Le Journal des Débats. 02/03/1931

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Journal des débats politiques et littéraires

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SOMMAIRE

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ii'nmpeites, tambours et cors de l'infantene, eUe possède des fifres eh pied. >' La musique de la Légion. Des morLe centeaa!re de < Légion ceaux' condition « sine qua l'Jtalie.dans la catégorie générale des qu'ette exécute se dégage unesorte ).' sur bateaux âuxiliàifes. de drogue idéale et perfide, qui noie Fend'un accord ans le 9 mars prochain' Ce qu'on dit à Rome y aura cent nui et anéantit la peur que) que soit le quefut instituée légalement la Légion paysage que la présence de ces hommes On télégraphie de Rome à l'agence RaL'accord entre qui s'est .réalisé à Rome dio Etrangère « avec le statut qui lui donne anime. les Anglais et les Italiens sera soumis auD'autre pari, dans les milieux ofnclels itason organisation et des droits qui sont enGAÉTAN SANVOISIN. jourd'hui au gouvernement français. S'il liens, on exprime l'espoir que la fin de la.' core les siens C'est ta une date, non seunavale franco-italienne va perde telle nature qu'il ne compromette controverseconclusion lement dans nos anna)es militaires et est d'autres accords entre déve!oppement économique pas nos intérêts essentiels, on l'accueillera mettre la dans l'histoire d'un esprit de corps pro- Le l'Italie, la France et et on se plaît à rappeler pre au romanesque et resté mystérieux, avec satisfaction en France, comme tout les paroles récemment prononcées par M. événement ayant pour effet de rapprocher Mussolini « Un accord avec la Franee sera mais aussi dans l'orientation de maintes facile à conclure, dès qu'un agrément naval d'améliorer les la l'Angleterre et France destinées, éparses sous tous !es cieux, et notre voisine sera intervenu.b L'industrie chimique et te pétrole puisque la « Légion est'une sorte de garrelations franco-italiennes. Mais nous ne avec Dans certains cercles politiques, on est pouvons pas nous prononcer avant d'avoir d'avis que les en'orts de l'Angleterre ont été nison universelle, sous 'tes plis de notre CORRESPONDANT) tDE NOTM par le désir de la Grande-Bretagne obtenu des éclaircissements sur certains inspirés drapeau. d'éviter un rapprochement trop étroit entre février. 27 points. ne possible d'apIl pas est nous l'Italie et la Russie des Soviets. Peu de formations héroïques ont fourni beaucoup contribue déveLa prouver les au fermés arrangement Enfin, dans les milieux navals italiens, on guerre a un yeux à la littérature et à ta synthèse rude de loppement Italie l'industrie chimique en et de nous ne connaissons pas et qui, si l'on déclare que la formule qui a permis de conque l'imagination populaire une 'matière aussi fabri'donne naissance à une quantité de cilier les chiffres divergents de tonnage dea croyait information en nous reune que ample. L'atmosphère de Sidi-Bel-Abbès ques nouvelles, voire même de trustées. Ne mandés par la France et l'Italie est telle qu'il ci-dessous réserves, produisons sous toutes est vraiment improbable que le gouvernecompose une force attractive de rare qua- dit-on -pas, ces jours-ci, que, le consortium aurait un caractère quelque peu inquiétant. ment français rejette les propositions que les lité, poéttque et mélancolique à la fois, au-. A. C. N. A., atteint par l'effondrement du négociateurs britanniques exposeront à M. groupe Farl'I. G. .passant, serait absorbe Italgas, Remarquons d'abord, de élé.par tout l'uniforme à grenade. Trois tour en Briand. guerre ministère itade la benindustrie si .le négociala adoptée méthode L'accord sera ensuite soumis aux gouverments se partagent la vie du légionnaire: que pour ces -s'y opposait formellement? tions n'est pas sans Inconvénients. Il nements des Etats-Unis, du Japon et des le risque, le « cafard », l'illusion. Un des lien ne Le plus répandu des produits chimiques s'agissait d'arriver à un accord anglo- Dominions, qui étaient représentés à la conhistoriens de la phalange légendaire et fabriqué en Italie est, on le sait, l'acide sul- franco-italiert normalement les pourpar- férence de Londres. qui~lui appartint durant cinq ans -r M. furique dont Informé du résultat'des.négociations na-. production actuelle, dépasse lers la auraient dû s'engager et se poursuivre vales, le pape s'est montré très satisfait et C.-R~Manue, blier qoe a écrit: « ne faut pas ou- 10 miHions de quintaux. La capacité de proqu'elles soient définitivement coutes légionnaires sont des dépay- duction actuelle de superphosphate minéral en commun €ntre les trois gouvernements~ ~souhaité ronnées de succès, car il pense qu'elles consés, des~ déclassés que rien ne retient ni ne atteint 22 millions de quintaux par an contre intéressés. Ce n'est pas ainsi qu'on a pro- tribueront à consolider la paix mondiale. Il a cédé après M. Craigie longtemps établisseeut lie, en proie aux plus terribles désespé- 12 millions en 1915. Plus de So que déclaré textuellement rances ou soucieux d'oublier un lourd ments produisent annuellement un million de circulé entre Londres, Paris et Rome, Que le Dieu tout puissant soit remercié. MM. assure qui cuivre, sulfate de Henderson quintaux de conclu Alexander passé &. Sur la couverture du livre que Les résultats sont certainement bons et les ce ont et pays produc- d'abord un accord de principe avec la perspectives de désarmement des plus proleur consacra jadis M. Georges d'Espar- à l'Italie la primauté parmi .les La soude caustique liquide, l'acide France, puis ils conclu un second metteuses. Sagesse italienne ont bès on voyait un de ces modernes « cheva- teurs. en chlorhydrique, le chlore liquide, le tétrachlofortune qui porteur d'un avec l'Italie. Le danger est que ce dernier liers de masque décuplé leur également carbone de ont On mande de Rome à l'agence Havas rure pas conforme soit absolument predérobait entièrement ses traits. Symbole production ne au depuis 1915. Alors qu'en 1922 il Tous les journaux relèvent la signification aboutit du drame inconnu qui, multiplié, n'y avait aucune Installation pour produire mier et que ce soit en quelque sorte pour politique de l'accord naval et parlent de I& souvent, sous le soleil d'Afrique, à l'en- l'azote synthétique, on en compte aujourd'hui nous la carte forcée on alléguera que si cordiale collaboration italo-anglaise pour richissement d'une équipe d'énergies uni- une dizaine qui produisent environ 36.000 nous ne ratifions pas ce qui a été réglé à l'œuv~e générale de paix et de désarmetonnes et exploitent des brevets de techni- Rome, nous serons responsables d'un ment: que au monde ciens italiens. On commence aussi à fabri- échec. Nous espérons que le gouverne- Le Lavoro .FoMMfo dit Pour ceux qui se rappellent les héca- quer l'ammoniaque synthétique dont la proNous devons croire et espérer qu'à Pafrançais ne se considérera pas tombes amoncelées, cette phrase vaut duction annuelle est d'environ 50.000quin- ment ris on se rendra compte de l'obligation, de lui sembleobligé d'accepter qui comme ce concilier la nécessité suprême de la défense mieux encore qu'un chapitre de Plutarque: taux et peut-être davantage. dangereux. de procérait Une question le désir de paix et de solidarité interavec Tous les autres produits chimiques phos- dure « Pendant la guerre, sur )e front de nationale. ne saurait l'emporter sur les considéà Genève et autres lieux. Elle avait causé France, le l" régiment de marche de 'la phate d'ammonium, calciocyanamide, carbure Le Gtonto/f c~oHc relève que l'accord pro" si rations hésiter, de fond faut il pas la ne quelque alarme dans les milieux agricoles di- de calcium, aci'de azotique, hydrosulfite de Légion Etrangère venait en tête de indispensable, à prolonger la v.isoire doit durer jusqu'en 1936 cela parait borique, indigo sulfoxylates, acide il n'yavait, vraiment pas de quoi 1 sodium, sous son vision marocaine; il avait groupé Mais. ajoute-t-il,même avec ce caractère. Sans doute tous les représentants des di- drapeau à fourragère rouge tous ceux qui, synthétique, lithoponc, etc. ont donné nais- négociation, même si cela fait crier. l'accord a une inappréciable importance. établissements dévesance à des qui pétris étaient de bonne de vue des rapports ennations se sont vo- en Europe, avaient éprouvé le besoin de Nous n'insisterons aujourd'hui que sur aussi bien au point verses puissances navales grandes tre les trois loppés depuis la guerre. L'Italie est devenue .lonté, mais ils n'ont pris 'aucun engagement. semble capitale question nous qui et personne, à la victoire exportatrice de colle d'os de colle de d'Europe, et particulièrement entre la France une Certes on ne pouvait, comme l'a remarqué contribuer, de leur et peau, dont l'Italie, qu'au regard des problèmes de une mauvaise solution aurait des et de gélatine, dont on compte 30 établisse- conséquences M. Briand, « instituer ici un marché du iblé française paix et du désarmement. Nous espérons qua l'égalité fait, funestes. En Légion ? ta Paris tout le monde saura apprécier les .preuUn siècle de ments. Les fastes de avec achat et vente d'un nombre important de quintaux ~Cependant un fonds com- gtoire. Sa devise?Disctpline– et le mot )'iSi'ous ces .produits fournis par k sous~so] serait établie entre la France et l'Italie ves de la bonne volonté de l'Italie. Selon, la..T'ft&Mxs, Je- gouvernement 'fasmun p.quT'~h~t dcçcré.atcs.p.Quyatt être éta- prend; en l~oceurenee', tout son sens m' tr~' ric~e"cn aainetaux d.e toute softe a'oùt jusqu'en 19~ ea'e~ qw concerne tes croiciste a considéré le problème naval d'un; de seurs tonnes; bli à défaut: de tarif préférentiel oti pouvait flexible. qui lo.ooO problème jusqu'ici, donné la clé d'un pas, conservenous de vue général celui de la paix et du~ AL Mac Ortan a évoqué, au cours haut pointle gouverne- rions un certain avantage pour les sous- point intéresse fixer ces primes et ces facilités de transport au plus américain qui servent couramment à se jouer des trai- de son enquête, le jeune poète ment réaliser une production de carburant marins, mais notre voisine aurait une sélégionrangs des Commentaires anglais tés de commerce. On en a seulement parlé. Alan Seeger, tué dans les national. Tous Jes moyens sont, cependant, rieuse avance pour les croiseurs moyens, Et il est vrai que les nations européennes naires,Kisling et Blaise Cendrars, qui y mis en œuvre pour y parvenir, et il paraît si les choses demeuraient dans l'état où Commentant les conversations navales enqui sont déficitaires en Me feront 'bien d'ac- furent blessés, et ta parole du général maintenant hors de doutequ'on y .par- elles tre la France, l'Angleterre et l'Italie, le aujourd'hui. telle situation Une sont corder autant que possible leur clientèle à Dodds: « A de tels'sotdais, on peut tout viendra. réjouit de l'accord intervenu <: People se risadmissible encore serait (et qui, dit-il, en dispensant la Grande-Bretane nous Les autobus de Rome et les services de ne celles qui agonisent faute de vendre 'leurs demander querions-nous pas à dire qu'elle le soit, gne de construire de nouvelles unités, va excédents; évitons la débâcle de notre vieux des viennent de l'aéronautique essais faire une Ouvrons le palmarès incomparable: avec même avec la précaution dont nous allons épargner aux contribuables britanniqueslivres continent. Mais quand il s'agit de faire des découvert par nouveau carburant un nouvelle dépense de dix millions de combat de Mouley Ismaël en 1835; de piémontais et appelé par parler) que si, pour le tonnage global, nous sterling. contrats on s'aperçoit des difficultés. On ira deux inventeurs de conférence en .conférence, sans améliorer 1841 à 1852, c'est Kolea, Bou Maza, Cons- eux « Elcosina ~.Toutes les matières pre- conservions une supériorité très nette à Le ~cyttoM'~ estime que, grâce à ce6' beaucoup la situation, jusqu'à ce que la tantine, la Mouiouya. 1854. Campagne de mières qui le composent se trouvent en Ita- l'égard de l'Italie. accord, les perspectives de paix européenne marge vieille loi de l'offre et de la demande, avec Crimée.Viennent ensuite celles d'Italie et lie. L'EIcosina, extrait des roches asphalOn parle d'une de 150.000 à n'ont jamais été aussi brillantes depuis 1918. le temps, ait donné la solution du problème. du Mexique. Voici l'Année Terrible. Le tiques de Raguse et doe Abruzzes, a l'avanL'O&~c~ef écrit.: .j~ Cette loi est cruelle, dit-on. D'accord. Mais prince Karageorgevifch, qui deviendra le tage de se maintenir liquide à une tempéra- 160.000 tonnes. Dans le cas où cette marge heureu~C On semble pouvoir escompter un actuellement le problème est insoluMe. roi Pierre avec elle ture inférieure à 30° au-dessous de zéro, tan- ne serait assurée que par nos vieux cui- résultat final des négociations navales. Leur Serbie, lutte de D'après l'Institut de Rome la surproduction autitre étranger. Et le dis que i'essense gèle, on le sait, à 20-22". rassés et par nos. vieux croiseurs et où succès aura en réalité une Immense répercomme officier mondiale s'élève en froment 120 millions De plus, ce nouveau produit élimine un in- nous n'aurions pas le droit de remplacer cussion sur les décisions de la future consuccèdent,' Dahomey, Madagascar, doive se désagréable pour le public on par du matériel neuf des bâtiments usés férence du désarmement. Il croit qu'on de quintaux au moins. Les Etats-Unis, le convénient les Indicaréserve encore n'accepter qu'avec Canada, l'Argentine et l'Auscrt'.lie ont em- après le Tonidn. Puis c'est le Maroc, où, ne sent pas les produits de la combustion. et démodés nous consentirions à une pure tions déjà publiées sur le fait important de. blavé 17 miDions d'hectares de plus qu'en en 1906, « le premier régiment de marche Actuellement, un autre inventeur .piémon- et simple duperie. On conférence, que l'accord soit possible. saurait envisager la Comme ne Légion-d'Honneur le sait, la crise économique et 1913. Pourquoi ?Parce que, pendant !.i reçoit la tais fait, à l'étranger, des expériences inté- la modernisation de navires qui, même financière on italienne d'une part. et la reunion extraire huiles de gouressantes des guerre et les années qui suivirent, l'Europe 1914. La Légion arrive en Artois, livre pour coûteusement transformés, n'ont qu'une de plus en plus rapprochée de la conférence avait laissé en friche plus de 6 millions combat du désarmement de l'autre, auront facilite dron de houille mi pourcentage élevé d'huiles valeur militaire médiocre Etoile, fait à Bois Fay et se au qui n'en et au- le contact entre les négociateurs français et d'hectares de la sole du froment; elle était légères grâce à un nouveau procédé de mé'la 1915, décimer, le 28 janvier besoin d'arriver a. aucune. 'sur Il y a là, à nos italiens. C'est l'impérieux devenue un bien bon client. Aujourd'hui les 'lang'e d'hydrocarbures gazeux avec des va- ront bientôt plus budgétaire qui a granrésoudre le problème ~Mc question A Européens ont à peu près rétabli leur pro- Grande-Dune, près de Nieuport, enlève, le peurs d'huiles lourdes. une yeux, CMC KOM. au- dement déterminé Rome. ainsi que Londres. duction,, et 6 millions d'hectares en Europe, 9 mai, la crête de Vimy, conquiert les poune ne pourrait prix à étudier tous les moyens d'arriver à une~re-< approuver Enfin, le fait à l'ordre du jour est la dé- cun on Souain et des armements. Aucune considérala plupart de culture intensive, en valent 'bien sitions ennemies dé la butte de couverte, dans le Parmesan, de sources de solution qui nous donnerait en 1936 une duction tion financière n'oblige semblablement la. 12 au delà des océans. Notre marche s'est celles du Bois Sabot le 25 septembre, re- .pétrole. Depuis quelques années, des équipes notte eh réalité Inférieure à celle de l'Ita- France, mais ses intérêts sont engagés en ce en partie fermé. A quoi bon faire du blé gagne la Somme en 1916, redescend en civiles et militaires italiennes fouillent le sol lie. Le tonnage supplémentaire que nous sens qu'on commence à envisager avec conque nous pouvons vous fournir au rabais? Champagne en 1917 pour la journée tragi- albanais pour y trouver du pétrole et essayer demandonsà bon di'ùit doit être constitué fiance une heureuse issue des négociations. disent les agriculteurs des quatre grands pays Le 5'MHc!ay T'MMf.f se borne à dire quo d'affranchir ~la péninsule amsi de la tutelle août, part, le 24 avril, prend du 17 par au supédu matériel neuf; autrement, la l'accord annoncé par le communiqué signi-~ producteurs. Parce que l'agriculture d'un que avantage étrangère de 'balance la grand 1918, au vit, de Verdun et <: coup dur riorité réclamée serait inexistante. en fie l'arrêt à la course aux armements, qui pays, sauf de rares exceptions, ne peut se une véritable épopée: Villers-Bretonneux, commerciale. Seulement, le pétrole albanais aurait compromis le résultat de l'accord de) passer des céréales, et qu'en o~itre chacun Missy-aux-Bois, Chaudun, à Jusqu'à fixés dense d'un cet Londres. rendement très faible. est très et ce que nous soyons SaintAmblény, défense nationale. En de à la travail forcécas Le subir est long et songe qu'il égard, nous réservons entièrement notre Les nuages qui assombrissaient l'horizoni Pierre Aigle, Dommiers, Vauxaillon, ment coûteux.doit guerre, qui sera maitre de la mer? jugement. Nous espérons qu'on ne tardera politique européen, dit-il, semblent se dissiEt, pour surcroît d'embarras, la Russie, NeuviIle-sur-Margivat, où, porte sa citaà l'influence L'Agence générale italienne des pétroles pas à nous per par ailleurs, et c'est grâced'ordre rassurer à ce sujet. Tout notre d'un finandont on n'entendait plus parler dans les bour- tion d'alors, « avec une fougue admirable, a. poursuivi infatigablement ses recherches ensemble de circonstances avenir il faut naval étant jeu, effectiveen ne pas cier que M. Craigie a pu préparer ses de commerce, est apparue depuis la nou- après douze jours de luttes très dures, le le territoire national. Pour ce faire, elle conclure à sur sous la légère, la pression d'in- ment l'accord franco-italien. velle campagne, c'est-à-dire en août dernier. premier régiment étranger a enlevé un des dispose d'une subvention de sept millions de Le Referee 'écrit terlocuteurs pressés. C'est une affaire Elle a jeté sur les marchés 25 millions de saillants réputés inexpugnablesde la ligne ïiresparan. Il semble que la principale raison qu'ait °' gouvernementale au premier chef. quintaux dont un certain nombre. aux Hindenburg ». Les sans auxquels travaille relâpuits novembre, on quand sifut En le gouvernement français de faire ces conEtats-Unis Parme, surgissent à Fontevivo, près de che cessions. au point de vue anglais, soit le de-PIERRE BERNUS. la l'armistice, Légion de le drapeau gné conférence monde Aucune -ne peut reau sir qu'a la France d'obtenir en quelque sorte dans une région aride côtoyant les premières arborait Légion~d'Honneur, la Croix de la l'appui moral de l'Angleterre lors des tradresser pareille situation, mais la moindre ondulations des Apennins et appelée par les du désarmement. On vaux de la .conférence amélioration ser-a bénie. Par exemple si l'on guerre avec neuf palmes, la fourragère techniciens « zote marginale Départ de !a délégation britannique Les vingt peu dire. avec assez de certitude, que la conpeut arracher les Roumains aux usuriers qui rouge et la fourragère jaune. Inlassabtes, premières tonnes de liquide extrait était MM. Henderson, Alexander et les experts férence générale du désarmement a été ont réles conversales dévorent, s'il est possible de leur ouvrir en 1925 les magnifiques guerriers ren- vélé, à l'examen, que le pétrole de bonne britanniques sont partis hier, à 14 heures, pivot politique autour duquel mais on évolue, actuelles navales ont un crédit à bon compte, sur garantie de cé- traient triomphalement en campagne, qualité. Lorsque les quatre puits en prépara- pour Paris. Us ont été salués à la. gare par tions finalement que les d acpropositions verra agios, les supprimant les réales et en tion seront achevés, les recherches seront M. Grandi, ministre des affaires étrangères; cord anglo-franco-italien étaient conçues de: dans le Riff. sacridéjà à l'affût, –n'hésitons agioteurs sont poussées plus activement dans les plaines de l'amiral Sirianni, ministre de la marine, par telle façon qu'elles n'impliquaient pas le essenA Montréal un monument va être élevé Lombardie et sous-secrétaires d'Etat aux affaires étran- fice des principes considérés comme de Marches où l'on a déjà les pas. r la marine, par les ambassadeurs tiels à Londres et à Paris. Cn. LEGRAS.. pour commémorer le souvenir des soldats constaté, en surface, la présence d'hydrocar- gères et à d'Angleterre et de France, et par les autofrançais et étrangers qui sont morts au bures. rites.. Deux grands quotidiens atnêticams fusionMonte Amiata, dans d'honneur Enfin, dans les la région champ de 1914 et 1918 président Ebert. Le de A la mémoire du publie en Le « New-York Worid nent. Queïtes sont tes bases de l'accord? gouvernement prussien a fait déposer hier, rangs de la Légion. J'ai sous les yeux la Toscane, de nouveaux gisements de mercure, hier matin son dernier numéro. Le grand du président mort de la anniversaire jour Ebert, quotidien démocrate, qui était l'un des orgareproduction de la maquette d'un autre dont l'existence est connue depuis longtemps L'agence Radio reçoit de Rome le téléPrusse couleurs de couronne aux 'une été, puissants de !a presse des EtatsUnis, lesa p!us d'expertises, qui déjà fait l'objet nes suivant, monument et 'ont sequ'elle dit président d'Empire. d'ailleurs collaboration du premier dû à la du la tombe gramme sur ne pueffet, acheté par M. Roy Ho~ pour leencompte industrieîlebHer exploités raient prochainement qu'à titre documentaire ward qui et sous tou<: du Seripps-Howard, TëleLe brouillard mortel reparaît.– La « Libre peintre militaire Mahut et du statuaire me~nt.réserves tes <: New-York a décidé sa fusion avec Belgique x- dit que, vendredi-soir, une vague Pourquet qui devait être érigé cette anrépandue nouveau l'un des journaux de son groupe. La! délétères s'est de conserverait de gaz gram France La une supériorité i. dans s'appelle la cour même nouvelle feuille qui paraitM.aujourd'hui sur les com.muhes de Ttllenr et de Sclessin. née, à Sidi-Bet-Abbès, Roy concerne l'Italie tonnage qui le sur en ce Howard, préUne trentaine de personnes ont été incom- de la caserne du 1" régiment. Y pense-t-on j.'am!ra! Guépratte à Belgrade global; le « Worid Telegram Scripps-Howard un des maîtres sident du et 1 modées. Le parquet de Liège s'est rendu sur toujours? légèrement L'Italie recevrait 3. un tonnage de la presse américaine, a. débuté -cotnm.c < les lieux. supérieur à celui la France catéde dans la Le ministre,de la guerre et de la marine, de journaux. 11 est des sentiments âpres, tributaires Découverte d'une tombe en Egypte. Suides contre-torpilleurs et des croiseurs crieur gorie Hadjitch, a remis, hier, les insi- légers: Un Gainsborough aux enchères à Newvant le journal <: El Arab une tombe vient d'erreurs inexpiables, faits de nostalgie, le généralgrand-~roix de l'ordre de la CouYork. Un tableau de Gainsborough, connu d'être découverte près des Pyramides, par le gues de obtiendrait La France supériorité témérité, renoncement que ne de une et de sau- ronne yougoslave à l'amiral Guépratte, au assez sensible sur l'Italie dans la catégorie sous le titre de <: L'enfant au bonnet a été docteur Selim Hassan. Le gouvernement adjugé hier, aux enchères, pour sog.ooo fr. s'opposant à donner des détails sur les dé- raient exprimer l'outil de l'artiste et la cours d'une cérémoniea laquelle ont asissté des sous-marins: de couvertes archéologiques. l'annonce cette de nombreux amis et admirateurs de l'ami- 4. La France serait autorisée à moderniser Le nombre des chômeurs se stabilise au< découverte suscite parmi la population !)a plume de l'écrivain. Ici, la musique inter- ral. Le soir, l'amiral a assisté à L& rapport mensuel de la Feun d!ner of- certains de ses gros cuirasses, à condition. Etats-Unis. vient. La Légion a la sienne; son orchestre fert plus grande curiosité. dcratio.n américaine du travail indique que 'te déjà hennenr toutefois, dit. que .ces par la municipalité de comme on l'a en son qui cordes comprend des d'Allemagne chômeurs ont Belgrade, Aujourd'hui, il se rend à Opienatz, gros bâtiments soient mis en service entre nombre des musiciens à Les trois plus gros hommes aux Etats-Unis -peuta 5.770.000. Comme seront ic~ités à faire une cure à Marienbad. appartenu aux grands orchestres de Mi- où II visite le Palais royal et la chapelle vo- la métropole et les colonies françaises d'ou- être maintenant estimé à nombre s'élevait à janvier ce On apprend de Berlin que la ville d'eaux trc-mer; du date la 31 de Karasépulture la maison des tive de la Vienne; d'Amsterdam, Berlin, lan, de de souligne qu'il le sa 5.870.000, 3. Le tonnage de la France et de l'Italie rapport de Marienbad se propose, pour la saison proEtats-Unisest maintepaysans particularité georgevitch. des environs Les se serait identique en ce qui concerne les croi- nant probable que les sont arriunique préparent à faire à leur ancien chef à Eizerte chaine, d'inviter à faire une cure gratuite les clique présente une de vés au point culminant de la dépression com", 10.000 tonnes; seurs trois plus gros hommes d'AIIema..gne, et ce, dans notre armée: en plus des clairons, un accueil enthousiaste. 6. La. France aurait une légère supériorité mcrciale mondiale. à titre de publicité.

l'humanité, la cause de ces « grands ser'viteurs du pays; actuellement dans une JLa !utte du président Hoover et du Congres dure nécessite,; agriculteurs éprouves: par américain. GEORGES LECHARTtBR. la sécheresse de l'an dernier, ouvriers et 4.a Conférence européenne dés céréales. employés réduits à la misère par la crise CHARLES LEGRAS. des affaires~, peut devenir un sérieux ~u Jour te Jour. Le cenf<'no<< t!e la atout lors de l'élection présidentielle et «Z.~tOMM.–GAÉTANSAN VO)S!N. dans la main du parti qui en aura pris ")Le dévetoppoment économique de )')ta)ie. l'initiative ou' bien qui s'y sera le mieux –Z.es MdM~ries cA~m:~uesef~Pc/ro/e. employé. Les anciens combattants sont au t;es négooiafions navafes. La condilà élément ~to/: sine qua non d'un accord. PtERRE nombrede3.397.ooo; ce n'est pas électoral que l'un ou l'autre parti puisse BERNUS. dédaigner. La partie, en outre, était d'aua* pase e tant plus tentante à jouer pour le Congrès «cuvettes de t'Etranger. Le voyage de M. Curtius à Vienne. qu'il s'agissait de marquer une nouvelle victoire contre le Président. 3' Page ~.e budget à la Chambre. Z.es cred~s On ne s'étonnera pas, dans ces conditions, que ni les avertissements antérieu7'f~rteu/'so/!ft)O~M. t.a taxe d'apprentissage et t'enseignoment rement donnés par M. Mellon, ni la posiprivé., tion publiquement.prise par les économis-: semaine i-a dramatique. HENRY BtDou. tes et les hommes d'affaires, ni ce dernier message de M. Hoover n'ait, en ces cir4' Paze constances, servi de rien. LeM'<o à peine Oans l'Université. JEAN LE MËE. ~a Chanson du Rêve. [42j.– HENRY prononcé, la Chambre des Représentants adoptait à nouveau, par 328 voix contre 5' Pase 79, la loi rejetée. Et il ne faisait plus )Le spectacie à Paris. doute pour personne que le Sénat lui don7~ page nerait les deux tiers de ses voix pour lui financière.–E. t!evue P. donner sa force. Avant tout commentaire, La Semaine Onancière.–B. on devra seulement se rappeler que les récents et angoissés avertissements donnés, eu de toutes récentes et semblables circonstances, par Sir Francis Thomas, au nom des grandes industries du fer et de et du Con~Ès am~ncrn l'acier, non plus que le cri d'alarme jeté et' deux fois répété par M. Snowden, chancelier de l'Echiquier, en Angleterre, n'ont pas eu et n'auront vraisemblablement pas plus d'effet. La politique des H~tjRjBOW.5 B/LL partis et la surenchère électorale se reL'aventure de l'amendement au ~o* trouvent les mêmes partout. GEORGES LÉCHARTIER. ~OKM~r ~t/ pennettant les <: d'accroître bases d'emprunts accordés aux .certificats de services des combattants de la grande ta BonferBMe euMpMnnedes guerre », est un nouvel et déprimant épisode de la lutte acharnée qui se poursuit entre le président Hoovér et le Congres Elle s'est terminée hier et recommencera de Washington. Le dernier débat T. sur- le 26 mars à Rome pour reprendre sans doute

la

La

H

non

derttaiie

.j~omc,.ie

certes

tout mis en belle lumière la puissance

de

la démagogie et de la surenchère électo-

rale opposées à la saine raison et à l'intérêt national. L'affaire tout entière ne saurait être plus clairement exposée qu'elle ne l'a été dans 'le message du Président justifiant*t son veto après le premier vote du Congrès. Que la raison, la clairvoyance et !a

~ts'tice-tssëtit toutes dti côté

du

Prési-

'dent, la lecture du document ne laisse pas de doute à cet égard. Le .8oKM.y Bill tel qu'il, fut primitivement voté, explique le Président, accordait à 3.397.000 anciens combattants des certificats montant à une somme totale de 3.397.000.000 dollars, soit 1.000 dollars à 'chaque titulaire. II avait été expressément entendu par le Congrès, au moment du vote, que les charges, ainsi imposées aux Contribuables et à l'Etat, étaient à limite du possible et que l'affaire était close. Cependant, une nouvelle proposition fut faite, soi-disant en raison de la. crise économique et de la misère des agriculteurs. Cette proposition, qui portait le taux ~'emprunt de ~2 1/2 primitivement autorisé, à 50 accroissait, de ce fait, les charges du gouvernement de 1.700 millions de dollars. «Et, ajoute le Présitdent, comme, actuellement, le Trésor ne possède pas un sou qui lui permette de faire face à une pareille exigence, le gouvernement va se trouver dans la nécessité d'emprunter .cette somme en vendant les anciennes sécurités du fotid de réserve en siëme temps qu'il lancera un nouvel emprunt ou bien il devra avoir recours à de nouveaux impôts. » Ces charges écrasantes, insiste M. Hooyer, ne sont, d'ailleurs, nullement justifiées par la situation de la majorité des anciens combattants dans la crise actuelle. j<: L'immense majorité d'entre eux, en effet, peuvent se suffire à eux-mêmes et ise suffisent, de fait, à eux-mêmes. Le Président rappelle, en outre, que, lors du premier vote, on avait assuré que la distribution des larges sommes prévues dans ite FoKM~ Bill et un milliard de dollars accroîtrait Ont ainsi déjà été distribués

puissance d'achat des consommateurs et aiderait à la restauration de la prospécté. H n'en a rien été, et<: insister davan!~age serait vouloir duper davantage le peuple américaine. La question, conclut le Président, est de Srave importance en eUe-même. Mais de plus grave importance encore est cette tenjdance quis'accuse à ouvrir le Trésor fédéral à des nutHiers de demandes, dont beaucoup jsont admirables dans Jeur intention mais )ceux qui les présentent ne voient pas, ou ne ~e soucient pas de voir que, sous leurs beaux idehors, la plupart d'entre elles ne tendent insidieusement à rien de mohig qu'~ consumer !une part de plus en plus grande de l'épargne ~et du travail de notre peuple. Dans l'ensemMe, elles menacent d'imposer un fardeau qui .txcède de beaucoup ce que notre nation peut 'porter en outre–conséquence plus grave encore chacune tend à faire disparaître les qualités essentielles d'énergie, d'habitude de compter sur soi-même et de respect de soi chez notre peuple.

On peut. imaginer que l'Immense majorité du peuple américain et le Congrès lui-même ont applaudi à ces fortes paroles. Mais le Congrès, moins que personne, ignore que verba po/CK~ tandis que certaines manœuvres, habilement exploitées en temps opportun, peuvent récolter de nombreux votes et assurer la victoire d'un parti. Plaider aujourd'hui, au nom de

désarmement.

1"

le

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le


1 1 NottveHes de rÊtranger

Japon

11/1

Une lettre d'excttse de

Le vote municipa! des termes La Chambre des représentants a voté, hier,

Empire britannique

M. BfSning D~ns une !ettrc adressée au chancelier Ender, M. Bruning exprime ses regrets de devoir re' nonçer provisoirement à son projet de voyage à Vienne. H ajoute qu'il espère que le gouvernement autrichien !ui donnera prochainement l'occasion de mettre ce projet à exécution.

