Le Figaro (Paris. 1854)
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Le Figaro (Paris. 1854). 21/04/1898. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.
dant
Déjà un certain nombre de personnes vous ne voulez plus d'une Constitution ressemblent à certaine avocats qui plai- était à la veille d'être nommé çomman* un magnifique plan de réformes. qu'il naturellement, s'empressera, moins non dent sur le dos de leurs clients. -Si* calquée sur l'orléanisme. » se sont inscrites à la irtaison Goupil et triste renvoie à la Chambre. la mère d'oublier si le Détail singulièrement' on Dans un intérieur bourgeois, un can- jamais je suis dans la peine, mon Dieu, au Figaro. En voici la liste: Galurin s'écrie morte, il y a ,Citoyens, avec conofficier était didat au Sénatfait une scène à sa femme faites que ces confrères ne me défendent de ce vaillant M.: Georges Lavai, Mmes Juliette Parcourt, « On ne traite pas de voleur un four- pas Leur antipathie est bonne. Leur un mois, à Paris, et la lettre annonçant victionje n'ai que quelques mots à vous Yvonne Stella • MM. Manzi, Jean Boussoa, nis^seur qui vend à faux poids, quand il sympathie est terrible. ce deuil au capitaine Flay elle arrivait dire: Mon adversaire vous, promet tout Joyant, Jules bescamps, Filipesco, JulEs Est-ce que pour sauver ce malheureux quelques jours après son décès à Mada- et ne tiendra rien moi; je "ne vous pro- SSf Se> Antonin Proust;G. Mmo est délégué sénatorial Habille-toi et va de Luxel. ils ne s'avisent pas de réclamer la sup- gascar. On juge de la désolation du frère mets rien, mais. je tiendrai tout MM. Francisco Alvarez, Horacio del lui faire des excuses !»» Monte, cruelleRené' Valadon; Mme Muller, MM. Alexia la campagne. Un député rencontre pression de la peine de mort dans Tart- de l'officier, Maurice Flayelle, siaffection le docteur Segond, le comte de Munsun vieux prêtre. L'endroit est désert et mée en temps de paix! Pourquoi pas le ment frappé à la fois dans son Un groupe de touristes visite l'admi- ilouart, ter, E. Duval, Etienne Bouhey; Mme Andrô rable « Dôme » de Milan.. 'personne ne peut entendre.Alorsl'homme jury tout de suite, un jury de la classe?. filiale et fraternelle. de G1fry» M. Ernest Martin, à Paris; M. la « Uné fois pour toutes, mon Les défenseurs de Jeannin avaient choisi politique de-Saintla crypte Descendus dans chevalier Van Havre, à Anvers; MM. FlamForain va exposer très prochainement cher curé, un de le conduire devant excellent moyen jamais demandez donc alpin Club à la du Charles, l'un d'eux, section centrale du La ne me a vue, corps marion, le comte Kracker de Scwartzenfeld, les originaux de la plupart des dessins ,rien devant mes électeurs Ça me com- le pelotond'exécution, car on peut contes- tenu hier dans cristal, dans sa gaine de demande intéressante séance naïveMaillard; Mmes Fanny Robert (2 exemplaires), une qui ont paru1 ici même sous la rubri- promet. Alors je deviens grossier. mais armée, nécessité d'avoir ter la laquelle proposition Debay: M. Henry Amiot, Mme Wenman, 4 ment une elle a adopté une » « Doux Pays ». Il me plaît, bien que peut Paris; M. Grosdidier, maire de Gqmmercy. Etc., etc. « Les valets », comme les quand on a une armée, on ne pas tendant à désigner, à l'assemblée généEmbaumé? qu'il n'en ait aucun besoin, de lui faire appelle discipline, et Georges Lecomte 'dans son beau contester la nécessité de la Non, répond le cieerone ,très corrale,.comme membres d'honneur, vingt cette « réclame».. pour empêcher pas encore inventé, c'est bien là leur vrai nom. Et on n'a Treizième liste rect. « Borromée ». alpinistes célèbres de l'étranger. Forain* est un:grand artiste. Vous con- roman supérieurs, c'est fâcheux, tout de même, les re- les inférieurs de rosser les Parmi 'ces grimpeurs et ces savants, M. le baron de Hirsch, 2 fauteuils. Masque de Fer. Le 200 naissez ses figures si savamment simpli- présentants du peuple formentque accroc discipline, de à la qui serait chez Whymet Anonyme, Coolidge ce un MM. nous citerons fauteuil.. nous juste un 100 fiées, d'une enveloppe si libre et si plus efficace per, les plus ardents entre les alpinistes meilleur de Mme le nation, moyen le plus méprisé la de Darcelle, moyen, deux groupe et d'une vie si expressive. C'est.une vé- et qu'il n'y enaitpas beaucoup plus d'un que la peine de mort. Hélas! anglais, bien connus dans nos Alpes POUR ALICE LAVIGrNE Une deuxième loge a été vendue à rité et "c'est une variété d'attitudes que dixième qui échappent à ce mépris. Il est M. Leseine, maia elle n'entre D'autres défenseurs de Jeannin ap- françaises, dont ils ont escaladé les prinpas ni Gavarni, je crois, ni Daumier n'ont vrai (et c'est compte, publicistes en des ayunt été partenaient mystère) que, méprisés, remise qui ét si'r Martin'Conway, groupe cimes, par. au çipàles un le geste saisi 'au passage, ils n'en seront Mme Davice, forcée connue de s'absenter faire qui, pour sauver Dreyfus et ac- s'est élevé dans l'Himalaya à 7,000 mèpas moins réélus. et et qui a demandé le remboursement; la vie en mouvement. Nul n'a tracé bien tellement Zola, ont arrangé quitter Par contre M.,Fernand Boussetfot a d'aussi synthétiques silhouettes du à interverti les situations et les choses Cinq Italiens désignés, notamont été Programme de la matinée d'aujour- envoyé un 'doÀ de 50 francs qui « rat » ou de la petite cocotte, ni de leur grâce à qu'aujourd'hui, point, qui une A. R. le des Abruzzes, duc ce 8 'ajoute à nos recettes, ci'. v ment S. C'est égal, nos candidats feraient bien des campagnes de digne mère, ni de leur ami le vieux monVaudeville du théâtre d'hui, tristes plus les au vient d'accomplir l'ascension du mont. Total de cette treizième sieur à la nuque en bourrelet, ni du de méditer l'album de Forain pour s'y de ce' siècle, on presse choisir forcé de est propose et l'Alaska, Saint-Elie, dans représentation commencera à une heure se négligé La politicien impudent,au poil sous prendre eux-mêmes en dégoût ou en entre leurs clients et l'armée française. d'atteindre le pôle Nord. Mile Sdrel, apr/ès avoir ^généreusement demietrès précise. avec Et n'essayent-ils, pitié. Que enfin, de ne pas et le;bord plat du haut-de-forme. dum-dum », articles Ceux-làfont des souscrit deux fauteuils, a remis ces places à Trois Suisses, notamment le savant Conférence^par MmeRéjane. « cela, que Forain est élégant quand il mentir et de- n'être pas vils? Sont-ils la disposition, du public pour augmenter enlesballes. M. Forel, si connu par ses études sur les Martyre, drame de la Premier acte veut Il y a dans son « Doux Pays » uné sûrs que la franchise et une bonne vo- comme en vers core la recette d'Alice Lavigae. Si Jeannin eût étéfusillé, lès deux vieux glacierset les lacs deux Allemands, trois de M. Jean Richepin. douzaine de petites Mariannes tout bon- lonté généreuse ne les serviraiènt, pas de province, qui comptaient le revoir, Autrichiens et deux- Américains comautant que la violence des mots, l'effron- auraient MM Mbunët-Sully nement délicieuses. J ohannès Le total de la souscription ouverte peut-être dire qu'il était cette pu se plètent liste. promesses desdes lui, vaut le terie et chez des la bassesse Mais le satirique, Worms. Aruns dans nos colonnes a produit 83i000fr.l dirigées stupides mort des attaques « légendes de Féraudy peuple majorité du Sphoragtnas actes ? La grande sinateur. et, au surplus, ses se contre la, justice militaire et des théoIl Comment remercier assez le publia journal cet des n'y Il et même figures. partis politiques botte du des Trouvé dans la Leloir Z3rthophanès a moque ,q,ui,sans attendre le programme, sans ne font qu'un avec ses pharmaceutiquessur la suppression ries fantaisiste quatrain: des entendraitde » surprenant, entend rien mais peut-être ramassé avais forme mots d'un « P. Mounet Latro sous connaître ta date de !a représentation que peine de mort dans l'armée. la de qui égalent et cordiales. elle des paroles sincères de dialogue raccourcis ceux ;•* P.Laugier Bdella.. nous organisions pour Alice I-avignë Les Espagnole ont la ressource, Combien on aurait plaidé plus utiledramatiques, croient ne pouvoir candidats plus puissants auteurs Les 'des Dehelly se ment pour ce pauvre diable si on avait Glaucus aveugle, noils à envoyé 88,000 fr.V d'embaucher, Inappréciable, caracsituation, qui malins fanatiques et des résument passer des Bàrtet la' guerre Mmes et qui Flamméola un une à la course, En enregistrant ce total splendide. Pour faire Jeannin a mérité son sort. Le Con" tère, un « état d'âme public, une ab- composent leurs Comités électoraux. Ou dit décochera'! Thpmrys, Un certain nombre Moréni): t nous devons, avant tout, remercier Mme de guerre a bien jugé. Mais il était plutôt ils en ont peur. S'ils* avaient le seil' surdité > /Frânqaet Réjane qui avâïl bien voulu, au début Lalagé :> jeune 1 Mais il n'était pas ni¡;¡;¡ ',noté.. Forain est excessivement irrespec- courage de les écarter, de s'adresser si l'Hôtel Drpuot sont Brésil de notre oeuvre,: se charger de placer les Leuconoé Les expositibns de Mais il s'est laissé surprendre par la évidemment électeurs, de prédirectement à leurs tempérament de tueux et se Mais il y a les malheureux pa- souvent bien curieuses il y en a une La- FondationBrichanfeau, à-propos en 20, loges au r^rix énormede 1,000 francs, révolutionnaire. Seulement, c'est un ré- senter simplement comme de braves boisson. aujourd'hui qui compte les noms les prose et en vers, de MM. *joué par MM. et qui, au lveu de réaliser simplement ce qui seront punis en définitive^ volutionnaire très averti et à qui on gens qui.:feront de leur mieux et qui rents Et combien aurait été plus habile en- plus appréciés de notre siècle, avec des Guitry, Huguenet, Galijpaux, Numès, Guy;, tour de force, en a doublé te résultat n'en impose pas. Par là il lui est souvent auront premièrement souci de la France, core .fils et les artistes du puisque', à, elle seule, elle a apporté Maunce Lamy, Guyon ce plaidoyer.quej'ai entendu partir tableaux et des aquarelles de Allongé, arrivé de ne point déplaire aux personnes et d'être en effet ces braves gens-là, qui spontanémentd'un francs à la souscription du Figaro. Bayard, Bida, Courbet,Decamps, Dupré, Vaudeville,du Gymnase et du Palais-Royal. cœur de mère «bien pensantes »; mais si les personnes sait s'ils ne réussiraient pas mieux que Nous..demandons une dernière favéur Monsieur le Président de la Républi- Harpignies, Heryier, Ch. Jacque, Lélittéraire Intermèdemusical et l'hypocrisie et la cor-, le mensonge, bien pensantes savaient par Rousseau et une au public qui a si' généreusement ruévous.ayez eu l'honneur de recevoir pine,' Monticelli, Th. C'est qu'un bon satirique paraît pres- ruption ? Quelles humiliations cuisantes, que, votre table hier une reine qui. n'a pas œuvré importante de Rochegrosse Sa- Ouverture par l'orchestre, sons la direction pondu à notre appel c'est ;d'être très que toujours réactionnaire, parce qu'il quelle ignominieuse servitude ils s'épar- àdix-huit deM;'Guy.ex?^ct. Il sera d'ailleurs nécompensé .de`ails..Vous pouvez faire à ce prin- lomé daiisant devant Hérode. qu'il 1 pourquoi quelques-uns, hommes est gneraient ainsi parce méfie des Noblet, Huguenot, son exactitude, car la. matinéa, qui comInstrumentistes MM. se compode la vie et de la monarchie 1 Ces' cent cinquanteM.numéros M. Lamy, îûencera: à une heure' et deràie précise, Numès,Numa, ast nécessairement pessimiste. Puis,, ne tenteraient-ils pas l'expérience, je ne temps Lérand,Galipaux, E.'T;, qui sera collection de saient la réjouira: le qui un présent; cadeau; un Mantrin,Tonn. un bon satirique s'attaque aux plus dis" point à Paris, hélas ni dans les ,coeur,de la femme et flattera le légitime vendue demain, 22 avril. aura comme début. ;la conférence dé forts, et vous savez qui sont chez nous grandes villes, mais dans les petites et orgueil de la souveraine. Donnez-lui Mme RéjaneAir de GuillaumeTell. Rossmi les plus forts depuis vingt ans et dans les campagnes reculées? Les mar- l'existence du cavalier Jeannin. Que ce Un, lever de rideau peu ..ordinaire, M. Escalâïs." Parmi les trois cent cinquante memSi chands de vin sont-ils partout si redoupar qui nous sommes menés.' pauvre diable, au fond de son cachot, bres que- comprend l'Association des La Margueriteau Rouet. SCHUBERT nestril pas vrai spectre clérical, dont on nous me- tables ? soit sauvé par cet ange qui prend son journalistes républicains, et dont 1 liste Mlle.Bréyal. quelques straporittos qui restent i prenait d'exhor,prématurément, Mais n'est déjà plus temps peu un nace qu'Attendent fit à tfâVêf* 1& iFrânee vol dernief fl^ùrë a) en son !qt||lâiiê consistance; Forain, qui jpluë ter les ^rtdjâ&ts a là franchisé; et les à seront vendus ;aux bureraux du, théâtre, lourdes des les angoisses retour f." son .'ment pardon remarque: à) 'ffé'vïeii£ d'une .fois -s'est montré indulgent aux discours vides et trompeurs sont déjà Onse heu jets dû matin. a des dépu"': L. Fugére. président de la Chambre Le anticlérical, qu'il est. retrouverait affichés à l'heure : prononcée et «curés-», se » Une vie humaine, c'est un cadeau tés, M. Brisson; deux vice-présidents, Le A. Theobiet c'est clair comme le jour. Lemaitre. Jules divin. C'est cadeau royal. Isambert *qn presque un ministre, MM. Poincaré et Mme B arretta. Il y a'une façon supérieure d'être « réRemerciez Dieu, si vous croyez en lui, de M. Barthoù cinq anciens ministres, en Chansonnettes s'oppose d'elle-même, qui volutionnaire mon .dernier • > f .;> P.-S. -rA de ar- le mettre sous votre, main pour l'offrir comptant MM. Brisson et Poincaré, Il propos • Polin. M. révolutionnaires invinciblement, et ticle, et, parmi beaucoup d'autres lettres, à la reine Wilhelmine. » aux déjà nommés; quatre sénateurs; un Air à'Hérodiade ;Ma88ENET de partis des Au-dessus professionnels. celle-ci, d'un homme politique j'ai reçu idée. ri'a Mais il Faure cette M. pas députés eu dix-huit ancien sénateur; M. Cossira. droite et de gauche, il y a la petite société jeune et illustre ,de grande intelligence huit de et ce nombre se trouvera prochaine- Air de la Damnation de Faust Berlioz tout de même commué LE CONFLIT esprits. des libres et de belle qualité morale (il y enà encore atravaux publics la peineende mortans pro- ment accru, sans doute, une quinMme Rosé Caron. Forain, faites-y attention, a un fonds de tels. Dieu merci) et que je vous noncée contrqiïJeannin. Il a bien fait. iaine auêmoins de sociétaires étant can- Air du.i?o* de Lahore Le discours de la Reine aux, Certes, Mabsenet excellent de Français de France. Il a, tout nommerais si j'avais le temps de lui en J. Cornély. w M. Renaud^ didats aux élections du 8 mai; neuf dont on se préoccupe comme d;un évéV '*•>• > naturellement, le sens des intérêts de la demander l'autorisation netnent,en Espagne^ne peut malheureuanciens députés quatre conseillers mu- Chansonnettes collectivité. Forain est nationaliste. Fé»' Vous avez trop raison « Nous « nicipaux les,directeurs de la ComédieMme Yvette Guilbert. sement modifier la situation que nous A Travers Parisroce pour les' mondains, les bourgeois, serions énergiquessi nous n'étions pas Française et de l'Odéon; le commissaire Le Xavier Leroux avons caractérisée hier. Le» solutions les hommes d'argent, les hommes politi- » des vaincus. » C'est l'idée à laquelle je gouvernement près les théâtres subtransactionnelles qui eussent .été posAccompagné par l'auteur ques, les ministres,les avocats, et, même reviens sans- cesse, pour mon compte,, Le. général du Barail,' que nous som- du le secrétaire général du et M. Thibaud,des Concerts sibles, acçéptables même par ies Espales juges, il traite avec douceur, avec lorsque j'essaye de ;faire le tour des mes allé voir hier, n'éprouve plus aucun ventionnés gnols, il y à quelques jours,, deviennent un censeur le ministre amitié, l'armée et surtout le petit soldat, maux dont nous souffrons. Malheureu- malaise et se souvient à peine de l'acci- 'Conservatoire Pékin; Mme Héglon. • trois consuls; un France à impraticablesaprès levota o.e, la résoluet l'homme du peuple, ouvrier ou paysan. sement, il y a une question terrible-que dent qui le mois dernier avait tant ému de David F. résident à Madagascar; le directeur de A) Le Myspli tion conjointe des deux Ctiumbres améMoitié instinct, moitié réflexion, ce grand je ne puis me défendre de me poser tout ses nombreux amis. provençale ricaines, 'parce que les termes de cette au Sénégal; plusieurs, autres B) Chanson railleur, cet observateur profondément bas. La France sait-elle et j>eut-àllevivre Nous avons eu le plaisir de le trouver l'intérieur Emma Calvé. t Mlle •résolution constituent un outrage et une irrévérencieuxatoujours été du bon côté dans le souvenir de la défaite? N'a-t-elle installé dans le petit salon vitré du rez- fonctionnaires ou magistrats aux colo- S'îfev. agression. un trésorier-payeur général; 'un (le. bon côté », c'est le mien et le vôtre), pas, par tempérament, besoin de la de-chaussée de son hôtel de l'avenue de nies particulier; quatrepercepteurs; C'est l'honneur de l'Espagne qui est en sans une hésitation, sans une défaillance. victoire? Est-elle capable, comme l'a été Neuilly, feuilletant le dernier numéro receveur Victor Maurel. M. sous-préfet, un secrétaire général jeu. Dès lors, aucun accommodement A cet égard, il a été admirable dans ces la Prusse, de se retremper dans le de la Revue des Deux Mondes, devant un président'de Monologue, Tribunal; un juge de derniers mois. ne paraît vraisemblable. Le parti, la malheur et de «se redresser sous l'excès son jardin tout vert qui commence à un Coquelin aîné. paix; plusieurs professeurs quelques dynastie même qui voudraient se mettre fleurir. poésie » de la dépression »? La Bonté, inédite J. NORMAND d'ordres divers en travers du mouvement national dé. sorti* déjà, c'est qu'il est autres fonctionnaires n'est S'il » Les idées génératricesdu patriotisme pas Sarah Bernhardt. diplomaterminé par l'insulte subie seraient em« Doux Pays » nous fait passer en français ont été plus souvent la gloire, encore embarrassé d'un dernier bandage encore, et, enfin. un courrier portés comme uri fétu par le courant des revue, familièrement, notre histoire po- ou même uniquement l'amour-propre au front; mais il compte dans quelques tique.voit terminée représentation La parle Roi sera journalisme-m On litique de 1894 à 1897. Elle est peu que « la pitié » et, à plus forte raison, jours cemonter à cheval. par là que le Candaule, comédie en i acte, d'Henri Meilhac colères publiques. qu'il Aussi, l'expédient qui eût consisté brillant, mais elle n'est pas en- qu'une conscience haute et claire du de- C'est du monument de son vieux ca- décidément à tout sans même de M. Ludovic • Halévy, avec cette distriet nuyeuse. C'est le « péril anarchique », voir national. N'est-ce pas précisément marade Bourbaki que le général nous a soit besoin d'en sortir, puisque tous les bution absolument unique dans les annales remettre Cuba au Pape, ¡:¡.fin qu'il décisusdésiônés continuent d'appartenir à théâtrales dât deson sort après avoir consulté les la simplicité des cerveaux libertaires et la vision nette de la patrie qui nous man- parlé dès qu'il nous a vu. populations, est-il fort sage et fort ingél'épouvante des jurés c'est l'éternel Pa- que le plus? Et ne tournons-nous pas :-La souscription, nous a-t-il dit-, at- cette grande association de presse. iér Spectateur "MM. Coquelin nieux mais trop- tardif. De même pour. nama, avec ses mensonges, ses hypocri- dans un effroyablecerclevicieux lorsque teint aujourd'hui de 23 à 25,000 francs. j_ Bouscarin Baron toute combinaison d'ordre analogue. sies, ses secrets de polichinelles, "ses nous voulons ranimer, par la honte ou Je ne sais pas au juste, n'ayant pu më Certains commerçants, lorsqu'on leur. Contrôleur Albert Le Brasseur Le conflit armé est inévitable, et, selon complicités étranges, les inconsciences par l'indignation, un sentiment qui, dans rendre aux dernières réunions du Co- demande de l'eau deVichysans désigner Numés Duparquet touchantes de ses victimes, et quelques- le désarroi général, a perdu sa force in- mité. Cela.marche bien, les probabilités logiques, il se produira la source, donnent une eau étrangère. le vous voyez, Vicomte Le Noblet avant la fin de la semaine. Samedi ou unes de ses plus plaisantes et inattendues time publicité à laquelle Aussi faut-il toujours faire suivre le nom malgré la maigre Boisselot » Un Monsieur décoré dimànch'e, au plus tard, nous apprenconséquences mondaines c'est le court événements. Il n'en de Vichy de celui de la source Célesréduits les ont nous Pitou Raimond drons soit que des navires américains et règne de Casimir-le-Hutin, avec le geste tins, Hôpital, Grande-Grille. Pour boire tant d'ailleurs le et succès faut Gobin pas Monsieur Un gros navires espagnols se sont rencondes qui le termine et que je persiste à trouà table, sans indications spéciales, c'est souscription est la notre de en preuve René Capuron Luguët trés, soit que des actes de guerre ont été ver beau, car je ne crois pas que beauquand il s'agit de rendre hommage à Vichy-Çélestins que l'on préfère. Spectateur Jean Coquelin 26 accomplis sur la côte cubaine. Nous percoup de gens en France en eussent été gloires de notre armée. l'une des L'Ouvreuse Mmes' Céline Chaumont l'épasistons accroire que. si M. le président capables c'est l'avènement' et Le monument de Bourbaki sera élevé Mily Meyer Emmanouissement de l'heureux successeur Mac Kinley avait été à la fois plus pruà Pau.. Jeanne Yahne Le Température dé M. Perier; l'envers des fêtes russes; dent et plus énergique, si les sénateurs -L'ambassade pontificaleextraordinaire, Daynès-Grassot Capuron Mme radical l'exploitaet les députés américains avaient été la farce du ministère îles les M. Lorenzelli dépression compostée de et de Mgr faible déclarations Une Au nombre de candides Léonie sur Marcelle Lender passe l'infamie plus prévoyantset plus justes, la guerre tion de la grève de Carmaux; Britanniques,mais le baromètre dépasse 765mm dature reçues hier par la préfecture de Peri Morosini, est. arrivée hier à Dresde Adèle Réjane aurait pu être conjurée; mais les faits européenne dans les affaires d'Orient; et, le centre de la France où le temps doux la Seine figure celle de Cyvoct, qui s'est pour assister au, jubilé du roi de Saxe, sur coméla de nouveau et à travers tout, Bourgeois sont là. On recherchera plus tard les resciel nuageux va continuer. On signale contenté d'envoyer MM. Mangin, Accompagnateurs d'Allemagne avec d'Aules empereurs et demande d'insavec sa die politique, et la sottise, l'intolérance des pluies et des neiges sur la Baltique; 'en Maton.