L'Effort algérien. 09/05/1931.

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L'Effort algĂŠrien : journal hebdomadaire paraissant le samedi

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L'Effort algérien : journal hebdomadaire paraissant le samedi. 09/05/1931. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.


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Samedi «"taa^fléél^^/

25 Centimes le Numéro

QuatrièmeAnnée N-183

DUPROGRÈS Gommeni S LASEMAINE IT LARANÇON g ENGLANAN1 un(rotHomme ondevient EMILE FAQUE1 UE 1,

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Politique.

I. - La grande Pitié des Intellectuels

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Le général de Chambrun1 vient fance de ce travail préliminaire lairt L(J (.j.ijjyuglittéraire Emile Eajruett que *•-K»1 ^W ^—Le Président Doumergue inaugure qu solennellement l'Exposition Coloniale de de composer à la mémoire de Sa- indispensableà toute grandeentreItre- l'on vient de célébrer à l'AcadémieEran t'rau- j] es( évident que plus un pcupl de 51.000...Or il n'y a pas un ingé in.fé "'&*-" Vincemies. 'C le W!^seétait un peu bohème.Voici sur soi se civilise, plus les membres qui ]e nieur sur quatre qui gagne cett( 2ur du prise : forger sa volonté avec vorgnan de Brazza, fondateur cette — Rentrée du Parlement qui a été précompteune histoireamusante : Congo français, un ouvrage cédée d'un discours du Président du conle que désir ardent de s'en servir un jour. 11lui arrivait souvent de descendre,li le composent veulent s'évader de 1er- somme. •e, lu Courneuve. Et à ceux qui se recrieraient sur j'ai lu avec la plus grande piété. 11 a en effet son idée à lui,1, et matin, chez un petit bistrot qui se trouvai uvait iiiJieu naturel. sui se^' àMort (,e M' PasQuet>sénateur à peu près au-dessousde sou appartemen ment Toul le monde est plus ou moins ce chiffre de 57.000,le journal donne ~ Je voudrais, en ces quelqueslignes, il la mènera jusqu'au bout, juin, Bouches-du-Rhône,et de M. Jacoulot, des prenait calé Mouge.11 la déîle son ave< y rue attiré les professions inlellec par dire quelles furent les origines irait pulé de Saône-et-Loire. nés de Son biographe raconte que° sa un croissant, debout devant « le zinc - le décompte suivant qui nous paraîl ic ». » luelles,l professions incertaines, tout-à-fail raisonnable joie étant plus MM. grande était né d e jui souLudre, républicain de droite, entant, îtait Toujourssans lagons, il faisait volontiers [tiers : cet homme extraordinaire, qui — Borrel et Render radicaux-socialistes, ts ot ou vent mal payées et aux lendemain: Nourriture rjn la conversationavic les clients,ouvriers italien est mort français, et fran- de calfater les vieux bateaux du 21.60C ^.600 élus sont respectivement sénateurs de iprès parfois tragiques. employés.Un jour, lorsqu'illut sorti, après lac de Castel Gandolfo, d'y mettre çais de noble obédience... !ttie avoir C;iusé,commed'habitude, un ouvriei 12.000 i.000 l'°™e> de la Savoie et du Rhône. M. Ber"ir ^ esl aills*cIlleI10usavons à l'iieu Loyer (6 pièces) s ocialiste, j André Suarez a dit que les hom- son drap de lit pour voile et; ae maçonlit cette réllexiou: « 11n'a pas di*t l'aii est élu député de la Bonne 3.600 !600 ;iaSA'^' Creme-Siége Perdu Par les radicaux. bête, >e type - » A quoile patron répondit .: re actuelle tant de médecins sam Vêtements ent de naviguer des heures entières... 3.600 fOO ' mes étaient rares qui jouissaient malades, d'avocats tant le. » sans causes' Chauffage *** il « Je te crois.11est employéà l'Académie. Fet de Ainsi tous les sacrifices qu'il '. la vie; qu'il y fallait en effet 1.500 •500 U,., tant d'ingénieurs sans emploi. . Lettres> Sciences et Arts. Voyages s'impose et vacances irit et 1.500 .500 bons yeux, infiniment d'esprit ont pour but : voyager... er... Parlons un peu de ces derniers MMadel'" Ameublement reçoit à l'Académie 1.200 .200 c'est-à-dire POLITIQUE. *UEAU-DESSUS DE LA — de coeur. continuer: sa Leur situation est particulièreinenl voyager, francaise>M- Chaumeix. On y entend les Argent de poche 2.400 400 :jui le race. Or Brazza — et c'est ce qui él0g6S d'Emile Fa9"-elet de Clemenceau. Les journaux italiens rapportent un eueu- grave. 7.200 orn .200 Le legs Geoffroy — (pension de rend aimable — a su jouir de la Ah ! Quelle noble mission mie. Dans son dernier Congrès, l'Usij Assurances épisode de la révolutionespagnole. 1 ]! rieux 1 Réserves maladie 20.000 1.200 .200 francs) — est décerné par l'Aca;iec- (Tjn{on(jes Syndicats des Ingénieurs l Valence,au lendemaindes élecpour es ses Mais attention !... Le passé — C'était,à vie, et il l'a su parce que dès Impôts tions communales.Une ïouleimmenseétait français), constaté 1.200 .200 démie Goncourt à M. Léopold Lacour. 50 100 nplée comme disaient nos pères — *16 premières années il l'a contemplée a que pour ne réunie •nie, sur la place principalede la ville, , A — beau- doit que nous servir d'échaujan- de ces ingénieurs sont sous-classés. au- applaudissant n au défiléde centainesde banavec un peu de jalousie et beauTotal 57.000 •000 Etranger. c'est-à-dire entendit ndit n'ont républicaines.Soudain, salaire niôres le on l pas eorvoir loin... d'amour. Ur / plus ,r guettes pour coup s'agit — nous le répétons — — Gravesbagarres à Barcelone. etre respoiidant à leur valeur et à leurr la clochettesignalantle passaged'un prêtre Dès son bas âge, il a été de ceux du haut de ce promontoire îiî-'ï en i d'une famille de six personnes, plus e voiture,qui portait le Viatiquea un mo- besoins. )lus — Dissolution des parlements roumain , les dix-huit sièclesde; sa ribond.Les Les clameurscessèrentaussitôt.Les qui avec une solide candeur veu- qu'étaient r < bonne-qui paraît indispensable ible et hulaareNous une les avons sous yeux ce rapgue gens *j se mirent à genouxet firent le signe Pierre dé .brazza va conté cet tamiiie, lent ébranler l'univers; il a été ] -.„ de — Les élections turques donnent la maquand la mère quatre enfants... a la croix.Quandla voitureeut passé, ou ou port, et il en résulte par exemple jorité au Gouvernement. l'avenir à appétit, petit, terrible charmant templer s'y t et jeter corps CpS ré57.000 francs par an, cela fait un — MustaphaKemal est réélu président ogre au à parler de politiqueet.de re" que : recommença r, publique, perdu... dont parle le poëte 611X en situant peut-êtreun peu mieux P plus de 8.000 francs par tête... I 1° 12,5% peu ingénieurs-chimistes des e... de la république turque. Explosion d'un dépôt de munitions l'une Quelques années avant les évè- les contingencesà leur placevéritable. Il naît à Rome en 1852 d'une ent — touchent des appointements infé- Est-ce exagéré?... Certainement au Brésil. Plusieurs centaines de mort. dans *** pain fut le 1870, il l'aventure où de rencontre nements rieurs à non. ms 15.000 francs quo- 1 race par an; — Mort du cardinal Pompili, vicaire Lesi Ville Eternelle un amiral frantidien de plusieursgénérations.Lesia LA FILLETTEET LE LIONCEAU. UJ. 2° 7,3 % des traitementsvarient Un ingénieur écrivait dernièrem:re- du Pape à Rome, . ment ceci : « Je ne récrimine pas, de'ç Savorgnan, qui descendaientt de'çais, Montaignac. Il le supplie de ms, '-'e 3j. WilliamHanvood,professeurù