Les Ëchos de partout JTJ y C'ejnt Ans

étaient .une ~agate!!e .pour t'AHemagne et son un projet de loi accordant )e droit de vote )uer en magiciens du monde de la vie. Ce sont budget. Mais ~namt~n~nt qu'it faut opérer k~ aux femmes pour les élections municipaies, des âmes restées vibrantes aux impressions de paiement par Cette .mesure sera maintenant examinée par Le maniïeste du parti Mostey it devient nos propres 'a nature. Un jardinier japons 'a écrit une évident pour les Etats moyens, créanciers que ces la Chambre des pairs, qui a déjà reieté un /onr/!<:? des Débats Sir Oswald Mosley qui vient de démissionner paiement monographie du riz qui s'est imposée aux sane peuvent avoir Heu que par projet de loi similaire au cours de !n der- KOUVELLES mardi l" mars !83! du du parti travailliste pour protester contre !a po- suite des excédents vants du monde entier, mais c'est qu'il POLSTtQUES d'exportations. Je tiens à nière session pitrjementatrë. con< litique dn gouvernement dans !a question du ajouter Kœnigsberg, 17 février. 'L'armée russe est naissatt )a vie de toutes les piantes. malgré toutes les .résistances, je ne que, chômage, a publia hier un manifeste pour la recommencerai pas, dans la question des répaAu Japon, on a le respect de la fleur, à6mi)!es de Varsovie et il y aurabientôt une on rations. la faute de l'année 1928. Faire encore création d'un nouveau parti. n n)me pas à ta .cuei.Hir, à dépouHter bataine Le crédit décisive. colonial. Près 200.000 combattants Le offiJournal de agfjcoie tige <: de sa une fois Ja même faute peut nous coûter beau- La Conférence europMMe ciel .publie ta loi autorisant le ministre des deux côtes sont en présence. On commence ses feutHes; o.n est arrivé à Ja pertection Le manifeste déclare notamment: du coup et serait un .recul à l'égard de l'état dM à colonies 'barricader et du dérive, des jardin finances les il règne profonde paysage le ministre des a respect, La britannique nation à ta et s'en fait qui rues; une par ce choses actuel, dont aucun homme d'Rtat cons< va donner tristesse avec .dans viHc. National ia (Qaze~e ~r~st'Mne seulement le Çrédit de suivis des non femmes, la fuine industrielle chômage, convenu le cient mais de passer aux et vers aux ses rcsponsabi)ités, ne voudrait ansuDéctarattons de M. Ft'ançois-Poncet tiens étendant a des prêts que cet établisse- ~Œn;6c/'g.) enfants, fiHes et garçons, des noms de Neur~ d'une réduction des salaires et d'un système mer la cliarge. a des pruniers qui fleurissent en décembre, M. F.ra'ncoIs-Poncct,sous-secrétaire d'Etat à ment consentirait à des exploitations agricoD'autre part, M. Schacht, ancien président de Paris, 28 février. Des secours ont été de- On nouveau de la .vie qu'~n gouvernement déles robes portent des noms de fleurs, et pourvu de politique ne saurait empêcher. Une !a Banque d'Empire, écrit dans ta DcH< l'économie nationale, a fait, à propos des con- les, commerciales ou industrielles apparte- mandés au gouvernement autrichien par ies chaque sur épauJe on y voit ia.marque du dan, telle situation marquerait la déchéance de ta ~H«~f/Mi< qu'il est de !a plus grande impor- férences a~ricp!es qu'il vient de préside! et nant à des citoyens,'sujets ou protégés fran- souverains dépossédés do pfusieurs Etats Grande-Bretagne qui deviendrait une puissance. tance de constater de )ct)r 'eig-nification, des dceiarations dont çais et situés dans !cs colonies, pays de pro- d'ttatie, et .it est hors de doute qu'un mouve- ce que nous a.ppe)!erions des armoiries, qui ma)gre influences les que, 'tcctorat ou pays sous mandat, tout ou partie ment 'de troupes est commence dans Je sont des fieurs. de troisième ordre. Il est nécessaire donc à politiques qu'il subies, le ptan Young formuJ< voici les principaux passages a Savoir présenter une fleur suivant iea cir-' des dispositions contenues dans l'article 8 de royaume iombardo-venitien, quelqu'un d'entre nous 'de prendre Je risque, su<ïisamment' et avec clarté ]es conditions d'imasiner frontières tes constances vers préliqu'un H. eût été puéril prpbtâme )a convention du 2~ mars 1920. rituetjes et .)es saisons, savoir faire afin de donner au peuple britannique l'occasion minaires du paiement des réparations, et de Modène, Parme de Romagne. ')a de réaussi .pourrait à aussi savoir complexe être vaste et tes bouquets, ces sciences font J'oMet de londe travailler et de lutter en faveur d'une poli- que Ja faculté de prestation de l'AHema~ne Il n'y a .pas deux partis à prendre pour le AU. ministère de la santé publique. –'Le presque solu snr-tc-champ, après queiques journe nées consacrées a. un sérieux échanse de vues. cabinet du ministre est constitué de la ma- gouvernement français. La présence d'un seul gues éducations. tique d'action. x peut avoir Jicu sans te soutien actif des'autres Ceci est seulement t'aspect poétique et es' Les conciusions écrites des Cc'nfércttccs de nière suivante chef du cabinet, M. Feret du régiment autrichien sur Je territoire d'une de the~que Le manifeste ajoute que le nouveau parti po- puissances et met aussi ces puissances dans de la ftcur. Mais les Japonais en tpos. litique cherche à présenter aux prochaines'élec- 1 obhs~ton da se prononcer pour une sottition Paris ne 'peuvent pas donner une idée com- Longbois; chefs adjoints dn cabinet, MM. peut y consentir. EHe ne vit en Europe que t)u sauent également .ta science, théorique et p]etc de toutes les conversations qui se sont Jean Desp]as et Maurice Lévëque; scerétairc principe de Ja non-intervention. La France )pra' tions générales les ~oo candidats qui pourront économique de Ee proh!&mc. ne t'que. M. Biaringhem nous a montre, cn~atrees les dé!et;ues des divers entre pays 'peut La part.icuJicre, consentir. E)c) en une Mme Badouix; charge do misgrande question qui se pose maintenant rccrKsentss. Ces convcrsa.ttmas ont.marque lutter sur un pied d'égalité avec les candidats y ne vit en Europe que du série de .projections, des resuttats netde ta sélec' sion, M. Marcel Elaisot; attachés, M. Marcel maintien du principe qu'c'He a proclame ~a tion, des autres partis politiques anglais. pour les puissants alliées, ajoute M. Schacht, tement le vif désir de venir en aide Japon, d'une 'pays au aux seute espèce, !)e Vohf-. Bastier (service parlementaire Sét)at), M, première et que iles autres puissances ont pro- bths. Les Japonais 11 demande ésaJement la révision complète est ce))c de savoir si eUes veuient hâter européens qui disposant do stocks cxpprta<bl<;?. ce rcsont arrivés à en .produire Les problèmes d'avenir qui faisaient l'objet Max Brusset (service partementaire Cham* c!amc après cUe. du système parlementaire existant actuellement, !evcinent des facultés de prestations de I'A)!edes vanétés qui ressemblent à des chrysan. le rejetde la politique de libre-échange et de inas;ne; si e)!cs ne veu!ent pas ceta il ne reste de la deuxième conférence ont mis en lumic''e bre). On dit que A!, 'te Ministre de l'Intérieur thèmes, à des ajgues,à des espèces infi.nivient celle du protectionnisme et le remplacement de que Fautre soinbon qui consiste tu prntations l'Importance des facteurs ccra'npers à l'Europe de reunir plusieurs fois M. le prcfct.dc ment éloignées. Ils en font, si .l'on Mut dire, Constil d'Etat. M. GatHot, direeteuf dans ]a crise ouropeenne. I~a deuxième confé- des mines ces <)eux systèmes <: désuets par un nouveau, de réparation. Seine, !)a Al. )e préfet de police, 'ie gênerai ce qu Hs veulent. Dans des expositions minist.erc des travaux pubUcs, d'hortigrâce auquel < les travailleurs et les. consomma- Enfin, M. Dietnch, ministre des finances, rence a fortement marque que )a surproduction est nommé au Lobau d'Etat en Pajot, consoiUer comte !e gênerai service et commandant culture, extraréunit jusqu'à a essenticitcment !e fait des pays d'outre2.500 exposants, qui on est teurs, aussi bien que les patrons seront protégés dcctare au cours d'une réunion c]cctora]c à mer. remp)acement ')a première division miJitaire de Paris. La re- ont tous fait leurs découvertes. Des M. Colson, ordinaire, de en seu)e. et entende que, tuie catalogues avec ces pays par un outillage moderne qui maintiendra en ërunswick: apporterait aux difncuitM que traversent I:'s appelé, sur sa demande, a d'autres fonctions. soJution aurait été prise de déployer en cas de d'horticulture, qui remontent à cinquante ans Grande-Bretagneun marché stable et un niveau trouMes tes mesures .tes plus promptes et ies et ,p)us, nous présentent ainsi des variétés On a comprendre dans )e monde pays.d'Europe me solution certaine et durable. Instruction publique. <x Journal Le made bien-être basé sur un barème élevé des sa- cutter commence Cette 'préoccupation a 'pesé sur ]cs délibéra* officiel plus énergiques, de sévir contre cette .poignée gmftques qui n'existent )p)us ce qu on a fait en édifiant ieproKrammc aujourd'hui un pubtic décret fixant da sont ou x' pro-' laires, afin de favoriser le marche intérieur de des réparahons. Les tmmpnses difficuttes tiens de~Ja. ~Conférence de Paris. Mais elle naa )cs condittons d'anarchistes qui cherchentpuMique. a compromettre in- p)-!ett; exclusive d'une famiUe. M. Biaringhon d'admissiort épreuves du renempêche de déleRations aux la Grande-Bretagne ». tes diverses form~icontrces pan-toutes'les nations pas sont ~con- Jcr a su tenir sous )c charme pendant ~ongt&nms doctorat sciences; es arrêté modifiant t'ar- cessamment ta tranquH)itt; des suggestions pratiques. un Le ~cvttoM'~ ~VcK's/'o', organe travaifiiste, séquence, Dans cette situation, en i'Aticmagnc oc une nombreuse assistance en lui .parlant exc)u. La. question des tarifs préféroUids i-éciatnés rête du 6 avril ]{)2g portant règlement de estime que Sir Oswald Mosley échouera dans pcu~aue conserver son ca)mc si cHe veut arristvement de .botanique, mais avec une science destin est liea pps- par !cs déttKués de J'Europc ccntrate et oriol- l'agrégation des Facu)tés de médecine; Mn JL'Ac~a~e sa tentative. Il lui faudra, en cKei, éerit-i), S)b)))te deresu!t3t. Notre qm s apparente chez tui à la plus haute .philos Oza~am FjrecfMc de a.n'cté fixant le règlement .généra! et intéa doune lieu; à d'ardcntM controverses. s'adresser à la masse des travaillistes, mais ceux- précisémenttrouver des capitaux, mais cc)a est ta)e D'autres mesures ont été étudiées.C'est ain&! rieur de l'Ecole normale supérieure. soip)ue biologique, comme à Ja poésie qu'U a une question de confiance. ci ont foi dans le programme du parti et ne suiles conditions de transport pourraient être appnse à l'écote de ses maîtres japonais. vront pas Sir Oswald Mosley. Ils le traiteront Les étecMons muaicipatcs de Brunswick que Le <f Journal officie! ? sent.usement amenarMs. On a evottuc te rcle -7- Crédit Foneter. Le Jo:t/~ des D~a~a loue naguère (27 jum J. Adu futur crédit a~ricoic interna- public aujourd'hui un décret approuvant une 1925) t'~oquent. et .pénétrant petit \'o!ume ou comme un renégat du parti qui lui a donné ce Les éjections municipales ont Heu, aujour- hienfa.iSant tionaL qu'il, possède d'innuence. Séparé du parti tra- Q hm, u Brmiswick. A modificatijon des statuts du Crédit fonder de M. Georges Goynu avait resutné la biographie reste, t.a. conférence t)'~ pas sujet, Severing, M. Pour ce !e Sir vailli$te, v<mlu. France. Oswald Mos!ey subira le sort des de Frédéric Oxanam. Le succès de ce th're a de ~'intérieur, a prononce un discours anticiper sur les négociations qm nourront s'en"DANS chefs communistes dont le nom a sombré dafs inintstre été noutel, l'auteur vient à d<: le pubHer dans reunion que sociale-démocrate, dans iequc) Ra~er à Rome, je s6 nmra prochait!, entre tes une l'OjUNi. epMSE! L veau (Flammarion, coHection « Les Grands soutigne Fimportance pour h poliHquc In- 'représentants de .tpu;s !es ~ays hn~fessc~ d)i a Goeurs s, ?o3 pages in-jM, eny ajoutant un AzabMMLde<t' L'élection partieUe de Westminster térieure et extérieure de !'A!!emag'nc de ces mondeentier. chapitre de 3o. pages .sur !es:deM(o~per[M'nts eiechons. L'opinion publique mondée' verfa' Les mthistfes et sous.ecr~ta!rps'3''Ptat'së modernes de !'eeuvrc. de étante 'fondée Le Sir Ernest Pctter, qui a déclaré avant-hier dans ces tiections rapport ~ucotMtté~~ par. L'ambassadeur,'des Etats-Unis à Pans .et tu'i! posait sa candidature comme conservateur a!)cmandeactuc)]e.Je baromètre de !a'pd]itique Avant )a. clôture de sadenuere séance, sont réunis hier, n !7 heures, en'Consdrde Ozanam. Aime Watter Edge, qui doiventse rendfe en.' indépendant à l'élection partielle du quartier de Cabinet, mimstere de l'intérieur. En un aiec)c, passer de sept membres n deux Algérie et en Tunisieprochainement, visiteront comité au charge d'étudier !e probiemc de déclara J'exLe~eup!c aHemaud devra, S~int-Georges (Londres), circonscriptionde feu M. Ptcrre Lava!, appelé )c')ninis- portation. du surplus des récoltes futures de Chambre par ccut mille, c'est apparerrunent un indice de cgatcment le Maroc. sont dans s écarter de tre, ceux qui t'attente hier Worthington Sir Latning' Evans, a déclaré pcr. c~reaks, a adresse un rapport au président de la discussion du budget de l'intérieur, n'a pu prospérité et de \'itaiitc, surtout quand Jes ct)[- Çerc!es pétuo])c des~ succès de demain d'après~demain. et à .S~CM(/a~ joir un rédacteur de l'.EM'M~ que n devra exiger que soit acconjpU le devoir pr~. 'la, commission d'étude p&ur !'UnioH e'urotpecnn?. assister qu'au début de )a séance, -qui s'est diants, les -s jeunes de toute condition sociale, .c'est uniquement en raison du désappointement sent. H faudra qu'il évite de poursuivie sous )a présidence de M. Léon fournissent d'abondantes recrues <:Lorsque se Au ballottage d'hier, au Jockey Club. ont étc laisser Influen. Il y .est dit notamment Bérard, et du mécontentement causé au sein du parti eer par les fantasQUesde Ja se garde des célébrera bientôt (au printemps de !933) le admis membres pertnanents sceaux. le marquis de politique. ~1. Le comité a Mconnu tout d'abord que conservateur par la politique de M. Baldwin centenaire de Jt'ceuvre d'Ozarmm, toute mie jeu- bcey-Montbehard. présenté par le marquis de MM. Hitler et Hugenberg et .plusieurs autres t'ecou)ement des céréales .européennes en exe&- Les salaires des mineurs et des gens de mer nesse !à, héritière des préoccupations et ~ayye et le marquis de Canisy; !e marq'.tis du comme chef du parti, qu'il se présente à cette personnages politiques .ont également'pris')a sera deTtt proMëmc non pas seu!cment est un turoviv!er_deFay-So)iKnac. présenté par le comte paLe Consei) a. été mis élection. rMe, ces jours derniers, à Br.unswick. le des enthousiasmes qui animèrent celle d'it y a J. courant, pecn, mais universe). et qu'u'nc solution cn'ticau par de La Tau]e~rétinvilte et le vicomte Louis A la suite de la décision de Sir Ernest Pettcr, ministre des travaux publics et le ministre cent ans. > satisfaisante -n'y saurait de t'emeut ctrc Lcstrange. apportée connne !c lieutenant-colonel Moorc Brabazon, ancien Démission du président du Une légende travail, l'état deda!n de de de la question des salaires exempte non ouc 'par '.une entente entre tontes les parties secrétaire parlementaire au ministère des transdes mineurs du Nord et du Pas-de-Ca~is. !a Société de ~aint-Vinccnt de Paul dans )a Lettres du monde dH parti économique ports et un des condidats éventuels du parti II. –C'est <:n s'inspirant des conditions ci- De son côte, le ministre de )a. marine mar- distribution de bons de pain à quetqucs milliers Sous la pression des, éieeteurs <!u parti de conservateur pour ce siège, a. adressé hier au t'economie La .R~MM* f7<M'~<f//<' a institue en in3o un dessus que !c comité a aborde l'étude des o.ro- chande ~i. entretenu ]e Conseil de Id fiues- d'invalides du travail, dans ia régularisationléde nationale Saxe de Westpha- posi~tions faites et général Co&per, président de l'Association conSa)e et religieuse de quelques centaines d'unions concours annuel. doté d'un prix de 15.000 fr. et améliorer la situation cu- tiou des sajaires des sens de mer. pour lie rhénane, M. Drewitz, président parti, de fibres. Ce seraient, ce sont déjà là deux excet- d un prix de ~.ooo fr.. réservés à des ouvrages servatrice de ce quartier, une lettre lui faisant ropcenne, et, d'abord, l'examen des avantages ce dcctarc d'ordre douanier qu'i! renoncerait à son poste de chef La conférence des céréales a demandes a certains .pays lentes besognes mais combien parciiie vue est de haute littérature (histoire, philosophie, cripart de sa décision de retirer sa candidature. superriciettc, tique). Le lieutenant-colonel Moorc Brabaxon, qui a de la fraction parlementaire. On sait que M. d'Europe par les pays exportateurs de l'Euétriquée, M. Georges Goyau déM. )e Aristide Briand, ministre nHaires des Voici les conditions du concours .pour !o3t: été ministre dans un cabinet Baldwin, retire sa Drewitx avait cto attaqué par un autre député rope centrale et orionta'c, qui y attachent Ja étranRCre.s, et ]\I. François-Poncet, de plus montre plus, exposant Les manuscrits devront être inédits; ils en que, en sans sous-se- dcciamatiQn de candidature parce qu'il ne veut pas discuter pu- du parti, M. Colosser, qui t'accusait d'o.voir plus );rande importance. thetorique, crétaire d'Etat a l'économie nationate, ont sans étalage de théo- rourront avoir de cent à trois cents pages d'im~IL bliquement la personnalité de son chef politi- empioyc pour des besoins personneis des somL'attention du comitc s'est ensuite rendu compte ries économiques, conférences les de Saint-Vin- pression Consei! de l'heureuse terau d'argent, portée a. d'ailleurs appartenant parti. d'attirés au su.r aimerait lo mes qui Il qu'il !ui 2* Les manuscrits devront être adressés, oaru mesures ont que. minaison des deux conférences consacrées cent de Paul deviennent un <: iaboratoire soreconnu <tc à faciJitcr l'ecoutemcnt Je i" mai. en double exemplaire dactynature reguti'er du voir remplacer à la tête du parti. cial Instruits des besoins <ie la classe ou- avant NouveMes bagarres politiques surplus des cer~a)cs considère, en ametiorant aux céréales des pays de l'Europe centrale vrière tografh'e, a M. te secrétaire du PW.T de ~a /?< les confidences reçues au cours de orientale, qui viennent de se terminer au et 'par leurs conditMns 1)'. croit de Unn'<<f, Les négociations avec Gandhi vente. ~w notamment Quai d'Orsay. !S7, boulevard Saint-Germain, La nuit dernière dans !c quartier de Mbabir, membres leurs visites, les s'efforcent d'y Pans les pourconditions (û'): )cs frais de transport oui et :t Berttn, une colonne de communistes ayant que On télégraphie de la Nouvelle-Delhi: Le Consei) a ensuite procédé à l'expédi- voir caisses de loyers, cités-jardins, jardins ou3* La ~'<<<? {/);t'T'<< publiera les Umitent le champ de pénétration de ces céréaouvral'intention de manifester vriers, avait ctre disper- les devront faire l'obi et d'un examen de la tion des affaires courantes. patronages et cercles d'études, écoles ges auxquels les prix seront attribués. Elle pu Bien que les contre-propositions de Lprd Ir* sée à se reserve le de droit des d'apprentissage, de faire .paraître !a poHce. Mais administrations bureaux L~n Consei] de placement, natio'naics secrétamatraque part les coups d.es des ministres prédemain Heu par textes rejetées !e été définitivement win aient ,pavs aura par coet des pays d'importation. riats des famiUcs avec service de consultations sentes au concours; lundi, 9 h. 30, rEiysée, mité exécutif dM Congres, il serait inexact de les manifestants se reformèrent et défilèrent deAtransit ~ccs mesures, dont l'efficacité sans doute dans les rues environnantes où ils brisèrent les juridiques, visite des malades dans les hôpitaux, le 4° Les résultats du concours seront publiés' dire que les discussions sont rompues. i" juillet de gaz à coups de pierres, de sorte que Hmitee ne serait pourtant pas négli~ea'Me; centres de réconfort pour les vjeiUards a la Sous Aujourd'hui,'Gandhi fera patt au vice-toi des becs. la présidence .d'honneur de M. PaiA &'ajoutera.ient avantaRcusem~nt des meaurM ~a doubjte !n~tos!tMn !ntem~t!on&ïe porte des hospices, protection de L'enfance déd'ordre tout'!c quartitr"se trouva "dans't'obscurito:" La Bourget. Congres. de l'Académie française, le jury <ju arrivé le auxquelles conclusions est bancaire concernant les ventes et lë's poHee intervint linquante, de Les cela s'est manifestants successivement fonde nouveau. f~.ttout de /a ~cM~f achats de céréales et les procèdes de'.paicmen:. On croit que trois points 'restent toujours se compose de' accueillirent les MM. point Louis à coups feu. Après clandestinement, Bertrand. de mais Henry agents certes Bordeaux, Pierre non taMalgré !es grands obstacles qu'cHe & renconsans à régler, le principal étant la demande de IV. Le comit.c l'Académie appris avec le plus vif de Noihac. communistes, de a rude bagarre ni réclame, française: Charles jes fur !a à et mesure que Futilité Benoist. au pour plu- intérêt que ]ea travaux préparatoires conccr- trés dès Je début, la Chambre de comnierce in- page Gandhi pour qu'unfr-cnquéte soit faite sur les une Funek Bren.tano, de l'Institut; MM. des s'en jeunes manifestait. part, enfin être maîgens, purent méthodes trop sévères employées par la police la er.eatio'n d'un Institut intemationa) de ternationa!c n'acesse de faire des efforts pour nant Abel Bonnard. André Bellessort, Jean Lontrisas. Huit arrestations ont été opérées. Parisienne à son origine, l'œuvre n'a point crédit agricole étaient activem.cnt poussés, li arriver à diminuer ou a supprimer Jcs excès dn André Maurois. Henri Jérôme et Jean Tharaud, pour disperser les manifestants, particulière- De Knon. graves bagarres ont éclate,ces jours-ci, attMtd avec coJtfianeo ]a. continuation et t'ache- perception qu'cntra!nent -)es prétentions rivâtes tardé à devenir mondiale. Dans Jes pays mêmes Jacques Bainville et Massis. ment les volontaires femmes à Borsad. environs où le paupérisme de Giogau apparaissait Noeswitz ignore vaincu, de et entre aux vement travaux. boycottage des Etats et ou Les deux autres points sont le naces Le Génie français a décidé d'organiser tou~ en muticre fiscale, pour les entrepritionaux-socialistes, Etats-Unis, communistes des soeiaux-dehommes de comme et aux sel. V. cceur droit du Le comité le les ans un pèlerinage hors de France, afin de fabriquer exprime te vœu que les phé- ses exerçant leur activité dans plusieurs pays. groupes conférences sont pratiquer se en En ce pour de célébrerles chefs-d'œuvre du génie huqui Tout espoir de règlement n'est pas aban- mperatcs. Un grand nombre de personnes ont nomènes agricoles etaut essentiellement la France, résultats des chanconcerne la charité été morale grièvement btcssees, sociale. dont Ils deux dans accompli et problème main le ont sont geants, auque) donnent heu !:t oro- appréciaMes ont été obtenus. Un traité sén~érat et de resserrer les liens intellectuels et <.)n donné, aucune des parties ne désirant assumer merveilles des lutte. dans désespère. d'idées, état duction et le commerce des céréales en Eurooc contre la double imposition & été signé ce: ordre et, tout moraux entre la France et ~les autres nations. !a responsabilité de la continuation de la juin réccrn.ment, Le premier de ces pèlerinages, placé sous quand l'intensité de la crise éconoEnfin, des bagarres ont éclate, !a nuit der- .puisse, si le besoin en <:s.t r~nstatt'. faiM. a.u !930 avec l'Italie, des négociations sont en en cours je le dus mique a soudain ressuscité outre-mer les specpatronage du ministère des affaires étranBeigtque nière, à HaUe, entre nationaux-sociaUstes et moment opportun, l'objet de consuha- avec la Belgique et la Suisse. Sur point un pargères. ttons utt~rteures sous les auspices de )a comaura lieu en Angleterre, à Pâques, du tres de la misère corporelle, du froid, de la communistes. Dans toute la vHIe tes communis- mission ticulier très intéressant, taxation b des 8 d'étude compaavril. M. G. Roth. professeur d'anglais l'Union européenne. pour Le màf~ehat Franche! d'Esperey à Anvers tes ont manifesté en colonne, brisant'~es devan' dont S~ies de transport maritime. ia France a concht faim, c'est à la Société de Saint-Vincent de 3auaucollège Chaptal, conduira voyage, de C'est Mer après-mid!, au Cercle royal artis- turcs des magasins. La police a opéré un grand des accords avec huit Etats .(AUemagru, ItaHc, Pau! qu'on a tnstinctivement eu recours pour le programme comprend la ce visite Lon-' distribuer les les vêtements, les vivres, subsides dres Etats-Unts, Grèce, Pays-B~s de principaux Etats seantique d'Anvers, que le maréchal Franchet nombre d'arrestaUons. trois et CURT!US et ses monuments et LE VOYAGE DE M. A V!EMKEdinaves). dus à la générosité publique. Ses membres ont curiosités. Tous d'Esperey, .portant le nouvel uniforme, panrenseignements s.ur ce w renouvelé le geste d'Ozanarn voyage seront envoyés sur demande adresLa question de la ventiiat'on des Maences tout naturellement talon rouge et épaulettes d'or, la poitrine bar. ses après les épidémies de sée & Mme Chouinean. tyi, rue de Rennes. et de compagnons d'une rée du grand cordon de l'Ordre de Léopold, entreprise industrieDe CQnMnerciaJe. qui pfogfamfne ou ILe du séjour Le conseit des ministres~ conférence devant une assiss't-tend sur ptusieurs pays, fait aetueHementl'ob. choléra ou tes émeutes de notre dix-neuvième Paris (6*). a donné une On m~nde de Berlin que te Cabinet d'Emjpire jet de DE L. DE L. Fla~sailtea approfondis. La Société des Na- siècle. Les ministres ont approuvé la publication s'est tance trës nombreuse" Apres que M. Decock travaux occupe, dans séance d'hie-r, du sa .brilen retra~nt voyage au public 'Cafro]), présenté sa confié J'etudeà M. MiteheM l'eut tions en a prochaine d'une crdonnimcc royate qui restera Nous apprenons les fiançailles de Mlle Clolante carrière coloniale et sa. beM<e pa.rttcipa* l'intervention du tribune), chargé de juger !e< de M. Curtiug aà Vieime. Le départ de M. Cur- qui fait une enquête dans quatre ou cinq grande tius a été &xé demain combien soir. il Le <hj tion & la guerre, le maréchal dit programme I.e X' volume des /U~M~r<~ titige? électoral. Celui-ci pourra donc, te pLus séjour it Vienne pays d'Europe. )de tilde de Gastines, fille du comte Raout de Gasdu ministre l'invitacomprend répondre à d'avoir notatnM. CarroH ayant demande au Comité ttatiû- Paul Tann~ry vient de paraître, consaoré aux tines et de la comtesse, née de Parsay, avec le était heureux pu tôt possible, donne;' une suite aux réclamationss mard!, baron Jean de Bfaussc. attaché à l'ambassade à h. 30, visite au chancetier nat françai!! de !a Chancre de commerce intcr- Ofnt'raM~ Ai'sron~n~. M est édité tion de la Société royale de géographie d'An- qui pourraient t'!r<: soulevéespar ht notnina' ment ta avec de France près le Saint-Siè~c, fils du baron de fédéra) Dr. Ender; midi, visite c.u-vtce-cha~ tion. de certainsmaires, adjoints aux <Mu rM celier M. Schober; 15 h. 15, audace du pr~ nat!ona!e'~e )e mettre a même de conna!tre ies coHabora.tion de M. Joseph Pères, professeur Beausae et de la baronne, née de Chevigné. vers. Puis il fit l'éloge de l'armée d'Afrique et .parla de la liaison de l'Afrique centrale ou conseillers v4ts et ~es opiniotts d~s mHiettx d'affaires 4e la à 'ta Faculté des sciences d'Aix-Marsei'He, nuis side~t Heu {édéra! M. Miktas. Ensuite Sahara. par le auront Belgique Fjancf, une reunw.n a eu tien !e 2~ février, a h- toujours grâce à l'activité magnifique .de Aime Manager la avec la France et M. GascMi y Mai'Jn, :hiu!stre de l'instruction plusieurs réceptions d)!t<rs amsi le ofnciek, que))e prenotcnt part une trentaine de personn~- Pa~t Tannery. Et, à nouveau, nous Après cette conférence très applaudie, pu~que, a t'impressk'n que,tu situation anor- qu'-une. représentation à et nous de- < Le mariase Je !a comtesse GuUkmefre J~ .t'Opéra. où M. coloniale, Cut'~us quitt'industrie, ~e'mondt; maréchal se rendit à l'Université représentant mandons titcs de du male des universités prendra tin& ta satisfac- tera Vienne jeudi soir, a !8 h. ce qu'il faut le plus admirer du dé- Pcrein. avec M. Jean HeHeu, conseiller d'amcommerce de 30. juridique; Pr~siM}<e sc!en<;e vouement il f~t reçu par te capitaine Laude, aux élevés tion des droites ta et inlassable de Mme Tannery, ou de bassade. ofncier de la Lé~ioa-d'Honneur, étc des gauches. U e<t Suivant la A'<!<'A<Q!M~a!6~ d'importan.ts poura duquel il dit notamment que, dans 3a carrière déetdé a résoudre comme directeur général du t'œuvre même de celui qui en est ft'objet Une célébré dans la plus stricte intimité. par M. Robert ~îasson, questions seton. tes .r<M~. psrters économiques auraient jj~u à Vienne ces raide mais coloniale, il faut être, avant tout < en- CTedit Eyonnais, cette reunion a ~te honorée de érudition extraordinaire se .mantfeste, dans ce seigMmenta qu'it recevra des conseils dadrr~- tre les représentants Uu gouvernement d'Emr"i= aussi juste et prudent la présence de ~1. Robert juU'ard, de Genève, voJume, par 150 pages de questions posées et Deuils nistration des universités. pire et le gouvementent autrkhien. président de commission des douNes hnp&ts de réponses fournies dans f~enn~/M/re des Quant à M. La Cierva, mMstrc ~cs traAllemagne M. Georges Izambard vient de s'éteindre, dan~ de la Chambre de commerce international, et tnathamaUciens. E)!es com.prenr'ent, déclarent Ender Déctarations du chance!ier pubHcs, i) montré nécessite de réun'r la vaux auatre-vintrt-quatrièmeatmee. à Neuilty. a de M. M. Bordugc, directeur gcncra! des contr:- jes ~us compétents, beaucoup d'informations saPo~te, gouvernement et !e chômage drannturRe, critique, historien, il avait le conseil des chemins de fer pour étudier Interroge par !e représentant viennois de .butions directes et de l'enregistrement. A~res un que l'on trouve ')à qui e.t ont grande été rédacteur ne que définitif du statut ferroviaire qui devra t'agence Wo)<î, M. Htider, chancel'er fédère, une en chef ou avait collaboré à didécide cté qu'un g~"era), Dans un discours prononcé, hier, a la com- proj'et de vues i) ecitange a importance. première a l,a partie du voitume ras- vers journaux. Ancien professeur d'Arthur toutes !es affaires en cours, y compris dectare qu'au point de président ~protocolaire, la 'vi- sous-comité restreint examinera, avec Ja colla- sembte des artictes mission du budget du Reichstag, M. Stcgerwald. résoudre vue Rimbaud, il était honoraire des des projets et notes, de prob]eme du salaire des ouvriers. site de M. Curtius devait Gtrc considérée com~ne boration des services de 'ta Confédérationgtné- cours ou de livre, Amis de Verlaine des < Amis de Rimministre d'u travail,a fait un exposé très dé- )e Une et Je proMème, qui est au <: sur grande partie de réunion la été de réplique cona !a visite faite )'annee baud a condernière tatHé du problème du chômage et ra~e de la productiou fraacsuse, les .réponses dé- pretmier p)an de nos préoccupations actueHes, ses une sacrée à t'andition de M. Vcntosa., mini&tre des M. Schoter Berhn. à économique. taillées au questionnaire rédigé et commenté jpa..r de ta constitution et de ~otsei.gn&ment de séquences dans la. vie par Le T. R. P. Victor de Lenheer. directeur qui. parlé du finances, .pr.obteme de Ja mQ~d'ass;n. projet a. à analogue nouveHe réunion déclaré le Carro)). Une M. spirituel des œuvres sociales chrétiennes de Il a notamment que Un r~atitc, a-t-i) ajoute, !e \q\'aKC de M. Curdes sc~ncM. Paul Tannery en avait naie. L'arrivée, hier à Madrid, soir, de M. est mort au nissement du gtouvernement allemand pour tius n'a besoin d'aucune justihcation ofneicHe. ceiie du 35 février est prévue pour ia fin de mars. défini t'objet et ta méthode dans une 'Jeeon l'arrondissement de Saint-Nicolas, Lokeren directeur Quesnay, de la Banque internRtio(Belgides Saints-Anges à couvent les finanNous !'accuei)terons avec Jes sentiments Jes pins but principal de mettre de l'ordre dans qu'i! .préparée avait du Cottege de en vue que), dont était général. évidemment il aumônier de paiements, rapport nale est cordiaux, comme un parent reçu par des p:~ en France, lorsque rassemblée des professeurs et ces tt de rétablir ~a sécurité et la connance <n très étroit avec sujet, mais je ministre d'un quajite seulement de La vicomtesse d'HérouviUe. n~e Marie Le* memibre rents, politique de ce en a non .T Académie des sciences, d'un commun accord, vue de créer ~une base pour .une ami, mais montré à égard représentant réserve des Cloixeaux. fille du membre de l'Insla gouvernement comme ~ra.nd plus absotue. cet de .une un désigne crédits à long terme. 'Favaient recuei!)ir succession la .pour na'.ion aDentande. la dont .nous une titut, a succombé en son habitation de !a. rue M. Quesnay s'est rendu à Madrid pour y sommes Laffttte. H a, <n outre, souligne que la génération préPierre de On que, sai-t des les sous partie, dcpnis Je!} reculés. plus pres- Vaneau. temps étudier le proMème monéta!re <;s.pagt]o! et les Vendredi derwer. vente que diri~eatt At' sions extérieures qui à l'époque furent Elle était la mère de Mme de Carpentlef, sente suppose des charges trop .lourdes. Elle a opérations à faire visite de Cette les relations ne montrera un que G. Al'binet s'était terminée trop tardivement Mystère pour la stabilité pitts ou t'Autrieue avec rADemagne femme '!e du capitaine de vaisseau; de Mlle Anna & payer, cette année, trois milliards de marks choix.des compasont caractérisées pour que nous puissions en noter ici quelquespour personne, prochaine moins de Ja peseta. milliards d'HérouvilIe deux cent et du lieutenant d'infanterie colopar des sentiments particulièrement intimes, qui uns des !cnx intéressants a signaler. Parmi les gnies savantes ne fut -pas ratifié. Le recueH niale d'Hérouvillt'. pour l'assurancc-chomage; tombé slorieusMneM ont des raisons non seulement Itistoriques. n~ tableaux, un charmant portratt de /<'«Me actuel nous rend toute vive 4'émotion que resmillions po'tr les réparations et la tiquidation des Le régionalisme basque tiona]es et cutturettes, mais encore économiques. de l'école francise, y avait été paye 6.900 fr. sentirent, à l'étranger to.mme en France, ceux Apremont, en octobre 1914. dommages de guerre un milliard pour le serSAIMP!~ SAIMFjl~ Saint-Sébastien On télégraphie de L'Autriche a exprime plus d'une fois ce point un tableau de ~M< attnbue à P. Faes. 5.400 désintéressée. qui avaient à cœur ta cause de i!a recherche vice des mtércts 4'ea emprunts étrangers enouvertement et franchement, encore CR francs; un autre tableau de ~<')M*.f, par Van En particutier, JVbne Tannery M. Juan Perex CaMtero, ancien minist.re des de vue, viron deux milliards d'intérêts pour les emprants temps, de derniers où pians povastes d'une composition attribuée francs, Gelt, et une 2.100 intérieures en plus comparativement aux Intérêts affaires étrangles, a dcdaré que. les quatre ces a reproduit la page du /oMrn~ <f<'s Df&a~ où économique de 'i'Eu- à Oudry. réorganisation, titique de /<'<ar<~ ~M)~, francs. Enle 3.300 en usage dans les autres pays un milliard neuf provinces 'basques doivent se réunir en un, tout rope ont ~te mis en discussion. Cette attitude ne tre autres meubles, deux petites commodes, l'une Henri Chantavoine, en termes simples et fer' organique qui, sans préjudice pour l'unité t)a' peut do.nner iieu à aucun makntendu, ni tnqu)&- en bois de placage fileté, transition epooue!! mes, s'était fait l'interprète de !a protestation De Monte-Carlo cent mUHons .ppur le service des pensions un de = milliard quatre c.ent millions pour les mutilés tionate espagnole, poursuiv.ra des intérêts co:n- ter personne, car eue est en parfait accord avec Louis XV et Louis. XVI. et l'autre en 'bois de unanime contre le <! rejet de M. P-aut Tanla poétique de ïidcHtc aux traite:, et d'amour~Ia psautier. ~-M C<*<~ c'M<?'MT~<' ~MMWM', traduits nery, inexpticaMe et inattendu ~,disait-H. Mercredi dernier est entr~, pn rade de Mola grande guerre et im. ntitliard paur d'autres trmîM. s t est paix que l'Autriche a pratiquée, femme on reapeetivement S.ïso f'r. et 4.500 francs.. La VM p~<f~Ke n ~OKt'~ de ccs'SMrpn'~s, naco, le paquebot ~KC~fM of /if<Ac~, venant do conséquences <le Ja guerre. adressée )a la La municipatiié d'Onate fondation depuis de fa la République.. sait. Dakar. TénénSe, Casad'hier Quant a journée samedh ce Nous fut ta ù df MS J'COHp~; /H~M'A t'/e !tn!'P~- Li\prpool. Madère. M. Stcgt'rwald estime que FADemagne doit députation de Guipuzcoa, lui demandant qu'etiQ L'Autriche apprécie les directives de la pp~i~ Palmas Las et Tanser. Le lendemain. Manca, l'~otf~ ~f<:M(tt le calme presque con~plet. ~n C'c~t ct'a~ mofns. ncHt'MHrc 'Ment&t pouvoir se passer de main-d'œuvreétran- s'adresse au gouvernement pour obtenir te ré-' une tnatin. ce suferbe bâtiment tevait~l'aNCre pour que extérieure de rAUemasne comme un lien ne trouvons xuere à signaler que !e prix de S.soo s<!fi.<: ?r<?cc et Hn pr~~pn< ~c~pu~. gère dans l'agriculture. Si le chômage ne dimi- taMissemcnt du privilège des .pays basques. > qui unit particulièrementet étroitement les deux fratics obtenu 'par M* Lair Dabreuil pour on poursuivre sa croisière. Vendredi, c'ét&tt .<-<* le~ goujf''f<Mcc. de -la Compagnie Transatlantique, vepseautier. ~.M C<'ti< f~MOa/t' ~fMOK~f~, traduits nue pas sensiblement Jusqu'au i" avril, '<: Ja lévoie de,l'édition rarissime fi~er L'attitude de M. Curtms à'!a confcrencs~' .par C/. nant de New-York, et accomplissant aussi une vernement envisagerait de par et autres, hc comtravail musique croisière une durée semble eujou.rd'hui la Philibert désarmement justinëe: de en Méditerranée. ~e la du de réduction 1555. contenant gale de~ par Musée décoratifs, des Arts !07, rue avec !e puissances ua concordat Samt-Siège exemplaire reliure Et pendant visibles des pour. de Fer, dans lajnbc !es efîorts rnititaires de Rivoii, du 4 février Pouf une que les grands bateaux prennent me dernier moyen pour .réduire !c nombre des 22 Exposition df an mars. ainsi régulièrement la route de-Monte-Carlo, fa!re~ avancer )a question du desarmement. Le Gascon. C. ?. gans-travai!. Le Conseil des ministres a décidé d'en- Unsuccès i'a allemande Décoration Française Contemporaine Unf lescoquet !e yachts eux aussi cherchent un abri sûr dans Inte-de cette politique en contact avec lé Saint-.Siege, en vue industries Prochaines ventes rue de trer Paris luxe des de (bOutiquM petit fort aux eaux Meues. où rautfc matin, vivementl'Autriche, qui ne peut prospérer Le probtème des réparat!ons resse a, concordat. la concluston d'un Cette on pouvait voir à l'ancré: le ~o~At~, à de dé- que dans une Europe consacrant dans )a paix et objets modernes). -fo~ succession .Prottp.f, Lundi de s. déclarations des Lord Fairhaven: le ~/<M. n M. Fulier Feder; Le j9a'r~f ~«'c~' 'reproduit cision est conforme au point de vue des repré- et par la paix tous ses efforts à la reédincation Mme de de -bons ineuMes et sièses. vente A le /fiM!M<< à Sir Henry Livescy; '!e C''<M<M~r, qu'aurait faites, au sujet de la politique de ré- sentants des partis de ta majorité dans le d'une saine économie mondiaie. piano J/4 de queue par Gabriel Gaveau. sièges e:; à M. Macom-bec le ya.yc'ncra, a M. Antpny Pour l'AUema~e. 'comme pour }'Autriche, a recouverts de tapisserie d'Aubusson. tableaux. paration, le chanceUer Bruning, au cours d'une gouvernement. /epon. Z.M ~UR A~. L. B)aring,he!m, Drexel. et le -'4"K o~ ~M~!< a M. Heath. conctu le chance)ier. Ja crise économique mon- tustrcs, t)ron~es, service en ChristoHe. tapis, ten' récente assemblée de la Fédération allemandetdu jnembre de l'htstitut et professeurà ~a Sord;a!e représente un fardeau particuHérement turcs. Af' Hi'fft BaM~fM. Un grand dîner o. été oKert, cette semainet commerce de gros et transocéanique. M. Bru.'{ouvernements deux biologie les t)onne, un maîtres végétale, sensiMe. et des de )a ~S'G~f d'objets pqr<:ela! d'art anciens, 6, vente par S. 'M. le roi de Suéde, en t'honneurde sont ob)ining aurait dit notamment La révolution consacrer a:és de toutes leurs forces disponi'Mes nés et faïences, bottes et miniatures anciennes, a donné à l'Association française des Amis de LL. MM. le roi et la reine de Danemark. Je ~uis convaincu que ce n'est que depuis Les troupes du gouvernement ont occupé a cette reconstitution de !'e<:onomie mondiaie. manuscrit,ar~entene ancienne et moderne.'bron- l'Orient, au Muaee Cuimet, une conférence Avaient été conviés: S. A. R. le prince Wi!Batemat), a esquissé,a Genève, un p)an de zes anciens, importante paire de vases époque rampUe de sens et*de poésie sur tes fleurs du helm, lady Grâce Newhorouxh. lady 'une année que nous nous acqaittons des paie- Piura. Les recettes qui/battent en retraite L'Autriche BItteneourt, réédifieation'régionale prequi représente une Louis XVI, sieREs et beaux meubles anciens, lady Cecil DouKias. M. et Mme de ments des réparations par nos propres moyens, sont poursuivis. mière étajpe dans la voie de 'l'assainissennentde tapis d'Orient, tapisserie. -M' ~M~rc .E~fox~ Japon. M. BJarirLghem a vécu au Japon dans le comte Ehrensward. Mme~i.~o Hansen, Mr. aupars.vaat .!es paiements n'ont e.u lieu qu'en Seize cents hommes partent dans te sud l'Europe. Il va. de soi rintimité des jardiniers japonais qui, depuis et Mrs. Vanderbilt-Barton. Capt. et Mme Phil'étranger la de Po~ crédits et des provenant que !a~ visite de l'homme et M. raison, où ta situation est Arequipa, d'Etat allemand sera consacrée éKaietnent des Salle ir, vente d'objets d'art d'Extrême* mille ans .peut-être, étudient la fteur dans sa lippi. le ehamibellan d'At'bera'. le chambeHa; conséquence en a été que l'~n a adnns géné~ pour occuper vie comme dans sa structure et )a font <:vo- Kei)ler et Mlle Schested. conversations sur ta situation économique. Orient. JM" I.<nr D<r~<~ et -M. for~r. falement que Ses paiements des réparationa sfationnairc.