- Piano prêté par la maison Pleyel. ponsabilités qu'ils impliquent et triche, les princes les rois, allemands et la cription poste. par n'avons à nous occuper aujourd'hui qu et la lâcheté des politiciens. Certes, il France, il a plu à Lyon, Nancy, Nantes et maisons représentants des Les les souveraidu cabinet préfet de bureaux du de leurs conséquences. Quel caractèrela n'est pas d'histoire ni plus « mouvemen- Paris. d'Europe. envoyé la à Cyvoct Seine ont retour en Des programmes à la main, édités par guerre qui commence va-t-elle revêtir? tée » ni plus stérile il n'en est pas, de Hier à Paris, ciel couvert, mais journée provisoire, récépissé puis, dans la thermomètre indiquait le Le 130 un notre confrère le Théâtre, seront mis gra- C'est là question qui sollicite depuisdeux plus sinistrement bouffonne, ni où pa- assez belle. Le nombre année plus est chaque Le grand 16o heures. barodéfinitif. soirée, récépissé à 8 heures, à matin 2 un tuitement à la disposition du public. raissent mieuxnotre veulerie, l'anarchie mètre, hausse jours les réflexions de toute la. presse veille, se tenait le la climat des princes la douceur du atCette pièce confère candidat le droit sur en que au Mais nous avons ditf qu'outre ce pro- européenne. de nos esprits, la banqueroute de nos soir 763mm. heures d'Azur. à tire y goûtent de timbre, Côte Ils la de onze d'apposer, ,,sans frais affivers sur ses Nous augurons, nous, une guerre Ion: volontés, et comme notre désaccoutugramme, notre généreux confrère le constate plus le charme d'oublier l'étiquette, placards, et et ches qu'il ne s'est et Théâtre, édité, par la maison Goupil gue, chargée d'épisodes intéressants, mance de distinguer même le bien du lés habitants de ne s'étonnent cou-, plus autre département dans porté pas un nïal. Tout cela revit, dans les croquis de et C, avait fait établir une magnifique mais dénuée, du moins pendant quelque Les Courses les cafés de Nice doyer Seinedans grands et de de la celui que plaquette illustrée, tirée à 250 exem- temps, d'actions Forain.plusréellement que.dans les;chadéroyales Altesses Monte-Carlo des elle Mais n'implique et suppose ne plaires numérotés qui seront 'Vendus au /Les Etats-Unis font, ;par voie diplomapitres d'une -histoire écrite et c'est une- A 2 heures, courses au Bois de Boulogustant, comme de simples mortels, lel'éligibilité qui est nullement prévue par bénéfice d'Alice Lavigne, au:prix de tique, des efforts désespérés pour obtenir Gagnants de Robert Milton verve acide, une éclatante dérision des gne. qu'est l'absinthe Predélicieux breuvage l'accomplissement la loi. Elle établit hommes, belle en elle-même, mais effi20 francs, c'est-à-dire moins que la moi- que les grandes puissances européennes Vaucresson Tancarville. de Prix fils. mier d'une simple formalité préparatoire, et interdisent à l'Espagne l'usage de la tié de leur valeur réelle! cace surtout par ce, qu'elle implique de Alberge. Porte-Dauphine lâ Prix de voilà tout. bon sens mon Dieu, oui et de gé; Prix Greffulhe Le Roi Soleil. Chacun de ces programmes est com- guerre de course. Les Américains, qui arrive à médecins Il la plupart des de Cyvoct afficher tant que donc pourra nérosité. posé de seize pages, couverture sur pa- ont protesté formellement, jadis, contre Prix des Tilleuls: Calembour. bon lui semblera son nom et sa profes-prescrire l'exercice et la marche à des pier du Japon, en couleurs, gravée en les conventions de 1856 qui lient à ceî Prix des Lilas Djohava. sion de foi, grâce au- récépissé que lui amalades que leurs occupations ou leur taille-douce et tirée à la main. Il forme égard un certain nombre d'Etats, nous Meulan. P)ix délivré la préfecture de la Seine, sansprofession sédentaire empêchentde sui- .une véritable plaquette qui comprend, représentent, en^agissant ainsi, un duel-. Cela est'très instructif. Et, puisque cela être le moins du monde éligi-vre semblable ordonnancé. Fort heureu-, outre pour pleine période électoune gravure hors texte en taille- liste qui voudrait bien se battre au pisnous sommes en à leur disposition sèment, ceux-ci ont COMMUTATION PEINE DE UNE douce rale, il ne serait peut-être pas mal à protirée au camaïeu, une dizaine de tolet avec un adversaireauquel on aurait sont les renseignements de Gilbler Châtel-Guyon, la l'eau grande Tels qu'on photographies variées d'Alice Lavigne enlevé même sa canne. Un dragon, nommé Jeannin, rentre pos de détacher oh sans choisir régulatrice du fonctionnement intesfournis hier l'Hôtel Ville à de nous a sur Ils abritent encore ici leur intérêt sous dans ses principaux rôles, les vers qui deux ou trois des légendes qui, dans ivre au quartier. Il se livre à des voies le candidat Un matin et tinal. le le du Cyvoct. verre verre un cas le seront lus par Mme Sarah Bernhardt, et l'album de Forain, expriment l'habituelle de fait sur le maréchal des logis qui le masque des sentiments humanitaires. l'imremplacent avantageusement soir une .série d'intéressants autographes des L'Espagne ne s'arrêtera pas à discuter de attitude des candidats vis-à-vis de leurs réprimande. Il le frappe du fourreau de possible promenade. plus notoires artistes pharisiens. pareilles propositions, et elle aura raison. Le dernier courrier de Madagascar a électeurs. son sabre. Le Conseil de guerre le conlàMlle Granier, la très charmante Elle a un droitconsacré par l'usage, elle Jeanne apporté la triste nouvelle des la mort du C'est au bord d'un chemin rural. Deux damne à mort. 11 a vingt-deux ans, et misérables et une pauvresse allaitant bas, en province, un père et une mère capitaine Playelle, de la légion étranartiste des Variétés, a bien voulu, à la en usera tranquillement, etparsonne en. Nouvelles a Main demandedu Figaro et des organisateurs, Europe n6 peutlui adresser légitimement gère, tué glorieusement le 12 mars en un enfant sont assis sur le talus. Lais- pleurent, désespérés. Dans une réunion publique contradic- vendre elle-même, cet après-midi, au à cet égard la moindre observation ni le sant son landau arrêté sur la route, un Les journaux, naturellement,ou plutôt combattant les révoltés. Ce brillant offigros monsieur s'approche d'eux et leur quelques journaux, s'emparent de cette cier, âgé de trente-neuf ans, avait ététoire, Galurin, candidat, prend la parole contrôle du théâtre du Vaudeville, les moindre reproche. Autre tentative' des Etats-Unis. lis es-. cité deux fois à l'ordre du jour du corps après son concurrent, le député sortant, numéros restants de ce document de dit « Vos besoins sont les miens, vos histoire et la commentent. Par 'malheur sayent d'amener les cabinets européens à aspirations sont les miennes Je sais aue les écrivains qui rédigent ces journaux d'occupation, pour faits de guerre, et oui. naturellement, vient de développer
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déclarer.que lechafEôn doit être considéré,; comme contrebande de guerre. Si les Espagnols Inaugurent la guerre en armant des corsaires; et si l'on reconnaît, ce qui est indéniable, que le commerce du charbon est libre, la guerre ne sera certainement pas, comme l'espèrent mièreg rançontres, quelque .sanglantes qu'elles soient; Elle durera, et les Espagnols ont prouvé surabondammentqu'ils Bavaient attendre l'heure propic0.Gè*Sont eux'qui, dans le courant du siècle, contre Napoléon l"caiî£fê te premier et le troisième don Carlos, eut sostewtî erïEarfepe le. les luttes les plus acharnées.
américain ont produit une surexcitation énorme. La, gendarmerie reste devant le consulat américain, prévoyant une manifes-
tation tumultueuse. JUAN.
litf reineWilhôlqaine et là féîfieTôgehte
Pays-Bas, accompagna du chevalier de Stuérs, du général comte du Mont, Mac Kinley a signé ce matin il 11 h. 24, les ceau et dfr la cotbtesse de Limburg-* Stirum, 4k ,rendue$' hier "matin, à matum a été 'au comté Polo de Ber-: neuf heures sont et demie;au musée de Cluny, nabé, ambassadeur d'Espagne, par un<domesdont elles ont surtout admiré les collectique négre du ministùre des uiûires étran- tions 'dé chaussures, de dentelles, de vieux carrosses, 'de faïences et d'émaux. Aussitôt M. Polo Sherman la lettre suivante De Cluny elles sont allées au Panthéon, La résolution,adoptée par le Congrès des Etats- et de là à la Sorbonne où elles ont été Unis d'Amériqueet approuvée aujourd'hui par le reçues par M. Gréard qui les a conduites Président, est de telle nature que la continuation dans la grande sallede l'amphithéâtre. Leurs Majestés ont beaucoup remarqué me» passegprls. les frasques de M. Puvis de Chavannes la salle du Conseil. France et au mtnist.ro et ont visité ensuite connee A pnse: heures et quart les Reines pémtrle d Autriche dans cetto étaient de retour à l'hôtel Continental > honneur de Vrfu- renouveler l'assurance pour chanqcr de toilette. A midi un des
re
vier LE .MESSAGE DE LA REINE
debien
de n Les événements se précipitent, et la parole est désormais au canon. hftî^Ifïri ce soir, à sept heures, avec ses secréLes nouvelles sonfi en effetdes plus graves. taire^. dés Madrid, 20 avril. L'ouverture L'ultimatum ne sera.pas publié avant que aujourd'hui, a eu l'Espagne l'ait reçu mais on sajt que M. Mac Chambres, annoncée pour Krnte'y1 a' envoyé copie des résolutions tlu lieu solennellement. de la arri- Congrès avec une noté dans laquelle il dit Là Régente, entourée qiï'il à'siigàé 'ces résolutions et qu'il demande fée a deux heures précise au Sénat. à l'Espagne, 'COïiformément à la volonté* du Elle a lu son Message. Ce doctortént s'exprime ainsi Congrès, de retirer de Cuba sa flotte et son armée. graves préoccupations qui attristaient mon Les M. Mac Kinley ne précise pas la date de ce je vous adressai là isnrit'la dernière puparole ont augmenté et avivé l'inquiétude Il ajoute que § si il n'a' pas reçu de réponse nouvelles pressentiment de blique, donnant le motivées par la satisfaisante samedi prochain, il fera exécuter et plus grandes complications de Cuba,Ces immédiatement les. résolutions du congrès, événements tournure prise par les suscitées par complications ont été une partie du mais comme aucune^heiire n!est fixée, l'Espavoyant approtemps jusqu'à minuit. en peuple des. Etats-Unis, lequel, solennel- gne a tout le cher la mise en vigueur de l'autonomie lement offerte dans mon précédent Message, e libre manifestation du peuple roix de ses Chambres, va détruire ATTITUDE DES CHAMBRES trament, contre desseins que es Washington, 20 avril. Lorsque les deux de l'Espagne ceux qui, avec les ressources et les espérances envoyées de cotes Chambres ont été avisées que le Président voisines, ont entretenu le feu de l'insurrection venait de signer, les résolutions, les applaudissements ont été frénétiques. dans cetttîle malheureuse et blessée. cédait à cet Si le gouvernement des Etats-Unis Le sous-secrétaire des ùtfaires étrangères a aveuglé courant, ries menaces et les insultes donné l'ordre qu'on remît aussitôt à M. deBeravec nàbé qùe jusqu'à-présentnous avons pu accueillir ses passeports. indifférence, car elles n'étaient pas l'expression M. Cambon et le ministre d'Autriche se nation américaine des sentiments de ia vraie trouvaient auprès de?M.' de Bernabé quand en provocation intolérable, i qui se transformeraient obligerait mon gouvernement, pour défendre l'ultimatum lui a été transmis. L'hôtel de la légation. d'Espagne appartela dignité nationale, rompre les relations avec Washington. de 'le gouvernement nant à un sujet autrichien été mis sous la cette crise suprême, la voix sacrée de ce- protection de l'Autriche. Toutefois, l'ambasDans i lui «ni représente sur terre la justice divine a sadeur de France et le ministre d'Autriche et de prufait entendre dos conseils dé paix aucune dif- sont chargés conjointement des intérêts de gouvernementn'a eu dence1, que mon son droit et l'Espagne. i ficulté a, suivre, fort qu'il est de étroit de, ses jtranquiîle dans l'accomplissement
est
retrait.
que
!la
DÉCLARATION DU DÉPARTEMENT D'ÉTAT
Le Massage se termine ainsi Si l'avoôir se présente sous de sombres couleurs si les difficultés nous entourant, elles' ne
et, de l'énergie seront pas au-dessus des forces triompher. Avec une flniïa par en du pays qui plus hardi, traditions rendent encore le courage l'agression devant en masse avec la nation- unie Dieu toujours qui étrangère, avec la foi en grandes a,crises de guidé nos ancêtres dans les non l'histoire, nous traverserons aussi, avec nouvelle crise .qu'autrefois, la moins d'honneur contre nous par des qu'on chercher à soulever raison et sans justice. provocationssans Les' Cortés vont se constituer sur le ehaînt>.= Elles siégeront même la nuit, si cela est nécessaire, et les députés de toutes Les sénateurs décidés à repousser énergique-; nuances sont méijt les prétentions des Etats-Unis et à voter tous' les crédits exigés par la guerre. Des télégramnies-dèLa Havane annoncent parmi la qu'un grand enthousiasme règne '-population contra les Yankees. L'invasion no fera pas aussi facile que le supposent les Américains. Outre l'armée régulière, 83,000 volontairessont décidés à défendre le territoire. Une réservé -absolue" est gardée sur les mouvements des naviresde guerreespagnols. croit que l'endroit où sera engagé lé premier combat naval sera unevéritable'sur.
on
*
la famille-du général Woodford venant de France a passé, la..nuit dernière, par Madrid dans le Sud-Express, allant à On croit que le général Woùdford s'embarNèw-York sur une quera dans ce port Ilpour allemand. restera probablement paquebot à Madrid jusqu'à samedi. Un grand enthousiasme règne dans toute l'Espagne. Le maréchal Lopez Dominguëz, interrogé a' dit qu'il croit que les par des journalistes, insurgés cubains uniront par faire cause commune avec les Espagnols contre lés Yankees;' Les amiraux Béranger et Butler disent qu'on peut avoir grande confiance, dans la flotte espagnole. Le ministre de la marine s'exprime dans les mêmes termes. On. annonce que l'amiral Villamie; commandantl'escadre des torpilleurs,s'est rendu, avant de quitter Cadix, au sanctuaire de là Vierge avec les équipages de son escadre. Dans une allocution à ses hommes, il a invite ceux qui éprouveraient un sentiment de crainte a ne pas partir. Les marins ont unanimement répondu qu'ils partageraient avec leur chef les périls de l'Océan et ceux de la guerre/ si celle-ci éclatait. et les marins s'agenouillè1 Alors l'amiral' rent devant ie crucifix, et firent le serment solennel de ne rentrer en Espagne que victoOn
assure que
Gibraltar.
Madrid, 20 avril. Au cours de son message aux Cortès, la Régente a dit la gratitude au Saint-Père intervention en faveur de la paix dans pour son critiques, l'Espagne reste aussi moments ces puissances européennes grandes l'obligée des leurs conseils amicale et qui, pas leur attitude conviction ont que la désintéressés, fortifié notre cause de l'Espagne mérite d'universelles sympathies, et sa conduite, une approbationunanime. Il est possible cependant que.l'attentat se réalise, et quo ni la sainteté de notre droit, ni la Si l'Espagne doit de
modération de notre conduite, ni l'expresse volonté du peuple cubain librement manifestée ne servent à contenir les passions et les haines déchaînées contre la patrie espagnole. de ce moment critique où la raiEnetprévision la. justice n'auront pour unique abri que son le courage des Espagnols et la traditionnelle énergie de notre peuple, j'ai avancé la réunion des Cortès, et la suprême décision du Parlement sanctionnera sans doute l'inébranlable résolution de mon gouvernement de défendre nos droits, quels que soient les sacrifices qui nous incombent pour l'accomplissement de cette tache. En m identifiant ainsi avec la nation, non seulement j'accomplis les devoirs que j'ai juré de remplir en acceptant la régence, niais je cherche aussi à fortifier mon cœur de mère, avec la confiance que le peuple espagnol, en se groupant autour du trône de mpn fils. le soutiendra une .force que rien ne. saui'àir abattre jusavec qrfâu'-m'omëiiU-ovi il-ltiisë)*a donné dé défendre en personne l'honneùr'de la .nation et l'intégrité du Aux graves affaires qui sollicitent votre àtteiition vers les mers occidentales vient s'ajouterla situation de nos possessions lointaines en Orient, les Philippines,dont la loyauté, mise à l'épreuve par une grave insurrection heureusement réprimée, se ressent encore de cette agitation profonde. Pour calmer celle-ci et pour remédier à la »ausé du malaise, le gouvernement vous soumettra d'importantesrésolutions. ». Adirés là séance d'ouverture des Cortès, les ministres se sont réunis en conseil extraor*
territoire. La séance
dure encore.
L'AGITATION A BARCELONE
NOS HOTES ROYAUX
Les passeports Washington; 20 avril. accompagnés Bè^itâÉé étaient 'd'une de M. de exprimant plus vif lettre de M/'Sherman son de Bernabé regret de'ce que-M. se crût obligé de partir. Le département d'Etat publie une déclaration exprimant -'ses regrets pour l'acte' de
•
quart Leurs Majestés arrivaient avec leur suite à l'Elysée, où on leur a rendu,
les
mêmes honneurs que la veille.
Président de laRépublique qui pourtait. la rosettede Tordre du Lion néerlandais, se tenait à l'entrée, avec Mme Félix Le
Faure et Mlle Lucie Faure. Il était entouré de tous les membres de'sa maison militaire. et civile. Se détachant du groupe, M, Félix Faure a offert le bras à la reine dés Pays-Bas; M. Hanotaux a donné le bras à la Reine i'égente. Tous les convives se trouvaient réunis dans le grand salon du rez-de-chaussée et le Président de la République les a présentés à Leurs La reine Wilhelmine portait une toilette de satin blanc recouvert de tulle brodé de fleurs au cou un rang dé merveilleuses perles, et sur la tête un petit chapeau blanc orné de.plumes blanches. Sur le côté gauche du corsage, S'a Majesté avait la plaque dé grand-croix de la Légion d'honneur, qu'elle avait reçue
Majestés.
la veille du Président de la République. La Reine régente était en robe de soie noire, avec la plaque de grand-croix de la Légion d'honneur, qui lui avait été conférée il y a deux ans. Mme Félix Faure portaituné robe de foulard noir et blanc enrichie de dentelles, et Mlle Lucie Faure une robe de soie aux reflets roses. Le déjeuner a été servi à midi trois quarts dans la nouvelle grande salle à manger du rez-de-châussée. Sur la table, splendidement ornée des plus .belles fleurs du printemps, les rosés brochant sur le tout, on admirait le magnifique surtout en ,biscuit de Sevrés formé de groupes cynégétiques posés sur socles bleu de'roi au filet M. Félix Faure qui conduisait la reine Wilhelmine l'a placéeà sa droite, ayant à, sa gauche la Reme régente qui avait été conduite par M. Hanotaux. Mme Félix
d'or.