l'Uni* rni_entre 15.000et 18.000; mais je constate avec beaucoup de 3° 16,6 des % traitementsvarient vère,Il'emmeneren France, la France Cet l'Empereur Alexandre Sévère,il cet versiréde Stanford,avait amené illusv< pour usAISerie, . tristesse, que dans ma situation acu' son cours d'histoirenaturelle, un ours trer nené asile de tous les grands espoirs... ms entre 18.000 et 24.000. avaient à travers les siècles mené , a tuelle, je ne puis plus joindre les — Par décret du 21 avril 1931,les triet deux lionceauxqu'une dompteusetenait iair par ailleurs, certain nombre, long un de bohème... les Et l'amiral emmène vie ce tt§ en unss en une eï laisse. deux bouts, devant des charges de 7 bunaux répressifs sont supprimés à dater ' ue luttant contre les Turcs, les autres l'ne fillettede sept ans. VivianLeichuer, après 15 ans de présence, se voient famille qui du 1" juillet. jtres garçon es, aux apparences délicates, g valent ne me aucune lne — Le Gouverneur Général préside les ais privés subitement de leur emploi; se préparait H entrer dans la classe, mais nise, aux et ^ en ramant avec la flotte de Venise, yeux doux, à l'âme de fer, p. a elle recula, épouvantée en entendant les fêtes du Centenaire de la Légion Etranles quant à ceux qui restent, ils végètent augmentation de traitement... » les troisièmes en arpentant en tous après deux ans d'étude il le fait en;H- grognements a d'un jeune lion. ai- gère à Sidi-bel-Abbès. gl dans des situations in- On nous dira que certaines maitrop souvent à l'Ecole Navale au titre tre — Entrez, lui dit alors la dompteuse, t: trer se' ferieures. sens l'univers. sons donnent des gratifications de i'f l'animal ne vous fera aucun mal. j étranger. Son père était un de ces grands éands Or un ingénieur a dû faire des fin d'année. Mais celles-ci sont tou3UEncouragée,l'enfant s'approcha. L'aniniseigneurs de la vallée du Pô, enAlors Brazza commence à voyaa- mal ira études coûteuses pour arriver à ob- jours aléatoires, et lorsque les affaim, aussitôtrompit sa laisse et se précipita nemi de l'Autriche, ami des arts, elarts, ger. su la fillettedont il lacérale visage. tenir ses diplômes. De plus, de par res ne marchent pas comme actuelIXSsur g Il voyage en Atlantique, dans —— Les élèves, prises aussitôt de panique, situation, il est tenu à Notre dossier lement, elles sont souvent inexistans'accroîttous les des lettres, des voyages, de la vie la certain inn Manche, sur les côtes algérien- s'enfuirent na un R)£ les porteset les fenêtres, se par Sg fours de lettres médiocres... tes romantiques nous remerciant de face des train 1874 de vie ou enfin 'eS traitement méerrante... un lues nnés, et que son ces en en b0 bousculantet se renversant l'une, l'autre, re, Voilà la rançon du progrès...EHei Ue à l'occasion des récents événeu'ils rives cependant invétérés dont Lasserre a dit qu'ils du Gabon... ri •0- -diocre est incapable de satisfaire. ceque la dompteuse et le proments d'Alger. fesseur s'efforçaientde maîtriser le fauve, 1 re- S'il a charge d'enfants,c'est la mi- est lourde, très lourde... îles Le Gabon ! il connaît déjà ce pe,s sont beaucoupplus beaux que.les Plusieursenfants furent assez sérieusement Nous verrons dans un prochain du Aujourd'hui encore, nous somTriste lendemain de Polysere... papillons, mais qui comme eux<.ne connaît avoir il le ne pays, en 2n contusionnés. pour p, coi obligés de nous excuser auarticle la situation des fonctionnaiai- mes ! ' et de Centrale !... H- technique brillent que sur la prairie. fraude, à l'école, entre une version it jn QuantAla petite Vivianelle est :1l'artiprès de nos aimables corresponcelle des ouvriers, et I et nous en en cle de la mort. Ces Américains...ils n'en en L'Information.socialedu 30 avril res liait d'Ovide Brazza — le père — ne brillait d' et un calcul géométrique, ^' font pas d'autres avec leurs excentricités!... dants si nous ne leur répondons déduirons qu'on n'enfreint im< (journal socialiste) démontre pas u. - — — fe les belles images qui le rect feuilleté individuellement. que lorsqu'il était en contact direct nullement les lois lesquelles I pas chiffres à l'appui, qu'un ingé- I sur reeavec : ** le Gabon ! c'est-àger, représentent... iavec la vaste terre, et pour le juger, re nieur enfants ne peut Ipose depuis toujours toute civilisaayant quatre a- C'est en bloc que nous leur di' PERE BLANC UN A L'HONNEUR. bas, di il fallait aller le chercher, là-bas, dire pour lui le mystère des choses à nouveau merci, et de tout ion ordonnée. es ' sagement sons s pas vivre à Paris à moins de 57.000 de pendant 15 ans il a eu faim, ttes dont C coeur. i Père Goanisson,des PèresBlancs,ori-1 *- francs 1. Le en Egypte, accroupientre les pattes fr province à moins et PAUL-MARIE. par an, en «in de Le Feuillée (Finistère), a remlieu Hélas 1 si le chemin de la gloire L'EFFORT ALGERIEN. du Sphinx, ou à Rome au milieu 1rp ginaire llllllliiiimiiiiiimiiiimimiiimiiiiiiiiiiiiiiiiMiiiii médecinecolo* porté diplômesde les deux .•OIIHIIMIKIIIIIllllllllllll | mII) | || | || lllllim fj_ por de ses ciseaux de sculpteur, ses pa- allait . ,. pour al] „ . commencer ce jour la f: '* niale auxquels l'Etat donne une bourse de Ilia et d'hygiène. lettes de peintre, ses souvenirs de le jeune aspirant de la Venus,c'est 5t Avant 1 de rejoindre sa Mission de la 90 %. Haute-Volta,ses Supérieursl'avaient enrêveur... de là aussi que devait partir son Concluez.. Votre future Ecole 1 n voyésuivreles cours de l'Institut de Médeîreslcalvaire |caj d'épreuves. Les oeuvres Unique n'est que de la poudre aux Son fils naît, et dès ses premières ;S cine LA. cin<coloniale,fondé Jl Paris depuis 1902 2 Clemenceau était un anticlérical, s'insdit lesquels on veut piper durables du les docteurs-médecinsfrançais et ;t années cet enfant a faim... a-t-on ;POU pour yeux avec 2r ne — — mémoireincertaine c'est entendu. Toutefois fin la de l'ignorance <•' ét™ sur des électeurs. Nos lecteurs ont pu constater que dans la cri Il a faim non de choses mortes, p étrangers. tes, crivent Le savant religieuxen est sorti premier, s; sa vie, il étal revenu de bien de Hier, l'écolier payait 10 %... ded depuis 1928les socialistes ont gagné écrit si hommes les dei des îde choses qui ne peuvent se mouon que DU• préventions... *" se ses * main il paiera zéro La d de 10 à 15 sièges sur les radicaux cent... Brazza pour -a Or si im avec voir et font silence... maisil a faim neg ** avi du sang... Voici notammentce qu'il a écrit différence vérité ne sera pasis dans di les élections partielles, en la , IMITER. sien EXEMPLEA le UN de1 de tout ce qui remue, de tout ce devait pour a pas verser sous le titre : « Ce que c'est qu'un grande... S( Elle n'apparaîtra que surr Ce phénomène s'est présenté sur, Fr; du moins pendant 30 ansS Le |la qui chante, de tout ce qui espère. France, Curé... » L Chili a dû, devant l'accroissementde C eltout dans les départementsdu Midi feuille du contribuable, qui elle!ta le lourd \ criminalité,imposerà elle la des la c Il a faim des romans d'aventure, me- « Je lui reprochaisd'entraver la presse porter pour < re, il devait diminue jamais ! qui , ne qi sont les plus avancés de France journauxdevraient,même les en p"a* que des incompréhensions hu- sures ies poids des coquillages