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Le budget à la Chambre

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La taxe d'apprentissage et renseignement privé

DE LA REVUE PRESSE 8

le 9 avril, le 9 mars, le 9 février, !e 9 janvier, etc.lepuis les jeunes gens nés le mai, le 8 avril, 8 mars, etc. 7 mai, 7 avrH, Les crédits~de t'interieur sont woteS équité -les dommages provoqués par les inmars, etc. 6 mai, 6 avril,6 mars, 6 février, etc., cendies de cantonnement. Le Comité central interprofessionnel de l'ap- en remontant dans chaque mois, jusqu'à satisLe groupe reconnaît Les dépenses miHiaifes négociations navales Les 'S'MntC<lM28~'ft~' complète des besoins. faction prentissage adresse la lettre suivante au sous,Ji i. Qu'il est absolument nécessaire, que !e M. Alfred Oulman (Le Petit Bleu) s'étonna général de division Pa- M. Ga'bnel Cudenet (La. République) réMutations. de renseignement délai passé- lequel les sinistrés n'auront p!us secrétaire d'Etat technique: JM~SI'DENCE DE M. BODYSSOU, VICE-PRÉSIDENT posait sume problème que tant de gens paraissent croire qu'en supque en ces termes le supérieur de la guerre, est gézy, du conseil le droit de prétendre remboursement grandes toau 'Monsieur le ministre, II a. fallu deux séances, dont commandement de l'artillerie de la négociation entre Londres, Paris et Rome: primant l'armée on supprimerait la guerre indemnités de dommages de nommé au dernière s'est, terminée à minuit, pour .finir tal de leurs Nous-'avons appris que la commission des la région de Paris. L'Italie tenait à nne préca'ution et. la Grandechaque consultation électorale on voit grosguerre remployées. soit reporté à la fin de Suantes de Chambre, le budget de l'Intérieur. ta adopte des députes av.ait sir le continrent des suffrages réunis pa'r ics; 1932; Le général de brigade Picot, président de Bretagne à une précision, Londres ne saurait. un'.amendement Nous avons connu des temps heureux où mars 2. Qu'il y a-lieu que le reliquat des indem- termes duquel présente par.M./Spin.asse.aux sauvegarde .partisans-dû clause de faire jouer Ja effet, d'études pratiques de tir de en « Pas-unsou, pas un homme pc!!i' r compteraient seules désormais la commission défense faits la te budget était vote en une séance;à peine nités accordées avec destination spéciale des inscrite de Londres nationale 11 n'est pas jusqu'au sulpacte sur au que ». les exonérations à la taxe d'apprentissage l'artillerie et directeur du, cours pratique de iconsacrait-on dix minutes à un scrutin sur pour certainsimmeublesappartenant aux pour soit lui-même contamine. et non sur des'Imprécisions. Or. tes faits, en frage restreint qui ne élections les dépenses énumérées par l'article 25 de la tir d'artillerie, est nommé au commandement matière <: Voyez s'établissent d'armements, navals, les récentes les fonds .secrets. Il y avait cependant des communes, lorsque ces immeubles ont été loi sénatoriales du par du i3 juillet 1025, à condition qu'efles ne den'attil)erietlela;20°;région, Nancy. reconstitués, tenant de l'impôr-' compte diminution Pas-de-Calais stabilisation en la la Creuse. orateurs, mais ils étaient discrets et savaient tance de ia C'est la et de ou brigade Maroscaux, com- la, progression, la s'appliquent pas à des ceuvresouàdesecoIA qui 'général Le de population actuelle,'puisse être péril avenir des peut-être très prochain. tonnages. pressait. pour un. Aujour- utilisé d'après les décisions prises feraient double emploi avec des établissements mandant l'artillerie de la 12' division, est M. Briand, fidèle à ae taire quand le temps les q'Ui! lui D'une a opinion méthode publique ainsi par séduite une publies de même nature d'hui, tout est éloquence, c'est-à-dire fumée. conseils municipaux. par des d'études nommé, commission président .de la censée chimères, réussi, efforcé la obtenir s'est de comprendre les mesures nc-eescomment Noua devons signaler l'émotion que -provoque Nous entendons pour la centième fois les Après un exposé du président, celui-ci a à saires chercher imde'sécurité directeur pratiques de tir de l'artillerie de contradicteurs 'de comportent les c!'c et avant que ses doléances des communes que l'Etat accable reçu mandat d'insister auprès du ministre du parmi tous les adhérents de nos organisations du cours pratique de tir d'artillerie a Châtances ? la sienne.. poser 'une semblable proposition. de charges. Et cela est très vrai.'Mais, après budget pour que la totalité des crédits eor- professionnelles Il serait temps, .et plus que temps l'écMn.tCe 11 ne s'agit pas d'aliéner définitivement notre Lors du .vote lons-sur-Marnc. de la loi été,, de il avait .1925 aux travaux dé déblaiement exé- en en'et/bien spécifié ces discours, les communes auront-elles à resp.ondant de de redresserles erreurs 19.~ est proche Le, colonel d'artillerie breveté BIonneau, liberté. il s'agit de rendre possible le fonctionles exonérations précutés directement que les.sinistrés, qui ne discute par payer un centime de moins? Q'on accords de Londres. Ce n'est pas funestes répandues-dans le pays, de réveiller le' !cur ont pas,encore été remboursés, figure' vues devaient, avoir pour objet de permettre à commandant le 361° régiment d'artillerie, est nementledesdésarmement matériel dont nous ri- bon sens national qui n'est qu'endormi, si nous l'initiative privée de continuer à créer des nommé et,qu'on vote les projet utiles, s'if en est de dans le.plus,prochain, cahier'de crédits. encore l'artillerie de de commandement au vouions éviter une catastrophe pire que cette possibles. Jetais qu'en attendant, on ne revons. mais là est du moins le désarmement dont MM. de Lubersac et de La Grange ont cours professionnels ou des écoles ou à les la 12' division, à Chalons-sur-Marne. moral dans la mesure où l'entente diplomatique nous .ne pouvons avoir perdu le souvenir. tarde pas la discussion du budget. Du reste, demandé, ette groupe s'est raillié à leur pro- subventionner <:t de rétablir ainsi'l'égalité entre la.disposigénéral à de division Hellé, l'apaisement esprits. des la question reviendra soit à l'occasion de la position. que )e président soit autorisé à les chefs d'entreprises qui faisaient leur devoir tion du vice-président du conseil supérieur sert La crise agricole mondiale matière d'apprentissage en qui. Saint-Briec et ceux M. (Le au conJournal) fait h)i de finances soit à l'occasion d'un collec- insister auprès du gouvernement pour qu'un traire, cette re- L'Ere Nouvelle (éditorial) .relevant la ne s'imposaient pas les charges néces- de la guerre, est mis à la disposition du ma- marque soit déposé, décidant que les agricons' tif, nous assure M. Malvy, avant la session projet qu'il saires formation la de tatation céréales leur personnel. du général la défense des réchal inspecteur de comité culteurs pour qui ont reçu et remployé des avany a des conseils généraux Depuis lors, soit le directeur général de l'en- aérienne du territoire. L'accord à de Londres été, cinq n'a on cherchera un ces pour remise surproduction blé, de seulement, en état physique « chimique en et non mode de répartition des 300 millions qu'on de leur sol, dont en seignement technique, soit les sous-secrétaires général de brigade Corap, adjoint au somme, qu'une entente de puissances entre les- Europe mais dans le monde les dossiers sont en instance d'Etat Le ajoute qui s~ sont succédé à la tête de cette préfet maritime, dé- devant la commission supérieure des domquelles un conflit n'aurait jamais du se cona .décidé de mettre à la disposition desaider. S'il Toulon, véritablement de ainsi, la situation est si com- cevoir, puisqu'elles sont toutes bénéficiaires de en gouverneur partements et des communes pour les de guerre, en vertu de l'article pre- administration n'ont cessé de déclarer que leur mandant la subdivision mages degré de gravité, il ne faut pas se de Toulon, est mis la victoire. accuse ce était de tenir compte des. sacrifices conM. Piétri a le soin d'ajouter qu'il y a. deux mier de la loi du 2 mai 192~, soient traités désir dissimuler des vicepalliatifs, quelque opérants a de la disposition du général division, que sentis ipar les industriels et de voir se dévelopLes difficultés rencontrées pour la réaHsation qu'ils puissent thèses: celle du secours ou de l'aumône et sur un pied d'égalité avec tes agriculteurs. per paraître~ a première les efforts privés en vue de la création de président du conseil supérieur de la guerre, d'une telle solidarité ne laissent pas d'être vue, dans' celle de l'intérêt général, qui consiste à amor- dont lesdossiers sont passés en révision, qui nouvelles situation déterminée localisée et une ne suiïi-' inspecteur général de l'armée. oeuvres d'enseignement technique. préoccupantes quand on considère qu'il va fal- ront pas a supprimer la reçu et employé des acomptes pour reont reforme générale. profonde Le gouvernement du L'amendement de M. Spinasse vient à l'eTicer une cause Le généra) de brigade Rochard, comman- loir maintenant aborder une tache autrement ma). On atténuera mise état physique et en chimique de leur l'application de s'est prononcé pour celle-ci. M. Piétri, répon- sol. ces recontre de toutes ces déclarations. I) tend à cons- dant la I* brigade de chars de combat, est difficile, celle d'un règlement entre les vain- mèd ;es provisoires par manifestations des acciden-. au profit dant à M. Queuille, a traité avec clarté et détituer l'enseignement de public M. Lugo! un mo- mis à la disposition du général de division queurs et' les détracteurs du statut actuel. Or, telles, mais le malaise reparaîtra ailleurs, sous fait connaître au groupe les nopole qui n'est prévu la loi de tails la question de !a conversion des em- modtHcationsa que la commission pas lo.ig Naulin, membre du conseil supérieur de par sénatoriale et qui est cette bataille, elle ne va pas se livrer dans une' autre forme. Il n'est .évidemment pas né-. contradiction les avec toutes prunts commerciaux. en assua deux aspects du des régions libérées a décidé d'apporter à rances cinq ans; c'est tout de suite qu'il va faJtoir gligeable de réconforter l'économie chancelantee données. Il aurait pour conséquence la proposition intéressant certaines catégoproblème pour les emprunts communaux à ce que l'arrangement spécial qui vient Le généra) de brigade AIléhaut, comman- veiner moment et à l'endroit où elle manifeste sa d'imposer aux industriels qui soutiennent des au intérêts respect fiscal. Le Parlement a exonéré d'im- ries .de sinistrés étrangers. Le groupe'ac- écoles d'intervenir réellement Jes serve comet, en tout état de cause, il faut Men faiblesse '.tne double charge, puisque, privées mal- dant l'infanterie de la 23' division, est nomme muns. Est-ce bien le cas ? ces pôts les emprunts faits par les communes cepte gré les sacrifices déjà consentis, ils devraient adjoint au préfet maritime gouverneur de commencer par le plus pressé mais il serait vain' Enfin. le président Hayez M. Lugol et La Volonté (éditorial) blâme la commis- d'imaginer que cet empirisme résoudra tous les par trois textes visant tous les cas possibles. ont cte chargés de mettre rapport encore acquitter la taxe d'apprentissage. Toulon, commandant )a subdivision de Touse en avec L'aspect financier. Les deux établissements M. Lebert, rapporteur à Ce serait condamner l'enseignement privé sion des affaires étrangères d'avoir pousse problèmes. du budget des ré- disparaittc; tel lon. M. Priand n'a pas cette prêteurs sont le Crédit Foncier et la Caisse gions libérées au Sénat, pour examiner est d'ailleurs bien le but q'.ti est }a curiosité jusqu'à demander <: d'urgence des avec des dépôts et .consignations. Ces établisse- lui ce projet de budget, tel .qu'il sort dcs.dé- poursuivi par l'auteur de l'amendement. explications à M. Aristide Briand 2' Les socialistes et M. Herriot Or, vous ne sauriez ignorer que grâce aux ments ont-ils le devoir moral de faire une nberations de la commission des finances du .Déjà la Chambre a réussi à s.e substituer M. Paul Faure (Le Populaire) riposte à Ia~ exonérations accordées aux industriels, les insristourne aux.communes du bénéfice qu'ils henat. titutions d'enseignement technique privé se sont au Judiciaire. Elle imagine maintenant de se mercuriale adressée ces jours-çi par M. Herfont à Ta suite d'une conversion ? Question très largement développées. De nombreux inM. Lucien Saint vient à Paris. Partant substituer à l'Exécutif: Jamais on n'a vu une riot au parti socialiste délicate, surtout pour le second de ces éta- Un appet de M.Tafdieu aux producteursde blé dustriels ont créé à l'intérieur de leurs entre- pour Paris, où il doit assister a 'la discussion, Assemblée aussi peu consciente d'elle-même Nous commençons à comprendre ce que cela blissements, dont les prêts sont faits sur les prises des cours professionnels; dans d'autres par le Parlement, du budget marocain, le rési- envier les lauriers redoutables de la Convensignifie déjà maire de Lyon, par la grâce de9~ fonds dont il a, la garde. On négocie avec cas, ce sont les syndicats qui ont pris l'initiative dent général, 'M, Lucien Saint, a quitté Rabat tion révolutionnaire. réactionnaires, des d'enseignement d'organiser techniil va s'efforcer de faire mordre 'Faut-Il rappeler à honorables qu'il ne M. André Tardieu, ministre de l'agriculture, oeuvres nos hier, en automobile. Dans l'après-midi, il s'est convient point de confondre poussière Enfin, bien des subventions imla souvent, la diplomatie puque. aux candidats socialistes en suppuLes 'communistes se font les avocats des a communiqué à la presse la note suivante: ~<M'<?emt)arqué..à Casablanca, le paquebot de.'donner'a ont .permis des~ssbç~ou même sur blique avec la diplomatie SMr la place-publique, tant en sollicitant l'appui des partis da tnal-lotis qui, disent MM. Cathala, le sous-secré- Le ministre de l'agriculture fait 'appel à"']a portantes <)/ta~jLy<M<<~ qui heures appareillé a 16 tion! ou 'à des 'personnalités les moyens d'étenpour Que l'on a.it interdit aux gouvernements de a taire d'Etat, et Fiancette, auront .<Jes_ satisfac- clairvoyance des producteurs de blé pour assu- dre leur action d'enseignement. Même lorsque ~l'arseille. Est-ce cela, le combat annonce ?Nous attenJier, Je pays par 'des traités secrets, rien -Je tions avec le plan d'aménagement, de ;la. ré- rer,: jusqu'à la fin'de la campagne, ia stabilité des cours ~municipaux. existent. les cours prodons~ avec'curiosité, mais sans inquiétude, !es Le général mieux et de plus indispensable. Mais que l'on .premiers La pacification du gion parisienne en instance devant le Sénat.' des prix à un niveau équitable et le ravitaiile- fessionnels privés présentent un intérêt non résultats de cette tactique. en vienneà vouloir enlever à ces gouvernants Ciraud, confins commandant le territoire 'des émulation seulement créant heureuse,. Que Les fonds: secre.ts.ont été votés par 380 ment du pays le parti radical s'amuse à ce petit jeu: de en possibilité préparer une la de discuter et les à-coup par la balance des besans opération algéro-marocains, dirigé, a' hier, mieux, mais cela il mettant encore en comme une a voix contre 156, ce qui est un beau succès soins et des disponibilités et par une bonne rétraités avec la discrétion voulue, c'est commetverra ce qu'il conservera de ses troupes, du l'enseignement villes, dans grandes à lieu les la visant de à l'occupation Taouz, point distant de moins parmi jcs éléments démocratiques qui l'ont pour M. Laval, car ce sont de ces crédits partition de celles-ci entre les diverses régions portée tre la pire des. confusions. soit au point de vue de 7,o;kilométres au sud-est d'Erfoud.' Intéressés, des suivi suivi justl,u'ici jusqu'ici 1 la proximité qu'on n'accorde qu'à un gouvernement en de France. Pertinax (L'Echo de Pans), rappelant que de leur résidence, soit au point de L'opération s'est effectuée sans combat, et u 'Quant a nous, notre ligne de conduite demeuqui l'on. a conf.i.ance. Socialistes et commuengageant la décision l'avenir la de marine Il entend,, en effet, que la loi. du I" décem- vue des connaissances particulières nécessaires 8 heures les objectifs étaient réalisés « même. La folie des communistes'ne nous par des française est attendue du gouvernement de rera la fait nistes combattirent le chapitre; mais cette bre 1929 soit pleinement exécutée avec profession. à leur changer de direction. M. Edouard ` a pas toutes éléments sahariens, 'des légionnaires et des sec- Paris ajoute manifestation rituelle n'émut pas le président les garanties qu'elle à privées bénéfice Refuser le des Herriot œuvres ne s-, nous émeut pas davantage que .je' apporte au producteur fran- d'exonérations serait donc porter tions d'engins motorisés. atteinte du Conseil, qui en profita pour appeler tous çais. Une bonne répartition une citoyen Cachin. Mais nous aurcns évidemment occupation piuisse Quel que est une des condi- sérieuse à la diffusion, que nous souhaitons Cette être Je désir de MM. Hen- deux en Extrême-Sud était .réclales .partis gouvernementaux à se grouper tions du succès de cette politique. lui à dire. mots et Alexander de rapporter à Londres, comme vous, Monsieur le ministre, de l'ensei- mée .par les habitants des skours environnants, derson autour de son ministère. M. Léon Blum fit lundi, Depuis plusieurs mois, l'effort disciplinédes gnement dès Manifestes d'intellectuels technique dans notre pays. un règlement complet du problème qui étaient mis en coupe réglée par les Hait de l'ironie. Le parti socialiste avait voté les producteurs naval franco-ita.Ii&n, intolérable il serait Ce sont là les motifs pour lesquels nous ne Himous et tous 'les rôdeurs du Tanlalet. que pour un échelonnement régulier des De Figaro (éditorial) à propos de la réfonds secrets demandés par M. Herriot, par- offres, soutenu décision fût prise saurions à l'amendement M. Spiquelques souscrire de heures, cette des en protectrices efmesures ZIz, et Taouz gauche du par situé la rive est sur dans des entretiens hâtifs, en pleine bouscu- ponse des 188 intellectuels à un manifeste ce qu'il lui prêtait son concours. Il ne les ficaces, a permis une élévation lente et progres- uasse. six mois était préparée depuis occupation aur.ait pas accordés au ministère Steeg. (C'est sive du prix du blé, lade d'experts, par les seuls MM. Briand et dont Notre Temps a pris l'initiative Veuillez agréer. Monsieur le ministre, l'assu- son peu plus prononcée au été n'a général Giraud. réaction Aucune le un Ch. Dumont. Le Conseil des ministres doit facile à dire, le ministère Steeg étant mort), de notre haute considération. par rance Ce ne sont certes pas les Allemands qui me-' de dernières semaines, élévation juséprouvée. ces être consulté, le Conseil des ministres qui filent Le ~e.n~M/: QuANTiN. et il se représentait, avec un sourire sardo- cours J. le blâme pour cette réponse conforme à tifiée par la charge qu'ont imposée à l'agriculdes ignore du février, tout texte? nique, le ministère Steeg s'écroulant sous 24 dans l'Annam. repression des désordres La y com- Heur politique montre la généralité, la les déceptions et le coût élevé de la derpris, déclarent certains, M. Je président du continuité de 'leurelle coalition de la droite et des socialistes. Mais ture gouverneur Robin, désir intérim général d'anéantissement de ]a. Le par Conseil. nière récolte. Pour collègues présence mettre ses en défaite. Ce qui stupéfait, il n'a' pas attendu cela~ pour sombrer. Les~i irrité, c'est l'initiaarrivé à Hué dans la soirée du 24, a présidé le des faits accomplis. M. Briand, malheureusea tive d'écrivains, d'artistes, de radicaux-socialistes étaient embarrassés. Si- 'Cette politique de sauvegarde a conservé nosavants de chez lendemain la séance du Conseil des ministres de ment, n'a pas l'excuse du succès. qui marché rèa 'l'abri général du marasme tre prenant la responsabilité colonel Etat-major général. vaine et dangeLe d'infan- l'Annam, au cours de laquelle le ministre de nous gne des temps. On est moins antigouvernede manifeste. le marché blé. mondial du Le chauvinisme, 'Jes exterie coloniale Pélud; du dépôt de transition des l'intérieur M'Ghuubai a exprimé les sentiments M. Léon B!um et tes douzièmes provisoires reuse ce mental dans ce parti. On n'ose plus du moins gne sur cès du nationalisme, c'est en France, qu'à quatre Elle doit être poursuivie le entre imposer des disciplines. M. Queuille annonça gouverne- troupes indigènes coloniales, est nommé gênera! de 'gratitude du gouvernement annamite pour M. Léon Blum (Le Populaire) mets s'expliquant des élections allemandes, ils frappaient Ja. asriculteurs. de brigade et est admis à la retraite. qu'on permettait aux esclaves de la rue de ment et les particulièrement l'efficacité des mesures prises en vue d'achever « sur divers « bobards des 'signataires français. Les bienfaits d'acconsidère comme vue Cela est nécessaire dans la Valois de voter comme ils voudraient. Et Le colonel du génie Sergent est nomme gê- ]e 'rétablissement de l'ordre dans les provinces l'un d'eux la terreur des douzièmes provisoicords librement consentis, ceux-ci les vantaient plus d'un a profité de cette liberté. Lepré- période des travaux de printemps qui comporte nera! de brigade'est passe au cadre de .réserve. de Vinh et de Hatinh et de maîtriser l'agitation res. Même, à certains égards, ils lui parais- les premiers. Quel parfait désaveu, quel abandon cNert des derniers profits de la victoire 1 communiste dans celle de Quang-N'gai. texte, c'est que les fonds secrets « ne sont toujours des difficultés. Ecole polytechnique.La deuxième séance sent comporter <s plutôt un avantage X'. obtenir ce résultat, le Pour ministre compte, Regrettable échange Je lettres où les Allepas une question purement politique On Le régent a offert, au palais royal, en son hon- M. Bium ajoute aura jeudi du d'admission lieu le ç, concours mands n'avaient rien à perdre et nous rien à avait toujours dit le contraire. comme de coutume, sur l'esprit de discipline juin, de neur, un dîner auquel ont assisté le général Bità 17 heures. 14 professionnelle d'assuEst-il des producteurs vue vrai que, tant que !c vote global du gagner. Inutile correspondance. M, Henry Haye trouve trop nombreuse la lotte. le résident supérieur Le Pol, les hauts en Vacances de sous-officiers. Le ToK~oi digh~aires <~e la cour de nombreuses 'budget n'est pas 'interv.c.'nu. les administrations police parisienne et propose le renvoi du rer l'approvisionnement régulier du marché tur o//t'ft~ personnacorps de des troupe publiques, ignorant-lé.chiHre.définitifdes crépublie la liste ou L&proïtrlétêcommereîate ~tt~rancai's.es et, ~nn.a.out~s, -chapitre. On lui répond que IsL'cireula.tion a toute l'étendue du territoire par un ~échelonne'e~aste"des""va<tatices"ttc"S~~MncK')~ 'dits'qMi leur seront -aMouM. drffèrcnt'~la. t ment-judicieux d'és'o'frrë's. il Oon"' Pans'est de plus'eirplus active, qu'elle e dessert, Je régent.témoigna en. termes cha- clusion des contrats.. la. signature des. être prises doivent dispositions mar- M. Ti-utie de Varreux. président pour Désignation Toutes des jeunes "soldats de la mé- leureux de la gratitude du peuple paisible et la- chés. la mise sera- davantage quand s'ouvrira l'Exposition train ?. des J'ignore de la travaux cn coloniale, et que la sécurité des Parisiens utiliser au maximum nos propres disponibilités tropole à incorporer en Afrique du Nord. borieux de l'Annam .pour la protection du 'gou- si les administrations procèdent ainsi, mais je Chambre syndicale des proprjétés immobilièvaut bien quelques sacrifices. M. Henry Haye en Mes Indigènes et pour éviter une restriction H vient 'd'être .procédé, au ministère de laguer.re, vernement général contre les fauteurs de désor- crois pouvoir affirmer que rien absolument ne res de la Ville de Paris, a été reçu par M. Léon est battu par ces arguments, mais se refusant ~excessive des offres. les y -oblige. Elles savent qu'il y aura un bud- Bérard..garde des sceaux. au tirage au sort de ta date initiale déterminant dre. autrement, L'entrevue avait pour but d'attirer l'attention Afrique Nord, S'il était risquerait de dil'oi'drCLd'.cnvoi, du jeunes des Robin, à reconnaître sa défaite, il lutte héroïqueLe gouverneur général par intérim en on en en get un jour ou. l'autre. Elles savent que ce du ministre: sur la proposition de toi sur la. contiendra des crédits au moins égaux ment jusqu'au scrutin, et le chapitre est minuer l'efficacité des mesures de .protection en soldats appartenant à la première fraction de la le remerciant, évoqua l'œuvrc du gouverneur budget propriété précédents, commerciale votée par la Chambre des lequel les douzièmes rythme plus rapide classe de sont sur maintenu par 422 voix contre 163. Notons en- vigueur ou de provoquer un général Pasquier, qui déploie en ce mo'men: aux députés, d'ailleurs calculés mathématiquement. et prochainement soumise à 'la discusElles La date tirée a.; été toute son activité en France afin de faire abou- s'ont donc parfaitement libres de core des observations de M. Pernot sur la d'utilisation des Nés étrangers, qui n'est pas soin Sénat du contracter, de 'sur 'la loi .sur Ja révision des Ce tirage concerne tous les jeunes 'gens à in- tir les projets tendant à de nouveaux,progrès travailler, de dépenser, situation des commissaires de police muni- encore justifié. 'baux, votée le dans la limite par Sénat, et soumise à la disce cussion Le ministre de l'agriculture fait con{iance''de corporer, en avril prochain, sauf les sursitaires moraux et matériels des populations indochi- budget précédent, et, si elle hésitent deleur cipale, de M. Amidieu Duclos sur. le rapade la Chambre, questions spéciaJement sur triement des ouvriers étrangers, dés iamen- façon toute spéciale aux associations agricoles appartenant à la première fraction de la classe noises. int'én?ssantes droits à cet égard, un' article de 'la loi de doupour la Ville de Paris, qui mainleur poursuivre deuxième fraction Inciter de .la de zièmes producteurs à à la classe les tiennent entre deux catégories de citoyens une tations de M. Doriot, qui s'attriste de l'in- pour 1027, peut aisément les rassurer. terdictionfaite au parti communiste alsa- politique disciplinée de ventes régulières qui a de 1927. à la première fraction de la classe de atmosphère hostile, peu 'favorable au dénoueMARCHANDE MARINE » « Le spectre du déficit de première la la crise l'efficacité fraction de classe de actuelle. des de Jp27, la ment cien de tenir un congrès à.Strasbourg. Mais permis d'assurer jusqu'à présent Trutié M. d~ Varreux a, en outre, rappela la .deuxième fraction de la classe de 1928, M. Lavai ne cherche pas à le consoler et lui réglementations protectrices nécessaires. M. C.-J. Gignoux (Journée Industrielle) L'Association des grands ports français 'la des garde fraction classe de après avoir entendu les exposés de MM. René s'inquiète du flot incessant de revendications sceaux, le projet de loi. déposé sur de 1928, à la troisième déclara tout net «que le gouvernement aple bureau la Chambre des députés par M. de 1928, à la quatrièem fraction. de..la classe de Co~y et Gratien Caedace, députés, au sujet qui vient assaillir le budget prouve sans réserve h. décision, du préfet Deligne. qui devait êtn: discuté il y a déjà deux L'aménagement 1928 et à la première fraction de la classe de du projet de loi numéro 3.831. complétant le du Bas-Rhin~ qui et an's. Cette année, il lui faut imposer, 'les chiffres a pour .but.de créer des prêts à bon des grandes agglomératîons 1929, à la deuxième fraction de la classe de régtme actuel du Crédit maritime, émet le marché pour permettre l'entretien des immeuété mis sur la table avec toute la clarté ayant projet il s'agit soit Que le dont de fraction de ta classe la .troisième, i. vœu et.a bles vétustés. 1929 sans retard par le Parlement; 2. Que désirable, un barrage .sans fissures. Faute de Ceux-ci continuent à suivre .le sort qui adopté H a invoqué les avantages qu'il y aurait pour 1929. projet complémentaire relatif à la cons- quoi l'oeuvre financière de ces dernières années le Une sous-commission, instituée au se!n du co- leur a été attribué. truction les constructeurs et la population à étendne le navale soitdéposé par le gouverne- pourrait 'parfaitement' s'écrouler. Au déficit principe Le Groupe interparlementairedes dépar- mité consultatif permament de l'administration Par ailleurs, ta date du « dixs- restera, celle ment de ces prêts aux constructions entresuccèid'e l'emprunt à J'emprunt trop proL'assodélai. dans bref le voté plus s'est et communale, départementale générale, et la présidévastés s'est réuni, tements sous quel. qu'en soit, le ciation a examiné, d'autre part, la proposi- longé 'succède l'effondrement du crédit pu- prises par_rinitiative privée. reunie, au ministère de l'intérieur, sous la pré- qui réglera l'Incorporation, dence de M.Hayez, sénateur. gens de la première fraction tion de loi présentée par M. Appel), député, blic, et à l'effondrement du crédit, l'Inflation a Après un exposé du président, le groupe sidence de M. Louis Dausset, président du co- moment, desdejeunes 1930, .bénéficiant d'un sursis d'in- ladite temps quelque gouvernement L'inauguraLe monument Dal P;a~. de la classe en vue de modifier les droits de quai. Après moins qu'entreréclame a décidé de s'efforcer de faire inscrire cent mité. de massifs décidé discussion, elle étant donné la et assistaient courageux tion, ne nouveaux que. à Casablanca, du monument élevé sur l'inia Au cours de la séance, à .hqmelle millions de prestations en nature au titre des application mise impôts. Jl probablement inutile l'instruction d'insister prochaine de est le? jeunes en de Fels, effectué sur sénateur, et Linyer, tirage MM. tiative destinés résulte :du de la Ligue maritime et coloniale, à Dal crédits budgétaires de 1931, Il si- notamment que aux l'administration le élaborée douanes n'est présentement des disposition par l'améce que pays projet loi en en de nistrés de guerre. M. d'e Lubersac a insisté député, rapporteurs du sur président de la Compagnie générale transgens désignés les premiers pour l'Afrique d)t de rendre plus libérales les conditions de les accueillir, ni au point de vue matériel, Piaz, pour que le texte rétablissant ce crédit ne nasement et.l'organisation sénéraie de .ladurcitiom Nord, seront ceux qui sont nés le 10 mai, quel vue d'application de la loi du 28 mars 1028 sur ni appoint de vue moral. Nous n'en sommes' atlantique, créateur du tourisme nord-africain, l'étude pro- que soit l'année, puis .le 10 avril, puis le 10 mars le permette point l'entrée du sucre ou de mar- parisienne, a été commen.cé: droit de quai, il y avait lieu actuellement pas In, mais voilà ou. nous allons avec certitude aura lieu le samedi 21 mars. M. Gaston Gérard, chandises, en bloc pouvant nuire, soit.aux blème d<e l'aménagement régional des grande et ainsi-de suite jusqu'au ~O.juin.. de .surseoir à tout projet de modification de ~i les conseils de prudence ne sont pas écou- sous~-secrétah'e d'Etat aux travaux publics et au agriculteurs betteraviers, soita certaines,dcL a'KKiomérations françaises (Marseille, Lyon, i .Seronhdésignes ensuite, }es jeunes gens nés !e tourisme,.présidera, cett&.cérémonie.. ~s. loi. LiUe-Roubaix-TourcoinK. etc.). nos industries nationales. M.

