, aura fait part à ses collègues au cours du conseil de cabinet qui se tiendra mercredi prochain, sous la présidence de M. Monis.

A MÏERMJOURNAUX

r, Paris, juin. n , . : Du Gaulois « Jo no sais comment M. Léon Bourgeois lo souverain champenois, se tirera, d'une sôttfl alfairo dans Itiqiii'lle il s'est mal engagé. » Pour uno fois, il prend puni en.. Lueur Une Ai •a, oliasse supérieure contre la rln in/ériciiro, pour lo. ricin» contre Jo |« m , v pour to VIII ,m 11,1-e- le vin roturier ; tl Yhsqiwi I', 11, (le s i dos ceux qu'il protège ci qu il ah;i » Ou rcsisle d 'un eût/ il&lot de n'être- pas «if e crois bien que, lin il ment, il mira , ie lui ft 'S grands, le» tllnj en»

cru*.

. ...


— MARDI 6 JUIN 1911

tions ou radiations, au cours du somestr» expiré le 3J mai : Avec Ir.-iileinent donnant lieu à remplaça, Tours, !> juin. de Marrakech et les nouveaux caïds du sud, Ml ,,,ii • , rand»-offlciers, lo ; commandeurs, On armceice de divetrs cùtés que de nompartiront aujourd'hui sous la conduite <J» breux «rages om-i éclatés en Touraine ; la. l«u8| ; olflciers, 114 ; cltevaliers, 018 ; médaille* militaire-, 1,175. M'Tougui. dire est tombée sur le château d'Avize. qui a La délimitation de la Champagna Avec Jraitijuent ne donnant pas lieu à remtoubi d'importants dégâts. La retraite de la division Toutée Paris, 5 juin. Dans la -région de cliàu.-n: : enauit, de nomplaceoieni . ; rand offlcifcr, 1 ; ofûcler, l ; cheParis, 5 juin. Le conseil «"Etat a transmis au gouvernebreux poteaux télég.raphi<yi|g& ont été ivuvervalier, l. inent le projet de- décret rendu samedi soir an La retraite do la division Toutée suggère au s Os* Sans traitement donnant lion à remplaceà tous les eomuKiuidaiiits do navi .res en parSujet do la délimitation die la Marne- ct de Temps les réflexion» suivantes : lis récoltes ont particulièrement souffert. ' FlOta : Jovial, au lieutenant Gély (lu V chasment : grands ofiiciers, 2 ; commandeurs, 5 : tam.ee dexercer aaf»eil 'Bance très active l'Aube. « Les troupes françaises avaient été mobiofficiers, :.'i ; chevaliers, 187. se ,rs par le lieutenant Giese i Albertine, ô LES ACCIDENTS DE CHEMINS DE FER Hier, M. Munis a reçu M. Pams, ministre do lisé^ sur Ta frontière a,! éro-marocn.,no pour Sans IraWemenl ne donnant pas lieu à remM Audit, vétérinaire au 3' d'artfflCTle, par le Dos ordres viennent d'être donnés auxeonv l'agriculture, avec qui il s'est entre tom de cette attirer à elles une partieSau moins des tiibus Un déraillement nutSeSUant Pérès, du 3' dartillcr .e : In- tre-torpiilileurs actuelleimeint à Nice a partir u placement : commandour, 1 ; ofliciers, 13 ; Question. qui assiégeaient Fez. . chevaliers, 23 ; médailles militaires, 10. s né au capitaine Bastide, du 3* d'artillerifl, la TiecheTcho de l'aviateur. Florence, 5 juin. . , ,. , ». On espérait ainsi décongestionner la capilô propriehiiro ; DoeR, nu ^t ^ggt I/i lieutenant Bague avait .exprime le d su L'express parti do* Milan hier matin à sept Le Millénaire de la Normandie tale ; ce résultat n'a pas été atteint. Si 1 o n heures et qui devait arriver h Rome à 0 h. 50 de n'être pas convoyé. cherche pour quelle raison le but que loi Nice, 5 jum. Rouen, 5 juin. de tt'après-miuM, a déraillé à la gare de GorS eétait proposé, en portant la division louttc Dans la soirée d'hier, la foute s'est répandue Le générai de division Ducray, gouverneur bèzzf, avant Pistola. i avant, n'a pars été atteint, on croit la troufer. _ «ans les rues pour admirer les illuminai ions ver dans le fait quo l'offensive n a pas été Le train était à peine entré dans un tunnel do Nice, fait connaître qu'il a -reçu la J uin, électriques des quartiers et celles grandioses assez mordante ; lo gouvernement avait in- quo les voyageurs lurent secoués brutalement; à 4 heures, lo télégramme cl -joifi expéam ù Par arrêté du S juin, la vente des timhres«le l'église Saiint-Oueu, dont l'architecture était *?rdit de franchir la Moulouya ; il avait re- te convoi s'arrêta inslantanémcnt. 8 h. 10 par lo coiunianiUiii de ia marine ÛA- relr.'iile de luule catégorie sera effectuée par misa en relief par l'éelht de lampes rouges les six voitures de queue avaient versé. 3prix, valeur 60 it., plus 60 fr.. } ranconi, au -i-ion -eé à faire- usage du droit de sape qu il K les débitant i de laliae, parles l'eerveurs-buruLa corvette norvégienne avait toutes -ses li- •possède incontestablement. capitaine Bastide, du 3' d'artillerie, pur W Il y a un .mort et onze blessés. « Je reçois de diverses source? des demarulv, gnes ei sa mâture dessinées par de petites lampropriétaire, et Dragon, nu lieutenant ivi.-.-, de renseignements sur Je liculenant Baguo ; .1 i,--i et par lo personnel des postes et des L'accident est dû à une fausse -manœuvre, >- Dans ces conditions, rien de surprenant ojes éleei riques. Madrid, 5 juin. à ce que les Marocains, occupés à 180 kilod.i 3' d'artilerie, par lo propriétaire ; o prix, je vous serais obligé de l'aire savon- que toutes télégraphes. Au Théâtre des Arts, des artistes de la C.omeUne remise de 0 50 pour cent est attribuée Une dépèche officielle de Jaen annonce que valeur 40 fr. plus 40 fr., Duchesse, au capi- les réponse- seront adressées par la voie du Hie Française ont Joué le •i° acte du comte mètres do là, se soient peu souciés du maintaine Bastide, ct Dragon, an lieutenant Père». général gouverneur ; pour lo moment. Je ne aux préposés de la vente. d'Essex, ie Menteur, ct le V acte de Louis XI. tien sur la rive droite de la Moulouya d'une le train-poste a déraillé près le Binaires. Il v a li blessés dont sont dans un état 1 Flots : Opale, au capitaine Diiieçn, (lu l force nombreuse, mais immobile, bien armée sais rien ; l'Arbétette est eur le trajet d'Ajac•hussards, par le propriétaire, et Emmence, cio à Nice et je suis iin<iuilet. » grave mais impuissante. au capitaine Bniteeh, par le lieutenant Gièse^; » L'occupation do Dobdou, le bombardeDepuis 9 heures du matin le gouverneur téInsurgé, au capitaine Bastide, par le proprié- léphonera les rc-nseignemenlis au fur et à •meMORT SUBITE D'UN GENERAL ment do Cuercif, sur la rive gauche de la La grève internationale maritime Fédération des Sociétés musicales du Midi taire, et Filisler, au lieutenant Ar.gla, par le sure de leur rédfeptioij ; VArbalette venant d'AMoulouya, ot quelques engagements aux enDijon 5 juin. 3' Fêta fédérale à Lézignan (Auds ; Londres, 5 juin, virons de Merada, tel est le bilan' militaire Le général Clément d'Eu, âgé do f.3 nus, du propriétaire. jaccio était à 4 himi'es et demie en vue du port le dimanche 25 juin 1311 ï Le- (mouvement organisé en vue de la grève de la division Toutée. cadre de réserve, revenant, d'Algérie, s'était de Nice ; le commandant a demandé par téléFootball rugby internationale maritime «e poursuit active» La moment est-il bien choisi pour ordon- arrêté, samedi soir, à l'Hôtel de la Gare, â graphie sans ai au Fantassin, qui cet ara i **, ment et prend une certaine importance. ner cette retraite, immobiliser les forces conLYON COMTI1E PARIS si on avait dos nouvelles de Bague ; sur la La Fôte de la Fédéra-lion sera clôturée par Hier soir, plusieurs meetings ont été tenus sidérables groupées auprès des gués do la Dijon. 11 avait passé la soirée très tranquillement •réponse négative do celui-ci, VArbalette a re- une audition artistique qui aura lieu le diVichy, 5 juin. clans le quartier des docks auxquels assis- Moulouya, dans l'attente d'une hypothèse qui avec son ami le général Dantelle, et était renDans lo grand match de fool-ball rugby, lo pris la toute corso- pour continuer les recher- manche 25 juin, à 9 heures du soir taient un grand nombre de dockers et de ne s'est pas présentée ï tré se coucher dans une des chambres voi- Pootbdtl-Club do Lyon a battu le Sporting- ches. Pendant cette audition aura lieu la <l.:>tra-. matelots. ~ » La marche sur Fez n'a pas dù produire sines. bution des prix des divisions d'Exoelk IUA l'un d'eux, Mme Sorgues, la syndicaliste sur les tribus environnantes une impression Dans la nuit, le général Dantello entendit Club Universitaire de Paris. Des démarches sont faites auprès des Comfrançaise, a pris ta parole. de force désirable ; il est à craindre qu'elles des soupirs, mais au bout d'un certain temps Football Association Londres, 5 juin. pagnies do Chemins de fer aim d «Mm r des n'attribuent à l'impuissance ce qui a été l'ef- -n'entendant plus rien, il ne lit pas attention. trains supplémentaires qui quitteront LéZile comité de la grève des matelots interna- fet d'une prudence sans doute excessive et PARIS CONTRE PB A GUES Cependant, hier matin, à 9 heures, le génétionaux a commencé hier à Londres la confé- que faisant fond sur la faiblesse qu'elles nous ral d'Eu n'étant pas descendu, son ami entra La marche de Level Paris, â juin. ^('ei ^pîu-niura ^ux éiiengors d'assister à rence de trois jours pour examiner les ques- supposent, elles essayent par dos raids hardis dans sa chambre et le trouva mort. Il y avait Dijon, 5 juin. Sur le terrain du Racing-Club do l^vvnco, à r '.i K .n ,,m-é.r- tenus d\ tdw an tiens de la grève universelle. à surprendre nos postes ». un peu de sang dans les draps. C'est par suite d'une chute qu'il a faite à Colombes, s'est joué, hier, un match de footleniemain pour quitter Lézignan. Les délibérations sont privées, mais le? seLo docteur Huchon, mandé en hâte, conclut Gevrex-Chambertin que Level a interrompu sa ball-association entre les équipes de présentaCesd^marclves sont près d'aboutir. L'horaire crétaires Havolock et wilsons annoncent, L'ACTION DES PUISSANCES ù une embolie au cœur. course. tion de Paris et de Prague. snécial sera publié eu temps opportun. ttprès leur réunion, que lo comité n'est encore Son biplan a fait panache et l'aviateur est m L'attitude de l'Espagne Le coun d'envoi ne fut donné qu'à 5 h. 15 ; Le Comité. arrivé ;i aucune décision. LE CHOLERA les joueurs tchèques, nettement .supérieurs, tombé tout près do Gevr'ez, non loin de la ligne Tanger, 5 juin. Pour tous renseignements, s'adresser à M. Fin de la grève îles taxi-autos eurent constamment l'avantage; à la mi-temps, TriwsttX 5 juin; du chemin de fer. On slgn-a&e de TetoaKMi- rairri vée dans cette Level n'a eu, heureusement, aucun mal ; lut. .-.Iules Alquier, secrétaire général du couEn raison de cas de choléra qui se sont ils comptaient 2 buts à zéro et gagnaient finaParis, 5 juin. ville d'un colonel espagnol de la garde civile, mais son appareil a les ailes du bas et son cours à Lézignan (Aude). La grève des taxi-autos a pris fin ce matin, accompagnée de 2 •officiers et de 8 tirailleurs : produits à Venise, des mesuras ont é*S prises lement, par 5 buts à zéro aux Parisiens. avant entièrement brisés . i par le miiKetè -ro du commerce. conformément aux décisions arrêtées par la Putains venant de Coûta, Cyclisme Les facilités qu'on a coutume d'accorder aux chambre syndicale des chauffeurs de la Seine. Les lieutenants Lucca et Hennequin La présence à Xetouasu de ces militaires est i navires non suspects provenant de Venise, au IE TOUR DE BELGIQUE Toutes les principales voies de la capitale vivement commentée par les indigèn CHEMIN DE FEB D'ORLEANS Toulon 5 juin. point de vue des -formalités sont supprimées Ont repris leur physionomie habituelle. Bruxelles, 5 juin. On mande d'Hyènes que l'état des îicutenarts Facultés données aux voyageurs pour se renjusqu'à •nouivel ordre. Les cochers de fiacres, qui ont fait pendant Hier s'est terminé lo tour de Belgique cy- Lucca et Hennequin commence d'être aussi dre sur l'une des plages de Bretagne desserLes excursions par bateau de Trfcstc à Veces deux dcreniiors jours des recettes mcrvcilcliste (professionnels). rassurant que possible. vies par le réseau d'Orléans. nise sont suspendues. Aeuses,. cherchaient vainement leurs clients de Les Français Christophe (de Paris), LeturHennequin a uno quintuple cassure de la 1 Billets d'Aller et Retour individuels. Ces ia Pentecôte. glo (do Ro'ubaix), Tribouiilard (de Paris), jambe droite ; ses blessures lui causent une fièA ACCIDENT DE TRAMWAY billets de toutes classes, valables 33 jours, M. Fiancette, secrétaire général du syndicat, vre assez vive, mais maintenant on espère Léonard (de Paris), Pellissier (do Parie), se Londres, 5 juin. avec faculté de prolongation moyennant supn été reçu hier par M. Perrier. ministre de la sont classés respectivement 1", 3", 7', 10" et 11' fermement sauver le blessé. Le Prince héritier de Turquie Une voiture de tramway a déraillé à Stral- dans le classe-ment général. plément, sont délivrés du jeudi qui procède la justice. La marche de Vidart fête des Hameaux au <il octobre à toutes les bridge. Le garde des sceaux s'est longuement fait en France TRAGIQUE COURSE CYCLISTE stations du réseau d'Orléans pour les stations Il y a quarante blessés dont quelqucs?uns Borne, 5 juin. expliquer les causes de la grève ; il a paru Gonslantinople, S juin. , trappe de la légitimité des critiques formulées Berlin, 5 juin. gravement. L'aviateur Vidart, parti ce matin- dTOrtobeBo suivantes : Saint-Nazaire, Pornichet, Esconblac-lapar les chauffeurs et a promis d'examiner, Le prince- héritier, accompagné de NaoumPendant uno course cycliste de 100 kilomè- à 7 fi. 52 est arrivé à l'aérodrome de Pariold Ce sont pouT la plupart des ouvriers. avec la plus largo bienveillance, leurs doléan- Paeha, ambassadeur, est parti pour Paris. tres avec entraîneur, qui avait lieu, hier à 9 h. 15. Il a atterri heureusement, après un Baule, Le Pouliguen. Batz, Le Croisic, Guéranle, Quiberon, Saint-Pierro-Qaiberon, piou. ces. Il a été salué à la gare par les ministres, les après-midi, au vélodrome do Zehlcudorfî, lo maginiflquo vol plané. autorités, et par de nombreux membres du PETITES NOUVELLES Lorsqu'il est descendu, son frète et sa. be-Me- harnel-Carnac, Vannes, Lcrie&t, Ouimperlé. coureur Thcilo a fait une chute dans un viLo secrétaire général du syndicat aura inrage, par suite d'uno défectuosité do sa roue sœwr l'ont longuement- embrassé ; l'aviateur, Concarneau, Quimper, Pont-l'Abbé, Douarne.cessamment une nouvelle entrevue avec le corps diplomatique, notamment par M. BomDu G juin. ministre de la justice. pard, ambassadeur die France, ct le baron . ,.. « , qui était très entouré, a été l'objet d'ovations nez et CJiateaulin. La mabïe <Ie IriîSeis, pris Bétlrane, a été détTuite d'avant. Déduction de 20 à 40 % suivant la classe ot La motocyclette du Français Miquel, qui enthousiastes da la naît des commissaires d'aCe matin, le Conseil d'administration du Clauzel, secrétaire de l'ambassade. (par iim i'ncwHïie. Les anliir-es ont été sawrées. lo parcours. syndicat a tenu une réunion à neuf heures à — On a arrêté dans la forêt do RemJ remc.Ttt de roulait à côté de Theile, a passé sur lo corps viation, des journalistes et d'une foule nom2. Billets d'alleT et Retour collectifs de faaommô Hiaifflaint, anteirr do caiMuieilages commis ia Bourse du travail. de celui-ci, lui écrasant la cage thoracique. breuse. Bans les Balkans à la gaiù do -Bemlremcnt ct cliez plusieurs négoVidart déclare avoir fait un voyage heureux. mille en lre, 28 et 3° classes, délivrés, aux , M. Fiancette a rendu eomtpe des divers inciLe cycliste a été tué sur le coup. ciants. A la frontière turco-grecque dents qui ont marqué la grève et s'est félicité Il se montre visiblement satisfait d'avoir pu, familles d'au moins trois personnes, de toute LA COURSE DE 34 HEURES — Lo prince Clialcratoc-ug, prince héritier de Siam, •de l'union qui règne parmi tous les membres après de nombreuses .péripéties, atterrir à station du réseau a toute station balnéaire du Athènes, 5 juin. est arrivé à Saint-'Péter.ï&ourg. Paris, 5 juin. réseau situé à 60 kilomètres au moins du Ma la corporation. . Rome par un temps merveilleux. ~, — Selon xijia débâche da Cap Haïtien, 1rs Insurgés fïn conflit a eu lieu, à la frontière, entre des point de départ. Le départ de la Coupe d'endurance a été L'.ijp pareil de Vidart a ét é remisé dans un hanont fait tle nembreux prismmiers Oan» la dernièra La grève des tramways du Nord soldats grecs et turcs. a) Saison de Printemps : du jeudi qui prédonné hier soir, au vélodrome Bulfalo, aux gaT ct l'aviateur, après une: collât ion, est part:i natallle. A queS-arres-uns, Ils coupèrent les oreilles. Trois postes ont échangé une vive fusilquinze coureurs engagés dans cette épreuve, en amtomoMe pour Rome, où iiî' a rejoint cède la Fête des Rameaux au 25 juin. , . Paris, 5 juin, lade. Quatre soldats turcs auraient été tués. Validité : 33 jours , 2 prolongations facultaqui met aux prises les meilleurs spécialistes Beaiumant au Grand-Hôtel. , Le travail a repris ce matin sur presque toudétails circonstanciés. tives de 15 jours moyennant supplément. i tes les lignes do la Compagnie des tramways OnLemanque-do actuels, dont Trousselier, Grocco, Shirley, feu a cessé à la suite de l'intervention La marche de Leprince b) Saison d'été : du 25 juin au 1er oetobre*; du Nord. Cornet, Lafourcade Cruppelandt, Suter. ErValiditô : jusqu'au 5 novembre. La fin de la grève avait du reste été décidée des officiers supérieurs. Nice, 5 juin. nest-Paul. Réduction des aller et retour pour lc-s trois La frontière Turco-Monîénégrine cette nuit, dans la réunion qui avait eu lieu Pendant deux tours de cadran, c'est-à-dire L'aviateur Leprince a quitté ce matin Nice, & la C. G. T. depuis hier soir jusqu'à ce soir, les cham- ù 4 heures, se rendant à Gênes. Après avoir premières personnes, de 50 % pour la quatrièCétygne, 5 juin. Courses de chevaux me et 75 % pour la cinquième et les suivanLe peu d'enthousiasme d'une grande partie pions du cycle rouleront sans entraîneur sur roulé une quarantaine de mètres, il a décoKé Lo 2 juin, le poste Turc a fait feu contre le A SAIN'T-CLOLD lues grévistes avait déterminé ce vote. les trois cents mètres du rapide plancher de facilement en une superbe envolée ; il a pris, tes poste Monténégrine. Arrêts facultatifs à toutes les gares situées En effet, dès hier, un fléchissement notable la piste do Neuilly. au-dessus de la mer, la diirectioin de Gènes ; Le gouvernement a fait de nouvelles démarParis, 5, juin. .s était lait sentir parmi les chômeurs et la ches auprès de la Porte, car c'est là le second A minuit, voici le classement général en quelques instants. Q avait disparu à l'ho- sur l'itinéraire. Prix du Manoir, à réclamer, 3.(300 francs, Faculté pour le chef de famille do rentrer .Compagnie avait pu réorganiser une partie do cas de violation . du territoire Monténégrine 3.200 mètres environ. — î. Heloup, par Mon- pointé : 1. Trousselier, 20 points ; 2. Ricaux, rizon. isolément à son point de départ. Délivrance ees services. L'arrivée à Cènes par des soldats Turcs dans l'espace do peu de sieur Gabriel et Hesiono, à M. H. Blum 33 ; 3. Cruppelandt, 24 ; 4. Lambot, 32 : 5. à un ou plusieurs membres de la famille de Le découragement parmi les rouges semble 2. Salvia, à M. -M. Marghiloman (Bë-1- d'Hulst. 41 ; 6. Shirley, 4-1 ; 7. Cornet, 53 ; cartes d'identité permettant au titulaire de. Gênes, 5 juin. provenir de ce qu'ils n'ont pas pu entraîner }CIUÏ3. 8. Lafourcade, 53 ; 9. Colsate, 54 ; 10. Paul, 55. Mirdites contre Turcs lhouse) ; 3. Ben Saïd. à M. le comte Lair Leprërucc, parti de Nice à 4 heures, heure voyager isolément à demi-tarif entre le point dans le mouvement 1» Fédération nationale Paris, 5 juin. (Barat). de départ et le lieu de destination mentionCétygne, 5 juin. des transports en commun qui leur a refusé A la W heure, le classement est le suivant : françaiise, est arrivé à Gênes à 6 h. 47, heure nés sur le billet Non placés s Violette II, North-Polo, Rising italienne, battant le record de vitesse des préLa tribu des Mirdites s'est révoltée et a attason appui moral. 1. Troussellier, il points ; 3. d'Hulst, 50 ; 3. cédents Fox. Afin de faciliter le tourisme dans ces riches doavait eurs. L'heure italienne étant en qué la garnison turque d'Alessia. Mutuel : gagnant G7 50; placés : Heloup 31, Cruppclandt, 63 ; 4. Lafourcade, 75 : 5. Lam- avance do 55 minutes sur colle de France, maines, la compagnie d'Orléans offre au public de Les Turcs ont envoyé a son secours les garbot. 85 ; 6. Colsaet, 89 ; 7. Shirley, 100 ; 8. Ni» nombreuses combinaisons à prix très réduits, billets ff LU SUNTO-ESTELLO )} Salvia 46 50. l'aviateur n'a donc nids ejn- réalité que 1 h. 42 d'aller et retour nisons des autres villes. et de famille, billots 100 ; 9. Couret. 110. Prix de Verboise, 5.000 francs, 2.000 mètres dergang, minutes pomr parcou.rr.r les 170 kilomètres qui circulaires, cartes individuels Le Gouvernement provisoire a été formé à Montpellier, 5 juin. IS' heure, 582 kilomètres : d'Hulst, 55 points de libres circulation, etc.. Xes Felibres du Midi ont fêté hier Ja Sento- Oroshi, capitale de la tribu révoltée et, l'au- environ. — 1. Waibudge, par Perth et Vin a, à Troussellier, 56 ; Cruppelandt, 84 ; Laf ourca- séparent (tas dieux villes. EUe a. en outre, réalisé toutes les commodités fit» M. w. Flatman (Beilhouse) ; 3. Berceuee IT, a . L'arrivée de Leprince a été splend-kle. voyage afin do rendra les excursioas aussi agréables fstèilo, puis ont rédigé un nouveau statut du tonomie Albanaise y a été proclamée. Colsaet. 115 ; Shirley Lambot, lir En descendant d'environ (50 (mètres, il a et rapides que peu fatigantes. fel dirige. Le lieutenant Chevreau qui était resté en M. Jean Stern (Ch. Childs 1 ; 3. Wvoming II, «e. ; Pary, U Niedergang, 146 13 1 Nota. — Pour plus amples détails, consulter 1» atterri en frôlant légèrement la palissade, La réunion a nommé majorai le docteur panne à Péage-de-Rousillon, près de Lyon, à M. G.-P. Esbran (G. Bartholomew). Non placés : Rosa Pompons, Eisa IV, Forma, mais .sains causer aucun dommage a son ap- Livret-Guide officiel de la compagnie d'Orléans, en Fabre, de Béziers et associés : MM. Walter, avant-hier, a atterri au champ de manœuvres. Le classement vente au prix do 0 30 dans ses principales gares et Na.zarena, Nona . pareil. Firehler, do Marburg {Allemagne) et de JSiAprès s'être ravitaillé en essence, l'aviateur ainsi quo dans ses bureaux de ville, et Pars, juin. Mutuel : gagnant 23 ; placés : Walburgc 13, Les autorités ont vivement complimenté stations .vann-i, de Païenne. est reparti à î h. 40 dans la direction d'Aviadressé franco contre l'envoi de 0 » à l'administra1" Trousselier, 2* d'Hulst. Berceuse H 13 50, Wyoming II 10. l'aviateur et la foule l'a acclamé avec enthou- tion centrale, l, placo Valliubert, à Paris, Bureau gnon. Prix Plying-Fox, .W.000 francs, 2.100 mètres siasme. du Trafic-Voyageurs. (Publicité). LE TOUR CYCLISTE D'ITALIE environ. — f. Badajoz, par G-oet. et Gelested LES CONGRÈS Le Cinquantenaire Italien Leprince déclare qu'il! a fait nn excellant à M. Michel Lazard (Barat) ; 3. Rioumajou, à Naples, 5 juin-. voyage, bien que le soleil l'ait un peu incomLe congrès des percepteurs Le monument Victor-Emmanuel M. .JAutter (A. Woodland) ; 3. Dor,- à M. M. Voici les premiers résultats de la onzième mode. UHe, 5 juin. Marghiloman (Beliehouse). Paris, 5 juin. ot dernière étape du tour cycliste d'Italie BariA la suite d'uno contestation arec le comité Hier S'est tenu à Lille, sous la présidence Non placés : Tripoletto, Moulins-la-Marclie, Naples (345 kilomètres) : En réponse à la dépêche que lui avait enlocal, qui ne veut pas le reconnaître commo de M. Delorier, de Lyon, lo congrès annuel de voyée le président de la République à l'occa- Marsa, Ronde-dc-Nuit, Seigneurio II, Temconcurrent d<u raid Paris-Borne, Leprince a 1". Sivocci (Italien) ; 2', Sala ; 3', Galotti ; 1 Association fraternelle des percepteurs et re- sion de l'inauguration du monument, de Vic- plier IL 4", RossignoK ; 5", Gazberini ; Petit-Breton, télégraphié à Paris ct a ajourné son départ ceveurs spéciaux do fcance. -Mutuel •: gagnant 36 50 ; placés : Badajoz 18, Le 31 mai dernier, une foule .élégante et nomlo roi d'Italie adresse à M. Falqui se trouvait dans le groupe, de tête, est pour Rome. Les congressistes ont discuté de leurs inté- tor-Emmanuel, Rioumajou 22, Dor 2-1. breuse as&istait, en la basilique Saint-Jean lières le télégramme suivant : tcjmbé et a cassé sa machine à 10 Kilomètres , rêts professionnels. Védrines partira demain Prix du Vieux-Pont, à réclamer, 3.000 francs, de Ponténia. de Perpignan, au mariage de M. Joseph de «IL Fallières, Président de la République, 900 mètres environ. — L Donadieu, par DeBue, 5 juin. Gaulejac, fils du baron do Gaulejac et de la Le grand coureur français a dù abandonner Paris. launay et Dolorès. à M. André Bérard (Ch. De nombreux curieux s'étaient 'rendus, ce baronne née de Boisséson, avec Mlle Mar* » L'aimable dépêche que vous avejs bien Childs) ; 2. Batailleur, à M. Edmond Blanc la course. matin, à Bue, dans l'espoir d'assister à la celle de Blay, dont la famille etA si justement voulu m'adresses à, une occasion ei solennelle G Stern) ; 3. Th. Baron, 111. II. La Montagne LA COURSE PARIS-TOULOUSE grande .enivolée de Védrines pour Rome. appréciée en, Boussillon. pour l'Italie m'a profondément touché ; très (O Leary). . . , Paris. 5 juin. Védrines ne vint pas. Des parents ct amis étaient venus de tou® r Limoges, 5 juin. un sait que la commission sénatoriale des reconnaissant, je vous en exprime, ainsi qu'à Non placés : Whita-Boy, Cappa, Franc-PiOn apprit que le gagnant do Parts-MedrM côtés faire cortège aux jeun-os fiancés et marLes arrivées à Limoges de la course Parisfinances a maintenu la taxe votée par la la nation française ct au gouvernement de la card, Gal ilecnne restée au poteau. quer leur sympathie à une famille qui compte avait décidé, très tard, qu'il me partirait que Chambre sur les bénéfices calculés, en vertu République, mes remerciements les plus cha- -Mutuel : ganant 23 ; placés : Donadicu 1G, Toulouse ont lieu dans l'ordre suivant : 1", demain matin .mardi, en raison de ta ferme- parmi les mefneures et les .plus anciennes du Verdickt, à 5 h. 10 du soir, 381 kilomètres en de clauses statutaires, sous la dénomination leureux, en vous assurant que \«e sentiments Batarilaur 17 50, Th. Baron 17 50 ture, aujouniihuv de nombreux boréaux télé- .pays toulousain. do tantifemes. à toutes personnes participant de vive sympathie sont entièrement partagés Handiicap da Printemps, 10,000 francs 1 600 14 h. 10 ; 2*, Figuet : 3', Engel ; 4*. Valooton ; graphiques, 1 ce qui 'l'a.uirait empêché de préLa charmante mariée, dans une délicieuse la direction . à la gé- par moi et par le peuple italien. meotras environ - 1. Ténor, par Grey-Plu'mo 5\ Gro ; 6', Thys ; 7'. Coisol ; 8", Fraissinet ; venir sa maison au cas où unis, panne où un toilette garnie de vieux point d'Angleterre, a. aance de sociétés visées par cette loi. » Je forme à mon tour les voeux les plus et Honourd, a M. James Hennessy (.Tenningsl; 9', Bétemps ; 10', Chauvièro ; 11*. Maris ; 12', toc4den* quelconque viendrait l'arrêter au été conduite' à l'autel par éon père, M. Henry . Dans le chapitre de son rapport, général, où cordiaux pour votre bonheur et celui do la 2. Gararacc-Il 4M, L. de Romonet (J. KSSB&T, Luguet, etc. do Blay, chevalier de la Légion d'honneur. Aujourd'hui, à 5 heures du matin, le départ cours do son raid. ^r,?^' 8 ^ £6VU£ 106 articles de la loi do Franco et vous prie d'agréer, •Monsieur le 3. Orme-du-Ma:.i, a M. M. Calmauii (Sharpe). M. Joseph de Gaulejac était accompagné par des concurrents sera donné de .notre ville président, l'assurance réitérée ido mes sentifinances, M. Gauthier écrit . Le lieutenant Chevreau Non placés : King-Henry, Padojse-II, âobet sa mère, la baronne do Gaulejac. c Dans notre pensée comme dans celle du ments les meilleurs. te, Ta,mbour-Major-II, Kaisor-II, Sir-Peter Vi- pour Toulouse. Avignon, 5 juin. M. l'abbé de Liobet, vicaire-général de Mgr » VITIORIO-EMMAXUELE. s Bouyernement, il est bien entendu quo la taxe rago, Sésama, Pacha-H, Baile-/\mi.e. Le lieutenant Chevreau sur monoplan a at- de Carsala.dc, dans une touchante et délicate Aéronautique de 4 % ne doit s'étendre qu'aux bénéfices dis•Mutuel : «allant 99 ûd,; .placés : Ténor 30 50, terri au champ d'aviation d'Avignon ce matin allocution, a défini lo. mariage chrétien et luit tribues aux administrateurs, directeurs ou . L'AÉROPLANE PERDU EN MER Le Voyage du Sultan Garorace-n 53 50, Orme-du^Mail, 2.1 à 9 h. 1. ravivre les gloires religieuses et militaires «e» gérants de ces sociétés et ne s'applique pas P.nx de i-nro, 5,000 francs, 2.000.' trafitew en. , . Moniasit.tr, 5 juin, Toulon, 5 juin. 11 a voyagé à uno altSfude de 500 mètres. D deux familles. par conséquent, aux traitements, jetons de -1. Fer», par -Bègue* et Fortia, & M m fait «les préparatifs grandioses pour l'aff- viron. Lo contre-torpilleur Perlulsanc, parti en mer no repartira que mardi matin dans la direcLa part des pauvres a été -recueillie par présence et autres participations prélevées rivtfe Aclnliio Foukl (Ch. jOhiWis) ; 3. Kom-Onrbô, (i à la recherche de l'aéroplane signalé commo tion <lc Nioe, son moteur ayan* l>esu >jrft <ie répa- Mlle JiiT .o <lo Tïl -ay, ac-r.ompaKoée, do M. .TeoVl, du sultan. 6ur les frais généraux. M G. Brossette (J. Bartholomew) ; 3. Cassin, perdu, en mer, est, on le sait, rentré au por5 rations. Lo lieutensuit Chevreau a été vivement de GaU'Seijac ; 'Mlle MathiMe ide Cau'le.iae, Mercredi, on a découvert, dans un village » D'autre part, cotte disposition nouvelle fie voisin de Kupkr-uîu, sur le •pareouars que doit a m. A. \eil-Picard (Rovella). aociamé M. Robert Hériard ; Mlle Marie de Blay, ta de Toulon sans avoir abouti à un résultat. doit pas atteindre les allocations attribuées suivre lo sultan, 43 kilos de dynamite avec •Non placés : Ararat, Baihy-Hl, .Chant ecîer, lieutenant clo Boisséson ; Mlle Germaine de La Préfecture maritime a décidé quo la Quand, Guy, Gourland. aux employés intéressés ; la question revien- un né-c e s sake d' arme s. | Boisséson, M. Emmanuel do Blay. Pcrtuisane ne reprendra pas ses recherches. dra, d'ailleurs, devant le Sénat ». Mutuel : gagnant 49 ; placés : Forio 1?, KoïaOn remarque dans l'assistance : baron et Les renseignements signalés en Italie sur M. Vallé, ancien ministre du cabinet ComOmbô 30 50, cassin 13 » baronne de Gaulejac, M. Henry do Blay, Mmo la perte d'un aéroplane en mer sont définitipes. a pris une délibération longuement moCornet do Bosch lo vicomte de Gaulejac, M. vement considérés comme lo résultat d'une nu 5 jun. A SAINT-OTJEN tivée contre, ce nouvel impôt. Cornet de Bosch, Mlle de Blay, le baron de méprise. La pression lvarométrirpio devisai très élevée, «ur r, , „ Paris 5 juin. De son côté, la chambre de commerce de presque toute a'Rifroipe etlo dépasse 770 milldimètres Blay de Gaix, Mme Niel née do Gaulejac, le Demain courses a Saint-Ouen. Par.taa'ls ct montes RENAUX ÉVOLUE A CLERMONT-FERRAND Paris demandera, par voie d'amendement, la capitaine et Mme Compagno, le marquis et la dams .l'ouest des îles Rrfuumbptes, Valcntia 77.1 mitsuppression de la taxe SOT les tantièmes. Clormont-Ferrand, 5 juin. Prl?: de la tlnwane : Austral (il. Sauvai), Le Lan- I Itxagtxe», sur la Danemark et la ltussie, Riga 772 marquise de Boisséson,. M. et Mmo Paul, de i ATTENTAT CONTRE LE t TIMES a Gaulejac, M. et Mmo Antoine do Blay, M. et*' piot (w. IlfeU), Satnt-nsiml (Hcftlobraltte). O4aono L'aviateur Rénaux, vainqueur du raid Pa- mliiltmètres. New-York, S juin. La dApresston d'Espagne passe sur l'ASg^e, ceîlo Mme Edmond de Blay. Mme Hériard, comte ris-Puy-de-Dôme, a. fait, hier soir, à l'occasion On so souvient do l'explosion de dynamite et comtesse de Boisséson, vicomte ct vicomdu Congrès do la Paix, plusieurs ascensions de l'Islamie s'éloi#n« vers le nord-est. L9 vent est faiblo d'entre nord et esj, sur nos eû- tes» de Boisséson, baron ot baronne de Boissurvenue à Los-Angelcs, dans les bureaux du au-dessus de Clermont. tes où la mer rc5to il.ciMe. Times, en octobre dernier. Il a effectué un vol avec pour passager ÏS1 0 a monte sur nés réglons ; ce ma- séson, M.jQl Mme Pierre do Boisséson, haro» 1 Cette affaire revient à l'ordre du jour. Mme Gilbert Bernairdin, femme de l'aviateur. tinLalotempérature Uerme-n (X).' ' ' ttWimmiMra manquait 10 à Bordeaux, 13 à de Saint-Julien, M. et, Mme de Layftjet^. En effet, le syndicaliste Dolany viendrait de Les opérations du général Moinier L'assistance très nombreuse a chaleureuse- Moscou et à MadlrM, 10 à Paris, 91 à Algor et 11 Mme do. Haymond-('.a !iu /.ao, Mnrlix du Cantal : Horteotlni» (ncsra.nl Ta-Bidasreconnaître qu'un prisonnier l'avait envoyé soa (J.-ll. Moreau), Satnt-Leon (ttÉSls). PoratSoïy- 1 ment applaudi Rénaux. au mont Ventouse. Médrano. M. et. Mme ^^,VS» partout pour examiner les bâtiments en consMtSrBoeta (C. Hanaey), Iiscaa -MaareJI (Cotterieto.)',' Ce l Il est tombé l mtiHimètTO d'eau au Ptc-du-Midi. M et Mme de Laforest, M. Niel, M. ena DE PAU A PARIS • m iv ,,„, î,- Aloimor ' après une nuit passée M. el truction auxquels étaient occupés des ouvriers Kam,a (tartwtslrt), SoUo-lV (LaagtoM), Moarlan' En France lo temips va rester beau et chaud. 11,1 ,'SV de Saint-Julien. vi« ili "Chefdebien, ' MM. ?\M SSL SSIÎ. M Vf""s z a dfl Ql,er vers Bouksoun, non syndicalistes, alln d'y déposer de la dyna- fLntwoBtle). Lemrm-ltc.l)f:rt (K. Ha,rdyi Poitiers, 5 juin. Mme de Liobet, M. do ^«i i iv'if r i Beni-Amar, les Cherarda, les mite. Coureo da baies saanmWt de SaLnt-Ouen • verrvLo lieutenant, de Malherbe cet arrivé aux François de Salnv I31WI. M.tXIU Pnled-Dlim-Ethianas. De là, il ira à Mequinez. Kralsîrt (OTAi.ry), Salnt-Jrtst-M (II. Sauvai) crosse Benaidièreâ à 6 h. 35, suivi à quelques miBac. Ther. 8TAt DB cra. do la velll» Mme EstèVe do Bosch, M. mm COLLISION EN MER Julien, Mmo de Marliave, Mlle d'AJ, Hj «ytton 1-B.w\ Jiin-iCrow (A. V. CDiasHnan). Biai?ueur«aiLS court ici qu 'en aurait entendu la canonnade près do Zdida. II (G. Panfretnen'l), Chaowfirej» (W. H*ad) Fornica- nutes d'intervalle par les lieutenants DuoourRigatidHMauremont ; M. et Mmei de \im, Londres, 5 Juin. noau et Prince teau, venant do Liboume. 2".r> S. K. f.p. n. 25. S Toulouse.... fit.!! 13.1 (BaiBdjr), Coahfleèd (c. HaJeey), Ortde-H (J.-B. Mo-' M-' Contre le Roghi On télégraphie do Douvres qu'une collision reau), r.a,i<p--l)if m (Tliilxi'ullii.i, Valdahon flîou.rilaJe), Lo voyage a été excellent ; les officiers se Puy-<!-BOmo (iS.l il. n S.E. a. f. b. 10.2 H. fi M. de, l'ou-'se, VI. .le in de Gaulejac, Mlle.Blay, M. Maurice de i de a eu lieu, hier après-midi, dans la Manche, 01e:l'PTO-lI sont maintenus ù. uno altitude moyenne do Plc-du-Midl (13.2 li.8 L ..N.U. t. b. 0.5 (i.O thildo de Gaulejac, Hardy), Oasatolanca-IV (O'Cornnor). Matliilde et Maric-lh5rès( Perpignan. . entre les steamers hollandais Ariadnc et le Prix du riiy-de-nômo ; Journa-lista ou Mon-Oliérl mille mètres. Blay, Mlle 'Germaine de Boisséson. M- ,?mm3 UOn mande d'F.l-Ksnr. à. la "dation ^mn navire Hercules. (P. Hardy), HyipriM (il. Sanwil), MontagmowJ (W. Ils repartiront demain matin pour Orléans. Bordeaux... ?e ^^^^in cT n;ts ch6r( itlens, commandés par miel, do. Blay, MlM. Robert et P ^^SSon Ces deux steamers ont subi de grands dom- Ilead), SlesHtaiOfi ou Ga.liax (VjiTfrwwKt). Mones- 1 -M' -'-; au, , .r,i, ,ie,po,ussé dans la ti,r (1". Wooalaniii), FOTM1« .Becigaila (TlitUanilt). M. Arthur do Blay. lieutenant de.Bois CI1UIF. DE DEUX AVIATEURS mages. W commandés Prix de il 'Atuwrïme : Omissrle (Deleiw), 'l'alinont M. Henri de Lavatotl-o, Mlles Hélène et Hen« Lo premier a dù être conduit à Douvres pat Madrid, 5 juin. pertes ' 'U!r infli seant do fortes n. saunafl), Ohotsy-le-Eoi (Cimiers), Sjinriee (Paîtrenette de Boissé«on, Mlle de Lacroix, Mil,let * un bateau do secours appartenant au même JirarA), Sinaï (W. Head), Le-Jau.ue (rtir.re), (kjnsola-. A l'aérodrome de Gétafe .un monoplan AU CONSEIL D'ETAT que port. Massia, Mlle Den il l! ' , r mon (A. nemsi-m), DHÉaenv-it riiiiiiauli,). .iVun-wSUe pilotait l'aviateur .Mauvais avec un passager «le Lagarde. M. Charles de Marli.ate. M. t -Une dépêche d'El-Ksar conf&q (Ilogaai), Ithaque tX), Platine (P. Hardy), Partaàt a heurté des fils télégraphiques et a capoté. VIOLENTS ORAGES Les sonneries civiles Jialla du capitaine Moreau est entrée en conUouiteu-s : Kama (X). Mme de Massi i. Mlles il • >a::ar .r.>. . L'aviateui à la tôto et son passaser fie! avec ies Djebata ct lo rog.W à Tazia"a • • K.ainHY'terebourg, B Juin. Massia, Mlles do Liobét, . MlM fcM»^ Prono»tt«i Paris, 5 juin. au côté. quatre heures de marcFie au sud-est d'Kl-Ivsm' Da violents orages ont éclaté dans les gouParts-sport Austral. saiirt-HNmt — tàetsesm VellLo maire, d'une commune du Tarn avait Mine d'Hellle, M. Letbi, W» Picarcl, (laistoltranic — La iHittafisoa, PlorJouJt#è — Les habitants des douars, effrayés .ont plié vernements de Kiew et do Kherson. . . , pris un arrêté portant qu'il aurait lo droit de Compagno. nCfC eoïrjEcurils Veil PtoTxt, SaiiiVJnst-lil — IjcttMo Veil Plfea«age ot sont veraua, se réfugier à El-Ksar LA COURSE NICE-CORSE La pluie et la grêle gont tombées en abonOu'il iiou '• s -.il p. rue-- de j.niidl . CÂ . uX Cérrx faire sonner les cloches dios églises pour ancaîftl, Hppnos -Sinaï, rom^se-ntant Gouirtc.liaux. Jivec leurs troupeaux. plimenls et nos .souhaits do honlio u . dance ; des grêlons de la grosseur d'un œuf noncer les heurt» des repas et celle de la josepli La Liberté : Austral, (Knono — Castelfranc, reipré, LE DEPART DU LIEUTENANT BAGUE Les mesures avaient été prises pour défendre de pigeon ont détruit les récoltes sur plusieurs sentant qui ont. été déjà adressés à M. c.t Mme « reprise des travaux dos rtiamps, la réunion Picartl — La-Bidassou, Flcrrfccuiltnro — VaVn Li-hsar ; le consul d'Espagne avait envoyé milliers d'hectares ; plusieurs moulins à vent rte Veil Picard. Carpr-Diora — MoiWagîaaxd, llynNice, 5 juin. du conseil municipal, l'heure d'ouvert ure et do Gaulejac. Le lieutenant. Baguo mat parti co matin à. do la clôture du scrutin les jours d'élection «es pigeons voyageurs à Laraeho pour demar- ont, été démolis. nos — Causerie, lle^jrésenitant Goudchaux. 5 heures do l'aérodiomo de la Bague jour lo pour appeler les enfants 0, l'école, annoncer r er «a capitaine Ovdlo, instructeur du tabor De nombreux incendies ont été allumés par L'Intransigeant : Atmtral, Salnt-Rerail — r > par un glas lo décès d'un habitant, de. trano, ltPiM'ésontant Picard — La Hhlassoa, l'ioil- Corsé. la foudre. a, c0 En présence de l'extrême ouïe a ',on i _ ?1 „ l ^miie. Il y a Irais mois, jouir pour jour, que le lieuonatnee — Eexuci» v«n Pl«arct, Merry-Knlglu — EcuCet arrêté fut, déféré au conseil d'Etat, nul Londres, r> Juin. ï qui nous parvient depuis q »o 'n « < "> copie rin Vo.l Pieanl, Hypnos — Sinaï, Le Jaune. m<yili;1Ia d'El-Ksar a fait co mutin tenant Bague se livrait, ou le sait, à son amvient do l'annuler. Un épouvantable otage a éclaté hier sur pluprions nos correspondante ord riairts e Les Débats : Austral, Alexaiudre — Ecurie Vclt daiciieuso tentative de traversée de la MéditerL'arrêt dit que les cas prévus par le maire nous sionncls, SANS JAMAIS NECLIMRD* s.eurs villes d'Angle terre. Pica.TCl, Oast«lfranc — Ln..lii*iss<xi, r,eTOont4tetoort maitée, do Nice à Calvi on. aéroplane. occasionnels, SANS .lAivinia ""i"7;,';nnMAne rentrent pas dans ceux déterminés par le A Itli minglrun, '!•> feu a provoqué la chute — Saint Jusi u. Valdaîion — Fenwle-Bongale. M"iiADRESSEn LA MOINDRE "Nf-0 ""^ On se souvient aussi qu'égaré dans la Irmx- décret du 16 mars 1900, qui stipule, que les NttUS d'un bàtimeint en construction. TION INTERESSANTE, d'éviter SOIgn™^ taguard — Causerie, Scarlso. imo ,et poussé vers l'est par le vent, M vint at- cloches peuvent èire employées aux sonne- mont les longueurs ot développomoms_ inii(jaatre personnes ont été ensevelies. terrir dans l'île die Gorgona, à 06 kilomètres ries civile» seulement dans lo cas do péril tiles ot de nous adresser de9 courrier» A Noi-tuedn.in \niuaiv, des maisons ont été Concours hippique tle Narbonne blés. «miifi«.,uit des pertes assea sensid.o Calvi, ayant accompli uni vol do 300 kilo- commun exigeant un prompt secours, et. dans COURTS et NOMBREUX. 3 S llahit mls . .t. dcu -'uK* ' ' se «ont enfuis InDeuxième journée ceux où cet emploi r\sl fixe par des dispo^imètres au-dessus de la mer. ^population a'El-Kwr est Les comptes-rondus de fëte9, réunions •LJJ, enréo. maintenant rasLa diietainico de Nico à Calvi est de 210 Idlolions do la loi ou des règlements, ou autorisés Prùt des Veneurs, gentlemen, handicap. — hOTol rémonies religieuses doivent ôtre •JKJj0 . «U violent «ogo — - - Ç «. « lu ,u par dos usages locaux. 1" prix, 300 fr.. Rugby, à M. Santolinl, par niètres à vol d'oiscaio. ment concis en raison de leur multiplie» - , IM réorganisation chérïfienna luis. Deux Ajaccio, 5 juin, nïelf. M. île Pruwlé ; 2' prix. 300 fr., l 'urllios, a Nou9 ne nous trouverons pas ainsi dans ' T.cs notables (tes Çherarga «t Ou.iaxl-Jama ont et l'r.Tt :ei „i,s .j, m M. Gaston Fourcade, par M. Lauth ; 3' prix, On a été prévemu, a Ajaccio. «In du pa.it <Tu bligation d'ajourner pondant un ou plusi" 1"" aOCeptô les conditions do MouilaX-MaHdT Sî iieutemant Hugue de Nice pour la Corse. Jnu Cf.. Limerick, au comte de Villeneuve, par Duron ' jours l'insertion de leur copia. ll; ''- J >"'mol a «te tdesae versement de 300,000 pesetas comme tedîm, 'i?a^ n AtTiv Le» paputetions se sont aussitôt portée* ni-ouTi ^tan-e ; v ,,ris, 50 fr., Kcpoir, à M. ni/té de guerre et ils se sont engagés en outnc :ir lo Proprlélairo. sur la cite, ot) .règne une gramae amhnation. io " u touirnir 300 cavaliers au maghzen. A midi, les sémaphores n'avalent reçu auVERRES DE LUNETTES SPECIAUX 10 sultan a fait remettre en liberté les caïd* dama les prairies. vacno* <>n t •* Lo conseil do l'Ordre national de la Légion ^alTS ^-^P^^^ cune .nouvelle de l'aviateur. A Tarteon, Saint-Bomuet de DcwiKak et les antre-; caiils empris d'hannieur a arrêté aux chiffres suivants les pour vues affaiblies (P. Déposé), applte-uc P»* Nico, 5 Juin. M Rou7.il, classé hors concours m i.;ur El-Gtaoui et il leur a rendu leurs cenlats On est sans nouvelles du lieutenant, llague, extinctions notifiées dans la. Légion d'hon- Francs et à opticien l'étrauger. ilua do Meta, 11» t 0 * c->a caïd*, ainsi que le nouveau gouverneur I lour et la, médaille militaire, ainsi que. les nui devait arriver ce matin vers huit hounes a Ajaccio. vacances prodm.U's dans l 'Ordre par promu- louse. les eontro-lorpilleui., à "vce ont reçu l'or-

Ar.gla. du 9' çha^nre. par le P»PT^ dre d'aller à sa recherche. , ^ | ftsnt 1 taire ; * prix, valeur 800 Ir., Vyorin*, ^au lieutenant do l .aurancin. du 10 dragons Te contre toi ..illeur ArbaUtte, •envie. à U> e lientenant Gièso, du 9* chasseiu - ;.3 pm, „ ) •• ! ' •, 'enne-iei Bague, dorrtde radio Valeur IOO fr.. Miss l .ily, au Iw -nl .mrml l. . 'graphicr à h V • -•> ••' 'nia.riliine qu II *u » eh«s«eura, par le propriétaire ; 4 prix. n'avait pu découv.rnr l'aéroplane, ,,:,„.;;KI fr,, Oasis, à M. Ferra, médecin unieL'émotion à Nice e«l extrême. Sjor au &• chasseurs, pur le lieutenant Prixle comité de via tien, de Mee 'ait demander

LA CRISE CHAMPENOISE

TINIBRES-RETAITRE

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Fédération dos Socicii'i Musicales «lu Midi

EJB8 (iREYES

Paris-Roms-TuriQ

L'ETRANGER

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L'IMPOT SUR LES TANTIÈMES wJ^^}Jâ^ m ' \