de la mer, des po: RANSOLI. au France, prendre d'eux-mêmes,sans y êtree *« liberté de notre pensée, de nous ai point de vue politique. Une des des jalousies rivales, de la1 contraints. grandes cartes de géographiedont coût « persécuter, et au début de la . >nt maines, ma raisons de ces succès réside dans ce ? ^ gouvernementchilien a, en effet, dé- « guerre, lorsque j'allais aux tranphysique, de la traîtresse> Le doi les fleuves immobiles et inconnus fait, que les catholiques — par haiIUSdouleur d'interdire publicationde nouvelles cidé la 3 « chées, je demandais aux Poilus, ies des choses... semblentattendre les pirogues des 0 ne du radicalisme— ont voté pour détailléesconcernantles crimes. déta complète... destinée fut « en désignant l'aumônier : — EsîAinsi le socialisme qui ainsi a bénéficié explorateurs. Il en remplit son directeursdes journaux A effet, les cet sa . <( on 27 avait 1801, . La France en de Santagioet de la provinceont été invités; « ce qu'il ne vous em3)ètepas celui, la politque du pire.. pupitre d'écolier et ses rêves d'en'le par là qu'elle fut grande... ^es c n- et c'est millions d'habitants, en 1901, 39, de il se borner,en cas de crimes,à des comptes 1 « là ?...—•Et ils répondaientunifor- I] Politique de dupes aussi, nous le I Les chefs d'oeuvre doivent res- rendussuccints fant. vend millions, 1911, 39.600.000; ne mentionnantque le fait « mément : C'est un brave, un 1] en £' en disons . voulait nettement; politique sans — si Dieu douleur, pir< pirer la Il a faim aussi de cette chose auteurset victimes.Les et in 1rs des des et ; noms >se 1921,37.500.000;en 1926,38 millions. lendemain qui dénote un manque 3'oun ne reproduiront plus la photo- *« chic type, un exemple; il se dé- ^1A chiffre il faut ' l'homme à son triste, journaux aba magnifique qu'on appelle la vo2.507.000 ajouter o- abandonner ce jeunes criminels. « voue sans cesse, nous l'aimons bon absolu de la part de nos de , sens destin, il n'aurait qu'à abolir en graphiedes desi Jonté éétrangers, dont 427.000dans le seul coreligionnaires. Le gouvernementpropose de faire sté- « bien... coi i-éotj un bulletinquotidiende nouvelles « Alors par la suite je les déco- ^département de la Seine. La sienne, Pierre de Brazza va va lui la souffrance, dont Montaigne réotyper policièresque la presse pourra reproduire Que font ces étrangers? 250.000 L* socialisme a été condamné 'la sculpter heure par heure, jour p dire qu'elle était un marteau £°^ ur a pu dansquelquescolonnesplus ou moinseu ve- «* rais et je les embrassais de tout solennellement par l'Eglise, comme frapqui frappe l'âme, la qui ;ont jour. et se agriculteurs, 216.000 manoeu- 8C" en dette dette. « icoeur... » par entaché de matérialisme, comme °» ne peut qu'approuverle gouverne- î^£ On Enfant, il a peur des fantômes ,-res et le reste ouvriers manuels. 2nl pant, la fourbit et la dérouille. es pan de la lutte des classes, promoteur chilien.Il soi doit nr< ment ment de la atteintes, régions les plus va Les que presse par et «t des orages... Alors, comme cet PAULRIMBAULT. cesser fourrier inconscient du comde prétendre exercerune missionde cesse co1 comme dehors de 'immigrationsont — en j^1"^ salubrité publique lorsqu'elle contribue a Jt iiiiiimiiiiiiiiiiiiiimiiiiuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiii autre grand volontaire que fut La lettre célèbre du carmunisme... a]u parisienne le Pas-derégion I a abaisserle niveaumoralde ses lecteurs. — Garcia Moreno, il ira dans les ci- ' "I!] Mercier à ce sujet est enèore I Valais, les Bouches-du-Rhône, les dinal * metières le soir, dans la montagne I Les ' dans toutes les mémoires, ** 1 amis de l'Ecole Unique font AUpes Maritimes, le Var, la Moselle présente I)rc L'ET DU VATICANPOSSEDE L'ETAT el .Jil faut que les Catholiques franet grand bruit de Réforme leur rautour aux heures d'orage... et pour for^.g Moselle. la Meurthe et e( l ° . d'après SEIZE EGLISESOU CHAPELLES.qui Merci des chèques de MM.les Curés vouloir il y restera des nuits £S ~ eaif aient perdu la tète pour s'emger eux — doit régénérer Ces chiffres sont à retenir el à çais — Cherchell, Blida, Boufarik, L'église 0 .,son ' de de , —Rouiba, I L'é paroissiale de la Cité du Va- ybar barquer l'intelligence française. sur un navire dont il entières... îédiler. Hussein-Dey,Rivet, Aïn-Taya. tican est Sainte-Anne.O.ntrouve, en outre, Tizi_, Tizi-Ouzou, m bientôt seraient les galériens. Cervelles d'oiseaux, ! 'eri Avec cela, Brazza tenait de sa t LE CHEHCHEUR. ne savez-vous ;a — avec le P. Villard, de No- dans les Sacrés Palais, sept chapelles:les — Entendu vraiment temps (pie nos serait Il de Il tre"D tre-Dame d'Afrique. l'école secondaire déjà erreur chape chapellesPauline Sixtine, la est y a eu de et pas pas que mère des qualités de finesse qui en com-s n * resse Mathilde. de Nicolas V, d'Innocent à Jy -esse ami reviennent à la raison. Mais npeu près gratuite en France ? __*Merci Jésus-Christ n'a pas toujours amis faisaient un latin authentique et;t nom. d< Jules III, d'UrbainVlll. ni, de au généreux anonyme qui III, cela, il leur faudrait un chef... — Nous là le l)ou pour avons yeux, sous nos des le nous de porphyre, des autels Curés plus tard en fera un diplomate de 250 les francs pour euu Eu dehorsde cette zone sont les églises nous a envoyé les socialistes ont Léon Or du budget l'Instruction de rapport rap du_^] bled. du de Sainte-Marthe,de Saintde Saint-Egide, Sai c^haires de cèdre et d'ivoire, et Blum, si premier plan. les radicaux Herriot, les cenréabonnés et Etienne pu! publique Reconnaissance présenté 1931 le Abyssins,de Saint-Martindes Etiem des aux en par — serviteurs heureux pour L'explorateur Stanley qui futt nouveaux ; tristes de Saint-Peregrin. . , Tardieu, les conservateurs Suisse Q0UV( abonnés. La semaine a été Suisseset s(in sénateur Jean Philip... Qu'y lisons- .es lais une pierre au désert suffit Marin... bonm t bonne. Dér Dépendent mi encore de la Cité, il Castel- n011 son adversairedisait ironiquement où est le chef politique des ^ar ?... Ceci Pour 157.961élèves nous : Merci qui article Henri Murât d'Urbain chapelles VIII et Gandc pa- Gandolfo,les célébrer ses mystères, un catholiques de cet italien qu'en lui s'unissaient — j. ra~8 our y P° ?... Nous le cherchons catJ dessus de la sixième, les payant raîtra paj prochainement. au Cl^ ClémentXII. de lois, et vainement... prêcher rbre l'heureuse alliance du génie diplo- — ses y pour ar vail Reconnaissanceà Jacquier familles fan: 43 et c'est sans doute pour millions l'Etat M.l'abbé Eut Enfin, Saint-Pierre, versent et qui trouve avec se __ matique et celle de la philosophie et que le traité du Latran 437 ce]à que la sottise, dans notre camp, auque nous souhaitons complet rétablis- il la frontière 437 millions. Ce qui veut dire en unn lit d'épines pour y pratiquer cela, J g auquel sèment incl dans la Cité vaticane, nous avons bon semei a inclu coul à pleins bords. coule „• n , florentine. Français, que les élèves dits se:;s vertus. Bien reçu documents de M, Ruffierlun total tôt de seize édificesreligieuxdans le un __ — Chateaubriand. P. R. rempli Brazza Ainsi Ipetit Etat payants sont en fait des boursiers pay de M. le curé de Tunis. son en-- et de a pontifical. ;