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DU JOURNAL DES DEBATS 2 mars 1931

et poursuivi en vain par les ténèbres, du fond des mers de l'Est. TeDe est sans doute, ou du moins on l'a cru, l'origine, eu une des origines, de la légende des. Argonautes. Peut-être aussi le souvenir s'y mêlait-Il de pirateries plus réelles. Quoi qu'il en soit, tous les héros grecs se trouvèrent assemblés par la fantaisie

des conteurs sur la nef qui parÏ~Càutier. ODEON: Mc~cc, trilogie de lait. Mais le personnage propre à cette Vignat. légende c'est Jason d'Iolcos. Jason a les, Ces très vieilles légendes, complexes et mêmes, traits que tous les autres, car la obscures, et comme formées dans la. nuit, ressemblance des héros entre <ux est saiont une redoutable puissance. Elles éveil- sissante Enfance persécutée, épreuve Imlent je ne sais quelle mémoire d'idées de- posée, fuite après un meurtre, travaux puis bien longtemps abolies, mais' dont accomplis avec l'aide d'une femme, infl-. une ombre survit dans une région de délité à cette femme qui en tire une tral'âme, lointaine, ténébreuse et sensible. gique vengeance. De Siefgned à Héraclès, Cet accord avec nous-même garde aux la légende est éternellement la même il la fables une jeunesse étemelle. L'histoire de faut conclure qu'elle est antérieure à est' Médée nous touche encore pour des rai- dispersion des peuples européens. Elle dans les forêts, entre la Baltique et les sons ignorées de nous-mêmes. C'est, au surplus, une des plus riches et Carpathes, et elle était toute formée à la des plus touffues, une vraie partition de fin des temps de la pierre polie. C'est la tous les thèmes où l'imagination de nos chanson de geste des Néolithiques. Tous Ces héros ont des traits qui rappremiers ai'eux s'est amusée à réfléchir le monde et à s'en épouvanter. Les croyan- pellent l'aventure quotidienne du Soleil. faible et franchit difficileces, les symboles et les contes s'y enchevê- Lui aussi naît ment les épreuves de ses premiers motrent inextricablement. aussi doit étouffer les serEn voyant le soleil disparaître, les pre- ments.desLuiténèbres. Le voilà jeune et brilmiers hommes furent plongés dans la ter- pents du ciel. Mais reur.' Cette tragédie quotidienne laissa lant, qui monte a l'escalade dans leur mém'oire, même quand ils n'y chaque minute tue la précédente. Midi est prirent plus garde, un souvenir d'épou- le meurtrier du matin. La lumière assasphévante qui se changea lui-même en toutes sine les ténèbres où elle est née.'Les sortes de fables. Un héros mourait sur un nomènes de la nature sont faits de parbûcher, comme Héraclès sur FŒta. Une ricides. Comme les héros, le dieu du jour tunique de pourpre consumait les chairs. est tantôt bienveillant et tantôt terrible. Il Le dieu ami des hommes, celui qui leur est le bienfaiteur des hommes. Il leur donne avec la lumière la connaissance et donne la lumière, l'or, le feu, le savoir. de ses flèches et la vie même, disparaissait dans les pro- Il perce les monstres fondeurs de la terre. Alors, une troupe il assainit les marais. Mais il brûle aussi. de héros partait à sa recherche. Ils reve- Il anéantit la verdure qu'il a fait naître, l'été, il est naient en le ramenant., brillant comme l'or et, sous sa forme de dieu de Comme lui leles meurtrier de ses enfants. héros grecs seront tour à tour les asK~fOjMCtMH Mtt~~ M.

presse les chefs achéens d'aller repren- entre eux pour qu'ils s'entretuent. Un dre la toison chez Aètes. Les chefs s'as- autre dragon garde la toison Médée le charme, Jason l'égorge, et le voilà maître semblèrent conduits par Jason. Jason était lui-même engagé dans cette de la toison. Aètes le poursuit sur la mer aventureuse expédition par son oncle Pé- cette fois encore Médée sauve ~on amant, lias qui désirait l'éloigner. L'oracle lui par quel horrible artifice Elle assassine Sur ce fond proprement myth!que, avait dit de se méfier d'un homme à une son propre frère Aspyrtos, en jette les quelles broderies L'expédition symboli- seule sandale, et, justement, Jason avait membres dans les flots et gagne le temps que de la nef Argo, les conteurs jpnt voulu paru à un sacrifice, ayant perdu une san- qu'Aètes emploie à rassembler ces débris. l'expliquer, et ils ont greffe Cn second dale dans un torrent. Ces enfants dange- Fuite tragique du jour devant les nuages mythe sûr le premier. Mais cette seconde reux, qu'on tente en vain d'éloigner, sont dilacérés du matin. Vous verrez encore histoire n'est elle-même qu'une autre mou- communs dans la légende tel Œdipe, qui sur les bords où la Méditerranée rejoint ture de l'éternelle histoire solaire. Ils ont devait tuer son père, et qui fut élevé sur le l'Orient, si vous montez, par une belle imagine que le roi Athamas avait eu de Cithéron tel Pâris, qui devait ruiner sa aurore sur le pont du navire, les tendres d'Asp~rtos flotter un moment sa femme Néphelé, le Nuage, deux en- ville et qui fut élevé sur l'Ida comme un membres dans les nuages du matin, tandis que le Phrixos et He!lé. La reine mourut jeune bouvier. fants, Athamas Jason et ses amis partent donc sur le soleil, en les dépassant, s'élance dans le s'étant remarié, les enfants et furent persécutés par leur marâtre. Vieux navire-fée. Ils atteignent la Colchide, et ciel pur. thème que nous rencontrons dans une c'est là qu'il rencontre Médée, la propre Revenu;: a lolcos, Jason et Médée comfoule d'histoires. Les'enfants malheureux fille du roi Aètes, laquelle s'éprend de lui. mencèrent une vie aventureuse dont s'échappent surun bélier à toison d'or qui Cette Médéë est une .étrange figure pe- légende était parfaitement formée la au s'élève dans le ciel. Comment ne pas re- tite-nlle du Soleil, elle est elle-même un temps d'Euripide. Elle comprenait trois connaître que ce bélier est le jour, et que personnage solaire. Comme sa tante Circé. épisodes. A Iolcos même, Médée persuada ces enfants sont des images du matin ? elle est magicienne. Toute cette race de filles de Pélias pour guérir leur père, Helle tomba dans la mer. Je ne sais ce femmes i&sue de l'astre est terriblement aux de le couper en morceaux qu'elles feraient qu'il fauL:entendre par là. Est-ce quelque dangereuse, à la fois savante et brûlante, bouillir dans un chaudron. Le vieillard s'abaissant à d'aurore qui, La capable donner vie la de la mesuet mort. vapeur de l'opération. Jason et Médée se re'que le soleil s'élève, descend sur les vertu du feu se mêle en elles aux proprié- mourut réfugièrent Corinthe. Là, Jason, infidèle eaux comme une écharpe flottante ? Est- tés de l'élément humide qui, dans les idées comme tousàles héros, épousa Glaukè, fille ce une image de la, pluie, précipitée du des anciens est l'élément vita!. Fluides du roi. Médée, par .vengeance, envoya à ciel comme une figure humaine et pareille comme l'eau, dévorantes comme !a flamrivale la robe qu'elle tenait elle-même à ces nymphes que, par les jours d'orage, me, à la fois perfides et implacables, par- sa du Soleil. C'était une robe brûlante, dont les Athéniens croyaient voir, brillantes et ricides comme tout ce qui touche au ciel Glaukè fut consumée. Médée, qui avait blanches, se jeter du haut de l'Acropole et au jour, tourmentées par Aphrodite achevé sa vengeance en tuant elle-même ruisselante ? comme tout ce qui donne naissance à la les deux enfants qu'elle avait eus de JaQuant à Phrixos, il aborda en Colchide vie, elles sont nées sous le plus tragique son, se réfugia à Athènes. C'est le troiavec le bélier qu'il sacrifia. Ne vous éton- de tous les signes infortunées, dont Phè- sième épisode. Elle y partagea le lit nez pas de cette ingratitude la loi du dre périra la dernière. d'Egée et devint ainsi la belle-mère de tard de mourir. cousine Ariane donc Voilà plus la toison Comme jour est sa Thésée. Elle intrigua contre ce prince et du de MéThésée à Labyrinthe, roi Colaidera sortir du suspendue dans le palais dut s'enfuir encore. chide,Aètes. Alors commence une nou- dée aide Jason à accomplir les épreuves De ces trois dernières aventures u Iolvelle histoire, la lutte pour l'or, que vous que lui Impose Aètes. Il conduit sous le retrouvez en tant de pays, et jusque dans joug les taureaux qui soufflent des flam- cos, à Gorinthe et à Athènes, Euripide les légendes que Richard Wagner a res- mes. Il ensemence le sIHon avec les dents avait fait trois tragédies, dont une seule sùscitées. Athamas, à qui appartenait le d'un dragon. Dés hommes naissent de ces subsiste, celle de Corinthe. M. Gautier bélier sur lequel les enfants avaient fui, semailles, mais il suffit d'une p'erre jetée Vignal a réuni le triple drame dans une sassins de leurs parents et de, leurs nls. Enfin il rappelle à la vie ce qu'il a détruit. II est Askiépios le guérisseur. II donne l'exemple à Héraclès et celui-ci à Thésée, d'aller sous la terre ramener la forme captive de la jeune année..

trilogie que l'Odéon nous a donnée vendredi. Tout eu respectant très scrunuleusement la légende, il en a modifié le sens, en se fondant sur une scholie antique au vers 10 de la Mco~c d'Euripide. Dans là légende admise par les anciens, les enfants de Médée auraient été égorgés à Corinthe par les Corinthiens eux-mêmes, en représailles du meurtre de Glaukè. Une épidémie aurait puni cette violence faite à des innocents. Jusqu'à la destruction de la ville, en 146, les enfants y auraient porté des vêtements noirs et auraient été coiffés les cheveux ras, en signe d'expiation. L< scholiaste prétend que les Corinthiens auraient donné à Euripide cinq talents pour les laver de cette imputation, et pour imputer Je meurtre à Médée. Nous devrions donc à la corruption l'admirable monologue qui est le point culminant de la tragédie

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Du crime inventé par Euripide, mémoire de Médée reste encore charge. M. Gautier VIgnaI, adoptant résolu-' 'ment la thèse de l'innocence, a. rendu aux Corinthiens la responsabilité du massacre .des deux enfants. Et, tant qu'il y était. Il a à peu près absous Médée de ses autres crimes les intrigues contre Thésée, calomnie la féroce mystification des filles de PéliaS, docilité aux perfide~ conseils de Jason. C'est Jason, ambitieux, infidèle et dur, qui est le coupable Mcdée, lavée de ses meurtres, est l'amoureuse trop docile, dévouée jusqu'au cri-me, désabusée et abandonnée. Ce n'est plus Médée, c'est Ariane. Sur ce thème, M. Gautier VIgnaI & écrit une œuvre longuement construite et quelquefois fort belle. Mlle Rouer a représenté Médée avec une puissance tragique et un sentiment douloureux. HENRY BiDOU.


DANS L'UNIVERSITÉ M. Jean Molinié, député de l'Aveyron, vient ~e déposer une proposition de résolution aux termes de laquelle <: !a Chambre invite Je gouvernement à procéder sans retard à une reforme des études dans les écoles de Saint-Cloud et de Sèvres et dans les écoles normales d'instituDams l'exposé

losophie)

des motifs, le député de Miliau

présente les observationssuivantes, qui précisent l'esprit de la réforme des études .souhaitée

par

lui < L'école publique gratuite et obligatoire ne peut plus être, sans danger retentissant su' l'économie nationale et internationale, opposée aux religions traditionnelles.` ? Nous voici parvenus, après guerre, à une époque de réalisme pratique. 'Le la'icisme est un mot français qui dénnit la juste distinction d:s personnes et des pouvoirs, il ne saurait s'identiaer autrement à une doctrine. D'où il résulte que, dans 3ës écoles de SaintCloud et de Sèvres (l'honorable député a sans doute voulu parler de Fontenay, eat' l'école de Sèvres n'a rien a voir mvec l'enseignement pri)[naire), dans les écoles normales d'instituteurs, il convient de ne plus organiser, directement ou indirectement, un mode d'études sur l'histoire si diversement interprétée dos religions. D'autre part, l'enseignement de la sociologie doit seulement s'étendre sur les constatations courantes acoptées de tous et s'abstenir de toute polémique. Le maître doit se préoccuper des moyens d'enseigner aux écoliers à lire, à écrire, à chiffrer, du mode d'étudier élémentairem'ent l'histoire, la géographie, les sciences mathématiques, physiques et naturelles et il doit chercher à orienter les enfants, d'accord avec les familles, VCM les diverses professions. Nous demandons donc que, dans l'enseigneïnent des écoles normales d'instituteurs, aucun bouleversement philosophique ne soit tenté auprès des élèves-maîtres et que Je respect le plus absoitu soit professé vis-à-vis des religions tradMonneMes du pays: catholicisme, religion ré-

iormée, israélisme. n La proposition de M. Jean Moliaié a été renvoyée à la commission de l'enseignement, qui ï'étudiera. balayage des écoles La commission de l'enseignement, du Palais-Bourbon a. adopté une proposition de loi déposée par M. Piquemal et stipulant que <! les frais de nettoyage et de balayage des .classes et des locaux des écoles primaires élémentaires sont à la charge des communes, quel que soit le chiffre de leur population Jusqu'ici, en effet, dans les communes, ou sections de communes dont la population agglomérée est de moins de 500 habitants, le balayage est assuré par les élèves eux-mëtncs. Le rapporteur de la commission de renseignement déplore que, dans ces conditions, -i: les enfants de France ne sont pas soumis aux mêmes obligations, et c'est une faute contre l'égalité républicaine que de distinguer entre les enfants des tout petits villages, de? hameaux, et des écoliers des agglomérations'dépassant 500 habitants Le rapporteur ajoute que l'adoption de la proposition Piquemal permettra de vulgariser dans les villages les moyens électro-mécaniques 2, de balayage. Concours de l'enseignement secondaire Lees épreuves écrites des concours de l'eneeigncment secondaire en ia3i commenceront &ux dates suivantes: Certificat d'aptitude à l'enseignement dans les .classes primaires des lycées et collèges de jeunes filles, le lundi il mai (inscriptions du 2 mars au 16 avril). Certificat d'aptitude à l'enseignement secondaire des jeunes filles (première partie) et adtnission à Sevrés, le jeudi 18 juin (inscriptions du 2 mars au 16 avril). 4 Agrégations de l'enseignement secondaire des jeunes filles et certificat d'aptitude à l'enseignement des langues vivantes, le jeudi 18 juin(inseriptions du a mars au 3o avril). Agrégations de philosophie, des lettres, de grammaire, d'histoire et de géographie, de mathématique, de 'physique, de sciences naturelles, !e jeudi 18 juin (inscriptions du 2 mars au 3o

Le

.)t

Inspection académique La date des prochains examens pour !e certificat d'aptitude aux fonctions de secrétaire et pour le certificat d'aptitude aux fonctions de commis d'inspection académique est îixée au vendredi 8 mai 1031. concours général

Le

t~es dates des compositions du

concours gêné' des lycées collèges fixées fal il ainsi qu'il et sont puit

Philosophie (classe de phiphysique ~(classe de mathémat~ues).

Les épreuves écrites du concours, de 1931 pour l'admission a l'Ecole normale supé-

!de

première); mathématiques (classe de mathé-

tnatiques).

Vendredi 15 mai. première). Lundi 18 mai. celasse de première). Mercredi 20 mai. première). Vendredi 22 mai.

Version latine (classe de Histoire ou géographie Mathématiques (classe de

Histoire ou

géographie (classes de philosophie et mathématiques);thème Satin (classe de première). Samedi 3o mai. Dessin (classes de pretnlère, philosophie et mathématiques).

~CIimON

DU JOURNAL DES DÉBATS

du 2 mars 1931

(42)

LA CH&MSON DU REVE ROMAN

par Henry JAGOI Ou! bien aveugle fit Mme Daubrun. Elle ne pouvait pas savoir à quoi elle s'exposait en te disant de ne pas épouser M. de Malvec, mais, telle qu'elle commence à t'appara!tre maintenant, tu dois être certaine que, même si elle l'avait su, elle n'aurait pas agi autrement. Elle n'aurait pas voulu te laisser courir au-devant de l'effondrement de tes H!usioas, au-devant de la déchirante Certitude que l'homme à qui tu appartenais n'était pas digne de toi. Et crois bien que si elle avait surpris chez toi l'ombre d'un doute, une hésitation si faible qu'eue fut, !e regret d'avoir à renoncer a. un mariage qui paraissait te plaire, elle n'aurait pas craint

!p d'aller plus loin, sans violer entièrement: Elle secret qu'elle était décidée à. garder. aurait précisé ce qu'elle te donnait seulement a entendre elle a

de Léonce de Malvec. Ce dont

parlé dans son délire. L'histoire de

ce Jean Heurteau, qui n'est pas Jean Heurteau, parce qu'il est M. de Malvec. Mme Daubrun avait naturellement l'esprit droit et précis, mais ces qualités s'étaient développées dans un contact de trente années avec son mari. Bien que dissimulant beaucoup de sensibilité sous des dehors grave: et froids, Jacques Daubrun apportait dans ses recherches, dans son travail, une méthode rigoureuse, des facultés de déduction remarquables, grâce auxquelles il parvenait toujours à la vérité. r_

B~Mf~tOs Mfef~t~.

TRIBUNAUX

PaMs et Banlieue Nouveaux Incidents à l'Ambigu. Le

rieure et l'obtention des bourses de licence spectacle,. hier, au théâtre du Nouvel-Ams'était déroulé sans incidents. auront lieu pour la section des lettres du sa- bigu. Un peu avant la sortie des spectateurs. medi 30 mai au. samedi 6 juin inclus, et pour deux .cents manifestants, venus par petits la section des sciences du lundi8 juin

au groupes des rues proches ou .sortis des cafés samedi 13 juin. voisins,' se sont soudainement massés boulevard Samt-Martin en poussant des cris diJEAN LE MÉE. vers. Le service d'ordre, assez important, intervint et' refoula-jes manifestants .dans la A la C!té Uoiversïtàïre direction de la porte Saint-Denis. Il v eut quelques bagarres. Plusieurs arrestations fuopérées. Finalement. la police réussit à Une chambre vient d'être fondée .parc ta: Fé- rent disperser les perturbateurs. Ircis personnes dération nationale du bâtiment et d-s travaux un agent ont été Messes. publics. Cette Chancre sera an'ect'ée, par pré- et Tandis membre se produisait cette manifesd'une tation, six quedéparts férence, au Hls d'un .entrepreneur, complets de pompiers chambre syndicale affiliée à la 'Fédération na- stoppèrent <:devant l'Ambigu. Un mauvais tionaie. '< plaisant avait'alerté pompiers les en signaLa Fondation na~onale de la Cité universi- lant le feu a taire vient de recevoir, de M. Clémente), présiUn court-circuit dans une canalisation.– dent .du<: CMnité national des conseillers du une lettre l'informant' Un incendie provoqué par un court-circuit commerce extérieur déclaré hier. dans une galerie de étaque ce comité, au cours de, sa dernière assemblée s'est lisation é)ectrique de la C.P.D.E.. située à sénérale, a décidé d'allouer à l'Université de Paris un somme de go.ooo francs pour fonder l'angle du boutevard et du faubourg Saint.une chambreà la Cité univcrsitaiM. Cette cham- Denis. Les pompiers durent .faire usage d'appat)re prendra place dans la ~Maison des provinreils ventilation avant de pouvoir desces de France 2' qM est actuellement en cons- cendrededans résout pour éteindre l'incendie. truction a la Cité. a détruit t'enveloppe de divers câbles qui Sur les 325 chambres que doit comprcndrte longueur de cent mètres. une cette maison, 205 aont, à ce jour, souscrites. Il surUne partie du quartier Saint-Martin fut n'est pas inutile de rappeler que, sur ces 205 privée de force et d'éclairage jusqu'à14 heusouscriptions; d'Américains 76 proviennent d'un groupe d'origine alsacienme et sont des- res. Le.remp!acement tinées à .bén&Heier, par priorité, à des étudiants immédiatement. des câbles a été effectué originairesdes départements du Haut-Rhin, du Bas-Rhin Une rixe entre voisins. II y a quelques et de Belfort, ou descendantsde fajours, Mmes Billebaut Delgrange. s'étaient milles originaires de ces dépari'einents. et disputées au marché, des agents les avaient séparées, alors qu'elles en venaient aux La Banque de l'Algérie 'vient de fonder une mains. M. voulant venger sa chambre à la Cité universitaire. Il est entcnju femme, est Billebaut. nuit dernière, assaillir venu. la que si .l'Afrique du Nord déci'de de construire roulotte des époux Delgrange. dans une la souscrip- la une maison à !a Cité universitaire, cité-jardin de Bagnolet; il était accompagné tion de la Banque de .l'Algérie sera reversée à de d'un nommé Druilhet et d'une femme, sa cette couvre. EIlc~ permettra, en attendant, de autre femme. Une bataille en règle s'ensuifaire attribuer à un étudiant de l'Afrique du vit des coups de feu ont été tirés. A l'arrivée Nord une des chambres .de la < Maison des de la police, trois' blessés gisaient à terre. actuellement en. cons- Ce sont Louis Delgrange. sa femme Anna provinces de France et André Druilhet. Les blessés ont été hospitalisés. En attendant la fin de l'enquête. semble probable que Detgrange. assailli il ACADEMIE DES BEAUX.ARTS dans à coups sa roulotte, se serait défendu été blessée de hache, mais sa femme aurait de Présidence M. Lucien Simon. par une balle de revolver, tirée par Druilhet: L'Académie a repris ses travaux du Diction- quant à Billebaut, il a pris le chemin du Dénaire des arts, interrompus depuis la guerre. pôt. Différents spécialistes,parmi ses membres, se Chutemortelle de deux ouvriers. Hier la corde d'un pasont chargés 'des articles ressortissant à lenr& matin. 2I5. rue de Crimée, échafaudage situé au '<??;. compétences spéciales. Aussi, M. 'Nénot traite lan. soutenant un travaillaient qm de l'/to&t~t'oM il étudie particulièrementla mai- tième étage, s'est rompue; deux ouvriers, prééchafaudage, été ont cet son moderne. M. Forain traite de la ~M<M<re 4 cipités dans sur vide et sont tombés d'une le l'/tM!7?; M. Widor de l'/farMo~tc. hauteur de vingt mètres; ils se sont tués sur ~n!~)~ président présenté le MfM!<'<:<o Le le coup. a d'archéologie /nn!<'a!.r<' de M. Vincent Flipo. 'Ce sont Julien Boueon. dix-neuf ans, H2. rue Etienne-MarceI. à Montreui). et LuDieudonné. quarante-trois ans, 60. GranAcadémie des sciences coloniales cien de-Rue. à Alfort. Le commissaire de la Villette enquête. Au jalousie de c Mlle Pans n}ao s. Présidence d M. le professeur Marchoux. jalousie. Yvonne Mlle scène de cours d'une Est déclarée la vacance du siège occupé par Taponier, Mlle Paris qui fut élue Jean Brunhes, membre de l'Institut. Les candi- 1030. a légèrement blessé« a coups de ciseaux dats ont un mois pour se faire connaître. amant, qui est garagiste; !e blessé a reçu Kiobukowski, qui fut ministre de France son M. des soins dans une pharmacie voisine; Mlle en Belgique avant et pendant la guerre, laissant Taponier été priée de se tenir à la dispode côté la période de !a fondation et du déve- sition de ala justice. loppement de l'Etat du Congo, s'applique à étuDépartements dier les suites immédiates <ie la reprise de cet Etat par la Belgique. Le Falsification de billets de banque. Régime des eaux souterra'nes en Algérie caissier de la succursale de la Banque de M. You donne !ec- France, à Toulon,dea constaté que de nomet dans te Bas-Sahara. cent francs avaient subi ture d'une communication de M. R. Bienvenue. breuses coupures falsification à professeur de droit public Alger, membre cor- une par mutilation. En découbandes un certain nombre de billets, respondant, sur le rôle capital que l'eau joue !e pant faussaire par arrivait à en confectionner un dans la vie de l'Algérie. supplémentaire. Les paris clandestins aux courses. M. SiL'Union féminine civique et sociale, dont l'activité est toujours mise au service de la raut. commissaire de la brigade des jeux de famille, étudiera dans son prochain congres: la Sûreté générale, a opéré une descente dans Les revendications juridiques de la un café d'Amiens, où fonctionnait une agence paris clandestins aux courses. Le dirigeant femme mariée au regard de la doctrine ca- de cette agence, Louis Pancro, âge de 38 ans, tholique s'. Rapporteurs R. P. Duca.ti.Uon. deété arrête et la comptabilité saisie dans son M. Rouast, professeur & la Faculté de a 0. P.; droit de Paris; Mme Boicau-Lajanadie. appartement. Dix mille francs d'enjeux étaient en sa 2. « Los conséquences, au-point de vue familial. du travail de la mère hors du foyer Une institutrice tuée par une automobile. MiHeux intellectuels et maternité; travail inA Antibes, une institutrice. Mlle Gabrielle dustriel de la mère. observé en France et Mondin. qui se rendait à bicyclette au coldans quelques nations étrangères lège, été prise en écharoe par une automoLes séances auront lieu les jeudi .q mars. bile eta projetée sur le so!. a i~ heures, 2.=;, rue de Valois; samedi 7 mars, Relevée une fracture du crâne. Mlle à Mondin estavec à 10 heures, < boulevard Montmartre morte pendant son transport à 13 heures, 25. rue de Valois; à ao h. 30. l'hôpital. 5, boulevard Montmartre. Dimanche 8 mars, agression à Marseille. L'autre nuit, de !a Sorbonne, M.Une au grand amphithéâtre Geyer. adjoint au maire de Marseille, anséance solennelle de clôture, honorée de la cien directeur des Ateliers et Chantiers de présence de S. Em. le cardinal Verdier. pré- Provence, qui rentrait chez lui. fut assailli. sidée par M. G. Pernot. ancien ministre. Con<- place de Sébastopol. par deux individus, dont férence de M. Maurice Guérin <: L'Abandon l'immobilisa, tandis un que l'autre le dépouildu foyer.s' lait de son portefeuille. Celui-ci ne contenait

l'Ambigu.

truction..