BULLETIN METEOROLOGIQUE

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COLA YRAKtSAiNT-CIRCQ. Election» MUenfants. Oui défend, — j 'ai bien .lit. — car ces * ommuîiaJe, soii classé, le plus pj'ornpkmiierit possible, vu son Intérêt archéologique et pit- nicinales. — Voici les rôpuîtats du l'élection jours passés, autour du Patronage l'ora +m a minnicipaJe tpii a ou Heu <limn ue.be 4 juin grondé. Des manueii vr<*ts inqualifiables, des tore&çue, commo monument historique. dons la commune do Colayrac -SuHivCirq : menaces insidieuse, des imputattofta méchanPh. L, CONSULTATIONS GRATUITES tosarito, 490 • vouioib, ;;07. 0 JUIN tes ont été mises en ordre de bataille et A R h ONDISSEMEKT D'A GEN MM. Bàmoad Ueillot ,adj. iui Bortaot, BW contre lui on s'est ligué. Et savez-vout; pourLe mardi et le samedi, ancie,nno caserne do 1» 6<rtn<i tffl J'»'"".- Salllf Norbert, Suint ( lande. voix ; Knniesl lltidùmon, 3l>:t voix ; Louis BuMiSStOIl, plfeM de la Daurade, i 1 houro. [uol v Seulement parce sue le proyamme feus u »o»lwrtt«r Î SatW 8*ant*lai, »a*H ACEN. Surveillance des voies de commur.ido, çonseiHikir écriant, 187 voix ; KeVBMM MAilor.uis conaulLunLs 11e.11Ua.11t le mois de juin : comportait la représentation de Monsieur nication. — Sous les ordres du icopitadne Rou1'» .semaine, M. Basset; 2'. M. Bonneau; 3", M. l>uDelard, 847 ; Paul Jeanson, consoilHer sortant, 'Inspecteur, la comédie spirituelle et venge- iiii, du 120" tesrftorioL mi certain nombre de '''/.'r,./ «».• i» inv. a h. ii) soir / coucher, pau; '.' M. Gendre. M. Ma.la.-rel. secrétaire, pendant 349 ; Samuel Joffrlon,, 204 ; Lucien Lumende. Julien Bicher, réclamant à l'école tout le mois. ten'itarisAix c«t effectué, de jeudi à samedi i h, ss matin. roiuix, cauiseiii'loi' sortanl, 247 ; Emile Matin, u, Chez les Triangulaires _aïque le respect de la foi catholique. Mais Lever du soleil, i h. U : coucher, 7 h. SO. soir, des expéetanees relative* à la snrveilc'est trop en demander à. dee Primaires ! Us lamco, en cas do mobilisation, des voies do conseiller sortant, 251 ; Clovlft Pandelé, conseiller so riant, 25S ; Osmin l'.ebera/, e...n:-- il Un journal sérieux de Paris insérait cette pourraient, eux, bafouer l 'Eglise et lo Christ, II. Y A CINQUANTE ANS communication. 1er sortant, s:i7 ; Mar.ce'iiu ger.cau, conseiller semaine la nets suivante : dénigrer notre fol, dénaturer -notre Histoire, Trois postes avaient clé établis : 1. Passage fi .11" IX MBt. - Procession île la paroisse du ot il nous faudrait n'avoir que des sourires à niveau de l'abattoir ; 2. Pont -canal ; 3. a sortant, 210. Tous élus. « Sur la demande de la famille de M. BcrTaur. pour Monsieur l'Inspecteur ï Non, non, qu'il Valoncc-d'Agen. teaux un messe liasse a été célébrée hier à ARRONDISSEMENT DE MLLENEUVE-S'-LOT — M. Kdmoml de Plflnet e« élu membre de ouzo heures, à l'églisode Saint -Pierre de Cliail- paraisse sur les planches, qu'on le juge à Les territoriaux affectés ù la surveillance V'Acadèmie des sciences, inscriptions et bellcskvt. pour le repos de l'âme de l'ancien minis- son œuvre, et s'il agit dune le diocèse comme du pnssa ,go à niveau précité se sont plaints VILLENEUVE-SUR -1.0T. Encore le kiosiellres. m tbéfttse, que le théâtre lui mit un pilori. du mauvais état des locaux mis à leur dispotre <le la guerre. que à musique. — Il y a dos gène uni sont Après la mess»'., l'abbé Loin il, second vicaire Nous vous ries poêlerons, instituteurs, si vous siii-'ii jmr ia municipalité agenai.se. seepiiuues par temj^éraJTient, conùne d'autres êtes fidèles à voire mission, sinon nous ree la paroisse, a dit le « Ile l'roïujldis ... Nous croyons savoir qu'un rapport a été fait sont cordonniers, cuisiniers ou aviateurs. Qresserone vos écarts, noue fwsti gérons vos è ce sujet. Un grand nombre d'omis personnels de M. Mon imi Hermès est do co nombre. ridicules, nous ferons te bon peuple de France Berteeiux y assistaient. Après la messe, Us Ainsi, malgré l'évidence qui lui crève les Exposition canine. — Celle exposition, très ont défilé 'à la sacnstti devant la l'a mille » juge do vos prétentions. Ce u'esi pas n M DOUX Londres, 5 juin. feux, il so refuse à croire que noire munique nOUS implorons la, libellé. La Libellé, mes•'>•• r- ssanto, a, attiré, dimanche soir et hier, MUT le Duc d'Orléans a quitté Londres hier — La Dépêche qui sa il huit n'en a rien dit e.peiii'- taam construira un teioagwe à wusijour do la foire, une foule do visiteur*. sieurs, no se demande pas, cite m prend ! malin, w. rendant à Bruxelles. et, nous ne serions aullemenu eurprls que M. Lcxcellente société des lront |M'S du chasse, Çue, Il y eut donc pendant ces derniers jours Au télégramme quo lui ont adressé 103 Voyons, nmi l|.-i niés, raisonnons un peu et rançols Thivrc des métaux ne fut allé à Puémotion à Plaisance. Tous pariaient de Mon- la saint -l lubeiri Agenalso, si bmbidieiœnt dW- l 'io' edou .s par ordre. royaliste* qui wsâigtatenl samedi a la réunion gée par M. Grenier, a exécuté, dans rencetote s, la semaine dernière, que pour assister a ivur l'Inspecteur. VA le résultat — Dieu soit, organisée a Paris par l'Action Française, O Avons-nous, oui ou non, une commission de l 'exposition les moroeaux de son répertoire. otto messe. Tous les mêmes, ces gens-là I béni — a été une splend-ide réunion, groupant, l'oceesion de la Saint-Philippe, Mgr le Duc municipale dès beaux-arts ? oui, n'esWe pas, Accident à un passage a niveau. — Dans l» Le jury a fonctionné dlmamehe niatim. d'Orléans u réj>ondu ; dans la vaste salle Qnériaud, une assMunce puisque cotte commission est composée de Voici te palmarès dont nous donaerons la Chemin de fer d'Auze à Castéra-Verduzan matinée de dimanebe, vers 7 b.A » tue Monsedgnaur lui -même éva luait a plus de suite, domain : « Londres, 4 juin; trois grands artistes : Bandoulière, Mérinot Louis Vleu. ftfré de OU ans, essayait de traver.. Très touché de l'adresse envoyée au nom ot Ahiondieti I Samedi ;! juin- a eu l'on, à la préfecture du la moitié de Plaisance, autant dire -un millier. Premier groupe, — Chiens do garde et d'utilité. ser le passage à niveau de la route de Vie au 1 — l'remlèi-o divlskn (cillleus de #ardc). — 1er prix : Celte commission no s'est-ollc pas démenée dos six mille royalistes réunis sali* Wagràm; lers, l'ndindieniio 'ji pour la eousjruei mn .les Lo programme était très court : tous les horamoment où une machine, se dirigeant sur je les remercie de tout cœur des sentiments exd'œuvre supprimés. Il n'y avait place quo Diol-, danois, a M. Paats ; v". ItrUlant. danois, à pour trouver un emplacement convenable v maisons de gardes, entre liauze et CastéraTournay, arrivait sur ledit passage. primés. « pour les morceaux do choix, entre lesquels touM. lies ; Pris spécial : (.'lirai, dogue d« Bordeaux N'a-t-ello pas lutté contre le bouillant Achille, Verduzac. Vieil fut renversé entre les deux rails et 10 jours triomphante et applaudie la Chorale U' M. Mam-et. • qui no voulait de kiosque à aucun prix .' M. Sainte-Marie, entrepreneur à Vic-Fezen- iee indépendants de Valence, dirigée avec une cendrier de, la machine le traîna sur une lonlli'uxiènie division (Oliiens de. montagne). — 1er Auioiidieu n'est-il pas allé jusqu'à TombotKgueur de sept, à huit métrés. sac, a été déclaré adjudicataire, moyennant maestria Incontestable et remarquée, a apporté prix : nalj>li, Saint-Bernard, â M. le lieutenant tou, d'où il a rapporté' des plants de palmiers Les blessures reçues par vieu sont heureuOlaverle ; r, Tho, Saint-Bermard, à M. Pouyisseun rabais de un pour cent. les plus harmonieux de ses chants. pour embellir nos boulevards et uns princi; prix dViif-.-mbl'î, à M. lo lieutenant Clavcric ; sement sans gravité. 11 a été transporté à son, Paris, 5 juin. Certes, Monsieur l'Inspecteur était. viv> ment gu* Eaux et forêts 1er prix, raton», chien des pyiéa/ées ; 2* prix, Dompales places V Co sont des vérités incontestadomicile, rue Faidherbc, maison Larrieu. Gustave Hervé adresse de la prison de Ja attendu. On lui avait fait de part et d'antre Mas, dnen dss Pyrénées, à M. Duanlair ; 3' prix. bles, cela. Snnté au procureur général une lettre par tant de réclame ! Quelque maaister de village Atlios, clii-en des Pyrénées, ù M. Bonnet ; M. T. H. Par arrêté préfectoral du 12 mai, M. Flic Et puis, si tu doutes encore, chausse tes laquelle il déclare cire l'auteur de l'article Attentat criminel. — Dans la nuit, de Samedi paetou. à M. Trille ; prix de cougilo, Domblas <>t Jules Martres est nommé garde communal des était, dit -on, aux aguets pour apprécier lin jambières, prends ta lorgnette ; je vais te intitulé : « Oraison funèbiv» du colonel Moll », l'e-leiireHe, à M. Dmpl-'ir ; prix d'ensomblo à M. il dimanche, un individu a pénétré dans i'onconvenance du scandale. Mais il n'y eut ni eaux et forêts. mener en face do la grille de l'hospice, ct tu DupUlr ; y prix, Pastourette, a M. Diuplair. paru dans ia Guerre sociale sous lu signature ceinte du chemin de fer, au pont de l'Adour, scandale ni inconvenance. U y eut une page verras de tes yeux ! Troisième dlvWon (Otiiens do betg «l. — 1er prix « lu sans patrie ». .et, au moyen d'une lime, i! a tranché les fils d'histoire trop souvent vécue, dont le ridicule ARR ONDISSEMEN T D'A ICII X-4eojuo, Tambour, chlon de Brie à M. aunar. ; 1er No vois-tu pas, entre les arbres, quelque 11 demande, en conséquence, d'être inculpé et l'odieux, comiquemeut présentés, enlevait .actionnant les appareils Ballhache et Block. prix ex-osquo, Tamboar, chien do Brio à M. Saintdans lo procès qui doit commencer demain à AUCH. — A l'instruction. M. le juge d'insPour faire ressortir les conséquences que ke bravos de la salle tout entière. Il faut Avil, 2" prix, FaixntctK', chlonne do Br-if, â M. Hi- chose d 'insolite ? Une barrière en planches ; toutes neuves ? Eh bien ! derrière ces planpouvait entraîner un acte aussi criminel, nous truction a interrogé, hier matin, les nommés ajouter d'ailleurs que les jeunes acteurs, mi- Bou.net ; M. 11. Tura, cliien de bsiwr. à -U- Nérac; propos de cet article. ches, on a creusé un fossé en forme de M. Hervé ajoute qu'il est également l 'auteur nutieusement préparé.», étaient admirables de expliquerons sommairement l'utilité pratique Vincent et Chevalier, arrêtés a Muret. 1er prix cx-oequo, Marco. lierger-Mlenraniid, à Mlle circonférence. Ce sont les fondations du kiosde ces deux appareils. de tous les iiriieles parus dans la Guerre Ces deux individus ont nié énergiquement naturel et d'entrain. Ils étaient vraiment dans Ailquier-Boullart ; 1er prix ox-œquo. Snob, beigerque. lielge, a M. Barrul ; 3', Florirac, chlonne de bertoute participation au vol commis au préju- leur rôle d'écoliers chrétiens, respectueux Lorsqu'un train s'engage sur lo pont de sociale à l'occasion de la grève des chemiDonc, plus de doute, lo kiosque va cire bâti. ger, à Maie Bernade. nots. quand on las respecte. fl'Adour, se dirigeant sur Toulouse, il actionne dice de M. Saint-Agne, de Pavie. Us dé>c)arent OoUoys. — 1er prix «c-œquo. Linda, fi At. MarMais, me dis-tu. à quoi servi ra-t-il, puisque On attendait aussi avec quelque impatience mne pédale et aussitôt le poste d'aiguilleurs n'avoir pas quitté Cazères dans le courant d'a11 déclare aussi être l 'autour do l'article raud ; 1er prix exoequ^, Polo, à M. Attlet ; pnx dans quelques années nous n'aurons plus de le rapport sur le Patronage M. l'abbé Buste de la bifurcation de Sarrouilles, averti par vril dernier. intitulé : « A la conquête do la rue », pour-' d« couiiile, ti M. AiHwf. musiciens ? Puisque, au lieu d'apprendre à suivi pour excitation au meurtre et apologie wno sonnerie, se prépare à recevoir ce train. Le vol de Pavie. — Los sieurs Vincent et l'a présenté devant mn magnifique auditoire, I)eu.X'i!toio grrouiio (chiens courants). — Ilorcs conil l'a présenté avec tact et délicatesse, avec . crans, rappell du Prix d'Honneur, _lot de 1-0 gas- jouer du cornet à piston ou de la clarinette, Voilà la fonction do l'appareil Ballhache. de ta ils qualifiés crimes. Chevalier, dont nous avons annoncé l'arresnos jeunes gens ne veulent entendre parler Quant à l'appareil Block, il a pour but d'éta- tation à Muret, sous l'inculpation do vol d'un distinction et à-propos, il l'a présenté brave- I «ons-saintorigeols, à M. de Lacaze. — 1er prix, car Hervé dit tenir à revendiquer hautement la que du tambour, du clairon ou du lil're '! •nent, appelant app les choses par rji-iou, chien porcelaine, à M. de Caste ; 2". Cyrablir un * système de protection sur certaines cheval commis en avril dernier, au préjudice mont et llèrement, responsabilité de ces articles ; il veut, préno, basset, à M. CMrol ; prix d'ensemble, a M. I>uCela est vrai, ami Hermès ; niais un kiosleur nom, ouvrant toutes grandes ses portes parties de la ligne, de manière à maintenir tend-il. on obligeant la justice à poursuivre de M. Saint-Agno, boulanger à Pavie, ont été ; 1er prix, Cora., bea.yde, à M. Grousset ; M. que peut servir à bien des choses ; le notre entre les ti'ains la distance réglementaire. un prisonnier, enfermé depuis plus d'un an transférés à Auch dans la soirée d'avaut-hier devant les curiosités du public. Et c'était plai- ipouy H. IMane, Iwayte, à M. Groussei: 1er prix, Lolotte, servira d'abord, lo jour où il sera inauguré, sir de le voir au milieu de tes chers petits, L'auteur de ce sabotage connaissait cartel samedi. pour un article do journal, mettre le gouverfskel, 2", Bello-aSOtoag, TekeS . M. II. LUI, Tekel, a à fleurir quelques boutonnières avides de iiement ces détails et il n'en est que plus couils ont été éeroués à la maison d'arrêt et mis tous parés do, l'uniforme blanc-bleu qu'ils nement et. sa justice dans uno posture odicu»" M. Barlanguo ; prix d'onsamMe, à M. Barlauffue. é trcunàlent avec tant de fzr&ce ; c'était plaisir pable. à la disposition do M. Jaubeet, juge d'instrucrubans. Si quelque orateur en mal de dis- ou ridicule. 'Troisième, groojpe (chiens d'arrêt). — lre division. de savourer les détails émouvants, les précition, chargé de l'affaire. cours éprouve le besoin de faire notre . La justice a ouvert une enquête. -+ Oliiens d'arrêt de race continentale. — Chiens sions d'uno œuvre dont on ne connaissait que d'arrêt fronçais à poils ras. — 1er prix, FocK, Won bonheur, le kiosque sera là pour lui servir Arrestation d'un escroc. — Nous avons brièla. surface et dont le fond est fait de tant d'abd'Arireigne. â M. Te ruade ; 2*. Black, M«« d'auverd 'estrade. Notro conseil pourrait, au besoin, vement relaté dans notre numéro de dimanche Congrès des Caisses d'épargne. — Dimanche !»ne. à M. Davony : M. n. Dit*, M™ d'Auvergw, y jouer ses comédies, politiques et économil'arrestation pour escroquerie d'un individu négation, de dévouement et do vertu I U faua été ouvert, à Nantes, lo congrès annuel des a M. Mattiieu.; M. II. Môdor, Mea d'Auvearxne, à M. drait tout citer et les citations, ei précises ques. Et enfin, par les belles soirées d'été, le bien connu à Auch dans le monde hippique Caisses d'épargne do Franco. La marche de Level soient-elles, ne traduiraient pus. l'émotion A-ktuier Ilouffard ; 2", tik, hra-que d'Arles*, a M. bouillant Achille lui-même pourrait nous y le nommé Fernand Palats, cinquante -trois uns, »u|»"tty; 2*. FawBta. SatofU-Germain, à M. Phénix ; La caisse de Tarbes est représentée à ce concommunicative de cette parole de prêtre qui donner un apen.fli do ses talents pur la lhite Dijon, 5 juin. T». II. Fox, Sataot-Germaiii, à M. Aagtede ; M. H. grès par MM. Lacoste ct Lagarde, conseillers so disant marchand de chevaux, originaire nous rappelait en ce moment la définition de Pan. • L'aviateur Level, ayant réparé son bipla% Oaltrs, biaque du bouitionuabi, à M. Paradai. de Bordeaux. municipaux, membres du conseil des direcqu'on a donnée du sacerdoce. « Le prêtre, c'est Deuxième UlTlsian (ciiicn d 'arrêt français a poil Persuade-toi donc, ami Hermès, que tout est parti ce matin, vers huit heures, de GeL'année dernière, Palats assignait ta Compateurs, délégués par leurs collègues. un père, — plus encore, c'est une mère. » louer- — M. 11. MoMa, chien do concarueau. a -U. va pour le mieux dans la meilleur des monvyey-Chambert in avec son passager et a atgnie du Midi devant le tribunal de commerce lé docteur ltoulllès ; 2*. Oléo de Salim-lIMaire. épaSous les bravos qui faisaient crouler la des. Et là-dessus, bois de l'eau. Et si tes terri à Dijon à 8 h. 20. d'Auch et lui demandait de forts dommages gnmtl framçaiî». à M. MamnH ; 1er prix, AS*», salle, le rideau .est tombé, mais pour se relever A l'Eldo. — La troupe d'opérette donnera souhaits ne sont pas réalisés, tu seras bien U déclare abandonner Paris-Rome. intérêts pour la perte de différents objets de griftou Boulet, à M. Gacraud ; prix de couple, a cette semaine les représentations suivantes -harnachement, qui avaient été égarés, disait- aussitôt car M. Paul do Cassagnac allait par- M. Garreaud ; 1er prix, Dick, .Saneo->se, ffrinf-" un des premiers à. t'en apercevoir. Classement définitif ler. On sait ce que cela veut dire. Tous, plus mercredi, « Miss Hclyett »; vendredi, « les SalJ. P. il, sur le parcours de Perpignan à Auch. Il d'une fois, nous avons vibré aux, accents éner- fcortbaM à 31. PCSiaster Bei-mitte ; M. Il- i'i\ la suite du magnifique raid Vidart, le clastimbanques ». prétendait, en outre, que la perte de ces ob griffon kotftlial, à M. Dussau-x. . Marché aux primeurs du 4 juin. — Petits giques de cette grande intelligence, de cette sement définitif Paris-Rome s'établit connue ; Troisièime division (chien d'arrêt anglais a P<M jets l'avait empêche de prendre part a des pois, 13 fr. les 50 kilos ; fèves, 5 fr.; pommes suit : belle âme française sonnant le rappel de notre Etat civil. — Naissances : Alexandre Magen lias). — 1er prix cx-sequo, Typ, pointer, à M. Fillol, courses pour lesquelles il avait des engagede terne nouvelles, 10 fr.: cerises, de 10 "a loi, montant à l'assaut de nos revendications ej Drafce, pointer, à M. Rartangue; 2e prix, Linoa die, rue du Cimetière de la Lède. L Beau-mont, en 82 h. 5 m., a gagné à Nice ments. Maliie ureusement pour Palats, la Com35 fr.; asperges, do 0 40 à 0 45 le kilo ; arti- .".9.000 fr.; à Rome 50.000 fr. ; total, 109.000 fr. et secouant de ses fi ères indignations l'assoupointer, a M. Pardieu; 2c prix. Fa», pointer a M. Décès : Jean Martin, chaudronnier, 37 ans, pagnie, qui avait été condamnée à 1500 fr. de chauts du pays, de 0 50 à 1 25 la douzaine ; Bavsîères: 3e prix, Toc, pointer, à M. Goudm ; 3e pissement de tant de cœurs blasés. Rarement 2. Garros, en 106 h. 10 m., a gagné à Nica rue du Foulon, 49 ; Marie Poumarède, veuve dommages-intérêts par nos magistrats cousu notre vaillant conseiller général fut mieux prix, Griffe de la Haute I.ande, à M. le docienr fraises, do 0 "0 à 0 40 l'assiette. Fréchou, ménagère, 72 ans, rue de l'Aygue fr.; à Rome, 20.000 Ir.; total, 45.000 fr. laires, ouvrit une enquête discrète, et bientôt Po-,;ii )3i }!le, pointer, â M. :kk~— — — . 7" inspiré ; rarement sa diction fut plus fine, et Etat civil du 28 mai au i juin. — Naissanrote. 3. Frey, sur monoplan Morane, on 132 h. 41*. acquit la preuve que les objets de harnacheGayral; 3e prix, Diane, pointer, a M. Félix. Menson éloquence plus émouvante. Il a eu des ces : 4 filles. Publications do mariages : Jean Campagne a gagne à Nice 13.000 fr.; a Borne. 10.000 fr. tion licn-oudile. : PoupouSe. pointer, a M. BaOnnwn; ment, objet élu litige, étaient toujours en la paroles délicieuses pour l'œuvre qui doit tout jje-t-sv'. pointer, a M. Alqtiiev Bouffai-d, Décès ; Thérèse-Aiine-Mari-e-Félieité-Josoph total, 23.000 fr. ébéniste, et Anna Alagenties, sans profession possession de Palats. à l'abbé Buste. U en -a eu pour la Liberté, Qaarriènie division (dUien d'arrêt anglais a pou Le Fer de Bonnaban, SI ans, avenue de Pu4. Vidait, en 170 h. 9 m., a gagné à Ni"* Edmond Lacaze, menuisier, et Marie Brau Immédiatement, plainte fut portée par elle saris' profession ; Jean-Kugène Caubôrc, emà la justice, qui délivra un mandat d'amener cyniquement violée — trop souvent à l'école — iwi. _ le r prix, Ralpli, setter gordon. à M. Vays- jols ; François-Victor Bouyssou, G5 ans, à 10.000 fr.; à Rome, 10.000 fr.; total, 20.000 fr. sier -s; 2» prix, Dick, setter gordon. à M. Duliour; par des mécréants sans pudeur. l'hospice Saint-Cyr ; Antoinette I.alauric, ployé du Midi, et Alice Cazaubon, sans profescontre l'indélicat marchand do chevaux. Ce3e prix, Di£k, setter g 'Môoa, à M. Dagan; 3e prix Religion et Patrie lui inspiraient tour à tour sion ; Jean-Baptiste Domec, sous-chef de gare veuve Deguillem, 78 ans, à Sainta-Radegonde; lui-ci a été écrO'Ué après un interrogatoire de es-œquo Sultan, setter gordon, à M. 1* capitaine des envolées superbes, scandées par d'unaniet Marie-Louise Viau, sans profession. M. le Juge d'instruction. Série. Mentions honorables : Padisciiali, setter gor- Louis Vazelle, 52 ans, rue Arnaud-Daubasse ; mes applaudissements. C'était le Cassagnac Marie Pouzet. épouse Bascaule, 09 ans, à Ajoutons que Palais avait- été aussi inculpe A MONTAT/BAN des grands jours, Cassagnac dont la parole don. à M. Paats; Sultan, setter gordon, a M. Castel Menautous ; Françoise Cayroux, épouse Bu1er prix, FleureUe-Naidine, setter Ijwcrack. a M. du délit d'usurpation d 'état civil, car, récidiVoies nrî^airea : Docteur CUTLLAUMAT défie tous les comptes rendus et qui la isse dans Deuxième journée Guiliot. Mentions ftonoraibles . KLss, setter laverack lès. 44 ans, à Montrose. viste passible de la rélégation, il avait em.Traitement radical des Rétrécissements. CysttUs, ... M. Alazaro! .., ~, ; . Agen-Blie, setter coi*^.p laverack, il Tri* régional 2.00 francs, a .îCO mé'.rcs. Publications do mariage : Léopold Verdier, 1. Rio. "Goutte cbronli}. par l'£lectroluse,9.r. RiTals .TouloiLS» prunté les nom, prénoms, etc., d 'un de ses les âmes gasconnes frémissantes d'intraduisibles impressions. Trille. cultivateur, et Marie-Goliriello-Albanie Be- menée, â M. M. Bon^rrat ; 2. Flain4>eau, i M. B. cousins pour pouvoir commettre ses escroqueFoiiTTiiié ; 3. Folie, à M. Bénecli. .Cocker.; Spaniels. — 1er prix, Frigo! i. cocker Monseigneur l'archevêque tout de suite a lage. sans profession ; Pierre Bodès, layetier, ries plus à l'aise. A L'IDÉAL, Toulc Non placés : RéVgal. Directoire. daigné prendre la parole et ce nous a été un M. Niel; ie prix, Olga, cocker, à M. Laurent. Mon et Blanche Colliard, sans îirofession. tfons honorables : Du:e de TansonviiMe. coclcer, a M est la meilleure Mutuel : Oaarnaiii, 1-1 ; placés : Idoméné', 9 50 bonheur véritable d'entendre Sa Grandeur traARRONDISSEMENT DE CONDOM Çampa-gne. Prix de Ouapici, Danli-ng et Slta. à Fkoiilieau, l'I 0. duire à M. de Cassagnac l'expression de son LAGAPELLE-BIRON. — Conseil municipal. Bara-dat. Prix spécial, File, à M. de Lucemay. Prix des Pavillon', 1.0)0 franco, 3.200 mèteis. — CONDOM. — Bulletin commercial. — Peu admiration, do ea reconnaissance, de la re— Le conseil municipal s'est réuni dimanche (A suivre.) 1 Issy iles-Moullneaux, ù M. K. Marciltac. de changement dans la situation. Le temps connaissance aussi du diocèse, de ia France 2fi mai, à deux heures du soir, sous la préNon rJacé : Iéna. Exposition du comice. — A côté de l'expo chrétienne et môme (Elle l'a dit formeUemani) reste très orageux et défavorable pour la visidence de M. Mercier, maire. MUtuel : Gagnant, 0. sHtlon canine se trouve l'exposition de machigne. Il faut procéder avec ardeur au sulfatage do l'Eglise entière dont il est le champion si Prix du Chemin do 1er d'Orléans. 1.200 Irancs. En première délibération, Jo conseil décide brillant et si dévoué. ne* agricoles organisée par le Comice de 1 aret ne pas économiser les bouillies. ?.0CO «îètres. — 1. Viril, à M. ReynoMs : ï. Galvaal, de vendre le jardin do l'école. EnsuiteOl pusse rondissement d'Agen qui reçoit aussi de nom Monseigneur, se- tournant vers l'abbé Buste, Lo vin à vendre est de plus en plus rare. en revue les divers budgets, bureau do bien- à M. F Bâtes ; 3. Krgotfnc, à M. J. Valliéres. Non placés : Suessiila, Bon-Ohiha, Sale.ndnl-nza. Statistique. — Du 1er janvier au 31 mai on lui a dit ses encouragements et ses éloges avec rireux visiteurs. faisance, communaux et vicinaux ; il approuMutuel : Gacnant 18 ; placés, VirM, y ; Gaftaè i Toutes ces machines, charrues, defonceuses, a enregistré, à l'étai civil, 29 naissances et 6» une cordialité touchante. Sur Ses lèvres les ve le compte de gestion du maire 'et il vote ni, S. faneuses, faucheuses, lieuses, dépiqueuees ofparoles les plus aimables ct les plus gracieule budget do 1912. décès. Prix du GouTei-nenisnt, S.ooa francs, 3.CC0 mètres. frent le pins vif intérêt pour nos agriculteurs. ses mettaient en évidence avec des louanges Pendant la période correspondante de l'anLa question du nouveau chemin du Cime— 1. Réjrein-Streeit, à M. Lafitte ; ï. Jockey, à M. I On les verra d'ailleurs à l'oeuvre sur le bleu méritées le dévouement du jeune et symARRONDISSEMENT DE BAGNERES née dernière, il s'est produit 34 naissances et pathique vicaire qui, ayant été à ia peine de- -qhamp du Mestro dans la journée d'aujour- tière est revenue. Ha été décidé d'envoyer une rjucouimeau. Non placés : Ramipola, Maxliarguin. BAONÈBES -DE-BICORRE. — Affaires muni- 71 décès. d'hui, et les expériences seront suivies par de délégation auprès du vendeur pour lui provait être à l'honneur, et trouver en ses supéMutuel : donnant 13 00 ; pteces : Régent-Slreet poser de faire une sorte de clôture en fil do CAZAUBON. — La foudre. — Vendredi der- rieurs les plus éminents l'appui réconfortant nombreux spectateurs. pales. — Le tribunal de Bagnères a rendu sa' et ceci sans changement du prix de 1 : Jockey, 9. qui doublerait ses forces. medi son jugement dans l'affaire intentée par nier, au cours d'un orage .comme il s 'en proThéâtre d'Agen. —- La représentation d' « Ilé- fer Prix de l'Administration dos Haras, 2.5n0 frases, vente. duit d'ailleurs à pou près tous les jours dans .. ,i mètres. — 1. Interview, à M. H d» I-'curnns : Faisant, à Monsieur l'Inspecteur et à la camcertains -entrepreneurs Bagnérais pour tranodiade » a été dimanche soir l'occasion d'un 2. Montrose, à M. 11. GneMier ; 3. Cit'oCœur, it M. pagne méchante de ces jours passés une allu,vauv faits au Casino et aux Thermes et que la notro région, la foudre est tombée à Cucassenouveau triomphe pour los artistes de la vaARRONDISSEMENT DE XËRAC Maurice Latorouelie. m sion très franche et très nette, il a protesté de leur de Mme Kato-Canibon, de MM. Rouard, ÎRUle prétendait no point payer. Un supplé- Mauléon-d' Armagnac, au lieu dit Capdevave. Non .placés : DW», dérobée : Jokey, temlié : Une femme qui portait une fillette sur les bras, son désir de vouloir éviter toute attaque perNERAC. - Comice agricole. — Le < Dut'fau et Aumônier. Nous devons aussi noter ment ou plutôt un complément d'expertise Farot-MI. lsafeeau. Comité, Royale-B rloche , .Misset sa servante, jeune fille d'une vingtaine d 'an- sonnelle inutile et violente ; mais aussi de la -est ordonné. le suceès, dans un rôle secondaire, de M. Cor-» agricole de l'arrondissement de Nérac orgaLacq, Souloutte -in, Paulette-III. parfaite indépendance du catholique qui idoit merais. nise cette année un concours de culture de Matud : Gagnant, 73 ; placés : Interview, 10 a Charivari. — Pourquoi vouloir empêcher nées, furent atteintes par le fluide et violemment projetées contre le sol. Lorsqu'on les savoir attaquer le mal où il .est, à.l'école comMontrose, 9 50 : Crèvo-Cœur, 7 50. La direction, nous prie d'annoncer que la propriétés dans le canton do Francescas, en de' vonvoler ceux qui en ont le désir 1 Une Prix de la Société Sportive d'Encourag. mnit. me ailleurs, plaignant ceux qui s'y reconnaisreleva, la jeune servante n'avait pas grand location pour Sigurd et. la Tosco est ouverte ce sus des deux autres concours. U sera divisé bande de jeunes gens au quartier du pont e .coo francs S .OOi mètres. — l. Boyale-Btioclie, à M. matin chez le concierge du théâtre. Pour icn deux catégories Ai'Arras s'en donnent à cœur joie rte faire un mal mais il n'en était malheureusement pas sent et les stigmatisant du « tant pis pour Manrice Labtouiche. eux ». Et les bravos enthousiastes disaient à Première catégorie Siaurd, la direction s 'est procurée, des décors Propriétés de dix heccharivari monstre à une veuve qui a trouvé ainsi de la petite fille ct de sa grand'mère. Non placés : Louloutte-Ill, Monncllita. Sa Grandeur qu'elle avait gagné le cœur des nouveaux, entre autres le décor de la VVal- tares et au-dessus. l'occasion rte faire un nouveau placement de Celle-ci est paralysée, la fillette aurait un côté Mu'Cueil : Gagnât, n. Plaisantins et dit le mot heureux qu'on attenparalysé elle aussi. kyrie. Deuxième catégorie : Propriétés .de dix hecses charmes. Dimanche soir, la police lasse, a MMitary-Offlciers, Objet d'Art, 3,occ métrés. — 1. dait de son âme épiecopale. Fête de quartier. cueilli quatre des plus bruyants faiseurs de Les ltabiiants du quar- tares et audessous. Mes fuira, à M. de Sanaartoa ; 2. Facile, à M ta ARRONDISSEMENT DE LECTOURS Le jury chargé de procéder à la visite des Souville. Un dernier chœur : ce sont les Martyrs aux | kêt Montesquieu sont priés de se rendre *à a charivari et les a menés au poste. Il est cerNon placée : Trois-rotoiles, dérobée. ! Arènes que nous citante l'Orphéon des In déseconde réunion qui aura lieu demain m tain que l'on a toutes raisons de s'opposer à mer- propriétés se livrera à cette opération à parLECTOURE. — Enquête de commodo et inMutueil : Gagnant, lfi. pendants. Ils vont mourir, condamnés par 1 credi, à 9 heures du soir, dans une salle de tir diu 15 juin prochain. ceinte coutume quelque peu sauvage. commode — Une enquête est ouverte à la Utt temps ypilendide a favorisé ces très belles COIUV Ils 1le saluent, ils prient, ils meurent Les personnes qui voudraient preiiddo pert la mairie. LANNEMEZAN, — Adjudication, — L'adju- mairie pour le projet d'acquisition, par l'hô- César. sas et i'atttaence a été. oonsidé.ranue. Non, c'est un. réveil !... Condamnés nous aussi Ordre du jour ; formation du bureau défi- à ce concours ont à se faire -Inscrire immédication des caches de la placo aux cochons pital-hospice, d'une prairie située à « Canépar les Césars de l'h-cure actuelle, nous aussi diatement chez M. G. Dupin, secrétaire adnitif. ron », et destinée à l'agrandissement de la qui avai tlieu hier, à 10 heures, n'a pas donsachons prier ; mais-, plus heureux que ces joint-, ou étiez M. Vautrier, trésorier du comice propriété de « las Bailiues ». né de résultats. Au 9 : de ligne. — Le nombre des soldats à Nérac. vaillants du Cirque, sachons nous défendre. Par arrêté de M. lo sous-préfet, M. lo docLa mise à prix de 200 francs par n'a pas été isolés dans les bâtiments de l'ancien grand liKAi; voi. ni-; ni.i'orn Et sj-Jamort, grâce au Dieu des Frênes, ne A ce ico.ncou.rs, il sera attribué une somme Couverte. teur DaiToux, maire de Lagarde, a été désigné Madrid, 5 juin. doit pas nous courber, triomphons de notre séminaire était de près de 180, au moment où de 500 francs sur .celte de 1,140 francs mise à comme commissaire enquêteur. Pc i lre d'accorder les permissions est arrivé. CAZAVE. —- Noyé. — Dans Ja soirée, le apathie et vive le réveil de notre foi ot de L'aviateur Dufour vient d'effectuer un sw la disposition, du comice pur M. lo ministre A l'hcum actuelle, le vaste étaMissement est FLEURANOE. — Fêle de la Vignatte. — La notre liberté. sieur Eugène Bazerque, âgé de 81 ans, properbe vol avec un passager du camp c-ira.de l'agriculture. Elle sera distribuée comme presque vide. priétaire, coupait une branche de tilleul au société philharmonique « L'Indépendante la La Foi. la. Liberté, dons son splondide rapbaucel à Gétafe. suit : Procès-verbal. Un p rtoai a. élé bord du ruisseau la Gadave. Il tomba acciden- Fleurantîne » prêtera son concours aux fêtes port M. I abbé Buste les saluait tout à meure. Le voyage M exécuté ù mie très grand* Première catégorie : 300 francs. 1er prix, 100 tellement dans ce cours d'eau, grossi par les de la Vignette. Elle y exécutera le programme dressé ccsrtiie le sieur D.... logeur, en garni, francs ; 2" 60 fr.;. 3« 40 fr. Quelles soient le dernier mot de ces lignes altitude, puis Dufour reprit son vol et s'en fut dernières pluies, et filt emporté par Je éon-i du concours de Paris. pour défaut d'inscription sur son registre de qui parlent du Patronage de Plaisance p» labovers lo cap d'Aleo-cocorne évoluer au-dessus Deuxième catégorie : -200 fr. 1er pxtix, 100 tr.: police. Tant; son corps a été retrouvé quelques ins2» 60 fr.; 3" 40 fr. rieux et vaillant, ouvrier do ces doux CTartdes de la campagne . i Ues limites de la montagne^ La Fleurantîne. -- On nous télégraphie de tante après. et saintes choses. Paris : Une somitue <te 100 francs est réservée ù l'avouant atterrir par un vol plané de mille mo AIGUILLON. - Regards rétrospectifs. — La gendarmerie de Hèciies ot le juge de tres au camp de Caraban i. chat do médailles, qui seront décernée?, aux » La fanfare « La Fleurantine » a obtenu le Dans noire numéro de mardi dernier, nous L'abbé E. SERRES, curé de Prêchai-, propriétaires ouiltivant. lieurs terres avec des paix de la Bartlio, prévenus, ont fait procéder deuxième prix à vue, le premier prix d'exécuDufour a vivement été félicité par i«> io|. av<»s ou ia primeur pour donner non seulemétayers ou domestiques. aux constatations d'usage. tion, prix d'honneur, prime do ;«K) lianes, et ment le compte-rendu de la fête des fleurs, (.IH Tr. n'es AVUTKI . n Ouànt aux primes en in-genf ci-dessus, olles mais encore le palmarès des récompenses. ARREAU. — Accident. — Pendant que le un diplôme do direction, MOTihain ». Londres, 5 iuiu. no pourront être attribuées qu'à des métayers, Toutes nos félicitations. Depuis, nos confrères de la pressse régioAu cours d'un vol, à l'aérodrome de' Brocknommé Barnngi Ramon, ouvrier mineur, fermiers, domestiques ou petits proprtéitaircs Société des sciences, lettres et aris d'Agen nal et départementale ont dit leur mot sur Pièses fausses. — Il circule en C6 moment laiwls, l'aviateur français Latham a fait une <l origine espagnole, travaillait avec son pic la- fête, et il en est un qui, sous la plume d'un travai.'.'kitii! oux-imémes leuirs terres. des pièces fausses de un franc, assez bien imi«ians un dos tunnels du canal, uno pierre chute ; l'aéroplane est tombé sur le toit d'un Lo président dm comice se réserve, comme Séance du i" juin correspondant occasionnel, formule quelques tées. Avis à nos compatriotes. P est détachée de la voûte et lui est tombe-' hangar ; quelques moments après, on voyait d'habitude, lo droit de modifier ces primes, critiques contre les décisions du jury. Présidence de M. Cnlvet sur le pied droit, lui occasionnant de graves •Latham oui grimpait sur los débris de l'aéroAVEZAN. — Status ds Jeanne d'Arc. Ni lre fracturas. Vraiment, nous nous demandons quel est suivant le mérite et le nombre des concur- plane ct regagnait la, terre ; l'aviateur ci ufi'ra . petite paroisse avec l'esprit chrétien, qui l'aniM. Fernand Mauroux, de Villencuve-sur-Lot, coi. homme chagrin qui, dans les décisions du rents. Après avoir reçu les premiers soins de M. me ne veut pas rester on arrière, quand il s'aAbattoir municipal. - 11 a été- abattu pen- du choc mais il n'est pas blessé. vice-consul à Malugua, est nommé membre jury, « a vu » quelques injustices, et cela le docteur Anluban, le blessé a été dirigé sur git d'heureuses innovations. 11 est vrai que la correspondant. nous amène tout, naturellement à poser une dant, le mois de niai, 375 têtes d'animaux do I hôpital do Tarbes. Providence semble veiller sur elle. Ainsi, boucherie ainsi réparties : Boeufs, 11 ; veaux, M. le comte de Dion.no soumet à la Société simple question au principal organisateur de CYCLISME ej -iee a la charité d'un cœur généreux, mais un méreau en ètairi, fort- curieux, provenant la fête : Est-il vrai qu'une garniture de che- 9G ; moutons, 38 ; agneaux, 207 ; porcs, 23. NESTIER. — Electricité. — Le Courant élec. ue OUrru par les usiMS tl0 LA COURSE DE 24 HEURES ïn"i n - la Compagnie resté inconnu, par modestie, le 14 mai, fête d'une des églises protestantes do l'Ageoais. minée avait été choisie par une des concur- produisant ensemble du trésor municipal mm de la Barousse nous a été donné samedi soir. de la première eommoukin, on y bénissait à Ce méreau est rond, d'un diamètre do 30 mil- rentes des voitures fleuries et qu'elle avait été. somme d-o -222 fr. 75. Dès; que la. 2<i" heure a. sauné. Tr-o.iusc t \ ie.r vêpres uno belle statue de Jeanne d'Arc, CO LABA3SÉRE. - Fête de Jean,,,. ^ Ara _ , -, limètres;, d'un poids de 11 grammes. Il repré- mise en réserve, pour être donnée à cette Démographie. 11 a été enregistré, peaidant démunv ei, prend trois tours l'a<:ilemeuit. qui nous valut la bonne fortune d'entendre un îéte do Jeanne d'Arc a été ina.'niiimr .7, .,,i A ce moment, leclessemont donne : 666 k.000 à sente : il. l'avers, lo Christ, sous forme de ber- demoiselle, n 'importe quel prix qu'elle eût ? le mois de mai : 8 naissances, dont 0 filles lébréo à LabasSère. L'é^s .-'élal " 'g " ^om panégyrique bien intéressant du prédicateur, M. Andrieu, qui se fait encenser, pourrait et 2 garçons et 7 décès. d'Hulst. ; 2. Trousselier, 63 ; ::. I.afourcado <il ger, tenant de sa main droite uno croix d'oi't M. l'a-nbé Coues. 1 répondre à cotte question. Crupplandt, '.W ; 5 .Lambot : t;. Oolsael 136 ; se détache une oriflamme : de sa gaucho, un ^^^îSl "^ «tes. Disons" aussi Tout d'abord, -on semblait craindre qu'on cor qu'il approche de ses lèvres : autour de Etat civil de la semaine. — Naissuiee : it-'jnDe plus, M. Andrieu nous avait promis un 7. \Wm, 153 ; 8. NiedoTgan, 157. fit peut-être trop de bruit autour de cette sur- lui, sept brebis et doux arbres. Au revers, le superbe feu d'artifice japonais, à cinq heures we Capot, route d'Espions. Hé*Mlid(S "' ;•'»/'./ s Bu.lmeaitio.ns do -mai 'i-uge : Emile Lafitte, culprise si gracieusement faite ; mais ce ne pou- soleil outre six étoiles, et, au-dessous, une du soir, avec des véglione et autres pièces vait être là que l'effet d'un trop grand enthou758 ti.il. 100, 1. Trousfeltav ; d'Hulst ; mirifiques l Qu'esi-il devenu, ce feu d'arti- U valeur à Batrbasto, ot Cte ire Daries, ménabible ouverte, avec quelques lettres de l'insilluminées. eie -me, inspiré par la pensée que, mémo à Ave3. Lafourcade ; i. Cruppelandt Poudre devu.ii être mouillée, proba- gère. Lambot : zan, et contre toute attente, on aâdalt posséder cription spéciale à l'Agenais : Mes Brebis en- fice ^ Décès : Jeanne FiflQè%° veuve Daubas, 74 ans, L; . Shirtoy. PUNTOUS. - Vol. - - IV .ns la nUH de <,,„, m tendent ma voix et me suivent. Consulté à blement ; et quant a.ux promesses, elles se aussi la statue de Jeanne d'Arc. A cotte occaplace Saint- Mwa-c ; RapfiaeHc Pèrat veu\., .\.c a dimanche un .malfaiteur s'csi iuiroduP ,n son sujet, M. Woiss. directeur de la, Société sont envolées ; c'est uno constatation que sion, les chantres et chanteuses d'Avczan, le moulin de M. Baque, où il a. été volé une dal, 71 ans, rue du. Bartas. sous l'habile direeiiou de M. le. curé de Tour- d'histoire du prolesiant i.snio irança.js, répond nous no. faisons que noter. somme de 185 francs au doméstie Enfin, cotte fête des fleurs, nous le constaique do la mai- oc-coupe, nous ont fait entendre do* cantiques quo ce méreau osl uno variante du type du son. .... Da r» juin. bi nmr, bien connu, qu'on Irouve générale- tons, n'a pas bien enrichi le commerce aid'un eaCrata et d'une exécution remarquables. -- l.e prociurar gen^riU tle Monastir a tué. a cour» .;ni)io.n.uais, car à part los limonadiers et Aussi, rien de plus vrai que celte réflexion en- ment dans tout lo sud-ouest de la France, h. jM i ervolvern. De Toulouse : ARR ONDISSEMEN T D'ARGEI.F3 Montulbanaie offrant au-dessus du berger une cafetiers, aucun commerçant n 'a eu à restendue le soir de la fête au sujet do l'église si — L'èswMtre française a mouillé dans le port do richement ornée et des belles icérémonies : colombe, tandis que l'Agenais présenté une sentir les heureux effets de celle fête. Les réPorto ICimo.iedoc'le. CAUTERETS. — La saison thermale. — la « Quel dommage si jamais on était obligé par croix sur laquelle Hotte un drapeau. compenses elles-mêmes viennent des Nouvel— On mande de Uie-n,/ a l'A, 11. C. que M. EmIHo Hier matin, vers 11 lieures, un Incendie s'est M. Henry Tropamer, avocat près la, cour saison thermale officielle est commencée de la force dos choses de supprimer le prêtre les Galeries de Bordeaux et ont été achetées déclaré dans l'immeuble occupé par M. BeroiK -ja. Mnbassade'ir il 'Eespagnc »u Vatican, en puis le l«ï juin. U fait un temps splondide de- à Avezon I Oue deviendraient toutes ces lielles d appel do Bordeaux, offre à la Société sa un jour de réclame. g» drjHiis ITnternuptl les relations entw le caï trand Bnlard, au 1" kilomètre, sur la. rouie do ici. il- Madrid et l.i. Curie i.itnalne « M décédé puis quelques jours, les hôtels sont ouverts et choses ? J'ius do ces cérémonies intéressan- thèse de doctorat, brillamment soutenue na- ; , M- Je maire, M. Sicard, M. Pasquot avaient Lalande. guère, et qui a i>our sujet : La Coutume, i..-employés a.lu n «ne vu- i ). aome n'eraM tes ! » Ce qu'il y a de certain, c'est qu'une pale nombre dos étrangers est plus grand qu'il tienne dos prix ; quant an prix offert par M. Le feu n. détruit uno moulu de 40(1 qulntau* dVI A en. T l.- obtenu «Ulatactlon .eu .!,- :.i a - Mociutlr ft. 1 108 niul es Andrieu, on le cherchait en vain ; il aurait roisse qui sait s'entendre pour fournir ia code paille plucés sons un h >ui ,',rur. niusi que r,»!)-ari .'.'1 .'ai. époque '' ^ précédentes,' à pareille Dans un compte-rendu détaillé, M. Laiizun bien PU donner les bouteilles de vin vieux H0 quintaux de foin, une charrette et deux tisation imposée aura toujours un prêtre à — L* Couvre» d«t amW des K».*S s'est tenu a signale l'irnpartanoe do co travail, mnt au non débouchées le soir de ta Sainte-Cécile ! Lyon, au palais au Ocuninercfl ; le prochain ncat* tombereaux. moins que la pénurie îles sujets en devint trop SERS. Incendie. — Samedi matin, vers grande. C'est du moins co que j'ai cru compoint du vue historique local qq'mi point do jjirs aum 11<-vi en l»lx', h Bovdeawt. Voilà les O-CÔtéS dfl la. question ! Voilà le* Les pompiers de la caserne RoufSy so sont -cinq heure: , un incendie s'est déclaré dans -— On ;i. i ..nme e . e sur le OlUÙUp de tit.i.. n i- u '. rcs vue juridique. Outre que l'auteur donne pour détails rétrospectifs do cette fête ! prendre. transportés sur les lieux oammandee par le de caPns. l'instalilatlon d'une llècho riune grange sise au quartier Saint-Justin, près la première fois la traduction du texte roman M. de R. lieutenant Mauco, et ont mis une pompe en niiMtalres Kamite-.-«nifl destinée à indiquer aux aviateurs désiUn Témoin. de la coutume agenaise, il résume tout co qui •la commune de Sers, appartenant au sieur PORT-SAINTE-MARIE . Orages. — Same batterie .; ils se sont rapidement rendus maîreux do traverser le détroll, la dln : on exacte do i lorre Crampetio, de cette commune. a été écrit précédemment sur elle ; et, com- di, vers quatre heures du soir, un orage d'une tres du feu. Les perles sont couvertes pur ut» PLAISANCE-DU-CERS. Une séance du paDouvres. t Avertis par d'épais nuages do fumée nui tronage. — (Le 88 mai a. marqué pe.ee dans parai il. son texte original avec celui des cou- gmnnle violence a éclate sur notre ville et les assurance. — Ce matin est entré dans le port militttw d '\tseehnppni-enl de la U.ilure de l'immeuble, | ( . s "nvirottS. les annal. « du l'a Irona MC des «arçons de Plai- tumes dos villes cinoonvoiaiuôs, il en fait resK('-r la CAirveUe éi'uln ila.litii.no Amnrina l't'«ntlcl vc puis proches voisins prévinrent aussitôt la sance En. l'honneur de la visite que Mgr rar- sortir les particularités el la considère comme Col orage a oie suivi d'une trombe d'eau qui liant de palta : une coutume-mère, uno coutume-type, un mo- a transforme en Quelques minutes nos pteioei propriétaire et accoururent avec lui sur les cheveqne taisait ce jour-là dans la, paroisse, - Le flouYerncinent nniérirain a envoyé < risinistro où ils dèle non-seulement imité, mais même simple, et nos mettes .m véritables ruisseaux. ces braves petits jaunies gens ont organisé, ,IIKV;M une rommission aiin d'arriver e 11.11 o-le Hier matin, vers neuf heures ot demie Je l'eu réussirent à maîtriser nient copié par beaucoup d'autres. Il en étudie 1 n. deu.cb'Mno orsige, pas aussi violent que sous la. direction de leur «si sympathique fonjueiii du, différend relatif a l'entrée en Aiuérl-.fu« la- Place Uouaix, in: • collision s'osl produi'i'c de la |)on lilauie limousine. ceVV,, se r>u?.nl m conjectures sur lestouscs de dateur, nue foirée récréative qui, n'aura ja- ensuite séparément chaque chapitre, d'abord le précédait, a do ni .uivewu éclaté vers sept entri la motrice n' de la. Compagnie des par des notions générales, puis nu point de (: car 1:1 heures ; la, pluie s,<:sl continuée jusqu'à, neuf r eiaii là, ,-i il a ' a se -lilal .in 1,,.. .rrict'.inle ri<\ fr.-;r.t«'> ,|,. n in . non p.m i', -' habitée seulement mais MI pareil!».. M.msfiKt ramways, ci une voilure aulouiobile ouiohile, cmcon h,wv ' 110 «range .c-'-l'oa, s'. -I n,,),. ,. vin, 11 IIV 1.1 1 ,.,.•.„„ . parle. M. Paul do Cassagnac était là aussi et vue. des personnes, des biens, de la compé- heures du soir. heure ni i, contenait point à cette 'luire par son propriétail tence, do la procédure civile et criminelle c i i"n 'a pa. en. 1 ci louve n :i Nos agriculteurs sont ecnslemiiés de In fréM Grabias Ba ni nous avons entendu les accents vibrants de f os *,i"" ' "'' >»'''nil. Kl i cris, iloincuK j'uoris, demeurant place Saint-Ktieimo A son patriotisme et de sa loi. L'Orphéon tant enfin du Ode pénal, dont le- applications ojuence de «-es orages qui abîment toutes jas Ti vertes ; Parement matérielles, sont couloul s osi bon,,, a d-s dcgùts m ne, , i.. ' étaient souvent si originales. Un»> très comnui une assurance. récoltes. Jusqu'ici, nous n'avons ' pas eu M do fois vainqueur dans les concours nous a plète bibliographie termine ce remarquable grêle, fort heuiviuseimonit, pour le vignoble charmes de plusieurs .cantates d'une impecMille il volume qui semble avoir épuisé' à tout lamais 1 ( fil il '-lll- . 01 MONr ^s, M SUOOX cable harmonie. Uat la. végétation esl des plus belles.' N'ACHETEZ lo sujet. lllilinni»' nl OnFÈVRERlil "• tt M.Ta»bé Buste, dans un rapl'ort séduisant U no mmé Garmoin bMnnmM à ! Réglementation des marchés. le maiire de — L< Sur la proposition de MM. R. Bonnat arrhiet aetteat, est, venu nous faire connaître le ans, n vtv vrri'.W lue,- ,,„,»• tentative «i.. i , l'on saiui.-Mart,) vient de prendre i 1 nitsAe, Patronage qu'il a fonde el qu'il dirige • et ses viste départemental el Pu l.auziin, secrétaire k tue a la. gai c Matabinu. au sujet. ,lc la .e^lea,,.,„tuli,o, tles fie ' , n e. .1. Pfrpetne.1. la. Société émet lie VOMI que e ac,-< es. c'ètaltbien le «ri du co-iw, te. nantie — IA ~ 1,0 nommé Cuadr&de Dionteio Agé 4 u émue « touciiam* du i>ere mu défend son Ï1V 1X <£lrtS.hPr Ç*r oi»»*l de l'église Sa nt-Hi- œw^a de ootw ville, espérons W*«*B :u! U V re d«ms et acheteurs s'y c-onlomner. !, "' : l*»«rn.»l. su.-.s •. m i\ ij x ,, wxum in, MM I8tr^ dit Tour des Pointent» Wanob, proprWtc W ne procès verbw«,

Ephémérides goulousaines

Association des Médecins de Toulouse

GERS

LE DUC D'ORLÉANS

GustaveHervô et la«GuerreSociale»

Paris-Home-Turin

COURSES DE CHEVAUX

l/l'Al' Ï!E COLOGNE

Conroaoes martnaires LaluMe 25 r Rémim

BêpaFten)ei)t

S?. ^.i

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PETITES NOUVELLES

Le Feu

Accident de tramway

A la Gare

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés


MARDI 6 JUIN 1911

cires et Mai nés

1,050 fr. breaux de travail, de G50 a 900 fr. ; breaux | pour l'élevage, cto 300 a eoo fr.; vaches de travail, do 500 a 650 fr.; lo tout la paire ; voaux do boudherte, de 1 à 1 10 le Kilo, poids vif.

MAltCllE

DE LA VJLLKTTJ3 Du 5 juin. Amenés 2.195 ; vemidus 2,003. 2 ; 1 88;

Cocuifa. t Vi). vaciies. — Amenées 1,024 vendues 970. 1 98; 1 80; l M. Taureaux. — Aimemés 270 ; vendus 247. 1 CS; 1 52;

1 40.

Veaux. - Amenés 1.CS8; vendus 1.621. 2 50; 2 18; I. 90. Moutons. — Amenés 9.982; vendus 9.645. 2 58; 1 ''Xi ; 1 90. Moulons. — Amenés 9.982; vendus 9.645. 2 58 ; 2 0G ; 1 90. Porcs. — Amené» 4.494 ; venodus 4.407. 1 M; 1 90; 1 88. 2 50 à 5 50. »ieau de monutons. HAUTE-GARONNE Saint-Gaudens. îUerouriiaJlc du marché du 1er juin, — Cours ipratltrv.<zi : Fromeoit, Ire qualité 23 1r. ; 2*. 22 50 ; 3\ 22 Ir. ; moleiil, 20 Ir. ; seigle, 16 f r. ; avoine, Ire qualité, 12 fr. ; 2", il 50 ; mais, 17 fr. ; haricots, 30 ir.; pommes do terre, 6 fr., le tout l'ilioc.tol.itre. Fourrage». — Foin,, Ire qualité, 5 25 ; 2", 5 25 ; paille, ire qualité, 6 25 ; 2', 5 75, le tout le quintal. Animaux conduits au mairclié. — Bœufs, 210; vaclies, 3iO; veaux, 350 ; moutons et brebis, 700 ; porc.-», 530. Prix moyens. — Bœuf, 0 80 ; veau, 1 à 1 15; mouton, 0 8», le tout le kilo. Volailles. — Poulets, 3 50; poules, 0 fr. ; dindons, lû fr. ; pintade», 7 fr., le tout la pai>re. tEuiTs, o 75 la douzaine. ABJEG-E ramiers. Marché du samedi 3 juin : Hlé, 100 hect., de 22 50 à 23 fr. ; seigle, 30 hect. de n 50 i 15 fr. ; méiteil. 25 hect., de 16 50 à 17 fr. ; m.iis, 500 liectos, de fô 50 à 16 tr.; avoine, 80 hect. de ta 50 à 12 tr. ; fèves, 10 hect., de 16 50 à 17 fr.; haricots, 50, de 32 50 à 33 fr.; gommes de terre, de 7 à 7 50. Mazères. Cours pratiqués au marché du 1er juin : 11 a été vendu 729 hectolitres de blé, de 22 75 a 28 fr. les SO kilos ; méteii, de 10 50 à 17 1s. ; seigle, de 1/4 50 à 16 Dr.; maïs, de 15 à 10 fr.; avoine, de lil à' fil 75 ; haMcotB, de 25 à ai fr.; fèves, de 10 a 16 25 ; (pommes de terre, de 6 à 7 fr., le tout l'hectolitre. ' VolaiiMes. — Poules, de 6 à 7 fr. ; beaux poulets, de 5 ;\ 5 50 ; canards, de 5 75 à fi fr. ; pigeons, de 2 15 à 2 25 ; poussins, de o 60 à o 60. le tout ta paire ; lamins domesitiques, do 2 25 à 2 50, la .pièce, iies œufs, 0 85 la douzaine. HAUTES- PYRËXÉBS Bonnefont. EBûire des dome'îtiqiues. — Cette foire qui se tien(kiu, dans notre commune lundi 5 juin a .pris fcedu: ..>itip d'extension; elle est le rendez-vous de beaùemW de domestiques et d'estivandiers. Les propriétaires aluront à coup sûr l'embarras du choix. Lannemezan. Le mar>ché. — Cour9 pratiqués : Bœufs <le traivail de 900 à 1,000 fr. ; vaches de lahow, de 700 à 800 fr.; bousillons, de 000 â 750 fr. ; tousses, Ue 350 a 460 fr. la paire ; brans, pour la tfXHitolierie, do 70 a 1)0 fr. pièce. Blé, 23 50 à 24 f r. ; métell, 21 fr.; seigle, 16 50; mat», 16 à 17 fr. ; avoine, lil 50 a 12 Ir. ; millet, 20 à ai Ir. ; haricots, de 36 à 40 f r. ; pommes de terre, 7 à 7 T5 a 'hectolitre. roules, 5 à 6 fr. ; poulets, 4 fr. ; pintades, 8 f r. ; «aaards, 5 à 6 fr.; oisons, 3 70 ; canetons, 1 00 la paire ; lapins, 1 50 à 2 fr. pièce. ,<Eui£s, o 70 la douzaine. dindes, 9 f r. ; pigeons, 1 50 la t>iiulon.s, 14 ir flaire. (îoshons de liait, 20 à 23 fr.; d'élevage, de 30 à » fr.

GERS Plaisance dur Gers. Notre marché «le jeudi a été bien favorisé par le *easi temips ; aussi ia a été assez im/portaait. Les diverses places étaient bien approvisionnées en denïées de toutes sortes eit bon nomtore d'affaires on», 4té traitées. Voici les ï»rin:citpa.ux cours pratiqués : Italie aux grains. — Blé, de 23 à 23; avoine, de il 50 à 18; maïs, de 15 à 15 50; seigle, de 16 à 16 50; ortj'e, île 18 à 13 50; lèves, de 17 à 17 50; haricots, de 48 à 50; pommes de terre, delO àl'l; veeces, 21, le tout hectolitre. Son, 16; rèzes fines, 18; ordinaires, 16, le tout le fliiiim tirai métrique. Volailtei. — Poules, de 5 4 6; poulardes, de h 50 à 5 50; poulets, de 3 50 à i; dinidons, dte 14 à 16; dindes, de 12 à 13; canards, <le 6 à 7; pintades, de <J 50 à 7 50; pigeons, de l 25 à l 50, le tout la paire; lapins domestiques, de 1 50 à 1 75 la pièce. Oisons de huit jours, do l 25 à 1 50; oisons de 15 jours, de 1 75 à 2; canetons, de 0 60 à 0 75, le tout la pièce. Œufs, 0 SO la dounzaine. Foirail. — Grands bœufs, 1.0CO à 1,100; bœufs moyens de SIX) à 900; bouiviMons, de 500 à C00; vaches de travail, de 700 à 800; génisses, de -150 à 500, le tout la paire; veaux pour la boucherie, de 90 à 110 la pièce. . Porcs. — Prix toujours éleivés : porcelets, de 26 à HO;. cochons de marche, de 50 à 70, te tout La pièce suivant taille et qualité. Jl se traite en ce moment peu d'affaires au marché aux vins et eaux-de-vie. Les pTix, quoique encore très élevés, semibUent laire pressentir une légèro baisse. Bois. — Fagots, -de. 6 a 6 50 le char de vingt ; rondins, de C 50 à 7 le stère. Foin, de 2 50 à 3; ipaiîile, de 2 50 à 2 75, le tout le .quintal usuel. I.'Is-le-Jourilain,. Marché #u 3 juin. — Cours pratiqués : Marché aux grains. —- Blé supérieur, de 21 50 a 22 fr.; blé ordinaire, de 20 75 à 21 fr.; blé miitadin., de 29 50 à 20 75 ; Wé gros, de 19 75 à 20 fr.; avoine, ae 10 75 à il 25 ; orge, dé u à 12 fr. ; maïs, de l!7 25 a 18 25 ; haricots, de 40 à 4ô fr. ; fèves, de 16 50 à u> 75 ; esiparcette, dé ta à 12 fr. ; vesces, de 22 à 23 fr. le tout l 'hectcflltTe. tirâmes. — Luzerne, do 140 à 1&0 fr.; trèfle, de 80 ii 90 fr. ; pommes de teiire, de 13 à 13 50, le tout les 100 kilos. Stourrages. — Foin, de i 50 i 4 75 ; luzerne, de 25 à 4 75; saAiïfoin, de 3 75 à 4 25 ; paille, de 3 à 3 SB, le tout les 100 kilos.. Marché à la volaille. — Dinidons gros, de 18 a 10. fr.; dindons ordinaires, de 15 à 18 tr. ; dindes masses, do M à 18 fr. ; dimides ordinaires, de 12 à U fr. ; oies grosses, de 13 à 15 fr.; oies maigres, de ',0 à 13 fr. , poularde?, de 5 50 à 6 25; poules, de » 75 à 7 25 ; poulets de grains, de 4 75 à 5 25 ; petits Boulets, de 3 75 à 4 75 ; cbatpons, de 7 à 9 fr.; pinÀitles, de 5 à 6 fr. ; canards ordinaires, de 4 à 5 fr.; (lignons parisiens, de 2 25 à 2 50 ; pigeons communs, fa 1 23 i 1 75, le tout la ,paire ; laipins de rep.ro(Jaction, de 2 50 à 3 50 ; laipins domestiques, de i 75 à 2 25 la pièce ; les œuifs, de 0 80 â 0 85 la lousaine. Marché alux cisons. — Oisons, do 3 50 i 4 50; ;&n«tons mutlands, de 2 25 à 3 75 ; canetons comw*ns, de l 25 à 2 fr. le tout la paire. Hisole. A£a.nch*. — Voinal les cours pratiqués : Italie aux grains. — Blé, de 23 à 23 fr. ; avoine, .2 fr. ; 'maïs, de 16 50 à 17 fr. ; seigle, 16 fr. ; orge, (6 f r. ; haricots, de 40 4 50 fr. ; pommes de terre de « .i 9 fr., le tout l'hectolitre. maeo à la volaille. — Poules, de 5 à 6 f r. ; pou'«la. de 2 50 à 5 fr. ; dindes, de 9 à 12 fr. ; dnindons de M à 14 fr. ; eliaipons, de 9 à 11 fr. ; piintades, dè 6 à 8 fr.; le tout lia paire ; pigeons, 1 25 ; lapins le 1 50 a 2 fr. le tout la pièce ; œufe, o 80 la douzaine. Marché couvert. — Oisillons, de 1 75 5. 2 20; canards mu.la.rds, de 0 70 à 1 fr. ; canards communs -de o 60 à 0 75 le tout la pièce. Nouveau foirail. — Bœufs de travail, de 900

j

TARN-ET-GARONNE

Molières. La foire du 2 juin, dite de Sain^Glalr, est une des plus linttWptanjtes do l'année; cette fois encore,^ n'a pas démenti, sa vieille réputation, bien queue ait té dérangée, dans la soirée, par un violent orage. Une nombreuse jeunesse so pressait dans MB n» et sur nos places, et les affaires traitées ont été très considérables. Voiici les cours pratiqués : Marché aux bestiaux. — Bien garni et vente facile a des prix élevés. Viande de boucherie. — Bœufs, d'o 40 à 46 f r. ; vaclies, die 3» à 40, 'le tout les 50 kilos; veaux, 1 10; moutons, l fr., lo tout te kWo. Animaux de labour. — Bœufs, de 1,050 à 1,250 fr. ; vaches, de 900 à 1,1,00; génisses et tauriilons, de 400 à 650, le tout la paire. Pores gras, 70 fr. les 50 lilllos; porcelets, de 25 a 50 l'un, suivant grosseur et qualité. Plan» à la volaille. — Bien garnie et baisse légère. Poulets, 1 fr. 10; pintades, 1 fr. 20; poules. 0 fr. 75; canords, o fr. 70, le tout lo J kilo; lapins, de 1 fr. 26 à 3 fr. l'un. <Euifs, o Ir. 85 la- douzaine. — Cerises, 0 fr. 30 le kilo ; fraises, 0 fr. 25 te panier. Haaile aux grains. — Blé, de 21 a 22 fr. les 80 kil.; fèves et mais, 16; orge, 1»; seigle, 15; awoine, 10 50; sorglho, 1.1 ; haricots, 35, te tout l'hectolitre. Son, 7 25; repasses, 8 50, le tout les 50 kilos. .MonclaaM.le-Que.rcy. Marché hebdomadaire dnui 1" juin. — Voici les principaux cours pratiqués : Animaux de boucherie. — Bœufs, de 42 à 4 fr. ; vaclies, de 36 à 40; veaux, de 52 a 55; moutons, de 45 à 48, le tout les 50 kilos. opoids vif: nourrains. de 50 à 70 fr.icoehons delait, environ 150 d'amenés, vendus de 35 a 45 francs la pièce.

Fruits.

Ce rill^ro contient encorne : la magistrale conférence î^te peur André Eeauinier sur Lu-' aide de GhatP^uibiiîïUidj. — Une étude littéraire signée Firmln Poz, SOT le nouveau livre de Gabriel Uanotaux : « Jeanne d'Arc » ; Une pittoresquo page de H. de Bruguiéro sur les - pigeons patriotes » ; Une étude de François Goppce, « A la Mémoire de Paul Verlaine », t|owt on vient d'inaugurer lo monument à Paris ; Des « Poésies » signées Verlaine ; Une page do Gliaiteattibj'iûndi sua' « Jeanne d'Arc dans l'histoire et dans la littérature » ; Un article très curieux de Raymond Passillé sur « : Le Chien i, à l'occasion de l'exposition canine qui vient de fermer ses portes ; la passionnante nouvelle : « J-.es Yeux de l'Espion », par François de Dion, ©te. La « Revue Française » paraît chaque 1 semaine sur 32 pages. Un an, 10 fr. LA numéro, 25 .centimes. — Etranger : un an, 13 fr. 60. Le numéro : 30 centimes. Rédaction et administration : 17, rue Cassette, Paris. — Belgique : Un an, 10 francs. Bureaux à Bruxelles,' 6, rue d'Assaut. (Bibliothèque choisie). Pour 1 franc, la « Revue Française » délivre des abonnements d'essai d'un mois donnant droit à quatre magnifiques numéros de 32 s pages illustrées. Demande spécimen contre 0 fr. 10. * -

TRANSPORT DES BESTIAUX DE LA REGION DU MID! SUR PARIS iL&s départements de la Hauta-Garonn.p, de l'Ariège, etc., malgré leur éloignement fournissent au marché de Paris un nombre important de bestiaux. En vue de développer et do faciliter ce trafic, à partir du 1" juillet prochain, quand ces bestiaux seront amenés à Montauban par. le train de marchandises Midi 1110, la Compagnie d'Orléans mettra en marche au départ de.Montaufoan, le mardi et le samedi, un train de marchandises correspondant à Brive avec le train epécial de bestiaux qui a lieu régulièrement ces deux jours de la semaine et arriva à Paris le mercredi et le dimanche matin. Ainsi les bestiaux partis le lundi et le vendredi des gares de l'Ariège pourront être à Paris dans la matinée du surlendemain de leur départ et se refaire dans les écuries en attendant leur présentation au marché de la Villette du jeudi ou lundi. Le tarif P. V. 101 actuel soumis à l'homologation aura en outre pour effet d'abaieser sensiblement le prix de transport des bestiaux de cette -région sur Paris. C'est ainsi qu'un wagon chargé de 72 montons de Foix à Paris-bestiaux qui paie actuellement 217 fr. 05 ne paiera plus que 195 fr. 00.

ilBUOGRflPblE LA BONNE CHANSON Toujours Mêle à son excellent programme d'éclectisme, la revue rie Théodore Botrel vient de faire paraître un numéro particulièrement attrayant, dont voici le sommaire : Au Son du Biniou, La Mère-au-Pain, Pauv'tit Gâs ! par Théodore Botrel ; Chanson du Champagne, par Xavier Privas ; Mes Bœufs, par Yves Le Stanc ; Le Circuit de l'Ouest, par Dominique Bonnaur ; Bonjour, Suzon ! p8.r Marcel Legay, Chanson de printemps, par Louis Tiercelin ; Berceuse, par W.-A. Mozart ; Les Coffrets, par P. du Marchey ; Parabole des blés, par Louis Mercier ; Les Champs, monologue de J. Jouy ; Les Chasses du Président Roosevelt, monologue par René Buzelin; Gratte-Ciel, par X. Granier ; Dans la Vallée de la Semoy, par Th. Renauld ; La Voulzie, par Hégé&ippe Morea.u ; Soir en Ardenne, par André Fage ; Aimez votre Prochain, comédk* en un acte, pour jeunes filles, par Aiv dré Xhenal ; La Chanson en Champagne, étude par Guillot de Saix. Prix du numéro : 1 franc. En vente partout. Raippelohs que la collection complète de La Bonne Chanson, formant trois gros volumes illustrés, est en souscription avec l'abonnement en cours, au prix de 55 francs, payables francs par mois, ou 48 francs au comptant. Cette magnifique collection ne comporte pas moins de 600 chansons, monologues et pièces de théâtre. Pour plus de détails demandez le prospectus spécial à la maison de La Bonne Chanson, 8, rue Saint-Simon, Paris. REVUE DES DEUX MONDES, 15, rue de l'Université, Paris. — Prix de l'abonnement : Paris, un an, 50 fr.; six mois, 26 fr.; trois mois, 14 fr. Départements, un an, 5G fr.; six mois, 29 fr.; trois mois, 15 fr. Etranger, un an, G2 fr.; six mois, 32 fr.; trois mois, 17 fr. — Les abonni'aments partent du. 1er et du 15 de chaque, mois. Livraison du Sommaire du 1er Juin 1911 I. Ma Figure, 2e partie, par Claude Ferrai. M. La Genèse du Génie du Christianisme. — I. Les Orisines et la Jeunesse de Chàteaubriarwl, par M. Victor Giraud. III. L'Enfant, par M. Henry Joly, de l'Académie' des Sciences morales. IV. La Légende de Zoroastre, par M.Edouard Schiurré. V. MénéMik, par M. Robert de Caix. VI. Craintes et Espérances pour l'Art aux Salonfi de 1911, par- M. Robert de la Sizeranne VII. Un Salon allemand au temps du Romantisme, par M. A. Bossert. VIII. Poésies, par Mme la baronne Antoine de Briment. IX. Revue Musicale : Le Voile d.u Bonheur, Gwendolino, à l'Opéra, par M. Camille Beilaigue. X. Chr-om<-'e de la Quinzaine, Histoire Politique, par M. Francis Charmes, do l'Académie française. XL Bulletin Bibliographique.

Le âîner de la Revue HeMomadaire

Ces abonnement» comportent, en outio du trajet d'aller et retour à ces cotes avec arrCts intermédiaires facultatifs, la lacultc do circuler à volonté sur les lignes des Cotes hua et Nord de Bretagne ; ils sont valables J.î jours avec faculté do prolongation d'nno ou deux fois d'un mois moyennant un supplément no 25 % du prix initial pour chaque période, sans quo la validité puisse en aucun cas dépasser le 15 novembre. , ,„ ,v Le prix des cartes d'abonnement est do 80 francs en 2» classe et de «0 francs en 1™ classe, lorsque la distance pour les parcours (aller et retour) n'excède pas 1,000 kilomètres en dehors des points do libre circulation. Au-delà de 1,000 kilomètres, le prix est augmenté de 0 fr. 045 et de 0 fr. 065 (en 2» et 1" classes} par kilomètre en sus. . „„ ml Des réductions allant jusqu'à 50 % sont consenties en faveur, des membres d'une même famiiBe. CHEMIN DE FER D'ORLÉANS Ce qu'on peut visiter en France en empruntant les lignes du réseau d'Orléans

r.e réseau d'Orléans, situé au cœur de la France, dessert la riante Tour-aï ne, si rlctio en monument» et en souvenirs historiques (mois, Chambord. Amboise, Clitnonceaux, Loches, etc..) Par la bello région do la vallé-o de la Loire. 11 conduit à Angers, Nantes, et a la Côto Sud d'une Bretagne ancienne aux plages réputées (La Baulo, lo Pouliffuen, Quiberon. Belle-Ile, Concarneau. Douarnez). * Au centre de la France lo réseau d'Orléans permet do visiter l'Auvergne aves ses Iralehcs vallées et ses stations thermales (La Bou.rboule, le Mont-Dore, Le Lioran, Vic-sur-Cère. etc...) ou encore les merveilles naturelles des Gorges du Tarn et du Qi?ercy (Roeamadour, Gouffre do Padirac, Grottes de Lacave). Au delà enfin, par les grandes lignes de Bordeaux, d'un côté Toulouse, de l'autre, qui sont aussi les routes d'Espagne et du Portugal, il donne accès à la région des Pyrénées. Les beaux paysages de montagnes ainsi quo nombre de stations thermales (Luc-hon, Cauterets, Les Eaux-Bonnes, Lamalou, Amélie et. Vcrnet-les-Bains, etc..) et lés grandes stations thermales, balnéaires ou hivernales de Pau. Biarritz. Saint-Jean-de-Luz, etc.... ont consacré depuis longtemps la célébrité des l>yrénées.