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L'EFFORTALGERIEN

Comment Balzac torze pages de la partie linguistique (la Quand ii fallut quitter l'Elysée, après le politiquedu grand leader conservateur.Il seule qui ait été transposée), on ne sera fameux « se soumettre ou se démettre » y a dans ce document la preuve de ce devint pas député ne attitude d'Espagnols connaissent, à pleine beaucoup ie que pas trop étonné de l'oeuvremonumentale de Gambetta,elle eut une roi acrimonie, ies conseillers du dignité, répudiant savoir de de tous toute qu'en a fait cette transcription. se se que De Michelle Deroyer dans l'IntransiBien que les éditeurs du dictionnaire, refusant à continuer la lutte dans les coua- exilé, Antonio Maura était le seul qui geant : à problème leur exclusivement la avait compris le des contribuer rapports heureux de part lisses et consacrant par pour i- entre la monarchie et le peuple, et qui, En 1831, l'écrivain venait d'atteindre oeuvre aussi belle et aussi utile, suite sa merveilleuse activité à la pratiMonsecret '?...Je ne fume pas et je n'ai une Le Doyen des Officiers formulé les solutions droit de urgentes, des bonnes ayant n'aient demandé aucun pos- aa trente-deuxièmeannée. On avait parlé oeuvres. repro- que de France. pas bu un seul apéritif de toute mon exis- duction et aient accordé bénévolement Mme Félix Faure (1895-1899). La sédait l'énergie et la volonté nécessaires de lui avec avantage lors de la publicatence. ^ pour les appliquer. tion de sa Peau de Chagrin. Il rêvait de l'autorisation demandée, l'établissement naissancede MlleBelluot,fille d'un— De Paluel-Marmont,dans l'Echo de Pa- En revanche-,je avoué conduire les affaires de son pays ». Et, me suis beaucoup pro- de cet ouvrage unique eu son genre n'a d'Amboise, avait été accompagné d'unn J'ai eu entre les mains une copie de ce <:< ris du 26 avril : mené. J'ai changé quarante-trois fois de pas coûté moins de douze cent mille fis. drame de famille douloureux dont les testament : les idées, les doctrines, les une récente loi venant de le rendre éligiAu cours de son banquet annuel, la garnison ,s postulats pratiques qui s'y et nous n'avions pas, à ce mo- L a coûté aussi cinq années de travail. indi- ble, il se dit qu'après tout il était peutSaint-Cyriennecélébrera aujourd'hui un s'emparèrent vilaine». qués, dont avait déjàtrouvent d'indemnité de déminagement. L'American Braille Presse a d'ailleurs passions politiques commencé à être de taille à faire un premier ministre, et il grand ancien, le général Alain de Ferron, ment, l'accessionde de ment moment ma,. son au Vous pouvez le dire à nos jeunes cama- considérablementperfectionné les procémais qu'il fallait commencerpar entrer à tel, l'octroi l'essai, exemple, faire par délidoyen de la Saint-Cyrienne,et sans doute rades, fin i_ pouvoir. Femmed'esprit et ri — officiersd'aujourd'hui, si cela peut dés d'impression.Aujourd'hui,le système au la Chambre des députés. les niancomumdades à des toutes pro» aussi le doyen des officiers de France. leur être avait épousé « sensible, elle cat, e coeur un réconfort. Et, en tout cas, employéest simple et pratique ; au moyen FélixauFaure vinces — amènent le lecteur à se deman- Balzac se souvint alors de certaines vaLe général Alain de Ferron est né, en de inclination, alors s pure par ma part, recommandez-leurde ne ja- d'une machine à écrire spéciale, un lino- que rien ne laissait prévoir le développourquoi Maura et son parti s'appe- cances qu'il avait passéesà Fougèreschez effet, en 1838.Il est entré à Saint-Cyr en mais ,. der perdre confiance.De mon temps, Jes typiste, le plus souvent aveugle,à qui le ] laient « conservateurs ». Jamais la mo- M.le baron de Pommereul.Il écrivit aus1855 et appartient à la promotion du sous-lieutenantsmettaient Dénuée prendrait fortune. pement e que sa sept ans pour texte est transmis au moyen du dictapho-lelle-mêmede toute ambition, narchie espagnolen'a eu à son service un sitôt à son ami pour lui faire part de ses prince impérial. Sous-lieutenanten 1857, devenirlieutenant je on racontee réformateur el me souviensqu'un ne, prépare les clichés plus génial et plus hardi à la ambitions, et. se mettre à sa disposition. zinc qui placés que, durant le Congrèsoù se joua il prit part peu après, avec Je 37"régi- jour où l'on sur le sort t me demandait quelle eta.it sous des rotatives, sont reproduits sur de son mari, elle resta en prières danss fois. En tout cas aucun autre hommepoli- Balzacétait assez bien renseigné sur le ment d'infanterie, à la campagne-d'Italie. mon ambition,je tépondis : devenir chei papier à une cadence de cinq mille pages une église, demandant à Dieu qu'il nee tique ne sut formuler plus exactement milieu où il posait sa candidature. Il n'iTout à l'heure, lorsque je l'ai rencon- de bataillon. Je n'espérais pas, en effet, à l'heure pour chaque machine. fut pas élu. Une fois entrée à l'Elysée, el- que lui, le diagnosticdu virus qui la ron? gnorait pas que le maire légitimisteavait tré, il m'a fait le récit le plus vivant, Je avoir un plus brillant avenir, ce qui ne dû donner sa démission, et il comptait le ne laissa pas, néanmoins,de se montrer,. geait. plus précis et le plus enthousiaste du m'a pas empêché de devenir général ** de * à la hauteur de sa tâche. Aidée de sa filleÎ Le mal, selon Maura, n'était pas dans sur l'appui dissimulédes salons fougerais combat de Solférino, auquel il participa corps d'armée et d'arriver à ces fonctions Lucie,beaucoup plus ambitieuse et d'ail-- sa vieillesse,mais dans un défaut propre, ultra-royalistes pour trouver un « juste Deux Présidentes brillamment, et il m'a conté notamment le plus jeune de mon grade. leurs très instruite d'art et de littérature,, certes à tous les régimes trop' anciens et milieu » qui contentât beaucoup de comment, certain soir, épuisé de fatigue de la République * et qui épousa plus tard M.Goyau,elle futt qui et de soif, il découvrit dans une cave un i pouvait être supprimé sans tuer l'or- monde. réservé ses places, ses fa- Hélas ! M. de Pommereul,fort au couD'Henri Nicolle, dans l'Algérie du 2 une présidente irréprochable et d'une; ganisme.Ayant i tonneau de vin sur lequel ses hommeset charité ingénieusementagissante. Le {Larousse veurs, ses honneurs, ses charges, à une rant des affaires, n'ignorait point que le mai : lui-même se précipitèrent, mais c'était la monarchie était devenue le ré- comte de la Riboisièreserait aussi candicaste, i lu vin de mûres. Ils furent les uns et les Mmede Mac-Mahon(1873-1879). pour les aveugles — Née gime d'une classe, cessant d'être celui dat. (Plus tard, ce comte de la Riboisière ! duchesse de Castries, devenue duchesse a itres sérieusement indisposés. nation. Ses représentants vivaient, devint pair de France sous Louis-Philipd'une ( Solférino, me dit-il, c'est l'un des De Léon Abensour dans les Nouvelles :1eMagentael maréchale de France, Mme Si Alphonse XIII avait écouté agissaient, comme si aucune autre classe, |pe et sénateur sous NapoléonIII.) Il dis; le Mac-Mahonentra à l'Elysée avec le plus- beaux souvenirs de ma longue car- Littéraires : ( le « Grand Maura » de lui être associée,n'existait sous ,suada donc son poulain de prendre le digne < rière de soldat. Ensuite ?... Ensuite, je Jusqu'ici il manquait aux travailleurs ,iouble prestige de sa noblesse et des tiI ciel. idépart... suis ailé faire campagne en Afrique. J'ai aveugles un bon dictionnaire. Us n'a- |Ires éclatants conquis par son mari sur AntonioMaura été le ministre le plus le vaient à leur disposition que des ouvra- | es champs de bataille. Elle avait naturelC'est cette vision étroite qu'Antonio Les quarantes exemplaires de la a couru à pied toute l'Algérie et je n'ai cande la monarchie espagnole Mauraavait rêvé d'élargir. Les plans ré- {dide profession de foi de Balzacéchouèj quitté la direction du bureau arabe de ges tout à fait élémentaires.La transcrip- |'ementJe goût de la représentation et son ;icmarquable XIII, mais Alphonse XX''siècle, caractères Petit lion du Larousse pour la visaient à rajeunir au f formateurs ; la à en marqué monar- (rent dans quelque grenier. Pourtant, peu Tizi-Ouzouque pour participer guerpar une ,séjourà la présidence fut comble enfin cette lacune. ne l'a pas écoulé. C'est ce chie, c en ouvrant les avenues de l'institu- (le temps après, l'écrivain se présenta à ,inimation et un déploiementde luxe ex- 'Donmalheur, re de 1870...11s'en fallut de bien peu que Braille dans le Léon Saint-Martin de dit nouvelles, qui ingoulême, couches royale lion que ! [ diefêtes qu'elle populaire extérieur •aordinaires. Les donna du L'aspect aux je ne sois tué à Sedan... y i sans réussirà devenir député. formées en Espagne et qui / s'étaient s au mare- 'Petit Démocrate du 3 mai : Des souvenirs?... Je me souviens des lionnajre est naturellement bien changé. I'urent somptueuseset coûtèrent Fatalement la lutte qu'Alphonse entre grandi. la série des fautes avaient Dans Elle n'était effet, tient ;hal partie de fortune. caractère notaBraille, o iiiiimiiuiiiiiiiiimiiiiHiMiiiimiimmiiiimitiii une sa en i diligences.J'ai appris le service de place Le et le monarque devait aboutir à la de !Mil a commises et qu'il a avouées en elles e dans un règlement qui datait de Louis blemcnt plus de place que le caractère ]ias seulement, d'ailleurs, maîtresse Les épouvantalls qu'agitent les où elles le jour adressé lui dernier, chute de iloc, manifeste I dans le conseilléauligne, mais chaque hors par c ce Ou sait liaison d'imprimerie. carac- i encore que XVet j'ai appris à manoeuvrer,à Saintqu'aucun persuasion la les quitter, raient acquis de Espagnols moment aude inspiratrice du nombre véritable certain judicieuse d'un fermé r et au 1ère-est fIUX idversaIresdu Catholicismesont te Cvr. avec le-fusil à piston. ti moyen pour conquérir leur droit à Chacun d'entre eux oc- jirésident. Chaque fois que le maréchal: c:elle du traitement fait à Antonio Maura tre Ma santé ?... Excellente.Je lis sans lu- points en relief. centimètre L'événement f aits partout des mêmesloques. elles. n'existait d diriger néfastes le les plus sort à prendre,.. •esteparmi pour carré. l'on décision Si tvail importante pour environ t une c nu nettes; je marche comme un jeune hom- cupe arriver cinq ans après la mort du d attendait, cle la monarchie. On le verra quand sa devait songeaux million»de caractères d'impri- c:'était surtout son avis qu'onentourage.'f Wallne. me et j'écoute chaque soir les' nouvelles' mc-riequi amille se décidera à publier le testament pprophète. entrent dans les onze cent qua- Eivec impatience dans leur de la T. S. F. ; ...