La

en

i. <

possession..

La tég!s!at!on des

sociétés

Le comité de direction de Ja Ligue pour la -réforme de la législation des Sociétés s'est réuni à la Bibliothèque des avocats, sous la

de M* Léouzon !e Duc. il mai.–Compositionfrançaise (classe présidence Le projet de reforme de la Li~ue a été puHe première). et distribué, ainsi que le rapport généra! Mercredi i3 mai. –Version grecque (classe Hié de M' Dolbeau. Lundi

FA!I§ D(VEF~

i" juin.

Ecole normale supérieure

La neutralité scolaire

teurs &.

Lundi

Le comité a décidé de poursuivre l'examen des diverses questions rotatives à !a législation des sociétés 'par actions qui préoccupent l'opinion. D'abord cdte de ia retrfactivité de Ja loi du mois d'avrH io3o qui a supprimé les actions à vote ptura~ et vient de faire l'objet d'un rapport de M. Dauthy au Sénat. D'autre part, M. Doyen, qui exposa, jadis '!a. question dans une conférence à' l'une des LiRue. re-prendra aMemMées générales de l'étude des cnnMM. Dolbeau.et Datsace avec sociétés pourraient être appelées cipes que les

que des papiers.

et'l'obtint. En T)27,

La

clinique du Pre-Saint-Gerwajs et les communistes La huitièmechambre,, présidée par M. Jozon,

'vient dépendre un remarquable jugement qui

ne saurait passer inaperçu, car il met en lutnière les agissements des organisationscommu-

nistes..

Le 24 février 1922, la municipalité du Pré'Saint-Gervais donna à bail 18 à la pour

ans,

Maison des Syndicats. l'église paroissiale desaffectée, moyennant un loyer annuel de 20 francs. ~il était précisé que les locaux devaient .être utilisés, conformément aux statuts de la Maison des Syndicats, en salles de réunions, de cours, de conférences, en bureaux et bibliothèques. pour des œuvres d'intérêt social et général. La municipalité s'engageait à effectuer !77.ooo fr. de travaux sur lesquels la Maison des Syndi-

cats avancerait 45.000 francs qui lui seraient remboursés en fin de bail. Enfin, la Maison des Syndicats était tenue de conserver une e)iniqne-dispensaire à la diposition des habitants du Pré-Saint-Gervais. La Maison des Syndicats n'ayant utilisé les locaux que pour la propagande communiste, la municipalité du Pré-Saint-Gervais demanda la 'résiliation du bai) et fit établir par constat d'huissier, au mois d'août 1028, que la cliniquedispensaire n'était plus utilisable et entièrement ~désaffectée. Le tribunal constate que ce seul mo'tif entraine la résiliation. Cependant il tient à ajouter second motif. Alors que, d'après les statuts: un des <: la Maison Syndicats doit se consacrer à des Œuvres d'intérêt social et général », elle n'a utilisé les lieux que dans un but d'agitation communiste. Le jugement relate les nombreuses manifestations communistes, soit pour la propagande antimilitariste, soit pour le Secours rouge international, tenues dans les lieux loués en 1929 et

i9.!0.. ainsi. Puis il conclut

alors que, Iet)a!I avait été concédé à une société prétendant avoir un but corporatif et devant se servir des locaux en faveur d'associations syndicales et d'oeuvres ayant un intérêt social et .général, la Maison des Syndicats, émanation communiste, ne se sert des lieux misà grands frais à sa disposition que pour y créer un foyer d'agitation communiste, qui ne tend qu'à jeter le trouble dans les esprits, à inciter les soldats à la révolted'Intérêt et qui est en opposition complète avec le but social général indiqué société, aux ladite de et statuts puisque le communisme n'a pour but et consé« Attendu, qu'tl résulte que,

quence au

profit de quelques-uns que la régres-

sion de toute civilisation et de tout progrès par l'égalité de tous dans. la misère, à commencer par la classe des salariés.» .En conséquence, !a huitième chambre, prononce la~résiliation du bail, ordonne, l'expulsion ..dans la'quin-aine du jugement, sous;'astreinte de 150 fr. par jour de retard, et ordonne l'exé-cution provisoire nonobstant appel. Il alloue, en outre, a la municipalité du PréSaint-Gervais, à titre d'indemnité de résiliation les 45.000 fr. avancés par 'la Maison des Syndicats. Enfin, faisant remonter la résiliation jm jour de sa demande, soit à deux ans et demi, il transforme le loyer annuel de 20 francs en une indemnité d'occupation de 2.000 fr.' par mois, soit

fr. par an. L'affaire Hanau en correctionnelle

24.000

Les derniers témoins de M. Pierre Audibcrt ont été entendus au début de l'audience. M. Dumay expliqua tout d'abord que de nombreuses personnalités politiques furent les garantes de Mme Hanau qui. selon lui, voulait associer le public aux bénéfices des établissements de banque et préparer ~avènement de la démocratie dans la imance. M. de Monzie. sénateur du Lot. a fait reloua du caractère moral de M. Pierre Audibert, qu'il eut comme chef de cabinet, lors de son passage au ministère 'des travaux publics. Kn termes émus, il a rappelé que Pierre Audi'bert était un journaliste intègre. Grandiloquent peut-être, dominé par la frénésie de ses nerfs, mais incapable de sacrifier son idéal à une banque. Les premiers avocats ont eu la parole. Tout d'abord M" Aujay pour M. Gelin. partie civile, qui s'est opposé au concordat de la Go.M~ f~K ffaHC et a cité Mme Hanau en faillite personnellement pour le 2 mars; puis M" Ribet, pour la Société d'Exploitations foncières, qui est également partie civile, mais s'associe à. la. demande de contre-expertise.'

Le ténor et !a modiste

septembre 1928. Je ténor Campagnola, revenant de la Côte d'Azur en automobile avec modiste, se jeta sur la barson amie Mlle passade à niveau. Mlle B. fut Messée rière d'un au visnKe. eut le nez brisé et demeura déR~urée. M. Campagnola. depuis, s'est détaché d'elle. Elle demandait donc. hier, au tribunal, une indemnité pour l'accident dont elle a été victime. Elle a obtenu 70.000 francs de dommages et intérêts. Le 14

B.

Les mutins de Calvl acquittes Hier, au conseil de Marty, guerre de Toulon, 1~ déposition du député qui fut très lonincident. Le déprovoqué nouvel un gue. a puté ayant pris à partie M. Joubert, nombre du parti S.F.1.0., présent dans l'auditoire, celui-ci a riposté en traitant M. Marty de salopard ». Cet incident a. nécessité l'inter<:

Un éboulement provoque la mort de deux ouvriers. Hier matin, un éboulemcnt. dû s'est proaux pluis-récentes et abondantes, duit dans une carrière de craie,à Boistrancourt. près de Cambrai, ensevelissant trois ouvriers. Deux Italiens. les frères Raoul et vention de la gendarmerie. Le père de Boudet et celui de Graff sont Gionvanni Zanella ont été tués. Un Français. nommé André Sor!in.,a été retiré, le crâne venus implorer la clémence du conseil en fafracturé et transporté a l'hôpital de Cam- veur de leurs fils. Puis. après un réquisitoire brai. bénin du commandant Faure et les plaidoiries de M" Sadoul et Fournier, le conseil, après en avo;rdélibéré, a prononcé à l'unanimité l'acquittement A. des cinq matelots inculpés.

L'INSTRUCTION

La bagarre du Prado.– On mande de Mar-

seille que, poursuivant son enquête sur les incidents survenus au cours d'une réunion politiquedans une brasserie du Prado, le i juge, M. Pierrucci, a entendu hier plus ia de ig témoins <t, notamment, la plupart dos agents cyclistes qui participaient au serviced'ordre. T6us ces témoins ont désigné M. à appliquer dans leurs statuts et dans l'éta- Noël Renucci comme le meurtrier du comblissement de leurs bilans. muniste Carini.

Condamnation à mort

Dans lanuit du 15 juillet dernier, un chauffeur de camion, Louis Moyat, étranglait sa

femme; il avait déjà, en 1923, tenté de tuer première femme, née Chansonnier; celleSa n'échappa, à la mort que 'pa.r miracle; ce ci fut son père qui reçut'dans le genou, la balle de revolver qui lui était destinée. Lasse des mauvais traitem-ents qui lui étaient infligés, 'la première Mme Moyat demanda. le divorce

Je voudrais pou. pale, s! douloureuse, qu'il aurait été imposMme Daubrun avait ~uM l'influence de son pour réparer ma faute sible de la contempler sans attendrissement mari. Sa lucidité personnelle s'était accrue. voir lui demander pardon à deux genoux Elle ne se trompait pas sur les gens et défi- Je voudrais m'accuser de l'avoir si ma! ju- et sans pitié Où étaient la fierté du front, nissait très exactement leur caractère. De gée. Intrigante. Astucieuse. PerMe l'orgueil qui brillait d'ordinaire dans les Elle aurait pu l'être aisément observa yeux, le dédaigneux sourire ? Il n'y avait même, de quelques mots, d'une attitude, d'un fait sans importance, elle tirait des conclu- Mme Daubrun. Mets, dans son âme, le caJ- p!us ni sourire, ni orgueil, ni fierté. Rien sions qui, à l'examen, se trouvaient d'accord cul égoïste et l'intérêt à la place de la géné- qu'un pauvre visage qui priait, qui imploavec la vérité. Comment en aurait-il pu être rosité et du désintéressement. Elle entrait rait, rien qu'une pauvre créature de faiblesse autrement dans une an'aire pareille, quand alors dans le jeu de M. et de Mlle de MalveCt et de désespoir. Père répéta !a voix tremblante. i! s'agissait de celle qui était sa n!!e par !e EMe devenait leur associée, et, parce qu'elle détenait leur secret, ils auraient été les auxiQuelle était cette Julie si nouvelle ? D'où cœur ? Je vois ce qui s'est ~assé 1 reprit-e!!e. liaires précieux de leurs ambitions. Mais a lui venaient cette douceur et cette humilité ? M. de Ma!vec a derrière lui une viïaine his- quoi bon tout ceta. ? ajouta la vieille dame. Quel était le mystère de cette transforma. toire que Marthe connaît, qu'elle ne pouvait Cette évocation de ce qui a été, de ce qui tion ? Comment cette créature hautaine, qui aurait pu être, ne réparera rien, ne protégera. n'avait jamais courbé la tête, pouvait-elle pas te raconter, Julie, mais qui, a ses yeux, posture de supcreusait un abîme entre ce jeune homme et pas cette pauvre enfant contre le malheur être là, agenouillée, gémit-elle, Hélas il avait elle menacée. pliante ? Combien fallu que fût puistoi. Le hasard l'ayant amenée au pavillon dont est de l'ite lorsque M. de Malvec y était, une s'adressant a M. de.MeIIeraie, mieux vau- sante la voix sévère qui s'était élevée en son âme, lui reprochant d'avoir été injuste et scène violente s'est déroulée entre eux, une drait la mort, en effet1 Mme Daubnm se souvint que Marthe de- méchante Et combien elle avait dû souffrir scène si violente que Léonce de Malvee, à la pensée qu'il y avait là, non loin d'elle, exaspéré par la perte de ses espérances, vait être seule. Je vais auprès d'elle dit-elle. une belle jeune fille en qui, par sa faute à voyant s'écrouler une combinaison qui devait lui valoir une fortune très supérieure à la Après son départ, M. de Mcileraie et sa elle. la namme' sainte et pure de 'la. raison sienne,est redevenu, durant un moment, fille restèrent silencieux. De semblables som- serait éteinte à jamais1 Père dit-elle encore. !'homme de ses origines materneHes. I! y a bres pensées pesaient sur eux. Assis q. deux M. de Melleraie aurait voulu résister, déen lui du Levantin. Ha levé la main sur pas l'un de l'autre, ils semblaient s'ignorer. Marthe. Il a voulu la frapper. repousser celle qui Le coude appuyé au bras de son fauteuil, tourner la tête, se roidir, qu'il dire Le miséraMe gronda M. de MeHeraie. le front dans sa main, M. de MeIIeraîc, le suppliait, lui ne voulait plus la Sonexcuse, dit Ja vieille dame, était étranger au monde entier, ne voyait rien. Mais que pouvalt-i!?P que !a fureur l'aveuglait. Mais I! n'aura Julie avait cessé de pleurer et tenait son reC'était sa nlle. fa!!u.qu'un mot de Marthe pour avoir rai- gard obstinément fixé vers la terre. Des miI! se laissa vaincre par Famour paternel. son de cette rage. EHe aura prononcé le nutes s'écoulèrent, puis d'autres minutes, et II se baissa, prit. à deux mains la tête de nom de Jean Hcurteau. Léonce de Malvee cela jusqu'à l'instant où il y eut dans le salon qui se Julie, la baisa au front. a. compris qu'il n'avait plus qu'à partir, qu'il comme un léger frôlement, une ombre Or, juste à cette minute, la porte du salon devait renoncer à relever sa chance. I! a déplaçait, se mouvant avec lenteur. s'ouvrit et Mme 'Daubrun reparut, 'tenant Père dit une voix tremblante. dû emporter la conviction, du reste, que Arraché à son rêve, M. de Melleraie tres- une lettre à la main. Marthe DerviHe n'abuserait pas du secret Voici la vérité dit-elle. qu'elle avait surpris,' et c'est ce qui explique saillit, regarda. Julie était agenouillée à ses pieds, les ce qu'i! t'a dit d'elle lors de son départ. En XXXI résumé, Julie, tu dois à Marthe de n'avoir mains jointes. La volonté de JuMe Mais non ce n'était pas Julie 1 pas été la dupe d'un homme faux et menMme Daubrun montra la lettre. Du moins, c'était une Julie que M. de Melteur. leraie ne connaissait pas, une.Julie qu'il Voici la vérité rep.éta-t-elle. MHe de Melleraie se tordit les mains. voyait donnerais-je pour une pas Julie s'était relevée, et M. de Melleraie St-eUe, que. ne Julie si –Oh la première fois,

en

connaître.

'Moyat épousait .une dame

BreteHe; une hMctte naquit de cette union. Cette naissance ne changea en rien le caractère de l'époux qui continuait de boire et proférait contre sa femme les pires menaces. Le ig juillet, à la suite d'une discussion avec sa femme, l'alcoolique la saisit à la gorge, s'agenouilla sur elle et tenta de l'étrangler. La mort étant lente à venir, il prit une serviette, la passa autour du cou de sa victime, enfouit la tête sous l'oreiller du lit et serra de toutes ses forces. L'assassin, arrête quatre jours plus tard, comparaissait hier devant les assisesde Seine-et-Oise. On entendit une quinzaine de témoins, parmi lesquels le docteur Piedelievre, qui déclara que l'agonie de la victime dut être très longue. La mère de celle-ci s'était portée partie civile. Apres les conclusions de M* Olivier, partie civile, l'on entend M. Raimbault, substitut du' procureur de la République, qui requiert la peine capitale. M" Farges, du barreau de Pontoise, s'efforce d'obtenir les circonstances atténuantes,

mais après une courte délibération, le jury revient avec un verdict affirmatif sur toutes les questions. En conséquence, Moyat est condamne à !a peine de mort et la mère de la victime obtient le franc de dommages-intérêts. r~ELLE, !30, &0!i/~a~ ~aKMMOMO, ~Mf!)~ M MOM~~Hf CO/~ch'OM de fo!'<7.~ CJ~CVZ-B

McMf~'OM.re~pnMM.

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tLBESe OC~WJ:ML*SE:S LE PARI: MUTUEL URBAIN

FONCTIONNERA DEMAIN

Z.M-G~~D~~XP~O~r~~jE~E~ Bossoutrot-Rossi battent tes records du monde sur B)eriot-Hisp3no .<

Nous avons annoncé hier, en Dernière Heure, l'atterrissage forcé, par manque d'essence, de Le Brix, Doret et Cadiou, dont on suivait depuis 52 heures la vaillante tentative. Us ont échoué après avoir parcouru y.yôo kilomètres, à 600 kilomètres du but: le record distance détenu par les Italiens Maddalena et

de

Cecconi.

sont

Immédiatement les espoirs français se reportes sur les aviateurs Bossoutrot et Rossi qui, partis quelques minutes après Doret et Brix, tenaient inlassablement depuis jeudi matin. sur le circuit tracé aux environs d'Oran. Leur ronde s'effectuait normalement, mais à une vitesse moyenne inférieure à celte qu'accu-. sait le T'MM~'f/MtOit. Ils devaient donc mettre ~las de temps a battre le record de distance, mais en cas deréussite pour faire !e coup. double, c'est-à-dire battre d'un seul vol tes deux records convoites. Toute soirée d'hier et toute la nuit

Le

.sont

nous

la

parvenues des nouvelles encourageantes.

Enfin, ce matin, nous-parvenaient successive~ ment les télégrammes suivants Bossoutrot et Rossi ont Oran, le I" mars. battu le record de durée en circuit ferme ~ette nuit à 3 h. 08. A ce moment, en effet, ils volaient depuis 6S h. 13 alors que le record précèdent étaient de 67 h. i3. Oran, le i'~ mars. Le temps est mauvais. Toutefois, à 7 heures, les aviateurs ont fait con- ` naître qu'ils ont encore 500 litres d'essence qu'ils continueraientleur vol si l'accalmie continuait, jusqu'à cet après-midi 14 heures. C'est donc à l'actif des aviateurs et du mo-~ noplan Blériot no à moteur Hispano ûoo CV. une performance de valeur mondiale, valeur suffisamment soulignée par tant d'échec récents subis contre ces mêmes records par les équipages les plus qualifies. Deux des records les plus importants rentrent en France. On sera unanime à s'en rejouir et à féliciter chaleureusement pilotes et cons-

et

C'est demain, lundi 2 mars, que les premiers bureaux du P. M. U. ouvriront leurs portes aux sportsmen. Afin de permettre la régularisation des tructeurs. M. B. opérations par un personnel qui s'exerce depuis quelque temps déjà cependant, la So~73~ <SMf'<s~S~y~ W~M M~OX WA'~? <Sy~F~~A <~&Wt~ ciété du demi-sang a reculé l'heure de la première course à Vincennes, pour cette journéee L'équipe de France de rugby de.début, à 14 heures. écrasée par le Pays de Galles Voici la liste des agences présenter chaqueoù les amateurs pourront fe le 19'' match de rugby jour, dès lundi, ."Hier, à Swansea, Galles,, 8 heures a 12 h. 30. France-Pays de ayait. attiré plus de, 20.000 spectateurs. Agence centrale 104, rue de Miromesnil; En Cinéma du Moulin-Rouge 82, boulevard une partie dure et .mouvementée, les Gallois ont infligé à l'équipe de France la de Clichy; importante défaite qu'elle ait subie deCinéma RoyaI-Pathé 37, avenue de Wa- plus puis la guerre. gram Le score final fut de 35 a 3 (8 a. o à la Cinéma Lyon-Pathé 12, rue de Lyon; mi-temps). Cinéma Saint-MarceI-Pathé 67, boulevard Beaucoup voient, dans ce désastre sportif. Saint-Marcel; l'aboutissement de la scission infiniment reCinéma Pathé-Omnia 5, boulevard Mont- grettable qui règne depuis plusieurs mois dans !]e rugby martre A DubLin, l'Irlande a 'battu l'Ecosse Cinéma Maine-Pathé 25, avenue du Maine Ajoutons qu'après quinze jours de fonc- par 8 à 5. tionnement l'heure de fermeture sera reporBouquillon a battu Bergomas tée de 12 h. 30 à 13 heures. Laprésence de Bouquillon au programme du « Paris-.Ring avait attiré une grande affluence; elle assista à la victoire par knockENGHIEN out, du Français, qui ne se montra guère en (Samedi 28 février~ progrès sur ses dernières sorties parisiennes. Même son punch ne sembla pas aussi effiRÉSULTATS Prix du Ponthieu. i. Emte, a M. A. Berg cace (Fruhinshoitz); 2. The Hermit II (J. TeasMUSÉES NATIONAUX `dale) 3. Comité (R. Dornaletche). P. M.: 28 fr. Places: Emté, !ofr. 50; The Au cours de sa séance de février, le conseil Hermit II,:3 fr. 50; Comité, l3~r. musées nationaux, réuni sous la présidence Prix de la Somme. i. Amenemhat, à M. des de M. Raymond KœchHn, a, sur la proposition P. Hatbronn (R. George); 2. Le Grand Mide M. René Dussaud, prononcé l'acquisition rais (C. Maubcrt)~3. Bellardin (A. Katley). P. M.: 52 fr. Placés: Amenemhat, 13 fr. 50; d'une importante collection de bronzes du LouTistan, et celle d'une tête sémitique présargoLe Grand Marais, 7 fr. découverte à Ashnounak (Mésopotamie); Prix du Boulonnais. i. Lampe, à M. J. nique Ginsbourg (Fruhinshoitz); 2. Pavot (R. Tré- il a, en outre, décidé de sa participation fouilles qui doivent être engagées dans.tetsito mcau); 3. May Bée (M. -Bianeo). P. M.: 13 fr. go. Placés: Lampo,7 Pa- persan de Tépé-Giyan, près de Nihawand. Sur la proposition de M. Louis Hautecœur, vot, 9 fr.; May Bce, ~1 fr. go. Course de Haies de Quatre Ans. a accueil)! pour le musée du Luxembourg un i. ilportrait par M. Etchevery de M. P'.ijalet, anBaoulé, à M. A. Veil-Picard (J. Bede!oup) cien directeur des musées nationaux, don de 2. Prospect (P. Ridfo); 3. Menés II (M. BoMme Doux. de Labro, et une aquarelle du peinnaventure). P. M.: 12 fr. Placés: Baoule, 6 fr. 50; Pros- tre Bichet, Ct~'c~ offerte par la famine de l'artiste. pect, 8 fr.; Menés II, 9 fr. conseil a accepté, sur la proposition de Prix Ernest d'Evry~ i. Le Soutier, à M. M.LeMarquet de Vasselot, le nouveau et imporJ. Hennessy (J. Luc); 2. Hameleb II (A. tant don 'par M. David Weill d'une collection KaUey); 3. Le Jockey (H. Haes). P. M.: 16 fr. Placés: Le Soutier, 6 fr.; Ha- de poteries japonaises néolithiques oB'ertes au département des objets d'art, et !e don fait par melet II, 6 fr.; Le Jockey, 9 fr. go. au musée de Cluny, de onze morPrix Shéridan. i. Piticar, à M. M. Cha- M. Hassan, de tissus anciens des quinzième, seizième con (M. Brunet); 2. Le Maquis (M. Plaine); ceaux douzième siècles. et 3. Faveur Royale (A. Palmer). le département de la peinture, pz desP. M.: 32 fr. go. Placés: Pilicar, 13 fr. go; sinsPour de Carrière, Lerolle, David, Delacroix, ofLe Maquis, 28 fr. 50; Faveur Royale, 60 fr.' Prix Louis Baume. I. Eros III, à M. M. ferts en complément de don par M. Louis DeVidal (C. Masson); 2. Epicéa (Gougeon); 3. villez un portrait de Hébert légué par Mme Dollfus, ont été agréés sur ]a demande de M. Cerise Blanche (P. V:el). P. M.: 113 fr. Placés: Eros III, 29 fr. 50; Paul Jamot qui a Informé le conseil du don prochain par M. et Mlle Fèvre, héritiers de DeEpicéa, 31 fr. go; Cerise Blanche, 16 fr. gas, de plusieurs Œuvres de ce maître, dont le Dc~M OK e7!0/'MM /!OMf de /O~M!ë. VINCENNES Enfin, ayant pris acte des dons et legs présentés par M. P. Vitry d'un. buste de M. DoH(Lundi 2 mars) fus fils, œuvre de Gardet, d'un médaillon de PRONOSTICS Rude provenant de la sépulture de la famille Prix de Pontoise. Fifi Zada, Fanoun. Frémiet, d'un buste de Marianne Schlegel par ` Prix de la Réole. Frimont, Figaro IV.' G. Schadow (don de M. Ch. Miche!), le conseil Prix de Boissy. EIIde C, Excelsior IL a prononcé l'acquisition pour Versaittcs d'un Prix de Breteuil. Elégant II, Eminence. portrait de Brissot et renouvelé les crédits néPrix du Rhône. Esope, Didon C. cesaires à la continuation des remarquables Prix de Laigle. Djemna, Depessiaux. fouilles entreprises au Roc et à la Quina pac Prix de Nevers. Amazone B, Dompaire. le docteur Henri Martin.

de

français.

qu'autrefois..

aux

ft-

avait abandonne son fauteu! Le père et la fille, saisis d'une même agitation, attendaient !es explicationsde la vieille dame, de qui l'émotion était intense. II y avait de la joie dans son regard, une joie qui s'alliait curieusement à !a tristesse imprégnant ses traits. Je savais bien, dit-elle, que Marthe était incapable d'une action douteuse, et qu'elle, n'agissait jamais que sous l'empire des sentiments les plus élevés. Toutefois, je ne pensais pas qu'elle irait jusqu'à pousser à la sublimité des scrupules, honorables sans doute, mais dont il serait excusable de ne pas tenir compte dans certaines circonstances, et surtout quand on a !a certitude que l'indiscrétion commise n'aurait pas une conséquence fâcheuse pour la personne intéressée. J'ai la preuve du contraire. Mme Daubrun éprouva un peu d'embarras. En. fait d'indiscrétion, dit-elle, je n'aurai plus le droit, à l'avenir, d'être orgueilleuse de n'en avoir point à me reprocher. C'est la premièr.c fois qu'il m'arrive de lire une lettre qui ne m'était point destinée. Pourtant~ si c'était a recommencer, je n'éprouverais pas d'hésitation. Je lirais encore la lettre. Avant tout, je vais vous expliquer comment celle-ci est tombée entre mes mains. Mme Daubrun s'assit. Julie et son père l'imitèrent. Tout a l'heure, reprit la. vieille dame, Marthe est devenue très agitée. Elle remuait beaucoup, s'efforçait de parler, puis se plaignait. Elle ne tarda pas à se calmer, mais une sueur abondante inonda son front. Ne trouvant pas de quoi l'essuyer, j'ouvris au hasard le tiroir d'une commode, qui conte-

en prenant la pile des mouchoirs pour l'ar-

ranger comme elle l'était auparavant, je fis tomber à terre un papier que je relevai. C'était cette lettre. J'allais la remettre à sa place quand, en y jetant un coup d'œil, je lus un nom qui me causa un éblouisse" ment.

fit

Celui de Jean Heurteau ? M. 3e MeIIeraie. Précisément dit Mme Daubrun. Quant à la lettre, sa date indique que Marthe l'a reçue depuis son arrivée à MeIIeraie. Elle est d'une amie qui lui fait part du malheur qu'elle vient d'éprouver, de Tabominable trahison dont elle a été victime. Je saisinterrompit M. de Me!!era!e< Mlle DerviDe m'a parlé de cette triste his~

toire..

Très triste,

en effet

dit Mme Dau" brun. Assez commune, mais toujours triste. Le nom que je venais de voir vainquit mes répugnances: Je lus la lettre, et je n'ai pas hésité à vous l'apporter, afin que nous la relisions ensemble, car elle explique tout, et révèle chez Marthe ce que je crois pouvoir nommer un héroïsme' moral dont on trouverait peu d'exemples. Pour ma part, confessa la vieille dame, je n'en serais pas C!t"

semMe-t-i!

pable, me Elle lut. Ma chère Marthe, écrivait la correspon<s dante de Mlle Dcrville, je vais te faire de la peine, car je connais ton affection pour moi, et je sais que tu t'associeras à mon chagrin, malgré l'obstination avec laquelle je me suis refusée à écouter tes conseils. Mon excuse, s'il en est une, est que l'on croit trop facilement au bonheur que l'on désire, et aussi que la sincérité du cœur ne permet pas nait du linge, des mouchoirs, et, dans mon de soupçonner le mensonge et la perfidie empressement, je mis ces derniers en désor- dans un autre cceur dre. Ayant essuyé le front de ma pauvre (~4 SMMV~ malade, je voulus réparer ma maladresse, et,


LE SPECTACLE A PARIS LE THEATRE CE SOIR DIMANCHE

«

A l'Opéra, à 8 h. 30. 7'/KM .(Mlle Marise Beaujon, MM. André Pernet, Raoul Jobin,

Mmes Aimée Mortimer. Manceau. M. Narcon, iMile Montfort, MM. Madien et Guyard. Danse MHe Camille Bos. Mlles Y. Franck et El.!anskaia). Chef d'orchestre, M. Henri Busser. A rOpêra-Comique, à 8 h. 15.I.M Contes ~'No~/maMM (Mmes Emma Luart. Marte-Thérèse Gau!ey. Andrée Cortot, MM. Raoul Girard, José Beckmans. Le Prin, Roussel et Azéms). Chef d'orchestre. M. Cohen. A la Comédie-Française, à 8 h. 45, La BfNc (MM. Dessonnes. Yonnel. Ledoux, Pierre Bertin, Chambreui), Lucien Dubosq. Le GoS, Pierre Dux, Jean Ma.rtinet!i, Marcel Dufresne; Mmes Berthe Bovy, Made!eine Renaud, Andrée de Chauvcron. Jane Faiber. Madeleine Barjac, Tonia..Navar, Jeanne .Sully, Irène BriHanf, Lherbay et Roussel). A r0d6on, à 8 h. 30, Le B~M M~t'(MM. Arquilliere. Charpentier. Chamarat, Aubeleau Harry-James, Guy Parzy, Francceur, Paul CEttly; Mmcs Mad. Bréville, Jeanne Briey, Eva Reynal et Simone VLovy). A la Gaît~-Lyrique, à 8 h. 30, F~!M' Ga~oK~ fa-Comique, avec MJ)e Germaine Corney, <Ie l'Opédans le 'principal Tôle, et Le ./OKjy/CKr Je ~Vo~'c-Dawc (M. Lucien Fu~ère). A t'Athêtiêe, à 9 heures, La Lc«~, de M. W. Somerset Maugham, adaptation de M. H. de Carbuccia. interprétée par Mme Madeleine Soria. MM. Lucien Rozenbers. Pierre Etchepare et Paul Cacellaai. An Théâtre de la Maddetne, à 9 heures,

~f'<~

~Vo!~ ~M.

temps).

Sacha Guitry et Mlle Yvonne Prin-

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Au Théâtre MicheL Cette Feraudyheures,

canaille (MM. de et J. Marchât). Au Théâtre Pigalle, a 8 h. 30, Do)!0.9oc. comédie en un .prologue, trois parti-es et un épilogue (26 tableaux) de M. Jules Romains, musique de scène de M. Jacques Ibert.