Jeudi soir, au Carl-ton-Hotel, aux ChampsElyséep, le dîner de la Revue Hebdomadaire a été une véritablo fête littéraire. Parmi les deux cents convives qui ce pressaient autour de M. Fernaml Laudiat, nous avons noté la présence de MM. Paul Bourget, Jules Lemaitre, comte d'Haussonville, Maurice Donnay, G. Hanotaux, R. Poincaré, de l'Académie française, professeur Branly, Pienre de la Gorce, Henri Joly, Edmond Pcrrier, Paul Leroy-Beaulieu, de l'Institut, Bartbom, Pierre Baudiii, Doumer, ancien» ministres, Honri Cochi-n, J. Belatosse, députée ; J. -Charles Roux, majorai du Félibrige, ancien député ; général Bonnal, A. Lichtenberger, Eïneet Daudet. P. de Nolhac, Ch. de Poniairols, Camille Bellaigue, Henry Bordeaux, Paul Acker, Paul Adam, Mgr Baudrillart, recteur de l'Institut Catholique de Paris, J.-H. Rosny, comte .d'Eltoée, bâtonnier Chenu, Fune-k-Brentano, C^h. Le Gofflo, R. ValCHEMIN DE FER D'ORLÉANS l'ery-Radot, Marc Sangnier, André Hallays, , G. Desi&hamps, de Lanzac de Laborie, .Geoffroy ^ La Compagnie des chemins do ter de Paris à de Grandmaison, etc., etc. Toulouse était re- : Orléans a l'honneur de porter à la connaisprésentée à ce banquet par M. Guy de Montbel sance du public que le Guide Illustré de son et notre collaborateur Armand Praviel. réseau pour l'Jll est actuellement mis en venAu Champagne, M. Gavoty, président du te, au prix de 0 fr. 30 dans les Bibliothèques conseil d'administration, a remercié aimable- de ses gares, dans ses bureaux de ville et dans ment les invités de la Revue Hebdomadaire. les principales agences de voyages de Paris. Puis, M. Fernand Laudet s'est adres£é a ses Il est également adressé franco à domicile collaborateurs. l'envoi préalable do 0 tr. 50 à l'Admi« L'année dernière, dit-il, M. Jules Lemaitre, contre nistration Centrale, 1, place Valhubert à Paaprès, nous avoir mis dans l'intimité de Rous- ris. Bureau du Trafic-Voyageurs (Publicité). seau et avant de nous faire entrer bientôt d-ans Ce Guide, de plus de 320 pages, illustré de celle de Chateaubriand, nous avait peint la nombreuses gravures contient, en outre d'un figure du sentimental a.potre du pur. ameu-r. certain nombre de plans et de cartes, les renCette année, c'est Molière qui a remplacé seignements les plus utiles pour le voyageur Fénelon et c'est M. Maurice Donnay qui a pris (description des sites et des lieux d'excursion la parole. en Touraine, en Bretagne, en Auvergne, dans » Quelle bonne fortune. Messieurs, pour une-: les Pyrénées et le Centre do la France, horairevue qui croit à la culture classique et qui res des trains, principales combinaisons de n'entend être moderne qu'en restant fidèle aux tarifs, etc.) Humanités (longs applaudissements), quelle bonne fortune que de sertir dans son cadre le beau portrait fa.it par Donnay de notre CHEMIN DE FER D'ORLEANS plus grand homme de théâtre ! Lecteurs ou auditeur,.?, avec quel intérêt nous avons suivi celui qui a si bien .su confondre-la vie. et l 'œuBILLETS DÈ LIBRE CIRCULATION vre de eon personnage, qui nous l'a montré Pour les plages des Côtes Sud de Bretagne -grandi et meurtri par l'existence, trahi dans son domestique, en butte aux calomnies de ses adversaires, et aux « actions fâcheuses » de Pour répondre au désir des touristes qui se ses amie, mais répondant aux attaques et aux soit de faire un voyage d'excursion perfidies par des chefs-d'œuvre et nous lais- proposent, les Côtes Sud de Bretagne sans programsant l 'exemple d'un formidable labeur et d'un sur me arrêté d'avance, soit de s'installer sur une effort incessant, vers la vérité. » plages dé la côte et de rayonner de là Après avoir parlé de l'Enquête sur les Minis- des sur les autres localités de cette région si vatères publiée dans la Revue Hebdomadaire et riée et si' intéressante, la Compagnie d'Orde la série de .nouvelles' intitulées le.- Banquet léans délivre chaque aimée, du jeudi oui préet ouverte par Paul Bourget, M. Laudet a cède la fête des Rameaux, au 31 octobre incluconclu ainsi : .' . . ' ', ' sivement;, au départ de toute gare du réseau, « La mer est immense », nous, disait ici, il y; des billets d'abonnement pour bains de mer a quelques années M. Hanotaux, en nom in- et excursions sur les plages Côtes Sud do Brediquant l'étendue possible de nos navigations.; tagne, dont les prix sont fixés ainsi qu'il suit : Combien il avait raison de stimuler ainsi nos 1° Au départ de Paris et <l3 toute gare du efforts, car ce n'est certes pas pour l'homme réseau située il 500 kilomètres au plus de Saune tristesse, mais une consolation de sentir venav : l re classe, 100 fr.; 2° classe, 75 fr. sa vie plus courte que sa tâche, et d'être assuré 2° "Au départ de toute gare du réseau située d'avoir toujours un élément à son activité \ t plus de 500 kilomètres de Savenay, les prix » C'est sur cette pensée encourageante que ci-dessus augmentés, par chaque kilomètre de j'aime à finir, Messieurs et chers Collabora- distance en plus de 500 kilomètres, de : 1™ teurs., en levant mon verre en. l'honneur des classe, 0 fr. 13« ; 2° classe. 0 fr. 09072. nobles ouvr/ers de lettrée qui ont-bâti la Revue$ Validité-'-: 33 jours avec faculté de prolongaHebdomadaire. » tion. M. Maurice Donnay va répondre à M. LauRéduction pour les familles variant de 10 à det : 50 %. M. Donnay détache les mérite.;- de la revue. « Comme Pallas-Athèné, elle se pare des plus belles épithètes : hebdomadaire d'abord (rires) VERITABLES traditionnelle, novatrice, hardie, mesurée, disciplinée, indépendante, hospitalière, éclectique, et par dessus tout française, allègrement, PURGATIFS — DEPURATIFS — ANTISEPTIQUES vaillamment, profondément française, et c'est pour cela qu 'elle n'est que pessimiste. » Et M. Donnay termine après avoir fait l'éloge de la brièveté imposée par le format de. la revue, et s'être spirituellement moqué de la prolixité. M. Paul Dou.mer a terminé, la série des toasts, au nom des personnalités, qui ont pris Employez le FORMOSOL de part à l'Enquête sur les Ministères. Et la soirée s'est prolongée encore - assez longtemps,, préférence à la VRAIE NICOau- son de la musique, autour des tables de TINE TITRÉE : c'est un inseccafé, mêlant, comme dans les- page.~ de la ticide plus puissant et bien Revue, les personnalités les plus-' diverses, moins cher. Ajouter 500 gramréunies par le culte des lettres. mes de FORMOSOL par hectol. de bouillie bordelaise ou bourCHEMIN DE FER D'ORLEANS guignonne, ainsi qu'aux bouil-

***

« LA REVUE FRANÇAISE », politique et littéraire hebdomadaire illustrée. — Paris 17, rue Cassette. « La Question Marocaine », qui est plus que jamais à l'ordre du joui-, est admirablement exposée, dans la « Revue française » du 4 juin, par M. le lieutenant-colonel Rousset, ancien ' député.

Abonnements individuels et de famille pour les côtes Nord et Sud de Bretagne .Afin de permettre aux touristes ainsi qu'aux familles de s'installer sur une des plages de Bretagne et de rayonner de là sur les autres localités de cette région si variée et si intéressante,, la Compagnie d'Orléans, d'accord avec les chemins do fer de l'Etat (ancien réseau de l'Ouest) délivre du jeudi oui précède la fête des Rameaux au 31 octobre inclus au départ de toute gare .station ou lialte des deux réseaux (lignes de banlieue du réseau de i'Etat, anciennes lignes de banlieue > de la Compagne do l'Ouest exceptées), des abonnements individuels et de famille de lre et 2' classe i>our les côtes Sud et Nord de Bretagne (Gares des lignes du Croisic et de Guérande à Brest et de Brest à Granville par Lamballe, Dol et Folligny et des lignes d'erfv branchevent vers la mer.

Sfonfaudran (Pont des nomoi.s.'llci).- — Aller : matin, 8 h.; soir, 5 11. — Kctour : matin, J Ji.: Sun-, ù li. Saint Martin -dtt-Toucii, -- Aller : matin, 0 D.j 11 h.; sotr, -i h.; 7 li. - Retour : matin, 8 li.; soir, 1 11.; (i 11. ; 8 11. Coloinlei's. — Aller : main, 0 U.; 11 11.; soir, i h. Retour : matin, 7 h. 1/2; midi 1/2; soir, :> h. 1/2. Braquevlllo — Forlct. — Aller : matin, fl h.; midi; soir, i, h. — Betoor : matin. 7 h. 1/2; soir, l h. 1/2; 5 11. 1/2. Tous les dimanches auront lieu des départs suppléunentatres ! Pour Blagnao (par l'KmbciicJiu.ie), a 8 U. matin. — Pour Blngnao (par le Polyg-xie) a 5 li. soir. — Pour Salnt-.Ma.nin-du-Touc.il. à 2 ncurtf. — l'our Lafoarguetto, i 2 heures. . _ , Lieu do départ 4M omnibus : p.**ce du Capltole. LIGNES £U;CTIU0.UE8

Semaine E. — Place du Capitoio a Croix-Daurade (pont do l'Hors), chaque heuro dans chaque sens. - Aller : 0 h., 7 )l., 8 h., 0 h., 10 h.. 11 h., midi, 1 D., 2 h., 3 h., .1 h., 5 h., (i h.. 7 h., 8 h., 9 h. - Ketour : 6 h. 30, 7 11. 30, 8 h. 30, 9 11. 30, 10 h. 30, 11 h. 30, midi 30, 1 h. 30, 2 h. 30, 3 11. 30. 4 h. 30, 5 h. 30, 6 11. 30, 7 11.30,8 h. 30, 9 h. 30. N. E. — Place du Capitoio a Lalande-Aucaïuville, chaque 40 minutes dans chaque sons. — Aller : & h., 6 H. 40, 7 h. 20, 8 11., 8 h. '.0, 9 h. 90, 10 h., 10 11. 40, 11 h. 20. midi, midi 40, 1 h. 20, 2 h. 2 11. 40, 3 h. 20, 4 11., 4 h. 40, 5 h. 20, 0 h., C h. 40, 7 h. 20, 8 il., 8 h. 40. — Retour : e 11. 40, 7 h. 20, 8 h., 8 h. 40, 0 h. 20, 10 h., 10 h. 40, 11 11. 20. midi, midi 40, 1 h. 20, 2 h., 2 h. 40, 3 11. 20, 4 h. 4 h. 40, 5 h. 20, 6 h., G h. 40, 7 h. 20, S h., H il. 40. 9 h. 20. M' E'. — Place Escpiirol à Saim Agne, chnquo heuro dans chaque sens. — Aller : 6 h., 7 h., S h., 9 h„ 10 h., 11 h., midi, 1 h., 2 h., 3 h., 4 h., 5 h., 6 h., 7 h., 8 h., 9 h. — Retour : 0 h. 30, 7 h. 30. 8 h. 30, 9 h. 30, 10 h. 30, 11 h. 30, midi 30, 1 h. 30,

3.

I). 30, i 11. 30. t h 30, 7 8 h 30 3 11. 30, U h. .'10. T' E'. — Placo Esqulrol a Lardcmre. cliaqu* Ufini. I heure danfl chaque sens. — Aller : 0 h., o h ;:o. i , 7 II. 30, 8 il., 8 II. 80, 9 II.. U II. 30. 10 11.. 10 h 3(j! 11 a., il h. M, midi, midi 30, l h., 1 h. 80, > n 2 II. 30, 3 II., 3 11. 30, '. Jl., 4 II. 'M. 11., h 30. li h." 0 11. 30, 7 11.. 7 11. 30, 8 11., 8 Jl. 30, 9 11. - llotour : 4 0 II. 30,7 11., 7 II. 30, 8 11., 8 11. 30, U 11, 9 I). 30. 10 tl„ 10 11, 30, 11 11.; il 11. 30, midi, midi 30, 1 II., I II. 30, '< h., 2 11. 30, 3 h., 3 h. 30. 4 h., 4 11 30, ., h., .. h 3.0. « 11., 0 tl. 30, 7 II., 7 h. 30, 8 h., tt h. 30, 9 h., 9 h. 30 '/ E. - l'I.vo l-'.squiiMl a Saint-Simon, cliaque minutes dans cJwujue seus. Aller : « h., 0 b. 45, 7 h. 30, S h. 13, 9 h., 9 11. 45, 10 11. 30, 11 h. 13. midi, midi 45, 1 Jl. 30, 2 h. 15, 3 h., 3 11. 45, 4 11. 30, 5 11. 15, 0 11.. 0 h. 45, 7 11. 30, 9. h. — Retour :0 II. 43, 7 h. 30, 8 11. 15, 9 h.. 9 11. 45, 10 II. 30. 11 h. 15, midi, midi 1 h. 30, 2 II. 15, 3 11., 3 h. 45, 4 h. 30, 5 h. 15, 0 11., tl h. 45, 7 h. 30. 8 h. 15. 9 h., U II. 45. Services supplônicnulres pour Jes dimanches ot fétes : J. E. — A partir do 1 heuro après-midi, dans chaque sens, départ chaque 15 minutes. N. E. — A partir de i heure après-midi, dans chaque .- enK. déliait chaque 'J0 minutes. M' E', - - A partir do 1 heure apres-midl, dans chaque sens départ chaque 15 minutes. I" E'. — A partir de 1 heure après-midi, dans cha-, quo sens, départ chaque 15 minutes. Z. E. — A partir de l heure après-midi, dans cliaquo sens, départ chaque 22 minutes 30". Le dernier départ aura lieu : J. E. — Do la placo du (..apitoie, 9 h. 30; du pont do l'Hars, 10 il. soir. N. E. - De la place du Capltole, 9 h. 20; d'Aucamvilio, 10 heures soir. . ' • M' E' - De la place Esquirol. 9 h. 30; do Saint-

A^,V° "T E

^De'lfplace Esqulrol. 9 h. 30; de Lar-

. - Dou? pîace Esqulrol, Simon, 9 h. 13 soir.

9

heures; Ue Saint

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Omnibus-Tramways de Toulouse Service, d'été a partir du lundi 3 avril 1911 : LIGNES DESSERVIES PAR OMNIBUS A CHEVAUX Blasn-ac (par le roîyganc). — Aller : matin, 11 h.; soin", 7 li. — Retour : matin, Midi; soir, 8 Jl. Jilagna.c (par l'Embouchure). — Aller : matin, C 11.; soir, 2 h. — Retour ; matin, 7 h.; soir,-3 h. Lafourgiiettc. — Aller ; matin G h'. ; lû 11. ; soir. 7 11. — Retour : matin, 7 II.; 11 11.; soir, 8 h.

déclare souscrire un abonnement de

à dater du

Le soussigné s'engage à payer la somme de

............a

contre un mandat, qui

sera recouvré par les soins de l'administra lion des Pontes, quelques jours après la souscription.

(Signature de Vabonnè.l

Imprîmeria spéciale

Le aérant : Amédée BESSON • i ——nmw

Feuilleton du 6 juin 1911

PAU

William Wallacc Cook Adaptation de E. Pierre Luguet CHAPITRE PREMIER X L'INTRIGUE SE NOUE

Il attendit vsn& réponse, mais la réponse H3 \ iint pas. - - Je crois pouvoir vous donner espoir, Moins i un* Hendcrson : je désire qw Misa Travis se consacre .presque oxelusivcinent aux L-a vaux du laboratoire ; quand pJWrrez-vous commencer ? — Tou t de suite. Trte bien. Je pense que vous trouve] « z facilement à vous loger ; pour le péstc, Mis.s Travis vous mettra au cornant nsw LVX .H«. moi. Vv li : iMflo su lova, et so dirigea vers la , , *;'' -'« VÏ'"'MI.:».L <«<> sortir, Use retour tsa, s adressaint à Am.y : Jevais ailler ohoa Mimr.l nnt» ,.,-„,„ une sottise cru© jo vis : figurfez-vous q.u.> j'ai âsodh4 \- 3in«« grimpeur au petit aveugle, et leloivin qui prie au sourd-muet 1 Il se mit il rire et dit en sortant : . — Cela arrive parfois ; nos faveurs -ont appréciées beaucoup moins qu elles . le devraient, à cause des imvues J que 1 iK neui commettons en lee accordant 1

Lorsqu'il eut passé Le seuil, Am-y s'é- 1 lança et -le suivit des yeux un ban moment. — Il est étrange, sœur, dit Tom Travis, mais bon garçon ; pourquoi ne me félicites-tu pas ? La jeune fille vint à lui, s'appraya au dossier de sa chaise, et lui passa les bras autour du cou. — Pourquoi as-tu fait oela,Tom ? Pourquoi ? Et le mécointenitoinamt perçait dans sa voix. - Quoi, petite fille, d'avoir obtenu un© ce i ci ? - Oui, et donné uin faux nom ? - Il est inutile de me bombarder de tes irquoi, répondit-il avec bonne humour,, jo n'ai pas l'habitude d'avoir do secrets pour toi, Amy, je ne commencerai pas an.jouii'd'hui. — Si notre more était ici, Tom., pourra is-lu la regarder sans rougir ? A ces mots, lo jeune honnn© montra quelques signes d'impatience. — Quelle femme tu os ponvr voir tout de sui te les choses on noiir ! J'ai été très léger, jo l'admets, mais je n'ai rien fait qui justifie co Visage chagrin, cet air désolé ! Voyons, soeur, regarde-moi avec g'aiebv ou, jo regretterai d'être venu ! Elle- vin t s©,placer en face de lui, mais garda son air sévèn — 11 faut, m'oxplirj.uor ce rfito tu lo piroprosss, Icn-, m mie nv,-l,|.a,nt dams celte

plus causeai de peine à personne, surtout à loi ; et si j'ai donné un faux nom, c'est que jo ne veux devoir ma position qu'àmon seul mérite ; c'est tout, sur ma parole ! Phfut ! tu f ais une montagne d'unoi taupinière I — N'est-ce pas plutôt parce que tu étais honteux ou que tu craignais- de révéler? ton véritable noni ? demanda.-t-elle d'une voix pénétrante. * — Qu'est-ce que tu vas penser ? dit-il duremen t ; qui peut te f aire supposer une pareille ohoae ? — Ceci 1 Amy tira -de sa poitrine le médaillon qu'elle y tenait caché. — Où as-tu trouvé cela ? s'écria-t-il au comble do l'agitation. — Si tu étais à Phœnix, Tom,, tu as certainement entendu parler du vol qui a été commis ici ? — Certainement ! Mais quel rapport ce médaillon peut-il avoir avec le vol ? Amy lui dit dans quelles circonstances lo médaillon avait été trouvé par elle. Pendant ce temps, Tom s'était un peu

— Une telle coïncidence paraît trop tude et, par un effort énergique, il se resétrange pour être possible ; je croirais saisit ] ses traits se détendirent et s' éclaiplutôt qu'un des bandits, celui qui avait rèrent. Il prit la main de sa sœur. trouvé le médaillon, l'a laissé ici dans — Pardonne-moi, dit-il, mais sais- tu l'intontion bien arrêtée de faire porter les pourquoi Whipple ne voulait pas me laissoupçons sur moi. — Oh ! Tom ! murmura la jeune fille ser venir ici ? — Je ne peux le comprendre et j'en qui voyait pioiur la première fois l'événement sous un- nouveau jour, si tu savais éprouve une grande amertume. — C'est pour cela que tu tenais à ce combien la découverte de oc médaillon que nous quittions la Golden Eagle ? m'a coûté de nuits blanches ! — Oui. — Je -m' imagine combien ta as dû te — Bien, ce point éolairei, je pense, torturer avec cela ! S'arrêtant devant elle, il la rcgairda moi, qu'il vaut mieux rester, dit Tom avec pitié et posa une mata sur son délibérément. épaule. — Mais songe dans quelle position je — Pauvre petite fille, je te plains d'a- vais me trouver 1 Jo saurai toujours que voir un frère dont le passé autoiriso une tu n'es pas celui que lu parais être ; et pareille supposition I sois sûr que M. Whipple le découvrira A ces mots, les lampes contenues mon- avant qu'il soit longtemps. tèrent aux yeux d'Amy. t — Laisse-moi faire : Whipple, s'il est — As-tu parlé à quelqu'un de ta trou- l'homme que je crois, me jugera sur ce vaille '1 quo jo ferai, et non sur mon pas.'-'é. Un — A personne, sauf à M. Whippile. faux nom. me facilite l'entrée datas la cair— Pourquoi le lui as-tu dit ?... La voix rièro : orois-moi, cela vaut mieux ainsi ! de Tom tremblait visiblement. La nature droite et loyale d'Amy ré— Je ne sais pas moi-même pourquoi prouvait tout ce qui ressemblait à de la ressaisi. i — Pau- Jupiter ! frappant son genou de je le fis : j'avais gardé ce secret trop long- duplicité ; mais elle craignait, on opposon poing fermé, c'est surprenant comme li nips, je no pouvais plus le supporter, sant _ une trop longue résistance aux volontés de sou frère, d'aggraver encore la les choses arrivent quelquefois! J'ai et puis j'avais besoin d'un conseil. — Et c'est, VV hippie que tu as choisi situation, et dût-elle en souffrir, elle ferperdu ce médaillon à Phœnix, il y A un meirait les yeux sur cotte peti te su permois, j'en étais navré et.j'ai tout, fait pour pour cela ? le retrouver. Et tu l'as découvert ici, dans L'anxiété était écrite sur le visage du che rie qui permettait à Tom de se réhace bureau, le lendemain du vol ? jeune homme ,et c'est d'une voix hale- biliter et facilitait leur réunion. — Quo ponvais-jo penser, Tom ? tante qu'il ajouta : Elle garda sur elle lo médaillon, crailausso position. — Quo t'a-t-il conseillé ? — Tu aurais pu me faire bénéficier gnant quo Whipple ne découvrit la frau. Elle s» eonteneiit mais sa voix était d'un doute. — Il m'a conseillé de ne pas te faire de, s'il le voyait en la possession de Tom. ferma et décidée. L'ho-mnie qui a trouvé le médaillon, venir à la mine. —- Bien, je serai.. De même, elle ne parlerait pas à son çiuand tu l'os égaré, doit More un des vo— Il a fait cela ? s'écria Tom, et l'ex- frère do la découverte con cornant. JelEt s intorrom.pa.nt brnsquemont : Uni Coïlokk nco . fccouh'-moi, sœur, j 0 suis vertu ici pression avec laquelle ces mots furent frics; ce sentiment de réserve instinctif i ' frange il lo J ° V ht1u,r voir! eu ,XMn<*nt la. seule» prononcés était aussi brulnle que le re- élait-il dicté par la crainte d'exciter enjette 10 passe loin do rracri, je veux devenir gard qui l<es accom paginai t. Pendant un core le jeune homme, ou par le désir d'on tout ailt'Lre : j'ai pris la résolution rie ne lons'e^ !^ v* viv ^*** <* m*'"--»* 'te monronl, 1<« seul iiiu<H| ks violents qui agi- savoir davantage avant, de dévoiler ce ta.i «di'! aom Anna M refléièpacut de son atti- soonet ? Amy ne le savait pas elle-même.

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Le vieux Gonzalès n'ayant plus do chambre libre, il fut décidé que Tom coucherait dans un coin du bureau, et prendrait ses repas chez Mrs. Ganibei. Am-y eût préféré que son frère trouvât pension ailleurs ; mais il sut si bien persuader l'hôtesse qu'elle acquiesça d assez, bonne grâce à sa- demande. , , Dès quo ces détails eurent été règles, l 'instruction du jeune homme commença par le travail routinier de chaque joui;. Amy s'aperçut alors, — Torn ayant du enlever ses gants, — que sa main droite était entourée d'un bandage ;• il s'était déchiré la. main quelques jours avant, expliqua-t-il, mais cela n'était rien et ne reinpêcherait nullement de travailler. Alors commença pour la. jeune fi lis un apprentissage pénible : parler à son frère comme à un étranger, éviter tout ce qui pouvait trahir cette situation exceptionnelle,' était très difficile, et lo plaisir de l'avoir près d'elle compensait a pemo la crainte de se trahir. , . Elle pensait à tout cela la nu il suivante, alors que. le sommeil la fuyait obstinément, à cela, et à d 'autres choses. Whipple avait-il donné un double sens aux paroles prononcées, par lui en quittant lo bureau V Peut-être la comédie jouée liaison frère ot pan- otlc-inénie n'abusa it-eHe pas le directeur ? PeTPt-ôtre avait-il deviné que Tom était son frère ?••• PfiM" être, aussi bien llx> |nil:ll! , ,| „-.„ r ùU' " Ces pensées lui étaient intolérables, et bien qu'elle n 0 pût se convaincre de. la olairvoyancr de Whipple, le s>,ii|ieoji restait en elle, tenace, inquiétant. {A suivre\

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LE NUMÉRO 5 CENTIMES

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Edition du matin spéciale a Toulouse

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ANNONCES pO* RÉCLAMES — RÉCLAMES (3« p«gc) . LOCAIliS. . . . ,

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Mardi 6 Juin Mil. - 21* Année - N* 6,762.

A Paris, la grève des taxi-autos et tîes tramways tîu Nord a pris fin. VétJiïnes a remis son départ pour Rome à demain. D'autre part, Vidait, parti d'Orîobello, a atterri à Rome. On a découvert sur le parcours que doit suivra le sultan, se rendant à Salonicjue, quarante-deux kilogrammes de dynamite. Le lieutenant aviateur Bague est parti de Nice pour effectuer le raid Nice-Corse. Le comité de la grève internationale mariti me a commencé à Londres une conférence de trois jours pour examiner la question. On affirme que le chef de cabinet du minis tre de la guerre serait le général Delétoiie commandant la 83° brigade d'infanterie à fours.

La commission sénatoriale chargée de

«lire une enquête sur la liquidation des

quée au coin du bols no donne pas aux apaches le gain qu'ils avaient prévu, donc, c'est la victime qui cet coupable. Pour un peu, c'est eMo qui serait taxée de vol. La plaisanterie est tout de même un peu forte. Les f rancs-maçons du Bloc s'imaginaientrils vraiment que les religieux dépouillés des biens qui leur appartenaient légitimement n'auraient tenté aucun effort pour se défendre con tre leurs spoliateurs ? On sa.it que nos politiciens sectaires ne sont pas d'une intelligence remarquable, mais on leur faisait l'honneuir de croire que leur crétinisme n'atteignait pas un tel degré. A moins que ce ne soit qu'une diversion pour tenter de masquer les gabegies des liquidateurs. Mais la tentative se produit trop tard et rien ne saurait sauver les vrais coupables. Leurs noms, d'ailleurs, s'étalent tout au long dans le rapport de la commission sénatoriale dont l'existence même constitue un aveu, puisqu'elle n'a été créée que pour enquêter sur les dilapidations des liquidateurs. Il faudrait, pour qu'il en fût autrement, rayer de l'histoire de cet acte de brigandage des noms et des incidents, tels que celui de M. Duez et de magistrats sur lesquels M. Combes lui-même s'est prononcé en termes aucunement équivoques. ... En tête de ces malfaiteurs, cette histoire placera M. Waldeek-Rousseau qui, pour allumer les convoitises des masses populaires, leur .promettait, dans son discours de Toulouse, « le partage du milliard des congrégations ». Ce fut le signal de cette chasse aux moines et aux religieuses, de ce pillage de leurs biens qui devaient servir de premiers fonds de caisse pour les retiraites ouvrières. Aujourd'hui, an constate que la caisse est vide. Les voleurs ont été volée, autant dire qu'ils, se s'ont volés eux-mêmes.

congrégations a, comme nous l'avons dit, adopté le rapport de M. Régismainset sur les opérations effectuées jusqu'à la fin de 1908. Ce rapport nous révèle la faillite d 'une liquidai-ion dont M. Waldeck-Rousseau avait fait luire ks résultats aux yeux de la majorité pour obtenir d'elle la chasse aux congrégations. Un milliard ! C'est avec ce chiffre fantastique qu'en s'est rué sur les biens des religieux, qu'on a dépouillé des milliers d'hommes et de femmes, qu'on s'est emparé de leurs res^ sources après les avoir jetés dans la rue condamnés à l'exil et à la misère. Un milliard à voler et à se partager, quelle aubaine ! Ce fut un hallali général : liquidateurs, hommes d'affaires, avocats politiciens, dont plusieurs ministres qui avaient voté la loi de spoliation, se précipitèrent vers le pillage. Et ce fut un beau pillage, au dire du rapporteur Du milliard il ne reste plus que 37 millions. L'aveu en est fait officiellement cette fois par ceux-mêmes qui avaient con couru par leurs votes à cette œuvre de confiscation. Ils reconnaissent dans un document public que le naufrage de leurs convoi tises est absolu. Les dépouilles ont à peu près disparu elles se sont fondues et les dernières miettes « grignotées par les gens de justice » donnent un reliquat dérisoire. « Votre commission d 'enquête, écrit M Régismanset dans son rapport, a pu voir s'évanouir et s'effriter le milliard des con grégations évalué par l'enquête de 1900 S'acharner à recueillir les débris du naufrage, rogner de ci de là les frais et honoraires exagérés, arracher les dernières miettes grignotées par les gens de justice, à cela presque se réduit le rôle de vos commissions : sauver quelques milliers de francs quand ils voient disparaître les millions ». Et ces sommes arrachées, après avoir été volées une première fois, à la rapacité d'autres pillards servirout à peine « 'à fournir des pensions, secours et hospitalisations aux con. .ga^raniates infirmes eu âgés laissés aux soins de l'Etat par les congrégations dissoutes ». Là se bornent les doléances et les flétrissures du rapporteur à l'égard de ceux qui ont travaillé au naufrage des espérances des spoliateurs radicaux Par contre M. Régismanset ne déco-

6 lm dT/*17 " qui, dit-ul, sont parvenues à soustraire leurs personnes et leurs biens aux lois votée* aux liquidations ordonnées ». Que ne sont-elles laissé faire ? On n'a Ornais v-î vraiment des victimes opposer S tell* résistance aux entreprises des vot'ùi* ! Le rapporteur n'en revient pas • " ' ' « Parfois, dit-il, la congrégation im puissante doit subir la liquidation inais ciamme il faut que l'actif dispa-aUc. à tout prix, 15, 25, 30 congréganistes engagent 15, 25, 30 revondi cations ; m piemière instance, en appel, en cassation, le liquidateur a gain de cause, im ;s 'les plaideurs congréganistes ont disparu ou sont insolvables. Les fra's rlrces amernbrables procès restent à la charge de In liquidation dont l'actif fond et se rôflu; a rien.

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« Dans cette lutté sourde ajoute-t-i] tes congrégations ont été admirablement servies par un comité de jurisconsultes dévoués et désintéressés ». Le mot fai image, rapproché des qualificatifs que le reporteur accole à ceux qui, chargés de «éteindre l'Etait spoliateur, se sont mis ou mêmes à gruger cet Etat et à s'enrichir fces dépens

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^» si lo vol n'a pas p,rodui ~-«ucu qu 'Q, a c,n attendait, c'est parce que m congrégations ont eu le mauvais goù a o ne pas mettre assez de complaisance a se laisser dépouiller. La victime- atta-

L'AVIATION MILITAIRE A TOULOUSE

La Coupe de l'«Espress Le Lieutenant Ménard espère arriver mardi matin à Toulouse

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Annonces et Réclames sont reçues dans nos Bureaux, rue Les Loquelame, 25. » Toulouse, et chez tous nos no Gorrespo.iiau.jH», M

FIL TÉLÉGRAPHIQUE SPECIAL

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à être le premier à saluer à son arrivée M. le lieutenant Ménard. , _ . Voici, du reste, le règlement de la Coupe de l'Express, tel qu'il a été arrêté par 1 Aéro-Uni) des Pyrénées et homologué. par l'Aero-ciub ao France :

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autrui tout ce que je désire et que peux pas payer. » M. le juge Va dit. Diable ! diable ! Ce vel axiome de droit me rend rêveur. vrai que je ne suis qu'un affreux geois. — Louis.

je ne nouIl est bour-

AlinO-CLVJB DES PYRÉNÉES. — COOTE MILITAIRE D'AVIATION.

«I, Le journal l'Express du Midi met à la disposition de l'Aére-Olub des Pyrénées une Coupe d'une valeur de cinq cents francs poui être attribuée au premier officier pilote-aviatenr qui, parti d'un point situe à plus do 100 kilomètres de l'octroi de Toulouse, viendra atterrir au Polygone. . IL Ce trajet de plus de 100 kilomètres devra tre effectué sans escale. III L'arrivée sera constatée par les commissaires de l'Aéro-Club des Pyrénées nommes par la Commission d'aviation de l'Aéro-Club de France. , , , j) iv. Cette Coupe sera courue sous les règlements de l'Aéro-Club des Pyrénées et de la A. L . V. Les officiers qui désireront courir cette Coupe seront tenus de prévenir le Comité de direction de l'Aéro-Club des Pyrénées trois jours avant de tenter l'épreuve.VI. Ils devront en outre télégraphier au pins tard six heures avant leur départ en indiquant l'heure probable de leur arrivée à Toulouse. » Fait à Paris, le 2 juin 1911. » Ed. SIRVEN, > Président de l'Aéro-Club des Pyrénées. >

CHOSES VUES

Les Emb^sqjyés

Aux gens qui, taquinés par la chaleur d'orage, se .sentent envahis par un désir de campagne, nous signalons avec empressement celle, très réjouissante et très pittoresque, entreprise par Gustave Téry, dans YŒuvre, contre le favoritisme dans l'administration. Souvent, les lutteurs isolés, francs-tireurs He l 'opposition, comme Téry et nous, tous ceux qu'aucune coterie n'a réussi à embrigader, sont traités d'énergumènes par:e qu'ils font du bruit, individuellement au lieu d'opérer collectivement. On met en doute sinon leur sincéri'A du moins l'exactitude de leurs affirmations, comme s'il fallait n'avoir point de passijns pour être véridique. Mais, cette fois, aucune discussion n 'est On le voit, l'exploit de M. le lieutenant Mé nord, venant de Pau 4 Toulouse par la voie permise, aucune contestation n 'est possides -airs, n'a rien perdu de ton attrait, même ble. après les sensationnelles arrivées de Morin De même qu'à l'époque des fiches, Guy et\le Védrinee. de Villeneuve accabla ceux qui nia'-; ît N'oublions pas, du reste, que M, le lieutenant l'avancement par les voies maçonniques Ménard conduit un biplan Formai), et qu'il a dans l'armée, de même les optimistes [uî \ son bord un passager, M. le lieutenaiv croient en la pureté des mœurs administraannamite Do-Huu, de la légion étrangère. Ce sera la première fois qu'un biplan volera tives seront obligés de s'incliner devant los vers Toulouse, à travers la région du Sud documents ci-cohtre. Ouest, et l'appareil de M. le lieutenant Ménard Malheureusement, chez nous, lorsque les sera le premier aéroplane portant deux voyagens s'inclinent devant les révélations faigeurs qui vienne atterrir dans notre ville. Hier, dès la première heure, nous nous som- tes par l'opposition, ils n'offrent qu 'uno cible plus commode aux coups de pied de» mes transportés an Polygone d'artillerie qui, en attendant la création d'un aérodrome à Tou- nos maîtres. louse, est l'endroit affecté aux atterrissages et Aucune révolte ne les anime, aucune, inaux envolées des aviateurs. dignation ne les saisit ; on fait : « Ah ! » C'est là, en effet, dans ce vaste champ, que puis, on dépose son journal, on sourit béale vaillant officier nous arrivera du SudOuest et viendra se poser, avec la rapidité tement et on se rendort. Personne ne se fait le raisonnement que d'un oiseau, vision courte et fugitive, mais dont l'impression demeure inoubliable pour voici : les charges dans l'Etat sont le- prix tous ceux qui ont vu, en de pareilles circonsdes services rendus non pas à une faction tances, l'oiseau mécanique d'abord point noir provisoirement au pouvoir, mais à la Naà l'horizon, puis gigantesque rapace au Vol tion entière. Ces charges constituent une lourd, en enfin fabuleuse machine fumante et hiérarchie dont le parcours est soumis a bourdonnante se posant sur le sol avec une des règlements: définis qui ne relèvent point légèreté d'insecte. du caprice personnel, niais sont l 'honuèt* Vainement hier, avec quelques curieux, nous avons attendu cette vision dans le Poly- expression d'une juste garantie. Don?, lorsLES LIEUTENANTS MENARD ET DO-HUU gone désert où, il y a quelques mois à peine, que des politiciens profitent de leur passage grouillaient et vibraient les foules au spec- aux affaires peur nantir leurs amis et leuiB Toulouse est-il un terrain d'atterrissage fa A. F» AU PECH-DAVID, taclo de? hommes oiseaux. .Le tenrps était parents de fonctions, d'emplois administracile à reconnaître ? De notre envoyé spécial : splendide, un léger vent d'autan secouait à — Le Polygone a déjà servi à des épreuves Pau, 5 juin, peine la cime dés arbres, mais le nid est resté tifs, ils commettent un vol plus scandai m que celui du pickpocket qui prend la monJ'ai trouvé à mon arrivée à Pau, la ville d'aviation. Vous le reconnaîtrez facilement ; vide. L'oiseau n'est pas venu. mais prenez garde de ne point le confondre endormie. tre d'un passant pour l 'offrir à sa femme. Notre rédacteur en chef recevait en effet, avec lo champ de courses qui se trouve Après les minutes émotionnantes de l'atterdans l'après-midi, ce télégramme de M. le lieuCependant, nulle loi n'interdit ce trafic côté. » rissage 'des deux officiers aviateurs, le lieutetenant Ménard : nulle protestation ne vient entraver l' ixes Mais déjà le lieutenant Do-Huu a repéré le nant Ménard et son passager le lieutenant a Pau, 5 juin. cico de celui-ci : bien mieux, il est entré si CARTES POSTALES DU MAROC annamite Do-Huu, du 1" étranger, la popula- Polygone sur sa carte. Le consciencieux ob » Arrivé hier soir Pau ,- compte repartir avant dans les mœurs que nul ne soute détion paloise attend paisiblement lé départ des servateur assure qu'il ,ne se trompera pas. mardi matin pour Toulouse. Avez-vous reçu une carte postale du Maroc ? — Cependant, ajouté le lieutenant Ménard sormais à s'en étonner. » MÉNARD. » Il en arrive maintenant tous les jours, en- deux intrépides voyageurs. vous seriez bien aimable de demander que l'on Le temps est beau et favorable. Si aucun On trouve, absolument naturel que les dévoyées par nos braves soldats qui sont là-bas changement ne se produit, l'énvoîôe du biplan m'allume, au milieu du polygone, un feu d Ainsi donc c'est aujourd'hui mardi, aux pre- putés blackboulés, que les filleuls, les nedéfendant notre drapeau. paille faisant beaucoup do fumée et qu'on l'en aura lieu demain mardi, dans les meilleures mières heures d,u jour, que l'intrépide officier veux, les cousins ou les fils de par! La plupart de ces cartes, nous n'avons pas tretienne jusqu'à mon arrivée. Au reste, si je aviateur s'envolera de l'aérodrome fameux de besoin de le dire, ont été faites à Paris par conditions. taires soient .pourvus de grasses sinécùfij reste en panne, je télégraphierai à Toulouse Le biplan du lieutenant Ménard est un FarPau pour gagner la vallée de la Garonne et deo industriels prévoyants. On y retrouve nos aux dépens du peuple français. dès l'ouverture du télégraphe, à 7 heures. Je man. sans stabilisateur avant et gouvernail enfin Toulouse, point terminus de l'étape. braves troupiers à toutes les étapes suivies M. Fallières veut marier sa fille ? Il signe de profondeur et de direction à l'arrière., Il vous promets de demander que l'on ne néglige Comme c'est la coutume des. aviateurs, M. le par les corps expéditionnaires, mêlés aux inpus de vous donner cette indication fort utile. un décret nommant son futur gendre lieutenant Ménard partira aux premières heua 11 mètres d'envergure et 7 mètres de londigènes. Quelques-unes de ces cartes, il est . — Et quelle route comptez-vous suivre pour res du jour, c'esl-à-dire entre 4 et 5 heures rier-payeur général à Versailles, air, :n> vrai, ont un peu vieilli, car elles lurent fabri- gueur ; il présente une surface de 24 mètres atteindre Toulouse ? du matin ; c'est le moment le plus propice pointements de -19,255 francs... carrés. Il est muni d'un, moteur Gnome ôO HP. quées à l'époque de la première expédition, — D'ici à Tarbes, intervient le lieutenant Son poids transportable est de 270, kilos. au vol, l'atmosphère étant relativement calme Ses titres '? A été secrétaire particulier dCj mais ceux qui les reçoivent n'y regardent pas au lever du soleil. L'appareil occupé à l'aérodrome "de Pau le : Db-Huu, nous 'suivrons la grand'route, évide si près, tant ils 6 .ont heureux de recevoir différents ministres, puis du président d< tant de faire avec le chemin de fer le crochet Deux cents kilomètres environ séparent Pau hangar n" 1. des nouvelles d'un .père, d'un fils, d'un fiancé. la République, c'est-à-dire a été n i, En attendant l'heure émouvante du départ sur Lourdes que vous connaissez. A partir de de Toulouse. 11 fout compter une moyenne de d'emblée dans l'administration fiscale et s< deux heures de temps pour franchir cette disde Pau pour Toulouse, le lieutenant Ménard Tarbes, nous suivrons la ligne de chemin de LE PATRIOTISME CHINOIS tj< tance, à supposer que M. le lieutenant Ménard voit octroyer cinquante mille francest allé se promener en automobile dons les fer. Rien n'est plus intéressant à constater que — Comptez-vous, mon lieutenant, passer une ne fasse pas escale en route. environs de la ville. rente, du jour au lendemain, passant pàï les progrès de l'esprit militaire et patriotique Le vaillant officier peut donc arriver au Il faut ajouter que les bruits les plus con- journée ou deux à Toulouse, comme vous dessus tous les pauvres bougres qui. depuh en Chine. Il se fait une évolution lente, qui Polygone entre 6 et 7 heures du matin. tradictoires et les plus divertissants ont l'avez fait ici ? vingt ans, peinent, suent, gravissent péril est bien loin encore d'avoir transformé la C'est là le minimum de temps prévu, en couru tout aujourd'hui à travers la région, au . s— Je ne peux pas. Si le temps est favorable, blement les échelons de la hiérarchie e Chine en une puissance forte comme le Japon tenant compte des meilleures conditions atsujet du départ du lieutenant Ménard et de je repartirai le soir même, vers 5 heures, qui mais qui ne doit pas être négligée. s'usent le derrière sur les ronds de cuir de est une heure où le vent, terreur des aviateurs, mosphériques. Mais, en tout cas, à moins de. son passager pour Toulouse. Un des récents symptômes de cet esprit nouministères. panne ou d'accident, M. le lieutenant Ménard Des dépêGhes arrivant d'un peu partout ont se calme toujours un peu. Je voudrais atteinveau est le succès des corps de volontaires du biplan des deux offi- dre Narbonno demain soir et y passer la nuit. arrivera à Toulouse dans la matinée. Nelson Lanes, frère du gendre, n 'éta'l crées a Shanghaï par les marchands de cette signalé le passage 1 — Cependant, la population toulousaine auL'Express sera heureux de lui remettre la avant l'heureux mariage de Jean-Joseph lie. Leur apparition date de 1906. Deux ri- ciers à Lourdes et à Tarbes ! rait le plus grand plaisir à vous conserver une Coupe qu'il a créée pour le premier aviateur On voit que rien de .tout cela n 'était exact, Edmond, que fllateur dans le Lj.i-et-C...imi ches commerçants chinois, M. Yu Ya Ching le grand oiseau repose encore," à journée on deux dans ses murs. Ne pouniezmilitaire atterrissant dans notre ville et la ne. Comme petit souvenir des ûoees il rt •1 ^• t u., p ' n 'SShu, fondèrent une Société dont puisque l'heure actuelle, sous son hangar de l'aérovous pas ajourner votre départ de Toulouse population toulousaine saura acclamer comme o but était de développer la santé par des drome do Pau. Et ce n'est que 'demain, com- .m moins à mercredi matin ? il le mérite M. Le lieutenant Ménard, en asso- çoit le tUre d'administrateur de ui '.lan.j .i exercices physiques. C'était en somme une Ottomane, au traitement de irente mlf me nous l'avons dit, qu'il prendra 60n vol ' ,— Ce serait avec, le plus grand plaisir, mais, ciant son nom à celui des intrépides aviateurs Société de gymnastique. francs par an. qui portent au lo-m la renommée et la gloire vers Toulouse, qui réserve aux courageux comme je vous l'ai dit, j'ai à rattraper le temps Peu a peu, le caractère militaire de l'assodu pays. Mais M. Fallières n 'a pas que des gor ciation s'est accentué, et elle a pris le nom officiers qui le montent l'accueil le plus chaud perdu on route. Avec l'aéroplane, on n'est jaA. C .ma>is maître de son temps ; mais je tiendrais dres, il a un lllloul, M. Cassaga -'.u. On U et le plus enthousiaste. s mm &, vo ltaires commerçants ». En *awtant que possible à partir de Toulouse dans donne, pour ses étrennes, un poSkC de l rt 1910. elle ne comptait encore que 350 membres Ce que dit le lieutenant Ménard H soirée. rier-payeur général dans l'Oise, c 'est -à dirfc i elle en a près de 1.000 au-moixl'hui "t on SIMPLES NOTES Pau, 5 juin, 6 hëùfees soif. — Les Toulousains le regretteront certaineCO 1 t l Me!llt0t elle :i:î ,'iS3 francs de rente, auquel on : pui!.- h; Lo lieutenant Ménard, qui est arrivé ici hier ment. T ^ v^n '?t ™ra -1-000 adi^nte Les^volontaires reçoivent leur uniforme • ils soir, sans .être attendu, est enchante du ma- } titre d'administrateur du Crédit Foncier, ;— Les Toulousains sont trop aimables. lom 1 exercice à la Japonaise et sont instruits guillque voyage qu'il a effectué de Croix- t soit 20.000 francs par an. Le fils de ce filleul ; — 11 ne me reste donc plus, mon lieutenant, par des Chinois qui ont été dans des écoles à Pau. qu'à vous souhaiter bon voyage, était chef de cabinet de M. f ro-iillot .il HMhtaires au Japon. Leur éducation militaire d'Ilins Son appareil, qui se ressentait des fatigues il— A demain matin, 3 heures, Monsieur. Renattend son bénéfice. est a peu près -complète en six mois. d'une longue randonnée et l'avait laissé mal- ojez-vous à l'aérodrome. » M. Du pré. Jules, qui n'a jamais, lu- non On espère fonder des corps analogues dans heureusement en panne à Ambarôs, estdemouSi jamais vous allez à Chicago, je vous -Et le courageux aviateur, qu'entourent de la plupart des villes commerçantes chinoises veau tout à fait au point. Le vaillant officier m, est. conseille, mes bons amis, de faire attention plus, appartenu à l'administrai nombreux officiers de la garnison de Pau, et organiser ensuite une grande revue de tous nommé, en 1900, percepteur ù Neudly : il compte effectuer d'une seule traite le trajet à vos parapluies. Car il y a là-bas un juge nous dit encore sa joie et son espoir d'être à les corps de volontaires. touche de ce fait. 21,264 francs par an. Ses Pau-Toulouse, suivant en cela l'exemple du Toulouse dès la première heure. de paix particulièrement indulgent pour les Il y a quelque temps, une représentation fut Morin et de Védrlnes. Le lieutenant aviateur titres ? M. Dupré est le premier mari de la organisée a un théâtre chinois de Shanghaï filous qui ont la spécialité de faire les riG. G Cheurin, qui convoie ses camarades en autopremière femme de M. Caillaux. ï'- ur < 1 teau bénéfice des volontaires : la salle était flards. mobile, a passé avec eux la matinée à Pau. nir sa bienveillante neutral'té. après le, dipleine et l'enthousiasme fut tel que les assisA TOULOUSE Ce magistrat qui, de Vautre côté de l'eau, L'après-midi, le lieutenant Ménard est allé vorce, ne fallait-il pas le désintéresser dons tants jetaient sur la scène des bijoux et des : L'annonce de l'arrivée du premier aviateur joue les Magnaud, vient de nous adminispièces d or. Le titre de la pièce jouée est des en automobile reconnaître la rôuto aiix enviune large et convenable mesure .' militaire a produit à Toulouse l'impression trer la preuve que dans la Libre Amérique, Tons de Pau ; puis, il s'est rendu a l'aérodroplus significatifs : Comment un patriote doit Joost Van Vollenlioven est né à Rotter(pi'on était en droit d'attendre. me, où le moteurjie son appareil a été mis en aimer son pays. comme chez nous, la claudicante Thémis s'adam, Hollande. Il avait, par conséquent et Le public, dont l'attention a été un moment marche pour une dernière mise au point. Tout musc parfois aux dépens des pauvres bourNous ferons bien de surveiller l'évolution distraite par les gigantesques épreuves interde naissance, le goût d'un fromage ; on le i est donc prêt pour quo le voyage, de Toulouse au patriotisme chinois. nationales Paris-Madrid, Paris-Rome, n'en suit geois. nomme secrétaire général des colonies, co s'effectue dans les meilleures conditions. En deux mots, voici Vhisioire. .pas moins avec intérêt cette randonnée silenJ'ai vu le lieutenant Ménard à son rëtour UN VETERAN Un citoyen de Chicago, désireux de ne qui lui vaut une petite prébende do 18,l.h0 cieuse, modeste et régulière, que M. le lieutede l'aérodrome. C'est un officier il l'allure francs par an. La villa d'Eichstcctt, en Bavière, vient d'inaunant Ménard a entreprise en faisant le Tour pas se mouiller un vilain jour de pluie, énergique, mais plein du sang-froid qui est, la U vme Emile Merwart, né à Lemberg, Autriche, 18TO 'iV ' "\°r !lt f1- ses morts de la guerre avait arboré un superbe pépin. L'excellent qualité la plus nécessaire à l'aviateur mili- de Frar.ce. 1.870-71. 1!Rendons, justice aux Bavarois les étant né hors de France, a grr.iô 5a vn :a« homme, pas défiant pour deux sous, n'a vétérans, qui assistaient en corps a cette céré- taire. C'est l'ancien adjudant. Ménard OUI se tioh des voyages au long cours ; rien do. distingua au cours des .manœuvres de Picarnullement tenu compte du conseil donné die. Ses exploits d'aviateur lui valurent los gaplus facile, il est protégé par M. Méline e| ç<i.is mou «ans cette ville en 1S71 nt Uo c„„t dans toutes les langues par la sagesse des allés sur la tombe, au cimetière, POUr y depo- lons de sous-lieutenant à la promotion de jan. on le fait aussitôt gouverneur de la Lîuj ane, nations. Iiewàre of pickpockets 1 vier dernier. hcr uiie large couronne de lauriers ornée d'un aux appointements de 20,000 fran s n T an. Son parapluie a tenté la coupable conSon camarade, lo lieutenant Do-Iluu, est naruban tricolore, avec l'inscription suivante Les parents de Jean-Edme-Fcrni ni Gaa* amac fmn ais l turalisé français depuis l'âge de huit ans 11 voitise d'un de ces pickpockets qui lui non ÎT < - ™ -^rans tret se désespéraient. A trente ans. i! n'asort do Saint Cyr et sert dans la légion étranpitt .j, Jie voulait pas se mouiller. Un, deux, ( at s a £f ^;; i , ' Pp,e^.it J<an Pierrard. La France gère, mais au titre français. vait pu encore passer son bac - i c • eit. trois, le parapluie disparait, non plus ne 1l 'oublie' " pas ! — Je suis heureux, ai'-je dit au lieutenant Qu'allait-on faire d'un pareil ennv ! — Au voleur I Ménard, de saluer le premier officier qui va colonies excellent à préparer les iruib» On arrête la victime du larcin. L'affaire arriver à Toulouse par la voie des airs, et ga„ „ LA CHASSE secs -. gouverneur de la Guadeloupe Jean* êlt instruite. Les débats ont lieu devant 14 gner ainsi la Coupe créée par l'Bxpreès du M. Pâme ministre de l'agriculture a délà Bdave Fernand a vécu sans fatigue nvtie \> s tribunal de liarrisson-Slreet. Le vol est Midi, envoyé à tous les préfets une v W vinr.l mille francs que loi allouait lit! .puavoué. Le juge rend son jugement, et, stuv r — Je suis ravi moi-même. ; mais j'ai été, }e blique, i m* W \Ùiï" ^' T*' sa »s. retard leurs avis péfaction, il absout le violé dans le plus vous l'avoue, un peu ébahi quand j'ai appris ftiu ,es dates les plus opportunes d'ouverture Mais lisez vous-même la liste .pie nous magnàiuh's'quc des jugements. Savourezque j'avais celle Coupe à gagner, comment 1 do a chasse dans leurs départements. reproduisons. Tout commentaire en ; fuimoi ce considérant : un a reçu lee rapporls les nl.us otitimiai^ aucun officier aviateur n 'est doue encore arMirait, l'éloquence. Il faut parcourir eog rivé à Toulouse î n Un homme a une sorte de droit à voler clea officiers forostiore snr l'étn t du gi Wer i es — Pas encore. Nous avons ou de très beaux couvées ont été, cette année, «tc©ffi« vvSs 'un parapluie quand il ne. peut le payer et colonnes pour se rendre compte Je ro tiuî vols do Morin et de Védrlnes, niais la. popureprésente, on 1911, la République Eraffl que partout, et on prévoit une atondanee qu'il pleut ; mais qu'il n'y revienne, pas. lation de Toulouse n'a encore jamais eu la extraordinaire de perdreaux. Quant aux li,': Cha nous, Prud'homme, avait dit : « La çaise. joie de voir un de nos vaillants ofllelern pî lovres, jjfl pullulent dans nos forêts. La eécheBaudelaire en mit la vision aiguë lor&j propriété, c'est le «ol. » Le mot a fait son i esse ou printemps a beancoup favorisé cettt tos, le serais heureux do lui annoncer dans petit tour du monde. Les nouvelles eouehes que, prophète? comme tous les poiti - il recrudescence de population gihoveuse quelles conditions vous comptez effectuer ce écrivit ces vers, un peu naUirnlis maUl voyage. judiciaires de l'Amérique ne sont pas en «e«e ,a question deE récoltes " ausrnielVs combien précis : la 4*te d'OUvertu,^ — Voilii, Je M*TS un peu pressé, .l'ai perdu peine pour en faire la plus rigoureuse ap ae lnetel 01, rW8^HïïP^ beaucoup de temps en route et j'ai hâte de su,- nif ;i^ '„ 'f rM0 ^ R'annoneont. bien plication. Pour elles, rien n'est sacré pour sui l.l plus grande parue du lerr.itoire. rallier le camp do Chiliens. Je compte partir l..s mon .le -s ho inHannalrni «iir wntic milt i|« un voleur, pas même le parapluie, te puni h i,,., ,i ,,)f°, fe Won Pourra faire l'ouver- pour Toulouse demain matin mardi, dès le leD'où sortaient cUw noh* h.iiatiH n . ture dans les département* du Midi dès la pluie appartient à l'escouade sociale et tout ver du jour, vers 3 h. 1/i probablement. Je Ile larves ipil rouiUiuii rniiiiu.i un . . tl'Itltlle puis arriver à. Toulouse li partir de .'« ii u ÏH 'I';""'". soit le dimanche le monde a le droit de le chiper au voisin L» lonjr il' I-M vlv.vit* I i.i - ! *. MI .. 13, s,oit le jour de 1 Asrnmplion. Tout dépend des vents et. du tein-is que e. commença it-on hier a se préoccuper, Décidément les idées de mon vieil ami tau rencontrerai en route ; mais sons <<e ciel mer L'ESPRIT DU JOUR res font des progrès. Aujourd'hui ou non Oui, évidemment, sur tout enrp i -, d.des la- première heure, de l'arrivée de l avaveilleuv de p n n, et après la Journée de cha— Vous ettnuaieaeï la nouvelle : On va faire tenr militaire. prend le parapluie, et la justice estime que composition il v a .1. , . . qui lo roi». une .loi con tre les mystificateurde temps «feliae mt* nous venons de lient. L'Express, qui a offert nue Coupe d'une va- c'est très bien. Demain on nous volera nos S? .erser, on peut augurer nu tempe lavma~ ^rait-oe contre les liquidateure PR cu ! <1 aeB leur de M*) li-aurs au premier iiviaicur appar- habits et notre chemise, rt m, us n'aurons congrégations ? ^ " " N I . h '.i", '..Il Or p.. . loo-Jeiopi In Vl^ ,ie. On peut donc attendre mon arrivée entre tenant à l'année française qui touchera TOU" \ 4 h. 45 et 6 heures. A ce propos, le polygone pas le droit de protester quand le filou nom iourie, en y venant par & voie des ans, tenait aua . « J'ai une sorte de droit à prrndr* é

de

chos de partout

Attention â vos Parapluies

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MARDI S JUIN Idil

sociale h l'occasion de la grève des chemt-

Par Fiï Spécial

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°n "déclare aussi être l'auteur de l'orUC» intitulé : « A la conquête de la rue », nomsuivi pour excitation au meurtre et apologie de laits qualifiés crimes. ,n Hervé dit tenir à revendiquer hautement » responsabilité de ces articles ; il veut pre> tend-il. en obligeant la justice à Poursuivre un prisonnier, enfermé pour un article de journal, mettre le gouvernement et sa justice dans une posture odieuse, ou ridicule.

DÉPÊCHES

Ms.ftiîî

LE DUC D'ORLÉANS Londres, 5 juin. Mgr le Duc d'Or*léaûs a quitté Londres hier matin, se rendant à Bruxelles. Au télégramme quo lui ont adressé les «royalistes qui assistaient samedi à la réunion organisée à Paris par l'Action Française, a l'occasion de la Saint-Philippe, Mgr le Duc ^'Orléans a répondu : « Londres, i juin. » Très touché de l'adresse envoyée au nom des six mille royalistes réunis salle, Wagram; je les remercie de tout cœur des sentiments ex-

Les Retraites Ouvrières Paris, 5 juin. Dans une lettre adressée au Temps, M. Abc! Ferry, député radical des Vosges, se plaint des protestations que soulève la loi sur les retraites ouvrières. Voici les principaux passages de cette lettre : « Cet accueil méfiant réservé à la loi ne provient pas. seulement de ce qu'elle est peu connue, de ce que l'opinion y a été mal préparée, de ce que l'éducation des bénéficiaires de la loi n'a pas été faite ; cet état d'esprit s'explique aussi par une sorte de méfiance à l 'égard de l'Etat républicain. Un militant avisé me disait : « La loi n'eût pas, il y a quelques années, rencontré. la même mauvaise humeur. n Si c'est vrai, c'est grave, c'est lo crédit moral ot financier de l'Etat qui est atteint ; cela dénote un manque de confiance; une absence d'optimisme ; si l'homme pris au hasard dans la rue hésite à confier ses 'J francs aux caisses publiques, l'une des forces nationales, c'est la foi dans la signature de la France qui est touchée et c'est peut-être là le châtiment de ceux qui ont eu pour les hommes et les choses si peu de bienveillance... et même si peu de •justice que de voir aujourd'hui l'Etat récolter la méfiance ; et cependant, la santé des peuples c'est la confiance en eux-mêmes, une de nos forces de paix et de guerre, c'est notre crédit ; il n'y faudrait toucher que d'une main légère et faire autour de lui la trêve des •partis. »

Les Affaires La retraite de la division Toutes Paris, 5 juin. La retraite de la division Toutée suggère au Temps leé réflexions suivantes : « Les troupes françaises avaient été mobilisées sur ta frontière algéro-marocame pour attirer à elles une partie au moins des tribus qui assiégeaient Fez. » On espérait ainsi décongestionner la capitale : ce résultat n'a pas été atteint. Si l'on cherche pour quelle raison le but que l'on s'était proposé, en portant la division Toutée en avant, n'a pas été atteint, on croit la trouver dans le fait que l'offensive n'a pas été assez mordante ; le gouvernement, avait interdit de franchir la Moulouya ; il avait renoncé à faire usage du droit de suite qu'il possède incontestablement. » Dans ces conditions, rien de surprenant à ce que les Marocains, occupés à 180 kilomètres de là, se soient peu souciés du maintien sur la rive droite, de la Moulouya d'une force nombreuse mais immobile, bien armée mais impuissante. » L'occupation de Debdou, le bombardement de Guercif, sur la rive gauche de la Moulouya, et quelques engagements aux environs de Merada, tel est le bilan militaire de la division Toutée. » Lo moment est-il bien choisi pour ordonner cette retraite, immobiliser les forces considérables groupées auprès des gués de la Moulouya, dans l'attente d'une hypothèse qui no s'est pas présentée ? » La marche sur Fez n'a pas dû produire sur les tribus environnantes une impression de force désirable ; il est à craindre qu'elles n'attribuent à l'impuissance ce qui a été l'effet d'une prudence sans doute excessive et que faisant fond sur la faiblesse qu'elles nous supposent, elles essayent par des raids hardis à surprendre nos postes ».

li DËFENSfi DE L'ÉCOLE MlftliE Le Mans, 5 juin. Les instituteurs et institutrices de la Sar'ïfae. réunis en assemblée générale, après avoir pris connaissance de l'article unique du projet de loi déposé par M. Stoeg, ministre de l'instruction publique, concernant la défense de l'école laïque, et considérant que cette proposition laisse totalement de côté le contrôle des écoles privées, ont émis le vœu que le projet déposé soit modifié et remplacé par un nouveau texte, où l'entrée des écoles publiques de tout ordre serait formellement interdite, sous la sanction des peines portées à l'article 471 du Code pénal, à toutes personnes autres que celles qui sont désignées par la loi pour l'inspection et la surveillance des établissements d'instruction primaire.

Il y a

e7ct sont pour la plupart des ouvriers. PETITES NOUVELLES

Paris, 5 juin. La France militaire confirme quo le chef do 'cabinet du minisire de la guerre sera le général de brigade Delétoile, commandant la 83' brigade d'infanterie à Châlons-sur-Marne. Au ministère de la guerre, on. déclare que la Bhose est possible, mais que rien n'est encore fait ; aucune décision officielle n'a encore été •prise par le ministre de. la guerre, qui a passé Ja journée d'hier à Châlons-sur-Marne. On ajoute rue Saint-Dominique qu'il est probable que la désignation du chef de cabinet ne sera définitive qu'après que le général Goiran en aura fait part à ses collègues au cours du conseil de cabinet qui se tiendra mercredi prochain, sous la présidence de M. Monis.