Kattendijke, commandeur M. Van dér
mohd, lieutenant au 28 hussards, avec Mlle Staal et le chevalier de Claerbergen, of- Louise-Marie Kléber. ficiers. On célébrera aujourd'hui, à Saint-Pierre; de Chaillot, le mariage du vicomte Félix de Ferrari. Simony avec Mlle de NôBlét. Les témoins seront pour lé fiancé le vicomte de Masson d'Antienne et le vicomte de Sirpony, ses oncles pour la fiancée le baron de Noblet, son oncle et M. de Florimond, son cousin. Jeudi 31 avril Le vicomte de Monténay du Minhy, lieudragons, est fiancé à Mlle tenant au Sports Courses de chevaux Longchampâ" Breuil.
"
Menu du déjeuner: Londres, 2Q, avril, Le. sentiment anglais est toujours favorable aux Américains, Hors-d'oeuvre comme il fallait s'y attendre de la part d'un Truite saumonée sauce genevoise. s'emparait des pospays qui, il y a dix ans, dé bœuf Filet fermière sessions africaines du Portugal et envoyait Poulets de grain aux cèpes ensuite un. ultimatum au Portugal. Les Anïéridâîn^- sont' bien de, la' race angloTérrinàs. do queues d'ôcrévissës Rossini Selles d'agnesau i rôties au oressonj saxonne. Poularde de la Bresse à la russe Aujourd'hui,,la préoccupation principale Salade des politiciens et de la presse' est de décider branches, à neutralité impose la obligations quelles Asperges en sauce mousseline l'Angleterre. Quelques Anglais' prévoyants, Poires glacées de regardés nombreux et mais peu comme Condés grillés, candides Cassandres, voient avec inquiétude régiment d'infàri-; La musique du l'Amérique. entrer dans une voie nouvelle et pour que craignent l'Amérique terie, qui avait joué pendant le repas, a la sympathie P. Vil- exécuté à la fin THymne national hollandans l'avenir. ne leur coûte cher dais, que tout le monde a écouté debout. Don Carlos et la Lorsque la musique a cessé, le Président Bruxelles, 20 avril. duchesse de Madrid sont arrivés à Bruxelles de la République lève son verre pour 5 h. 40, venant d'Osteride. porter la santé de la reine des Pays-Bas, en lui exprimant le plaisir que lui avait fait son voyage en France et l'espoir de Dernière heure lui voir en garder le. meilleur souvenir. DÉCISIONS EN VUE DE LA GUERRE Le Reine régente a répondu,au nom de l'issue du Conseil son auguste fille, et a remercié M. Félix Madrid, 20 avril. A M. déclaré Sagasta a des ministres, que le Faure par des paroles très Cordiales. gouvernement n'avait reçu aucune cotnmudeux heures et demie, Leurs Màjesnication officielle au sujet de l'ultimatum du tésAquittaient l'Elysée, acclamées par la
président Mac Kinley, et le général Woodford n'avait pas encore demandé ses passeSagasta a ajouté que le Conseil s'était eiiclusiyëment occupé de la guerre et des préparatifs militaires et navals, mais que les M.
décisions prises restent secrètes.
UNE RÉSOLUTION. DES ÉTATS-UNIS
Le gouverneWashington, 20 avril. ment des États-Unis fait savoir qu'il.renonce
a employer des corsaires en cas de guerre.
"
"iNpjjs ayons reçu
suivante:
la
-communication
ancien chef d'Etat, ami de l'Espagne et des Etats-Unis, se demande s'il n'y aurait peut-être pas une base d'entente entre les deux gouvernements sur la proposition suivante que feraient les grandes puissances.: L'Espag-ne se déclarerait prête à accorder l'émancipation à ses enfants des Antilles si elle avait la sécurité qu'ils la préfèrent à l'autonomie. Afin que la consultation de la volonté du reinëttràit_ le goupays soit sincère, l'Espagne Mexique, vernement dé Cuba au en dépôt,, 'et les Mlle Lucio Faure, une plaquette sur l'art cabinets de Madrid et de Washington s'engage- en Italie, dont la fille du Président de la, raient à respecter le résultat du plébiscite., République est l'auteur. En attendant, tout mouvement de forces Au moment du départ, tout le monde, serait suspendu dé part et sd'autre. Vivent les découvrant, çrié Un
Peut-être une proposition de cette riâBarcelone,, 20 avril. Par' suit6 de la ture aurait-elle pu être discutée il y a' haïsse des valeurs espagnoles, la foule a en-' huit jours. Mais aujourd'hui l'âmoùrvahj la succursale de la Banque d'Espagne.. propre aatiojaal est en ieu» de part et pour changer ses billets contre de l'argent. Les dernières âouyeiles du
i- Le
a se « Reines Pour compléter notre compte rendu, disons que le lieutenant général comte du Monceau a été nommé grand'officier de la Légion d'honneur le chevalier de
1 »
cdmmajïdant
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od'artillerie
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Ducassô,
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zoologie)..
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l'église.
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général.
Urbain Chevreau, marquis et marquise de Massa comte et comtesse de Mieulle, comte et comtesse ide Chabrillan, marquts'et marquise de LoysChaniieu, )cômte et comtesse R. de Quelen, M. et Mme Feunand Ra-, et Mme Lôujs de Biré, M;Montreuil, marquise ^e tisbonne, vjcontésse de ;Bérulle, vicomtesse d'Andlâu, baron et baéonne de Bawrte^ comtesse de Bagneùx, Mllé Jàmeson, e;o; AU
:• oâirnet
ÏÏ6TES .On s'étonne du rapide succès dé là, mètre, par petits lots, à 3 francs le que On a raison de dire que le progrès écrase vente ca» Parc de la Faisanderie. C'est toujours quelqu'un ,ou quelque chose sur ) du merveilleux. domaine, dans un site char»;
Dimanche pro- son chemm. Les bouquinistes des quais mant, entre la gare d'Ablon et la Seine, sont plongés dans la désolation, et ils vienpar la d'adresser pétition ministre va se trouver avant l'Exposition,
mondain
Haiiil.•;
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-
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MARIAGES
Iliér a été célébré, à Saint-Françoiâ-Xa-
viéf, lé mariage du comte Guillaume de Bouillé, fils de la comtesse'Jacquesde Bouille, née, de Ghassevaly avec Mlle Suzanne'de.Triquerville, fille du marquis et de la marquise de Triquerville, née Grandin de l'Eprevier. Mgr
Mo»ssayês baron de. Marcy et Mlle Marguerite de là M'ouss'aye, comte de Lestrade et Mlle Marie >> de la Moussaye.
nent au une des travaux publics. Que leur arfive-t-il ? C'est très simple ils sont expropriés, ,comme, de gros propriétaires, des négo-
nouvelle gare des Tuileries, à 20 minutes du centre de Paris. Oh prédit une hausse certaine et très rapide, aussi les amateurs feront-ils bien de s'adresser dès à ciants,ou des usiniers, avec cette différence présent à direction du Parc de la. Faiqu'on ne leur accorde aucune indenïnité sanderie, la 16, place Vendôme, où sur', d'expropriation.
C'est l'installation de la gare d'Orléans au quai d'Otsay; qui cause tout ce remueménage dans ce'pétit monde. Il va y avoir dés travaux, des démolitions, des reconstructions, tout un bouleversementle long des quais. Les bouquinistes ne peuvent ^plâtfas- 4éuFS igejxs^pflisibles clients, par excellence^ ne s'exposeraient pas, pendant qu'ils dégustent un livre tare, à recevoir uôèïp'Qutï'ê sur la tête. La bibliographie est, chez certains, une véritable passion, mais elle ne saurait pourtant pas aller jusque-là; Il faut donc que les bouquinistes déménagent, mais pour faner où Ilsfotit observer avec raison que la rive gauche, qui est le quartier des écoles, est, par essence même, le domaine des bouquinistes. C'est la rive où l'on travaille, tandis que la rive droite est la i.ive :où l'on s'amuse: on n'y voit guère que des pêcheurs à là ligne. J'ignore quel accueil sera fait à la pétition des bouquinistes, mais elle a quelque chose de touchant, quelque chose même de symbolique, et cet comme un signe des temps que ces lourdes machines, ces traipsten marche venant disperser ces livre&àux quatre vents, toute cette matière quiïivieàt une fois encore écraser i l'es-
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Borgia, 10 fr. 25 fr. –Total
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56 francs. Pour Mme Marchand A. J.j fr. Lucie'4 Borgia, 10 fr.; Timbres-poste, 1 fr. G. Total 56 francs. u'25 fr.
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Il y a quelques années, le tribunal dé Seine prononçait le divorce des époux L.
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établis bouchers, rue. Lepic, Le jugementfut rendu en faveur de la;femme. Celle-ci, quel-. avec un au' ques mois plus tard, se remariaétabli dans le tre boucher, M. Auguste B.. dix-neuvième arrondissement. il avait fait; aussitôt séparA' Quant à de sa femme, dé mauvaises affaires et il était tombé dans la misère.. Avant-hier, se présenta danéia btu B. ,efc, s adressant a Mme B.» chérie de Mil' lui demanda si son mari était là. Il avait, disait-il, une importante communication a lui On appela M. B.. ïl n'eut pas plus tôt mis se rua sur* le pied dans la boutique que de deux lui et le frappa de coups couteau dans la poitrine. Puis il jeta son arme sur l'étal et prit la Bien que la victime, dont l'état n'est pas heureusement très. grave, ait refusé de porter plainte contre son meurtrier, celui-ci n'en a pas moins été arrêté hier matin à son domicile, rue Lepic et envoyé au Dépôt. J
L.
L.
fairé.
fuite.
Mme
Veuve
L.
Gillét.âgée desôixànte^ciiiq"ans,
demeurant boulevard; de la Contrescarpe, à été inversée hier matin sur la place de la Bastille, par une voiture de commerce. Au lieu de s'arrêter, l'auteur de l'accident; fouetta son cheval à tour de bras et prit la; fuite. Mais un balayeur de la ville, Théodore Aschermann, s'élança sa poursuite et par-' vint à saisir l'animal par la bride. Le cocher lui asséna plusieurs coups de manche de fouet sur la tête. Le balayeur ne lâcha pas prise pour cela et put tenir bon j usqu'à 1 arrivée des gardiensde la paix,
Conduit chez M. Carlier, commissaire de police, le cocher a été envoyé au Dépôt, en même temps que sa voiture était conduite à la fourrière. Mme Gillet ét Aschefmanjï ont reçu deâ soins dans une pharmacie. Ils ont ensuite regagné leur domicile.
Nombre de bijoutiers ont déjà été exploités par un monsieur trés bien mis, d'allures respectables. Cet individu se fait montrer dos alliances. Il en examine plusieurs et finit par faire choix dé la plus belle, de la plus lourde, et la fait mettre dans un écrin. Il se retire ensuite en priant qu'on lui envoie écrin et fracturé l'adresse qu'il indique Il va sans dire qu'à cette adressa.le moritn sieur très bien mis et ;d'alliirçs respectables h est inconnu.. Le. commis rapporte. alors l'écrin. Mais quand le bijoutier en, sort l'âlMancê, il trouve à
la placé de l'annéau
La subs-» tune végétation, réfréniez, à l'aide du d'or un anneau en vulgaire doublé. le magasin. opérée dans Vin Désiles, une sève morbide exubé- titutioû avait été
4uré."plus d'une rante heure. Au retour de l'église, réception et lunch chez là marquise de Triquerville, dans ses salons ,'REVUE de l'avenue de Tourville. Le deâïé â
TUILEBIES
Ferrari.
tomac).
le le Rrésidôhti.de la République, avec je commandant 'Moreau et M. Blondel;' M. Hanotaux,'M. Bihourd, M. Louis liégrand, le ministre des Pays-Bas accompagné de tous lés membres de là légation, et plusieurs membres de la colonie néèrlandaise. Un grand nombre de bouquets de fleurs ont été offerts par les dames présentes. La Reine s'est entretenue tout spécialement avec M. Hanotaux et le général, Hagron qui lui a présenté, au, nom de
Lé^énêràlGonsc, 15, avenue de Villars c là général :de Pellieux, 8j àveaire* <îe
Bourdonnais 1
Les premières chaleurs, en excitant Jourdan de la Passardière, empêché par une par M. le curé remplacé maladie, été grave a outre mesure la circulation du sang, de la paroisse qui, aVant de donner la béné- provoquent Ses éruptions diverses qui diction nuptiale, a rappelé, dans une toü- incommodent et enlaidissent les personchante allocution, le glorieux passé des deux nes à peau délicate et altèrent singulièfamilles. Le général baron de Charette, témoin du rément le teint, dette fleur veloutée due fiancé, avait apporté avec lui l'étendard du l'épiderme. Les spécialistes pour l'hyqui était tenu par M. de Sade, giène de la beauté préconisent, .contre Sacré-Cœur, ancien zouave, un des glorieux blessés du ces éruptions printanières, les lotions 'et champ de Patay, où le comte Jacques de onctions locales, dont je ne veux pas Bouillé mourut en défendant la France. médire, mais, qui, à parler franc, sont La mariée portait à ravir une robe de satin fréquemment insuffisantes comme traiivoire, garnie de point d'Angleterre, avec un voile du même point. La quête a été faite tement. Ce qu'il faut soigner, ici, comme il aracpar Mlles de Bouillé et de Cornulier, compagnéesde M. Joseph de Triquervilleet rive fréquemment pour une foule de qui semblent purement locaux, du vicomte Augustin de Lestrade. maux Le cortège, à la sortie, était ainsi composé: c"est l'état général. Il faut s'efforcer de régulariser la circulation du sang. A cet Comte et comtesse Guillaume de Bouille, comte de Chassèval et marquise de Triquerville, en égard, le Vin Désiles rend les meilleurs robe brochée gris et argent avec revers de satin services et il l'avantage d'être toujours a blanc brodés d'argent; marquis de Triquerville l'organisme. Sa ritoléré perle; gris Bouille, .fort bien de Jacques par comtesse en et général baron de Charette et Mme de l'Eprevier, chesse en tanin, en iode et en phosphates marquis de Vérsainville et comtesse Henri de permet de régénérer le sang et d'en éloiBottillé, en foulard et satin rose avec grand chafoule massée autour du Palais. les impuretés funestes. D'autre gner noir garni de plumes noires et rosés roses peau Continental, les l'hôtel à De retour vicomte do Chasseval et marquise de Versain- part, le quinquina, la kola et la coca plus une heure sont sorties Reines en vnié.eri satin mauve ;'comte Henri de Bouillé et agissent contre l'anémie et le lymphacomtesse Elzéar de Sabran-Pontevès, en bleu tisme, stimulent la circulation et exertard pour faire un tour au bois dé Bou- pâte garni de gaze de soie noire vicomte A. de logne, avec le chevalier de Stuers. Chasseval, et duchesse de La Rocjie-Guyon, en cent une action stomachique excellente Leurs Majestés ont quitté Paris 'hiér satin paille recouvert de Chantilly noir comte personne n'ignore le retentissement carl'estomac de vicomtesse Sabran-Pontevès et de Elzéar sur la peau (la peau, a dit soir, à 7 heures 40 minutes, par un train Chasseval, marquis de Gèrnulior et marquise de de spécial auquel on avait attaché le wagon Cosnac. duc de La Roche-Guyon et comtesse A. le docteur. Mpnin, est le miroir, de l'es-, royal. Arrivées une demi-heure avant leur de Bouille, comte de Versainville et Mlle de ''" • Mons'pey et-Mme-de1 Bonmarquis de Cosnftc, toutes qui et départ, elles ont trouvé, venus leurrent- nâùd, tous Vous vous désolez comte A"t aie.,BBtulIé etcbrarqnfse.de. la représentant, général Hagron, éruptions printanières, imporcontre
Le général de Boisdeffre, 138, rue de Gre-
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^Espagne.
Palais,
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L'OPINION EN, ANGLETERRE
vie, il paraîtrait nécessaire'aux avocats de la partie civile d'opposer leurs déclarations à celles des témoins cités, par MM. Emile Zola, et Perrenx. Voici cette' liste qu'ont, après conférence, élaborée Mw.J&loyer, de Las Cales. vt Aube!
Une vente de charité, au profit de l'œu- avenue de La Bourdonnais Première réuwyn (5 h., cité Pigalle, 5). de la Providence, aura lieu aujourd'hui, Le colonel Henry; 49, avenue Duquesiïe; nion du « Fusil de chasse sous la prési- vre chez Mme de Montgermont, dans son hôtel Le commandantLauth, à Saint-Mandé dence de M. Gaston Legrand (3 h., rue 72, rue de Varenne. Gribelin, archiviste du ministre de la Challenge vélocipôdique inBlanche, 10). 4a, avenue- Bosquet guerre, terscolaire de l'Union dés Sports athlétiques DEUIL Le capitaine Junk, 131, rue Saint-Demi-' (route de Versailles, départ à 2 h., du pont Le corps de la duchesse de Persigny, açm Ia Le capitaine. Yaldapt^ôOj quai.de Billy; par Mlle de La Vallière, nièce dé Mattinpa, nu bénéfice. d'Alise Lavigne, deve- compagne hier défunte, et par Mme Trichant, quitté nue aveugle, au Vaudeville Le commandant Allard, au 746 d'infante Au Palais: Débats en appel du procès in- Cannes. Il'sera inhumé dans le caveau" de la à Rouen; tenté à M. Zola par les expertes Couart, Var- famille, à Saint-Jean Lé Blanc, près d'Orléans. rie, capitaine Boone, au Ile d'artillerie, à Le aU milieu d'une foule considérable. ,Çèkt rinard ét Belhômme (Chambre des appels cor-i qu'erraa -célébré 'hier, à Sairite-Clotilde,les ob- Versailles; rectionnels). r'âe Couture, -à, Befnaf,; ^,M. Inauguration^ à 10 h. du triaséquès du comte Armel de Rougé. Lé deuil Au Muséum rai \M. Bel^bnïme, expert en ècriturôè, cours d'enseignement spécial pour: Rougé, Férriâhd lé' conduit de tin, des par le vicomte Casimir-P'eriei; les voyageurs (amphithéâtre de la Galerie de" comte Olivier de Rougé, M. Jean de Rougé et M. Varinard, expert en. écritures, 62, rue le vicomte de Guébriant. Reconnu parmi les: Bonaparte Dans les églises: Messe pour le repos de, assistants M. Couard, expert en écritures, à Vee» l'ame de S. A. R. la duchasse d'Alençon et Duo $le Lorge, duc de Vallembrosa, marquis saillss; des autres victimes de l'incendie du Bazar de de Vésins, de Vibraye, de Sinéty, de la Mazelière, Le coLonel Deprey, 24 bis, rira Cler t la Charité (10 h., chapelle dés Jésuites de la de Forbin, de Miramon, de Robien, do MarescOt,' 8, Le capitaine Boixllengër» Léonce-' rué Ouverture, à Notre- de Dampierje, de Beauàourt, comtes d'Antioche, ReynaùdJ rue de Sèvres, 35). .a, Triduum solenngl à de Bruce, de Chalais, de Bridieu, B. de Durfort, du Dame des Victoires, Pouy-^Ûraguin, de capitaine 42, Le de Maleissye, Gérard de Sainte-Aldeaventtd" l'occasion du 60o anniversaire de l'érection Conrad gon'de, A. de Chevide Breteull; de Lauristoii, de Seyssel, de la Confrérie du Cœur immaculé de Marie gné, Durieu de Lacarelle, de Saint-Chamaht, de M. Marchand, au ministère de la guerre %< en Archiconfrérie pour le monde entier (9 h., Lameth, de Bagneux, Henry de Menthon, A. de Le capitaine Panzéni, au ministère de la du matin). Salut de clôture, par Mgr Ri- LévisaMiçepoix, Fernand de Brissac, Léon et CamilTé'^e char4, du TndUum en l'honneur de là fondaLaubespin, E. de Moustier, de Vogué, guerre; Le capitaine Duflos, au ministère de la tricé de l'institut, morte il Y a 200 ans (3 h., de Breuilpont, Félix d'Hunolstein, de Quelen, A. de Maleissye, vicomtes de Lü Bouillerie, de guerre,; chapelle dé la Vue Toiirnefort,"46). Le capitaine Grenier, au ministère de la' Noailles, Louis d'Andigné, G. de Kergariou, gé-. néral de Biré, etc. Le lieutenant Pauzac, au ministère de la Après la cérémonie, le corps a été déposé dans les caveaux de guerre; Le contrôleur d'armée Peyrolle, 11, avenue Du la baron Nous mort apprenons de la Motte-Piquet; '"i, ;,o- '-r d'infanterie, du Bourdieu, lieutenant Henri •• SALONS:,= enLe capitaine Anthoine, 46, boulevard La-. ,• l'âge de 22 ans, par une tour-Maubourg; Arcachon, levé à à âvànt'hier ché_z! la; i_i Très élégante'soirée fluxion de poitrine contractée à Charenton, où Le commandant de Métry, 47 bis, avenue. comtesse André Pastré. Succès enthousiaste il, se trouvait en garnison depuis sa sortie de pour Mlle Delna et M. Renaud, Parmi les in- Saint-Cyr. Son a été, ramené hier à Pa- Bosquet; corps Le capitaine Remizol, à Nice; vités ris. Ses obsèques seront célébrées à SaintLe lieutenant-colonel Guérin, 7, avenue L'ambassadéurd'Italie et la comtesse Tornielli, Pierre de Chaillot;, Dé M. Léon Merlet,; d'Eylan. • duchesse de Trévise, marquis et marquise ,sous-directeur au ministère des finances, déLes débats du procès présidés -1$ seront P.aùlucci, duchesse de Maillé,' princesseAlex. Bi- cédé, à l'âgé de De M, Ch. Monce- nauvelle est quasi-officiellè*– ans besco, Mme Austiii Lee, comte et comtesse de lot, ancien juge 7o par M. Péri* de paix, décédé à' l'âge de 82 vier, premier président, et le siège Bttymaigre, baron et baronne de Fleury, comte du minisMme Henry Desbordes, femme du De la çl& ans comte Vogué, et comtesse de comtesse et tère public occupé par M. Bertrand, procuTou;-du-Pin Verclaûse, baron et baronne de chefdé bureau aux travaux publics, décédée à reur Boutray, baron et baronne de Fon5colombe, l'âge de 40 ans; Du jeune fils du baron et 'Le Liseur.. cornue et oomtessô Foulques de Maillé, comte et de la baronne Octave-Roger de Sivry, née Secomtesse'Pierre de Sôçur,j comte et comtesse condat de Montesquieu, âgé de six mois.