!M~tHe

LA SEMAINE PROCHAINE Lundi l'Apo~o, en sokée, répétition générale 'd'e .BaMo.Mr. comédie en tpais actes, de M. Léo.pold Marchand. bfardl Mardi An Théatfe .Marigny. en soirée, répétition,' eénérale deet Afo'M~o~, opérette de MM. Henri Duvernois Pierre Wolff, couplets de M. G&i!lot de Saix, musique de M. Louis Beydts. Au Moulin de '~a. Chanson, en soirée, répétition. générale du nouveau spectacle. concours <de chant. à ta nn de sa troisième anA J'ApoIlo, en soirée, première représenta- née d'études est rayé des contrôles de sa classe. tion <te Bo/~oco~. > Dans aucun cas, sauf dans ceux prévus aux Mercredi articles 17 et 33, le maximum d'années d'études An Théâtre Mari~ny, en soirée. première je- fixé pour chaque classe par le présent arrête ne jpresentationde~OtncoM. pourra être dépasse. Sauf pour l'accomplissement du service miAu Moulin de ta Chanson, en soirée, prelitaire et en cas de maternité, il ne pourra être tnlèrc représentation du nouveau spectacle. accordé <!e con~é d'une durée supérieure a t)n Jeudi les congés an et, sauf les mêmes exceptions, susceptibles de A Ja Boîte à Joujoux (Théâtre des Ambas- d'un an ne sont en aucun cas sadeurs), en matinée, première représentation du renouvellement ni de prolongation quelconque. » Aucun élève ne peut, au cours de ses études. nouveau spectacle. sé- .bénéncier <le plus d'un con~e d'un an.ro A Ja Renaissance en soirée, répétition d~ (t'Ktif <iMi~ff, ccrale de Le .Rowatt /~))M):<' ~'t* Le trente-troisièmenuméro du jBK~c</)t pièce .tirée du roman d'Octave Mirbeau, par de ~'M'OK t<~ Artistes -vient de paraître. On y MM. André de Lorde et André Heuze. trouva d'intéressants articles de MM. Pierre Aux Variétés, en soirée, .répétition Rénéralc Blanchar, René Fauchois, Jean Toulout, Marcel i(reprise) de Le .Rut, comédie de G.-A. de Cai!- Léveque. Claude Dorfeuil, été. layet, .Robert de Fiers et Emmanuel Arcne. commémorer l'anniversaire de la ~'t Pour Mounet-SuUy, l'Union des artistes avait mort de Vcndr':di invité les amis et admirateurs du ~rand tragé.gésoirée, répétttion Studio Fontaine, Au en dien disparu a se retrouver, ce matin, devant aa nérale de Le Condottière, pièce de MM. Henry tombre, au cimetière Montparnasse. Turpin et Pau! Fourn'er. <t4* Une vieiHe artiste, qui eut son heure de A Ja Gaite-Lyrique, en soirée, première célébrité. Mme Marie Kanjarowa, vient 'de mouTepi-ésentation de L<t RoMt'~t', pièce lyrique en de Ba~nolet. Ses quatre actes et douze tableaux,~ de M. 'Claude tir à l'hospice Dëbrousse, rue obsèques auront lieu dans l'apres'midi de deFarrere. musique de M. Andrc Gailhard. A la Renaissance, en soirée, première re- main, à 3 heures. LA SEMAINE présentation de L<* .R<?M<M ~'«t!<' Ff'n.Mte de ~DANS LËS.~UB~E~TIONNES ~<C/f<!M{~ Z.?~Rct.. soit-ce, Teprise de Aux Variétés, en A L'OpMM':

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Lundi, jLo/~t~H.

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.M)!.f/ ~'t~tf/ff/Mt~Kf~fOa'<))-' Les émissions de T. S. P. ce.? tmfM/w ~rf~c ~'0!(!' ce Concerto );'o;'f))f~ûi);<~J?'fM!o~f~a)'at<<~<«"'< f'ar))!0);<'f):'<'c~<fCf«ea')f~r<'a~o- Concert of)ert par !e «Journa! des Oétats M t'a& !e2mars ~f~ /'<'Hf)''of/f, M. f~o/f/fff 6'/ff!~);t JoMHa aux étabtissetnents Radio LL, à 21 heures /Mt~-<' oftft/toK ~'tttif 0«'<<tn'< ~otff ~<?-

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l.oso)' Musique pour radio. O): ~ott <yt~ organisé par Mme DECRAIS.LAUGEE /a <0tij')))!t'o)t ~e~ 0'M~fM ~yM:toHt<y:ff'~ par <~ <'0/Co))!tOMs e< des Coxf~r~ Co~mc ~M 0)M~M pose ~M /~0&/C))tC.! )fO;OM.V. La f~O'K-

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Comédie des Champs-Elysées (8 h. 43). Le grand patron. Daunou (9 h.). La Belle amour.

Déjazet (8 h. 30). Tire au ftanc. Edouard-VÏI (g h.). Les Trois chambres. Eldorado (8 h. 45). La Cocotte des Wa' gons-Lits. Folies-Wagram (8 h. 30). BrummeH. Gaîté-Lyrique (8 h. 30). Le Jongleur de Notre-Dame. Grand-Guignol (9 h.). La Machine Rouge. Gymnase (8 h. 30). Le Jour. Madeleine (9 h.). Nono. Marigny. Retâche. Browning. Mathurins (9 h.). Michel (9 h.). Cette vieille canaille. Michodiëre (8 h. 45). Le Sexe faible. Mogador (8 h. 30). No, no, Nanette. Montparnasse (8 h. 30). Terrain vague. Nouveautés (9 h.). M. et Mme Un Te). Palais-Royal (S h. 30). Les Dessous de !< Robe.

Pigalle (8 h. 30). Donogoo. Porte Saint-Martin (8 h. 30). Cyrano d< G. Fauré Bergerac. P. Bedautti Potinière (8 h. 45). La Tuile d'argent. renaissance (9 h.). La Chienne. Saint-Georges (9 h.). Décalage. M.R&vel L'Aig'on. Sarah-Bernhardt (8 h. 10). Scala. (8 h. 45). Couss-Couss. ¡ ,< Studio de~ Champs-Elysées (9 Le Cfiant du berceau. Théâtre de Paris (8 h, 30). Un Homme en habit. Ciboulette. Trianon (8 h. 30). Variétés Topaze. (8 h. 45). M. Ravel Vieux-Colombier (9 h.). Noe. C. Debussy

<i'oMercredi, 'M'mc AHce Piantini, /a~Me//<' L'0''t-/t~<)-f J0)!t C.t'~O~M ft ~~t'f/O/cy. A~Ot~ MM'Mi'ca/, L'tM~c Fr~otC, en MUe Gisete Cicuzet, Sa- 0<'COf~<'fO«~ &<'); t'O/Oft~r.f, a:< COM))tO!<f!f~ Vendredi, 7')-M~O){ et Yseult. Mlle Anita. Cartier. Dimanche, -S'n!o;t c~ Do/i~, c/C)'c~ ~«c ~'<BMtTe est, f!c ~<trc<-o<~ Mt/tt(M)at';)<' medi, .FoM~. PfC/;tdc<<0!))!H)'cn~. Lundi. JMî'C!< .!wo)t /o:(/otf~ o-~of~tf~. La Mû~c V.–M~odt'f~ /tc6)-a'«!Mc~ </<' /)fMf;<yc<;OM <'t)C/;a<)<M.ff .OC/)~0 L'OPÉRA-COMIQUE .Mc/Of~'i'.f /'0/Ot!'M~ff~A ~t<)- :<)!<' M. RSMl POtMaMC. Mar- la )-<!t'c/<)~c Ma. Mère rOyc, Q;!t, t~x Lundi, I.o Vie de &o7'c7tt<jLa Q!tM Co~o~ 7"o.f< Mercredi, ~a<t!M< ~e i9t0, <<'< <(<rct)tf)!t ~'<H)c, cyt di, C<H'<c.9n'<. MUe GABRIELI.E DAULY Jeudi, en matinée, CoM~n/y g!fc /a Musique pour radio, ~'(!?r/!c ~~0~~ </f ria rtM~cano. .S'O/M~ des Co)!f'~f~ Co/OMtC et Pa~/OK~ Pfao;tg)ff. ~).f. ~!n<? J~o/<~<?r''<' de la La soirée, en a /o~Vendredi. Afa~n'/i~ ~M~~y, ~c Bo!/f D. ~lilj'iaud MHhaud VI.–Qttc~Ko?V.I.P< Mme Yvette Guilbert ~~<c Quatuor Samedi. La /?o<~<')''<' /a CAJe .MMMt; en Dimanche, mâtiné, <{<M«!!f~. en INFORMATIONS Privée ~!t co)!<'o<;f~ /')'~cf'<')(.r tfc ~ff<e DK~PELLE. soirée, Co~x' ~/m< f/taw&~c la <7t'?, o L'OPËRA-COMIQUE /'n~' .Mnc, t~Otfe~ COMÉME-FNANCAISE A LA Yoshiko ~A jeune l't~~C C<«'~fr~ artiste jaMlle Miyakawa, Ha MO!; ~fi~C))!<')tt <! '~4M~!<<0!)t/M)~:2mar~io3ï: ~'aMtOMfCM.t-, Ls !~0!t- /)'<J~K~oLundi, t/K )!:<)))fro.~ <ff t'f:)!possession du ~f.t ~t' de M<7! C;)CO!'C /')'M<'t)<C~ qui vient prendre jB/otc~tc~f. ponatse .Maf/oM'c Mardi, LM COM~-M <tM côle de .B«~r//y, reparaîtra dans l'ou- !M;'M, RADio-PARis (1.724 mètres). J2 h. 3o Mercredi, Le JM'o!<? de ~OH <'a?K' M))~ /)'(!)!f0t'yf.<' n~0)'<f')!(!):f ft /tC:<~ <0~ ~Ot LûMM. enregistrée vrage de Puccini vendredi prochain, i. Carmen, {antaiste Jeudi, en matinée. Le /<'M de /'<!t)!o;~ et a:{ ~KM <'OMMf);fo)!t des J!</C~ <f<<?, do))< elle M.usiqueexécutée et soirée, LM at'at~ fait f'0!.r ft ~')');<c);<o;; ~c .f.t o;ff~r!< (Bizct). 7;ojo~ Le Mo/o~e tM!0.<;M<0!)'< par Je maestro Dajos Be!a en A LA COMÉDIE-FRANÇAISE Ventdredi, (Bizet), La J3<?//c Co~M ~'Ot Lotft-f. 2. Carmen ~c sa /ow~e ~fic/ic n:.vc ~<t son ordtestre viennois ~'acq!«s Demain Jundi..B~Mc/tct~ sera interprétée par ~t'<-M<M~.~KSamedi, ~/0!))tC)!~ chante Ninon VaHin Mme par de avec accompa" Le Ma~~ ~OM ca?Hr. MM. Charles Granval, Paul Gerbault. Doriva), Dimanche, «M CM~t! MTMt'Mc, 7.'t' Rnement d'orchestre <_0t < r~OM !a. direction de M. c~ CoM'e'-M LM matinée, sous en <;n~'<J!M'~c par /'aMo;f)' de ~o): art. Spi- Cioez. chef d'orchestre de l'Opéra-Comiquc; Ledoux, de Rigoult, M. Le Marchand, Pierre Lo«:~ nV«!<~0);, La Le /0!<c!(r soirée, Faubert. M. Dufresne; Mmes Marie Bell, Ca- .BrM<c. en nt;fcM<' ici, &OM cx/at~ M, eMf ~i~ c(?a~)):<tt 3. Grinsoire (Th. de BanviHe). La BaUadc (les Lherbay. therme Fonteney. Irène Brillant et ;fOMt~r des <!f<'C; ~)'0~0)!~fM?))< /Uf<)<0~ pauvres xcns, interprétée par M. Georges Bcrr, Dans La ~o<.T H~mo: paraîtra Mlle Berthe A L'ODHON 'L'Otr<o'0)'o)'~t(')/coHt'e<!atf. L~trof- sociétaire de Ja Comédie-Française 4. Faust Mc~ Joué ~'o)'G~!< c''ot)!OMr<'t<.r Ma~a'ttf Mardi. !7" Df~KM~r Bovy et par Lundi, sera Mt!t~C~'M/'a~K<?/E<'0~/)'<<'H<rC/C/'t<i't' (Gouno.d). Sérénade, chantée par M. BHtot. de M. Roser Manteaux et M!le Irène Brillant. Mercredi, Le BeaM c<M<f)'r~c QM'«)t(Ho~o<7!;c.<efi~O{i'M~<t)' t'Opéra-Comiq-uc; Chaso'n de SoIveiR'. extrait de Le C/iM'oh'~ C~tc~f. L'JEfOM Af~cc. matinée (Leo)]C3.va.l)o). Jeudi. Gynt (Gries)' 6. Paillasse <-n !A. L'ODËON S <<)< Vendred), !!Mfa~ CX~'f/Xt Ct C//C.jf//oMMf 0/0~ <<<?);- Pccr d'Ar]e()t)in, chantée par M. MichcSercnade <7c~ Mcrc.en soirée. Cû/c Rappelons que c'est ce soir <)U'a. lieu ta 'reprise Boot OK La PoM<'M!'o<t ~M &fc~A Samedi, cti fn'e la dt'fa ~'f!</)-cMf)- « cf'i,- Qi<t c/a<<')~ .)ctti, de tl'Opéra-Comi<]uc; 7. Cordo)'a~ (A'!b. !âe Le F~Ott M<<')', de M. Henri Clerc, avec matinée, .M~afc, .Lr C<t~o~<.<' J' ~unept~ en &ui- I Le C7!<tM.'rO", ~tM Ot.fO! Pt'O~OHCO'~ C~f niz). solo de castagnettes. ï)ar Mme Arcentin.~ 7'cM;'c!'r .M'' OfO~)~' MM /0;t fM M~Wf ~CW/t~ 0//ff~<CtU' avec acco)npaKnem.e!!t de Krand orchestre. 'M.Ar<]uiI!ière dans le rôle d'Albert Barrail, rce. ~H CA~faft ~c /'0!~c dY/a~'f, 0}u'ilacréé. /<<'c<M.–Dimanche, en matinée.~ Mnf'eooc f c< ca~~i'Heoti~ oo /f! ~f/;<ntt /0t<yc c~r~ttc rff i3 h. =! 'Concert syluphonique (music)ue e.nr~.S'o~-GO'c; en soirée, I-c B<MM Mfh'c)'. ~istree) i. Concerto 'hrandc'hourKeo)!: en fit majour'(J.-S. Bach); 2. Thésée (Lt:ni): 3. SymMAUMCE IMBERT. (A M~ffC.). 4"t Il n'y aura .pas de .répétition générate A. LA GAITE-LYMQUE 'phonie en sol majeur (Beethoven): 4. BaHs.de à la Gatté-Lyrique. La presse Pour ~0 Lundi JL~~ Mo!M<?tt<)'<<' ox (Fauré) 5. Poèmes arabes (Coppola) 6. Dans Ca~ot~, sera. conviée, vendredi soir, à la première re- Mardi. y~-0)KqM< Mercredi, Ftcx.f <'<' Le nouveau Co):ff~o pour piano de .tes steppes <!e t'Asic Centraie '(BorodineY présentation. Le /o"o~Kr Je A~-c-D~'e. Jeudi, rchtehe. Rave! est écrit 'pour ta main Rsuche et est h. 4g et j8 h. 3t) Musique enrKp:tStrce. ~matince dimanche et Wittj!enstcm, samedi Vendredi, Pa.ut .pianiste manchot et destine N<Mto Madeleine, est Mon Jsmenie <'Labiche-Ma.rc Au Théâtre <!e la au 20 heures J?<!fo<< PasConcerts La passé soirée), rau oui a etc entendu aux Concert de mélodie, piè~tiehel). précédé d'un petit acte de M. Sacha Guitry, in21 h. 3o detcup. au.ditifMt intégrale des puis titulé Ott /'OMC ~StM /<< yOKM. \'ioloncet!c. ces pour vinRt-quatre .prehidcs de Debussy. Premier De BruxcUcs MUSIC-HALLS <t"t' C'est M. Pierre Juvenet qui créera, aux Mathunns, !e rôic du président du Conseil, dans Au courK d'une cérémonie intime, ou! a eu groupe. CABARETS ET CIRQUES TouR E!t'FK' (ï,44§ mètres). jfo~M-~oMr6o.M. 12 h. jo ]ieu ces jours derniers au Cercle artistique, Vpccnt remis M. à Elisabeth Jt) h. 3o ConS.M.)a reine Retais de Paris P. X. T. PerdrI~rc sona 'K' On dit que MUe Hélène Comédie-FranSOIR officier l'ordre de Krand d'Indy. Jes de insignes CE L'INAUGURATION DE symphoniq'uc. cert Serait, elle aussi,à quitter la çaise. D'aucuns affirment mcme que la charCE SOIR de!a Couronne. PAMS P. T. T._ '(447 mètres). 12 ji. 15 '<< mante artiste serait sur Je point 'de signer un Chroniqu.c touristique. ï2 h. 25 Concert An Casino de Paris, à 8 h. 30, Paris q«< contrat avec M. Rabert Trésor pour une tmporde organise 'par l'A. G. dc& audit~irs de T.S.F. Léo Lehe- 'S'4' Demain soir lundi, à l'Ecole Normale revue de MM. Henri Varna. tante création en septembre prochain, au Théâ- ~M-, Earl Germaine de chant récital de Musique, Concert de musique cnre'ristréc. 2° 10 h. 45 Leslie sketehes de MM. Marc Ca'b FERALDY, vre et tre Michel. GaMme de h, Orphée, tra~édic-opera <:)) trois 3o avec le concours so Jean Deyrmon, musique de MM. Vincent brielle CASADESUS, Presle, MM. de la ]e titre choisi et de de Gluck. 4~ ~Ottt~aK, tel est, ;on le sait, José PadiUa. P. VeIIon.es. actes nou\'e!!e opé- Scotto. Borel-CIerc et Tomasi Ferez, H. et Delannoy, parau plusieurs autres pour la présenter RADM-L.L. (ôl et 36o meircs). Au Cirque d'Hiver, à 8 h. 30, la troupe 20 h. 3o dans .rette que M. Léon Volterra va Kme, )e cirque suisse Concert oftfcrt le Qu.eiquf". 'disques. 21 heures *? ouelques Jours au Théâtre Marigny. Dans Ja orientale South-China. samedi Matinées, jeudi, et di- <-<' La planiste Colette CRAS donnera son par !e ~<?tt~to! <~f De&n~ (voir programme ciRex, ~tc. Marigny. MottfaK fait trio ca~e '(torée du TMâtre manche. déjà entendre ses pépiements tes plus joyeux premier récital mercredi 4 mars, salle Cho- dessus). la musique de M. Louis Beydts, pin. Au programme Scarlatti, Bach, Lazare PosTE PAR!S:EN (327,5 mètres). 20 h. 2'; aux sons de ailés dans Satx M. Guillot Falla de Beethoven de et de Debussy, Lévy, Concert, avec ~e conDisques. sur des vers MM. Henri Duvernois et Pierre 21 heures <t"t' C'est, dit-on, MHe Cora Madou qui sera CRAS Jean pièce de opérette M'Hc Yo!e Bertracchini, du théâtre de Ja principale interprète de Ja prochaine cours :W.oIS. Argentina.deRome. du Palace, dont la partition sera de M. Vincent fêté, dans nuit la allègrement On a. fort Sootto. 2oheaRADio-ViTUS (43.75 et 3i5 mètres). SALLE DES QUATUORS GAVEAU Be ieudi à vendredi la double centième du qui avait Concert Mayol, 4"t adagio, du 6 a) clôture Quatuor à cordes, 3o n" La rcs à 21 heures Jeudi C/fa~ dM &crt-<'OK et de ~i<< g~Mf mars, 5 transformations les b) aHesro, c) andante cantabiJe, d) tnenuettopour permettre Les nombreux été envisagée ajournée. pianiste au Studio des Champs-Elysees. établissement a.iieKretto. e) fina!-aUc.Kro motto (Mozart), par est de cet amis des auteurs et de la direction firent b~nle quatuor Capet. BatGérard somptueux M. (Montpellier) ttun'et MUSICA au que à Invitations neuf LA MUSIQUE jjedat avait .fait dresser sur '!a scène à l'issue de charmante Sa représentation. Ce fut une réunion PROGRAMME DES SPECTACLES où l'esprit le plus parisien ne le laissa, en nen a heures Erard, à 21 salle Jeudi 5 mars, 2a Rajfe du meilleur a]oi. Concert de rentrée dHi"'marsi<)3i Voici !e texte des modifications Lréccmdeat apportées aux articles i et 2 du règlement Théâtres qui réRÎt le Conservatoire national de mustque Concerts Straram Bach, Beethode Œuvres programme Auven, Liszt, Scriabine, Ravel, Chabrier. Opéra (8 h. 30). Thaïs. /fM~t d<v«t'~ M. ~Fo~f'' ~~a~~M M'ofoft et de déclamation. Les Contes de C/'0!)t&fC. Après h<' Ce concert étant donne sur invitations, adres- Opéra-Comique (S h. tg). 'Le ministre des l'instructMn.publique et des t-fi~Mt gK'MM orc/;f~~t' 83, rue d'Hoffmann. tea'jx-arts a~o:~ fait ~'o!f~)' /<t S~~nphonIe f): si liemol de ser les demandes a MM. Dandelot, 13-25). ~)')'n~M~ d'Amsterdam (Gut. La Belle Comédie-Française (8 h. 45). jF-foy~'t CMC ~0!~<' la N''Cfe )-C(!)«M, le Arrête aventure. Le paragraphe premier chef fit sortir ~M f'Ot~ le //t!fM~ M. Mo~~ ARTICLE PREMIER. ~4ccoMLaskine. Le Beau métier. Odéon (8 h. 30). M~ Lt/y <Ie l'article 57 du 'règlement du Conservatoire Mc~c et la ~ar/!t~~ donnera récitals, deux NAT YVES <"t' Antoine La Petite Catherine h. 40). national de musique et de déclamation est ainsi pagnés par ~t<~ caMtOfadM de ~M~t'~M,ces salle Erard, les 6 et à ai heures. Apollo (9(8h.). mars, 11 C/OMC Matricule tédigé 33. ~CM.t' ay<~<M de la ~hM /M:~t' Expérience. Grande La (9 h.). PftW~ 1778, Arts _< Concerto ~f!t a Le directeur est autorisé à remplacer dans r~!t< ftt <ï Jean Musse. Atelier (8 h. 30). LE CÏNEMA Jes classes tous les élèves qui auront obtenu, soit .Mo.M< /'0:0' ~MM tf!~fn<M!<J ~C));M..&'«!10). La Lettre. soit pour <c~~fa<~M o/fWr<'n< /Mt !<M f~a< diSOIR Athénée (9 h. ~pour accomplir leur service militaire, e)t ` CE Avenue. Relâche. des raisons graves de santé, un congé d'une an- ~Xf de f0! Nous ~i'~tO))~ ~;)<C d'n'~ Q!f'<'Mc avant les Les Aves< née FoHes-Dramatiques (spectacie per. Boufies-Parisiens (8 h. 30). concours d'admission. ;> ~~M~CKr la /!tr/CC<OM ~Mt ~C ~CHt Aux dépassa CM L'article 86 du .mcme règlement tMOptMCr. Les <fc:i.T jM<t'H<'< Vi~MO~M /t<< manent de 2 h. ~o à minuit). 2<cpM /e ~<M'a!'t. tures du Roi Pausole. ART. 2. paragraphe Caamartin Enlevez-moi. partir comme à du 'modiné suit, (8 h. 45). <est C/!aM&r< Marivaux, L~ My~fc <h< &on/!fM!' Or~~<)QMf ~M'~ <tMfM< )-~m~CtM A Châtelet.(8 h. !5). Sidonie Panache. 2 inclus ~)~ah'OM t'OKt:~ B!m parle ffançais, des ~0[<t$'K~ pCM~K~eMM~~ ~Cf ~t < Tout cKvc de chant ncn récompenseà 'en

Samedi A sta Comedie-Ffancaise, en matinée, répet!itMn générale de JLft ~?o/o/c, pièce de M. Henry Bernstein. –Au en matinée, groupe <t: Recherches ~cc/f~~c/t.p~. pièce première feprésentation de en trois actes, de M. Léo Desarts. Au Studio Fontaine, en soitée,, première Mprésentation de Le C'o?!~o<h'cr~. Au Cirque d'Hiver, à irunuit, gaJa de t'Union des artistes.

conférence par M. mars, a 14 h. 45. à l'Université de Liège, Paul Fierons, professeur dans religieux Crucifixion l'art La sur <: Co)! 2t~<fo/Mt HOMï/cMc, Musée pédagogiMardi 3 mars, à que. 41, tue Gay-Lussac. sentiments famiL'évolution des jô h. 45 <f liaux et le combat pour l'enfant à l'époque actucUe 18 heures, docteur'Jbudon « VitaMercredi 3 phénomènes mines, mars. 16 h. de carence L'éducation 45, Mlle Norden: des organes; )c développement de ]a voix; 18 heures, docteurMontreuU-Strauss: « La foncMercredi4 mars, à 20 h. 30, tion maternelle l'est. Boutant. 34, boulevard Saint-Miche), conférence pat « Le pacifisme et la morale M. Eude; prés., M. A. Chamson. Le département d'art de la bibliothèque âme* ricaine, M. rue de l'Elysée, annonce deux conférences,Michel une pouf le jeudi 5 mars, a 5 heures,' Benisoviteh, expert en peintures par M. hollandaises et flamandes. Tout dernièrement, M. Benisovitch a visité les vingt plus importants musées des Etats-Unis, notant les récentes acquisitions et la tendance des goûts. La cenférence annoncée: « Un critique d'art européen visite l'Amérique ?. sera le résultat de cette visite. Jeudi !2 mars, à 5 heures, Mlle Fanny D. Taylor, conférencière aux musées du Louvre et du Luxembourg, parlera sur <. La renaissance artistique en Amérique ». Ces deux conférences seront en anglais. Le public est chaleureusement invité. M. Jean Wakh. chargé de cours a l'Université de Leyde, doit faire a la Sorbonne, le vendredi 6 mars. a !7 heures, une conférence romantisme sur Ia' littérasur « L'influence duCette conférence sera présihollandaise ?. ture dée .par M. Baldensperger, professeur à 'la Faculté des lettres. Z~o/c co/OMto/c, 2, avenue de J'ObservaMercredi n mars, à 2t heures toirc. L'habitation des indigènes en Océanie », par « 'projections. Leenhàrdt: Maurice M. .Eco~ des ~cM~EhK~.f sociales, 16. rue de la Sorbonne. Mardi 3 mars, 16 h. 15 <: La jeunesse de Léon Gambetta x-, par M. Pierre Jacomet, avocat à la Cour. CoM~ libre des .s'CtOtCM .M.i-ta~ Hôtel des Lundi Sociétés savantes, 28, rue Serpente. 2 mars, 4 h. 30, M. François <: Les matières premièresde 'l'Afrique occidentale française :-> =;h. 30, M. le docteur Agadjamian: 4«h.Les Mardi 3 mars, 30, troubles du langage difucultés Délais! efdes Les M. Francis « forts économiques avec l'U.R.S.S. »; 5 1' 3°' â M. W. ArchawsM: « Modificationsapportées la répartition des valeurs mobilières depuis Mercredi 4 mars, 4 h. 30. M. Ch. lQt4 ». Carabibcr « L'éloquence judiciaire a Rome Psychologie de la parole <; h. 30. M. Ajam: publique Jeudi 5 mars, 4 h. 30. M. Horace Thivet Ce qu'est l'Ofn.ce pour t'esthétisme x. 5 h. 30, M. Raoux-Parassac: « Le rôle social du Vendredi 6 mars. 4 h. 30, M. cinéma ». Pau) Loyonnet: « Ce que représente le jeu des 5 instruments dans t'évolution individuelle Idéalisme, Legrain: docteur heures 30, M. le « de Samedi universelle 7 mars, paix s'. (euvre de La Bourdon M. Georges presse 4 h. '~o, Panant 5 h. 30, et de l'affaire Dreyfus S'Hollande La d'OultreseilIe au M. Renault dix-huitième siècle

Mardi3

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La prochaine séance de la Société d'économie politique aura lieu le jeudi S. mars 193]: très précises, CerDiner à 7 h. '!0 du soir. au PdtUcrs de Renaissance. cle de la iour12.derue séance du la (7" arr.). Ordre du affaires aux des « L'Esprit 1931 mars Etats-Unis par M. Georses-Amedee Nicolas.

PUBUCATÏONS RECENTES Les ~<<MenM

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H~~tfc ~o~oMf de <'&i)'o~< i8!5-i9i9, par Edmond Rossier. c/MCU)t ~a t'o/M~ par Raom. Gain. (Atbm

~tûft ~'MM ~o~, t. I. par Richard Aldinstot!. {AlbrnMichcL) Z.'AotMMtc a fa ~OM/ par PKrre et Alono

15 S:rc. <Lcmcr.re.) f/of~e ~c/t!tcMff. par Marcel Rouit e: 12 :fr. Th~rÈse Cascvitx. (TaDandier.) jLM B<a~7HM ~Bt~o~e c< ~;{ «ioxa~par Giorsto Quartara. (Œuvres représentatives.) 12 rr. -L'ofOOthtattOH sociale, par Louis Leieu. (Ed. Spectacles divers Va!lot~ ~MO! de ~o)i<at.oM< 2 voL .(Edition& R~ Casino de Paris (8 h. 30). Paris qui remue. 42 'r. Les deux votumes: Deux-Anes (9 h.). Au Bonheur des Ane~. ches.) {/<;<' /'<-ttt<-M~c de XK~M. par Jupette Jacqu,e< Empire (8 h. 30). Sophie Tucker, 20 attr. tnin. (Lthrainc de France.) Folies-Bergère (8 h. 30). Un coup de folie. L'jEf'o/'c c~t~o/c ecoxoHMOM'' et Moatf.'pa.c Mayol (8 h. 30). Nu. sonore. 15 tr. Paul de Csikay. (Ahxm.) tr. (Spes.)~i5 Lhande. Palace (9 h.). La Revue argentine. Le Po~c)-, par Pierre Lapor.te. Cirque d'Hiver (8 h. 30). Les clowns Da5'o<M ca~«e d'oofr, par Maurice (Redicr.) rio, le trio Rcx. Pour <en;~c, par Marguerite Ferroy. Loya). lies Cirque Médrano (8 h. 30). et !? (Vraie France.) Antonet et Beby. (Gailmard.) Ajathert. Jean C/CHtMCfa~

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New-York, 26 février. Middting Uptand. En cents~ COTON. 11.0~ par lb (453 S'). Ouverture mars,

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t2.oy).

àLes

.ba.es.

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rue de Vauxi.rar~ Mercredi prochain, à 20 h. 30: <s 'La nécessité de Faction civilisatrice des missionnaires par M~r Lemattrc. archevêque de Carthaxc. Sous les auspices de l'Université de Pans et sur rinvitationduComtté scientifique francohoUandais. M. Buytendiik. professeur de .t~lysioloRie à l'Université de Gronin~ue. fera une conférence sur Le cerveau et la <?e[)séc &. à l'amphitheâtrc de physiologie <!e la Sorhonne. (Entrée par la rue Victor-Cousin, i. à 20 h. 30.~ ~M Af«~c ~« LoKNff, 4. qna.i <!es Tu!!erics. ~Jt:M:'o)t <~c.t

oet., 5.98 (5.97); d~c., 6.11 J3 !ots.

'9

(6.io). \'cntes~ i~

34~ BLE.– En cents par bushe! (36 titres3/8~ n° 2, disponiMe: roux d'hiver, 91 1/8 (91 cot~ dur d'hiver, 77 3/4 bigarré durum, non Maïs disponible pour l'exportation, 74 3~x (75 7/8). Farine de printemps, prix extrême~ POMr 4.40 à 4.70 (id.). Frets grains Roy-mme-Uni, 18 à 30 pence !c quarter (td.~ pour le Continent, 7 1/2 à 8 1/2 cents 1~

~oo.!b9..(id.~



REVUE pNANC!ÊRE Les

rappel de trois grandes

bettes et la crise

banques

econoonqMC

Paris, leaSfévner.

La Banque Nationale de Belgique a tenu, ïe

lundi 23 février, son assemblée générale, sous la présidence de M. Louis Franck, son gouverneur. I! n'est pas sans intérêt de se reporter à ce qui a .été dit à .cette, assemblée. La Belgique se recommandeà notre

attention non seulement au 'titre d'alliée fidèle, mais encore a. celui de pays voisin, dont les liens économiques avec !e nôtre sont des plus nombreux. En étudiant ce gui se passe dans ce pays, au nombre des plus actifs des pays d'Europe, il~'est plus d'une occasion de s'instruire. En faisant, d'autre' part, des rapprochements entre le rapport lu aux actionnaires de la Banque Nationale' de Belgique et celu! dont nous avons récemment Tendu compte et qu'ont entendu les actionMires de la Banque de France, il y a aussi

des enseignements à tirer. La Belgique comme Ja Francs a une eneaisse-or considérable. D'après le rapport de M. Franck, plus de 67 de valcurs-or couvrent les billets belges et autres engagements à vue. Quant à. la couverture en ormétal, elle s'est élevée de 5.875 aulliona de francs à 6.772 millions, soit une majoration de plus de 897 millions; cette encaisse deimpose le minimum de 30 passe de ïo par la loi. En France, au dernier bilan du 13

proportion del'encaisse-or aux enle migagements à vue était de 54,58 Du nous, de nimum légal est, chez 35

février,

1s

25 décembre 1929 au 25 décembre 1930, !a circulation fiduciaire a augmenté en Belgique de 2.380.302.000 francs, passant de i3-437-48i.ooo francs à 15.817.783.000 francs.