0£S GREVES La grèva internationale maritime Londres, 5 juin. Le comité de la grève des matelots interna'ionaux a commencé hier à Londres la conférence de trois jours pour examiner les quesJtons de la grève universelle. Les délibérations sont privées, mais les secrétaires Havolock et Wilsons . annoncent, Siprès leur réunion, que le comité n'est encore Arrivié à aucune décision. Fin de la grève des taxi-autos Paris, 5 juin. La grève des taxi-autos a pris lin ce matin, conformément, aux décisions arrêtées par la 'chambre syndicale des chauffeurs de la Seine. Toutes les principales voies de la capitale .ont repris leur physionomie habituelle. Les cochers de fiacres, qui ont fait pendant ces deux derniers jours des recettes merveilcherchaient vainement leurs clients de rleuses, la Pentecôte. M. Fiancette, .secrétaire général du syndicat, B été reçu hier par M. Poirier, ministre de la justice. Le garde des sceaux s'est longuement fait expliquer les causes de la grève ; il a pa.ru i légitimité des critiques formulées ch: "ffeurs et a promis d'examiner, large bienveillance, leurs doléanLe secrétaire gênerai du syndicat aura incessammenc une nouvelle entrevue avec le ministre de la justice. Co matin, le Conseil d'administration du Kynxlacat a tenu une réunion à neuf heures à la Bourse du travail. M Fiancette a rendu comtpe des divers i.ncitents qui ont marqué la grève et s'est félicité S° \ union qui règne parmi tous les membres PS la corporation. La grève des tramways du Nord o Paris, 5 juin. Le travail a repris ce matin sur presque tous JgnfiS de !a Ccmpat'uiie des tramways i x J

A L'ETRANGER Dans les Balkans La frontière Turco-Monténégrino Cétygne, 5 juin. Le 1 juin, le poste Turc a fait feu contre le poste Monténégrine. Le gouvernement a fait de nouvelles démarches auprès de la Porte, car c'est là le second cas de violation du territoire Monténégrine par des soldats Turcs dans l'espace de peu de jours. Mirdites contre Turcs Cétygne, 5 juin. La tribu des Mirdites s'est révoltée et a attaqué la garnison turque d'Alessia. Les Turcs ont envoyé a son secours les garnisons des autres villes. Le Gouvernement proviisoi.ro a été formé à Oroshi, capitale de la tribu révoltée et l'autonomie Albanaise y a été proclamée. Le lieutenant Chevreau qui était resté en panne à Péage-de-Rousillon, près de Lyon, avant-hier, a atterri au champ de manœuvres. Après s'être ravitaillé en essence, l'aviateur est reparti à 7 h. 40 dans la direction d'Avignon.

Le Cinquantenaire Italien Le monument Victor-Emmanuel Paris, 5 juin. En réponse à la dépêche que lui avait envoyée le président de la République à l'occasion de l'inauguration du monument de Victor-Emmanuel, le roi d'Italie adresse h M. Fallières le télégramme suivant : «If. Fallières, Président de la République, Paris. » L'aimable dépêche que vous avez bien voulu m'adresser à une occasion si solennelle pour l'Italie m'a profondément touché ; très reconnaissant, je vous en exprime, ainsi qu'à la nation française et au gouvernement de la République, -mes remerciements les plus chaleureux, en vous assurant que vos sentiments de vive sympathie sont entièrement partagés par moi et par le peuple italien. » Je forme à mon tour les vœux les plus cordiaux pour votre • bonheur et celui de la Franco et vous prie d'agréer, Monsieur îe président, l'assurance réitérée de mes sentiments les meilleurs. . » VlTTORlO-EMMAJfrELE. »

Le Voyage du Sultan Monastlr, 5 juin. On fait des préparatifs grandioses peur l'arrivée du sultan. Mercredi, .on a découvert, dans un village voisin de KuffcBuJfe, sur le parcours que doit suivre le sultan, 42 kilos de dynamite avec un nécessaire d'armes.

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Gustave Hervé et la « Guerre Sociale

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Aéronautique DE PAU A PARIS

Courses de chevaux i A SAINT-CLOUD Paris, 5 juin. Prix du Manoir, à réclamer, 3.000 francs, 2.200 mètres environ. — 1. BeLoup, par Monsieur Gateicl et Heslone, à M. H. Blum (O'Neii} ; 2. Salvia, à M. M. Marghiloman (Bellliouse) ; o. Ben Saïd. à M. le comte Lair (Barat). Non placés : Violette II, North-Poïe, Rising Fox. Mutuel. : gagnant 07 50; placés : Heloup 31, Salvia 46 50. Prix de Verboise, 5.000 francs, 2.000 mètres environ. — 1. Walbudge, par Perth et Vina, à M. W. Flatman (Bellhousie) ; 2. Berceuse II, à M. Jean Stem (Ch. Chiidsï ; 3. Wyoming II, . à M. G.-P. Esbr.an (G. Bartholoiiiew). Non placés : Rosa Pompona, Eisa IV, Forma, Nazarena, Nona . Mutuel : gagnent 22 ; placés : Walburcre 13, Berceuse II 13 50, Wyouiing II 19. Prix Plying-Fox, 40.000 francs, 2.400 mètres environ. — 1. Bada.joz, par Gost et Gelested à M. Michel Lazard (Barat) ; 2, Bioumajou, à M, Millier (A. Woodland) ; 3. Dor, à M. M. Margh iloman (Beilehouse). Non placés : Tripoletle, M.oulins-la-Ma.rche, Marso, Ronde-de-Nuit, Seigneurio II, Templier 11. Mutuel : gagnant 36 50 ; placés : Badajoz IR, Rioumajou 22, Dor 21. Prix du Vieux-Pont, à réclamer, 3.000 francs, 000 mètres environ. — L Donadàeu, par Delannay et Dolorès, à M. André Bérard (Ch Çhilds) ; 2. Batailleur, à M. Edmond Blanc G. Stern) ; 3. Th. Baron, à M. H. La Montagne OLeary). Non placés. : White-Boy, Cappa. Franc-Picard, Galiiéenne restée au poteau Mutuel : ganunt 23 ; placés : Donadieu 16, Bafailleur 17 50, Th. Baron 17 50 Handicap du Printemps, 10,000 francs 1 600 mcotres environ. — 1. Ténor, par Grey-Piume et Ho.no.urd, à M. James Heninessy (Jonnin -oisl2. Gara.ncie-II. ô M. L. de Ro,mane't (J. Kellett); 3. Orme-du-Mniiï, à M. M. Calmann (Shai-pe).Non ptecés : Kiang-Hcnry, Pad:one-II, Gobette, Ta,ml )ouir -Majo.r-Il, Kaiser-H, Sir-Peter Virage, Sésame, Paeha-Il, Belle-Amie. Mutuel : gagnant 09 50 ; £iacés : Ténor 30 50 Goramce-II 52 50, Orme-du-Mail, 24. Prix de .Bue, 5,000 francs, 2,000 mètres environ. — f. Forio, par Regret et Fortia, à M. Achille Fould (Ch. €hfld») ; 2. Kom-Ombô, à M. G. Brossctte (J. Bartholomew) : 3. Cassin à M. A. Vell-Picand (Boveîla). Non placés : Ararat, Baillv-III, Chardeeler Quaml, Guy, Gouriand. . Mutuel : gagnant 49 ; placés : Forio 18, KomOmbô 30"50, Cassin 13 50.

juin. Po:-v:V . Le lieutenant de Malherbe est arrivé aux Renardières à 0 h. 35, suivi à quelques minutes d'intervalle par les lieutenants Ducouriicao et Prince tenu, venant de Libourne. Le voyage a été excellent ; les officiers se sont maintenue à une altitude moyenne de mille mètres. Ils repartiront demain matin pour Orléans. BEAU VOL DE DETOUR

Madrid, 5 juin. L'aviateur Dufour vient d'effectuer un superbe vol avec un passager du camp Carabaneel à Gétafe, Le vovage fut exécuté à une très gronue altitude, puis Dufour reprit son vol et s'en fut vers le cap d'Al+o-Cocorne évoluer au-dessus de, la campagne et des limites de la montagne, venant atterrir par un vol plané de mille mètres au camp de Carabancel . Dufour a vivement été félicité par le roi.

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acclamé.

Classement définitif A la suite du magnifique raid Vidait, le classement déilnitil Paris-Homo s 'établit comme suit : ; . „. 1. Beaumont, en 82 h. 5 m., a gagne a Nice 59.000 fr.; a Borne 50.000 fr. ; total, 109.000 fr. 2. Garros, en 106 h. 10 m., a gagné à Nice 25.000 fr.; à Home, 20.000 57; total, 45.000 fr. 3. Frev, sur monoplan Morane, en 132 h. 41 , a gagné à Nice 13.000 fr.; à Rome, 10.000 ir. total 23 000 fr 4. Vîdart, eii 170 h. 9 m., a gagné h Nice 10.000 fr.; à Rome, 10.000 fr.; total, 20.000 ir.

BULLETIN

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Du 5 jun. La pression barométrique devient très élevée sur presque toute l'Europe elle dépasse 770 mlLMimètres dans l'ouest des îles Britanniques. Valentia 773 millimètres, sur le Danemark et la Russie, Riga 772 miliUm^tr^. « T-a. déipresston d'Espagae passe sur l'Algérie, celte de rislarate s'éloigne vers le nord-est. Le vent est faible d'enlro nord et est sur nos côtes o.i la mer re.ste belle. La température a monte sur nos régions ; co matin le thermomètre marquait 10 à Bordeaux, 13 à Moscou et) à Madrid, 10 à Paris, 21 à Alger et U au mont Vcntoux. Il est tcaobé l millimètre d'eau au P.ic-du-Jtidi. En France le temips va rester beau et chaud.

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CHUTE DE DEUX AVIATEURS

. Madrid, 5 juin. A l'aérodrome de Gétafe un monoplan que pilotait l'aviateur Mauvais avec un passager a heurté des 111s télégraphiquee et a capoté. L'aviateur est blessé à la tête et seh passager au côté. Londres, 5 juin. Au cours d'un vol, ù l'aérodre-rns de Brockîands, l'aviateur français Latham a fait une chute ; l'aéroplane est tombé sur le toit d'un hangar. ; queloiies moments après, on vovait Latham oui grimpait sur los débris de l'aéroplane et- regagnait la terre : l'aviateur souffre du choc mais il n'est pas blessé.

Toulouse. ... Puy-ie-Dôma Pic-du-Midi Perpignan. ,

Bordeaux. .,

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^xw' autorités' ont vivemant compli monté [•avlalei ,r , i la foule l'a acclamé aveu entho-uatasme. . ,. i oprinee dé.iare ipi'i' a In il un . o-.-U Mil voyage, bien que le soleil l'ait un peu incommode , ,., \ 1<| uii, ,l 'i!;i:e eoiile-tale '.n a\Ce |e . ..nul.. local qui no veut pas le treconnaltne comone concurient du raid* Paris-Home, Leprinee u i.'-légrupliié a Paris et a ajourné son départ peur Home. La marche de Level Dijon, 5 Juin. L'aviateur Level. ayant répété son biplan, est parti ce malin, vers huit heures, de uevrev-Cliamberti.n avec son passager et a atterri à Dijon à 8 h. 26. 11 déclare abandonner Paris-Rome. Védrlnes partira demain Bue, 5 juin. De .nombreux curieux s'élaje.nt. %'iidu.s ce mutin, à Bu.-, dans l'espoir d'assister a la grande envolée de Védrlnes pour Rome. Védrine! ne vint pas. On .apprit (pie le gagnant de Paris-Madrid avertit décidé, 'très lard, qu'il ne parti rail, que demain matin .mardi, en raison de la fermeture, aujourd'hui, de nombreux bureaux télégraphiques, ce qui l'aurait empêché de prévenir sa maison au cas où urne panne où un incident quelconque viendrait l'arrêter au cours de son raid. Le lieutenant Chevreau Avignon, 5 juin. Le lieutenant Chevreau sur monoplan a atterri au champ d'aviation d'Avignon ce matin à 9 h. 1. Il a voyagé à une altitude de 500 mètres. Il ne, repartira que mardi matin dans la direction de Nice, son moteur ayant besoin de réparations. Le lieutenant Chevreau a été vivement

23.6 S. E. f.p. n. 11.9 S .E. a. f. b. â.SÎE.M.lS. I. b.

do Blay, .chevalier do la Lésion d'honneur. M. José pli de Gaulejae était accompagné par sk mère, in baronne die Gaulejae. M. rm .i.o de Liobej, vicaire-général de Mgt <] tiai 'i-alide, dans une touchante et délicat» allioeiiiU idéiini le mariage chrétien n biii l'OTivre lu. tdoircs roligleuscs et militaires d<* doux lainiliew. l i nrirt des pauvres a clé reçue.' H ie par' Mlle Jane de Blay, accompagnée de M . Jean de Gauî»j.ac ; Mlle Matliilde .de. Gaulejae, M. ltn'oei'i lléfiîird ; Mlle Marie de Blay, k tieu,tenan,t de Boisséson ; Mlle iiermamc <tu Boisséeoni, M. Emmanuel de Blay. On remarque dans rassistance : baron et baronne do Gauîejae, M. Henry de Blay, Mme. Cornet d," Bosch le vicomte de Oaulejac, M. Cornet de Bosch, Mlle de Blay, le baron de Blay de Gaix, Mme Niel née do Gaulejae, le capitaine cl Mme Compagne-, le marquis et la marquise de Boisséson, M. et Mme Paul de Gaulejae, M. et Mme Antoine de Blay, M. et Mme Edmond de Blay, Mine Hérjard, comte et comtesse de Boisséson, vicomte et vicomtesse de Boisséson, bnron et Maronne de Boisséson M et Mme Pierre de Boisséson, baron de Satot-Juîien, M. et Mme (lo I.avalette, Mme de Baymond-Calinzar, M. et Mme de Medrn.no. M. et Mme Mnraval do Boilnéry, M et Mme de Laforest, M. Niel, M. Charte* de .Saint-Julien, vicomtesse de Marsac, M. et Mine de Liobet, M. de Chefclebien, M. et Mme Estève de Bosch, M. François de SaintJulien, Mme de Marliave, Mlle d'Ax, M. de Bigaitd-Mauremont ; M. et Mme rte Vivie, M. de Pousse, M. Jean de Gaulejae, Mlle Mathilde de Gaulejae, M. Maurice rto Blay, Mlles Jane, Malhikle et Marie-Thérèse rte Blay, Mlle Germaine de Boisséson, M. Emmanuel de Blav, MM. Robert et Pierre Hériard. M. Arthur «le Blav. lieutenant de Boisséson, M. Henri de Lavaleite, Mlles Hélène et Henriette de Boisséson, Mlle de Lacroix, Mlles do Massia, Mlle Denise de Boisséson, M. GuiUiof. de Lagarde, M. Charles de Marliave, M. et Mme de Massia. Mlles de Sagariga, M. de Massia, Mlle* île Liobet, Mlles de Massia, Mme d'Heillo, M'. Leroi, Mlle de Vicie, Mlle Compagno. Qu'il nous soit permis de joindre nos compliments et nos souhaits de bonheur à ceux qui ont été déjà adressés à M. et Mme Joseph de. Gaulejae.

CHRBHIPE DE TOflLDDSE

23.8 14.6 0.0

!

Chancellerie de la Légion d'Honneur

TIMBRES-RETRAITE

(Ephémérides (Toulousaines S JUIN Saints du jour: Saint Norbert, Sainl Claude. Fêtes à soultaiter : Saint Stanislas, Saint Lié. Lever de la lune, 2 h. ?0 soir ; eoiicher4 1 h. 03 matinLever du soleil, /, h. 1', ; coucher, 7 h. 30. ^ IL Y A CINQUANTE ANS C JUIN- 1801. — Procession de la paroisse d» Taur. — M. Edmond de Planel est élu membre de l'Académie des sciences, inscriptions et belleslettres.

L'Ancien Grand Séminaire L'ancien grand .séminaire rto la rue du ïauï est un des monuments les plus vénérables de Toulouse par son antiquité, par l'hospitalité qu'il offrit pendant quatre siècles aux jeunes étudiants de la province périgourdinc d'après la fondation du cardinal' de Périgord, par la formation sacerdotale qu'y reçut pendant le siècle dernier le vaillant clergé du dio- ' cèse. Les lois récentes ont changé sa destination. Des constructions nouvelles le transforment. Une assemblée de délégués rte l'Université, rte membres de la Société archéologique et de la Société du Vieux Toulouse, a arrêté, de concert avec l'architecte de M. Tilhet, les mesurée propres à conserver, autant que possible, les traces de multiples souvenirs que rappellent la .maison forte des Maurand et les pieux établissements d'instruction ecclésiasitque. A l'angle de la rue du Taur et do la rue Pé- rigorrt, s'élève encore la puissante tour carrée des Maurand dont la salle du rez-dechaussée voûtée d'ogives, date des dernières années du douzième siècle. Les deux peii -e. fenêtres cintrées sur la rue Périgord maintiennent tson caractère et sa date. Il est probable que des jours analogues s'ouvraient sur la GrandlBue, comme on l'appelait au moven âge depuis le château Narbonnais, mais devant l'incertitude et la nécessité d'y voir plu," clair, la nouvelle fenêtre actuelle rie sera pas changée. Mais la grande fenêtre cintrée rte la salle du premier étage, rétablie au quatorzième siècle, sera rouverte sur toute sa largeur sur la rue Périgord. Sur la façade, les belles briques épaisses contemporain és de la tour seront délivrées du crépi, remises au jour, rejointoyées et leurs tons cuivrée paroles siècles reparaîtront sans être profanées à nouveau par la peinture rouge, si chère, hélas 1 à nos maçons actuels. On tâchera de conserver au moins les trace* de quelques dispositions anciennes, particulièrement do la porto gothique surmontée d'un are en accolade du quinzième sièclo, que l'enlèvement du crépi a l'ait réapparaître,

LE CHEVAL DE GUERRE

Cheval de guerre, qui doit aroAr lieu à Saumur los 17, W et 11) juillet prochain, dejvTont «re adressés a'u Secrétariat d« la Société. 43. rue de Lisbonne jusqu'au samedi 17 juta proebain, avant 6 lieiiTes du soir. ]> moment aipipmolm doiree où tons les propriéLa marche de Vidart taires et élfwwurs l»târev*t> dcmonl inscrire leWS r, • . Bo-me, 5 juin. dhevaus tpowr ce coucours qui est appelé à avoir, _ L aviateur Udarl, parti ce mutin d'Ortobello ce*.- armée, iui« importainco oxcepUomMlie, Sans nous olemd'ra suir les défaillis du proeMUOMÙ a , ii. >! est «rivé à l'aérodrome de Porlolii a 9 h. ta. 11 si. atterri iwuaseusement, après un •TIII HÉ» envoyé à tons cens qu lea feront la dejnwm.de. -53, ni» de LtAense, a Paris, notons rapimagnifique, vol pla.né. Lorsqu'il est descendu, son frère et, sa beîle- dement les innovations qui sigmUwrt le Comcoùts de Saumur en 101.1. sœur l'ont, longueinenit. cmlwassé • l'aviateur Tout d'aibord, il comporte une séricuso aagBMaqui était très entouré, si été l'objet d'ovations tatton C5.0DO francs soroni, distribués en pflPlw enthousiastes de la «part des eA>mmiss.'\i.res d'a- connu», : cumploruiartn et épreuves diversrs au tlèu viation, des .joainialisles et. d'urne foule nom- de 4'J.flOi) francs eu W8B ; une ratéjforle noiiv M,. ;l breuae. «te HpAclaJemcnt réservée, comme on le sait, aux ViKlurt. déclare avoir fait un voyage heureux, pmtutds io"îii8 d 'uu étalon de demi -sang et d'un... juu se, montre visibkmMUit satisfait d'avoir pu, Mut do pur evmqt ; et ce ne sera pas la moindre, après de «ombreuses péripéties, atterrir ù. attraction du concoure (pie de comparer I IÎMIS le.s OOUUMa les ctiaimpionnatK et-MS <{M!eamB d'obstacles Home, par uni temps merveilleux. produits du < roi se.nifut inversa aveu lea produite L'appareil de V laatft o été remi sé dons on Lan - n» croisement dLrect I ®»r et lVi vioUniir, après une .coUaticiu, est. parti duCertaine» réKiamations des âlcmurs d'aiwlo-ara• .( i. id .unnolijle ivnnT Borne, où il a rejoint béa ont ftgatemenl reçu saiii<*airti <>n : i,, minimum Beaumoivt. eu (trand-HiMel, d» la taille a été alwilssé et. ramené a I m. :,u • cet te niodiilca.tUm mis crrmtenle antérU -urs noiia est La marche de Leprinca Une garante (fne nous verrons à Saumur lea mellNice, .«i juin. .1 f-uira types de cette race al Hntéressante à laquelle L'aviateur Leprinee. a qulité ce matin Nice, nouH devons l'élite d« nco clicvaira de cavaleri- te-

Paris-Rome-Turin

à l heures, se Tendent à Crê.nes. Après avoir Déro. Sifraialnns que. toutes les iprimc."! inférieures ont <M roulé une ijuttrantaine die iniil.re.s, il a décoJHé Htowea et VM eliiir mwn .i .rr, en a été auganenté facile ment en une superlio irnvoliée • il a pris, dans rliatpM caU'-içorio façon enrantlr, autant au-dessus do la mer, la direction de Gênes ; «11-.- ih.-siUil.", les j.r.iin i-lalrcs ronli -o les risques eu quelques instants. Il ava.it disparu à l'ho- «lo déplacement onéreux ; do marne aussi r ,.n rizon. dernier, pottr faciliter et tprovoqner lea transaction., onimnei. ial. -. la carrière ivaorv.V cliaipi,. j„ ln '. L'arrivée a Cônes à une l.i 'ui .- del- rmi né.-, pour la présentai Un, ,,( Gênes, 5 i « i Mi. )'<->- U dis i lie vaux a vendre dont la. iisu> fera a MiLeprinee, parti de Nice ft 't heures, li. nic el da le début du oncours. Ainsi d'ailteuTS i|n'. n française, est arrivé a (iènes à li h. 47, n mv a, pu L- conftater l'an dernier. I,. euncoiws il<v San nu..- s.- Iro.ne oi.v n. unie .l'un important uiarclié ltaliiettine, battant lo r. c. .d de \ iiesse des pré céïk-nls a. va items. L'heure ilaliciiuc étant en do cBiev.'iux de selle. Etappetooa < m<>\ une ee comeoeita ci encadrA de avaneo die 55 minutes sur celle de Franco, deii.v réunions do ci nrses a Veriie Sauiiinr, lm IG l'aviateur n'a donc mis en réuilité mie 1 h. 4 eA 'je J ni lift ; ain-i reniano-, r. .miplél.'- cl. aiwmepié Concours iiippiquo de Naruonne miuutes poM.r parcourir les 170 kilomètres qui le Concours do Saumur do l 'an piomct. plus eue Troisième journée. Béopoireut les deux villes, coie H ||... Ml.le, (|(io les années précudente- un J '.-iv Oa i,i :,n,.. tamuurr, li a ndican — i J,'arrivée 0e Loprinco a été splemlide ppcctatle du plus viit UMrêt auquel ne «ancien s , !1 nvinnner de i>artir,i:rx-r tons reu-K qui, en Vrai. ce, Luîl. i«ar '.li I Kll <'CMCe.U«liiilll . IV l i V i l'.(.:11. U) uiclre , a . U 'artlKlnrifl ; i. Smm loo fr... I atterri eu tiolant Légèrement la '' -rc pal aMntereaseei. A i'éieva«« du bon clwvai d* »eiie. palissade,

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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paye EoulouBain, La charmante mariée, dans une délicieuse toiloite Karni.! do vis ux point d 'Angleterre, n été conduite ii l 'autel par <=on père, M. Heinry

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Fédération des Sociélé3 Masieales du Midi

Prix do la I.ima L<rne : Austral (R. Sauvai), Le.-Loupiot (W. lléâtf'.. Saimt-Réiml (Uollotoonnei, CEnonot (F. Hardy). QuoineS (Collier). .Mexaauta'e (iterttiter). Prix du Gevaudan : Notable (Houotoone). ( astelfinae (P. Satamagnan}, Sbama-u (X), ivueiiia (DKa.Uey), Familier (Staisonna^e), NWrthwvo (Lovegii;ve), Lebnan (Tlill>axUt). Cffly-Blrd (K. Lassas), TyroUenne-II (X). l'rlx du Cantal ; FloTicuP.uro (HojKm), Lo-BMefl •soa (J.-B. Morean), Saint-Léon (R»>M.s).' Fontenâyaux -Roses (C. Haitsey), iBOla-itodre-IJ (CoUoneiivî, Kama (Gartwrlght), S«lo-lV (Langlord), Monrlau (Eatwkstlei, Lemcm-RobeJt (K. Hardy). Course de liâtes annuelle de Saint-One.n : MeriyKmtgUt (O'Léai'y), Saiut ,lust-ll (u. Sauvai), CroeMp«on (lfarre). Jiim-.Crow (A. V. Ohaipma.nl, BLiguenrEt (G. Partrentant), Cliaiuieny»» (W. lléa .d), Foiuic:.(Ha.rdy). C.mkllekt (C, lla.ls.-y), Ovide-] l (J.-B. Mbrea.i), Ciiiijw Okun ( iui .liai .lli. ValdaftM» fliourdalc). BoMVO-n (!'. Hardy). Casa.blauca-IV (0'(X>mnor). Prix du Puy-de-Domo : Journaliste ou Mon-Ctw'l (F. Hardy), llyavno» (u. Sauvatt), «Montacaard (W. Etead), SlegUHvdo ou G-atT&x (Parfinnmni), Moùcstlr (P. W (XHdlainl), Feivder-Beingale (Tbibault). . Trix de l'Auvergne : Causerie (Defeyer), Xalmont R. Sauvail), Cbotoy-le-Roi (Geme.rs), Sunrise (Partie, ment), SIUJU (W. Ilead), 1* -Jaune (Barre), Consola-* Son (A. Uenson), Dtmseur-II (Thibault), Jelin-Willioi (Iloirau), Itli-aque (X), Plathio (F. Hardy), Partant dowtcux : Kama (X). Pronostic» Paris .Sport : Austral, Sahd-Remi — Ecurie VellPicard, Cantel tr.we — La-Btdassoa, Florlculture — Kcunie Vi-il l'icai-d. S. mil ,liN II - l'.curle Vell l'icawl, ilyipinos — Sinaï, riipi-ésentant Goudrliaux. lu Liberté Austral, (l 'iu .nr — Cask-JifKmc, repré. sentant Picard — La-Bldassoa, Florlculture — Mûrie Veil Picard, Ca.rpe-Dle.an — Montagnard, Hypaon — Causerie, Reja-ésentant GoudcUaiuX, trlntranslftcanl : Austral. Sainl U. -ml — Castclfrruic l !i'.|irc ..«-iita.nl picard l.a llida -SJoa, l'iorieulture — IVurlo Vell Picard, Merry Rnldlt — KcUrlé Vell Picard, Hyipnos - - Slnaï, Le-Jaune. Ù les Déliais : Austral. Alexandre — Ecurlo Veil Pinard, r i.si«l franc -• La-ltlda.ssoa. Le.nn>i.l -jlolMM -t Saint -Jusl il. Vaildal .on - F* u di -lleimale, Montasunrtl — Bamerle, Suirariso.

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I.,. ;;i m;.: .i cnior, mie folllo éle ;:mle cl nom. hreiise u s! -mu, eu la paeiliquo ,Sainl Jeait • i,. Pwplnfiuui, mi niurinso de M. Joseph <>\, (iaiilK 'iac, M'- du baron do Oauh-jm: ot de la baronne née de Boissn'ison, avec Mlle Mat. celte do niti .v, dont la famille wl justemciu npnréc! ou Boussilloii. m Des priroois et ;u n i« éttiienl venus de tous côtés lair.; corlèse tiux jeunes fiancés cl unir ipier leur .svmi.al'iio a une famille qui conipy. parmi l. s m.oiloiires et les plus anciennes <l«i

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Le conseil de l'Ordre national de la Légion d'honneur a arrêté aux chiffres suivants les extinctions notifiées dans la Légion d'honneur et la médaille militaire, ainsi que les U COURSE NICE-CORSE vacances produites dans l'Ordre par promotions ou radiations, au cours du semestre LE DEPART DU LIEUIEXANT BAGUE expiré le 31 mai : Nice, 5 juin. Avec traitement donnant lieu k remplaceLe :e est parti ce matin ment : grands-officiers, 10 ; commandeurs, 5 hei l'aémt me de la BaguQ peur la 34 ; officiers. 111 ; chevaliers, 018 ; médailles Cors* militaires, 1,175. mois, jouir pour jour, que le li,eut. Il y Avec traitement ne donnant pas lieu à remtcuâHt Bague se livrait, ou le «ait, a .son au- placement : grand-officier, 1 ; officier, 1 ; chedacieuse tentative de traversée de la Méditer- valier. 1. ranée,, de Nice à Colvi en Aéroplane. Sans traitement donnant lieu à remplaceOn se souvient aussi qu'égaré dans la bru- ment : grands-officiers, 2 ; commandeurs, 5 me et poussé vers l'est par le vent, il viot at- officiers, 21 ; chevaliers, 187. terrir dans l'île de Gorgona, à 06 kilomètres Sans traitement ne donnant pas lieu à remde Calvi, ayant accomp'l un vol de 200 kilo- placement : commandeur, 1 ; officiers, 13 mètres au-dessus de la mer. chevaliers, 28 ; médailles militaires, 10. La distance de Nice à. Calvi est de 210 kilomètres à vol d'oiseau, Aiacck", 5 juin, midi On a été prévenu, h Ajacctio. du départ du lieutenant Bague de N'ieo pour la Corse. Les populations se sont aussitôt portées sur la côte, ou règne une grand» animation. A laids, les sémaphores n'avaient reçu auPar arrêté du 3 juin, la vente des timbres A JlONTAURVîs cune nouvelle de l'aviateur. retraite do toute catégorie sera effectuée par Deuxième journée Nice, 5 juin. les débitants de tabac, par les receveurs-buraOn est sans nouvelles du lieutenant Bague, listes et par le personnel des postes et des Prix régional 2.00 francs, 3.200 mètre*. — l idoménée, à. M. Bd. Bongrat ; 5. Flambeau, à M. B. qui devait arriver ce matin vers huit heures télégraphes. Feurnié ; 3. Fcslie, à M. BénaeSi. à Ajaccio. Une remise de 0 50 pour cent est attribuée Non pliicés : KéVg-al, Directoire. Les contre-torpilleurs à Nice ont reçu l'or- aux préposés de la vente. j\f.u*u:ejl : Gagnant, 14 ; placés : Iooménée, 9 a> » dre d'aller à sa recherche. Fl.aim,l>eau, rt o. Nice, 5 juin. Prix des PavMIoti«, l.ceo francs, 3.20a mètors. — Le contre-torpilleur Arbalctte, envoyé à la 1. Issy les-MouU ineaux, à M. E. Mareil'+ac. recherche du lieutenant Bague, vient de radioîion placé : léna. ; tôlégraphier à la. prélecture (maritime qu'il -M'uluet : Gagnant, 6. Fédération des Sociétés musicales du Midi Pris du Clieanin de fer d'Orléans, 1.2C-0 francs, n'avait pu découvrir l'aéroplane. 3e Fête fédérale à Lézignan (Aude) 2.000 mètres. — 1. Viril, à M. Reynclls ; 2. Gaivani L'émotion à Nice est extrême. le dimanche 25 juin 1911 à M. F Bâtes ; 3. Engotir», à M. J. Vallières. Lo comité d'aviation de Nice fait demander Non placés : Suessula, Bon-Ohito, Sateudaluza. à tous les commandants de navires en parMlutuol : Gagnant 1S ; placés, VirM, 9 • Calvatance d'exeaicer unie surveiManoe très active ai, 8. La Fêta de la Fédération sera clôturée par Prix du Gouvernement, 2.000 francs, 3.000 mètres. en mer. audition aTtlstkïue qui aura lieu lo diDes ordres viennent d'être dtamés aux con- une — !.. ltégent-Streot, à M. LalUte ; 2. Jockey, à JL 25 juin, à 9 heures du soir. Ducourueau. " tre-torpiiiileurs actuieaieinent à Nice à partir à manche Pendant cette audition aura lieu la distriNon placés : JUnupola, Max-Darguin. la recherclie de l'aviateur. bution des prix des divisions d'Kxce.ilence. Jlutue! : Gagnant 13 GO ; placés négcut-Street Le lieutenant Bague avait exprimé le désir Des démarches sont faites «après des Com7 ; Jockey, 9. de n'ètte pas convoyé. pagnies de Chemins de fer afin d'obtenir des Prix de l'Administration des Haras, 9.600 francs, Nice, 5 juin. 9..SO0 me-tres. — 1. Intei-vlow. à M. il. do i\mrosis supplémentaires qui quitteront Lézi2. Montrase. à M. D. Ganttw i 3. Crève-eosu* \\,<N Le général de division Ducrav, gouverneur trains gnan dons la nuit. àfoiiHws I.a.t>i'.oiw,lie. ' de Nice, fait connaître qu'il a reçu le 5 juin, Cela permettra aux. étrangers d'assister b. Non placés : Bictamo, démbée ; Jokey, tombé ; » 4 nem-es-, le télégramme «Hâtai **P*dté à ro .uUiDi.on du soir sans être, teiuus d'attendre au Fu.reM.1T, ISabeaS, Comité, Royale-Brioclie, Jfiss2 h. 10 par le commanda.ni de la marine d'A- lendemaiin pomr quitter Lézignan. Lacq, Souioulte -in. Paulette-Ilf. jaceio : fies démanches sont près d'aboutir. L'horaire liatuef : Gagnant, 73 ; placés : interview, 10 ; « Je reçois de diverses sources des demandes spécial sera publié en temps opportun. Montrose, 9 50 ; Crère-Coiirr, 7 50. d» renseignements sur le lieutenant Bague ; Le Comité. Prix do la Société Sportive d'Encouragement, je vous serais obligé de faire savoir que toutes 2.000 francs 2.000 mètres. — l. Royale-Brioche, à M. Pour tous renseignements, s'adresser à M. les réponses seront adressées par la voie .du iRinr.iC3 Laurouche. général gouverneur ; pour le moment, je ne Jutésl-U'lea Alquiier, secrétaire général du conNon placés : I^iiloutte-IU, Monnellita. sais rien ; VArbalette est sur le trajet d'Ajac- cours à Lézignan (Aude). Muiiuel : Gagnant, 11. JUHitary-Offtciers, Objet d'Art, 3.000 mètres. — 1. cio à Nice et. je suis inquiet. » Mestura, a M. de Saunarieu ; 2. Facile, à M. de Depuis. 9 heures du matin le gouverneur téSouviUe. léphonera les renseignements au fur et à meNon placée : Trote-Etaites, dérol)ée. ! sure de leur redeption ; VArbalette venant d'AMutuel : Swaani, 16. jaccio était à 4 heures et demie en vue du port Un temps .<i»ten <lidH a favori«i ces très belles courde Nice ; le commandant a demandé par télésca et l'a.ffluence a été considérable. graphie sans 111 au Fantassin, qui est au port, Concours de Saumur si on avait des nouvelles do Bague ; Sur la A SATNT-OUEN 17, 13 et U) jui'Hel) , , „ . Paris r> juin. réponse néaatiw do celui-ci, VArbalette a reDemain courses a Saint-Ouen. rartarats et montés pris la .route corse ixiur continuer Les recherNous croyons utiilo de raippeler que les tingngtproiMMes : ments pour le a>ncours cenAraa de, la Société du ches.

VIOLENTS ORAGES Saint-Pétersbourg, 5 juin.' De violents orages ont éclaté dans les gouvernements de Kiew et (le Kherson, La fin de la grève ava.it du reste été décidée La pluie et la grêle sont tombées en abonlans la réunion qui avait eu lieu dance ; des grêlons de la grosseur d'un œuf ô. la c. G. T de pigeon ont détruit les récoltes sur plusieurs Le peu d'enthousiasme d'une grande partire milliers d'hectares ; plusieurs moulins à vent des grévistes avait déterminé ce 'vote. ont été démolis. En effet dès hier, un fléchissement notable De nombreux incendies ont été allumés par s était tait sentir parmi les chômeurs et la la foudre. .compagnie avait p u réorganiser une partie de Londres, 5 juin. ses services. Un épouvantable orage a éclaté hier sur pluLe découragement parmi les rouges semble sieurs villes d'Angleterre. r de ce CJU ' iIs u 'onit Pas Pu' entraîner A Hicmingham, le- feu a provoqué la chute SST «S?8.^i10 mouvement, la Fédération nationale d'un bâtiment en construction. ues transports en commun qui leur a refusé Quatre personnes ont été ensevelies. son appui moral. A Nott.inghaan-Nomare, «tes maisons ont été lézardées mais les habitants se sont enfuis indemnes. Charolo, 5 juin Un violent .orage s'est abattu sur le CbarolParis, Ti juin. lais. Deux domestiques do Gueugnon, les On qufi nno ,JL commission sénatoriale des nommés Philibert Durand ot. François Jourunances a maintenu la taxe Chambre sur les bénéfices calculés, en vertu net, ont été frappés par la foudre. Durand a été tué. Jonruct a été blessé. airC8 ' S0I1S ]il dénomination Z tfn^T *sta*ut,t0 Uno autre personne aurait, été tuée par la * t'S- ?e. ' i' nf>s Personnes participant fondre a Nen'oy-Grancliainp ; un grand nomla Ivul. •" ' Section , à la gé- bre de bœufs et de vaches ont été foudroyés rance de sociétés visées par cette loi. dans los prairies. il i.ass- ncnapitl' (1 d,e KOn rapport général, où A Taneon, Saint-Bonnet et Gfo&ncr, une lcs articI s dû la wK, * ' loi de tronibo d'eau, et de grêle a causé d'importants ......... „.. ,,,.,i |i h ICI- écrit . degats. « uans notre pensée comme dans celle rf,« Tours, 5 juin. eouvernement, il est bien entendu mie l5*t Jo On aumonec de divers côtés quo do nomde 4 % ne doit s'étendre, qu'aux bênéflt^ dfs^ < .rages ont éclatés en Touratoe ; la. fautribues aux administrateurs, directeurs Ou breux dire est tombée sur le château d'Avize, qui a gérants de ces sociétés et, ne s'applique subi d'Importants dégâts. » par conséquent, aux traitements, jetons dè Dans la région de Ghatea.iTOcnau.1it, de nomprésence, et autres participations prélevées , toeniK poteaux télégrapJMqeg& ont été renversur las trais généraux. sés. « D'autre part, celle disposition nouvelle ne Les récoltes ont particulièrement souffert. doit pas atteindre les allocartons attribuées aux employés intévesnés ; la question revienLES ACCIDENTS DE CHEMINS DE FER dra, d'ailleurs, devant le Sénat » Un déraillement M. Y allé, ancien ministre du cabinet ComS Madrid, 5 juin, »iv -A pr1s uno a,51ih «r ation longuement motivee contre ce nouvel impôt, Une dépêche officielle de Jaen annonce que < , a chambr le train-poste a déraillé près le Linarès. r?crtn!nn ?. ,V;i par « de commerce dû Paris demandera, Il y a iA blessés «.tant 3 sont dans un état voio d'amendement, la sappression do la taxe *ur lamiènies. grave. LE CHOLERA _ , Trieste, 5 Juin. En raison de cas de choléra qui se sont produis .-i \euise, des mesuires ont étti prises par le nomi .-tri,. ., m eonmier.ee I es lac. lu. s .|u'oii. o. eoutuine d'accorder auv M , ^l 4re v,',? W s4 '"'" v ^ V .M .iVe to s 'a n «WH'lmÔÏl «o 1M, a ve.Il demande, on cnnséipience, d'èti-e inculpé dans le procès qui doit commencer demain a ACCIDENT DE TRAMWAY propos de cet article. M Hervé ajoute qu'il est également 1 auteur ^voUu« de tramw^ a ^^'i. br HA tous les articles parus dans la Guerre

L ÏMPOT SUR LES TANTIÈMES

tnswnt. au capHaine Bastide, du -T d'artillerie, pair le nroprlétaire , a. valeiap 7* tr.. M. MKu amii, médccin-miatlor au T gène, PJf w lieutenant Qowz au M d'artiUtorie ; «. » M

«.•i.-.a.-r.: : Jovial, au I. «•">.v. ! ' , „. " ',u DU S juin. '-, , fs, par l" lieutenant Frit/ Glèae ; '""''"• La mairie de. Lille. '. B*M Bétliune, a été détruite li....». ..?.... i'.-. -, du S d'aettlterie, pu le iwopi.«mai- vm incendie. Les aivhives ont été sauvées. i:;h.. ; Albertine, Si M. Audit. vétérinaire an S d'ar— On a arrêté dans la forêt do Kemircinoiit île tiileredl, par le lieutenant Pérès. nommé iiaMu .t, auteur do cambriolages commis ii la gare de nemlimmont et chez plusieurs négociants. . , , „, — Le prince Cliakraboug', prince, héritier iîc Slam, mant Prunoie ; -". ax» U:, < "7?.,;,,,,." ., M est arrivé ù Saint-Pétew bourg. par Maurice lAutli ; 3. viiwiaretie S — Salon uno dépèslio du Cap Haïtien, les Insurgés mu», Anaria, par le propriétaire 4. TO fi'., ' /. ont fait do nombreux prisonniers dans la dernière Al .'.'fo .er .iiè.v d'.M-i.I. Li..' M- < Uur : : ... .«> ; ; . i l( bataille. A quelques-uns, ils coupèrent les oreilles. merift. an comte de iTHeaiewe, par e ' ''', ' , — Le procureur général do Monastlr a tué à coup Viols caporal à M. Joseph ïweade, par de revolvern. Lan a" ; nèairlr. à M. Villa, par M. Carrel — L'escadre française a mouillé dans le port de 1 M. de Prune lé, pa r le prepriétatre • Porto-liimipedocle. — On mande do Biarritz à l'A. n. 0. que M. Emilie, Obéja, ambassadeur d'Kspagne au Vatican, en con- ) «6 depuis l'interruption des relations entre le c.'il.i7K,t dm Madrid et la Curie romaine est décédé. — Los employés do la ligne Viteii-be-Romo n'ayant pas obtenu salisfactiun ont décidé de recourir a taire le pi^ririêftaii'e 5. 00 fr., Ù SM,h M. Claire, par le l'obstruction. — Le Congrès des amis des roses s'est tenu a Lyon, au palais du Commerce ; le, procuain con- Girouette, a M. Jon«ulàw d Ou iate, ra.• le Proi i grès aura lieu en 191-?, à Bordeaux. taire Times, â M. Jtaymoml. Gervieix, par l«P»g — On a commencé sur lo champ de manœuvres Prtétaim ' clwnn, a M. J«wsb BoiMC*. par mlUtalres do Calais, l'installation d'une flèche gi- an.ii'.ic'j Lautn. . ga:pjl.i :squo destinée à Indiquer aux aviateurs désiareux de traverser lo détroit, la direction exacte de Cyclisme Douvres. — Co matin est entré dans le port militaire d'AlU COt'RîE DE Si BETJHïg ger la corvette écolo italienne .lmc,ri<jo ycspucl veParis, S juin. nant do palma s. 'A la 14' heure, lo classement est le suivant : — Le gouvernement américain a envoyé a Limoges uno commission ,ifju d'arriver à un règle- 1. Troiissellier, 41 point» ; 2. fl'Hulst, 50 ; ... ment du différend relatif à l 'entrée en Amérique Cruppelandt, 03 ; 4. Lafourcade, 75 ; u. Lamdo la porcelaine limousine. hot, 85 ; 0. Colsaet, 89 : 7. Shirley, 100 ; 8. Nie— Un soldat du iST d'infanterie, frappé de con. gestion, s'est noyé ô VlMcnoonre-la-Garenaa ; son éesasmg, 100 ; 9. Couret, 110. 1H heure, 582 kilomètres : fl'Hulst, 5a points; corps- n'a pas été retrouvé. Troussellier, 56 ; Ouppelandt, 84 : Lafourca-• A BMt, les ossements do slxeents soldats du vaisseau den guerre Les Droits de l'Homme, (rai de, 85 : Lambol, 113 ; Colsaet, 115 ; Shirley, coula en 1797, Tiennent d'être mis à découvert, par |> 135 ; Niedergang, 140 ; Pary, 147. suite de l'effritement des dunes où ils avaient, été Dès que la. 20* heure a sonné, Troufsebcr inhumés. et prend .trois tours facilement. — Le nazaoan, vaisseau de la flotto volontaire démarre Ace moment, le classement donne :606 k. 600 a russe, s'est échoué près do NangasalU ; -tous • les d'Hulst ; 2. Trousseller, 63 ; 3. Lafourcade, 91 ; passagers tant saturés. — Les obsèques du général Andry, commandant 4. Crupplandt, 90 : 5 .Lambot ; 0. Colsaet, 130 ; le 1' corn.; d'armée, auront lieu mercredi. 7. Hirlez. 153 ; 8. Niedergan, 157. — L'état du piiejve Joacliim. un des dis de l 'emRésultats défirrilifs pereur GuiSlaume, s'est amélioré ; la. guéri son paraît suivre son cours normal. 758 kil. 100.,.J. Tronsfelier ; 2. d'Hulst 3. Lafourcade ; i. Cruppelandt ; 5 Lambot

L'ACTION DES PUISSANCES L'attitude de l'Espagne Tanger, 5 juin. On signai!© de Tetouatn l'arrivée dénis cette viille d'un colonial espagnol de la garde civile, accompagnée de 2 officiers et de 8 tirailleurs Ri faims venant de Ceuta. La présence à ïeAouan de ces militaires est vivement commentée par les indigènes.

Cabinet du Ministre de la Guerre

quarante blessés dont qnelques?uns

MU-

avec fies saillies et eculptoxes ritK4i.es au ni.voau dm mur. On ne pont soiiser fi. rétablir le

feneatrage du douzième siècle dont il reste cependant quelques amorces et dont M. SaintRaymond a présenté à la Société archéologique une élégante et très vaiseniblable restitution archaïque. La galerie du rez -de-chaussée et de l'étage sur la cour en pans de bois dont l'aspect plitorasque s'embelllit encore par les cascades rtos glycines et. des vignes-vierges, séifl témoin du vieux collège de Périgord serti religieusement conservée. •L'Express parlera du monument avec plutde détails, lorsque les nouvelles dispositions seront terminée». Il peut louer déjà, la .* ••!•• de la bibliothèque univers iia ire, spacieuse; ajourée, s 'offrant à souhait aux . tudieux , Mais il ne saurait clore ces ligne.* primer un douloureux regret rte\ am <--< 1 , levetsements qui font disparaître _un o. nârable passé. Les choses eii^-mem .s ie rent : sunt, hier »»>:> rerum. On née». « imaginer l'aspect mélancolique et gubre que présentent le jn.rdin, se <><> -. sons leeWis personne ne passe .pi *^ w %\ n'étant plus taillés, laissent .to 'uie • ; bre .sinistre sur Les allées où se ' ; tant do pieii.-.cs causeries, de sainu-s tions et de prières. ,. , tonlouEt la chapelle, un des joyaux de i ari >-» . sain, désormais vide, sans ame, * i visitée par quelques rares. ÇUrtWWgJg™» 1 son ta» et tm accent. Cm ', !•'* 1 1 ',; rte l'Université tiendront a lu.ni;.- n ' ^ . rantir de tout Mais nnue fon •an ir (te mm péril. i>.-ri .. wa..s .... «',pewwWW ..î,^^re l'abandon, l'éternelle . u.le..l« v.u. - tri nmt de la poussière et de l -i'»'" ld »?, ' •', met « herbes folles couvrent, comme ç 1 es i u les imelière. le préau an ovnnt ,ie " . !.,„, eimei ortc. los -caher u > s ;-ccs porte, ios marches nmic.i ...s de m- ..1 c• .- o., ;.i ra même dons les couloirs par les m ,„ „ es r,.,„'.i,, t. i ne église dosa hech-* ' *< " r,,t, dit l'e.uphé.mism.i> actuel, est un «'"" ." a, perdu. Voyez co qn'esl devenue ci-Ile u s •

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Conférence sur l'A. C. J. FA L'iKSTITtn CATTtOl.IQCH C'est JinioiJ.ll. Jinloui'd 'hni, cinq heures, pif'niH .l» (.est, ...n, nà. «um

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a. rinsiii.ut Catholiqiw la u .<<» d) «un do oUvtion cnitfiolimio de la Jeunesse f^ nunc*! M. le chane.i.ue 1..1 il . amip .no' mu-

or«anlséc par lo Comil

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ouêîîes forces elle dispose poiir contoiucir n\*° euiceès une tftche de rechrlstlanlsation. w M le vicaire gonéial Assicu préshMTO » ' r. union et. prononcera une alloculiion. MM les e.-.ic. aiâtlaues sont spécule MM

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on entre sa"* QÉM>V


M AUDI 6 JUIN lflli

C/VSTELN AUDARY Fête locale des 10, 11 et 11 juin Cave I ode. — l -'.inbt ;is"iii'fii . — Aviation.

res toutes ornées de fleurs et garnies par des i essaims de cliunntuites fillettes. Oh 1 le délicieux spectacle l Quand les chars vainqueurs défilent dans >s rmw, c 'est avec entrain et eulliousiasiire qu 'ils sniit iiiriiieillis. Tout lo inonde se précipite et s'écrase pour les admirer. Des concours do gymnastes aux barres fixes ont, lieu à l'entrée du Jardin. La musique du 15' de ligne donne un concert très applaudi. , , „ A six hontes la vaillante Soi- olo de (ormaux l'Etoile Cacmaustoe, oui défile tambours Jwttawils et clairons sonnants, test l'objet, d une Immense ovattan sur les tie.es de Hhi'ne-I. 'Ions l s. .."USuinmaleurs attablés aux cal'es Clacier et Poulier saillent mr les chaises ou sur les tables et cUaqueut des mains. Les gymnastes <lo la CnrniatisJne paraissent MKMKB de ces acclamations spontanées. C 'est un, superbe défilé. . , Devant la le.rr tisse des calés, dos oroli,. sires sympbonloues font chanter leurs cordes. 'Il est sept In oiv-, les restaurants sont bondes. La population a rintentton de rairoune grandiose ovation aux musiciens <ie itecie d'artMerte, au concert de co soir, sur le Kiosque «lu Jardin National. Voici Ito programme de la journée : Après-midi, aviation. Giberl exécutera «.ne série de vols et nous réserve des surprises, au elia-um die niai net ivres. A 5 h. 1/2, sur le Vigan, musique par le la» do ligne. , A 8 h. 1/2, concert vocal, .pur le Ja.rdia-Naa.onal, par la Choira!» AlbigeoiseA 0 h. 1/2, feu d'artillcc sur le Vigan et embrasement du Jardin-National. Rixe — Vers cinq heures et demie dit soir, une rixe a éclaté hier soir, an co,i.n du Café Glacier. Deux individus que l'on De cornait pas se sent livrés bataille à coups de poings. Cela a duré très Icmgteimps. Un agent est intervenu à la première rixe, qui a recommence de plus belle: quelques instants après.

Concours agricole Suite des récompenses décernées i

SERVICE SOLENNEL

Monsieur et. Madame Albert DUBAND et l'-m s enfants, Monsieur te » apHtatrue v IGNE BON , du 8* d'ariiiieri.: .le montagne, ci MadaW». «t tous leurs parents, prient leurs anus et eoiniaisaiiees do loue bore l in .uneur d'asBtettw au service solennel qui sera célébré le inereivili 7 juin, à' dix hënfés "i demie précses, en J'éulise athédrale Salai Mieliel, à la mémoire du COMMANDANT CHRISTIAN ROUMENS du 2" tirailleurs algériens, Chevalier de la Légion d'honneur, tué à l'ennemi au combat d'Alouana Maroc le 23 mai. Il no sera pas envoyé d'autre lettre d'invi-

tre 2 et 0 heures du soir au préjudice île M. Antoine Souiiô, du Pecii du Chora. Tandis qu'il travaillait dans les champs, i. 1,200 métros de chez Uni, un rrwil'ailenr allait prendre dans lo coin le plus .obscur d'une grange, une échelle., l'applrqualt au mur de le maison et. par une fenêtre, s'introduisatl dons une chambre. Tout droit, le malfaiteur ge dirigea vers une ai moka non fermée a clef qni se trouvait dans une autre pièce. A l'aide d'un hachette trouvée dans la maison, il força un tiroir et s'empara d'une somme de 720 tr. qui v éiaii renfermée, Toutes les cireonslanc* * de ce vol mouttrent qu'il n'a pu être accompli (rue par quelqu'un parfaitement au courant (les habitudes 4,1e la maison. CAPDENAC. Association civile. I,' « Officiel , du :', juin public l'extrait d'une décianation faite le 9 mai par la société « Les Fervente de la gaule », dont le but est d'acclimater, dans le Lot, de nouvelles espèces die polsson,-, -uiiie,--, détruire les espèces radisiblee et la KépresKtoin dm matau'l-n^e, avec siège .social à Çaipdenac.

Dans un pays aussi fréquemment éproiivl par es assassins, chacun se demande, en •effett,

se domaon sa. vie ne sera pas menacée.

Nous ccmUnuerons à tenir nos lecteurs a»

Couraut de cette passionna nie affaire. '.a terreur régne dans tourte :<i région et L'a*