chain, musique de quatre à'six chez Mme vandalisme mesquin commis "hier au soir Frédéric Spitzer, dans son hôteiu de la rué de là légation espagnole où une plaque de cuiLundi prochain, cotillon la.; Faisanderie vre^yait été arrachée. r Ludovic de La Fbrestchez la- comtesse M; ëhermànadéjà:Jée*it àlàpalïeô la-dela Divonne, dans ses salons de rue Magellan; maine passée de prendre des. mesures pour Le jeudi 28 avril, lé comte de Jallérange empêcher''que'la légation' espagnole fût en Faure avait à sa droite le président de ,1$ à la galerie 'des Champsgauche le ministre de donnera un bal vendredi butter des tracasseries.. Il ,exprimé l'espoir Chambre et Le Elysées 29 avril, réception cfù'ê" tous res"c6'upâblès' seront" sévèrement l'intérieur. chez Mme Sàhchez1,de huit heures à minuit, A l'entrée des Reines, on a joué l'Hymne de LàrragOiti, dans son hôtel de là rue Alroyal de .Guillaume des Nassau. M. et Mme Bonvoisinphons&fde-Neuville L'ARMÉE AMÉRICAINE ET LES INSURGÉS samedi 30 avril, dans lie étaient Mars feront danser, Les autres con.vives CUBAINS lé salon da la galerie des Champs-Elysées. Le èéiièi1^ 'avril. Mlle Lucie Faure, le chevalier de Stuers, RENSEIGNEMENTS MONDAINS, l'ordre de ministre des Pays-Bas le lieutenant-générale Woodford n'a pas encore reçu quitter Madrid où -il '-restera probablement comte du Monceau, aide de camp général, le duc d'Orléans et Madame jusqu'à samedi pour attendre une réponse chef delà maison militaire de la Reine;, la la.Monseigneur d'Or lèans,, enibarqués avec leur duchesse de chevalier de Kattendijke, le capitaine de fré• à bord de, leur yacht, arriveront. àSéOn annonce, de source autorisée, qu'un re- gate Van der Staal, le chevalier Vegelin de ,suite ville lundi prochain et se rendront aussitôt à présentânt B.ê la Junte cubaine de New- York Claerbergen, la baronne d'Ittersum, la comoù ils rencontreront Madame et l'un des principaux officiers de l'insurgé. tesse de Limbourg Stirum, Mlte de Stuers, Villamanrique Comtesse de Pari§. Gbrhez, ont eu aujourd'hui -avec le général M. et Mme de "Wee.de, le baron de Gçroves- la Le yacht du prince a changé de nom.Il Miles, commandant en chef de l'armée amé- tins, Mine Henri Brisson, Mme Barthoù, M. Maronssict (Marie en ricaine, une conférence où a été arrêté un Hanotaux, M. Cochery, le général Billot, le s'appelle maintenant plan d'opérations concertées pour la campa- vice-amiral et Mme Besnard, Mme Rimbaud, hongrois)'; nom de Madame la duchesse d'Orregarde ce fait comme la le grand chancelier de la Légion d'honneur, léans. gne de Cuba. On reconnaissance virtuelle de Ta République de la duchesse et Mlle d'Auerstaedt, le; gouverCERCLES militaire de Paris et Mme Zurlinden,M. Cuba. neur M. Palma, le président de la Junte cubaine, Bihourd, ministre de France à La Haye; M. Reçus hier comme' membres permanents avait été mandé spécialement à Washington Louis Legrand, ancien ministre de France a au Cercle de l'Union artistique -r- M. Eugène Là Haye, et Mme Louis Le-rand; le'général Assézat de Bouteyre, présenté par MM. W. pour'cétté conférence, .-• Les préparatifs' de guerre sont poussés et Mme Hagron, M. Le Gall, M. et Mme Bouguereau et Assézat de Bouteyre; M. Albert avec un redoublement d'activité. Il est pres- Blondel, le colonel et Mme Ménétrez, le Alfred-Louis Lasson, présenté par MM. A. que certain que les Américains commence- capitaine de frégate Moreau, -le lieutenant- Dehaynin et Gaston Legrand. séance musicale. Ce soir, à ce même cercle, ront par faire le blocus des ports cubains, et colonel et Mme Bourgois, le commandant et que dès qu'il leur' sera possible de transpor- Mme de Lagarenne, le commandant Le-, Au programme Quatuor en ut majeur,, de ter une armée d'occupation, on signifiera aux grand, le commandantet Mme Humbert, le Mozart; Quatuor en La majéur; de Brahms; commandant et Mme Meaux-SainkMarc, M. andante et finale de la. Sonate de Ru"bitisteiri autorités de se rendre sans conditions. En cas de refus, le bombardement com- Çr.ôziér, M. ,Mollard, M. et Mlle de Gourlèt, MM. A. Brun, Quèeckéfs, Làforge, R. Loys commandant Bouchez et lé colonel de etMméG. ^v -i ,i; mencera aussitôt. Ifemel, commandant la garde d'hontiéur dit
le
J
CHARITÉ.
h. diifeoir. salle Marion-Lévy, rue SaintLazare). Poule à l'ôp'-e <ïe la salle Spinrie-
le Conseil de guerre. Ces-témoins ne seraient entendus qu'autant que; lés âéMts ayant d*
Dr Cendre.
OfjÔBRNAIIX
mariage du comte Gabriel dé Miracélébré mon avec Mlle Marie de Rougé sera samedi intimité' le 30 dans la plus stricte apprend que le Conseil Temps Le nous avril en la chapelle du catéchisme de Sainte- de guerre qui a jugé lé commandant EsClotilde. terhazy et qui poursuit en diffamation On sait que la fiancée est la petite-fille du MM. Emile Zola et -Perrenx, gérant de comte Armel de Rougé dont on a célébré hier Le
r
FAUX-MONKAYEUR8
Des agents de la Sûreté ont arrêté, l'avantdernière nuit, rue dé Bèlléville, deux jeunes gens, les frères Emile et Pierre Schlops;'
signalés, depuis quelque temps, comme écoulant dans les onzième et vingtième arrondissements des pièces fausses de 5 francs. La perquisition faite chez eux, rue OberjkampÇ a amené non seulement la décoii-
verte de tout un matériel de faux-monmais l'arrestation d'un dé' ledrg nayeurs, d'huissier, acte s'est, par l'Aurore, complices, André Moron", âgé de dix-huit les obsèques. du Triparquet civile au constitué .partie Le R. P. Môrel a béni ayànt-hier à Saint- bunal de Versailles. Ils ont avoué tous les trois que, depuis ntt. Pierre de Chaillot, dans là plus" Stricte intimité,
Cette constitution, dit notre confrère, été faite, tant au nom du Conseil- de guerre, des corps constitué, qu'au nom de chacunliste membres ayant composé ce .Conseil. Une de vingt-neuf témoins a été en même temps dénoncée au parquet de Versailles, qui sera à MM. Zola et Perrenx, en double,de même jour a eu lieu, au temple de signifiée,grocûreù* la .Républiqueet par et par le l'Etoile, le mariage, d,sid. Jacques le mariage du comte Etienne de Champgrand Les témoins arec Mile Jeanne de Pieriebourg. du marié étaient le comte de Quénetain et M. Hubert de Champgrand, ceux de la mariée le comte ,de Beirnis et le général baron de
Pierreboùrg.
Le
-de
mois, ils avaient mis en circulation plus de 2,000 francs de pièces fausses.
pour.
Jeain de Pari» Un individu dont, l'identité. n'a -t être établie.âgé d'une cinquantaine d'années,
Mémento,
pu s'est tiré, avant hier soir, un coup de revolver à la, tête dans le chalet de nécessité faisant face à
il y est àl'Hôtel-Dieu, Transporté laMorgue. •MODE8i*-Mai*oûNouveUèJiituê'dôlaP«ax. TJnnàoiritté, Alphonse tenté flese: àArcueil-Cachan, ans,' demeurant a 6e lo-| d'Orléans, laporte à en hier m atin, tuer. du, revolver dans ballade géant ime à l'hôpital-BrôUE*TriasportéMnoucant «soft gais.
du
lîfflHIS ÏÏÏÏÉÈ Londres.
Ém
Un incendie éclaté hier soir dans là mine dé charbon de Wmtwick, dans le Leicestershire.
•
Il y à eu cihq mineurs tués; trente-six autres ont été ensevelis.
L'incendie a continué toute la journée d'aujourd'hui. On construit un.milr pour em-
pêcher
feu._ l'air extérieur d'activer le atteindre les
Les secours organisés pour 36 personnes ensevelies sont demeurés io« fructueux. Tout espoir de les sauver «Btâ&anUn incendie .considérable a éclaté avant use heure, dans cet après-midi, un peu l'église Spurgéon's Tabernacle, a Londres. demie,, le bâtiment tout A une heure et entier était en flammes. Le toit s'effondrait
Léglisé est perdue, mais les pompiers ont pu circonscrirele feu et préserver lea maisoûsy voisines.
"'
•
]j'incendié commence à décroître*
feu an jpalal» de la Bourse Vers âeax ».&> Vienke (Autriche); heures» ce matin, le Een a pris au palais de
.»
fce
les efforts, dés pompieta arrivés en hâte, on n'a pu que; circonscrire;
la Bourse. Malgré
environ.
florins On ignore les câtieesdu sinistre. Une êtm" celle «ortie des cheminées aura* pënse-Von, communiqué le feu aux poutres delà toiture. Oa Hé Sigaalo aucun accident de personnes*
Alger. Cà mâtin, à onze heures;. j* trois hommes et une femme étaient assis sur;
ji
de' la terrasae d'un eâféy lorsqu'une douzaine désigné-'
et les personnes les entourèrent d'une bande d'arent comme faisant partie narchistes débarqués hier. Aussitôt, quelques* camelots, qui accompagnaient les antijuifs, se ruèrent sur les consommateurs qu'ils frappèrent à coups de chaise dt de gourdin. Les et, malheureux lurent sérieusement blessés arrivée.^ immédiatement si-1» pplice n'était ils aaraient été sûrement écharpés. Parmi les blessés se trouvé M. Ttlïôt, tt-j
Plainte à été pàitèé et une enquête est du. •DaûB l'âprês-midï,
violence les scènes depassante^
renouvellent contre de paisibles Les patrouilles sillonnent la ville, Trois nouvelles déclarations de candidature ont été,faites, aujourd'hui ce sont et Paul Vicelles sA
r
est fort biemmontée et ton ,de la. critique dramatique à la même revue. profit les économies de l'une d'elles, là lettre parlaquelle elle rompt. Sur main. Cette revue à spn En 1893, il avait donné un acte au Théâtre (comptant). Sur ce marché, la Transatlanti- ut1 bas respectable, avec cent'mille quoi Sylvain se déclare et Lysiane ac- amusante. Il y a felle scène chez le juge libre le Ménage Brésil, à «i'CÇuvre», en 1896,! q'ue se relève vivement de 315 à 340..De toutes francs dedans 1 Mais il n'y a pas cepte sa main. Hé certes, tout ceci est d'instruction, avec l'assistance de l'avo-i actes Râphaël, qu'on fera bien de lès valeurs industrielles, la plus atteinte est de preuves de s'a vilenie, soupçon- très bien dit, avec beaucoup de grâce et cat, qui est une drôlerie impayable. Elle 3quelque part un jour, et, l'an dernier, 3 actes la Thomson- Houston, qui perd 105 fr. sur née, je Gibard, M. jouée est est nomme rupture que de La lettre de délicatesse. spandale par qui furent non démontrée: par un aux Escholiers l'Enfant malade, hier à Il de Laissé sur le Rio a 29 fr. m'excucompère; Reschal, le y M. sensibilité piavec soit un petit chef-d'œuvre de très discutés. Si l'on ajoute à, cela– bien qu'il C'est à grande vitesse que les grands 630 et la De Beers à 605. Les et le malheur veut que Lysiane sur artistes fort d'autres négliger du détail ne peut sant -.de. le jeune triomphateur d'hier s'en cache que taillêtiité écosâ&is, 12< boulevard des Ita- MÎMg d'or&çxLt aussi, lourdesjpieJs reste.. ,devenue amoureuse de Gaudrey et qu'un, toyable-,Mais le charme rçtâwâgë soi % ïedputer,, entre la noble m'empêcher de trouver mauvais ce dé- amusants. J'ai hâte de passer du côté des soir est universitaire,' on aitra sa. biographie: liens, font marcher- les métiers des tisseBoursier. sont en nombre, bataillon complète, ou à peu près. femme 'abusée.. et -Tadrôit.' aventurier.. nouement. Combien il eût été plus dames, qui Thibaud ïisiïââ" 'ÔcôBsui^'Tïotir, la;: fabrication de Ses nombreux amis de la Revue ilançjie est la « rédactrice » dont Mme INFORMATIONS FINANCIÈRES C'est ce mariage que Marcel supplie conforme ;au caractère des person- ejn leurs « Herring Bohë M. à tout rompre, et ils avaient chef, car vous pensez bien que la re- l'applaudissaient eût été d'un art succès de cette étofïé, qu'ils ont im- ViHë de Parts 1871.-Tirage du 20 avril. Te tôt Sylvain d'empêcher. Son honnêteté, son nages, combien' il pensée Lui,, se tçnajt peureusement ea bien (raison. la de les bureaux vue, s'ouvre dans haute plus et d'Une supérieur l'autorité àleur causer lui donnent de portée en France,commence sur bas, dans laloge de ^Guitry, où seul lé bruit de 100,000 fr. est gagné, par le n° 768,646. Les amitié, soldats Fronde, premier du les Et rang, mariage! pas le pourra.lui dire ce conclure fils plus.la de II peuvent par ils sourd des cannes approbatrices lui arrivait. déôî ennuis, car. Lysiane, ne que son ne Giecythéréen,sont'Mmes bataillon Sylde Lysiane et ce ne$ 228,600 Le troisième sujet de conversation était: lés••- 633,395 875,037 n'ose pas. Sylvain refuse d'abord. Mais N'y a-t-il pas; entre faire livrer assez vite. En un mot, la de-: les avec des 551,945 66,822 etc., etc., Darthy, 350,671 -*• ter, Chalon, mérite-t-il quatre toilettes de Mme Sarah Bernhardt, mande dépasse la provision. hasard (un peu commode pour le vain, de l'irréparable ? Ne sont remboursésà 10,000 f r. et 75 ou- un et Blancou celle de la jolie Mlle Dollôy, qu'habille Padramaturge) lui mettant en main la pas d'être puni, l'homme qui arrache vélites tels que Phrynette Rycke, Ils espèrentpoartantpouvoircpntentèr trés numéros à 1,000 fr. qui de d'apparence1 Blanc pardon Blanche qùin, et enfin les décora! tous leurs clients d'ici à une huitaine dé ¡preuve de l'indignité de Gaudrey, il perd- une illusion à une femme, de joli Au 2e acte, c'est un salon ouvert sur un. guerre. parc nom désintéressé, en 'réalité agissant en ja- ne dément pas son met d'intervenir. illuminé où se tire un feu d'artifice proL'autre spectacleest une revue encore, Après ce premier acte, qui estuhë jolie loux? Vraiment dévoué jusqu'au sacride MM- A. Dumas fondeur, couleur, éclat ravissant exposition et présentation des personna- fice-" lei sacrifice est la seule noblesse Paris-Bric-a-Brac Au 30, c'est une serre magnifique, tôutel Bodinière. Le premier à la Nell, et. l'amour, de et la seule marque certaine à fête chez assistons chargée de plantes vertes et grimpantes avec*\ une ges, nous l'interprédans est mérite de cette enseveli et revue riche,' étant il eût réparé, Lysiane. Mais, tandis que l'on entend la un vaste escalier à double révolution, tainpe' Gallo, M. Le est excellente, avec qui tation Gaudrey, quatre de faute esRénaissance Lysiane, pièce en musiquedans le parc,ledramese continue dans l'oubli la en fer forgé conduisant aux appartements. Le. Celle-ci Derville. Mmes et A. Diéterle y plafond, entièrement cintré et vitré, comme ils actes, de M. Romain CJooltis. dans le peti t salon réservé aux intimes-- le savant, par ce trait héroïque, de le faire celle-là commère et une n'en a jamais été osé au théâtre, est supporté- j Mercredi 20 awit, une ronde Quand Mme Sa,rah Bernhardtëst en- salon diplomatique de l'Elysée. Et, en digne de Lysiane. Et celle-ci, qui ne pro- joue d'une façon qui chante second veuvage futée ingénue, par deux colonnes en fonte. Dans la ;révolu. trée en scène, le public a salué d'un fait, c'est de, diplomatie qu'il s'agit. Très longe guère plus son lui a fait tion de l'escalier, un rocher orné déplantes! pas ? Alors, vous connaissez aussi les allures unanime et sympathique applaudisse- habilement, Gaudrey fait sa cour Ly- que son premier, pourra-t-elle oublier charmante les couplets, qu'on Ce décor est d'Amable. autre bisser presque tous. Il y en a deux ou naturelles. dala Bourse de ce jour. Les unes sont aussi ment l'actrice aimée qui lui revenait :siane, s'assurant une prochaine victoire. et faire oublier à Sylvain qu'un Au quatrième, c'est le yacht, le. fameux( mauvaises, aussi peu rassurantes que les au- après une assez longue maladie. Etë j'ai, Et Sylvain, s'étant fait présenter Gau- homme a été élu et aimé par elle, d'un trois de très jolis, dont un sur le Présiyacht le Lys,, ancré dans le golfe d' Antibes. dans qui République, la parlé de dent mais si passe de Bien qu'on ait le brûlé qui passionné tres. encore Résolu, amour sang Entièrement massif! Il est exactement copié' a tour, un vif plaisir à pouvoir dire drey, lui fait ses conditions. l'aventuqui passe théâtre de revues de vaguement de la possibilité d'une entente à mon ne jamais elle rie nous est apparue plus' froid et ironique, il montre à ses veines.? Ah 1 ce mariage banalcom- plus sur le modèle du yacht du baron dèRoth-j soldats et de de lui-même de ih éxlféihis entre î'Éspagnè et lés chefs que ma- schild; l'Bfos, qu'on voit au muséedes Modèles revues de son talent et comme si la rier les armes qu'il possède contre lui. Il bien préférable la mélancolique rupture, Baris-Bric-à-Brac m'a de la marine, au Louvre. On le voit de.troisv1 cubains, les plus obstinés optimistes, ceux maîtresse reste, rins. Pour le la douleur et regret réciproque le Gaudrey à il maladie épargnera été elle n'en avait ;avec usera pas, qu'ils ti& croiront pas hièï à un repos. pour je disais qui de je le sais, le paru un peu en retard et, comme les quarts la. passerelle à gauche, du spectateur.,1 là' guette avant le premier coup de canon, Car Lysiane a été admirablemont jouée les conversations plutôt fâcheuses avec de la vie manquée C'est, Mais Toute la construction r-, passerelle, bastinde bric-à-brac, avoir des nuboutiques j'aime de Bérénice. dénouement condition d'instruction, mais,à espérandernières succès leurs Güitr.y, et le juge s'effondrer par elfe M. et sentent ce par mât, barrq, etc.– est massive. Le màtj méros démodés. Je regrette surtout que gages, ces; et, cette fois, cèdent sans discussion et d'interprétationdoit être constaté d'abord qu'il disparaisse pour un an. Gaudrey mieux le dénouement de Bérénice que la 8 m. 50 de haut, Là passerelle¡ surélevée da a aimable tourne gaudriole une ou y le monde. courant.. monsieur, tout Et résistance celui de au sans Consent, assez piteusement dû reste. parlant de la'pièce nouvelle. quinze marches. Agrès, poulies, voiles, etc. En conséquence, et en dépit d'un léger enSon auteur est– me dit-on un pro- lui-même annonce son départ à Lysiane, Une autre. critique s'impose à moi. «deux fois.