L'augmentation des billets a été entièrement couverte par l'accroissement des valcurs-or. En Belgique, comme en France, les fonds d'Etat ont progressé dans de larges proportions. De janvier 1928 à décembre 1930, l'indice du cours des rentes a passé de 100 à 126, tandis que, dans le même interyaHe,. l'indice de!, actions et autres titres à revenu En France, le même variable perdait 44 phénomènes'est produit les rentes sur l'état ont progressé,tandis que les valeurs à revenu variable fléchissaient dans d'imposantes proportions. La fermeté des rentes belges, ainsi que celle des rentes françaises, s'expliquent par l'application que le gouvernement a mise à réduire la dette publique. Depuis la stabilisation, qui a été beaucoup plus mouvementée en Belgique qu'en France, le gouvernement belge a poursuivi l'extinction de la dette flottante extérieure, la réduction massive de la dette flottante intérieure par voie de consolidation, le remboursement des emprunts émis à l'étrangerà taux élevés. i l'heure actuelle, les deux premiers points de ce programme sont pratiquement exécucutés et le troisième est entame. Un quatrième objectif semble se dessiner la conversion de certains emprunts, rendue praticable par l'abaissement du loyer de l'argent. Progressivement, le total de la dette publique belge a été ramené de 58 milliards à fin 1926, à moins de 53 milliards &n 1929, ainsi que- le montrent les chiffres ci-

A

à

dessous:

SItuatjon

1926. 1928.

au3oseptp!n'brt

e

1927

1929

9

En n;nl!!ons

<le0sm<;s. 55-820

55.266 54.045 52.695

Depuis l'année dernière, cette situation s'est encore améliorée. En effet, l'expose gênéral du budget pour 1931 signale qu'au 30 septembre dernier, le total de la dette publique belge était de 52.246 millions de francs, en diminution de 450 millions environ sur les chiffre.? de l'année précédente. Les efforts faits chez nos voisins pour amortir la dette risquent malheureusement, d'être neutralisés ou même ruinés par le développement de la dette viagère. II y a en Belgique, comme en France, un danger de ce côté; nous l'avons naguère indiqué. II faut espérer que la sagesse des parlements Jes arrêtera sur la voie où ils ''ont si fort engagésà se laisser glisser; mais il est malheureusement possible pour l'équilibre budgétaire que cet espoir ne soit déçu. Quoi qu'il en soit, nous sommes en présence d'un fait qui devrait être consolidé au lieu d'être miné, la bonne tenue des fonds d'Etat belges, qu'on peut rapprocher de ccila des fonds français, est liée à l'équilibre bud-

gétaire.

Si les actions et autres titres à revenu variable ont fléchi de fa~on considérable, c'est en partie parce que le monde entier a été en proie à une nevrc de spéculation qui ne tenait plus compte des possibilités des entreprises et qui anticipait tout au moins sur t'avenir de façon extravagante. La période de pénitence est arrivée; la crise a sévi et s'est propagée, partout. La Belgique n'y a pas échappé. Le gouverneur de la Banque Nationale de Belgique s'est longuement arrêté à cette crise, non pas qu'il ait insisté sur ses causes, considérant que tout avait ~téf dit à ce sujet, mais a recherché les moyens de sortir de la situation actuelle. M. Franck a préconisé comme l'un des moyens propres à atténuer la crise, l'abaissement des prix de détail. Il a indiqua ~u'en Belgique, depuis un an, l'index des y ix de détail était descendu de près de 50 points. Il a ajouté que ce mouvement devait probablement. s'&ccentuer encore, puisqu'il était loin de correspondre a l'allure de baisse des prix de gros. Pendant la même période, ces derniers prix ont, en effet, baissé de 147 points. Un ajustement reste donc nécessaire. A cet égard, la Franc?, il faut !e reconnaître. est moins bien partagée que la Belgique, puisqu'on observe une allure discordante entre Tes prix de détail et les prix de gros, les premiers tendant a s'élever, tandis que les seconds, au contraire, fléclussent

il

conHne partout.

Au M.

nécessaire, Franck pense que coUaborcraiit grandement l'abandon ou, tout au moins, la modération du nationalisme économique, t un des On legs I<-s plus fâcheux de la guerre se heurte partout, a-t.it dit, à la conception surannée et fausse dea.écon<Mnies fermées, comme si un pays pouvait espérer a !a longue exporter sans importer. C'est induire le public en erreur que de faire de la propagande protectionniste en disant que, si l'on ne veut pas abaisser le .f~Mt~ <~ ~t/c des

redressement qu'il

ouvriers nationaux, il faut

des

Juge

les protéger par

barrières 'douanières, s M. Franck a plaMe b cause 4'un régime douanier libéral

et condamné le protectionnisme outrancier. 8'arMt~ra.it-on dans cett? voie ? a-t-H <: 'Ou

ajouté; aider de cette manière telle ou telle branche de la production nationale, c'est favoriser des intérêts particuliers aux dépens de la généralité, et c'est aggraver crise en alourdissant les prix de revient. sont la des vues très judicieuses qui sont souveat exprimées aujourd'hui mais qui sont plu-5 rarement que jamais des réalités. L'industrie belge, qui, par ses exportations, a fait en grande partie h prospérité du paya, a besoin, plus que toute ~utre peutêtre, de débouchés. M. Franck a insisté pour que la recherche de c'es débouché soit énergiquement poursuivie; c'est bien connaître les nécessités du pays, qui fait encore bonne figure parmi les pavs exportateurs du monde, puisqu'il est le quatrième de ceux qui ont enregistré les augmentations les plus importantes d'exportation, si l'on compte ea chif-

Ce

fres absolus, et'le second, si ~'on compte en chiffres relatifs. Mais il est de toute évi-

cale publie regu/t'ere~men/ le mon/anï des transac~ons quotidiennes SUT' ~n eer/a;n nomore de ~a/eurs. Des pro/es/a</ons se sont e/efées eon/re cette pubh'co~'on ou; nsaue, dit-on, d'o/~ner de notre p/ace /es<: opera/eurs n'a d'outre résultat que de me//re en pleine lumiere notre ;n/enon'/e co.mpara~emen/ a tV<af/ S/ree/. A~dus avons écrit la semaine dernière oue, s; /a penun'e des /ransac/ons est certaine, elle est, compte tenu du capital des en/repr/ses /ronfa;'ses, moins médiocre qu'on ne

recou~ra~ ~e moHfcmenf des a//a;'res sur auc!CUeS-Uns des points les pfHS M~CMSSan~S de ¡ cote, ams< que la position yendeHr et ac~reHr et le monfan~ des capitaux en ;eu. Ce gué /e e/ Parquet a fait et ~fen ya;r, la Coasse dof< raccomp/r a son tour. jE~, des lors, le cyde e~ant compter, f épargne, sur fe ~erra;n de /a Bourse, en eproarera de reefs oien/a/rs. Le p)oaan< de fc/fa'frc est, comme nous /e disons p/us /;anr, que ceu.t-M mêmes qui, hier cncc/ se mp~rc; parmi pourrai /e croire. Prenant /'exemp/e de la les plus ardents a goHfvnanofer, <-on~st~ GHGénérât Motors <t de Citroën, nous av/ons jonr~'At;! ~/<cacM ~M mEMyes ~c~mfM. montre ~ue, toutes proportions gardées, ? :?'~tmarché d;t t;tre /ranca;s aya;t été, au cours A~ne ;njro~ttffe ~ouc/Mn< ~ia~vM. et de/a ~e/namc, deux fois p/us act</ aue ce/ui ~<!c~'on ~s ~M~crnemM~s succM~s ~m ont du titre amenca;n. Le confrère /;eodo'mada/re fro! ans, e~ sur auaue/ nous r~proc/u'ons de comparer, sans été ~om/n~, ~ppu/s p~M /Ct're appel d'aubes cons/derat/ons, Pans et <ir!te//on/~epro<ej~<T/'cpar~nc. A~6tp-KorA,;n'aamet

pas ce~c cMs~a/on.

Nous cd/nt/'ons, répond-il, cc~e façon de politique nationalisme écode dence que la ~!M~e c~ de <x M~u~coHper ~cs c/!ereKx nomique, qui s'affirme dans la presque tota- /pr fan'</H7:p/i<;M.M Afc;s, n'en depfc/sc à nolité des pays du monde, n'est pas pour éclai- tre con/e, <:ufHn lecteur de bon sMs n'adperspectives favorable les de d'un jour rer me~~ ~tt'Mf: marcAe où fon ~ra//e 50 ou l'industrie belge. Aussi, pour ne pas aggraver 100.000 par jour est moMS actif <?H'un }a situation et faciliter la lutte ?ur les mar- marché où ~on n~c/e Que t.000 OK 2.000 chés mondiaux, les pouvoirs publics belges titres d'H;: pnx ne a près c~u/f~n~ Ce qui doivent s'appliquer à ne pas accroître les impor/c, au pointpeK de v.ue des opÉrateurs, ce charges des contribuables, charges qui ont n'~s~ pas la p/'o~or~oy: <con~ue des )'~res leur répercussion inévitable sur le prix de ne~o~t'es par rNpjoo~ au capital, mcfs 6~/t revient et, ici, nous touchons à cet autre /mp/eur des ~<!7!scc~ons ~c;f~e dt; problème, problème vital s'il en fût, qui se- trouver des confre-j?cr~'M. y rait de restreindre et' non de développer les /!C~e con/crc, JV'c/: dep/a/se à /'a;me~fonctions de l'Etat. Mais, dans ce domaine pas.~ Ce j~ se mcaussi bien que dans celui de la protection, que ne se <ma~U!V~ quille, t'es~ Hn mcre/!e/ et ce sera'~ fOK/o;r <e ce n'est pasprécisément la raison qui, dicte /nn<7M;7/~ ~ue d'e~e.r sur Kne TS~ettr dont il les solutions. C'est dans l'élévation des barrières doua- existe 600.000 ~res des <ranst!ch'ons ~Hssi nières que le rapport dc la Banque de /!a/ni6/'eHses ~He sifr !Me vn/eu;- représente à 43 /n/Mo/!s et de/m d'e.ïe/np~res. On a <a~e, Bruxelles voit, lui aussi, une des causes et non la moindre de la dépression qui certains ;ours de cette semaine, près de 9.000 pèse sur le monde. Il recommande donc celons Citroën. Nous serons ~e/t~ de dH'e ~tte comme souhaitable de chercher a rapprocher c'est <rop. ce train, en effet, <ot~ ~e cnp~a< en moins de les peuples sur le terrain économique, en de la soct'~e en<!ng<ra[~ de mains<~e conclure, 70 jours. Qtt'en s~non ~e papier abaissant les tarifs douaniers qui les sépaesf mof classé et tôt o~ tard 7e mauvais rent actuellement. En dehors de l'élévation des tarifs doua- e/asse'men~ de ses celons'e des repercuss~ns niers, la Banque de Bruxelles voit deux au- sur la 6onne marene d'une entreprise <M specuyo~on dans ~e wde? Si tres causes du trouble économique actuel ~e )e 'dumping pratique par certains pays et Ë /'efro~esse d'Hn marché /:H~~ ? sfncer~e des sous-consommation particulièrement marquée <rcnsoc<!0/!s, ~ne cmp/eur~ cr~e;eHcmen<t des grands marchés orientaux. Enfin, il mm'n<e/:He ne ~m est pas davantage pro~a&/e. co/npcrct'son entre Paris et .4H SKrp/us, ajoute que le problème des crédits à con~Vew-yorA est inexacte. Les EMs-nM on~ sentir par les pays ayant des dispositions inemployées, à d'autres pays moins favori- leurs me~odes; nous afons les n~/res ~Ut ne sés, revêt également une importance primor- se son< pas, devant les d~'c~es de ~/feure diale. En ce qui touche ce dernier argument, prese/e, reye/ees p/Ms mM~aMes. L'~mer~ue ne faut pas oublier que les pays, tout est le pays des entreprises gt'gnn<es~ues, qui aussi bien que les individus, ont assez sou- ne valent pas, ~Ma'nf aux res~/Ms o~~enus, les vent la faveur qu'ils méritent. Les capitaux modestes affaires /c/n~'tdes CMC noMs Nfons su accumulés en certains pays n'ont pas à jouer conserfor. A~ons n'avons /cm~s CM /c prétende prodm'r~ autant d'acier, au~n~ de charun rôle philautropiquc ou de bienfaisance; tion ils vont là où ils trouvent la sécurité; il ne bon, autant d'au~omo6~es que les Etats-Unis, faut jamaisoublier que crédit est synonyme et 40 mutons de Fronfa;s ne sct<rc;'en~ consommer ati~an~ de Me que 120 mutons d'~mede confiance. La. crise a eu eu Belgique les mêmes ré- ~ca/ns. La mentalité dn pitMt'c français, enfin, perçussions qu'en France. Les cours des meil- est essenff'e~ement différente de celle dK puleures actions belges se sont effrités à un M;c cmen'c~n, Le premfer /cc/tete oue ce tel point, dit la Banque de Bruxelles, « qu'ils ou'd peH~ ~yer et répugne <ï faire appel CM fait un /crge Hssge; ? ne tiennent plus compte de la valeur intrin- crédit, dont te second sèque de ces titres, ni de leurs possibilités premier ac~'er~ des valeurs mooiheres pour d'avenir La baisse du loyer de l'argent /es c/osser souvent trop /on~~emps, no~s le s'est accentuée. Le taux d'escompte de la reconnaissons en por~e/eui'He; le second, ~es efenem~n~s n'ont ~a'd peine Banque Nationale de Belgique, qui était en- chez /eoi;e~ au début de 1930, a été a~enHe ~espr~ de spéculation, recnerc/!e surcore de 3 1/2 réduit ensuite à 3 pour être Gxé en août tout /a dt//erenc~. Le mcrc/ie de Pcns a ~ott/ours été un marOn sait que, depuis le début 1030 à 2 i/2 M. cne de comp/o'n~. Lors des reMn/ons du Cornue de l'année, il est en France de 2 dt'scuMe au Franck constate qu'en Belgique, en dépit parlementaire dK commerce, OH des. facilites accordées, le reeo~rB a.u.crédit .cfs de mars.;1.93{)~j[!~eor.gantst~fon,denofre. d'escompteconstamment diminué, par suite pf<!ce, /e synd/e des dgen~s de c/Mn~e fc rede la dépression économique et de ta pru- connu en fermes co~e~on'OMes: C'es~ le comp~nf OM< mène ~ou~ df'sc~ et on ne le dente réserve observée par les entreprises. D'autre part, la Banque de Bruxelles cons- mené pas. n'y a pas d'opera/CMrs, n'y a tate que la régression des affaires l'a. ame- pas de con~re"pa'r~s<es ~Kt so;en~ capao~es de née *à ne pas participer à la constitution d'af- faire mat'n~enN'nt /a contre-partie du marcne de faires nouvelles et qu'elle n'a pris part à Pans. x Le <; po/nf de )~!fe des opérateurs & gu< soul'augmentation de capital que de trois sociétés. En revanche, en Belgique comme en haiteraient de poM'o;'r /ra~er des transactions France, nombre d'obligations ont été cmises de d~o/nes de milliers de titres a ~ou~ours eM e~ sera toujours à Pans, secondaire. y a au cours de l'année 1930, et on estime que le nombre en aurait été plus grand si les place chez nous pour un grand marcne de charges fiscales, bien qu'atténuées quelque /eurs moo~'eres, ~cts sur un p/an d;~eren< de ce~u~ de A~op.~orA'. C'es/ pour at'o;'r t'ou~f copeu, ne demeuraient encore trop !ourdes. Le rapport d'une autre grande banque pier Wall S~reef,pour afoi'r écouté et sut'ft les belge, la Société Générale de Belgique, <<:opera~urs et les < anïmafeurs aue no/rc s'étend, ïui aussi, sur la crise économique Bourse eon~a~ deeneance ou eHe est ~ammondiale. Pour les dirigeants de cet établis- oee, que /e pu6Me s'es~ de/ourne d'e~e e~ ~u'ii sèment, la reprise implique un rapproche- nes~e d y ret'em'r. Le p7us grave sympMme de ment entre producteurs, et consommateurs. ~n~r<e du marcne de Pans, ce n'est pas /e Ces derniers ne peuvent apporter pour l'ins- /at'Me montant des ~ransac~'ons sur aue/aues tant qu'un faible appui, a. cause d'une réduc- vedettes, e'esf /a mt'm'mp /mpor~anc~ des capttion sensible de leur pouvoir d'achat l'ciîort taux totaux employés en Bourse en une séance. en vue de ce rapprochement ne pourra donc Landt, ou; /uf, esf t'ra/, une yournec excepémaner que des producteurs, et ceux-ci de- ~onne~ejnen~ creuse, le ~o/~ des cap~au~ envront donc s'adapter à la situation nouvelle. gagés n'~ï pas dépasse 170 m/Wons; c'e~ /nIls ajoutent <: que dca réductions de salaires ~nt'menf peu, car ce chiffre ne représente deviendront nécessaires;elles auront pour ~Kere cH'une moyenne de 50.000 francs par compensation une baisse du coût de la vie. rôdeur co~ee, Les prix de gros diminuent partout, les prix de détail fléchissent, et, par la 'force des Ce n~ son~ pas /es < ppera/eur.! s' o:a rachoses, baisseront encore: le pouvoir d'achat men~onï 7e puo~'e Bourse. Ce ne son< des classes laborieuses ne se trouvera donc probablement les ~roduc~ons Et, dans leur conclusion, ils de grandes pas davantage pas amoindri faveurs M~erna~'onayes aut renécrivent que, « si chacun dans sa Ephère dront la Me au marcne de Pans. On ~a<<e fait preuve de bonne volonté et n'exagère cnaoMc ~our 10.000 a 15.000 Canadian Pacifie pas l'importance que les conjonctures poli- a A~ew-yor~. On n'en <: /a~ pas 2.000 d tiques ou boursières peuvent exercer sur la Pans. Les échanges auo~'d/ens sur fAnaconda situation économique, notre pays sortira de portent en 'ntoyenne 30.000 a 35.000 ~res. la crise dans des conditions satisfaisantes ». &: <ra~era-on p/ussur de 4.000 a 5.000 /orso<te Ce que le rapport de la Société Générale de le ~Yre sera adm;'s à no~re co~e? es< permis Belgique observe ici est vrai pour tous les d'en douter. Les oroi7ragt's<es, don< /e rôle espays et en particulier pour la France. L'op- sen~e~ consfs~ à refendre p~us cher au puo/fc timisme qui ressort de ces lignes semble rai- /rancaJs nn <tïre ou'~s ont acAe~e a~eurs, sonné, et il y a toutes chances pour que ~ro~eronf ? macère a exercer /eur activité. l'avenir le Justine aussi bien chez nos voiLeurs opera~'ons créeront peut-être une cersins que chez nous. E. P. /aMe am'ma<fon, J7!a<s ce sera une antma~'on a co~e don~ ne bénéficiera pas le marche. LA SEMAÏNE FtNANCÏËRE Es~-ce ams; ou'~ /au~ comprendre /e ro~e de /a specu/a~'on? FauM céder a /a vaine g/oUne innovation boursière sa signiiica- n'o~e d'a/fgner des chiffres aH/ puissent rivalition, ses Nentaits, sa contribution à la ser avec ceux de A~tf-YorA-? Le marcne de protection de t'épargne. Va!aes dis- Paris possède en M-meme les eM/nen/s d'un putes. grand morcn~. su~ de /Ut perme~re de /es /)'f! <<ME .sf/?M<M, où fe ~MHt'cmMi me~re <n o?ufr<' et de ne pas ouo&T que la A ef /M Mrn~ions Bourse est, pour /a ma/on/e des cap~a/;s/es a été ~<~ r&Mm~trnc, cote se /rancaM, Hn moyen e< non une /M. çuo/M~MM <fi'mpor~jnce <:

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pro/ess/onne/s e/ <ecnn<oues appor/es ou mecan/sme de /a Botu'se /'on/ /!eureusemen/ ser)';e; ds don'enf /o~auemenf servir ausst /a c/ten/e/e en /H/ perme~ant d'e/ayer ses cpera'~ons sur des données plus preoses aue par le passe où /ouf n'e<a/ /e p/us sou~en/, oue mystère < pet! près e//e se~ct'dera desor~ caus~' a;nst gM~, s~nH- mo<se/ QHf~MM n!<WM!cn~. adm<se « meen connmssance de M~ par ~M aMmM se~Me ~M coHM des nsaues, elle les /m//era, s/ /ou/e/o/s métaux, ~s TnMes mc~NtÇKM ont ~erM!en< surer ses /nsp/re; les e/emen/s ac/He/s d'apla prudence progressé ~HKf<s çuc ?$ p~r&MfM, dépitées precM//on ~ut ~i sont /ournis, à /erme et oa par fcf<'r<~sspmM~ 7'<~<d<er de <a ~Mfuc~'on comp<an/, sur oue/aues fa/eurs, s'e/endron< aux .E~s-t/my, aec7'o~C7nM< ~f ~KfM~ un demc'n à un nombre plus grand; à /'afent'r, /e feM~/nen~ des 'n:~KM$ de res~-tc~on, ont, puoh'c se rendra mt'eux comp/e des 'moufeeu ef~M<r~ atKHufMng ~M~MM po'n~s. men/s 6oursters. A/ous /'afons ressasse a ce//e :) p/ace /a fra/e pro/ec/fon de /'epar~ne conM ~'n~e du marche <fe Pnr~ n'MO~ ~'an- s/s/e a /'ec/a/rer; dn /u< a rendu Hn service pftfM~ <<~<s ytfe e/wm~ ~w~- t'en'<ao/e en /efan/ par/emen/ /e ~'Ot/e aHi

les ou~s. Tout <m p~'s pM/-on cMs~a.~t«', sHr an marc~ .Mns <M~ance ~n«*, pnM~M pu /t~M<~on CKM< (~<M n'<! amen~ cHCHne cnima~cn, ~s persp~ffes ~fO/:<Mm< propres « c/M~MC MMf<Mc/M~M f~c~a~cn ont ~crm;'ne <r<e M ÇMe

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~nnscc~ons, <:K nom du pn'nnpe des comp~<eccM et du partage dM respon~a6~s, c/: d~-omvc cu~ourd~m ou sont n~s ou font prend/'e corps, g;«' les pro;cfs m;'ms~n'e/s7mp~/euscmMt 7'~c/<!fncs sont Mop~n~s et dangc/-e«x.

Pc/'o'Menf, soMS f~mp~'e des

refc~(:<on~ Co/nmfsston d'pn~uc/e, sans laquelle, il

dp

/aHt o/cn dire, capitaliste /e p~s étrillé dK monde n'eiM jamais connit j'ndue de son dcsas~e, /es pouvoirs puMf'cs sont dénoncés et suspec/es; /ouf comme leurs prcdécessMrs, ~c nn'nts~re des finances s'entend v'epfocner sa ~cdeur à fendroi'< de ~par~ne, c~ mMisfre de /a justice sa ~n~f/7' à réprimer les agissemen~s des ~'ncncte/-s. Mentalité chaotique, e~rcn~s contrastes que peiirenf seu/s e~p~ ~ME/- le désarroi de ~spnY pnoHc et f~afssemenf dtt niveau de la mor~t~e. A~oMs <!fons su;r; pas a pas, dans ces .colonnes, fccJos;'on des nomorcMA- projets arracAes aux goufernemen/s snccess</s par une opt'nion pnp<<ouE rëfo/~e. Af. F~f:nd;n wenf d'en réédi-

ter ~enttmera<)'on reg~men~on de

pro-

/ess/o/! de oanower, des /onc<fons d~dmf'n<stra~eur, des soct~es de p/acemenf, du démarchage, de la p~McT~ des em;sstons /<nanderes, pr<~ec<f'on des obligataires, <dfn'6u~ons des comm<ssafres ottx comptes, scM/ un, <OHS ces pro/e~s son~ encore en <ns~nce devant /e P~e~e.f!f. Le ministre des /<nances en a don~e~a: ~ts~e. Que pom'afM /c't're de plus? Que~ues heures p/ns /<!rd, M. de Monzie, d propos de son réquisitoire contre la section /<nancf'ere du Par~nef, reprochait ctt garde des sc~cu~~esm~c~s d'nn vieux <s cheval de retour s-, dénonces ~cf des!928, où nous ecf;vions dans ~e moment ou fon s'es~ appliqué à reg/eme~cr /e mnrcne //ors Co~e Ce marche paie les exagérations qu'il a commises; le puiMic y est traité de la façon la p)us cavalière; Ja loi de l'offre et de ja 'demande en est bannie.

Le marche H. C. doit rester t'antichambre de ta cotation officieite, et n'en pas être !e parasite. 9* Le m/nts~rc de <<: /us~ce a man;/es<(?

sa 6onne fo~onte et promis Kne étude d'cnsemble de la police des dc~s de canette et de Bourse. Que pou~;r-;7 /a;re de p~s? En rf'nre, la charte de la pro/ec~'on de <'epar~ne est largement es~n;ssee. Nous croyons qu'il est fOM de /t!<re grief ctt.c pourot'rs pno/i'cs d'a~o;'r pn's place parmi ses comp~enrs, après çu'~s on~ été so~ic~es. Te~e qu'elle se présente, cette charte con/;en~ de ser/eux e/emen~s de de/ense de l'épar-

g'ncnr, <ï !M!e condition, c'es< ~ue ce/m-c< consente d se laisser de/endre. La victoire du voJenr n'est /ct<e que de la so~'se dtt fo/ncK. Quiconque a le jugement sc/n sere/Hsera à cdme~rc ~ue, regn~'eremenf .e~npf~.fr~emen~ .oa.oo~t<t!.ptttss~. pNrfe.r-fn-

r~r~ 50

BANQUES ET ETABLISSEMENTS DE rage, Chauffage et Force notice cède une CREDIT.–Le groupe bancaire conserve fraction à 828. La f~oM~Me J'B~atra~c et de sa fermeté. L'action FfwgH~ ~f P~M!<~ termine C~aM//o~<' accentue ses progrès de 3.135 à 3.200. Parmi les valeurs d'électricité, la PaW.HMMe ,bicn orientée à 19.040 contre 19.000, tandis que la Fo);g!tc de ~~ne reproduitexactement son de D;n{'!t<<0): s'avance de 2~350 à 2.390. L'accours de huitaine à 13.500. La .BcMfp<c <~ /VH- tion B~e~nft~ de la 5'<'M!~ se tien,t sans chan~oc/MHc se retrouve à 9.200, venant de 9.250. gement notable à 878, mais, revanche, la Aux banques d'aSaires, la tendance est égale- part se relève de 8.855 à 9.380.eoL'action B~cment ferme. La BaK~Mc de Po~ dont oou9 ~<c:~ de PayM se représente à 1.300, sans chanavons annoncé cette semaine Je maintien du di* gement, tandis que Je part élargit ses progrès vidende à !00 fr. brut, se représente a 2.440, son de 18.600 à 18.095. Le A~o~-LwM!W se rafcours antérieur. L'OM Pan~i~oie termine fermit à 2.740, venant de 2.670, pendant que, également sans changement à 1.421, de même d'autre part, !'Bjf-Z.<(M<~ s'affaiblit à 800 'et que le C'~<MtAfoMtft- f~M~aM, à 706, et Je l'jE!!f~'<' ~~<~<nc//c à 828. C'OW/OM* LxpM-tft! à 6.30. Dans groupe de l'appareillage électrique, 'la Parmi les établissements de crédit, le C~M'~ GcMcro~Je d'jE~c~ passe de 2.775 a 2.830 Z.yoM?MM s'est montré réststant & 2.655, venant la 7'OM;j.ûM de 656 à 667. La CoM/'o~Me de 2.685. La B<mq!«* ~Vohp)!~c <fc Crédit s'est et C~p~c de T. F. des dispositions montrée phts active à I.32! contre i.3o8. La yf- très soutenues à 750, deconserve que l'.MK~ncMc CfK~a~cmaintient solidMncat ses positions des 7'<)o):M à 850. même de hmtame à 1.518 contre 1.51% pendant que te En Coulisse, on note il'exeenente tenue de Co)tt~<Ot'r~'E~o~<c résiste 1.700 'contre la jHy~o 37~: Les re/~AoMM G7'ow:OKj

~c

1.725.foncier, 'le <

fOtCtfr* groupe f~aMM est fermement tenu à 5.3to; par la nouvctte émission de 2 milliards et demi de francs d'obligations, cet établissement va encore'élargir de façon considérable son champ d'activité. La Rente foMc~n', par contre, s'atourdit à 852, venant de 880, pendant que, d'autre part, f<M!n<~ de ~'jE<ot'~ s'améliore à 1.265. Dans Je groupe colonial, la Cow/'a~c ft<')Mc confirme ses progrès anténeurs à 1.887, pendant que le C~o''< fo)!C;cr ~4/g~)'t<' reste soutenu à 858 contre 865. Parmi les banques étrangères, !a BoM~Mf~Vc~'cMc~c (~M Af~.ft~Ke poursuit sa. reprise à 355 contre 325; mais, par contre, la BcM~MC O~oMa<:e s'aiïaibiit'à 792. La ~'oc:c~ CcM~o/e <~c Bc/~tgx~ dont le dividende de 200 fr, net sera payable ie I" mars prochain, conserve 'une bonne tenue à 5.720, venant de 5.720. Au

la

CHEMINS DE FER, TRANSPORTS.

Les recettes des grands réseaux, du g au u février. se sont élevées à 256.063.000 fr. contre 285.408.000 fr. pour la période correspondante de l'an dernier, en diminution de 28.445.000 fr., soit 10,23 Cette moins-value est inférieure à celles qui avaient été constatées depuis le début de l'année et qui avaient atteint de tl à environ. !2 Pas de changement notables au groupe des grands réseaux. Le Nord se représente à 2.150 contre 2.165. l'jE~t à 1.080 contre 1.075; le Z.vo)t à J.54I contre 1.560, le Mt</< à 1.190 contre 1.195, et l'K<w.! à 1425 contre 1.420.' "1 Aux résea'-tx secondaires, les .0~'Of~M~<dM.f poursuivent leur amélioration à 425. Dans le groupe des transports parisien, Mc~o/'ohtaM! s'est légèrement redressé à 1.275.

le

NAVIGATION, PORTS, CANAUX.

A terme, la Ces~a~ T'~oH.Mr/OMh'gMc s'est repliée de 540 à 484, pendant que les C/!0~< ~MMM maintenaient le terrain fraîchement regagné à 484. Au comptant, les .Mc-MO~en'M ~oW<wtM n'ont guère varié à 197. L'~K.ft~at'rc de Naviaa~'OK reste biep tenue à 1.349 contre i.36o, tandis que les 7'mK.~oWj MftW~Mfc~ marquent de nouveaux progrès à 546. Parmi les transports fluviaux, la G~icfo/c de A~K'tpaho;! s'est améliorée à 3t5 ainsi que ToMape et jRfMon~Mfifc à 417.

Dans le groupe des ports, Rosario reprend sa marche en avant à 28.250 contre 28.000, de même que Bcyro!~ a 2.245 contre 2.175. L'action de capital .S'KC.: se retrouve à J6.800.

METALLURGIE, CONSTRUCTIONS MECANIQUES. Les valeurs métallurgi-

ques ne s'écartent guère de leurs niveaux de huitaine. LoM~œy termine vendredi à 1.375 contre i.38o et Mt<CMWc à 1.367 contre 1.400 C7;o<t7/ox-Cow)Mtt!ryabandonne le bénéfice de sa récente reprise à 4.485 contre 4.525, tandis que Pott-a-.Mox.MOM 'reproduit son cours antérieur à 2.205. PoM~ey termine .en légère progression à 725. On retrouve JLoMp~t? ej' ~c~M~K!~ fermement orientée à 1.700 contre .ï.670~ de même que Jt~OK(&<«~!<a 200 contre 3o5. Les /'on7M ~VfM-d et Est restent

peine de se 'bien tenues à 961 contre 956, ainsi que AfonMB re;!se;~ner arcn~ de sonscr;re OM d'ccne~er, et .f/oHt~cott)-< à 93o contre Parmi les sociétés transformatrices de më~uand une partie des 32 milliards de dep~s taux. l'~cc/ro-M~a/~<<' de Dw~ regagne dons /es grands erao/t'sse'/nen/sde crédit s'em- entièrement perte de huitaine, tandis que les pfot'eron~ <i' témoigner /eHr confiance <! FE~f 7'</c<-iM sa JK .HaM-f s'améliorent à; 1.982. et dans ses engagements par ~cncf des ren- L'jE~CaMc confirme ses progrès à 795. tes nc~'ono/es, 0!< 6fen o' nos mdHs~n'e~s, par Aux valeurs de constructions mécaniques, rccnor des Tn/enrs represen~rtres de no~re l'~4~0CtCH)!C de Co)M<fMC<<OM AfcfOMi'QMM SC nch'v)7e ec<)non:t'oue, les choses n'en ;ron~ que rétablit à 2.350 venant de 2.280, pendant que Pi'x'L)'<' cède '.me fraction légère à 1.460. mt'euT. Dans le groupe des valeurs d'automobiles, A~OHs demandons aux cap/s/es de corr'l'action C<<rc<~ se ressaisit à 740 venant de 673, ger ~eurs mcBHrs et <eHrs naMndes, car ils pendant que P~Mt~o~ s'effrite à 350. sont ~eurs propres de/ensen.rs la pro~ec~'on En Coulisse, 7/otc/~)M résiste à 1.652. de ~épargne restde presanc exc/MSifemen~dans CHARBONNAGES. Le compartiment t'o~on~ de repargnant de ne pas être ~rcmp~, er ~'on pe[<< /en/r pour cer~n'n que !es des valeurs de charbonnages qui avait accusé semaine dernière un fléchissement particufnrrepnses dirigées contre ~n' seront d'an~an~ la lièrement accentuée, s'est montré plus soutenu motns audac/eusesqu'il se mon/rera p~<s armé, cette semaine. C'est ainsi qu'à terme, Lc;~ <~ snr~ot~ plus modéré dans ses ambitions. qui s'était repliée de 882 à 83s, se redresse n D. 861. Cox~tffM, également éprouvée l'autre semaine, se relève a l.o3o. ~t'Ctg)!c reste hésitante à t.oi2. Au comptant, Be//t)ft)g bénéficiant d'importants rachats, regagne le cours de 9.125 venant RENTES ET FONDS D'ETAT. Les de 8.875, pendant que .Mo?'/<f se tient simple7?<?<~M yrftocoiyM conservent des dispositions ment à ~t'c/;c 915 contre 9to. conserve solidetrès soutenues. tncn.t ses positions à 2.750, tandis qu'~oxut AIns! que nous l'avons annonce cette semaine. montre de nouveaux signes de faiblesses à un dçcK-t. du ministre des finances en date du 1.055. O~'f'CCM~ se ressaisit à 1.865 contre 26 février .ramené )'!nter5t des .So))~ <~ D~- J.795yM~c <ff!OMo/i* à deux ans de 3 à 2 j/2 Tendance sontenne de Sarre et Mo~f~ a 1.040 contre 1.080. Cours Cours En Coulisse, on retrouve ~&t très animé à <]u28fev. dusifev. 653 contre 590. Fermeté de Lt'K't'M à 550 contre Terme Compt. Terme Compt. 536 et dejBnfyc à 493 contre 481. Qtt<rnd

racr/onna/rc prendra

925.