L'EFFORTALGERIEN

TUNISIE lise j que association îeiigietise ou société muque, de part et d'aulie on ;i perdu Je sens u non seulement,avait l'ail réparer i'églis ent ! nielle. ue cette liberté qui... etc... » j men eoiaiiiee par ie dernier iremblemen t t/Vâ-nn-versaira du Congrès Ce Hiveit lïùuois se croit bien trande terre, mais en maintes circonstance:: ;es! j Malgré cette sélection obligatoire, en .„ là-dessus ; il a ménagétou1 Je monjn~ ' raison au grand nombre de visiiems que s eian montre iout a fait lion pour .Mon eucharistiquede Carthage. quille ie 1; j nous vaient les tètes imposantes du ceuLe 2G Avril dernier, le Patronage St- seigneur l Lvequc,pour les pieu es ue ^a de, et pe.ise n avoir déplu à personne. ,iml ijarois.se et pour tomes les reugionj. Charles et l'oeuvre dotale St-Joseph ont Cette semainemaïque 1 anniversaire di ull -Comme tout organe de politique locale- ii il lenaire, une tome compacte se ptessail lus M. M. donné une séance récréative des plus i- bougies uuctiariatique ue Cartilagequi se si veut satisiaire tes électeurs de l'un et uans les moulures coins el recoins de i éréussies. ;u. i autre parti. L'i uerouia 1 année ueimere, en ceue deugiiae, et lorsque i oit'iciammonta a i attiei ' :el L'orchestre était dirigé par M. Marcel ui_ Ceci mérite quelquesréflexions. n aurait ete jjien dihiciie de trouver iaa xieme semaine de niai, grandiose et imORAN Bône comme partout, les catlioliques A Theuring.. de céreLa pressionnant. ses e. spteiiuttir place. moindre , forment une masse imposante, ils repréLe Candidat Bcausolcil fut aplpaudi M. Carde et le Cierge oranais. ia louie des peierins accourus de sentent L'egiise était artisiement décorée tant à.•, nioiiies, ' une majorité qui pourrait être n. comme il convient; les pupilles de M. Ferles la pal ticipanon jn ino..ue, tous coiiis ou imieiieur qu a i extérieur. Lue profusion u ' puissante ; or, leurs adversaires ont toute rari firent merveille, sans oublier l'im1-iéde tu- La semaine religieuse ct'Uian lait paautorités )a~ ue drapeaux tricolores étaient suspenuus uiiiciene des utilités ia e. , ' seuls la puissance sur toutes choses et mortel Labiche qui entraîne toujours à raitre ia noie suivante : 0. particulièrement ia niaguiliceiice ue toutes ces soi .. geiice, aux murs et ues ilols de lumière se reliesur la presse : et celte cérémolenniies air, Nos lecteurs savent que M. Carde, Goupie.'ti 0. >u~ talent en tous sens dûs a des centaines sa suite la gaité et le rire. ceiturees en ' s ne ménage les catholiques que de jour, sur ies ptacey putuiques, cée. dernière verneur générai de l'Algérie, a visité ré' nies c" u ampoulesélectriques. ^e parce qu'elle sait qu'ils représentent le . rémonies cemmentles principales viiies de la prode nuit, à l'Amphithéâtre de •* 'o1 ,, i . | Carlhage,réception ue ^ est uans ce uici veineux et llatteur réservé été Légat avait à enthousiastedu Le samedi 25 , at parti du nombre et la force la majorité, { la vince. v Catholique L'Etudiant viiie d'ûran. Ce jour-là, les cioches oui. j cor que -ujji uouu.i, piotouotaire apuaio- du Pape, partout ovationné,acclamé chaa. mais aussi elle ne leur rend pas toujours lout leureusementet avec grand respect, enfin Algérien. H îinJiiLïLcil cnujje a'1 i^\'uiiiii*c. ° ia ia justice qui leur est due, parce que de- . bonne et les édificesreligieux lurent paia- I îiuue, , ues ucios ceie° ul. ! ue aune n CAUitUici jiiûn'c u_ puis longtemps la majorité catholique ( i Chi'ist-ltoiporté avec Majesté en triomle voises en signe d'hommage au plus haut •!u»cs ou oosCuiS ue Cette jjene amie uu Nous recommandonsla lecture du derr" dépositaire du pouvoir civil parmi nous. ^ e.,t phe g. semble inexistante : elle est une puisies pJu.s grands Prélats de l'Epar 1S.! | j ' nier numéro (N° 5- Avril) de la revue des es iietenu aux confins du diocèse par sa i m xj^^ioit £,u'Uiigerc, « utii, seciiu-i-u,' giise, clôturant procession dédont une ie e_ aince endormie : on craint malgré tout j c i e- dié de la réveiller, et c'est pourquoi on n'ose | ue vous due 1puuiquoi Etudiants Catholiquesd'Alger. ] ii 111alppuitieui * ^ certainement marqué la manifestade confirmation, Monseigneur a. , tournée a ur i ll* Nos lecteurs y trouveront notamment .j. l'attaquer ouvei tentent, mais comme une la plus belle organisée en terre afri, Ijuse, lit piUs lenuie el la moins ouuneuse tion . — qui devait du reste rencontrer M. le bonne vache pacifique on sait qu'elle se des articles de Mgr Leynaud, du profess; Gouverneurgénéral ,. ues lueiea, se lait un devoir aujuurunui caine, voiià ce que cette semaine fait reà Bei-Abbès le jeudi ( e. laisse El traire facilement, même par des le ÛO j. dans le coeur des catholiques tuniseur Bienvenueet de M. Dussaix délégué É ue ies uercer dans lems lûinueaux. ».. vivre le ; — avait confié à son Vicairegénéral ie v tleve- siens, mains ennemies, et l'on attend d'en pro- ( financier. de présenter à M. Carde les hommasoin a~ pemiani une uenu-iieuie_u.gruonou s . ; connaît , . ces Nous félicitons nos jeunes amis de ce :e ges Aussi suivant la volonté expresse de [e fifer le moment venu. du cierge.M. Dandines'est donc, pour iu|,pa avec le taient qu ou îui doiti Son Le momentest venu pour nous de nous ^, circonstance uue ucux pensées ue : brillant exemplaire tiré à l'occasion de Lemaître, Primat 'e cette Excellence Mgr fin, rendu samedi dernier, en com,, I{ ilu imposer comme nos adversaires s'impo- ( 'e pagnie leur Festival annuel... Festival qui a été des deux dignités du Chapitre, t jigiise a ia région Etrangère VComment d'Afrique,les grandes solennités du Conj. oenl , ' emeiid-ene paver sa délie V Et l'orateur grès Eucharistique de Carthage seront ! II est triste de se demander pour- ( très réussi... comme l'ont fait-remarquer îr MM. Poelaërt et Lampre, à la Préfecture, jj , e quoi les plus pitoyables par cetie spiendide pérorai-" °t* ont ^ les journaux quotidiens. commémoréespar une fête : procession où .. de terminer n leurs apôtres le nôtre si doctrines c des paroles très courtoises ont été profondémentl'assistance émut qui riche d'ensei- t et :' et ^_ ë échangées,préludant à la cordiale entrex e- | son ^ ç offrande des Palmes dans l'Amphithéâsi sublime vérité, de n'a catholiques,ia «ïiement et pas mort n est1 ire « Four nous, tJ de Carthage,qui se renouvellera chaj. les siens ! En vvue de Sidi-bel-Abbès. EL-BIAR un mot pourquoi n'avons- ^ ;pas une porte ouveite sur le néant mais' que .j année, vers la même époque ; ainsi „ Lorulot, la Lifout éternelle vie. Nous avons non seule- ces comme j sur 1 Li :ious pas nos Cl solennitésinoubliables ne s'effaceront Prix Littéraire. bre Pensée ? i ment l'espoir, mais la certitude qu aux fi- pas SIDI-BEL-ABBES xj p et indiqueront toujours, comme aux dèies ia mort n'enlève pas la vie, mais grands jours du Congrès International, La foi prêchée par les prêtres ne suf- 1J fît plus à notre siècle, et les apôtres laïcs '' qu'elle ia change. Nous savons en outre (r] C'est avec la plus grande satisfaction n Le j>( l'espoir du Diocèse de Carthage. 7 Centenaire être utiies aux âmes Cette année, c'est ce dimanche 10 maij doivent les aider. A tout prix, * s que nous avons appris que M. Jacques que nous pouvons de la Légion Etrangère. il nous faut réveiller la foule des pratiChevalier,d'El-Biar,avait été cette année e par nos prières et nos sacrifices. Certai- qu'auront lieu la procession anniversaire e quants amorphes, la préparer aux nécesilauréat du prix des écrivains de l'Afrid'entre eiies ont peut-être emporté de ni ues l'offrande Palmes dans des J'Amphii_ ,,( et l'Algérie Le GouverneurGénéral de et ;l ce monde quelquesrouilles du corps, se- Uiéâtre '. sites nouvelles,à l'Action Catholique,aux que du Nord. Tous nos compliments. ie Carthage, heureuse puisde date ;j: d'Espérey pré' maréchal Franchet \t ont ;" ion l'expression de Victor Hugo, il est en qu'elle concorde Idées généreuses larges. Tout est là : * avec le jour de la Fête rendre la religionetsympathique, sidé les fêtes du Centenaire de la Légion 11 notre pouvoir de leur rendre tout l'éclat q, en faire '' Nationale de Sainte Jeanne d'Arc que Ja' BLIDA |] Etrangère.Dans E son discours, M. Carde a exigé pour les soldats de la céleste armée France entière prépare p à célébrer avec une monnaie courante, la chose de tous, a se suiprononcé paroles les notamment de la ia sortir sacristie, la faire !" et triomphante. Voilà après avoir rayonpourquoi même patriotique toujours la ferveur Nécrologie. (0 et, vantes : v. dit tout à l'heure : Gloire aux morts de ie îer sur le forum où une place d'honneur ^ je plus grand enthousiasme. lui est due, faire reconnaître envers et Cl e la Légion ! Vous êtes venus dire ici aux Nous apprenons le décès de Mme Tau« D'autres, avant moi, ont dit ce que fi en Espagne ce Corps admirable, au11 pieds du Juge suprême : Paix éternelle * .