à ¡'obscénité presque grossière. sont naturels et proviennent d'un fournisseur du monde de la marine. Le parquet qui recouvre le temps d'arrêt survenu vers le milieu de la limitant absence à quelques L'auteur a fait de Gaudrey un person- llest convenu que les femmes de philosophie, mais de son ce nom en fesseur car de YEdatérieufe aussi bien comprendre les plancher ordinaire de la scène est' eh lames/ séance, les cours; trop élémentaire et. surtout trop ne doivent pas avouer est jours. signé Goolus,4ontil nage un son œuvre, d'Etats, fonds même a et de tous les autres telles que de sapin ciré. Tous lès cuivres ont étif mot de, Sylvain, il équivoques, mais je les voudrais que delà plupart des valeurs généralement pseudonyme. De la philosophie à la Les quelques jours sont devenus des pleutre. Au premier moins y sourire. fondus spécialement pour ce, bateau.' Les' semaines, Gaudrey ajournant sans cesse. file comme un cambrioleur qui entend qu'elles pussent auà la Bodinière, quelconques inscrites à la cote¡ ont reculé psychologie, il n'y a qu'un pasr et M. on Enfin, toujours a bouées blanches portent, en lettres d'or, Lys.i une esavec ensemble et précipitation. Pour la rente Coolus l'a franchi depuis longtemps, son retour sous des prétextes d'affaires. monter le concierge. Il a commisLysiane U. Y. F. Aux palans, un véritable canot esc de M. Paul donné un petit opéra-comique espagnole, la baisse a presque exactement quoique jeune, donnant aux théâtres Cependant il a écrit à Lysiane, toute croquerie, c'est entendu. Mais les mêmes proportions d'hier on perd trois d'à coté des œuvres subtiles, dont une, joyeuse, qu'il allait revenir, quand Bordin 1,'a distingué, l'a aimé. C'est une femme Ferrier, mis en musique par M. Edmond Les hommesd'équipage bnt là-grande tenue Diet laÉevanche très spiriGalatée, de après 33 7/8 et intitulée l'Enfant, était une étude de la aiguicoeur, points un quart à d'intelligence de délicat et elle. Il chez complice se présente d'été costume blanc avec, sur la poitrine, interaimable bien et très tuellement 35 11/16. Pour quelques-unes des autres vasimplement n'est, sée. n'a Ce veuve osé une la RenaisGaudrey A Lys brodé en bleu, le collet et les parements) vient lui annoncer ce que pas Théry. Meyer et leurs, la baisséété plus forte encore qu'il y femme, prise en son entité. Mmes Mily prété pâr aime des manches bleus le béret bleu avec ruban.: c'est lui dire, et que l'absence sera d'un an au ardente à la consolation, et si elle vingt-quatre heures. C'est une dislocation sance, dans une forme très assagie, agénérale, Avennoir portant Lys en lettres d'or Au fond, un ,6'est bien simple on vend de tout, un cas particulier que M. Coolusa étudié. moins, sinon éternelle. Lysiane se croit Gaudrey,. c'est qu'il est quelqu'un. splendide panorama de' la: baie d'Antibes avec trahie, remplacée. Bordin la cassure làr turier, sôit; mais un bel et séduisant et avec d'autant plus a'inténsité, que, dès je vais le dire. la ville. Ce panorama est semi-circulaire et de La Laùraye vient de de- dessus et lui laisse deviner, que Gâudrey aventurier, Et, comme tel, croyez-vous maintenant, beaucoup de gens se prëoccu-» Lysiane SOIRÉE LA supprime par conséquent les coulisses. pont de se créer dés ressources éa vue dé la venir veuve depuis quelques mois. Pen- l'a quittée contre son désir, sous la pres- qu'il eût lâché la partie qu'il avait si L'entrée de Lysianné, qui vient à bord du atouts. deux liquidation. vivait dé Sylvain, ayant belle à jouer, encore les sion elle a tété devant dant que, son mari encore, (menaces ou yacht, se fait des dessous comme venant d'unla avouant Lysiane, davantage. Compromettre L'explicaou certain âge, s'expliquer Lysiane gravit une échelle qui la mène aimée d'Un homme d'un sans fit son entrée,au premier acte, canot. Quand Sarah D'Estrigaud faute, se la.faire pardonner. Sylvain,dans déclarer tion, demande à lui Lysiane la de plein pied sur, le bastingage,, ce, bateau deLe 3 0/0 est à 101 30 après 101 22; elle à Sylvain Brière, qui, sans un à lui faire fête. On apniit salle entière la se plaisance n'ayant pas de coupée. Bref, le maperdu 45 centimes d'une séance à l'autre. Le amour qu'il sait être sans espoir, a dis- une scène qui est la plus .belle de l'œu- n'y eût pas manqué. du théâtre, bas haut plaudissait du un en même de ce tableau, qui pourrait servir à Toute la pièce, d'ailleurs, a," en est à 105 80, avec une moins-value trait sa passion par un long voyagé de vre, car il s'y pose un problème moral Elle, lèvres. émue tériel bienvenue sourire de aux insignifiante de 10 centimes. Au comptant, trois ans. Sylvain est revenu. Il débar- intéressant et à qui j'aurais voulu voir temps que la grâce d'une esquisse, la comme à sa première pièce, saluait,les larmes équiper un véritable yacht, n'a pas coûté de quinze mille francs. les variations sont nulles: 10 et 5 centimes que chez Marcel de La Lauraye, le fils de tenir une plus grande place dans cette légèreté et l'insuffisance d'un premier aux yeux, attendrie et ravie de cet accueil moins Pour finir, que vous dirai-je de mieux que seulement. Du reste, le comptant continue à Lysiane qui, elle doit charmant et spontané. Néanmoins, doute de la de bien, Lysiane l'entendez s'est comédie, coup crayon. pas ne vous cette phrase que j'ai entendu prononcer hier au, légère, dit et ne s'émouvoir que très médiocrement, scènes s'avança, alerte des et il s'y :,Puis elle trouve Sylvain, même sa honnêteté dé être toutes les comme haute quinze vue, car pas soir par plusieurs pères de famille qui avaient ans, moins en. ce qui concerne nos rentes et les mariée à chuchotaient Et les gens phrase. première mise,en d'une parler se excellentes et, elle ignore vingt-cinq. désintéressement, car fils de de sans applaudi lagrande artiste avec enthousiasme son valeurs qu'il assimile à nos rentes, telles femmes qui, ont un l'oreille: 'aussitôt à l'interprétation, charmante, le grand Elle scène de, Ville de Marcel. qu'il l'aime d'amoür. admet avec Enfin, les jeunes filles pourront donc veSylvain ami est sans auQuelle mine par, exemple, les obligations de la absolue.' amincie est elle Comme Bèrhpàrdt est Mme'Sarah Guitry, M. et nir entendre Sarah Bernhardt il l'a quasiment élevé: il a été pour tre preuve qu'il y a eu, une. action mauParis, qui conservent une fermeté > de rajeunie vingt voix, superbe Et comme sa petite pourquoi fait, supérieure. Grâce, Et, la tendresse, en effet, à part Jean-Mdrie, de M. Theu. on ne voit pas, du reste, lui une sorte de tuteur moral. Son vaise dans la vie de l'homme, qu'elle aime. tout à épargne subirait la contagion de l'émotion amour pour Lysiane a dévié en une ami- Son départ, est un aveu, d'ailleurs. Mais douleur, mélancolie chez l'une, passion ans! C'est que c'est la première fois de sa vie riet et la Samaritaine, de M. Rostand, Ly* siane est là seule pièce du répertoire de la qui a est emparée des spéculateurs. chez l'aUtrev c'est une qu'elle se soit reposée concentrée,ironie envers n'était-ce à seule, de juger pas à elle elle, protectrice tié tendre et son en.. grande artiste où les mères peuvent conduire 'L'Italien ne perd que 20 centimes 1 gamme de sentiments exprimés avec un la réparer l'excuser et de tant. première de Mais il,.fallait entendre à l'entr'acte ces Aussi,, dès la entrevue, cette action, la leurs filles! après 90 50 et 9:120, Surle3 OjO iS91, di^ Sarah Sarah, plus, Mme La thèmes, de Sylvain, parfait. Une fois dé se.dévfilbpper. loge dit mais art elle le confidences peut-être? (Ceci, ses à soufait-il Marcel pas, ne minution est do 65 centimes à 93 65; elle, est Un Monsieur de l'Orchestre. emplie jusque sur le palier, retentissait' Bernhardt montré merveilleuse dain la tout elle devait quel femme droit/en charmant le dire.) De une Il marié 94 40. est a à avec de,.35 centimes pour le 3 d'exclamations'flatteuses et qu'on sentait'sinLe brésilien perd 80 centimes à Eve, et il est très heureux avec elle. C'est cas, une amitié cruelle et justieière in- souplesse de son talent. Il faut nommer, cères. L'abondance des matières nous oblige Ceux qui ne l'avaient pas vue depuis Lés tout au plus si un petit nuage léger existe tervenait-elledans sa vie pour lui arra- après les protagonistes, MM. Deval, Lu48 50, le5 OjO recule de 1 3/8 il. fois,du s'étonnaient de tout à la renvoyer à demain le Gourriër!des Valeur^ turques; qui jusqu'à présent offraient entre les jeunes époux, Eve étant un peu cher le bonheur? Grave et intéressant guet, Scheler et Mlle Dolly, fort jolie et son opération ensuite. mieux d'abord, de mal MODES, de notre collaboratrice Claire de ce quelquerésistance, sont également en baisse jalouse de Lysiane qui, charmeresse, problème. Le droit à l'erreur, indispen- alerte dans le rôle d'Eve de La Lau- (, -^ïout. cela est à prësent interrompaitfini de 22 centimes pour la série C à 23 42 après pour Tespyit,. ne doit- raye. Mais, à. cette très intelligente débu- elle. Aujourd'hui, c'est la vraie première de Chancenay. sable les choses de absolue. fils influence une son exerce sur M 25, de:35 centimeâ pour la série D à 20 50, Mais ceci n'est rien. Le véritable cha- il encore l'art de la dic- Pozzi C'est lui qu'on applaudissait tout ai pas s'étendre à celles du cœur, ? Et là tante, il manque et de 8 h. pour Banque ottomane à 519. Les grin lorsque, dé tion ,njet;te. Elle a du style, avant d'avoir l'heure.à mon entrée. que ressent Marcel lui, vient de femme n'a-t-elle pas raison elle feuls fonds d'Etat qui n'aient pas subi le Le praticien était, en effet, dans la salle, conclut bien su tout à fait. sa grammaire. Quelcontre-coup de la baisse sont les valeurs r au- cette mère adorée. Ardente, aimant la ce qu'elle aime un homme, ayant sans doute à assister à la consé- DENTS et Dentiers sans crochets, ressorts et mainés, qui, aujourd'hui comme tous ces vie, comprimée sans doute par son pre- qu'il est digne de cet amour? Il sembla ques « exercices "arrangeront cela, si crationtenu définitive de son miracle. Au-dessus Xj plaque. Adler, seulinventeur, 16, av .Opéra, temps derniers,ont fait preuve d'une fermeté mier mari, très riche d'ailleurs, Lysians que ce soit l'idée ou s'arrête, Lysiane, cas elle ,veut savoir que les plus grandes de' lui, aux secondes loges, se trouvaient les DiAMANTzm^.par/'az<e.ERNEST,24bflItalieni diccomédiennes la travaillent toujours remarquable. puisqu'il à Sylvain elle veüv.e,,trf déclare rapidement été a que, une assez trois ^internes qui l'avaient assisté à la clini4 La Banque de France gagne 15 francs a en train. elle voit empêché Gâudrey de rester à'Pâr'is^une tion, comme les plus grandes danseuses que de la rue d'Arm aillé,. le jour fameux. aPATE DES PRELATS poétise votre main fêtes, donne des Elle 8,625, La Banque de Paris perd 12 francs à beaucoup de monde, et, toute sorte empêchera, l'é- << f ont des. barres » toute leur vie. rejoindre de le a [Deuxième sujet de conversation dans les JJ en Taristocratisant. Parfumerie exotique, pas, Cré663, le le Crédit foncier 8 francs â franger. 35, rue du 4-Septembre. Eviter eontrefaçons. couloirs l'auteur, générale de monde. Ceci serait sans inconvéHenry Fouquier. dit lyonnais autant à 797,1a Sociétéindustriel C'est un joli succès Mais qui donc est Nous voici arrivés au quatrième acte. nient si, parmi tout ce monde qu'elle de bonnes tables sans l'exquis PETIT' Çrédit pas davantage à 530, le ce M. Coolus? pas m'a les P.-S. L'heure. avancée s'étaient va-t-il De pàsser ? toutes rïoheliev 92. Téléph. Que ne se moins encore à 612, etc. On voit que nos so- reçoit à portes ouvertes, ne Romain Coolus jeune écri-» Voici M. est un ciétés de crédit en général se tiennent compas glissés deux hommes d'équivoque ré- conclusions qui s'offraient à mon esprit, permis, hier, de dire un simple mot de BELLE découverte du docteur Mass. Plus, de: Rostand). (l'âgé deM. vain de vingt-neuf ans spectacles trois j'ai m'étais vus. celle où moins arrêté est Bordin bien. Gâudrey. le deux rativement Le pireputation, et je que ou fonda- visage ridé avec sa Héautéine, ni 4e teint' ont mier est un sportsman trop habile, pour celle que l'auteur a choisie. Lysiane a D'abord, à Parisiana, la revue de MM. qui écrit à la Revue Blanche depuis sabouffon. Le Lyon à 1,8S6 et le Midi à pâle avec ses Tubes de Jeunesse. 10, r. de Sèze. Il y a d'abord écrit des poésies «èrdo une dizaine de francs la perte est de gui l'art de faire tirer un cheval n'a plus réfléchi. Elle vient trouver Sylvain à GardelrHervé et Héros. Elle s'appelle, tion. puis PEU dé Duvet de Ninon, suave poudra des nouvelles en prose d'une exubénes, moitié moins forte pour le Nord à 2,035 et de secrets le second, homme d'affaires, bord de Cyrano Paris, à naturellement, et U de yacht, à Antibes, où ancré on y rance extraordinaire, mais d'une vigueur de la Parf. Mwow,31,ruè du 4-Septembre. son l'Orléans à Les obligations espagnoles compris voit toutes sortes de Cyranos, homme Marcel. Elle lui d'affaires des fem- il est avec et volontiers y langue et d'images qui sentaient leur classi- sur vos traits fatigués, bistrés, les fait res-4 annonce gonf lourdes, nécessairement. ttirès
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LE FIGARO ÉLECTORAL ADRESSERTOUTES LES COMMUNICATIONS CONCERNANT LES ÉLECTIONSA
M. PAUL. BOSQ
DEVINS DE C. LÉANDBE
nation de cinq commissaires, quatre auteurs lettes» de Raoul Ponchon Jacques Ferny • ] compositeur (art. 12des statuts sociaux), dans ses inimitables « Chansonsimmobiles»; et < un Georges Charton dans son répertoire espiégle en remplacement de MM. Charles de Courcy, Georges Ohnet, et, Debriège dans Ohi Ohé! 1 entratnantefanJean Richepin,Victorien Sardou, auteurs dra- taisio do P. L. Fiers et Ch. Mongel. Samedi, première de l'Heure du bain de Grenet-Danmatiques, et André Messager, compositeur; Membres sortants et non rééligibles avant court, jouée par Sarah Mauryce ee Bandoin. une année. La fortune, qui sourit aux audacieux, ré. La Société a payé durant l'exercice 1897-98 Pensions, 119,650 fr.; secours, 35,775 fr. compense Medrano des efforts qu'il fait pour tation il est beaucoup moins célèbre à inspire cette majorité de calotins « honneurs funèbres et souscriptions, 10,455 fr. satisfaire le public. Au cirque Medrano, l'indégoûte eux-mêmes 1 Paris. Ses collègues ne pa- me Elle a abandonné pour œuvres de bienfai- térêt du spectacle est toujours considérable: contreM.Codéfendre valuifalloir Il vaguement se en plus de la troupe habituelle, Mlle Spamraissent soupçonner que son 12,039 fr. 95 de droits. sance, de douanes des directeur pani, l'étoile de la haute école, présente des existence et, quand on les questionne sur qui, ancien Victor M. contre Tonkin A la Gaîté, dimanche, après midi, dernière chevaux sauteurs en libérté; la troupe impéM. Bizot, ils esquissent ce geste vague l'Annam et du Cambon, un viticulteur progressiste, matinée et avant-dernière représentation des riale japonaise Torakitchi-Mekitchi exécute qui signifie « Connais pas. » inédites, et, pour naturellement de clérical Cloches de Corneville, la date du Maréchal des exercices absolument grands, traite qu'il Palaissièga qu'il Depuis neuf ans au Ie3. petits et les tous les de paix, le plus Chaudron étant toujours maintenue à mardi faire rire, Rigaud, juge M. contre inventent de me-souviens chaque jour de désopilantes clowns lais-Bourbon, je ne pas adversaires,dont il a la pour la répétition générale et à mardi pour fantaisie. de redoutable ses mots à trois entendu prononcer lui avoir première. de se débarrasser, avec tenté inutilement à la A. Meroklein. être doit parle, s'il la tribune ce la (de Ricard ami de concours le son ThâtreMax qui créera, de C'est M. au buvette. Très inférieur à Pochon et même Côte^d'Or), inélidéclarer faisant le PETITES NOUVELLES Reichstadt, dans duc de du rôle en Antoine, le à Bérard, il est aux antipodes de M. Her- gible. Aujourd'hui, le Fils de l'Autre, le drame de M. Georges de au Théâtre mondain, à 4t. i/2, bet car, si ce dernier est le moins mau5' audition musicale fiaul Viérdot, avec la Que voulez-vous qu'il fasse contre ces Labruyére. vais de cette troupe bressane, M. Bizot trois concours de Mlle Lina Pacar;t, des conoerts Coprogressistes?Il mourra. salle M. Béral, du théâtre de la pire. libre le incontestablement l'Ambigu n'étant de La est pas pour lonne et Lamoureux en MM. Gaston Monnaie, de Poulin, F. Lemaire Bosq. et Paul de lui M. Perner, Judith, la repréla matinée au bénéfice Il trouvera en- face de et Schidenhelm.. sentation sera donnée le samedi 23 avril, à désabuun progressiste que les électeurs h. 1/2, comme elle était annoncée, aux COURRIER DES'THÉATRES 1Bouffes-du-Nord. sés lui préféreront sans doute. Les directeurs ont mis leur M. Philipon, député de Nantua, mardisposition de la bénéficiaire. théâtre à la chait autrefois derrière M. Ferry, avec MM. les critiques courriéristes et soiristes soumission et discipline il emboîte seront reçus sur la présentation de leur Bizot et n'en semmaintenant le pas à M. carte. Ce soir Voici l'une des plus belles scènes de la A citer pour l'interméde Mlles Picard et ble pas plus fier. Au théâtre ,riea Folies-Dramatiques, à Duflaut, de l'Opéra; une pantomime de MM. comédie de M. Romain Goolus, représentée C'est un élève de l'Ecole des chartes et 3/4, première représentation reprise de Gontreau et Martin Landelle, jouée par tbier soir Ma Renaissance.M. Guitry et Mme un ancien substitut; c'estluiaussi un au- 8lah.Fauvette Temple» opéra-comique en Mlle Maguéra, MM. Rablet, Bérenger, Dau- Sârah Bernhardt se sont vus plusieurs fois, teur dramatique et nous sommes re- trois actes, deduMM. Paul Burani .et Eugène mouch, etc. interrompus par des salves spontanées d'ap-devables d'un chef-d'oeuvre. peu connu Messager. André de M. musique Jules Haret. Humbert, plaudissements de la salle tout entière. la Barnada Buyundisi. Distribution Sylvain Brière depuis trois- ans voyage. Il Il sera très certainement battu par M. s'est exilé parce qu'il sentait naître en lui SPECTACLES Simon-Max CONCERTS MM. & Abrial Joseph à consent dernier Carriez, si ce poser sa Bartel pour Mme de La Lauraye, alors maride, une Saint-Angénor Conseillergéprogressiste. candidature passion profonde. Au moment où commence "Landrin Trécourt Commission Bayard déparla pièce, il vient de revenir; il se croit guéri. la de président Pierre Aubertxn néral, Bouasagol Ben-Ahmed Il apprend alors que Lysiane est veuve et tementale, c'est lin soldat-laboureur plein Aujourd'hui Liesse » Cransac La Femme qu'elle commence a s'éprendre d'un homme d'allure et d'entrain, dont la famille a A, la Bodiniëre, à 3 heures Camus Bou-Malëk séduisant, mais Ûangereux et de moruconférence par Mme Vera-Vend lo La très Vidal enfoncé de solides racines jusqu'au plus Sélim russe, Gaudrey. Sylvain a Mmes Odette Dulac femme russe au moyen âge 2o La femme lité incertaine, Emilien; Thérèse profond du sol bressan. Plein de loyauté, Léo Demoulin h. 1/2 Représenta- même les preuves qu'il a commis de graves actuelle; 4 A Zélie inépuisagénérosité russe d'une franchise, de Pour empêcher Lysiane de se Blanche Nelsy Ali tion de Paris-Fuministe, fantaisie de MM. indélicatesses: ble, il n'aurait que peu ;d'efforts à faire Verneuil compromettre plus sérieusement, il force Tarata par Mlle Lise jouée G. Derlis, Franck A. et Gilbert Emilien Gaudrey à quitter Paris. Lysiane est, Rosette pour vaincre. M. F. Depas. Berthy et Favolli > Polyte M. bouleversée de ce départ incompréhensible;, Enfin, fermant la marche, l'illustre Mercedes fatma elle apprend tout à coup que c'est son grand Bérard, député de Trévoux. Le succès prédit, à la suite du dernier five ami Sylvain qui a eu le pouvoir de l'exiger Il y a des pompiers en politique comme A la Comédie-Française: o'clock du Figaro, à la nouvelle série de et, dans la scène que Ion va lire, elle le de Mlle Dudlay Bajazet conférences en littérature et en art; le représentant Par indispositionjeudi de M. Maurice Lefevre à la Bodi- somme de se justifier de l'attentat qu'il a Légaprochain et le inhume dans journal donné qui que de Trévoux, un ne sera dépassé les prévisions. Après une commis en se permettant d'influer sur sa accompagné aujourd'hui niére,' a cinglante autrefois très lu des articles vieillots taire universel sera «et d'une'verve étourdis- vie comme il a eu l'audace de le faire. causerie Précieuses ri· d'Iris et tes Revanche par la contre le cléricalisme, est un de ces pont-, sante sur la Chanson au café-concert qui a dicules. piers. nnifivà à mainte renrisé les bravos du Dublic. ACTE m.– scène Mlle Anna interprètes, spirituels deux les Variétés: Sous le ministère Bourgeois, M. Aux LYSIANE, SYLVAIN M. Samuel vient de renouveler pour trois Thibaud et M. Louis Maurel, ont déchaîné Alexandre Bérard fut un personnage de rire, d'applaudissements et brillantes conditions, l'en- des tempêtes considérable; on l'appelait alors Ba- années, et à de très Lavallière. Lysiane. Ah vous, Sylvain 7 la assistait à qui elle-même, dont Thérésa Mlle de gagement duel II, ce qui était honorable pour M. séance, donnait le signal. C'est un des ,SYLVAIN. Qu'est-ce qui se passe ? une bonne nouvelle pour le public Baduel comme pour lui. Ils organisaient desVoilà Variétés, qui a fait fête cet hiver à la spectacles les plus follement amusants qu'on • Lysiane-. J'ai à Vous parler. La derensemble, pendant le grand orage du, spirituelle du Carnet du diable et ait donnés à la Bodinière. En voilà certainenière fois que nous nous sommes vus, danseuse Sénat, les manifestations spontanées des' il. la délicieuse Crinoline de Paris qui mar- ment pour de longs jours. nous nous sommes quittés amis, très bonnets à poil. M. Baduel était fort che. La seconde audition de la Chanson au arois. -Mon Dieul est-çe en ennemis que café-concert'aura lieu demain yendredi, à bien dans ce rôlej M. Bérard y atteiquitterons tout à l'heure?. x rÀthénée-Comique, relâche. nous nous à Ce soir précises. 3 heures hauteur la gnait, sans effort apparent, à Sylvain: En ennemis? Non- Nous de l'Areprésentation première Demain, tambour de nationale. la garde d'un En raison de la température la matinée nous parlerons trop franchement pour mourmoutllé. pris deux eût Moins graves, on les pour pièce et la partition ayant été éditées il d'aujourd'hui aux Folies-Bergère n'aura pas que cela soit possible. La même souriaient augures mais ils ne lieu. Vous n'êtes pas capable n'y aura pas de répétition générale. Lysiane. pas. de rien dissimuler,, même pour me mé-. Nouveau-Théâtre, h.1/2, 8 à Ce soir dimanche même au alors, annoncées M. Bérard était proMatinées pour • ci- nager? Colonne, avec* le