Récompenses aux agents, contre -main, e et r. -1 ,1111,11 du coupable peut seule ramener le calme. '•uvrieis agricoles des lauréats des prix de spécialités. — Médaille d 'or accordée par le mordue <te l'oerieuliui e, sur la demande du nf.AnrHatm r-u itni jury, à M. Emile Couru!, directeur do la 1er VICTOR VAI33l£Jl ne i e.le du Bosc, en raison de son mono- ei do ses services personnels et désintéresses. Tout le monde dit Me. Iailles d'argent grand module et nue | daque, pat son goût agréable, par ses qualité» me on espèces. — MM. Louis Biniou, régies' ne dlgesûve ot députratlyes hors de pair, la som* li Tuchan, 150 fr.; Paul Galles, régisseur à Narc. rte MONTÊCUT-SCCLA est comparable aux bonne 125 fr.; François Cassait, régisseur a T tVRN sources les plus réputées, Ilize, 125 tr.; Gabriel' Thévenin, compta»» 3.i ferme-école du le •. UKI fr.; Jeun l'ouzens, La. consécration de l'Académie de Médecine Les tètes du Pays Albigeois l'a alit admettre en tous lieux. régisseur à Azille, 100 fr.; Alexis Serres, garde tation. LA TOURNÉS W) DIMANCHE de l'Association, svndieato du canal du Lie, a Partout, 20 centimes seulement la bouteille. Blgea», 100 tr.; Jean Blanc, régisseur a i raDepuis trois jours, la cité albigeoise est deltes-Ôabatrdôs, un» le.; Antoine Greffier, n prête, Oh ! la charmante toilette. Partout des Voies urlnaires : Docteur GUILLAUMAT. ois- eue û Uuuv, 100 fr.; Louis Alb .V, .(bel ouimfete tricolores avec des oriflammes et des XHUteOMUt radical dM Rétrécissement*. CystlteiL vrier a Ottxac-Cabardès, 100 fr.; Etienne Ma : Outrages, rébellion el tapage. — Dimanche, cartouches. Dana les rues, les balcons et les Gouttfi clironly. par VHleclroluse.9.':. Itlvals.'l'oalooia thleu rnaitne-vB.let à Mmiimacor, MO fr.; Henri dans la soirée, une bande de |ei ni e, gens falJenêtrea sont pavoises. Albi est en fête. Combrel, maître do cave à Trnussc W) lr.; paiera du tapage dans la rue Lt Dans là .matinée, a la gare, il y a foule dans traignon ; les L'I DÉAL, TnulotlS Pierre îtoé, cltaï ouvrier à Arzens, «0 lr.; Fran- agents intervinrent et ai rotèrent les nommés ARRONDISSEMENT DE MILLAU la cour. La musique de Toulouse va arriver. est la meilleure çois Gitililiem, régisseur à Sallèlesd Aude, Anilr Bouzaud, bateUer ; Joéeph 1 1 Jean Pech, .Un train siffle et entre en gare. Les voila... MILLAU. - Bijouterie cambriolée. - Pet*. Ml fr.; Jean Itevnuiid, clief ouvrier a A lot, <a fr.; Jardiniers à la plaine Mayreviello ; Piem bas bonnets < t des chapeaux s'agitent au-desla nuit du Jeudi 1er juin, au vendredi, Jean Mouler, chef «Le culture, à Ctucassonue, Touroiiic, chiarretier, rue du 21-Févriev, et Paul dont sus des têtes. Zou ! la musique magnifiquedes voleurs se sont InteOdUitS par escalade 75 fr.; Henri Couirbièrias. régisseur à Chalantre, Aza 'is, . , rd< nniier, place d'Armes. dans lie magasin de .M . Charles Château, bijoument escortée arrive. 60 fr.; Pierre Bouseabelle, régisseur a Mot»- . Jean Pech, Josepli Fabre ,el A/..Ï- aggravè- tier, boulevard de l'Ayrolle, 25 (en tac- le CoiPuis les .Sociétés de gymnastique ot tout APERITIF DES ARTHRITIQUES rent leur .ces le premter en outrageaid par fa soutens, 50 fr.; Paul Culcuni, gérant a Semt«cela défile dans Albi, se mêlant à la pqpuïaLa rôles le sous-brigatlier Tesseire ; les (Unix auPolyearpo, 50 fr. Us (.ut scié un des barreaux en lord une pp. lion qui sort des églises. . , M'édaille d'argent et une prime en espèce. — tres en faisant rébellion aux agents qui les Mita baie carrée, i.uwani sur la ruelle, toujours Vers midi, les gens courent vers les hôtels MM. Baptiste Flianzy, garde du syndicat d'ir- conduisaient au poste. diserte, qu'on appelle « la Bon. .il., dé Painou les restaurants. Les rues sont excessiveDANS TOUS LM r.»rÉH Tous les six furent déposés au vfolon. rigation d'Kscouloubre, 100 fr.; Jean Bélon ment animées; Rn plusieurs endroits on se tillado », et avec une telle dextérité que perdriade régisseur à Narbonne, 100 fr.; Guiïlaiu b on ouïe. Vibrations do cuivres et rugisseTrouvailles. — M. Sylvain Bé teille, rue Par- sonne lia entendu le moindre biuii, jias même me Marin, chef <lo jcRiliqne horticole à la ferments de grûase caisse et roulement de tamotter, à trouvé un petit sac à main ;Mmo au premier étage où J'en veillait un malade. me-école du Bosic, 80 fr.; Bernard Haynaud, ru. bours emplissent l'atmosphère. Des voitures Tons tes bijoux en or, montres, bagues, Bortinafous, rue Victor-Hugo, 34, a trouvé un ramonet à Narbonne, 80 fr.; Barthélémy Fipassent, portant de blondes jeunes filles, vol et autres objets d'orfèvrerie facilenaud, régisseur à Castolnaudary, 80 fr.; Eu- toi teinooea.;.. conteua.iit une somme assez im- chaînes, turée de bonheur en exquises toilettes. «tf-tanle ot un bon de poste ; M. Hippo-lyre ment transportables de ce riche et beau maNOS PETITS ÉLÉGANTS sont conduits par gène Ournac, maltine-valet à Villeneuve -le * A 2 heures, le Vigan s'emplit des gymnastes demeurant à Cannes-MinerVoiS, a trou- gasin ont été enlevés. leurs mamans au PETIT MARIN (Mlle Bas» Comptai 75 fr.; Pierre Malet, ïamom t, à VI* Wffre, Ou se croirait, au stade d'Athènes. Les exerci Les pertes s'élèvent à plus de 6.000 fr., plus vé un col en fotirritre noire M. Bouge, rue tier), rue des Lois, 22. Toulouse, près le Ca: lesoq.iie -leiS-(k>rbière,s, 75 fr.; Jean Oombrié ces de i antiquité revivent sur cette merveilBariiès, 49, a prouvé une tourterelle ; M. Henri de 110 fr. contenus dans le tiroir-caisse. On pitole. Spécialité de costumes de petits gar. Cuxâc-Cabardès, 75 fr.; Pierre Bouanet, à Cu leuse petite place qui. rappelle les agoras de croit que le vol n'a pu être commis que par Bougé, deuie.timui h l'hôpital, a trouvé un rtQOQfc. — Economie. 1 Attique. xac-Cabardès, 70 fr.; Louis Cathaln, chef de iticule con.tena.nt divers objets et une petite de tous petits jeunes gens, le corps d'un homARRONDISSEMENT DE CASTRES pratique agricole à la ferme-école du Bosc, Les places du Manège et de I.apôrouse eont me fait ne pouvant passer par l'ouverture somme d'argent. CASTRES. — Recensement des chevaux. — 00 fr.; Louis Arthus, chef ouvrier n Sullèlesétroite dont nous avons parié. La ..commission de recensement des chevaux d'Aude, 00 fr.; Sylvain Touruier, maître de Lyre Carcassonnaise. — P.togavuuuv deç très A * Heures, on m dirige vers l'An Mille. Le bruit court que les malfaiteurs seraient irno-rceaux qui seront exécutés aujourd 'hui allés Le soir, a "J heures, sur le Jardin National, qui' seraient affectés aux troupes en temps de chai à Sallèlas-d'Audc. 00 fr.; Elie Gajraud mardi, à s h. .', du soir, à l'Expositio-n agricole Peyre.hier matin prendre te train à la halte de grand concert avec la musique d'artillerie de guerre, a fonctionné a Castres, dans l'après- cavi-ste à Bize, 50 fr.; Barthélémy Store, gag, à Arzens, 50 fr.; Paul Pasteur, régisseur du boulevard Barbés : 'i^ „, , , ., Toulouse, qui joue admirablement l'ouverture midi do samedi. foin te monde parle avec sympathie de l'hoi L Strauss, marche (Mezzacapo) ; 2. Ballet Les .chefs de groupe ont profite de cette oc- VillemoiiPUiussou, 50 fr.; Joseph Bouquette, de Guillaume tell. On s'écrase On s'écrase norable famille universellement estimée, qui EgVptisn (l.uigini) ; 3. Monte-airisto, valse casion pour effectuer un exercice do reparumaître-valet à Montmaur, 50 fr.; Antoine Cu Le jardin né peut contenir l'immense foule victime de co vol audacieux et d'autant d'auditeurs. tion des chevaux qui ont été désignés pour le birol. journalier à Sallèles-d'Aude, 50 fr.; Frnn lente (Kotlar) : 4. Salambô, sélection (Beyer; ; est plus cruellement éprouvée qu'elle est encore 5. Panurge, fantaisie (Planquette). cois Geste, pisciculteur, à Castelinaudary, 50 fr. A l'hippodrome, on se bat à coups de Ser- lieu où ils devraient se renelrc en cas de moaux débuts de sa profession ot de son comEtienne Boyer, jardinier à Castelnaudary, pentins et do confettis. C'est une fête de flam- bilisation. merce. Le Millénaire de la Normandie ARRONDISSEMENT DE NARBONNB mes, de rubans, de couleurs, do lumières. Ivre-mort. — Un ouvrier peintre de Castres, 50 fr.; Jean Pujel, chef-ouvrier à Oircassionne Accident mortel. — M. Eugène Dupont, jourEnfin, quand la poussière commence a tout lo nommé G. V..., qui avait un peu trop fête 40 fr.; Jean Fertfan, chef de culture à Saint Rouen, 6 je u. NARBONNE. — Vandalisms. — M. Pierre nalier à Millau, qui conduisait, hier matin, Poivearpe, 40 fr.; Pierre Baby, palefrenier envahir, soulevée par des miltie.rs et des mil- la diva bouteille, a été ramassé par la police, La première journée de la Grande Semaine Atemgry, cu'Mvateur, 52 ans, possède une vi- une vache à La Cavalerie, fut culbuté par une liers de promeneurs, minuit approche. Les qui, vu son état, a dû lo faire transporter sur Chalebne, 40 fr.; Marc Basitonl, arroseur à Ml des armes de combat a débuté par un ehalgens rentrent. Les jets d'eau, sous les arbres un chariot à la geôle municipale pour y cuver lalier, 40 fr.; Pierre Balséguier, baylc à Monze gne ati ttènetmemt du ®ec de. Las Tiatos, che- automobile. Relevé dans un état pitoyable, le malheu- «Dge mixte installé dons l'orangerie du Jar. îO fr.; Henri Marty, garde forestier à Logeasse. min des Fours à Chaux. du Jardin National, rêvent. La vieille ville son vin. Dans la nuit du 3 au 4 courant, on lui a i*eux a été transporté ti l'hospice, où il a suc- d'in des Plantes. en fête va reposer, chargée d'une journée de Syndicat de la Chaussure. — Les mombree V.) fr.; Jean-Paul Fabre, chef-ouvrior à Trams De nombreux professeurs et amateurs étaient codiié avec une pioche 1G0 souches qui ont été combé dans la soirée à la suite des graves bon heur. du Syndicat de la Chaussure sont priés d'as- i se. W fr.; Mme Marguerite Sivatle, ouvrière présents. laissées sur place. blessures qu'il avait reçues. LA RÉPONSE DU DONJON lj'ALBI sister à la réunion qui aura lieu co soir mardi Saiint-Polycorpe, 30 fr.; Henri .Met, régisseur la foule, qui ne craignait pas ; Léopold Baynaud, directeur de la Coo Ivresse. — Dimanche soir, à 9 h. ?,, pendantElat civil. — Naissances : Bond il Boger, fils dieL'après-midi, Avant-hier, sur un sol français et catholi- (i juin, à huit heures et demie, dans le local Azille «ester exposée pe ndant plusieurs heures pérative de distillation « Les Vignerons de Bl de Joseph, entrepreneur de maçonnerie, et de que le cinématographe, battait son plein derayons d'un soleil de feu, s'est massée sur que, notre compatriote, ,le poète André J. habituel, café Audrieu, entrée rue Bâcler. Pré- zanat » ; Paul Bieux, gérant de la même coo vant le café Continental, une femme du nom Besombes Eulalie, rue de Strasbourg ; Julien aux ponts et les berges de la Seine, pour assisBoussae, a fait interroger, par d'admirables sence indispensable. Marcel, fils de Louis, cultivateur, et de Bar- tes pérative. do Virginie, demeurant à Coursan, occasionter à aim tournoi de joûtes lyonnaises. artistes, le donjon d'Albi. Au début de la reConcert Piriou-Kunc. — La séance musicale Médailles de bronze et uno prime en es.pè nait un scandale. Après un séjour au violon, tbe Louise, aux Aumiôrcs, commune de MilLe maire de Rouen a reçu un télégramme de présentation de Y-An Mille, la lyre s'accorde, si intéressante et si artistique donnée à Cas- ces. — MM. Hippolvie Galinier, garde-forestter *te a été remise en liberté. lau ; Arlabosse Odette, fille de Joseph, com- féticiitutéoirs du Parlement norvégien exprisonore mais quelque fois avec des accents tres par M. et Mme Piriou, avec le concours à Barbaita, 50 fr.; Pierre Saunlère, jardinier Voitures de place. — Chvi cachets de fiacre merçant, et de Froment Georgette, avenue de mant ses sentiments les plus chauds de pu. injustes, pour chanter le prologue. de Mlle Antoinette Kunc et de M. Marcel Bin- à Tuchan, 40 fr.; Charles Fcrran, caviste Paris ; Massai Raymonde, fille do Louise, renié et de sympatliie à l'occasion du mille- • dort les' voitures étaient dépourvues des nuM. André Boussac n'a pas crahit d'abolir geisen, a obtenu lo plus brillant succès et a Tuchan, 40 fr.; Charles Ferran, garde-forestier méros réglementaires, ont été 1 objet dun comptable, et de Raymond Maria, rue des nairc normand. • • des siècles et des siècles de civilisation et do laissé chez les auditeurs une impression de à Bize. 40 fr.; Henri Sénéga, journalier à SalCordeliors. faire l'apologie do l'anarchie et de la barba- réelle satisfaction que le nombreux public lèles-d'Aude, -50 fr.; Louis Hortola, berger à procès-verbal. Mariages : Marqués Albert, employé do comrie. Ses anathèmes sourds contre l'Eglise sont castrais a souligné de chaleureux applaudis- Azille, 40 fr. François Marqnié, maître-valet Etat civil du -1 juin. — (Décès. — Jean Fon- merce, et Got Lucie, s. p., à Millau ; Gaussel ; das grondements de fausse colère et de la fu- sements. à Salât-Michel de Lanès. 40 fr.; Jacques Ca- vieille, négociant, 47 ans. Louis, domestique et Parguel Maria, s. p., à mée de pipe humanitaire. La vérité historique Alcazar d'été. — Aujourd'hui mardi, 0 juin, Tous ceux qui ont assisté à ce beau concert thoila, à Gareasscooe, 30 fr.; Pierre Izard, maîParis, 6 juin. ; Ginesty Louis, gantier, et Maury Palet politique est trop sacrifiée au lyrisme pour nous en vaudraient certainement si nous n'a- trc-jcurnalier à Montmaur, 30 fr.; Augustin à 8 b. h, grande soirée de gala, avec lo con- Millau Hier soir, vers 7 lieures, m Individu pris de rnyre, s. p., à Millau ; Fraisse Eugène, bouqu'elle ne proteste point. dressions pas à ces quatre artistes ele talent Souol, .maître journalier à Montmaur, 30 fr.; cours de Mlle Kermura. chanteuse légère, langer, et Carrière Maria, s. p., à Millau boisson, du nom de Pagès, rentrait chez lui. Nous sommes peut-être sévères,, mais nous des remerciements pour leur avoir fait passer Joseph Galibert, chef vacher à Castelnaudary, takmi, opéra-comique en 3 actes, de Léo Dell Aragon Paul, employé à la Cte du Midi, et 11, rue NieoUet, quand il so prit de querelle sommes du côté de la raison et de une délicieuse soirée. avec son amie. Mlle Fessier. 30 fr.; Jean Goutte, régisseur à Lauze, 30 fr.: Poujol Françoise, s. p., à Millau. tocs Ja vérité.. Le vieux levain cathare, vandois et " /IRRO.VBISSEl/F .Vr DE U3ÏÔUX Merci à M. Piriou, violoniste de si grande Combes, chef-ouvrier à VitlOsavary, Sou<3ain, des détonations iretentirent et quelDécès : Carrière Lucien, 58 ans, corroyeur, quasi-protestant, qu'une certaine puissance école et compositeur distingué, témoin ses Maurice ques instants après, Mlle Fessier apparaissait 30 fr.; Sylvain Bonnet, charretier à Lattre, époux de André Joséphine, boulevard de l'Ay occulte parait vouloir exploiter à son compte, mélodies, que nous avons entendues si mer- 30 fr.; Bechambès, garde forestie* à lézignan, LIMOUX. — Tribunal correctionnel. — Audans le vestibule et venait se réfugier dans lu fermente à chaque strophe de cet hymne veilleusement interprétées par Mlle M. -A. 30 fr.; Jean, Peloîv, garde forestier à Boutenac, dience du 1" juin.. — Eugénie Gratifie, âgée de miles : Martial Marie, 72 ans, veuve de Cana loge des concierges, ipcursuivle par Pages. gutef Victoria, Ixsudevard de l'Ayrolïes ; Belu qu'un vent de haine soulève. Kune, dont la belle voix et le talent nous sont 30 fr.; Paul Loup, régisseur à Narbonne, 30 fr.; M ans ménagère à Camurac, cédant a un mo- gou Benjamin, 61 ans, corroyeur, époux de Elle venait d'être frappée par ce dernier de11 faut, lire les notes Ai Calendal, de Mis- connus à Castres. Paul Fabre, chef de culture à Narbonne, 25 fr.; ment de colère, a outragé les gendarmes qui André Joséphine, boulevard Richard ; Javaud •plusieurs coups de trevolvetr et de coups de tral et l'histoire de France avant d'aller crier Merci à M. Bingeison, violoncelliste que le Sabïa.irolle.s, garde forestier à Lespinassière, toi dressaient procès-verbal pour une contra- Marcellin, 25 ans, scieur de long, célibataire couteau. .Mais à peine était -elle entrée que Pa«lue notre moyen âge méridional fut une épo- Conservatoire de Toulouse a le bonheur de 25 fr.; Barthélémy Combes, bouvier à Cumiès, vention sur la police du roulage. EUe,est con- boulevard Richard ; Bouisset Adolphe, 45 ans, ges, furieux, la frappaient de nouveaux coup*» que de lèpres et de misères. Car Michelet, oui compter parmi ses professeurs et qui nous a 25 fr.; Firmin Monginoifs, caviste à Saint-Po- damnée à 5 francs d'amende pour la contra- fabricant de gants, époux de Bénézecn Hélène, de couteau. Michelet, l'historien mystiquement fanatique, tenus sous le charme d'une suave sonorité et lycarpe, 25 fr.; Louis Tesseyre, gagé à Alet, vention et relaxée du chef des outrages. Les concierges, les époux Boreil, ayant voulu rue du Bajol, vend hommage à notre splendide civilisation d'iUne virtuosité impeccable. — Jean Potabès, âgé de 37 ans, propriétaire a 125 fr.; Justin Tesseyre, gagé à Alet, 25 fr.; .s'interposer, le forcené tira sur eux plusieurs romane des dixième, onzième, douzième Puivert, comparaît devant le tribmia pour 4RR0.VDlSSEME.Vr D'ESPALlOy balles, qui les blessèrent grièvement. Merci à Mme Piriou-Kunc, dont nous avons Justin Déloostal, gagé à Chalabre, 25 fr.; Jean et treizième siècles, qui avaient déjà bien Attirés par le bruit «les détonations, le« admiré la .perfection et l'art avec alesquels elle Bevel, à Vilïadier, 20 fr.; Jean Violette, labou- avoir été trouvé en possession d'une certaine avant 1789, proclamé les droits de l'homme LE NAYRAC. — Effets bizarres de la foudre quantité de baie qui, dit-on, provenait dun reur à Gastelnaudarj', 20 fr; Pascal Joulier, .agents accoururent et, devant .l'attitude «le Pasoutenu un aussi important programme. par la voix des troubadours, réveil d'une so-Au cours d'un violent orage qui s'est déchaîvol. Il bénéficie d'un relaxe. gagé à Arzens, 20 fr.; Mmes Madeleine Siret, ges, durent, pour se rendre maîtres de lui. Merci ôgalemeivîsà M- Aymé Kunc, dont les ciété laïque qui no contredisait point l'œuvre . — Piero Authier, âgé de 33 ans, avait pris, né sur la commune du Nayrac, la foudre est tirer leurs revolvers. à Castelnaudary, 15 fr.; Mêlée Meude l'Eglise universelle. 11 faut lire encore, dans pastorales, piano et violon, vraies perles mu- bergère nier, basse-courière à Carcassoime, 15 fr.; rhargré les observations et même l'opposition tombée sur la maison do M. Gineston de Le misérable fut alors conduit nu commissicales, ne pouvaient trouver de plus distin Achille Luchaire, les récits de cette merveil- gués Agnès Alcnestier, journalière à Sallèlesd* Au- do M. Hugues, charron à Axat, une voiture Puechmu.rols. interprètes. sariat defa IUO Lambert, au -milieu des cris de leuse civilisation. Voilà la vérité vérifiée par Le fluide pénètre par la cheminée dans la mort de la foule. Pondant ce temps, les blesde, 15 fr.; M. Plie Alby, à Cuxac-Cabardès. qui était en réparation- Hugues fut blessé par Un Auditeur. la - science quand nous nous, plaçons sur les Prime sans médaille. —- M. Auguste Fcaiita- Authier. Celui-ci est poursuivi pour blessures cuisine qu 'il traverse sans faire de mal à per- sés avaient été transport «>s dans une pharntahauts sommets de notre histoire nationale où MAZAMET. — A Vendre : AUTOMOBILE nel, chef-ouvrier' à Contpies, 35 fr. soijne, mais arrachant un outit d'un jeune cie4 puis conduits d'urgence à l'hôpital Lariparimprudence et condamné à 50 francs d'anien quand nous puisons à ses sources bouil- PEUGEOT, 12-10 H P, 4 cylindres 1900. Coures Bécompenses aux serviteurs à gages. — Mé- mende. homme et lui emportent tin sabot. Ix> fluide se lnoieiéne, où leur état- fut j.ugé-des plus jfraves. lonnantes. série phaéton -i places, très bon état, nombreux daille d'or et prime. — M. Jean Jansou, à Cas— Guillaume Gleizes, âgé de 45 ans, rordier dirige ensuite vers l'écurie où, sur les sept ou Mlle Fasster est attelnite de trois balles qui Le donjon d'Albi parle toujours et dresse accessoires, capote, phares, etc. telnaudary, 150 fr. i Mirepoix, a traité le cantonnier de Loupia huit bêtes à cornes qui s'y trouvaient, il tue sont logées dans la tête et dans la poitrine. Uei îoujours sa tête sacrée bien au -dessus du sol S'adresser à M. Montagne, mécanicien, chez la première, la seconde et la dernière de la Médaillés d'argent gran d module et prime-. — de fainéant. Coût : 30 francs d'amende. plus, elle a reçu de nombreux coups de coutcan fouillé par ses puissantes racines, dans la M. Jules Tournier et fils, Mozamet. MM. Jacques Despènes, à Moussoulens, 120 fr.; ; — Léonard Gayou, 32 ans, chanteur ambu- rangée, sans toucher aux autres. sur diverses parties diu corps. Son état ot* pluie et dons le vent, dans l 'ardente lumière Guillaume Gervais, à Marqeieins, ICO fr. lant, sans domicile fixe, attrape huit jours de jugé thés espéré. et les orages. Imago du génie humain, il doDOURCHE. — Les fêtes de Saint-Stapin. — .Médailles d'argent et prime. — MM. Jacques prison pour vogaboaidage. M. Bared a reçu une balite, qui a péffiétaPft mine les horizons et contemple l'infini. A son Une commission, dans laquelle sont représen- Bei-thmc.ieu, à Fcnl-ionecuse. 80 fr.: Pierre LalLOT — Paul Calvel, 28 ans, courtier à Espezcl, a dans la région de'lupigastre. So» état est égasommet, chantent les oiseaux du ciel et palés tous les partis, a été nommée samedi der- lemand, à Lavalette, 70 fr.; Jean Vidal, à Par- traité un. gendarme de crapule. Coût : 10 francs lement très grave. pitent les sublimes pensées de civilisation. ARRONDISSEMENT DE CAIIORS nier, pour les fêtes de la Saint-Stapin. tel, 70 fr. d'amende. Quant à .la concierge, Aime Rare il, elle a lé • Quand les communes luttaient pour l'affranCette commission, chargée d'élaborer un Médailles de bronze et prime. — MM. AuEnfin, le sieur Vila et la dame IV-zarnaud, poumon droit perfore par doux balles. LUZECH. — Arrestation. — Vendredi, la chissement, sa cloche a sonné l'alliance de programme de fêtes, se réunira aujourd'hui guste Estève, à Boufflac-d'Aude,. 70 fr.; Michel le premier d'Espéraza et le second d'Alet, sont •Des ' chirurgiens ont été appelés d '.u rgence l'Eglise et du peuple pour combattre les ba- mardi, à huit heures du soir, à la mairie, sous Malves, à .Lavalette, 60 fr.; Eugène Valent, à poursuivis pour fabrication d'allumettes de gendarmerie de I,uzech a arrêté te nommé rons féodaux, les soigneurs. Et c'est, sonnant la présidence de M. Morand, maire- de Dour- Gardie, ©0 fr.; Guillaume Mcrereau, à Chala- fraude Vila cet condamné à un mois de pri- Dubois, 35 ans, né à Viviez (Nord), inculpé, de peur tenter l'extraction des projectiles. vagabondage. Conduit à Cahors samedi, Duencore et toujours, qu'elle a annoncé, la clone. bre, 60 fr.; François Bogue, à Sigcan-, 60 fr-, son et 300 francs d'amende ; la dame Dézar- bois a été écToué à la maison d'arrêt en attenche du donjon d'Albi, au monde la fin de la Pierre Planques, ù Pexlora, 50 fr.; Berrott- aaud, 16 francs d'amende et solidaire avec dant sa comparution devant te tribunal corbarbarie et la fondation de l'Unité française,, ARRONDISSEMENT DE GAILLAC Francois Lafon, à Fontiarsdu-Bazès, 50 fr.; Vila à concurrence de 1/10 pour le paiement de rectionnel, qui infligera une nouvelle condamle flamboiement dans l'avenir du nom do la condaoïnation pécuniaire. Deler, à Luc-sur-Oirbieu, 50 fr. nation pour orn«ïr encore son .casier judiciaire France. Oui, la croisade albigeoise fut le berLe lieutenant Chevreau CAILLAC. — Faux bruits. — Hier matin, le Martes Bécompenses sans médailles et primes. — passaMoment cliargé. ceau de cette unité qui fait que nous avons bruit courait en ville qu'un double assassinat MM. Hyères, 6 juin, j Sever Tirefort, à Bl/e, 40 fr.; Joseph AiViolent orage. — Un orage d'urne violence encore -une patrie. Oui, c'est lac que les preavait été commis à Boquemaure. canton de Le lieutenant. Chevreau ayant télégraphié à Sigeam, 40 fr.; Pierre Monitagné, à AYEYRON rare éclata vendredi dernier, à quatre lieures qu'il miers fils de soie de la bannière de France Babastens. La rumeur publique désignait mê- gueperse, comptait atterrir aujourd'hui à Fréjus, Boutenac, 40 fr.; Fraaiçois Martin, à Boutenac, du soir, dans la région sud «lie ncjtre .commuont été tissés par les mains des grands évê me les victimes et on en causait avec une cer- 40 fr.; Pierre .Rivières, à Arques, 40 fr.; Jeanles automobiles militaires qui suivaient la ARRONDISSEMENT DE RODEZ ques civilisateurs. ne. Une véritable trombe d'eau tomba soudai- marche taine animation sur quelques terrasses de Baptiste Authier, à Boutenac, 40 fr.; Victor Lades lieutenants Lucca et Hennequta Et c'est le peuple le peuple lui-même, en café. nement sur la contrée et ravina les champs sont partis pour cette ville. , ites, à Lavaiette, 40 fr.; Mme Mêlante Vidal, à RODEZ. — Cour d'appel. — Dans son au- fraîchement travaillés, arrachant arbres et vicollaboration avec l 'Eglise, c'est le peuple oui Benseignements pris auprès des autorités, Portel, 40 fr.; Marguerite. Tirefort, à Bize, dience du 2 juin, la Cour d'appel aconfirmé la gnes et entraînant les terres et les rochers fournit ses aumônes, prêta ses bras, chantant ces bruits, qui avaient pris uno certaine excondamnation de un mois de prison pour vol dans la vallée. ù la lueur des cierges, c'est le peuple qui édi- tension à Babastens, sont dénués de tout fon- 20 fr. Béco-mpensos aux journaliers ruraux. — infligée par le tribunal correctionnel de Villefia ce donjon. Un magnifique enthousiasme dement et ne sont que l'œuvre d 'un fumiste, Les Maux dits Boubignolft, Inmil, Guiltou- La Visite du roi de Serbie à Paris. d'or et primes. — M. Jean Saury, à franche, au nommé Marty. (soulevait la population entière du pavs qn met et Pélis ont été pa^rticuMèrement «prouainsi que le prouve le rapport du maréchal des Médaille Belgrade, 6 juin. . Lassei.re, 150 fr. BOUS la conduite do ses prêtres, venait apporConseil de guerre du XVP corps. — Séance vés. logis de gendarmerie do Babastens. une information de source offl« ten-1 Médailles d'or grand modula ot primes. — du 2 juin. — Président : M. le colonel Lancreter ses bras. Ce donjon, il fut le pilier qu la grêle, de grosseur cxcepl-ionaielle, pro- se,D'après L'auteur de cette mauvaise plaisanterie est MM. le conseil des ministres aurait décidé hier. .Guifflanmo Guitard, à Marque ins, 130 fr.; non, du 56" d'artillerie, commissaire du gou- dufeit de grands dégâts dans les vignobles, sidéfendit Albi contre l'invasion étrangère et activement recherché. Mi des raisons d'Etat, d'ajourner à l'auto""^ Pierre And.rieu, à Arzens, 1.20 fr. «arda la cité à la couronne do France. Et tués sur les plateaux. vernement ; M. Tridon, chef d'escadron en le voyage du roi à Paris. Tribunal correctionnel. -- Audience du 2 Médailles d'argent et pfi'meS. — MM. Herc'est d'Albi que partit la petite armée qui al Les prairies de la Combe, de Roubignol fuet M. le substitut Andrillon, lieutejuin. — Pierre Thouron, coiffeur, aux Cabait£ mès Bataillé, à Ferran, lot) fr.; Barthélémy Ra- retraite, liait au .secours do Jeanne d'Arc, debout de e d'artillerie ; greffier : M. l'adju- rent ,en quelques instants, recouvertes d'un» nant au 53 nos, qui occupait ses loisirs à chasser sur la j.ol, à Vilalier, 70 fr.; Pierre Magoux, à Bize, ,vant les Anglais, Albi et Montpellier ayant éti dant Bernard, Réuni, cet après-midi, le con- épaisse couche de vase et de gravier. les deux seules cités du Midi qui défendirent propriété d'autrui, comparaît pour la deuxiè- 70 fr.; Noël Bémy, à Portel, 70 fr. . Le Voyage du Sultan La coupe dt! fourrage est perdue de guerre du 16' corps d'armée, siégeant Médailles de bronze et primes. —- MM. Ray- seil Jeanne d'Arc, mémorable exemple du loyal!» me fois a la barre pour le même délit ; naLa, fontaine qui aliinento la ville fut elleMontpellier, a statué sur l'affaire suivante : Constantinoplc, 6 juir.. ' ,nie de notre race. guère, il reconnaissait avoir exercé un tir mond Pech et Anton.in Gaubert, à Canix ot à, André Camille, âgé de 23 ans, né à Blayac même envahie par un amas considérable de H/1 sultan accompagné du grand-vizir et île 1 • La suprême intelligence est de bien se dire plus ou moins meurtrier sur le gibier en Sauzcns, 60 fr. à chacun ; Bélanger Balme, & terre cl de sable. Le tuyau d'amenée des eaux (Aveyron), soldat au 122° régiment d'infanterie plusieurs ministres, est parti h 5 h. 45 pour .qu'un siècle n 'a pas raison sur l 'autre. Ce temps prohibé, mais protestait contre l'usur- Boutenac, 60 fr.; Bernard Ancely, à ASaiirac, Rodez,' est. prévenu do vol d'un mamtat- étant obstrue, le population so trouva subi- Salonique, à bord d'un cuirassé. 'n'est pas avec son siècle, un siècle, qu'il faut pation dun terroir qui lui était reproché 80 fr.; Joseph Proda.1, à laivalett.e, 60 fr.; Fran- à11, -sic de dix francs, nu préjudice d'un do ses tement privée dVau potable. Les princes et Djavid Bey, ancien ministl» •marcher. C'est avec tous les siècles. Ce n'es Aprèa un .supplément d'information, il se vit çois Bercé, à Dosante, 50 fr.; H-uilliatune Ijas- camarades On espère que tes réparations nécessaires ne des du même régiment. flanances, invité spécialement par le sulpas des idées rétrogrades ou avancées qu'il octroyer 16 francs d'amende pour lo premier sa.lle, à Bize, 50 fr.; Baptiste Méron, à La PalApres plaidoirie de M« Gely, le conseil ron- prendront guèro plus d'une journée. tan, ont pris place â bord du yacht impérial. iaut avoir. Il n'y a pas d'idées rétrogrades ou fait, tandis que pour lo second le tribunal me, 50 lr. Do lMigtemps, on n'avait vu dans le pays d .iiiuio Camille à un an de prison avec sursis. Mahmoud C.hevket Pacha, qui .levait accomBécompenses sauts médailles. — MM. Joseph somblahlo trompe «l'eau, (te sont encore de pagner le sultan, avancées. Il y a des idées vraies ou fausses accorde 1 franc, d'amende au propriétaire qui est resté ici on raison du sa portan partie civile. Albert, à Caux et Sainaens, 50 fr.; Prainçois Jannouvelles pertes très importantes pour tes cul- mécontentement dos 1M. Boussac, nourrissant peut-être do secrète ARRONDISSEMENT DE VILLEFRANCIIB officiers causé par l'a-, tivateurs. A Saint-Michel-de-Vax, le, sieur Bazilo Fer- sou, à Caroassofflao ; Bartbéieinw Brunei à ponsees, a voulu renverser le donjon d'Mbi doption du projet de retraites militaires voté VILLEFRANCHE. Tribunal correctionnel. rières construisait un mur de soutènement, Caux et Sauzeiis, Pierre liiscandc à Cuxacpar la Chambre. âge Le donjon yivra en - Audience du 1er juin. — François-Jules Saslorsqu'une de ses volâmes, la dame Hose, Cou- d'Aude, Jean Cugnasse à Algues-Vives, JacARRONDISSEMENT DE FIGEAC y™ " ,r ' M - 1 tous*»,; Dieu ail son ame ! On assure à ce propos que de nombreux, Ion, épouse Lacombe, survint et prétendit que ques Bormafons à' Vi'Uaaavary. Urbain Lacom- sard, 53 ans sans profession et sans domicile -mi,i depuis longtemps mordu la poussière be, Honoré Balateu à Giocta, 40 fr. chacun.; fixe, vagabondage, 8 jours de prison. FIGEAC. — -race. — Dans Tapros-mitli de officiers ont télégraphié au ministre de la' le maçon occasionnel empiétait sur sa proT*?- ^"tro /tans la mort où tout s'efface. Anitoinc Cabirol, à Sallèles-d'Aude, 30 fr. Bosc Cheyssal, femme Médlue, 42 ans, vendredi, vers ••.natte heures, un véritable cy- guerre, pour protester contre le projet qui,: priété. Il y eut d'abord échange do paroles ; r «,, 3V- iV' ! 00 vi<mx Proverbe provençal ménagère à Combes, commune d'Aubin, vols clone s'est déchaîné sur les cantons de Figeac. disent-ils. est inadmissible. vives, puis bravement, la fenuno s'arma veiro »< fmi veut rtife qu'en ri.'ur m , c aW,c Ajoutons qu'une dépêche de Salonique ar.V Pendant plus de deux lieures, los éclairs et les do charbon au préjudice de la dame Sanvensa, d'une fourche et fonça sur son mâle adversaiARRONDIS SEMES T DE CARCASSONNE il EnmiS? J° â'PPorto sa pierre aux movol de bois au préjudice de la dame Davv, 15 coups de toiuicrro se succédaient, aw une nonce que c'est à Prenitza, dans le district do» numents do Dieu. re, qui. armé d'une houe soutint énergiquejour de prison avec sursis. ranbUté effrayante. On aurait dit des déchar- Kuprulu, où doit so rendre le sultan, que l'on ment oet assaut110118 CARCASSONNE. — Nos morts au Maroc. — mn«°o,wv^ Proclamerons ici qu'il n'y a a découvert les 42 kilogrammes de dynamita, — Marie-Sophie Gouttes, femme Campredon, ges d'arlilteirte. Ce combat acharné se prolongea jusqu'à co DiDits sa séance d'hier matin, lo Conseil muni^e 1 sT„q,uc 1>lus «ocialiste quo le moven La foudre est tombée swr los fils du télégra- et les instruments nécessaires pour fabriquer' 48 ans. ménagère à la Boué de Brunei, comâge. Nous ne nous en taisons, nar le recul des que les brelteurs épuisés renoncèrent à la cipal a adopté l'ordre du jour su.iv.ant : «les bombes. de Noalbac, vol de volailles, Ml préju- phe, au bureau de poste, et le fluide a fondu 'lemps, cm une faible idée. Lo «ocialism" e éé lutte. Le différend fut soumis à nos magisville de Carcasonne cohapte au nombre mune Un certain nombre de Bulgares ont été arrô» vii tuyau de gaz et mis le feu. dice de La dame Griifoulières, un mois de pri.par les divins Evangiles, putesio™ nous lo trats qui gratifièrent .chaque partie de 30 fr. des La plus éprouvées pa-nni celles dont les en- son. ' mevoir I Ali ! qu'il rWéurtero Si ce fait s'était produit pendant la nuit, il tés. \ d'amende avec la loi do sursis. fanta sont dendènenient tombés sur le sol du Marie-Bosalle Prompt, femme Gaunac. 41 est hors «le doute que l'établissement aurait Ouo lo prologue de M Boii<wii D'un esprit, frondeur, Jeanne Gaubert, veuve. Maroc pour détendre la civilisation française 1 1 mode jeunesse de ce do ri on rm i ^ï' ", ^ Bivals, domiciliée ù Coufl'ouleux, n'entend ans, ménagère, à Villefranehe, vol de charbon été incendié. CYCLISME Successivement et presque coup sur coup, au préjudice de la (kimpagnio d'Orléans, li de- son imagination sont^allées voutt", pas .railleries. Déjà elle avait dû répondre des A la. gare, la. foudre est tombée sur un pogf£ C ? st elle a appris la triste nou.vcl.le de la mort d 'le vœu que nous formons nour es l« îl teau télégraphique «t a brisé les appareils et jours «te prison avec, sursis. LA rorusi; PARIS -BRPXIXLES outrages adressés publiquement nu maire ; u commandant Poumons, du lieutenant Monod turos de celui qui ou Piio °^,L « Yr* s tu— Alexandre Coudere, 19 ans, manoeuvre à tes fils conducteurs. Sur certains points, lu dernièrement sa bile sur le et dm .soldat Nélaton ; le premier, de, vieille apparut on elle déversait Crai e accident de roule costume de dauphin de France grêle a fait des ravages, notamment à Four, Viviez, bris de clôture et ivresse manifeste, 8 cantonnier qui s'en plaignit aux autorités. Ainsi, la falsification de souche carcassonnaise de par les liens d'é Brnxe.l.les. f, juin. où quelques vignobles ont été fortement enl'histoire s'ajoute Sommée, de j usinier sa conduite, elle a jugé traite parenté qui l'u-ivi«s»i.tent à des familles jours de prison et 2 francs d'amende. la «poliation d'un sol Ta course cycliste Paris-Biutsullies a été mar— François Pauty, 27 ans, manœuvre à Au- dommagés. H en est do même à Cambural et frapeala cl, et cathollconvenable de faire défaut. Le tribunal sta- depuis longtemps implantées à Careassonne «J«e ou se développa de riiisSire !u,oi1 ' quée .par tat tragique acciidenit. coups et blessures volontaires au sieur à Pouriiiognae. et ne comptant parmi ses concitoyens que d'u- bin, m vite. Déclarons-le. C'est la T,itteS°v ns tuera prochainement sur son cas. Au moment du passage à Wuronno, des cy20 francs d'amende. Tuée par la foudre. — Pendant l'orage de nanimes sympaititea ; te second, naturalisé en, Viguié, narchie et l'ordre, entre la civai^tw %* u CORDES. Arrestation. — T.a gendarmerie — Jean-Joseph Turlan, 50 ans, propriétaire, vendredi, la da.me Marie Labrufele, veuve Ca- clistes «i gagés dans la course, l'autemoblla barbarie. cninsation et la a mis en état d'arrestation des nomades in- quelque sorte, enfant de Careassonne, où il ù l'imii, outrages à la gendarmerie, 4 jours do pus, âgée de S9 ans, a été tuée par lo foudre, des organisateurs officiels a pénétré dans lu «ve.it fait tontes ses études et où il s'était en Nous sommes ici, pour le présent rt r«>»i» culpes du vol d 'un .chien. Elle était occupée à «tes travaux des champs foule des curieux, renversant plusieurs ]«crgagé au. 17° dragons ; le troisième, enfin, or- prison. nul feront fête au paesé. ^^'slmm^Ss holnm(: 1CI — M. R. A..., femme L..., 26 ans ménagère quand l'orage la surprit. Bûe alla, s'abriter Bonnes. -pour l'ordre et la civilisation » SENOUILLAC. — Crise municipale. Le phcli.n,, mais dont les parents d'adoption habià Gransac, mise en vente do lait falsifié, 30 fr. Deux enfants oui été tués et nu certain nom»tent notre ville. aans son fournil et c'est lu qu'elle fut moi telbruit court avec persistance que ,M Jean SaBoger B»TJSKL, bre blessés. lement frappée. » Lo eoneoi-i moi ici pal a l'assurance cm' il «t'amende. bin serait au moment de donner sa démission P '^- T donnerons demain un compte de maire. — M. M..., femme 1 42 ans. ménagère à ost l'expression de la. population, carttassortM. le commissaire de police et É«S aqrnts rendu de lUn Mille, de M. Maurice Marne Cette information né serait pas dénuée do maise tout entièro et douloureusement frappée f'ransac. mise en vente «le lait falsifié,' 90 fr. se 'sont, transportés sur les lieux pour procéder Noua 110 discutons pas le talent de M Mau- fondement. par ces tristes événements, en transmettant l'a- d'amende. aux ooi.sla .lal.i. ns d'iusagc. rice Ma«ro, mais nous en discuterons 'la va— .Louis-AcJvHte A..., 10 ans, manœuvre a Quelle sera la nouvelle municipalité ? Il est dresse de ea respectueuse sympathie aux faleur philosophique et historique. Vicie/, Lmfraction à la police des chemins «le AnUoïmsSEMENT DE (TOI 7lto;V incontestable, que Al. Gracien, qui occupe de- milles dos ces trois héroïques combattants fer, 1 lr. d'à monde. morts devant renneini, ainsi qu'aux colonels puis plusieurs années les fonctions d'adjoint DEUXIÈME JOURNÉE -'- Gabriel Purbeyro, M ans, ot F.mmaïuiel THECRA. Lo double crime. L'enquête de leurs régiments. » Ca.mbefort, 33 ans, propriétaire, à Incombe, sur le sombre drame de Thégra s '-.-.si poursul La journée s'inauguro par un temps srden- est naturellement tout indiqué pour succéder l a M. sabm Çe choix serait, du reste, accueilli Souvenir Français et comité pour l'érection commune de Villeneuve. < liasse en temps pro vie Vendredi et samedi, par les sotus <le, M. ?n *»vPf? ( clairons vibrent sur Albi Ce> sont très favorablement. d'un monument aux Audois morts pour la pa- hlbé, 60 francs d 'amende. ^Sociétés gymnastiques qui font une proûaublec, iuge de paix à «irauvat, assisté des trie. — Le bureau prie l< .. membres du .comité On nous affirme quo M. Léon Marty réun .uienado dans les rues ot sur les places agents de la brigade mobile CRANSAC. -- Noyée. - Jeudi matin, des on ville ruaces no do ia la rait A peu près l'unanimité de ses collègues de vouloir bien assister au service solennel qid La Riéte qui avait, éte anikcmeée .oomme <levrîeifS traviiillant sur le plateau de Campasera célébré le mercredi 7 juin, à. 10 heures ot désireux de lui offrir le poste d'adjoint. lm vtmit ou pouvant, dommor un résulUrt-, s'est, mn F<*> "ne petite foule va acclamer la pour potages veloutés. demie du malin, en l'église, cathédrale Saint- gnac., «léeouvr iront dons lo Ixissin des Clots. trouvée. inr,i.b«.iu«Mn'«:me «rt., fausse, et après 1 V ii -5: ") uo "«'ri" '1=' Tmiloti-e. Le .l'nalin lo corps de Mme veuve Gonnac, figée, de 75 Miclicl, à la mémoire du commandant n .u 'ARRONDISSEMENT DE LAVAVR ù unie r/'i-io <l'in,fcrrogafoi'ms ot de. perquisitions, ri"' v ' l^ «.ms la nuit, A linto" ans cnvii'oii, SomlclMée à Bulbe, exerçant, la. meus, du 2° tirailleurs algériens, chevalier de la justice est obligée «l'orienter «'.s nvAerches LAVAUR. — Troupier blessé. — L'artilleur la I/églon diionnienr, tite à l'ennemi au com- profession de revendeuse; la veille, cette daine dans une nouvelle ditroctton. , tau venu* à Cransac revendre «tes pies. Elle blesse samedi matin, en voulant éviter uno bat. d'Alouana (Maroc), le 23 mai. n'outre part, nous apprenons que deux homtenait encore dans ses matois crispées un paautomobile, est rentré hier à, Toulouse il no Station d'essais agricoles. — Te mpé rature nier contenant trois de ces oiseaux. Elle avait, mes de mauvaise imtoo eut soupé, maird-i soir sç ressent plus des troubles internes. Son bras maxinia «te la veille, 24°; nii.niima du Jour dans ses poches la. somme «le 3 fr. 60, produit h Gramat, h l'auberge ïtelpeyrot. ev» main gauche sont légèrement contusion 17"; la température unimima s'est «baissée de- sans doute «te sa vente. Vers H heures du soir, 0 1 (iu 9 est Vers les il heures et «lemie', ils passaient à âruste^!^^ ^ ' ï esscntMlemont puis la veille de o° i. Kn,„i, n V.. °ue bu offro-rons tous nos voux et. nos on l 'avait vu se diriger vers les (lots pour re- Lavergne, où pei-sonaie r.e voulut les ,r«'cev«.ir souhaita Passage de troupes. — Le 18" d'orlillerie s nourrissants et économiques. Le baromètre a monté de 4 millim. 5, Kern, a 1 essor de son talent quand il rendant gagner son domiicile. C'est donc en repreuanl Ils sont, activement recrier«:hé,s par i<, pottoe au camp du Caussé, sera do ixissage Temps pVObablft : beau et chaud. u i 10 }1 compter dans l'avenir *armi ^1?," le chemin de sa. maison que, trr»mpée HUM Le coiipalito «temeiwe toujours it l.r.uu dée Préparation rapide. le !.. Juin courant, dans notre ville. Il station 1 la caricature, Fête de quartier. — Les jeunes gens des «loute par l 'obscurité, elle est tombée acciden rt l'affaire de Thégra, nnbmnt par lo mvMiVe I# n rtil ïla '? liera, pondant uno journée. Cfuaatlers du Pan t.-Vieux, Pout-Nouf allées lie •la hataiii  n» «\ MmX liruil cios Préparatifs de tellement dans le bassin on voulant suivre un Le <r chasseurs d'Auch, venant du Larsae qui )'«Mivettr>ppe que par les cmx»n«unres'ixir Bezous. square l^mbetta, rue. des Trois-Cou- tm .cconrci. siiiournera également dans notre ville le 6 juîl ttouliiiremeiit lKxr,rit»los <iu drame p, T***. Ou a admiré les jolies voitu- lot TOnnes e) rues limiir,>p!ie.s ont fixé la fête anprochain. ' MONTSALÊS. Cambriolage. r , i mD,» , wïolte de ces qmrtiers au 35 juin cwwant ' tant cambriolage a été «jnouni* fc V) mai, eu tre rtffÛB au QmMf Une «t»fffM»e se nièk i cette onrk"«t*.

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UNE FUSILLADE A MONTMARTRE

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés


MARDI 6 JUIN 1911 ... i i. r."

1 ,050 fr.

Q.6S MARCHE Eoouifn.

DE LA

- Amenés 2.19S

- Amemèea

V1LL1ÎTTE Du 5 juin. ; veiniiliis 2.C03. 2 ; 1 63;

1,024; vendues 970. 1 93; i 80

Ta u l'eau: . — Aimcn<s 270 ; vendus 247. 1 68; 1 53 t

1 3 2 1

; brcauix de travail, de 650 à 900 fr. ; lu-eaux pour l'élevage, dto 300 à 000 fr.; vaches de travail, do 500' à 600 fr.; le tout la paire ; veau* de tMUr cihenie, de 1 à 1 10 le kilo, poids vif.

Veaux. — Amenés 1,688; vendus 1.021. 2 50 ; 2 18 90, Moulons. — Amenés 0.083; vendus 9.645. 2 58 00 ; 1 90. Moutons. — Ameittés 9.0S2; vendus 9.645. 58 00 ; 1 90. Porcs. — .Amenés 4.404 ; venodUB 4.407. 1 94; 1 90; 38. *\>au de monu'tons. — 2 50 ù. 5 50.

HAUTE-GARONNE Saint-Gaudenis. Mercuriale (lu manchô du 1er juin. —- Cours ipratiïués ; Eromeat, lre frualitô 23 fr. ; 2", 22 50; 3', 22 fr.; métoil, 20 fr. ; seigle, 16 fr. ; avoine, lre qualité, 12 fr. ; 2", il se ; 'mais, 17 fr. ; haricots, 30 fr.; pommes de terre, 6 fie, le tout l'hectolitre. Fourrages. — Foin, lre qualité, 5 25 ; 2', 5 25 ; paille, lie qualité, 6 25 ; 2*, 5 75, le tout le quiutal. Animaux conduits au malrclié. — Bœufs, 210; vaches, 350; veaux, 350 ; moutons et hrehis, 700 ; porcs, 530. . ' Prix moyens. — Bœuf, 0 80 ; veau, 1 à 1 Ifl; mouton, 0 85, le tout le kilo. • . Volailles. — Poulets, 3 50; poules, 6 fr.; dindons, Ifi fr. ; pintades, 7 fr., le tout la paire. Huis, 0 75 la douzaine. AiUÊGE Pamlers. Marelie du samedi 3 juin : Blé, 100 hect., de 22 50 à 23 fr. ; seigle, 30 hect de li-i 50 à 15 fr. ; méteil, 25 hect., de 16 50 à 17 fr. ; maïs, soo hectos, d» 15 50 à 16 fr.; avoine, 80 hect. do 50 à 12 fr. ; fèves, 10 hect.', de 16 50 à 17 fr.; haricots, 50, de 32 50 à 33 fr.; pommes de terre, de 7 il. 7 50. Mazeres. Cours pratiqués au marché du 1er juin : 11 a été vendu 723 hectolitres de blé, de 22 75 -â. 23 fr. les SO kilos ; méteiil, de 10 50 à 17 «r. ; seigle, de lil 50 à 15 lr. ; maïs, de 15 à 10 fr.; avoine, de W à lil T5 ; halricots, .de 25 à 31 lr.; fèves, de 16 à 16 25 ; pommes de terre, âe 6 à 7 fr., le tout l'hectolitre. Volailles. — Poules, de 6 à 7 tr. ; beaux poulets, do 5 à 5 50 ; canards, de à 76 à 6 ir. -, pigeons, de 2 15 à 2 25 ; poussins, de 0 60 a 0 60. le tout la paire ; lapins domestiques, de 2 25 à 2 50, la .pièce. z*es œufs, 0 85 la douzaine.

u

HATJTEiS-PTRÊNËElS Bonnefout. Folire des domestiqanes. — Cette foire qui se tiendra, dans notre commune lundi 5 juin a (pris beaucou», d'extension; «Me est le rendez-vous de beaucsœp. de domestiques et cTestivandiers. Les propiiélaiires auront à coup sûr l'embarras du choix. Lannomezain. Le, marché. — Cours pratiqués : Boîiiils de Hawaii de 9C0 à 1,000 fr.; vaches de la)mm, de 700 à SCO fr.; hcuivitlons, de COO à 7SO fr. ; Senlsses, de 350 à 460 fr. la paiire ; braux, pour la iatwjatterie, de 70 à 110 fr. pièce. HUé, 23 50 à 21 fr. ; méteil, 21 fr.; seigle, 16 50; UBHI 16 à 17 fr. ; aivoine, lit 50 a 12 :f.r.; millet, 20 à -» tr-, ; haricots, de 35 à 40 fr.; pommes de terre, 7 à 7 75 l'hectolitre. Poules, 5 à 6 fr. ; poulets, -4 fr. ; pintades, g fr.; e»aai»do, 5 à 6 fr.; oisons, 3 70 ; canetons, 1 60 la paire ; lapins, l 50 à 2 fr. pièce. Œuis, 0 70 la douzaine. ©laitons, 14 tr.; dindes, 9 fr. ; pigeons, i 50 la pawe. Oocffcoiis de tait, 20 à 25 fr.; d'élevage, d© 30 à » fr.

TARN-ET-GARONNE

foire du 2 juin, dite do SalnVGlair, est une des plus importantes do l 'année; cette fols encore, «Me n'a pas démenti, sa vieillie réputation, hien qaelle ait té dérangée, dans la soirée, par un violent otage. Une nombreuse Jeunesse so pressait dans Eues et sur nos places, et les affaires traitées ont Cto très considérables. Voici lies cours pratiqués : Marché aux bestiaux. — Bien garni et vente facile à des prix élevés. Viande de boucherie. — Bœufs, d'à 40 a 40 fr. ; vacheis, de 35 à 40, le tout les 50 Mlos; veaux, 1 1«; moutons, 1 fr., Je tout te kilo. Animauix de labour. — Bœufs, de 1,050 à l ,2o0 rr.; vaches, do 900 a 1 ,100; génisses et taurillons, de 400 a 660, lo tout la paire. Porcs gras* 70 fr. les 50 kilos; porcelets, de 25 a JO l 'un, su'iivaiiH grosseur et quotlillô. Place a, la volaille. — Bien garnie et baisse légère. Poulets 1 fr. 10; pintades, 1 fr. 20-, poules, 0 fr. 75; canards, 0 fr. 70, le tout le } kilo; lapins, de 1 fr. 26 à 3 fr. l 'un. Œuife, 0 tr. 85 la. douzaine. Fruits. — Cerises, 0 fr. 30 le kilo; fraises, 0 tr. 25 le panier. Halle aux grains. — Blé, de 21 à 22 fr. les 80 Kil.; Heves et maïs, 16; orge, 114; seigle, 15; awoine, 10 50; sorgho, Il ; haricots, 35, le tout l 'hectolitre. Son, 7 25; repasses, 8 50, le tout les 50 kilos. Monclair-de-Quercy. Marché hebdomadaire dhui 1" juin. — Voici les .principaux cours pratiqués : Animaux de boucherie. — Beetufs, de 42 a 4 fr. ; vaches, de 36 à 42 j veaux, de 52 à 55; moutons, de 45 à. 48, le tout les 50 kilos. poids vif: nourralns. de 50 à 70 fr.icochons déliait, environ 150 d'amenés, vendus de 35 à 45 francs la pièce.

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Le dîner de la Revue HeMomalaire

Jeudi soir, au Carlton-Hotel, aux ChampsElysées, le dîner de la Revue Hebdomadaire a été une véritable fête littéraire. Parmi les deux cents convives qui es pressaient autour de M. Fernand Laudet, nous avons noté la présence de MM. Paul Bourget, Jutes Lemaitre, comte d'Hausson ville, Maurice Donnay, G. TRANSPORT DES BESTIAUX DE LA RÉGION Hanotaux, R. Poincaré, de l'Académie franDU MIDI SUR PARIS çaise, professeur Branly, Pierre de la Go-roc, - (Les départements de la Haute-Garonne, de Henri Joly, Edmond Perrier, Paul Leroy-Beaul'Ariège, etc., malgré leur éloignement four- lien, «ie l'Institut, Barthoo, Pierre Baudi.nl?! nissent au marché de Paris un nombre im- Doumer, anciens ministres, Henri Coohin, .1. Delàfosse, députés ; J. -Charles Roux, majorai portant de bestiaux. En vue de développer et de faciliter ce tra- du Félibrige, ancien député ; général Bon-Bal,fic, à partir du 1" juillet prochain, quand ces A. Lichtenberger, Erncût Daudet, P. de Nolhac, bestiaux seront amenés à Monto.uban par le Ch. de Poniaiïols, Camille Bellaigue, Henry train de marchandises Midi 1116, la Compa- Bordeaux, Paul Acker, Paul Adam, Mgr Baugnie d'Orléans mettra en marche au départ dirillart, recteur de l'Institut Catholique de de Montauban, le mardi et le samedi, un train Paris, J.-H. Rosny, comte d'Elbée, bâtonnier de marchandises correspondant à Brive- avec Chenu, Funok-Brentano, Ch. Le Goffic, R. Valle train spécial de bestiaux qui a lieu réguliè- iery-Radot, Mare Sangnier, André Hallays, rement ces deux jours de la semaine et arrive . G. Desehamps, de Lanzac de Laborie, Geoffroy de Grandniaison, etc., etc.: Toulouse était reà Paris le mercredi et le dimanche matin. Ainsi les bestiaux partis le lundi et le ven- présentée à ce banquet par M. Guy de Montbel dredi des gares de l'Ariège pourront être à ©t notre collaborateur Armand Praviel. Au Champagne, M. Gavoty, président du Paris dans la matinée du surlendemain de leur départ et se refaire dans les écuries en conseil' d'administration, a remercié aimableattendant leur présentation au marché de la ment les invités de la Revue Hebdomadaire. Puis, M. Femand Laudet s'est adressé à ses Vi'llette du jeudi ou lundi. . Le tarif P. V. 101 actuel soumis à l'homolo- collaborateurs. « L'année dernière, dit-il, M. Jules Lemaîtire,, gation aura en outre pour effet d'abaisiser sensiblement le prix de "transport des bestiaux après nous avoir mis. dans l'intimité, do Rousseau et avant dé nous faire entrer bientôt d4ns de cette région sur Paris. C'est ainsi qu'un wagon chargé de 72 mou- celle de Chateaubriand, nous avait pein*j la tons de Foix à Paris-bestiaux qui paie actuel- figure du sentimental apôtre du pur amour. lement 217 fr. 05 ne paiera plus que 195 fr. 60. Cette année, c'est Molière qui a remplacé Fénelon et c'est M. Maurice Donnay qui a pris la parole. » Quelle bonne fortune. Messieurs, pour une revue qui croit à la culture classique et qui

GERS Plaisance-dUrGers. Notre marché de jeudi a été bien favorisé par le beau temps ; aussi M a été assez important. Les diverses places étaient bien approvisionnées en denrées de toutes sortes et boa nombre d 'affaires ont ïtô traitées. Voici les principaux cours pratiqués : Balle aux grains. — Blé, de 22 à 23; avoine, de 11 50 à 12; maïs, de 15 à 15 50; seigle, de 16 à 16 50; orge, rde 13 à 13 50; fèves, de 17 à 17 50; haricots, de ,'1,3 à 50; pommes de terre, delO àitt; veisces, 24, le tout l'hectolitre. Son, 16; rèzes Unes, 18; ordinaires, 16, le tout le quintal métrique. VolaiUei. — Poules, de 5 à 6; poulardes, de 4 50 à 5 50; pontets, de 3 50 à 4; dindons, die 14 à 16; dindes, de 12 à 13; canards, de 6 à 7; pintades, de 6 50 à 7 50; pigeons, de 1 25 à 1 50, le tout la paire; lapins domestiques, de 1 50 à 1 75 la pièce. . Ofecns de huit jours, ds t 25 à 1 50; oisons de 15 jours, de 1 75 à 2; canetons, de 0 60 à 0 75, le tout la pièce. Œufs, 0 80 la dounzalne. Foirail. — Grands bœufs, 1,000 à 1,100; bœufs moyens de SOO à 900; bouviîions, de 500 à 600; vaches de travail, de 700 à 800; génisses, de 450 à 500, ie tout la paire; veaux pour la boucherie, de 90 à 110 la pièce. t Pore». — Prix toujours élevés : porcelets, de 25 à SO; cochons de marche, de 50 à 70, le tout la pièce suivant taille et qualité. 1.1 se traite en ce moment peu d'affaires au marché aux vins et eatcc-de-vie. Les prix, quoique encore très élevés, sem'Blent faire pressentir une légère haisse. Bois. — Fagots, d© 6 à 6 50 le char de vingt; rondins, de 6 50 à 7 le stère. Foin, de 2 50 à 3; paille, de 2 50 à 2 75, le tout le quintal usuel. L'Isle-Jowrdaia. Masehe du 3 juin. — Cours pratiqués : llaï-ehé aux grains. — Blé supérieur, de 21 50 à. 23 Ir.; blé ordinaire, de 20 75 à 21 fr.; W6 miitadin,, de 20 50 à 20 75 ; blé gros, de 19 75 à 20 fr. ; avoine, de 10 75 à 11 25 ; orge, de 11 à 12 fr. ; maïs, de .17 25 à 18 25 ; haricots, d© 40 à 45 fr. ; fèves, de 16 50 à DS 75 ; esparcette, de 11 à 12 fr. ; vesces, de 22 à 23 fr. le tout l'hectolitre. Graines. — Luzerne, de MO à 150 fr.; trèfle, de 80 à 90- fr. ;. pommes de teecre, de 13 à 13 50, le tirât les 190 li il os. _ Fourrages. —- Foin, de 4 50 à 4 75 ; luzerne, de J, 25 à 4 75; sartofoin, die 3 75 a 4 25 ; paille, de 3 à * 50s le tout les 100 kilos.• • - Marché à la volaille. — Dindons gros, de 18 à 20 fr.; dindons ordinaires, de 15 à 18 fr. ; dindes grosses, de 14 à 18 fr. ; dirades ordinaires, de 12 à 14 fr. -, oies grosses, de 13 à 15 lr.; oies maigres, de 19 à 13 fr. ; poulardes, de 5 50 à 6 25; poules, de > 75 à 7 25 ; poulets de grains, de 4 75 à 5 25 ; petits poulets, de 3 75 à 4 75 ; chapons, de 7 à 9 fr.; pinjades, de 5 à 6 fr. ; canards ordinaires, de 4 à 5 fr.; pigeons parisiens, de 2 25 à 2 50 ; pigeons communs, |e 1 -25 à 1 75, le tout la paire ; lapins de repro•taçtion, de 2 50 <à 3 50 ; lapins domestiques, de t 75 à 2 25 la pièce ; les œufs, de 0 80 à 0 85 la loraaine. Marché aux oisons. — Oisons, de 3 50 a, 4 50; ;ane:tons mullarfls, de 2 25 à 3 75 ; canetons com-muns-, de 1 25 à 2 fr. le tout la paire. Risole. Marché. — Voinicii les cours pratiqués : Halle aux graine. — Blé, de 22 à 23 fr. ; avoine, .2 lr. ; maïs, de 16 50 à 17 lr. ; seigle, 16 fr. ; orge, 18 fs. ; haricots, de ',0 â 50 fr. ; pommes de terre, ae » à 9 fr., le tout l'hectolitre. Place à la volaille. — Poules, de 5 à 0 fr. ; pou'ets, de 2 50 à 5 fr. ; dindes, de 9 à 12 fr. ; dnindons, de 10 à 14 fr. ; chapons, de 9 à 11 fr. ; pintades, de « à 8 fr.; le tout lia, paire ; pigeons, 1 25 ; lapins le 1 50 à 2 fr. le tout la pièce ; œufs, 0 30 la douzaine. Mtarehé couvert. — Oisillons, de 1 75 à 2 20; canards milliards, de 0 70 à 1 fr. ; canards communs de 0 60 à 0 75 le tout la pièce. Nouveau foirail. — Bœufs do travail, de 900 a.

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Molièrefl.

La

Ces abonnements comportent, en outre du Ce numéro contient encore : la magistrale d'aller et retour à ces côtes avec arrêts coiiïérencc faite par André Beauimcir sur Lu- trajet cide do Oliatcautbrtandt — Une étude littéraire intermédiaires lacultatifs, la faculté do circuh volonté sur les lignes des cotes bud et signée Firniim Itoz, sur le nouveau livre do ler de Bretagne ; ils sont valables 33 jours Gabriel Hanotaux : « Jeanne d'Are » ; Une pit- Nord avec faculté do prolongation d'une ou deux toresque page de H. do Bruguièiio sur les « Pi- fois d'un mois moyennant un supplément do geons patriotes » ; Une étude de François Cop- 25 % du prix initial pour chaque période, sans pée, « A la Mémoire de Paul Verlaine », dont que la validité puisse en aucun cas dépasser on vient d'inaugurer le monument à Paris ; 15 novembre. . , „„ Des « Poésiies » signées Verlaine ; Une page le Lo prix des cartes d'abonnement est de 95 de Qliateautoianidi sur « Jeanne d'Arc dons francs en 2° classe et do BO francs en 1™ clasl 'histoire et dans la UOtéiraituro » ; Un article se, lorsque distance pour les parcours (aller très curieux de Raymoud PassUlé sur « Le et retour) lan'excède pas 1,000 kilomètres en Chien », à l'occasion de l'exposition canine dehors des points do libro circulation. Au-delà qui vient de fermer ses portes ; la passion- de 1,000 kilomètres, lo prix est augmenté de nante nouvelle : « Les Yeux de l'Espion », par 0 fr. 015 et de 0 fr. 065 (en 2° et 1™ classes) par François de Dion-, etc. en sus. La, « Revue Française » paraît chaque se- kilomètre Des réductions allant jusqu'à 50 % sont conmaine sur 32 pages. Un an, 10 fr. Le numéro, 25 contiimes. — Etranger : un an, 13 fr. 50. senties en faveur des membres d'une mftme faLe (numéro : 30 centimes. Rédaction et admi- mime. nistration : 17, rue Cassette, Paris. — Relgique : Un an, 10 francs. Bureaux à Bruxelles, 6, rue d'Assaut. (Bibliothèque choisie). CHEMIN DE FER D'ORLEANS Pour 1 franc, la « Revue Française » délivre des abonnements d'essai d'un mois donnant ' Ce qu'on peut visiter en France en empruntant droit à quatre magnifiques numéros do 32 pales lignes du réseau d'Orléans ges illustrées. Le réseau d'Orléans, situé au cœur de la France, Demande spécimen contré 0 fr. 10. dessert la riante Touraine, si riche en monuments

bonne fortune que de sertir dans son cadre le beau portrait fait par Donnay de notre plus grand homme de théâtre ! Lecteurs ou auditeurs, avec quel intérêt nous avons suivi celui qui a si bien .su confondre la vie et l'œuvre de -son personnage, qui nous l'a montré Au Son du Biniou, La Mère-au-Pain, Paugrandi et meurtri par 1 existe née, trahi dans v'tit Gàs ! par Théodore Botrel ; Chanson du son domestique, en butte aux calomnies de j Champagne, par Xavier Privas ; Mes Bœufs, ses adversaires, et aux « actions fâcheuses » de I par Yves Le Stanc ; Le Circuit de l'Ouest, ses amie, mais répondant aube attaques et aux ; par Dominique Bonnaur ; Bonjour, Suzon ! perfidies par des chefs-d'œuvre et nous laispar Marcel Legay, Chanson de printemps, sant l'exemple d'un formidable, labeur et d'un par Louis Tiercelin ; Berceuse, par W.-A. Mo- effort incessant, vers la vérité. » . zart : Les Coffrets, par P. du Marehey ; ParaAprès avoir parlé de l'Enquête sur les Minisbole des blés, par Louis Mercier ; Les Champs, tères publiée dans la Revue Hebdomadaire et monologue de J. Jouy ; Les Chasses du Prési- de la série de nouvelles' intitulées le Banquet dent Roosevelt, monologue par René Buzelin; et ouverte par Paul Bourget, . M. Laudet a conclu ainsi : Gratte-Ciel, par X. Granier ; Dans la Vallée de la Semoy, par Th. Renauld ; La Voulzie, « La mères* immense », no us- disait ici, il y par Hégésippe Moreau ; Soir en Ardenne, a quelques années M. Hanotaux, en nous inpar André Fage ; Aimez votre Prochain, co- diquant l'étendue possible, de nos navigations. médie en un acte, pour jeunes filles, par An- Combien il avait raison de stimuler ainsi nos dré Chenal ; La Chanson en Champagne, efforts, car ce n'est certes pas pour 'l'homme étude par G.uillot de Saix. une tristesse, mais une consolation de sentir Prix du "numéro : 1 franc. En vente par- sa vie plus courte que sa tâche, et d'être assuré d'avoir toujours-un élément -à son activité ! tout. » C'est sur cette pensée encourageante que Rappelons que la collection complète de La j'aime à finir, Messieurs et chersi CollaboraBonne Chanson, formant trois gros volumes teurs, en levant mon verre en, l'honneur des illustrés, est en souscription avec l'abonnement en cours» au prix de 55 francs, payables nobles ouvriers de lettres q«i ont bâti•la -Relue-5 francs par mois, ou 48 francs au comptant. Hebdomadaire. » Cette magnifique collection ne comporte pas M. Maurice Donnay va répondre à M. Laumoins de 600 chansons, monologues et pièces det : de théâtre. Pour plus de détails demandez le M. Donnay détache les mérites de la revue.' prospectus spécial à la maison de La Bonne « Comme Pallas-Athêné, elle se pare des plus Chanson, 8, rue Saint-Simon, Paris. belles épithètes : hebdomadaire d'abord (rires) traditionnelle, novatrice, hardie, mesurée, disciplinée, indépendante, hospitalière, éclectiREVUE DES DEUX MONDES, 15, rue de l'Uni- que, et par dessus tout française, allègrement, versité, Paris. — Prix de l'abonnement : vaillamment, profondément française, et c'est Paris, un an, 50 fr.; six mois, 26 fr.; trois pour cela qu'elle n'est que pessimiste. » Et M. Donnay termine après avoir fait l'émois, 14 fr. Départements, un an, 56 fr.; six mois, 29 fr.; trois mois, 15 fr. Etranger, un loge de la brièveté imposée.par le format de la an, 62 fr.; six mois, 32 fr.; trois mois, 17 fr. revue, et s'être spirituellement moqué de la — Les abonnements partent du 1 ER et du 15 prolixité. M. Paul Doumer a terminé la série des de chaque mois. toasts, au nom des personna-Vitée qui ont pris Livraison du Sommaire du 1<* Juin 1911 E part à l'Enquête sur les Ministères. Et la soiL Ma Figure, 2 partie, par Claude Feirval. rée s'est prolongée encore assez longtemps, H. Lia Genèse du Génie du Christianisme. J. Les Origines et la Jeunesse de Chàteau- au son de la musique, autour des tables de café, mêlant, comme dans les pages de la hriainidi, par M. Victor Giraud. Revue, les personnalités les plus diverses, III. L'Enfant, par M. Henry Joly, de l'Aca réunies par lé culte des lettres. demie des Sciences morales. IV. La Légende de Zoroastre, par M.Edouard Schuré. V. Ménéléik, par M. Robert de Caix. CHEMIN DE FER D'ORLEANS VI. Craintes et Espérances pour l'Art aux Salons de 1911, par M. Robert de la Sizeranne. VII. Un Salon allemand au temps du Ro- Abonnements individuels et de famille pour mantisme, par M. A. Bossert. les côtes Nord et Sud de Bretagne VIII. Poésies, par Mme la baronne Antoine de Byimont. Afin de permettre aux touristes ainsi qu'aux IX. Revue Musicale : Le Voile du Bonheur, Gwendolime, à l'Opéra, par M. Camille Bellai- familles de s'installer sur une des plages gtie. de Bretagne et do rayonner de là sur les auX. Chromii-ve de la Quinzaine, Histoire Poli- tres localités de cette région si variée et si tique, par M. Francis Charmes, de l'Académie intéressante, la Compagnie d'Orléans, d'acfrançaise. cord avec les chemins de fer de l'Etat (ancien XI. Bulletin Bibliographique. réseau de l'Ouest), délivre du jeudi qui précède la fête des Rameaux au 31 octobre inclus au départ de toute gare .station ou halte « LA REVUE FRANÇAISE », politique et litté- des deux réseaux (lignes do banlieue du réraire hebdomadaire illustrée. — Paris, 17, seau do l'Etat, anciennes lignes de banlieue de la Compagne de l'Ouest exceptées), des rue Cassette. abonnements individuels et de famille de lre « La Question, Marocaine », qui est plus que et 2' classe pour lés côtes Sud et Nord de jamais à l'ordre du jour, est admirablement Bretagne (Gares des lignes du Croisic et de exposée, dans la « Revue française » du 4 juin, Guérande à Brest et de Brest à Granville par par M. le lieutenant-colonel Rousget, ancien Lamballe, Dol et Folligny et des lignes d'em1 député. branchevent vers la mer.