-outre tous la dignité de ses droits et ré- B riac, de Blida, bienfaitrice des églises de3 fit ** clamer la liberté de ses aspirations, en un te temps des guerres carlistes, en Crimée,eni aux morts de la Légion ! Cette démarche Zurich et de Marceau. de Mgr Laynaud. .. mol, la présenter et l'imposer comme l> latlie, l£ iau Mexique, en France, aux heu-• vous fait grand honneur, mes frères, et L'accident l'unique charte des rapports humains, et il res sombres de 18/0-71, aux armées de la3 vous pouvez être assurés qu'en ce 1110A S.E. Mgr l'archevêque d'Alger, la po-- le seul remède aux nécessitéssociales. Loire et de l'Est, au Tonkin, au Dahomey i'< >' ment, Là-Haut,il y a bien des yeux qui ' Congrès Noéliste de Tunisie, qui l'affectionne ln et au Maroc, ainsi qu'au cours de la gran-- vous sourient, bien des mains qui vous pulation Ceci est une oeuvre de longue haleine*et l> ; de l'Afrique du Nord. jc tourmente de 1914-1918. Vous permet-- bénissent, bien des lèvres qui vous re- nvec de n tant de respect, adresse ses voeux les' sera le fruit d'une organisation sans dé- ll sincères à l'occasion de l'accident faillances. A ce sujet, je livre cette sug- ^ plus tr au Gouverneur Général actuel de- mercient ». trez ' dont le Elle vient d'être victime. Elle par- gestion qui me Le 2e Congrès Noélistede l'Afrique du1 l'Algériequi, de sa carrière coloy.j fut laissée par un ami, la au cours • Pendant la durée toute de la Nord a eu lieu à Blida les 18 et 19 Avril,1 niale, , tage avec tout le diocèse d'Alger la pro-| ardent apôtre de l'Action Catholique : là et nj eut l'honneur de servir à Madagas-' ['orchestre à cordes de la Légionmesse, fit. se r^ et vive émotion qu'elle a ressentie' création dans chaque paroisse d'un co- ^ sous la présidence de Mgr Dauzon, en car ca sous les ordres directs du Maréchal entendre dans des morceaux pieux et fonde présence de MM.les Curés de Blida et de Galliéni (1.se réjouit de voir la Providence proté- mité et d'une caisse de propagande en ni et Q, et y vit personnellementoeuvrer bien rendus. " Mostaganem, et de l'abbé Bergey, député ces ger l'éminenl prélat des conséquencesfâ- vue d'organiser des séances publiques où A ce soldats d'élite, de rappeler que leur La sortie s'effectua sans bousculade, un cheusesqui auraient pu en résulter. ,~h de la Gironde. endurance et leur esprit de sacrifice fu- service des orateurs déléguésd'un comitécentral, ln ej] d'ordre été assuré parfaiteayant La population de Sousse, pour son an- prêcheraient dans le monde l'Evangile Sil ' rent re tels, durant la conquête de la Grande ment chers de France lesscouts par nos ' cjt curé, et celle de Tunis pour l'ancien et cien '!' qu'un Médecin-Chef pouvait pro- quels lie, la valeur sociale du catholicisme. Car '" eurent pour mission de canaliser la administrateur BOUFARIK du diocèse de Carthage, ,,enfin, il faut le dire: pourquoi la vérité .-ul noncer ces mots, légendaires depuis : « jfoule et aussi de rendre les honneurs prières adressé à Dieu de ferventes aux ont on n'a-t-elle quand qu un troupier de France entre à l'hô, pas les audaces de l'erreur, et &' de grâce. r]'f personnages officiels présents. d'action Mort de Mme Gonse. ' iirqu'à pital j pil c'est pour être rapatrié ; un tirail- nombreux truand les fils de lumière se ca- « multiples été hommages qui Aux Dans l'assistance ont nous avons pu noter cheront-ils tandis les enfants des té- t" ^l c'est pour guérir ; nn légionnaire, Une bienfaitrice de Boufarik, Mine leur, à cette occasion à Mgr Leynaud, nèbres se montrentque grand jour ? ex] c'est pour mourir » et que, le Maréchal nu [ hasard du stylo : M. le Sous-Préfetre- exprimés lit au Gonse, est décédée. Elle était présidente £e joignons nôles présentant respectueusement M. GouverneurGénéral le Car- nous no écrivant pour demander qu'on t ~^a. des Dames de charité de cette localité, et Galliéni, A.O. filiaux, affectueux '.re tres, et des visitait à même l'école qui la heure souvenant nous lui envoyât 600 Légionnaires, disait : c avait soutenu de toute l'ardeur de sa cha- 'ul qu'il a été notre bien-aimé père itumimiimimmimiiiiiimmimiiimmmim toi le Maréchal Franchet toujours | L. «* Les effectifsactuellementprésents dans d'agriculture, vu té l'oeuvre de l'Enseignement Libre et l'Ile, spi spirituel le premier guide de nos âmes. d'Espérey et Ministre de la représentant le mieux employés, me paraissent ( celle si importante des vocations sacer- suffisants. la conseillers muniplupart des , Toutefois, je demanderai 600 guerre, ê Joseph MUNIGLIA. dotales. M. le Curé de Boufarik a pro- ^u avant à leur tête M. Barisien remhommes c de la Légion Etrangère afin de cipaux 101 nonce sur sa tombe ue nallocution émue. pouvoir, '"" iiiimimiiimmiiimiiiiimmiiiiiiiiimiiimiiiii Sidi-bel-Abbès, plaçant Bellat, Maire de M. le cas échéant, mourir convena- P Nous nous associons de grand coeur au P?] qui Ecole de perfectionnement blement <3 se trouvait à ce moment au côté de e ». aideuil de sa paroisse. . JM. le GouverneurGénéral...plusieurs gédes Officiers de réserve co néraux qu'escortaient un nombre impod'Artillerie d'Alger. sei MAC-MAHON d't ILe programme chargé des fêtes du sant d'officiers etc.. Samedi 9 mai 1931 cérémonie touchante fait qui ^ Nous centenaire de la Légion étrangère avait De cette gni cen avons reçu la lettre suivante de Groupes C D Service : en campagne, ^ei n au talent d'organisateur de no- jj01 Mort de M. Maglioli. aussiprévu la célébrationd'un service re- honneur Bône : aus pej Rendez-vous il 14 privilèheures curé M. Julia, à la ferme cher doyen les de *! ligi ligieux à la mémoire des Légionnaires tre j_ « Réveil-Bônois», journal de poliLe giés- qui purent y assister emportèrent le tique J.„J Le centre de Mac-Mahon vient encore tno morts au service de la France. [j™, locale, a .relaté dans son numéro du Beni-Messous. » reconnais-1 ému le plus souvenirle plus et d'être éprouvé par la mort de son admi- Ce C service fut célébré le jeudi 30 avril Sl De ^Q 30 avril, sous le titre « Coulisses algérien, * „«' sant. ** de à 10 1 heures 30 du matin en l'Eglise Saint Sl nistrateur M. Joseph Maglioli. nes », les événementsregrettables qui se Nous nous excusons auprès de tous de son 1H Vin Homme bon, affable,juste, il était esti- Vincent de Sidi-bel-Abbès, sous la préEcole de Perfectionnement ;ont produits à la suite des réunions orsidi nié de tous ses administrés et de toutes sidence effective de Mgr Durand, évêque ce ganisées à Alger, par la « Libre-Pen- des Sous-Officiers de Réserve les ci pâle compte-rendu si incomplet d'ail- gan le leurs. d'O les populations de l'arrondissement où il d'Oran. >ée ». « L'écho catholique bel-abbésien» sée d'Artillerie d'Alger paroissial qu'on peut se procurer Après comptait de très nombreuxamis. B Bien A avant l'heure fixée notre coquette organe 01 un exposé des faits qui semble église était comble. Pour éviter en ei écrivant à M. le curé, donnera un rap- être ;tre impartial, le journal en question, se Samedi 9 mai 1931, séance d'instruction firu •* • Aussi, Monsieurle curé de Batna a tenu et vaste à s'associer au deuil des sier.s et de toute j l'inévitable l'ini cohue, des cartes avaient été port ire d'un commentaire embarrassant par à 14 heures à l'ancienneCartoucherie. Pro- et i P1 circonstancié et en même temps l'ai- tire obsèquesrelirégion, présidant les 1° locution in-extenso la disf de Mgr Bollon. ; distribuées en cett :ette conclusion, bien fâcheuse et fort gramine aux officiels ainsi qu'aux gi : Cas particuliersdu tir. Incidents miê prit gieuses de cet administrateurmodèle,qui, ! principaux lier. membres du bureau de chanattendue « De tels faits montrent bien de tir et moyens d'y remédier. P. C. inat A .