d'un esprit cultivé, connaissant bien les affaires, très au courant de la politique, a les plus sérieuses chances de battre ce révolutionnaire insuffisamment convaincu qui vote comme M. Bourgeois et se tait comme Conrart. L'ancien substitut, M. Bizot, jouit peut-être à Gex d'un semblant de répu-
déré,' conciliant, j'en tombe d'accord en mais. » Et sur ce « mais », il entre et.se farouches fureur, pousse 'des cris précipite à la tribune où il réclame une Saint-Barthélemy contre les prêtres, les Jésuites et les moines. On lui refuse cette innocente satisfaction, et M. Bérard exprime d'un mot les sentiments que lui
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Lorsque son attention n'est pas attirée par les poulains de la remonte, M. Pochon surveille les manœuvresde la réaction et s'inquiète du péril clérical. Tout cela lui donne bien de la tablature, car, depuis qu'il.est question d'un certain esprit nouveau, le représentant des éleveurs de chapons ne dort plus que d'un œil. Il découvre partout des Jésuites, surtout\dans le gouvernement,dès que M. Bourgeois n'est plus ministre. Il aura pour adversaire M. Hurdellet, chirurgien de l'hôpital, qui est, lui, tout l'opposé d'un sectaire. La deuxième circonscription de Bourg
vi
Bien que les éléments conservateurs et modérés y soient très forts, ce départemant a néanmoins élu, en 1893, six députés qui votent avec l'extrême gauche. Comme ils ont signé le même programme d'union entre républicains, ils prouvent ainsi, par leur exemple, ce que vaut cette concentration que les Isambert et les Brisson nous vantent avec une inégale éloquence. Il y a, dans l'Ain, une noblesse territoriale,* une bourgeoisie possédant de grandes propriétés, une population agriun radi-» cole pleine de sagesse et, dans les cen- est représentée par M. Concert programme -l'homme' le plus aujourd'hui, chain encore SYLVAIN. -,Môme pour me ménager, qui ouvriers des tres industriels, après repousCatherzne. des Chambre. Il prononçait 1 h. Comédie-Française, occupé de la Lysiane. Eh bien! répondèz-mol sent- lèsayances des socialistes. Les mai- Quand on- leur demande: « Que pen- harangues, Mignon, ta Nuit Noces de Figaro (Mozart). Saintdes de Ouverture rédigeait, péniblement Opéra-Comique il de M. Herbet? » les députés deux pianos (J.-S. Bach) MM. franchement, Sylvain. Est-il vrai qu'un Concerto pour res, les conseillers généraux, les séna- sez-vous conspirait il articles; des Deux mélodies homme qui était de mes amis ait été par à l'indulgence: quelquefois, Raoul Pugno et Wurmser. teurs, sont absolument réfractaires à que leur: naturel ineline qu'il enfant, Celle Mon 1 h. Odéon, qu'il qu'il parlât, Mais couloirs. X. les Leroux a) La vous mis en demeure de quitter Paris 1) (F. Schubert), orchestrées par resprit de secte et de violence.'Comment répondent: « C'est le moins mauvais de la dans aimer. faut Jeune Fille, et la Mort; b) La Jeune religieuse. Est-il vrai complotât, c'était inva- Palais;Royal, 4 h. 3/4 la Cudotte. qu'il écrivit dominent, ou autres qui lie les Sans bande. députation fait-il la que vous ayez pu le contraint donc se se comque Mme RégIon; de l'Opéra. a) Prélude et Fugue gloire de grande la plus riablement pour il ne serait pas absoluen fa mineur (J.-S. Bach) b) Pièce en la majeur dre à s'éloigner dans les vingt-quatre .pose uniquement de radicaux et de sec- qui le poussent, de son meilleur Bourgeois, M. l'unique Trois pièces en heures? Nouveau Jeu. (SCARLATTI). M. Raoul Pugno. 1 h. 1/2 le taires? C'estqùe les forces conservatrices ment incapable pratiquer silencieuse- ami. Comme M. Baduel travaillait, avec Variétés, orchestrées SCHUMANN), forme "Wa(R. Contrôleur des de par là Nouveautés, 2 h. canon SYLVAIN. Je l'ai pu, malheureuse-' demeurent inertes en face des loges et ment une politique raisonnable. ». audition lro Dubois. soleil, Th. a) Lever du mêmepa.rtie, la, zèle, dans le, même on des cabarets qui agissent. La population, II Ji'an reste pas > moins que ,M., Herbet ne manquait pas de Renaissance, 2 h. [Lysiane. "Mme Sàiah Pourquoi dpnc- ne m'avezt^. abandonnée par ,ses, chefs, naturels, se a pris place parmi-ces hommes aimables ^et homme alors tout-puissant, qu'il était Bernhardt;" •>" i: : Région, Mme l'auteur. Thibaud et par M.Jacques et tolérants toujours prêts à chasser de le plus heureux des trois,. M. Bourgeois Porte--Saint-Martin* 1 h. 1/3 Cyrano de de thème de Bee- vous pas consultée? n'auriez peut-être Variations l'Opéra. un sur SYLVAIN. Vous démènent et ïës Bérard qui se trémous- leur République ces affreux libéraux n'étant plus rien et trouvant en,péril Bergerac. (C. Saint-Saens). MM. Raoul Pugno et thoven se pleins dès respect pour les croyances et de jamais redevenir Lucien Wurmser. sent. |: Ambigu, 2 h. la Corde au cou. pas consenti. le chose, quelque ne Et vous vous dites mon LYSIANE. Gaîté, 2 h. les Cloches de Corneville. Dans la première circonscriptionde la liberté d'autrui. Mais, s'il vote mal, Pylade Le concert sera dirigé par M. Ed. Colonne. l'ombre est déchu Oreste cet de Antoine, 2 h. Fortune, Blanami? Bourg, ce même Pochon pose de nou- M. Herbet ne parle pas, ce qui, lui assure d'une ombre. Cet emploi suffit, d'ailleurs, Théâtre Boubouroche. la chëtte, Mardi prochain 26 avril aura lieu à SYLVAIN. -,Non; Je suis votre ami.: une incontestable supériorité sur un à son ambition. veau sa candidature. donné orchestre concert le. avec Nous n'avons pas, l'un et, Lysiane. Bien qu'il siège à la Chambre depuis certain nombre de ses contemporains. ) M. Fabrice Carré nous écrit l'amusante SalleM.Erard distribuait violoncelliste, ami excellent Hasselmans, avec Louis Lorsque par son Sylvain, même. façon de com-i l'autre, C'est encore un radical, M. Giguet, qui i883, il est,^un peu moins connu que son voici Margue-, Nina Faliero lettre et Mlles que M. Bérard n'en reçut concours de l'amitié. Celle que je vous porte; copain Cocula, lequel, du reste, se pré- représente au Palais-Bourbon l'arron- des portefeuilles, j ,1 ¡rite 20 avril 1898. de MM. 'Ch.-M. Widor et prendre Ce Hasselmans, coutume point n'a et comme on m'eût toujours déconseillé de rien faire aucun, sente quelque part. On se souvient peut- dissement de 'Belley. • Alph. Hasselmans. cher confrère, Mon Bourgeois intimes,M. dé gêner entre en contre vous dont vous pussiez souffrir. être qué, ces deux grands hommes de Il y a plusieurs façons d'être ou de. se façon de moi parlez plus en prie, ne comme Je vous lui-même avec son autre usa sans jolie divette dé la Celle que vous prétendez avoir pour moi héritier, ne parlez plus des legs Thiry. province unirent autrefois leurs efforts' devenir radical par intérêt, par niai- mais Paulettè la Darty, Mlle à pensé il dora la pilule « J'avais Depuis votre première annonce, j'ai déjà reçu Scala, vient de payer elle aussi, son tribut à vous a autorisé bouleverser ma vie, et contre la liberté d'enseignement et se serie, par rancune, par jalousie, par ce égée ma fillette, exigonmais les appétits, mais les denx demandes qn mariage pour influenza et a dû, pendant plu- c'est volontairement que vous m'avoz maudite recommandèrent par leur intolérance à penchant aux manifestations tapageuses vous; Enfin, la I de deux votre ans il m'a fallu disposer de ces. des erreurs sieurs soirs,. interrompre son service. C'est 'inflige un chagrin que vous pouviez l'admiration des loges maçonniques. qui distingue le.s bousingots. M. Giguet, portefeuille;,mais coutumières et exagérations Les n'êtes rien,vous si vous grandes courent les journaux à propos d'une seulement hier qu'elle a reparu au.programme m'éviter. Maintenant, dites vite comDepuis, M. Pochon a vécu sur cette uni- docteur en droit et ancien procureur de plus de sucd'attenlégataires; pleura interprétant qui n'intéresse que les avec de ce concert, ment il s'est trouvé que vous ayez pu la République, est devenu radical1 par pouvez tout.. L'autreilen révéla à per- succession que et maigre ressource. le utile Encore avertis temps et Cigale une ceux-ci seront par nocajamais en cès drissement. Modeste, que ne imposer à cet ami de sien aller .comme ilDans les couloirs, il tonne contre le persuasion. tribunal de1 resse du désigné président M. le qu'a dernières, créations. taire deux aussi sa puissance; ses le secret de l'a fait, précipitamment, et pour de 'Versâmes. cumul- et s'indigne à la seule pensée- La tournure de son esprit, ses opinions sonne Guilbert, d'Yvette départ du lendemain Au jamais. Que la presse s'occupe de ma chétive personne retardé représentant du peuple puisse premièrès-'incliriàièntfortement ce fils de ne la soupçonnà-t-on d'une semaine, aura longs mois, m'a-t-on dit. qu'un oü sait comme des,pièces bonnes commets mauou lorsque je Ayant entrevu dans ses cauchemarsvaises, arrondir son traitement. Il pose en prin- cultivateurs, qui fut magistrat sous M. lieu la première de Psst! Psst! revue de prin- SYLVAiN. Je ne puis vous répondre; désire mais je comprends le mes je que je n'en ai pas le droit. Je vous demander cipe qu'un député doit s'interdire rigou- Thiers, vers un, républicanisme modéré, une épée gigantesque dont la poignée affaires particulières ne détournent pas l'atten- temps de MM. J. Oudot et H. de Gorsse. du conflit hispano-américain. d'être assez généreuse. reusement tout ce quï ressemble à une sinon libéral la fréquentation trop in- est à Rome et la pointe partout, cette vi- tion de l'Europo jeudis,' heula 2 anticipés les pour recAvec mes remerciements Les matinées données Lysiane, Envers vous? envers affaire et ne jamais accepter une obole time et trop prolongée des Bérard, des sion lui enlève tout repos et parfois, tlflcation, compliments recevoir s'annonveuillez Ambassadeurs mes des concert .moi Sylvain rrr Envers lui. res, au du gouvernement. Ce principe, il le res- Pochon, des Bizot en a fait un pur sec- quand il sommeille sur sa banquette, on rien de là Il n'y succès. sura cent un comme pecte, puisqu'il le tourne: M. Pochon taire. Cé trio franc-maçonnique arrache le voit soudain se réveiller en sursaut, 0 puisque, bien que le programme aussi. prenant Malesherbes. doigt boulevard montredu 43, et il n'estbouleversé, insister, le visage la Pour sottises, et cruelles LYSIANE. ne pas soir, offre, moyennant finances, l'hospitalité à sa faiblesse de représentations, du reste le même qu'aux noirs de des processions voisins à dé aicrainte' déchoir l'Etat' dans sonde chevaux de ses jeunes ces yeux aux unique des places loges ou fau- ce pas ? Alors un anff très cher s'en va, à de la Société ï le prix aux annuelle L'assemblée générale domaine de Romanèche; d'autres, moins gles incite M. Giguet à prendre de'% airs fantômes qu'il est seul à distinguer.lors- des auteurs et compositeurs dramatiquesdontt teuils est de un franc, consommationcom- la dérobée, en se cachant presque de ma, Dans ses bons jours, c'est-à-dire sollicitude indiscrète, et, quand j'interfarouches de croquemitaine radical. austères, demandent des ressources 'nous annoncions hier la réunion pour le merles spectres ni l* credi 4 mai, aura lieu à l'Institut Charras, 4, II devra défendre son siège contre M; qu'il n'est hanté ni par l'éleyage des lapins. C'est, d'ailleurs, une roge celui qui reconnaît avoir eu le pou-; Rachel de de Roulotte, la à début, soir, Ce aid'être voir d'exiger ce départ, il ne peut rien opération fort légitime: elle n'en cons- Martellin, un des grands, industriels de par l'épée, NI. Bérard essaye • rue Charras, à 2 heures précises. sur les tra- Ruy dans le cadre de la Chanson animée concessions rapport même des La Commission fera son titue pas moins, pour ce député, un fruc- France. Docteur en droit, conseiller gé-J mable et fait les étourdissantes « Ga- ou ne veut rien me dire. Je compte bien» dans France Louise nomila procédé à il être l'année, et doit de un homme politique sera mo-vaux néral,r ce progressiste très intelligent « Oui, tueux cumul.
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Feuilleton du FIGARO du 21 Avril 1898
MALOMBRA
un doute. Elle énumérait toutes les difficultés à surmonter pour arriver au but, et ressentait un plaisir âcre etdur en songéant à ces obstacles, surmontés avec
temps qu'il n'avaitmis les pieds dans ces
prisons de Dieu, comme il disais C'était moins. par haine que par sentiménï d'honnêteté qu'il avait rebroussé chemin 1 Le vieux loup ne voulait pas péné-
bergerie.
l'aide de Dieu. -Patrena omnipotentem "A Lui, à Lui elle s'abàndonnait.Courbé trer dans la se cachait là-haut, comme un paria paraissur son banc, son corps souple sait être une Tentation de la Pénitence. mélancolique,sans s'inquiéter du délides eaux La comtesse Fosca lui jetait des regards cireux spectacle des montagnes, obliques, tout en s'éventant sans relâche et des champs qui riaient devant lui. Les, ROUGE ET NOIR et en murmurant à voix, basse d'inter- feuilles lui murmuraient en vain de doul'église minables prières. Cette attitude pieuse ces choses. Il regardait le toit de des cantiques lui plaisait. Elle s'imaginait à l'avance et écoutait le bruit confus les saluts que le vieux nonzolo de Santa- qui montaient dans l'air léger. Il n'avait RELIGION Maria Portrio^a ferait à sa belle-fille. Nepo qu'une idée en tête Elle doit me prendre pour un réà la torture; il se bouchait le nez était prête à lui! Le Elle ne pensait guère son mouchoir parfumé en regaravait entonné le Credo in unum Deum avec Quelle pensée ainère! Avoir tant comà la dérobée ses voisins quand. dant l'.or-' chants de milieu dés et la foule, au battu et tant souffert; avoir mis l'honneur les fidèles s'agenouillaient, il n'osait plus'h'aûtqùelaf.aim tous omnipotentem. et. qu'etoûsles besoins patrem doucement,' gue, suivait baissait et il debout rester se Elle repassait le chemin déjà parcouru pantalon gris- 'du corps; avoir une fille adorable, l'aid'angoisse plein son pour la découverte du manuscrit, la mysté": perle; Quelle différence avec la grand'- mer, follement,et passer à ses yeux pour -rieuse promesse à Cécilia, la passion messe de San Filippo et son élégante' un réprouvé! Devrait-il donc s'humilier "entrevue dans les yéux:de Silla, l'étreinte assistance Ilseconsolaiten pensant à sa devant ces prêtres qui l'avaient fait maude ses bras, le nom mystérieuxprononcé cousine « Une nature aristocratique,se dire par sa famille et qui étaient cause en eette iftuit tferribïe, la certitude qu'il Je dois être son idéàl.son Messie.» de la mort de sa femme? était son correspondant anonyme, et disait-il. fit entendre l'Elévation;, r Je le ferai pour l'amour dé manne, sonnette La puis l'amour! Ah! Cet amour béni, Nepo agenouillé, la tête dévptement, muet, lent, tout-puissantt' cètâmourqui, baissëe, calculait: Il lui vint une idée. après tant de luttes et de révoltes, l'enSi j'en parlais à ce Dieu! hectares en Lomelline, cents Douze vahissait maintenant tout entière! Elle huit cents dans le Novarrais, palais "a II se le,va et se mit à dire en allemand, haute voix eut.un élan de fok et de gratitude vers Turin; palais à Florence J un Dieu inconnu, bien différent de celui Suprême Dieu, écoutez-moiun peu. elle, ne courbait pas la tête;: elle Edith, qu'on adorait auprès d'elle il n'était ni était très gale et regardait devant elle,, Nous lie sommes pas des amis? Soit. J'ai aussi froid ni aussi lointain; il était bien- de ses yeux graves et tranquilles. Un lé- dit beaucoup de mal !des prêtres et de faisant et terrible comme le soleil, inspi- g'er tremblement des mains, trahissait vous, et je ne vous ai jamais. parlé. Si rateur de toutes les ardeurs qui font seul l'ardeur de sa prière quirpassait aur vous voulez me traiter en ennemi, je resplendir la vie. Et elle se sentit comme dessus des têtes inclinées, montait direc- vous prie de vouloir bien faire nos emportée par ce Dieu, prise par sa grâce tement à Dieu et lui disaiten face: «-Mon comptes ensemble. Je vous crois, juste, omnipotente. Elle cacha sa figure dans Dieu, vous qui savez combien il a souf- Seigneur Dieu. Regardez sur votre livre dites-moi ..ses mains et écouta les battements de fert, ne lui pardonnerez-vous pas?Son le compte d'André Steinegge elle éprouvait une sensation visage pensif .n'exprimait pas la résigna- si je n'ai pas assez payé ? Vous êtes très son coeur: aiguë, presque douloureuse, qui lui brii- tion, mais une volonté"fermé et intelli- grand je suis tout petit. Vous êtes toulait tout le corps, en, pensant à l'accom- gente, un peu jours jeune je suis vieux et usé. Que plissement des promesses divines; elle temps, notre brave ami voulez-vous encore' me prendre? L'affecPendant ce souffrait presque de cet amour fatal dont Steinegge écoutait la messe in Excelsis, tion de ma fille ,Edith ? Je n'ai rien aula réalisation relèverait au-dessus de la assis dans la montagne, au milieu des tre au monde, Seigneur Dieu, laissèz-lanature humaine. Elle n'ayait pas même lauriers. Il n'avait pas eu'fle courage moi Si vous 'ne-le pouvez pas, balayerd'entrer dans l'église, il y avait si long- moi et unissons-en Reproduction
Il
prouvé.
t
attristée.
interdite.