Peuille-tom du 6 juin 1911

PAR

Vîlïiam Waiîace Cook Adaptation de E. Pierre Luguet

CHAPITRE PREMIER X L'INTRIGUE SE NOUE -

Il attendit uine réponse, mais la réponse rue vint pas. — Jo crois pouvoir vous donner* espoir Moaasiei ttj&aéetstm : je désire que Miss consacre pmesque cxclusiveTravis mont aux travaux du latoaratoiro ; quand poma i oz -vousi commencer 1 — Tout de suite. — Très bien. Jo pense quo vous trouve. )\\7, facilement à vous loger ; 'pour le reste, Mis.s Travis vous mettra au couiant mieux que moi. Me so lova et, so dirigea vors la u momeent d© sortir, il se retourna, et s'adresaant à Amy .

Jo vais ailler cïiez Mi «iuo] nn roiji.iiuno sottise qm« jo fis liicir M Travis : fi guirez-vous que j'ai dlom'nA> le singo grimpeur au petit avenu lapin qui rer

crie au sourd-muet I Il se mi t à rire et dit en soi tant : — Cela arrive pair foi.-s ; nos faveurs «ont appréciées beaucoup moins qu 'elles ne lo déviaient, à cause des bévues que nous commetions eu les accordant 1

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et en souvenirs historiques (Blols, Chambord, Amfcoise, Chenonceaux, Loches, etc..) Par la bello région de la vallée de la Loire, u conduit à Angers, Nantes, et à la Côte Sud d'uno Bretagne ancienne aux plages réputées (I^i Baule, le Pouliguen, Quiberon, Belle-Ilo, Concarneau. Douarnez). Au centre de la Franco le réseau d'Orléans permet de visiter l'Auvergne aves ses fraîches vallées et ses stations thermales (La Bourboule. le Mont-Dore, Le Lloran, Vic-sur-Côre. etc..) ou encore les merveilles naturelles des Gorges du Tarn et du Qvercy (Rocamadour, Gouffre de Padirac, Grottes de Lacave). Au delà enfin, par les grandes lignes de Bordeaux, d'un côté Toulouse, de l'autre, qui sont aussi les routes d'Espagne et du Portugal, il donne accès à la région des Pyrénées. Les beaux paysages de montagnes ainsi que nombre de stations thermales (Luchon, Cauterets, Les Eaux-Bonnes, La.ma.tou, Amélie et Vernet-les-Bains. etc..) ét les grandes stations thermales, balnéaires ou hivernales de Pau, Biarritz, Salnt-Jean-de-Laz, etc., ont consacre depuis longtemps la célébrité des Pyrénées.

n'entend être moderne qu'en restant fidèle aux Humanités (longs applaudissements), quelle

LA BONNE CHANSON Toujours fidèle à son excellent programme d'éclectisme, la revue de Théodore Botrel vient de faire paraître un numéro particulièrement attrayant, dont voici le sommaire :

Montaudran (Pont desT-Oemois 'lies). - Aller : matin, 8 h.; soir, 5 h. — Keto,;.» ; matin, o h; soir, 6 II. Saint-Martin dUrTouch. -- Aller ; malin, 6 h.; U h.; soir, h.; 7 h. - Retour : matin, 8 11. ; soir, 1 h.; 0 h.; 8 il. Colomicrs. — Aller : matn, 6 H.; U h.; soir, 4 b, Retour : matin, 7 h. 1/2; midi 1/2; soir. 5 h. 1/2. HraqucviJlo l'oilet. Allai- : matin, i; h.; midi; soir, 4 h. — Retour : malin, 7 h. 1/2; soir, 1 h. 1/2;

.CHEMIN DE FER D' ORLEANS La Compagnie, des chemins de fer de Paris-à Orléans a l'honneur de porter à la connaissance du public que le Guide Illustré de son réseau pour 1911 est actuellement mis en vente, au prix de 0 fr. 30 dans les bibliothèques de ses gares, dans ses bureaux de ville et dans les principales agences de voyages de Paris. Il est également adressé franco à domicile contre l'envoi préalable de 0 fr. 50 à l'Administration Centrale, 1, place Valhubert à Paris-, Bureau du Trafic-Voyageurs (Publicité). Ce Guide, de plus do 320 pages, illustré de nombreuses gravures contient, en outre d'un certain nombre de plans et de cartes, les renseignements les' plus utiles pour le voyageur (description des sites et des lieux d'excursion en Touraine, en Bretagne, en Auvergne, dans les Pyrénées et le Centre de la France, horaires des trains, principales combinaisons de tarifs, etc.) CHEMIN DE FER D'ORLEANS BILLETS DE LIBRE CIRCULATION Pour les plages des Oôtes Sud de Bretagne Pour répondre au désir des touristes qui se proposent, soit de faire un voyage d'excursion sur les Côtes Sud de Bretagne sans programme arrêté d'avance, soit de s'installer sur une des plages de la côte et de rayonner de là sur les autres localités de cette région si variée et si intéressante, la Compagnie d 'Orléans délivre chaque année, du jeudi oui précède la fête des Rameaux, au 31 octobre inclusivement, au départ de toute gare du réseau, des billets d'abonnement pour bains de mer et excursions sur les plages Côtes Sud de Bretagne, dont les prix sont fixés ainsi qu'il suit : 1° Au départ de Paris et da toute gare du réseau située à 500 kilomètres au plus de Savenav : l ro classe, 100 fr.; 2" classe, 75 fr. 2° Au départ de toute gare du réseau située à plus de 500 kilomètres de Savenay, les prix ci-dessus augmentés, par chaque kilomètre de distance en plus de 500 kilomètres, de : 1™ classe, 0 fr. 1344 ; 2E classe, 0 fr. 09072. Validité : 33- leurs avec faculté de . prolongation. , • Réduction pour les familles variant de 10 à 50 %.

Tousses dimanches auront lieu des départs suppléonentalres : . , . ,_ Pour lllngnac (par l'Embouchure), .1 8 h. matin. — Pour inagiuic, (par le l'olyg-w,; a 5 h. soir. Pour Salnt-Martiii-du-Touoli. a 2 û«UxW. — Pour Lafouirguette, a 2 heures. . .'..•„ Lieu ae déniait de,-, omnibus ; p. «ce du Capltole. LIGNES

tuersitiuii

Scmafna JE— Place (la dpitolo à arolx-Daur.ado (pont de l'Hers), chaque heuro dans chaque sens. — Aller : 0 h., 7 h., 8 h, 0. h. 10 h-, 11 h., midi, 1 h., 2 h 3 h 4 h., 5 h, 0 h., 7 h-, n h-, 9 h. — Retour : 6 h" 30 7 h. 30, 8 h. 30, 9 h. 30, 10 h. 30, 11 h. 30. midi 30, 1 h. 30, 2 h. 30, 3 h. 30, 4 tl. 30. 5 h. 30, 6 h. 30, 7 h. 30, 3 h. 30, 9 h. 30. N. E. — Place du Gapitole il Lala.nde-Auca.ùiville, chaque 40 minutes dans chaque sens. — Aller : 0 11-, 6 h. 40, 7 h. 20, 8 h., 8 h. 40, 9 11. 20, 10 h., 10 h. 40, 11 h 20 midi, midi 40, 1 h. 20, 2 11. 2 h. 40, 3 h, 20, h. h. 40, 5 h. 20, 6 h., 6 h. 40, 7 h. 20. 8 h.. B h. 40. — Retour : 0 h. 40, 7 h- 20, 8 h., 8 h. 40, B h. 20, 10 h., 10 il. 40, U h. 20. midi, midi 40, 1 h . 20, 2 h., 2 h. 40, 3 h. 20, 4 h. 4 h. 40. 5 11. 20. 0 h., C h . 40. 7 h. 20, S h., 8 h. 40. 9 h. 20. M' E'. — Placo Esqulrol il Saim Agne, chaquo heuro dans chaque sens. — Aller : 6 h., 7 h., 8 h., 9 h., 10 h., U h., midi, 1 h., 2 h., 3 h., 4 h., 5 h., 6 h., 7 h., 8 h., 9 h. — Retour : 6 h. 30, 7 h. 30, 8 h. 30, 9 h. 30, 10 h. 30, 11 h. 30, midi 30, 1 h. 30,

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2 tl. 30 3 tl. 30. 4 II. 3C. j 11. J0. 0 11. 30. 1 ... U 11. 30. i" E' — place Ksqtiirol il ml :ini! cli:u|u< demi, usure dans cnariuo sens, - Alloi- 6 h., «'h 30 1 7 11. 30. 8 h.. 8 II. 80, '-) &., 9 H- 30. 10 h., l'i II 30, • 11 d„ H 11- 30. midi, midi 80. I U. l li- 3i .» H 2 h. 30, 3 11., 3 b. 3>. i 6., 4 II. 30, 0 h., •'> h 30, , h 6 11. 30 7 11., 7 11. 30. H le. i 1). 30. 0 11. - Retour f 0 h. 30 ,7 11.. 7 h. 30, H II., -S h. 30. 9 h. 9 II 30 10 i. . 10 h 30 n h n hmidis midi 30, I e.. I n ($ 30 . ? !>.. S o X. 2 11., 2 11 30, 3 11., 3 h. 80, i h, 4 « h., 6 tl. 30, 7 h., 7 h. -M, S II., S 11. 30. 1) Il 0 11 30 z E. - l'iaco Esqulrol à salnt-Slown, cliacj i h ••. minutes dans ciiaipio sons. Aller « '»•• 7 11. 30, H h. 15, 0 h., o h. 10 li. 30, Il h- lo, m midi 45, 1 h. 30, 2 11. li>, 3 h., 3 h. 45, 4 11. 30, 5 n lii, 0 n., o h. 45. 7 a. 30, o. u. - - Retour 0 11 1 11 ". 8 h. 15. 0 1i., 9 h. 4r>. 10 h. 80, Il h. 15, mUll, midi '<->, 1 11. 30, 2 h. 15, 3 11., 3 11. 40. 4 h. 30. "•> II. 15- « 11. 6 11. 45, 7 h. 30 8 h. 15. 0 h.. 0 il. 45. Services supplémentaires pour les dimanches et fôtes . J. E. — A partir de l Heure après midi, dans chaque sons, départ chaque r> m ont s N. E. - A partir do t htfUM aprewnldJ, dans chaque .sens, départ chaque va minutes. M' E'. — A partir de 1 lemre après -midi. dan. etïaquo sens, départ chaque il minutes. T' E'. — A partir do l heure après-midi, dan.; cha. quo sens, départ cliaque 15 minutes, ns chaZ. E. — A partir de 1 heure après-mld quo sens, départ chaque 22 minutes 30". Lo t'srniei- départ aura lieu J. E. — De la place du (.'apitoie, 9 h. do l'Hers, 10 h. soir. il 'AuJJ, g, _ DO la placo du Capltole. 9 i camvillo, 10 heures soir. M' E'. — De la place Esqulrol, 9 n. 3 Agne, 10 heures soir. T E'. — De la place Esqulrol, 9 u, derme, 10 heures soir. » de Saint z. E. — De la placo Esqulrol, 9 neur< Simon, 9 h. 45 soir.

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BULLETIN D'ABOIEMENT AU «MAL Pour faciliter les souscriptions aux abonnements au journal dans les localités où nous n'avons pas de vendeur, nous établissons ce bulletin, qu'il suffira de détacher — après l'avoir complété et signô —* et d'envoyer à l'administration du journal, sous enveloppe affranchie. M. demeurant â

Omnibus-Tramways de Toulouse Service d'été a partir du lundi 3 avril 1911 : LIGNES DESSERVIES PAR OMNIBUS A CHEVAUX

Blagnac (par le Polygone). — Aller : matin, il h.; aokr, 7 h. —'Retour : matin, Midi; soir, 8 h. Blagnac (par l'iîmbouehure). — Aller : matin, 0 h.; soir, 2 h. — Retour : matin, 7 h.; soir, 3 11. Lafourguette. — Aller : matin 6 b.; 10 h. ; soir, 7 h. — Retour ; malin, 7 h.; 11 h.; soir, 8 tl. - -

Lorsqu'il eut passé le seuil, Amy s'élança et le suivit des yeux un bon moment. — Il est étrange, sœur, dit Tom Travis, .mais bon garçon ; pourquoi oè me félicites-tu pas ? La jeune fille vint à lui, s'appuya au dossier de sa chaise, et lui passa les bras autour du cou. — Pourquoi as-tu fait cela, Tom ? Pourquoi ? Et le mécontentement perçait dans sa voix. -— Quoi, petite fille, d'avoir obtenu un© place ici ? — Oui, et donné utni faux nom ? — Il est inutile de me 1 bomfoairder de tes pourquoi, .répondit-il avec bonne humeur,, je n'ai pas Thaibitudo d'avoir de secrets pow toi, Amy, j© ne .commencerai pas aujourd'hui. — Si notre mère était ici, Tonn, pourra is-tu la regarder sans rougir ? A ces .mois, le jeune, homme montra quelques signes d'impatience. — Quelle fe -mime tu esepour voir tout de suite les choses en, noiir 1 J'ai été tirés léger, je l'admets, mais je n'ai .rieu fait qui justifie ce visage chagrin, cet air désolé ! Voyons, sœur, regarde-moi avec gaiet<\ ou, jo regretterai d'être venu 1 Elle vint so placer ein face de lui, mais garda son air sévère. — Il faut m'expiliquor ce quo tu te prrorriose.s, Tom, en mo mettant dams cette fausse position. c0n fn«!!? 'T , . ' ^1M ''*. mais sa voix était, i ci me et décidée.

,

déclare souscrire un abonnement de Le soussigné s'engage A payer la somme

«

de

contre un mandat, qui

sera recouvré par les seins de l'administration des Postes, quelques jours après la souscription.

(Signature de Vabonnè.l

Imprlmeria spéciale

plus causen de peine à personne, surtout — Une telle coïncidence paraît trop tude et, par un effort énergique, il se resà toi ; et si j'ai donné un faux noni, c est étrange pour être possible ; je croirais saisit i ses traits se détendirent et s'éclaique je ne veux devoir ma position qu'à pilutôt qu'un des bandits, celui, qui avait rèrent. 11 prit la main de sa sœur. mon seul mérite ; C'est tout; sur ma pa- trouvé le médaillon, l'a laissé ici dans — Pardonne-moi, dit-il, mais sais-tu role ! Phfut ! tu fais une montagne d'une l'intention bien arrêtée de faire porter les pourquoi Whipple ne voulait pas mé laistaupinière, ! soupçons sur moi . 1— Oh ! Tom A îmiTurura la jeune fille ser venir ici ? — N'est-ce pas plutôt parce que tu étais — Je ne peux le comprendre et j'en honteux ou que tu craignais de révéler qui voyait pour la première fois l'événeton véritable nOmi ? demanda.-t-elle d'uno ment sous un nouveau jour, si tu servais éprouve un© grande amertume . — C'est pour cela que tu tenais à ce voix pénétrante. combien la découverte de -ce médaillon que nous quittions la Golden Eagle ? — Qu'est-ce que tu vas penser ? dit-il i m'a coûté de nuits blanches ! — Oui. — Je m'imagine combien tu as dû te durement, ; qui peut te faire supposer une : — Bien,, ce point éolairoi, jo pense, torturer avec cela ! pareille1 chose ? S'arrêtant devant elle, il la regarda 2?ÏJ ^ ™ vaiui mieux rester, dit Tom — Ceci 1 dalibeirement. Amy tira de sa poitrine le 'médaillon avec pitié ot posa une main sur son épaule. — Mais songe dans quelle, position je qu'elle y tenait caché. — Pauvre petite fille, je te plains d'a- vais me trouver ! Jo .saurai toujours que —, Où as-tu trouvé cola ? s'éoria-t-il au voir un frère dont le passô'autorise une tu nés pas eeilui que tu parais être ; et comblo de l'agitation. sois sûr que M. Whipple le découvrira — Si tu étais à Phœnix, Tcon, tu as cer- pareille supposition I A ces mots, les larmes contemies mon- avant qu'il soit longtemps. tainement entendu parler du vol qui a été commis ici ? tèrent aux yeux d'Amy. — Laisse-moi faire : Whipple, s'il est, — Ce'rtainemoni ! Mais quel rapport ce — As-tu parlé à quelqu'un do ta trou- l'homme quo je crois, me jugera sur ce vaille ? médaillon 'peut-il avoir avec le vol ? quo jo forai, et -non sur mon passé. Un —, A,personne, sauf à M. Whipple. faux nom, me facilite l'entrée dans la, carAmy lui dit dans quelles cireonstainees-i — Pourquoi le lui as-tu di t ?... Lia voix rière : orois-moi, cela vaut mieux ainsi 1 le médailloin avait été trouvé par elle, s Pendant ce temps, Tom, s'était un peu , de Tom tremblait visiblement. Ixt nature droit© et loyale d'Amy ré— Je ne sais pas mei-mêmo pourquoi prouvait tout ce qui ressemblait à do la ressai si . — Par Jupiter ! frappant son genou de je le fis : j'avais gardé ce secret trop long- duplicité ; mais elle craignait, en oppo son, poing fermé, c'est surprenant comme temps, je ne pouvais plus le supporter, sant uno trop longue, résistance aux volontés de son frère-, d'aggraver cau 'oro la les choses arrivent quelquefois 1 J'ai: et, puis j'avais besoin d 'un conseil. — Et c'est Whipple que tu as choisi situation, et dût-elle en souffrir, elle ferperdu ce médaillon à Phoanix, il y a un merait les yeux sur cette petite super* mois, j'en étais navré et j'ai tom t fait pour pour cela ? le retrouver. Et tu l'as découvert ici, dans L'anxiété était écrite sur le visage du chérie qui permettait à Tom de se réhaco bureau, le lendemain, du vol ? jeuno homme ,et c'est d 'unie voix hale- biliter et facilitait leur réunion . tante qu'il ajouta : — Que pou vais- je penser, Tom ? Elle garda sur elle 1© médaille.m, crai— Quo t'a-t-il conseillé ? — Tu aurais pu me faire bénéficier gnant que Whipple ne découvrît la frau— Il m'a conseillé de ne pas te faire de, s'il le voyait en la pcsscssïon de Tom. d'un don (e. — L'hoinnie qui a trouvé le médaillon, venir à lamine. D© môme, elle ne parlerait pas à son — Bien, je serai . . . quand tu l'as égaré, doit ôtn-e un des vo— H a fait cela ? s'écria Tom, et l'ex- frère de la découvert© concernant JefEt ^i n t.ei'r o,m:pa,nt brusquemeait : 1 0 1 1 01 louns. ; par un,, coïneddeuce étrange il le pression avec laquelle ces mots furent fries; ce sentiment de réseîsv© instinctif sœu r «/vu*, n^^! , !,? . ' ' ' ie- suis venu ici poui contmoncer une nouvelle vie : je, re- iî" le i voi,™ °U 1& beoroit-'omon!, la seule prononcés était aussi brutale que le re- était-il dicté: par la craint© d'exciter en].ett« le passe, loan (ion ioi, j,, vl „UN (I.(.'V( ,ni ,r gard qui les accompagnait. Pendant un core le jeune homme, ou .par lo désir d'i'n torut autre : j'ai pris la rôsol.\i.ti«n „e i larSïï. M™ vi ~* «t marcha moment, los sentiments violents qui agi- savoir davantage, avant de dévoiler ce taient soui àtiK» se ixtiitoi'iaii de mm attisecawt ? Amy ne le savait pas elle-même.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

„ d dater du

Le aérant : Amédée BESSON

Le vieux Gonzalès n'avant plus dé chambre libre, il fut décide que Tom coucherait dan ...i du bureau, et prendrait s hez Mrs. Gambel. son frère trouvât Amy eût g a, il sut si bien oerpension ail suador l'nô bonne gràr Dès ci i te mça ïur. Amy s'aperçut alors, — Ton enlever ses gants, - 'que sa i elait en le urée d'un bandage déchiré la main quelques jic expliqua-t-il, niais cela n'étai reuiipèchiMait nullement de tr Alors commença- pour la un apprèuiisçag© pénible parier ù sou frère commo à un étram-g-cr éviter toute© uni pouvait trahir cette si tation excep-' tionneile, était très dit'fieit , ot le plai-"' de l 'avoir prie-; d'elle compensi la, crainte de so trahir. Elle pensait à lent, cela, lu nui alors que. le sommeil la fuya meut, à cola, et, à d'autres cho: pie avait-il donné un double paroles jwcnoftcéés par lui on bureau ? IVut-êtie la comédie jouée par son frère e i,ac nèmo n'abusai t-ellè pas le direct i eut-être avait-il de- ' ville; que Tom -son frère ?... P 11 " être, aussi bien x, jouait- il un rôle Ces pensées li eut intolérables, bien qu 'elle Ut îe convaincre de l* clairvoyance di W piplc, le soupçon iestait en elle, li n {A suivre.1

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Les Faits du Jour A Paris, la grève des taxi-autos et des tramways du Nord a pris fin. — Védrines a remis son départ pour Rome à demain. D'autre part, Vidart, parti d'Ortofcelto, a atterri à Rome. *•* On a découvert sur le parcours que doit suivre le sultan, se rendant à Salonique, quarante-deux kilogrammes de dynamite. Le lieutenant aviateur Bague est parti de Nice pour effectuer le raid Nice-Corse. Le comité de la grève internationale mariti me a commencé à Londres une conférence de trois jours pour examiner la question.

On affirme que le chef de cabinet du ministre de la guerre serait le général Delétoiïe, commandant la 83° brigade d'infanterie à fours.

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Hauto-Garonne

Tarn-et-Garonne, Lot-et-Garonne

FIL TÉLÉGRAPHIQUE SPÉCIAL quée au coin du bois ne donne pas aux apaches le gain qu'ils avaient prévu, donc, c'est la viobkne qui est coupable. Pour un peu, c'est elle qui serait taxée de vol. La plaisanterie est tout die même un peu forte. • Les f rancs-maçons du Bloc s'imaginaient-ils vraiment que les religieux dépouillés des biens qui leur appartenaient légitimement n'auraient tenté aucun effort pour se défendre contre leurs spoliateurs ? On sait que nos politiciens sectaires nci sont pas d'une intelligence remarquable, mais on leur faisait l'honneur do croire que leur crétin isme n'atteignait pas un tel degré. A moins que ce ne soit qu'une diversion pour tenter de masquer les gabegies des liquidateurs. Mais la tentative se produit trop tard et rien ne saurait sauver les vrais coupables. Leurs noms, d'ailleurs, s'étalent tout au long dans le rapport de la commission sénatoriale dont l'existence même «onstitue un aveu, puisqu'elle n'a été créée que pour enquêter sur les dilapidations des liquidateurs. Il faudrait, pour qu'il en fût autrement, rayer de l'histoire de cet acte de brigandage des noms et des incidents, tels que celui de M. Duez et de magistrats sur lesquels M. Combes lui-même s'est prononcé en termes aucunement équivoques.. .. En tête de ces malfaiteurs, cette histoire placera M. Waldeck-Rcusseau qui, pour allumer les convoitises des masses populaires, leur .promettait, dans son discours de Toulouse, « le partage du milliard des congrégations ». Ce fut le signal de cette chasse aux moines et aux religieuses, de ce pillage de leurs biens qm devaient servir de premiers fonds de caisse pour les retraites ouvrières. Aujourd'hui, on constate que la caisse est vide. Les voleurs ont été volet?, autant dire qu'ils se àtâit votée eux-mernes.

Mardi

6

Juin

Ariège

Edition du matin spéciale a Toulouse

de l'«

Express

à être le premier à saluer à son arrivée M. le lieutenant Ménard. , _ ,„ Voici, du reste, le règlement de la Coupe de l'Express, tel qu'il a été arrêté par lAero-Uuh tics Pyrénées et homologué par l'Aéro-Club «e France :

))

La commission sénatoriale chargée de xâire une enquête sur la liquidation des congrégations a, comme non s l'avons dit, adopté le rapport de M. Régismarnset sur •les opérations effectuées jusqu'à la .fin de 1908. Ce rapport nous révèle la faillite d'une liquidation dont M. Waildeck-Rousseau avait fait luire les résultats aux yeux de la majorité pour obtenir d'elle la chasse aux congrégations. Un milliard ! C'est avec ce chiffre fantastique qu'on s'est rué sur les biens des religieux, qu'on a dépouillé des milliers d'hommes et de f emmes, qu'on s'est emparé de leurs res sources après les avoir jetés dans la rue condamnés à l'exil etfcà la misère LES LIEUTENANTS MENARD ET DO-HUU Un milliard à voler et à se partager, quelle aubaine !! Ce i'wt vin hallali généde Toulouse est-il un terrain d'atterrissage fa A. PAU PECH-DAVID. cile à reconnaître ? ral' : liquidateurs, hommes d'affaires, De notre envoyé spécial : — Le Polygone a déjà servi à des épreuves Pau, 5 juin. avocats politiciens, dont plusieurs minis d'aviation. Vous le reconnaîtrez facilement ; J'ai trouvé, à mon arrivée à Pau, la ville mais prenez garde de ne point le confondre très qui avaient voté la loi de spoliation, endormie. Après les minutes émotionnantes de l'atter- avec le champ de courses qui se trouve à se précipitèrent vers le pillage. Et ce fut rissage des deux officiers aviateurs',, le lieute- côté. » un beau pillage, au dire du rapporteur. Mais déjà le lieutenant Do-Huu a répéré le nant Ménard et son passager le lieutenant annamite Do-Huu, du 1" étranger, la popula- Polygone sur sa carte. Le consciencieux obDu -milliard il ne reste plus que 37 mil CARTES POSTALES DU MAROC servateur assure qu'il ne se trompera pas. lions. Avez-vous reçu une carte pestale du Maroc ? tion paloise attend paisiblement le 'départ des — Cependant, ajoute le lieutenant Ménard, deux intrépides voyageurs. en arrive maintenant tous les joui'6, envous seriez bien aimable de demander que l'on L'aveu en est fait officiellement cette 11voyées Le temps est beau et favorable. Si aucun .par nos braves soldats qui sont là-bas' changement ne se produit, l'envolée du biplan m'allume, au milieu du polygone, un feu de fois par oeiux-mêmes qui avaient con- défendant notre drapeau,. aura lieu demain mardi, dans les meilleures paille faisant beaucoup de fumée et qu'on l'enLa plupart de ces cartes,, nous n'avons pas tretienne jusqu'à' mon arrivée. Au reste, si je couru par leurs votes à cette ceoivre de besoin conditions. de le dire, ont été faites à Paris par Le biplan du lieutenant Ménard est un Far- .reste en panne,; je télégraphierai à Toulouse confiscation. <tea industriels prévoyante. On y retrouve nos dès l'ouverture du télégraphe, à 7 heures. Je sans stabilisateur avant et gouvernail Ils reconnaissent dans un document braves troupiers à toutes les étapes suivies man. vous promets de demander que l'on ne néglige de profondeur et de direction à lanière. Il par les corps expéditionnaires, mêlés aux inpas de vous donner cette indication fort utile. a 11 mètres d'envergure et 7 mètres de lonpublic que le naufrage de leurs convoi digènes. Quelques-unes de ces cartes, il est H* Et quelle route comptez-vous suivre pour gueur ; il présente une surface "de' U mètres lises est absolu. vrai, ont un peu vieilli, car elles furent fabr. carrés. 11 est muni d'un, moteur Gnome 50 HP. atteindre Toulouse ? quées à l'époque de la première expédition, -r D'ici à Tarbes, intervient le lieutenant Les dépouilles ont à peu près disparu mais ceux qui lee reçoivent n'y regardent pas Son poids transportable est de 270. kilos. nous suivrons Ta grand'route, évi.elles se sont fendues et les dernières miet. de si près, tant ils sont heureux de recevoir h L'appareil occupe à l'aérodrome "de Pau le Do-Huu, tant de faire avec Je chemin de fer le crochet angar n" 1. des nouvelles d'un père, d'un fils, d'un fiancé. tes « grignotées par les gens de justice sur Lourdes que vous connaissez. A partir de En attendant l'heure émouvante du départ Tarbes, nous suivrons la ligne de chemin de donnent un reliquat dérisoire. de Pan pour Toulouse, le lieutenant Ménara LE PATRIOTISME CHINOIS est allé se promener en automobile dans les fer", « Votre commission d'enquête, écrit M Rien n'est plus intéressant à constater que — Comptez-vous, mon lieutenant, passer uno de la ville. les progrès de l'esprit militaire et. patriotique Régismunset dans son rapport, a pu voir en LUine II se fait une évolution iente, qui environs Il faut ajouter que les bruits les plus con- journée ou deux à Toulouse, comme vous fait ici ? s'évanouir et s'eff riter le milliard des con est bien loin encore d'avoir transformé la tradictoires et les plus divertissants ont l'avez — le ne peux pas. Si.le temps est favorable, couru tout aujourd'hui à travers la région, au en une pflj&saaice forte comme le Japon grégations évalué par l'enquête de 1900 Chine sujet du départ du lieutenant Ménard et de je repartirai le soir môme, vers 5 heures, qui qui ne doit pas être négligée. S'acharner à recueillir les débris du nan mais est une heure où le vent, terreur des aviateurs, son passager pour Toulouse. Un des récents symptômes de cet esprit nouDes dépèches arrivant, d'un peu partout ont se calme toujours un peu. Je voudrais atteinfirage, rogner de ci de là les f rais et hono- veau est le succès des corps de volontaires signalé dre Narbonne demain soir et y passer la nuit. le passage du biplan des deux offia Shanghaï par les marchands de cette raires exagérés, arracher les dernières crées ciers à Lourdes et à Tarbes ! — Cependant, la population toulousaine auy«e. Leur apparition date de 1006. Deux rirait le plus grand plaisir à vous conserver une On voit que rien de tout cela n'était exact, Mettes grignotées par les gens de jus- ch.ee commerçants chinois, M. Yu Ya Ching IujJtf0Çciè,re,îlt une Société dont puisque le grand oiseau repoSé encore, à journée ou deux dans ses murs. Ne pourrieztice, à cela presque se réduit le rôle de f« ÎL iw?'® but était de développer la santé par des l'heure actuelle, sous son hangar de l'aéro- vons pas ajourner votre départ do Toulouse vos commissions : sauver quelques mil- ie exercices -physiques. C'était en somme une drome de Pau. Et ce n'est que demain, Com- au moins à mercredi matin ? — Co serait avec le plus grand plaisir, mais me nous l'avons dit, qu'il prendra son vol liers de francs quand ils voient dispa- Société de gymnastique. vers Toulouse, qui réserve aux courageux comme je vous l'ai dit, j'ai à rattraper le temps Peu à peu, le caractère militaire d,e l 'assoraître les millions ». Et cas sommes arratordu en route. Avec l'aéroplane, on n'est jaofficiers qui le montent l'accueil le plus chaud 6 1 meis maitro do son temps ; mais je tiendrais V Cornfdpf ? "? ' 61 me * Pris le' nom des v S« ontai-r-es et le plus enthousiaste. chées, après avoir été volées une pre- df foin i^L commerçante ». En aïltant que possible ù partir de Toulouse dans 1910, elle ne comptait encore que 350 membres Ce que dit le lieutenant Ménard mière fois, à la rapacité d'autres pillards elle îa> soirée. en a près de l.flOO aujourd'hui, Ton Pau, 5 juin, 6 heures? soir. i— Les Toulousains lo regretteront certaine setrviront à peine « à fournir des pen- compte que bientôt elle aura 3.000 adhérante Le lieutenant Ménard, qui est arrivé tel hier ment. Les volontaires reçoivent leur uniforme : ils soir, sans être attendu, est eru.iianle du masiofls, secours et hospitalisations aux 00». tom — Les Toulousains sont trop aimables. Lexercice à la japonaise et sont inetruits gnifique voyage qu'il a effectué de Croix- — Il no me reste donc plus, mon lieutenant, greganistes infirmes ou âgés laissés atux par des Chinois qui ont été dans des écoles d'Hins à Pau. . , . i. qu'à vous souhaiter bon voyage. au Japon. Leur éducation militaire Son appareil, qui se ressentait des fatigues soins d© l'Etat par les congrégations dis- militaires — A demain matin, 3 heures, Monsieur. Ren est à peu près complète en six nrcfls. d'une longue randonnée et l'avait laissé mal- deV.-vous à l'aérodrome. » soutes ». On espère fonder des corps analogues dans heureusement en panne à Ambares, est d'à nonEt le courageux aviateur, qu'entourent de plupart des villes commerçantes chinoises veau tout a. lait au point. Le vaillant officier Là se bornent les doléances et les flé- la nombreux officiers de la garnison de Pau, organiser ensuite une grande revue de tous compte effectuer d'une seule traite le trajet trissures du rapporteur à l'égard de ceux et nous dit encore sa joie et son espoir d'être à les corps do volontaires. Pau-Toulouse, suivant en cela l'exemple do Toulouse dès la première heure. 11 y a quelque temps, une représentation fut qui ont travaillé au naufrage des espéMorin et de Védrines. Le lieutenant aviateur organisée a un théâtre chinois de Shanghaï G. G. rances des spoliateurs radicaux Cheurim qui convoie ses camarades en autoau bénéfice des volontaires : la salle était mobile, a passé avec eux la matinée à Pau. Par contre M. Régismanset ne déco- pleine et l'enthousiasme fut tel que les assi A. TOULOUSE le lieutenant Méiiunl est, allé lère pas contre « les congrégations qui, tants jetaient sur -la scène des bijoux' et des enL'après-midi, L'annonce de l'arrivée du premier aviateur automobile reconnaître la route, aux envipièces dor. Le titre de la pièce jouée est des dit-il, sont parvenues à sorustraire lSrs Plus significatifs : Comment un patriote doit rons de Pau ; puis, il s'est rendu à l'aérodro- militaire a produit à Toulouse l'impression q,u'on était en droit d'attendre. me, où le moteur rte son appareil a été mis en personnes^ leurs biens aux lois votées aimer son pays. Le public, dont l'attention a été un moment marche pour uno dernière mise au point. Tout Nous ferons bien de surveiller l'évolution aux liquidations ordonnées ». Quo ne s* au patriotisme chinois. distraite par les gigantesques épreuves interest donc prêt pour quo le voyage de Toulouse nationales Paris-Madrid, Paris-Rome, n'en suit sont-elles laisse faire ? On n'a j^mate ÎS s'effectue dans les meilleures conditions. pas moins avec intérêt cette randonnée silenJ'ai vu le lieutenant Ménard à sou retour vraiment des victimes opposer une te 4 UN VETERAN de l'aérodrome. C'est un offieicr à l'allure cieuse, modeste ot régulière, que M. le lieuteLa ville d'Elchstœtt, en Bavière vient d 'innn résistance aux entreprises des volW' nant. Ménard a entreprise en faisant le Tour énergique, mais plein du sang-froid qui est la ses SV ?• ™^ délaimi Le rapporteur n'en revient pas : qualité la plus nécessaire à. l'aviateur mili- de France. WTO-vl. Rendons justice aux Bavarois • letaire. C'est l'ancien adjudant Ménard qui se assistaient en corps à" etio cér e « Parfois, dit-il, la congrégation im- vétérans,se qui sont souvenus du seul solda? fon- distingua au cours des manœuvres de Picarpuissante doit, subir la liquidation ; mais moine, die. Ses exploits d'aviateur lui valurent, les gaçais mort dans cette ville, en 1871 et ils Lu t de sous-lieutenant à la promotion de jan. cioimme il faut que l'actif disparate à ailes sur la tombe, au cimetière, pour v déno- lons vier dernier. «'oui-onne de laurters on£^un tout prix, 15, 25, 30 congréganistes enga- "î&i^iFB ruban tricolore, avec l'inocT.iptioji Son camarade, le lieutenant Do-IItui, est naptioir suivante A notre camarade turalisé français depuis l'Age de. huit ans II gent 15, 25, 30 revendications ; m ptf» d'Elchstœtt irançais, les vétérans ! » sort do Saint-Cyr et sert dans la légion étranmière instance, en appel, en cassation, J« Ce so'klat s'appelait Jean Pierrard La France gère, mais au titre français. liquidateur a gain de cause, irvt;s les non plus ne l'oublie pas ' — Je suis heureux, ai-je dit au lieutenant Ménard, do saluer le premier officier qui va plaideurs congréganistes ont disparu ou LA CHASSE arriver à Toulouse par la voie des airs, et gasont insolvables. Les fra-s d : ces innomM. Pams, ministre de l'agriculture a dàtà gner ainsi la Coupe créée par VE.vpress du Midi. brables procès restent à la char»* de. la SV\ V^JP Préfets *ne cSaire k a lut adresser sans retard lemv. n — Je suis ravi moi-même ; mais j'ai été, je liquidation dont l'actif fond et se rétïust invitant sur les dates les plus' opportu, Ici tl'ouverfu, vous l'avoue, un peu ébahi quand j'ai appris à rien. quo j'avais cette Coupe à gagner. Comment < de a chasse dans leurs départements.

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autrui tout ce que je désire et que je ne peux pas payer. » M. le juge l'a dit. Diable ! diable ! Ce nouvel axiome de droit me rend rêveur. Il est vrai que je ne suis qu'un affreux bourgeois. — Louis.

AÉRO-CLUB DES PYRÉNÉES. — COUPE MILITAIRE D'AVIATION.

•1 Le journal l'Express du Midi met à la disposition de l'Aéro-OLub des Pyrénées une Coupe d'une valeur de cinq cents francs pour être attribuée au premier officier pilote-aviateur qui, parti d'un point situe à plus de 100 kilomètres de l'octroi de Toulouse, viendra atterrir au Polygone. . '., .. » IL Ce trajet de plus de 100 kilomètres devra être effectué sans escale. III L'arrivée sera constatée par les commissaires de l'Aéro-Club des Pyrénées nommes par la Commission d'aviation de lAero-Club do France. , , , a IV. Cette Coupe sera courue sous les règle mente de l'Aéro-Club des Pyrénées et de la • F. A. I. » V. Les officiers qui desureront courir cette Coupe seront tenus de prévenir le Comité de direction de l'Aéro-Club des Pyrénées trois jours avant de tenter l'épreuve. VI. Ils devront en outre télégraphier au plus tard six heures avant leur départ en indi quant l'heure probable de leur arrivée à Mou louse. a Fait à Paris, le % juin 1911. » Ed. SIRVEN, j Président de l'Aéro-Club des Pyrénées. J>

CHOSES VUES

Les Embusqués

Aux gens qui, taquinés par la chaleur d'orage, se sentent envahis par un désir do campagne, nous signalons avec empressement celle, très réjouissante et très pittoresque entreprise par Gustave Téry, dans YtBtivrei contre le favoritisme dans l'administration. Souvent, les lutteurs isolés, francs-tireurs de l 'ooposition, comme Téry et nous, tous ceux qu'aucune coterie n'a réussi à embrigader, sont traités d'énergumènes par:e qu'ils font du bruit individuellement au lieu d 'opérer collectivement. On met en doute sinon leur sincén',<\ du moins l'exactitude de leurs affirmations, comme s'il fallait n'avoir point de passiin^ pour être véridique. Mais, cette fois, aucune discussion n'est On le voit, l'exploit de M. le lieutenant Mépermise, aucune contestation n'est possinard, venant de Pau à Toulouse par la voie des airs, n'a rien perdu de wii attrait, même ble. après les sensationnelles arrivées de Morin Do même qu'à l'époque des fiches, Guy-:»» et de Védrines. de Villeneuve accabla ceux qui niaie it N'oublions pas, du reste, que M. le lieutenant Ménard conduit un biplan Farman, et qu'il a l'avancement par les voies maçonniques dans l'armée, de même les optimistes qui à son bord un passager. M. le lieutenant annamite Do-Huu, de la légion étrangère croient en la pureté des mœurs administraCe sera la première fois qu'un biplan volera tives seront obligés de s'incliner devant les vers Toulouse, à travers la région du Sud documents ci-contre. Ouest, et l'appareil de M. le lieutenant Ménard Malheureusement, chez nous, lorsque les sera le premier aéroplane portant deux voyagens s'inclinent devant les révélations faigeurs qui vienne atterrir dans notre ville. tes par l'opposition, ils n'offrent qu 'une Hier, dès la première heure, nous nous sont cible plus commode aux coups de pied de mes transportés au Polygone d'artillerie qui, en attendant la création d'un aérodrome à Tou- nos mai très. louse, est l'endroit affecté aux atterrissages et Aucune révolte ne les anime, aucune inaux envolées des aviateurs. dignation ne les saisit ; on fait : « Ah ! » C'est là, en effet, dans ce vaste champ, que puis, on dépose son journal, on sourit béale vaillant officier nous arrivera du Sudtement et on se rendort. Ouest et viendra se poser, avec la rapidité Personne ne se fait le raisonnement que d'un oiseau, vision courte et fugitive, mai6 dont l'impression demeure inoubliable pour voici : les charges dans l'Etat sont le prix tous ceux qui ont vu, en de pareilles circonsdes services rendus non pas à une faction tances, l'oiseau mécanique d'abord point noir provisoirement au pouvoir, mais à la Naà l'horizon, puis gigantesque rapace au vol tion entière. Ces charges constituent une lourd, en enfin fabuleuse machine fumante et bourdonnante se posant sur le sol avec une hiérarchie dont le parcours est soumis à des règlements définis qui ne relèvent point légèreté d'insecte. du caprice personnel, mais sont l'honnêteVainement hier, avec quelques curieux, nous avons attendu cette vision dans le Poly- expression d'une juste garantie. Donc, lorsgone défert où, il y a quelques mois à peine, que des politiciens profitent de leur passager . grouillaient et vibraient les foules au spec- aux affaires pour nantir leurs amis et leurs* tacle des hommes oiseaux. Le temps était parents de fonctions, d'emplois administrasplendide. un, léger vent d'aûtan secouait à tifs, ils commettent un vol plus scandaleux peine la cime des arbres, mais le nid est resté que celui du pickpocket qui prend la monvide. L'oiseau n'est pas venu. tre d'un passant pour l'offrir à sa femme. Notre rédacteur en chef recevait en effet, dans l'après-midi, ce télégramme de M. le lieuCependant, nulle loi n'interdit ce trafic, tenant Ménard : nulle protestation ne vient entraver l'exer» Pau, 5 juin. cice de celui-ci : bien mieux, il est entré si Arrivé hier soir Pau ; compte repartir avant dans les moeurs que nul ne songe démardi matin pour Toulouse. sormais à s'en étonner. J MÉNARD. » On trouve absolument naturel que les déAinsi donc c'ost aujourd'hui mardi, aux preputés blackboulés, que les filleuls, les nemières heures du jour, que l'intrépide officier veux, les cousins ou les fils de parlemenaviateur s'envolera de l'aérodrome fameux de taires soient pourvus de grasses sinécures Pau pour gagner la vallée de la Garonne et aux dépens du peuple français. enfin Toulouse, point terminus de l'étape. M. Fallières veut marier sa fille ? Il signe Comme c'est la coutume des aviateurs, M. le un décret nommant son futur gendre trésolieutenant Ménard partira aux premières heures du jour, c'est-à-dire entre 4 et 5 heures rier-payeur général à Versailles, aux apdu matin ; c'est le moment le plus propice pointements de 19,255 francs... au vol, l'atmosphère étant relativement calme Ses titres '? A été secrétaire particulier de au lever du soleil. différents ministres, puis du président de Deux cents kilomètres environ séparent Pau la République, c'est-à-dire a été nommé de Toulouse. 11 faut compter une moyenne de deux heures de temps pour franchir cette dis- d'emblée dans l'administration fiscale et se tance, à supposer que M. le lieutenant Ménard voit octroyer cinquante mille francs de ne fasse pas escale en route. rente, du* jour au lendemain, passant parLe vaillant officier peut donc arriver au dessus tous les pauvres bougres qui, depuis Polygone entre 6 et 7 heures du matin. vingt ans, peinent, suent, gravissent péniC'est là le minimum de temps prévu, en blement les échelons do la hiérarchie et tenant compte des meilleures conditions atmosphériques. Mais, en tout cas, à moins de s'usent le derrière sur les ronds de cuir des ministères. panne ou d'accident, M. le lieutenant Ménard arrivera à Toulouse dans la matinée. Nelson Lanes, frère du gendre, n'éta't, L'Express sera heureux de lui remettre la avant l 'heureux mariage de Jean-JosephCoupe qu'il a créée pour le premier aviateur Edmond. que filateur dans le Lj.t -et-Garonmilitaire atterrissant dans notre ville et la ne. Comme petit, souvenir des noces' il repopulat ion toulousaine sa ma acclamer comme çoit le titre d'administrateur de ia Ranqutr il le mérite M. le lieutenant Ménard, en assoOttomane, au traitement de Ironto mil'ciant son nom à celui des intrépides aviateurs francs par an. qui portent au loin la renommée et la gloire du pays. Mais M. Fallières n'a pas quo des genA. C. dres, il a un filleul. M. Cassagu-'.u. On lui donne, pour ses étrennes, un pos^e de iresorier-payeur général dans l'Oise, c'est -à diro SIMPLES NOTES 33,-183 francs de rente, auqvel on f joute lo titre d'administrateur du Crédit Foncier, soit. 20,000 francs par an. Le fils de ce tilleul était chef de cabinet do M. Trouitlut .. il attend son bénéfice. M. Dupré. Jules, qui n'a jamais, lu 4 non Si jamais vous allez à Chicago, je vous plus, appartenu à l 'administrai*. m. est conseille, mes bons amis, de faire attention nommé, en 1900, percepteur à Netully : il à vos parapluies. Car il y a là-bas un juge touche do ce fait, 21,264 francs par an. Ses de paix particulièrement indulgent pour les titres '? M. Dupré est le premier mari de la filous qui ont la spécialité de faire les ripremière femme do M. Caillaux. t '-mr tbteflards. nir sa bienveillante ncutrai'ié, après le diCe magistrat qui, de Vautre côté de Veau, joue les Magnaud. vient de nous adminis- vorce, no fallait-il pas le désintéresser dans une largo et convenable nesure. .' trer la preuve que, dans la Libre Amérique Joost Van Vollenhovcn est né à Rottercomme chez nous, la claudicante Thémis s'adam, Hollande. Il avait, par conséquent et musc parfois aux dépens des pauvres bourde naissance, le goût d'un fromage ; on lo geois. nomme secrétaire général des colonies, co En deux mots, voici l'histoire. Un citoyen de Chicago, désireux de ne qui lui vaut une petite prébende de 18,(II JO francs par an. pas se mouiller un vilain jour de. pluie, Emile Merwart, né à Lemberg, Autriche, avait arboré un superbe pépin. L'excellent étant né hors de France, a g-irlé ia vr>:ahomme, pas défiant pour deux sous, n'a tion des voyages au long cours ; rien de nullement tenu compte du conseil donné plus facile, il est protégé par M. Mélinc et dans toutes les langues par la sagesse des on le fait aussitôt gouverneur de la Guyane, nations, llevvàre of pickpockets ! aux appointements de 20,000 fran,:s par an. Son parapluie a tcnlè la coupable conLes parents de Jean-Edme-Fcrn i:îd Gauî voitise d'un de ces pickpockets qui lui non tret se désespéraient. A trente ans. il n 'a» plus ne voulait pas se mouiller. Un, deux vait pu encore passer son bacoa'aurâaf| trois, le parapluie disparait. Qu'allait-on faire d 'un pareil caniro ' i M — Au voleur I colonies excellent à préparer les fr .iW.9On arrête la victime du larcin. L'affaire secs : gouverneur do lu, fiuadeloupe leanest instruit/-. Les débats ont lieu, devant I lidnic -Fernand a vécu sans fatigue uvec les tribunal de. Uarrisson-Strcet. Le vol est vingt millo francs que lui allouait la H >po> avoué. Le juge rend son jugement, et, stuInique. péfaction. H absout le volé dans le plus Mais lisez vous-même la liste quo nous magua.udesque des jugements. Savourez reproduisons. Tout commentaire en aftalmoi. ce considérant : blirait l'éloquence. Il faut parcourir ces « Un homme a une sorte de droit A voler colonnes pour se rendre compte le ea quo un parapluie, quanti il ne peut le payer ct représente, en 191 1, la République franqu'il pleut : mais qn.'il n'y revienne pas çaise. Chez nous, Prutl'homme avait dit : « T.a li iiulelaire m . ni | a \ ; propriété, c'est le vol. » Le mot a [ait son a ;LM|l ; ],,,.,,.

officier aviateur n'est donc encore ar^riilfS?*1*6 ï a Worts les plus optimistes aucun rive à Toulouse ? « Dans cette lutte sourde,, ajoute-t-il, aJS des officiers forestiers sur l'état du gibier Le ont ete, cette année, excellentes pve, — Pas encore. Nous avons eu de très beaux ( les congrégations ont été admirablement couvées OU Pa vols de Morin et de Védrines, mais la popuî'v ^.o r -' ct, 0,11 Prévoit une ahonda.nc servies par un comité de jurisconsultes ,extraordinaire, de pertlreaux. Quant aux 1 ii lation de Toulouse n'a encore Jamais en la pullulHUlt dans nos forêts. La sérlJejoie de voir un do nos vaillants officiera' pilodévoues et désintéressés ». Le mot fait vres, ti du printemps a beaucoup favorise ertt,» tes. Je serais heureux de lui annoncer dans image, rapproché des qualificatifs que le îocrudescenee de population, s.ihoye.use quelles' conditions vous comptez effectuer ce la question dep récoltes, auxquielles voyage. rapporteur accole à ceux qui, chargés de estHeste touionns subordonnée la. d-ate ,l'<,,,v''rt,,ro — Voilà, ]e s*rTs un peu pressé. J'ai perdu mil? • rEtat s,P°lia teur, se «ont mis ou- «m. inC H*?0, ° r ' f s ''''«'lies s'annoncent, bien- beaucoup de temps en route et j'ai hâte do iiBines a gruger cet Elat et à s'en.richir à sur la plus grande partie du ternitoire. rallier le camp de Chàlons. Je compte partir n est probable qu'on pourra faire l'ouverses dépens. pour Toulouse demain matin mardi, dés le leture dans lies départements d,u Midi dès la du jour, vers 3 h. 1/4 probablement je Maigri cela, si le vol n'a pas produit pnemie.ro qutozatoe d'août, soit le dimanche ver puis arriver à Toulouse a partir de 1 li 45 13, soit le jour de l'Asfiomption.' Tout dépend des vents et du temps que ié £ut ce qu on en attendait, c'est parce quo 1 l ( ' ai ' "" hi 'H' A 80 pr.v L'ESPRIT DU JOUR remÇmtrerai en route ; mois mais sbrffe scrrjk m \-\A L , 1 , ' n ' 00,11 euper, m congrégations ont eu W. mauvais goût a Jteurnéo^lê "ht i S .-'in 1,"' ' """ lv ÏWxlv*> d,; l'an'iveo de — Vous connaissez la nouvelle : On va faire ye .lleux .de Pau, et après \ l'avia. ue ne pas mettre assez de complaisance une loi contre Les mystificateur leur, ma sue temps <v>'<via ?" I •*•>. uii!itair\ -- Serait-ce contre les n ** Iai ^ r dépou.Uler. La victimo atta- congrégations C( liquidateurs des „n a ^Tavott """ ™ "- .' ft 0» Pé«t*)lk attendre mon a rivée è ,^ uZ ' ' " iraucs au ,,. inier as iatcur .„ par,l lam 4! f 4 h. 45 et 6 heures. \ ce J ^Z \l rl «J^ ' "' ™'*>«-' <mi te;, >,,,-,, T „ ): . propos l€ °* ' PW»»f lou*?, en y venant m lo vole <ks aiti , tenait

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BUREAUX â PUIS; 26, BUE FEYDEM

Le Lieutenant Ménard espère arriver mardi matin à Toulouse

(Echos de Martout

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Los Annonces ot Reclames «ont reçues drns nos Uurouux. ruo Roquelaine. 2b. 4 Toulouse, ot cuàz tous nos CoiToapouuuûts.

- 2l s Année - N° 6,762,

L'AVIATION MILITAIRE A TOULOUSE

La Coupe

«NONCES (4- fuyi . RECLAMES — RÉCLAMES (3* piga) . LOCALES

Tarn, Aude, Hérault, Pyrônéos-Orientaloa

Gers, H ie*-P y rénées, Basses-Pyrénées, Landes

LE NUMÉRO 5 CENTIME? iKTisis;EvrocoisriBi

REGIONALES

Lof, Aveyron, Corrèze, Cantai

24«O 40 Abonnements partent des 1» et 18 de enaque mois et sont payables d'ava . o 7 -

Toulouse, Rue Roquelaine, 25

hMïm â m Parapluies

petit tour du. monde. Les nouvelles couch judiciaires de l'Amérique ne sont pas en peine pour en. faire la plus rigoureuse ap plication Pour elles, rien n'est sucré pour un. râleur, pus même le parapluie. Le para pluie appartient à l'escouade sociale el ton le monde a le tlnut de le chiner au voisin Décidément les idées de won 'vieil ami Jau rès (ont des progrès. Anjrnird'hni on nous prend h parapluie, cl l„ justice estime que c est 1res bien. Demain on nou s voleta not habits el „„/;•,• eiicmi.se, et nous n'auron pu s- le droit île protester <t uaud le filou nou dira : » J ai une sorte de UroU A pr*n*r*

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prophète comme tons les poète il mi peu naturalistes mats combien précis ; ''''''IN ii 'V - ver- ,

Les mouslies iM imlonnali'iil MU- . .. ventru imlr«|, D'ofl Mtrtalrtit de.s nous MvlaHtoiut Ile larves nul caillaient ronune un ,-, w . . ,,„ (1 , 1..- I. IIK il.' i-i -.i s iv.l'lî.l :,.,!> ,,

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par Fil Spécial

DÉPÈCHES LE DUC D'ORLÉANS Londres, 5 Juin. Mgr le Duc d'Orléans a quitté Londres luer matin, se rendant à Bruxelles. Au télégramme que lui ont adresse les royalistes qui assistaient samedi à la réunion organisée ù Paris par l'Action Française, a l'occasion do la Saint-Philippe. Mgr lo Duc d'Orléans a répondu : a Londres, 4 juin. » Très touché de l'adresse envoyée .'tu nom des six mille royalistes réunis salle Wagram; je les remercie de tout cœur des sentiments exprimés. »

Les Retraites Ouvrières Paris., 5 juin. Dans une lettre adressée au Temps, M. Abeî ferry, député radical des Vosges, se plaint des protestations que soulève la loi sur les retraites ouvrières. Voici les principaux passages de cette lettre : « Cet accueil méfiant réservé à la loi ne provient pas seulement de ce qu'elle est peu connue, de ce que l'opinion y a été mal préparée, de ce que l'éducation des bénéficiaires de la loi n'a pas été faite ; cet état d'esprit s'explique aussi par une sorte de méfiance a l 'égard de l'Etat républicain. Un .militant avisé me disait : « La loi n 'eût pas, il y a quelques années, rencontré la même mauvaise humeur.» Si c'est vrai, c'est grave, c'est le crédit moral et financier de l'Etat qui est atteint ; cela dénote manque de confiance, une absence d'opi -me ; si l'homme pris au hasard dans la rue hésite à confier ses 9 francs aux caisses publiques, lime, des forces nationales, c'est la foi dans la signature de la France qui est touchée et c'est peut-être là le châtiment de ceux qui ont eu pour les hommes et les choses si .peu de bienveillance... et même si peu de justice que de voir aujourd'hui l'Etat récolter la méfiance ; ct cependant, la santé des peuples c'est la confiance en eux-mêmes, une de nos forces de paix et de guerre, c'est notre crédit ; il n'y faudrait toucher que d'une main légère et faire autour de lui la trêve des partis. »'

ïl y a quarante blessés dont quelqucs?uns ravement. , . „ Co sont pour la plupart des ouvriers.

sociale à l'occasion de la grève des cheml-

n

déclar* aussi être l'auteur de l'article intitulé : « A la conquête de la rue », poursuivi pour excitation au meurtre et apologie de faits qualifiés crimes. Hervé dit tenir à revendiquer hautement la responsabilité de ces articles ; il veut, pretend-ll. en obligeant la justice a poursuivre un prisonnier, enferme depuis plus d un an pour un article de journal, mettre le gouvernement et sa justice dans une posture odieuse ou ridicule.

Les Affaires

È

Maroc

La retraite de la division Toutéa Paris, 5 juin. La retraite de la division Toutée suggère au Temps les réflexions suivantes : « Les troupes françaises avaient été mobilisées sur la frontière nligéro-marocaine pour attirai' à elles une partie an moins des tribus qui assiégeaient Fez. '» On espérait ainsi décongestionner la capitale ; ce résultat n'a pas été atteint. Si l'on cherche pour quelle raison le but que l'on s'était proposé, en portant la division Toutée en avant, n'a pas été atteint, on croit la trouver dans lo fait que l'offensive n'a pas été assez mordante ; le gouvernement avait interdit do franchir la Moulouya ; il avait re noncé à faire usage du droit de suite qu'il possède incontestablement. » Dans ces conditions, rien de surprenant à ce que les Marocains, occupés à 180 kilomètres de là, se soient peu souciés du maintien sur la rive droite de la Mohlouya d'une force nombreuse mais immobile, bien armée mais impuissante. » L'occupation de Debdou, le bombardement de Guercif, sur la rive gauche de la Moulouya, et quelques engagements aux environs de Mcrada, tel est le bilan militaire de la division Toutée. » Le moment est-il bien choisi pour ordonner cette retraite, immobiliser les forces considérables groupées auprès des gués de la Moulouya, dans l'attente d'une hypothèse qui no s'est pas présentée î » La marche sur Fez n'a pas dû produire sur les tribus environnantes une impression de force désirable ; il est à craindre qu'elles n'attribuent à l'impuissance ce qui a été l'effet d'une prudence sans doute excessive ct que faisant fond sur la faiblesse qu'elles nous supposent, elles essayent par des raids hardis à surprendre nos postes ».

PETITES NOUV ELLES

tntttrat.

«> capHa.no Bas M» .Mif '< pair le planétaire- ; 3. ralenr » »'i/f(?n "JS' la lieutenant Ûo»t du M (l'ai llltlr-rie : A,,v* i .! > f -. MU* Uli. a M. le le s.rt.s-Ji-Miieaiant V\'ItZ <\ », *U .,. chaawum, par le propriétaire, Flots : hmlnence .au car.itai.no '.!>ute.ct,. du 1" hu l«r , >'> ' l„" , priétaiire ; Jovial, au llontao» «ï, 1 Meurs, par le lieutenant Fritz (. es» ; /"'(/'>' . • i prenant Wrè», du \î d a..tille rie. P---r l« V«* Jair" YAaïrtlne, .1 M. Audit, vétérinaire au V d'atlille.reil nar lo lieutenant Pérès. Oiupo civile offerte par la Ville (le Naj«wnne. .1M0 fr. et un objet d'wt offert par la Soctét*

Du S juin. La maSrlc de JAUws. W*8 BélUuot», a été «Mirait* (par un incendie. Lea archives ont été sauvées. — On a arrêté dans la forêt de Kemlremomt ie nommé naMant, auteur de cambriolages commis â la gare uo ltcmlrcniont et chez plusieurs négociants. . „, ; Le prince Chakra-houg, prlnco héritier île Siarn, est arrivé à .Saint-Pétersioourg. — Selon une dépêche du Cap Haïtien, les Insurgé* ont fait rte nombreux prisonniers dans la dernière! bataille. A quelques-uns, ils coupèrent les oreilles. mertfc, au comtelia IVlleneave. par le proprMtatrei — Lo procureur général do Monastlr a tué a coup M ,u Choral, a M. Joseph l'ourcade, par MauUe revolvern. > ici ut.li ; Béatrix, à M. Villa, par M. OSJfel ; - L'escadre française a mouillé dans le port de M. de rrunelé, pa ,r lej wwrlétalre ; Porto-Bmpôdocle. Wisky, au comto de Coligny, IE^ r ,î rlt^^J^e ' :% M> — On mande de Biarritz à l'A. B. C. quo M. lïmilio Obéja, ambassadeur d'Esuogno au Vatican, en con,! gd depuis l'iiiterrupMnm des relations «anitro le cabinet rte Madrid et la Curie romaine est décédé. — Les employés de la ligne VitMtbe-ltome n'ayant pas obtenu satisfaction ont dtecidé do recourir à le propriétaire ; 5. uO f r l'obstruction. - Le Congrès des amis des roseis s'est tenu à. ^^oldem-Dream. il M. Cartes, par Lyon, au palais du Commerco ; le prochain con-, Girouette, à M. JOBOUlaM d'OriaJa, par le propi ilgros aura, lieu en 1019, à Bordeaux. f, taire ; Times, à M. llaymomd, Gerviftix, par te nro- On a commencé sur le champ de manœuvres, prlétrure ; caporal, à M. Joseph IVtttcade. par M. militaires de Calais, l'installation d'une Mèche «•antesque destinée â indiquer aux aviateurs désl- Maurico Lauth. a-eux de traverser lo détroit, la direction exacte île Cyclisme Douvres. . >' u U COURSE DE U HEUBES -- Co matin est entré dans le .port militaire d'Ali, gor la corvette école italienne Amerlrja Vesyuci ve-. Paris, 5 juin. nant do palma s. ... . . ' A la IV heure, le classement est le suivant : — Le gouvernement américain a envoyé a Limogea une commission afin d'arriver à un règle- !. Troussell 1er, 41 points ; 2. d'Hulst, 50 ; 3. ment du différend relatif a l'eut réo en Ainéri-pie' Cruppelandt. G3 ; 4. Lafourcade, 75 ; 5. Lamde la porcelaine limousine. bot. 85 ; 6. Colsaet, 89 ; 7. Shirley, 100 ; 8. Nue- Un saluât du lfiC* d'Infanterie, fra-ppé do con. . gestion, s'ost noyé 6 ViMonenaro-la-aarenne ; son. dergang, 100 ; 9. Couret, 110. 18' heure, 582 kilomètres : d'Hulst, ;>a points; coups n'a pas été i-etrouivé. A Brest, les ossements de sixeenfs soldats du. Troussellier, 06 ; Cruppelandt, 84 ; Lafourcavaisseau don guerre Les Droits de l'Homme, qui de, 85 ; Lambot, 113 ; Colsaet, 115 ; Shirley, coula en 11797, viennent d'être mis à découvert jiar 135 ; Niedergang, 14G ; Pary, 147. snlto de l'effritement des dunes où ils avaient été, Dès quo la 20' heure a sonné, Trousseber iiiili-uimég. et prend trois tours facilement. - Le Bazagan, vaisseau de la flotte volontaire démarre A ce moment, le classement donne : «Cf. k.GOO a russe, s'est échoué près do NangasaM ; tous les d'Hulst ; 2. Trousseller, G3 ; 3. Lafourcade, 91 ; Œagers sont sauvés. - I/es obsèques du général Andry, commandant 4. Crupplandt, 96 ; 5 .Lambot ; G. Colsaet, 130 ; le 1" corps d'armée, auront lieu mercredi. 7. Hirlez, 153 ; 8. Niedergan, 157. - L'état du prinive Joacbim, un des dis de l'em- , Résultats définitifs pereur GulSlaume, s'est amélioré ; la guéri.son pad'Hulst raît suivie son cours normal. 738 kll. 100. i. Trouseelier ;

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3. Lafoua'.cade ; 4. Cruppelandt G. Shirley* Aéronautique

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''les' (inimités ont vlvernemt com.pl i IIMM ri é raviiaileiii- , l la foule l'a acclame avec enUwuLflOTlnice déclare qu'il a fait «n excellent voyage, bien que le soleil l'ait un pou incomA la suite d'une contestai ion fivee le comité local qui ne veut pas le reconnaître çommo concurrent du raid Paris Rome, I .('prince :i t6K-«naphié à l'avis et a ajourné s< u départ poux Rome. La marche de Level Dijon, 5 Juin. L'aviateur Level, ayant réparé son biplan, est parti ce malin, vers huit heures, de ucvrey-Chamberlin avec son passager et a atterri à Dijon à 8 h. 26. 11 déclare abandonner Paris-Rome. Védrine3 partira demain Rue, 5 juin. De nombreux eurienx s'étaient rendus, ce matihs à Rue, dans l'espoir d'assister a la grande envolée do Védrines pour Rome. Védrines ne vlht pas. On apprit que lo gagnan t do Paris -Madrid avait décidé, très tard, qu'il no partirait que demain matin mardi, m raison «le la fermeture, aujourd'hui, de nombreux bureaux téliegraphiques, ce qui l'aurait empêché de prévenir sa maison au cas où urne panne où un lineklent quelconque viendrait l'arrêter au cours de son raid. Le lieutenant Chevreau Avignon, 5 Juin. Le lieutenant Chevreau sur monoplan a atterri au champ d'aviation d'Avignon co matin à 9 h. 1. Il a voyagé à une altitude de 500 mètres. Il ne repartira que mardi matin dans la direction do Nice, son moteur avant besoin do réparations. Lo lieutenant Chevreau a été vivement acclamé. Classement définitif A la suite «ta magnifique raid Vidart, le classement définitif. Paris-Rome s'établit comme suit : 1. Beaumont, en 82 h. 5 m., a gagné à Nice 59.000 fr.î à Romo 50.000 fr. ; toUd, 109.000 fr.. 2. Garros, en 106 h. 16 m., a gagné a Nice 25.000 fr.; à Rome, 20.000 fr.; total, 45.000 fr. 3. Frey, sur monoplan Moranc, en 132 h. 41 , a gag-né à Nice 13.000 fr.; à Rome, 10.000 fr. total, 23.000 fr. 4. Vidart, en 170 h. 9 m., a gagné à Nice 10.000 fr.; à Rome, 10.000 fr.; total, 20.000 fr.