ALGER Au Patronage St-Charles.

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Informations Militaires^

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Libre Tribune J

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LE TRIOMPHEDU MORT

i viande.deconserve et couchait sur la paille; nous, c'est ht compagnie qui les a élevés elle trouvait beaux ses grands yeux tris- gratuitement. Songez qu'en une seule antes et de haute mine sa froideurhautaine. née elle il donné près de deux millions pour Comme lit consigne était sévère et que nul les caisses de secours, les écoles, les oupar Jean ne pouvait sortir en ville, si ce n'est pour rroirs, les patronages,les hospices. Pas une jeai DESMÉ N° Mo 9. û tes corvées et en armes seulement, pour misère qu'elle n'ait secourue, pas une bei . d'elle la même attitude, froide et polie ; tuer le temps, la compagnie, comme l'avait soin qu'ellen'ait satisfait !... C'est elle qui — Vous savez. Mademoiselle, fit-il à mais chaque fois il lui semblaitque ce clair dit Laneelin à Béziers, avait montéun théâ- d créé les maisons de vannerie, tissage, voix basse, ce que je vous ai dit, c'tst en- visage rendait un puc-imoins sombre la fin 1-.s femmes des mineurs. Sontre nous. N'en parlez pas à monsieur votre (le sa journée. Il s'était, laissé raconter sur tre et jouait la comédie. Et la jeune fille, soierie pour père. Laucelin est, après tout, un bon cama- elle des faits de charité, édifiants et ingé- qui les apercevaità travers la porte de la gez que depuis dix-sept ans. le chiffre des rade auquel ja m'en voudrais de faire tort. nus, tant par les employés de la Direction scierie toute grande ouverte, riait de ces affaires a doublé, et que pourtant les diviN"'étant pas son chef, je n'aurais pas dû le que par les quelques ouvriers qui vivaient grands enfants qui savaient embellir les videndes distribués aux actionnaires sont testés stationiiiiirts.Qui a profilé de la difchoses les plus tragiques. juger... soigner les chevaux remontés des puits à férence '.' Les ouvriers qui ont vu leur saQuand elle rencontrait, l'officier, était elle père déjà fixé Mon est son compsur de lit grève. Et — plus il connaissait cause te, Monsieur ; vous n'avez pas de crainte â cette jeune fille, plus sa vie avait faim de vis-il-vis de lui à ht fois aimable et réser- laire augmentéde 2.000 francs, et la ville, qui, qui, il y a soixante ans. au début de avoir. la sienne. Il voulut tout d'abord savoir où vée. Nulle feinte de femme, nul enjôlement i\ ntreprise,n'était qu'un hameau de cinq d'ailleurs ; mais rien que le grand désir de Et elle le salua froidement ; dans l'in- elle habitait. Et le matin, et le soir, créau A six habitations,et aujourd'huirenferme tonation de sa voix sel mêlait la finesse de puscule, il rôdait discrètementautour de faire, oeuvre de charité en rendant moins liiigt-einq mille âmes. Quand vous pourrez pénible le eanronnemeutdes hommes. Les quelqu'un qui a compris. • sa maison. Puis il voulut savoir où était sortir, Monsi:ur. si vous le voulez, je vous En rentrant à son cantonnement,Béziers chambre. Et après Jiien dis recherches sa il employés de la Direction qui les voyaient montreraitoutes ces merveilles d' lit chade fenêtre, s'en étonnaient de leur ne passa par la scierie. Il longea la cabane l'avait découverte, un soir, que le store causer Laneelin : elle était entr'ouverte ; l'offi- avait, été remonté. Il y avait, vu la jeune pas. Ils connaissaientla vertu de Mlle Mai- rité et de l'intelligence': la Goutte de lait, ils savaient la journée elle l'hospice des vieillards, l'oeuvre du Trousnet toute cier assis sur la paille lisait. : que fille debout, éventant de sa robe le parquet, vivait que. pour ceux qui peinent ou seau, et vous me direz après si nous som— Savcte-vous ce que j'apprends, fit ce puis «'asseyantdevant sa machine !Ï cou- ne obéissent. Qu'ils fussent soldats, mineurs ou mes des oisifs et des égoïstes. dernier en apercevantBéziers ? I tire, du linge entre les doigts.;, grosse toile mendiants, tous faisaientpartie il Les regards de la jeune fille brillaient ses yeux éerue sans doute, destinée a l'oeuvre du — Non... le ia belle humanité soutrr;inte. Depuis d'un grand éclat. L'on sentait qu'elle vou— Eh bien ! j'appreiids comment je trousseau des mineurs. Iti'on lui avait dit du mal de Laneelin, lit lait convertircet hommes qu'on lui .avait dit pourrai distraire mes hommes. la grille, matin et soir, des che- ieunc fille s'était attachée à lui, voulant le hostile, qu'elle entendait l'amener à l'adEt il montra le titre du livre. C'étaient Devant vaux piaiffaient, et celle, sur qui des anges •onverfir. sinon à ses idées, du moins à miration de l'oeuvre qui faisait la gloire de les souvenirs do Sébastopol, de Tolstoï. doigts de roses auraient dû veiller, était ime formule de résignationet de sagesse. Si sa famille. La sincérité de son accent toupar semaine, les aux — En Crimée, deux fois il la garde des gendarmes. Laneelin s'eiu (;on coeur était plein de désirs de charité, chait le coeur de l'officier, mais elle n'aveuFrançaisdonnaientune aubade à tous, amis retournait à son cantonnement,les yeux <on sang avait un besoin intense d'aposto- ! glait pas son esprit. 11 restait muet devant et ennemis. Je vais en faire autant. Dede ces images, oublieux un peu de |at. Etant n mplie de lumière, elle voulait ' 'l'Ile, car il savait que s'il parlait, tout serait i main, la 7" compagnie aura son théâtre, et remplis corvée, moins honteux il causa d'elle de ,n éclairer les autres quels qu'ils fussent. fini entre elle et lui. et il ne se sentait pas 1 j'espèie bien que les grévistes y viendront. sa garder l'usine d'un homme qui ressemblait ;"était le côté passionnel de sou caractère, ':a force de se refuser cet appui qu'était la | c'est là-haut... théâtre à Notre nous, — « l'assassin » de sa mère. Pourtant, de (>ar ailleurs si plein de douceur et de ten- ; 'rue de cette femme... Et Béziers montra la fenêtre de la direc- àfrôle:r ainsi sans cesse tous ces riens qui lui trtsse, et si les larmes des la faition. — Vous ne dites rien, Monsieur... fit-elle !'étaient un peu plus chers chaque jour, il f(aient pleurer, leur erreur laautres remplissait itprès i... En bien fasse tranps un moment de silence. Grand vous — emportait à suite tout cortège de sa un ma(;'un violent malaise. Puis elle se tut, songeuse, les yeux à fer- ' de grève il faut être neutre, et on ne l'est taises et de désirs. Etait-ce l'avenir de pour Un jour, ils Le coin de soleil commençait à des- ' se rencontrèrentdevant la qu'en restant chez soi. Je ne comprends pas la joie de la peine ? Il n'en savait rien, cloche qui. depuis quinze jours, ne sonnait i•e. endre et à se blottir dans l'or de ses ehe- f c le commandantqui autorise que vous dînicE et tout on doucement il laissait aller à l'ob- ,;lus. Jamais Laucelin ne l'avait trouvée si ' i•eux... chez des patrons et qui y dîne lui-même, session du mystère. se ^elle. Etait-ce l'effet du soleil dont un coin Alors Laneelin passant ses doigts sur ses r' alors que... r' De son côt'é Mlle ÎUaizet voyait de sa était pendu aux fleurs de son chapeau ? j•eux : — C'est qu'il y a une belle fille la-haut. chambre le cantonnementde ses hommes, 1'oujours est-il qu'à sa vue sa hauteur s'a- — Ah ! que je voudrais pouvoir penser a Allons, bonsoir, Laneelin.. . Et le quittant brusquement, Béziers par- 'st comme elle aimait tout ce qui, de près ou baissa et que ses grands yeux tristes sou- comme vous. Mademoiselle... de loin, ressemblaita la vie des humbles, r:iront. fit fin sifflotant. îlle suivait avec plaisirles journées des sol— Que dit-on de la grève, Mademoi- r CHAPITRE VIII lats. Quand, a l'heure de la soupe, l'offi- B,îlle ?... e îier venait goûter â la gamelle, elle se leRien de bon, fit-elle... Cela peut du- c Dans les premierstemps de son séjour â vait et mettait — front it vitre. la son la scierie, Laneelin avait eu l'occasion de n>r longtemps encore, sans heurt, sans dra- ll Elle le trouvait gentil, ce lieutenant qui a ie. Et pourtant, Monsieur, tous ces jeunes rencontrer, à plusieurs reprises, Mlle Maivis-à-vis'i même toujours la fourchette t du soldatgoûtait à la a lineurs qui suivent le mouvement contre n eu zet. L'officier avait