Steinegge s'attendrissait au son de sa propre voix; il mit un genou en terre Je vous connais peu, SeigneurDieu, mais mon Edith vous aime, et je puis le voulez. Voyez, je vous adorer, si-vous suis agenouillé; mais- entendons-nous et laissons les prêtres de côté. Peut-être puis-je vous offrir quelque chose en échange. J'ai une santé de bronze, prenez-la. Faites-moi mourir petit à petit, mais ne vous mettez pas entre moi et monEdith.Je nepuisvraimentpas m'agenouiller devantles prêtres et mentir,car je
suisloyal,'SeigneurDieu,jesuisun soldat Il s'arrêta et alla s'asseoir très ému, mais content de lui-même. Il lui sembla avoir fait un grand pas en avant. Il éprouvait la satisfaction d'un pauvre homme qui, devant entretenir un puissant personnage et craignant d'être chassé par ses domestiques, l'aborderait dans la rue et lui dirait brusquement tout ce qu'il a avec lequel ses sur le coeur le silence paroles seraient accueillies lui ferait espérer un peu de pitié. Il se leva etalluma son`cigare pour dominer son émotion le capitaine Steinegge ne devait pas pleurer se dirigea vers l'église. hommes Tout le monde sortait, les d'un côté, les femmes de l'autre. Stêinegge resta' près du sentier à regarder la foule bigarrée qui débouchait sur la place; il attendaitle chapeau noir d'Edith. Il vit la comtesse et Marina, suivies de Nepo, puis les domestiques du Palais, mais pas Edith 1 Très inquiet, il entra dans l'église; il n'y avait plus que deux le personnes le curé agenouillé surplus banc près du maître-autel,etun peu en arrière, sa fille ea prière. et s'assit au se retira tout doucement dehors. Le cœur lui battait violemment. Quelle figure allait-elle lui faire ? Elle sortitbientôt, le sourire aux lèvres, et s'excusa de l'avoir fait attendre. Elle lui dit gentiment avoir deviné sa, présence, car elle savait déjà reconnaître son pas. Dans sa hâte de le rejoindre, elle avait oublié son ombrelle sur le banc
Il
Il
Je vois bien, monsieur,que vous Mon papa, te déplairait-il de me l'aller chercher? avez envie de me dire Ad quid perditio: Papa courut faire la commission. Avant hsec, dit le fèuré. Un vieuxprêtre ne doit d'arriverau banc, il rencontra le curé qui pas avoir les goûts d'une jeune fille. Que; tenait l'ombrelle et lui dit en le saluant voulez-vous?J'espère honorer Dieu, qui yoit mon cœur. Est-ce. à vous, monsieur? Il ne disait pas, le vieux curé, que ses C'est à ma fille. Désirez-vous voir le chœur, la sa- pauvres économies paissaient toutes à, Nous avons un Luini, un Cara- ces pieuses fantaisies. Il était de noble cristie origine et avait abandonné à ses frères vage. du moins, on croit.
?.
merci, merci, dit Steinegge l'héritage paternel ceux-ci,quil'aimaient, qui, aux noms de Luini et de Caravage, tendrement et. connaissaient son faible, lui avaient donné, peu de temps auparaétait resté' la bouche ouverte. Voulez-vous prévenir Mlle votre vant, un bel orgue de Serassi. Au premier Dominus vo6iscum de la messe céfille?. Steinegge s'inclina et alla chercher lébrée avec le nouvel instrument, don Innocente était resté deux minutes les Edith. Le curé paraissait avoir une soixan- bras ouverts, ravi par la musique et par taine d'anhéei; il avait un front élevé, un la vue de ces tuyaux argentés, là, auregard vif et ingénu, une expression dessus de la grande porte. Il voulut franche et loyale. Sa 'personne respirait montrer aux Steinegge le fameux orgue. d'une certaine timi- Edith était si affable, son père était si, une énergie mêlée dité. Il montra à Steinegge et à Edith les poli, que don Innocenté vainquit sa prodeux tableaux, qui méritaient leurs noms pre timidité et sôrtit de l'église avec eux, qui l'attendait, pour pompeux. Le Caravage du chœur était oubliant son caféquestions Laurent, baroque leur faire mille sur l'Allemaun Martyre de saint de dessin et de couleur, mais plein de. gne, sur les, moeurs, les coutumes, les vie. Steinègge' ne comprenait rien à la êtres, les arts. Il lui semblait qu'un peinture aussi il en fit de grands éloges. Allemand devait connaître son pays de. Edith se tut. Le Luini de la sacristie était fond en Les petits yeux de Steinegge brillaient exune blonde tête de Vierge, suave, quise, authentique. Edith en fut'émue. de contentement, il répondaità toutes les Elle dit au curé, avec sa voix tranquille, demandes du curé avec une animation qu'elle était étrangère et qu'elle sentait extrême. Edith souriait silencieusement pour la première fois la douceur de l'Ita- et hasardait parfois quelques observalie. Comment une pauvre église de cam- tions sensées, dont le prêtre faisait peu pagne pouvait elle posséder un tel chef- de cas. Les jugements pv-'gérés et les. d'œuvre ? Le curé devint tout rouge et peintures violentes de Steinegge lui plai-: répondit que cette peinture lui apparte- saient infiniment, ils l'emportaient dans nait c'était ùn souvenir de famille. Elle un monde tout nouveau et ensorcelant. Laissez donc, mademoiselle, lui ditlui avait paru inspirée par Dieu et digne de parer un saint lieu. Il offrit à la jeune il une fois presque impatienté, laissezfille, d'un ton timide, de lui montrer les moi croire aux belles choses que me dit ornements sacerdotaux et il la conduisit votre père. Je suis un prêtre qui n'a jadans la sacristie. Tout était ràngé avec mais rien vu, qui n'a jamais rien engrande caisse, tendu et qui ne sait rien, cependant, il un ordre parfait dans une parfumée de lavande le curé pliait et me semble qu'il doit avoir raison, lui 1 dépliait chaque pièce avec une grâce Antonio Fogazzaro. Ah
comble.
féminine.
peu "sans doute à vos yeux, Sylvâin mais je oroyaiè cocàpter assez pourtant refusiez le droit d'en pour que vous totis la user, avec moi de sorte. Sylvain. Ah ne parlez pas ainsi 1 Vous ne pouvez comprendre combien vous êtes injuste. Sachez, au moins, que si vous connaissiez les raisons de cette fuite soudaine,vous détëàtériez l'homme qui a dû les subirrétant la femme épié vous êtes, VOUS ,ne pourriez les apprendre sans -une révolte de tout votre être. Je vous demande donc, ne pas chercher à approfondir un s«ifet qui vous rendrait trèsjnalheureusé. Ayez confiance, je vous en prie,'dans la forte amitié d'ùft ami qui a voulu vous éviter d'apprendre un jour que vous aviez tant accordé de vous à quelqu'un. qui ne le méritait
pas! Lysiane. Qui ne le méritait pas? C'est là que vous vouliez en venir? Ditesle donc, admirable ami, qui prenez un tel souci -de, ma dignitéI Eh. bien 1 Si telle est votre pensée sur ce point, il est temps que je vous dise la mienne.. Celui qui sait se faire aimer, entendez-vous, à mes' yeux, a tous lés, droits d'être aimé, tous les droits, quand bien même ce serait le dernier, le pire des hommes, et cela, parce qu'il porte en lui, à l'insu de tous, à son insu, et à l'insu même de tous ceux qui l'aiment, quelque chose d'exceptionnel,d'inouï, de divin qui nécessite l'amour. Et voilà pourquoi je n'aurais aucun remords, aucun regret même d'apprendre brusquement que ma tendresse s'est donnée à un malhonnête .nomme, que certainement je mépriserais de toute mon âme, si de toute mon âme je ne t'aimais pas. Et vous pensez sans doute que je me calomnie parce, qu'en .ce moment je me sens atteinte dans. un sentiment plus fort que ma volpnté. et que ma raison. Eh bien né le pensez pas, vous auriez tort! Non, non -et non Je ne rétracte rien de ce
que fâi dit. Mon cdéur avait choisi cet homme, quel qu'il fût, sans s'inquiéter de ce qu'il pouvait être. De quel droit me l'avez-vous arraché ? Dites 1 De quel
droit
Sylvain;
De quel
droit?. Du droit
certain que me donnait une amitié ancjenne, sincère et désintéressée, surtbut,' oh 1 surtout clairvoyante Pouvais-je, sachant ce que je savais, consentir à vous laisser dégrader par un amour que votre enthousiasme aveugle, n'eût reconnu déshonorant que le jour même où il vous eût déshonorée? En me taisant, j'acceptais votre déchéance possible bien plus, j'y contribuais, j'en devenais complice.Je né l'ai pas pu Je ne sais si;cela est bien ou mal, je sais que cela fut nécessaire.
''
lantique Ils ne s'en doutaient guère lorsmis de faire ce que j'ai fait. Il n'y a atqu'ils ont quitte la. baie de Sandy Hoock tentat que parce que vous ne m'avez pas JibTopsail. disculpé et que vous n'avez pas voulu être mon alliée contre vous-même. En A Monsieur Jib topsail. .LE TURF agissant ainsi, je vous- ai aimée plus que Lé Figaro dù 19 courant signale, sous la personneau monde, et mieux que vousNOTES LONGCHAMPS SUR rubrique «Yachting », un travail d'allongemême. Je vous dis, que vous vous tromPrincesseLes courses les meilleures de cette, journée^ ment exécuté au nouveau yacht pez et que vous vous calomniez en ce S. le A. commandé S. prince de Atice, par moment. Que réclamez-vous ? Le droit à résultats presque impénétrables, sont le Monaco, aux chantiers de Birkênhêad: Ceci de disposer de vous ? Mais vous oubliez prix Grefftilhe où je verrais Lé Roi Soleil eu Oak et le prix Rieusse& où je Verrai que vous avez peut-être le devoir de ne Royal L'article ajoute que cet allongement était Bleulaa proFlavert. Pour le reste du et pas disposer de Vous d'une manière qui gramme, Tancarville dans le prix de Vau- impose par des erreurs commises dans- le voùs avilisse. Réfléchissez donc enfin cresson, Alberge ou Hellé dans le pïtx de soutes à charbon, et que le navire que je n'ai agi que par respect pour vous, la Porte Dauphine,Calembour ou Merit dans subit, de ce fait, un retard dans eon achèvepour votre nature, pour votre âme qui a le prix dés Tilleuls, Djohava ou Bandèfiîla 'ment. Ceci est inexact. D'abord, les soutes primitives contenaient reçu les plus précieux dons d'enthou- dans le prix des Lilas. 18 jours de chauffé à 7 hôàttds, chiffïè prévu siasme et de jeunesse. Mon cœur s'est et suffisant nour un navire auxiliaire destiné serré jusqu'à l'angoissé à la pensée que aux travaux scientifiques. L'allongement a COURSES A Colombes vous alliez peut-être lés galvauder, et été décidé principalement pour permettre qu'un jour vous pourriez avoir le re- La boité à sttrprisès ouverte avant-hier d'installer sur lé pont, à l'avant, trois moteurs mords de tant de richesses gaspillées. J'ai Maisons ne s'est pas refermée à Colombes, électriques et vapeur et deux bobines attavoulu les sauver dé vous-même, les pré- Si cela continue, la situation des preneurs va chés au service de vingt-deux mille mètres de devenir aussi embarrassante que celle, des câble d'acier installation modifiée depuis la server de votre caprice. Ce sont-là, je le Espagnols. Indien à égalité paraissait une mise sur chantier du navire. On en. a simplereconnais, des pensées bien hostiles qui affaire. On payait 3 pour Càiïyass' ment fait profiter les soutes il charbon. attestent que voas avez en moi le plus bonne D'autre part, non seulement la Gonstrud" Back. Les grands, lavoris n'ont pas mieux tiède, lé plus indifférent des amis. n'a réréussi que les petits. La seule consolation du tion supplémentaire dé cent tonnesdélai Lysiânè. Des amis? Eh! que m'im-* jour deux clamé qué mais semaines, Va qu'il a fait un temps magnifique. ce orte votre indifférence Ou votre zèle? Le c'est la partie malgré être regagné et fameuse en Prias Fracas, 3,000 frv m., a été Qu'ai-j& à faire de votre amitié ? Croyez- pour Géranium (10/1), au vicomte d'Almônf grève des ouvriers mécaniciens. La PrïhcèsséSan Carlo, à M. M. Stern Aliçe n'a jamais dû être livrée avant le mois vous qu'un tel sentiment soit capable de i fprop.), battant remplir une vie? Vous m'offrez votre (prop.), et Grimalkin, à M. J. de Brémond damai. Il convient d'ajouter que l'allongement diï amitié en échange de cet amour dont (M.H.Nivière). Kye et Ahita partaient devant Dismal; les- navire- né ohangeïa rien aux qualités ni à la dépossédée. Sans doute, je m'avez vous de celui-ci, car le rapport des princiautres en peloton, San Carlo dernier. En face, vitessedimensions amitié la prix d'une tout le comme laissait une marge suffisens Vents, Dismal et Géranium pales des vôtre elle est rare, elle est exception- galopent devant Ali Baba, Grimalkin, San sante. vous serais reconnaissant, monsieur, de nelle, elle est lointaine aussi, et nomade, Carlo,; les autres étaient battus. Entre les et intermittente. Grand merci, mon cher tournants. Géranium dépassait Kye. San Carlo bien vouloir insérer cette petite rectification, prie d'agréer l'assurance de mes ami! Je vous ai une reconnaissance in- suivait devant Grimakin. Géranium entrait et je vous distingués. sentiments l'emportait finie de ce que vous avez fait pour moi. premier dans la ligne droite et Grimalkin, CAUR, Carlo.San Sylvain. Comme Vous êtes encore d'une longueur sur capitaine en second de la Princesse-Alicët à cinq longueurs, enlevait la troi-. injuste et' dure pour cette amitié que troisième place à Kye. vous repoussez sans même chercher a la siéme mutuel 10 124 fer. Placés GéraPari AUTOMOBILISMË comprendre! Oui, elle est exception- nium, 26 fr. Sâaî fr. Carlo, 16 fr. Grimalkin, Le Comité de l'Automobile'Clubde France nelle et rare, non dans le sens que vous 20 fr. actuellequ'elle;est Géranium a été réclamé pour 5,660 fr. par a procédé hier au ballottage d'un nombre avez dit, mais parce plus relativementconsidérable de candidats.L'effet fort, le pre- le comte 'Sampieri.' ment dans mon âme le Le Prix Fabius, 3,000 fr., 1,800 m., a été de l'acquisition de l'hôtel de la place de la mier de tous les sentiments, parce qu'elle à M. de Monbél (M. de La- Concorde se fait déjà sentit. Ont été reçues est ardente et passionnée et capable de pour Lynck battant Lagopède, à M. Champion MM. le baron Pierre de Caters; Edouard Lehtous les dévouements. Ne le sentez-vous mothe), (M. de Montmorency), et Controller, à M. ÏL- mann, Jean Fougerat, Jules Hellmann, comte pas2 Faut-il que j'en sois réduit à vous Andrews (M. de Brissac). Henri de Moiiy, Georges Carel, Gaston Bonnefoy, expliquer de telles choses ? Refuge, Controller et Sainte Marie Jean Castaignet, Jean Bodaan, Léon Bodaan, Vous deLynch, LYSTANE, après un silence.' Campan partaient devant les'autres en Ernest Lataste, Paul David, Maurice Binder, pelotôû. Lagopède dernier heurtait au poteau Léon Boussand, Léopold Duplan, Auguste Godipartez bientôt, je crois? Camille Roche, Demetrius Zaphiropoulo, SYLVAIN. Je ne sais encore, mais si en toxlfàant après les tribunes et perdait net, Edouard Rochet, Th. Schneider, Michel A. 01Eh Lunch, face Sandsquelques longueurs. voulu. Si je pars, c'est que vous l'aurez lion, Robert Fallot, préd'éWc Simon, Paul de'
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pars. mais, j'ai l'air
Gros-suceès-à l'exposition de Lille pour le Stand où sont exposées les ravissantes bicyclettes Georges Richard. M. Hpmereur, qui représente les Trèfle à quatre feuilles, ne sait où donner la tête, tant il a de commandes. Commission d'examen des projets pour l'Exposition de 1900, émanant de l'initiative privée, a pris en considération sur le rapport de M. Mesureur le projet du Touring-Club demandant à faire élever un pavillon spécial pour la grande association. Le véritable connaisseur se doit à luimême d'examiner les machines de toutes les grandes marques françaises ou étrangères. S'il se rend au magasin de MM. Fournier et Knopf, rue Làfayetté, il né tardera pas à être convaincu qu'il n'existe pas de bicyclettes plus soignées dans leurs détails, ni plus élégantes que les Luthy, les Stearns et les Dayton. Les premieres notamment lui donneront l'impression de se trouver eh présence de véritables instruments de précision. Football. Deux matches; comptant pour le Championnatinterscolaire, créé cette année par l'U.S.F.S.A.;se disputeront aujourd'hui. Association athlétique dé l'écolè Albûrt-leOrand contre Association "athlétique du lycée Janson. International Athlétic-Gluh contré, Association sportive du lycée Louis-lé-Grànd. Il est fort probable que ces deux matches se loueront sur le terrain du Racine-Club de France,
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^ag- fqliës-bërgme Miss Sidnbï; le Sève. d'Elias,. b,™ aérten; Keziah; Diamant^ ballet; les Rappo; les Lopkfort; Frençh
LE BIOGRAPHE FAMILLE Neiss, voltige aérieniie. TECHOW, chats dressés. Les GILLET, équilibristes. P Aï? ÏQ JUAN AUX ENFERS, ballot M^ll!S Aûgèle Hérâud et dé Pibrâc '«? -soirs, spectacle varié*UollViriit japonaise. MIGHELINEf Télénir 244 68 ieiepn.^44.b8 vision! ballet-pantomime..
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ÀTYMPU F° THYLDA. "m. THALÈS. VUlJliL 13l Dim.etfêtés,màtiiiêes.Entréôlfc mMiri.i.^HJ-2, Yvette Gmi<BERT,PGiJN,P.PârtvfLidia, IJVilJUJfi Polaire. Le Paradis de Mahomet.
Spectacle-Concert. «sert Tèns Ieâ soirs, a h. iil MRASSADEURS Mâtinées h.1/2, le» jeudi» Ch.-Elysées et dimanches. Co/f
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La Société «le Pistolet a ténu hier "mâtin, SiUyjLlliN ftUUlJIlh CONCERT-BAL à Maisons-Laffitte, sa réunion mensuelle. <Entrée,2f.Tousles saroad.,fête de titfit; entrée, 3!. Sept poules ont été disputées au pistolet tes. En voici les résultats
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1, MM. le comte d'Havrinconrt; le comte Clâry et Roger Niviêre-fi28îeîwo. comte 20 poule. 1, MM. Maxime Lardin; de Chabannes-La-Palice. 3o.pôulè. U MM. Martel; 2, Lardin.;ét Hutchinson ex sequo. > 40 poule. 1, MM. Arthèz; 2, le *omte de Chabannes-La-Palîce; 3, le capitàiria Dilsch-
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ifUaUUJî* MJMIJiAivU Les Nantuac, Matin. *ue> des Martyrs.
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|dim.,jeud,«t fêtes à2h.l/2.
i3fc42X,9h.1/2,M.Devai. Fursy. Montoya, Mary Artbér, Le Gallo. Cyrano de Tarascon.
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deTABARIN :5g,fuePIgaIlé.
le capitaine D/lschrieider y
Téléph. 265-27.