Revue de la Bourse

3%r~ 88074 3%amort. §055

S8o5 9060

5%j9:5-iôio!7o !oi6o 4

1917-.

5

I920. 137 so

4

i9!8..

6 4

104 50 102 95

1920.. 103 4~4 1935.. 130 30 !927- 105 40 1928. 103 95

6

5

104 40 !02 90

136 95

8S6o 8975

10165 104 !5

103

137 30

103

130 25 M5 40

130 25 105 15 103 55

>

8975

!oi6o !04 05

103 95

103 3~4

104

S86o

»

137 io 102 po

130 35 105 024 103 50

AU COMPTANT Cours Cours Cours Courg

dusifév..dusSfëv.

.i IQ28.

34

&mort!ssaMe vY-.t)

ï03 30 1.044 r 527 y 529 >

103 > J.o~S 519 s 524 >

Caisse Autonome P. T. T. 5 1929. P. T. T. 4 4 Les BoM (!tt T~o~ de même que les oN!gations <!u C~tf A~h'OMa~ se représentent à des cours également très voisins <Ie !eurs niveaux de huitaine. Parmi les fonds étrangers, les .EM'J'w<-r .rf)'ï8o5 a !).? ont ct~ animes. A terme, le 4 étargi ses propres de !i350 & 116, pendant qu'au 1913 s'inscrivait à :39 contre comptant le 5 136.

·

/MrM ne~iges: r(.~K/<M revient de 46 40 a 45 et le 5 1914 de 35 75 & 34 6s. Aux ~fM<~ r)!~<'T, on retrouve le C'OK~oM~ igo6 à 3 95 ;'t 4 40, venant de 4 25, et le 5 contre 4 07.

fûM~

ASSURANCES.

Le compartiment des

valeurs d'assurances conserve, dans l'en9cmMe, des dispositions assez'favorsMes. Dans la branche Vie, la A~o/to~a~e se maintient fermement u !.o65 contre 1.063, tandis que !e P/t~'A- cMe une Jt-g~re fraction à 1.020. Le ~o~~ se représente en !eger repU à 405, tnais. par contre, les ~~K~ascM G~xf~o~ franchissent une nouvelle et assez scnsINe~tape de hausse a5.6oocontre5.325. Dans le groupe Incendie, on note également l'activité des .4MM~MC<f G~ero/M à 2.455 contre 2.300 et <!e ta FoMCt'crc t.245 contre 1.100. Au groupe Accidents, la Pr~c'~a~'cc s'inscrit progrès à 7.205 contre 7.200, pcn' en nouveaux que les /4~M'o)iC< C~HCfe~j passent de dant ï' 1.025. ~.020& 1.950. La Pr~ûyoHfes'affaiMit

MINES METALLIQUES.

Tendance

soutenue au marché du. cuivre.

Les valeurs intéressées ont accentué leurs progrès antérieurs. Le 7?;'o Tt'~o s'inscrit à 3.8oo venant de 3.705, pendant que T/Mr~ passe de 465 à 482 et T'at)~aMy!~<t de 228 à z35.

Allure ferme de

l'!7i!f'OH

MMt: d'K .Ho~Ka-

l'action privilégiée s'avance de 3.740 à 3.765 et l'action de capital de 4.680 à 4.700. Par contre l'action de dividende se contente de consolider sa reprise de huitaine à 4.515. Les Aft't;~ de Bor conservent 'une excellente <Mw<' à 3.450 la priorité et à 3~3o l'ordinaire. Le Boléo n'a guère bougé et finit à 171 contre 175 l'action et à 450 contre 465 la part. Peu de changement sur le plomb: il termine i3 18/9 au comptant et 1/2 a terme, contre 3/9 au comptant et £ 14 à terme. P~io~'oyft, sur l'annonce de la diminution probable de son dividende a 3o fr. par action ancienne, contre 45 fr. l'an dernier, s'afiaiblit à 497. On sait que les actions nouvelle ne particijanperont nux bénéfice qu'à compter du vier !o3t. ~M)~ s'effrite à 197. Parmi les valeurs de zinc. la P'pt'MonhtpM s'est un peu ranimée à 1.890, venant de i.83o. Par contre, GM<'r~o«~ dont les progrès sensibles s'étaient affirmés depuis plusicur$ semaines, revient de 1.950 à 1.860, pendant que la part abandonne ~100 fr. à 1.100. des valeurs d'élmn, l'action Dans le 'M<a/< se groupe consolide à 855 contre 864, pendant que la part accentue son avance de 2.5:0 à 2.595. L'action de jouissance ~Mita s'alourdit de 765 à' 720. mais l'action de capital poursuit ses progrès de 665 à 685. <<M~o:

à14

14

].

se relèvent de

à

6Soja

695.

CAOUTCHOUCS.

Pour la semaine

écoutée. on ne s'attend pas à des changements importants dans les stocks à Londres. Par con-

tre, on envisage une augmentation de 200 tonnes des stocks à Liverpool. Le crêpe à Londres a terminé à 3 n/l6. Parmi les valeurs indoehinoises, les CoOKfc/tOttM de f/c/tt'nc se sont encore repliés de 237 à 212, ainsi que les CM~K~M T~o/'trc~~ à 40 l'action et 920 la pa~,t, Les valeurs traitées en foutisse ne sont pas plus actives. C'est ainsi que l'action B ,FM!<Mc~tv des CaoM~OMf~ qui terminait !a semaine dernière à 113, se retrouve à !oo; l'action V est mieux tenue à 305 contre 310. Le Cow&o~f s'inscrit à 100, venant de 113, et les Terres jRoK~f~ à 215 contre 228. Po~aM~ se laisse également entamer à 318. Au groupe malais, la Mo/OMo s'effrite a 120 go l'action ordinaire, contre 126, et à 141 la préférence contre 144. Parmi les valeurs de caoutchouc industriel, le sixième de part Mt'cMt'H est sérieusement touché à 1.540 contre 1.635, pendant que l'action HM~KK.fOK offre de la résistance à 2.420 contre 2.450. Allure soutenue de jBo<7'M<'?--SM''Mct à 445 contre 457. Au Parquet, JSe~ox~MM se distingue par sa fermeté à 964.

PETROLES.

De nouveau, les statis-

de

tiques accusent une nouvelle augmentation la production du pétrole aux Etats-Unis. Les grandes valeurs internationales, malgré les avis favorables de New-York, ont été assez irrégulières. C'est ainsi que la 7?oyo~ D«<cA, que nous laissions l'autre semaine à 3.185, se retrouve à 3.115. La .S7t~, de son côté, consolide ses progrès antérieurs à 438. La Jiff.Tt'Mt: Eagle s'est repliée de 67 50 à 58 75. D'autre part, Pfo"co-~yOM!'H~ conserve uM marché animé à 340. Parmi les valeurs roumaines, Pc/n~'M n'a guère varié à 590, venant de 594. Par contre, Co/ow&M s'est légèrement affaibli à 104, ainsi, que CoHCor~M à 86 50. Aux valeurs galiciennes, le C)'c~ Gc~~aJ des Pc<f0~ a poursuivi sa reprise de 213 à 319. pendant que la Ma/o/'o/~ft restait sur ses positions de huitaine à 65 50. Parmi les valeurs de raffinage et de distribution, PecM&fOKM n'est pas mal tenue a 810, de même que les /~K!/M de Pétroles à 408. Bonne tenue également de L~-Bo~M~)'~ qui se retrouve à 660 l'action ordinaire, contre 670, et à 1.005, sans changement, l'action de priorité.

PHOSPHATES, PRODUITS CHIMI-

QUES, TEXTILES.

Bien que peu actives.

les valeurs de phosphates conservent cependant

leurs positions de huitaine. Gafsa est soutenue à 600. contre 618, pendant que CoM~t/i'Kc regagne une partie de sa perte antérieure a 589 contre 578. Les .T<HtMM<f sont fermement tenus à 278. Les valeurs de produits chimiques ont monter moiits Tie Te~istance. ~MMmoMM, après s'être Televé de 655 à 662, se retrouve à 631. Bo.se/M<t~~ également calme, s'inscrit à 491 contre 502, pendant que la Norvégienne de Mso~f s'améliore à 1.515. D'autre part, l'Air I-K~Mt~ ne présente guère! de changement à 1.173 l'action et à 4.805 la part. Au Comptant, on note une légère amélioratioM de .SaMtf-Go&ow à 3.500 contre 3.530, et de .R/toM-PoM/cMc a 1.144 contre 1.135. Par contre. Ugine s'aS'aiblit à 1.580 contre 1.660. Parmi les valeurs de textiles, cède une nouvelle fraction à 7.500 contre 7-605 l'action ordinaire, et à 7.210 contre 7.305 Faction de jouissance. P~-M'~K'~ .revient <le

Do~Af~

à

515.

à

520.

564

Aux valenr$ de so!ë artificielle, ]a T«MM privilégiée poursuit son amélioration a 332 contre 325. La ~a<t0noff de la ~co~c termino

MINES D'OR ET

TDËDIAMANTS.–

Les valeurs sud-afncaines, dont le marché n'est: pas totalement dépourvu d'activité, conservent des dispositions satisfaisantes, a l'exception de la Cp)!<n!< MtMMt; qui, malgré la solution de la crise politique en Espagne, recule encore ~0 1.362 n 1.171. Les valeurs de la Coulisse n'ont varié qu<! dans de très étroites limites. La G~M/tp/J~ reste très bien «tentée & !88 50 contre 180 il y a huit jours, de même que la Bro~o~! à 388, sans changement Ct'oïMtJM~MM se représentew 497.

D'autre part, CAaf~cJ fait preuve de 'fer-' tneté à 174. Ro)!j/oM<e<M poursuit son Mnélio" ration de 106 50 à 108, pendant que ~a~d! AftMM conserve une .bonne tenue 353. Aux diamantifères, l'action ordinaire D< Beers s'est avancée de 670 à 600, pendant que la préférence consolidait ses progrès antérieurs a 1.126. Jo~~M/on~w est soutenue & !6l. VALEURS DIVERSES. -< Fermeté desi valeurs de sucre. La..Rs~'Mteftc Say, qui s'était affaiblie la semaine dernière de 1.843 à 1.815, s'est vivement redressée à 1.849. La Com/w~e Sucrière a confirmé ses récents progrès à 1.300~ pendant que les 6'ttCfcn'M J'JS~y~c se maintenaient, à peu de chose près, à leur niveau de huitaine à 653. Par contre, les ~«c~c~c~ Co/oM)'<t~ sont retombées de 185 à 161.

Aux valeurs d'alimentation, 7. DoMCy,

<lon{

le conseil annonce le remboursement des obligations 6 1919 le 15 mai prochain, conserve une excellente tenue à 1.592. de .même que PoftM

610 et

la

JMcrfyoM

Olida à 1.845 contre

1.810.

Dans le compartiment des brasseries et dis-' tUleries, Q~t/M~ marque un palier à &550, venant de 6.730. La DMh'W~ C'<Mf<M<'r supporte quelques prises de bénéfices à 2.440. Partni les valeurs grands magasins, la! -part Ga~WM Lo~'ayf~ poursuit son amélioration de loS.ooo u 109.700, pendant que l'action .tient à 142 contre !46. L'action Z.oMpff reste; se Me!Ï tenueà 2.900, ainsi que le BoM .M<nr~ à 594. Le ~'nM~m~j se redresse & 620. Aux valeurs de chaux, ciments et maténat)~ de construction,l'action ~o~M< et C/tOK~OK n's gùète varié cette semaine à 2.445, mais la part a poursuivisonreculde21.380 à !8.700. Bonne tenue de la CcM~'o~c c~ CoM.~nfch'o!; c~ (h*

de

Ma~foH.ra

166.

Dans le groupe hôtelier, reprise du G'MM~ .LyOHMt.K se tient à 2.685 contre .Hof<~ de 640 à 650, ainsi que du Z.MM'a :t. leurs d'eau, la 2.680, pendant que la jouissance regagne une 3.095 contre 3.020. Par contre, le ConhHet~o! s'affaiblit à 330. venant de 354. fraction à 2.275. L'action de capital D'autre part, on note de nouveaux progrès des ~aM~* se consolide à !.78o. mats la jouissance revient de 1.329 à t,276. En revanche, de P<f-CMMM a 153 contre 137 l'action de tes .EaM.f ~0!~ se raniment à 237 jouissance et à ï6l contre 144 l'action de capita). contre 205. Aux valeurs gazières, le Go.T Lc~oM conserve une tenue satisfaisante à 870 l'action de caRecettes du Canal ~e Suez pital et 776 la jouissance. La C'o~!f!Mf<f~« Ça. après sa faiblesse de la semaine précédente, ~e ranime à 2.495 pendant que I'Ed<'<- Le 28 février !93l.. 1.800.000 francs fran~fS

EAU, GAZ, ELECTRICITE.

Aux va-

Cf'

~a«~-


DERNIÈRE HEURE 'A LA L'ACCORD NAVAL train de MM. Henderson et Alexander a deux heures de retard Le

A l'heure où nous mettons sous presse, le train qui devait amener MM. Henderson et Alexander en gare de Lyon, à 14 heures 20, n'est pas encore arrivé. II a subi, à cause du mauvais temps, un retard de près de deux heures. M. Briand, ministre des affaires étrangères, se rendra à ~a gare de Lyon pour saluer MM. Henderson et A!exander à leur descente du train. La presse italienne ` Rome, !e I" mars. Les journaux de ce ma-

nira l'occasion, contribuera, au déblaiement du terrain dans cette direction si importante po.ur l'Autriche. M. Schober a conctu ~i augurant ia.vora.Mement de l'étroite coUaboration économique austro-aHemandc pour le bien, non seulement

du peuple allemand, mais de l'Europe M. Schober a,

<~ntiere.

OBEAMB~B

également membre du conseil nationa) du parti,

ON DISCUTE LE BUDGET DES CONVENTIONS ~'cmtt'c<~K<M<Mc!!fI"HM~~ PRESIDENCE DE M. MUISSON~ PRESIDENT

Le budget des conventions, c'est celui des chemins de fer. Or le déficit des grands réseaux

en outre, décir./e a'ux M~M~ commence à éveiller d'assez sérieuses inquiétudes. En 1930, il a été de près de 2 milliards. On

~V~M<<C A~OC/tn'C/t~M

Le record de durée et de distance, en avion et rcpu'ûlicaul convaincu, dont.!es chansons sont à Thorcay,B!évy,Mai)lebois, Saint-Maxime; interprétées par ~Lme Nuwendam. Ces études M. Fruh, avocat à la Cour de Paris, à Sainti'ormerout le prochain fa.sctcnJe de La .Rf'Mfe Oran, le 1°'' mars. Les aviateurs Bossou- 1848. Chéron-des-Champs, Theuvy, Chcne Chenu, trot et Rossi ont atterri à loh. 19, après Eeubtc; M. J ouy; avocat à la Cour de Paris, à Fon- 75 h. 23 de vol et après avoir parcouru Un embarras propice de voitures. tainc-Ies-Ribouts, à Saint-Jean-de-ReberviUiers, 8.8og kilomètres, battant ainsi les records de L~ nuit dernière, distance deux de sardicns durée circuit ferme, détenus de la paix sifet Saint-Sauveur, MarviIle-les-Bois; en jusqu'ici italiens Maddalena flaient, rue de Miromesnil. une automobile les aviateurs par M. Laroche, maire de Bréchamps, à Ardeltes; sans lumière en sens interdit; la voiet Cecconi, avec 67 h. 13 et 8.188 km. 800. routant Favieres,Cate))es,Thimcrt; turf..au heu de s'arrêter. allait disparaître (Havas.) M. Adrien Bertholon, enfin, secrétaire g'enerapidement, lorsqu'un embarras de circulata! de la Fédération républicaine démocratique [Les records français sont, eux aussi, bat- tion ~'immobi)i?a. C'est une automobile votée d'Eure-et-Loir, et membre du conseil national tus. Ils étaient, détenus, en février. Elle était occupée par deux indila durée, par vidus pour Charles Didi))on. trente-trois de la Fédération républicaine de France, à Se- Bossoutrot et Rossi avec 67 h. 33 m. 20 s. soldat au réaimcnt d'infanterie coloniale. (performance accomplie lors d'une première razereux, GironviDe, Puiseux, Le Boutay-Ies- tentative absence illéxale. et Louis Sicarq, vinKtles 15, i6, 17 et 18 novembre 1930), en Deux-Egtises. ans, sans domicile fixe. la distance, par Costes et Codes, avec scpt Dans toutes ces reunions, les orateurs de la pour Deux sacs, remplis de café, pesant respeckilomètres 440. Fédération répuMicaine ont fait appe) à l'union 8.029 tivement So et 70 kilos, ont été découverts Pour ce dernier record, il faut noter que, dans la voiture. à l'organisation de tous les républicains et na- dans leur tentative, Costes et Codes, qui envoyés au Dépôt.Les deux hommes ont été tionaux de Ja circonscription, pour reprendre s'étaient attaqués seulement à celui-ci,avaient Agression nocturne. très leur distance à 'une Moyenne hoA 23 h. c;o. sur le parti sociafisie, en 1932, le siège législa- accompli supérieure à celle des Italiens et de nuit, alors qu'elle rentrait de chez des amis. tif de Dreux e.t pour participer ainsi aux gros raire Bossoutrot Mlle Vincent, demeurant Rossi, et 8, Là-Bruyère. puis qu'ils avaient efforts qu'il importe de faire désormais dans rue été atteint 440 attaquée, à les l'angle des 8.029 km. h. minutes, a. rues d'Assas et en 52 42 toute la France contre le péril coUectiviste. Madame, trois qui donnait individus vitesse paraissant de par ce une moyenne etran.a:ei'Sj qui. après l'avoir kilomètres rouée l'heure.] à de coups. l 155 lui dérobé à main contenant ont deft La propagande son sac pièces d'identité et .~oo francs environ. Félicitations officielles ~e l'AHiance démocratique Une ronde effectuée n'a..pas .permis de re* :· Dès qu'il eu connaissance des résultats obles agresseurs. tenus par Bossoutrot et Rossi, M. J.-L. Du- trouver Reims, !e i" mars. –MM. Pau! yjrot, mesni), ministre de l'air, a adressé au vaillant ne!ge à Paris cien vice-président du coiiset! .g~éM! de anla équipage le télégramme suivant: ~Ll Seine, et Martin-DumeMu), ~membres'du comité Suis'heureux vous'adresserà tous deux les directeur de l'Alliance démocratique, ont donné, chaleureuses félicitations pour magnifique I! a neigé abondamment ce matin, de hter~oir et aujourd'hui, dans le canton de Cha- ploit que venez accomplir, et qui ramène exen 6 heures, sur Paris; une épaisse couche de neige tilloh'(Marne), six conférences de propagande France, dans des conditions exceptionnellecouvrait toits et cours. L'O. N. M. annonce que brillantes, deux des records publiques et contradictoires. ment mondiaux les le temp froid avec giboulées va. se maintenir M. Paul Virot a rappelé les sacrinces con- plus enviés et les plus disputés. Cette splendide pendant sdeux jours encore en France et à Paria ` sentis par notre pays, qui a.. réduit ses dépenses victoire fait le plus grand honneur à vos remarquables qualités de pilotes déjà maintes fois en militaires de 45 < limites extrêmes compatibles affirmées et à l'excellence du matériel de ~inavec notre sécurité, et il a souHgné toutes les dustrie française. LE MAUVAIS TEMPS mesures conciliatrices prises a l'égard de l'AHëJe vous exprime !e témoignage de ma vive

ne sera pas trop optimiste en espérant prévoit qu'il dépassera 2.500 millions en 1931. l'échange de v.ues avec les hommes d'Etat Socialistes et communistes tombent à l'envi sur que aUemands fournira une possibilité d'entente qui nos pauvres chemins de fer. Mais leur façon ménage à l'état chaotique actuel de ]a 'vie éco- d'envisager la question est assez singulière nomique en Europe centrate la seule issue oos- tandis que les tins cherchent un remède (à la stbie. (Havas). vérité radical: le rachat), les autres font, des propositions qui aggraveraient la situation. Ainsi Z.es ~o~ifs </de/?//?y/'a</menocM~ w//?e M.. Thivrier réclame pour les chenanots le congé annuel de 21 jours, qui ne serait assurément pas une économie; M. Albertin, une application entin expriment leur satisfaction du résultat des (Leningrad, je i~ mars. La A~o~MM C<t- core plus stricte de la loi de 8 heures, qui a négociations relatives à l'accord nava!. ~<?<a jette .un cri d'à)arme au sujet des ponts de été réglée de la façon la moins économique. Le .Po~o~o di .Ro~;a dit que monde éco- la vilie, qui sont, comme on le sait, une de ses Nous parlons ne )pas de M. Cachin, pour qui /nomique, à la suite du nouvel accord, de..Rome, merveilles. Or, presque tous, faute d'entretien. la cause de tout le mal ce sont les banquiers envisagera son avenir avec p)us de confiance et menacent .ruine.. Le journal.adjuge)es autorités de prendre des et les magnats de la finance, et proclame que, se consacrera de nouveau à ses trafics,'à ses .s'il était Je. maître, il ferait <: écrouer à la Santé commerces, à ses affaires et à ses œuvres feco)!- césures urgentes: pour'teur restauration. ~Je baron Edouard s-; qu'ennn les cheminots ne desd'une~reËnalement sereine. m ~e~aisscroNt pas faire devant « Jes attentats qui Le Af~o~cro prévoit que l'adhésion, de. ~a'. !cs''me)]acent~. Pour M. Moch, c'est la faillite /escale France ne pourra manquer à cet important acte des conventions de 1921; il ne voit qu'une soluinternational. <: Si on arrive dans quelques jours :]a. déchéance des grands.réseaux, leur resà un accord complet, dit Je journal, on pourra Le Caire, le mars.– Le roi a reçu hier tion titution à la collectivité. M. Chariot n'en est dire que la préparation de Ja conférence du de- en audience le contre-amiral Deville, comman- pas .partisan, car !e rachat coûterait trop cher à sarmement est.en bonne voie et que le dévelop- dant la division navale du Levant. TEtat, dit-il, et c'est le. contribuable qui pement de ce programme.de collaborationmo'tLa légation de France et-la colonie française payerait. II:m raison. encore Le est moins diale s'achemine sur le terrain des faits. :tont donne des réceptions en l'honneur du con- bête que Gribouille. M. contribua'ble Gourdeau réclame un tre-amiral. Ce dernier est parti aujourd'huipour contrôle plus efficace là-preuve, dit-il, de Port-Sa'id. (Havas.) l'Insufnsance du contrôle, est le fait m~me :quc <~ gratitude. te gouvernement a cru devoir demander un rapsur L'orateur a insisté les sacrifices considéM. J.-L. Dumesnil a également envoyéa ~<t garde nationale des port à M. Fournier. Et c'est aussi l'avis de M. rables consentis parallèlement, dans le budget, l'équipage du 7Y<M~7)HO)t La visite de M. çurtius à Vienne et à Paillard et Chariot. Celui-ci fait observer que nos tarifs pour l'agriculture et-les reformes sociales. Vienne, .te i" mars. Au sujet de la proMailloux, qui /'o~ocAee a /'a/Mee sont Inférieurs de 20 à 30 se sont attaqués dernièrement Parlant de la question du chômage, il a dit: à ceux des tarifs chaine visite'.à'Vienne, d'e~. M. Curtius, la mêmes records, le télégramme suivant 'étrangers. Mais l'écart disparait si l'on compte <s Le retard apporté dans le vote du plan aux ~tc/t.f/!<M< écrit Au moment où Bossoutrot et Rossi viennent impôts que perçoit ~Etat. Le personne! a été d'outillage national est te fait de l'opposition Washington, le i"' mars. Cette visite n'est pas un simple acte de courLa Chambre a les d'atterrir après une magnifiquevictoire, je tiens toisie, c'est encore une manifestation de notre adopte le projet de loi intégrant automatique- augmente. M. Chariot en convient. Mais )e trafic irréductible et aveugle qui, bien que voyant ve- a dire vous mon admiration pour la belle énersincère amitié avec le Reich, amitié qui n'a de ment dans l'armée régulière le corps de la garde aussi a. augmenté. -C'est une façon élégante d'es- nir la crise, n'a pas désarmé au mépris de la gie que vous avez .déployée dans la même tenpointe~ contre, personne et est au contraire nationale qui pourra être ainsi .mobilisé eh camoter la répercussion de la loi de S heures plus élémentaire prudence. > tative et à vous exprimer mes plus vives félicas sur les charges des compagnies. M. Deligne, miM. Virot a mis ses auditeurs en garde contre citations <m élément' de 'reconstruction européenne. La de nécessite. pour les résultats remarquables de vos politique de l'Autriche est .une politique de publics, nistre des travaux répète qu'il !e verbiage orateurs avait des parti spécialisés ce interrompus du efforts a si près du but. En temps de paix, la garde nationale sera sopaix et d'entente dans l'intérêt de .la. saine l'autre dit jour, qu'il n'homologuerait cialiste, dont les formules équivoques aucune décita sur évolution interne de ~Europe. sans préjudice également partie composante de l'armée, mais augmentation de tarifs tant lesChambres propriété sont en~contradiction avec les que de l'amitié austro-aHemande, commandée par la restera sous l'autorité des gouvernements n'en auraient pas délibéré..M. CharJct indique sions catégoriques Jeteurs congrès. Mme Georges Bondoux, femme du cond'Etats. (Radio.) nature des choses. seilier à )a Cour de cassation, a succombe propositions certaines pe'rmettraient qui de souligné lamentable releIl a .l'échec des sociaLes entretiens de Vienne constitueront ua Paris. Mme Bondoux était la n))e de M. à ver les tarifs: 400 minions s.ur. l'exploitation,.un listes britanniques ~ui ont conduit leur pays au René Anam-TarKÉ. pas en avant dans Ja voie du relèvement de de chambre et à peu près autant, désordre et sont contraints de reconnaître, par honoraire à la Cour président notre vie économique et de celle de J'Europe Saisie de films so~/e~/es au A~/oM milliard sur l'échéancier, de cassation. entière. (Havas). en s'inspirant d'une idée de M. de Tanguy du la voix autorisée d'un des leurs, te ministre des Pouët, sur un aménagement nouveau de la finances Snowden, que l'Angleterre aura, à la Déclarations de M, Schober Mexico, le i" mars. La police a confisqué comptabilité, des retraites. fin de ce mois, six millions de chômeurs et un L'HISTOIRE DE 1848 Vienne, le i" mars. Interviewé par la dix films soviétique considérés comme éléments Cette discussion 'gen&rale ~se. continuera à déficit oscillant .entre5 et 6 milliards de francs. Neue Freie f~Mf, M. Schober, vice-chance- de propagande révolutionnaire. (Radio.) conférencier a terminé en faisant appel à 3 tier et mMiistM des affaires étrangères, après Aujourd'hui! aeu Meu.àIaSorbonne.salle Edl'union des républicains pour la République conavoir soutenu la thèse que les caractéristiques Co/s/o~ </e gar-Quinet, à. l'occasion de !a 27' assemblée gétre la .S'~aM~J~o~'c.f-Mt~) ~'a//M en du &/(/ originales de l'Autriche .ne supposent pas à déve!oppé.e< Martin-Dumesntt à:3 iieures,s'o<t~~prë-' w~, M. pro- nérale annuelle de h Société de l'Histoire de a 'iLa séance~st'ouverte {'ensemble du peuple :a)!em<md,. mais te 'comgramme 'économique et agricole de t'À))iance 1848, une réunion au course de laquelle, après sidence Bouisson. de M; ptètent, a Insiste sur- l'enciicYetrement de la Kimberley, le mars. Un train posta!, Chambre adopte un certain nombre de démocratique. Les. deux orateurs ont reçu par- 'un hommage rendu au fondateur de cette SociéLa vie économique de l'Autriche et du Reich. Johannesburg au allant de Cap, est entré eh projets, sans..débats, té, le professeur au Collège de France, Georges tout un chateureu~ accuei). r~p~end la diiiCtM$ion et H .est tout' à fait incompréh€n5iNe,<lit M. collision avec un autre train à l'arrêt. .Renard, .récemment décode, par MM. Justin Gogénérale du budget des conventions. Schaber. oua.l'on cherche des mobiles politiUn-voyageur du train postal à été tué. Il dart, présidente et Paul Raphaël, secrétaire géde terrains GHssement du Kouvernequelconques ques nérât, diverses conrmunicati'Misont été entensous ks efforts y a.dc nombreux blessés grièvement atteints. ment autrichiien dans k sens de la coopération Des ambulances et des médecins ont été LA FEDERATION REPUBLICAINE .dues. économique sans laquelle .l'Europe entière se- envoyés sur le lieu de l'accident. (Havas.) La Bordeaux, !e 1"' mars. Aux < Souvenirs> de Georges Renard, dont commune, gironrait arrêtée Gauria~située dine 'une f~rtie reste inédit'c, avaient été empruntées de à 8 kilomètres de Blaye, Faisant allusion aux velléités d'ententes rémars. le Dreux, Poursuivant I" campasa Voyage de JournaHstes hollandais est menacée .par un glissement de .terrain qui des pages curieuses et vécues par la Commune gionates qui se manifestent dans le sud-est ds méthodique dans département, le !a Fédégne se produit dans !es falaises de ]à Roqué-de– de 1871, et un jugement précis et impartial sur t'Burope, M. Schober précise que l'Autriche ration républicaine démocratique d'Eure-et-Loit Thau, une. étendue de plusieurskilomètres; je mouvement communaliste; puis, M. le docsur adhérer saurait à une combinaison économiBelfort, mars. aujourd'hui, le Une vingtaine conférences l* organisé, vingt-deux ne de di- a détrempée par des pluies persistantes, la terre teur F. Labrousse, sénateur, a retracé l'existence point, de. où aurait il n'y d'agences journalistes dans'ie place pour recteurs ct'de le de Châteauneuf-enhollandais publiques canton que glisse progressivement. d'action sociale et .politique d'un député de la Reich. Sans se'dissimuler que ks ententes ré- qui effectuent actuellement un voyage d'études Thimerais, avec le concours des orateurs de ta Les murs de plusieurs habitations construites Corrèze en 1848. Ijo-uis Lat'rade, poursuivi par gionales présupposent certains sacrifices dans dans la région de l'Est, sont arrivés à Belfort Fédération républicaine de France. au pied des falaises se sont lézardées sous la la monarchie de juiHet, défenseur des accusés t'ordre de la répartition de la production, M. venant de Mulhouse; i!s ont été reçus par M. M. le colonel Josse, ancien sénateur, membre poussée des rochers. La population justement d'avril, commissaire du gouvernement proviSchober espère, d'une.pa-rt, qu-e les negOGiatiors Birckel, président de la section de Belfort au du conseil national de !a Fédération répuMi- alarmée demandé au service .des ponts et soire, proscrit par l'Empire, préfet 'en 1870, et a déjà entamées avec la HbngrM; seront menées Club alpin. caine, a parié successivement à Le TremNay-!e- chaussées de venir étudier ~ùr place les mesu- député ensuite. Enfin, M. Alexandre Zéva!<s -bien, et que, d'autre part, l'échange de vues Apres avoir visité la ville et ses monuments, Vicomte et'à ChâteauBeuf-en-ThimeratS; que comporte une situation chaque jour plus apporte une note moins sévère, il étudie Pierre ~ont je voyage à Vianne de M. CurHus four- les journalistes' ont continué 'leur voyage. M. Aiicot, ancien consul général de France, res angoissante. (De notre correspondant.) Dupont, chansonnier de 1848, poète humoriste On~

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Chambéry, le i" mars. Cette nuit, un v!o~ tonnerre. lent orage a éclaté sur la Savoie, accompagne d'une tempête de neige, d'un ouragan et de Le mauvais temps continue. Plu" .lignes sieurs télégraphiques ont été coupées. En montagne, la hauteur de la neige est oom-~ sidéra'Me. On' redoute des catastrophes. Remiremont, le i" maM. Apres trois jfurt de violente tempête et de pluies qui ont provoqué une crue de la Moselle, 'la neige tombe abondamment sur les hauteurs. La couche atteint dix centimètres dacs les rues de Remiremont.

Après une période Auxerre, Je i" mars. de temps humide et doux, la température refroidie pendant 'la n'uk. La .neige est t<xmbee abondamment dans ia. matinée.

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Office nationa! mêtéoroïogïqHe

Temps du 28

février au 1*~ mars, à y h. Température. Maxima du 28 février

~Marseille, 16°;

1

Ctermont-Ferrand, 15; Tou-

louse, 14; Bayonne, 13; Bordeaux, 12; Lyon, Strasbourg, 10 11; Paris, Nantes, Dijon, Tours, Nancy, o~; Le Havre, Brest, Rennes, 3. Minima du i" mars Brest, Perpignan, 4; Le Havre, 2; Nantes, I; Paris, Tours, Dijon, Nancy, Strasbourg, o; Va!enciennes, Lyon, Catais, Bordeaux, CIermont-Ferra.nd, 2. –i;Prévision pour la journée du 1*~ mars et la nuit du i* au 2 Vent de Nord-Ouest 'modéré, assez faibte.ciel nuageux avec ~elatrcies, me.me température. Prévisions pour la journée du 2 mars t Vent d'Ouest faible ou (modéré, Ciel nuageux ou très nuageux avec éclaircies et rares avertempérature en hausse. Dates critiques selon !a méthode d'Hen~ de ParviUe et la CoMMfK'.f.KMC.? des 5-6, i3, 20. 27-28 mars.

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