Le 31 mal dernier, une foule élégante et norn. hreuso assistait, en la baeJlhine .Suint-Jem; d., Perpignan, au mariage de M. Joseph <!«, Oaulejac, Mis du baron de Gauh-j te H dn | n baronne née do Boisséson, avec Mile Mac celle de Hlay, <lont la famille <Wt si Justement appréciée m Hotissillon. D«S parents el, amis étaient venus d-. tmij cûtée faire cortège aux Jeunee flancés .et mar. quer leur svmpailiie h une famille nui compte parmi les meilleures et les plus ancienne* du pays toulousain. La charmante mariée, dons une délicieuse toilette garnie de vieux point d'Angleterre, a été conduite à l'autel par eon père. M. Henry fle Blay, chevalier de la Légion d'honneur. M. Joseph de Gaulejae était accompagné par sa mère, la baronne de Gaulejae M. l'abbé de Liobet, vicaire-général de Mgr de Carealade, dans une touchante et délicate allée ut-ion, a défini le mariage chrétien et fait revivre les gloires religieuses el militaires ace deux familles. La part des pauvres a élé ree:i.eiWi.e par Mlle Jane de Blay, accompagnée de M. Jean de Gati'loiac ; Mlle Mathikle d«. GaiiOejnc, M Robert Hériard ; Mlle Marie de Blay, te lieutenant de Boisséson ; Mlle Germaine de Boisséson, M. Emmanuel do Blay. On remarque dans l'assistance : baron et baronne de Gauîejao, M. Henry de Blay. Mme Cornet de Bosch le vicomte de Gaulejae, M. Cornet de Bosch, Mlle do Blay, lo baron de Blay de Gftix, Mine Niel née de Gaulejae, le capitaine et Mme Compagno, le marquis ct la marquise de Boisséson, M. et Mine Paul do Gaidejac, M. et Mme Antoine de Blay, M. et Mme Edmond de. Blay, Mme Hériard, comte et comtesse de Boisséson, vicomte rt vicomtesse de Boisséson, baron et baronne de Rois, séson. M. et Mme Pierre de Boisséson, baron de Saint-Julien, M. et Mme de Lavalette. Mme de Ravmond-Cahuzac, M. et Mme de Médrano M. ct Mme Maraval de Bonnéry, M el Mm" de Latorest, M. Niel, M. Charles de Saint-Julien, vicomtesse de Marsac, M. et Mme de Liobet, M. de Chefdebien, M. et Mm;- Estève do Bosch, M. François de SaintJulien,' Mme de Marliave, Mlle d'Ax, M. no ïUgaud-Maurèmônt ; M. et Mme de Vlyie, M de Pousse, M. Jean de Gaulejae, Mlle M. thilde de Gaulejae, M. Maurice de Blay. Mlles Jane, Mathikle et Marie-Thérèse de Blay. Mlle Germaine, de Boisséson, M. Emmanuel de Blay, MM. Bobert et Pierre Henard, M. Arthur de Blay. lieutenant de Boisséson, M. Henri de Lavalette. Mlles Hélène et Henriette de Boisséson, Mlle de Lacroix, Mlles do Massia, Mlle Denise do Boisséson, M. Guilhot de Lagarde, M. Charles de Marliave, M. et Mme de Massia, Mlles de Sagariga, M. de Massia, Mlles de Liobet. Mlles de Massia, Mine d'Heille, M. Leroi, Mlle de Vicie, Mlle Compagno. Qu'il nous soit permis de joindre nos compliments et nos souhaits de bonheur à ceux qui ont été déjà adressés à M. ct Mme Joseph de Gaulejae.

Poitiers, 5 juin. Le lieutenant de Malherbe est arrivé aux Courses de chevaux Renardières à 0 h. 35, suivi à quelques mi! A SAINT-CLOUD nutes d'intervalle par les lieutenants DucourL'ACTION DES PUISSANCES Paris, 5 juin. neau et Princeteau, venant de Libourne. Du 5 jun. Prix du Manoir, à réclamer, 3.000 francs, L'attitude de l'Espagne Le voyage a été excellent ; les officiers se Le Mans, 5 juin. La pression barométrique devient très élevée sur 2.200 mètres environ. — i. Heloup, par Mon- sont maintenue à une altitude moyenne de Tanger, 5 juin. presque toute l'Europe elle dépasse 770 mUl-fimètres Les instituteurs ct institutrices do la Sarsieur Gabriel et Hesione, à M. H. Blum mètres. dans l 'ouest des îles Britanniques, Valentia 773 milOn signait© do Tetouan l'arrivée dans cette (O'Neii) ; 2. Sulvia, à M. M. Marghiloman (Bel- mille Ihe. réunis en assemblée générale, après Ils repartiront «lemain matin pour Orléans. jjjnètTes, sur le Danemark et la Russie, Riga 772 ville d'un colonel' espagnol de la garde civile, avoir pris connaissance de l'article unique du lliouse) ; 3. Ben Saïd. à M. le comte Lair jniîtI.m«TCs. ...... BEAU VOL DE DUFOUR projet de loi déposé par M. Stoeg, ministre accompagnée de 3 officiers ct do 8 tirailleurs (Barat). La dépression d.'Espasne passe sur l'Algérie, ceue de l'instruction publique, concernant la dé- Rifains venant de Coûta. Madrid, 5 juin. de l'Islande s'éloigne **rs le nord-est. Non placés : Violette II, North-Pole, Rising La présence à Tetouan do ces militaires est Fox. iense de l'école laïque, et considérant que IJO vent es* faible d 'eufc-e hora et est sur nos coL'aviateur Dufour vient d'effectuer' un sucette proposition laisse totalement de côté lo vivement commentée par les indigènes.la mer reste belle. Mutuel : gagnant G7 50; placés : Heloup 31, perbo vol avec un passager du camp Cara- tesLaoùtempérature a monté sur nos régions ; cê macontrôle des écoles privées, ont émis le voeu bancel à Gôta.fe. Salvla 46 50. tin le marquant 10 à Bordeaux, 13 à que le projet déposé soit modifié et remplacé Le vovago fut exécuté à une très grande Moscouthermomètre Pi-ix de V«rboise, 5.000 francs. 2.000 mètres es à Mfcsdrid, 10 à Paris. 21 à Alger ct 11 par un nouveau texte, où l'entrée des écoles environ. — 1. Walbudge, par Perth et Vina, à altitude, puis Dufour reprit son vol et s'en fut au mont Venteux. publiques de tout ordre serait formellement M. W. Flatman (Bellhousel ; 2. Berceuse II, à vers le cap d'Alco-Cocornc évoluer au-dessus Il est tombé l maiimètro d'eau au Pic-du-Midi. interdite, sous la sanction des peines portées M. Jean Stem (Ch. Childs) ; 3. Wyo-ming EH de la campagne et des limites de la montagne, En France le temps va rester beau et chaud. ù l'article 471 du Code pénal, à tontes pervenant atterrir par un vol plané de mille mèà M. G.-P. Esbran (G. Bailholomew). sonnes autres que celles qui sont désignées tres au camp de Carabancel. Non placés : Rosa Pompona, Eisa IV, Forma, Dans les Balkans ISIXM. Mixia par la loi pour l'inspection et la surveillance Dufour a vivement été félicité par le roi. Nazarena, Nona . Bar. :ÎI«T. §TAT DD Cia de la veille ninoa des établissements d'instruction primaire. Mutuel : gagnant 22 ; placés : Walburge 13, La frontière Turco-Monténégrina CHUTE DE DEUX AVIATEURS 6 JUIN Berceuse II 13 50, Wyommg II 19. Cétygne, 5 juin. Toulouse. . Gl.9 23.6 S. E. f.p. n. 13.1 25.8 * Madrid, 5 juin. Prix Plying-Fox, 40.000 francs. 2.400 mètres Saints du jour : Saint Norbert, Sainl Claude. Le 2 juin, le poste Turc a fait feu contre le envk'on. 14.6 11.9 S.E. a. f. b 10 .2 Puy-leDomOi 63.1 A l'aérodrome de Gétafe un monoplan que — 1. Badajoz, par Gost ot Gelested Fêtes à souhaiter : Saint Stanislas, Sain! 6.8 K.N.E. I. b. Pic-du-Micll 63.2 6 .0 poste Monténégrine. 0.5 Michel Laz.ard (Barat) ; 2. Rioumajou, à pilotait l'aviateur Mauvais avec un passager Lié. Perpignan. . Le gouvernement a fait de nouvelles démar- ù,M.M.Muiler Paris, 5 juin. a heurté des fils télégraphique© et a capoté. (A. Woodland) ; 3. Dor, à M. M, Lever de la lune, s h. S0 soir ; coucher. La France militaire confirme que le chef de ches auprès de la Porte, car c'est là le second Marghiloman (Bellehouse). L'aviateur est blessé à la tête et sen passager Bordeaux l 1 h. SS matin. cabinet du ministre do la guerre sera le gé- cas de violation du territoire Monténégrine au côté. Non placés : Tripolette, Moulins-la-Marche,Lever du soleil, i h. li ; coucher, 7 h. SO. néral de brigade Delétoiïe, commandant la par des soldats Turcs dans l'espace de peu de Mapsa, Ronde-dc-Nuit, Seigneurie H, TemLondres, 5 juin. 63' brigade d'infanterie à Châlons-sur-Marne. jours, Au cours d'un vol, à l'aérodrome de Brockplier IL IL Y A CINQUANTE ANS Mirdites contre Turcs Au ministère de la guerre, on déclare que la Mutuel : gagnant 30 50 ; placés : Badajoz 18, lands, l'aviateur français Latham a fait une G JUIN 18G1. — Procession de la varolsse dti chose est possible, mais que rien n'est encore chute ; l'aéroplane est tombé sur lo toit d'un Cétygne, 5 juin. Rioumajou 22, Dor 21. Taur. îait ; aucune décision officielle n'a encore été La tribu des Mirdites s'est révoltée et a attaPrix du Vieux-Pont, à réclamer, 3.000 francs, hangar ; ffiiekrues moments après, on voyait — M. Edmond de Planel est élu membre de prise par le ministre de la guerre, qui a passé qué la garnison turque d'Alessia. 900 mètres environ. — L Donadteu, par De-, Latham oui grimpait sur les débris de l'aérol'Académie des sciences, inscriptions cl bellesla journée d'hier à Châlons-sur-Marne. Le conseil de l'Ordre national do la Légion Les Turcs ont envoyé a son secours les gar- launay et Dolorès, à M. André Bérard (Ch. plane et regagnait la terre ; l'aviateur souffre On ajoute rue Saint-Dominique qu'il est nisons des autres villes. d'honneur a arrêté aux chiffres suivants les lettres. Çhilds) ; 2. Batailleur, à M. Edmond Blanc du choc mais il n'est pas blessé. probable que la désignation du chef de cabiextinctions notifiées dans la Légion d'honLe Gouvernement provisoire a été formé à (G. Stem) ; 3. Th. BaTon. à M. H. La Montagne net ne sera définitive qu'après que le général Oroshi, capitale de la tribu révoltée ct l'au- (O'Lôaryi. neur et la médaille militaire, ainsi que les L'Ancien Grand Séminaire LA COURSE NICE-CORSE Ooiran en aura fait part à ses collègues au tonomie Albanaise y a été proclamée. vacances produites dans l'Ordre par promoNon placés : White-Boy, Cappa, Franc-PiL'ancien grand séminaire de la rue du Taur cours du conseil de cabinet qui se tiendra tions ou radiations, au cours du semestre est un des monuments les plus vénérâmes de Le lieutenant Chevreau qui était resté en card, Galiléenne restée au poteau. LE DEPART DU LIEUTEXANT BAGUE mercredi prochain, sous la présidence de M. panne à Pcage-de-Rousillon, près de Lyon, expiré le 31 mai : Mutuel : ganaat 23 ; placés : Donadieu 16, Toulouse par son antiquité, par 1 Hospitalité Monts, Nice, 5 juin. Avec traitement donnant lieu à remplace- qu'il offrit pendant quatre siècles aux jeunes avant-hier, a atterri au champ de manoeuvres, Batailleur 17 50, Th. Baron 17 50. Le lieutenant Bague est parti co matin à ment : grands-officiers, 10 ; commandeurs, Après s'être ravitaillé en essence, l'aviateur Handicap du Piiintsmps, 10,000 francs 1 GOO .heures die raé;r,od!rome de la Bague pour la 34 ; officiers, 114 ; chevaliers, 613 ; médailles étudiants de la province périgourdine cl après est reparti à 7 h. -10 dans la direction d'Av' meotr.es environ. — 1. Ténor, par Grey-Pkime 5Corse. la fondation du cardinal de Périgord, par militaires, 1,175. gnon. et Honourd,, à M. James Hctmessv (JeimingsJ; Il y a trois mois, jour pour jour, que le lieuAvec traitejment ne donnant pas lieu à rem- la formation sacerdotaie qu'y reçut pendant La grève internationale maritime 2. Garance-II. à M. L. d.e'Ro.manet (J. Kellett); tenant Bague se livrait, on le sait, à eon au placement : grand-officier, 1 ; officier, 1 ; che- le siècle dernier lo vaillant clergé du dioLondres, 5 juin. Le Cinquantenaire Italien 3. Omie-du-Maiiâ, ù M. M. Ca-îmann (Shaarpe). cèse. daeieuse tentative de traversée «le la Méditervalier. 1. Le comité de la grève des matelots interuaNon placés : Kiing-Henry, Padoue-II, Gobefe Les lois récentes ont changé sa destination. Le monument Victor-Emmanuel de Nice à Calvi en aéroplane. Sans traitement donnant lieu à remplace- Des 'tionaux a commencé hier à Londres la contféle. Taanboui'-Ma.jor-II, Kaiser-Il, Sir-Peter, Vi- ranée, constructions nouvelles le. transforment. On se souvient aussi qu'égaré «tans la bru- ment : grands-officiers, 2 ; commandeurs, 5 ; Paris, 5 juin. ' renée de trois jours pour examiner les quesrage, Sésame, Pacha-Il, Belle-Amie. Une assemblée de délégués de l'Université, de me et' poussé vers Test par le vent, il vint at- officiers. 21 ; chevaliers, 187. En réponse à la dépêche que lui avait en' lions de la gri ve universelle. Mutuel : gagnant 99 ai.; placés : Ténor 30 50, terrir dans l'île de Gorgona, à 06 kilomètres Sans traitement ne donnant pas lieu à rem- membres de la Société archéologique et de la Les délibérations sont privées, mais les se- voyée le président de la République à l'occa- Garaince-II 52 50, Orme-du-Mail, 24. de Calvi, ayant accompli un vol de 300 kilo- placement : commandeur, 1 ; officiers, 13 i Société du Vieux Toulouse, a arrêté, de concrétaires Havolock et Wilsons annoncent, sion d© l'inauguration du monument de VicPrix de Bue, 5,000 francs, 2,000 mètres en- mètres cert avec l'architecte de M. Tilhet, les mesurée au-dessus «le la mer. chevaliers, 28 ; médailles militaires, 10. iiprès leur réunion, que îc comité n'est encore tor-Emmanuel, le roi d'Italie adresse à M. Fal- viron. — L Forio, par Regret et Fortia, à M. propres à conserver, autant que possible, les La distance de Nice 4 Calvi est de 210 kilolières le télégramme suivant : arrivé à aucune décision. Achi/Be Fould (Ch. Child») ; & Kom-Ombo, à mètres ù vol d'oiseau. traces de multiples souvenirs que rappel lent M. G. Brossette (J. Bartholomew) ; 3. Cassin, «M. Fallières, Président de la République, Fin de ia grève des taxi-autos la maison forte des 'Maurand et les- pieux étaAjaccio, 5 juin, midif, à M. A. Veil-Pl-eard (RoveMal. Paris. On a été prévenni, à Ajacclo, du départ du blissements d'instruction ecclésiasitque. Paris, 5 juin. Non placés : Arasât, Bailly-IH, Chantccler, lieutenant » L'aimable dépêche que vous avez bien Bague do Nice pour la Corse. A l'angle de la rue c'u Taur ct de la rue PéLa, grève des taxi-autos a pris fin ce matin, m'adresse? à une occasion si solennelle Quand, Guy, Gourtand. rigord, s'élève encore la puissante tour carLes poipiïlatioins s» sont aussitôt portées conformément aux décisions arrêtées par la voulu Mutuel : gagnant 49 ; placés : Forio 18, Kom- sur pour l'Italie m'a profondément touché ; très la côte, où règne urne grande animation. rée dos Maurand dont la salle du rez-deptiambre syndicale des chauffeurs de la Seine. reconnaissant, je vous en exprime, ainsi qu'à Ombô 30 50, Cassin 13 50. A midi, les' sémaphores n'avaient reçu auPar arrêté du 3 juin, la vente des timbres- chaussée voûtée d'ogives, dato des dernières Toutes les principales voies de la capitale la nation française et au gouvernement de la A MONÏAUBAN cune nouvelle de l'aviateur. retraite de toute catégorie sera effectuée par •années du douzième siècle. les deux petites ont repris leur physionomie habituelle. mes remercienieuts les plus chaNice, 5 juin. Deuxième journée les débitants de tabac, par les receveurs-bura- fenêtres cintrées sur la rue Périgord mainLes cochers do fiacres, qui ont fait pendant République, leureux, en vous assurant que vos sentiments On est sans nouvelles du lieutenant Bague, listes et par le personnel des postes et des tiennent son caractère et sa date. Il est proces deux derniers jours des recettes merveil"Prix régional 2.00 francs, 3.200 mètres. — l. Idode vive sympathie sont entièrement partasés bable que des- jours analogues s'ouvraient sur qui devait arriver co matin vers huit beunes télégraphes. môiiée, à M. Ed. Bongrat ; s. Flambeau, à M. B. leuses, cherchaient vainement leurs clients de par moi et par le peuple italien. rournié ; 3. Foiie, à M. Bén-acSi. 'ia Pentecôte. à Ajaccio. Une remise de 0 50 pour cent est attribuée la Grand'Rue, comme, on l'appelait au moyen » Jo forme à mon tour les vœux les plus Non places : RéVgial, Directoire. âge depuis le château Nan-bonnais, mais deLes contre-torpilleurs à Nice ont reçu l'or- aux préposés de la vente. M. Fiancette, secrétaire général du syndicat, cordiaux pour votre, bonheur et celui de la IMKwI : Gagnaart, li ; placés : Idomènée, 9 50 ; vant l'inoertitude et la nécessité d'y \«ir plur p, été reçu hier par M. Pcrrier, ministre de la dre d'aller à sa recherche. Flambeau, 19 0. France et vous prie d'agréer, Monsieur lo justice. Nice, 5 juin. clair, la nouvelle fenêtre actuelle ue sera pas Prix des Pavi'lkms, î .ooo francs, 3.200 mèters. président, l'assurance réitérée de nies sentiLe contre-torpilleur Arbalette. envoyé à la Le garde des sceaux s'est longuement fait changée. t. Issy .les-Mouainea.ux, à M. E. Marcmae. ments les meilleurs. reclienche du lieutenant Bague, vient de radioexpliquer les causes de la grève ; il a paru Mais la grande fenêtre cintrée de la sa.lle Non placé : léna. » VlTTOF.IO-EMXfAîiUELE. » téOiégraphier à la préfecture maritime qu'il trappe de la légitimité des critiques formulées du premier étage, rétablie au quatorzième sièMatuol : Gagnant, 8. Fédération ries Sociétés musicales du Midi Prfc du Clwmin do fej- d'Orléans, 1.200 francs, m'avait pu déoouv.rir l'aéroplane. par les chauffeurs et a promis d'examiner, cle, sera rouverte sur toute sa largeur sur ni 3* Fête fédérale à Lézignan (Aude) 2.000 mètres. — 1. Viril, à M. Rcynotls ; 2. Galvanl, avec la plus largo bienveillance, leurs doléanL'émotion à Nice est extrême. Le Voyage du Sultan rue Périgord. , . le dimanche 25 juin 1911 à M. F Bâtes ; 3. Ersotme, à M. J. VaUières. ces. Le comité «D'aviation de Nice fait demander Sur la façade, les belles briques épaisses Momast-ir, 5 juin. Non placés : Suessula, Bon-Cliilia, Salamdaluza. Le secrétaire général du syndicat aura inà tous les «^minaudants de navires en parcontemporaines de la tour seront délivrées du On fait .des préparatifs graimMoscs pour l'arMuitue.1 : Gagnant 1S ; placés. Viril, 9 ; Galvu- tance d'ejoercer unie eurvei'Hanco très active tessamment une nouvelle entrevue avec le rivée du sultan. nl, 8. La Fête de la Fédération sfcra clôturée par crépi, remises au jour, rejointoyees et leurs ministre de la justice. en mer. Prix du Gou.verncinie.nit, 2.000 francs, 3.000 mètres. Mercredi, en a. découvert, dans un village une audition artistique qui aura lieu lo di- tons cuivrés par les siècles reparaîtront sans Ce matin, le Conseil d'administration du Des ordres viennent d'être donnés aux eon- manche 25 juin, à 9 heures du soir. être profanées à nouveau par la peinture de Kupkruïu. isur le parcours que doit — 1. Itégenl-Streot, à M. Laiitlo ; 2. Jockey, a -M.Syndicat a tenu uno réunion à neuf heures à voisin tre-torpiimeurs actncHe-ment à Nico ù partir à Daeoumeau. suivre l© sultan, 42 kilos de dynamite avec Pendant ectto audition «mira lied la distri- rouge, si chère, hélas ! à nos maçons actuels. la Bourse du travail. Non placés : Rampola, Max-l>arguin. la recuierehe «le l'aviateur. On tâchera de conserver, au moins les traces un nécessaire d'armes. «les prix des divisions d'Excellence. Mutuel -. Gagnant 13 00 ; placés : Régent-Street M. Fiancette a rendu comtpe des divers inciLo lieutenant Bague avait exprimé le désir bution Des démarches sont faites auprès «les Com- de quelques dispositions anciennes, particu7 ; Jockey, 9. dents qui ont marqué la grève et s'est félicité «e n'être pois convoyé. V.rlx do l'Atlmirilstratlon ilejs Haras. a .»o inu*". pagnies de Chemins de fer afin d'obtenir «les lièrement do la porto goihique surmontée ne- l'union qui règne parmi tous les membres 2.400 mèteres. — 1, Interview, ,1 M. H. de Fnum,,»'; . , Nice, 5 juin, arc en accolade du quinzième siècle, T supplémentaires qui quitteront Lézi- d'un Se la corporation. j L«,.een«.-ral do divtekxn Dueray, gouwriicuT trains qu*, l'ïinlèvemant ,tu crépi n. fait T'6 .-il>]HU-;iît r t', 2. Montrose, à M. D. Gusstier ; 3. Crève-Cœur, à M*. gnaii Uiiijjs i** awutt. oe Nioe, fait connaître qu'il a reeu le 5 iuïn, avec «os saillies et sculptures rasées au niMamrtoe Laitrouche. Gela pea-meUmi aux étrangcTS «l 'assister fi La grève des tramways du Nord a, 4 lieures, le télégramme ci-joint «expédié à. l'autiitioa du soir sens être tonus d'attendre au veau du mur. On ne peut songer à rétablir lo Non placés : Diotame,, dérobéo ; Jokey, tombé ; VIOLENTS ORAGES Furet-lII, Isahoau, Comité, Koyale-Brioche, Mlss- 2 h. 10 par le commandant do la marine tl'AParis, 5 juin. lendemain pour quitter Lézignan. fenestrugo du douzième siècle dont il reste cejaccio .: Lacq, Souloutte -in, Paulette -IIt. Le travail a repris ce matin sur presque touSaint-Pétersbourg, 5 juin. Ces démanches sont, près d'aboutir. L'horaire pendant quelques amorces et dont M. SaintK Je reçois de diverses sources des demandée Mutuel : Gagnant, 73 ; placés : Interview, 10 tes les lignes de la Compagnie des tramways Do violents orages ont éclaté dans les gou- Montrose. 9 50 ; Orèvei-Cœiir, 7 50. Raymond a présenté à la Société archéologispécial sera publié en temps opportun. d» renseignements sur le lieutenant Bague du Nord. vernements de Kiew et de Kberson. que une élégante et très vaisemblable rostiLe Comité. Prix d© la Société Sportive d'Encouragement je vous serais obligé de faire savoir que toutes La fin de la grève avait du reste été décidée La pluie et la grêle sont tombées en abon- 2.000 francs 2.000 mètres. — l. royale-Brioche, à M. Pour tous rensfMgnemenjts, s'adresser à M. tution archaïque. . .. les réponses seront adressées par la voie du cette nuit, dans la réunion qui avait eu lieu dance ; des grêlons de la grosseur d'un œuf Maurice Labrouche. La galerie du rez-de-chaussée et de l'étage général gouverneur ; pour le moment, je no .iidesJules Alquaer, secrétaire général du con- sur % la C. G. T. de pigeon ont détruit les récoltes sur plusieurs Non placés : Lonloutte-III, Monnellita. la cour en pans de bois dont l'aspect pitsais rien ; VArbalette est sur le trajet d'Ajac- cours à Lézignan (Aude). Le peu d'enthousiasme d'une grande partie milliers d'hectares ; plusieurs moulins à vent MTOTmed : Gagnaint, tl. toresque s'embelllit encore par les cascades oio à Nice et jo suis inquiet. » MWitary-Offtciere, Objet d'Art, 3.000 mètres. — t. fies grévistes avait détermine ce vote. ont été démolis. des glycines et des vignes-vierges, seul témoin; Depuis 9 lieures du matin le gouverneur té Mestura, à M. de SannaCMU ; 2. Facile-, i M. de En effet, dès hier, un fléchissement notable De nombreux incendies ont été allumés par du vieux collège de Périgord sera religieuse-^ léphonera les remselgnements a.n fur et à meSourrllle. Sètait fait sentir parmi les chômeurs et la la foudre. ment conservée. Non placée : Troifi -lîtoiles, dérobée. ! sure de. leur ré«K.ption ; l'Arbalette venant d'ACompagnie avait pu réorganiser une partie de Londres, 5 juin. VExpress parlera du monument avec plu«, Mutuel : Gagnant, lii. ses services. jaccio était à 4 heuree et. demie en vue du port Un épouvantable orage a éclaté hier sur plude détails, lorsque les nouvelles disposition! Un temps spîcndiile a favorisé ces très belles cour* de Nico ; le commandant a demandé par téléLe découragement parmi les rouges semble sieurs villes d'Angleterre. eœ et l'afltuence a été considérahle. seront terminées. Il peut louer déjà )«. •-•''"' graphie sans lil au Fantassin, qui est au port, provenir de ce qu'ils n'ont pas pu entraîner Concours de Saumur A BiiTniugha.m, le feu a provoqué la chute e i si on avait des nouvelles de Bague ; sur la de la bibliothèque universitaire. •-.!.';"; M! " M ' dans le mouvement la Fédération nationale d'un bâtiment en construction. A SAINT OUEN 17, 18 et 18 J-irtHel) ajourée, s'offrant à souhait aux s tuci icu*. ^ réponse négative de celui-ci, VArbalette a reues transports en commuai qui leur a refusé Paris S ji Quatre personnes ont été ensevelies. Mais Une saurait clore ces M "' - 'îf W Nous croyons titille do rappeler «pie les emrajropris la route corso pour continuer les rechereon appui ^noral. Demain courses i Saint-Ouen. Partante et n A Nottihigham.-Nomare, des maisons ont été mente pour le concoure» cermniil rte la Société du primer un douloureux regret devant i £g : ches. lézardées niais les habitants se sont enfuis in- probables , amval rte guerre, <tul doit arot,r lieu a Saumur les leversements qui foin disparaïue . u Prix de la Limagne : Austral (R. Sauvai;, j/iLomi demnes. 17, 1« ct 10 juiUet prochain, devront. 6t.ee adw^As n#rabie passé.' Les cheee! ^mêmesl^ plot (W. Iléakf), Salnt-Kômi (IloUobonne). lEnone" Charole. 5 juin () aîu Secrétariat de la Société, 43, rue rte I .lsiHmno 1F. Ilardy). Quesnel (Collier). Alexandre (Bortliier) mit : simf lacrqnr.e rcrum. '* V,„Jnie luUn violent orage s'est alialtu sur le Charoljusqu'au .samedi 17 juta prochain, avant 6 Heures Imaginer l'aspect mélancolique et I" ';"",!„,:,, Prix du Gevauidan : Notable (lloUotooiie), Castel- ., Paris, 5 juin, du soir. lais. Deux domestiques do Gucugnon, les franc (P. Salamagnou). Rhama-II IX), Mieslla (D. «libre que' présentent le jardin, ses -x un sait que la commission sénatoriale des nommés Philibert Durand et François Jouir- Kalley), Familier (Maisonnave), Ni»cBievo (LofegroLe moment appraduri donic où tous les PTom-iéLa marche de Vidart • ne passe I" „ f)m . nuances a maintenu la taxe votée par la net, ont été frappés par la foudre. taires et éleveurs intéressés ttevront insênn> leurs sous lesquels perso ve), Ijeibnan (Tliiljaul'l), Ugly-Blrd (13. Lassa»), TjrroRome, S juin. n'étant plus taillés, laissent tomber e or Chambre sur les bénéfices calculés, en vertu dlinvau-x ipow ce concours qui est appelé à avoir llenne-II (X). . a Durand a été tué. Journet a été blessé. L'aviateur Vidant, parti co matin d'Ortobollo catile année, uno iinportiaraco exceurtion-neHe i e clauses statutaires, sous la dénomination re sinisire sinistre sur les nuée» ail " es »" où ••><-. se V"" si « e ^ ' bre Pris du (?a,ratal : Ftorlcuilture (Hojtaai'), Ta-ltlttaséditaUne autre personne aurait été tuée par la aoa. m (J.-B. Moreau), Saint-Léon (Roals), Fontenay- à 7 h. 52 est arrivé à, l'aérodrome de Parioii oe tantièmes, a toutes personnes participant fou lie à Nenoy-Grauchiamp ; un grand nomtant de pieuses causeries, de saintes Sans nous étendre suir les «tétakls du programme amx-Roses 10. Haltsey), Isola-Madre-II (Cottenctn). à 9 h. 15. Il a atterri liouneusoiaent, après un owl sera envoyé a tons couse qu ie.n feront ta «lr a la<lmHustrajion..à la direction . à la gé- bre de bœufs et do vaches ont été foudroyés tions et de prières. , ,,„_. t/, ,iouKama (Oartwrtslit), Soflo-IV (T^uifrfoi»l}, Mourtaii magnilique vol plaine. nuatode, 43, rue ôn I,iî«y«t«ne, à Paris, notons rapirance de sociétés visées par cette loi Et la chapelle, un des joyaux de 1 art touiw dans les prairies. (Entwistlc.). I/emon-Robei-t (E. Iiardy). ' dament les innovations qui signaient le Conooura cain. désormais vid.-, sans J -uie, a 1 ,,u, d e 8011 IiOTsqu'il est descendu, son f.rèro ct sa belleil r , rapport général, où A Tanç.on, Saint-Bonnet et Ghana", unio OoùiBe do haies aimraelle ûi: Saint-Ouen : Jlerrydo Saumur en 13U. l visitée par quelques rares curieux, ai» hiVnc M rn' n .k*. angles de la loi de •trombo d'eau et de grêle a causé d'importants Eii.iffiit (O'Léary). Salut-Just-II (R. Sauvai), Crosaop- sœur l'ont longuement cmbiassé : l'aviateur, Tout d'abord, il comporte uno sérieuse ausmen- son âme et son accent, Certes, les pn'ofe^' imancc-s, M. Gauthier écrit . qui était très eutoniré, a été l'objet d'ovati <Hi6 dégâts. ~ tylon (Barre), Jiim-f'row (A. V. Ohapman). Bla«iMnrta.tlon : «>,O0O tnmos HraDt (llstrlbitfvs en primes « Dans notre pensée comme dans celle, du II (G. Partrenietrt), Obaanoerops (W. Héad), Fondra- < iilhuu- i;i5i «'s «le in part d«-,s coniimisstii.res d'aTours, 5 juin. <x»mpo.<!. cannplonua^ et éiH «eui\'es dlvei-ses au lieu de l'UnWere-ltè tiendront ii honneur < e ni b» gouvernement if est bien entendu que la taxe On annonce de divers côtés que de nom- (Hardy). Cookfield (C. HaJsèjr); Ovide-H (J.-B. Mo- viation, des journalistes et «l'une foule nom- «le 42.000 francs m BMQ ; urne catégorie nouvelle a rantir de tout péril. Mais que ,Kutvenl- ts tre l'abandon, l'éternelle solitude, h en\ai us*» ( iie 4 % ue doit s étendre qu'aux bénéfices dis- breux orages ont éclatés on Touraine ; la. fou- reau), uaipe-Di«an (Thibault), valdation (Bourdale), breuse. été sp»JC-i.alement réservée, comme "on île sait, aux tribues aux administrateurs, directeurs ou diro est tombée sur lo château d 'Avize, qui a Bolé««>-lI (F. Hardy), Cas.nlilanca-IV (O'(Xaimor). '. Vidant déclare avoir fait un. voyage henroux. pradirl'is i«sn« ipim étalon ÙÊ denii-sang et d'OM ju- meut de la poussière n de i humidité > mPrix du Puy-de-Dôme : Journ.-vliste ou Mon-Clkérl (gérants de ces sociétés et no s'applique pas, subi d'importants dégâts. ment (In jw «nw : «t m ne wrn la m. >i n i l ro H se montra visiblement satislu.it d'avoir pu, les herbes folles convi; -,!. ciiitne ( • • " ,« , (F. Hardy), Hypnos (R. Sauvail). Monta«raam i\v ipar conséquent, aux traitements, jetons do Dans la région de Chàtea.urenaulit, de nom- Head). SlegUndo ou Gah'a.x (Parfroment), Mouos' après do nombreuses péripéties, atterrir à attraction du conecurs (pie do comniarer dains les cinuilicrc, h' préau au-dev .-int. do ' ' ' ' ,„l présence ct autres participations prélevées breux poteaux télégrapluquiss ont été renver- tir (P. Woodland), FeuKle-Bcngale, (Thibault). rtinipes, lias cluiunpininiats i-t le". Ciimvinvi-s «t'<,i ).staclcs porte, Les marches de 1'esco.lier et 1"' ,', "..^s Rome pair uni temps mervieuieux. proil:uil« du «irolMotnent inverse awi loa produits mêiiK! dans les couloirs par les vitre.-- cass»Ki sur les frais généraux. L'oppancilde Vidart n. été remisé dons un han- les sés. Prix de l'Auvergne : Causerie (Defeyer), Talinont du croisrinent direct ! 1 » D'autre part, cette disposition nouvelle ne des i nêlrcs. Une église «lésallectce comme<>« Les récoltes ont partlculLèrciuent souffert. R. Samvall), aïoisy-le-lioi (Gomers), Sunriso (Parfre- gar et l'aviateur, après uno collation, est parti ( :-vi ninos reoumaalione des éleveurs d'anglo-arament), frinaï (W. Ilead), I^-Jauino (Barre). ConsolaBMtOsnoWie pour Rome, où il a rejoint U» ont également, reçu, sait isfact ton : le mlni.mii.m dit l'euphémisme actuel, est un wonum ew non pas atteindre les allocations attribuées tion (A. Benson), Damsour-II (Thibaibll), John-Wlllle p., i unout eu Grand-Hôtel. aux employés intéressés ; la question reviend» la taille a été ,-i»ak*-n «-t ramené a 1 m. 50 ; cetperdu. Voyez, ce qu'est devenue celle des LES ACCIDENTS DE CHEMINS DE FER (Ilxwau), Itliaquo (X), Platine (F. Hardy), Pattan^ DFdra, d'ailleurs, devant le Sénat ». te mirdillcaition aux ei remonte antérieure nous (»t cobins I . La inarche de Leprinee Un déraillement douiieux : Kama (X). une garatn .in que nous verrons à Saumur les nieil M. Y allé, ancien ministre du cabinet Corn Nice, 5 juin ours tyjx 'S de cette race si i.'iiténs.xiu'lo a laquelle Pronp<fic< Madrid, 5 juin. .es. a pris une délibération longuement moConférence sur l'A. C. J. F. L'aviateur leprinee a quitté ce matin Nice, nmiH devuns l'élite de nos chevaux do cavalerie léraris Sport : Ausllral, Salnt-Remi — Ecurie Velltivée contre ce, nouvel impôt. Une dépêche officielle de Jaen annonco que gère. A L'INSTITUT CATHOLIQUE Picard, CastalCranc — LaBldasisoa , FloriculUtro à -i heures, se rendant à Gènes. Après avoir cliambro le train-poste a déraillé près lo Linorès. <lc «l«na«on« que tout™ h>< primes inférieure* o.nt été Paris 'dPmnV , commerce do Vcdl Picard, Sa.lnt-Just-II — Ecarte Veil Pi- roulé .une quarantaine do mètres, il a décoMé iiuiBra précisai i -,,j ard'hud, à cinq heures Il y a 14 blessés dont 3 sont dans un état Ecurie C'est a.nio reinvées ct que (M nomilire en a été iriigmenté éun4o» oard Itypno» — Sinaï, Hiprejsentant Goudcliaux. facilite ment, eu uno superbo envolée • il a pris, dams chaque catégorie do façon à garantir, autan* qu'a ura lieu a l'Institut Catholique la roui" grave. ha liberté : Austral. fEnono — Castelfranc. BW*< 1 l'ASSO «n-KauiiSi'C par le Cniruté duM'i*am do i LE CHOLERA due P" -'1"1-'. b-:' l -f .uu i. '.ni-.'s cunli-n t.. s ris<|tie 'S sentant Picard — La-Bidassoa, Floriculturo — Ecu au-dessus do la mer, la «liineetion do Gênes ; en quelques Instants, il avait disparu à l'ho- da deplacemeint onéreux -, de môme aussi que l'an „..i.,,;,,,, rjatholiquo de In Jeunesse français^. rte Veil Picard, Carpc-Dlcan — Montagnard, Ilyp _ , , T.rteste, G juin. dernier, pour faciliter et pnjv<i(ru»r les tratuMictlons iteoot M. lo chancAne LassaUe, aumônier ;"<J*J Ko. raison do cas do choléra, qui se sont nos — Causerie, Représenlant Gouiic'liaux. commi^s'.iali-s, la carrlé.ro sera réservée chaque jour sain et «Vu Comité régional, et M" ••'.';-/''!"„ ré-' L'arrivée a Cènes r/lnlranslficant : Auslial. SaintReml — Cnstel, ^lïilt . Iv?iÎLise ', <les mesures ont C«£ prises a une heure «léterminée, pour la présentation et Duel,, avocat a lu cour, président «le 1 1 '! ( '' ès trame liepréacntant Picard — ia-UlOa-va», Flortpar lo niiniistc-w «lu . onuni Gènes, 5 Juin. l'essai des chevaux à vendre dont la liste sera a f ilGustave Horvé adresse .do l^vUi'rto'la ( nr culture lOcnrio Veil Picard, Me.rry-Knlglit — EcuSanté J..'s hicdiivs qu 'on a , oul .unio d'accardeiau procureur général Iep.ri.nce, pairll de Nieo à -t heiures. heure r.héo ili l.> «lMiut du OUCOIITM . Ainsi d'aliU'urs rju '« n gionale du Midi, rendront compte <tu 'V, »'iBo:, s,i i>, s rie Veil Picard, Hypnos Sinaï, Lo-Jauno. n-.i .l.i. i emmenl ., Palis pur IV ,k laquelle U'ô^arë^etrrraute^d^'^gS* française, est arrivé à Cènes ù « h. 47, heuro a pu le constater l'an dernier, le concours de Sauiinï do 'vùn f 'i' "'•1Y'"'«''>I <ir.e» vtMU : Austral, Alexandre -- C urio Veil intitulé : « Oraison funèlnw du colonel MoilV -- dirent, ipii'lh' t.r.idiii. n. MM '-'"'^ mur : : trouve être «lottHIé d'un important marché , latlon : ils I'icjinl, CasUilfraur. — I.n.lUdassoa. I nmon t-AObOM italienne, battant le record de vitesse des présuivi P&Bsoetatiou depuis vingt-cinq ans paru dans la Guerre sociale BOUS la slgnaum avec cedento avatteairs. L'heure Ilaliennie étant en «le chevaux il'' :-'o!l<\ — saint.iust u, Valdaiion — Feu-de-CengaW, filou na,t>j)«vl<.ru eiriiln que ro ronrinira i\st encadré «le quoi les forces «Mite itispoise pour oonitlnaet « Un sans patrie ». toKiiaivi — riiuiiii lu. sumrieo. avance «lie M minutes sur celle de France, deiux <* Buccè une laeho de ivrhi i-l ionisation. réunions de courses à Verrie Saumur, 1M ie, 11 demande, en conséquence, d'être, incrup. ia l'aviateur n'a «loue mis en réalité que 1 h. 42 et 90 juillet -, ainsi remanié, coimipilété et. augmenté. Concours hippique de Narbonne ACCIDCNT DE TRAMWAY M. le vicaire général Assiou priVUiwa dans le procès qui doit commencer demain a minni'tes poair parcourir les 170 kilomètres qui 1, N OongoQIt «le Saunnir rte 1i)l,t promet plus enr- réunion et prononcera, une allocution. ^ Traniime journée propos de cet article. ,, eépaiient les deux viuqs. «xwc, H iiufssiWe. que les années pivoédenleK un MM les ecclésiastiques sont spceUdeme» Une voiture de tramway. » ue'raïllé suilmi, M. Hervé ajoute qu'il est également 1 autour mU, > L'arrivée <io Leprinee n élé splendddsr9 fpoctairae du plus vi* Intérêt auquel ne sauraient ;urV''i ^- T îi V-Uear Mu dMoead* ut d'etwlpcm U) .mètres, il a rbamim-r il" uarUrtrwr Lois c-iiv qui. eu l i .-ui .-e, Vité:'Ht; toi» les articles parus dans la Guerre bndue. On MM SAU» oarte^ •tterri ,çu irO'.ant légèrement La paiteade. s'intemtwnt a rot«v.<«» du txm cdiïYftl de MU,

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BULLETIN MÉTÉOROLOGIQUE

mmm m L'ÉCOLE LAÏQUE

A L'ETRANGER

ie Cabinet du

(Ephémérides toulousaines

Ministre de la Guerre

Chancellerie ie la Légion d'Honneur

LES CiRXIVIIS

TIMBRES-RETRAITE

Fédération des Sociétés Musicales du Midi

Faits Divers

LE CHEVAL DE GUERRE

L'If

SUR LES TANTIÈMES

Paris-Rome-Turin

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés


MARDI 0 JUIN 1911

LES TOULOUSAINS EN ESPAGNE LES DERNIÈRES PLACES In; il- les d 'adhésion pour le v.)>ii::o que tkxprets organise en lîsimgne. a l'occasion du Congres Eucharistique international, vont être

oharmante qui doubla certainement, aux yeux de Ions, lu valeur des mets exquis qui furent serv is par le grand établissement de la rue de» Metz. Un orchestre dirigé avec aâtortté par le maestro Bonnenialson et qui groupait quelques-uns des meilleurs artistes die Toulouse so fit entendre au cours du repas. Beaucoup de dames et do charmantes jeunes nitos rehaussèrent de leur grâce le charme de cette exquise réunion. , , A l'heure des toasts, M. Decaux, président do la Société, prit le premier la, parole. En '".rmes déWcats, il but à la prospérité de la .Société et. <le ses membres. M. Vedct de Nat ligues lui succéda ; avec esprit ili porta la santé des convives. Puis M. le député Honoré Lcyguc, président d'honneur de la Cutitte-d'Or. prononça une altocuitiom très applaudie. , 1)0 la salle du banquet on passa dan»,ce! 10 du concert. Tour à tour dos artistes aimes du oublie toulousain, Mines lioby Fomol. Benettl, MM . Fontelx, Ramti ux, Bêlaval et l'exceHent chanteur (m'est M. Rose de LavaTCtUe se firent entendre dans des morceaux que le public .souligna de ses a.pplundissemeols. En résumé, fête des plus brillantes, des plus complètes et «les pins variées qui fait le plus grand honneur ù ceux qui en turent les organisateurs dévoués. m

Bai)? ie Béparteipept

CaulctVJ* ; Jean Sttbra et CàHna Dites ; Jean Rfiibiohou et Jeanne-Marie Irançolse laporte. LABASTIDE-DE-SERÛU. - A M. Charles, conseiller général. Ecoute Charles. M relire uno u paletot, ie rétro u -t-e mes matiienes et ]• t- lui. ne, toi ! n invocateur dies injures gratuites, loi ([itl reste,-, toujours cache dan.'- I ombre. U taui en finir avec toi, quand tu devrais te cacher «eus terre el patiemment attendre u pre -rriplion de l'oubli, du pardon et de la pitié, Ou'as-tu fait? Gflee, illuminé par le mirage de lu grande révolution, r-rjublable aux sauie•vlh's, tu t'es abattu un Jour, cherchant fortune, sur le canton de Labuftlldc-de-Sérou, tralntont à ta suite l'orgueil, l'envie et 1» Mpiisie. ROUF te rendre moins sinistre, tu t adjoignis quelques esclaves. Tu promenas la wwigue plusieurs fois autour du cardon, convaincu que cela te ferait uno popularité et que tu fprti'.s tomber tes ennemis comme tombaient •autrefois les murailles de Jéricho devant les trompettes de Josué. Si tu es rrivé à être élu ni Bonse.fi général, tout le monde sait comment et quels sont les procédés que tu as employés, 'tu ne reculas devant rien, tu tondis la ,H.:i.- dans tous les coins du départciin, :nt . Citiez les nus, tu .implorai* la pitié en demandant leurs voix ; Chez les autr.es,c'ét .ai .t les promesses et chez d'autres les menaces. Comment .feras-tu pour tenir tout ce que tu as promis ? 'loi l'homme loyal ot juste, tu n'ignore pas quels sont les .procédés honteux qui t'ont servi. Ceux qui furent contre toi, malgré tout, tresteint debout ; avant peu tu «nuiras (et tu le sais déjà) que quoique élu tu n'es pas moins le. vaincu. Le flanc troué par mille blessures, la. tète meurtrie et ensanglantée, tu es couché à terre comme lo guerrier qui meurt ; il ne ite reste que tout juste la force do tourner ton visage cadavérique du côté do. l'ennemi, qui 'est toujours là, et, épuisé, tu attends ta dernière heure avec un sombre désespoir. C'est pour cela que tu fais injurier à plaisir dans tes jouitinaux, où l'on trouve tout le vocabulaire de la poissarde des quatre saisons. C'est toi le «cul responsable des injures que tu fais répandre, toi si. bien disposé par tes amis pour être passé au laminoir, nous t'y passerons. Nous ne sommes plus au règne de Roudct, où tu fus le grand dictateur du canton, en même temps que le pivot du département. Mais aujourd'hui, et quoique conseiller général, de nom, tu es obligé d'abdiquer ta putesâpee qui n'est plus qu'un mite, tu es réduit â moins que rien ; ion t'en a donné la preuve, on «la continuera encore. Et comme le Bios, tu n'as plus pour toi que ta jactance, tes mon songes,' ta vanité et tes vengeances. Est-ce la France, l'amour de ton pays ou du canton qui t'a donné ton hystérie guerrière ? Non ! il n'y avait qu'un, seul mot dans ta bouche ; tromper tout le monde. Anatole DE R OUZAUD.