Grand Roman Social


Aïïsoee - Lorraine H3

compagnies des fades fibres de l'Infante- fut comme en France aux jours des in-i- pendant pas applicable.Là les vainqueurs Au contraire, en habiles politiciens, et ventaires, crochetages et compagnie. rie. 3. se contentèrent d'expulser Jes Pères Jé- pour réparer dans une certaine mesure Commissairede police, serruriers crochei- suites el les Frères de la Doctrine chré- leurs injustices, les vainqueurs augmen leurs, gendarmes honteux de la mission n tienne qui affichaientdes sentimentstrop tèrenl peu à peu les traitements des mi** Le mur d'enceinte est encore en assez ferle. J'ai dit l'usage qu'en lit Monseiqu'on leur imposait, alerte de la populanistres des différents cultes. Leur coni- français. bon état, malgré quelques brèches. La gneur Dupont(lesLoges,l'Evêquepatrio- Passonsmaintenant à i'éUdactuel de la tion. Force resta aux religieuses qui ne duite fui exactementle contraire de celle sectaires bons Frères, certains Les porte d'en bas qui dessert les routes du te de ia ville de Metz, la religieuse, la Lorraine et surtout de l'Alsace qui n'est sont pas près d'être remplacées. Les de la France en matière religieuse.Notre ,s de France appellentque intelligemmentles si Sud et de l'Est est à remarquer avec les charitable et ia militaire. Les oeuvresy séparée sur toute sa longueur que par le Soeursde Ifibeauvillétiennent un grand j abolissaitle Concordatconclu entre pays Fières transportèrent, ignorantins, en Pie VUet Napoléon,tandis qu'on le maindeux vieilles tourelles qui Je flanquent sont nombreuses,notammentun patrona- Rhin, du Grand-Duchéde Bade. C'est là nombredVcoles.Il y a aussi les Soeursde France le pensionnatflorissantqu'ils pos- ijnait .soigneusementdans les pays ande chaque côté. La communea beaucoup ge florissant de jeunes gens ouvriers di- qu'est le péril, et il es tgrand. 11est fa- ia Piovidence,celles de la Doctrine chré!' sédaienl à Beauregard, près de Thion- nexés. perdu de sa population depuis Ja guerre. rigé par M.l'abbé Risse,des prédications1 cile de comprendre poutquoi. La politi- tienne; bref les écoles professionnelles L'essai scandaleux de laïcisation • ville. Us de Lonchoisirent bourg Je Pères jésuites autorigros s'expatrient des Lesjeunes gens non presque tous, faites par religieusede la France dans les pays où renseignementreligieuxfait partie du que j'ai mentionné a donné naissance à que départechef-lieu du de canton l'autorité lesquelles gttyon, de meilleurssalaires dans sées, mais feret vont gagner sur annexés et reconquis indigne ceux-ci : programme scolaire. Les Allemands se ment voisin, de Meurtheet Moselle,où ils l'autonomisme,ce qui équivaut à sépal'industrie. La culture rétribue mal ses mait les yeux. « Français tous égaux devant la loi, pas sont bien gardés d'y toucher. Du reste donnent, sauf le latin et le grec, une ins- ratisme.Qu'on ne s'y trompe pas. AussiM. ouvriers. de distinctions entre les citoyens ». C'est leurs enfants à eux les fréquentaient éga- truction l'abbé Wefterlé Je dit-il nettement à M. En lôôf), si je ne me trompe, la ville fort solide à des centaines d'enfants. Clemenceau bien en théorie, mais à son entrée en lement el y apprenaient le français à la„ Ce pensionnat qui s'en offusqua : Vousn'afréquenté principaleQuitte à mélanger un peu fous les su- fut bombardée par les troupes île Char- Alsace,le est maréchalJoll're déclara formel- perfection, ce qui n'était pas sans flatter vez plus une faute à commettre. la des fils cultivateurs de de ment jets, puisque je suis sur le chapitre Alsa- les-Quint;bien inutilement d'ailleurs, du lement dans par d'une manière considérable. proclamation solennelle les parents partie de la Lorraine de langueallemande La conduite courageuse des Alsaciens ce-Lorraine,je reviens un peu sur le Ma- haut de la butte qui porte encore aujour- adressée de une Tliann aux annexés qu'ils El quelle commodité pour les relations' qui désirent recevoir une solide instruc- qui savent maintenir leurs écoles et leurs réchal de Mantaufel et sur Jes rapports d'hui son nom, Ce qui prouve, bien la allaient redevenir commerciales! II y a aussi en Alsace, Français toujours, pour qu'il entretenait avec l'Evêque, chef spi- faiblessede l'artillerie d'alors, comparée plus qu'en Lorraine, un certain nombrel tion secondaire, à cause du voisinagede convictions religieuses, ne sont pas sans respecteraitleurs la France croyances que rituel du diocèse. C'est principalement à Jà puissance de celle d'aujourd'hui. La religieuses, leur langue, leurs coutumes. de protestants et d'Israélites qui sontl iii France et de la partie de la Lorraine faire une vive impression sur Jes autres le français. C'est indispensable français. Il y a ainsi deux catégories de lorsqu'il s'agissait d'appliquer les lois sur célèbre butie est dominéede haut par le MonsieurPoincaré el d'autres personna- heureux que leurs enfants reçoivent l'ins- qui parle les relations commerciales.La situa- citoyens dans le même pays. Cettefausse le service militaire aux jeunes séminaris- mont Saint-Quentin qui- porte le pJus ges officiels firent des pour truction religieuse de leur confession, déclarations ana' tiou n'est pas sans analogie avec la Rhé- situation ne durera pas toujours. Les cates que la bienveillancedes autorités al- puissant (Jescinq forts de a ville,réputée logues : à Metz.Mais lit conduite actuelle qui en fait de bons citoyens. nanie voisine où nombre d'Allemandsap- tholiquesfrançais paient ainsi deux fois : lemandes s'exerçait visiblement lors de imprenable,ei qui l'était. Les Allemands de contradiction la France est avec J'ajouterai encore qu'à la suite de l'at- prennent le français dont l'enseignement en les écoles officielles et leurs écoles priia fournée annuelle des conseils de révi- ne s'y sont pas frottés. 11a fallu Ja tra• tentat de Hoedelet de XobiJing,la poli-• était interdit en principe dans les pays vées. L'Ambassadefrançaise auprès du sion. Les exemptionstotales ou partielles hison de Bazainepour laisser entrer pour ces promesses. . étaient facilement accordées aux cas in- lit première fois des troupes étrangères On se souvient peut-être de l'essai de tique religieuse allemande fut radicale-• annexés.Maisil y avait à cette règle bien Vatican a été rétablie, mais cela ne suffit i 1 d'une école des environs de ment changée, non seulement en Allenia- des exceptions.J'aurai l'occasionde reve- pas. La conclusion d'un nouveau contéressants. De pareilles mesures de bien- :lans la cité jusqu'alors inviolée. Les laïcisation i .l veillancene purent laisser l'Evêqueindif-1 Messinseurent Je coeur gros ce jour-là, Strasbourg;je ne me rappelle plus exac- gne où le Diocèsede Trêvesavait particu- nir i sur ce sujet à propos d'une étude sur cordat s'imposera un jour. I Rhénanie que j'ai habitée pendant férent et l'obligèrentmoralementà accep-j inais que faire à cela ? Les boites ferrées |ttement dans quellelocalité eut lieu l'opé- Jièrement souffert, mais aussi en Alsace- la of-js ilJemandesfaisaient résonner le pavé, ac-j iration. Rien ne manqua au scandale. Ce Lorraine où le Kulturkampf n'était ce- deux (à suivra Henri HEMMER. ter la haute distinction qui lui était ans. i


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