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Ohé! Ohé! d«
le baron; de Scho'nen;,
poule. i, MM. Artliéz; 2, Toulquin. Une dernière pbule a été tïjfée au revolver. 75, B* Clichy revue les chansonniers, etc., etc. Elle a été tirée par M. Arthez, le baron,de Shônèn se classent secbna, et M. Lardin, P PtQT X M FéLICIA Millet, Anna Thibau», I AlllOlili\il Fragson,Reschal ,Gieter,Vilbert troisième. Téléph.l56.7&Le Nouveau Vieux jeu, parodie. ce club a eu lieu 10, rue Blanche. Le Comité rflHEATRE les sdirs,a9h d été ïétfôuvèré comme suit 1 MONDAIN^ Téléph.257.52.Totfà d'antichambre" Fleur MM. le comte Clary, président; le comte 29,cité d'Antm Pierrot rouge; le Jet! da Palais. de l'Angle-Beaumanoir et Maurice Faure, 8bl/^ Concert: Les s'chrysanthè^ vice-présidents G. Voulquin, secrétaire Arley's, Maison d^^ le capitaine Bizot, trésorier de Chimay, Hlill\UiN mes; les Violette! (Tél. 417.84) f Vaunel, E. de la Croix, le wmte d'Elva, le comte d'Avrincourt, J. Labbé, Gaston Legrand, le riHAMP DE HOIRS Paternité Un Ménàffo, 2 comte de Lyonne, Paul Manoury, le comte CHAMP DE fOIRE rué de Lyon Lagourlétte: de Montgon, le comte Potocki, le comte de 25, r. Fontaine, Téléph. 241.22. -Franches lippéet. Rochefort et G. Voulquin, membres. TOUR EIFFEL. Ouverte de lOh.du mat. à 1s nuit. le. étage Brasserie'Bars à tous le$- étage*. Vàl> Paul Manoury. MATTT ,TM de a bH< So*^es dansantes LA
et Armande galo- Saint-Léger, Eugène Weyer, Gabriel Martignàh,' de douter d'un tone, Càboulot, Controller devant Refuge, Lagopède, Sans Peur, Moger Wâllaoe, J. M. Quinones de Leon, A. fait certain, décidé. Je pars à la fln de paient autres échelonnés, Lynch augmentait son de Courtois, comte de Clapiers, vicomte Arles la semaine et pour très longtemps. Roussel, comte avancé entre les tournants et l'ëmportait de mand üé Praoomtal, Georges Lagarde, de Louis do Fernand Pierre bien quand Partz, vous serez quatre longueurs sur Lagopède. Controller LYSIANE: Eh Quinefault, Léon Gonet, Biré, François Camille en pleine mer, mon ami, vous pourrez troisième à trois longueurs précédait Refuge Busquet de Caumonti Eugène Barbey, Jacques tourner vos yeux vers la côte et vous et Caboulot. Wallut, Euglène Renovey, Henri Charlet, comte Le Prix de Maisons-LafflHe, 7,000 francs; Ange! de Casa-Miranda, Henri Deslandrès, James dire « Je n'ai fait que m'arrêter un insFinlas (20/1), à M. G. pam, Jules Rueff, Gustave Dupont, Marcel La.. EAU tant sur la terre que voici,, et cela a suffi ?,600 met., a été pour (G. Steru), battant Château d'Eu, à M. carrière, Charles Schwartz, Antony Baudouin. pour que j'y laisse des ruines^ » Çt si vous Stern Stern (A. ïurnér), et Indien, à M. MarghiloL'indispositionde M. J. Berlièr se proavez de l'amour-propre; vous pourrez man (Dra^ton).longeant malheureusement, c'est M. Rives; être fier dé l'ouvrage que vous aurez Indien a mené devant Finlas, Lindo, Vi- qui s'occupait déjà avec lui dela direction de Eh bien non je n'accepte rien de goureux, Zimmy, Echàuffour, Assuré, Louli 1 exposition, qui assume tout la responsabiNécessaire Mais si vous ,fait. LysiANe, ce qui s'est passé à mon insu. Jus- et Château d'Eu. En face Finlas rejoignait lité de l'entreprise. étiez tenu -à quelque chose, ce né pou- tout j'ai protesté, je me suis révoltée Indien, Lindo, Vigoureux, Assuré, EchaufOn se rappelle là condamnation prononvait être qu'à m'avertit, à me mettre qu'ici, Château Entre Louli d'Eu. les tourfour, vais et maintenant, je passer cée par le Tribunal de Dieppe, contre M. Fisà même de juger quelle devait être ma en paroles; Indien. Château d'Eu Finlas dépassait actes; à mon tour d'agir et de me nants, son, pour un accident causé par celui-ci et conduite, et dé décider seule. A cela vous aux Finlas Loùli lutte, rapprochaient, Après et sé dont il n'était passi coupable, puisque là défendre. {Gesle.de Sylyain.JNon LNon d'Eu. Indien étiez obligé, à cela seulement. Pourquoi De une tête Château conservait d'appel dé Rouen, sur la plaidoirie de sur vous, je n'ai plus rien à apprendre; troisième à une tête précédait Louli. Lindo Cour ne rtfvëz-voùs pas fait ? Me Henri Robert, a infirmé ré jugement je entre veux né qui s'est passé vous, ce piquets les dérobant dans Sylvain.– Pourquoi? Ainsi vous né plus le savoir. Lui seul, désormais, a s'était jeté en se bordant la piste. sentez pas tout ce qu'il m'a fallu de cou- qualité les faire confidences que Pari mutuel à 10 fr. 210 fr. 50. Placés pour me rage et d'énergie morale pour oser ce Inm'avez refusées et peut-être l'ab- Finlas, 33 fr. 50; Château d'Eu, 22 que j'ai accompli ? Vous ne devinez rien vous 'Automobilisme. Le critérium des, entraîneurs SAVON FOUGERE il se peut qu'il ait dien, 13 fr. moi; soudrai-je, car oui, doutes de angoisses et de mes mes met,, de Bordeaux-Parisqui se courra lé 10 mai colnqu'il ne pouvait fournir qu'à Le Prix Maintenon, 7,000 fr., 3,000 des excuses te j'avais de Tâl- prendra trois catégories mes sentiangoisses; de car TliyiVniI p*s B'IMITATIOM POSSIBLE a été pour Gay -Lad (6/1), au comte n'espérez me surtout, Et pas seule. moi automobihes pesant plus de. kilos. i» Les ment très fort de la gravité de mon inter- faire revenir sur ce que j'ai résolu j'en- houét-Roy (J. Bail), battant Préfet, à M. L. 2° Les véhicules de 201 à 400 kilos. Faiâfer (Brooks), et, Canvass Back, à.M^. vention! Je savais qu'un jour je payerais i-e.plua ancien des toniques.. Hs 3f> r v\ durement, chèrement, l'initiative quën' base de via -*• La vogue qui à aocueiili là voifiirellé Dëcàûi"Gay Lad a mené devant Blandy, YyèJfdÛH, tribunes, On.commencermaintenafttà,vpircirculer de divers C^hyass. Back Gay Lad menait toujours devant Blandy, Côtés ces coquets petits véhicules dont le poids que ma seule joie, au contraire, eût été intervention l'a contraint à se réfugier. Canvass Back, Préfet et Yverdunj qui était et la marche facile séduisent tous les adeptes de d'assurer. Je savais tout cela; et, cepenen face. A l'avant-dëf niéf tournant, la nouvelle locomotion. Sylvain, violemment. Vous avez ré- battu L'assemblée générale annuelle de l'Automodàntrj'âi couru cet affreux risqué sur fléchi Lad augmentait son avance. Préfet reportée Gay comprenez toute la Secret de Beauté pour embellir le teint.. luï vous bile-Cl.ub France aura lieu mardi prochain l'ordre même.,de cette amitié parce qu'il d'un tel acte; vous entendez qu'il vous joignait Canvass Back à la dernière haie et le 26 avril, à dequatre donner l'éclat et le velouté désirés. heures du soir, dans les salons 1 battait même pour la seconde place de deux âEchantjMongratuit sur demande. Bnvoi m'est apparu que c'était là mon devoir lie du Club, 4, place de l'Opéra.. lorsque homme, vie à cet la car, l'emportait Lad do trois Gay pour I MIQNOT-BOUCHER, 19, r.VIvienne, Parla longueurs.. Les voituïettes Bollée viennent de rempord'ami, oui d'ami, et que je devais vous éclat, vous tel l'aurez rejointavec Préfet. un quarts de longueursur ter un succès probant dans la course du Midisauver de Vous-même au péril de vous. vous irrémédiablementcômpromiseet'il Placés Gay 50. Pari mutuel il. 10 67 fr.: fr. Sport sùr 9 partants, un seul est arrivé, celui serez éloigner de moi. miqui montait une voiturette Bollée, en dépit de la AllillLM(hDEHQYF.a.^an&N.PariS Lad, 21 fr.Préfet, 50 fr. 50. restera plus qu'à épouser ce vous ne il n'en resté pas moins ad- sérable Oui, ce misérable! Voilà une Le Prix de la Société des Steeple-Chdses tempêtedes qui sévissait le dimanche dans le déparLYsiANE. Bouches-du-Rhône. mirable, et j'admire que vous vous soyez heure que je vous le crie de France, 4,000 fr., 4,500 .met. a, été pour tement Les arrivées première et deuxième EAU de CQLOGN E PRIMI ALE voitures a Ring BïssOn), 3^ Poullier (M. G. On une permis de disposer de moi comme vous donner 1898 (2° série) avec Màrseillo-Niee Sans me la course LysIanë. battant Chicaàe, à M. de la Roberdière (M. dans ['avez fait. Car,enfin,vous avez, pour des preuve différence sept.minutes de sur le total du temps F MIL LOT t>if» \3t, Ch.°">i"d'AoUa".l Ku» PuJiimKBl PARIS Welcome, de Làmothe), Cramail M. R. à et employé à effectuer ce parcours étaient munies raisons qui sont peut-être excellentes, SYLVAIN. Eh bien! et son départ? Ce (propriétaire). d'un moteur Benz, livré par la Maison Parique j'ignore et que je ne veux pas exa- n'est donc pas une preuve? Et puis c'est Lord Cerilly, Wôlcome, Ring On, Blue Sky sienne, 71, avenue de la Grande-Armée. miner maintenant, vous avez disposé de inutile, vous né partirez pas Je vous le et Chicane galopaient doucement dans cet On trouve dans cette maison la voiture Eclair, la cofnmahde moi; de mon honneur, dé mon âme. de mà défendis, vous entendez, oui, je vous lé ordre. A la rivière, Chicane faisait une grosse livrable dans lès huit jours dedifférents avec trois chevaux de et moteur types vie. Comprenez-vous comprenez-vous défends; j'en ailé droit comme oh à le faute et son cavalier sauvait la chute. En de voitures livrables dans un délai fort court. tout ce qu'il y a de monstrueux da cri- droit d'empêcher un être qu'on aime de face, Ring On et Welcome ensemble galo- VéloaipSdie. Le match Jacquelin-Bourillon Blue minel dans ce que Vous avez ose? Com- se tuer. C'est un suicide moral que vous paient devant Lord Cerilly et Chicané, ne soulève pas seulement la question de savoir la dernière Wolcome sautait Sky dernier. prenez-vous que vous avez commis là ùh allez commettre il est de mon devoir de haie qui l'emportera de l'un ou de l'autre,. au ChamOn. plat, Ring On le Sur Ring se avec lé dé France 1896 ou du champion de Ffaocé pire des attentat attentat, un sans nom, m'y opposer, d'essayer d'éviter cette ca- détachaitpour l'emporter de trois longueurs pion mais aussi celle de savoir quelle tactique si attends, celui qui consisté à porter une. tastrophe par tous les moyens possibles. sur Chicane qui Venait enlever la deuxième différente chez les deux hommes va triompher. atteinte irrémédiable à la liberté d'un Non, Vous né partirez pas! Vous hèle le résultat, la lutto sera palpisoit Quel qu'en sciemment atêtre humain ? Vous avez Pari mutuel â 10 fr. 35 fr. Placés RingOn, tante. Ce n'est pas pour moi que pouvez pas. Rappelons que les engagements seront clos êtes effr. Chicane, 23fr. 22 tenté à ma volonté 1 vous vous qui C'est demande. le je vous pour ce soir à cinq heures; forcé contre mon instinct Vous vous ne vous vous pardonneriez jamais une pareille êtes opposé à ce que je fusse heureuse chose, plus tard, lé jour où Vous aurez. -SALLE D'ARMES DU «FIGARO» pouvait me plaire, comme, en compris à qui vous m'avez sacrifié. comme 11 E IWI E W Eh PARFUMEUR, 9, Rue dé la Paix. tout cas, j'avais le droit d'être heureuse. La salle Yvon et Masselin, ancienne salle Vous, Sylvain, sacriflé? Lysiane. Ruzé, était représentée 'hier au Figaro La Crème Veloutine est aux autres crèmes ce qu'est la Bondre Velonttne à toute?, les Poudrés Je né sache pas d'attentat plus grave, je SYLVAIN. Oui comprenez-le donc Paulplusieurs meilleure. Elle a, sur tous les Cold-Cream, la grande, fcupériorité de tireurs dé mérité, MM* Le Brun, de toilette, c'est-à-dire lalaisser vous le: répète; et si j'en avais commis enfin! Je! ne yeux pas, je .ne veux pas par sans lui cet aspect brillant inévitable par l'emploi, do tous les corps gras. blanchir la peau etc. un semblable,je serais la plus honteuse' que vous partiez, parce que vous m'im- Dulan, Bilard, Deux, assauts entre maîtres ont complété et la plus mortifiée des femmes! plus que tout au monde, parceque l'attrait portez de cette excellente réunion'. "Lés SYLVAIN. Non! Si vous aviez cru votre existence m'est plus chère que adversairesétaient GAITE. 8 h; 1/2. Les Clochos de Corneville. MM. Masselin et Màistre, sauver ainsi votre ami le plus cher. tout et que je sens que vous allez.la,gâ- moniteur l'Ecole de Join ville; Louis CornBOUFFKS-PARÎSIENS, 8 h. 1/4.– Les P'tite* Miohu. serais trompé, je même Quand bien me cher irrémédiablement. Je m'aperçois, béait, maître d'armes au 102e de ligne, et 6 franc FOXIES-DRAMATIQUES 8 h. 3/4. je ne serais coupable que de m être avec une grande et gravé émotion, que je Cinquante lignes Par Dix insertions où La-Fauvette du Temple. Robert Miltoa. trompé. tiens à Vous par des liens plus profonds d'un mois, la 5 francs THEATRE ANTOINE (EX-BIENUS-PLAISIRS). le-délai ligne. dans Lysiane. -,Il ya dés erreurs qui sont .et plus forts que je ne le soupçonnais 8 h. 1/2. Le Repas du criminelles YACHTING moi-même: Cette crise m'a révélé bien La trente-six LigM de lettres. compose se Ceilesrlà ne peuvent pas des choses. Je vous en supplie, ne parQLUNY.– 8 h. 1/2.– An Coin du feu; Magistrat. Sylvain. LES 'YACHTS. GUERRE ET LA l'être qui sont nées d'un grand effort tez pas Epargnez-nous, épargnez-vous ATHENEE-COMIQUE.-Oh. 0/0. Relâche. 'PLAISIRS PARISIENS pour sauver la dignité d'une âme.. DEJA/BT. h. 1/2. Une Femme à. l'écart. des lendemains abominables! Je suis- La guerre hispano-américaine donné aux RLvàrès et Loupy. Lysiane. t- Même en tuant son bon-, sûr, je sais que vous n'aimez pas cet yachts de plaisance une importance toute programme des Théâtres considère les maintenant 8 h.1/8.– heur? Même. Vous ne répondez pas? homme, je le sais, vous dis-je Croyez- nouvelle,dbùisqa'on THEATRE DE luttes utiles auxiliaires dans les comme La Grâoe de Dieu. Vbus' comprenez peut-être, enfin, que vous, si je n'avais pas eu cette certitude, navales. MATINÉES vous.;êtes: impardonnable de vous être que j'aurais Osé ce que j'ai osé? Vous LE GRAND GüIGNOL (Téléph. 228.34) 9 h.– Des deux côtés on; a acheté de superbes C'est cela qui Légataire la sorte. trompé de me allez au-devant de la ptûs tragique des navires, luxueux, munis de tons les perfec- FRANÇAIS. 1 h. 0/0. Bajaiet; le Le Lézartt; l'Innocent criminel; le Chien; Adolphe; le Marchand de Désespoirs.' passe, que vous ayez pu mener jusqu'au déceptions. Vous m'entendez! Vous ne tionnements modernes, destinés aux. jouis- universel. bout votre rôle, sans être épouvanté de sentez pas; vous ne voyez pas, vous ne sanc'es "nautiques de richissimes yachtsmen. DEON. 1 h. 1/2. Les Faux Dieux; Conié- THEATRE D'APPLICATION (La, Bodinière). 9 h. Le Gamin de Paris; On demande un la responsabilité que vous assumiez,. voulez donc pas comprendre?.. (Lysiane Mais cé sont les Espagnols qui ont été les renee de M. G. Jeune affolé- par la pensée d'avoir quelque ne bougé pas.) Soit par,tez.*Lé lendemain plus habiles,, puisqu'ils sont assurés du AMBASSADE0ES H[OUVEAU-ClB<JUtS (2 h. 1/2). la vitesse avec Giraldà, à M. MaôCal- N 1/2).– Parisiana (2 h. ).– Cirque d'Hits» BOtlFFES-DU-NORD 8 H. Là Goualeufsei jour à en rendre compte. Eh bien !je de votre départ, je partirai moi aussi est cord de qui (iL donne couramment vingt-deux t2b. 1/2);– Cirque Medrano (2 h.)– Concert MONCEY. 8 h. Le Flibustier,* le. Gamin de veuç-^eease-d^avoirbrisé-mon existence pour toujours; jamais, cela je lè jurè, mont, ROBBRT-HOUBIN DE L'ELDORADO (2 h. 1/2). sans y avoir- auoun droit, et je vous jamais nous né nous reverrons' nombre car ils Américains 2) le Les auront iUéjne spectacle que le soir. BELLEVILLE, 8 h. 1/4.– La Famille Martial. émue. Jamais? somme de.vous justifier. Mayfiovser au xoi des Belges, ont acquis Je n'invoquerai qu'une SYLVAIN. SYLVAIN; -Jamais! Et maintenant que Aegu&a au commandeur Ignace Florio, MONTMARTRE. 8 h. Le Fils Lagalfdèrë. excuse, elle doit'suffire à me disculper. vous savez; vous êtes libre Sans droit, Nourmàhal à M. Jolin Ja0ob Jk$toi; Âtinyk CeqHefaifaiti je l'ai fait parce que j'ai j'ai trop pesé sur! votre destinée^ Ne vous M. FriGallatin, SovÊreign à M. C. D. BorLE CARILLON.– i9"l/2,– Copcerttoa^ les soirs. qu'il était bien de toutes mes forces qui cette vous minute, engagez à rien en cru ^A 'CIGALE8 h. Le -Bain MftcZe, opérette. Ladew, ffiiçia U. & M. agi; J'ai fisse. le vous que je Laissez-moi bia à J. Harvey trop peut-être. bon et engagerait pour Flagler. Mais, parmi ces g^aam-yachts,le plus FRANÇAIS. h, 0/0. Là Maptjrre, d'une façon pleinement désintéressée, je m'éloigner.. Vous; déciderez quand je se- rapide tj Iffon, 14, boq^v. jSajon indien). dépasse pas t7 noêa4s c'est ènl* n'ai obéi à aucune mobile personnel,je rai loin d'icii sans moi et même contre coré unenebelle marone, miis l§is grandstransn'ai rien calculée Si j'avais calculé, j'au- moi car la décision que vous allez préh^ atlantiques que les ÉBJpagqels armeront en l'Amour à la Bds«lé. rai compris qu'en agissant de la sorte dre ne concerne pas que vous seùlè, et course atteindront cètte vitesse.. j'avais vraiment tout à perdre, tout, et vous avez deviné quel retentissement Que vont devenir, aussitôt lé premier cqup ÂDEÔN. Celte qu'il faut aimer;. 6 b rien à gagner. C'est donc votre intérêt, elle aura dans ma vie. PardoniJéz-mo*- de canon-tir-6, les yachts, battant le pavillon <3oncerto pour S vi^loug fri.-S. baoh). Air l'instant de folie où je me suis laissé em- étoilé, qui sont en c.a moment en Méditerrafluei* sur- vôtre vie comme j'ai eu le cou- porter jusqu'à vous défendre quelque née ? Cette flottille dans laquelle on compte actuellement les steam yachts Narada & S<mt François de rétf». marchant sur les que je chose -vous êtes pleinement libre, même M. rage dé le; faire. Reconnaissiez ?/i4Lygiane. H..WaHers, Andrià à Ml- John G. Brooks,>•' RENAISSANCE. 8 bn'ai été poussé à cet acte par aucun dé me désôspéreïw. Adiëûl Var-una à M. Ettg. Higgins, Margarita à M. UAUDBV1LLB. te Misanthrope 6t 1/4. espoir égoïste, ni par -oolère, Jii par jaAntony J. Dre|tel, SUltana à M. Johà R. Jf l'Auvergnat; Déooré. brèves notions ge^nt lues par M. Faut lousie; Drexel, Actwru'è à M. R. Stuyvesant, Qücen DALAIS-ROYAL. 8 h. 1/2. -r- ChoU-.OhOU; là Lysiane, avec Franck, de MabàU. Lord,' Erl King à M. Keiller, eaamour,, je le sais. peut-être Pas adieu$ dits plaôCR yH» -Prix les. goélettes M. W..K. Vanderbilt; â L'Érlféur-MeNotiysaS liand moi de à 1 plaisait me ifARlSTES,–8"h. '1/4- »Mais (Rideau.) heûreC Fleur à. M. Georges LordlJay, Mor<na dè'Lyi JARDIN indigne, n'en donner même à un homme M,. Weàyé,r navigue., depuis trois mois en nORÏE'S'-MARTIN1' SB. 0/0, Cyrano da étais^je .pas libre ? A qui en déyais-je; (Landry). *• Orient, en .Grèce, en Italie. Quelles belles1 Bergerac; •• oapWco'-marche Confé'l'eauæ, les corsaires, Espagnols! Si lea prises pour CB ATBtEt. kbits 11 'abondance dés matières force à propriétaires veulent- éviter- un sort de' ce 0 J>. OJO. Reltchë. vous, je pensé Et c est Liorét. Tfië&JïfrÀê. pdlkâ"(J. là R.ÈVVÈ BifiWô- genre, il faudra qu'ils se réfugient dans des AMBIGU. 8 h. Là Corde aü cott. pour qu'un'Jour ce'compte ne vous fût' remettre à jeudi prochain Ouvertjiïe d«Mar«fta' tFtoIOW).Lafitte). Tâ&çù/ jHOL'VBAUTp|. 8"h. s 4,1® <w« pas trop cruel, qu'injustement, criminel- gràphique, de notre c4iy%p?atéùr PUm» lement4 je le résonnai, je me P$>
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".c" de Lâbadie, La Maùraghe. d'Avricourtî -J Le comte Balny d'AvricoUrt.-att dhât. M. Brocqua, à Le marquis da Latpur-Maubourg, oapitaine ai. ii' :14i hussards, à M. de RenussoB, au château des Ligneriés' M. V. de Courcel, à Montcourcel. Mme la marquise de La Corbière; au chatéatf dtf X-é M. R. Gorrent
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Mme de Coatpont, à Versailles. Mme de Saint-Germain,à Boulognc-gur-Seinë. Le comte d'Ideville, il ;fe' Le duc de Mouchy, au château de Mouchy. ?-" Le comte de Leusse, à Reisehshoffen. Le comte de Forbin-La Barben, à Lyon. r Le vicomto de Bassière; au châtean de SchOB* ~J"
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la marquise de Barbentane, Le comte de Bermingham. Mme
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Beautort. Mme M. G. de Courcel. Le duc do
da Cheverryj Le marquis de VaulSërrôk M. de Le vicomte Maurice de Le comte de M. de Carrère. Le comte A. de Ronge. Mme de Bethmann. M. Gaston de Saint-Aunay. Mme
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