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ÉCHOVEMENT ÎD'VN

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S^àmkÙ. par ses propre* fo^ ^ii 'ueamidi.,tar, VW™ ALAN. Accident. — Hier malin, à foflft ces. heures, le nommé Arqttier, M .Mal dans la. léCV.M une erreur du pilote qui a occasloan! ' Les ifecteurs et amis qui formeront cette Intégion étrangère, en convalescence a Alon, voul'accident. ressante caravane ne pourront que «e féliciter > htl. ; r taire un loin- -, l.i->. rte». - En d;w;nSLL ['occasion uniqtio que nuits leur offrons de même temps quo u., ,,i „»r« en dant la route départementale n° 23 (allée des Le Vol cl\x Torpilleur^ visiter Madrid et la distille, dans des condiveaux et Comme il vient presque tOUJOUrS.TO Marronniers), il ne put arrêter sa machine, tion-, <.\.-,.|.i ;i >iiiteHi's do confort et de bon «rea cas, l'opinion publique rtépasee w I)uuki >rqu,e, C, juin. t.e tournant 'situé à cent mètres de la ville est marché. et se délie de toutes gens, de toutes chowt.. Sur deman le du service de la Sûreté, les presque à angle droit et très dangereux ; aussi, La société toulousaine sera brillamment reautorités ntartlmes du Havre oui donné r«£ par suite de la vitesse acquise, le susnommé présentée. est-il allé se jeter la tète en avant, contre le die. au torpilleur 221, qui se trouvait dans 10 Nos adhérents — parmi lesquels les darnes mur du jardin de M. Ai l igues. Il s'est grièvepur.i, de rallier Dunkerqti >. «oui dans une notable proportion — apparment blessé h la tête et aux mains ; tout enLe navire est arrivé hier. Angoulèrne, 0 i 1""tiennent à toutes les classes sociales : clergé, sanglanté, il a pu néanmoins se rendre cnez Hier a eu lien une magnifique asBwnbiee Un maieioi a été arrêté aussitôt et ml» au barreau, finances, industrie, commerce, agriM. 'te docteur Carbonncau, qui lui a pan sû e° s des catholiques du dloobee, sous to.pre-SKtenci culture, etc. nombreuses blessures. de Mgr l'évêque d'Angonlénie et die Mgr ieLe "service de la Sûreté verrai! dans ce niaPour retenir les dernières places — çt pour rtn, enialnair» de Salmt-Omer, le vrai coupaMUIIET. soirée musicale. L'Harmonie vêque de l'érigiw-ux. , ,. torts les renseignements - s'aoressetr a M. îaaM. Henni Bazin» a prononce un discours s r btedu vol à bord du 256 ; 11 attrait eu des coinDalavi-ae nous a. servi, hier soir, ses airs les mbjiitrateur de VBxvn-, W rte Roqueiainev 1' « Union catholique et .l'action sociale » de- P plUB dOUX ; elle a voulu gé taire pardonner le Toulouse. retard qu'elle a apporté à se faire- applaudir ; vant quinze cents personnes. »f effet, le factionnaire ".rappelle avott :'' , mais, pour cela, elle n'a rien perdu pour atL'orateur fut acclamé Mors quii annonça vu, le soir du vol, d- UN b..l;v , Les Banquets du Dimanche que les catholiques combat! ront êneTgiq»ie- demi ; l'un d 'cnire <-..x portait une lanterna tendre. Des auditeurs Ires nombreux se pres- mt la loi scolaire Steeg et lu violeront si S saient sur nos allées et ont écouté avec uno LFS l'ROliUCTEltRS DE LA VIOLETTE e est voiée telle qu'elle est projetée. "l) !autre part ou aurait trouvé les outils qut réelle satisfaction les airs variés qui nous ont serv.iret..,t à fracturer la caisse. été donnés ; tous ont apprécié l'ainjilenr des thèmes bien conduits, bien dirigés, ia finesse ici. à Dunkerqde, lHmpi«sslen ••••< ; : . Société coopérative des producteurs de la vio nlèré générale qu'on tient le principal coup» des sons, leur élégance, leur expression, leur Dispensaire Marin jette de Lalaude. souplesse toute remplie d'une merveilleuse inble. . Compiègne G juin.  midi précis, près de 100 convives avaient Consultations gratuites les mercredi et ven- géniosité. Nous avons surtout admiré les soll Hier a eu lieu, à Compiègne, comme nous pris plaie dans l'itamense salle, autour do dredi de chaque semaine, do 3 à D heures (h», exécutés par la flûte, qui, en modulations l'avions annoncé 3a seconde journée des fêtes La Visite du roi de Serbie à Paris tables abondamment servies M. Lambert m, rue de la Chaîne, Toulouse). d'une délicatesse infinie, a ravi nos oreilles entouré uo de TjQ gérUim d6 Qutotc-n s'adresse, avec un sue- et ravivé nos sentiments pour le beau. D^sïdeîïTde la Société, préiddc, entouro de Jeanne d'Arc. Belgrade, G juin. 'vni Dubofc président de la Société régionale- cfet. wn n rrn ô par de très nombreuses guériComme le 28 mai, le défilé a été superbe et Un public nombreux, délicat, intelligent, a D'après nue information de source omçiear de crédit ; 'l'héron (le Montaugé ; Amedce, en S(>ns obérées dans lo dispensaire de Toulouse, lo tournoi très réussi ; l'aflluence des Spectachaudement applaudi nos artistes, qui, nous se, le conseil des ministres aurait oc;;»'" "•* Ksnv .conseillers municipaux ; Sonia, prési teurs était ônorune. , , à toutes les maladies qui demandent un relè- l'espérons bien, continueront à nous donner dent du Syndicat dos maraîchers, et des re- vement de l'état général et a toutes les Infec- des soirées artistiques et récréatives qui charVers 5 heures, après la mêlée générale, la pour des raisons d'Etat, d'ajourner a lauto.niie présentants de la Société dans les diverses tions trop souvent causées par un affaiblisse- ment toute notre population. „ , , distribution solennelle aux vainqueurs a eu le voyage du roi fi Paris. Rome, G juin. villes ou lieurit le commerce de la violette lieu. de l'organisme. La foudre. — On nous apprend que la fondre les convives ont fait honneur a 1 excellent ment Au ministère des affaires étrangères, on asDurant ce temps.les demoiselles entouraient On traite, au dispensaire, les entérites, gassure que la formule vague des raisons d i-.i.u menu, comme des travailleurs heureux de tro-entérites, diarrhée verte, eczéma, neuras- serait tombée, vendredi dernier, aux environs le mai fleuri, gracieuses sous leur hennin do Vilate, sans occasionner aucune espèce d'acïêter les excellents résultats obtenue par leur blanc et les dames do la halle ont chante dé- qui font ajourner le vovnge du roi de Serbie a thénie, chloro-anémie. cident ; les propriéUiires de l'immeuble sur travail et leur union. licieusement l'hymne final sur le thème de la Pari--, n'est autre que la situation balkanique lequel la foudre serait tombée étaient à la plus grave qu'elle n'a jamais été depuis^! inAu dessert. M. Lambertin a résume l œuvre Symphonie triomphale d'Hector Berlioz. foire d'Auterivo et n'auraient, a leur arrivée 'de ht Société et énuméré les récompenses oui Accident au Vélodrome "Dans cette même journée, à Margy, fau- corporation de la Bosnie-Herzégovine. constaté que quelques dégâts matériels. lui ont élé décernées, au cours de l'année, bourg de Compiègne, la première pierre a une Dimanche 'soir vers 4 heures -'*5, au vélodrodans les diverses expositions. M. Dubois a me au Bazacle, pendant la course do demiéglise dédiée à la Rienhe.ureu.se Jeanne d Arc VILLENEUVE-DE-RI VIÈRE. Fête de pre assuré les coopératcurs de la continuation de a été posée solennefllement. Le Voyage du Sultan par suite de la rupture d'une des pièces miere communion solennelle et de la Bienheuson dévoué concours et a annoncé aux con- fond, Compiègne, réputée a. juste titre pour les de sa machine, l'entraîneur Ripper a fait une reuse Jeanne d'Arc. — Dimanche dernier, a Constantinople, G juin. .vives fine l 'Heure est venue où, grâce aux bé honneurs rendus à la Vierge guerrière, aura chute entraînant avec lui eon stayer Saint- été célébrée, a Villeneuve-de-Rivière, la douLe sultan, accompagné du grand-vizitr et de Hélices réalisés, l'appel à la caisse de pré •lo mérite d'avoir reconstruit le premier sanc- plusieurs mrirai.strries, est parti hier à 5 h. •*» ble fête de la première communion et de JeanCriq et provoquant celles de Jjannes et Gailvoyance est devenu inutile et oit il va falloir, tuaire sous son vocable, cehi à la place même pour Sa.londque, à bord d^un cuitassé. qui se trouvaient immédiatement der- ne d'Arc. au contraire, répartir des bénéfices. M. Amé- lard où la sublime vaincue fut faite prisonnière Si la foule fut nombreuse l'année dernière, rière lui. Ripper a reçu de fortes contusions Les princes et Djavid Bey, ancien mmistre, dée a apporté les excuses du maire de Toupar les Anglais. » la 'tête ct un, thorax ; .ses trois camarades celle de cette année-ei l'était peut-être encore des finances, invites spécialement par le st«louse et exprimé les sympathies de l'adminis- àn'ont eu que de légères contusions. Us ont davantage. Sou» la direction habile de l'orgatan, ont pris place à bord du yacht impérial. tration municipale pour l'œuvre de la So des soins de M. le docteur Frazières, as- nisateur, M. le curé, assisté de M. l'abbé RerMahmoud Chevket Pacha, qui devait accomciélé. M. 'l'héron de Montaugé a porté un reçu sisté d' uno équipe de sauveteurs. La course a nède, aumônier du collège de Saint-Gaudens, pagner le sultan, est resté ici en raison du toast, en enfant du terroir, journellement été interrompue par suite do cet accident. qui officiait, la jeunesse catholique -et la cone mécontentement des officiers causé par laAu 11 cuirassiers mêlé à la vie des producteurs de violettes et grégation des Enfants do Marie, ont chanté la doption du projet de retraites militaires vote dés maraîchers ; M. Délieux a remercié, au Paris, C juin. messe do Rey, à deux voix, lort bien réussie. par la Chambre. nom des Jeunes, les fondateurs ct les vétéLes Vols Un nouvel incident s'est .produit, dimanche Toutes les jeunes filles de la paroisse ont On assure à ce propos que do nombreux rans ; un de nos collaborateurs a remercié au Une enquête est ouverte au commissariat du édifié l'assistance, en accompagnant avec les matin, à Saint-Geimain, cadre le .capitaine de officiers ont télégraphié au ministre <' la nom de la presse Gcktl et ie capitaine Httchet, du 11' cuirassiers. guerre, pour protester contre le projet qui, U M •i6 arrondissement relative au, vol do sept la- pères ot les mères de famille, ainsi que beauEt la réunion s'est prolongée bien avant pins ct de six poules commis au préjudice die coup d'autres personnes, les communiants très Le capitaine de Gail ayant rencontré, de- disent-ils, est inadmissible. CASTRES. —- Recensement dos chevaux. dans l'après-midi, au milieu de la gaieté et do Mlle Izard, demeurant à Croix-Daurade. la gare de Saint-Germain, le capitaine recueillis à la, Table Sainte. La commission do recensement des chevaux vant Ajoutons qu'une dépêche de Salonlque anla plus franche cordialité. Hochet, a giflé celui-ci, qui a protesté à coups — An icours de J nuit do dimanche -a lundi, L'église était gracieusement décorée pour la qui seraient affectés aux troupes en temps de nonce que c'est à Prenitza, dans le district do de canne. des malfaiteurs so sont 'introduits dans les circonstance. LA FÊTE DE l/CHION DES SAUVETEURS guerre, a fonctionné à Castres, dans l'aprôs Des passants sont intervenus pour séparer Kuprulu, où doit se rendre le sultan, que l'on Hier a Ou lieu la, fête de l'Union des Sociétés magasins de M. Saiirt-Sernan, rue Sainte-UrAux vêpres, après le chant du « Pater », solo midi de samedi. les deux officiers. Le. capitaine do Gail a dé- a découvert les 42 kilogrammes de dynamita sule, en pratiquant, à l'aide d'un ciseau a Île' sauvetage de là Haute-Garonne à laquelle magnifique, a eu lieu processionnellement la :Les chefs do groupe ont jvrofllé do cette oc les instruments nécessaires pour fabriquer claré qu'il avait giflé son collègue afin de et froid une ouverture de 0 m. 50 dans une cloiont pris part les Sociétés des. Hospitaliers San consécration des enfants à la Très Sainte- casioii pour effectuer un exercice de réparti des bombes. à accepter une rencontre. veteurs. des Sauveteurs du Sud-Ouest, des son double donnant dans la cour. Des ballots Vierge et à la Rienheureuso Jeanne d'Arc, de- lion des chevaux qui ont été désignés pour lo l'obliger Un certain nombre de Bulgares ont été arrêRappelons que, le 31 mai denfter. un duel à Sauveteurs volontaires de France et des Sau- de tissus ont été soustraits, mais on en ignore vant l'autel et la stahia, ornés et illuminés avec lieu où ils devraient se rendre on cas de mo l'épéo eut lieu entre les capitaines de Gail et tés. encore la quantité et la valeur. Uno enquête éclat. Le chœur des enfants chantait alternativeteurs Volontaires de Gascogne. bilisation. Constantinople, G juin. Fouchet, du 11' cuirassiers. Ce dernier fut léA 2 heures, dans la salle du théâtre du Capl- r&al 'du 7° arrondissement contre Inconnu, vement avec ceux de la Jeunesse, des cantiC'vet à bord du cuirassé Kaireddin que lo Ivre-mort. — Un ouvrier peintre de Castres, gèrement bleseé à l'éiwiule droite. dissement. tole brillamment décorée à cette occasion, a ques préparés avec soin, o L'Etendard », ce L'origine de la querelle était un propos tenu euban s'est embarqué, hier après-midi. . — Procès-verbal a été dressé, au commissa- beau chant populaire, a été merveilleux. Voilà le nommé G. V..., qui avait un peu trop fêté jeu lieu la distribution des récompenses. Les princes impériaux, le khédive, le corps par le capitaine de Gail au sujet de l'interLa cérémonie était présidée par ,M. Gatimel. riat duo 78 arrondi ssement, contre inconnu, un chant que toute la France davrait chanter la dive bouteille, a été ramassé par la police, diplomatique et les hauts dignitaires étaient ïeptvSentant M. le maire, ayant à ses côtés sur plainte de M. Rascans, demeurant rue do à l'unisson en l'honneur do la. sainte héroïne. qui, vu son état, a dû le faire transporter sur vention des troupes dans la criso champe- venus saluer îe souverain, qu'une foulé consiun chariot ù la geôle municipale pour y cuver noise, propos qui avait été rapporté au comM. Loygiie,, Sforéseniant M. le .préfet, le capi- Cugnaux, 88, pour vol d'une somme de 60 fr., Cette belle fôte s'est clôturée pour ainsi dire dérable a salué de ses acclamations. mandant Rocher. vol commis pendant son absence dans 1 ar- par un beau sermon de M. l'aumônier sur la ison vin. taine de frégate Adam. M. Méric, officier d'adLe sultan passera la revue de l'escadre a' Cette rencontre ne devait pas clore l'incident. LAVAUR. — Troupier blessé. — L'artilleur ministration de 1" classé, M. Je capitaine Le- moire de sa cuisine, à l'aide de fausses clefs. Sainte Communion, qui se résume à l'exaltaKassandra. En effet, le capitaine de Gail envoya ensuite iPOinte. M .le docteur Gendre, pTe^dent do tion des vertus du Saint-Père Pie X, de celles blessé samedi matin, en voulant éviter une ses témoins au capitaine Huchet, officier d'orPendant l'absence du souverain, le coufeil l'Union, MM. les présidents des Sociétés uniode Jeanne d'Arc et de tout faire dans sa vie (automobile, est rentré hier à Toulouse. Il ne donnance du général Garenne, qu'il rendit des ministres eera présidé par le cheik-ul-lsA la Gare nistes et MM. les délégués des Sociétés cilam. comme une prière continuelle, en vue do Dieu, se ressent plus des troubles internes. Son bras Le flO-mmé Achille Cavallo, sans domicile par le travail, la charité, les bonnes œuvres, et sa main gauche sont légèrement contusion- responsable de indiscrétion commise. après, représentées à la fête : Mate celui-ci refusa de eé battre parce qu'il fédération des Sociétés de secours mutuel fixe, a été arrêté hier soir, à la gare, pour in- afin de goûter lo bonheur sur la terre et dans nés. Assassinat du procureur général ne s'agissait à ses yeux que d'un incident de 'do la Haute-Garonne; Fédération nationale des fraction ù la polie» des chemins de fer. lo ciel. DOURCNE. — Les fêtes de Saint-Stapin. — service. Sociétés de natation et de sauvetage ; Vétérans de Monasîir A la suite de ces faits, le capitaine de Gail PORTET. — Volière dévalisée. — Dans la Une commission, dans laquelle sont représendes armées de terre et de mer ; Souvenir franConstantinople, 6 Juin. tés tous les partis, a été nommée samedi deradressa au capitaine Huchet une lettre dc6 Les Gens violents nuit de jeudi à vendredi, des malfaiteurs se çais ; Sauveteurs médaillés de la Gironde ; L'assassin du procutreur général d< Mona> plus violentes, qu'il communiqua à ses camaAnciens militaires des corps d'Afrique et des Mme L..., artiste lyrique, est allée se plain- sont hilroduits dans la volière do M. Jules nier, pour les fêtes de la Saint-Stapin. tir serait un Albanais. C'est ce procu colonies de Bordeaux ; Institut de sauvetage dre hier soir à la Permanence d'avoir été vic- .Milhau, cantonnier communal, à Portet, ont , Cette commission, chargée d'élaborer un rades. Le capitaine Huohet a néanmoins per- avait requis contre l'assassin de Pi de la Méditerranée ; Sauveteurs du Midi à time do menaces de la part do M. R..., indus- escaladé le mur et ont fait uiain basse sur huit programme do fêtes, se réunira aujourd'hui sisté dans sa résolution de refuser au capi- Vo". and. mardi, à huit heures du soir, à la mairie, sous taine de Gail toute réparation par les armes. Marseille ; Sauveteurs audois ; Sauveteurs triel à Saint-Mandé, qu'elle a rencontré à poules, d'une valeur de SA francs environ. rôolais : Sauveteurs marmandais ; Sauve- l'Eldorado-Skatmg et qui lui a montré un reDans l'espace d'un mois, trois vols ont été la présidence do M. Morand, maire de Dourtours de la. Charente. En Aiyssinie volver. Une enquête est ouverte. commis de cette nature dans notre commune. gne. Le Nilléyairc de la Normandie Après un vibrant discours prononcé par M. — Hier soir, vers 9 heures, le nommé Julien Nous ne saurions trop recommander encore CORDES. — Arrestation. — La gendarmerie Addis-Ababa, C juin, lo docteur Gendre, la parole est donnée a M. Malîê, âgé de 62 ans, sans domicile fixe, a été una fois aux habitants de la localité et des a mis en état d'arrestation des noifladès iQ> Rouen, 6 juin. Toute la jo iritée de dimanche, Addis-Abul K. Boyer, secrétaire 'de l 'Union., charge, do la déposé au violon pour violences et voies de environs de surveiller ct de bien fermer leurs La nreralère journée do la grande semaine a été sous la menace d'un grave conflit a jculpés du vol d'un chien. lecture du palmarès. fait sur l'agent cycliste Gayssot. locaux. armes de AanSsâ a d^ébuté par um chal- aurait, pu d'u n'moment à l'autre dégénérer < SENOUILLAC. — Crise municipale. — Le des Oe dernier fait, tout d'abord, l'historique d:?. Plainte a été portée. i lenge installé dans l'orangerie Ou JûJ"bal aille, bruit court avec persistance quo .M. Jean Sa- dini desmixte Sociétés de sauvetage dont l'origine remonte Plantes. Ce conflit a été provoqué par l'agitation nul Enlèvement d'enfant hin serait au moment de donner sa démission à 1875. U remercie l'assistance d'avoir bien De nombreux professeurs et amateurs étaient s'est manifestée depuis quelques Jours entra de maire. voulu se rendre à la distribution des récomLa dame D..., habitant place Saint-Michel, a présents. les chefs des Choans pour régler et limiter les penses décernées aux sauveteurs qui ont ac- porté plainte hier soir à la police contre son Cette information ne serait pas dénuée de L'après-midi, la foute, qui ne craignait pas attributions et les droits de la régence. fondement. compli des actes de courage pendant l'année, cousin qui lui a enlevé sa fillette au mépris de rester exposée pendant plusieurs heures Cette agitation. était rlirigée «otammr ni con?t l'assure du dévouement des membres de de tout droit. Quelle sera la nouvelle municipalité ? Il est l'Union.. incontestable que M. Gracien, qui occupe de- aux rayons d'un soleil do feu, s'est massée sur tre Lidj-Jeassu, à la suite de la position aclos poiits et tes berges de la Seine, pour assisquise auprès de lui par le ras Tassamma. puis plusieurs années les fonctions d'adjoint, Il adresse un souvenir ému aux sociétaires La Foire aux chevaux est naturellement tout indiqué pour succéder ter a un tournoi de joûtos lyonnaises. Hier, soudainement, le ras Abate, à la IM» ; lécédés et lit la palmarès des quatre Sociétés. 'Le maiire de Rouen a -reçu un télégramme de 11 a été conduit hier, sur le champ de foire à M. Sabin. Ce choix serait, du reste, accueilli de nombreux cheis et do forces considérables, Après la lecture des récompenses, a été exéfélicitations du r*arl,ement norvégien expritrès favorablement. dé l'Allée de Garonne, 300 chevaux, 150 ânes, occupa, avec une attitude de rébellion ouvert! . cuté un joli concert dont nous avons donné le On nous affirme que M. Léon Marty réuni- mant ses sentiments tes plus chauds de pa- l'école où se trouve le ghebi impérial, ma 1'** programme et qui réunissait le concours de 83 vaches, 14 veaux. Très peu d'affaires ont été renté et de sympathie à l'occasion du millé- l'accès en fut empêché par la force. rait à peu près l'unanimité de ses collègues .tlles Niort ct Mode, de Mme Maure! Causse, traitées. Achat de la nicotine naire normand. désireux do lui offrir le poste d'adjoint. Lidj Joassu, entouré de. troupes nombreuses, ?o MM. KlauSs, Lyogi, Mass., Max Rcnev, avec Fitaurari-Apte-Giorgis, ministre de la. Le ptrcrfessejur départemental d'agrieuMure jeroy, Dorval et Niort. Deux pièces, Vincefait .connaître aux intéressés que toutes tes forguerre, resta en position à l'école, vis-à-vis de vette, drame en 1 acte et en vers, et Beaucoup Gheri. et Chauffeurs malités imposées .par te Ministère des Finanle Bruit pour rien, comédie en un acte, ont été Vers midi, la situation était .très grave. ces pour la livraison! do '.lu nicotine en 1911 Chez les mineurs i ©présentées, tandis qu'un excellent orchestre TOMBOLA FItYEAC. — Orage. — Dans l'après-midi de Heureusement, des négociations iahori viennent d'être supprimées ot remplacées par vendredi, vers quatre heures, un véritable cyious la direction de M. Lacroix, exécutait tout 6973 Prades, 6 juin. 3134 3197 3ai9 358 1099 841-4 •in programme artistique. les dispositions suivantes qui permettent aux clone s'est déchaîné sur les cantons de Figeac. Les iculbuteurs des mines de Fillols ayant conduites notamment par le métropolite Abu-' 8465 5841 7547 9917 7048 5-485 3366 syndicats d© s'aprovfetanmcr en prévision des Pendant plus de deux lieures, les éclairs et les été incendiés hier, dans la nuit, la direction a na-Matheos, aboutirent dans la journée à la Le soir, les membres de la Fédération se 6998 1861 4281 8213 1049 5543 demandes de leurs adhérents : (rouvaieot de nouveau réunis en un cordial 4479 fermé la mine où te travail devait reprendre paix, qui fut confirmée hier. mo 2697 1377 1857 9360 4649 1884 iianquet, de plus de deux cents couverts, servi 2200 « Les syndicats agricoles, vitiicoles et horti- coups do tonnerre so succédaient avec une Le danger de complications immédiates e&f 1643 5700 1577 2114 1392 3370, coles recevront les jus titrés de tabac et ex- rapidité effrayante. On aurait dit des déehar- aujourd'hui mardi, après dix jours de grève. maintenant écarté. à l'hôtel d'Orléans. , 5464 Cet incendie est attribué à lia malveillance. 9141 8777 2242 (1130 1188 1248 traits titrés de nicotine à prix réduits, sans !ges d'artillerie. . A la table d'honneur, nous remarquons MM 209 foudre est tombée sur les fils dm télégraie docteur Gendre, président de la Fédérationautre formalité que iceïïio d'adresser a (TEnrtre- ! la au bureau do poste, et le fluide a fondu Gatimel, représentant la maire de Toulouse • Les lots non réclamés dans les quinze jours pot des Contributioins Inrilirectas de leur ar- phe, ?un tuyau de gaz et mis te feu. sapitatno Lepointe, délégué du Souvenir fran- seront acquis à l'œuvre. LA COURSE MCE-COUSF. rondtesement inné demande icoaifoirme au moSi ce fait s'était produit pendant la nuit, il çais, ainsi que tous les délégués des Sociétés dèle ei-dessous. Combats en perspective Nice, fi juin. est hors do doute qua l'établissement aurait représentées à la fête. . « Les syndicats 'inscriront au fur et à mesure Le lieutenant Dague avait décidé dimanche . Au Champagne, au moment des toasts, M. le BAVONfeOONGO VICTOn VAIVSIEIt sur un tableau ries réceptions et lies livraieeno»] été incendié. La Presse Nouvelle publie la dépêche sui- après-midi, de partir hier sans prévenir son A la gare, la foudre est tombée sur un podocteur Gendre se lève ; il constate l'union et vante : on montionoant pour chacune d'elles la date, mécanicien. teau télégraphique et à brisé tes appareils et l'entente qui régnent entre tous les sauveteurs 0 Tanger, 6 juin. la quantité, la nature dm produit et, pour les Trouvailles Il avait donné l'ordre au chauffeur de taxi tes fils conducteurs. Sur certains points, la 'rt il remercie tous ceux auxquels .est dû le suc» On annonce sous réserves (UC le général qu'il jirend d'habitude, de venir te chercher £tRéclamer : A l'Administration des tramways, livraisons, te nom et l'adresse de l'acheteur. grélo a fait des ravages, notamment à Four, Moinier cès do la Fédération. Le discours de M- le Dr est parti dans la direction de RouKCo tableau devra être mis sans déplacement et un panier à main, une pièce en or, un paraioù quelques vignobles ont été fortement on- Sun pour châtier plusieurs tribus, puis il so minuit, à l'hôtel Continental, pour ft conGendre est chaleureusement applaudi sur Saur demande à la disposition des agents duire a Lahrague. èommagés. Il eu est de même ù, Oamburat et rendra à Mequinez. On entend ensuite les toasts de MM. Gatl- pluie, un. paquet do roseaux ; à M.. Flourac, des icoii'tribution.s indirectes,, ue ï Fourmagnac. chemin de Fontaine-Lestong, hors barrière, Arrivé ù l'aérodrome, Bague constata qu'on -rSi't ^i ^ ,M ' le maire de Toulouse ; le » On entend 1e bruit du canon vers Idida. » maison Fort, un portemonnaie contenant une capitaine Lepointe, délégué du Souvenir fran lui avait sal>oté légèrement l'appareil. i MODÈLE DE DEMANDE Tuée par la foudre. — Pendant, l'orage de Petite somme ; à Mlle Célestine, rue Mqntau11 le remit en état et envoya le chauff. UT à vowdtrod .t, la daine Mario labrnhie, veuve Ca« L° président du syndicat agricole, cu viii«ran. 58 bis, une petite somme d'argent avec ordre do l'y attendre. ptifs âgéo do 59 ans, a été tuée par la foudre. UNE FUSILLADE A MONTMARTRE Vntibe.s icoiJe, ou hortitcole, dont 1e siège est situé à On ignora longtemps le dépari de Bague ;' -.furs médaillés de la arronidiissement de..., dépeirtemetrït de <fie- [Elle était occupée ù des travaux des champs Gironde P-ratdelle, délégué Paris, C juin. des Sauveteurs du deux de ses amis y avaient seuls iu-sUté avec jrtauiidio une quantité de... kilog.... grammes quand l'orage la surprit. EU» alla s'abriter Tout le monde dit... Hier soir, vers 7 heures, un individu, pris de le chauffeur. Midi de Marseille ; Doussot, délégué des Saudans son fournil et c'est là qu'elle fut mortelboisson, du nom do Pages, reniU-ait chez lui, ve eurs médaillés de la Charente ; Gardés Co sont ces amis qui prévinrent les autorique, par son goût agréable, par ses qualités do nicotine, sous fonrae de... (indiiqner la for- leniemt frappée. désirée : jus onliinair*. irenfo.rcô ou exde rue NicoUct, quand il se prit do querelle ié.s maritimes et celles d'Ajaccio du départ do digestives ct, dépuratives hors <te pair, la sour- me M. le oommlssaine? de police et ses agents 11, ^3o M tf"* *». sauvetage delà Médi trait) qu'il s'engage .a ne [répartir qu'entaro tes avec son amie, Mlle Fessier. Bague. ce de est comparable aux propriétaiitres ou ctiltivaiteurs exploitants, so sont transportes sur tes lieux pour procéder Soudain, des détonations retentirent et quelsources les plus réputées. Quoi qu'il en soit, on ne sait toujours rien aux constatations d'usage. miMnhnes <liu syndicat. ques instants après, Mlle Fasster apparaissait sur le sort de l'nviai, ur Hague. La consécration de l'Académie de Médecine « 11 désiré teai prendtre. livraison ù... (indiidans te vestibule et venait so réfugier dans la 11 avait emporté des pigeons. Comme aucun l'a afit admettre on tous lieux. quer ici le magasin, l'ontmcpôt ou la gare) . APERITIF DES ARTHRITIQUES loge des concierges, poursuivie par Pages. d'eux n'est rentré, il est permis de supposer ! AlU lm> délésu6 dM Partout, 28 centimes seulement la bouteille. « H s'engage à envoyer à il "éiabli;ss«mieiti :l, <wludois ° ' S*"*8" Elle veina.it d'être frappée par ce dernier de quo l'aéroplane a capoté et quo le lieutenant, Le quart pediWewr le ou les réciptanâs ctastimes à cotnî 11 b plusieurs coups de rovolvor et de coups de surpris par la chute, n'a pas eu te temps de les u,r M A tenir Ces liquides marqués de la façon suia«fno»^hl ^ '» i remercie couteau. Mais à peine était -elle entrée que Pa- lâcher. la f, ;tfi vante... ou bien encore : il dtematnde quo la ^«nt ^'iT ' 1 «° continue ct ges, furieux, la frappait do nouveaux coups DANS TOUS l-F* CiO-lSfl En atterrissage sur un point quelconque do' 1 livraison soit effectuée dans des fûts fournis ^•'ïïSu^ * ™* très animé ct de couteau. la côte, ici ou ou Corse, est peu probable. par l'établissement expéditeur et dont il remLes concierges, les époux Banc il, ayant wqyjhl Si l'aviateur avait atterri, il l'aurait fait sala valeur à l'entrepôt de... (Pour tes FETES DE GYMNASTIQUE , boursera s'interposer, lo foreené tira sur eux piusteurs voir. ; extraits do nicotine livres en bidons, ces deux L 'AssociationFraternelle balles, qui les blessèrent grièvemonit. Le coutre-torjiilleur Arbalète est reparti hier Uno grande manilestatoan gymnique est organt- engagements .sont inutiles. Attirés par le bruit, des détonations, les soir, à. onze heures ; il avait ses projecteuta à l'ouiloioe, par tes soims Se in Société de gvmdes Chemins de FPV séo « Le .Président du Syndicat. » . agents accoururent et, devant l'attitude d e Pn- allumés pour éclairer sa route. niotkpw de Toulouse : « Le Coquelicot ... français, "^^^^riSi!/ Ces expériences toutes récentes ont démonCes fêtes, appelées à avotr un grand rotentlssesection gejs. durent, pour se rendre maîtres do lui, î£i:!;':, d'05 cbçi « fi e f cr' Eu paquebot qui a quille le port de Nice lie,' sa fête innuelie, ct réu , S. i, -, donnait t hier raiDiit dans lia rAgion, auront Iteu les n et 1« jpin. tirer leurs revolvers. tré que les brûflures n'étaient pas à erraindire, soir, à destination de lu Corse, a doublé lo mémo avec les jus de tabac du pSas faible ti•res de la sêctU&^^S^^rtuport des Le misérable fut a.lors conduit an commis- nombre de ses hommes de veille en vue do trage. On, pont donc, les employer, en tenant sariat de la. rue Lauibert, au milieu des cris de faire des recherche:-. cents convives, à Yriotci' rte rrV tIU0*'dft deux mort d« la. foute. Pendant co temps, tes btes Parmi les notabilités neSî^^ffiS compte toutefois qu'il eu tout une quantité ses avaient été transportés dans une pharmasuffisanito pour introduire 130 grammes de uiEstrade, président de i a Socièn?'r(IUT? !s MM. Président du conseil d'aimii il V '.^'^alicq, CYCLISME cie, puis conduits d'urgence à l'hôpital Lariçotiinio pure <lans -un hectolitre de bouillie born LUS A TOULOUSE DOUZE HEURES AVANT u delaise ineutro. biHiisif.no, où tenir état fut jugé dos plus graves gué. vie-président Ite. dè v :^.- • »' I,\ COURSE PARIS -BRUXELlis LEUR ARRIVEE neral „, ia trtét^fT Mlle Fassrter est atteinte, de trois J miles qui F0IX. Jeunesse catholique. Il f i , ,i; d honneur , Président sont logées dans la tète, et dans la poitrine. De Gravit accident de route Paris, 6 juin. a eu licuiji Folx, l'assemblée générale dlu CouLA DERNIÈUE DE LA VCUVC Joyeuse, hro. de commerce ; Nègre et Bouteloup, n plus, elle a reçu de nombreux coups de couteau sea dépoirtenieitiitul de la Jeunesse cathodique Bruxelles, juin. uV*ea Vaffli*^s De M. Ch. Dupuy, dans lo Soleil : [tueur de la voie ; Arnaud »«*£;JSï ?* tu -raie ses portes nour sur diverses parties du corps. Son état est La, course .cycliste PaTls-BruxeMes a été marsous la presidenice de M. te wictaro géner.-tt . «u.-on . „, donnant. Hi„,- :-„i,. ,., de, „ i( .Vèm.' nul -; Martrlaz, inspecteur inspectenr princiJugé diesospé.re. « Si vous regardez nos gouvernants à l'oeuquée par un tragique aoei .e mt. (.astei, aumônier diocésain de Ja. j. c assisté do la veuve Joyevte. One fcrtjte 6,l, - n s'înhonoran-e i-, ; £a. La " tatiou l<jm et Tarvct. de la commission vre, vous vous .eonvaincrez qu'ils n'ont qu'un M. Bareil a reçu uno balte, qui a pénétré -ait. UJUIS ,1a vasu, mln tl:0 1104 [ijum iln l,!ln!iu lh <-Mv" » ,> • Au moment du passage à Waremiê des evdie T^louse ' "' '' trégionaî programme et ne poursuivent qu'un but : dé- dans la région de iepigostre. Son état est ega MaileUBayle, Saintaeué, QhSS^uESJfrSl ' tera jm flornltoe nui fut un vi-m ^ii" iïZ£ 10 { r ellstee engagés dans la course, l'aulomohilo Ovations, raunpwls. fta*m~ gexbeft, ^«.t-ÏZ _ " Le menu fut. excellent eomnii, n ^ , ' otc raij),iH.,,ls, fleurs?, pator»' rimn ié .-u.holiciser la France. loment très grave. " Divers aapports ont été présemtés et ann'a man^iivà <wx à des organisateurs officiels a pénétré dans ht on. M» Mjg. et ,.,in ri p!ù.™^'t V, 2 prouves isur l/assenibléo. L'organisation de ia ûltion à l'Hôtel de lluroàetlî? ^f 1 xa 'iattrt ». Lo ministère actuel, véritable agrégat de Quant à lia. concierge, Mme Rnrcil, elle a lé saito 'rlSf entre convives, Parfaite deu"t IMx>ta«OTii..stes, toute des curieux, renversant plusieurs per-, Miu« Mariette h'nllv el M-,Î J. <.. dans l.e (loeartemnil < 1 ,e,, redaelion , ' m .ijeo -uu.erie, de huguenoterie, do Judaïsme, espoutiuoin droit, perforé i«.'ir dieux baltes. CapooJ, tort .l'mtonpretatton était si K'& S du sonnes. 1 an m mmt .1011. nal. la Jeunesse catl,ol«,„e allé e, ,i on toile toaiilouKain. time que l'Eglise ètaiît l'ennemie, la guerre à Dos chirurgiens ont été appelée d Surmenée Enra-tese"!^ V ., ? des toasts, M Deux enfants ont été tués et un certain nomete .les deux questions <le l'ordre du Jour S fRglise est, le seul objet digne d'exciter le pour teinter lextrootion <les projectiles, ; rf,u4 , ,^?. Joyeuse, qui est lo plus grand succès r ( bre blessés. | -Tomole^ef '' * théâtral obtenu a Toulouse, afvec ses sorSpiSnî lesquielles oui a Hé plus discuté. Nous pouvons zèîe et d'enflammer l'éloquence du vénérable affirmer fie la rjunion donnera à 'co^îjvt Dumion.t. pédagogue verbeux, et du pasteur J d'excel'lems résultais. si,,.;... PrtbHsteu naturailteé. » a IVasseriiblé© a, en outre, procédé à la uoimi"Re M- Judet. dans VKclair, il propos de l'iAate^^V.aF ^ rarhl ' de la situation Lo lieutenant Chevreau VMv u m bureau du, Conseil déiiortementail. ©auàriration au monument de Victor Emma Ont été élus : MM. A. Bousquet, die Saimt-Gtnuef : Hyères, fi juin. et 11 but a chacun de ses membres rons, presidisut ; .Miiiil'.iau, de Ma-zères et, Boyer Le lieutenant Chevreau ayant tè légninhié , R semble que la. lerre d'ita.lio et, particullède 'Lavelanel,, vlce-irrésWonits ; Guyot, do'ljatreuicmt l'antique Cdté ronuLino aient été choi- nu'il .comjitail atterrir aujourd'hui ù FreJUS, Du C juin penne, isecrétaiTto. sites par une pensée intei'iiaiioniaie moins pour les a.ulnniobiles niitita.ires qui suivaient la APou .o i tii i vi'ui:. — A s li 3 /4, séance clnéEtat civil ,lu. 87 mai. au :î jil.ill. — Nais ta tua.to-graj>liiijne. glowlier i' 1 ré.-'u-rrcj -ion d 'une ra .ee historique marche des lietrleinants l.ueea et llenncquin ces : Maine DéJean, tille de Français d,oarteisti. sont parties pour cotte ville. OINKMA P.VPHE. — \ ,3 h, . séajice ciinéimato. au», mue Salœ/t-Vincent ; Virginie Mat.be un,, rm . pour détrutre la foi chrétienne, eri lna pnr » Èîe s'acharne par dessus tout contre lo cagrauniitmio " rtefti a *uftM,n ?«l 5dans la saJ1 h-ès suivi et t de ,l''ra,neois„ employé do com-merec, rue Vil tholiéisnie qui règne souverainement dans la ffltoîe ° du Théâtre du cmsaMA u *AX«r»B - neliiolie. liemalii. vues Joie. lVisiliqne de Snhit -PkiTC et s'ineat'ie- dans la nounoMles. _Publication de mariage : Eugène Roques hiéra.rcliiv) peut idéale. X!ii !ig ,!i ,"u,i', a. luix-, et, Mario Honch, à ,Foiv AM.I;RIC,VN nosviiwiHvnn » Le nietteui' en scène passionné de cette La^outte d'Or les soins, a i , , „, J. MaittalD», (i juin. 8 li. to, ri;ii>réâen.ta,titon , ue .«n lt .o -41Tous Décès « Louis Desplos. facteur Muxiliatra haineuse ma .lii uni e .n, Nathan, ne se croit lu 'aiHliKiie.. Le Jonwtaa 'l'Indépendance Tonkinoise .„. Ai <««'l« de secours 5» ans, O|M-UX de Marie Paaaïy A .l'ho.spico vivstt die sa mission icivique quo pow extevm^d^mhé 1 d u s,M"••' ,s [inw •rive par le courrier d'I'lxtrênie-Cr.i,, nt, annonce Galy, cdl.poctiour, 52 n;ns,' célibataire, ù tniner les traditions repré.->enlces par le vénedécès nu i, VUw 'n T- .* ; ' mutuelles ou Voies urinalres : Docteur CUILLAUMAT .Jutes 3 hospice. que la. iKVte ayant l'ait, son apparition d'abord « groupe ri l i a ^." «use en 1906 et qui Vable Pie X. » os dans 1' ..meneur, a gagné Bangkok. ,nt , Me fali br.. OUKITHS ;tT. M , a" ûdhéretfis dont le nom uoutte clironli... pxvl Blectrolwe .v .r. Rlyals.ToiHoiS PAMIERS. - Etat civil du 87 mai au 3 iuin Du Gnuloi< i 10 lo,ir flrandffir ,,r2? ?" donnait hier, ar —- Naissances : Itidiort. I)e,:pliiu Mont jiols,' rue, ! Mti S Ses mSki' S d? ^ premières fêtes, ,r,Ml, ils « M. Paul Bflncoi», qui est encore il l'Jm ijoumiMt ; Georges-Jeaii-Francois Fonta rue 0 r, A L'IDÉAL, T0Ul0U«e de ^fJ} '^n'" ' " . suite de celte quot m .ain rlw, nôfB9e '" tlj reut d'abord an un bancPEnffiougg. «les iitisiotis, hume dans la circulation „,, J 6ervi est la moillouro r «tTlr5œr* * »* P* 1« Graud-I|.'.h-1 proie» de re rades civiles ou l'on rlénJl ! sûr Décès : Marte Soucesso. Tans, tnénaotae ou due l'Etat se propose d'oneai^r Imn é 10 0 * y régna une camaraderie, une bonne hu k Wlation Inans^ ^^^U^ Pél Mmm m. dmt .5in «it, des capitaux en éohanqe lesoueta diLhi'aw^ te 'inAn, '!. ""' La «*P i J«m »f»ph Sinet « jeantîte tt , ,|\S .-n.rv et ,! „„. met ici m iié-Hmés, purtloullèT*. 1 meut b'ifîW

Les Catholiques U Diocèse d'An oulèm?

LES FÊTES DE

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INCIDENTS MILITAIRES

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Les Affaires du Maroc

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés


MARDI 6 JUIN 1911

foires ,Dœu!fiî. I 70.

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MLYllOIII DE LA VILLETTE Du 5 juin. - Amenés 2.196 Vendus 2.C03. 2 1 88;

Vaches. — Amenées 1,024

I

11

M.

vendues 97fi. 1 99; 1 80;

Tau.rcav v. — Amonts 270 ; vendus 247. l 6S; 1 53; 1 40. Veaux. — Amenés 1,088; vendus 1.G21. 2 50; 2 18;

I 90. Mo tons.

Amenés 9.982; vendus 9.645. 2 58; 3 CW 1 00. Moutons, Ametniés 9.982; vendus 9.645. 2 53 ; 06 ; 1 90. Bores. — Amenés 4.494 ; venodus 4.407. 1 94; 1 90; 1 88. *>eau. de monuitons. — 2 50 à 5 50.

ï

HAUTE-GARONNE Saint-Gaudems. . MercurtaHe du manche du 1er juin, — Cours ipr-atiÏUJéa : Froment, lre oualillô 23 tr.; 2*. 22 50: 3*, 22 tr.; meteii], 20 ir. ; seigle, 16 f r. ; avoine, lre qualité, 12 lr. ; 2", il 50 ; maïs, 17 lr. ; haricots, 30 ir. ; pommes de terre, 6 fr., le touit l'hectolitre. Fourrages. — Foin, lre qualité, 5 25 ; 2", 5 25 ; paille, lre qualité, 6 35 ; 2% 5 75, le tout le quintal. Animaux conduits au malrche. — Bœufs, 210; vaches, 350; veaux, 350 ; moutons et brebis, 700 ; porcs, 530. Prix moyens. — Bœuf, 0 80 ; veau, 1 à- 1 15; mouton, o 85, le tout le kilo. Volailles. — Poulets, 3 50; poules, 6 fr. ; dindons, 112 fr. ; pintades, 7 fr., le tout la paiire. flaurs, o 75 ia douzaine.

1,050 fr. ; breaux do waivata, de <U>5 4 900 fr.; breaux pour l'élevage dlo 300 à 600 fr.; vaichea de travail, de COO ;1 660 fr. ; lo tout la paire ; veaux do bou> chenle, do 1 à 1 10 lo kilo, poids vif. TABN-ET-GARONNE

MaliÈMS. La foire du 2 juin, dlto de Salnt^CUalr, est uno des plus importantes de l'année; cette fois encore, elle n'a pas démenti sa vieillie WHputation , bien quelle ait té dérangée, dans la soLrée, par un violent orage. Une nombreuse jeumosso so pressait «tains les rues et sur nos places, et les affaires traitées ont été très considérables. Voici les cours pratiqués : Marché aux bestiaux. — Bien garni et vente tacite à, des prix élevée. Viande de boucherie. — Bœufs, de 40 à 46 fr. ; vaclies, de 35 à 40, le tout les 50 kUos; veaux, 1 10; moutons, 1 fr., le tout te Wilo. Animaux de labour. — Bœufs, de 1,050 à 1,260 fr. ; vaches, .de 900 A 1,100; génisses et taurillons, de 400 A 660, te tout la paire. Poires gras, 70 fr. les 50 kfflos; porcelets, die 25 à 50 l'un, sul/vaut grosseur et qualité. Place à la volaille. — Bien garnie et baisse légère. Poulets 1 fr. 10; pintades, 1 Tr. 20; poules, 0 ir. 75; cainjords, o fr. 70, le tout te i kilo; lapins, de 1 fr. 25 à. 3 fr. l'un. CEuife, 0 Ir. 85 la douzaine. Fruits. — Cerises, o fr. 30 .1* kilo ; fraises, o tr. 25 le pianier. .. , Ilallle aux grtaiiras. — Baé, de 21 a 22 tr. las 80 kil. ; Dèves et maïs, 16; orge, 16; seigle, 15; ajvodne, 10 50; sorgho, 11 ; haricots, 35, lo tout l'hectolitre. Son, 7 25; repasses, 8 50, lo tout les 50 kilos. Monclair-de-Quercy. Marché heMomadaire dtnu 1" juin. — Voici les iprincipaux coure pratiqués : Animaux de boucherie. — Bœufs, d!e 42 a 4 fr. ; vaches, de 36 à 4Sj veaux, de 52 à 56; moutons, de 45 à 48, le tout les 50 kilos. poids vit: niourrains. de 50 à 70 tr.-.cochons dielait, environ 1S0 d'amenés, vendus de 35 à 45 francs la ïnéce.

ff,n-,-rar— T.-

Ces abonnements comp-ortont en outre du Ce nnméro contient encarte : la magistrale trajet d'aller et retour à ces côtes avec arrêts ccnifé'i'ciico faite par André Eeaumior sur L-u- intermédiaires facultatifs, la faculté do circuoiilo de Cliatcaobriandi — Une étude littôraiiro à volonté sur les lignes des W tc ^.p"„,,^ signée Ftrmtn Roz, sur le nouveau livre M ler Nord do Bretagne ; ils sont valables 3J jours Gabriel Hanotaux : , Jeanne d'Arc » ; Une pit- avec faculté do prolongation d'une ou deux toresque page de IL do Britguioro sua- les « Pi- fois d'un mois moyennant un supplément do geons patriotes » ; Une étude do François Oop- 85 % du prix initial pour chaque période, sans péo « A la Mémoire de Paul Verlaine », dont que la validité puisse en aucun cas dépasser on vient d'inaugurer le inioiniuinent à Paris ; le 15 novembre. Des « Poésies » signées Verlaine ; Une page Le prix des cartes d'abonnement est de 95 do Ohateauba-ianid) sunr « Jeanne d 'Arc dans francs en 2» classe et de P30 francs en 1"> clasl'histoire et dans la litttrature » ; Un article se lorsque la distance pour les parcours (aller très emi/eux do Raymond Passillé sur « lie Btt retour) n'excède pas 1,000 kilomètres en Chion », à l'occasion de l'exposition canine dehors des points do libre circulation. Au-delà qmi vient do fermer ses portes ; la. passion- de 1,000 kilomètres, le prix est augmenté de niante nouiveltLo : « Les Yeux de l'Espion », par 0 fr.~ 015 et de 0 fr. 065 (en 2° et l™ classes) par Fi'ançois de Dion, etc. l kilomètre en sus. La « Ravine Française » paraît ohaquo seDes réductions allant jusqu'à 50 % sont conraiine sutr 32 pages. Un aoi, 10 fr. Le niumoro, senties en faveur des membres d'une mtoe fa25 ceaitiirncs. — Etrangor : un an, 13 fr. 50. moilHie. Lo numéro : 30 centimes. Rédaction et administration : 17. rue Cassette, Paris. — Belgique : Un an, 10 francs. Bureaux à Bruxelles, 6, rue d'Assaut. (Bibliothèque choisie). CHEMIN DE FER D'ORLÉANS Pour 1 franc, la « Revue Française » délivre des abonnicments d'essai d'un mois donnant Ce qu'on peut visiter en France en empruntant les lignes du réseau d'Orléans droit à quatre magnifiques numéros de 32 pages iHustrées. Le réseau d'Orléans,, situé au cœur de la France, Demande spécimen contre 0 Cr. 10. dessert la riante Touraine, si riche en monuments

Le ûîner de la Revue HeMomaàaire

|et en souvenirs historiques (Blois. Chambord. Amboise, Chcnonceaux, Loches, etc..) Par la belle région de la valléo de la Loire, 11 conduit à Angers, Nantes, et à la Côte Sud d'une Bretagne ancienne aux plages réputées (La Baule, le Pouliguen, Qttiberon. Belle-Ile, Concarneau. Douarnez). Au centre de la France le . réseau d'Orléans permet de visiter l'Auvergne aves ses fraîches vallées et ses stations thermales (La Bourboule, le Mont-Dore, Le Lioran, Vlc-sur-Côre. etc..) ou- encore les merveilles naturelles des- Gorges du Tarn et du Qvercy (Uoeamadour, Gouffre do Padirac, Grottes de Lacave). . Au delà enfin, par les grandes lignes de Bordeaux, d'un côté Toulouse, de l'autre, qui sont aussi les Toutes d'Espagne et du Portugal, il donne accès à la région des Pyrénées. Les beaux paysages de montagnes ainsi que nombre de stations .thermales (Ludion, Cauterèts, Les Eaux-Bonnes, .Lamalou.. Amélie et Vernet-les-Bains. etc..) et tes grandes stations thermales, balnéaires Ou hivernales do Pau, Biarritz, Saint Jean-de-LuZ, etc., ont consacré depuis longtemps la célébrité des Pyrénées. ' i

Montaudran (Pont des Demoiselles). — Aller : matin, 8 11,; soir. 6 -h. — Retour : matin, 9 h.; soir, 0 h. Saint-Martin du-Toucli. — Aller : matin, 0 D,| 11 h.; soir. 4 h.; 7 h. - Retour : matin, 8 b.j soir, 1 h.; «h.; 8 h. , Colomiers. — Aller : main. 0 il 6.1 soir,. 4 n. Retour : matin, 7 h. 1/2; midi 1/2; soir, 0 h. 1/2. Braquevillo — Portot. — Allor : matin, 6 h.; midi; soir, 4 h. — Retour : matin, 7 h. 1/2; soir, l h. 1/2; 5 Tous les dimanches auront lieu des déparus supplémentaires : • , , Pour Blagnac (par l'Bmbciiohure), à 8 h. matin. — Pour lltagnac (pa.r lo Polyg 'Hie; à 5 b. soir. -- Pour Salnt-Martln-du-Touûh. i 2 iieurx?. — Pour Lalouirguette, A 2 heures. „ .... Lieu de départ des omnibus : p:*ce du Capltole. UONES ÉLECTltlQUES

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Semaine TE— Place du Capitolo a Croix-D.au rado (pont de 'l'Hers). chaque heure dans chaque alh}}-, i "• ler 6 H 7 b., 8 h., 9 b., 10 h., U 2 h ' 3 h 4 h, 5 h., 0 li., 7 b., 8 h., 9 h.- RêtoUÏI h 30 7 h. 30, 8 h. 30, 9 b 30 10 h 30 11 >. 30, midi 30, 1 11. 30, 2 h. 30, 3 b. 30. 4 h. 30. o b. 30. 6 b. 30, 7 11.30,8 h. 30, 9 h. 30. , ,.. . „„.„„ NE— Place du Capitolo h Lalande-Auca.rnville, chaque 40 minutes dans chaque sens. — Aller : 6 a, 6 h. 40, 7 b. 20. 8 h., 8 h. 40, 9 b 20. 10 11 10 h. 40. 11 h. 20, midi, midi 40, 1 b. 20, 2 b. 2 h. 40 3 h. 20. 4 h., 4 b. 40, 5 h. 20, 0 b.. 6 h. 40, 7 b 20, S h., 5 h. 40. - Retour : 6 11. 40, 7 h. 20, 8 h.. 8 h. 40, 9 h. 20, 10 h„ 10 h. 40, 11 h. 20, midi, midi 40, 1 h. 20, 2 h., 2 b. 40, 3 b. 20, 4 b. 4 h. 40, 5 b. 20, 6 b.. 6 h. 40, 7 b. 20, 8 h., 8 h. 40. 9 h. 20. M' E". — Place Esquirol a Saim Agne, charpie heure dans chaque sens. — Aller : 6 h., 7 h., 8 b.. 9 h., 10 h., 11 h., midi, 1 h., 2 b., 3 h., 4 h., 5 h., C il., 7 h., 8 b., 9 b. — Retour : 6 h. 30, 7 b. 30, 8 h. 30, 9 b. 30, 10 h. 30, 11 h. 30, midi 30, 1 h. 30,

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J^B, — A partir de heuro aprcs-mldl, dans quo sens, départ chaque 15 m. mites. N. E. — A partir de 1 heure après-midi, dans que .sens, départ chaque 20 minutes. , M' E'. — A partir heure après-midi, dans sens, départ Chaque 15 miaules. T' E'. — A partir do 1 heure après-midi, dans quo sens, départ chaque 15 minutes. Z. E. — A partir de 1 heure après-midi, dans que sens, déliai! chaque 23 minutes 30". Le dernier départ aura lieu : J. E. — Do la placo Capitolo, 9 b. 30; du I **N.' E 'la du Capltole, 9 b. 20;

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de Sal,lt Jeudi soir, au CarMon-Hôte'l, aux Champs^autrui. " Elysées, le dîner de la Revue Hebdomadaire Simon, 9 h. 45 soir. a été unie véritable fête littéraire. Parmi les KïisKSïKiafia ARIËGE deux cents convives qui œ pressaient autour Pamiers. de M. Fernand Laudet, nous avons noté la 0 Marché du samedi 3 juin : guéison radicale, et en peu do Etude de M DULME, docteur présence de MM. Paul Bourget, Juntes Lemaitre, BOé, 100 hect., de 22 50 a. 23 fr. ; seigle, 30 hect. en droit, avoué à Toulouse, comte d'Hans-sonville, Maurice Donnay, G. £ «.n. jonrs par le Vin Minéralisateuï <îe m 50 à 15 fr. ; méiteil, 35 hect., de 16 50 à 17 fr. ; rue Clémeiiice-Isiure, n 0 7. TRANSPORT DES BESTIAUX DE LA RÉGION Hanotaux, B. Poinearé, d» l'Académie frande PONS DES HERMISSENS. Dans toutes Pharmacies, ou maïs, 200 heclos, de 1& 50 à 16 fr.; avoine, 80 hect. DU MIDI SUR PARIS Pharmacie A. çaise, professeur Branly, Pierre de la Gorce, de la 50 ù 12 fr. ; fèves, 10 hect., de 16 50 à 17 fr.; directement, et pour tous renseignements te 6 A VENDRE haricots, 50, de 32 50 a 33 fr.; [pommes de terre, de Henni Joly, Edmond Perri.er, Paul Lcroy-BeauLes départements de l'a Haute-Garonne, de PONS DES HERMISSENS, Colomiers, pre Toulouse (H -G 7 à 7 50. Au tribunal civil l'Ariège, .etc., malgré leur éloignenient four- licn, de l'Institut, Barthou, Pierre Baudin, Mazères. Doumer, anciens) ministres, Henri Coehin, J. nissent au marché do Paris un nombre imte jeudi 29 juin 1911, à une Cours (pratiqués au marche du 1er Juin : DelafOsse, dénutés ; J. -.Charles Roux, majorai portant de bestiaux. A VENDRE jolie petite ânes1)1 a été vendu 723 hectolitres de blé, de 22 75 à heure du Féliibrige, ancien député ; général Bonn al, En vue de développer et de faciliter ce tra23 fr. les 80 kilos ; méteiil, de 10 50 à 17 lr. ; seigle, se, très douce, irait pour enMétairie de Castillon, située fic, à partir du 1" juillet prochain, quand ces A. Lichtenherger, Ermect Daudet, P. de Nolhac, de 114 SOr-à 15 Jr.; maïs, de 15 à 10 ir.; avoine, de fants. Breaek de campagne à Ch. de Pomairols, Camille Bellaigue, Henry à Toulouse, quartier des Mini-, in à 11 % ; hialricots, .de 25 à 31 fr. ; fèves, de 16 à bestiaux seront amenés à Montauhan par le un cheval. Ecrire V. D., « Ex16 25 ; ipommes de terre, de 0 à 7 fr., le tout l'hecBordeaux, Paul Acker, Paul Adam, M.gr Bautrain de marchandises Midi 1116, la Compames. press du Midi », Toulouse. l 'égale l'efficacité du tolita'e. 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Deschamps, de Lanzac de Lahorie, Geoffroy rement ces. deux jours de la semaine et arrive 3<es œufs, 0 85 la douzaine. » La Compagnie des chemins de fer de Paris à bonne .clientèle, situé à Lavit, : de Grandinaison, etc., etc. Toulouse était reà Paris le mercredi et le- dimanche matin. A VENDRE Victoria et harnais, Orléans a l'honneur de porter à la connais- chef-lieu de canton, pays com- Pour les soins de la bouche j . HAUTES-PYRÉNÉES et des dents Ainsi les bestiaux partis- le -lundi et le ven- présentée -à co banquet par M. Guy do Montbel en bon état. Prendre l'adresse à sance dit public" qûo lé Guide Illustré de son merçant. S'adresser à M. CABoiuueiont. et notre collaborateur Armand Praviel. dredi des gares de l'Ariège pourront être à 1' « Express du Midi », Touréseau pour 1911 est actuellement mis en venBoiire des domestKruieis, —, Cette foire qui se tienPUS, à Auvillar (T.-et-Gne). Enfants et grandes personnes | Au . Champagne, M. G.avoty, président du te, au prix de 0 fr. 30 dans les bibliothèques Paris dans la matinée du surlendemain de louse. dra dans notre commune lundi 5 juin a pris .beaudoivent l'adopter conseil d'administration, a remercié aimable- de ses gares, dans ses bureaux de ville et dans leur départ' et se refaire dans les écuries en coup d'extension; elle est lé rendez-vous de beaument les invités die la Revue Hebdomadaire. ON DEMANDE, près Auch, doattendant leur présentation au marché de la oouip de domestiques et d'astivandiers. Les propriéles principales agences de voyages de Paris. 1 Dr. 25 et 2 fr. le Flacon Puis, M. Fe.rn.and Laudet s'est adressé à ses • «A fr. par mois. Travail fac. taires aluront à coup sur rembarras .du choix. Villette du jeudi ou lundi. Il est également adressé franco à domicile mestique agricole sérieux, pour Lannemezain. collaborateurs. lOW chez soi t w l'an., assuré Le tarif P. V. 101 actuel soumis à l'homolocontre l'envoi préalable de 0 fr. 50 à l'Admi- bétail et tons travaux. S'adresE. BOURDÈS, chirurgieni L'année dernière, dit-il, M. Jules Lemaitre, Le marché. — Cours pratiqués : gation aura en outre pour effet d'abaisser par contrat, s. apprentissage, nistration Centrale, 1, place Valhubert à Pa- ser « Voix du Peuple », Auch. dentiste Beeuts .die trawail de 900 à. 1,000 tr.; vaches de laaprès nous avoir, mis dans l'intimité de Roussensiblement le prix de transport des bestiaux sur nos tricoteuses brevetées. ris, Bureau du Trafic-Voyageurs (Publicité). tOWyt, de 700 à 800 tr.; boiiviltons, de 600 à 750 f r. ; seau et avant de nous faire entrer bientôt dans iPharmacien, 4, rue de Metz de cette région sur Paris. $p Tiaite directement avec ses Ce Guide, do plus de 320 pages, illustré de génisses, de 350 à 460 fr. la paire ; brame, pour la Toulouse celle de Chateaubriand, nous avait peint la nombreuses gravures contient, en outre d'un A CÉDER fonds de commerce, clients. C 10 La Prévoyante. 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Au Son du Binïou, La Mère-au-Pain, Pau.grandi et meurtri par l'existence, trahi dans beau temps ; aussi il a été assez important. Les div'iit Gâs ! par Théodore Botrel ; Chanson du son domestique, en butte aux calomnies de confortables, à l'intérieur ri : PROPRIÉTÉ à wpûvt, converses .places étaient bien approvisionnées en denChampagne, par Xavier Privas ; Mes Bœufs, ses adversaires, et aux « actions fâcheuses » de rées de toutes, sortes et bon nombre d'affaires on', deaiux et à l'avant une grande tenance 100 hgc*„ entre FanPour répondre au désir des touristes qui se A VENDRE cuisinière pour par Yves Le Stanc ; Le Circuit de l'Ouest, été traitées. Voici les principaux cours pratiqués : ses a.mc'e, mais répondant aux attaques et aux glace brise-vent. S'adresser au jeaux (Âùïlè) et Mrepoix (ArièHalle aux grains. — Blé, de 22 à 23; avoine, de par Dominique Bonnaur ; Bonjour, Suzon ! perfidies par des chefs-d'œuvre et nous lais- proposent, soit de faire un voyage d'excursion bureau de 1' « Express du Mi- ménage ; écrire V. D., « Ex- gè) ; chasse, pèche, élevage, sur les Côtes Sud de Bretagne sans program11 50 à la-, maïs, de 15 à 15 50; seigle, de 16 à 16 50; par Marcel Legay, Chanson de printemps, press du Midi », Toulouse, sant l'exemple d'un formidable labeur et d'un bonne terre, bois sur la route me arrêté d'avance, soit de s'installer sur une di », Toulouse. orge, de M à 13 50; fèves, de 17 à 17 50; haricots, de par Louis Tiercelm ; Berceuse, par W.-A. Moeffort incessant vers la vérité. » nationale. Adres. aux bureaux des plages de la, côte et de rayonner de là « à 50; pommes de terre, delO àlil; vesces, 24, le tout zart ; Les Coffrets, par P. du Marchey ; ParaAprès avoir parlé de l'Enquête sur les Minis- sur les autres localités de cette région si val'hectolitre. A LOUER, à 18 kilomètres de de 1' « Express du Midi », Touou bole des blés, par Louis Mercier ; Les Champs, tères publiée dans ia Revue Hebdomadaire et, Son, 16; rèzes fines, 18; ordinaires, 16, le tout 16 louse. riée et si intéressante, la Compagnie d'Orven- Toulouse, desservie par deux monologue de ï. Jouy ; Les Chasses du Préside la série de nouvelles intitulées le. Banquet léans délivre. chaque année, du jeudi oui préqulinMl mélsrique. dent Roosevelt, monologue par René Buzclin; et ouverte par Paul Bourget, M. 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Paul Doumer a terminé la série des 23 fr. le tout l'hectolitre. de .chaque mois. ©raines. — Luzeme, de 160 à 150 fr.; trèfle, .de 80 toasts, au nom des personnalités qui ont pris Livraison du Sommaire du 1 er Juin 1911 Employez le FORMOSOL de ft 90 f r. ; pommes de terre, de 13 à 18 50, ie tout part à l'Enquête sur les Ministères!. Et. In soiPharmacien de 1" c/asse, Lauréat d$ la Faculté de Médecine I. Ma Figure, 2° partie, par Claude Fetrval. les JOO kilos. préférence à la VRAIE NICOH. La Genèse du Génie du Christianisme. — rée s'est prolongée encore asf.ez longtemps, et de Pharmacie de Toulouse, SUCCESSEURS. Fourrages. — Foin, de 4 50 à 4 75 ; luzerne, de au son de la musique, autour des tables de Les Origines et la Jennesse de ChàteanTINE TITRÉE : c'est un inseci 25 a 4 75; saiimtoin, de 3 75 à 4 25 ; paille, de 3 à Dépôt pour le CERS : Pharmacie Nougarède-Seissan, AUCH café, mêlant, comme dans les. pagofi de. la brianid!, par M. 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Robert de la Sizeranne. jades, de 5 à 6 fr. ; canards ordinaires, de 4 à 5 fr.; TOULOUSE, seul concesro pour VII. Un Salon allemand au temps du Ro- Abonnements individuels et de famille pour ftigeons parisiens, de 2 25 à 2 50 ; pigeons communs, jie 1 .25 à l 75, le tout la paire ; lapins de reprola France et l'Algérie. En venmantisme, par M. A. Bo.ss.ert. les côtes Nord ei Sud de Bretagne Pour faciliter les souscriptions aux abonnements au journal dans les localité» atuctlon, de . 2 50 à 3 50 ; lapins domestiques, de VIII. Poésies, pair Mme lo, baronne Antoine te chez tous les dépositaires de où nous n'avons pas de vendeur, nous établissons c© bulletin, qu'il suffira de déta« l 76 a 2 25 la pièce ; les oeufs, de 0 80 à o 85 la de Bï'imont. louzaine. ia BOUILLIE C. MARQUÉS. .... cher — après l'avoir complété et signe —< et d'envoyer a l'administration du jour* Afin de permettre aux touristes ainsi qu'aux IX. 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J6 fr. ; haricots, de 40 à 50 fr. ; pommes de terre, de cède la fête des Rameaux au 31 octobre in<i ,:' cl a r e souscrire un abonnement de....... â daler du * à 9 fr., le tout l'hectolitre. clus au départ de toute gare .station ou halte Omnibus-Tramways de Toulouse Place à la volaille. — Poules, de 5 à 6 tr. ; poudos deux réseaux (lignes de banlieue du réLe soussigné s'engage à payer la somme de contre un mandat, qui « LA REVUE FRANÇAISE », poilitirmo et littél«ts, de 2 50 à 5 fr. ; dindes, de 9 à. 12 fr. ; dnindons, seau de l'Etat, anciennes lignes de banlieue Service d'été k partir du lundi 3 avril 1911 : raire hebdomadaire illustrée. — Paa-is, 17, A» 10 à 14 fr. ; chapons, de 9 à 11 fr. ; pintades, de de la Compagne de l'Ouest exceptées), des sera recouvré par les soins de l'administration des Postes, quelques jours après la UONES DESSERVIES PAR OMNIBUS A CHEVAUX 6 à 8 fr.; le tout lai paire ; pigeons, t 25 ; lapins, rue Cassette. ' ; abonnements individuels et de famille de lre te t 50 à 2 tr. le tout la pièce ; œufs, o S0 la douBlagnac (par le Polygone). — Aller : matih. Il b. ; « La Question Marocaine », qui est plus que ei 2' classe pour les côtes Sud et Nord de (ouscription. (Signature de Uabonné .l zaine. soir, 7 h. — Retour' : malin, Midi; soir, s h. jamais à l'ordre dru joui-, est admirablement 1 Bretagne (Gares des lignes du Croisic et de Marché couvert. — Oisillons, de 1 75 à 2 20; caISlagiioc (par, l'Embouchure). — Aller - : matin, exposée, dans la « Revue française » du 4 juin, Rasds mulards, de 0 70 à 1 fr. ; canards communs, Guérande à Brest et de, Brest à Grariville par ah.; soir, 2 11. — Retour : matin, 7 b.; soir, 3 :h. de 0 60 à 0 75 le tout la pièce. par M. le lieutenant-colonel Rousset, ancien Lamballe, Dol ct Folligny et des lignes d'emLalourguette, — Aller : matin 6 h. ; 10 h. ; soir, Nouveau foirail. — Bœuifs die travail, de 900 à député. ... branchevent vers la mer. h. — Retour : matin, 7 h.; 11 h.; soir,' 8 h. lmprimerie spéciale Le aérant : Amédée BESSON îmiHfcwuiim^ijiaivuiiii

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Elie DORBES

BULLETIN D'ABONNEMENT 10 J01M4L

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FeuilLetoin du 6 juin 1911

1 Lorsqu'il ont passé le seuil, Amy s'élança et le suivit des yeux un bon moment. — M est étrange, sœur, dit Tom Travis, mais bon garçon ; pourquoi né me félkàles-tu pas ? La jeune fille vint à lui, s'appuya au. dossier do sa chaise', et lui passa les bras autour du cou. — Pourquoi as-tu fait cela, Tenu ? Pourquoi ? Et le mécon tentement perçai t dams sa voix. Quoi, petite Me, d'avoir obtenu, umio place ici ? — Oui, et donné uim faux nom ? — Il est inutile de me bombarder de tes pourquoi, répondit-il avec bonne humeur,, j© n'ai pas l'habitude d'avoir de secrets poiuir loi, Amy, j© ne commencerai pas aujourd'hui. — Si notre mère était ici, Tom., pourrais-tu la regarder sans, rougir ? A ces mots, le jeune homtmo montra quelques signes d'imipatiemico — Quelle femme tu esi pour voir tout do suite les choses on noir I J'ai éitô très lé ger, je l'admets, mai® je n'ai .rien fait qui justifie ce visage.chagrin, cet air désolé : Voyons, sœur, regarde-moi avec gai et ou jo regretterai d'être venu ! Elle vint se placer en face de lui, mais garda son air sévère Il faut, m'cxpliquar ce que tu te piro-

plus causen de peine à personne, surtout -— Une telle coïncidence pairaît tr'op tude et, par un effort énergique, il se resLe Vieux Gonzalès n'ayant plus de à toi ; et si j'ai donné un faux nom, c'est ôtiange pour .être possible ; je croirais saisit i ses traits se détendirent et s'éclai- chambro libre, il fut décidé que Tom que je no veux devoir ma. position qu'a- plutôt qu'un des ban dits, celui qui avait rèrent, il prit la main de sa sœur. coucherait dans un coin du bureaiu, et men seul mérite ; c'est tout, sur ma; pa- trouvé- le médaillon, l'a laissé ici dans — Pardonne-moi, dit-il, mais sais-tu prendrait ses repas chez Mrs. Gant bel . role I Phfut ! 'tu fais une montagne d'Une : intention bien arrêtée de. faire porter les Amy eût préféré que son frère trouvai pourquoi Whipple ne voulait pas me laistaupinière ! soupçons sur moi. pension ailleurs ; mais il sut si bien perser venir ici ? N'est-ce pas plutôt parce que tu étps -- Oh ! Toan ! tmOBÊKté la jeune fille suader l'hôtesse qu'elle acquiesça d assez — Je ne pieux le eoanprendre et j'en honteux ou que tu craignais de révéler qui voyait pipiur ,1a première fois l'événebonne grâce à sa. demande. , ,. ton véritable nom ? demandas-t -alle d'une ment sous un .nouveau jour, ai tu savais éprouve, uno grande amertume. PAR Dès que ces détails eurent été règles, — C'est pour cela que tu tenais à ce voix pénétrante. ccïnbien la décou verte de ce médaillon l'instruction du jeune homme commença que nous quittions la Golden Eagle ? William Wallacc Cook m 'a coûté de nuits blanches I par le travail routinier de chaque 10'ur— Qu'est-ce que tu vas penser ? dit-il — Oui. Je m'ipiagino combien tu as dû te durement ; qui peut te faire supposea- une Amy s'aperçut alors, — Tom. ayant du — Bien., ce point éolainci, je pense, Adaptation de E. Pierre Luguet torturer avec cela 1 pareille chose ? enlever ses gants, — que sa main drowe moi, qu'il vaut mieux rester, dit Tom S'arrètant devant elle, il la regairda — Ceci 1 était entourée d'un bandage ; il s était délibérément. Amy tira de sa poitrine le médaillon avec pitié et posa une main sur son déchiré la main quelques jours avant, CHAPITRE PREMIER — Mais songe dams quelle position je e.xpliqua,-t-il, mais cela, n'était rien et ne qu 'elle y tenait caché. petite fille, je te plains d'a- vais me trouver ! Je saurai toujours que l'empêcherait nullement de travailler. X — Où as-tu trouvé cela '? s'écria-t-il au > dont le passé autorise une tu n'es pas celui que tu parais être ; et coimible de l'agitation . Alors commença pour la jeune fille L'INTRIGUE SE NOUE sois sûr que M. Whipple le découvriira un apprentissage pénible : parler à son position ! — Si tu étais à Phœnix, Tom, tu as oerIl attendit, une réponse, mais la rétaiiinie .ment entandu parler du vol qui a j i, les lapines comtcniues miom- avant qu'il soit longtemps. frère comme à un étranger, éviter tout ce ponse ne vint pas. été commua ici ? eux d'Amy. — Laisse-moi faire : Whipple, s'il est qui pouvait trahir cette situation excep( — Je crois powoiw vous dominer espoir, — Certainement ! Mais quel rapport ce arlé à quelqu 'uin de ta trou- l'homme quo je crois, me jugetra sur c© tionnelle, était très difficile, ct le plaisir quo j© forai, et non sur mon passé. Un de l'avoir près d'elle compensait à peine Monsieur Hendersicai : jo désire que Miss médaillon peut-il avoir avec le vol ? faux nom. me facilite l'entrée dans la car- la -oraiinto de se trahir.. nue, sauf a. M. Whipple. Travis se consacro iprresq-ue exclusiveAmy lui dit dans quelles circonstances | oi le lui a.s-tu dit ?... La voix rière : crois-moi, cela vaut mieux ainsi ! ment aux travaux du laboratoire ; quand le méidaillon avait été trouvé par ci h. Elle pensait, à tout cela la nuit suivante, tl>]ait visiblement, pouirrez-vous commencer ? La nature droito et. loyale d'Amy ré- alors que lo sommeil la fuyait obstinéPendant ce temps, Toim. s'était un peu de T. .aïs pas moi-même pourquoi prouvait tout co qui ressemblait à do la ment, à cela, ot à d'autres ehows. Whip— Tout de suite. ressaisi . rais gardé oe secret trop long. duplicité ; mais elle -craignait., on cpp.r> — Très bien. Je pense que vous trouple avait-il donné un double sens aux — Pair Jupiter ! frappas tt son genou de! verez facilement ù vous loger ; pour la .is le supporter, sant une trop longue résistance aux vo- paroles prononcées par lui en quittant lo son poing formé, c'est surprenan t co in me puis ,| avaiï reste, Mis3 Travis vous mettra, au couiant MI conseil, lontés de son frère, d'aggraver encore la bureau ? Peut-être la comédie jouée par les choses arrivent qucl-quolois ! J'ai mieux, quo moi. — itil c'est W que tu as choisi situation, et dût-elle en souffrir, elle fer- sou frère et par elle-même n'abusait-elle perdu ce médaillon à Pliœuix, il y a un Whi piplo so levai et ®e dirigea vers la merait les yeux sur cette petite supor- pas lo directeur ? Peut-être avait-il demois, j'en étais navré et j'ai tout fa it pour pour cela '? ponte Au monierf de sortir, il se. retourlo retrouver. Ët tu l'as découvert ici, dame L'anxiété était- écrit© sur lo visage du cherie qui permettait à Tom de se réha- viné quo Tom était son frère ?... Peutna,, et s aclressiant h Amy : être, aussi bien qu 'eux, jouait-il un rôle? co bureau, le lendemain du vol ? jeune hommo ,et c'est d'une voix hale- bi liter et facilitait leur réunion. — Je vais, aller chez Miguel pour réparer une sottise quo j© fis haw, Miss Tratante qu'il ajouta : — Que pou vais- je penser, Tom ? Elle garda sur elle le médaillon, Crai- Ces pensées lui étaient intolérables, °* vis : flguirez-voiis que j'ai donné le. sing-e — Que t'a-t.-il conseillé ? — Tu aurais pu me faire bénéficier gnant que Whipple ne découvrit la frau- bien qu'elle no pût se convaincre, de 1* ma,is àa w4 3t grimpeur au petit aveugle, cl le lapin qui <î.'un doute. — 11 m'a conseillé do ne pas te fairo de, s'il le voyait on la possession de Tout. clairvoyance do Whipple, le soupçon resJKJt^S&* , "* orie au sourd-muet 1 — L'homme qui a lro. tvé le nnd.iiiv.v), venir à la, mine. ~ Bi en , je serai ... De même, elle ne parlerait pas à son tait en elle, tenace, inquiétant. Il se mit à rire et dit en sortant : quand lu l'as égaré, doit 'MIT. IHI des voEt siiiL, rv «.m.p, aint brusquement : — 11 a fait cela ? s'écria Tom>, ot l'ex- frère, de la découverte con cornant Jef(A sv.ivre.\ — Gela arrive parfois- ; nos faveurs — Ecoute-mo», eœuï, j© suis v<m<a — presadon avee làquell* ces mots fuirent frioa; ce sentiment de réserve instinctif ù fl,a ÎO j pour comirniencer i»e notu.vetliie -i« j. v sont appréciées beaucoup moins qu elles SStauf N'wmnesi la seule prononcés était aussi brutal© que le re- élait-il dicté par la crainte d'exciter enVOIT ° le devraient à cause .U s bévues que jette le passé loin do moi je veu x «krvanw Tom, gard qui les accompagnait. Pendant 'un do mouton!., les. si »nl inn.nte violon U nnii uei- core le jeune homme, ou par le désir d'en rue de Sltti • notÏÏ en les accordant 1 tout autre : 1 aa pris la réeal^ de ne savoir davantage avant de dévoiler ce PARFUMERIE Fl ORALE l'OtJl-OUSfl taie.nl sooi ûnve so it.dlé .U>ivuit do soei-atltsecret ? Amy ne le savait pas elle-même. i

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